#non binarité
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95e témoignage avec une fin positive
#reconnaitrans#transgender#agenre#agender#non binary#non binarité#queer#trans#comingout#enbyphobia#enbyphobie#web comics#nonfiction
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C'est quoi être non binaire ?
Cet article est une retranscription d’une vidéo que j’ai tournée et mise en ligne sur Youtube. Vous pouvez regarder la vidéo ci-dessous et/ou lire la transcription qui suit. Aujourd’hui on va expliquer ce que c’est la non-binarité ! Déjà avant de définir la non-binarité, ça pourrait être bien de définir la binarité, histoire de bien comprendre de quoi on parle. La binarité c’est une vision du…
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Ma première fois sur le Tumblr français (!) pour partager un texte que j'ai écrit en avril 2024 pour un concours de poésie. Il parle de mon expérience en tant que personne AFAB non-binaire transmasc, et je pense qu'il pourrait plaire / parler à pas mal de monde. J'en suis vraiment fier, et espère qu'il trouvera son public ici :)
texte en dessous de la séparation [ 2636 mots - CW dysphorie de genre, vocabulaire violent - français ]
⟡
Les asters et althéas entourent mes ecchymoses violettes de leurs pétales.
Je voudrais t’arracher la peau jusqu’à l’hypoderme, m’y engouffrer comme Patrocle dans cette armure pour m’y protéger du regard de l’étrangère dans le miroir.
Je voudrais te dérober tes os jusqu‘aux sésamoïdes, les accrocher à mes membres et mes envies pour y absorber l’énergie de ton corps en harmonie.
Le portrait remuant se dresse contre mon bouclier, en ennemi invaincu victorieux depuis tant d’années. Son regard s’accroche à mes contours, et je les sens brûler, carboniser cette chair enveloppée de rose poudré. Et je sens le poids de mes seins et le poids de mes sens et le poids de mes larmes dans l’indifférence de mon essence. Et je resserre la main, resserre le poing, rosse la rosière de naissance.
Mon reflet fracturé et moqueur continue de me sourire, dispersé à travers les éclats de verre renvoyant une vérité faussée dans les rayons de lumière. J’entends sa voix multipliée continuer de me murmurer que personne ne lae verra jamais. Que toujours on ne verra qu’elle.
Erreur d’association, âme et corps attachés par le mauvais cordon. Par celui qui fait mal, qui tire à tous les mouvements, qui crie au monde un mensonge sans aucune réparation.
Et elle me regarde souffrir, moi au cœur ni rose ni bleu, moi au cœur quelque part entre les deux. Et pourtant nulle part, nulle part ailleurs que dans cette armoire où mes larmes ont fait naître des cauchemars. Où mes espoirs ont fait éclore des ecchymoses, écosystèmes en prose des soirs où j’implore la sclérose de ce corps.
Je suis fatigué·e d’étudier et fatigué·e de chercher et fatigué·e d’expliquer. Fatigué·e de bander cette poitrine abhorrée qui reste pourtant toujours moins écachée que celle des hommes à mes côtés. Fatigué·e de marcher autour des autres qui entendent la télé m’insulter. Fatigué·e de voir ma sécurité menacée, qu’un sexe doit obligatoirement être genré, que pour un point médian on pourrait me tuer.
Comment être un garçon sans l’être complètement ? Peut-on altérer le “F” pour un espace blanc ?
Pourquoi devrais-je donc faire semblant ?
Iels m’incriminent de travestir mon cœur, d’intervertir les rôles par vecteur pour faire réagir, pour vivre à contre-courant des mœurs et arborer une originalité destinée à brandir une indocilité. Sachez que le seul déguisement que je porte est ma version passée, me collant en escorte dolente et non-désirée, faisant oublier que je ne suis pas “elle” et ne l’ai jamais été, plus aux alentours du “il” sans vraiment le toucher. Masculinité se maquille sans craindre de se repeindre du rose des filles et de s’oublier.
Mon âme est jaune, blanche, violette et noire, je vais ramasser les morceaux et devenir le miroir.
#tumblr français#french side of tumblr#écrivain#artiste#artiste de tumblr#poème#poème en prose#poème français#poésie#french poetry#transidentité#non-binarité#enby#mon texte#my text#mon poème#my poem#my art#deadstars transgender#deadstars make art
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Sans rapport mais pourquoi les vieux sont verts de rage à cause du truc de mademoiselle là. A chaque fois que y'a qqn au delà des 50 ans qui m'appelle mademoiselle, direct suit le "ah mais de nos jours on a plus le droit de dire ça xptdr" okay bah le dis pas ? Garde ça pour toi papi, tu peux me dire ce que tu veux tant que c'est pas sur des document légaux, par contre si tu commences à basher un changement justifié et intéressant juste pcq ouhlàlà les féministes elles changent nos habitudes je tremble dans mes bottes, on va pas être copains.
