#mon passé pour ma future
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Mon Passé
Mon Présent
Mon Avenir
Pour Résumer
Mon Passé
Pour
Ma Future
Concernant ce que tu as/peut/pourras lire ce n'était que deux mots que j'assume (maintenant) pleinement car il ne sont que deux definitions véridiques d'une réalité dont maintenant je me refuse à être le seul à porter le secret et les multiples souffrances passées qu'elles soient psychologique, physiques et cætera. Je les répète sans honte. Enfin oui pour l'auteure et l'auteur qui ne sont ce qu'ils ne sont pour moi que sur le papier, j'ai assez confiance en la génétique pour que les gênes puissent suffisamment muter à la création d'un nouvel être humain pour qu'il en soit un totalement différent. Ça s'appelle l'inné. Des décennies de vécu ont confirmées mon étrangeté. Ça c'est l'acquis. Dans cet acquis il y a quelques mots. Juste des vérités incontestables. Juste des incontestables vérités. (Parmi d'autres) :
Maltraitance parentales (on va dire en tout genre dans un milieu bourgeois et favorisé et (je dis ça sans plaisanterie ;) avec amour , juste qu'on a pas la même vision de l'amour,
Violes psychologiques (le mot psychologique est pour respecter ceux ou celles qui en on subient un physique (c'est déjà trop) plusieurs (là l'indicible devient inexplicable, inracontable, inimaginable, inhumain... le mot psychologique est aussi une pudeur, une dernière, la dernière. Devant ce mot le mot exact est incesteS (psychologique) .
(Tellement) plus classiques je croyais ça banal, normal même, puisque mon père disait (sans le jamais le dire, drôle de façon que je respecte pourtant au moins je n'ai pas ces mensonges qui résonnent dans tête et je peux comme homme utiliser ce mot vierge et pur pour moi) qu'il m'aimais...à ça façon... à grands coups de claques, bien souvent ça se limitait à ça c'était juste un peu virile et plus frequent (appartées on appelle ça battre son enfant, choses aussi aggravante pour ce pauvre type que parlante sur lui, sa femme qui lui donnait souvent les "raisons" (mon cul!) de le faire et lui demandait d'arrêter quand elle avait envie d'aller se coucher pour dormir du sommeil du juste, et pour l'ensemble des témoins des hématomes que l'on voyait parfois sur mes joues le lendemain au collège ! Appelons ça des bleus que camarades de classe et tout les adultes none atteint de cécité voyaient. Par contre la cécité morale, le courage, la notion de mission dans son (pauvre) métier et sa (pauvre) vie elles avaient jamais eu de problème ! J'avais une amie très intelligente qui était dans ma classe de la maternelle à la fin du lycée, on habitait depuis toujours à 30 metre dans la même rue, sa mère me connaissait très bien, elle a été mon prof de catéchisme, représentant des parents d'élèves, en primaire, puis au lycée ou elle a été ma prof d'anglais et professeur principale, à part ça c'était une femme de tête surtout pour appeler mes parents qu'elle pouvait mener par le bout du nez...quand c'était pour me faire aller à son église le dimanche matin... que dieu ai pitié d'elle !...
Donc mon père c'est fait mais pas fini (pourtant une simple phrase comportant un mot clé du type "pardon" "excuse" "regret" au singulier je m'en fou si c'est ça sa limite, je lui demande pas une prière en latin qu'il préfère sans même le parler, ni un mot compte triple au scrabble, un poème vu qu'il comprend même pas les miens ou de l'humour il comprend a peine celui de tf1, n'a jamais compris le mien au point que je peux me foutre de lui depuis la nuit des temps face à lui pendant qu'il bouffe comme un porc devant tout le monde... quand il me gueulait dessus (il appelait ça un côté latin, pour ça oui je l'ai toujours entendu parler couramment) de préférence en me tenant et même si il beuglait près de mon oreille pour pas que j'en perde une miette mon nez sentais le repas que j'avais pas pu avaler comme son "vin de table"...je crois qu'il y a deux parenthèse à fermer) ). Trois petits points pour la forme et je reprends le tableau...que les rares de ma mère qui exteriorisait ses nerves parfois physiquement quand sa pudeur était (dépassée) impuissante à rester dans le cadre (débile)mentale (1) avec tout le respect pour ceux qui sont affublés de cette adjectif qui en dit en fait plus sur ceux qui utilisent ce mot réducteur qui ne résume en fait que les limites explicatives de personnes limitées , souvent diplômées médecins dans la médecine ou instituteurs, professeurs, enseignants (j'ai pas été plus loin mes limites du dégoût comme mon dégoût de leurs limites mon arrêtés là) dans l'éducation nationale... À chaque fois que j'entends (et c'est frequent) quelqu'un utiliser ce mot j'insulte consciemment ceux qui utilisent ce mot et qui en sont de vrais et chaque fois j'ai une pensée pleine de respect de gratitude de merci pour une phrase slogan de l'association de monsieur Lino Ventura qui a créé une association pour sa fille (qui pour moi était différente comme tout les êtres humains c'est tout, je le suis comme elle et toi aussi) :
"Vivre ensemble c'est pas débile"
Je referme cette longue parenthèse (moi aussi j'ai été obligé de relire pour savoir de quoi je parlais ou plutôt où j'en étais ;) sur ce que peut être l'amour véritable d'un père pour sa fille et revient (une première et dernière fois officiellement ma vie, comme je l'ai écrit récemment j'ai autre chose non pas à foutre mais à faire du temps qu'il me reste...à Aimer) à feu ma mère. J'ai ma conscience pour moi puisque je lui ai, heureusement, dit tout ça histoire qu'elle meurt moins bête, je ne pensais pas que ça arriverais...aussi vite. une fois comme lui ai dit souvent que je l'aimais, parfois avec ce simple mot, souvent avec des colliers de nouilles ça c'était un truc des maîtresses (mes seules qu'elle a jamais acceptée en fait ni virée de chez moi, pendant 20 ans là où j'ai dormi ou plutôt passé (sensé passé les dernières et plus beaux moments officiellement, j'étais insomniaque naturellement, trop d'idées dans la tête, puis j'avais peur des monstres encore plus quand j'ai vu des reportages dessus à la télévision puis aux cinéma où mes parents m'enmenaient souvent. C'était génial, vraiment. Juste que je me réveillais parfois dans mon vomi, en sueur, sans avoir fermé l'œil de la nuit ou avec 40 degrés de température et desallucinations visuelles avecdes monstres vues dans les fameux reportages. Des fois tout ça en même temps! Je crois que mon cerveau essayait avec ses petits moyens de leurs dire quelques choses! Mais quoi? Mes plus vieux souvenirs de nuits je les passait sous mes draps bien au milieu du lit, c'était mon enfer de canicule chaque nuit, toujours dos au mur en cas d'attaque, je manquais d'air frais et presque d'oxygène, pour survivre je formais en faisant un léger conduit avecdes plis de mes draps impossible à voir par les monstres qui voyaient forcément la nuit car ils existaient que la nuit. Le jour j'étais pénard ... pour d'autres angoisse. Quand ma mère passait me dire bonne nuit j'étais content mais c'était le top départ de l'enfer et je plongeait sous les draps. Elle disait que je "faisait sous-marin"! On dit que les enfants sont naïf, et les parents? Et puis c'était quoi un sous-marin? C'était étanche aux monstres? Si oui comment on y respirait? La réponse m'aurait aidé... ;) lol. J'avais un grand frère ce qui était super car je pouvais découvrir pleins de choses deux ans en avance, c'était mieux que rien. Lui aussi attendait que ça accélère à l'école du savoir. Je crois qu'il a passienté jusqu'au lycée en travaillant. Un peu comme moi sauf que je ne travaillais pas. J'avais dû mal à trouver une raison et comment avoir une moyenne de A+ en primaire. En CE1 j'étais dans une classe à deux niveaux. C'était vaguement plus intéressant les cours de CE2. Par contre en CE2 ca a été la double peine. Premier bulletin de CE2 : A+, commentaire de l'institutrice : "peut mieux faire s'il en a l'envie" ! J'aime pas insulter les femmes mais je le dis à elle comme à l'éducation nationale : "connasse !"...
Mais je m'égare je parlais juste de mon frère aîné qui avait eu la gentillesse de m'inviter à son club cinéma quand il est rentré au collège c'était une chance moi qui était en primaire en CM1! Le film :
"Les Dents De La Mer"...
Bon tout ça reste entre nous, après tout ce ne sont que des banalités que je vais publier en secret sur tumblr pour que ce ne soit jamais lu ni diffusé...
Donc (1) :) :... de la Maltraitance mentale. Après tout si ça la déroulait j'étais croyais elle peut-être que j'étais là pour ça "à portée de main" pour lui faire oublier sa jeunesse passée comme son amour passé pour un homme qu'elle a aimé et avec qui elle m'a fait avant qu'il la traite mal! C'est tout ce que je peux dire avec le must de français que j'ai appris à l'école comme à peu près tout le monde des pays "où c'est qu'on a la chance d'apprendre à écrire" c'est à dire les bases qui approximativement date de l'invention de l'écriture et des décennies de psychothérapie analytique. Je dis pas analyse pour pas recevoir la facture. Là par contre mon ignorance, mon manque de révision (mot toujours et à jamais théorique à mon esprit) et en parlant d'esprit : aux cours de catéchisme interminable donc mille excuses pour les crises de fous rires que j'avais à chaque notre père qu'on recitait à la fin de cette séance de torture hebdomadaire, mettons ça sur la puberté, mon sens critique, le stress de l'école, de ma vie familiale et cætera. Lincroyance en un dieu de carte postale n'a absolument rien à voir avec cela, je respecte absolument toutes les croyances, je connais le notre père toujours par cœur sans jamais le réciter, je ne suis pas hypocrite (moi!..) je vais parfois au cimetière ou je dépose des choses à des personnes et ceci ne regarde que moi. Je ne crois pas en un dieu, en tout cas pas plus qu'en un autre ou qu'en d'autres... je crois en quelque chose. "Dieu est Amour" on a au moins ce point d'accord. Simple parenthèse pour illustrer le fait que je confond le passage de la préhistoire à l'histoire avec la naissance du Christ plus facile à dater... je crois aussi aux extras terrestre, au surnaturel à certains monstres et surtout à l'Amour ! Ça s'est pas une croyance c'est une certitude ! sais absolument pas comment elle savait;) de maternelle, des poèmes, ça c'était mon truc
sont toujours présentes dans ma mémoire, mon corps en garde des cicatrices et maintenant je les arbore fièrement pour l'enfant que j'étais et aussi pour les autres enfants qui ont vécu des choses semblables. Je milite activement à ces sujets depuis très longtemps, maintenant les blessures sont cicatrisé mais j'arbore avec fierté les marques du/d'un/de mon passé simplement comme les souffrances indélébiles comme tout le monde en porte. Personne ne s'excuse d'avoir un nombril ! Mon corps porte juste d'autres traces, seules les plus profondes restent encore visibles, on ne peut voir celles de mon âme, juste les lire pour ceux/celles qui veulent et qui savent. Maintenant : Tant pis et fuck à ceux qui les ont fait (!), et tout leurs complices du Silence ou de la cécité familiale, morale, scolaire, médical, sociétale et cætera. Je sais que les hommes dans la haine resterons toujours à l'âge de pierre ne serait-ce pour continuer à faire le mal c'est à dire leur bien d'être mauvais pour leur jouissances malades de leur déséquilibres conscients et malsains.
