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it just occurred to me
does. does dominion now have farmers delight????
why not :( its a nice light mod with fun foods :(
i wanna watch someone make a cooking minigame :(
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A Very AM Canada Day
A Very AM Canada Day. 36 Cancon classics, or at least songs that should be, from Moccasin-gaze to astrological psych to conceptual electro-folk. And other genres that may or may not exist. Hope you dig it.
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Other links
Hour One:
Gymnopédie no. 1
Matthew Cardinal • Pieces: 2011-2019
Glimpse
Tess Roby • Ballad 5
Endless Light
Teen Daze • Bioluminescence
Kill Scene
JOYFULTALK • Plurality Trip
Little Baby Flutter (Birdy, Bye Bye)
Postnamers • Sissies & Sluts
A Poem
Various Artists, featuring Laura Palmer • 11 Objects Lost & Found
Tiny Floating Things in the Air
Moat Bells • Bones of Things
Chlorophyl Sunset
Proxima Psychoacoustics • Kaznmward
Streetlights
Buildings and Food • Up Down Strange Charm
Spell - Morgan Greenwood Remix
Hermitess • Ace of Cups
In a Moment Divine
Freak Heat Waves, featuring Cindy Lee • Mondo Tempo
Hour Two:
If Only Your Heart was a Major Sixth
The Hylozoists • La Fin du Monde
You Could Be
Torngat • You Could Be
Shlomo's Son
Do Make Say Think • Stubborn Persistent Illusions
Music is Easy. There are Songs, and There are Dances. This Song is a Dance
No Birds • Don't Rely on Dying Young
Always, Be Together
Thanya Iyer • KIND
Cowgirl
Ora Cogan • Formless
She’s the One
Caribou • Andorra
J’aime une fille aux yeux d’or
Les Sinners • La Révolution Française
Tomorrow’s Ship
The Sparrows • Single
Virgo - The Perpetual Perfectionist
The Zodiac • The Zodiac: Cosmic Sounds
National Anthem to the Moon (The Stepkids Remix)
Bruce Haack • Bruce Haack Remixes
Our Future Salad Days
Dreamsploitation • The Soft Focus Sound of Today
Brokenhead
Zoon • Bleached Wavves
Hour Three:
Aura
Witch Prophet • Gateway Experience
Milk Spilt on Eternity
Badge Époque Ensemble • Badge Époque Ensemble
Resurrection Drive Part 1
Last Ex • Last Ex
I Dream in Neon
Dirty Beaches • Drifters/Love Is the Devil
Pantin
MISZCZYK, featuring Allumette • Thyrsis of Etna
Babylone Straße
Bernardino Femminielli • Plaisirs Américains
Pixieland
Contraction • Contraction
Dirty Funk
Wayne McGhie and the Sounds of Joy • Wayne McGhie and the Sounds of Joy
Any Other Way
Jackie Shane • Single
Wrong About the Rain
Sandro Perri • Soft Landing
Je te laisse fermer mes yeux II
Ludovic Alarie • we're a dream nobody wrote down
Cowboy and his Friend
Carl Didur • Maybe Next Time
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L'espace nous sépare. Je ne marcherai jamais à Hô-Chi-Minh-City.
Taxi en Dong. Scooters sur les trottoirs. Street-food brûlante.
Le temps nous sépare. Je ne marcherai jamais à Paris en 1980.
Fumée noire derrière le bus vert. Kiosques à journaux criards. Parkings de petites voitures.
Alors autant fermer les yeux et méditer : les amener ici, et maintenant.
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[Resto/Busan] « 마이웨이린린 (màiwèilínlín) », Resto taïwanais/ Taiwanese restaurant - Namcheon
#resto #food #korea #busan #taiwanesefood #nourrituretaiwanaise #platetranger #lunch #voyage
Dimanche dernier, je suis allée à Namcheon-dong où se trouve ma pâtisserie préférée. C’est parce que la pâtissière avait annoncé qu’elle allait fermer sa boutique pour de bon.
C’est vraiment triste !
J’aime beaucoup cette pâtissière et tous ses gâteaux depuis longtemps.Elle est une personne super sympa. Elle va me manquer =(Et du coup, je suis allée lui dire au revoir et donner un petit…
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Read History of Organic Farming | Agrrro
The History of Organic Farming dates back to the 1940s, and the term "organic" became popular in the 1990s. Organic farming is based on principles of ecology, health, and stewardship of land.
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Information nutritionnelle gros plan panneau d'information sur la table
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French side of Tumblr, I beg you to help me PLEASE
This is Perle/Pearl, my cockatiel who went away yesterday. I live in Marseille (10e arr, near « Pont-de-Vivaux ») in France, she might have fled for several kilometers out of fear, so even if you don’t live around this area, please share this and look in your gardens, at your windows or balconies, trees, roofs, the parks near your area, she will be hungry and is used to humans so if you leave some food or water, she might come. You can recognize her thanks to these pictures and the fact that she wears a BLACK RING around one of her legs. Don’t try to catch her unless you know how to do it, rather call SPA or contact me PLEASE, I also have a Pet Alert. I love her dearly and can’t sleep without thinking of her, she means a lot to me and there is a REWARD.
For those who can’t search for her or aren’t French, pls share this on all social medias, and pray, please pray with me for her return in safety, and for my witchy friends, please do what you can to help me find her, she is my treasure.
——-
French version :
J’ai perdu hier mon oiseau (une calopsitte élégante grise perlée) du nom de Perle, à Marseille dans le 10e arrondissement. Cependant, comme il se peut qu’elle ait volé pendant plusieurs kilomètres sous la panique, elle peut même être sortie de l’arrondissement, donc tous ceux qui habitent vers Marseille, je vous en SUPPLIE, n’hésitez pas à regarder dans vos jardins/balcons/fenêtres/parcs voisins, elle peut venir picorer vos fruits et adore le riz et l’eau, surtout avec cette chaleur. Prêtez attention aux bruits si vous entendez un oiseau piailler dehors. Mais n’essayez pas de l’attraper à moins de savoir comment faire si vous la voyez, mieux vaut appeler directement la SPA, l’ASAP ou me contacter, j’ai aussi un PET ALERT. Une solution peut être de l’attirer à l’intérieur avec de la nourriture puis de fermer les issues. Elle porte une bague noire à sa patte et a été élevée main, ce qui veut dire qu’elle risque d’aller au contact des humains quand la faim se fera plus forte, dans les jours à venir. J’ai également mis une RÉCOMPENSE pour celui ou celle qui la retrouvera. Je ne perds pas espoir, je l’aime de tout mon cœur et si jamais vous voyez ce post, s’il vous plaît partagez-le sur les réseaux sociaux, même si vous n’habitez pas dans les parages, et priez avec moi, je vous en supplie.
