#mélange de styles
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drowninginthewhispers · 2 years ago
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Kids Room Teen Paris ideas for a large Scandinavian girl's light wood floor and white-walled kids' room
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art-vortex · 1 year ago
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(via Coussin avec l'œuvre « "Art Déco Pink Flamingo Logo Neon" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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stellaworks · 5 months ago
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Une petite animation personnelle inspirée par le conte de "Peau d'Âne", réalisée en février 2024 sur Toon Boom Harmony et composité sur After Effect. Le style du décors (réalisé sur photoshop) est un mélange entre deux artistes : Gustav Klimt et Eyvind Earle. J'ai également incrusté en peinture une de mes modélisations 3D.
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maddiesbookshelves · 1 year ago
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A Natural History of Dragons, by Marie Brennan
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The memoirs of Lady Trent narrate the life and research of Isabella Trent, world-renowned naturalist now an old woman, whose wit and humor are merciless towards imbeciles. In the first tome, Isabella, first as a young girl and then a young woman, challenges class and period conventions to satisfy her scientific curiosity and accompany her husband on an expedition in search for dragons in Vystrana...
I was scared that the memoirs format was going to be boring to read, but it was actually the best way to tell the life story of a woman who has lived so many adventures, I really liked it. The good thing about memoirs is that it allowed Isabella's personality to shine, especially her humor, and to have some hindsight on what happened. The teases about future events that she reveals later in the series really make you want to read what's next
Volume 1 introduces themes and ideas that I thought were fleshed out better later in the series, and what I considered as small flaws (a lot of things were repeated so many times I started thinking "yeah, okay, I get it") are way less prominent
As for Brennan's worldbuilding, it's deceptively simple at first glance (Victorian era but make it fantasy), but actually had so many details that make it extremely rich. Everything is inspired by countries/cultures from the real world, but Brennan mixed a lot of them and I thought it was really well executed. And the further along you get in the series, the more details sprinkled in the first 3 books come together to form the final picture. When I got to the end of book 4, I wanted to scream because of how delightful and well put together the reveals were
French version under the cut
Les mémoires de lady Trent racontent la vie et les recherches d'Isabelle Trent, naturaliste mondialement connue et désormais vieille dame, dont l'esprit et le style empreints d'humour s'avèrent sans pitié pour les imbéciles. Dans le premier volume, Isabelle, petite fille puis jeune femme, brave les conventions de sa classe et de son temps pour satisfaire sa curiosité scientifique et accompagner son mari lors d'une expédition à la recherche des dragons de Vystranie...
J'avais peur que le format des mémoires soit un peu ennuyant à lire, mais en fait c'était la meilleure façon de raconter la vie d’une femme qui a vécu autant d’aventures, j’ai beaucoup apprécié. L'avantage des mémoires c'est que ça permettait au personnage d'Isabelle de nous dévoiler sa personnalité, notamment son humour, et d'avoir du recul sur certains évènements. Les références à des évènements qu'elle nous dévoile plus tard dans la série donnait vraiment envie de lire la suite
Le tome 1 introduit des thèmes et des idées que j’ai trouvées mieux développées dans les tomes suivants, et ce que je considérais comme de petits défauts (pas mal de choses sont répétées de nombreuses fois donc au bout d’un moment je me disais "oui, c’est bon, j’ai compris") sont beaucoup moins présents
En ce qui concerne le monde créé par Brennan, il paraît relativement simple au premier abord (époque victorienne mais version fantasy), mais en réalité, énormément de détails le rendent extrêmement riche. Tout est inspiré de pays/cultures du monde réel, mais mélange pas mal de trucs et j’ai trouvé que c’était très bien fait. Et au plus on avance dans la série, au plus les détails disséminés dans les ~3 premiers tomes s'emboîtent et le tableau final se précise. Quand je suis arrivée à la fin du tome 4 j'avais envie de hurler tellement les révélations étaient croustillantes et bien amenées
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mrsines · 2 months ago
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Jalousie
À la demande de @harknessshi en espérant que ça va te plaire.