Malheureusement pour eux et leurs mémoires auxquelles ils auraient dû penser avant leurs plaisirs violemment malsains et malsainements violents pour les corps et pour les esprits de leurs victimes impuissantes mais des hommes ont inventés l'écriture comme arme de la mémoire et de la justice.
Il arrive (qu')un jour l'enfant prend cette arme pour la vérité et sa justice comme pour surtout que d'autres enfants n'ai pas à en utiliser contre eux-mêmes faute de justice ou contre leurs anciens bourreaux pour faire justice eux-mêmes.
La peur doit changer de camp.
La peur a changé de camp.
La/es souffrances peut-être difficiles à voir mais je l'arbore comme une médaille que la vie m'a offerte. Si elle en ébloui certains ou certaines c'est que leurs cœurs ont été entachés par des noirceurs de leurs âmes, si t'en est qu'ils en ont une.
La mienne pécheresse n'a jamais eu besoin de religion pour chercher un pardon et échapper à l'enfer qu'ils ont créés de leurs vivants, je me confesse chaque jour auprès de ma conscience innocente. Je m'excuse dès que je peux avec mes mots, au pire des cas dans le silence et ma Solitude qui est la seule à voir mes larmes quand j'ai fait un tort et que la personne que j'ai blessée ne peut m'entendre ou n'est plus là à portée de voix ou de mots à temps car je ne l'ai pas été.
Enfin je ne parle même pas de mon grand frère qui ne m'a jamais protégé ni réagi ou combattu les monstres ce qui fait leur complice et presque leur coauteur. Aujourd'hui il repridroduis la maltraitance sans violence physique ni inceste psychologique mais à sa manière qui n'est vraiment pas très belle, je l'ai vu quand je le voyais et maintenant depuis presque mes vingt ans je l'ai vu maltourner, et depuis beaucoup d'années il est infecté avec moi et à dépassé le stade de la maltraitance vis-à-vis de moi. Actuellement c'est insupportable et invivable les choses qu'il m'impose et me fait supporter sans aucune autre raison que son propre plaisir de malade mental agressif, vu cieux et malsains comme malveillant...
Au moins j'ai un (grand) sens de la justice.
Je vais dans son sens. Des fois avec le temps, mais avec/grâce à lui je peux (me) regarder en arrière sans baisser les yeux, bien agir au présent avec chacun/une en le/a regardant dans les yeux, on peut me faire confiance les yeux fermés et je peux préparer un avenir heureux en le regardant droit devant. Les yeux en face.
Le vendredi 19 mai 2023 3heures09.
Brouillon écrit d'une traite que je ne reprendrai pas. Quand on vomi c'est pas pour faire un beau truc qu'on trie pour faire joli. ça fait juste du bien quand c'est fini.
Stéphane
#mon passé mon présent mon avenir#mon passé pour ma future#vérités#à prendre ou à laisser#déclaration du passé#demande d'avenir#déclaration d'amour#demande d'amour#faites l'amour pas la guerre#la guerre est déclarée#ja paix est déclaré#proclamation#proclamation d'amour#je te demande pardon pour tout ce que j'ai vécu#amour#violences physiques#violences verbales#violences psychologiques#violences#violences sexuelles psychologique#écris avant mes 50 ans#je sais que c'est moche à lire mais c'est ce que j'ai vécu si tu vis avec moi tu sera toujours belle#que la vérité se sache qu'elle soit dites qu'elle soit retenue#pour que ça n'arrive jamais à personne#plus jamais ça#accepte mon passé vivons au présent donnons nous un futur#maintenant c'est à toi#tu as tout#ce que tu as lu est la vérité ma question j'attends ta réponse#stéphane
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A Closer Look at Belle's Book: Part II
In Part I, I went into some detail about the illustration inside Belle's book, but now I want to turn the page, so to speak.
Thanks to the magic of 4K, I was able to zoom in on some details in Beauty and the Beast that I had never noticed before, and this time I wanted to see what story Belle was reading. I've seen theories that it was either foreshadowing Aladdin or referencing Sleeping Beauty, and I myself noticed that it bears some artistic resemblance to Snow White... but it turns out that it has nothing to do with Disney, or its fairy tales.
It's something else entirely, and it's in French!
After zooming in and studying each frame, I managed to make out the following text:
une languissante sirene! Enfin, il sera bientôt heureux, si c'est là ce qui doit causer son bonheur. Je sais que je suis agréable à regarder, puisque j'y ai du plaisir moi-même, et de ce plaisir je ne priverai pas mon mari, au contraire. Je ne sais si je l'aimerai, je l'espère; mais je veux qu'il m'aime lui, et je ferai pour lui plaire tout ce qui lui plaira. Ah! chère Adélaïde, je suis pleine de rêves absurdes et de pensées contradictoires! Je songe à des choses qui me semblent à la fois douces et vilaines, et j'ai des imaginations qui me font rougir en même temps que pleurer! Au moins, je ne m'ennuie pas. Je vis plus en une heure de ces journées que l'an passé je ne vécus en toute l'année. Chaque heure me renouvelle, me grandit et m'épanouit. Je me semble un rosier qui fleur rirait à vue d’œil, je suis fraîche et parfumée; je suis légère et forte: j'attends le bonheur. Paul est plus beau que je ne l'avais encore jamais tu. Il est pâle avec de grands yeux pleins de fièvre et d'amour. Je le trouve sublime quand il s'agenouille près de moi pour me regarder comme en prière. J'ai envie de le prière aussi, parfois, et de coucher ma joue sur ses genoux, mais quand j'ai cette envie-la, je me fâché contre moi-meme et je boude Paul.
Which, roughly translated into English, means:
a languid siren! Finally, he will soon be happy, if that is what will make him happy. I know that I am pleasant to look at, since I take pleasure in it myself, and of this pleasure I will not deprive my husband, on the contrary. I do not know if I will love him, I hope so; but I want him to love me, and I will do whatever he pleases to please him. Ah! dear Adelaide, I am full of absurd dreams and contradictory thoughts! I think of things that seem to me both sweet and ugly, and I have fantasies that make me blush and cry at the same time! At least, I am not bored. I live more in one hour of these days than I lived in the whole year last year. Each hour renews me, makes me grow and blossom. I seem to myself a rosebush that blooms laughing before my eyes, I am fresh and fragrant; I am light and strong: I await happiness. Paul is more handsome than I have ever seen him before. He is pale with big eyes full of fever and love. I find him sublime when he kneels down next to me to look at me as if in prayer. I want to pray to him too, sometimes, and to lay my cheek on his knees, but when I have this desire, I get angry with myself and I sulk at Paul.
By the way, there is one more sentence (maybe even two) at the bottom of the page that is partially obscured by Belle's shoulder and right hand. It may or may not be important to the rest of the excerpt, but for completion's sake, I'll share it here:
Il est ... maintenir un homme dans les ...
Which translates to:
He is ... to keep a man in the ...
Intriguing, isn't it? What was she trying to say?
Overall, the author appears to be an unwed woman dreaming of her future marriage to a man named Paul. Her confidante is someone named Adelaide, but I suspect she is actually writing to herself. Regardless, she is either betrothed to Paul or she longs to be, since she calls him her husband. Perhaps it is an arranged marriage? She goes on to dwell upon his handsomeness, and how she longs to be close to him, but then she gets angry at herself for feeling this way. The last line of the passage is incomplete, but my best guess is that the author is saying that Paul is not to blame for her sulking, so it is not right to keep a man in the dark, i.e. ignorant. I could be wrong, though. In any case, she is conflicted about her feelings on the matter. You could even say that her feelings are "new, and a bit alarming".
I can see why the filmmakers chose this passage for Belle's book.
It may not be a fairy tale, but it certainly has elements from the film. There are references to beauty, roses, imagination, and eyes filled with love, and passion.
Belle:
"Oh, isn't this amazing? It's my favorite part because—you’ll see Here's where she meets Prince Charming But she won't discover that it's him 'til Chapter Three!"
Do the lyrics match the story hinted at on the page itself? No, but I really respect the filmmakers for going out of their way to include this kind of detail in the film. They could have taken the easy way out, by writing out something like "Once upon a time" to echo the opening narration, or used "Lorem ipsem" Latin filler, or even meaningless brush strokes just to fill the page... but they didn't. They chose something in French that Belle herself might have liked to read. And I think that's really cool.
#belle's book#disney belle#blink and you miss it#blink and you miss it batb#disney beauty and the beast#beauty and the beast#batb 1991#disney batb#disney art#disney closeup#disney gifs#disney belle pink dress#new and a bit alarming
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J'ai été déçue tellement de fois par tellement de monde pour tellement de choses. À vrai dire, je pense rarement à mon passé, les gens autour de moi, que je les connaisse ou pas, y pensent certainement davantage. J'avais rendez-vous avec une potentielle maître de stage aujourd'hui alors je m'y suis rendue. Le stage concerne un service de réanimation pédo-psychiatrique. Je n'aurais jamais pensé qu'un personnel de santé qualifié et réputé me parle comme si j'étais mon passé, mes cicatrices, une vulgaire maladie. J'ai toujours pensé que je me devais d'être transparente envers les personnes impliquées dans ma vie, peu la sorte d'implication. J'ai toujours été honnête sur mon passé, ouverte pour en parler, pour rassurer, pour me laisser connaître. Aujourd'hui, j'ai continué sur cette lancée et j'ai été honnête avec cette dame. J'ai commencé par lui dire que je trouverais ça plus approprié de venir manche longue lors des consultations où les adolescents pouvaient vivre des épisodes de mutilation pour éviter la fascination, de l'angoisse, des pulsions. Cependant, au lieu de me donner son avis sur cette pensée, elle m'a plutôt dit que faire mon stage dans ce service me ramènerait à mon état, que je n'arriverais pas à tenir ce stage, à vivre la douleur des autres sans penser intensément à la mienne, que je ne serai jamais guérie, que j'étais fragile, qu'il fallait que je me préserve, que je ne serai jamais psychologur ou jamais une bonne psychologur du moins. Je me suis demandé si se préserver c'était s'empêcher de vivre par peur infondée de recroiser un embryon de notre passé dans chaque situation future. J'ai senti une colère et une déception vertigineuse, tout ça pour ça alors ? Avoir été mal ne serait que finalement une entrave supplémentaire au fait d'exister ? Si je n'avais pas eu de cicatrices, elle n'aurait jamais été sur ce terrain affectif malsain. On ne lit que très rarement les traumas des gens sur leur corps. Un viol ne se devine pas, une tentative de suicide ne se devine pas, une rupture amoureuse ne se devine pas, une addiction non plus mais des cicatrices oui. Pourtant elles seront là toute ma vie. Et même des années après, je n'ai jamais trouvé le moment pour en avoir honte. Mais tout ces efforts pour quoi ? Ces années de thérapie à me soigner, ces internements forcés privée de tout à être contrainte de réfléchir, toutes ces études, tout ce travail sur moi pour quoi ? Pour quoi faire si finalement au yeux de tout le monde je reste qui j'ai pu être et surtout ce que j'ai eu ? J'ai pleuré parce que je pleure souvent en ce moment et parce qu'on ne m'avait jamais autant déshumanisée que pendant ces 45 minutes d'entretien. J'ai tenu bon, le regard sec, fixe, attentif, les déglutitions douloureuses et les tempes qui battaient fort dans mes lobes temporaux certes parce que je n'ai rarement autant rien eu à prouver qu'aujourd'hui. J'ai fait ma part du travail. Personne n'a aucun traumatisme et aucune manière d'être certain qu'il ne sera pas réactivé ou juste recroisé de loin, pour autant, arrêtons-nous de vivre ? Qui est ce que je dois protéger en renonçant à ce stage ? Moi ? Les patients ? Un personnel de santé incompétent ? On nous dit de vivre pour nous, librement et qu'aller mal n'est que le reflet d'aller bien, pourtant, ma condition d'adolescent malade me suivra sûrement à vie. Je ne pensais pas arriver au stade où je devais justifier que je ne me tuerai pas à la moindre plaie, aux moindres mots forts, à la moindre détresse apparente. Ça m'a fatiguée. Je suis profondément fatiguée.
