#mortells art

[mxd-mortells]

Diet-lyctor, Harrow the first

[flyingprivate]

Bonbardier Interiors by @joemortell

[rissaoffline]

peppermint gardens – joe mortell

[nikihjort]

Mortel 🤡

From my friend’s animated short film Cirque de Mortel

[karrova]

A bouquet of peonies, tulips, roses and other flowers on a ledge, with butterflies, a snail and a beetle

Jan Mortel

[dirhwangdaseul-archived]

i know we all hate french people but why did you people let mortel flop?

two dumbass teenagers make a deal with the devil and drag a witch into this mess to end up being a fucked up voudun triumvirate in love with each other trying to save humanity with their shitty untrained magic and you let it flop?

[l33ap]

Dream listening spaces by Joe Mortell

[tondroom]

I slip in and out of hibernation to bring you concept art for that POTO RPG-maker game I posted about the other day. I think imma call it Phantom of the Mansion (slight reference to Hitman). It's gonna be an alternative universe.

Premise (so far): 1880. Poor Christine Daae has just lost her father. The kind Giry-family picks her off the street and takes her into their home. Wanting to pay them back for their efforts, Christine goes job searching. Most people won't take her, except for this one group. Spiritualists, they call themselves. They communicate with spirits and help them 'move on' or so they say. Christine joins the Spiritualists, becoming a 'Spirit Sleuth' and tries to learn their ways. She is sent to Château Mortel - a mansion notorious for its nightly organ music and its mysterious spirit; a spirit that tortures those who dare enter his home.

[satinea]

Vieillir, c'est chiant.

J’aurais pu dire :

vieillir, c’est désolant,

c’est insupportable,

c’est douloureux, c’est horrible,

c’est déprimant, c’est mortel.

Mais j’ai préféré « chiant » parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.

Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.

Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance.

On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.

On était bien dans sa peau.

On se sentait conquérant. Invulnérable.

La vie devant soi. Même à cinquante ans, c’était encore très bien. Même à soixante.

Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.

Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps –

mais quand – j’ai vu le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l’âge qu’ils ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.

J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.

Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans "l’apartheid de l’âge".

Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.

« Avec respect »,

« En hommage respectueux »,

« Avec mes sentiments très respectueux ».

Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ?

Les cons !

Et du « cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !

Un jour, dans le métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place.

J’ai failli la gifler....

Puis la priant de se rassoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué.

« Non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée.

J’ai pensé que… » Moi aussitôt :

«Vous pensiez que…?

-- Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous assoir.

– Parce que j’ai les cheveux blancs?

– Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ç’a été un réflexe, je me suis levée…-

- Je parais beaucoup beaucoup plus âgé que vous?

–Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge… --Une question de quoi, alors?

– Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois…»

J’ai arrêté de la taquiner, je l’ai remerciée de son geste généreux et l’ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.

Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, Ne renoncer à rien.

Ni au travail, ni aux voyages,

Ni aux spectacles, ni aux livres,

Ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve.

Rêver, c’est se souvenir tant qu’à faire, des heures exquises. C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.

C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.

La musique est un puissant excitant du rêve.

La musique est une drogue douce.

J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant

soit l’adagio du Concerto no 23 en la majeur de Mozart,

soit, du même, l’andante de son Concerto no 21 en ut majeur, musiques au bout desquelles se révèleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.

Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.

Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement. Nous ignorons à combien se monte encore notre capital.

En années? En mois? En jours?

Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.

Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.

Après nous, le déluge? Non, Mozart.

Les mots de ma vie de Bernard Pivot.

[ekman]

La notion de frontière est indissociable de celle de civilisation. La frontière, c’est la souveraineté et la souveraineté, c’est l’outil de la destinée. Y renoncer, c’est faire de la nation un pays, voire une province, ou même une simple région. Le projet mondialiste ne s’est jamais exprimé aussi clairement qu’aujourd’hui, qui fait mesurer à chacun les conséquences catastrophiques du traité de Maastricht. Ouvrir les territoires de notre vieux continent à toutes les marchandises et à tous les colons, c'est renoncer à notre identité, c’est à dire à notre Histoire, à notre culture, à notre art de vivre.  Plus avant, le communisme a tenté cette aventure en brandissant l’image sacrée du Prolétaire, unique, universel et dictateur par essence. Il a cerclé les nations de pseudos frontières et les a décorées de constitutions de papier. Toutes les contestations conduisaient au néant barbelé. Dans le même esprit, le nazisme, au prétexte d’un reich en expansion perpétuelle, a tenté l’aventure de l’Histoire en portant la race en étendard – concept ô combien fumeux et fragile. Pour finir, le Juif vénal et le Mongol bestial ont eu raison des rêves absurdes d’une germanité illusoire. Les Américains ont eu la bonne idée de réunir ces deux fléaux en une seule organisation, l’Union Européenne, pauvre serpillère tissée et passée aux mains d'une Allemagne dominatrice, au détriment d’une vassalité hétérogène ayant à subir la transmutation du marxisme en “néo-féminisme”, en “genrisme”, en “wokisme”... en socialisme pour tout dire. La frontière est également mentale et protège des fléaux modernes en gardant vive la flamme de la tradition. Elle oppose la réflexion et le temps long à la fulgurance des ambitions ravageuses, les cordages spirituels à la déliquescence des mœurs, l’éthique virile à l’immoralité libérale. Cette frontière-là n’est pas moins menacée que la vieille borne en pierre qui séparait notre monde du reste du monde. La franchir, c’était partir à l’aventure. Aujourd’hui qu’elle a disparu, c’est l’aventure qui entre en nous, sauvage, barbare, mortelle. J.-M. M.