29"Pouvez-vous s'il vous plaît arrêter d'être si jaloux pendant une seconde"
Agatha x Lecteur
Reader, membre du Coven d'Agatha, se tenait là, entourée par ses anciennes amies et nouvelles compagnes d'aventure. Leurs regards se croisaient dans une ambiance chargée d'électricité, alors qu'elles se préparaient à affronter la nouvelle épreuve, celle d'Alice. L'air était saturé d'excitation et d'anticipation, chaque sorcière arborant un style rock qui tranchait avec le passé traditionnel de leur magie. Reader, avec son jean similicuir noir qui brillait légèrement sous les lumières, dégageait une aura de confiance. Son t-shirt en col en V noir, ajusté à sa silhouette, ajoutait une touche de mystère, tandis que sa veste rouge flamboyante, presque comme une armure, attirait tous les regards.
Agatha, bien qu'elle se tenait parmi elles en tant que leader, ne pouvait s'empêcher de jeter des coups d'œil vers Reader. Les souvenirs de leur amitié à Salem, teintés de rires et de secrets partagés, s'entrelaçaient avec le ressentiment causé par la quête insatiable de pouvoir d'Agatha. La tension entre elles était palpable, un mélange de nostalgie et de rivalité, comme une danse délicate entre le passé et le présent. Reader, consciente de ce regard insistant, ressentait un frisson parcourir son corps , à la fois intriguée et méfiante.
Autour d'elles, Jen, Alice et Lilia, et l'adolescent pleine de fougue, semblaient prêtes à plonger dans l'inconnu. Les éclats de rire et les murmures enthousiastes résonnaient, mais pour Reader, tout cela était assourdi par le poids de son histoire avec Agatha.
Dans l'atmosphère électrique de la salle, Jen ne pouvait s'empêcher de contempler Reader, son regard captivé par sa beauté saisissante. La façon dont Reader ajustait sa veste rouge, les mouvements fluides de ses bras, la manière dont ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules, tout cela faisait battre son cœur un peu plus vite. Jen, déterminée à ne pas laisser passer sa chance, prit une profonde inspiration et s'approcha de Reader.
« Hé, tu sais que cette veste te va à merveille ? » lança Jen avec un sourire charmeur, sa voix douce mais pleine de confiance.
Reader tourna la tête, surprise, mais un sourire se dessina sur ses lèvres. « Merci, Jen. »
« Tu es absolument incroyable, » répondit Jen, s'approchant un peu plus, ses yeux pétillants d'admiration. « Je veux dire, qui d'autre pourrait porter du similicuir et du rouge avec autant de classe ? »
Agatha, observant la scène de loin, plissa les yeux, un regard noir et méfiant s'installant sur son visage. Elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une vague de jalousie en voyant Jen flirter avec Reader sous son nez.
« Jen, tu devrais peut-être te concentrer sur l'épreuve plutôt que sur… disons, des distractions, » intervint-elle d'une voix glaciale, le ton chargé de menace.
Reader, consciente de la tension qui montait, essaya de garder son calme. « Je pense que nous avons tous besoin d'un peu de distraction avant de plonger dans ce qui nous attend, tu ne pense pas Agatha ? » dit-elle, lançant un regard complice à Agatha
« Exactement ! » s'exclama Jen, ignorant délibérément le ton d'Agatha. « Et puis, je suis sûre que nous allons toutes briller. Mais je dois admettre, Reader, que c'est toi qui voles la vedette. »
Le regard d'Agatha se durcit encore plus, mais elle ne pouvait pas s'opposer à l'énergie qui émanait de Jen et Reader. La tension était palpable, une bataille silencieuse entre l'amitié, la rivalité et l'attirance.
~oOo~
Agatha était assise dans la cabine de son, le regard perdu dans le vide, la tension palpable dans l'air. Chaque fois qu'elle voyait Jen s'approcher de Reader, une vague d'irritation l'envahissait. Elle levait les yeux au ciel, sa frustration se manifestant par un léger soupir.
Reader, qui avait remarqué l'humeur d'Agatha, décida de la suivre. Elle entra dans la cabine et ferma doucement la porte derrière elle.
"Peux-tu s'il te plaît arrêter d'être si jalouse pendant une seconde ?" demanda Reader, son ton léger mais direct.
Agatha éclata de rire, un son qui trahissait une nervosité sous-jacente. "Je ne suis pas du tout jalouse," répondit-elle, feignant l'indifférence.