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L'histoire de la sauce piquante " Sriracha "
Tout cela est né de la vision d'un homme, David Tran, un réfugié du Sud-Vietnam. Il a fui avec sa famille aux États-Unis quand les communistes du Nord Vietnam ont pris le pouvoir. S’installant à Los Angeles dans les années 1980, sans emploi et dans l’impossibilité de trouver la sauce piquante qu'il aime, David commence à confectionner sa propre sauce, comme il le ferait à la maison. Il débute en préparant le mélange dans des seaux et en faisant la mise en bouteille à la main, avant de partir livrer ses clients dans un van. Il nomme son entreprise Huy Fong, comme le nom du cargo taïwanais qui l'a amené en Amérique. Le logo, devenu culte, est un clin d'œil à son signe astrologique chinois du Coq car bien qu’élevé au Vietnam, David Tran est d'origine chinoise. La sauce que David a élaborée est une libre interprétation d'une sauce chili traditionnelle originaire de la ville de Sriracha, dans la province de Chonburi en Thaïlande. Le coup de génie de David a été de trouver cet équilibre qui fait qu’elle plaise à un marché plus large.« J'ai fait cette sauce pour la communauté asiatique », a déclaré a t-il au New York Times. Après être arrivé en Amérique, puis à Los Angeles, je me souviens avoir vu le ketchup Heinz et cela lui donnait des idées à la veille des J.O. Huy Fong Foods vend plus de 60 millions de dollars de Sriracha chaque année. L’entreprise est en croissance d'environ 20% par an, en dépit d'une absence totale de publicité. David a déclaré au Los Angeles Times que son rêve américain n'a jamais été de devenir milliardaire; il aimait juste la sauce piquante. Entre temps, il a refusé de nombreuses offres lucratives pour le rachat de sa société, de peur que sa vision ne soit dénaturée. Pendant que le reste du pays et le monde entier continuent de convoiter la fameuse sauce épicée, la ville a déposé une plainte pour nuisance publique et demande la fermeture temporaire de l'usine jusqu'à ce que l'entreprise présente un plan pour réduire les fumées. Compte tenu de la popularité de la bouteille à l’emblème du coq, si l'usine venait effectivement à fermer, il y aurait un risque de panique ou de constitution de stocks de réserve - on pourrait même craindre des troubles civils! Dans un pays qui compte davantage sur le ketchup et la sauce Tabasco pour rehausser ses plats, comment l'exotique Sriracha a-t-il pu devenir une telle superstar? La purée de piments jalapeños rouges, ail, sucre, sel et vinaigre est utilisée par tout le monde, des chefs cuisiniers qui l'intègrent dans leurs menus, aux méga chaînes comme Applebee’s aux Etats-Unis, où on la retrouve pour doper la mayo qui accompagne les crevettes frites.La demande est si élevée que l’usine produit quelques 7500 bouteilles de sauce piquante chaque heure.
The history of "Sriracha" hot sauce It was all born from the vision of one man, David Tran, a refugee from South Vietnam. He fled with his family to the United States when the Communists in North Vietnam took power. Moving to Los Angeles in the 1980s, unemployed and unable to find the hot sauce he liked, David began to make his own sauce, just like he would at home. He begins by preparing the mixture in buckets and bottling by hand, before leaving to deliver his customers in a van. He names his company Huy Fong, after the name of the Taiwanese freighter that brought him to America. The cult logo is a nod to his Chinese astrological sign of the Rooster because although raised in Vietnam, David Tran is of Chinese origin.The sauce that David created is a free interpretation of a traditional chili sauce that originated in the town of Sriracha, in the province of Chonburi in Thailand. David's stroke of genius was finding that balance that appeals to a larger market.“I made this sauce for the Asian community,” he told The New York Times. After arriving in America, then Los Angeles, I remember seeing Heinz ketchup and it gave him ideas on the eve of the Olympics.Huy Fong Foods sells over $ 60 million worth of Sriracha each year. The business is growing at around 20% per year, despite a complete lack of advertising.David told the Los Angeles Times that his American dream was never to be a billionaire; he just liked the hot sauce. In the meantime, he has turned down many lucrative offers to buy his company out of fear that his vision will be distorted.
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Fanatique de muffins
Chapitre 4
Résumé : Billie et le capitaine Syverson se rencontre par hasard.
Avertissement :Mention de violence, sang et mutilations.
Pairing : Capitaine Syverson x OFC
Comme toujours Syverson ne m'appartient pas !
Les reviews sont les bienvenus!
Billie avait remplacée une collègue de la banque toute la semaine. Plutôt que d’être simple caissière comme d’habitude, elle avait ouvert des comptes et renseigner des clients qui avaient besoin d’une aide plus soutenue. C’était un travail très intéressant mais pour Billie il nécessitait beaucoup de concentration et d’être en constante adaptation.
Elle s’efforçait de ne pas laisser voir sa surdité. Plus d’un client ne voulait pas être servie par, selon eux, une handicapée. Elle travaillait d’arrache-pied pour avoir une belle carrière même si elle se doutait bien qu’elle allait plafonnée sous peu.
Le vendredi après-midi vers 16h, sa collègue et amie de la réception lui envoya un message par messagerie interne.
Réception : J’ai une ouverture de compte. Veux-tu le prendre ou je lui dit de revenir. Il veut s’acheter une maison bientôt. Très sexy.
Une ouverture de compte était une procédure plutôt longue et prenait généralement près d’une heure si en plus le client voulait s’acheter une maison cela allait être encore plus long. Billie ne voulait pas prendre la chance de perdre un client. Si en plus il était sexy pourquoi pas.
Billie: Oui je vais le prendre. J’arrive dans 2 minutes. Elle passa rapidement aux toilettes. En arrivant à la réception, elle demanda son nom à la réceptionniste.
-James Syverson. Je peux lui dire de repasser lundi. Ça va te prendre des plombes. On est vendredi! On devait finir à 16h30.
-T’inquiète pas. Tu peux partir je vais fermer derrière toi, dit-elle en lui faisait un sourire. Elle lissa son blazer bleu marine sur sa camisole de dentelle crème et s’assura que son pantalon assorti tombait bien. Elle se redressa bien droite sur ses talons aiguilles multi-couleurs et bomba le torse. La réceptionniste leva les deux pouces.
