#navire a voile
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grandboute · 6 months ago
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his personal journey
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o-link · 7 months ago
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Sailing - Eric Tabarly
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philoursmars · 10 months ago
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Marseille sous le mistral.
En alternance, un gigantesque quatre-mâts surgit de derrière l'archipel du Frioul; et des véliplanchistes aux anges près de la plage de l'Huveaune, sous la masse rocheuse de Marseilleveyre.
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art-vortex · 1 year ago
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(via Coussin avec l'œuvre « "Les Secrets de la Bouteille Pirate" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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lounesdarbois · 11 days ago
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Gustave Doré dessine les ouvriers de Londres
Les commentaires les plus profonds sur l'Angleterre sont l'œuvre de Français. Jules Vallès, Céline, Morand, Hippolyte Taine et bien d'autres ont compris ce pays et ses mœurs comme si c'étaient les leurs. Nul n'est prophète en son pays. Le grand peintre figuratif de l'ère victorienne est le français James Tissot, mais c'est Gustave Doré qui demeure avec son album de 1872 London a pilgrimage, le principal sociologue par le dessin de l'envers du décor d'une société au sommet de son empire sur le monde.
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Tout français qui assume sa sensibilité d'artiste, une fois introduit dans les centres décisifs de Londres est un enfant dans un magasin de jouets. Pour visualiser ce qu'était cette ville en 1872 il faut d'abord imaginer son fleuve large comme quatre fois la Seine. Une eau verte et grise battue par les vents, vaste comme la mer. Sur cette étendue avancent à pleines voiles des bateaux de toutes tailles, dans toutes les directions, penchés sur l'eau par la force du vent, des myriades de bateaux qui vont chacun leur chemin, et d'autres amarrés par grappes ensemble ça et là au hasard, immobiles avec leurs gréements nus, chaque rive garnie de colonnes de navires au mouillage alignés par dizaines comme des voitures au péage. Si bien qu'en levant le regard sur ce paysage dantesque ce sont des centaines de bateaux qui apparaissent, et qui deviennent des milliers de bateaux jusqu'à l'horizon.
Et sur chaque rive de ce fleuve s'étend une ville, et dans cette ville voici une population de travailleurs qui circule, qui entre et sort des bâtiments, une colonie humaine innombrable qui fourmille sous tous costumes, uniformes, fardeaux, qui est là dans les rues bondées, dans les étages, par les fenêtres, sur les quais, sur les bateaux. Partout la vie, le travail, l'avenir.
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De 1560 à 1960, quatre siècles ont nourri Londres la chétive, à la petite cuillère. Cette cuillère fut l'arrivage continuel des navires coloniaux chargés de marchandises, régime qui fortifia un corps entier, développant les muscles l'un après l'autre. Les quais. Les hangars. Une Venise rationalisée. La ville était creusée de rues aquatiques garnies d'installations inventées pour fluidifier le trafic des bateaux : débarcadères douaniers, entrepôts étanches, péniches grutières, corderies, leviers sur pivot hydraulique, tourelles de mâtage, guichets d'examen d'échantillons, stations de pesage, zones de tri, wagonnets de transbordement. Des quais longs comme des routes, les hangars les plus hauts jamais vus, des murailles de 10 mètres pour empêcher les voleurs d'attenter au trésor de l'Angleterre. Et pour servir ces équipements était la foule immense des travailleurs prolétaires de tous âges, avec leur famille.
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Peu d'hommes ont ce don du témoignage exact. Pascal l'avait pour la condition humaine, Doré pour les sociétés vivantes. Ses illustrations de Dante et des Fables sont connues. Son art culmine dans son Pèlerinage à Londres au moment où cette ville était le premier port du monde, le convecteur de millions de tonnes de marchandises par jour. C'est cette accumulation du capital par l'accumulation de marchandise qui engendra en ce même endroit à la fois Rotschild et Marx, le keynésianisme et Mosley, Charles Darwin et John Wesley, les Lords du commerce et les cockneys manutentionnaires. Tous les contraires, toutes les dualités radicales se sont forgées ici sans pourtant se heurter jamais. Extériorisant sur le continent ses contradictions comme un corps fiévreux sue pour guérir, l'Angleterre n'était plus la proie d'aucun trouble interne majeur depuis Cromwell, deux siècles auparavant.
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Le cœur du monde bat calmement. Cette scène de déjeuner à Epsom, improvisé sur les calèches arrêtées au milieu des foules allant et venant, le rappelle. Chaque visage y est comme la nuance amusante et spéciale d'un type physique général. Amusantes jeunes femmes tête couverte dans leur chale de laine, gracieux attelages, chevaux comme des cygnes à l'encolure courbée. Mais pour qu'une seule de ces dames en leur maison georgienne capitonnée de tapisseries afghanes, puisse prendre son thé indien dans une tasse Wedgwood, il a fallu que se lèvent aux aurores des milliers d'ouvriers, de porteurs, de sherpas, de soldats, de matelots. Des hommes payés pour trouver, acheminer, façonner, sécuriser, entreposer. Doré rend justice à ces hommes.
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Observez ces portefaix qui ploient sous leur fardeau. Il s'agit de ballots de thé du Sri-Lanka, de sacs de sucre de Jamaïque, de rouleaux de tapis d'Iran, de caissons de marmelades d'Égypte, de piles de peaux de bêtes du Canada, de tonneaux de vin cuit du Portugal, de mille articles nouveaux dont la nouvelle bourgeoisie raffole. D'autres navires arrivent chaque jour d'Australie, de Fidji, de Singapour. Ces hommes en vident les cales puis les chargent à nouveau de laine, de gin, de houblon avant que ces cargos reprennent la mer vers l'Inde, la Chine, la Tanzanie.