Reader croisa les bras, un sourire amusé sur le visage. "Ah, donc je peux passer tout mon temps avec Jen, ça ne te dérange pas ?"
Agatha leva à nouveau les yeux au ciel, silencieuse, son expression trahissant son malaise. Reader s'approcha d'elle, s'asseyant sur le bord de la chaise.
"J'aime bien te voir jalouse, mais ce n'est pas ce qui te va le mieux," ajouta-t-elle, son regard perçant cherchant à capter l'attention d'Agatha.
Agatha détourna le regard, mais un léger sourire se dessina sur ses lèvres. "Tu sais que je préfère quand tu es avec moi," murmura-t-elle finalement, la jalousie se mêlant à une affection indéniable.
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ernestinee · 7 months ago
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La petite journée en amoureux à Ostende
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Le petit dej dans les locaux de l'ancienne grote post, la vieille imprimerie, la balade sur la digue et la jetée, le luna park 🤍
Dans l'ancienne poste, il y a des personnages particuliers, on s'est demandé si ce n'était pas des figurants, volontairement vintage pour coller à l'époque du bâtiment des années 50. La vieille dame qui lit son journal en attendant au guichet d'informations est clairement là en train de faire son job (mais wtf la chaussette ?) mais pendant qu'on mangeait, plusieurs personnes avaient un style vestimentaire totalement vintage et étaient assises ça et là, aussi occupés à lire des journaux froissés. Il y avait aussi peut-être, parmi les personnes âgées, des gens qui avaient travaillé là lorsque la poste était encore d'activité. J'ai eu l'impression d'être dans deux époques en même temps.
Même sensation bizarre sur la route du retour en passant par Poperinge, qui est une ville traversée par la frontière française. Le flamand/français est partout, dans les noms de rues à moitié l'un à moitié l'autre, dans les devantures des maisons, dans les pierres utilisées, dans les panneaux... Je suis frontalière, je suis habituée aux passages de frontière, à l'esthétique et aux panneaux qui changent en quelques mètres mais là l'endroit est rempli d'un mélange, c'était étrange.
Petit bond particulier dans l'espace et dans le temps aujourd'hui.
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boite-a-idees · 8 months ago
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Suggestion de @maux--bleus Un mélange de style.
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steph-photographie · 7 months ago
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Photo originale par Steph-Photo
A la station de métro du Musée archéologique de Naples, le mélange des styles est parfois étonnant !
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selidren · 4 months ago
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
3/7
Mise devant le fait accompli, je n'ai pu qu'essayer de l'en dissuader. A t-on idée d'offrir un sarcophage à sa grand-mère centenaire sans qu'elle y imagine un message subliminal glauque ? Il n'a rien voulu entendre, il a même tenté de me convaincre grâce à un argumentaire qui fonctionnerait si on la seule personne qu'on essayait de convaincre était Constantin Le Bris en personne. Il m'a parlé d'un de ses maîtres à penser, qui a forgé sa vocation, l'illustre Auguste Mariette, a été inhumé dans une espèce de sarcophage. Il m'a même fait visiter le monument dédié à ce monsieur lorsque nous sommes passés au Caire. Le lieu ne manque pas de panache, mais je doute que cela soit approprié pour une femme comme Madame Eugénie. Dans une tentative un peu maladroite, il a même ajouté "Allons bon, je ne compte quand même pas la faire momifier". En effet, je doute que l'idée ait plu à sa grand-mère. En plus du cadeau sarcophage s'entend.
En rentrant en France, j'ai donc eu ce mélange de curiosité et d'appréhension quand à savoir la réaction de Madame Eugénie. Pour des raisons évidentes, le sarcophage a été bloqué à la douane de Marseille quelques temps, mais comme nous étions attendus au mariage d'Alexandre, nous avons du nous résoudre à le laisser là-bas et attendre que l'administration fasse son œuvre. Très personnellement, j'ai espéré que le sarcophage soit malencontreusement perdu comme le sont des centaines de lettres par les postes françaises. Malheureusement, il n'est pas aisé de perdre un colis de plus d'une tonne.