Avec toute l’assurance que lui donnait son tailleur, elle s’approcha de la salle d’attente presque déserte. James Syverson attendait patiemment debout face à la fenêtre. Il avait les mains dans les poches de son pantalon gris. Les manches de son chandail noir étaient remontées sur ses avant-bras. Billie s’attarda un instant sur ses fesses magnifiquement musclées. Cet homme devait passer des jours entiers à la salle de musculation pour avoir ce physique. Il avait coupé ses cheveux depuis la dernière fois qu’elle l’avait vu.
« Ça suffit, c’est ton client pas un steak chez le boucher. »
--Monsieur Syverson?
Il se retourna et la reconnu instantanément. Son visage s'illumina d’un sourire. Elle lui sourit en retour en lui tendant la main. Elle se présenta à nouveau.
-Billie Morgan.
-Ravie de vous revoir Mademoiselle Morgan. Il prit sa petite main dans sa grande main chaude. Il avait gardé sa barbe fournie. Il était absolument à tomber par terre mais il rappelait toujours autant de mauvais souvenirs à Billie.
-Suivez-moi, je vais m’occuper de vous. Elle le précéda vers son bureau en essayant d’avoir l’air le plus naturel possible.
Sy regarda cette très jolie femme marcher devant lui en se déhanchant légèrement sur ses talons hauts et se demanda quel effet cela faisait de caresser ses belles fesses rondes. Il fit de très gros efforts pour se concentrer sur son dos et ses cheveux qui laissaient dans leur sillage un doux parfum de menthe et romarin.
Elle l’entraina dans un petit bureau et l’invita à s’asseoir, tandis qu’elle refermait la porte. Elle s’assit devant lui et posa son regard sur lui. Il prenait pratiquement tout l’espace disponible dans le bureau avec sa large carrure. Son regard était sûr mais Sy vit ses mains trembler légèrement. Elle était nerveuse.
-Alors Monsieur Syverson vous souhaitez ouvrir un compte et éventuellement acheter une maison?
-Oui. Appelle-moi Sy s’il te plait Monsieur Syverson c’est mon père. Lui dit-il avec un sourire. Ils venaient tout naturellement de passer au tutoiement plus personnel mais ça ne dérangeait pas Billie.
Elle baissa les yeux en souriant.
-D’accord. J’espère que tu as une bonne heure devant toi? On en a pour un bout de temps.
-Non. Ne t'inquiète pas.
Elle commençait à pianoter nerveusement sur son ordinateur puis s’arrêta.
-Je te sers un café, thé? Il hocha la tête.
-Oui un café s’il te plait. Noir.
Billie se releva et sortit. Elle en profita pour prendre plusieurs grandes respirations pendant que la cafetière infusait les deux tasses de café. C’était plus fort qu’elle chaque fois qu’elle le voyait, elle revoyait la scène dans le chalet.
« Putain Morgan calme toi. C’est un client, il ne va pas te manger. »
Elle revint un peu plus calme avec les deux tasses de café bouillantes. Elle le buvait noir elle aussi remarqua Sy. Il prit un petit une gorgée et la regarda au-dessus de sa tasse.
Ses mains tremblaient toujours pendant qu’elle prenait elle aussi une gorgée.
Durant l’heure qui suivit, elle lui fit presque subir un interrogatoire. Il venait de prendre sa retraite de l’armée et s’était fait muter dans le même poste de police que son frère comme capitaine. Il avait 35 ans. Elle sut qu’il conduisait un Ford F-150, qu’il louait un appartement dans un quartier non loin de chez elle. Elle déglutit avant de lui demander.
-Votre statut civil? Marié, célibataire…
-Divorcé. Célibataire. Billie se mordit le petit diamant sur sa lèvre inférieure en pianotait.
L’heure passa à toute vitesse. Finalement, Billie avait arrêté de tremblée et semblait beaucoup plus à l’aise. Syverson dégageait une énergie très forte mais très calme.
Quand elle sortit chercher des papiers, le regard de Sy tomba sur une photo sur le bureau. Elle était photographiée avec un petit chien. Un Jack Russell. Elle souriant encore de ce beau sourire éclatant.
Quand elle revint il lui demanda :
--C’est ton chien? En pointant la photo.
Elle hocha la tête en lui tendant les documents.
-Oui elle s’appelle Mia.
Il signa aux endroits indiqués.
-Elle ne doit pas manquer d’énergie! Tu fais comment pour la garder en appartement? J’ai un Akita américain. Il est en train de devenir fou en ville.
-J’ai une maison avec un grand jardin et puis il y a un parc à chien sur Tribeca street. Je l’emmène aussi courir tous les matins, sinon elle devient dingue et mange mes souliers! Sy se mit à rire.
Sans savoir elle venait de lui donner une mine d’informations sur elle.
-Tu vis dans le coin? Elle hocha la tête. Tu connais un bon restaurant, pour l’instant je n’en ai pas trouvé de bon, seulement des fast-food. Elle grimaça un peu, réfléchit et mordilla le petit diamant sur sa lèvre.
-Tous dépend de tes goûts! Il y a chez Mom’s qui a une bonne cuisine bio et Swartz qui fait des pizza maison à tomber par terre. Sinon la boulangerie de Donna fait les meilleurs sandwich et muffins de la ville, il y a quelques petits resto pubs sympa aussi… Tout dépend de toi.. Il y a aussi d’excellents BBQ selon Luke. Nous avons terminé Ty as-tu d’autres questions, sur tes finances? Je vais transmettre ton dossier pour approbation tu devrais avoir des nouvelles rapidement. Il se releva de tout son long.
-Non tout est parfait. Merci beaucoup. Il allait sortir mais se retourna. Je… voudrais t'inviter, tu as faim?
Malheureusement pour lui, il eut le réflexe de se frotter la moustache en parlant et Billie perdit ce qu’il lui demanda.
-Pardon?
Sy perdit son courage. Comment une si petite femme pouvait-il lui faire perdre tous ses moyens ?!
-As-tu un numéro de téléphone si jamais j’ai d’autres questions.
-Oui bien sûr. Elle ouvrit un tiroir et pris une petite carte de visite et griffonna son email professionnel dessus. Elle le lui tendit.
--Merci.
Elle le raccompagna à la porte de façon très professionnel et lui serra la main avant de le laisser partir.
-Bonne soirée mademoiselle Morgan.
-Bonne soirée Monsieur Syverson.
Sy partit vers son camion la tête pleine de ce petit bout de femme puis son téléphone sonne.
-Allo!
-Capitaine? Les Maladouchi ont recommencés, on a une nouvelle victime.
Sa bonne humeur s’envola presque.
-D’accord j’arrive.
Pendant ce temps de retour dans son bureau, Billie regarda son téléphone.
