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Remaniement : Macronie, un canard sans queue ni tête
Juste un mois que Gabriel Attal est Premier ministre et l’effet « waouh » est en train de faire « pschitt ». Par Georges Michel Nous avons besoin de votre soutien pour poursuivre notre combat face à la dictature qui s’en vient.Cliquer ICI Remaniement : Macronie, un canard sans queue ni tête [EDITO] Avant-hier, la chose semblait quasiment acquise. Eh bien, non, François Bayrou ne pilotera pas…
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#boulevard voltaire#François Bayrou#Gabriel Attal#Georges Michel#Macron#Nicole Belloubet#Observatoire du MENSONGE#politique
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François Bayrou et le procès sur un sujet de fond : la politisation progressive des collaborateurs de collectivités payés sur des fonds publics : depuis lundi, à Paris, le procès du Modem et de François Bayrou est ouvert. La question de fond : le contenu du travail de collaborateurs payés sur fonds publics. C'est un sujet important pour trois raisons : 1) dans quelle mesure des juges peuvent-ils s'immiscer dans l'appréciation du contenu du travail de collaborateurs d'élus ? Pendant longtemps, une frontière existait pour considérer que ce domaine là ne pouvait être exploré. Cette barrière a sauté. 2) Puisque cette barrière a sauté, dans ce contenu, où est la séparation entre un travail pour la collectivité et un travail pour le parti politique ou pour un leader politique ? La définition de ce nouveau périmètre sera très intéressante. 3) Quelles autres situations en dehors du Modem ? Quand l'institution judiciaire sortira-t-elle de la culture de l'exemple pour frapper identiquement toutes les situations analogues sans la moindre exception ? Ce dernier volet est lui aussi un réel sujet de fond. Comment est-il possible de
purger un problème grave en ne traitant qu'un ou deux exemples ? La question est essentielle : la politisation des personnels des collectivités publiques. Au début de la décentralisation, les passerelles avec des fonctionnaires d'Etat devaient contribuer à renforcer un pouvoir d'expertise tout en respectant l'impartialité partisane. Cette étape est passée. Désormais, les filières locales sont des carrières aussi intéressantes que des carrières d'Etat, voire parfois davantage, et les collaborateurs deviennent souvent d'abord attachés aux décideurs du moment plutôt qu'à la collectivité comme Institution. Une nouvelle donne majeure.
19/10/2023
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Liste des condamnés et mises en examen dans la macronie:
Laetitia Avia - ex députée et porte parole LREM condamnée à six mois de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité pour harcèlement moral.
Anne-Christine Lang - ex députée condamnée à 3 ans d’inéligibilité et 60 000€ d’amende pour détournement de fonds publics.
François Pupponi - condamné à 5000 euros d’amende et 29 000 euros de dommages et intérêts, en janvier 2022, pour abus de biens sociaux et faux et usage de faux.
Alain Griset - ex ministre délégué condamné à six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis pour déclaration incomplète de son patrimoine
Sira Sylla - ex députée LREM condamnée pour harcèlement moral, non-paiement d’heures supplémentaires et de journées de repos.
Jacques Krabal - ex député LREM condamné pour travail dissimulé et harcèlement moral de son ancien directeur de cabinet.
Pierre Cabaré - ex député LREM condamné pour licenciement sans cause réelle et sérieuse d’un collaborateur. Egalement poursuivi pour harcèlement sexuel et moral et agression sexuel par sa suppléante et assistante parlementaire.
Sandrine Josso - condamnée à un an d’inéligibilité pour n’avoir pas présenté ses comptes de campagne de l’élection municipale dans les temps. Également poursuivi pour abus de confiance pour avoir demandé à son assistante de lui prêter 10 000 euros en contractant un crédit à la consommation qu’elle ne veut pas rembourser.
Benoit Simian - condamné à huit mois de prison avec sursis pour harcèlement moral sur son ex conjointe. Également poursuivi pour harcèlement à l’encontre d’une collaboratrice.
