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#macronisme
aurianneor · 2 months
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Quelle époque!
Le Front National est ouvertement raciste et il est condamés. Les Sarkozystes et les Macronistes s’en prennent aux “fainéants”, aux illétrés, aux personnes âgées, aux manifestants, aux “gens qui ne font rien”, aux “décivilisés”, aux migrants qu’il faudrait ne plus soigner, quand ils utilisent les violences policières. Il y a une grande similarité entre ce que Macron fait et ce que le Front National dit, c’est juste sur des groupes différents. Certains aspects sont strictement identiques: traiter leurs opposants politiques d’extrêmistes, parler d’écoterrorisme, la réforme des retraites.
Une grande partie de la population pense que le macronisme est moins grave que le Front National car ce n’est pas du racisme. La violence sociale et physique du macronisme est du même degrès que ce qu’exercerait le Front National contre ses ennemis, ce sont juste des gens à peine différents qui sont ciblés: faire travailler les personnes âgées plus longtemps, réduire les droits des chômeurs, réduire l’accès au soin des migrants, les violences policières contre les gilets jaunes et les défenseurs de l’environnement. Ils considèrent comme tout mouvement de droite que certains méritent plus que d’autres par nature. Les droits sont différents selon le groupe auquel on appartient.
Macron dépense beaucoup en subventions, en continuant l’Etat Providence. Il donne de l’argent pour les besoins essentiels qui va directement dans la poche des ultra-riches: les pétroliers, les promoteurs immobiliers et les géants de l’agro-alimentaire et les banques. C’est de l’argent qui transite par les citoyens vers les ultra-riches. Les chèques transport, les chèques énergie, les chèques logement, les chèques alimentation. Il vaudrait mieux instaurer des prix plafond et des prix planchers.
L’argent qu’emprunte Macron qui va le rembourser? Pourquoi les poches des oligarques restent aussi pleines; certains dirigeants allant jusqu’à toucher 10 000 fois le salaire d’un employé de base?
L’argent est là, pourquoi l’emprunter?
Je considère que manifester dans la rue n’est pas un mode de fonctionnement efficace, les chefs d’Etats lèvent à peine un sourcil et c’est risqué car la police utilise des armes léthales.
Si la démocratie était plus directe, les Français voteraient-ils pour cela?
Et n’oublions pas qu’une personne peut disparaître de la scène politique avant son terme, subir des influences, subir des pressions et changer d’avis. Je continue à penser qu’il vaudrait mieux voter pour des idées via des référendum plutôt que pour des personnes, surtout quand on ne peut pas les challenger lorsqu’on est pas d’accord. (Initiatives populaires, initiatives citoyennes démocraties directes ou semi-directes).
– Rémunérations des dirigeants : les Suisses veulent continuer à légiférer – La Tribune: https://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20130310trib000753141/remunerations-des-dirigeants-les-suisses-veulent-continuer-a-legiferer.html
Une philosophie du mépris – Le Monde diplomatique: https://www.monde-diplomatique.fr/2019/03/PUDAL/59625
Macron’s immigration law marks a political and moral rupture – Le Monde: https://www.lemonde.fr/en/opinion/article/2023/12/20/macron-s-immigration-bill-marks-a-political-and-moral-rupture-in-french-politics_6360438_23.html
La France veut supprimer le droit du sol à Mayotte pour répondre à la crise migratoire – Le temps: https://www.letemps.ch/monde/europe/la-france-veut-supprimer-le-droit-du-sol-a-mayotte-pour-repondre-a-la-crise-migratoire
Ecologie: entre la macronie et le RN, la course de lenteur – L’Opinion: https://www.lopinion.fr/politique/ecologie-entre-la-macronie-et-le-rn-la-course-de-lenteur
Macron 2017, le traitre méthodique – France Inter: https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/affaires-sensibles/affaires-sensibles-du-jeudi-19-octobre-2023-9546728
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Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Le prix plafond et le prix plancher: https://www.aurianneor.org/le-prix-plafond-et-le-prix-plancher/
Législatives 2024: choisir la gauche ou la droite: https://www.aurianneor.org/legislatives-2024-choisir-la-gauche-ou-la-droite/
L’écoterrorisme: https://www.aurianneor.org/lecoterrorisme/
La décivilisation: https://www.aurianneor.org/la-decivilisation/
Le mépris, c’est pas automatique: https://www.aurianneor.org/le-mepris-cest-pas-automatique/
Vème République, toujours là…: https://www.aurianneor.org/veme-republique-toujours-la-to-read-this-in/
The Good tyrant ?: https://www.aurianneor.org/the-good-tyrant-tyranny-can-legally-exist-in-a/
Le référendum est une arme qui tue la violence: https://www.aurianneor.org/le-referendum-est-une-arme-qui-tue-la-violence-oui/
Le RIC – Référendum d’initiative citoyenne: https://www.aurianneor.org/via-httpswwwyoutubecomwatchv-e2lnzwuy4ks/
Oui au Référendum d’initiative populaire: https://www.aurianneor.org/oui-au-referendum-dinitiative-populaire-petition/
Solidarité Hélvétique: https://www.aurianneor.org/solidarite-helvetique-democratie-semi-directe/
Tomorrow – Chap 4: La démocratie: https://www.aurianneor.org/tomorrow-chap-4-la-democratie-the-panama/
Allez Allez Allez !: https://www.aurianneor.org/allez-allez-allez-merci-douvrir-les-mairies/
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faire-quelques-choses · 5 months
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#MacronNousPrendPourDesCons #macronisme
#PlusJamaisPS #fascisme #extrêmedroite #GuerreEnUkraine #troisièmeGuerreMondiale
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mithridas · 1 year
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Très bonne analyse de Frédéric Lordon qui dresse un diagnostic implacable sur la situation actuelle.