Les personnes les moins humaines sont celles que j'ai le plus côtoyé dans le milieu du soin. Je repense souvent à cette médecin des urgences qui a dû me recoudre sur 20cm de mon avant bras et sur deux plans de ma peau. Avoir m'avoir répété sur je prenais la place des autres et que j'étais folle, elle m'a recousu à vif, sans anesthésie en me disant "tu voulais souffrir en faisant ça hein ? Alors tu vas vraiment souffrir". Je repense à ma psychiatre qui m'a fait interner, qui a fait signé les papiers à mes parents dans mon dos et qui les a obligés à me conduire à l'hôpital psychiatrique alors qu'on était censés faire une balade. Je pense à cette psychologue qui m'a obligée à rester assise pendant des heures devant mon assiette pour me forcer à la manger. Je repense à cette infirmière qui a soupiré quand il a fallu m'amener me faire recoudre au service juste en dessous de l'hp, elle m'a dit d'y aller seule. Je repense à toutes l'équipe de soin qui m'a gardée jusqu'au jour de mes 18 ans pour me faire sortir le lendemain juste pour que je le fête là. Je suis en colère si fort parce que je n'ai jamais rien dit, j'ai obéi, j'ai fait alors que j'avais le cœur fracturé. Tout ça pour ça.
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01/11/2024 (French)
Aujourd'hui, je suis un peu fatigué, donc j'ai pas fait grand-chose. Mais il y a deux jours, j'ai regardé le film Amélie (2001) avec mon mari, alors j'ai décidé de l'utiliser pour étudier. Cet aprèm, j'ai trouvé environ huit vidéos sur YouTube sur le film et je les ai utilisées pour trouver du nouveau vocabulaire ou des phrases courantes. Voici mes notes tirées de ces vidéos : Croiser - pass by Ça arrive - It happens Ça t’est déjà arrivé ? - Has that ever happened to you? Ça m’arrive de temps en temps - That happens to me sometimes C’est comme si... - it’s as if Rendre visite - visit a person Futur proche = utilisé plus fréquemment que le futur simple à l'oral On = utilisé plus fréquemment que « nous » dans les conversations Un type - a guy (slang) En gros - basically Bref - long story short Au fur et à mesure - bit by bit Une ardoise - tab or slate Un chef-d’œuvre - masterpiece
Les expressions du temps : Dans + durée - pour exprimer le temps qui nous sépare d’un événement qui n'a pas encore eu lieu e.g. Le film commence dans 5 minutes. e.g. Dans 48 heures, le destin d’Amélie Poulain va basculer.
Depuis + durée / date - pour exprimer la durée d’un événement qui continue au moment où l’on parle e.g. Je vis à Londres depuis 2015 (date) e.g. Je vis à Londres depuis 9 ans (durée du temps) e.g. La femme du voisin, dans le coma depuis des mois… e.g. Depuis toujours !
En + durée - pour indiquer le temps nécessaire pour accomplir une action e.g. J’ai fait ma valise en 10 minutes e.g. En une seconde, tout revint à la mémoire de Bretodeau
Pendant - pour exprimer la durée d’une action (dans le présent, le passé ou le futur) e.g. J’ai attendu pendant une heure e.g. J’avais pris du crack pendant que j’étais enceinte.
Ça fait + durée - pour indiquer le temps qui nous sépare d’un événement passé et accompli e.g. Ça fait un an que je n’ai pas voyagé e.g. Ça fait vingt ans qu’il évite de sortir de chez lui e.g. Ça fait longtemps qu’il fait cette collection ?
Il y a - pour indiquer la durée entre un événement passé et accompli et le moment où l’on parle e.g. Il y a 10 ans, je vivais à Paris e.g. Il y a une quarantaine d’années
Pour + durée - pour expliquer une durée dans le futur e.g. Je pars pour 10 jours.
La plupart de ces informations ne sont pas nouvelles pour moi, mais les vidéos étaient bonnes pour les révisions et pour une journée moins oú j'étais moins motivé.
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Ce soleil dans ma vie,
C'est à toi que je le dois.
Tu as fait de ma vie
Un rêve merveilleux
Que je vis dès que j'entends ta voix,
Dès que tu m'emprisonnes
Par la douceur de tes baisers,
Par ta tendresse.
Avant toi, je n'ai connu que les larmes
Et les détresses
Mais, jour après jour, tout doucement,
Tu as transpercé mon coeur,
Pansé les plaies du passé
Et montré le chemin du bonheur.
Au coeur de l'hiver,
Tu as fait de ma vie un oasis en plein désert,
Fait jaillir la couleur du futur,
Mis une telle lueur sur mon trottoir
Et un tel feu dans notre histoire
Que j'ai encore du mal à y croire...
Merci mon Magicien
Pour tant de bonheur
Je n'y croyais plus...
- Marielle -
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Cette image que me renvoie le miroir depuis des mois, je la déteste ! En plus de vieillir, de voir mon visage s'affaisser, mes cernes se gonfler sans disparaitre au bout de quelques heures, c'est mon ventre qui désormais est gonflé, ma peau qui perd de son élasticité. Je sens le processus de vieillissement s'accélérer depuis que je suis en ménopause. Je me regarde dans le miroir et je trouve logique que personne ne veuille de moi. Moi même, je ne veux pas de moi !Sur les réseaux , c'est si simple d'avoir des compliments. Les hommes en font bien plus que dans la vie. Quand ils me disent que je suis belle, je sais qu'il espère quelque chose qui n'a rien à voir avec cette beauté qu'ils mettent en avant. Pour eux, une belle femme, c'est une femme qui dit oui à leurs avances. N'importe quelle femme peut faire l'affaire. Je ne suis jamais flattée par le compliment d'un homme qui ne me connaît pas réellement.
Je suis bien plus que ce corps que je n'aime pas. Bien plus que ce visage qui ne laisse plus de doute sur mon âge. Je suis une âme, je suis un esprit, je suis un passé et un futur. J'ai appris tant de choses, je cultive l'humour, je sais aimer plus que de raison. Mais qui fait encore attention à tout ceci dans un monde où l'apparence et le sexe facile sont légion ?
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À un ami qui me demandait l’autre jour comment j’allais, et pour ne pas lui répondre impeccable, ce qui aurait rompu nos retrouvailles, je lui dit que je venais de recevoir des résultats d’analyses sanguines, et que faute à une bactérie rare, on allait devoir me retirer les poumons, les deux, d’ici le mois prochain. Je racontai ça avec un air las et en regardant mon verre. Le serveur vint s’enquérir de nos choix de menus. Mon ami, qui m’avait confié, gai, vouloir tâter du tartare de bœuf, se rabattit sur autre chose.
N’ayant jamais été très doué en mensonges, je m’inquiétais pour la suite de la conversation. Naturellement, mon ami, passé quelques minutes de stupeur, me demanda comment il me serait possible de vivre sans poumons. Par chance, je travaillais comme correcteur pour un groupe de presse médicale, axé sur diverses spécialisations, dont la pneumologie, et il me fut facile de piocher ci-et-là dans mes souvenirs de lecture pour crédibiliser mon propos. Aussi me mis-je à lui parler d’un nouveau protocole de greffe de poumon externe, inspiré d’une ancienne machine qui avait fait son temps, et qui permettait à des patients souffrant d’une insuffisance de la ventilation pulmonaire de continuer à respirer. Cette invention, lui disai-je, consistait à remplacer les deux poumons malades par une grande poche – noire, précisai-je, de couleur noire et d’une matière proche du cuir – fixée sur le thorax, juste en dessous du sternum, et qui, par un système de pompe régulant la pression artérielle, assurait l’oxygénation du sang dans l’ensemble du corps.
Durant le reste du repas – ainsi nourri d’une riche conversation – mon ami s’efforça de me rassurer.
Rentrant chez moi, j’informai ma femme de ma future opération pulmonaire. Elle me demanda si, enfin, j’avais trouvé une nouvelle idée de roman. Je la vis, machinalement, prendre un tire-bouchon et commencer à ouvrir une bouteille de vin rouge. De nouvelle, peut-être, temporisai-je en levant les bras, peut-être simplement une idée de nouvelle. Elle me regarda, sembla jauger quelque chose, puis évacua tout de même le bouchon. Nous nous organisâmes ensuite pour véritablement faire croire à cet ami que j’allais, d’ici le mois prochain, respirer via des poumons artificiels, et, l’espace d’un instant, durant l’opération, en effet, prendre le risque de mourir, quitte à gâcher son mariage qui aurait lieu la veille, le 15.
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à toi
Je me le promets. Je me le promets pour de vrai.
Je me promets de te laisser partir. Je me promets de te laisser t’en aller, comme tu me l’as demandé.
Cela fait des semaines, des mois, plus d’une année que je mène une lutte contre moi-même, entre le cœur et la raison. Quand l’un te veut auprès de lui, l’autre me supplie de te laisser partir. De te laisser appartenir au passé, là où tu as existé et brillé si fort qu’un futur sans toi me semble impossible.
Oui, on s’est aimé fort, si fort, peut être un peu trop fort pour ce monde qui a pourtant besoin de douceur et de calme. Les tempêtes ne peuvent pas durer éternellement, elles ne doivent être là qu’un temps. Et toi tu as été là, tout près de moi, à raviver la flamme et l’essouffler l’instant d’après.
Je ne t’en veux pas. Nous avons fait du mieux que nous pouvions pour nous aimer correctement. Nous avons affronté des tempêtes trop violentes, trop destructrices, qui ont surement eu raison de nous. Mais au-delà de tout, c’est nous-même que nous avons dû affronter. Toi et moi, tes blessures et les miennes. Deux cœurs qui s’aiment, mais qui s’aiment mal.
Je n’oublierai jamais à quel point tu m’as rendu heureuse. A quel point t’avoir rencontré a bouleversé mon existence car il n’y a qu’auprès de toi que je me sois sentie aussi vivante. Tu m’as appris à sourire, à rire comme jamais je n’avais pu le faire avant toi. Tu as été mon oxygène, et sans aucune difficulté je peux le dire ; tu as été ma raison de vivre. Quand tout mon monde s’est écroulé, je n’avais plus que toi, je ne voyais que toi. Tu m’as redonné de l’élan quand je ne savais plus courir, tu m’as redonné des raisons de rire quand je me terrais dans le silence.
Jamais je n’oublierai les sentiments que j’ai éprouvé pour toi, à quel point ils étaient forts et intenses et de quelle manière j’aurais tant voulu continuer à t’aimer. Souvent je pense à ce qu’on aurait pu être si on avait lutté encore un peu plus contre la vie. Mais la réalité, c’est que cette séparation était nécessaire pour nous permettre de nous connaître, pas en temps que couple, mais en tant que personne. Toi avec toi, moi avec moi.