Londres est une grande roue et ce rude prolétariat est attelé à ses rayons. La rotation continue qu'ils impriment projette le surplus au dehors et attire les nutriments à l'intérieur, force giratoire véloce en son pourtour et tranquille en son centre. Le cœur du monde bat son rythme.
Londres serait restée une banale cité-pirate comme l'ont été Tyr, Nhatrang, Alger ou Istanbul à certaines époques, si elle n'avait pris le parti de retravailler les matières premières obtenues à l'étranger en des produits manufacturés à vendre. En cela Amsterdam avait précédé Londres dans le grand idéal colonial d'une ville européenne à la fois enracinée dans son monde propre et irriguée de ce que le monde alentour offre de meilleur (l'exact contraire d'aujourd'hui). Idéal assez fort pour partir fonder outre-mer d'autres Londres: Singapour, Hongkong, Sydney.
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Ces hommes se laissent pousser la barbe et rasent la moustache, précepte religieux observé encore de nos jours par les Amish et les Salafi.
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Et ce manutentionnaire de troisième étage de hangar de Millwall, arc-bouté sur son palan à 12 mètres au-dessus du sol, pour l'attirer dans la chambre de stockage, n'est-il pas là, présent devant nous? Gustave Doré a su voir l'extraordinaire dans l'ordinaire de son époque.
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Doré dessine non pas la foule dépareillée, bordéleuse et rapace que nous coudoyons de nos jours mais un peuple au travail. Un peuple physique, religieux, pauvre, heureux, un peuple chantant, varié, et blanc (albe, albinos, "Albion"). L'Angleterre est la synthèse de l'Europe, l'estuaire de la Tamise a tamisé les hommes du continent venus remonter son courant, et ce fleuve est le déduit filtrant du continent dont il n'a gardé que le suc, d'où cette grammaire simplifiée qui est la partie visible, audible, de soubassements plus profonds.
Londres est le pèlerinage continuel des européens initié par le peuple français dès 1066, et quelque ennemi que l'on puisse être de ses Whigs, des cruelles manœuvres de son Foreign Office, de l'Intelligence Service activateur de guerres, de ses Churchill bouffis et autres donneurs d'ordre par téléphone, un Français peut regarder Londres comme une partie de lui-même enfuie ailleurs il y a longtemps. L'expatriation ressemble parfois au remembrement, ou au souvenir (to remember).
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Les professeurs gauchistes nous ont rebattu les oreilles avec la notion d'exploitation du travailleur. Le style crayonné et grisaillant de Doré semble parfois forcer le trait en ce sens. Pourtant sommes-nous mieux ou moins biens lotis que ces bougres dessinés par Gustave Doré? Il a dépeint tout ce dont nous manquons aujourd'hui. Un peuple autour de soi, nombreux, cohérent. Du travail assuré. Dix enfants par foyer. Le mouvement, l'entraide, l'action concrète sur les choses. Gustave Doré montre la vie vivante comme nous ne l'avons jamais vue. Elle a existé. Autant d'éléments impensables en nos temps d'abstraction et de dépeuplement qui n'en finissent plus. Rappelons que depuis 30 ans un Français peut à peine trouver du travail dans son propre pays, ou se marier avec une femme de chez lui, ou enfanter, ou acheter un foyer décent. Les rues sont vides, les villages morts, les gens éteints, et pour chaque Français qui se tient bien dix hyènes venues de l'enfer convoitent son pain, son travail, sa maison, sa femme, sa voiture, son argent.
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Revoyons la richesse objective des travailleurs pauvres de 1872, cent fois plus substantielle que notre fausse monnaie actuelle. Richesse d'enfants nombreux, abondance d'avenir meilleur, profusion de chansons de marins et de territoire à soi, ressources de bon sens paysan et de religion stable. Le moindre immeuble accueillait dix familles blondes autour d'un feu sous une marmite suspendue. Un simple manutentionnaire avait un logement comprenant sous-sol, étage et grenier, il était père de sept enfants et la vie portait tout cela. À bien y regarder, la pauvreté d'hier est un luxe aujourd'hui. Ces prolétaires logeaient en plein centre-ville dans des maisons individuelles avec jardinet. On les voit manger des huîtres chaque jour, le plat du pauvre. Ils circulent en confiance dans des rues à eux. Ces joies devenues payantes sont aujourd'hui des privilèges de millionnaires.
Dieu a voulu des inégalités, pas des injustices. Gustave Doré montre en 1872 une société très inégalitaire et assez juste. La société actuelle est à la fois égalitaire et injuste. Que le tout-venant s'installe chez vous à égalité avec vous comporte une note d'obscènité en plus du degré d'extrême injustice. Le pouvoir le sait, le veut. Tout est là.
Pour accomplir un travail très physique la classe ouvrière se sélectionnait elle-même dans la partie la plus saine du peuple. Elle avait l'éthique du travail bien fini, la fierté de sa maîtrise physique, technique, d'outils de production d'importance vitale pour la survie commune. L'Angleterre a tôt choyé ce précieux capital humain: maisons individuelles, viande abondante, premiers systèmes d'entraide mutuelle pour les accidentés. Il y eut un Proudhon anglais un peu plus tardif que le nôtre, ce fut William Morris.
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Que reste-t-il de ce peuple ouvrier aujourd'hui ? Il reste la Culture. Tout d'abord leurs clubs de football, montés à partir de 1868. West Ham United pour les ouvriers des forges et l'emblème des deux marteaux croisés, Millwall Football Club pour les manutentionnaires des docks de Millwall, Arsenal FC pour les fondeurs de canons etc. Tout le mouvement skinhead, l'esthétique Fred Perry, Ben Sherman, butcher coat, gingham shirt, et avant eux les Black Shirts, les Teddy boys, les Mods, et tant de chansons, tout cela provient de l'héritage ouvrier d'une période légendaire. Londres est la seule ville connue où le prolétariat fut producteur d'une Culture. C'est un fruit involontaire et magnifique d'une Monarchie chrétienne donné aux pauvres: la stabilité. Au contraire la république soi-disant française, avec ses neuf révolutions et guerres par siècle a sadiquement forcé l'extinction d'un peuple notoirement plus beau que l'anglais.