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Joli ! Pendant que les petits bourgeois prennent la pose, exhibent leur antifascisme en carton, insultent les couches populaires qui ont voté pour le RN, au Parlement européen, les Verts (NFP) votent comme un seul homme pour la néofasciste corrompue von der Leyen. Et Manon Aubry (NFP LFI) lui donne une accolade bruyante et spectaculaire pour la féliciter. Les sauveteurs de Macron et du macronisme, sont cohérents. L’épate-bourgeois quand ça ne coûte rien. Aplatis devant le Capital quand ça devient sérieux.
Alors les "Gôches" ? Vous pouvez être fiers ? Les rois de la gamelle!
La soupe est bonne ?
Electeurs du Front républicain : Bien fait pour votre gueule!
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thebusylilbee · 2 months
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L' « extrême centre » est une notion forgée par Pierre Serna, professeur à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne et membre de l’Institut d’histoire de la Révolution française. Elle vise à décrire les gouvernements qui apparaissent après des périodes politiques marquées par des violences ou des instabilités fortes, qui se revendiquent de la modération et souhaitent se débarrasser du clivage gauche-droite. Napoléon Bonaparte dira par exemple en 1799, après le coup d’État du 18 Brumaire : « Ni talon rouge, ni bonnet rouge, je suis national. » D’après Pierre Serna, auteur de L’extrême centre ou le poison français : 1789-2019 (Champ Vallon, 2019), cette politique survient notamment en France en 1793, en 1799, en 1815, en 1851 ou encore en 1958, avec le retour au pouvoir de Charles de Gaulle, qui se présente alors comme au-dessus des partis. Depuis 2017, Emmanuel Macron « coche toutes les cases de l’extrême centre », assure l’historien. Pour Les Jours, Pierre Serna analyse à l’aune de cette notion la naissance du macronisme, son héritage et ses dérives. Entretien.
Qu’est-ce que l’extrême centre ?
C’est un concept historique qui m’est apparu parce que je n’arrivais pas à nommer les événements historiques qui se sont produits entre 1790 et 1815, surtout durant Thermidor, le Directoire et le Consulat. L’extrême centre est la réunion de plusieurs phénomènes. Lors de cette période, l’ensemble de la classe politique s’était beaucoup dédit et avait prêté moult serments à tous les régimes, de 1789 à 1815. Il y avait donc toute une série de personnages qu’on peut appeler « girouettes ». Ensuite, dans les périodes suivant des moments d’intenses violences politiques, ce groupe revendiquait la rhétorique de la modération pour revenir au calme et à une forme de réconciliation, de compromis. À partir de là, ces gens se légitimaient eux-mêmes dans leur changement d’avis, mettant leur positionnement politique au-dessus de leurs principes. Pour justifier cela, il fallait qu’ils se situent dans un échiquier politique déjà clairement défini depuis la Constituante : au centre. Ils vont alors comprendre que la conquête du pouvoir exécutif est ce qui compte le plus. Et bien souvent, leur usage du pouvoir exécutif va être particulièrement dur, particulièrement répressif et sévère, tant du point de vue politique que militaire. C’est donc cette pensée oxymorique qui m’a donné envie de donner un titre à cette mouvance jamais nommée.
Ces personnes qui tiennent le pouvoir ne le lâchent pas, au nom du fait que les autres sont des extrêmes. Mais ce sont eux qui les qualifient d’« extrêmes ». C’est donc un centre qui a une radicalité de par son absence idéologique et par sa capacité à utiliser les forces de répression de l’État qui sont à sa disposition.
[reste de l'article sous le trait parce que c'est long - mais très intéressant ! ]
En quoi Emmanuel Macron en est-il un représentant ?
De 2017 à la dissolution de 2024, Emmanuel Macron, dans sa version la plus « pure », coche toutes les cases de l’extrême centre. D’abord, il est passé de la gauche jusqu’à une politique au moins de centre droit, voire délibérément de droite. Emmanuel Macron est donc une figure de girouette et pousse les autres à le devenir : que ce soit les membres du Parti socialiste ou des Républicains qu’il entraîne avec lui. Il pousse donc à un « girouettisme » de masse qui déstabilise tout l’équilibre politique existant.
Deuxièmement, il se positionne comme quelqu’un qui n’est pas dans la rhétorique de l’extrême ni dans l’idéologie, avec un discours conciliant. Autre exemple, plus récent : alors qu’il a mis un désordre effroyable dans les institutions avec la dissolution, il demande une trêve olympique. Il appelle donc régulièrement à des formes de modération parce qu’il en a besoin pour qualifier ses deux adversaires principaux. Des adversaires qu’il a d’ailleurs contraints à se radicaliser parce qu’il prenait de plus en plus de place au centre.
Troisième élément, enfin : il a fait preuve d’une surutilisation, documentée et dénoncée par des instances internationales, des forces policières, voire des adjuvants militaires, pour maintenir l’ordre lors des moments de contestation et de désapprobation de sa politique. On coche donc les trois éléments structurants de l’extrême centre, dont il est une figure en continuité avec l’histoire de France.
L’extrême centre a donc toujours existé. Emmanuel Macron s’est pourtant présenté comme en rupture avec « l’ancien monde »…
Il est parfaitement dans la continuité d’une politique qui correspond à un des cadres évidents de la politique française née pendant la Révolution. Cela pourrait être irritant pour lui, parce que là où il se veut un homme moderne, il est en fait l’incarnation d’une très vieille recette thermidorienne.
Vous dites qu’Emmanuel Macron contraint ses adversaires à se radicaliser. C’est donc lui qui provoque la radicalité de la gauche et de l’extrême droite ?