Jean-Paul Delevoye - condamné à 4 mois de prison avec sursis et 15.000 euros d’amende pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique.
Stéphanie Kerbarh - condamnée pour un licenciement sans cause réelle et sérieuse de son assistant.
Alexandre Benalla - condamné à 3 ans de prison, dont 1 an ferme pour violences volontaires, immixtion dans l’exercice d’une fonction publique, port public et sans droit d’insignes réglementés, recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo-protection et recel de violation du secret professionnel.
Vincent Crase - gendarme réserviste salarié du parti LREM, condamné à 2 ans d’emprisonnement avec sursis, 500 euros d’amende, interdiction de port d’arme de 10 ans et confiscation de celles qui détient pour « violence en réunion », « port d’arme prohibé » et « suppression de données » dans l’affaire des violences du 1er mai 2018 à Paris.
Jérôme Peyrat - condamné pour violences envers son ex-compagne à 3000 euros d’amende avec sursis.
Stéphane Trompille - conseiller de Macron condamné pour « harcèlement sexuel » envers une ex-collaboratrice.
Mustapha Laabid - député LREM condamné à six mois de prison avec sursis, trois ans d’inéligibilité et 10.000 euros d’amende pour abus de confiance.
Claire O’Petit - députée LREM condamnée pour des fautes de gestion.
François Bayrou et Sylvie Goulard - poursuivis pour abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen.
Alexis Kohler - mis en examen pour prise illégale d’interêts.
Thierry Solère - mis en examen pour « détournement de fonds publics », « trafic d’influence passif » dans le but de faire « obtenir des marchés » à des sociétés immobilières et à une société de conseil, et pour manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. »
Éric Dupond-Moretti - mis en examen pour « prise illégale d’intérêts »
Alexandre Nardella - mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics » et « recel de détournement de fonds publics ».
Michel Mercier, ancien ministre de la Justice et trésorier du Modem, mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics ».
Richard Ferrand - mis en examen pour prise illégale d’intérêts.
(Liste partielle .....)
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En ces temps troublés, je me suis amusée à imaginer pour quels partis voteraient les personnages de l'Art du Crime, et je me fais rire toute seule donc voilà, have fun with me.
Florence. Ses parents ont voté Mitterrand en 1981 et c'est une tradition familiale qu'elle perpétue sans exception. Rare électrice du PS encore sur le pont après 2017, elle aime les fleurs et surtout les roses.
Pierre. Comme sa fille, fidèle du Parti Socialiste et réfractaire à l'idée de changement même si idéologiquement il est de droite maintenant. Le saviez-vous ? La famille Chassagne est à l'origine de 30% du score d'Anne Hidalgo en 2022.
Antoine. Pas de parti attitré, Antoine il vote utile, c'est sa vocation. Il fait barrage où on lui dit, la dernière fois qu'il a voté pour un parti auquel il s'identifiait vraiment, c'était en 2002 (il avait voté Besancenot au nom de l'Internationale de la babyface).
Alex. Très envie de lui faire voter Renaissance parce que "en même temps" et "quoi qu'il en coûte" sont un peu ses deuxième et troisième prénoms, mais en vrai, Alex, il vote plutôt écolo. Il sait ce que c'est de voir arriver les catastrophes avant tout le monde et d'être la voix de la raison que personne n'écoute. Et puis toutes ces capsules de café au bureau, là, niveau développement durable c'est pas top.
Adèle. Parti Communiste Français. Elle distribue de la merch à l'effigie de Fabien Roussel en festivals. D'autres questions ?
Hugo. Le parti d'Edouard Philippe que personne connaît, là, Horizon, parce que c'est un peu les hipsters de la macronie.
Juliette en saison 4. MoDem, parce qu'elle a une tête à avoir un oncle qui connaît personnellement François Bayrou.
Juliette en saison 7. Parti animaliste.