Le Romantisme, grande passion française, est un mouvement étrange qui active chez l'artiste la nostalgie d'une époque qu'il n'a pas connu. En célébrant l'Angleterre Gustave Doré chante en réalité la France et elle seule, les notes de ce qu'elle aurait pu être, les accords encore muets de ses potentiels sous cloche. Quand nous passons la Manche pour voir dans les stades soixante mille gaillards chanter des airs anciens debouts les bras en croix nous n'avons d'émotion que pour notre pays à nous. C'est de moi que je parle. J'ai la nostalgie de Montorgueil Sport contre Louvre-FC, de Villette Abattoir contre AS-Vincennes, et du tournoi des quinze clubs franciliens remporté par les Flèches Noires de Paris devant cent mille Dupont-Dubois qui chantaient dans les graves "Rien de rien, non je ne regrette rien". Nostalgie de ce qui n'a pas été porte en soi le monde à venir qui veut être.
Si Gustave Doré a le mieux dessiné Londres c'est qu'il faut être extérieur à l'objet pour le bien voir. De la même façon, c'est un étranger, l'anglophone David Crosby qui a le mieux chanté notre Carillon de Vendôme, mélodie du Moyen-Age, complainte émue des villages restés fidèles au royaume de France envahi, réduit à portion congrue. Que reste-t-il à ce Dauphin si gentil? Orléans, Beaugency, Notre Dame de Cléry, Vendôme, Vendôme. Elle ferait une très belle chanson de stade, en canon, dans les graves.
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ethereal-skies-forum · 12 days ago
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【 01. PROLOGUE 】• Immergez-vous dans l’univers (pour la seconde fois parce qu’on est shadowban sur notre compte principal 🤩).
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Trempées par l'écume que régurgite l'océan, les voiles du vaisseau ballotté par la houle claquent au vent. Leurs gémissements peinent toutefois à recouvrir le fracas des déferlantes qui explosent contre les écueils disséminés dans l'eau, leurs têtes acérées levées vers le trois-mâts qui se faufile entre eux en prenant garde de ne pas les frôler. Un murmure secoue les lèvres de la guetteuse perchée sur un espar lorsqu'un navire de taille plus modeste apparaît dans son champ de vision. Son pavillon parme, frappé de l'emblème du NORTHUNYRE, flotte dans le lointain comme une nuée menaçante dans un ciel d'orage. La poitrine du marin s'immobilise. Une embuscade ? Mais la petite embarcation esseulée s'éloigne déjà, portée par un courant qui la conduira sans doute bien plus au nord, sûrement jusqu'au port de Hranridburh où elleux-mêmes ne peuvent plus se rendre. « Foutus indépendantistes ». L'insulte se noie dans les eaux sombres qui enlacent la coque. Elle n'a guère le temps de médire davantage du jeune État rené d'une rébellion : les côtes familières d'HEVENBYRE s'effacent progressivement pour laisser place à celles de KYANÓS, leur destination. Contenu entre les quais bondés de Kallipolis, l'océan tempétueux a retrouvé l'allure maussade d'une bête domestiquée.
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« Ceanlast soit béni pour avoir protégé cette traversée ». Les verres des matelot.es s'entrechoquent pour chanter victoire. Sa précieuse cargaison déchargée, l'équipage étranger s'est empressé de gagner la taverne dans laquelle il a ses habitudes dans la grande cité kyanósienne. D'autres baroudeur.euses se joignent bientôt à la tablée, pressé.es d'être les premier.ères à leur confier les dernières nouvelles qui s'échangent dans tout S t a r a c e s t e. « Un accord entre BRASÉA et GARYANITH ? Tu parles. L'armée braséenne vient d'ouvrir un nouveau front à la frontière de la région de Qjarnamn... Paraît que Garyanith a tenté une percée sur leurs terres ». Une voix acquiesce et maugrée : « C'est mauvais pour les affaires, le prix de l'ith a complètement explosé ». Une autre réplique : « Et celui de l'or braséen, alors ? C'est à s’demander s'ils se souviennent qu'on est alliés. » Tenue en haleine par le torrent de paroles qui se déverse tout à coup, l'assemblée attentive tourne la tête tantôt à gauche tantôt à droite pour ne pas laisser un mot s'échapper. « Et vous, vous comptez faire halte en Hevenbyre avant de reprendre le chemin du Continent ? ». Une membre de l'équipage réfute : « Non, interdiction formelle de commercer avec Wuldorgen. Le gouvernement souhaite le retour des Sceogast au pouvoir et nous ferait pendre si on traitait avec les séditieux ». Grognements d'approbation. Sur l'île aussi, rares sont celleux à voir d'un bon oeil la victoire des putschistes. « Mais comment il va faire, le roi, pour récupérer le trône ? L'armée hevenienne est infestée de traîtres. » Un vieux gabier enroule ses doigts abîmés par le métier autour de l'épaule de son interlocuteur et le tire vers lui afin de lui glisser : « C'est à s’demander si vous avez oublié que vous êtes alliés... ». Un rire rauque lui échappe mais il en ramasse vite les éclats pour reprendre avec gravité : « Les vaisseaux de guerre hranrides attendent l'ordre de quitter le port où ils sont stationnés. Ils viendront renforcer les rangs de la flotte de Kyanós. » Tous les regards se tournent vers eux. « Mais les Révérendes Mères n'accepteront jamais de mener cette attaque, elles veulent la paix... » Le marin resserre sa prise sur son épaule. « Et elles savent qu'on l'obtient pas sans faire la guerre. Prie Nasilor pour que celle-ci soit courte, mon frère. »
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La taverne se vide à mesure que les heures défilent. L'équipage hranride lèvera l'ancre le lendemain, au petit jour, pour regagner le Continent. Il laissera derrière lui la silhouette figée de l'île de Staraceste, piégée au milieu de ces eaux remuantes qui, à la lueur de l’aube flamboyante, auront retrouvé une teinte rouge sang.