Pas exactement. La gauche radicale et l’extrême droite sont évidemment antécédentes à Emmanuel Macron. Dans le même temps, les partis de droite et de gauche républicains étaient eux aussi antécédents et avaient la main sur l’échiquier politique de façon majoritaire. Mais il faut qu’il y ait une crise de ces forces traditionnelles pour qu’un homme se plaçant au-dessus des partis sorte de l’anonymat, s’il en a la force, le charisme et les soutiens financiers. Dès lors, à partir du moment où les forces traditionnelles sont plus faibles et que lui occupe un centre de plus en plus important, les forces radicales, de droite et de gauche, doivent « surexprimer » leurs volontés de passer par une conquête du pouvoir législatif pour exister face à celui qui a le pouvoir exécutif. On assiste donc à une radicalisation de ce discours aux extrêmes de façon mécanique. Ainsi, ces radicalités préexistent à l’extrême centre, mais sont encore plus fortes lorsque celui-ci est présent dans la vie politique française.
Le pouvoir exécutif est donc l’objectif de l’extrême centre, au détriment du législatif. Emmanuel Macron a-t-il donc quitté l’extrême centre en prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale qui remet, de facto, le Parlement au centre du jeu politique ?
On se trouve dans une confusion intégrale. Emmanuel Macron est désormais un avatar d’extrême centre parce qu’il n’a plus la possibilité de gouverner comme il le souhaiterait. La décision de dissoudre l’Assemblée nationale un soir d’élection où il y a eu un raz-de-marée de l’extrême droite et où moins d’un Français sur deux a voté est choquante, en ce sens qu’elle crée un choc historique (lire l’épisode 1, « Macron, maboul de cristal »). Soit le Président est prêt à gouverner avec l’extrême droite mais il ne le dit pas, soit il envisage une possibilité d’alliance entre son parti et la droite. Les deux ont échoué. Il n’est donc plus dans une figure d’extrême centre, mais bien dans une situation particulièrement délicate : tant qu’il ne peut pas gouverner comme il le désire, c’est-à-dire imposer par l’exécutif quelque chose au législatif, il ne nomme pas de Premier ministre. C’est pourtant à lui de le nommer et de faire appel à la force politique qui est majoritaire, fût-elle relative à l’Assemblée, pour lui demander de gouverner. Il y a là un abus d’autorité et des moyens institutionnels et constitutionnels que lui confère l’hyperprésidentialité de la Ve République (lire l’épisode 42, « “Nous risquons d’entrer dans une zone de turbulences” »).
L’extrême centre n’est-il pas voué à disparaître avec l’impossibilité qu’a Emmanuel Macron de gouverner ?
L’extrême centre n’est jamais appelé à durer. En politique, à droite ou à gauche, il y a des invariants politiques, des marqueurs idéologiques. Le seul invariant de l’extrême centre, lui, est la crise politique qui l’a fait naître, non l’idéologie. Il y a donc deux moyens de « terminer » l’extrême centre : soit aller vers une droite autoritaire, soit aller vers une recomposition totale du paysage politique. Et là, il faut un événement qui dépasse notre quotidien. Concrètement, soit la France suivra le modèle d’une mondialisation brune, soit il y aura un événement dramatique, comme un conflit extérieur qui pourrait changer la donne politique et sociale, comme on l’a vu après 1918 ou 1944. Je ne nous le souhaite pas, mais je constate qu’avec mes outils d’historien je ne peux pas dire quelque chose d’autre.
Quel pourrait-être l’héritage d’Emmanuel Macron ?
À mon avis, il laissera un héritage très fort. D’abord parce que les périodes d’extrême centre ne sont jamais anodines. Elles sont liées généralement à une personne qui est capable d’incarner une désidéologisation. Il laissera donc un héritage fort qui exigera une recomposition en fonction de ce qu’il a été. Celui-ci me semble peu commenté. Il apparaît clair, quand on lit son programme Révolution (XO, 2016) pour 2017, qu’il veut transformer la France à la manière d’un État américain. C’est-à-dire défaire et déconstruire totalement la puissance de l’État social, sortir complètement de ce qui a été une des particularités fortes de la France : un État keynésien et protecteur, à la pointe des avancées sociales et sociétales, capable d’intégrer des populations immigrées. Je pense que la déconstruction de l’État et des services publics, la volonté de faire de toute une jeunesse des autoentrepreneurs, le jeu d’un libéralisme total et la politique sociétale, qui, malgré une rhétorique de façade, renvoie à un rétrécissement et un resserrement de chacun sur soi à la condition d’une hypersécurité, nous conduisent à cela.
Que penser du refus de nommer à Matignon Lucie Castets, pourtant désignée par le Nouveau Front populaire ?
Le Président abuse de ses prérogatives institutionnelles. Il fut un temps, lors de la crise de mai 1877, quand naissait la IIIe République, où le conflit entre le Parlement et le Président se solda par un renforcement du pouvoir législatif. Dès lors, le Président fut obligé légitimement de se « soumettre ou se démettre » une fois que le suffrage universel avait parlé. Aujourd’hui, Emmanuel Macron refuse cette règle républicaine en refusant de nommer une personne, en l’occurrence Lucie Castets, grande servitrice de l’État et des services publics, dont il redoute par-dessus tout la probité et la cohérence. Il semble que le Président ajoute de la confusion à la confusion en s’enfermant dans une forteresse vide, l’Élysée, au lieu d’accepter démocratiquement sa défaite.
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claudehenrion · 3 months
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Madre mía...