#je préfère mademoiselle à madame franchement je sais pas si c'est la non-binarité ou la santé mental ou juste pcq c jouli mais bref jpréfère#MAIS#PAR CONTRE#ÉNORME WARNING#1. je suis un individu et ce que JE préfère (que t'as aucun moyen de deviner d'ailleurs) ne vaut que pour moi et pour aucun autre individu#2. c'est très con de vouloir papoter sympa avec une jeune en commençant par essentiellement AH J’ESPÈRE T'ES PAS FÉMINISTE MA COCOTTE#frère j'ai rien dit#par contre ce serait cool de capter que le but c'est pas de fliquer toute les conversations du quotidien#c'est de respecter les demandes des femmes et filles autour de soi#et aussi de systématiser (particulièrement administrativement) un respect de l'âge l'indépendance et la maturité à égalité avec les hommes#j'ai tellement envie de commencer à les faire chier et à insister sur madame à fond à chaque fois que ça m'arrive#broadcasting my misery#frenchposting
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Non binarité
Ce texte part d’une réflexion curieuse. Tout à l’heure je disais à Ariel que je voulais regarder le match de foot ce soir et il m’a répondu « transition réussie ». Cette réflexion est uniquement de l’humour mais ça m’a fait réfléchir, réfléchir à comment je me sentais, comment je vivais les choses.
À de nombreuses reprises je ne me suis pas sentie légitime parce que je ne voulais pas nécessairement changer de prénom, ni arracher certaines parties de mon corps mais j’ai réalisé tout récemment que je ne me sens plus à l’aise dans une identité entièrement féminine, que ça ne me correspondait plus.
Mon genre ? Je le perçois comme quelque chose de très neutre, androgyne, indéfinissable. J’ai eu différentes réalisations, les personnes dont on ne peut deviner le genre à la première rencontre, ces personnes « androgynement » belles, mystérieuses, innommables. Les personnes alt qui sont le plus souvent non binaires, magnifiques.
Chez moi, je voudrais changer ma manière de me vêtir pour avoir des vêtements qui me correspondent tout en restant dans cette neutralité pour laquelle j’aspire. Je voudrais un torse plus plat sans pour autant qu’il soit entièrement plat. Je veux juste qu’on arrête de m’associer constamment à ces amas de peau et de graisse qu’on appelle des « seins », je ne les apprécie pas je voudrais pouvoir les retirer et les remettre à ma guise comme un accessoire.
J’essaie de composer avec ça avec cette identité qui semble d’être offerte à moi sans que je m’y attende, j’écrirai sûrement de nouveau à ce sujet si le cœur m’en dit. C’était la première fois que je m’exprimais là-dessus.
Au fait, appelez moi Kira.
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J'ai eu une enfance heureuse. Des parents fonctionnel·les. Je n'ai pas grand chose à soigner, à part, comme tout le monde, le patriarcat (binarité, hiérarchisation, mysogynie, culture du viol, masculinité, monogamie, hétéronormativité). Et c'est pas trop trop la faute de mes parents, sauf celle de me laisser regarder des productions audiovisuelles.
Quand je partais en vacances seul·e avec ma mère, le premier matin, je me levais dans un drap emmêlé dans un lit trop grand. Je sortais doucement de mes rêves, je ne savais pas où j'étais, et puis juste avant de me souvenir où je pouvais être, j'ouvrais les yeux. Pour la surprise. Des voix familières venaient du salon, de la cuisine, je n'entendais pas le contenu, et j'aurais été bien incapable de le comprendre. Mais j'entendais les intonations, différentes de celles de la maison, ou plutôt si, elles me rappelaient quand ma mère était au téléphone avec sa famille. Il y avait aussi des bruits de métal, d'ouverture de frigo. Les rideaux filtraient un soleil plus fort qu'à la maison. Les tissus, les tapis, avaient une odeur de poussière différente. Peut-être que les bactéries dans les fibres sont différentes quand les tissus ont pris beaucoup de rayons UV, ou de vapeurs d'huile d'olive et de concentré de tomate.
J'avais dormi avec ma mère. C'était comme ça pendant les vacances dans la maison de son père. Je m'endormais seul·e et je me réveillais seul·e, mais j'avais dormi avec elle. Je la croyais sur parole.
Elle passait dans la chambre alors que j'étais réveillé·e. Elle me "réveillait" officiellement. Elle me réveillait avec sa voix douce, puis je l'entendais ensuite plus loin de moi tout le reste de l'été. Elle parlait arabe, je ne comprenais pas. Même avec moi, elle parlait parfois arabe, elle voyait que je ne comprenais pas, alors, un peu déçue, elle reprenait en français. Je comprenais.
Je me sentais autorisé·e à me lever, regarder un peu les toits par la fenêtre, les mêmes toits desquels semblaient venir les appels à la prière.
J'allais dans la cuisine. Je croisais mes cousines. Et l'été commençait vraiment.
Il y avait donc la première génération dans la cuisine. Et j'étais avec la deuxième génération, la mienne, celle qui ne comprend pas non plus l'arabe, et regarde plutôt KD2A sur France 2 en mangeant de la pastèque et des céréales pour le petit-déjeuner. Ça me faisait plaisir d'être près d'elles. La veille au soir, c'est mon oncle qui est venu nous chercher à l'aéroport, elles dormaient déjà. Je n'aurais pas pu passer l'été avec des gens aux peaux vieilles. Je les regardais, et ce que j'aimais chez elles, c'était vraiment leur peau élastique. Des peaux d'enfant, d'ado, semblables à la mienne. Les adultes avaient des peaux abîmées qui sentent de plus en plus mauvais. J'y ai été jusqu'à mes 17 ans.