Jane : N’oublie pas l’essayage de ta robe!
-Fuck!
Elle avait totalement oublié ce stupide essayage de robe.
Elle ne prit même pas la peine de se changer, elle enleva simplement son épinglette de la banque sur le revers de son veston et sauta dans le premier taxi.
Vingt minutes plus tard, elle arrivait dans la très chic boutique de robe de mariée Signé Madame.
Luke voulait que sa femme soit la plus belle mariée, elle avait un budget illimité.
Elle accepta la flûte de champagne qu’on lui tendit et se dirigea vers le salon privé au fond de la salle. Jane et sa sœur Sara l’attendaient déjà. Jane fulminait.
-Ca fait une demi-heure qu’on t’attends qu’est ce que tu foutais?
-Désolée, j’ai eu une ouverture de compte à la dernière minute. Je ne pouvais pas décaler. Il était déjà dans la salle d’attente.
Jane vida sa coupe de champagne.
-Un homme ? Il en valait la peine au moins?
-Oui. C’était le capitaine de Luke, Ty. Il est…
Jane se mit à rire.
-Ty? Sy plutôt!
-C’est ce que j’ai dit! Ty!
Jane se mit à rire.
--Pas Ty avec un T, Sy avec un S.
Elle écrivit les lettres sur la table avec son doigt.
-Merde ! Quelle conne! Je l’ai appelé comme ça toute la soirée!
Elle détestait se tromper de nom. Les deux filles étaient tordues de rire. Billie fulminait elle repoussa une mèche de cheveux dans son dos.
-Alors ces robes….
Dans une allée sombre non loin de là, Sy ne pensait plus à la jolie rousse. On avait découvert un nouveau corps. Une jeune femme. Une petite vingtaine d’années à en juger par ses vêtements plutôt ce qu’il en restait.
Sa robe courte était déchirée, laissant son corps mutilé exposé aux rats. On lui avait attaché les mains avec sa petite culotte, son ventre et son sexe était entièrement lacérés de fine entailles plus ou moins profondes mais le pire c’était son visage. On l’avait tellement défigurée qu’elle n’avait même plus figure humaine. Sa tête n’était qu’une bouillie de sang et de cervelle. Le légiste prenait des photos du corps tandis que les enquêteurs de la police scientifique recueillaient les indices.
-On lui a fait exploser le crâne au bâton de baseball capitaine.
-Merde! Jura Morgan.
Il avait des hauts le cœur.
-Va plus loin Morgan. Ne contamine pas la scène.
Sy avait vu beaucoup de mort et de blessures impressionnante durant sa carrière militaire mais il fallait avouer que c’était horrible.
Sy se pencha sur la jeune femme. Elle avait des pétales de roses dans ses cheveux blond platine. On pourrait encore sentir son parfum de mauvaise qualité au-delà du sang.
-Encore une pauvre fille qui s’est fait enlever par les Maladouchi? Demanda Evans en prenant des photos.
-Probablement. Marco à laisser sa signature. Pointa Sy avec sa lampe de poche sur l’abdomen de la jeune femme.
Marco Maladouchi était un vrai malade. C’était le boucher de la famille. Sy n’arrivait pas à le coincé pour la torture des victimes de leur commerce. Ils enlevaient des jeunes femmes sans familles et les forçaient à se prostituer puis quand elles rapportaient moins d’argent, Marco les mutilait avant de les tuer à coup de batte. La famille était riche et puissante à New-York, les meilleurs avocats travaillaient pour eux.
-Allons rendre visite à Marco…
.,………
Sy assit un peu brusquement le suspect dans la salle d’interrogatoire.
--Alors Marco? Grosse soirée? Cette petite avait fait quoi cette fois ? Elle ne voulait mettre ta petite queue dans sa bouche?
Marco était atteint d’une déficience intellectuelle. Il ne pouvait être tenu responsable de ses crimes et les Maladouchi le savait. Sy le terrorisait littéralement mais il avait compris qu’il ne devait pas parler aux policiers.
Sy donna une grande claque sur la table.
-Pourquoi tu as fait ça Marco?
Marco se recroquevilla sur lui-même en tremblant. Un bip sonore prévint Sy de sortir de la pièce.
-Cet enculé refuse de parler. Luke avait les bras croisés et regardait le suspect au travers de la vitre sans teint.
-Tu le terrorise Capitaine. Il ne parlera pas. Tonton Alvaro est arrivé avec son bataillon d’avocat.
- Fais chier! Ils vont tuer combien de filles avant qu’on les arrête?
Marco fut libéré faute de preuves. Il n’avait pas laissé le moindre indice qui pouvait l’incriminer. Ils continuaient de tourner autour sans pouvoir mettre la main dessus.
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[Article à lire jusqu'au bout, SVP]
Il y dénonce la propagande des gouvernements au sujet du Covid-19, y compris le « mensonge » de variants dangereux, l’aspect totalitaire des « passeports vaccinaux » et la forte possibilité que nous ayons affaire à une « conspiration » qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du XXe siècle.
Ses principaux arguments :
1/ Il n’y a « aucune possibilité » que les variants actuels du Covid-19 échappent à l’immunité. C’est « juste un mensonge ».
2/ Nous assistons non seulement à un « opportunisme convergent », mais à une « conspiration ». Pendant ce temps, les médias et les plateformes Big Tech sont engagés dans la même propagande et la même censure de la vérité.
3/ Les sociétés pharmaceutiques ont déjà commencé à développer des vaccins de « complément » (« de rappel ») inutiles pour les « variants ». Les entreprises prévoient de fabriquer des milliards de flacons, en plus de la campagne expérimentale actuelle de « vaccin » Covid-19 .
4/ Les agences de régulation telles que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments (AEM) ont annoncé que, puisque ces vaccins « d’appoint » seront si similaires aux injections précédentes qui ont été approuvées pour une autorisation d’utilisation d’urgence, les sociétés pharmaceutiques ne seront pas tenues d’« effectuer des études de sécurité clinique ».
5/ Ainsi, cela signifie pratiquement que la conception et la mise en œuvre de vaccins à ARNm répétés et forcés aboutiront à l’injection d’une séquence génétique superflue sans justification.
6/ Pourquoi font-ils cela ? L’utilisation de passeports vaccinaux et d’une « réinitialisation bancaire » pourraient aboutir à un totalitarisme sans précédent. Le « dépeuplement massif » reste une issue logique.
7/ Tout le monde doit combattre ce totalitarisme.