Cette interjection espagnole décrit parfaitement notre situation incompréhensible : au delà d'un certain point, il ne reste plus qu'une mère, pour apporter du secours (NDLR : le même ''SOS'', dit en arabe et en onomatopées, n'est pas mal non plus : ''Taï taï taï... Ya ouili, ouili, ouili...''). En français, on dispose de la magnifique ''Une fois qu'on a passé les bornes, y'a plus de limites'' d'Alphonse Allais. Mais aujourd'hui, on a besoin de toute la richesse de toutes les langues pour tenter de décrire le méga bordel (Si vous avez un mot aussi précis, je suis preneur !) qu'est la France, en ce lendemain des ''Européennes''..
Il y a 3 ou 4 jours, je vous avais timidement prévenus (cf. ''Les dangereuses Européennes''), mais qui aurait pu prévoir que, seule parmi les nations du monde civilisé –dont la plupart votent, ces temps-ci-- la France n'était même plus capable de résister au choc (?) indirect d'une élection totalement indépendante de ses règles de fonctionnement. Son chef, qui passe le plus clair de son temps à donner des leçons –sans queue ni tête, mais très coûteuses et très risquées-- au monde entier, qui s'en fout, et à dépenser en Ukraine l'argent qu'il s'est arrangé pour que... nous ne l'ayons plus... n'est même pas capable de résister 24 h à la poussée démocratique et parfaitement légale d'un parti politique parfaitement légitime... et classé premier dans son pays ! A titre purement personnel, j'ai espéré, contre toute raison, que l'intelligence ''Marion-Eric'' ferait une percée. Je savais mon pari perdu, il l'a été. Dommage pour tout le monde. Il nous reste à digérer une super gueule de bois.
Mais les lecteurs réguliers de ce blog savent ma confiance profonde dans l'existence, invisible mais efficace in fine, d'une ''justice immanente'' qui finit par rattraper ceux qui ont échappé à la soi-disant ''justice'' des hommes, des Etats et, le cas échéant, de Dupont-Moretti (je dis ça pour rigoler !). Les anciens disaient ''Il est puni par où il a péché'', et la sagesse des nations a effectivement remis les choses en place : après sept trop longues années durant lesquelles il a passé son temps à vomir sur un quart, devenant pas sa faute un bon un tiers, des français (càd. ceux qui refusaient ses visions changeantes d'un avenir qui ne pouvait conduire qu'à la catastrophe collective et au malheur individuel), notre président-ado se retrouve seul devant le méchant destin qu'il nous avait concocté à grands coups de mauvaises décisions, d'analyses foireuses, de croyances progressistes et (donc) de solutions perverses, pires que le mal...
Et maintenant ? La révolte des braves gens a, une fois de plus, écarté la menace immédiate d'un macronisme pervers... Mais –ce qui n'était pas prévu, et même jugé et juré impossible par les ''ceux-qui-savaient''-- toutes les digues ont lâché, d'un coup, en cinq minutes-chrono ! Il ne voulait pas d'une victoire même minoritaire du Rassemblement national ? Il a réussi à fabriquer un tsunami-RN qui risque de tout emporter... Car si –comme beaucoup le supposent-- le triomphe européen du tandem Le Pen-Bardella se confirme aux législatives annoncées et bricolées à la hâte, quelle autre issue lui restera-t-il que de (se) démissionner lui-même, après avoir démissionné la bande de nullissimes qu'il traînait derrière lui et dont il nous imposait, contre notre gré mille fois répété, les effroyables idées, l'arrogance méprisante, les références mortifères et la bêtise inculte... encore que, entend-on dire, ici ou là, ''n'est pas De Gaulle qui veut''.
Ce scrutin européen et ses conséquences totalement imprévues nous ont tout de même apporté quelques bonnes nouvelles : la joie, en premier, de savoir que la bande de cuistres gauchisants qui avaient été élus dans le sillage de Macron –et à qui nous devons tant de décisions aux conséquences souvent mortelles pour la Nation-- va disparaître en grande partie. Un nombre grandissant de français n'en pouvaient plus, de les voir se pavaner à nos frais en mettant aux voix les pires idées possibles. Une autre bonne nouvelle, c'est le ratatinement des ''écologistes punitifs'' qui ont fait tant de mal à notre jeunesse (combien d'enfants ont grandi dans un univers de terreur, par leur faute ? Il ne faut jamais le leur pardonner), comme aussi à notre industrie, à nos agriculteurs, à notre économie, à nos choix politiques, etc... Mais ils nous ont tant fait de mal, à nous et à la France, qu'il est presque normal qu'on leur en veuille..
Essayons de rester dans les sujets fondamentaux : Emmanuel Macron nous a ''baladés'' pendant son quinquennat et demi dans les horreurs de sa pensée narcissique et erratico-progressiste : pas de programme, pas de buts, pas de direction générale –autres que cette Europe anthropophage, invivable et dystopique, qu'il a prétendu nous imposer aux dépens de notre France, dont nous sommes si nombreux à vouloir la pérennité. Nous lui devons l'effondrement de notre diplomatie et de notre poids dans le monde, une déroute absolument dramatique en Afrique de l'Ouest, notre humiliation permanente devant l'Algérie confite dans la haine pathologique qui reste la seule raison d'être d'un personnel politique corrompu et, plus récemment, ses prises de risque illimitées devant un adversaire qui nous surclasse sur tous les chapitres, en multipliant sans raison objective (Poutine n'a pas la possibilité de nuire à d'autres pays : il ne parvient pas à prendre plus de 10 ou 20 km² en Ukraine. On agite devant nous un épouvantail...) des engagements intenables auprès d'un pays croupion avec lequel nous n'avons jamais eu de relations autres que mercantiles et à court terme...
