Tumgik
#mais si vous ne me laissez pas passer
lolochaponnay · 2 months
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Dans une file d'attente devant un magasin, un homme dépasse 5-6 personnes, tout en subissant leurs jurons. Lorsque l'homme veut dépasser une vieille dame, celle-ci s'impose et le gifle. Comme tout le monde a admiré le geste de la vieille dame, tous le reproduisent. Alors l'homme crie: -D'accord, mais si vous ne me laissez pas passer, je n'ouvre pas le magasin.
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solhrafn · 2 months
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Bon y s’est passé plein de trucs depuis mon dernier post, mais en gros, on a fait trois jours de chalet, temps variable donc super pour les photos, je me suis retrouvé pris dans des draches et sur des chemins inondés mais sans renoncer car une fois trempé, rebrousser chemin ne sert à rien. Là j’ai pris V et on est en road trip entre Fjords et sommets depuis hier et elle sera une barroudeuse. J’ai hâte qu’elle grandisse encore un peu.
J’ai des pensées par rapport à la mort et je réfléchis un peu sur mes angoisses. Je gros que mon anxiété vient du fait que j’ai beaucoup à perdre maintenant. Je ne peux m’empêcher de penser à chaque moment partager ici avec V et j’essaie qu’ils soient des moments qui resteront avec elle toute la vie, comme faire ce trip me ramène en mémoire les moments semblables que j’ai vecus avec l’un ou l’autre de mes parents. Le changement de perspective d’enfant à adulte est troublant.
Time Flies de Steven Wilson s’est mis à jouer sur le shuffle. Ma gorge se serre. Helvegen (skaldic version) de Wardruna vient à son tour et les larmes suivent. Je comprends certains mots de ma mère dzns ma chair désormais.
Sinon petites frustrations à cause de touristes cons en bobil dans des cols méga étroits, situation qui devient la cata quand un autre connard en véhicule similaire décide de venir à contre sens. Sérieusement si vous venez en Norvège ne venez pas en camping car ou en caravane. Si vous devez absolument infliger votre présence de trou de balle en véhicule inadapté aux autres, au moins apprenez les règles de courtoisie locales (si vous êtes un véhicule qui fait 40 sur une route à 80, laissez passer ceux qui vous suivent dès que possible).
Sinon là on est mid-trip et on fuit les zones orange niveau tourisme en allant vers l’est, direction le glacier au dessus de Sognefjell.
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deathlesssaints · 6 months
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le trashtalk c'est dépassé les ami.es
certains de vos billets tumblr me font peur. oui, tout le monde peut jouer ce qu'il veut. pourquoi se ramener en pensant avoir le droit de dicter ce que chacun doit jouer ? est-ce que je parle, moi, de ce que vous jouez ? non, car on s'en contre carre le haricot mdr. chacun est là pour s'amuser, chacun s'amuse avec les personnes qu'ils veulent, pourquoi vous venez vous plaindre que x joue trop ses ships, que y parle trop de fesses (j'aime aborder la sexualité de mes perso comme d'autres abordent la mort (que j'aborde aussi hein, je suis pas l'obsédée du Q pour laquelle on me fait passer mes potes et moi)), que z parle de la mort (ohlala attention). je comprends pas ce besoin de parler, de se moquer ou de trash talk le jeu d'une autre personne tant que ça vous atteint pas. et si c'est le cas, bah vous le dîtes, vous lisez plus (car on vous fout pas nos rp ou nos sms devant vos yeux, vous faîtes le choix de cliquer, vous faîtes le choix de lire, vous vous infligez ça (à croire on parle d'une torture mdr merci pour nos écrits)). c'est dingue ce jugement que vous avez sur tout. c'est dingue que dès que c'est pas comme vous faites bah c'est plus bien. merde, laissez les gens vivre, laissez les gens rp, vous rendez le rp tellement chiant. vos jugements vous vous les gardez si c'est pas constructif, surtout quand vous voyez que par vos opinions sans réaliser que non, on est pas des obsédés qui rp qu'avec leur ship, qu'on a des liens amicaux, familiaux et tout le reste. vous catégorisez tellement les gens, mais vous réalisez à quel point c'est bas et merdique comme comportement ? vous donnez franchement envie de s'investir. marre d'être mise dans des cases car je fais x ou y chose sur un forum, marre de lire du bashing sur tumblr dès que je fais mon tour, d'entendre x ou y choses sur telle ou telle chose. juste vous savez pas profiter de votre passion, vous savez pas juste vous amuser ? vous ressentez toujours le besoin de commenter ce que le voisin fait, critiquer, encore et encore. vous êtes lassants et je commence à fatiguer de cette communauté qui ose se dire bienveillante (même si apparement c'est pas donné à tous.tes) et qui souhaitent l'intégration de leur personnages, quand en retour ça tacle sur tumblr ou en dm. vous êtes pas les goat que vous pensez être. on voit les critiques et c'est juste blessant. en bref, moi j'suis juste d'avis que tout le monde joue comme il veut tant que ça dépasse pas les limites. laissez les gens jouer et s'amuser. amusez-vous. arrêtez de vous prendre la tête. arrêtez le trash talk gratuit. arrêtez de nous prendre la tête aussi. vivez, profitez, passez pas votre temps à cracher sur ce que les autres font. je suis pacifiste mais marre qu'on critique mes potes, qu'on leur fasse vivre un bordel monstre et qu'on les fasse (dont moi) passer pour ce qu'ils ne sont pas. et quand bien même je le serais, je n'impose rien à personne. :))
ET oser sous-entendre que parce qu'on joue x ou y sujet, on ne respecte pas le travail des admins c'est le pompon mdr. surtout quand on manque autant de respect envers les membres de cette dite communauté, qui respecte pas qui ? ps. regardez comment vous agissez avant de parler de comment les autres agissent, merci :)
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selidren · 4 months
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Printemps 1920 - Champs-les-Sims
3/5
C'est sans doute l'âge venant, mais Madame Eugénie est de plus en plus obsédée par l'héritage de la famille Le Bris. Elle n'a presque plus que cela à la bouche, et elle pose sur les épaules de Noé de grosses responsabilités. Mes filles n'ont que quatorze ans, mais déjà, elle rabroue Noé quand elle essaie de s'amuser avec ces soeurs ! Et moi qui me réjouissait qu'elle tisse enfin de vrais liens avec Cléo et Sélène.
Noé a cependant hérité de davantage de courage que moi ou son père. Elle a donc tenté de protester et s'est fait sèchement recadrer et ramenée à son statut d'"héritière". Seigneur, j'ai l'impression de me retrouver au temps de la monarchie, où la noblesse devait tenir son rang ! C'est absurde, même nos cousins De Chastel, sont en train de revendre leur château faute de pouvoir l'entretenir. Tout cela est absurde. Mais je suis encore une fois trop lâche pour me confronter à Madame Eugénie. Qui oserai se confronter au Général Pétain de la famille Le Bris après tout ?
Transcription :
Arsinoé « Grand-Mère, pourquoi vous faites cela ? »
Eugénie « Faire quoi ? Je ne comprends pas. »
Arsinoé « On ne faisait que s’amuser ! Pour une fois que Sélène et moi avions quelque chose en commun pour passer du temps ensemble... »
Eugénie « La danse n’est pas un amusement, c’est un outil pour paraître en société. Si tu veux apprendre, fais les donc avec sérieux. C’est grâce à la danse que j’ai pu marier presque deux de mes filles. »
Arsinoé « C’était il y a une éternité ! Laissez moi donc un peu m’amuser. »
Eugénie « Tu t’amuseras plus tard ! Dieu, que cette jeunesse ne comprends rien à ce qui est important ! »
Sélène « Ce n’est pas grave Noé, laisse tomber... »
Arsinoé « Ce n’est pas juste ! »
Eugénie « On ne plaisante pas avec de telles chose, un point c’est tout ! Il te faut les meilleurs partenaires pour danser et Dieu sait que Sélène est parfois godiche. »
Arsinoé « Mais pourquoi ? »
Eugénie « Tu as un devoir de représentation envers cette famille ! Tu es l’aînée, et plus vite tu le comprendras, mieux ce sera. Ton frère est raisonnable lui, il t’expliquera si tu ne me crois pas. Laisse donc l’amusement à tes sœurs, toi c’est d’excellence dont tu as besoin. Tu as des devoirs, des responsabilités qui t’incomberont plus tard, il n’est pas question que tu consacres ta vie à je ne sais quel amusement. »
Arsinoé « Je vois… Papa vous a donc déçu à ce point… »
Eugénie « Quoi ? Que… non… bien sur que… »
Cléopâtre « Me voici ! »
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nereidestuff · 10 months
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☽ la isla blanca;; version cinq.