La psy de Florence. A émigré et s'abstient (de tout signe de vie) depuis la circonscription des Français de l'étranger.
Le psy de Florence. Agent du chaos qui ne peut que voter LFI.
Nathalie. Probablement RN pour pouvoir retourner à Moscou, mais personne n'a jamais osé lui poser la question.
Varane. Reconquête parce que je l'aime pas 🤣
Nathalie Vallon. Est décédée. Est donc tout à fait qualifiée pour voter LR.
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Le Pen to clash with Macron on Ukraine, defence issues
No matter how unfortunate the upcoming snap parliamentary elections turn out for Emmanuel Macron, he has always had to take comfort in the fact that he will remain president until 2027 – with all the sacrosanct foreign policy and military powers that entails, POLITICO reports.
However, his right-wing opponent Marine Le Pen is signalling that if her National Rally party wins the prime minister’s post, she will not be content to let Macron set the country’s strategic course through the presidential prerogative, which traditionally covers hot topics such as Ukraine, defence, diplomacy and the choice of EU commissioner.
This struggle for core powers is sparking fierce debate within France and terrifying France’s EU and NATO partners as the 68-million-strong nuclear-armed country looks set for a period of instability. Assumptions from the US to the Indo-Pacific that the president’s powers will simply be unchecked on the international stage after the election may prove unfounded.
France has experienced periods of co-rule before – when the president and prime minister belonged to different parties – but it was always a fairly straightforward co-operation between parties with similar worldviews. This time, a right-wing prime minister – perhaps Jordan Bardella of the Rassemblement Nationale, ahead in the polls – will blow up the political order.
On Wednesday, Le Pen gave the clearest indication yet that she intends to snatch any shred of power she can from Macron if her party wins a strong enough majority in parliamentary elections.
In explosive remarks, Le Pen dismissed the title of France’s commander-in-chief as an “honourable title” and said the real power, particularly over the budget, lies with the prime minister’s government. Le Pen told daily Le Télégramme:
“Jordan [Bardella] has no intention of picking a quarrel with Macron, but he has set red lines. On Ukraine, the president will not be able to send troops.”
Macron said earlier this month he was “finalising” plans to send military trainers to Ukraine, and tensions with Russia are likely to take centre stage in the debate over France’s strategic direction.
Macron pushing for Thierry Breton
Ahead of the first round of voting on Sunday, Le Pen is also raising the stakes on EU policy after her party challenged Macron’s right to appoint France’s next European commissioner, a role traditionally seen as a gift from the president.
The European commissioner is a hugely important role for France, and Macron wants his candidate to be given a large economic portfolio that would allow Paris to put its priorities – such as strengthening European industrial champions – at the top of the EU agenda.
According to five officials, Macron is pushing for Thierry Breton, who has promoted Macron’s vision for defence and industry, to continue as French commissioner.
Bardella, however, insists it will be his government that will choose France’s commissioner in Brussels, saying this week that the appointment will be one of the “first decisions” they will make.
If the Rassemblement Nationale does not win enough seats to form a government, it will still be the largest group in parliament and will be well placed to reject government laws it does not like.
Strong constitution
On Thursday, Macron’s allies invoked legendary World War II leader Charles de Gaulle, former president and founder of the Fifth Republic, to hit back at Le Pen.
Armed Forces Minister Sébastien Lecornu said “the constitution is not ceremonious” and quoted de Gaulle as saying the president was “responsible for France” and “responsible for the Republic.” François Bayrou, leader of the French centrist party MoDem, allied to Macron, said:
“You are profoundly challenging the Constitution.”
Naturally, the devil is in the details. According to the French constitution, the president is the head of the armed forces and in charge of French foreign policy, while the prime minister runs the government and thus domestic policy. But a closer look at the division of powers between the president and the prime minister turns out to be a much more complicated picture. The budget, as Le Pen pointed out, is indeed the most important leverage over many policy areas in the National Assembly. Eric Landot, public law specialist, said:
“It’s super complicated, there is no clear boundary. The president is the chief of the armed forces, but Article 21 says the prime minister is responsible for national defence.”