Son bilan –le jour où il faudra le faire-- se résumera sans doute à son affirmation péremptoire de ramener le RN à trois fois rien... Bravo, l'artiste ! Que croyez-vous qu'il en tire comme leçon ? Le fait d'être écrabouillé à plates coutures est pour lui une raison suffisante pour –surtout-- ne pas changer de stratégie... et en remettre une couche, en confiant aux chaînes d'un ''Sévice Public'' à sa botte (argent illimité oblige !) ses ''conseils pour le vote à venir''... que tout le monde attend, pour rigoler d'abord, puis les transgresser ensuite. Il refuse de voir à quel point il est rejeté –presque trop, même, d'après moi. Mais allez percer la logique d'un ado trop gâté par la vie...
Le futur immédiat est clair : on peut supposer que, quelles que soient les paroles jetées en pâture aux gogos, la Gauche va reprendre ses habituelles magouilles sans foi ni loi : la seule chose qui compte, c'est de garder les sinécures et de nuire autant que possible à la France, au profit (?) d'idéologies plus perverses les unes que les autres... et la Droite va continuer à ''déconner un max'' en refusant toute démarche de rapprochement qui pourrait tout remettre sur pied et dans le bon sens. Et Macron risque fort de se retrouver avec une Assemblée encore plus ingouvernable que l'actuelle, sans aucun bricolage possible en vue d'une majorité... Ou alors (aujourd'hui, c'est le plus probable), une majorité pour le RN qui ne laisse qu'un seul ''choix'' : ''Jordan à Matignon'' (et Fabius, qui s'autorise à paralyser le choix du peuple français, au nom de sa démocratie partisane.).
Et là... la haine anti-Droite de Macron + la haine pathologique de l'extrême Gauche pour tout ce qui n'est pas elle... risquent d'ouvrir la porte aux pires excès, aux mouvements les plus destructeurs, à la phraséologie la plus génératrice de haines-à-venir qui soient. Une fois encore... notre ultime chance reste de demander à Dieu de sauver la France. On peut espérer un résultat, mais il n'est pas certain que ça marche en 2024 aussi bien qu'en 1428 avec Jehanne d'Arc ! On va donc attendre. Mais quoi ?
H-Cl.
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On parle beaucoup de Macron et du macronisme, mais il convient de ne pas occulter les complicités objectives dont il bénéficie avec ses faux-opposants, qui le critiquent, le conspuent mais qui par leurs actes réels renforcent toujours le pouvoir de la médiocratie dont ils font partie, comme les pathétiques "insoumis" (qui sont encore plus soumis que les autres), les "journalistes" prétendument d’opposition dont ce faux-cul linvétéré de Plenel, les opportunistes qui n’ont rien trouvé à redire sur l’apartheid sanitariste…
Le covidioclimatisme est une ordalie.
Ni gauche ni droite nitroglycérine.
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bienvenuechezmoi · 10 days
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Enfaite Macron on croit c'est le macronisme mais enfaite c'est simplement le pire des LR et du PS. Tout ce que l'on a détesté depuis des années est incarné dans une seule personne alors que tout le monde à cru que c'était nouveau.
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aurevoirmonty · 7 months
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Vous ne reconnaissez sans doute pas cette femme qui est effectivement inconnue du grand public : c'est Valérie Hayer, choisie par la macronie pour représenter la secte du président Macron aux prochaines élections européennes.
Le logo qu'elle porte sur son vêtement est celui du lobby transactiviste LGBT.
Cette dame qui présente sur la forme tous les apparats de la bourgeoisie guindée de Versailles est en réalité un pur produit du wokisme crade façon Evergreen.
Que les électeurs bourgeois de Macron qui rêvent pour leurs enfants d'un destin qui passe par les grandes écoles et les grands cabinets sachent que celle pour qui ils s'apprêtent à voter est favorable à la promotion et à la banalisation de l'idéologie trans qui, elle, n'attend que le moment de venir dire à vos gosses à quel point c'est génial et progressiste de changer de sexe, de prendre des traitements hormonaux lourds et de passer par le bloc opératoire de quelque savant fou qui acceptera de retirer son pénis à votre fils et ses seins à votre fille, à grands coups de lame stérilisée.
Le macronisme est la branche costard-cravate du wokisme. Cela aussi il faut le répéter partout, il faut montrer la réalité sordide qui se cache derrière les masques BCBG de cette secte.
Jonathan Sturel
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biopolitique · 4 months
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We can’t have shit under macronisme
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faire-quelques-choses · 5 months
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bachassclub · 3 months
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EUROPEENNES 2024 À CHABEUIL : LOURDE CHUTE DU MACRONISME DANS UNE VILLE CENTRISTE, BRASSE COULÉE LR DANS LA VILLE D'ALBAN PANO, DES ÉCOLOS EN CHUTE LIBRE, ET ENVOL DES DROITES DE DROITE (DE DROITE) DANS UNE VILLE MODÉRÉE...Avec la traditionnelle lecture bureau par bureau.
Bonne participation à Chabeuil (58,18%), légèrement supérieure à la participation drômoise (57,08 %), elle même supérieure à la participation nationale (52,8%). Comme partout dans le pays, la participation aux européennes est supérieure à celle de 2019 (près de 5 points de progression à Chabeuil).
3458 votants (98 bulletins blancs et nuls), qui se répartissent comme suit, tout au long des trente huit listes répertoriées. Bien lire : 38. Classement suivant les scores enregistrés :
Bardella : 1012 voix, soit 30,1 %. Rappel 2019 : 615 voix (21,6%) soit un gain de près de 400 voix. Si l'on ajoute à ce fort résultat les voix de Marion Maréchal (186 voix, soit 5,5 %, équivalent à son score national. Recul tout de même par rapport à la liste Zemmour à la présidentielle de 2022 à Chabeuil : vote utile Bardella) et celle de Florian Philippot (35 voix, 1,0%), on arrive à un score droitiste de près de 1250 voix. Et encore, sans charger la mule démocratique du côté d'Asselineau, ni de Lasalle.
