#Néolibéralisme
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werewolfetone · 5 months ago
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Local communist lying on their stomach on their bed excitedly giggling kicking their legs and underlining things in a book with a sparkly pink pen and when they turn the page you see that it is in fact a piece of complex economic theory
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godysseus · 10 months ago
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Je suis en train de regarder un entretien de De Gaulle en 68, qui estime que le communisme comme le capitalisme sont de mauvaises solutions, et qu'une équivalence, par loi, entre capital apporté et labeur, établie sous la forme d'un intéressement direct de tous les travailleurs aux bénéfices de leur entreprise au même titre que les investisseurs, et à leur représentation au conseil d'administration, serait la meilleure solution.
Je suis mort de rire.
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helshades · 2 years ago
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Stade de France : le gouvernement s'assure d'un minimum de contestation visible. En toute illégalité.
Whistles and red cartons are banned from tomorrow's match at the Stade de France for the football cup.
People will be searched. Drones will be flying over the stadium for the whole match. High fences have been—illegally—planted to prevent the public from reaching the grass, and the Monarch.
Public television has agreed to lower the sound volume should the public attempt to protest the attending President with the only tool they've got left, their voice...
Protests are now forbidden in the stadium's vicinity.
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francaistoutsimplement · 6 months ago
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8 juillet :
Le 30 juin dernier, le RN caracolait à 34 % des voix dans une élection qui avait vu une forte mobilisation (par rapport aux scores précédents). Ce que l’on n’avait pas vu c’est que ça voulait dire que 66 % des Français étaient contre le RN et les couches populaires qui le soutiennent. On avait oublié leur passivité devant le massacre policier et judiciaire des gilets jaunes et les 58% de Macron en 2022. Alors, c’est vrai que par certains aspects le RN n’est pas très ragoûtant. Mais prétendre que c’est un parti fasciste des sœurs zombres des années 30, est simplement une blague. Du théâtre comme disait Lionel Jospin. Alors on se pose la question : pourquoi Mélenchon, les écolos, les faux cocos, les traîtres génétiques du PS ont encore une fois sauvé le cul de Macron ? En votant tranquillement sans aucun état d’âme pour Darmanin, Borne et la plupart des gangsters qui entouraient Macron. Sans oublier bien sûr l’élection de la limace Hollande.!
C’est qu’en fait, ils sont comme majorité des Français et s’accommodent très bien du néolibéralisme macronien et de son techno-fascisme corrompu. La dégringolade de leur pays ne leur pose aucun problème sérieux.
Le vote du 7 juillet n’a rien à voir avec un « antifascisme » réel, mais plus simplement avec l’envie de continuer comme ça. Quoi que l’on pense de ses capacités et de ses orientations, la très éventuelle arrivée du RN à proximité du pouvoir aurait constitué une rupture et provoqué une crise politique pouvant déboucher sur un changement de direction. En impliquant les couches populaires et en ralentissant l’effondrement. Pour essayer d’extirper la France du marécage belliciste pestilentiel dans lequel l’Occident sous direction américaine s’enfonce. Mais ça, les couches moyennes et ceux qui les représentent ne veulent rien entendre.
« Faut pas pleurer sur le lait renversé camarade. La lutte des classes ça existe et tu es du mauvais côté de l’Histoire, c’est tout. »
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aurevoirmonty · 4 months ago
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"Il est vrai que le mot Patrie a été étouffé dans les langues de la gauche à cause de l'ignoble manipulation qui en avait été faite. Il commence à nouveau à réapparaître. Mais cette voix forte et retentissante ne peut se référer, dans la bouche de patriotes conséquents et conscients, qu'à un peuple qui doit se sentir souverain, non ligoté par des alliances atlantiques (OTAN) qui ne défendent que les intérêts du néolibéralisme et du capitalisme financier, et qui préserve la patrie dans toute son intégrité, sans bases militaires ni ingérence de ceux qui se croient les maîtres du monde. Et ce concept de patrie implique, pour le moment, l'existence d'une armée qui ne soit pas vouée à défendre bec et ongles les affaires des multinationales".
Félix Barroso Gutiérrez
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raisongardee · 8 months ago
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"Et tout particulièrement ceux de CNews, du Figaro ou de Valeurs actuelles, quand ils persistent, au mépris de toute analyse philosophique sérieuse, à présenter le "wokisme" – c’est-à-dire le versant culturel du néolibéralisme – comme la marque d’un "anticapitalisme radical", voire, pour les plus imaginatifs d’entre eux, d’une théorie de la décroissance [...] Une confirmation supplémentaire, si besoin était, de la célèbre remarque du critique marxiste américain Russell Jacoby sur cette droite conservatrice incohérente – ou schizophrénique – "qui vénère le marché tout en maudissant la culture qu’il engendre" (on ne saurait mieux définir la contradiction fondamentale de tout "anti-wokisme" de droite)."
Jean-Claude Michéa, Extensions du domaine du capital, 2023.
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comprendrelislam · 26 days ago
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La condition des femmes en Islam
L’intérêt porté à la condition des femmes, à la suite de l’avènement du néolibéralisme économique puis du courant féministe libéral, tranche avec l’absence d’études historiques significatives de l’évolution de cette condition ! Selon l’historien Charles Seignobos [1], « aucun document ne parle de la condition des femmes [à l’époque des Gaulois] ; nous ne pouvons qu’imaginer leur vie, confinées dans des huttes étroites, froides ou enfumées, absorbées par le travail long et pénible de broyer le grain et de préparer la nourriture des hommes. [Au moyen âge], le trait le plus original de la vie de cour est le rôle de la femme, désignée par un nom d’honneur, la dame (domina), maîtresse,  la femme du prince maître de la Cour. […] La dame se sent supérieure à ces adolescents placés sous ses ordres, et si elle vient à s’intéresser à l’un d’eux, elle prend naturellement le rôle d’éducatrice et de guide, auquel se peut mêler parfois une tendresse féminine d’une autre nature. [Au XIXème siècle], les femmes, absorbées encore par les soins du ménage, mettaient leur luxe dans un énorme approvisionnement de linge, de fruits et de confitures.».
Et pour cause ! Les femmes ont été considérées par le passé, dans le monde entier, comme étant inférieures à l’homme et dépourvues, en conséquence, de leurs droits les plus élémentaires. Dans la péninsule arabique, par exemple, le Coran évoque certaines pratiques particulièrement injustes de l’époque préislamique, telles que le fait de considérer la femme veuve comme faisant partie de l’héritage que le mari décédé léguait aux siens ([4:19]) ou, dans certains cas extrêmes, le fait d’enterrer de nouveaux nés de leur vivant au seul motif d’être de sexe féminin ([16:59]).