Car en dépit de tout l’amour que tu m’as apporté et de tous les sourires que j’ai pu t’adresser, je me souviens maintenant des larmes, des cris, de mon cœur qui s’est brisé à maintes reprises quand je voyais notre amour se détruire sans que nous puissions faire quoique ce soit pour stopper sa chute. Nous n’étions pas assez fortes pour lutter contre ça, ou peut-être que nous ne devions finalement pas être « la personne ». Peut-être que le bonheur est ailleurs. Auprès d’une autre âme, auprès d’un autre cœur, auprès d’un autre corps.
Ces mots sont durs à écrire et pourtant, je me dois de les accepter. Parce qu’ils reflètent ta réalité. Tu es partie, tu es partie quand je te suppliais de rester. Tu m’as laissé seule alors que j’avais tant besoin de toi. Tu m’as dit que je n’étais peut-être pas l’amour de ta vie, et que tu n’arrivais plus à me considérer comme tel. Tu m’as dit que tu revenais sur toutes tes paroles car elles avaient été prononcées quand tu m’aimais encore. Sans rien dire, tu venais de tout dévoiler. Tu ne m’aimais plus, tu ne m’aimes plus. Ta vie est ailleurs, auprès d’une autre, alors que j’attends inlassablement ton retour, me persuadant que tu ne fais pas partie de ces âmes à chuchoter des promesses sans les penser au plus profond de ton être. Mais la réalité c’est que tu es comme ça. Tu fais partie de celles-là.
Je ne t’en veux pas d’avoir tourné la page. Je m’en veux d’avoir été assez folle de toi pour croire que tu aimais de la même manière que moi. Parce que quoiqu’il arrive, quoiqu’il puisse se passer, c’était toi, ça l’est et ça l’aurait toujours été. Car tu aurais toujours été mon choix. Toi.
Mais je me promets de me choisir, cette fois. Quand toi tu ne l’as pas fait, quand toi tu m’as délaissé et que tu as décidé de t’en aller. Je me promets de me choisir assez fort pour ne pas oublier à quel point notre histoire, certes passionnelle, était accompagnée de trop d’orages.
Pour me rappeler toutes ces fois où tu n’as pas su me faire confiance. Toutes ces fois où tu me croyais capable d’entretenir de l’ambiguïté avec mes plus proches amis. Toutes ces fois où tu m’as demandé de changer, de cesser de me comporter comme je l’avais toujours fait avec eux. Toutes ces fois où tu ne m’as pas soutenu quand j’en avais le plus besoin, car ta peur du changement et de l’évolution étaient plus importantes que ma construction personnelle. Me rappeler de toutes ces fois où tu m’as fait me sentir comme une moins que rien car ta jalousie était justifiée, car fouiller dans mes affaires était banalisé, car ne pas me faire confiance alors que je te donnais tout n’était pas suffisant. Toutes ces fois où tu m’as fait sentir que j’étais un poids parce que je ne respirais pas la joie de vivre comme toi tu le faisais. Parce que j’étais anxieuse, rêveuse, et que je me questionnais sur ma propre existence. Toutes ces fois où j’aurais eu besoin que tu me soutiennes mais où tes blessures prenaient toute la place.
Pour toutes ces fois où je me suis sentie mal d’être qui j’étais, je me promets de me choisir, cette fois. Tu ne seras plus ma priorité. Tu ne seras plus ma fatalité. Si la vie doit se faire sans toi, elle se fera. Je ne quémanderai plus ton amour, je ne chercherai plus ton attention, je n’attendrai plus rien de toi, ni ta bienveillance, ni ton souci, ni ton amour. Je tournerai la page, et comme toi un jour, je me dirai « je ne l’aime plus ».
Tu resteras toujours au creux de mon âme, parce que tu as pris un bout de mon cœur en t’en allant. Mais j’arriverai à penser à toi sans m’effondrer parce que tu n’es plus là. J’accepterai que tu ais eu ta place dans ma vie à ce moment précis, mais que tu ne dois plus en faire partie.
Et puis, si un jour nos chemins se recroisent, je souhaite que ce soit dans de meilleurs conditions, pour une meilleure vie.
Mais je me promets de ne plus attendre ce moment. Je me promets de ne plus t’attendre, mon amour.
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Des nouvelles de l'écriture
Un "petit" mois, ce septembre à 14 500 mots, mais surtout très éparpillé - j'ai eu du mal à me concentrer sur un seul projet, Springbreak me fai(sai)t de la résistance, et dans ma frustration je suis partie à droite et gauche.
Pas de façon trop improductive quand même, j'ai quand même écrit et publié De la cosmographie, bien avancé le Fake Fake Dating et donné une forme à la petite troisième partie des Voies.
J'ai aussi écrit une scène qui m'amuse d'une fic potentielle, mais qui risque de ne rester que potentielle, où Obi-Wan rajeunit temporairement vers ses 19 ans :D
Springbreak a enfin daigné se débloquer un peu avant-hier, et j'ai une meilleure idée d'où je vais - il était temps, j'ai écrit plus de 18 000 mots et je n'en ai gardé que 12 000 pour le moment !!! Le problème de cette fic, c'est que c'est une ~vibe~ plus qu'un scénario, sauf qu'à 12 000 mots, il faut que je sache un peu mieux ce qu'il faut que je raconte, quoi...
Et parce que donc, cette fic ne restera que potentielle, mais que ça m'amuse, la fameuse scène de Babywan :
Obi-Wan n'était pas idiot, il comprenait parfaitement l'argument du Conseil. On ignorait s'il venait du passé ou si c’était juste une transformation plus ou moins temporaire, on ignorait ce qui arriverait à cette réalité s'il en savait trop. Et il avait bien réalisé que quelque chose d'énorme, de terrible avait dû arriver. Tout le monde devait probablement discuter de la démarche à suivre... Et il se plierait à leur décision, bien sûr.
On n’allait quand même pas l’enfermer éternellement au temple, de toute façon. Il espérait, en tout cas.
Mais il y avait une chose, une qu'il devait savoir et qui n’aurait aucune influence sur l’avenir.
Alors, au cœur de la nuit, quand il fut sûr et certain qu'Anakin Skywalker dormait, il sortit de la chambre de son futur lui avec toute la discrétion du monde et se rendit directement au communicateur holographique. Il se positionna de façon à voir la porte de la chambre de Skywalker, juste au cas où, avant de chercher la fréquence de com qu'il lui fallait.
Il avait une question, et il ne pouvait la poser qu'à une seule personne.
— Oh putain de bordel de merde, souffla Quinlan, les yeux écarquillés, avant d'enchaîner dans une langue qui ressemble furieusement à du hutt. Alors ce n'était pas une blague.
— Douce Force, tu es tellement vieux, lâcha Obi-Wan malgré lui.
Bizarrement, ce fut à ce moment-là que la réalité de la situation se fit vraiment.
Il avait voyagé dans le futur.
Ou rajeuni.
Peu importait. Quinlan était vieux.
— Tu es un bébé, rétorqua Quinlan.
— J'ai presque dix-neuf ans, chuchota furieusement Obi-Wan.
— Un nourrisson !
— Tu ne disais pas ça hier quand j'avais ton pénis dans ma bouche.
Quinlan poussa à nouveau un chapelet de jurons en lui demandant de la fermer, Obi-Wan, pour l'amour de la Force, je me sens sale quand je vois ta tête d'adolescent innocent !
Il savait très bien qu'Obi-Wan n'était plus innocent depuis longtemps, il avait été là la première fois et beaucoup d’autres ensuite. Mais peu importait, ce n'était pas le sujet. Encore que… quelque part, si.
— Quinlan, il faut que je sache...
— Je ne peux rien te dire, interrompit celui-ci, soudain sérieux, sombre, si différent de son ami. Ce ne serait pas...
— Je sais, je sais, coupa Obi-Wan. L'avenir de cette réalité, etc. Mais là ça n'a rien à voir, un détail sans aucun impact, promis. Il faut que je sache. Quinlan...
Il prit une profonde inspiration et, pour bonne mesure, baissa encore la voix, l'œil sur la porte de Skywalker.
— Quinlan, est-ce que je couche avec mon ex-padawan ?
***
Ça n'aurait pas dû, mais c'était la question qui le taraudait depuis qu'il avait ouvert les yeux, étourdi, et qu'il s'était retrouvé face à cet homme absolument magnifique qui avait éveillé chez lui, immédiatement et sans aucune hésitation, un mélange d'amour et de désir d'une violence déroutante, et auquel il était connecté par un lien dans la Force complètement inattendu.
Heureusement, les boucliers d'Obi-Wan avaient toujours été impeccables et avant même de se demander ce qu'il faisait là, il s'était enfermé à double-tour. Ça n'avait pas été agréable, comme s'il n'avait pas l'habitude d'être aussi loin de cet homme dans la Force.
Mais ça avait été nécessaire.
Et tout avait été perturbant par la suite, mais pas autant que Skywalker toujours sur ses talons, à côté de lui, dans sa tête, prenant d'incroyables libertés avec son corps - Jamais il n'aurait saisi Maître Qui-Gon par le bras comme ça ! Ou les épaules ! Ou l'aurait regardé dans les yeux aussi intimement !
Il n'y avait qu'une seule explication, et elle était horriblement scandaleuse.
***
Quinlan le regarda fixement une seconde.
— Non, répondit-il enfin, tu me l'aurais dit.
Oh. Le mélange de soulagement et de déception le perturba beaucoup.
— Est-ce que je veux coucher avec mon ex-padawan ? demanda-t-il encore en retenant son souffle.
— C'est la question que tout le monde se pose, probablement toi aussi. Et Skywalker. Skywalker doit se poser la question depuis qu'il sait comment fonctionne son appareil reproducteur.
L'horreur d'Obi-Wan dut être visible, car Quinlan corrigea très vite :
— Non, non, ce n'est pas ce que tu crois, juste que Skywalker aimerait probablement bien que tu veuilles coucher avec lui.
— Oh.
Quand même.
— Écoute, reprit Quinlan, Skywalker et toi... C'est compliqué. Je ne veux pas t'en dire trop, parce que si, ce serait probablement jouer avec le feu de notre réalité, bien plus que tu le crois. Mais vous êtes particuliers, OK ? Ne t'inquiète pas.
Bizarrement, Obi-Wan trouvait ça encore plus inquiétant.
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N°1361 – Lundi 06 février 2017
Je sais que les relations du passé ont laissés des traces chez elle, autant que chez moi. Indirectement, certes, et sans que je ne le veuille. Ce n'est que depuis quelque temps que je remarque l'impact réel que cela a pu avoir sur elle. Or, cette fois-ci, ça ne sera pas pareille. Je dois lui montrer qu'il s'agit d'une bonne personne, que ça ne sera pas comme avant. Que je vais prendre mon temps et qu'il n'aura une mauvaise influence sur moi. Je ne veux pas quelle se fasse de films, qui pourront être des fausses idées. Si je ne tente pas, je ne saurai pas s'il est le bon, si nous pouvons aller loin ou non. Si mon coup de cœur du lycée peut devenir mon premier amour, alors je n'hésiterais pas une seule seconde. Je veux tenter, je veux voir ce que me réserve l'avenir. Je veux voir ce qu'il peut me donner, m'apporter dans ma vie. Je ferai en sorte qu'elle n'ait pas peur. Je sais qu'elle s'inquiète très facilement, qu'elle veuille que je tombe sur quelqu'un de bien. Je sais qu'elle ne veut que le meilleur pour moi. Mais en premier lieu, c'est à moi de choisir. De faire mes bases, mes expériences. Les décisions doivent venir de moi, de mon cœur. Personne ne pourra me dire quoique ce soit, car je suis la seule à pouvoir décider de mon futur. Nous verrons bien. Je prendrais le temps qu'il me faut pour avancer dans notre relation. Je veux, dans un premier temps, profiter de cet instant magique. De partager des moments de bonheur et d'amour. Savourer ses émotions délicieuses qui s'emparent de moi quand il est là.