Le score de Bardella à Chabeuil est inférieur à celui de la Drôme, de près de trois points (30,1 % contre 33%), ce qui constitue un léger bémol chabeuillois. En tête tout de même, le RN, dans une ville modérée, une ville d'alternance, oecuménique, libérale en tout, et plutôt plan-plan. qui avait jusque-là tenu le lepénisme à distance : présidentielles de 2017 et 2022, score du FN-RN au premier tour : à peu près 22,4%.
On signale pour faire bon poids le carton du RN dans les grandes villes de la vallée du Rhône, dans le Tricastin (41,3%) ou à Montélimar. Où tous les grrrrands élus LR se font taper sur le museau, Valence, Romans (30,31%), Portes-lès-Valence (38%), Bourg-lès-Valence, ils y passent tous, à la broyeuse des extrêmes...
Bardella sort en tête dans quasi tous les bureaux de votes chabeuillois. Et largement devant à Parlanges (203 voix), hameau de la plaine de Valence qui confirme son traditionnel penchant aux extrêmes dans les scrutins nationaux. Les parlangeois rentrant prudemment à la maison aux municipales, votant toujours pour le maire en place, même quand il est de gauche (Pertusa). A Parlanges, près de 1000 inscrits tout de même, LFI fait son meilleur score (49 voix, pour un total à Chabeuil de 208 voix (6,2%), soit une légère progression par rapport à 2019. RN et LFI...pour les commentaires parlangeois, les amateurs de populisme et d''arc républicain' dégaineront les premiers...
Glucksmann : Bardella n'est battu qu'au bureau 1, celui du centre ville. Battu par Raphael Glucksmann (Place Publique-PS), qui signe là son meilleur score à Chabeuil, dans un bureau qui a toujours penché au centre gauche, berceau historique du pertusisme actif, du temps de sa gloire (PS) récente. Pas une véritable surprise donc, au regard de l'histoire électorale de Chabeuil. Mais tout de même, on rappelle le score très...résiduel du PS, dans ce même bureau : une claque à seulement 40 voix en 2019. Score qu'Anne Hidalgo réussissait malgré tout à diviser par deux en 2022 (présidentielle) : 23 petites voix dans ce même bureau. Et donc un beau rétablissement de Glucksmann au centre ville de Chabeuil. Qui va être sans doute très commenté quand les états majors de gauche vont discuter des prochaines municipales. Nota LFI bureau 1 : 23 voix, soit moins que Marion Maréchal dans un bureau qui penche à gauche, pas de quoi s'asseoir sereinement à la table des négociations...
Deuxième à Chabeuil, donc, Raphael Glucksmann, 537 voix, soit 16 % tout rond. Un net bonus par rapport à son score drômois de 13,5 %, qui le met en deuxième place départementale tout de même. On rappelle les 74 voix de la liste Hamon à Chabeuil aux européennes de 2019 et les 73 voix d'Anne Higalgo, au même étiage, à la présidentielle de 2022. Progression très significative, donc, du vote d'ambiance socialiste à Chabeuil. Et ce dans l'ensemble des bureaux de centre ville, les bureaux 1, 2 et 6, qui lui fournissent de bons scores. Sans que les bureaux 3 et 4, traditionnellement plus droitistes (lotissements anciens, etc...), ne l'affaiblissent trop.
Hayer/Renaissance. Dévissage sévère à Chabeuil de la liste du parti au pouvoir. Pourtant très rare que Chabeuil se mette à l'écart de l'exécutif national et de l'Assemblée. Par rapport aux européennes de 2019 (689 voix,soit 23,7%, un bon résultat à l'époque dans la Drôme) la chute est rude, de 200 voix. Résultat à Chabeuil, en effet : Valérie Hayer, 489 voix, soit 14,6%, soit un peu plus tout de même que le score drômois des mêmes macronistes : Chabeuil amortit légèrement le choc au centre. Dans la Drôme le parti présidentiel perd 11 000 voix, une paille. Sans commentaire, pas grand chose de local sans doute, un rejet de la personne et de la politique du président de la République, qu'accentue l'absence d'élu ou de représentant macronsite, en ville ou sur le canton. Les électeurs-trices de Célia De Lavergne qui avaient largement soutenu le macronisme au 2e tour des législatives de 2022 (près de 57 % à Chabeuil)(Marie Pochon, EELV, finalement élue dans la 3e circonscription de la Drôme) ont donc disparu. A la lumière du bon score de Glucksmann au 1er bureau, on peut avancer l'hypothèse que c'est le PS qui a siphoné Renaissance à Chabeuil : Hayer ne passe ainsi devant Glucksmann nulle part, sauf très légèrement dans le bureau de Parlanges.
Bellamy quatrième avec 295 voix, soit 8,78 % à Chabeuil. Dimanche soir, au moment d'afficher les résultats du bureau 1 qu'il présidait, Alban Pano montrait à la fois une pointe d'humour, et un peu d'amertume : '...non, je ne peux pas afficher ça...Bellamy à 9 %...' Soit quelques poignées de voix tout au plus dans chaque bureau, jamais plus de 58 (bureau 1) qui mettent Bellamy dans le groupe des petits candidats à Chabeuil, dans la même catégorie que Marie Toussaint (voir ci-dessous). Mais LR, dans la ville d'Alban Pano, non moins LR, se gauffre moins lourdement à Chabeuil que dans le département : dans la Drôme Les Républicains ne sont en effet qu'à la sixième place, avec 6,6 %. De même Chabeuil maintient Bellamy dans son score des européennes de 2019 : 9,05 %. On peut comparer avec Nicolas Daragon, chez lui à Valence, qui se fait planter partout dans sa ville pour finir à un petit 8,38 %. Pire encore à Romans, où les LR de Marie-Hélène Thoraval font un petit 5,9 %, soit à peine devant Marion Maréchal, et à des kilomètres derrière Bardella. Dans le coin, dans l'agglo, dans la vallée du Rhône, la droite municipale n'a visiblement plus la solution...Pour finir, on signale qu'à Parlanges, bureau 5, Bellamy finit même derrière Manon Aubry (LFI) : 45 voix contre 49.