La condition générale des femmes était plus désastreuse, encore, selon Mohammed al-Ghazali [2], chez les Grecs et les Romains et même, beaucoup plus tard, dans d’autres nations européennes. En effet, s’interroge-t-il, si Platon plaça les femmes dans la dernière classe sociale de sa « Cité Idéale », qu’en serait-il de leur situation dans la cité décadente ? Il ajoute que les femmes étaient considérées par les Romains comme étant inférieures aux hommes et n’avaient presque aucun droit, et comme le droit européen fut largement influencé par l’Empire Romain, le droit anglais, par exemple, n’hésita pas, au XIXème siècle, à autoriser l’homme à vendre son épouse, le législateur n’intervenant que pour encadrer le prix de vente praticable !
Ce déclassement déclaré des femmes sur les  plans intellectuel, psychologique et moral, a perduré en Occident jusqu’au XXème siècle, comme l’illustrent ces propos du philosophe et sociologue Pierre-Joseph Proudhon [3] : « la femme est un diminutif d’homme à qui il manque un organe […]. Capable, jusqu’à un certain point, d’appréhender une vérité trouvée, elle n’est douée d’aucune initiative ; elle ne s’avise pas des choses […] sans l’homme, elle ne sortirait pas de l’état bestial […]. L’humanité ne doit aux femmes aucune idée morale, politique, philosophique ; elle a marché dans la science sans leur coopération […]. L’humanité ne doit aux femmes aucune découverte industrielle, pas la moindre mécanique. […] La femme auteur n’existe pas ; c’est une contradiction. » !
En ce qui concerne la position de l’Islam, le Coran indique que Dieu a honoré la femme, au même titre que l’homme, et qu’Il l’a préférée, comme lui, à plusieurs de Ses autres créatures ([17:70]), de même qu’Il l’a créée pour accomplir la même mission que l’homme, qui est l’adoration du Créateur ([51:56]). Le Coran précise également que les croyants et les croyantes sont alliés les uns des autres ([9:71]), que Dieu ne fait perdre le bien que quiconque, homme ou femme, a fait, en étant croyant ([3:195]), et que le plus noble, auprès de Lui, parmi les hommes et les femmes, est le plus pieux ([49:13]).
Par ailleurs, la falsification de la Torah [4] selon laquelle les douleurs qu’endurent les mères pour enfanter seraient la conséquence d’une punition divine de l’épouse d’Adam, pour avoir désobéi à Dieu, est rejetée en Islam. En effet, cela remet en cause l’un des piliers de la croyance en Dieu qui est Sa Roboubiyah, ou ce qui En fait le Seigneur de l’univers, en renvoyant à une divinité qui ne maitriserait pas Sa création, qui agirait au coup par coup, et qui, plus est, punirait les femmes tous azimuts, et plus généralement toutes les génitrices, en leur infligeant des douleurs pour une désobéissance qu’elles n’ont point commise ! A cet égard, il y a lieu de préciser que l’épreuve de la vie-présente n’a nullement pour cause un quelconque péché originel de l’Homme en Islam, comme le présupposent certaines interprétations de l’Évangile [5]. Le Coran indique, en effet, qu’Adam et son épouse ont tous deux désobéi à Dieu, en succombant à la tentation d’Iblīs (Satan) ([2 :35-36]), mais que cette désobéissance ne constitue nullement la cause de l’épreuve de la vie-présente, voulue par le Seigneur pour éprouver les Hommes (et savoir) lequel d’eux est meilleur en œuvre ([67:2]). De même, il précise qu’au terme de l’épreuve de la vie-présente, nulle âme ne portera le fardeau d’autrui, fusse-t-il un proche parent ([35 :18]). Quant aux douleurs causées par l’enfantement, elles sont le résultat de la création de Dieu, qui a bien fait tout ce qu’Il a créé ([32 :7]), qui ne fait du tort à personne ([18:49]) et qui commande à l’Homme d’être bienfaisant envers ses parents, en insistant justement sur les peines endurées par les mères durant l’enfantement et même jusqu’au sevrage ([31:14], [46 :15], [19:23-26]). Il y a lieu de signaler également que le Coran comporte une sourate (chapitre) [n°4] intitulée du nom des femmes [al-Nissā’a] et cite les cas de trois femmes exemplaires en matière de foi en Dieu et d’accomplissement des bonnes œuvres : (i) Maryam (Marie), dont Dieu a fait, ainsi que de son fils Jésus, un signe pour l’univers ([21:91]) et dont la sourate 19 du Coran porte le nom, (ii) la mère de Marie ([3:35-36]) ainsi que (iii) la mère de Moïse ([28:7]). De même, les premiers versets de la sourate 58, intitulée "La discussion" [al-Mujādalah], furent descendus suite à une discussion entre une femme et le Messager de Dieu, Muhammad, au  sujet des suites à donner à sa répudiation par son mari, selon un rite préislamique.
C’est dire que l’homme et la femme sont égaux en droits et ont les mêmes obligations devant Dieu, en islam. En revanche, le Coran précise que le genre masculin n’est pas comme le genre féminin ([3:36]), dans la mesure où Dieu a prédestiné l’homme et la femme à des fonctions et des rôles différents, mais complémentaires, auxquels Il a parfaitement adapté leur création, aux niveaux corporel, psychologique et intellectuel. A cet égard, le Coran indique que Dieu a créé des hommes, des épouses pour eux pour qu’ils vivent avec elles en tranquillité [Soukoun] et a mis entre eux de l’affection [Mawaddah] et de la bonté [Rahmah] ([30:21]). Le Livre de l’Islam qui, pourtant, utilise bien le terme "amour" [Hobb] - entre humains - dans un autre verset ([12:30]), emploie dans le verset précédent le terme "Mawaddah" (traduit par "affection"), qui consiste en de l’attirance physique et sentimentale et constitue la base première de tout amour. En effet, l’amour entre les époux ne peut devenir effectif qu’après un engagement significatif et concluant dans leur assomption - groupée et solidaire - des responsabilités qui découlent du mariage. Ce dernier est, d’ailleurs, qualifié d’engagement solennel [Ghalīd] en Islam ([4:21]), en ce sens que l’époux s’y engage solennellement à bien se comporter envers son épouse ou, sinon, à la libérer [par un divorce] avec bienfaisance ([2:229]). De même, le terme "Rahmah" (traduit plus haut par "bonté") est utilisé pour décrire le soin et l’attention que les époux mettent naturellement dans leur relation, dès l’entame du mariage, même s’ils ne se sont pas suffisamment connus auparavant, un peu comme s’ils étaient unis par un lien du sang [Rahem] !
Par ailleurs, le Coran précise que Dieu a responsabilisé davantage l’homme en matière de pilotage des affaires de la famille et lui a donné, de ce fait, autorité sur son épouse et ce, du fait qu’Il a favorisé les hommes par rapport aux femmes en matière d’autorité, justement, et de capacité de prise de décision, ainsi qu’en matière d’accès à la subsistance et de dépense de leurs biens ([4:34]). L’autorité [al-Qawāmah] évoquée dans ce verset consiste en la responsabilisation de l’homme en tant qu’époux/père/chef de famille, non seulement en matière de sécurité, de protection, d’autorité, de prise de décision, d’orientation, de coéducation… mais également en tant que responsable de la dépense dans la limite de ses moyens (logement, subsistance et toute autre dépense nécessaire à la vie décente…). Ce système islamique d’al-Qawāmah a pour but d’assurer une unité de commandement, à travers laquelle l’époux se doit de remplir son rôle d’époux/père/chef de famille, chargé de la dépense.