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francepittoresque · 3 months ago
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25 novembre 885 : siège de Paris par les Normands ➽ http://bit.ly/Siege-Paris-Normands Après leur défaite par les milices de la Neustrie, en 884, les Normands restèrent pendant une année sans reparaître sur les rives de la Seine. Ils y revinrent en 885, et entrèrent dans le fleuve avec sept cents vaisseaux à voiles, et un nombre d’autres petits navires si considérable qu’ils « couvraient les eaux de la Seine sur un espace d’un peu plus de deux lieues »
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iranondeaira · 5 months ago
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« Je ne voyage pas pour arriver quelque part ; je voyage pour le plaisir de voyager . »
- Robert louis Stevenson
« Nous ne voyageons pas pour le plaisir de voyager, que je sache . Nous sommes cons, mais pas à ce point-là.»
- Samuel Beckett
Un grand nombre trouvera une opposition entre ces deux auteurs😔
« Nos vapeurs font le tour de la terre six fois plus vite que les navires de croisière de l’ère de la marine à voile. Notre aventure est à base de changements constants, de vitesse et de distances . Si l’on est éveillé et affamé, on voit une quantité fort pénibles de choses . Si l’on est indifférent et amorphe, peu importe le nombre d’horizons qui se glissent dans vos jours . » ( Kap Farväl ! 📚)
- Harry Martinson
Voilier : Le Renard de Surcouf
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journaldesgrandschemins · 1 year ago
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Un fille très jeune sur un très vieux rocher s'assoit et fume. La fumée à sa bouche comme un serpent circule. S'approche vers elle une femme osseuse, aux angles étoffés de lourds voiles. Elle pose sur la petite un regard de craie dure. Puis, elle parle:
Telle que je te vois, petite, tu tiens dans chaque main et le bien et le mal, tu pétries le cou de cet oiseau sinistre et t'amuses du sang qui coule dans tes paumes. Sa douleur t'amuse, et la souillure te plaît. Tu ne crois ni en lui ni en la force qui le broie mais adores le sang qui encrasse tes doigts. Tu refuses de mener cette vie qui t'inonde. Passant comme une voleuse sous les enseignes vives, tu ricanes du spectacle des galeries luxueuses et à chaque table t'invites et te moques du festin, injuries les convives. Tu crois la solitude qui te ramène le soir plus vibrante et belle que toutes les voix du monde. Tu crois qu'elle en est pleine, de toutes ces voix, comme tu percois les landes pleines d'étés et de meurtres.
Certains mots prononcés te font tressaillir: navire, blessures, crime, nuit, joyaux. Ce genre de mots répandent en toi une gloire d'élection. La laideur te fascine comme l'ultime miracle, couronnement des têtes de l'ombre. Tu t'en vas chaque jour chasser la rencontre de ces infréquentables, de ceux-là qui restent quand la foule s'écarte. Tu voudrais éprouver leurs lois, partager leur langue, leur vermine, hanter leur voie. Etre des leurs, qu'ils te rebaptisent et te marient à l'un d'eux; le plus brute et sordide et dont tu admireras les yeux.
Quand tombera sur toi l'odieux frisson, tu te retourneras maudite et profane.
Les mots auront fané. Les trains seront passés. Les horizons affaissés sous ton corps devenu mûr. La route s'imposera: immense, droite, implacable. Comme chacun l'a fait, tu t'y engageras, toi et le reste de ta force. Tu auras le front fier des infirmes, la bouche sèche.
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wistfulcynic · 1 year ago
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savez-vous pourquoi on a les tournesols
i learnt about @ecclesiasticallatinfest um, yesterday, but i thought it was a great idea and wanted to participate so i knocked up a quick translation of my shortest fic. i'm an experienced translator but i always do french to english so going the other way was a challenge. Fortunately i knew exactly what the author meant by everything though she is a bitch for the flowery prose. i may have taken a few liberties with the french language, including disposing entirely with the passé simple because i cannot be arsed, so i hope gentle readers you will be kind.
original fic is here
translation is here
Stede Bonnet ressemble parfaitement à un des hommes dans son tableau préféré. Un jour, il rencontre l'homme qui ressemble à l'autre. Ça donne l'impression d'être destiné.
(Il l'est.)
savez-vous pourquoi on a les tournesols
Stede Bonnet adore les musées. 
C’était toujours comme ça, depuis sa première visite, lors d’un voyage scolaire. Un voyage qui était, à tous les autres égards, bien peu mémorable. Les tourments habituels des jumeaux Badminton et de leur cohorte, la solitude habituelle de Stede, lui seul avec ses livres et ses pensées. 
Mais il se souvient du tableau. 
Il se souvient de ces deux hommes sur le pont de leur navire, si vivement rendus par touches d’huile qu’il avait l’impression de sentir lui-même le vent qui fouettait dans leurs cheveux et gonflait les voiles de leur vaisseau. Il se souvient de la fierté de leur posture, l’absence total de peur. Il se souvient de leur unité, le fil de leur lien impossible de nier, palpable même depuis une peinture et à travers trois cents années. Il se souvient du désir ardent qui animait sa jeune poitrine. C’était ça ce qu’il voulait. Cette unité. Ce lien. Ce quelqu’un qui le regarderait du manière dont les pirates du tableau se regardaient. 