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hello, hello 💕 cinq mois désormais que notre doux cocon, LA ISLA BLANCA, à ouvert ses portes. mes petits coeurs de co-admins, nox, @jeudisgris, @erinye-stuff & moi-même venons vous présenter sa sixième version. dites adieu au duel entre ombre et lumière, et laissez-vous envelopper dans la douceur des fêtes de fin d'année. au programme; décorations scintillantes, odeur de cannelle, chocolat chaud aux épices, et cadeaux sous le sapin.
l'intrigue du mois; doux manteau d'hiver enveloppe ibiza. jours s'écourtent, et lampions festifs éclairent désormais l'île blanche, féérie s'éveille au cœur des rues étroites. lumières scintillantes s'accrochent aux branches dénudées des arbres, illuminent les chemins de leur lueur magique. étoiles, complices de cette symphonie céleste, dansent dans le ciel nocturne, éclairant les visages émerveillés des enfants. façades des maisons se parent de guirlandes chatoyantes, tissant une toile or et rubis alors que les vitrines des boutiques s'animent de jouets colorés, de poupées qui sourient et de trains miniatures qui s'échappent d'un monde imaginaire. air empli de senteurs sucrées épicées, se laisse porter par les effluves de pain d'épices, de cannelle et de chocolat chaud. papilles se délectent des douceurs de saison, tandis que les mains se réchauffent autour d'une tasse fumante, créant une symphonie chaude et gourmande. rires se mêlent aux chants de noël, s'élevant dans les ruelles pavées, voix se font douces et puissante, laissant de côté le clivage qui de plus en plus, ne cesse de se creuser. comme si, le bien et le mal s'adonnaient à une guerre éternelle. cependant, trêve de noël vient amener douceur et légèreté, panser les coeurs blessés et renouer familles déchirées. mais attention, savourez cette période, parce que si un certain hadès estafador semble, lui aussi passer du bon temps en famille, cela risque de ne pas durer.
– la isla blanca se veut un forum où règnera la bienveillance, et où l'on privilégie l'intégration de chacun. un doux cocon où les personnages de tout les horizons, nous l’espérons, pourront trouver une maison. du plus sombre, au plus doux, l'île ne cesse d'accueillir de nouveaux habitants aux nuances illimitées. ✨
aucun minimum de ligne exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚
lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/ lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/
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souvenirsdesmercier · 2 months
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Quelques extraits d'un récit que j'ai toujours adoré.
Christine a 36 ans. Elle reprend, à Ste Marie, ses études interrompues dix-huit ans plus tôt. Elle y sera soumise au même régime que ses condisciples plus jeunes.
A few extracts from a story I've always loved
Christine is 36 years old. She resumed her studies at Ste Marie, having interrupted them eighteen years earlier. She will be subject to the same regime as her younger classmates.
"Ma belle-mère ne me faisait même pas confiance, comme souvent. Étant en quelque sorte habituée des lieux, je savais que les tenues pour Ste-Marie faisaient partie du rayon enfants. Renseignements pris et confirmés par une employée du magasin, je suivis ma belle-mère jusqu’au rayon enfants. Ma belle-mère s’adressa directement à la vendeuse du rayon, une femme à qui j’aurais donné un peu plus que la quarantaine:
– Bonjour, c’est pour ma belle-fille… Il lui faut la totale pour Ste-Marie…
– Certainement Madame, lui répondit la commise. Nous avons l’habitude des grandes élèves…
Évaluant ma taille et sans même me la demander, la vendeuse prit deux jupes et les confia à ma belle-mère.
– Allez les lui faire essayer… Je vous amène les chemisiers.
J’emboîtais le pas de ma belle-mère jusqu’aux cabines d’essayage. À ce rayon, elles étaient beaucoup plus simples et moins intimes qu’au rayon mode féminine. Plutôt que des portes avec loquet, un simple rideau fermait chaque box à mi-hauteur. Heureusement en cette période de vacances, le rayon enfants était quasiment désert et les cabines l’étaient tout autant. Ma belle-mère entra avec moi dans la cabine et entreprit de me déboutonner la jupe, chose que je pouvais faire moi-même.
– Laissez-moi faire Christine, me dit-elle.
Rapidement, elle fit glisser ma jupe et me l’ôta.
– C’est une belle culotte que vous avez là, Christine ! Sobre, classique, Vraiment vous avez du goût. Mais je ne suis pas certaine qu’à Ste-Marie… Les Sœurs ne vous ont pas contrôlée ? Elles ne vous ont rien dit ?
– Si belle-maman. La Préfète de discipline a juste fait la remarque que les petites dentelles étaient de trop… mais guère plus…
Bon, nous verrons ça aussi, continua ma belle-mère. De toute façon, pour la vraie rentrée il vous faudra autre chose…
Lorsqu’elle vit mieux mes cuisses encore marquées, ma belle-mère ne put s’empêcher d’ajouter remarques et commentaires :
– Eh ben ! Ce sont de belles traces… Les Sœurs ne vous ont pas loupée…" [....]
La vendeuse tira autoritairement le rideau et laissa la cabine béante.
– Allons donc, dit-elle. Elle a encore sa culotte et son soutien-gorge…
Ma belle-mère fit comme un signe de dépit.
– Elle ne veut pas, elle préfère faire l’essai dessus…
– Madame ! continua la vendeuse, je n’ai pas de leçon ni de conseil à vous donner mais je trouve que votre belle-fille répond sur un ton désagréable et, personnellement, ça ne me plaît guère. Il y a des fessées qui se perdent, si vous voyez ce que je veux dire…
– Excusez-moi, répondit ma belle-mère. Je n’avais pas réalisé…
Ce disant ma belle-mère m’empoigna fermement, me ramena à elle, me fit pivoter d’un demi-tour et m’arracha le soutien-gorge plus qu’elle ne le dégrafa. Je me retrouvais les seins nus que je protégeai rapidement de mes deux mains. Je n’avais plus cette protection qu’auraient pu offrir mes mains pour le reste de mon corps et c’est par surprise que ma belle-mère me descendit prestement la culotte à mi-cuisses. Je n’eus que le temps de garder un bras devant mes seins et de placer mon autre main devant mon sexe qu’une première claque s’abattit. Je venais de pousser ma belle-mère à bout.
Seule ma mâchoire inférieure fut prise de tremblements et ma tête sembla hoqueter. Je pleurais silencieusement. La vendeuse esquissa un sourire complice à l’adresse de ma belle-mère, elle allait être en mesure de poursuivre l’essayage en toute sérénité. C’est même elle qui termina de me descendre la culotte et la fit passer.
– Christine ! S’il vous plaît, intima ma belle-mère en me tirant sur les bras et en me les plaçant croisés dans le dos.
– En plus elle se rase ! s’écria la vendeuse, visiblement peu emballée à la vue de mon pubis et du haut de ma vulve imberbe.[...]
"
Vous permettez, Madame ?
Et sans même attendre, elle devança la réponse, alliant le geste à la parole :
– Voilà ce que je fais aux filles qui sont insolentes et se permettent de répondre !
Elle me fessa de cinq bonnes claques sur les fesses"
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gerceval · 1 year
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Le Choix - chapitre 9
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
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- Oui bon bah ça va c’est pas non plus la peine de démonter la porte !
La voix de Merlin était tout engoncée de sommeil. Arthur ne pouvait pas lui en vouloir ; il n’était même pas tout à fait six heures du matin.
- Ah mais c’est vous seigneur Lancelot ? Je savais que vous étiez un lève-tôt mais enfin quand même…
- Je peux entrer là ?
- Si c’est encore pour m’engueuler que votre potion pour avoir les dents blanches est pas encore prête ça sert à rien, je peux pas aller plus vite que la musique !
- Ma… ? Nan mais c’est pas ça là, laissez-moi entrer deux minutes.
Merlin s’écarta de l’encadrement de la porte pour le laisser passer. Arthur fut immédiatement pris à la gorge par une odeur presque insoutenable.
- Mais qu’est-ce que c’est, vous faites mijoter de la bouse là-dedans ?
- Ah commencez pas, vous savez bien que c’est votre potion d’épaississement des cheveux qui fait ça, donc avec tout le respect ce serait mal venu de me faire ch-
- Bon bref, c’est pas pour ça que je suis là, d’autant que l’épaississement des cheveux je m’en fous pas mal. Bon accrochez-vous parce que ç’en est une sévère celle-là. Vous pensez que je suis le seigneur Lancelot, là comme ça. Eh ben en fait non, je suis le roi Arthur.
Merlin resta silencieux quelques secondes.
- Là vous êtes le roi Arthur ?
- Comment ça là, je suis le roi Arthur, c’est tout. Mais j’ai pris l’apparence de Lancelot.
- Pourquoi vous avez fait ça ?
- Mais j’ai pas fait exprès espèce de con ! On s’est pris un sortilège sur le coin du pif et on a échangé d’apparence, c’est pas la meilleure de l’année celle-là ?
- Un sortilège ? Ça a l’air puissant comme sortilège ça, je serais pas rassuré si j’étais vous, ya peut-être des effets secondaires…
- Ah bah super, merci, heureusement que je viens vous voir !
- Et pourquoi vous êtes pas venus tous les deux, peut-être que j’aurais pu mieux vous aider ?