Certes, les hommes ne s’acquittent pas tous, comme il se doit, de cette grande responsabilité qu’est al-Qawāmah, que Dieu leur a faite incomber et par laquelle Il les a favorisés et ne se montrent pas tous dignes de cette faveur, loin s’en faut ! Or, si Dieu l’avait voulu, tel aurait été certainement le cas ! Mais, Dieu a donné aux hommes, comme aux femmes, un libre arbitre et tout ce dont ils ont besoin pour les éprouver dans la vie-présente,  conformément à Sa volonté, la responsabilité d’al-Qawāmah faisant justement partie intégrante de cette épreuve pour les hommes. A cet égard, le Messager de Dieu a dit dans les deux Hadiths ci-après (rapportés dans le Sahīh d’al-Tirmidhi) :
"Le meilleur d'entre vous est celui qui est le meilleur avec sa famille et je suis le meilleur d'entre vous avec sa famille …";
"Le Croyant qui a la foi la plus parfaite est celui qui a le meilleur comportement et les meilleurs d’entre vous sont les meilleurs avec leurs femmes".
De même, le compagnon du Prophète Abû Hurayrah relate dans un Hadith (rapporté dans le Sahih d’al-Bokhāri) qu’un homme vint trouver le Messager d’Allah et lui demanda : « Ô Messager d’Allah ! Quelle est la personne qui mérite le plus que je lui tienne bonne compagnie ? - Ta mère, répondit le Prophète. - Ensuite qui ? Continua l’homme. - Ta mère ! répéta le Prophète. - Ensuite qui ? poursuivit l'homme. Ta mère ! Réitéra le Prophète. - Ensuite qui ? demanda-t-il - Ton père ! conclut le Prophète. ».
C’est dire l’importance du rôle de la femme dans l’union du mariage en Islam, non seulement à travers ses multiples fonctions spécifiques au genre féminin d’épouse et de mère, dont notamment l’affection, sa grande capacité d’endurer par amour et par dévouement, l’enfantement, l’allaitement… mais aussi en matière de gestion du vivre ensemble, d’éducation, d’accompagnement en cas de maladie ainsi que des nombreuses activités qu’elle est à même d’accomplir.
Il s’agit, en fait, d’une répartition naturelle de fonctions et de rôles, spécifiques et complémentaires, entre l’homme et la femme dans leur union par le mariage. Dans cette union, l’homme a l’obligation en Islam d’honorer ses responsabilités en matière de Qawāmah, dans la limite de ses moyens. De même, la femme est tenue d’assurer ses fonctions d’épouse et de mère, dans la limite de ses capacités, et de respecter l’unité de commandement qu’instaure le système d’al-Qawāmah, en obéissant à son époux/chef de la famille, sauf si cette obéissance contrevient à l’obéissance à Dieu et à Son Messager ([4:59]). En particulier, lorsqu’il s’avère que l’époux/père faillit à ses obligations en matière de Qawāmah, l’Islam prévoit que l’épouse puisse, dans ce cas, demander le divorce [6] et, le cas échéant, les droits d’usage, par les moyens légaux en vigueur. Quant aux enfants, il leur est commandé en Islam d’être bienfaisants envers leurs parents, particulièrement envers la mère comme l’indique le Hadith cité plus haut, et ce, à tout âge et en toute circonstance, sauf si ces derniers les forcent à associer à Dieu de fausses divinités, auquel cas ils ne doivent pas leur obéir mais continuer à les accompagner de façon convenable ([31:14-15]).
Par ailleurs, comme l’a bien montré Mohamed Achiq [7], c’est en raison de la responsabilité financière qu’implique, pour l’homme, le système islamique d’al-Qawāmah que Dieu l’a favorisé dans deux types de situation par rapport à la femme en matière de part d’héritage :
lorsqu’ils sont respectivement fils et fille du défunt (homme ou femme), c’est-à-dire que le fils est encore en âge de fonder une famille et de devoir en endosser la responsabilité financière, s’il n’est pas déjà époux/père/chef de famille, chargé de la dépense ;
lorsqu’il subsiste une part d’héritage non affectée, après l’attribution des portions explicites précisées dans le Coran (le huitième, le sixième, le quart, le tiers, la moitié, les deux tiers) aux ayants droits concernés. Dans ce cas, dit "d’héritage par Taâssīb", on applique d’abord l’ensemble des règles précisées dans le Coran ou par la tradition Prophétique. Ensuite, s’il subsiste encore un reliquat d’héritage non affecté, on l’attribue alors à l’homme le plus proche du défunt, en application du Hadith suivant, communément admis, dans lequel le Messager de Dieu a dit :
"Attribuez les droits imposés [al-Farāid] (en matière d’héritage) à leurs détenteurs [ahlihā] et donnez ce qui reste à l'homme le plus proche."
Ce Hadith recommande clairement l’utilisation des règles de Dieu en matière d’héritage et s’appuie sur ces règles pour déterminer les critères de proximité au défunt et les prioriser. Parmi ces règles, on peut citer les versets suivants, qui montrent des cas d’héritage par Taâssīb :
«… Quant aux père et mère du défunt, à chacun d'eux le sixième de ce qu'il laisse, s'il a un enfant. S'il n'a pas d'enfant et que ses père et mère héritent de lui, à sa mère alors le tiers… [11]» [S4]
«Ils te demandent ce qui a été décrété. Dis : "Au sujet du défunt qui n'a pas de père ni de mère ni d'enfant, Allah vous donne Son décret : si quelqu'un meurt sans enfant, mais a une sœur, à celle-ci revient la moitié de ce qu'il laisse. Et lui, il héritera d'elle en totalité si elle n'a pas d'enfant. Mais s'il a deux sœurs (ou plus), à elles alors les deux tiers de ce qu'il laisse; et s'il a des frères et des sœurs, à un frère alors revient une portion égale à celle de deux sœurs… [176]» [S4]
Le verset 11 ci-dessus indique implicitement que dans le cas où le défunt n’a pas d’enfant, son père hérite les deux tiers, à raison d’un tiers en tant qu’ayant droit et un tiers supplémentaire par Taâssīb, et sa mère hérite du tiers. Quant au verset 176, il concerne le défunt qui ne laisse pas de père ni de mère ni d’enfant, mais une sœur. Dans ce cas, la sœur hérite de la moitié de l’héritage de son frère, alors que lui hérite d’elle en totalité, dans ces mêmes conditions. En revanche, s’il a deux sœurs ou plus, celles-ci héritent, à portions égales, à hauteur des deux tiers, alors que s’il a des frères et sœurs, ces derniers héritent de la totalité, à raison d’une portion pour chaque homme égale à celle de deux femmes.