Aujourd'hui, c'est son anniversaire. Je l'appelle au téléphone. Moi, j'ai changé de voix parce que j'ai 34 ans, deux fois 17. Mais elle, non. C'est la même voix qui me demande des nouvelles de mon ex (on est séparé·es depuis trois ans et elle le sait), qui me demande si j'ai mon enfant à côté (ça fait deux ans que je ne l'ai jamais le mardi et elle le sait), qui me demande si je travaille tout l'été ou si je prends quelques jours (ça fait un an que je ne travaille plus, et elle le sait).
J'ai pourtant eu une enfance heureuse.
La mère de ma mère est morte quand ma mère avait 17 ans. Moi non. Elle est là, et je constate cette nouvelle version de ma mère.
C'est pourtant la même voix, dix-sept ans après.
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Gender Queer by Maia Kobabe (December 2022)
In 2014, Maia Kobabe, who uses e/em/eir pronouns, thought that a comic of reading statistics would be the last autobiographical comic e would ever write. At the time, it was the only thing e felt comfortable with strangers knowing about em. Now, Gender Queer is here. Maia's intensely cathartic autobiography charts eir journey of self-identity, which includes the mortification and confusion of adolescent crushes, grappling with how to come out to family and society, bonding with friends over erotic gay fanfiction, and facing the trauma of pap smears. Started as a way to explain to eir family what it means to be nonbinary and asexual, Gender Queer is more than a personal story: it is a useful and touching guide on gender identity—what it means and how to think about it—for advocates, friends, and humans everywhere.
I had to buy a book for university while I was at the Salon du Livre in early December, and this one really caught my eye. First, because it was a salon targeted towards children's literature and, okay, fair, this includes infants and goes into YA literature, but this comic tackles questions of gender and sexuality that people don't often approach in a space where children are included. Second, I had seen this comic in passing on the internet, so this was the perfect occasion to read it.
I'm not going to give a review saying "this is good, this is bad", I'm just gonna say that I think it's something eveyone should read. Maybe you don't think being non-binary is a thing, maybe you know it's a thing, maybe you're just curious. Maybe this comic won't change your views on non-binary people, maybe it will, maybe it'll change how you view yourself, but it's a great way to learn (more) about this identity. Like any story about queer experiences, this isn't the non-binary experience, it's an experience, but you have to start somewhere and this is a great starting point.
Please be mindful of potential triggers though, stay safe everyone!
French version under the cut
En 2014, Maia Kobabe, qui utilise les pronoms ille/lo*, pensait qu'une BD sur des statistiques de lecture serait la dernière BD autobiographique qu'ille écrirait jamais. A l'époque, c'était la seule chose qu'ille pensait pouvoir confortablement partager avec des étrangers. Maintenant, Genre Queer existe. L'autobiographie profondément cathartique de Maia retrace son cheminement dans sa quête d'identité, ce qui inclue l'humiliation et la confusion de liés aux béguins d'adolescents, le stress de comment faire son coming out auprès de sa famille et de la société, nouer des liens avec des amis grâce à la fanfiction érotique gay, et faire face au traumatisme des frottis. Initialement un moyen d'expliquer à sa famille ce qu'être non-binaire et asexuel veut dire, Genre Queer est plus qu'une histoire personnelle : c'est un guide utile et touchant sur l'identité de genre — ce que cela signifie et comment l'appréhender — pour des alliés, des amis et des humains n'importe où.
Je devais acheter un livre pour la fac quand j'étais au Salon du Livre début décembre, et celui-là m'a vraiment tapé dans l’œil. Premièrement, parce que c'était un salon qui cible la littérature jeunesse et, ok, c'est vrai, ça inclue les bambins et va jusqu'à la littérature YA, mais cette BD aborde des questions de genre et de sexualité que les gens n'abordent pas souvent dans des milieux en partie dédiés aux enfants. Deuxièmement, j'avais vu passer cette BD sur internet, donc c'était l'occasion parfaite de la lire.
Je vais pas faire une review pour dire "c'était bien, c'était pas bien", je vais juste dire que je pense que c'est quelque chose que tout le monde devrait lire. Peut-être que vous pensez que la non-binarité n'existe pas, peut-être que vous savez qu'elle existe, peut-être que vous êtes juste curieux. Peut-être que cette BD ne changera pas comment vous voyez les personnes non-binaires, peut-être que si, peut-être que ça changera comment vous vous voyez, mais c'est un bon moyen d'en apprendre (plus) sur cette identité. Comme toutes les histoires sur les expériences queer, il ne s'agit pas de L'Expérience non-binaire, juste d'UNE expérience, mais il faut bien commencer quelque part et cette BD est un bon début.
*j'ai utilisé ici les pronoms et accords établis par la traduction de Anne-Charlotte Husson suite à ses recherches et entretiens avec l'auteurice.
#gender queer#maia kobabe#genre queer#comics#BD#non fiction#non binary authors#non binary#french#memoir#autobiography#autobio comics#books#booklr#book recs
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Tu as récemment reblogué sur le thème du kink (polyamorouspunk). Penses-tu que l'on devrait accepter tous les kinks ? Ou devrait-il y avoir des exceptions ? Quel est ton avis sur les personnes qui fétichisent les personnes trans ? Ou même des personnes trans qui se fétichisent elles-mêmes. Les considèrerais-tu toujours comme trans ?