Vous voudrez sans doute savoir ce qu'en a pensé Madame Eugénie. Aussi étonnant que cela puisse paraître, elle a semblé apprécier. Elle connait depuis sa naissance le caractère particulier de Constantin et son tact légendaire, alors elle a du trouver malgré tout une forme de contentement. De toute façon, connaissant la dame, elle aurait pu détester et abhorrer le cadeau qu'elle aurait quand même insisté pour être enterrée à l'intérieur. Juste parce que c'est un cadeau de son cher petit-fils.
Transcription :
Eugénie « Et bien, merci mon petit... »
Constantin « Cela vous plaît ? Ah, je savais qu’Albertine se trompait, je vous connais bien mieux qu’elle ! Voulez vous voir l’intérieur ? J’imagine que oui, mais malheureusement la dalle en calcaire est bien trop lourde pour moi. J’ai néanmoins fait polir les encoignures et pour que cela reste sobre mais élégant, j’ai demandé à un sculpteur de Karnak de graver à l’intérieur du couvercle des étoiles comme dans les hauteurs des chambres funéraires des pyramides et dans le fond, une représentation de la déesse Mout. Bon, notre homme n’avait pas le style d’un ancien égyptien, mais il a fait un travail correct. Je lui ai également dicté quelques formules rituelles traditionnelles et j’ai traduit en hiéroglyphes votre nom comme je l’ai pu et vos titres de façon approximatives pour qu’il les grave également à l’intérieur. »
Eugénie « Mes titres ? Je ne suis ni noble ni reine. »
Constantin « Non, mais vous êtes ma grand-mère et le coeur de notre famille. Et bien plus encore. »
Eugénie « Continue Constantin... Qu’as-tu ajouté ? »
Constantin « Mère dévouée, mère aimée, honorable matriarche et protectrice de la lignée.  Je voulais également y inscrire le nom de tous vos descendants, mais je n’aurai pas su comment traduire tous ces noms français et de toute façon, nous étions attendu à Alexandrie. »
Eugénie « C’est un cadeau singulier, tout comme toi mon petit Constantin. Je suis fière d’être ta grand-mère. »
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o-link · 3 months ago
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Le Yack - Charmes de la nuit
Le style de l'artiste Le Yack est un mélange audacieux d'éléments du pop art, du street art et de la peinture classique et moderne. Il utilise sa tablette graphique pour créer des univers visuels uniques, en fusionnant diverses ressources digitales et en explorant une variété de techniques artistiques (Logiciel Photoshop et dessin sur Procreate et différentes ressources d'images libres de droit et IA).
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girafeduvexin · 8 months ago
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je rebondis sur Taylor Swift et les gens qui se moquent des paroles - je les juge pas, elle gagne assez de thune pour supporter des moqueries sur internet mais. Bon déjà en tant que fan de Goldman, Dieu sait que certaines de ses chansons, quand tu les lis sans musique.... ça sonne moins bien mais au-delà du fait qu'une chanson, c'est fait pour être chantée et que la musique accompagne les paroles, que l'interprète joue beaucoup, que quand Goldman chante "Quand la musique est bonne, bonne, bonne" c'est un peu ridicule mais c'est cool quand tu es dans une salle de concert et que tu hurles avec lui, bref, au delà de ça...
Au delà de ça, c'est assez parlant je trouve de notre façon aujourd'hui de consommer de l'art et en particulier de la littérature. La mode est aux poèmes très courts, aux citations sur une thématique (les web weaving), aux scènes giffées, aux textes vraiment percutants en deux phrases, pas plus. Et je sais pas pour vous, même si j'adore le style de Proust, Borges, Bolaño, Racine, qu'il y a des citations que j'adore d'eux, je préfère quand même le livre dans sa globalité. "Car enfin, ma Princesse, il faut nous séparer" c'est beau, évidemment, mais c'est sublime dans le contexte, parce que Titus met une éternité à avouer à Bérénice qu'il faudrait qu'ils se quittent. Et c'est encore plus beau quand tu étudies la tirade et que tu te rends compte que Titus fait tout pour paraître fort et autoritaire, insensible mais il craque en disant "ma Princesse !" Et là, ça devient extraordinaire.