Toussaint. Autre gamelle retentissante, celle des écolos chabeuillois, qui avaient pourtant réussi un très joli score en 2019 : 17,2 % pour Yannick Jadot, soit près de deux points au-dessus de leur résultat drômois, lui-même supérieur à leur score national. Résultat 2024 pour Marie Toussaint : une pauvre cinquième place à Chabeuil (7,1 %), dans l'épure de son score drômois (6,63 %, qui la met également au 5e rang dans le département, où elle perd 15 200 voix. Le Dauphiné Libéré parle du 'score le plus bas depuis la création d'EELV'). Au total à Chabeuil un recul sensible de plus de 260 voix ; un score divisé de moitié, ou plus. En 2019, Jadot faisait pourtant jeu égal avec les gros.ses candidat.es, Bardella et Loiseau, par exemple au bureau 6 du centre ville. Pareil au fameux bureau 1, où Jadot finissait deuxième avec 110 voix. Mais au contraire, en 2024, Les Écologistes ne parviennent à grappiller les voix que par poignées de 50, grand max., dans un ennui étal dans tous les bureaux chabeuillois. Apparemment, la course à l'échalotte de ce parti vers l'extrême gauche activiste l'empêche de concrétiser, dans la 'raisonnable' Chabeuil en tout cas, les avancées politiques du passé. Sans compter les flingages entre amis et/ou chef.fe, cruelle spécialité des écolos, y compris chabeuillois.
///LFI progresse à Chabeuil: 208 voix (contre 138 en 2019), soit 6,1 %. Relatif bon score dans les bureau 3 et 6 : à vue de nez ceux, vieillissants, des 'retraités installés'. Siphonne, à son échelle, les voix écolos...///Gobernatori (Écologie au centre, 73 voix) et Wehrling (Écologie...d'un peu partout : 10 voix) éparpillant un peu plus les voix écolos///Lasalle et les chasseurs : 86 voix à Chabeuil///Animalistes : 60 voix///PCF : 54 voix, soit 1,61 %, ne varietur///Dans les listes qui n'avaient pas envoyé de bulletin, qu'il fallait donc imprimer à la maison, les électeurs de Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne) se sont montré les plus agiles : 6 voix, dont une considérable proportion bureau 2, où ils ont sans doute de la famille...///Florian Philippot : 35 voix, faiblard comme partout en France, mais qui ne va pas calmer les agités locaux qui servent de militants aux Patriotes///
Voilà, voilà...en somme des européennes 2024 qui troublent passablement l'assise politique de Chabeuil. Soit une ville centro-centriste qui perd sa boussolle.
Et, au lendemain de la dissolution de l'Assemblée Nationale par le président de la République, on a affaire à des résultats qui ne permettent guère de prospective, en tous cas localement. Par exemple, que vont faire Les Républicains dans la troisième circonscription, dont Alban Pano est délégué LR ? Ré-avancer un Paul Bérard, qui n'était déjà pas au deuxième tour des législatives de 2022 ? Et que va faire le parti de Bardella : shooter LR ou laisser filer, en dépit de très bons résultats de la droite de droite ? Et les malheureux macronistes, ils vont avancer qui, et pour quoi faire, à Chabeuil où ils pourraient conserver des billes ? Moins de questions à gauche où Marie Pochon (Les Écologistes) a déjà démarré, très vite, au nom d'un tout nouveau 'Front populaire' ; elle est sortante, bien élue, et surtout forte de très bons résultats dans le Diois et dans le sud de la circonscription.
Quant aux municipales de 2026 à Chabeuil, c'est encore une autre paire de manches...
claude meunier
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In your opinion Manu Is he a believer in religion and a practitioner ?
Manu believes in the Lord Macron and practices the Macronisme! 😜
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claudehenrion · 1 month
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Les délices de Capoue...
Il y a quelques jours à peine, je concluais mon ''éditorial'' par cette remarque un peu acide que ''ce qui va --et doit, si rien n'est tenté-- nous tomber dessus, c'est la victoire du Laid sur le Beau, du Mauvais sur le Bon, du Mal sur le Bien et du Faux sur le Vrai. Et à ce jour, hélas... nous sommes bien mal partis ! '' Mais j'ai dû me fourrer un doigt dans l’œil, ''quelque part'' : en cet été de tous les dangers où, comme le dit un titre de Nicolas Baverez, '' Nous dansons sur un volcan'', je ne croise que des gens heureux ou -à tout le moins- contents. La mode, en 2024, est au vacancier heu-reux
Oubliées, les ''rabias'' contre Macron et les gros mensonges post-élections européennes... Envolées les craintes pourtant toutes justifiées sur l'immigration et la sécurité... Balayés, les bobards énormes et les contes de sorcières qui ont été déversés sur nous lors du second tour des pseudo-législatives... Nettoyées, les peurs de la décennie précédente sur la terre et le climat ou la fonte de tas de choses un peu partout, sur le tri dans dans la poubelle, la peur de la Gauche pour les sages, la peur de la Droite pour les myopes et la peur du centre pour les décentrés et les con-centrés... En six mots comme en mille : ''Dormez, braves gens, tout va bien''...