I'll translate in case it interests someone:
"You've recently reblogged on the theme of kinks (polyamorouspunk). Do you think we should accept all kinks? Should it be some exceptions? What is your view on people fetishizing trans people? Or even on trans people fetishizing themselves. Would you still consider them as trans?"
(I think that's an ok translation).
Bon j'ai longtemps réfléchi à ça et j'ai eu plein d'avis différents sur la question. Je crois que je suis arrivé à un certain consensus. Je pense qu'on devrait accepter toutes les personnes ayant tous types de kinks (ce qui ne veut pas dire qu'il devrait toujours être acceptable à faire, aka par exemple avoir un kink de violer quelqu'un c'est ok, mais ça veut pas dire que violer quelqu'un pour de vrai pour son kink c'est ok), je fais la différence entre l'envie/l'imaginaire, et l'acte.
Pour les personnes qui fétichisent les personnes trans, je m'en fiche. Genre oui ça met mal à l'aise etc, et moi je l'ai déjà vécu... Mais y'aura toujours des gens qui le seront, et faut juste qu'ils soient éduqués de sorte qu'ils ne mettent pas les gens mal à l'aise.
Pour les personnes qui se fétichisent eux-même, pareil, je m'en fiche, elles font ce qu'elles veulent. Je suis d'ailleurs assez curieux des mécanismes des hommes trans qui ont un détrans kink, c'est pas recherché ou connu du tout. J'avais avant l'opinion que fallait avoir de la dysphorie pour être trans, et dans un certain sens, c'est toujours le cas, pareil pour la non-binarité, mais d'un autre côté, on se fait tellement taper dessus pour rien que maintenant je préfère mettre de côté mes différends pour que tout le monde puisse faire ce qu'il veut de sa vie. Ça m'impacte pas si une personne se dit trans sans dysphorie ou non-binaire, par contre les transphobes eux ont un impact sur ma vie.
J'espère que ça répond à tes questions.
--
I've thought about this for a long time and I had a lot of different views on the question. I think I came to a general agreement with myself. I think we should accept every kind of person with any kind of kinks (which doesn't mean we should accept that all kinks should be done, exemple having a rape kink is ok but raping someone for real isn't), I do the difference between imagination/desires, and actions.
For the people fetishizing trans people, I don't really care. Like yes, it makes me uneasy and all, I lived that too... But there will always be people who are fetishizing trans people (that's not changeable), and we only need them to be educated so that they don't make trans people uncomfortable.
In regards to people who fetishize themselves, same thing, I don't really care, they do what they want. I'm particularly curious about trans guys who have a detrans kink because it's not researched/known at all. I used to have the opinion that you'd need dysphoria to be trans, and in lots of ways, I still think that, same for non-binarity, but on the other hand, we get hit so much for no valid reason that now I prefer to set aside differences so that everyone can have the right to do what they want in their lives. It doesn't affect my life very much if someone who doesn't have dysphoria is calling themselves trans or if they're non-binary, but transphobes do impact on my life.
I hope this answers your questions.
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92e témoignage
#reconnaitrans#trans#non binary#nonbinary#queer#webcomic#web comics#questioning#comingout#gender#genderfluid#non binarité#BD#non fiction
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Célébrons la fluidité de genre ! Drapeau genderfluid La fluidité de genre est une identité de genre dans le spectre de la non-binarité. Une personne Genderfluid voit son genre changeant dans le temps, s'identifiant à n'importe quel genre, du spectre binaire h/f ou non. #LGBTQIA #nonbinary #nonbinaire #genderfluid https://www.instagram.com/p/ClLpdnzrk-x/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Laissons la science en dehors de tout ça...
Que le genre soit à l'origine du patriarcat ou bien un outil de sa perpétuation, là n'est pas la question d'un point de vue politique. La science n'a pas tranché et ne le fera sans doute pas tout de suite tellement le sujet est complexe, et elle n'est dans tous les cas pas la boussole ultime de nos choix politiques. Concentrons nous sur ce que le genre fait à la société. Concentrons-nous sur le système de valeurs qui le sous-entend et essayons de le changer.
Pourquoi porter aux nues la force physique ou la capacité à fortement contrôler ses émotions voire à les réprimer par exemple ?
Pourquoi la société perpétue cette hiérarchisation de comportements et d'attributs physiques ?
Est-ce parce que les mâles plus dominants ont érigé en modèle leur propre comportement, leurs propres capacités physiques, au détriment de toustes les autres êtres humains qui ne rentraient pas dans cette case ? C'est une hypothèse.
Mais laissons les hypothèses à la science.
Quand on dit que le sexe est lui-même un construit social, ce n'est pas pour dire que les différences sexuées n'existent pas mais pour dire qu'elles n'existent pas sans leur lot de projections de valeurs sur des attributs qui seraient exclusifs à l'un ou l'autre sexe, ce qu'on peut appeler le système de genre. Il repose sur une binarité rigide mais la binarité est construite socialement. Ce qui ne veut pas dire qu'elle n'est pas utile parfois. Tout comme l'ensemble des concepts inventés par les êtres humains pour décrire le monde. Cela veut dire qu'elle reste un outil, certes plutôt commode pour un aperçu rapide, mais qui a ses limites comme tous les outils de la pensée. Elle ne représente rien de concret, d'absolu dans la nature. Comme le concept d'espèce par exemple. Les manifestations du vivant ne sont pas discontinues, c'est nous qui les discrétisons pour pouvoir mieux les étudier et les comprendre.