Je dis pas que c'est mal, c'est la mode du moment, peut-être que ça passera mais en tout cas, le décalage entre des œuvres faites pour être prises dans leur entièreté et une lecture volontairement sélective est intéressant. C'est ce qu'on fait en littérature après tout ! En cours, en 1ère, avec mes élèves, on étudie des œuvres dans leur globalité, on parle de la structure, de ce que les personnages représentent, des thématiques et on étudie également des extraits où là on va se pencher sur des détails du texte. Pour que le cours fonctionne, il faut un mélange des deux... que ce soit équilibré.
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impossiblyholyparadise · 6 months ago
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Devenir et être une "Hotwife"... (envie d'écrire tous mes désirs de mari et de partager avec toutes et tous ce que je crois bon , vrai et juste pour cet art de vivre, ce style de vie, voire philosophie de vie...Ouvert pour en discuter avec toutes et tous)
Être une hotwife.
Être une femme, être « sa » femme » ...
Osez mesdames, osez vivez libre, être juste une femme... pas que la femme ou la mère de ...
Être une hotwife est une des meilleures pratiques pour vivre libre et s’épanouir en tant que femme, que ce soit sexuellement ou humainement.
Rendez vos maris fous de désir en leur donnant le juste mélange de plaisirs, de taquineries et d’assurance...
Non seulement prenez la liberté et la variété de choisir vos propres partenaires sexuels, voire en complicité en vous faisant aider de vos maris
Donnez-vous le bonheur et le plaisir d’avoir un mari qui brûle de désir....
Le terme hotwife pour toute femme est pour celles qui jouissent de la vie et surtout de la permission (sans notion de domination mâle dans ce terme) de jouer, de s’amuser, de taquiner, d’être complice, de vivre la complicité, d’aimer, de profiter et de jouir sans réserve de la vie qui passe tellement vite, trop vite...
Sortir, s’amuser, vivre, être libre, sourire, rire...
Voilà, selon moi, ce dont doit être composé la vie d’une femme dès ou lorsqu’elle peut...
Aussi, au travers quelques posts ici et d’une synthèse de ma vie d’homme « d’expérience » (pardonnez-moi cette coquetterie d’homme déjà âgé au regard de la société), j’essayerai de partager avec vous quelques « pratiques » simples vous permettant d’être une hotwife sans souci du regard des autres et pour le bonheue de vos maris, de vos amants et surtout le vôtre... !
 Je crois vraiment au développement de ce style de vie aujourd’hui et plus encore pour demain cherchant et allant vers l’épanouissement personnel.
Le style de vie « Hotwife » est selon moi une pratique que tout couple tout à la fois heureux, sain et rationnel devrait adopter... !
En premier, le jeu du contact visuel : rien n’éveillera et ne taquinera plus votre mari qu’un contact visuel fort avec lui et un homme charmant qui vous plait...Il n’y a pas que lui, et il le sait, sur terre... !.
Allez, jouez de l’un à l’autre souriez, vous êtes magnifique !
Le contact visuel dit : « Regardez-moi! , oui, vous, vous deux et les autres s’ils veulent, mais vous regardez-moi !»
Impossible alors pour eux d’ignorer ou de banaliser ce qui se passe.
Le contact visuel peut être doux, flash, intense ..., selon votre style et le message que vous essayez d’envoyer... Du plus sexy au plus hot et vibrant...
Par exemple, fermer les yeux pendant longtemps ou détournez ingénument le regard, puis faire un clin d’œil et sourire juste avant de détourner à nouveau le regard.
Plaisirs et désirs assurés au rendez-vous lors de n’importe quelle soirée ou situation quand vous êtes en couple...
Vivez l���instant...Un déplacement professionnel à l’hôtel, une invitation à diner, une danse, ...
Vivez l’intensité , l’émotion, le désir...libre d’être vous, libre d’être entière, passionnée, libre et libérée...Puis revenez vers l’homme de votre vie...Dites lui ce que vous avez ressenti...Partagez avec lui...Faites lui revivre vos émotions, vos ressentis...Dites- lui que vous l’aimez, que vous aimez plus que tout de vivre à ses côtés et qu’il vous laisse vivre votre vie tout en la partageant avec lui...Qu’il est l’homme le plus désirable de votre vie, l’homme aimé, l’homme aimant...Que vous vous sentez si unique et comme avec aucun autre, si belle, si libre à ses côtés.