Édit : Ce texte me rappelle plusieurs choses. Dans un premier temps, non, il n'a pas été mon premier amour, mais simplement une relation que j'ai tenté de réanimer et qui n'en valait pas la peine. C'est pas une légende, ne retournez JAMAIS avec quelqu'un du passé, ça ne fonctionne jamais. Mon premier amour, je le vis en ce moment même. Le seul et -j'espère- l'unique. Celui qui m'apporte tout ce dont j'ai besoin et qui m'aime telle que je suis, qui respecte ce que je suis. Dans un second temps, ça me fait penser que... je pourrais faire tout et n'importe quoi, ça ne sera JAMAIS à la hauteur de leurs espérances. Ca ne sera jamais le bon, jamais comme il faut. Jamais. Quel que soit le domaine qui me concerne. Rien n'ira. Alors, autant vivre ma vie comme je le sens.
Pensées du soir - 23.01.2024
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Ma fille un jour, tu grandiras (scénario)
TW : mort, forces de l'ordre
Sur Sinking Past, un forum surnaturel à Edimbourg, où on peut y jouer des personnages avec des dons d'empathie, de médium ou de voyageur de le temps, je cherche la fille de mon personnage Fergus!
Tu as vraiment kiffé Dark ou Outlander? Ou Corps, peut-être? Tu aimes les thrillers policiers, les voyages dans le temps? Ce scénario est pour toi!!!
Septembre 2033 : Tu avais dix ans, quand c'est arrivé, ton père a été frappé d'une balle, suite à une bavure policière. Tu étais trop jeune à l'époque pour comprendre ce qui s'est passé et tu as vécu un profond sentiment d'injustice. Tu vieillis. Tu deviens adulte. Et tu te rends compte que tu as la capacité de voyager dans le temps. Et si tu pouvais sauver ton père? Mais tu arrives beaucoup trop tôt. Et tu restes coincée en 2024. Ton père a beaucoup a apprendre et n'est pas prêt à entendre tout ça... Pourras-tu quand même changer le cours des évènements?
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Quelques trucs bien. Juin 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Entendre un rossignol chanter à la nuit tombée
Essayer une robe toute en soie pour le mariage civil de ma fille. Apprécier la douceur et arrêter mon choix
Partir un week-end en bateau et en pseudo colonie de vacances avec les collègues. Fêter le départ en retraite du doc mais regretter déjà son absence future
Faire le premier bain de mer. Manger des fruits de mer
Partir une journée en Italie, sur la Riviera dei fiori. Apprécier la Dolce vita
Recevoir un paquet dans ma boîte aux lettres. Me réjouir comme d’un cadeau. Reconnaître une amitié en découvrant deux livres à lire
Prendre conscience parfois que le boulot est vraiment difficile : urgence, violence et négligence
Consoler une collègue de travail qui craque et éclate en sanglots. La prendre dans mes bras et ne rien dire puisque trop c’est trop
Préparer mon sac pour le séjour aux îles ce week-end. Me sentir adolescente, prévoir bouteille d’alcool et cigarettes
Acheter un nouveau maillot de bain. Une pièce. Penser que cela sied à mon âge. Me trouver quand même sexy
Attendre la naissance du bébé, au jour le jour. Attendre, être patiente et avoir hâte !
Subir encore un orage de grêle à la mi-juin. Il n’y a plus de saison ! Apercevoir les premières lucioles. Sentir venir l’été
Découvrir un délicieux salon de thé dans le village, qui fait aussi bouquiniste, pour accueillir les moments précieux comme une rencontre avec mon amie Béa
Retrouver ma cousine et retourner 10 jours en adolescence. Retrouver les secrets et les confidences, sans regrets et avec confiance
Parler avec ma cousine de mon hyper-sensibilité enfin acceptée et du chemin parcouru jusqu��à maintenant
Regarder avec ma cousine de vieilles photos de famille : mon père enfant, mes oncles et tantes, mes grands-parents paternels, mes arrière-grands parents aussi. Des générations, jeunes alors, aujourd’hui disparues et qui vivent encore en nous. Montrer et raconter les images en noir et blanc à mon fils
Recevoir l’annonce du départ à la maternité pour ma fille. Pleurer de joie et sentir les flots d’émotions déborder par les yeux sans discontinuer pendant les 23 heures du travail
Être rassurée d’entendre ma fille au téléphone, elle-même apaisée de la douleur par la péridurale. L’écouter parler d’amour intense et immense pour son conjoint et cette nouvelle famille qui arrive avec son bébé. Pleurer encore d’amour pour l’enfant qu’elle était et la maman qu’elle devient
Boire une bouteille de Prosecco avec ma soeur et ma cousine en attendant la naissance du bébé. M’endormir dans l’ivresse et la fatigue
Me réveiller toutes les 2 heures en guettant un message. Recevoir la première photo de ma fille et mon petit-fils peau à peau
Guetter encore des nouvelles de ma fille. Attendre vainement dans l’angoisse que la délivrance se soit bien passée. Pleurer encore au téléphone quand nous pouvons enfin nous parler
Tenir enfin ce bébé nouveau-né dans mes bras. Pleurer et m’émerveiller devant la perfection de son anatomie et le naturel des réactions des jeunes parents
Recevoir la visite de ma fille avec son conjoint et leur bébé nourrisson. Le présenter à la famille, et pleurer encore partageant l’émotion de ma mère, devenue arrière-grand-mère et de ma nièce, hyper-sensible elle aussi
Sentir la fin d’année scolaire se précipiter. Fêter les départs des collègues de travail. Trouver les mots pour rendre hommage
Dire au revoir et à l’année prochaine pour l’Atelier d’écriture
Penser à de nouveaux projets et de nouvelles médiations de travail
Attendre avec impatience les vacances d’été
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Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
"sur la route de l’Espagne..".
Une autre soirée avec Ana, peu de temps après avoir quitté Toulouse et notre adorable amie Elena (je vous raconterai prochainement nôtre dernière soirée commune avant notre départ, mais aussi la suite de cette soirée préhispanique) fut aussi propice a réellement me conforter dans mon attirance, que dis-je ma conversion et ma future dévotion au Candaulisme...
Nous avions promis à Elena de passer au retour sur Toulouse.
Elle était déjà impatiente de nous retrouver et surtout, au vu de nos inclinaisons actuelles, elle comme nous, qu’on puisse se raconter et partager nos aventures de vacances. Ce serait assurément un moment grandiose.
Nous nous mîmes en route tôt pour Perpignan et plus exactement Paulilles, une petite anse de bord de mer magnifique sur le littoral, entre le cap Béar et le cap Oullestrell.
Un site classé en réserve naturelle avec un paysage à couper le souffle et l’immensité d’un parc très agréable d’une ancienne usine désaffectée (Usine Nobel, fabricant de dynamite).
Des plages magnifiques. Bref un petit coin de paradis à côté des immenses et parfois trop impersonnelles stations de la côte Catalane.
L’un de mes amis proches, Robert, y avait été affecté pour l’été à la surveillance des plages.
Je lui avais promis de passer lui dire bonjour et Ana qui avait fait sa connaissance quelque mois plus tôt l’avait beaucoup apprécié.
Aussi avions-nous convenu d’un rendez-vous le soir même en bord de plage où il y avait depuis peu un restaurant et une petite boite de nuit.
Nous avons déjeuné et passé une partie de l’après-midi dans la superbe ville de Perpignan et j’étais réellement fier de m’y promener avec Ana qui pour l’occasion s’était vêtue d’une très belle et courte robe d’été...
Elle était réellement superbe...
Tous les hommes la remarquaient et j’avoue que cela me rendait heureux tout comme elle, qui semblait si heureuse et épanouie. Encore plus me semblait-il depuis l’épisode de sa dernière rentrée universitaire et le fait qu’elle se sache avec moi maintenant complétement libre, libérée et en peine confiance...
C'était ça et aussi surtout ça le Candaulisme pour moi.
Nos dernières soirées Toulousaines et son séjour chez Elena, avaient amplement confirmé nos choix de style de vie : Hot-Wife pour elle et Candaulisme certifié pour moi.
Comme déjà évoqué, nous ne portions jamais de sous-vêtements et si pour moi ce n’était pas si flagrant de le remarquer, pour Ana qui s’amusait si subtilement et savamment à en jouer c’était beaucoup plus évident et nous donna l’occasion de « teaser » un jeune serveur du restaurant o�� nous avions déjeuné.
Ana bien que ne portant absolument rien avait gardé par habitude et précaution un string blanc et minuscule dans son sac à main.
Aussi lui vint l’idée de faire semblant et d’être surprise à le retirer lorsque le serveur vint prendre la commande...
Elle le fit si bien qu'il en rougit et cela amusa Ana.
J’étais spectateur et si heureux en l’instant de l’être.
Là aussi le Candaulisme me l'avait appris...
À chacun de ses passages à notre table, elle s’amusait à prendre en main ostensiblement ce tissu affriolant mais aussi à en parler suffisamment fort pour qu’il entende (je pense même que les tables voisines entendaient...) quelques phrases du genre :
« Tu vois Chéri, je l’ai fait...Je l’ai enlevé comme tu le souhaitais... Tu sais que je ne peux rien te refuser mon coquin...Tu me veux salope...je suis ta salope... ! »
Mais aussi :
« Il était si mouillé – elle avait versé dessus de l’eau de la carafe avant l’arrivée du serveur à notre table- j’ai tellement toujours envie de toi, tu sais mon Amour... »
Elle termina par lui laisser comme pourboire, bien en évidence sous un billet de cinq Euros...
« Tu crois qu’il va bander, me dit-elle en m’embrassant et tout en le fixant du regard et lui adressant un sourire de vraie chienne... ? Peut-être même aller se branler de suite dans les toilettes... ? Non... ? »
Bref, ça plus quelques autres provocations dans la rue en remontant négligemment sa robe sur ses fesses altières et autres audaces vestimentaires déboutonnant de plus en plus sa robe que ce soit en bas ou en haut, rendaient l'après-midi très savoureux et délicieusement chaud et coquin...
Ses seins magnifiques débordaient d’amour et offraient le vertige aux passants tandis que son déhanché naturel accentuait irrémédiablement l’ouverture du bas de sa robe et la vue quasi immanquable de la naissance du galbe de ses fesses mais également parfois de sa vulve...
Sans trop s’en rendre compte (?), c’est aussi et surtout moi qu’elle avait « teasé » tout au long de l'après-midi... !
Aussi, le reste du parcours après avoir repris la route, je ne pu m’empêcher de la doigter...
Son sexe largement ouvert était d’une chaleur, d’une douceur et d’une moiteur absolument folles...
Elle jouit... Je bandais...
J’avoue que j’aurais aimé et même sûrement mérité qu’on aille plus loin et qu’on fasse l’amour...Mais je n’étais pas si impatient...Je savais que nous en aurions la possibilité très rapidement et j’aimais beaucoup aussi, tout comme elle, à jouer à nous « chauffer » et à rester dans une « zone d’attente », tout à la fois coquine et frustrante mais si délicieuse pour qui sait guetter et attendre l’instant paroxysmique qui en découlait immanquablement à chaque fois...