De même, le verset suivant concerne le cas du défunt (homme ou femme) qui n’a laissé aucun ayant-droit parmi ses descendants ni ses ascendants, mais un frère ou une sœur, du côté de sa mère. Ces derniers héritent alors en priorité, juste après l’épouse/l’époux si elle/il existe et ce, à raison d’un sixième chacun. S’ils sont plus de deux, ils se partagent alors le tiers, à portions égales, indépendamment du sexe :
«… Et si un homme, ou une femme, meurt sans héritier direct, cependant qu'il laisse un frère ou une sœur, à chacun de ceux-ci alors, un sixième. S'ils sont plus de deux, tous alors participeront au tiers… [12]» [S4]
A cet égard, il y a lieu de préciser que :
L’héritage par Taâssīb peut profiter à l’homme ou à la femme, selon le cas. Par exemple, dans le cas d’un défunt qui n’a laissé aucun ayant-droit de sexe masculin parmi ses ascendants ni ses descendants, mais qui a laissé une fille ou petite-fille ainsi qu’une sœur consanguine, c’est cette dernière qui hérite par Taâssīb le reliquat de l’héritage (et "empêche" les oncles paternels consanguins du défunt, par exemple, d’hériter par Taâssīb) ;
Les héritiers sont appelés en Islam à offrir quelque chose de l’héritage aux proches parents, aux orphelins et aux nécessiteux, qui assistent au partage et de leur parler convenablement, de même qu’ils sont appelés à redouter Dieu et à prononcer des paroles justes ([4:8-9]) ;
Le droit musulman prévoit des mesures qui permettent le traitement de certaines situations particulières, dont on peut citer :
la possibilité de faire un ou plusieurs testaments au profit de personnes qui n’ont pas le droit d’hériter et ce, dans la limite d’un tiers de l’héritage pour l’ensemble des testaments ;
la possibilité pour le parent de faire, de son vivant, un don à un enfant qui souffre d’un handicap ou d’une difficulté et se trouve, de ce fait, dans une situation manifestement défavorable par rapport aux autres enfants et ce, à la condition que ces derniers soient tous majeurs et qu’ils marquent à l’unanimité leur consentement, libre de toute contrainte, en faveur de ce don ;
la possibilité pour le père d’inscrire, de son vivant, une clause de jouissance à vie (omrā) du logement principal au profit de son épouse et de sa (ses) fille(s), en cas de crainte que l’un des héritiers ne fasse valoir son droit de récupérer sa part d’héritage par Taâssīb, en vendant le bien en question, alors que l’épouse et les filles n’ont pas les moyens suffisants pour acquérir un autre logement décent…
Le droit Islamique des successions [Ilm al-Mawārīth] offre ainsi une certaine souplesse pour traiter de telles situations, mais ne peut être dissocié du système d’al-Qawāmah, sur lequel repose le modèle islamique d’union par le mariage qui cible, en priorité, la protection de la famille et de la société islamique. Et c’est sans doute pour cette raison que les règles de ce droit ont été détaillées par Dieu dans le Coran ainsi que par l’intermédiaire de Son Messager (et Dieu sait mieux). Par ailleurs, outre le fait que Dieu a enjoint à l’Homme d’être bienfaisant envers ses parents, à tout âge et en toute circonstance, l’époux et l’épouse sont appelés, en Islam, à jouer pleinement leur rôle au sein de leur (petite) famille ([66:6], [2:233], [4:1]), mais aussi de faire le bien envers leurs proches parents, les orphelins, les nécessiteux ([8:41], [30:38], [59:7])… notamment en matière de dépense financière, pour l’homme ([4:34]). Dans leur union, il est ordonné à ce dernier de se comporter envers son épouse de manière convenable ([4:19]), de même qu’ils sont tous deux appelés à se considérer mutuellement comme un "vêtement", l’un pour l’autre ([2:187]), avec tout ce que cela peut traduire, au niveau de leur relation intime, comme proximité, affection, amour, couverture, transparence, embellissement, protection mutuelle contre l’immoralité, sérénité…
L’Islam a ainsi supprimé toutes les formes d’injustice qu’enduraient les femmes, avant l’envoi du Messager de Dieu, Muhammad, notamment en organisant le mariage ([2:221-226], [2:233-235], [2:240], [4:20-25], [4:3-4], [24:32], [58:1-4]), en encadrant le divorce ( [2:227-232], [2:236-237], [2:241]) et en instituant le droit de la femme à l’héritage ([4:7-13],  [4:176]), interdisant au passage toute forme d’héritage de la femme veuve ([4:19]). Par ailleurs, la tradition Prophétique a institué le droit de la femme à l’éducation, à la possession de biens, à bénéficier de testament… ainsi qu’à toutes les opérations (licites) se rapportant aux contrats et aux affaires (licites). De même, elle a accordé à la femme le droit de travailler à l’extérieur dans des emplois qui respectent ses spécificités, conformément aux règles de l’Islam.
Abourina
[1] Charles Seignobos : « Histoire sincère de la nation française » (1933) ;
[2] Mohammed al-Ghazali : « [TdA] Les Problèmes de la Femme entre des Traditions stagnantes et des Traditions étrangères »- p.64-65. Ed. Dar al-Chourouk (2005) ;
[3] Pierre-Joseph Proudhon: « De la Justice dans la Révolution et dans l’Église » (1858) ;
[4] Ancien Testament: Le Pentateuque: Genèse: Chapitre 3 (verset 16) ;
[5] Nouveau Testament: Les Épîtres de Paul: Romains: Chapitre 5 (verset 12) ;
[6] Avis partagé par les Écoles Malikite, Chafiite et Hanbalite, dans le cas où il est établi que la faillite de l’époux à ses obligations cause du tort à l’épouse et ce, en se référant au verset (S2,v231) ;
[7] Mohamed Achiq, « Comprendre l’Islam à la lumière du Coran et de la tradition Prophétique » (Amazon.fr).