Le Dr Yeadon se présente volontiers comme étant simplement un « gars ennuyeux » qui est allé « travailler pour une grande société pharmaceutique… »
« Mais l’année dernière, j’ai réalisé que mon gouvernement et ses conseillers mentaient au peuple britannique sur tout ce qui avait trait à ce coronavirus. Absolument tout. C’est faux, cette idée de transmission asymptomatique et que vous n’avez pas de symptômes, mais que vous êtes une source de virus. Que les confinements fonctionnent, que les masques ont une valeur protectrice pour vous ou pour quelqu’un d’autre, et que les variants sont effrayants et que nous devons même fermer les frontières internationales pour empêcher ces variants étrangers désagréables d’entrer.
[NOUS SOMMES PARQUÉS DANS DES ENCLOS, COMME DU BÉTAIL]
Ou, qu’en plus de la liste actuelle des vaccins génétiques que nous avons miraculeusement fabriqués, il faudra des vaccins “complémentaires” pour faire face aux variants.
Chacune de ces choses est manifestement fausse. Mais toute notre politique nationale est basée sur le fait que toutes ces choses sont globalement justes, même si elles sont toutes fausses. »
[CONVICTION ABSOLUTISTE]
Conspiration et pas seulement opportunisme convergent
« Mais ce que j’aimerais faire, c’est parler de ce qui, je pense, est probablement une conspiration. L’année dernière, je pensais que c’était ce que j’appelais “l’opportunisme convergent”, c’est-à-dire qu’un groupe de différentes parties prenantes a réussi à bondir sur un monde en plein chaos pour nous pousser dans une direction particulière. Il semblait donc que c’était un peu lié, mais j’étais prêt à dire que c’était juste une convergence.
Je pense maintenant que c’est naïf. Il ne fait plus aucun doute dans mon esprit que des organismes très importants dans le monde avaient soit prévu de profiter de la prochaine pandémie, soit ont créé la pandémie. La preuve est que des dizaines et des dizaines de gouvernements disent tous les mêmes mensonges et font les mêmes choses inefficaces qui coûtent manifestement des vies.
Et ils parlent tous du même genre de script futur qui est : “Nous ne voulons pas que vous vous déplaciez à cause de ces ’variants’” ; et ils disent tous : “Ne vous inquiétez pas, il y aura des vaccins “d’appoint”. Ils disent tous cela alors que c’est manifestement absurde.
Chaque individu sur la planète aura une identification numérique mondiale et un indicateur d’état de santé qui indiquera “vacciné” ou “pas vacciné”… Et cette sorte de base de données unique, exploitable de manière centralisée, applicable partout pour contrôler, fournira en quelque sorte un privilège, celui de pouvoir ou non effectuer telle transaction particulière selon ce que les contrôleurs de cette base de données de la population humaine mondiale décident. Et je pense que c’est de cela qu’il s’agit, car une fois que vous avez cela, nous devenons des jouets et le monde peut être comme le veulent les contrôleurs de cette base de données.
Par exemple, vous constaterez peut-être qu’après une réinitialisation bancaire, vous ne pourrez dépenser qu’en utilisant une application reliée à cette base de données, avec votre identifiant, votre nom et votre indicateur d’état de santé.
Franchir une frontière internationale est certainement l’utilisation la plus évidente de ces passeports vaccinaux, comme on les appelle, mais ils pourraient être nécessaires pour que vous puissiez entrer dans des espaces publics fermés. Je m’attends à ce que, s’ils le veulent, vous ne puissiez plus quitter votre maison à l’avenir sans une autorisation accordée sur votre application.
Même si ce n’est pas avec certitude la vraie intention de la campagne de vaccination, peu importe, le fait que cela puisse être vrai signifie que tout le monde lisant cela devrait se battre comme un fou pour s’assurer que le système de passeport vaccinal ne se réalise jamais.
Avec un tel système, c’est ce qu’ils pourraient en faire, et je pense que c’est ce qu’ils vont faire.
Imaginez l’invention d’une histoire sur un virus et ses variations, ses mutations au fil du temps. Une l’histoire relayée à travers les médias soumis, une histoire que personne ne peut mettre en doute grâce à la censure des sources alternatives. Une histoire qui est un mensonge.
Mais, néanmoins, il vous est répété que c’est vrai, et que nous avons le remède, avec un vaccin complémentaire. Vous recevrez un message, par l’intermédiaire du système d’identification global : « Bing ! Dr Yeadon, l’heure de votre vaccin complémentaire. Et, en passant, il ajoutera que vos privilèges immunitaires existants restent valables pendant quatre semaines. Mais si vous ne recevez pas votre vaccin complémentaire pendant cette période, vous serez malheureusement une “personne bannie”, et vous ne le voulez pas, n’est-ce pas ? C’est comme ça que ça fonctionnera, et les gens vont simplement marcher et ils recevront leur vaccin complémentaire. »
Le gouvernement ment, Big Pharma va de l’avant. Bientôt un dépeuplement de masse ?
« Je ne sais pas de quoi parle Vanden Bossche. Il n’y a aucune possibilité du tout, sur la base de tous les variants qui sont connus, environ 4.000, qu’un d’entre eux devienne plus dangereux.
Néanmoins, les politiciens et les conseillers en santé (de nombreux gouvernements) disent qu’ils le sont. Ils mentent. Eh bien, pourquoi ?
Voici l’autre chose : les sociétés pharmaceutiques affirment qu’il sera assez facile d’ajuster leurs vaccins génétiques.
Et voici la partie vraiment effrayante, les régulateurs mondiaux des médicaments comme la FDA, l’agence japonaise des médicaments, l’AEM, se sont réunis et ont annoncé, puisque les vaccins complémentaires seront considérés comme si similaires à ceux déjà approuvés par une autorisation d’utilisation d’urgence, que les sociétés pharmaceutiques n’auront plus à réaliser des études d’innocuité clinique.
Donc, vous avez d’une part, les gouvernements et leurs conseillers qui vous mentent sur les variants et prétendent que, même si vous êtes immunisé ou vacciné, vous êtes un risque et vous devrez revenir recevoir un vaccin complémentaire. Et, d’autre part, vous avez des sociétés pharmaceutiques qui vont fabriquer des vaccins complémentaires sans contrôle. Et si Yeadon a raison, et je suis sûr d’avoir raison ou je ne vous dirais pas cela, on va injecter aux bras de centaines de millions de personnes une séquence génétique superflue dont il n’y a absolument aucun besoin ni justification.
Et s’ils veulent introduire une caractéristique qui pourrait être nocive et pourrait même être mortelle, ils peuvent même l’ajuster pour la mettre dans un gène qui causera des lésions hépatiques sur une période de neuf mois, ou pour que vos reins se détériorent progressivement. La biotechnologie vous offre des moyens illimités, franchement, d’invalider ou de tuer des milliards de personnes.