Nous adorions en jouer l’un et l’autre...C’était trop bon...
Robert, Bob pour nous, ravi de nous revoir, venait de terminer son service et nous invita au café restaurant de la plage pour nous désaltérer. Il était beau, bronzé, charmant et très attentionné.
Il nous fit part de son idée et de ses projets pour la soirée, nous indiquant qu’il serait vain de vouloir se reposer avant deux heures du matin vu la proximité et les horaires de la boite de nuit jouxtant la cahute où nous devions passer la nuit. Il nous informa également, si cela ne nous embêtait pas, que deux de ses récentes amies se joindraient à nous.
Nous lui avons indiqué, pardon, Ana lui a indiqué que nous étions à sa disposition et que plus il y avait de fous, plus il y avait de plaisirs...
Ana était ainsi et ce dont on aurait fait comme reproche de sans gène à d’autres personnes et dont on aurait pu se moquer, Ana faisait passer cela avec un si beau sourire et avec une telle candeur, qu’on la pardonnait volontiers tous ses lapsus...
Elle avait une mémoire assez approximative et souvent « arrangée » des maximes et interprétait souvent à sa façon les citations...
Parfois même elles se transformaient en suggestions quasi explicites de ses sentiments et cela pouvait être torride...
Je pense que Bob en avait plutôt été amusé et le connaissant, ravi...
Je poussais parfois des petits « oh... ! » devant ses répliques spontanées et dynamiques, mais j’en était absolument toujours amusé et bien souvent même, au final, très heureux.
On ne s’ennuyait jamais avec Ana !
Dans l’attente de l’arrivée de ses amies, Clara et Laura, nous avait-il annoncé, Bob nous emmena faire une balade en zodiac avant de diner.
Nous en avons apprécié la fraicheur après cette longue journée de route due aux bouchons des vacanciers et touristes – nous étions un samedi - jour des arrivées et départs des locations-
Cependant être bloqué et retardé sur une des plus belles routes en corniche de bord de mer desservant de très nombreux et pittoresques villages, n’avait pas non plus constitué un enfer insurmontable, ce d’autant que je j’avais pu ainsi doigter Ana tendrement et très longtemps.
Nous pûmes, et Ana apprécia réellement, prendre un bain un peu plus au large où la fraicheur de l’eau nous requinquât facilement de cette journée passée dans la ville et la voiture.
Personne n’avait prévu de maillot mais aucun d’entre nous ne fut en peine de se mettre nu pour se baigner.
Je remarquais qu’entre Ana et Bob les regards corporels étaient réciproques et je m’en amusais délicieusement.
Bob était généreusement doté par la nature et son physique entretenu sur un bronzage parfait le rendait réellement sexy...
Je les connaissais tous les deux intimement, j’avais fait beaucoup de sport avec Bob, et si nous devions aller plus avant dans nos échanges, je savais que cela serait plaisant pour tout le monde...
Peut-être même l’espérais-je secrètement...
C’était aussi cela mon Candaulisme...
Oser faire profiter ses amis de ses "trésors" et les partager... !
En serais-je capable ?
Bob était un ami... ! Un très bon ami !
Nous n’en avions pas parlé avec Ana mais depuis cette histoire de la rentrée universitaire passée et tout ce que nous avions vécu à Toulouse, ce n’était pour moi qu’un détail que mes pensées même les plus osées soient parfois devancées par les audaces et l'imprévisibilité d'Ana, tant notre relation avait évolué favorablement vers nos désirs les plus profonds et secrets entre elle et moi.
Il s’était instauré une si belle et tendre complicité, parfois même sans concertation et tout en provocation ou test (l’expérience du serveur de ce midi m’en était la preuve...)
Nous n’en avions nullement discuté. Nous étions sur la même longueur d’ondes et même si ses audaces, que j’appréciais au plus haut point chez Ana et que j’apprécie chez les femmes en général, me surprenaient souvent, je ne tardais jamais à la rejoindre tant cela correspondait à ma nature profonde...Mon éducation m’avait parfois retenu ...Elle, elle savait me toucher au plus profond de mon être, me faire réfléchir et sortir, pour mon bonheur, le sien et celui de notre couple, de ma zone de confort...
Je ne l’ai jamais regretté...
Les amies du moment de Bob, charmantes, étaient arrivée à la cahute à notre retour de Zodiac.
Maître-nageur facilite manifestement les contacts et intérêts, et nous préparâmes pour aller au restaurant avant que la boite de nuit n'ouvre vers 23 heures.
Elle fermait vers 2 heures du matin, arrêté municipal oblige, Bob nous l’avait indiqué mais les échanges entre les fêtards se produisaient en amont et surtout après sur cette même plage...
Il y avait déjà beaucoup de monde qui attendait...Il devait être un peu plus de vingt et une heures.
Ana était vraiment charmée par Bob, je le voyais. Je m’en réjouissais même.
Bob était vraiment un ami.
Ce que nous avions vécu à Toulouse que ce soit dans le restaurant Tex-Mex et surtout après (je vous le raconterai plus tard) avec Elena et quelques-uns de ses amis m’avait conforté dans mes désirs et envies Candaulistes tandis que je remarquais qu’Ana s’y retrouvait tout autant sinon plus encore que moi ...
Elle aimait être belle et elle l’était, être au centre des attentions, parfois même provoquer...
Elle était belle radieuse, lumineuse, détendue, heureuse...
Je la voyais en permanence rire, sourire et cela me convenait parfaitement. Cela m’enchantait et me faisais en retour le plus grand bien...
Je me sentais tellement heureux, en confiance, encore plus homme... !
C’est assez paradoxal de dire cela tandis qu’on autorise d’autres mâle à courtiser sa femelle et même parfois à la saillir, mais cela me rendait dix fois plus sûr de mon attrait, ce qu’Ana me confirmait jour après jour en me revenant quoiqu’il arrive encore plus et toujours amoureuse.
Je ne doutais plus de moi...Je ne doutais plus d’elle...On partageait tout en confiance et en bonheur...Et même les partages en devenaient plus intenses et s’inscrivaient dans le temps de par les souvenirs tendres qu’ils nous laissaient immanquablement...C’était comme si, au lieu de les vivre une fois, de « consommer » un ou des plaisirs, ils s’additionnaient sans cesse et se potentialisaient.
J’avoue alors que j’étais maintenant sans cesse curieux, voire excité, tant je connaissais les regards de mon amie, ses attitudes, ses envies qui rejoignaient, voire anticipaient, bien souvent les miennes... Je les vivais avant, pendant, après...
Le candaulisme avait pour moi cette vertu de catalyser, d’exacerber nos relations et les rendaient irrésistibles, divines, mille fois plus intense...
C’était comme savoir perdre ou lâcher pour gagner plus encore...Plus encore même que l’on peut imaginer...Oui c’était réellement un bénéficie tel que même nos imaginaires ou plutôt nos habitudes s’en trouvaient chamboulées, rendues caduques devant tant de jouissances et réjouissances proposées et surtout vécues...
Oui, c’était tout cela qui se manifestait à moi et devant moi maintenant, devant Ana, devant nous.
Un espace incommensurable de libertés, de bonheurs, de récompenses...
Mon ami Bob, mâle assuré et extraverti n’avait aucune peine à voir que nous étions heureux.
Il était également heureux que nous nous soyons arrêtés...
Il nous avait indiqué qu’il ne fallait pas s’attendre à un grand confort dans ce qui lui servait de logement, en fait le local SNSM du site, et s’en était par avance excusé nous disant que nous n’aurions que des matelas gonflables dans un espace exigu pour trois pour toute couche et que la douche ne serait que celle de la plage une fois les vacanciers partis où avant qu’ils ne reviennent.
Je connaissais auparavant les lieux car j’y avais moi-même été Maître-Nageur quelques étés auparavant et Ana avait trouvé que cela serait sûrement une expérience intéressante et sympathique, en tout cas certainement un agréable souvenir...
La soirée fut assez arrosée et les esprits ne tardèrent pas à s’échauffer...
Bob nous proposa à l’issue du restaurant et dans l’attente que la boite n’ouvre de goûter un petit Banyuls qu’une charmante plagiste qu’il avait parfaitement comblée et sautée lui avait récemment offert...
Bob était un « chaud-lapin » et un insatiable baiseur.
C’est d’ailleurs ce qui nous avait fait nous rencontrer et même détester dans un premier temps au sein de notre club de musculation puisque nous avions jeté notre dévolu sur la même et accorte jeune femme....
Nous avions à terme sympathisé et fini par proposer à la belle de l’époque un plan à trois qu’elle n’avait pas accepté, nous traitant publiquement et en peine séance de cardio dans une salle pleine, de dépravés, pervers et autres amabilités...
Elle ignorait que c’est ce qui nous fit devenir encore plus amis et même, si elle avait su la belle, nous offrit de multiples occasions de trios et autres parties fines avec quelques femmes ayant assisté à l’esclandre mais qui elles, loin de nous juger, profitèrent pleinement de nos désirs, saisissant l’opportunité de savoir que deux libertins gaillards pouvaient proposer ce genre de chose...
Ce qui me rassurait aussi de lui.
Je savais qu’il était tout autant partageur que moi et que seul le sexe l’intéressait...
Il aurait pu faire un parfait Candauliste s’il n’avait pas accordé trop d’importance au challenge, à la compétition et donc aussi souvent au jugement et à la jalousie...
Un trop plein d’égo jouait aussi en sa défaveur ainsi qu’une culture « machiste » exacerbée par une éducation stricte à l’Italienne donnée par son beau-père pour admettre un instant que d’autres que lui puissent toucher celle qui serait sa « Madonne »).
Dans l’attente de l’ouverture de la piste de danse, il nous invita à nous installer sur une petite digue bétonnée surplombant l’anse un peu à l’écart et permettant d’admirer le coucher de soleil...
Chacun d’entre nous s’installa ainsi sans ordre pré-établi mais pour autant, c’est en quinconce que nous nous retrouvâmes : une femme, un homme (moi), une femme (Ana en l’occurrence), un homme (Bob) et enfin sa seconde amie ...
Nous nous étions serrés du fait de l’angle de vue du soleil couchant à cet endroit et nous étions très proches les uns des autres...
Bob déboucha la bouteille de vieux Banyuls à la couleur mordorée.
Nous admirions la beauté du site et la descente lente et majestueuse du soleil dans la mer... On aimait ainsi toutes et tous la beauté et le charme du lieu. La soirée était vraiment très agréable.
La gourmandise du vin gorgé de sucs et de soleil, d’un bonheur et une douceur incroyable, ne tarda pas à nous enjouer plus encore...
Ana m’embrassait de temps à autre et se lovait tendrement contre mon épaule...
Bob n’était pas en reste avec sa voisine de droite...
À un moment celle-ci osa même caresser et taquiner Bob, d’abord sur ses cuisses fuselées et musclées, puis par-dessus son short au point de le rendre assez visiblement bandant...