- Nan mais parce qu’on s’est frittés là, bon… Pourquoi, vous avez une solution où il faut qu’on soit tous les deux ensemble c’est ça ?
- Ah bah une solution non, mais bon j’aurais pu me faire une idée… Vous vous êtes frittés à cause de quoi ? ajouta-t-il tandis qu’Arthur levait les yeux au ciel.
- Je vous en pose des questions ?
- Oh allez, vous pouvez bien me dire… Et le roi il en pense quoi ?
- Le roi ? Mais non mais c’est moi le roi ! s’emporta Arthur. Je vous dis qu’on a échangé de corps, j’ai le corps de Lancelot mais c’est moi, le roi Arthur ! Donc vous allez me trouver une solution pour que je retrouve mon apparence, ou je vous fais catapulter par-dessus le mur fortifié de l’arrière-cour !
- Ah oui oui pardon, bon bah ça va je me suis planté c’est pas la peine de gueuler ! C’était pour voir si vous suiviez, de toute façon.
- Pour voir si ? Je suivais ?
- Ben oui, continua Merlin, comment je peux savoir que vous êtes pas tout simplement Lancelot qui voudrait que je le transforme en roi Arthur ? C’est pas comme si ça s’était jamais vu !
- Comment ça, parce que ça s’est déjà vu que Lancelot veuille que vous le transformiez en roi Arthur ?
- Nan mais pas Lancelot, mais vous êtes le mieux placé pour connaître l’histoire, Uther, le duc de Gorlais, tout ça, je vais pas vous la refaire ! Alors moi, je suis désolé, mais je ne préférerais pas m’immiscer dans vos petites histoires.
Arthur ne pouvait pas nier que le parallèle était malheureux. Mais que répondre à Merlin, si ce n’était qu’il était bien Arthur ?
- Comment je peux vous prouver que je suis bien le roi Arthur ?
- Ah ben ça j’en sais rien c’est à vous de me le dire !
- Bon écoutez, si je reviens vous voir avec Lancelot, qui pourra vous expliquer qu’il est bien Lancelot et que je suis bien Arthur, vous verrez bien que c’est pas juste moi qui vous mens !
- Qui ça « moi » ?
- Ben moi quoi, moi, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise !
- Nan mais je vous embête sire. Revenez me voir avec Lancelot, mais je peux vous dire que s’il a la tronche du roi Arthur, ça m’étonnerait qu’il ait envie de l’abandonner si vite que ça. Vous imaginez ce que ça doit lui faire ?
- Ah bah j’imagine assez bien ce que ça fait d’avoir la tronche du roi Arthur, oui, ironisa Arthur.
Ce n’était pas comme si ce doute ne lui était jamais venu à l’esprit. Il savait tout ce que Lancelot lui enviait, et à quel point sa droiture devait lutter contre sa détermination à toujours obtenir tout ce qu’il voulait. Lancelot avait toujours été sur le fil, et les dieux seuls savaient ce que ce genre de sortilège pouvait créer dans son esprit. Il repensa avec ce que Lancelot lui avait jeté au visage quelques instants plus tôt, et il fut gagné par l’amertume. Essayez de commencer à donner des ordres, vous verrez si on vous rit pas au nez. Les sous-entendus étaient nombreux et lourds, et Arthur fut surpris lui-même par la colère qui l’envahissait. Sans même parler de ce qu’il avait vu en entrant dans la chambre… Commencer à essayer de démêler ses sentiments à ce point de vue là était tout bonnement inutile.
- Quoi qu’il en soit. Vous pensez pouvoir nous trouver une solution dans combien de temps, à peu près ?
- Je vais faire de mon mieux sire, je vais retourner tous les vieux bouquins qui traînent là-dedans, mais honnêtement j’aurais du mal à dire… Revenez avec Lancelot dans une ou deux heures et pis on verra…
- Oui d’autant que d’ici là Elias sera probablement arrivé, compléta Arthur, sarcastique.
- Si vous voulez un conseil d’ami sire, à votre place j’éviterais que ça s’ébruite cette histoire. Si Elias est au courant ça risque de tomber dans les oreilles de n’importe qui avec un peu de pognon, et ce serait le meilleur moyen de semer le boxon dans le royaume.
Hm. Décidément, Merlin avait dû se réveiller ce jour-là avec l’envie de dire des trucs pas trop cons.
- Alors vous êtes d’accord, vous pensez qu’on devrait faire comme si de rien n’était ?
- Ben faites gaffe quand même, comme je vous disais Lancelot ça risque de lui monter à la tête d’être vous. Mais en attendant, le mieux ce serait quand même qu’il fasse semblant d’être vous et que vous fassiez semblant d’être lui jusqu’à ce que je vous aie concocté une solution. C’est le meilleur moyen de préserver la paix, si vous voulez l’avis de quelqu’un de confiance.
- Euh quelqu’un de confiance, ne poussez pas trop non plus.
- Vous me faites pas confiance, sire ?
- Je vous fais pas confiance pour pas faire ou dire de connerie non.
- Nan mais à part les conneries ? C’est quand même votre bon vieux Merlin que vous êtes venu trouver avec votre problème.
Arthur prit une seconde pour réfléchir.
- Oui oui non mais ya pas à dire, je sais que vous vous me voulez pas de mal, quoi.
Il eût aimé pouvoir en dire autant de Lancelot. Lorsqu’il quitta le laboratoire de Merlin quelques secondes plus tard, il ruminait. Il n’avait pas décoléré à son égard depuis leur altercation. Le comportement de Lancelot était complètement inacceptable, et il n’était même pas surprenant. Et Merlin avait raison. Lancelot voulait le pouvoir, il avait déjà fait des avances à Guenièvre par le passé s’il en croyait le calme de cette dernière lors de leur entrevue. Qui savait ce qui s’était déjà passé entre eux. Il n’avait aucune raison de vouloir régler le problème. Il pouvait enfin assouvir tous ses désirs secrets dont il ne pouvait rien dire à Arthur et qui gangrénaient leurs relations silencieusement depuis tant de temps. Il savait Lancelot capable de défendre ce qu’il venait de gagner avec toute la force de son être. Alors, Arthur n’avait pas d’autre choix que de faire en sorte que Lancelot soit pressé de récupérer son corps. Il ferait de l’image de Lancelot tout ce que Lancelot ne voulait pas voir en lui. Après tout, pourquoi ne pas malmener un peu l’enveloppe extérieure du chevalier parfait et noble qu’il prenait tant de soin à cultiver. Ça lui apprendrait à de moquer de lui.
Soudain, Arthur pensa à quelque chose. Une évidence, quelque chose qui ne lui était pas venu à l’esprit auparavant mais qu’il lui fallait absolument vérifier. Excalibur. Il se précipita jusqu’à sa chambre pour retrouver son Épée.
[Votez ici pour ce qui va se passer au chapitre suivant !] [Lisez le chapitre suivant ici]
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ftf-rpg · 2 years
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commande de design - v6.
helloooooooo ✨🌨️
Le froid c’est sympa... Pendant un temps. Il est temps d’habiller Dupree pour le printemps. Les premières fleurs bourgeonnent et s’épanouissent sous un soleil timide et chaque rue semble retentir de musique et de carillons... Et faites attention à ce que vous laissez sur le rebord de vos fenêtres : des fées malicieuses pourraient passer par là. 🧚
pour habiller notre petit forum, nous faisons donc appel à vos talents de graphiste ✨🌨️ merci à quiconque tentera et n'hésitez pas si vous avez des questions, je suis ok pour les mp 🌨️
mots-clés: fleurs, musique, surréel, printanier, lumière, nuages. galerie: https://imgbox.com/g/CrnPNxjmJR (vous êtes bien entendu libre de prendre d'autres images !! on aimerait juste ne pas avoir de célébrités sur le header) header: 900*500 OU ce qui vous inspire ❤️ un bouton new (sur l'index) :  dimension au choix, il sera automatiquement redimensionné en 40x40 un bouton annonce (apparaît dans les sujets) : dimension au choix, il sera automatiquement redimensionné en 40x40 un bouton note (apparaît dans les sujets) : dimension au choix, il sera automatiquement redimensionné en 40x40 un avatar pnj (400x640) un avatar invité (400x640)
- je maîtrise désormais la magie du mode sombre, donc si jamais vous êtes inspiré.e par une version nuit, let's go, mais c'est pas obligatoire !!! ✨ on préférerait un design dans des tons clairs et lumineux, mais c’est à votre goût.
si jamais vous tentez, n'hésitez pas à venir me poker en rp (afin de réserver la surprise à nos membres ) <3 merci beaucoup d'avance !!!!!!!!!  🧚🫶
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Guenièvre
Day 6:Proof of life/Screams from accross the Hall
WC: 1,6k
Characters: Guenièvre, Merlin
Il y avait une chose que Guenièvre désirait plus que tout au monde : que son mari la touchât. Bien sûr, la nuit de leurs noces, elle avait eu peur – retentissait dans sa tête les mots de sa mère ; « serre les dents et laisse pisser » – et elle avait espéré qu’il ne se passerait rien. Surprenamment, son vœu avait été exaucé. Mais cela faisait dix ans maintenant. Elle avait toujours cette boule au ventre quand elle y pensait, mais par-dessus tout, elle avait cette curiosité, cette espèce de rage qui voulait lui faire découvrir comment ça se passerait, quelles sensations ça lui apporterait. Ce soir, Arthur était énervé à cause d’une délégation diplomatique plus bête que les moutons qui peuplaient l’endroit d’où ils venaient. Guenièvre y voyait là son occasion.