Personne n’avait jamais regardé Stede Bonnet comme ça. 
Même aujourd'hui personne ne le regarde comme ça. Ni ses parents, ni son ex-femme. Même pas ses enfants. Il traverse la vie comme il traverse les rues de Londres, seul parmi les foules bouillonnâtes des gens—familles, amis, amants. Mais pas pour lui. Jamais pour lui. 
Mais il adore toujours les musées. 
Il est aujourd’hui le conservateur de l’aile du XVIII siècle de la National Gallery de Londres, un boulot de rêves pour lequel il a travaillé toute sa vie. Il devrait se sentir triomphant, et il l’est, vraiment. Mais… doucement triomphant, et pour la plupart à soi-même. Le fait qu’il n’ait personne avec qui le partager ne fait rien, pas vraiment. Aller chaque jour au musée, savoir que c’est sa place, une place qu’il a méritée, c’est ça qui lui rend heureux. Plus heureux qu’il n’a jamais été. Ça suffit. 
Lorsqu’il acquiert le tableau, le tableau, celui qu’il a vu pour la première fois à Auckland il y a tant d’années, son bonheur est complet. Chaque jour il va dans sa gallérie et se tient debout en face de ce tableau et le regarde. Il se tient debout et il regarde et il ressent à nouveau ce désir presque douloureux dans sa poitrine. 
Peu à peu il se rend compte de quelque chose, une quelque chose très particulière dont il ne sait pas trop quoi faire. Un des hommes du tableau, celui du droit, l’homme blond à la barbe courte et pointue et à l’allure fringante, sa chemise blanche flottante et sa ceinture en soie turquoise autour de la taille, cet homme… il ressemble à Stede. 
Exactement comme Stede. À tel point que c’en est bizarre. Il ne l’a jamais remarqué autrefois, évidemment, comment aurait-il pu? Mais maintenant qu’il est plus âgé—du même âge, semble-t-il, que l’homme du tableau—le ressemblance est indéniable.
Il se laisse pousser la barbe, par curiosité académique, il se dit. Juste pour voir si la ressemblance est renforcée ou entravée. Il se laisse pousser également ses très courts cheveux, afin de mieux ressembler les boucles du tableau. Il introduit de la couleur dans sa garde-robe, les bleus vifs et les verts joyeux, même un petit jaune impertinent, de temps en temps. Il découvre qu’il adore la couleur, et la mode, et qu’elles l’adorent en revanche. S’habiller le matin devient un plaisir et non plus un corvée. 
Ne plus il se heurte les gens dans la rue parce qu’ils ne le remarquent pas. Plutôt, les inconnus hochent la tête à son passage et lui rendent ses sourires amicales. Ils arrivent même de faire la bavardage dans les queues. Ils gloussent s’il tente une petite blague. Il commence à faire des blagues exprès. Les gens rient. Ils rient d’amusement et pas de moquerie. Pour Stede, ça change tout. 
Ce Stede avec plus de confiance, plus de couleur, débordant d’une exubérance naturelle enfin libérée et tellement ravi de se ressembler si parfaitement à l’homme du tableau, commence à tourner plus fréquemment envers l’autre. Cet homme que, même enfant, il a trouvé presque trop magnifique pour apercevoir. Cet homme grand, beau, tout vêtu en cuir, sa barbe et ses cheveux longs fouettés par le vent et glorieux, qui contemple le doppelgänger peint de Stede avec le regard le plus doux qu’il n’ait jamais vu. 
Ce regard. La douleur dans sa poitrine devient insupportable lorsqu’il y pense, mais il y pense tout de même, et fréquemment. 
Malgré sa confiance en lui récemment trouvé, il n’existe toujours personne qui a jamais regardé Stede Bonnet comme ça. 
--
“Sacré tableau, n’est-ce pas, mon pote?” 
Stede se détourne de sa contemplation matinale du pirate vêtu en cuir, surpris et ravi d’entendre la cadence d’un accent familier. C’est rare qu’il rencontre un autre Kiwi à Londres, même si la ville accueille des gens venus des quatre coins du monde.
“Vous savez, c’est drôle,” reprend la voix. Elle est profonde et résonnante et elle caresse la peau de Stede comme du cachemire. “Je me souviens une fois, lorsque mon enfance en Nouvelle-Zélande, j’ai vu ce tableau. J’y suis resté en regardant pendant une bonne vingtaine de minutes. Les autres gamins se sont partis sans moi et le prof a dû revenir m’emmener pratiquement à l’écart. Je me rappelle plus le nom du prof mais je n’ai jamais oublié ce tableau.” Il se tourne vers Stede qui peut maintenant voir tout son visage. “Peut-être que ça vous paraisse fou, mais diriez-vous—pensez-vous que cet homme, celui de la gauche… vous pensez qu’il me ressemble?” 
Stede rest sans voix, bouche bée. Parce que oui, il dirait, oui. L’homme du tableau te ressemble vachement et s’il existe personne qui peut le déclarer avec autorité c’est Stede. C’est lui, après tout, qui avait regardé ce tableau chaque jour et tous les jours pendant tout de l’an dernier. L’homme à son côté a la même taille, les mêmes cheveux longs et barbe magnifique. Et lorsqu’il se retourne et leurs yeux croisent, Stede a le souffle coupé. Les yeux aussi se ressemblent, ce marron doux et chaleureux. Ils traversent le visage de Stede et ils s’écarquillent, signe de reconnaissance d’abord, puis d’émerveillement. 
“C’est toi,” il chuchote. “Cet homme, l’autre. C’est—c’est toi.”