Et cette possibilité sera utilisée pour le dépeuplement massif, car je ne peux penser à aucune autre explication bénigne. »
Il est grand temps de dire : "NON MERCI" à tout ça et de ne plus accorder le moindre crédit à la moindre administration, le moindre expert, le moindre patron/élu.
C'est con ? C''est pourtant la seule solution viable.
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@zukunftsvision ASKED FOR A KISS .
he's hungry. hungry like he could eat henrietta, houses crumbling with the movements of the jaw, window glass on the tongue, shards of trees between teeth. he's hungry. like it wouldn't matter if he ate the whole town with all the people in it.
maman didn't like that, didn't like him telling things like that when he was too small to turn a piece of old bread into a feast for himself. told him de la fermer, told him un jour tu trouveras la porte fermée à clé et tu l'auras mérité. told him, ask your dad to cook for you because she knew that cygne would starve before asking anything.
he's hungry for things he can't name. not food, because food is easy, and not sex, because sex is easier. besides, both are kind of the same thing if you do it right. swan always does it right, a recipe without fault, everyone asking for the same menu. you kind of get tired of delivering the same food, though, and that's probably why he's hungry tonight. hungry for something he doesn't know how to call. hungry for something he couldn't find at home, and something he couldn't find in his car either.
but here, in the relative darkness of proko's room, he thinks he might find it. in little doses. he feels better already, chest not as empty as it used to be. and like, maybe hunger isn't the right term, because you don't get an empty chest from it, just an empty stomach, but swan doesn't really know that, or doesn't really care.
there's a void and he's trying to fill it and food or mechanical touch didn't solve the problem, so he has stopped looking for solutions. all his answers are made of food & sex & sports, and maybe drugs sometimes but they don't really solve stuff, they just make the world a blurry mess. which is nice, always, swan likes it, but even he knows that it only changes your eyes and not the picture you're looking at.
he wishes he could change the picture ( also known as his whole life or a mess or a leaking car gasket ). he knows he can't. he pretends there's no picture at all, just the grey of a room he knows too well. he focuses on that. on him, there's proko, and around his torso, there's proko's arm. he doesn't really remember how they went from swan sleeping on the floor to this, but it's nice. nicer than sex, probably, because swan doesn't really have to think about what he's doing. proko would kick him if he was doing anything wrong, anyway. that's the cool thing with the homies : you don't have to guess.
proko might have been thinking about him as well, because he's meeting his eyes, and it's a lazy smile swan offers : too much lips, not enough teeth. an invitation at the corner of it, even if this one is half-hearted, perhaps afraid of being accepted. « thanks for letting me stay, poto. » he says. doesn't remember saying thanks today, and it's important to be polite. remembers that from maman, how she preened when other karens would look at tiny cygne & go, what a polite boy you have there ! politeness only serves your parents, showing how immaculate your education was, how well you listened to their orders. swan still does it, apologies & thanks thrown without caution, hoping to make maman proud.
as a reply, proko leaves a kiss. swan has gotten a lot of kisses in his life, and none of them are like proko's. well, some of them pretend to be, they try to be kind of shy and fleeting and they try to look as if they didn't know they would land there. but swan knows the difference. proko's kisses are like a good meal after hours without food, when hunger hasn't kicked in yet. you don't know you need it, but you do. it's not supposed to be that good, but it is. it's just a kiss, right where it's not really jaw & not really throat. both meeting in the middle. swan's smile turns soft, softer if it's possible, lewd invitation thrown out of the window. he really likes proko like this, when he doesn't have any words left to give. whishes proko could be like that all the time, without worries, wandering hands & brave lips. he thinks proko would be a lot happier if he was actually content with his hands and lips, rather than always looking at the mirror like there might be something missing.
because a wordless kiss is generally a don't worry & don't want to talk about it all at once, he says : « stop being cute & spoon me, i'm putain d'tired. » and then he does just that : without a care in the world, he manhandles proko where he wants him to lie down. rotates between his arms so that proko can breathe softly against his neck. two inverted quotations marks of a french dialogue. his hunger momentarily satiated, swan's hand finds proko's in the dark. squeezes his fingers, just once. it's really better than sleeping in his car.
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JOUR 27
Ce matin est encore plus dur que les autres si cela est possible. La journée commence par une visio-conférence des plus intéressantes. J’en ressors abattu. Qu’est-ce qui a bien pu me pousser à choisir ces études avec si peu d’avenir…
Marius me parle d’un fait inquiétant quand je le rejoins au salon. La porte-fenêtre donnant sur la rue était ouverte quand il s’est levé. Un oubli de ma part ? Inconcevable. Une preuve de plus que la maison est hantée ? Je pense cette fois que la menace est bien réelle et qu’elle se matérialise en la personne de notre voisine. Je scrute ses rideaux. Un pan de ceux-ci s’abaisse vivement. Alors comme ça la guerre d’usure est finie. L’heure des offensives a sonné !
Je passe le début d’après-midi à fouiller la maison en quête de pièges, de preuves d’une intrusion, d’objets volés. En bon campagnard que nous sommes, nous ne faisons pas grand cas de fermer les portes de notre demeure la nuit, il serait temps d’y remédier.
Pour m’aérer l’esprit et parce qu’il fait beau aujourd’hui encore, je vais faire un peu de jardinage. Je rempli quelques bacs de mauvaises herbes. Je désherbe l’allée pavée menant aux cabanons, remets propre la terrasse carrelée devant la cours, arrache toutes les grandes tiges de chiendent du potager (bien que le reste semble également être de la mauvaise herbe). Quand je me relève, barbouillé de terre et de jus poisseux, je découvre avec tristesse que mon travail se voit à peine… (mes deux acolytes, pour confirmer mon inefficacité, cherchent pendant plusieurs longues minutes les changements sans en trouver aucun). Peu m’importe, cela m’a au moins permis de me dépenser un peu. Cela aura, je l’espère, le mérite de raccourcir les longues heures que je passe à attendre le sommeil.
J’ai remarqué que nous avons oublié deux bières du week-end précédent. Deux bouteilles vides qui traînent sur le bureau d’Antonin. Possibles futures mascottes de nos bâfres prochaines.
Ce soir Monsieur le Président va parler. Et le sort de cette colonie de vacances aux allures de fin du monde sera décidée.