Ana s’en aperçu aussi et me demanda à l’oreille si, et c’était son péché mignon que de caresser un sexe offert et tendu près d’elle ou vers elle, elle pouvait se joindre à la belle pour profiter pleinement de l’instant :
« On est là aussi pour ça, non, c’est les vacances ? me dit-elle en me glissant un clin d’œil... ça t’ennuie si c’est avec Bob ? Profite aussi mon chéri...L’autre amie de Bob, Clara je crois, serait déçue de ne pas participer...Tu as vu comment elle te dévorait des yeux pendant le dîner ? Elle est belle non, me dit-elle en riant ? Je sais qu’elle te plait tout comme tu sais que Bob me plait... ! »
Que lui répondre, je n’en eu pas le temps d’ailleurs, si ce n’est qu’en lui adressant un vrai regard complice et un baiser tendre et passionné, lui signifiant entre autres :
« Va ma belle, sois belle...Sois heureuse, fais-toi plaisir...Prends et donne du plaisir...Je suis si amoureux et fier de toi...Que puis-te refuser... ? »
« T’inquiètes...dit-elle partant d’un éclat de rire que tout le monde put entendre, je m’occupe de lui et reviens vers toi aussi, tu connais ma gourmandise... ! »
Aussi, Ana saisi de sa main gauche mon membre qui n’avait pas lui non plus tardé à gonfler au travers de mon léger pantalon de soirée, le sortit de son écrin (on ne portait ni elle ni moi aucun sous-vêtement en été...) et commença à me masturber adroitement et plaisamment.
Dans le même mouvement et alors que l’amie de droite de Bob avait elle aussi dégagé le splendide sexe de Bob de son short trop moulant pour le caresser plus aisément, Ana se pencha et engloutit avidement l’engin de mon ami, grillant un peu la priorité à Laura en impatiente gourmande...
Laura, l’amie audacieuse de Bob ne s’en offusqua pas et caressa même tendrement les cheveux ondulés d’Ana tout en encourageant son initiative en aidant le mouvement de tête de ma belle prenant à pleine bouche l’engin majestueux de mon ami...De son autre main elle dégagea habillement les pointes déjà hautes et acérées des seins sublimes d’Ana pour les caresser en les effleurant...Ana émettait déjà de doux et si plaisants gémissements qui ravissaient tout le monde...
La nuit nous avait fort heureusement déjà légèrement couverte de sa discrétion et peu de personnes malgré le monde présent sur la plage pouvait nous voir ou nous entendre...
Aurait-ce d’ailleurs été un drame tant il me semble que le spectacle que l’on offrait pouvait être assez sensuel et beau...
Ana étant néanmoins de nature partageuse, ne tarda pas à laisser et partager le sexe de Bob qui devenait turgescent et impatient...
Ana revint ainsi comme promis vers moi et m’engloutis à mon tour tout en attrapant la main de Clara, l’autre amie de Bob assise à ma gauche, pour la diriger vers la base de mon sexe complétement sorti et accessible. Elle lui signifia de me caresser les couilles que j’avais par nature fermes et développées...
Pendant ce temps, mes mains avaient elles aussi pris le chemin de la chatte de ma voisine que je trouvais entrouverte et déjà humide sans aucun sous-vêtement sous sa courte jupe d’été...
Ses seins dardaient également sous le mini haut qu’elle portait et mes lèvres furent irrépressiblement attirées par ses pointes majestueuses...
Nous formions alors un îlot et une chaîne d’amour.
Je crois que c’est aussi réellement cette capacité de partage absolu et d’amour du beau qui définissent le Candaulisme...J’en suis convaincu.
Le soleil s’était maintenant éclipsé en grande partie tandis que nous ne commencions qu’à nous élever vers nos plaisirs et jouissances partagées et à nous engouffrer dans une pleine et entière nuit d’amour...
C’était certain...
Bob osa un : « On n’est pas bien là... ? », et la nuit débuta...
Bob s’était levé et les deux belles, Ana et Laura s’étaient mises à genoux devant son mat « bordé » à mort pour l’emboucher et le partager savamment tour à tour...
Il les accueillait dignement et de ses mains les encourageait à venir au plus loin de son bout...
De son côté Clara, à peine Ana m’avait-elle délaissée pour goûter pleinement au fier mât de Bob, s’était directement empalée sur mon dard le recouvrant de son cul et l’insérant adroitement dans sa fente déjà brûlante et inondée...
Je l’aidais délicatement en prenant à pleines et douces mains ses fesses charnues en la levant selon ses désirs et les rythmes qu’elle souhaitait...
Ana se redressa et se mit debout, laissant Bob se laisser dévorer par sa copine et vint placer au plus près de ma bouche sa chatte impatiente : « Dévores-moi mon Amour...Bouffes-moi la chatte comme tu sais si bien le faire...Chauffes-moi...Rends-moi liquide et chaude comme cet après-midi dans la voiture...Je veux que Bob quand il aura joui une première fois dans la bouche de sa copine me prenne en levrette devant toi... Je te sucerai aussi en même temps quand Clara aura bien fini de t’exciter...
Nos copines nous caresserons alors de partout avant que chacune d’elle vienne prendre ma place, que vous les honoriez, les baisiez et qu’on vous fasse jouir comme jamais vous n’avez joui vous les hommes... »
Souvent, les audaces et envies d’Ana dirigeaient les ébats...Il en fut encore le cas ici...
Les deux amies de Bob s’exécutèrent comme captivées et envoûtées par les désirs d’Ana qui venait les encourager tout à tour de ses mots crûs et choisis qu’elle leur glissait à l’oreille et des caresses adroites et précises de ses mains...
Ce fut une apothéose de jouissances avant qu’Ana, une nouvelle fois directrice, nous invite à la suivre dans le noir bleuté de la mer si proche, pour un bain de minuit revigorant...
J’ai pu la prendre tendrement un instant dans mes bras tout en la perforant de mon sexe de nouveau bandant et partageant nos « je t’aime » tout aussi vrais qu’intenses...
Bob s’occupait de ses deux amies pas très loin de nous dans cette mer si belle et accueillante...
Nous nous rhabillâmes tranquillement au milieu d’autres personnes dont la nuit maintenant tombée pouvait à peine nous cacher les ébats et nous dirigeâmes vers la cahute de la SNSM pour tous nous refaire un visage humain à la lumière d’une frontale avant de rejoindre la boite et sa piste bondée où nous nous mirent à danser et de nouveau à picoler...
La soirée n’était visiblement pas terminée...
Il devait être une heure du matin maintenant...
Un peu avant et pendant qu’Ana se refaisait une beauté, elle était incroyable d’aisance dans ce domaine tant en peu de temps et avec peu de chose elle semblait sortir tout droit d’un magasin chic, fashion et à la mode..., je discutais avec Clara et Laura de leurs vacances dans cet endroit...
Elles y étaient pour une semaine et avaient rapidement fait connaissance de Bob qui les avait déjà invitées dans la boite de nuit et s’étaient retrouvées à le câliner à deux, une première pour elles m’avouèrent -elles, dans cette même cahute que nous devions occuper ce soir avec Ana et Bob, un ancien casot de la vigne proche où nous aurions à passer la nuit.
« Ne t’inquiète pas me dit Clara avec son franc sourire et sa confiance tout en adressant un clin d’œil à Laura, il y a de la place pour trois...Il faut juste être comme nous partageurs et visiblement vous l’êtes, me dit-elle, en me caressant l’avant-bras... C’est bien...Ana est superbe, tu as beaucoup de chance »
« Est-elle réellement bi, me demanda innocemment Laura (?) ou est-ce juste par jeu qu’elle nous a caressée ? Clara et moi le sommes. Nous vivons aussi en couple, comme vous, et nous autorisons à draguer les hommes, souvent le même, ce soir étant une exception car vous êtes deux avec une si charmante femme, nous nous ressemblons tellement dans nos goûts...
Oui, je te demande ça car Ana est vraiment douée pour caresser les femmes...on en a parlé avec Laura et on ne sait pas si elle est bi...Quand nous dragons une femme bi, ce qui est très rare car il faut vraiment qu’elle nous plaise à toutes les deux, nous nous demandons la permission avant et il faut que toutes les deux on accepte...C’est notre code et notre conduite ...Là, vous nous avez un peu surpris et nous ne savions pas toutes les deux si nous pouvions nous lâcher avec elle... Bob ne nous avait parlé que d’amis venant le rejoindre... ! On n’en avait pas parlé avant, Bob et toi étaient là et nous ne savions pas si vous aussi vous aimiez voir et regarder des femmes entre elles...On ne connaissait pas Ana et ne savions pas si elle aimait les femmes... ? Il semble que oui...ou en tout cas ce serait dommage qu’elle ne soit pas bi... Vraiment dommage... !
Elle est si attirante, belle, radieuse et lumineuse...Laura est d’accord aussi pour la draguer et aller plus loin avec elle...Tu penses que c’est possible ?
Que répondre à ces gourmandises ?
Il y a quelques mois, j’aurais pu hésiter mais là non...
Plus du tout même après tout ce qui s’est passé à Toulouse avec Elena et d’autres encore ...
« Oui, oui et oui les filles, mais attention, elle est aussi douée avec et pour les femmes que pour les hommes...C’est à vos risques et périls...Tu as vu tout à l’heure comment elle est capable de prendre les choses en main... »
Cette expression la fit éclater de rire tandis qu’Ana apparaissait effectivement magique et envoûtante...
« On parle de moi..., dit-elle d’un sourire faussement jaloux...Attention, j’aime ou je pourrais aimer !
Tu peux y aller mon Chéri...
Venez les filles, pendant qu’ils se préparent à leur tour, on va dire du mal de nos hommes, de la soirée et pourquoi pas se faire un plan cul entre filles vu qu’on les a déjà sûrement pas mal usés...Et pourquoi pas aller mâter d’autres mecs... ? Il doit bien y en avoir des canons dans cette boite... Et les nôtres sont certainement déjà fatigués », ajouta-t-elle, fidèle à son goût de la provocation...
Laura et Clara étaient rassurées, riaient aux éclats, déjà séduites et impatientes du reste de la soirée...
Oui, c’était vrai que j’étais chanceux d’être le partenaire d’Ana et plus encore depuis cette soirée estudiantine et le début de nos vacances de cette année...
Ana avait franchi un cap vers son épanouissement sexuel dont je profitais et me ravissais avec délectation et gourmandise tant c’était également ce à quoi j’aspirais depuis toujours...
Mon Candaulisme longtemps refoulé et surtout mal cerné m’apparaissait aujourd’hui au grand jour, et vu qu’il était pleinement et entièrement partagé par Ana, que pouvais-je demander de mieux... ?
J’étais aux anges et sur mon petit nuage depuis quelques jours et l’avenir, déjà cette soirée, s’annonçait réellement radieux.
Suite prochaine...
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15 août
j'ai passé deux heures à marcher à travers la ville dans un état de désillusion complète ce soir, non pas de désillusion, d'illusion justement, je voulais dire delusion, delusional, delulu comme disent les jeunes américains, r. m'a écrit à quatre heures du matin pendant qu'il faisait une insomnie alors qu'il dormait dans une tente avec sa fille plantée dans le jardin de sa mère et y avait un orage et il entendait la musique des voisins et il arrivait plus à se rendormir et c'est à MOI qu'il a écrit of all people, il me demandait comment ça allait avec mon film, il pensait à moi et à mon film à quatre heures du matin dans une tente avec sa fille, comment je suis sensée ne pas être complètement delulu?
ce matin en lisant ses messages j'ai senti la joie couler partout dans mon corps et j'ai essayé d'en localiser la source, quelque part dans le thorax, au milieu, c'est là que je le sens quand je me sens aimée. même s'il m'aime pas amoureusement, il m'aime quand même. et quand je vivais encore dans l'illusion et que j'espérais passer un été d'amour avec lui à bruxelles, ça s'est peut être pas passé comme je l'espérais, mais finalement je suis quand même un peu en train de passer un été d'amour avec lui, amour à l'eau plate et à distance mais amour quand même. amour amour amour dans mon coeur ce soir pendant ma promenade, j'écoutais des trucs pop en m'imaginant les chanter avec sa fille chez lui pendant que je lui prépare des gâteaux dans la cuisine par exemple une tarte à la myrtille et on fait des petites chorégraphies et on chante en criant la chanson de caroline polachek et évidemment r. finit par tomber sous mon charme. delulu level 1000. je dois vraiment faire très attention.