À force d’années, Guenièvre avait acquis deux certitudes concernant Arthur et les choses de l’amour : premièrement, qu’Arthur détestait que l’on initiât l’acte. Deuxièmement, qu’Arthur détestait Guenièvre. La reine s’enfonça donc dans son oreiller, de sorte que son abondante chevelure lui cachât en grande partie le visage. Elle se débrouilla aussi pour montrer le plus de peau possible. Sans parler, mais en étant la plus proche et la plus soumise, la reine était sûre d’arriver à ses fins. Et à force, Arthur se laissa tenter et faillit les faire passer à l’acte. Faillit.
*
Le déjeuner était, pour une fois, calme. Son père parlait des nouvelles tourelles qu’il avait décidé de déménager en Calédonie et comme cela ne concernait plus son royaume, Arthur le laissait faire. Sa mère avait les idées ailleurs et Yvain tout autant – mais lui, c’était usuel. Guenièvre regardait son assiette et quelque chose se tordait dans son estomac. D’habitude, elle perdait l’appétit à force des cris ; alors pourquoi aujourd’hui, elle n’arrivait pas à manger ? Sa mère finit par remarquer son trouble.
« Eh bah alors, tu manges pas ? Qu’est-ce que t’as, t’es malade ? »
Guenièvre, désormais sous le feu des lanternes, repoussa son assiette.
« Je sais pas, j’ai envie… j’ai envie de fraises !
- De fraises ? répéta son mari.
- En cette saison ? » renchérit son père.
Puis Léodagan se tourna vers sa propre épouse.
« Tu vois, tout ça, c’est la faute de tes tartes ! »
Dame Séli resta digne.
« Si vous y aviez mis un peu plus de bonne volonté…
- Ce n’est pas la faute des tartes de Mère ! s’écria Guenièvre pour couper court à la discorde montante.
- Ben alors c’est quoi ? » reprit Léodagan.
Guenièvre se trémoussa sur sa chaise en geignant. Elle était incapable de dire d’où venait son profond mal être. Juste qu’il était profond et mal.
« Laissez beau-père, dit alors Arthur, elle a mal au ventre depuis ce matin.
- Oh si c’est que ça ! répliqua Séli avant de s’adresser directement à sa fille : tu iras demander une potion pour te purger à Merlin, après le repas. En attendant, force-toi un peu, c’est pas avec des hanches maigrichonnes que tu pourras porter un enfant. »
En désespoir de cause, Guenièvre suivit les conseils de sa mère et s’en alla voir Merlin. Elle le trouva, inhabituellement, agité.
« Je peux pas, je pars en forêt ! Voir mes racines ! » s’écria-t-il dès qu’il la vit.
Guenièvre eut une seconde de balbutiement avant de répliquer.
« Eh ben je vous suis ! »
Merlin parut hésiter, mais Guenièvre ne semblait pas en vouloir à son inutilité proverbiale. Il sentait au contraire qu’elle était tourmentée par quelque chose et, eh bien, foi de druide, une promenade en forêt était toujours la solution à ce genre de mal être. Ils quittèrent donc la cité de Caamelott et s’en prirent le chemin de la forêt la plus proche. Durant leur marche, la reine ne put s’empêcher de s’enquérir un peu plus du but du périple.
« Et donc, qu’allez-vous faire dans cette si belle forêt ? » demanda-t-elle d’un air plus enjoué qu’elle ne le ressentait en son cœur, « cueillir des boules de gui, chasser des esprits ? Oh, faire des rituels qui ne se transmettent qu’entre bouches et oreilles de druides ? »
Ledit druide fut troublé une seconde, avant de répondre, lentement :
« Non… Cueillir des champignons. Je n’en ai plus et j’ai une envie de soupe.
- Ah », fit Guenièvre, visiblement et raisonnablement déçue.
Elle tenta encore de faire la conversation sur le ciel et la météo, mais Merlin marchait d’un pas alerte pour son âge avancé et ils finirent en silence. Dès qu’ils furent rentrés sous l’orée fraîche des bois, cependant, il respira un grand coup et ce fut comme si toute sa physionomie en fut transformée ; il semblait plus jeune, plus vigoureux. Avec plus d’amabilité qu’il n’en avait démontrée jusque là, il expliqua avec précision quels genres de champignons il désirait. Les deux se séparèrent, mais non sans rester à distance d’ouïe. La cueillette commença. Guenièvre eut d’abord besoin qu’on la rassurât systématiquement sur ses trouvailles puis, très vite, elle devint autonome. En pis, Merlin trierait une fois de retour chez lui. Le simple fait de se concentrer sur une tâche si simple – observez le sol, repérer, cueillir ou laisser – lui faisait grand bien à la tête. Au bout d’un moment, Merlin prit la parole.
« Pourquoi vous veniez me voir au fait ? »
La reine contempla la girofle délicate qu’elle avait ramassée. Elle ressemblait à une fleur âgée ; brunie, racornie.
« C’est que… je ne sais pas ce qui m’arrive. Je ne me sens pas bien en ce moment.
- Indigestion ?
Elle tapa du pied – plus de frustration envers elle-même qu’envers Merlin (qui, osons le dire, était devenu habitué à ce que les habitants du château ne s’en vinssent le consulter que pour des raisons aussi profondes que celle-ci).
« Non ! C’est pas un truc dans l’estomac. Enfin, j’ai l’impression que c’est dans l’estomac, mais enfin, non, attendez, je veux dire : dans mon ventre. Voilà, j’ai une boule dans le ventre.
- Vos écoulements naturelles ?
Elle secoua la tête.
« Non plus. Je les ai eues il y a quelques jours. D’un seul coup, d’ailleurs. Et j’avais beaucoup bu de la camomille.
- Hum. Vous pourriez me dire autre chose ? »
Guenièvre continua de décrire ses sensations. À un moment, Merlin s’approcha d’elle et agita sous son nez une branche de gui. Le geste du druide fut si brusque qu’elle en eût un mouvement de recul, mais aucune autre réaction ne s’ensuivit et elle se demanda ce qu’il avait voulu faire. Puis il lui posa d’autres questions. Des questions plus personnelles, plus intimes. Alors pour la première fois, elle se livra entièrement. Même à Arthur (peut-être surtout à lui) elle n’avait pas osé déballer ses sentiments, sur ce qu’il s’était passé quand elle avait fui Caamelott avec Lancelot. Tout ça était encore flou, revêtu du tabou de l’infidélité, de la honte d’être revenue et d’être épiée sans cesse, mais le fait d’en parler était comme dénouer un nœud fort serré : elle sentait son cœur s’alléger. Finalement, ce fut toute guillerette qu’elle fit le chemin de retour.
« Ah dis donc, qu’est-ce qu’il est rempli le panier ! Vous ne trouvez pas ? J’ai fait du bon travail, non ?
- Oui, oui », acquiesçait Merlin distraitement.
Il était songeur – depuis une grande partie de l’après-midi. Ils franchirent les portes du château et se dirigèrent d’emblée vers l’officine de Merlin, dans un coin de la cours.
« Voilà, tenez ! » fit Guenièvre en lui donnant le panier rebondi. « Ça, vous allez vous régaler, hein ! »
Elle souriait de tout son cœur.
« En fait, merci de m’avoir écoutée. J’ai encore un peu mal, mais ça doit être une indigestion après tout. Au revoir Merlin et merci pour tout ! »
Au moment où elle se détournait, néanmoins, Merlin, prit d’un sursaut, la rappela. Elle se tourna vers lui. Son visage inquiet, rapidement, l’inquiéta elle-même. Merlin paraissait sans cesse sur le point de parler, il ouvrait la bouche, attendait… puis soupirait et la renfermait. Après plusieurs minutes de ce manège, il finit par déclarer, d’un seul coup :
« Vous avez été enceinte, Guenièvre. »
Un seul filet de voix sortit des lèvres de la reine, désormais pâles, comme le reste de sa figure.
« En… enceinte ? »
« Oui. Mais vous avez perdu l’enfant. Ce n’était pas votre écoulement habituel qui est arrivé. »
Il hésita, grimaça. Murmura un rapide « je suis désolé » et s’enferma chez lui. Guenièvre resta seule dans la cours. Seule, à l’exception de cette boule dans son estomac qui sembla avoir grossi tant qu’elle l’ensevelissait de toute part.