On ne doit pas se fonder uniquement sur la binarité dans tous les domaines de la société, cela n'a pas de sens et encore plus dans notre société actuelle qui possède les ressources suffisantes pour permettre l'égalité.
On peut très bien penser que le genre s'est construit sur et avec les différences sexuées et de rôles dans la reproduction, cela n'empêche pas de choisir une organisation sociale plus égalitaire entre les genres. C'est en tout cas ce que désirent beaucoup de personnes, notamment des femmes, et il faut donc les écouter. C'est un problème démocratique en fait...
En dehors de la violence directe qui peut être exprimée par leurs représentantes, le pseudo-féminisme terf qui ramène tout aux parties génitales et aux capacités reproductrices supposées des individu.e.s n'est tout simplement pas adapté à la complexité de notre société, même des sociétés humaines en général. C'est un schéma de pensée simplificateur et donc à tendance essentialiste, qui ne serait pas si grave s'il ne faisait aucun tort aux personnes qui ne rentrent pas dans des catégories normées binaires et, en fin de compte aux femmes en général aussi. Rappeler en permanence que le "sexe biologique" est une réalité ne sert en rien la cause féministe, en plus d'être une trivialité scientifique... Personne n'a jamais dit, y compris les personnes trans, que les êtres humains n'avaient pas des capacités reproductrices différentes, le discours est même en général plus nuancé quand on s'appuie sur ce qui existe concrètement dans la société et non sur des images fantasmées : il existe des petits gamètes et des gros gamètes, il existe des personnes (et c'est la majorité) qui produisent les premières ou les secondes, il existe aussi des personnes qui n'en produisent pas. Il n'en sont pas moins des femmes ou des hommes (ou autre) dans la société.
Si tu penses que les femmes trans n'ont rien à faire dans les vestiaires ou les toilettes des femmes, ça n'a rien de scientifiquement fondé (les études sociologiques nous montre même le contraire) et il est trompeur de s'appuyer sur des arguments qui ont l'air sérieux parce que relevant du bon sens. On sait ce que ça peut avoir de dangereux parfois les croyances issues de la "sagesse populaire" ou du bon sens. La science va souvent à l'encontre du bon sens justement. Ce qui se cache derrière c'est simplement une volonté conservatrice, c'est une idéologie politique s'appuyant sur des tropes transphobes.
En un mot c'est de la transphobie.
Je leur ai laissé le bénéfice du doute, j'ai essayé de comprendre leur argumentaire, malgré la répulsion immédiate que j'avais pour elles. J'ai essayé d'exercer au mieux mon esprit critique sur les questions de transidentité et de genre. Je ne sais pas si j'y suis complètement parvenu, mais en l'état actuel de mes réflexions, basées sur des ressources que j'ai lues ou écoutées, y compris de personnes non concernées de près où de loin mais qui ont l'habitude d'exercer leur esprit critique, j'en suis pour l'instant arrivé à cette conclusion. J'ai beau tourner ça dans tous les sens, je ne vois pas en quoi ce genre de discours très critiques de la transidentité, voire très hostiles aux personnes trans, servent des revendications féministes et de progrès vers plus d'égalité sociale en général. C'est juste un conservatisme politique qui ne dit pas son nom, qui n'assume pas encore complètement, malgré des preuves de plus en plus tangibles quand même...
La question des origines du patriarcat est intéressante intellectuellement parlant mais on ne doit pas attendre des recherches scientifiques sur ce sujet (à la fois des sciences biologiques et des sciences sociales) qu'elles nous donnent des solutions politiques toutes prêtes. Bien sûr, il est intéressant, voire parfois nécessaire (je pense notamment aux sciences médicales) de s'appuyer sur les consensus scientifiques pour débattre de questions politiques. Mais ils ne sauraient servir de ligne directrice aveugle aux questions morales qui ne relèvent pas de la science. Sur les questions de genre en particulier, et d'inégalités sociales en général, nous pouvons choisir collectivement de protéger (sans infantiliser) les plus fragiles d'entre nous, nous pouvons donner les mêmes droits à tout le monde, sans avoir besoin de le justifier par la science, simplement par humanité, par empathie. Parce qu'on aura mis au centre de nos systèmes de valeurs l'entraide, la coopération, le partage des ressources. Nous pouvons décider de changer les représentations culturelles, très puissantes dans nos sociétés contemporaines. Et ce, indépendamment du fait qu'il existe des espèces animales non-humaines, et en particulier les plus proches de nous en termes phylogénétique, qui pratiquent l'entraide, la coopération, la résolution pacifique des conflits, etc. Il y a en a d'autres qui pratiquent les infanticides et sont plutôt violents aussi... Laissons donc la "nature" en dehors de tout ça et réfléchissons ensemble à ce qu'on souhaite comme société, et qu'elles sont les marges de manœuvre possibles pour y parvenir.