à part ça je suis restée un bon quart d'heure accoudée à une balustrade qui surplombait la vallée et c'était vraiment bien de regarder quelque chose qui n'était pas mon écran d'ordinateur, tout ce vert, toute cette réalité, même si j'étais à moitié perdue dans mes fantasmes à l'intérieur de ma tête.
16 août
à chaque fois que j'écris avec r. avant de me coucher j'arrive pas à m'endormir après et j'arrive pas à me concentrer sur mon livre non plus. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine et d'abord ça m'a vexée mais toutes mes jérémiades sur r. là c'est plus possible, même sur tumblr. on a regardé le nouvel épisode de how to ce soir et puis à onze heures il a dit bon je vais au lit mais on a encore passé trois quarts d'heures à s'écrire et il a évoqué notre future performance et le fait d'avoir ça dans notre futur commun, un peu comme une garantie qu'il va pas disparaître du jour au lendemain, qu'il veut rester là, qu'on va se revoir, ça me donne un très grand sentiment de sérénité. ça me rassure. même si en réalité c'est pas du tout une garantie, il peut tout à fait changer d'avis du jour au lendemain. il a changé de photo de profil sur whatsapp, heureusement il met que des photos où il est moche. je me demande s'il le fait par égard pour moi.
dans le nouvel épisode de how, john wilson mentionne sa rupture avec sa copine et j'étais honteusement satisfaite qu'il se retrouve seul comme moi. mais je parie que même lui ne voudrait pas de moi. j'ai l'impression d'avoir franchi un cap dans ma relation avec mon physique, que toute ma vie je me suis voilé la face et que je me suis enfin rendu compte que j'étais moche. peu importe l'angle sous lequel on me tourne, je suis moche, c'est un fait, c'est comme ça et je peux rien y faire. je comprends pas pourquoi ça m'a pris autant de temps pour sortir de mon illusion d'être un peu mignonne, ou au moins d'avoir un charme atypique. hier j'ai essayé de mettre du rouge à lèvres mais c'était encore pire. maintenant quand je vois des moches ça me rassure, j'ai l'impression qu'on fait partie de la même communauté des moches, je suis pas seule, on est des millions. des gens au physique disgracieux. vraiment disgracieux, pas comme gaëlle obiégly, cette impostrice.
17 août
jenna lyons dans real housewives of new york a ravivé mon feu de lesbienne qui dormait quelque part dans mon bas ventre et c'est fantastique. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine mais elle a manifestement jamais vu jenna lyons marmonner des remarques sarcastiques tout en se goinfrant d'oreos périmés et de pringles au caviar dans real housewives of new york. rien de rédhibitoire là-dedans. j'ai lu qu'elle avait une maladie génétique qui fait qu'elle a des taches et des marques sur sa peau et qu'elle a pas de cils ni de sourcils et qu'elle a des trous dans ses cheveux et que ça a détruit sa confiance en elle parce qu'on la harcelait à l'école et qu'au début de sa carrière chez j. crew elle se trouvait affreuse sur les photos parce qu'elle avait pas encore trouvé son style, et puis elle a commencé à portes des grandes lunettes pour se camoufler derrière et des tenues qui montrent très peu de peau et elle attachait systématiquement ses cheveux en les plaquant en arrière pour cacher les trous et c'est devenu son style signature. elle dit qu'elle montre jamais ses jambes parce qu'elles ont des taches et de la cellulite et pendant une seconde je me suis dit est-ce que je devrais faire comme elle et cacher mes imperfections (non mais quel mot) et ne jamais montrer mes jambes moi non plus? mais non. je préfère être du côté de celles qui assument leurs imperfections (ce MOT), ou du moins qui essaient. même si ça "m'avantage pas." même si parfois je me demande si je devrais pas mettre plus de soin à "m'avantager." faire des efforts pour trouver un look qui "m'avantage," comme elle, pour me donner plus confiance en moi. un look qui me donne de la tenue, une consistance, une colonne vertébrale redressée. un look clean et net. sharp.
elle raconte aussi que sa mère avait le syndrome d'asperger et qu'elle avait pas d'amis et que donc elle lui avait jamais appris comment on se faisait des amis, comment ça fonctionnait, et qu'elle aussi elle avait du mal à se faire des amis, qu'elle savait toujours pas vraiment comment on faisait, qu'elle partait toujours du principe que les gens n'avaient pas envie de passer du temps avec elle et que donc elle attendait que ça vienne d'eux, pour ne pas prendre le risque du rejet. et j'ai pensé à maman, qui a peu d'amis elle aussi, même si elle a pas du tout asperger, et je me suis demandé si ma vie sociale maigrichonne venait de là. alors je me demande, est-ce que je peux encore apprendre à devenir sociable? est-ce qu'un jour j'aurai des vrais amis qui habitent à proximité de chez moi ET que j'ai envie de voir?
18 août
j'ai encore passé une heure sur whatsapp avec r. chaque soir je le fais se coucher de plus en plus tard, je rigolais toute seule avec les jambes en l'air en lisant ses messages et il me disait qu'il avait littéralement éclaté de rire quand j'avais dit un truc on se fait mourir de rire mutuellement et c'est merveilleux. j'ai lancé un concours de noms pour notre groupe inspiré par les feutres de bingo américains et puis il m'a fait un long message vocal pour m'expliquer qu'il adorait ma façon d'écrire sans accents ni majuscules et parfois quand il me dit certains trucs il me donne l'impression d'être quelqu'un de sage et de bon conseil, quelqu'un qui a de l'expérience de vie. de la bouteille. j'aime bien cette expression. c'est quoi cette sorcellerie? il m'a cassé ma relation avec mon physique mais en contrepartie il me fait voir d'autres facettes de moi que je vois absolument jamais.
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Je suis assise dans le froid à 200km de Nice, j'ai perdu mon briquet et je surveille la sœur (+ sa copine) de mon mec pendant que lui joue au basket. Cette description serait parfaite si je voulais réellement gâcher mes dimanches de cette sorte. Je me sens soudainement abattue et insatisfaite. J'essaie de faire le chemin en sens inverse dans ma tête pour réussir à cibler quand et où ça a dérapé, comment j'en suis arrivée là. J'ai une pulsion de suicide à la seconde. Sans rire. Je me sens présentement pas du tout à ma place et effrayée de le rester encore des années. Tellement de gens regrettent leur vie à 50 piges et je commence à bien comprendre. C'est via tous ces petits choix de merde qu'on continue à s'enliser dans tout ce qu'on déteste. Je vois tous ces gosses de 10 ans pas plus dans ce parc et ça me déprime. Tous en train de se faire des scolioses à force de baisser la tête pour regarder leur merde de téléphone. Avec du recul, j'aurais donné cher pour me préserver de ça encore quelques années. C'est en train de nous bouffer et fatalement de les bouffer. C'est au travers de réflexions comme ça, de prises de conscience que je réalise qu'il n'y a rien à envier au futur. Je sais pas pourquoi je pense à tout ça soudainement mais c'est récurrent. Je déborde de dégoût, toujours plus apte à détester et mépriser ce qui m'entoure. Je suis comme tous les gens qui me débectent pourtant. Je ne suis pas différente. J'alimente ce monde de ma chaire putride. Je n'ai pas hâte d'être ce soir, confinée dans son 15m carré le voyant incapable de ne regarder aucun écran et incapable de me regarder surtout. Je suis lasse des scénarios sans cesse se répétant. Je mettrai également 5h à m'endormir avec 2 Xanax. Puis je me lèverai tôt. Je stresserai -par politesse- de rater mon train. Puis 2h plus tard avec +/- 15 min de retard j'arriverai en gare de Nice. Le tram sera bondé, les insultes et les invitations déguisées de viol pleuvront. Je me rendrai en cours pour entraver que dalle, échanger des banalités avec 3 personnes alors qu'on en a tous respectivement rien à foutre de la vie des autres. Puis je rentrerai, je m'en voudrais d'avoir laissé des produits se perdre dans mon frigo, je ferai une crise de boulimie, je me gratterai au sang, puis j'irai me coucher vide. Sans oublier l'appel à mes parents passé juste pour leur délivrer leur dose quotidienne de mensonges.
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Je ne pleurais plus pour les gens qui me méritent pas
Je croyais que nous étions des amis
Mais aujourd'hui nous sommes des étrangers
Nous avons tourné la page et laisser derrière le passé
Par contre je n'oublierai jamais ce que vous avez fait à l'ancienne moi
Vous l'avez détruite, humiliée en vous sentant plus fort que elle car elle ne savait jamais se défendre
Comme quoi c'est toujours les méchants qui gagnent
Mais les choses ont changé avec le temps
Je ne suis plus la fille que vous avez connue
Je suis une nouvelle version bien différente
J'ai pleuré pour vous quand vous avez cru à des rumeurs en me laissant toute seule
Le monde s'effondrait et j'ai même pensé à ma propre mort
J'avais eu cette peur de ne plus retourner en cours mais je me forçais car j'ai pas envie de vous faire croire que vous avez gagné
J'ai appris qu'avec le temps que le nombre d'amis que tu as sur les réseaux ne servent à rien car c'est juste une histoire de chiffres
Les vrais amis sont à l'extérieur et ils viendront si tu as besoin d'aide
Les amis toxiques sont à l'intérieur et font partie dans ta liste d'amis sur les réseaux
J'ai fait beaucoup de tri et tu ne pas savoir à quel point ça fait du bien de libérer de ce cercle vicieux
J'ai maintenant appris une bonne leçon de ne plus pleurer pour quelqu'un qui part de ma vie
Si la personne a décidé de croire les rumeurs à propos de toi, laisse la partir et tu verras plus tard elle reviendra qu'elle a perdue une personne aussi bien que toi
L'amour c'est la même chose si l'un de vous deux, vous avez décider de mettre un terme à votre relation
Termine cette histoire avec un happy ending c'est mieux pour toi et ton futur ex
Les amitiés que j'ai eus n'ont pas forcément d'happy ending je garde juste les pots cassés et les cicatrices de mon âme de mon adolescence
Les amours que j'ai eus n'ont jamais eus un happy ending j'en garde seulement des blessures de mon dernier prétendant qui remontent il y a 5 ans
Je n'ai plus cru en amour depuis ce soir-là et j'ai arrêté de voir ma vie si romantique
Je n'ai jamais été en couple et je préfère que ça soit le hasard qui prend le relais
L'amitié c'est la même chose j'ai laissé le hasard et maintenant j'ai des amis plus safe et bienveillants
Je n'ai plus beaucoup d'amis comme j'avais avant c'est limité maintenant
Je fais attention de qui je fais rentrer dans ma vie et pour ma santé mentale
Je ne pleurais plus pour les gens qui ne me méritent pas car je le vis très bien sans eux !
Comme quoi les amis et les exs peuvent devenir des étrangers du jour au lendemain car ils t'ont fait du mal
Mais dis-toi que demain ça sera toi qui gagnera et que tu montreras à toutes ces personnes : qui tu es réellement !
Donc ne pleure plus pour les gens qui ne te méritent pas car tu es très bien sans eux
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