*
Elle ne sut pas comment ou quand elle avait réintégré la grande salle. Tout était noyé dans une absence moite de sensations. Elle marchait, mais comme on fait la vaisselle machinalement, qu’importe que ce soit la première ou la dixième assiette ; les gestes sont automatiques, il n’y a pas besoin de réfléchir. Elle sentait son corps bouger, mais sans rien voir, rien entendre. Les mots de Merlin résonnaient en boucle dans son esprit. Ce dernier avait encore une lueur de lucidité. Elle se prit à être honteuse de découvrir que l’enfant n’avait pu être que celui de Lancelot et non de son noble époux. Puis à être soulagée qu’ainsi, le fruit de sa trahison ne marcherait pas à ses côtés jusqu’à la fin de ses jours. Mais tout cela était noyé, noyé dans un espoir qu’elle n’avait jamais cru entrevoir, un désir qu’elle n’avait jamais cru entretenir : celui d’être mère.
Pendant un bref instant, quelques jours tout au plus, elle avait reçu la vie.
Maintenant, son ventre était vide. Elle était vide.
Elle cria et le choc de ses genoux contre les carreaux froids de la grande salle n’arrêta pas son cri.
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jazhmock · 2 years
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Je suis fière de vous présenter mon tout premier challenge ! Il s'agit d'une première version qui n'a pas encore été testée, donc susceptible d'être modifiée avant une version définitive. Pour cette raison, les générations seront postées petit à petit et deux par deux. N'hésitez pas si vous avez des suggestions ou des remarques. Également disponible sur le Forum The Sims.
All Packs Challenge - Gen. 1 & 2
MAJ la plus récente : 04.03.2023 | Version actuelle : v1.0 Compatibilité : tous les EP & GP + SP facultatifs
Ce challenge a été créé en utilisant tous les packs sortis jusqu’en janvier 2023 (excepté Voyage sur Batuu, mais libre à vous de l’inclure dans une génération de votre choix) afin de pouvoir explorer le contenu des Sims 4 au maximum ! Si vous ne les possédez pas tous, vous pouvez passer les générations qui les incluent ou remplacer dans la mesure du possible – l’objectif premier est de s’amuser, pas de se casser la tête.
Les objectifs par génération peuvent être nombreux (scindés en 2 catégories : principaux et optionnels) alors si vous ne les validez pas tous, ce n’est pas grave. De même, les couleurs assignées aux générations ne sont pas obligatoires, mais j’aime bien différencier et associer mes Sims à des couleurs !
N.B : pour faciliter la lecture et parce que je joue principalement avec des sims féminins, ce challenge sera genré au féminin – mais vous pouvez tout à fait choisir des héritiers masculins !
Avant de commencer...
Les mods et codes de triche sont autorisés tant qu’ils ne sont pas utilisés à outrance. Les CC sont également autorisés.
La durée de vie est laissée au choix.
Pour la première génération, vous pouvez prendre une Sim qui existe déjà et la modifier, la créer seule ou avec une famille.
Certaines générations n’ont pas toutes des caractéristiques obligatoires : ça signifie que ce paramètre est laissé au choix – par exemple s’il n’y a que 2 traits sur 3 requis, ou pas de carrière spécifique, laissez libre court à votre imagination !
Gen. 1 : de désert et d'or (jaune)
C’est à StrangerVille que vous débarquez, seule, sur ce petit terrain entouré de caravanes. Pas bien grand, mais ça fera l’affaire. Tout ce que vous avez, c’est votre appareil photo et environ 500§. Vous n’avez jamais vraiment eu de famille et à l’approche de la fin de l’adolescence, vous avez décidé de fuir ces foyers qui n’en étaient pas vraiment. Nouveau nom, nouvelle ville, nouvelle vie. C’est comme ça que vous vous retrouvez ici, à StrangerVille… et il faut bien admettre que cette ville porte bien son nom. Vous restez là plusieurs années, jusqu’à ce que le mystère de la ville soit résolu (par vous) : ce succès vous apporte la confiance nécessaire pour vous lancer dans votre passion de toujours, le cinéma ; vous troquez alors les plaines arides de StrangerVille pour celles de Del Sol Valley.
Packs :
EP : Heure de gloire
GP : StrangerVille
SP : Soirée de luxe, Accessoires vintages, Moschino
Caractéristiques :
Traits : Egocentrique, Paranoïaque
Aspirations : Mystère de StrangerVille, Grande actrice ou Célébrité de renommée mondiale
Carrière : Photographe indépendante puis Actrice
Monde : StrangerVille puis Del Sol Valley
Objectifs principaux :
Compléter l'aspiration Mystère de StrangerVille puis Grande actrice ou Célébrité de renommée mondiale
Atteindre le niveau 10 de la carrière Actrice après votre départ de StrangerVille. Avant cela, vous pouvez travailler comme photographe indépendante pour gagner un peu d’argent
Maîtriser les compétences Jeu d’acteur et Photographie
Avoir un sous-sol secret où vous pouvez vous réfugier
Vivre dans le quartier The Pinnacles (Del Sol Valley) & avoir +150,000§ en banque avant de devenir une personne âgée
Objectifs optionnels :
Maîtriser la compétence Production de médias
Se marier avec une célébrité et avoir 1 à 2 enfants maximum avec ce(tte) Sim
Activer le trait de terrain Maison de célébrité
Organiser régulièrement des événements sociaux. Ils doivent être extravagants, comme si vous aviez toujours vécu dans la richesse. (événements avec ou sans objectifs)
Gen. 2 : de forêt et d'émeraude (vert)
Vous avez grandi dans l’opulence, sans jamais manquer de rien et sous les feux des projecteurs malgré vous. Grâce à la fortune de vos parents, vous n’avez même pas besoin de travailler pour vivre, mais vous ressentez le besoin de donner un sens à votre existence. Vous aimez la simplicité et la nature (enfin, jusqu’à un certain point) bien que vous ayez grandi dans un mode de vie pas vraiment respectueux de l’environnement. Alors ça apparaît comme une évidence : vous voulez le défendre. Et quelle ville serait mieux placée pour cela qu’Evergreen Harbor ?
Packs :
EP : Ecologie
GP : Destination nature
SP : Ambiance patio, Jardin romantique
Caractéristiques :
Traits : Fabricante, Délicate
Aspirations : Amatrice de plein air / Créatrice magistrale
Carrière : Créatrice indépendante
Monde : Evergreen Harbor
Objectifs principaux :
Compléter l'aspiration Amatrice de plein air ou Créatrice magistrale
Améliorer un maximum d'appareils avec des pièces écologiques
Maîtriser les compétences Fabrication d’objets et Herboristerie
Se rendre à Granite Falls au moins 1 jour par semaine, seule ou en famille
Rendre votre quartier écologique & avoir un grand jardin où vous élevez des insectes
Objectifs optionnels :
Maîtriser la compétence Pétillerie
Compléter la collection des insectes
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christophe76460 · 4 days
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(Évangile selon Luc ch.19 v.1à10)
* * *
Riche, chef des publicains, c’est-à dire des collecteurs d’impôts, il est méprisé par ses compatriotes parce qu’il reçoit leurs impôts pour le compte de l’occupant romain.
La scène se passe à Jéricho. Jésus traverse la ville et Zachée cherche à le voir , mais il ne le peut pas à cause de la foule, étant petit de taille. Son ardent désir de voir Jésus le pousse à courir en avant à un endroit où Jésus va passer et, malgré sa notoriété, défiant le qu’en dira-t-on et les probables sarcasmes, il grimpe sur un arbre pour le voir. Cette façon d’agir de la part d’un homme riche et connu montre que son désir de voir Jésus n’est pas seulement de la curiosité, mais un besoin de connaître Jésus, qui il est. Nicodème est venu de nuit voir Jésus (Jean 3 v.2) mais lui, Zachée ne se cache pas et n’hésite pas à se faire remarquer en montant sur un arbre au vu de tous.
Arrivé à cet endroit, Jésus lève les yeux et voyant Zachée, il lui dit : « Zachée !... ». Il l’appelle par son nom ! Jésus le connaît donc comme il connaît chacun de nous. Il n’a pas besoin qu’on lui rende témoignage car lui-même connaît ce qu’il y a dans l’homme (Jean 2 v.25). Jésus vous connaît, cher lecteur, chère lectrice, il connaît vos besoins et vous appelle par votre nom.
« Zachée ! Descends vite, car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison. »
« il faut que je demeure… » C’est une nécessité absolue : vous avez besoin de salut et vous ne pouvez l’obtenir que si vous laissez entrer Jésus, le Sauveur, dans votre vie, dans votre cœur pour qu’il y demeure.
« Voici je me tiens à la porte et je frappe, dit-il, si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi. » (Apocalypse 3 v.20)
« Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui et nous ferons notre demeure chez lui. » (Jean 14 v.23)
Jésus dit donc à Zachée : « il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison. » Non pas demain, ni plus tard, mais aujourd’hui.