Montrez lui l’amour qu’il sait vous donner, même quand il n’est pas là, parfois loin, mais toujours à vos côtés quoiqu’il arrive, quoiqu’il vous arrive...
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art-vortex · 1 year ago
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(via Coussinundefined avec l'œuvre « "Clash of Characters" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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jeanniebug623 · 7 months ago
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Tu peut poster un extrait de silent as shadows s'il te plait?
Bien sûr! J'espère que la traduction n'est pas trop mauvaise! Je suis désolé s'il contient beaucoup d'erreurs. 💙💙💙
(Keep scrolling for English, I hope the translation doesn't suck too bad)
Le moment de méditation de Rey'ka fut interrompu lorsque Toruk secoua la tête et qu'une main douce se posa sur son épaule. Son amie d'enfance la plus âgée sourit et salua les guerriers Omatikaya qui avaient débarqué et attendaient avec impatience qu'elle s'adresse à eux. Une partie d'elle se demandait pourquoi ils étaient si... excités? Était-ce le mot? Spider lui a tout raconté sur le précédent olo'eyktan et ses incroyables exploits sous le manteau de Toruk Makto. 
Alors que la majeure partie d'elle était encore en train de s'adapter à tant d'attention, le reste de Rey'ka se retrouva à ne pas aimer ça. Elle était tellement habituée à être négligée ou mise de côté à cause de sa 'malédiction' qu'elle n'a jamais appris ce que c'était que d'être si importante pour quelqu'un. Eh bien... il y en avait quelques-uns. Son père. Calme. Et son frère. 
Elle leva le menton un peu plus haut et suivit ses anciens amis.  Elle regarda le Samson comme s'il allait prendre vie tout seul et l'écraser dans des mâchoires métalliques. Mais elle s'est ensuite arrêtée net lorsqu'elle a vu les gens sortir de l'avion.  Encore des gens du ciel!
Pas beaucoup, mais un seul suffisait pour attirer son attention. Plus d'alliés. Finis les humains qui ont choisi le peuple. Spider lui avait raconté tellement d'histoires sur ses amis ; elle savait qu'il y en avait davantage parmi les Omatikaya. Quelques Na'vi portant des vêtements de skypeople étaient également avec eux. Rey'ka regarda les chefs de clan alors qu'ils se saluaient, puis revint vers un Na'vi grand et mince, vêtu de vêtements beiges ressemblant à des humains et orné de ce qu'elle reconnut immédiatement comme des bijoux de style Olangi. 
Rey'ka se souvint des histoires que son père lui racontait sur la dernière grande bataille des Olangi. Même s'ils n'étaient pas partis, le clan dans son ensemble a été grièvement blessé en combattant pour Eywa. Lorsqu'elle repensait à ces histoires, surtout lorsqu'elle et son père étaient restés chez les Tayrangi, Rey'ka sentit quelque chose se serrer dans son cœur à la pensée de ce qui s'était réellement passé toutes ces années auparavant. Oui, elle n'avait que 8 ans. Mais son peuple était là... les Olangi étaient là... les Tayrangi... Omatikaya... qui d'autre...?
Le grand et mince Na'vi s'approcha d'elle avec sa main descendant de son front pour la saluer. Avant que la main de l'homme ait fini son mouvement, la main de Rey'ka tendit la main et attrapa sa main. Personne ne l'a vu et l'homme s'est figé dans un mélange de surprise et de peur.
Tout le monde se fige. Qu'avait fait cet homme pour insulter le septième Toruk Makto...?
Les oreilles de Rey'ka se retirèrent et sa queue remua rapidement. Elle regarda la main de l'homme entre eux, la tournant et appuyant son pouce sur sa paume jusqu'en dessous des jointures jusqu'à ce que les doigts s'étirent sous la pression. Un...deux...trois.... 
Les yeux de Rey'ka levèrent vers ceux de l'homme; le sien est rempli d’incertitude. Ce regard perçant qui hantait Qauritch depuis des mois et des mois. Des yeux qui voyaient dans les gens, recherchant des choses qu'ils ne montraient pas à la surface. Four. Quatre doigts. Le grand et maigre Na'vi qui se tenait à côté de l'olo'eyktan de l'Omatikaya avait quatre doigts.
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Question: Can you post an extract from silent as shadows please?