J’allais oublier l’incident du kebab que nous nous étions enfin décider à commander dans l’après-midi pour le repas de ce soir. À l’heure donnée, Antonin et moi partons pour le centre-ville pour récupérer notre précieux dîner (je tiens à dire que c’est le premier fast-food que nous mangeons depuis le début). Alors que nous approchions, un être étrange nous hèle avec insistance. Il ouvre le volet de fer de sa sandwicherie et commence à nous parler en mâchant ses mots qu’il case précipitamment entre de grands éclats de rire dont l’origine nous échappe. Il fait de grands gestes maladroits, ses yeux sont brillants. Nous essayons poliment de nous enfuir mais le bougre n’en démord pas. Le plus perturbant est qu’il nous parle d’une commande, et paraît certain que nous sommes ses clients. Son état avancé d’ébriété et le fait qu’il doive nous arracher tout les détailles de notre commande nous font prendre conscience du traquenard. Les pas de côté se succèdent, on arrive presque au milieu de la route mais le gars débite encore son charabia de moins en moins compréhensible.
Arrive le moment ultime, l’horreur absolue. Le commerçant éméché pose sa main sur l’épaule d’Antonin. Geste sacrilège, outrage punissable d’amande, hérésie déjà condamnable pré-Corona, alors maintenant ! Nous nous enfuyons sans plus tenir compte des apparences (seul un bonsoir bien trop haut dans les aiguës accompagne les invectives du kebabier devenu furibond). Terrorisés, nous courrons nous réfugier au kebab d’à côté. Celui-ci est le bon et nous repartons soulagés, sac en main (en faisant bien attention à faire un grand détour au niveau de la sandwicherie désormais endroit maudit).
Après avoir raconté notre folle aventure à Marius qui n’écoute que d’une oreille, tout occupé qu’il est à combattre des monstres sur sa vieille psp, nous nous installons confortablement devant la télé (assurée par l’ordinateur et la 4G de maître Antonin).
Je ne peux malheureusement pas tenir plus de 5 min devant le spectacle de notre dirigeant. L’image du pauvre scribe en pleine panique, essayant de son mieux de retranscrire les paroles du chef d’état, manque de déclencher une crise d’angoisse. J’attendrais le bilan concis de mes compères pour décider de l’avenir de la coloc.
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Over the summer, I watched Good Omens in Italian and made a post about it to compare and contrast
And then I did the same with French and FINALLY got around to make sense of my notes. Here they are, enjoy the laughs.
Good Omens in French is Bons Présages which is a literal translation.
French shows/movies/books always seem to do literal translations of things (see Harry Potter)
Crowley’s name goes from Rampant (something that CRAWls) to Rampa.
God, although voiced by a female sounding actor, is referred as tout puissant (male) and not toutE puissantE (female)
At least Crowley and Aziraphale use tu around each other instead of using the formal vous. (Listen, the number of shows/movies where 2 characters are friends, but because of the age dynamic they get downed to vous – it’s annoying. I’m glad 6000 yrs of friendship meant they could use tu.)
Agnes Nutter’s last name is Barge
The way Crowley greets Hastur and Ligur “hey salut les gars” it’s so casual lamao
When they’re going through the deeds of the day Crowley goes on to say “oké vous allez adorer – j’ai fait bugger tous les réseaux” he sounds so pleased
Ciao remains but (according to my old notes – I don’t remember but this is what I wrote like this summer) apparently they go on to say that it means poule (chicken) and not food (so the ciao –chow pun is lost)
The person from hell who comes through on Crowley’s radio (I was never sure who that was supposed to be) but anyways, that person, they use darling and in French it was translated as mon choux, which is cute and also really funny.
The Japanese bit was not translated (so it’s still Michael Sheen we hear say the one Japanese line)
French also does not have another word for cookie (cookie and biscuit – which is funny because in French the word used for cookie is biscuit) ANYWAYS so Sister Mary L says cookie but with a French accent.
Aziraphael sounds like Azirafal.
When Aziraphale asks Crowley what he wants to do next (or whatever the line was) and Crowley goes des litres, des fleuves, des océans d’alcool (litres, rivers, oceans of alcool)
The drunk scene deserves a special mention
Personal opinion: but Crowley’s VA grows more on you than Aziraphale’s VA. They both sound much younger than D. Tennant and M. Sheen. Sometimes the French VAs don’t... fit lol and fall a bit flat.
Éternitéééééééééé
Aziraphale’s “oh doux Jésus”
Their voices as Nanny and brother Francis were sad.
Warlock’s voice at age 5 was also sad.
However warlock calls Nanny “Nounou” and that’s cute
When Nanny sings the lullaby in French – bless them they tried lamao
When Aziraphale does the practice magic trick to Crowley, Crowley goes on to complain and say “c’est toi que j’vais faire disparaître” and it’s a gem
JEANNOT LE LAPIN BLANC (when Aziraphale presents his white rabbit) it’s a Gift.
The Them = les Eux
In her cottage = dans son cottage (did you even try)
When God asks Aziraphale for the sword and Aziraphale describes it as it’s “machin coupant très aiguisé”
Aziraphale uses vous for God, but God uses tu.
John and Virtue Device à John et Virtue Bidule (another one of those literal translations.)
Ok but this one annoyed me. Anathema’s name got changed to Anatheme and like sometimes I get it it’s cause of the way words are pronounced so when you dub you gotta find things that fit the movement of the lips as much as but Anatheme does NOT fit with Anathema. ALSO IT’S THE PERSON’S NAME. LIKE. (Re: see Harry Potter again.) aNYWAys.
Dick Turpin gets changed to Jesse Janes ????
Grow better is “et vous les filles, continuer de POUSSER” (so the plants get referred to as “girls”)
Mme. Tracy’s line about the refined gentlemen (or whatever it is) is aux gentlemen avertis.
Du beebop.
When they return to the convent Crowley says “j’me demande où sont passés les nuns” he could have sais soeurs insteand of nuns.
Aziraphale tells Crowley “tu es un gentil garçon » (you are a nice boy)
Oh lord heal this bike à oh seigneur, réparez ce vélo
Angel is sometimes mon ange and I’m die. (My angel.)
The scene in Rome when Crowley asks “qu’est-ce que vous avez à boire?” He sounds So Done
My dear fellow = mais mon cher camarade (my dear comrade lol)
When they’re complaining about horses during the Shakespeare scene = oh aye aye les chevaux ça fait mal aux fesses
Headquarters = maison mère
The whole Bastille scene with the Jean Claude is lost because they’re already talking French
Another transformation of angel is angelot (small angel)
The description of the head cutting machine is une énorme machine coupeuse de têtes
Pear shapped = boudain (really not the same thing.)