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#PrideMonth2024; Le petit lexique de la non-binarité
La non binarité est un concept qui gagne en visibilité et en reconnaissance, mais reste souvent mal compris. Cet article vise à éclaircir ce que signifie être non-binaire, à explorer les défis rencontrés par les personnes non-binaires, et à fournir un lexique pour mieux comprendre les termes associés. Qu’est-ce que la Non Binarité ? La non binarité est une identité de genre qui ne se conforme…
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Traduction de l'anglais vers le français du post Instagram consacré à Nex Benedict de la plateforme digitale Impact
Impact
écrit par Lara Sonuga (@larasonuga), — mise en forme/page : James Junk (@jamesjunk.co), toutes les images sont reproduites avec l'aimable autorisation de la famille Benedict
Avertissement sur le contenu : violences graphiques, crime haineux, mort, transphobie, harcèlement
Un(e) adolescent(e) retrouvé(e) mort(e) après avoir été agressé(e) dans les toilettes du lycée d’Oklahoma
Voici ce que nous savons de Nex Benedict
Nex Benedict, élève de seconde, était avec saon meilleur(e) ami(e) dans les toilettes du lycée d’Owasso où iel étudiaient lorsque 3 filles les auraient agressé(e)s ce 7 février.
Nex Benedict était non-binaire, et saon meilleur(e) ami(e) s’identifie comme une personne transgenre.
La mère de li meilleur(e) ami(e) de Nex témoigne au journal local que « l’une de ces filles [ lui ] frappait la tête sur le sol de façon répétée » jusqu’à ce qu’un(e) enseignant(e) ne finisse par intervenir.
Le personnel du lycée d’Owasso n’a pas pris la peine de signaler l’agression, ni même appelé une ambulance afin de porter secours à Nex, ni à saon ami(e) après le drame.
« [ Nex ] était incapable de se rendre seul(e) à l’infirmerie, et le personnel de l’école n’a pas appelé les secours. Ça me sidère » déclare la mère de li meilleur(e) ami(e) de Benedict.
L’école a également exclu Nex pendant 2 semaines.
Après l’agression, la grand-mère de Nex l’a amené(e) à un centre médical, d’où iel a pu sortir par la suite.
Le lendemain, Nex s’est évanoui(e) chez ellui. Iel ne respirait plus au moment où les secours sont arrivés sur place.
Nex est déclaré(e) mort(e) plus tard dans la soirée.
La cause de la mort n’a pas été établie officiellement.
Cependant, la mère de li meilleur(e) ami(e) de Nex pense que la mort est survenue à cause d’un « traumatisme crânien et de complications dues à ce traumatisme. »
La Police d’Owasso déclare qu’elle attend toujours les rapports d’autopsie et de toxicologie. Mais une fois que ces rapports seront établis, « toutes les accusations seront étudiées. »
La famille de Nex est furieuse après avoir appris que l’établissement scolaire a refusé d’appeler la police et d’obtenir des soins médicaux pour ellui après l’agression.
La commission scolaire des écoles publiques d’Owasso a publié la déclaration suivante :
« Les services de police d’Owasso ont informé les responsables du district du décès d’un élève du lycée d’Owasso. Le nom de l’élève et la cause du décès n’ont pas encore été rendus publics.
L’enquête de police étant en cours, nous ne ferons aucun autre commentaire pour l'instant. Toute autre question doit être adressée aux services de police d’Owasso. »
La grand-mère de Nex, qui était sa tutrice légale, rapporte le harcèlement qu’iel subissait à l’école dans les mois précédant son décès.
Le harcèlement a débuté suite à :
L’entrée en vigueur d’une loi, par le gouverneur Kevin Stitt, obligeant les élèves des écoles publiques de l’Oklahoma à n'utiliser que les toilettes correspondant à leur sexe de naissance
Une vidéo d’un enseignant d’Owasso s’exprimant en faveur des élèves LGBTQ+ mise en ligne, suscitant des réactions violentes qui ont poussé l’enseignant à démissionner
Nex était un(e) élève prodige qui aimait lire, dessiner, Minecraft et son chat Zeus.
Iel était membre de la tribu amérindienne Chacta de l’Oklahoma et parlait ouvertement à sa famille de sa non-binarité.
« J’étais si fière de Nex. Iel allait quelque part, iel était tellement libre » déclare sa grand-mère.
Erratum de Impact : La 8e photo du post indique que Nex faisait partie de la nation Cherokee alors qu'iel faisait partie de la tribu amérindienne Chacta de l'Oklahoma.
Repose en paix, Nex.
FR · Pour ce dernier post avant quelques jours d'absence des réseaux, je voulais rendre un modeste hommage à Nex Benedict, cet(te) ado qui voulait seulement vivre comme iel l'entendait et dont la vie a été brisée par 3 filles d'une cruauté sans nom... Dites son nom.
EN · For this last post before a few days off social media, I wanted to pay a modest tribute to Nex Benedict, that teenager who just wanted to live the life they wanted and whose life was shattered by 3 girls of unspeakable cruelty… Say their name.