Answer: Of course! I hope the translation isn't too bad! I'm sorry if it contains a lot of errors.
Rey’ka’s moment of meditation was cut short when toruk shifted his head and a gentle hand landed on her shoulder. Her oldest childhood friend was smiling and waving her hand back to the Omatikaya warriors who had landed and were eagerly waiting for her to address them. Part of her wondered why they were so...excited? Was that the word? Spider told her all about the previous olo’eyktan and his amazing feats under the mantle of Toruk Makto. 
While most of her was still adjusting to this much attention, the rest of Rey’ka found herself not liking it. She was so used to being overlooked or pushed aside due to her ‘curse’ that she never learned what it was to be this important to someone. Well...there were a few. Her father. Quiet. And...her brother. 
She lifted her chin a little higher and followed her old friends over. 
She eyed the Samson like it was going to spring to life on its own and crush her in metal jaws. But then she stopped dead in her tracks when she saw the people who exited the aircraft. 
More sky people! 
Not many but even one was enough to draw her attention. More allies. More humans who chose the People. Spider had told her so many stories of his friends; she knew there were more of them among the Omatikaya. A few Na’vi wearing sky people clothing were with them as well. Rey’ka looked to the clan leaders as they greeted each other then back to a tall, skinny Na’vi in beige human-like clothing and adorned as what she immediately recognized as Olangi-style jewelry. 
Rey’ka remembered the stories her father told her about the Olangi’s last great stand. While they were not gone, the clan as a whole was heavily wounded fighting for Eywa. When she thought back on the stories, especially when she and her father stayed with the Tayrangi, Rey’ka felt something tighten around her heart at what truly happened all those years ago. Yes, she was only 8. But her people were there...the Olangi were there...the Tayrangi...Omatikaya...who else...? 
The tall, skinny Na’vi approached her with his hand coming down from his forehead to greet her. Before the man’s hand finished its motion, Rey’ka’s hand shot forward and grabbed a hold of his hand. No one saw it and the man went rigid in some combination of surprise and fear. 
Everyone froze. What had this man done to insult the seventh Toruk Makto...? 
Rey’ka’s ears went back and her tail swished quickly. She stared at the man’s hand between them, turning it and pressing her thumb up his palm to the underside of the knuckles until the fingers stretched under the pressure. One...two...three.... 
Rey’ka’s eyes lifted to the man’s; his own wide with uncertainty. That piercing stare that had haunted Qauritch for months upon months. Eyes that saw into people, searching for the things they didn’t show on the surface. Four. Four fingers. The tall, skinny Na’vi who stood beside the olo'eyktan of the Omatikaya had four fingers. 
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mmepastel · 26 days ago
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Voilà, j’ai fini de lire ce qui est disponible en français du travail de Jan Carson, et j’ai tout fait dans le désordre car Les lanceurs de feu est son premier roman.
Il est impressionnant. Tout est déjà là, la violence inhérente à Belfast, l’acuité du regard, le style à la fois malicieux et désespéré de l’autrice, le surnaturel métaphorique, une certaine beauté dans la noirceur, et cette fameuse façon de vous mener par le bout du nez.
Deux histoires parallèles de pères inquiets pour leurs progénitures respectives, au cœur d’un été étouffant, où les incendies se multiplient et ravagent la ville.
La culpabilité est le centre du livre, tel que je l’ai reçu. La transmission aussi. Culpabilité héritée qui se perpétue, qui menace terriblement de se transmettre, précisément, comme un fardeau dû à cette guerre intestine et féroce que les habitants de Belfast se livrent depuis tant d’années. Si vous regardez une carte de la ville, vous percevrez l’aberration du conflit avec des quartiers découpés en fonction des camps religieux, les murs bâtis jadis et à moitié écroulés aujourd’hui, qui suturent ces blessures qui n’en finissent pas de suinter.
La violence passée se transmet-elle dans le sang ? Ou par la voix ? Quelle liberté reste-t-il aux enfants de parents meurtris ?
Oui, oui, ces trois questions se trouvent au cœur du roman. Une sirène, une enfant avec des ailes aussi. Et des vies bien tristes, des jeunes gens polis mais furieux, des flammes qui font peur, qui montent jusqu’au ciel, lequel reste silencieux.