Et maintenant, il vous dit : « Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas votre cœur. » (Hébreux 3 v.7, 8 et 15)
« Voici c’est maintenant le temps favorable, voici c’est maintenant le jour du salut » (2 Corinthiens 6 v.2). Demain pourrait être trop tard !
Zachée, entendant l’appel du Seigneur Jésus, se hâte de le recevoir dans sa maison. Il désirait voir Jésus, qui il était, et il obtient infiniment plus : Jésus demeure chez lui. Avec quelle joie il le reçoit !
Voyant cela, tous murmurent disant : « Il est entré chez un homme pécheur pour y loger ! » Chez qui d’autres peut-il entrer ? « Tous ont péché » nous dit la Bible (Romains 3 v.23). « Il n’y a pas de juste, pas même un seul » (Romains 3 v.10). Jésus n’est pas venu pour appeler des justes, mais des pécheurs à la repentance (Luc 5 v.32)
Zachée dit à Jésus : « Voici, Seigneur, je donne aux pauvres la moitié de mes biens, et si j’ai fait tort à quelqu’un, je lui rends le quadruple ». Ce riche percepteur d’impôts méprisé par ses compatriotes est en fait un homme honnête. Mais sa droiture et son honnêteté ne lui permettent pas d’obtenir le salut. Seule, la foi au Seigneur Jésus le sauve. « C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu ; non pas sur la base des œuvres, afin que personne ne se glorifie. » (Ephésiens 2 v. 8
Jésus dit à Zachée : « Aujourd’hui le salut est entré dans cette maison … car le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. »
Jésus emploie une deuxième fois le mot "aujourd’hui". Tout à l’heure : « Il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison » et maintenant : « Aujourd’hui le salut est entré dans cette maison ». Le salut est immédiat, dès que le Seigneur est reçu dans le cœur. Ce sera la même chose pour le brigand repentant sur la croix ; Jésus lui dira : « Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis. » (Luc 23 v.43)
Cette rencontre avec Zachée est l’occasion pour le Seigneur de rappeler le but de sa venue ici-bas : « le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. » Le Fils de Dieu de toute éternité est venu ici-bas comme Fils de l’homme pour accomplir cette mission que personne d'autre que lui ne peut accomplir : chercher et sauver ce qui était perdu. « Le Fils de l'homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup. » (Marc 10 v.45)
Ami lecteur, amie lectrice, si vous ne connaissez pas encore Jésus comme votre Sauveur, Il vous appelle aujourd’hui. Il vous cherche et veut vous sauver. Il frappe à la porte de votre cœur. Ne vous laissez pas arrêter par la crainte de l’opinion des autres. Ouvrez-lui aujourd’hui, maintenant.
« Voici c’est maintenant le temps favorable, voici c’est maintenant le jour du salut. » (Corinthiens 6 v.2)
http://www.la-verite-sure.fr/page2.html
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adamads · 9 days
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Et bim ! Encore une rouquine ! 
Voici Ianthe Blackwell, la petite sœur de Norem. Ianthe, qui m’a donné du fil à retordre et je ne sais même pas pourquoi. Je crois que je manquais de concentration, tout simplement.
—-------------------------------------- Alerte Pavé—-------------------------------
Dernièrement dans une des vidéos que je regardais, une artiste posait plus ou moins la question suivante : si vous n’aimez pas dessiner, pourquoi insister ? 
Le fait est que le dessin et la peinture sont autant un divertissement qu’un challenge, et qu’en poussant notre art à progresser, nous nous engageons dans un processus qui peut nous procurer autant de plaisir que nous faire souffrir. C’est ce qu’on appelle généralement “une passion”. 
(Pour celles et ceux qui l’ignoreraient, le sens même du mot “passion” est littéralement “souffrance”)
Et on ne se défait pas d’une passion comme on pourrait se défaire d’un passe-temps, car elle occupe pour beaucoup d’entre nous chaque fibre de nous-même. 
Prenons le dessin. Vous aimez dessiner, mais en même temps vous en souffrez. A moins que ce ne soit pour vous un pur hobby, le dessin occupe votre esprit comme un animal sauvage que vous chercheriez à apprivoiser sans trop savoir par quel bout le prendre. 
Si vous le laissez faire, vous devez être patient, attentif, et avoir beaucoup d’espoir, car il y a alors de grandes chances que vous soyez alors de ceux qui pensent en termes de “jour où ça va” et “jour où ça ne va pas”. 
J’ai été moi-même dans ce cas. J’ai patiemment attendu l’illumination et les jours où mon esprit et mon corps seraient suffisamment en harmonie pour arriver à tracer trois pauvres traits et deux têtes mal fichues. 
Ces journées “illumination” se comptant facilement sur les doigts d’une main sur une période d’un mois, autant vous dire qu’en termes de ratio, on ne peut pas trop parler de succès. 
Alors quoi ? 
Alors j’ai appris. Et je suis passé de “apprivoiser” à “dompter”. De “laisser venir” à “aller vers”. 
J’ai dû remettre en question toutes mes certitudes pré-établies, pour pouvoir transformer la “souffrance de l’attente du jour idéal” en “souffrance de la remise en question et de l’apprentissage”. 
Je me suis employée à reprendre tout ce que je pensais savoir et à le remplacer par de nouvelles façons de penser et de voir, dans le but surtout de comprendre comment faire pour avoir le contrôle sur ma passion. 
J’ai mangé des cours, des tutos, essayé une méthode et une autre, appris à voir ce qu’on ne peut pas voir quand on ne dessine pas ou qu’on ne peint pas. (Oui, tout ce que taper un prompt sur une IA ne vous apprendra jamais)
Et toujours malgré tout, et même si je progressais, j’en souffrais. Quelque chose n’allait pas. D’un côté, j'avais la sensation de me forcer à dessiner pour progresser. Et psychologiquement je vivais une dissonance. 
Sauf que de ne rien faire était tout aussi douloureux ! Et chaque fois que je laissais passer trop de temps sans dessiner et /ou écrire (Oui, j’ai besoin des deux), j’avais la sensation de me flétrir. 
La passion c’est ça : quelque chose qui nous fait souffrir, peu importe comment on le prend, mais dont on ne peut pas se passer, sous peine de souffrir également. 🎻🍂
Fin de parenthèse, rangez les violons. 
J’en étais donc à interroger le pourquoi du comment de l’issue de ce cycle infernal, quand cette artiste, donc, a posé plus ou moins cette question : “si vous n’aimez pas dessiner, pourquoi insister ?”
Puis elle a posé la vraie question, celle que j’avais besoin d’entendre : “dessinez-vous pour avoir un joli dessin, ou parce que vous prenez plaisir au processus du dessin ?”
Et c’est là que j’ai prit conscience qu’en fait, j’avais toujours pris le problème à l’envers. Je dessinais pour le résultat, pour aimer le résultat. Mais de la même façon que le plaisir dans un voyage est le trajet d’un point à l’autre, le plaisir dans le dessin n’est pas la destination. C’est le processus. Et si vous ne prenez pas plaisir au fait de dessiner, peindre, écrire, cuisiner, jouer, etc. etc. le résultat ne sera jamais à la hauteur de vos attentes.  
Le plaisir se vit dans le fait de faire les choses. Le résultat n’est en quelque sorte qu’une conséquence, un témoignage, une trace de ce que vous avez vécu pendant la création. Pas un but. Une conséquence. 
Merci aux courageux de m’avoir lue jusqu’au bout  ! <3 
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selidren · 1 year
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Champs-les-Sims - Automne 1914
6/6
Je m'aperçois que le ton de cette lettre est bien sombre en comparaison de toutes celles que nous avons envoyées depuis des années, mais les affres de la guerre plongent dans le désespoir très rapidement. J'espère que le conflit ne durera pas trop, car je n'en peux plus de me réveiller après avoir fait d'horribles cauchemars de flammes et de morts. J'évite même de trop lire la presse tant cela me pèse. J'espère que vous, chers cousins canadiens, serez épargnés par ce malheur et que vous pourrez continuer à vivre une vie paisible. Je sais que l'adjectif paisible n'est pas votre préféré quand il est question de vie quotidienne, mais croyez moi, même vous pourrez en venir à le chérir après une guerre.
Avec l'assurance de mes sentiments les plus sincères,
Albertine Le Bris
Transcription :
Albertine : Mais il y a tant de choses à faire ! Je dois passer au vignoble pour voir comment avance la vendange, je ne fais pas confiance au contremaître que nous avons engagé à la hâte. Il faut aussi étiqueter les stocks de l'année passée, Adelphe n'a pas eu le temps de le faire. Et puis il y a cette fuite au grenier dont il faut s'occuper avant l'hiver. Et, bon sang, cela fait au moins deux jours que je n'ai pas répondu à Constantin, il va s'inquiéter...
Eugénie : Vous ferez cela autant que possible depuis votre lit Albertine. Je sais qu'il n'est pas aisé pour vous de mener les tâches des hommes de front avec les tâches des femmes, mais je peux vous y aider. Renoncez à votre fierté et laissez moi gérer plus de choses. Je l'ai déjà fait quand Constantin était encore un enfant.