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3 (under armour // sous protection)
depuis les vacances de noel - durant lesquelles j'ai sentie que j'étais prête à voir des vérités auxquelles je n'étais pas encore prête (symboliquement en décidant de corriger ma myopie) - j'ai le sommeil agité et je me réveille à 3 heures. on m'a dit qu'il s'agissait de l'heure d'ouverture du portail entre les vivants et les morts. j'ai toujours été hantée par le 3, il s'inscrit en filigranes sur la somme de mes actions et les endroits où se pose mon esprit. avant je tentais de manière presque compulsive de chercher des 3 partout puis plus tard d'organiser les divers pans de mon existence autour du 3 : la spiritualité (la philosophie orientale et le bouddhisme dont le trois se trouve au fondement), la non-binarité (le troisième genre), les champignons (le troisième règne du vivant), les rythmes musicaux ternaires, les allers-retours entre le 83, le 13 et le 93, sans comprendre le sens de tout ça.
en fait, si le sens ne me semblait pas apparent, l'inconscient était à l'oeuvre pour me guider et il y en avait un : j'organisais les préparatifs pour l'ouverture de ce portail. il est 3 heures et j'ai 3 anges. mes cousins Séverine, Mickael et Jérémie viennent chaque nuit veiller à ce que mon corps et mon esprit puisse encaisser le passé sans que je vrille. à l'époque, ils n'ont pas pu accomplir ce travail car ils étaient trop jeunes lorsqu'ils ont été bousillés par les adultes, mal entourés, sans protection, puis chacun leur tour abîmés par le système carcéral. je suis la seule des enfants battus à être restée chez les vivants et jusqu'à présent je me suis toujours sentie très seule, quasi spectrale et sans direction apparente. heureusement j'avais déjà entamé mon voyage sous la protection du chiffre 3 (le dessin, la musique, la magie).
aujourd'hui je la seule de la famille à avoir réalisé que c'était pas très normal de mourir à cause d'une overdose de substances dans son sommeil lorsqu'on a 21 ans, de commettre des vols organisés, de braquer des gens à la barre de fer aux sortie d'autoroute et de voir son copain mourir sous ses yeux lors d'un accident après avoir entamé une course poursuite avec les flics, d'avoir pris des coups alors qu'on était encore dans le ventre de sa mère, de partir se cacher chez ma grand-mère pour échapper aux coups de mon tonton, retrouvé mort dans la rue et alcoolique, de partir détrousser mon papy lorsqu' il rentrait de sa partie de chasse et qu'il dormait dans son 4x4 garé devant sa maison parce qu'il avait trop bu (avant de se réveiller pour retourner à sa passion première : terroriser toute la famille).
personne ne parle jamais de ces enfants, c'est un secret, un tabou parce que les responsables ne se reconnaissent pas comme tels (mais la culpabilité déteins sur l'état physique actuel de ceux qui sont restés et tout les adultes ont le cancer ou sont alcooliques).
je sais très peu de choses de mes cousins. Jérémie faisait du théâtre. avec son frère ils étaient très doux, Mickael (qui a le plus souffert) avant les cheveux longs et était hypersensible. au tribunal, une juge avait dit à ma mère "vos neveux sont vraiment des gentils garçons, mais ils sont perdus". a l'inverse des garçons, Séverine n'avait pas froid aux yeux, elle avait un piercing au nez, parlait franchement, portait des crops et un énorme tatouage dans le bas du dos, ses propres initiales sur le bras, elle fumait de la weed. une fois elle était au téléphone avec son pote lorsqu'elle a trouvé un pochon sur le bureau de ma taty qui lui avait confisqué et elle a crié trop contente à son pote que sa mère fumait de la weed. elle faisait tout le temps la fête, tout le monde la connaissait dehors, c'était une star, elle irradiait. c'est la personne que j'ai le plus admiré dans ma vie et je crois même que j'ai construit une partie de mon identité à travers son image.
j'aimerais tellement savoir quelle musique ils écoutaient, ce qui les animaient, c'était quoi leur protection à eux face à la violence, mais je ne crois pas que j'aurai ces réponses un jour et je crois que toute ma tristesse/colère et mon agitation quotidienne résident dans ce vide là.
malgré les problèmes qui me pourchassent encore, j'ai réussi à me faire une vie à peu près normale du moins sous protection, j'ai des ami.es que j'aime, le corps est musclé, l'esprit est plus clair. c'est un travail difficile mais essayer de se guérir du passé c'est aussi mettre un terme à plusieurs générations de violences, de crimes, de toxicomanie et de maladies sur fond de misère sociale et d'immigration. je me dis que j'offre aussi de l'apaisement aux enfants maudits qui ont trop souffert et qui ont dû partir rapidement ainsi qu'aux autres enfants maudits qui sont restés et qui galèrent à s'en sortir. la délinquance, les substances, les troubles mentaux, l'isolement etc c'est un leg qu'on devra se trimballer dans notre sac tout au long de notre voyage. je sais combien ça peut être lourd à porter et super merdique. mais je sais aussi qu'au fond du sac il y a bcp d'amour et de compassion pour pouvoir reprendre des forces
en fait le 3 m'aura permis de prendre conscience de ma mission de vie : veiller sur les enfants maudits
#underarmour #sous protection #3 #allstarz
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Chat GPT, qu'est-ce que le concept de soi?
Le concept de soi est complexe et multidimensionnel, et il englobe divers aspects psychologiques, sociaux et émotionnels. Les mots-clés et concepts associés au concept de soi peuvent varier en fonction des perspectives théoriques, des domaines de recherche et des contextes culturels. Cependant, voici quelques termes clés et concepts généralement associés au concept de soi :
Identité :
L'identité fait référence à la perception globale et continue de soi-même, qui englobe les caractéristiques personnelles, les rôles sociaux et les affiliations culturelles.
Estime de soi :
L'estime de soi représente l'évaluation subjective et globale que l'on a de sa propre valeur et de son mérite. Elle peut être influencée par les réalisations, les relations et les expériences de vie.