Il a suffi que les jeux olympiques se déroulent normalement, comme il était prévisible qu'ils se déroulent : sans les drames planétaires annoncés à grand renfort de fake-news et de budgets de ''Comm''. L'énorme préparation psychologique destinée à nous faire croire que tout ce que la terre porte de djihadistes-candidats-au-suicide était dans les starting blocks (de manière à faire passer le prévisible ''il ne se passe rien'' comme une immense victoire du macronisme et du darmananisme, unis, comme toujours, dans l'endormissement des cerveaux, la manipulation des foules et le viol des intelligences), a porté ses fruits : la Nation s'est endormie dans la douceur de l'été. Tout peuple, depuis toujours et à jamais, aspire à la quiétude, au bien-être, à la douceur de vivre...
Le pouvoir peut être content : au moment où il a temporairement arrêté de nous faire paniquer en ne parlant presque plus de Poutine dans ses termes ''con-venus'', où il admet que Kamala Harris serait un choix infiniment plus dévastateur que le très-détesté-en-France ''homme à l'oreille coupée'', et où le silence des medias ''Main stream'', toujoursaux ordres, nous assourdit... les braves gens peuvent croire que, à force de ne plus parler des vrais problèmes, ils auraient disparu comme par enchantement : nombre de français commence à croire que ni l'immigration, ni la violence urbaine, ni la drogue (etc...) ne peuvent avoir de corrélation entre elles et d'influence sur eux... et que, finalement, les vacances, c'est bien agréable (ce sur quoi je suis d'accord avec eux !)
Il n'empêche... Au fur et à mesure que l'Europe –qui commence enfin à comprendre qu'elle n'a rien à faire dans cet ''indémerdable merdier'' (Pardon. Si vous avez un meilleur mot, je suis preneur !)-- fait la danse du ventre pour se dégager du conflit russo-ukrainien, en douce, pour ne pas qu'il soit connu que les livraisons des armes promises sont asymptotes à zéro et que Zélensky se prépare à se jeter dans une guerilla où le petit taon va piquer le gros ours ici et là... au fur et à mesure que l'Iran, devant l'entêtement d'Israël à ne pas écouter les sirènes onusiennes et les conseils de modération donnés par ceux qui veulent sa fin, va finir par ouvrir un front Hezbollah au nord… nous nous rapprochons à pas feutrés de vraies guerres... pendant que, la date fatidique approchant, une intervention musclée chinoise devient de plus en plus prévisible dans le détroit de Formose. ''Tout va bien...'', qu'ils nous répètent !
Mais n'ayez aucune crainte, amis lecteurs : pendant que le monde hésite entre effondrement, écroulement et dégringolade, Macron et son extraordinaire aptitude à procrastiner veillent sur vous. Nous ne sommes pas près d'avoir un gouvernement (et, à en juger par l'expérience de nos amis belges, ce serait plutôt la seule vraie bonne nouvelle du moment !), la France est divisée comme rarement (j'ai vécu, contrairement à ceux qui en parlent trop souvent, la rivalité Pétain-De Gaulle), et le monde a, littéralement perdu la tête. Les anciennes ''racines''(qui permettaient de s'accrocher en attendant la fin de l'ouragan) ont disparu, sont ridiculisées et plus que mollement défendues, même par ceux qui se souviennent encore de leur ''avoir existé'', et qui savent encore que là seulement se cache, honteusement, la seule et ultime possibilité d'éviter l'effilochage en cours.
Comme les lecteurs habituels de ce Blog s'en souviennent peut-être, j'ai pas mal ''crapahuté'' cet été, d'est en ouest et du nord au sud de la France, et j'ai pu vérifier la volonté (couronnée de succès) de nos concitoyens pour le bonheur... Les côtes semblent s'enfoncer sous le poids des foules de touristes, les montagnes sont usées par les chaussures de hordes de vacanciers, les résidences secondaires ont fait le plein –dans la crainte, sans doute que la connerie militante des mélenchoniens ne les réquisitionnent comme le recommande leur stupide et surtout mortifère ''programme''... C'est à peine, disent certains commerçants, s'ils dépensent peut-être un peu moins. Mais regardez ces vacanciers : sincèrement, combien en avez-vous entendu qui arrêtaient de léchouiller leur cornet ''king size'' pour évoquer la politique, sous quelque forme que ce soit, intérieure, extérieure, mondiale ? Je vais vous économiser la fatigue –même légère-- de rechercher : la réponse est : zéro, sauf exception !
''Les peuples heureux n'ont pas d'histoire'', dit le proverbe... Alors que je n'ai jamais été d'accord avec cette affirmation, je commence à me rallier à ce qu'elle sous-entend : à force de ne plus avoir d'histoire au présent et de réécrire sans cesse des mensonges progressistes sur son passé, le peuple français est bel et bien en train de sortir de l'Histoire. Et le plus fort, c'est qu'il semble en être heureux... Le réveil –s'il peut encore avoir lieu-- sera terrible, je le crains... Mais en attendant, nous voici revenus en l'an 215 avant JC, au temps des guerres puniques : l'été 2024 aura ressemblé à s'y méprendre aux délices de Capoue, qui ont sonné la fin de la civilisation carthaginoise...
H-Cl.
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thierrylidolff · 11 hours
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111 JOURS APRÈS LA DISSOLUTION … LE NOUVEAU GOUVERNEMENT : À LA FIN C’EST LA MACRONIE MAJORITAIRE QUI S’IMPOSE
MISE À JOUR 22 09 24 : ARTICLE – LE GOUVERNEMENT BARNIER SIGNE-T-IL “LE RETOUR DU MACRONISME”? Le 21/09/2024 BFM Plus de la moitié des membres du nouveau gouvernement sont issus de l’ancienne majorité présidentielle. Un air de déjà-vu au sommet de l’État? Les oppositions fustigent “un remaniement” avec “un retour du macronisme” plus qu’un nouveau gouvernement, après l’annonce ce samedi 21…
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