Stede sait qu’il doit dire quelque chose, n’importe quoi, et donc il lance les premiers mots qui lui viennent de l’esprit. 
“Es-tu réel?” 
C’est une question de merde et il se sent ridicule pour la poser, mais les beaux yeux de l’homme se plissent sur les bords et il rit. Il rit d’amusement et non de moquerie. Le Stede d’aujourd’hui connait la différence. 
“Aussi réel que toi, mon pote. Je m’appelle Ed.” Il lui tend la main. 
“Stede,” répond Stede, en la prenant. Un frisson électrique parcourt sa peau, du point de contact jusqu’à l’extrémité de toute terminaison nerveuse qu’il possède. Il retient à peine son souffle. “Je suis le, um, conservateur. Du musée. Fin, pas du musée entier, seulement l’aile du dix-huitième siècle, mais c’est pas important en fait, ce que c’est important c’est que moi aussi.” 
“Toi aussi?” répète Ed. 
Stede hoche la tête avec enthousiasme. “Moi aussi, j’ai vu ce tableau lorsque mon enfance en Nouvelle-Zélande. J’arrivais pas à me détourner, moi non plus. Et je—” 
“Ne l’a jamais oublié?” 
“Ne l’ai jamais oublié! Je l’ai acquis à la première occasion. Ce n’était qu’après que je me suis rendu compte que, er—que l’homme dedans avait—” 
“Ton visage?” 
“Ouais.” Stede hausse légèrement les épaules. “Mon visage.” 
“C’est un bon visage,” dit Ed. La frisson électrique s’intensifie. Il découvre qu’il tient toujours la main d’Ed. 
“Sais-tu ce que j’aime le plus?” il demande. 
“À propos de ton visage?” 
“Non!” Stede proteste, avant de se rendre compte qu’Ed le taquine. Il sent ses joues rosir mais il continue. “Non, pas à propos de mon visage. Dans le tableau.” 
“Qu’est-ce que tu aimes le plus dans le tableau?” 
“C’est la manière dont ils se regardent,” dit Stede. “Ils sont si connectés et les expressions sur leurs visages, c’est—” 
“L’amour,” finit Ed. Sa voix est bourrue. “Ils se sont amoureux.” 
“C’est ça.” Les mots se coincent dans sa gorge. “En tant que garçon je ne pouvais pas le voir. C’est à dire, je l’ai vu mais je ne savais pas ce que c’était. Tout ce que je savais c’était que je voulais quelqu’un à me regarder comme ça. Mais personne ne l’a jamais fait.” 
“Jamais?” 
“Non. Pas—” Stede s’arrête, happé par les yeux d’Ed. Ce regard lui coupe le souffle. 
Ed maintient son regard tout en relâchant la main de Stede, tout en entourant la mâchoire de Stede de sa main, ses doigts s'enfonçant dans ses cheveux, s'enroulant autour de l'arrière de sa tête et l'attirant plus près de lui. 
"Pas jusqu'à ce moment,” murmure-t-il, puis ses lèvres se posent sur celles de Stede. 
Le baiser est d'abord doux, hésitant. Stede n'a jamais vraiment aimé embrasser ; il est peu expérimenté dans ce domaine et même moins enthousiaste, malgré ses dix ans de mariage. Mais ce baiser, ce baiser, l'illumine de l'intérieur ; ce picotement électrique travers sa peau et s’infiltre dans ses os. Il se retrouve penché sur le corps d'Ed, agrippant sa taille, poussant un petit gémissement impuissant qui attire un gémissement plus profond de la part d'Ed. Le baiser devient chaud, humide, tout à fait inapproprié pour un mardi matin pluvieux sur son lieu de travail, mais Stede s’en fout pas la gueule.
Après, ils restent en se regardant, yeux écarquillés et haletants, et puis en unisson parfait ils se tournent comme tirés par un fil, vers le tableau. 
Les deux hommes leur sourient, leur sourient, il n’existe pas la moindre doute. Le sosie d’Ed leur fait un clin d’oeil, tandis que celui de Stede hoche sa tête avec un sourire fier et content. “J’étais sûr que tu l’aurais trouver,” Stede entend dire sa propre voix, dans sa tête évidemment mais les mots sont aussi clairs que comme s’il les avait dit lui-même. 
Il se retourne vers Ed. “T’as entendu—” 
“Ouais,” réplique Ed. “J’ai entendu.” 
Ils regardent à nouveau le tableau, qui est précisément comme il a toujours été. 
“Viens déjeuner avec moi,” dit Ed, abruptement. 
“Il est dix heures et demie du matin!” 
“Un brunch, alors. Je sais un bon lieu, pas loin d’ici.” 
“Ah, oui?” Stede est tellement heureux qu’il a l’impression que son sang a été remplacé par du champagne. “C’est où ça?” 
“Mon restaurant.” Ed lui sourit. “Je viens de l’ouvrir. Blackbeard’s Bar and Grill, il s’appelle.” 
“Ooh, nom fabuleux. Et donc tu… vises rester à Londres?” 
“Aussi longtemps que Londres veut bien de moi,” dit Ed, et Stede sait qu’il ne parle pas seulement de Londres. “Et bien. Brunch? J’ai de la marmelade.” 
Stede reste bouche bée. “Comment—comment sais-tu que j’aime la marmelade?” 
“J’ai eu de la chance,” dit Ed. Ses yeux pétillent, de chaleur et affection et interêt et reconnaissance, et oui c’est enfin réel, ça se passe vraiment. Quelqu’un regarde Stede Bonnet Comme Ça. 
Ici au milieu de son musée bien-aimé, devant son tableau le plus précieux, le plus bel homme qu’il ait jamais vu, soit peint ou en personne, lui regarde de la manière dont il a si longtemps rêvé mais n’aurait jamais pensé savoir. 