According to Landot, Le Pen is wrong when she says the president’s role is only “ceremonial” – but there are many ways the prime minister can clip the president’s wings. He also said:
“If the president wanted to send soldiers to Ukraine on support missions, a government that disagrees with that policy, could block the government decrees and say: ‘No, I’m not signing that. The constitutional ambiguity would block decision-making.”
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Vendredi 27 septembre 2024
Le MoDem et François Bayrou
François Bayrou fut giscardien et n’aime pas la droite, surtout la droite qui pourrait réguler l’immigration et prendre des mesures face à l’insécurité. Il a préféré à cette droite François Hollande, puis Emmanuel Macron. Comme ce dernier, il est immigrationiste et il ne croit pas au grand remplacement.
Son mouvement Le MoDem est d’un centre gauche qui ne se distingue pas vraiment avec la sociale démocratie socialiste. Pas étonnant dès lors que 80 pour cent des députés MoDem aient manifesté leur opposition à la participation du MoDem au gouvernement Barnier.
Finalement le MoDem fait partie du gouvernement avec un ministre des Affaires étrangères - domaine réservé du président -, une ministre de la Santé et de l’Accès aux soins - domaine essentiel qui suscite beaucoup d’attentes -, un ministre du budget et des comptes publics rattaché au Premier ministre.
Avant de rejoindre en 2027 le Nouveau Front populaire ?
François BAUDILLON *
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La démocratie pour François Bayrou, c'est sans le peuple ! #cnews #reel
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"C'est un mauvais signal": François Bayrou réagit au dîner d'Édouard Philippe à Marine Le Pen
http://dlvr.it/T9PSSs
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09/06/24-30/06/24-03/07/24-07/07/24
Onzième billet politique : vingt-quatre jours que la dissolution a été annoncée par le président de la République et quatre jours avant le second tour des élections législatives.
Interpellé sur les propos de Bruno Le Maire, qui a renvoyé dos-à-dos le Rassemblement National et La France Insoumise, le Premier ministre Gabriel Attal rappelle que c'est lui, le "chef de la majorité", et que ce sont donc ses propos qui comptent, à quelques jours du second tour des élections législatives.
Sur le papier, il est indéniable que le Premier ministre est effectivement le chef de la majorité mais comme la majorité présidentielle est de moins en moins majoritaire, pas évident que les différentes composantes de celle-ci puissent être dirigées par un seul et unique “chef”. C’est d’ailleurs un gros problème tant il est évident que le parti présidentiel a toujours manqué d’incarnation. Et comme tout a toujours été fait depuis le début pour qu’il en soit ainsi, absolument personne n’a pu en prendre le contrôle. On ne peut vraiment pas dire que les dirigeants successifs d’En Marche (EM), puis de La République En Marche (LREM) puis de Renaissance aient été des machines de guerre pour développer l’ensemble dont ils étaient pourtant responsables. Ce qui a permis à François Bayrou de développer sa boutique et à Édouard Philippe de créer la sienne.
En tout cas, il est certain que Gabriel Attal a actuellement nettement l’avantage sur Bruno Le Maire mais dès dimanche soir prochain, il faudra penser à étudier la réorganisation des différentes composantes de la majorité présidentielle : Renaissance, MoDem et Horizons mais également une flopée de mouvements et partis dont on se demande si ils existent vraiment et/ou encore : Agir, En Commun, Fédération progressiste, Parti Radical, Refondation Républicaine, Territoires de progrès, UDI.
Ce qui serait très bien, c’est que ces différentes composantes clarifient très précisément leur positionnement : à gauche, au centre ou à droite. Se dire au centre gauche alors que l’on est à gauche, au centre alors que l’on est à gauche ou à droite, au centre droit alors que l’on est à droite, c’est probablement l’une des raisons principales qui fait que les électeurs et les électrices n’y comprennent plus rien.