Albertine : Adelphe m'a raconté cette période. Il s'en veut beaucoup d'ailleurs...
Eugénie : Bêtises que tout ça. Il n'était encore qu'un enfant, bien entendu que j'ai du l'aider, alors même qu'il était déjà parfaitement autonome. Il a toujours été si sensible ce petit...
Albertine : *kof* *kof*
Eugénie : Bon. Je vous interdit de vous lever, contentez vous de vous faire un sang d'encre dans ce lit. Je reviens avec votre tisane et je vous aiderai à vous changer.
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jisbunv · 1 month
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YOUTH STUDIO CHAPITRE 5
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(quartier commerçant)
shinobu : ooh, il y a plus de monde que d'habitude de gozaru !
je suis habituellement mal à l'aise avec les gens sur le trottoir qui distribuent des mouchoirs ou qui font de la publicité.
ça faisait effectivement longtemps que je n'avais pas emprunté une rue aussi large comme celle-là de gozaru.
makoto : ah oui ? désolé, je t'ai invité à un endroit qui te rend inconfortable.
shinobu : waah, s'il te plaît ne t'excuse pas de gozaru! yuuki dono je suis super content que tu m'aies invité de gozaru~♪
en fait, tant que je suis avec toi, j'ai l'impression que je pourrais aller dans n'importe quel magasin les yeux fermés de gozaru!♪
aau, ne, ne me pousse pas avec ton coude....... wah, oh, oooooh
makoto : shinobu kun, est-ce que ça va !?
shinobu : ugh... j'ai été pris au dépourvu de gozaru.... c'est peut-être parce que j'ai un petit peu sauté les entraînements car en ce moment il fait trop froid de gozaru.
après tout, je dois suivre l'exemple de capitaine dono, *râle râle* .....
makoto : euh, est-ce que ça va ? il y a un parc à côté du quartier commerçant. shinobu kun, attends-moi là-bas.
si jamais tu as une musique en tête pour la diffusion, j'irais la chercher pour toi.
shinobu : uhh..... si je fais faire à yuuki dono le travail qui m'a été donné, je trahirais les attentes du président qui attendait tant de moi de gozaru...
surtout que c'était une mission à faire seul, et je suis accompagné pour la compléter.
mais je suis avant tout un ninja de gozaru, c'est une excellente occasion de montrer le fruit de mes entraînements avec yuuta kun de gozaru. aller, c'est parti............♪
makoto : (wow, incroyable, il se faufile discrètement dans la foule)
(shinobu kun est petit alors ça doit être plutôt facile. je ne suis pas grand non plus, mais je n'ai pas non plus l'impression d'être assez petit.)
(si je faisais pareil que shinobu kun j'ai l'impression que je me ferais repousser par la foule à mi-chemin.)
shinobu : yuuki dono~! regarde, regarde! voici l'étendue de mes pouvoirs de gozaru!♪
makoto : ahaha, tu as raison. shinobu kun tu es trop fort♪
shinobu : ehehe, j'ai été félicité de gozaru........♪
makoto : bon je viens aussi, est-ce que tu peux m'attendre ?
shinobu : bien reçu de gozaru, je suis un bon garçon qui sait attendre patiemment de gozaru~☆
makoto : excusez-moi. s'il vous plaît laissez-moi passer~ oui merci beaucoup♪
shinobu : (ho ho, voici un autre moyen de traverser la foule de gozaru~. mais moi je suis timide alors cette technique m'a l'air difficile de gozaru.)
makoto : fiou, ça m'a pris du temps, merci d'avoir patienté shinobu kun. bon aller, entrons dans le magasin.
uwah !?
shinobu : yuuki dono, que t'arrive-t-il de gozaru ?
makoto : eh bien, il y a quelqu'un qui porte une énorme quantité de bagages........ elle ne doit rien voir devant elle, est-ce que ça va aller ?
shinobu : ce monsieur risque de tomber à n'importe quel moment, c'est vraiment dangereux de gozaru.
en plus il est en plein milieu de la foule. j'ai vraiment un mauvais pressentiment de gozaru.....
makoto : je pense qu'appeler cette personne pour l'aider serait une bonne idée.
shinobu : je suis d'accord avec ton idée de gozaru yuuki dono. on dit que lorsque quelqu'un est en difficulté, il faut toujours faire son possible pour l'aider, n'est-ce pas de gozaru ? je vais l'aider aussi de gozaru♪
................
(oh non de gozaru~! j'avais oublié que j'étais timide de gozaru.)
(je me tiens courageusement devant lui, mais je ne sais pas comment lui parler de gozaru. aauuaauu, que dois-je faire ?!)
makoto : hum excusez-nous, est-ce qu'on pourrait vous aider ?
shinobu : (yu, yuuki dono~! tu lui as adressé la parole pile au bon moment, yuuki dono, tu sais tellement bien lire l'ambiance de gozaru♪ tu mérites une fantastique pluie de remerciements de gozaru!)
makoto : mais quand même, c'est une sacrée pile de bagages.
hmm, c'est vrai que quand j'avais fait les courses pour mes fournitures scolaires j'en étais ressortis avec une montagne d'achats aussi.......... hm?
shinobu : yuuki dono, en réfléchissant autant, tu risques de tomber de gozaru.
un jour, j'étais à un concours d'observation de grenouilles à l'école et j'ai perdu l'équilibre et je suis tombé dans l'eau de gozaru.
makoto : ahaha, ça m'arrive souvent aussi quand je ne porte pas mes lunettes. en fait, sa voix me paraissait familière, du coup je me demandais si c'était quelqu'un que je connaissais.
mais la seule fille que je connais, c'est....
attends, est-ce que c'est toi anzu chan !? anzu chan, c'est bien toi pas vrai .....?
shinobu : je ne peux pas verifier son visage parce qu'elle a la tête derrière un sac, et c'est également difficile de bien discerner sa voix de gozaru. je vais écouter attentivement pour vérifier si c'est bien la voix de anzu dono de gozaru~♪
.....................
uugghh, elle ne dit rien du tout donc je ne suis même pas sûr que ce soit une fille en premier lieu de gozaru. s'il te plaît, juste dis quelque chose au hasard de gozaru~.............
makoto : elle a réalisé que la personne qui se tient devant elle est shinobu kun. mais elle se concentre pour ne pas faire tomber tous ses bagages donc elle ne sait pas à quelle distance il est exactement.
je me demande ce qui se serait passé si on s'était trompé de personne, heureusement que c'était bien anzu chan~
shinobu : j'ai cru qu'elle m'avait mis un super vent de gozaru. comme d'habitude anzu dono va à son rythme bien à elle.
et d'ailleurs, je ne sais pas comment tu arrives à trouver l'équilibre avec cette quantité questionable de bagages sur les bras de gozaru♪ et hop, attention
makoto : c'est pas trop lourd ? le sac que je porte n'est pas si lourd que ça, tu veux qu'on échange ?
shinobu : aucune raison de s'inquiéter de gozaru♪ j'ai passé beaucoup de temps à l'entraînement, j'ai gagné du muscle, je peux porter n'importe quel bagage, peu importe son poids de gozaru~ hop hop
fu.... fuu. si anzu dono ne m'avait pas soutenu je serais tombé de gozaru
tu portais tellement de choses de gozaru, anzu dono tu dois être plus musclée que moi de gozaru~♪
aïe, non je n'ai pas dis que tu manquais de délicatesse de gozaru........? je trouvais qu'être fort c'était cool, alors je te complimentais.
makoto : ahaha, shinobu kun tu as vraiment manqué à anzu chan.
la réaction de anzu chan est un peu froide, je me demande si elle essaye juste de cacher sa timidité ....
enfin bref, anzu chan tu es sur le chemin de l'école ? oui c'est bien ce qui me semblait.
nous on faisait du shopping pour rechercher de la musique........ c'était censé être demain ? non, avec anzu chan c'est encore une autre affaire.
en fait, demain c'est le tour de shinobu kun au comité de diffusion. on avait commencé à en discuter, puis on a décidé d'aller rechercher de la musique pour sa diffusion.
hein ? tu veux nous joindre ? moi ça ne me dérange pas mais qu'en est-il de shinobu kun ?
shinobu : anzu dono est toujours la bienvenue de gozaru~♪
makoto : shinobu kun est partant, et toi anzu chan ?
c'est un très gros bagage que tu portes. tu ferais quand même mieux d'aller le déposer avant notre shopping.
ah, tant mieux si ce n'est pas urgent♪
"je suis désolée de devoir faire les magasins avec mes bagages dans les bras" ?
nous te sommes redevables anzu chan, si on se reparti tout ça entre nous trois ça devrait largement le faire !
shinobu : c'est exact de gozaru. j'aimerais avoir des opinions différentes par rapport au choix pour ma musique de gozaru, alors c'est du donnant-donnant de gozaru !
makoto : shinobu kun tu dis quelque chose de vraiment bien ! anzu chan a l'air d'être d'accord, alors allons-y tout de suite~♪!