Et dans sa poitrine il se sent à nouveau cette douleur mais ce n’est plus la douleur exquise. C’est la douleur d’une joie trop forte d’être exprimée. C’est le bonheur complet. 
C’est l’amour. 
“Le brunch serait super,” dit Stede. “C’est parfait.” Ça donne l’impression du début de quelque chose de spectaculaire. 
Et c’est ça qu’il est.  
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grandboute · 2 years ago
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Sailing
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rapha-reads · 7 months ago
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Anne Rice, IWTV, Part 3, Armand to Louis:
"'It is through you that I can save myself from the despair which I've described to you as our death. It is through you that I must make my link with this nineteenth century and come to understand it in a way that will revitalize me, which I so desperately need. [...] No. I must make contact with the age. [...] And I can do this through you . . . not to learn things from you which I can see in a moment in an art gallery or read in an hour in the thickest books . . . you are the spirit, you are the heart.'
'No, no.' I threw up my hands. I was on the point of a bitter, hysterical laughter. 'Don't you see? I'm not the spirit of any age. I'm at odds with everything and always have been! I have never belonged anywhere with anyone at any time!' It was too painful, too perfectly true.
But his face only brightened with an irresistible smile. He seemed on the verge of laughing at me, and then his shoulders began to move with this laughter. 'But Louis,' he said softly. 'This is the very spirit of your age. Don't you see that? Everyone else feels as you feel. Your fall from grace and faith has been the fall of a century.'"
Alfred de Musset, Confession d'un enfant du siècle, chapitre 2 :
"Trois éléments partageaient donc la vie qui s’offrait alors aux jeunes gens : derrière eux un passé à jamais détruit*, s’agitant encore sur ses ruines, avec tous les fossiles des siècles de l’absolutisme ; devant eux l’aurore d’un immense horizon, les premières clartés de l’avenir** ; et entre ces deux mondes… quelque chose de semblable à l’Océan qui sépare le vieux continent de la jeune Amérique, je ne sais quoi de vague et de flottant, une mer houleuse et pleine de naufrages, traversée de temps en temps par quelque blanche voile lointaine ou par quelque navire soufflant une lourde vapeur ; le siècle présent, en un mot, qui sépare le passé de l’avenir, qui n’est ni l’un ni l’autre et qui ressemble à tous deux à la fois, et où l’on ne sait, à chaque pas qu’on fait, si l’on marche sur une semence ou sur un débris***.
[...] Il leur restait donc le présent, l’esprit du siècle, ange du crépuscule, qui n’est ni la nuit ni le jour ; ils le trouvèrent assis sur un sac de chaux plein d’ossements, serré dans le manteau des égoïstes, et grelottant d’un froid terrible. L’angoisse de la mort leur entra dans l’âme à la vue de ce spectre moitié momie et moitié fœtus**** [...]
Toute la maladie du siècle présent vient de deux causes ; le peuple qui a passé par 93 et par 1814 porte au cœur deux blessures. Tout ce qui était n’est plus, tout ce qui sera n’est pas encore. Ne cherchez pas ailleurs le secret de nos maux*****."
............
Anne Rice definitely read Musset. And Musset would have ADORED Armand and loathed Louis - or maybe the contrary. And depending on when exactly during the 19th century Armand and Louis met, Armand might have already read Musset, and Louis would read him at the end of the century - Confession was published in 1836.
Translations of the passages in bold (translation by me and it's 4am for me right now, so don't expect a perfect work):
*"behind them a past forever destroyed"
**"in front of them, the dawn of an immense horizon, the first lights of the future"
***"the present century, in a word, what separates the past from the future, which is neither one nor the other and which resembles both at the same time, and where one does not know, with each step one takes, if one steps on a seed or rubble"
****"The anguish of death entered their souls at the sight of this specter, half mummy and half fetus."
*****"All that was is no more, all that will be is not yet. Do not look elsewhere for the secret of our ills."
There's a whole Comparative Literature essay that could be written, mirroring Confession with Interview... I will definitely come back to that idea later. Probably. At some point.
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philoursmars · 10 months ago
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Il y a une dizaine de jours, je suis parti retrouver Christine à Narbonne.
Le Musée Narbo Via, dédié à la Narbo romaine (cette ville fut la première ville romaine hors d'Italie et un des 3 plus grands ports de l'Empire romain)
bonnet de marin, en feutre de laine (un ancêtre de Cousteau ?) - non daté. Sa rareté et son côté proche de nous est assez émouvant...
chargement de navire par des saccarii = dockers - Haut-Empire
casque de marin en bronze et plomb - II-Ier s. av. J-C.
navire à voile (avec proue en tête de cygne, ancre sur le côté, rames...) et déesse protectrice voilée - Haut-Empire
applique de navire en bronze - IV-Vème s. av. J-C.
stèle, navire à la voile renforcée de lanières, des laizes - Haut-Empire
poulies - Haut-Empire
La suite dans peu de jours !
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les-portes-du-sud · 2 years ago
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Je dois reprendre les mers, retourner vers la mer solitaire et le ciel,
Et tout ce que je demande c’est un grand navire et une étoile pour le diriger,
Et le choc du gouvernail et la chanson du vent et la secousse de la voile blanche,
Et une brume grise sur le visage de la mer et une aube grise qui point.