Confiance en soi :
La confiance en soi concerne la croyance en sa propre capacité à accomplir des tâches spécifiques et à relever des défis. Elle peut varier selon les domaines de compétence.
Image corporelle :
L'image corporelle se rapporte à la perception et à l'évaluation de son propre corps. Elle peut influencer la manière dont on se voit et se sent par rapport à son apparence physique.
Identité de genre :
L'identité de genre concerne la façon dont une personne se perçoit et se définit en termes de masculinité, féminité ou non-binarité.
Auto-acceptation :
L'auto-acceptation implique l'acceptation inconditionnelle de soi-même, y compris ses forces, ses faiblesses et ses imperfections.
Cohérence de soi :
La cohérence de soi se réfère à la stabilité et à la continuité perçues de son propre être à travers le temps et les situations.
Identité sociale :
L'identité sociale englobe les affiliations et les catégories sociales auxquelles une personne s'identifie, telles que la famille, la culture, la religion, etc.
Réflexion de soi :
La réflexion de soi implique la capacité de se comprendre soi-même, d'examiner ses propres pensées, émotions et comportements de manière réfléchie.
Autodétermination :
L'autodétermination se réfère à la capacité de faire des choix et de prendre des décisions en fonction de ses propres valeurs, désirs et objectifs.
Auto-efficacité :
L'auto-efficacité représente la croyance en sa propre capacité à atteindre des objectifs spécifiques et à influencer son environnement.
Ces termes sont interconnectés et peuvent se chevaucher, reflétant la complexité du concept de soi. L'exploration de ces notions peut se faire à travers différentes disciplines telles que la psychologie, la sociologie, la philosophie et d'autres domaines liés à la compréhension de l'identité et de la subjectivité humaine.
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Fille, pas fille, on joue! Le roller derby inclusif de la diversité de genre
Peut-être avez-vous déjà entendu parler de ce sport flamboyant? Le roller derby, sport contact alliant patins à roulettes et paillettes sur une arène ovale est bien vivant à Québec et offre un espace sécuritaire pour les personnes ne se reconnaissant pas dans le monde du sport masculin. Défiant la question de la binarité des genres, les ligues de derby incluent les personnes s’identifiant comme non-binaires et trans dans leurs équipes. Celle principale de Québec, Les Duchesses, s’entraîne à l’heure actuelle dans les gymnases de la ville en vue de recommencer sa saison panaméricaine au printemps.
Piste de roller derby et positions. Source: Roller Derby Québec (2013)
Simulation de match entre Les Duchesses, en blanc, et Montréal Roller Derby, en noir, à l'hiver 2023. Source: Roller Derby Québec (2023)
Le roller derby a d’abord été créé par et pour les femmes au tournant des années 1930 aux États-Unis pour répondre au désir de celles-ci de pratiquer un sport contact compétitif, pratique généralement exclusive aux hommes. Le derby a évolué depuis vers un sport volontairement inclusif à la diversité de genre, rendant ainsi accessible le sport aux personnes ne se désignant ni comme homme, ni comme femme, critère souvent exigé pour la division des équipes. Dans son mémoire de maîtrise Le roller derby à Québec : un espace de subversion des hétéronormes de genre, Charlie Desplat décrit la ligue de Roller Derby Québec (RDQ) comme étant un lieu de rencontre positif pour ces personnes en marge de la société.
Survol chronologique du roller derby et de quelques-unes de ses ligues nord-américaines. Ligne du temps réalisée grâce à Canva. Source: Charlie Desplat (2022)
Rencontrée par le Soleil lors d’une brève entrevue, Charlie explique que la notion d’hétéronormativité correspond à « l’organisation du monde autour de l’idée que les hommes et les femmes sont complémentaires » et que ceux-ci devraient se compléter tant sur le plan amoureux que sur la façon de ressentir les émotions ou de vivre dans leur corps. Elle ajoute que ces normes sont tellement ancrées socialement qu’elles nous paraissent tout à fait naturelles. C’est ce que le roller derby tente de déconstruire en créant un lieu où ce qui serait associé à la féminité et à la masculinité se confond.
La diplômée en sociologie de l’université Laval use de la notion de « subvsersivité » aux normes de genre pour décrire l’approche de la ligue de RDQ: « le mot subversion contient l’idée de résistance, mais ça veut dire surtout de reprendre les codes sociaux qui existent déjà et de les transformer, de se les approprier. Par exemple, on peut voir des personnes qui jouent au roller derby avec des collants de type fish net, vêtement souvent associé à la féminité et à la sexualité ». Selon son observation, le fait que les joueuses reprennent ces accessoires dans un contexte de sport contact compétitif joue avec les codes de la féminité et les détourne.
Enfin, le roller derby est inclusif à davantage que la communauté LGBTQIA+. On peut trouver sur la page de l’association masculine de roller derby un onglet dédié à une politique de non-discrimination. Cette politique stipule qu’aucune discrimination basée sur la couleur de peau, la nationalité, la religion, le genre, le handicap ou l’âge ne sera tolérée au sein des équipes. La ligue de Roller Derby Québec est fidèle à cette politique.
Pour suivre le calendrier des équipes de Roller Derby Québec, cliquez ici!
Pour en connaître davantage sur le roller derby et ses règlements, visitez la page de la Women’s flat track derby association.
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