J’ai toujours pensé que le parti présidentiel aurait été bien plus inspiré de ne créer que trois composantes : une à gauche, une autre au centre et une à droite. Cela aurait été bien plus lisible et surtout aurait permis d’éviter de perdre tant d’adhérent·es et de militant·es au fil du temps.
Pour information, Renaissance a revendiqué 30.000 adhérent·es l’an dernier. On peut tout de même sérieusement s’interroger sur la véracité de ce chiffre car pour les élections présidentielles puis les élections législatives, nous n’avons pas vu beaucoup de militant·es sur les marchés et/ou les réseaux sociaux.
La suite au prochain épisode…
Politiquement vôtre,
J.-O.
📷 JamesO PhotO à Annecy le samedi 29/06/24 📸
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PROJECTION PRIVEE
Dieu et Marie
Codes sur Terre
1997 opus dei
Empire rouge Démon
Ce n'est plus la Montagne
Les Alpes Plateau d'Agy pro-Russie
Mais Andorre l'évêché
Code Sapporo
Le Japon ersatz liberal America
Remplace la Russie
Chapeau le cow-boy
Espaces une Amérique impressionne
En politicien
François Bayrou
Elu l'homme qu'il nous faut
Le Modem devenu Orange
François Bayrou
Tient toujours une gauche
Avec les codes les plus moches
La Poule au pot
Ce à quoi il s'accroche
Samedi 24 juin 2024
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"L'oeil de Philippe Caverivière" du 25 mars 2024 face à François Bayrou - Vidéo
http://dlvr.it/T4ZvJ6
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Missak Manouchian (né le 1er septembre 1906 à Adyaman, Arménie, alors sous la coupe de l’Empire ottoman), et sa femme, sont propulsés au Panthéon. Macron avait officialisé sa décision à l’occasion du 83e anniversaire de l’Appel du 18 juin l’an dernier, selon Jean-Pierre Sakoun, à l’origine du comité de soutien « Manouchian au Panthéon ». La panthéonisation a donc lieu aujourd’hui, 80 ans après l’exécution de la condamnation à la peine capitale, après les aveux des accusés concernant les dizaines d’opérations terroristes sanglantes dans Paris au long de l’année 1943.
Car le groupe Manouchian [1] était un groupe terroriste, aux ordres de l’Internationale bolchevique, appartenant aux FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans de la main d’œuvre étrangère), eux-mêmes issus de la Main-d’œuvre immigrée (MOI) regroupant les travailleurs immigrés de la CGT (CGTU), structure mise en place par le Parti communiste français dans les années 1920 pour encadrer les très nombreux étrangers travaillant en France.
Et la résistance de Manouchian n’est effective qu’après l’invasion de l’URSS par l’Allemagne en juin 41. Dès lors, ces « résistants » communistes se battent pour l’URSS et non pour la France. Au cours des six premiers mois de l’année 1943, ces groupes FTP-MOI commirent 92 attentats. Puis près de trente opérations dans Paris, du mois d’août (quand Missak Manouchian devient commissaire militaire de l’ensemble des FTP-MOI de la région parisienne) à la mi-novembre 1943.
Sa capture par la police française (la BS2 – Brigade Spéciale, anticommuniste) et l’exécution des activistes qui composaient son groupe mirent momentanément fin à ce bain de sang de « l’armée du crime » et à l’engrenage de représailles que cela entraînait à l’encontre de la population française, par les autorités occupantes.