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lupitovi · 2 years ago
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Que nous apprend le projet politique qu’on appelle néolibéralisme ? Puisant ses racines idéologiques dans La Route de la servitude de Friedrich Hayek et les développant au sein de l’École de Chicago, le néolibéralisme a atteint l’Europe à la suite des luttes ouvrières des années 1970. Le cadre a été fixé par les représentants politiques du grand capital. En Grande-Bretagne, ce fut le gouvernement de Margaret Thatcher. Liberté et capitalisme, dit-on, sont indissociables. La moindre intervention de l’État pour modérer le « libre » marché serait le premier pas sur la voie de la dictature. En conséquence, le capitalisme doit réussir et les profits doivent être garantis. Cela signifie, inévitablement, un effort constant pour accroître l’exploitation de la classe ouvrière. Thatcher s’est employée à cette tâche avec une précision militaire en menant son attaque sur trois fronts : retirer les subventions de l’État aux industries défaillantes et permettre une augmentation massive du chômage ; promulguer des lois afin de restreindre la capacité des syndicats à résister ; et provoquer des grèves que le gouvernement savait pouvoir briser. Les choses se sont passées comme prévu. Alors que les usines étaient obligées de fermer les unes après les autres et que les industries tombaient en faillite, le chômage augmentait rapidement. La plupart des dirigeants syndicaux, des sociaux-démocrates de droite, ont choisi de ne pas mobiliser les militants alors que beaucoup étaient prêts à se battre. Cet échec, largement passé sous silence dans l’histoire écrite par la classe dominante, a joué un rôle important dans le succès de Thatcher. Avec tant de personnes sans emploi, il était plus difficile de défendre les salaires et les conditions de travail. « Si vous ne voulez pas travailler dans ces conditions, dix autres personnes sont prêtes à prendre votre place. » Les nouvelles lois ont été violentes. Les travailleurs ne pouvaient pas décider la grève lors d’une assemblée générale. On devait voter par correspondance, l’employeur se donnait ainsi le temps de se préparer et la presse pouvait faire campagne contre un éventuel débrayage. Seule une poignée de piquets de grève pouvaient s’opposer aux briseurs de grève lorsqu’ils essayaient de se rendre au travail. Le rapport de force entre classes sociales tournait fortement à l’avantage des employeurs. Les grèves étaient manipulées de telle sorte que les syndicats les plus fragiles étaient entraînés dans des combats qu’ils ne pouvaient pas gagner, à commencer par les sidérurgistes. Le syndicat le plus puissant et le plus politisé a été le dernier à rendre les armes. La grève des mineurs, en 1984, a duré un an et cette bataille a été cruciale. Le mouvement ouvrier a bénéficié d’un grand soutien de la base, mais, là encore, les leaders syndicaux se sont tenus à l’écart. Les dirigeants du parti travailliste, Neil Kinnock et Roy Hattersley, ont refusé d’apporter leur soutien aux grévistes. Ils se sont joints à la longue et honteuse liste de ceux qui ont accédé au pouvoir sur le dos des travailleurs et des travailleuses, mais qui les ont abandonnés quand ceux-ci avaient besoin d’eux. Les mineurs ont été vaincus. Et le néolibéralisme s’est poursuivi sans autre obstacle sur sa route. Les leçons ? Premièrement, le conflit entre les intérêts du capital et ceux du travail est au cœur même du capitalisme. Le grand capital cherchera toujours de nouvelles façons d’exploiter les travailleurs. C’est dans son ADN. La coexistence pacifique est vouée à l’échec. Le marché à vocation sociale est un mythe. Deuxièmement, le peuple se défendra toujours. La pauvreté, l’injustice, l’inégalité et le fait de savoir que l’on vous trompe – tout cela fera l’objet de résistances. Le peuple est courageux et a le sens de ce qui est juste et équitable. Mais cet engagement n’est pas suffisant et conduit à la leçon suivante... Troisièmement, il est essentiel qu’un mouvement de rupture avec le néolibéralisme soit guidé par de solides principes tout en ayant une stratégie politique avisée. Les responsables de ce mouvement doivent comprendre que la classe dominante est impitoyable. Toutes les avancées que les travailleurs peuvent conquérir doivent être consolidées et sécurisées et, en fin de compte, ne peuvent être sauvegardées que par la prise du pouvoir politique. Nos acquis de 1945, à savoir les nationalisations, le service de santé publique, l’éducation gratuite pour tous et bien d’autres choses encore, ont soit disparu soit sont en train d’être balayés à mesure que le capital continue de se développer. Le militantisme sans un puissant mouvement politique de rupture est comme la vapeur d’une bouilloire, il se dissipe dans l’air. Quatrièmement… pourquoi faut-il garder espoir ? Le capital n’est jamais rassasié. Il peut gagner une bataille, trouver de nouveaux modes d’exploitation, mais la concurrence acharnée oblige les gros employeurs à toujours trouver d’autres moyens de tirer des profits. Il faut alors mener une nouvelle lutte. Le cycle se répète sans cesse. Chaque tour de roue est donc une opportunité. Pouvons-nous nous organiser, nous défendre et gagner la prochaine fois ? Et, pour finir, mon avertissement. Il n’est plus possible que cette lutte se poursuive indéfiniment. Le changement climatique et la menace qui pèse sur l’environnement nous mettent en danger de façon imminente et rendent d’autant plus urgente la nécessité d’un changement fondamental. Rosa Luxemburg posait cette question : « Socialisme ou barbarie ? » Aujourd’hui, la question est celle-ci : Le socialisme ou la mort ?
Ken Loach - Socialisme ou la mort ? 
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aibagence · 7 days ago
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Niger : Ouverture à Niamey d’un séminaire sur le néocolonialisme et le néolibéralisme en Afrique
Niger-Anti-colonialisme-Séminaire Niger : Ouverture à Niamey d’un séminaire sur le néocolonialisme et le néolibéralisme en Afrique Ouagadougou, 06 janv. 2025 (AIB) – Niamey abrite du 6 au 10 janvier 2025 un séminaire international sur le colonialisme et le néolibéralisme, à l’initiative de la Fédération Syndicale Mondiale (FSM), en vue de chercher les solutions pour une Afrique «libre, souveraine…
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lonesomemao · 7 days ago
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SI LE COEUR VOUS EN DIT
Contre un sud global
De fait encore
Dans la logique coloniale
Par le patriarcal
Comores
Mayotte
Le blanc métropole
A sa rescousse
Un islam de dames
Ni putes ni soumises
Contre l'ultralibéralisme
Qui a remplacé le néolibéralisme
Il fait reculer le nazisme
A noter
Le naufrage politique
De Daniel Cohn-Bendit
Qui raciste objectivement
Parle de grand remplacement
En ange blanc
Lundi 6 janvier 2025
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aurianneor · 1 year ago
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Liberté et vivre ensemble
Les philosophes des Lumières, et les libéraux de la Révolution française désiraient trois choses avant tout: du pain, la liberté de conscience et l'abolition des privilèges. 
Le droit à une vie décente ne devrait pas être marchand. Avoir un toit et avoir du pain ne devrait pas être monétisé. Les révolutionnaires ont défilé en réclamant du pain. C'est la notion de subsistance qui était véhiculée. De nos jours, on pourrait réclamer de l'eau et des aliments non pollués, pourquoi pas un revenu de base.
A l'époque, on pouvait être embastillé pour avoir déplu. A la Bastille, étaient détenus ceux qui n'avaient pas droit à la liberté d'expression mais il y avait des limites comme l'appel à la haine ou à la privation des libertés des autres.
Ils ont également demandé l'abolition des privilèges le 4 août 1989, pour que les plus qualifiés deviennent les professionnels. A l'époque on achetait sa charge.
De nos jours, les gens doivent payer pour un logement et de la nourriture sinon, ils sont clochards. Car la Réaction leur a dit "tout travail mérite salaire".
La Réaction s'abrite derrière les idées de liberté d'expression pour véhiculer la haine. Eric Zémmour devrait être en prison car il a appelé à la haine. Il a utilisé la liberté d'expression pour se justifier. Trump utilise cette même liberté d'expression pour se défaire des accusations sur le Capitole.