Le destin du terne Jonathan, scellé par une histoire digne d’un conte vénéneux et abracadabrantesque, semble prouver que l’irrationnel l’emporte à Belfast, ville incandescente et douloureuse, mais sans doute ailleurs aussi, et les motivations profondes de nos actes sont probablement aussi timbrées que celles du Chapelier Fou.
De toutes façons, Jan Carson peut bien me raconter ce qu’elle veut, je la croirai, je la suivrai. Quand elle démarre son histoire avec son ton mutin et son œil qui voit tout, saupoudrant le récit inattendu de menaces affreuses, de paradoxes insolubles, je suis happée car elle s’adresse à la part enfantine de celui qui écoute un conte, certes macabre et sombre, mais qui, fasciné, frémit d’avoir peur, frémit d’une joie étrange d’avoir peur, puis voudrait supplier la narratrice de faire machine arrière, ému par tant de souffrances.
Ce n’est pas un livre léger. Le sujet ne l’est pas. Il y a beaucoup de noirceur. Mais le plaisir de lecture est incroyable, la surprise toujours au rendez-vous, un pied dans le réel, l’autre dans les flots qui charrient rêves et mythes subliminaux. J’admire ce mélange risqué.
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dragonbird505 · 4 months ago
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EN/AN
For more details on Mily’s elements, check out the link below:
I couldn’t resist to do a post about Orion’s little sister this time (I’ll do more of him later I promise 😂). You’ve probably seen it before since Mily is more often in her human form but it’s easy to tell she’s the stark opposite of her brother: small, chubby and a bit more muscly than him with very lousy clothes giving her more stomboyish look (like Akane from Ranma 1/2). Before, Mily used to be skinnier but I wanted her to have a softer figure to match her personality and abilities (so I decided that when she started beign more comfortable in her skin, she gained a little bit more weight, showing that she was happier and well loved): she’s very calm, introverted and clumsy but has a loud voice and she can be reckless. She also loves nature (animals especially) and literature (mostly novels/light novels, mangas and comic books) and to sing as well as combat of course. Like her brother she has her elements (fire, water, air and darkness), she can communicate with animals and has a high pain tolerance and is quite tanky in battle (she often uses this ability to protect the ones she loves, at the cost of her own well-beign) , which again fits her combat style (she fights more like an animal with fangs, claws, horns… and often mixes different species’ defense mechanisms to fight) and contrasts with her physical appearance.
Hope you guys enjoyed this little insight into Mily’s design 😊.
Note : Mily is my character.
FR/FR
Pour plus de détails sur les éléments de Mily, cliquez sur le lien ci-dessous :
Je n’ai pu résister à l’envie de publier la petite sœur d’Orion (on verra plus de lui plus tard c’est promis 😂). Vous l’avez sûrement vu auparavant vu que Mily est plus souvent sous forme humaine mais on comprend facilement qu’elle est l’opposé complet de son frère: petite, rondouillarde et un peu plus musclée que lui avec des vêtements très larges lui donnant une petite allure de garçon manqué (comme Akane/Adeline dans Ranma 1/2). Avant , Mily était plus fine mais j’ai voulu lui donner une silhouette plus douce/câline reflétant sa personnalité et ses capacités (j’ai alors décidé que quand elle commençait à être bien dans sa peau, elle a gagné un peu de poids, montrant le fait qu’elle était plus heureuse et aimée): elle est très calme, introvertie et maladroite mais a une forte voix et est un peu trop téméraire. Elle adore aussi la nature (les animaux surtout) et la littérature (en particulier les romans/light novels, les mangas et les bandes dessinées), chanter et bien sûr les combats. Comme son frère elle a ses éléments (eau, feu, air et ténèbres), elle peu communiquer avec les animaux et à une forte tolérance à la douleur et est très résistante en combat (elle exploite souvent cette capacité pour protéger ses proches, au prix de son bien-être), ce qui encore une fois reflète son style de combat (elle se bat comme un animal avec les crocs, les griffes, les cornes… et mélange souvent les mécanismes de défense de différentes espèces pour se battre) et s’oppose à son apparence.
En espérant que vous avez aimé ce petit aperçu du design de Mily 😊.
Note : Mily est mon personnage.
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