Rappelons que son épouse accusait un cadre du Parti communiste de l’avoir livré à la police allemande. Et le sort Manouchian et de ses camarades a en effet suscité, dans les années 1984-1985, une controverse : dans un documentaire du réalisateur Mosco Levi Boucault, intitulé par ironie Des « terroristes » à la retraite, un journaliste interrogé a accusé la direction clandestine du PCF d’avoir sacrifié voire « donné » aux Allemands le « groupe Manouchian », parce que ces résistants étaient étrangers et, dans leur grande majorité, juifs. On parlait, dans la France de ces années 80, de « l’affaire Manouchian », qui a fait la Une de la presse. Le journaliste Philippe Ganier-Raymond, auteur du livre L’Affiche rouge (1976) :
« À mon avis, avec un grand cynisme, la direction des FTP a choisi leur sacrifice, de les abandonner. Je n’irai pas jusqu’à dire, faute de preuve, que le Parti communiste les a cyniquement livrés à la Gestapo. »
Aujourd’hui Macron fait l’unanimité de la classe politicarde régimiste avec sa décision et son choix :
« Missak Manouchian porte une part de notre grandeur, il incarne les valeurs universelles. Il a défendu la République. Le sang versé pour la France a la même couleur pour tous ». (Emmanuel Macron) Le sénateur communiste Pierre Ouzoulias, dont le grand-père, Albert, fut le chef de Missak Manouchian dans la Résistance : « Pour nous, l’essentiel c’est que ce soit un étranger mort pour la France qui entre au Panthéon » Le patron du MoDem François Bayrou : « Ça veut dire que les biens supérieurs, que nous avons défendus avec la Résistance, n’étaient pas que ceux de la France et des Français » Le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau : « Un message plein de sens. D’Estienne d’Orves à Manouchian, les combattants de la liberté étaient d’origine et de conviction différentes mais unis dans l’amour de La France ». Xavier Bertrand, président LR de la Région Hauts-de-France : « Une juste reconnaissance pour ceux qui se sont battus pour la France et sa liberté, par-delà les frontières ». Y compris de la Le Pen du Reniement national qui par la voix d’Aliot a affirmé que son parti avait toute sa place à la cérémonie : « Je pense qu’il faut y être. On n’a aucune raison de battre en retraite sur ces sujets-là. Aujourd’hui, la panthéonisation révèle le caractère sacré, finalement républicain, du personnage, et [elle] s’adresse à tous les Français, quelles que soient leur origine, leur condition ou leurs opinions. »
Le projet de l’envoyer au Panthéon, qui accueille déjà nombre d’ennemis de la France éternelle (René Cassin, Jean Monnet, Jean Moulin, Simone Veil, Jean Zay…) démontre encore que le combat qui continue aujourd’hui est bien celui des mêmes contre les mêmes.
La France aux Français !
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Francia: Bayrou non entra nel governo, 'profondo dissenso'
Si apre una profonda crepa nella maggioranza macroniana in Francia, con il rifiuto del capo dei centristi François Bayrou di entrare nel governo di Gabriel Attal. Bayrou, che appena due giorni fa ha chiuso dopo sette anni con un’assoluzione la sua vicenda giudiziaria che lo vedeva accusato per il caso degli assistenti al Parlamento europeo, ha parlato di “assenza di un accordo profondo sulla…
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François Bayrou relaxé dans l’affaire des assistants parlementaires du MoDem, "faute de preuves"
Hallucinant ! Comme le titre Le Monde “L’ancien ministre et proche d’Emmanuel Macron échappe à une condamnation dans ce dossier de détournement de fonds. La plupart des autres prévenus, dont l’ancien garde des sceaux Michel Mercier et plusieurs anciens députés européens, ont reçu des peines de prison avec sursis…” Et il faudrait s’en satisfaire, Chers Compatriotes ! La vie est belle, en…
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François Bayrou, faute de preuve. Les affaires des emplois fictifs : « Des procès politiques ? »
François Bayrou relaxé faute de preuves et pourtant ses deux partis sont condamnés Le jugement de l’affaire des assistants des eurodéputés du MoDem a été mis en délibéré au 5 février 2024. L’ancien ministre échappe – faute d’éléments matériels prouvant une décision de sa part – à une condamnation dans ce dossier de détournement de fonds. DES PEINES TRÈS SÉVÈRES POUR LA PLUS PART DES AUTRES…
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