La Réaction suggère que si on réussit c'est qu'on est méritant et que ceux qui ont échoué le méritent. Tout ce que j'ai mérité est à moi et j'en fais ce que je veux. La solidarité est donc, selon eux, injuste. La destruction de la nature est donc possible. C'est un mensonge énorme. Ils nient le fait qu'ils ont été aidés par les infrastructures et l'organisation du pays. C'est une déformation des idées de la méritocratie telle qu'elle a été pensée pendant la Révolution.
Ceci est le néolibéralisme inventé par Milton Friedman en 1957, prix Nobel en 1976. L'immense malheur du néolibéralisme est d'utiliser les mots et les arguments des Révolutionnaires libéraux pour les retourner contre eux. C'est un outil pour divertir la haine des gens contre les vrais coupables, vers eux-même. 
Après le new-deal de Roosevelt aux Etats-Unis en 1933 et la victoire du Labour en 1945 au Royaume-Uni, les néolibéraux ont utilisé les idées libérales de la Révolution contre les libéraux. C'est un outil extrêmement puissant qui convainc les réactionnaire mais subjugue aussi une partie des libéraux. Reagan et Thatcher ont dirigé le monde selon ces principes.
Aujourd'hui, au lieu de s'en prendre aux empoisonneurs qui polluent et détruisent leur mode de vie, les gens s'en prennent à eux-même et même peuvent se tourner vers la drogue. Les réseaux sociaux, c'est la multiplication du néolibéralisme car les algorithmes sélectionnent les posts de réussite. Après la théorie mensongère, c'est la preuve mensongère. Si je ne vois que des gens qui réussissent, c'est bien ma faute si j'échoue et ceux qui réussissent le mérite. Depuis la fin du COVID, les suicides, les problèmes mentaux et les problèmes de drogue ont été multipliés par 69% chez les adultes et 81% chez les adolescents (https://bmcpublichealth.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12889-022-13409-0 et https://www.mcleanhospital.org/essential/it-or-not-social-medias-affecting-your-mental-health). Les gens ne peuvent s'en prendre qu'à eux-même s'ils sont en mauvaise santé et sont priés d'admirer les corps puissants.
Après la crise financière de 2008, quand les banques subissaient les conséquences de leurs propres erreurs, les gouvernements de Georges W. Bush, Nicolas Sarkozy, David Cameron et Berlusconi, tous ouvertement néolibéraux, ont déversé 700 milliards de dollars d'argent public pour renflouer les banques. Preuve que c'est un mensonge auquel eux-même ne croient pas. Reagan et Tatcher ont considérablement augmenté les dépenses publiques en police et en armée. Ce discours néolibéral est pour les autres, pas pour eux.
Le fait de le savoir peut aider à ne plus croire à ce mensonge et à continuer de faire valoir les idées non distordues de la Révolution.
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Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Le revenu de base, c’est possible: https://www.aurianneor.org/le-revenu-de-base-cest-possible-the-instrument/
Arrête de financer la haine: https://www.aurianneor.org/arrete-de-financer-la-haine/
La liberté guidant le peuple: https://www.aurianneor.org/la-liberte-guidant-le-peuple/
Travail, Famille, Consommation vs Liberté Egalité, Fraternité: https://www.aurianneor.org/travail-famille-consommation-vs-liberte-egalite/
Quelle liberté d’expression voulons-nous?: https://www.aurianneor.org/quelle-liberte-dexpression-voulons-nous-what/
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werewolfetone · 5 months ago
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Fucking clavier de français traduit le mot 'néolibéralisme' a français chaque fois que je l'utilise en anglais avec cette téléphone pourquoiiiii vous détestez-me
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researcherpicker · 21 days ago
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CHPT 2 : Inutile
Prenons le capitalisme comme réalité, “comment être inutile?” devient tout de suite beaucoup plus simple. Il suffit de ne pas être rentable, de ne générer aucune valeur semble être faisable. Vu que la valeur des choses se base sur un principe très arbitraire.
Marcel Duchamps nous donne quelques pistes sur celle donnée à l’art, l’exemple permet d’apercevoir  l’absurdité de la chose. En effet une œuvre nécessitant de son créateur un long apprentissage technique et intellectuel, ne garantit pas sa valeur. Quand bien même qu’il puisse exister une échelle permettant de quantifier le temps réel de la création, prenant en compte la totalité des paramètres, ce qui inclut le développement personnel de l’artiste, son expérience de vie et de la quantité inquantifiable de pensées produites en direction de sa création, son résultat déboucherait sans aucun doute, sur une valeur inestimable. 
C’est donc un tout autre système qui est mis en place, il fonctionne sur le principe de spéculation, le fait que l'œuvre soit de qualité n’est pas un critère, par ailleurs les critères sont aussi arbitraires que la valeur qui en découle. C’est ainsi que l’art peut valoir rien du tout comme des millions d’euros voire des milliards. Je peux donc dans ce contexte dans lequel j’évolue malgré moi, refuser de promouvoir mon travail et parvenir à ne pas le vendre, ainsi je créai inutilement des choses inutiles pour le système biaisé qu’est le capitalisme. 
Le problème ne serait pas si inquiétant s' il ne concernait que les objets, tout ou presque peut devenir rentable, vendable et désirable. Car c’est dans un désir incontrôlable que nous nageons en pleine folie. Comme possédés par nos possessions, nous nous enlisons dans un néolibéralisme visqueux. Essayant d’immerger des profondeurs des algorithmes, de sortir du lot tel un grain de sable sur la plage à qui on a fait croire qu’il se tenait au centre de l’univers. 
Qui sait, c’est peut-être vrai, comment le savoir? 
crédits photos : ©orso
Verticale/ Serpent/ Béton
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helshades · 2 years ago
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Je me permets d'extraire un petit bout de ma conversation en cours avec la charmante (❤️) @joannerowling parce que j'aimerais bien faire cette réponse en public : il en va de l'histoire récente de la Gauche et de certains mouvements de société qui me semblent largement occultés, justement, par elle, au profit de son clientélisme actuel et de son discours détourné de son électorat historique.
@joannerowling :
Je sais pas, écoute, j'ai peut-être perdu de mon idéalisme depuis les dernières élections ? Aujourd'hui je pense que les mouvements politiques arrivent pour des raisons plus profondes que la manipulation des élites. Quand Mélenchon avait un discours plus socialiste en 2017, il n'a même pas pu battre Fillon, et dieu sait que celui-ci s'est fait laminé médiatiquement, ET bouffé par deux autres "droites". J'en arrive à la conclusion que les français sont… de droite. Déso ?