[mxd-mortells]

Get back here!

[penemueintuition]

Hi Tumblr, I wanted to post art I had made of a friend's OC for Secret Santa! This is @ashengemstone's troll Mortel Glaive, and I had a lot of fun painting him. He's in our mutual RP group, @serverstuck!

[powerpolyculeshowdown]

Canon Polycule Showdown

(vote for your favorite! check the description if you don't know them)

[ID: 1. Art of Kieran, Cristina and Mark from The Dark Artifices. 2. A picture of Sofiane, Victor and Luisa from Mortel /end ID]

Meet the contestants!

Kieran/Cristina/Mark

Status: Canon

Description: Starts off with Cristina falling for Mark while he's already dating Kieran, turning into a love triangle. Kieran and Mark fell in love while part of the Wild Hunt but eventually broke it off when Kieran accidentally betrayed Mark. Cristina becomes friends with Kieran, and the two of them fall in love, soon all three of them get together in a polyamorous relationship. Kieran became king and couldn’t have any mortal consorts while living in Faerie so they’re bending the rules and live together in a little cottage that is neither on mortal nor fey land. 

Sofiane/Victor/Luisa (Mortel)

Status: Implied

Description: Luisa and Victor are in a canon relationship, Sofiane is very very cool with being their third wheel. They are shown being incredibly intimate and tender with each other throughout the series, especially by the end. In a meta context, Sofiane's relationship with another character ends as he gets closer to Luisa and Victor. 

[dramatic-delirium]

Plz ignore I'm trying to make a tag index and ittll take timeeee

Actual posts

Migs (my mortel enemy needs a tag)

Art reblogs

Text post/memes reblogs

Fandom

Misc

Cats

Fishes

Flowers

[fragodot]

Credo

Souviens-toi par-dessus tout, Petit, qu'écrire n'est pas

Difficile, n'est pas douloureux, que ça jaillit de toi

Avec aisance, que tu peux balancer une petite histoire à toute

Vitesse, que lorsque tu le fais ouvertement, lorsque

Tu veux imprimer une vérité, ce n'est pas difficile,

Pas douloureux, mais facile, plein de grâce, saturé d'une douce

Puissance, comme si tu étais un clavier doté d'un stock

De littérature illimité, énorme, infini

Et riche. Parce que c'est vrai , parce que c'est ainsi. Ne l'oublie pas

Dans tes moments plus sombres. Fais chauffer ton truc,

Touche juste, à l'américaine, tu te fous des critiques, tu te

Fous des thèses universitaires mortelles des professeurs, ils ne

Savent pas de quoi ils parlent, ils sont

À côté de la plaque, ils sont froids ; tu es chaud, tu es

Bouillant, tu peux écrire à longueur de journée, tu sais ce que

Tu sais ; souviens-toi de ça, Petit, et quand

Tu as l'impression de ne plus pouvoir écrire, que ça ne sert

Plus à rien, que la vie ne vaut rien, relis ça et

Comprends que tu peux faire beaucoup de bien dans ce

Monde en révélant des vérités de ce genre, en répandant

La chaleur, en essayant de prêcher la vie pour le bien de la vie,

Pas à la facon des intellectuels, mais à la façon chaude, à la façon

De l'amour, à la façon qui dit : Mes frères, je vous accueille

À bras ouverts, j'accepte vos faiblesses, je vous offre

Les miennes, accordons-nous et jouons toute la gamme

De la riche existence humaine. Souviens-toi, Petit : l'aisance, la

Grâce, la gloire, la grandeur de ton art ; souviens-toi

De ça, n'oublie jamais. Souviens-toi de la passion. N'oublie pas,

N'abandonne pas, ne néglige pas. C'est là,

L'ordre et le dessein ; le chaos est là, mais pas en

Toi, pas au plus profond de ton cœur, pas de chaos,

Seulement l'aisance, la grâce, la beauté, l'amour, la grandeur... Petit,

Tu peux balancer une petite histoire, une petite vérité, tu peux

Balayer le plancher avec une petite histoire à toute vitesse ; c'est

Du gâteau, tu es un flot de douce puissance froufroutante,

Tu es un écrivain, et tu peux révéler quelques trucs bien

Méchants, et tu vas en révéler des tonnes, parce que

C'est toi, et ne l'oublie pas, Petit, ne l'oublie pas ;

S'il te plaît, s'il te plaît, Petit, ne t'oublie pas ; sauve-le,

Sauve-le, préserve-toi ; révèle toutes

Ces sales petites histoires méchantes par douzaines, c'est facile,

C'est la grâce, c'est à l'américaine, c'est la touche juste,

Vends la vérité, car elle a besoin d'être vendue. Souviens-toi, Petit,

De ce que je te dis cette nuit ; ne l'oublie jamais, lis-le

Sans cesse dans tes moments plus sombres et jamais, jamais

N'oublie... jamais, jamais, jamais n'oublie... S'il te plaît,

S'il te plaît, Petit, s'il te plaît...

[linsaad]

Lo que el arte te permite es tener la sensación de ser a la vez eterno y mortal, es algo aterrador y doloroso pero también un sentimiento extraordinario. Admirar una obra es rechazar la muerte, es dejar vencer a la vida.

# Kaouther Adimi

Ce que vous permet l'art, c'est d'avoir le sentiment d'être à la fois éternel et mortel, c'est quelque chose d'effrayant et de douloureux mais aussi un sentiment extraordinaire. Admirer une œuvre, c'est repousser la mort, c'est permettre à la vie de gagner.

#Kaouther Adimi