Obviously = manifestement
During the Blitz scene, when Aziraphale is Super Proud he double crossed the Germans he goes on saying “vous vous petes faites pigeonner! Allez, hop, hop, hop”
The German bit was kept as is
When Crowley is tap dancing through the church, the French VA makes some key noises
You go too fast for me = Tu roules trop vite pour moi (two things; the delivery of the line falls flat and tu roules is literally a driving reference so it’s like more car feeling than like moving in life)
When Anathema offers the Them lemonade they translated it to citronade, instead of limonade. And I don’t get it.
Wicked = mortel (Deadly)
When Shadwell mimics Aziraphale’s pip pip it’s something along the lines of hop hop hop espèce de tonton Suisse ????? I’m never sure what he says, but just – it’s a riot.
I don’t even like you = je ne t’appréci même pas (I don’t appreciate you)
But then Crowley’s you dooo is tu m’adores which, is you adore me and I lost it.
I’m soft = je ne suis pas un guerrier (I am not a warrior) and wow, okay, not the same, not the same impact. 0/10
Michael sounds more like Mi-ka-el and meh ok.
When Crowley talks to God when he’s having a minor existential crisis it – doesn’t deliver as much.
Adam uses vous for Anathema
When Pepper realises whales have got the good life she says “oh purée, j’ai trop envie d’être une baleine” (France French expressions are sometimes a whole riot on their own)
Avocado was changed to amandes (almonds and I don’t know why)
One big avocado = ce sera bientôt la fin des amandes (it’ll soon be the end of the almonds) re : ??
You smell like poo = vous sentez vraiment la merde
Crowley’s I’ve got an old friend here = tu tombes mal, j’ai d’la visite (I’ve got visit)
Uriel tells Aziraphale “ton p’tit copain aux lunettes fumées” which is your little boyfriend with the dark sunglasses lamao
Bandes de..... méchants anges! = you bad angels! It sounds more petulant though.
The whole wrong shop allusion is lost in translation
You stupid man = espèce de crétin
Oh fuck = oh merde (really not the same intensity lol)
The emotion and distress in the dire scene is l o s t . L
When Crowley is in the bar and he asks for another bottle he asks for la p’tite soeur which means the little sister.
When Crowley is like Aziraphale is that really you (when his ghost-spirit-nebulous appearance shows up in the bar) it sounds more disbelieving? But like in a what the hell is going on and less in awe/relief??
Get a wiggle on = remuage des fesses (fesses is butt)
Pollution sounds very young.
The 3 other horse people use vous for death
They had the French VA of Aziraphale say the spreichen ze deutsch bit and He Tried.
Wahoo = woow
Not just the southern pansy, THE southern pansy bit = pas simplement une tantouze sudiste, mon chéri, je suis LA tantouze sudiste
A) He sounds so very pleased with himself
B) And flirty?? Come hither??
C) It’s perf
D) Tantouze sudiste = a vulgar term for a homosexual man
Shadwell uses vous for Mme. Tracy
Cowwley = Rampra (when Lisa the insurance girl calls)
Car = caisse
When Adam yells his life to get evil out of him or whatever, in the flashback sequence when Ms. Young speaks to Adam when he was born, she speaks to him in French (not like in the Italian version where they just – did not translate that bit.)
Crowley sounds very suave when he tells Aziraphale in Mme. Tracy’s body that he’ll take care of it when the military dude won’t let them through.
Dagon à je suis présent not présente (so Dagon uses male words?? pronouns??)
You were a good car – t’étais une caisse d’enfer
Kick/lick some serious butt à brouter quelques derrières
When Aziraphale tells Crowley they should wait before offing Adam the exchange is hilarious
It’s Aziraphale: Peut-être qu’on devrait attendre (maybe we should wait)
Crowley : Qu’il ait le droit de vote? (That he could vote?)
Vous vous êtes rien vous êtes trop naz, Pepper
I believe in peace, bitch à Moi je crois en la paix pétasse LOL
They only buzzed Beelzeebub’s voice for their last line before Satan appears
Crowley at Adam ok mon garçon
Adam uses vous for Satan his dad, but then uses tu for him for t’es pas mon père lol
Le truc cest que tas pu dcamp mon vieux – moi non plus dailleurs
Their voices when they’re pretending to be each other
Tickity boo à tout va très bien
Je te rappelle que je suis un putain d’archange (I’m the archangel fucking Gabriel – or whatever that line was lol)
Shut your stupid mouth and die already à Tu vas te la fermer ta grande bouche et te décider à mourir
Beelzebu : il est revenu à ses origines – il a changé de bord instead of he’s gone native
Miiichael mon pot, tu m’fais un p’tit miracle j’ai pas de serviette à When Aziraphael as Crowley asks Michael for a towel.
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Ma vie au temps du coronavirus
24/06/2020
Sisyphe, voilà le héros qui ressemble le plus à notre situation. Jusqu’au 11 juin, nous avions à Pékin, 55 jours sans virus. Puis il a fait une apparition soudaine au marché de gros de Xinfadi. Le quartier alentour a été bloqué, des centaines de milliers de personnes ont été testées, tout a été désinfecté et pour faire bonne mesure, trois “responsables” ont été désignés et licenciés.
Hier, l’épidiémologiste en chef de l’agglomération nous disait que tout était en voie de résorption. Et ce matin, retour à la case départ: un entrefilet, disparu entre temps, paru dans Caixin nous disait:
“Covid-19 /
Food delivery driver among confirmed Covid-19 cases, Beijing says
A food delivery driver who delivered an average of 50 orders a day was among the confirmed Covid-19 cases reported Sunday in Beijing, the local health authority revealed
Tuesday, raising concerns about further spread of the disease in the Chinese capital.
Zeng Xiaofan, director of the Beijing municipal center for disease prevention and control, said at a press conference that the patient was a 47-year-old who worked as a food deliveryman for the Alibaba Group Holding Ltd.-owned platform
Since June 1, the driver visited a number of restaurants, grocery stores and shopping malls across the south and east of the city. On Sunday, he was picked up by an ambulance and transferred to a hospital’s fever department for Covid-19 testing. He tested positive that day, according to Zen.”
Il faut maintenant retrouver tous les contacts de ce pauvre chauffeur. Sisyphe doit remonter son rocher et tout recommencer.
On peut se demander si la volonté des dirigeants chinois d’éliminer complètement le virus du pays n’est, hélas, pas vouée à l’échec sauf à fermer hermétiquement les frontières, arrêter toutes les importations et exportations etc Il y aura toujours un petit virus qui passera à travers les mailles du filet et tout sera à recommencer. On l’a vu récemment avec un pays très isolé comme la Nouvelle Zélande où l’arrivée de deux irresponsables a relancé l’épidémie.
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