... La défaite de Mélenchon en 2017 cache en réalité une formidable remontée de la Gauche, grâce à sa campagne audacieuse ; il ne faut pas oublier qu'on sort d'une répression massive d'un mouvement social de grande ampleur contre la Loi Travail (Macron-El Khomri) matée par Valls dans le sang et les larmes — c'est en 2016 que l'on a commencé de servir d'armes de guerre contre les manifestants, avec les premiers mutilés. À l'époque, le Parti Socialiste est hégémonique à gauche : il l'est depuis l'O.P.A. de Mitterrand autour du Programme commun qui a tué le Parti Communiste Français. On ne le sait que trop, c'est Tonton qui orientera le socialisme vers la social-démocratie européiste et le néolibéralisme en ringardisant l'anticapitalisme dans une imitation troublante du « TINA » that chérie. Je te parle d'un temps que les moins de vingt ans, etc. mais si Nicolas Sarkozy a modifié le nom de son parti pour créer “Les Républicains” c'est aussi parce que tout le monde s'était mis, sous le hollandisme, à parler de “l'UMPS”...
Donc, en 2016, Mélenchon fait une campagne extraordinaire où il se paie le luxe de se réapproprier les symboles républicains à la barbe de l'extrême-droite, fait chanter la Marseillaise en meeting, expérimente avec les nouvelles technologies (le fameux hologramme...), et s'empare de YouTube avant tout le monde pour contrer la censure intense qui sévit sur le PAF contre la France Insoumise et surtout sa propre personne, homme à abattre caricaturé avec une haine inédite dans des médias très proches du P.S. ; lequel P.S. met le satellite Benoît Hamon sur orbite pour tenter de reprendre l'électorat jeune à Mélenchon. Pendant ce temps-là, le N.P.A. représenté alors par Philippe Poutou dépasse toujours Mélenchon sur sa gauche, fatalement.
2017, c'est avant tout l'apothéose de Macron, traître habile et Rastignac impatient, soutenu presque par l'intégralité des grandes fortunes de France, plus quelques oligarques algériens, qui lui ont acheté une invraisemblable quantité de Unes, d'articles dithyrambiques, de paparazzades flatteuses : c'est un rouleau compresseur contre lequel aucun candidat ne pourra lutter, et il sera au premier tour. Devant les Français, il a fait toute sa campagne sur le « Ni gauche, ni droite » et c'est ce qui dominera le discours. Une grande partie de l'électorat de gauche se reporte alors sur Macron qui incarne l'espoir de sortir de cette sempiternelle alternance entre UMP et PS. Dans la pratique, les votes de gauche sont complètement éclatés entre le PS (le vieil électorat qui s'accroche à son parti historique), Mélenchon, Macron, Hamon et Poutou — qui a acquis un certain prestige grâce à un grand débat télévisé opposant tous les candidats à brève échéance du premier tour.
À droite ? On se divise entre le parti de Mon Général, malencontreusement emmené par l'homme aux costumes trop chers (et à l'épouse trop bien entretenue) et le Rassemblement National, fraîchement dédiabolisé — et c'est tout. Bien sûr que même Fillon a coiffé Mélenchon au poteau ! Cartel des gauches, Front populaire, Programme commun : la Gauche n'a toujours gagné qu'en se rassemblant. Le problème, c'est qu'à droite, on fait campagne autour d'un homme fort, alors qu'à gauche, on fait campagne sur des idées. Or, la Gauche est profondément divisée depuis les années 1980 et surtout les années 2000 sur la question nationale, entre laïcité, souveraineté et verticalité du pouvoir.
Et précisément, c'est là qu'a péché Mélenchon en 2017, qui a commis l'erreur de louvoyer sur la question européenne alors que le gros de la population française, dont la mémoire est plus longue que celle de ses dirigeants et médias décidément, affichait un euroscepticisme croissant. Et devine quel est le parti qui exprimait le plus fort son hostilité aux traités européens ? Cela, en plein apogée de l'idée selon laquelle gauche et droite se valent...
Si tu veux prendre la mesure de l'opinion publique en France, en réalité, il faut se tourner vers un groupe de recherche en sociologie politique qui commence à être un peu connu, à force : c'est Cluster17. Fondé comme démarrait l'étrange campagne présidentielle de 2021, le groupe propose une grille de lecture très originale de la société française, ses idées et ses intentions électorales. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ses analyses tendent à donner raison au géographe Christophe Guilluy quand il décrit La France périphérique, mais également, en un sens, à Emmanuel Macron lui-même quand il bâtissait une campagne entière sur un louvoiement perpétuel : l'opinion publique ne rentre pas dans une définition prédéterminée ; les classes populaires sont à la fois plus nationalistes et plus conservatrices que la Gauche dans son ensemble, mais plus ouvertes et plus solidaires que la Droite dans son ensemble. À vrai dire, je suis sans cesse ramenée à une phrase de Terry Pratchett :
Ceux qui se rangeaient dans le camp du peuple finissaient toujours par être déçus, de toute manière. Ils trouvaient que le peuple était rarement reconnaissant, élogieux, prévoyant ou obéissant. Le peuple était souvent étroit d'esprit, conservateur, pas très malin et même méfiant envers l'intelligence. Les enfants de la révolution étaient ainsi confrontés au problème ancestral : on n'avait pas le mauvais type de gouvernement, c'était évident, on avait le mauvais type de peuple.
(Va-t'en-guerre, 1997, trad. P. Couton)
Peut-être que ce n'est pas tellement que le peuple français est parti à droite, mais bien plutôt que la Gauche se trompe de direction quand elle cesse de dialoguer avec le peuple. Il y a un monde en réalité entre la simple démagogie et le populisme, qui est un amour fidèle au Peuple. Le peuple traverse les époques avec des besoins et des aspirations relativement similaires, qui certes ne coïncident pas intégralement avec ceux des classes moyennes urbaines ultra-connectées... Si le peuple se tourne vers une Marine Le Pen, ce n'est pas obligatoirement que les Français sont devenus des monstres d'extrême-droite, mais peut-être plutôt que seule Marine Le Pen tient un discours à peu près cohérent pour lui (voire ferme sa gueule au moment opportun. C'est terrible de constater qu'elle doit être assez bonne avocate, elle maîtrise vraiment l'art de ne rien dire et de laisser les cons se battre entre eux pour empocher ce qui tombe) alors que les autres ne font que le prendre collectivement pour un gros tas de misérables imbéciles. Ils ne l'emporteront pas au paradis de la politique.
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francaistoutsimplement · 7 months ago
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Comme on aimerait qu'il eut tort!!
L'union de la gauche et ses désastres
(reseau international.net) /articles/actus-articles-2/lunion-de-la-gauche-et-ses-desastres/par Régis de Castelnau
Dans un article précédent , j’ai tenté de démontrer que le Parti socialiste dans son histoire,n’avait jamais été «de gauche». La sociologie de ses directions, ses modes d’organisation,et sa pratique du pouvoir dans une république de démocratie représentative, permet d’aboutir à cette conclusion. Cependant, si tant est que l’on retienne (à juste titre jusqu’à une période récente) le caractère opératoire du clivage droite-gauche, comme nous l’avons rappelé dans l’article précité, le Parti socialiste est toujours arrivé au pouvoir grâce à des alliances. Ce fut parfois avec la droite, mais plus souvent avec d’autres forces de gauche. Et en particulier, le Parti communiste souvent promoteur de ces stratégies d’union, et qui à chaque fois lui ont coûté très cher, jusqu’à sa disparition. Au détriment bien sûr des forces qu’il représentait, mais pas seulement.