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yes-bernie-stuff · 2 months
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Persona non grata 11/08/2024
Il n’entrera que ceux qui sont inscrits dans le livre de vie de l’Agneau. Apocalypse 21.27
Un voyage à l’étranger requiert des préparatifs, dont fait partie l’incontournable demande de passeport. Ce justificatif officiel prouve l’identité et le droit de passer la frontière.
Notre famille s’apprêtait à passer des vacances de rêve outre-Atlantique. Mais la découverte qu’un des passeports ne serait plus valable à la date du départ, a semé la panique !
En se renseignant en mairie nous avons appris que les délais de prises de rendez-vous étaient trop longs pour obtenir un nouveau passeport à temps. Vous imaginez notre grosse déception ! L’un de nous se verrait refuser l’accès au pays.
Un bien plus grand voyage nous attend tous pour nous amener à notre dernière demeure pour l’éternité. Toutefois, la date du départ nous est inconnue. Demain, dans 10 ans ? Qui sait ? Serai-je pris au dépourvu, sans passeport valide ?
Nous avons la possibilité de nous procurer ce laissez‑passer, celui-ci sans date de péremption. Il donne le droit de franchir la frontière de notre destination finale auprès de Dieu. Jésus est celui qui pourvoit à ce droit grâce à son sacrifice qui a payé le prix de la réconciliation avec Dieu. Aujourd’hui, sans délai, vous pouvez lui faire la demande pour que votre nom soit inscrit dans le livre de vie, faute duquel vous vous verrez refuser l’entrée.
Alison Packer
__________________ Lectures proposées : Livre de l’Apocalypse, chapitre 21, versets 1-8
De nouveaux cieux, une nouvelle terre
1 Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus. 2 Et je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s’est parée pour son époux. 3 J’entendis du trône une forte voix qui disait : Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. 4 Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. 5 Et celui qui était assis sur le trône dit : Voici, je fais toutes choses nouvelles. Et il dit : Écris ; car ces paroles sont certaines et véritables. 6 Et il me dit : C’est fait ! Je suis l’alpha et l’oméga, le commencement et la fin. À celui qui a soif, je donnerai de la source de l’eau de la vie, gratuitement. 7 Celui qui vaincra héritera ces choses ; je serai son Dieu, et il sera mon fils. 8 Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.
Évangile de Jean, chapitre 12, versets 44 à 50.
44 Or, Jésus s'était écrié: Celui qui croit en moi croit, non pas en moi, mais en celui qui m'a envoyé;
45 et celui qui me voit voit celui qui m'a envoyé.
46 Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres.
47 Si quelqu'un entend mes paroles et ne les garde point, ce n'est pas moi qui le juge; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde.
48 Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour.
49 Car je n'ai point parlé de moi-même; mais le Père, qui m'a envoyé, m'a prescrit lui-même ce que je dois dire et annoncer.
50 Et je sais que son commandement est la vie éternelle. C'est pourquoi les choses que je dis, je les dis comme le Père me les a dites.
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manue-ringo · 2 months
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Chapitre 130 : Alliances inattendues Partie 1
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Bonjour, monsieur. Dit-elle en s'asseyant face à lui, essayant de masquer son inquiétude.
Bonjour, Parker. Merci d’être venue si rapidement. Répondit-il, son visage grave et ses yeux trahissant une profonde préoccupation.
Il poursuivit en demandant poliment :
Comment ça va ? J'imagine que ça ne doit pas être très facile pour vous.
Elle répondit dans un haussement d'épaule, tentant de paraître détachée :
Disons que je n'ai pas eu le choix. Il était nécessaire que je prenne mes distances. Ça fait partie du jeu. Maintenant, je suis libre d'agir comme je le souhaite.
Vous ne croyez pas si bien dire Parker. Justement, j'ai une proposition à vous faire. Dit-il en se penchant vers elle son ton devenant plus intense.
Ah oui ? Je vous écoute. Demanda-t-elle, quelque peu perplexe son cœur battant plus vite.
Il prit une grande inspiration avant de reprendre :
Que diriez-vous de travailler ensemble ? De manière officieuse, bien entendu.
Parker arqua un sourcil, visiblement surprise par cette proposition. Une vague de confusion et de méfiance traversa son esprit.
Vous êtes sérieux ? S'interrogea-t-elle, quelque peu abasourdie.
Je suis conscient de tout ce que cela implique, mais j'ai beaucoup réfléchi à la question. Ne vous sentez pas obligé d'accepter Andréa. Seulement, vous êtes brillante et déterminée et je crois qu'en travaillant à vos côtés, je pourrais peut-être vous aider à vous sortir de cette impasse, une bonne fois pour toutes. Dit-il sous un air très sérieux, ses yeux cherchant les siens pour y trouver une réponse.
Je vous avoue que je ne sais pas quoi dire. Vous avez une carrière et je ne voudrais pas…
Skinner ne la laissa pas terminer, il déclara, l'air décidé :
… Ne vous en faite pas pour ça. C'est tout réfléchi. Laissez-moi vous expliquer la situation. En tant que directeur adjoint, je peux avoir accès à des informations sensibles qui pourraient grandement faire avancer cette affaire. Je sais que vous en savez assez sur le sujet pour pouvoir agir, seulement, il vous manque un appui de taille pour pouvoir le faire sans vous compromettre. Je peux être cet appui. Qu'en dite vous ? Proposa-t-il, en la regardant droit dans les yeux, une lueur de détermination dans son regard.
Parker semblait réfléchir à ses paroles. Elle hésita un instant, son esprit tourbillonnant de doutes et d’espoirs contradictoires, avant de répondre :
Je dois admettre que l'idée est très alléchante et j'en serais très honoré, mais…
Vous doutez de ma loyauté, n'est ce pas ? Je comprends. Comme je vous l'ai dit, vous êtes libre de refuser, évidemment. Mais je tiens à vous et il me serait impossible pour moi de trahir votre confiance. Je vous donne ma parole. Dit-il le regard brillant de sincérité.
Parker marqua une pause pesant ses options, puis reprit :
Très bien. Je marche. Je vous fais confiance. Laissez-moi le temps de rassembler tout ce que j'ai sur le sujet et nous pourrons ensuite passer à l'action.
C'est d'accord. Je suppose que vous avez pris vos dispositions pour votre sécurité. Dit-il, tentant de se rassurer.
Oui en effet. Je vous tiens au courant. Dit-elle avec assurance, un nouveau sentiment de détermination se mêlant à son anxiété.
Parfait. Attendez mon appel. Dit-il, un sourire rassurant se dessinant sur ses lèvres.
Parker quitta le bar, son esprit en ébullition. L’offre de Skinner était tentante, mais elle savait que cela impliquait des risques. Elle passa le reste de la journée à rassembler ses pensées et à préparer les documents nécessaires. Parker semblait avoir retrouvé un nouvel espoir grâce à lui. La jeune femme avait encore du mal à comprendre pourquoi Skinner tenait tant à lui venir en aide. Peut-être se sentait-il en partie responsable de tout cela ? Bien que ses projets en seraient bouleversés, Parker espérait avoir fait le bon choix en lui accordant sa confiance, tout en réalisant que la situation dans laquelle elle se trouvait, la dépassé totalement. Parker ne pouvait plus se permettre d'échouer à nouveau. Pas après tout ce qu'elle avait enduré.
Le lendemain matin, Parker reçut un appel de Skinner. Sa voix était calme mais déterminée.
Parker, j’ai sécurisé un lieu de rendez-vous. Pouvez-vous être là dans une heure ?
Oui, comptez sur moi. Répondit-elle, son cœur battant la chamade.
Elle se rendit à l’adresse indiquée, un petit bureau discret en périphérie de la ville. En entrant, elle trouva Skinner déjà installé, entouré de dossiers et de cartes.
Bonjour, Andréa. Merci d’être venue. Dit-il en lui faisant signe de s’asseoir.
On ne peut pas dire que vous avez chômé. Lui fit-elle remarquer en scrutant le lieu.
Bon, j’ai apporté tout ce que j’ai Dit-elle en posant une pile de documents sur la table.
Skinner hocha la tête et commença à examiner les papiers. Après quelques minutes de silence, il leva les yeux vers elle.
Vous avez fait un excellent travail Andréa. J'ignorais que vous possédiez autant d'informations. Avec ça, nous avons une chance de faire tomber le Centre. Dit-il, une lueur d’espoir dans les yeux.
Mais Parker ne semblait pas du même avis. Le doute la submergea tout à coup. Elle demanda, d'une petite voix trahissant son inquiétude :
Je ne suis pas sûr que cela suffit monsieur. Qui voudra croire ça ? L'affaire a été classée, et quand bien même elle serait rouverte, nous aurions à faire face à un autre problème. Monsieur, je ne remets pas en cause vos compétences, seulement, il y a un détail qui pourrait tout faire basculer.
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