John Masefield
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whencyclopedfr · 1 year ago
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Commerce dans l'Empire Byzantin
Les échanges et le commerce étaient des éléments essentiels du succès et de l'expansion de l'Empire byzantin. Le commerce s'effectuait par bateau sur de grandes distances, même si, pour des raisons de sécurité, la plupart des navires à voile ne pouvaient naviguer que dans les meilleures conditions météorologiques entre avril et octobre. Sur terre, l'ancien système routier romain fut mis à profit, et les marchandises voyageaient donc d'un bout à l'autre de l'empire, ainsi que depuis des endroits très éloignés comme ce qui est aujourd'hui l'Afghanistan, la Russie et l'Éthiopie. Les grandes villes possédaient des marchés cosmopolites florissants et Constantinople devint l'un des plus grands centres de commerce du monde où les acheteurs pouvaient flâner dans les rues couvertes et acheter tout ce qu'ils voulaient, du linge bulgare aux parfums arabes.
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salmonromarin8 · 2 years ago
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Le bateau prêt à repartir : nouvel étai largable, nouvelle gazinière qui s'est décrochée de ses cardans dans les violentes secousses de la traversée après 32 ans de bons et loyaux services, nouveau foc 1 qui donnait des signes de faiblesse et que j'ai toujours connu sur le Romarin depuis 1986 ! Nouvelle bande anti-UV pour le gênois, nouveau système efficace pour éviter que les lattes s'envolent de la grand voile en pleine navigation, réparation du bimini déchiré lors de la tentative de sauvetage en hélicoptère, bandes antidérapantes sur le plancher du bateau, il nous reste à recevoir 8 nouvelles cellules au lithium pour la propulsion. Mais nous ne serons pas au bout de nos peines. De nouvelles difficultés nous attendent : le passage du détroit de Gibraltar avec ses courants, ses vents forts, son trafic intense et les attaques d'orques toujours plus nombreuses entre Cadix et Gibraltar. Certains défenseurs des orques trouvent plus juste de parler d'interactions avec les orques plutôt que d'attaques. Les orques s'attaquent uniquement au safran, partie du gouvernail immergé, des voiliers, jamais aux hommes envers lesquels elles ne montrent aucun comportement agressif. Les attaques sont presque quotidiennes aux mois de mai et juin au large du cap Trafalgar, Elles semblent liées au passage des thons rouges qui remontent dans le détroit à cette période. Une autre hypothèse consiste à dire qu'une orque blessée par un bateau enseignerait à ses jeunes d'attaquer les safrans par vengeance. Ou encore, les voiliers apparaissent comme des concurrents dans la chasse au thon dont le nombre a beaucoup baissé avec la surpêche. Les orques sont des animaux intelligents et protégés qui communiquent entre eux. On en dénombre à peu près une soixantaine dans le détroit. Les équipages des voiliers qui ont subi ces interactions en sont quittes pour une bonne frayeur. Certains voiliers ont dû faire appel aux secouristes n'étant plus manoeuvrant. D'autres ont eu des voies d'eau importantes et ont coulé. Nous avons rencontré Sébastien Destremeau, skipper du Vendée Globe et deuxième à la Route du Rhum dans la catégorie Rhum Mono en 2018, en escale forcée à Puerto America à Cadix qui a eu son safran détruit, voici le récit de son interaction avec les orques : Alors qu'il convoyait un bateau et naviguait au large du cap Trafalgar, une dizaine d'orques se sont attaquées à son safran. « on les a vu arriver d'assez loin, j'ai cru que le vent se levait et on a compris que, cette fois, c'était pour nous. » Selon son récit, 20 orques ont nagé vers son bateau. Le groupe s'est ensuite scindé en deux et au moins 8 animaux ont commencé à viser le navire et notamment son safran. Comme le recommande la procédure en cas d'attaque du GTOA protocole, Sébastien met alors à l'arrêt le voilier et affale les voiles. Après cette expérience, je ne suis pas du tout convaincu qu'arrêter le navire soit la bonne stratégie, confie t'il à posteriori. Alors que le bateau de 15 tonnes est arrêté, les orques continuent à le viser jusqu'à endommager le safran. «Une heure sous les coups de boutoir, c'était très impressionnant et on avait très peur. C'est terrifiant de sentir un bateau de 15 tonnes se faire secouer comme une coquille de noix. On en menait pas large à bord. J'avais vraiment peur que le bateau coule. A bord de ces bateaux, il n'y a pas de cloison étanche, comme sur un bateau du Vendée Globe» Le navigateur raconte qu'il a finalement remis le moteur au bout de 20 minutes, avançant et reculant en fonction des orques pour les empêcher d'approcher le gouvernail. «Comme les orques n'en démordaient pas, j'ai commencé à faire des ronds très serrés avec la barre à fond et au bout de quelques minutes, ils sont partis.Mais j'ignore si c'est cette manœuvre qui a été utile ou s'ils seraient partis de toute façon. » a détaillé le double participant au Vendée Globe. «Ce qui est sûr, c'est qu'on est sur leur territoire » estimait-il, alors que de plus en plus d'attaques d'orques sont justement rapportées entre Gibraltar et les côtes portugaises et espagnoles. Durant l'incident, les services de secours ont été prévenus et se tenaient prêts à intervenir si la situation empirait. Finalement, les mammifères sont partis au bout d'une heure, laissant l'équipage secoué mais sain et sauf. Le skipper s'est néanmoins retourné un doigt pendant une manœuvre et une escale est prévu à Cadix en Espagne afin de réparer le safran endommagé. Sébastien précise que les orques ne semblent pas agressives envers l'homme et qu'elles tentent de nous transmettre un message, mais lequel ? On rencontre désormais beaucoup d'appréhension chez les marins qui doivent aborder ce parcours. Des stratégies se développent, plus ou moins efficaces : naviguer de jour, près des côtes pas au-delà de 20 m de profondeur, émettre des ondes répulsives à l'aide d'un pinger : inefficace et interdit : les orques sont en voie de disparition et sont protégées. Naviguer en convoi, à plusieurs bateaux pour se secourir mutuellement en cas d'attaques, d'autres envisagent même des mesures plus radicales inavouables, ...
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