Toutes les trahisons mises en œuvre par le Parti socialiste ont porté préjudice à la majorité du peuple français, qu’il a fini par enfermer dans un néolibéralisme destructeur pour le pays. Il faut toujours rappeler que l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron en 2017 est le fruit d’une opération assimilable à un coup d’État dont le PS fut l’un des principaux organisateurs.
On ne reviendra pas en détail sur les différentes catastrophes politiques générées par«l’union des forces de gauche», mais il convient quand même de se rappeler le catalogue.
L’union de la gauche de catastrophes en catastrophes
Aux élections législatives de 1924, alors que le Parti communiste occupé à sa «bolchevisation» s’était enfermé dans la marginalité, on assiste à la mise en place du «Cartel des gauches» qui se coucha prestement devant le «mur de l’argent» pour passer les manettes à Raymond Poincaré chargé de mettre en œuvre les pires politiques d’austérité.
Il y eut ensuite, le «Front populaire» de 1936 que Léon Blum abandonna au bout d’un an pour laisser le pouvoir à une alliance avec le centre-droit. En attendant l’interdiction du PCF en septembre 1939, avec la peine de mort pour ses distributeurs de tracts et l’installation de Pétain le 10 juillet 1940 lorsque la majorité du groupe socialiste lui vota les pleins pouvoirs en actant la fin de la République. Encore bravo !
Il y eut ensuite l’alliance tripartite de l’immédiat après-guerre à laquelle le Parti socialiste mis fin en 1947 pour installer avec l’aide de la droite la domination américaine sur l’Hexagone. Léon Blum ayant repris du service pour y veiller.
Le nom du socialiste qui se détache à ce moment est celui de Jules Moch féroce briseur de grève qui laissera des souvenirs cuisants chez les mineurs de fond.
En 1956, le PS (SFIO) remporte les élections législatives sur la base d’un programme de paix en Algérie. (On dirait du Zelenski....) Que le PCF entend soutenir en votant «les pleins pouvoirs» au gouvernement Guy Mollet. Celui-ci trahit immédiatement ses engagements, nomme Robert Lacoste proconsul en Algérie qui donne les pouvoirs de police et une partie des pouvoirs civils à l’armée ! Qui mettra en œuvre une répression sans mesure à base de torture, de disparitions et d’exécutions sommaires. Englué dans sa trahison, le parti socialiste sera incapable de s’opposer au délitement de l’État et à l’installation d’une situation de guerre civile que l’opération politique virtuose de Charles de Gaulle en mai juin 1958 évitera à la France.
À partir de son ralliement à la candidature de François Mitterrand à la présidentielle de 1965, le PCF se lancera à corps perdu dans la construction de «l’Union de la gauche» comme alternative au pouvoir gaulliste. Cette stratégie mortifère aboutira à la signature d’un programme commun en 1972 offrant à cette union des perspectives d’arrivée au pouvoir. La dynamique politique illusoire créée à cette occasion permettra l’arrivée de François Mitterrand à la présidence de la république en 1981. Tous les engagements furent rapidement remis en cause, scandé par le fameux tournant néolibéral austéritaire de 1983 (Fabius) sur fond d’abandon progressif de la souveraineté nationale au profit de l’Union européenne en construction. Le tout accompagné par l’effondrement du PCF, faisant ainsi perdre à la classe ouvrière son principal outil politique.
En 1997, nouvelle union de la gauche, «plurielle»cette fois-ci, avec l’arrivée de Lionel Jospin au poste de Premier ministre de cohabitation avec Jacques Chirac. Dont le gouvernement, néolibéralisme européen oblige, sera le plus grand privatisateur de l’histoire de France. Les lambeaux du PCF se contentant d’apporter son écot à la catastrophe politique et économique dont la défaite de Lionel Jospin à la présidentielle de 2002 fut l’épisode normal. Qui eut au moins un mérite, celui de nous éviter la honte du soutien de l’agression américaine en Irak en 2003. Dont chacun sait que Jospin aurait été, comme son camarade Tony Blair, l’acteur empressé. Hollande parrain de Macron
Et en 2012 «L’union de la gauche» de se rassembler à nouveau, derrière François Hollande cette fois-ci ! On allait voir ce qu’on allait voir, puisque «son ennemi était la finance» et qu’Emmanuel Todd nous annonçait «le hollandisme révolutionnaire». Ce mandat tout de trahisons, de laideurs et de lâchetés fut une épreuve pénible. De l’ectoplasme Jean-Marc Ayrault au nervi politique Manuel Valls, en passant par Cahuzac, Moscovici, Jouyet, Macron (déjà) et tant d’autres nullités corrompues, nous avons dû tout supporter. L’évidence que François Hollande allait être, selon l’expression d’Emmanuel Todd, comme vomi par le pays, les grands intérêts dont le Parti socialiste était l’instrument durent trouver une solution. Ce fut Emmanuel Macron qu’ils décidèrent d’installer à l’Élysée. Le macronisme destructeur que nous supportons depuis maintenant 7 ans est le fruit empoisonné de l’union de la gauche qui avait porté François Hollande au pouvoir. Dont il faut rappeler qu’elle disposait lors de son avènement de tous les pouvoirs de la république, présidence, Assemblée nationale, Sénat, hégémonie dans les collectivités locales.
Alors, l’union de la gauche que l’on vient de nous servir dans la vieille soupière de 1936,n’est qu’un brouet, qui serait aussi indigeste que les précédents.
Mélange d’éléphants socialistes survivants d’un troupeau étique surtout soucieux de conserver quelques gamelles, de jeunes loups installés là par les Américains, d’écologistes allumés recyclés dans le bellicisme russophobe, de faux communistes groupusculaires, et d’insoumis occupés à s’entre-déchirer, le moins que l’on puisse dire est qu’il n’est pas appétissant.
Mais il est clair, que même si par extraordinaire il remportait une victoire électorale, il ne pourra en aucun cas produire une réponse politique de rupture avec le techno-fascisme macronien.
Ne serait-ce que pour une bonne raison, celui-ci est directement le produit des «unions de la gauche» passées par le pouvoir depuis 30 ans. source : Vu du Droit (regis de castelnau)
Comme on aimerait qu'il eut tort!!
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aurevoirmonty · 1 year ago
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"L'occident a pour ADN théologico-idéologique l’iconoclasme des calvinismes anglo-hollandais du 16ème siècle, la violence politique de Cromwell, la sublimation hypocrite et cauteleuse de cette violence dans l’idéologie whig et la violence des jacobins et des sans-culottes de la révolution française : autant d’ingrédients destructeurs, volontairement et méchamment destructeurs, qui ont été recyclés au cours de ces cinq dernières décennies par le néolibéralisme détricoteur et déconstructiviste, par la camelote idéologique de la « nouvelle philosophie » d’un BHL, par l’idéologie woke et gendériste et par une interprétation déconstructiviste des droits de l’homme."
Robert Steuckers
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