#livre vi
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je viens de découvrir l'existence de cette vidéo de DEUX HEURES sur les coulisses du tournage du livre vi et genre bah joyeux noël à moi en fait
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"Dans l'absolu, tout devrait vous concerner."
😭😭
#purée cette réplique#si lourde de sens#arthur qui réalise ENFIN tout ce qu'elle est#guenievre sa seule et véritable épouse#15 piges! 15 piges il lui a fallu pour comprendre#et choupinette qui pense que les mémoires d'arthur ne la concernent pas 😢#ces deux là.................#kaamelott#arthur x gueni��vre#pendranièvre#arthur x guenievre#pendranievre#livre vi
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je me souviens qu'y a un moment ça avait bardé par rapport à aconia dans le fandom (perso j'ai déjà dit où je me plaçais, sa relation avec arthur est hyper malsaine ((et oui idéaliser arthur/guenièvre aussi c'est con mais pas le sujet)) mais je la comprend mais elle avait tort sur toute la ligne et elle me fait chier mais elle mérite pas qu'on la déteste et c'est un excellent perso) mais pétard à un moment faut juste reconnaitre que la promesse c'est le coup le plus crasseux qu'elle aurait pu lui faire et qu'obligé elle le sait très bien.
(OUI ça excuse en rien qu'arthur s'y tienne, qu'il traite guenièvre comme de la merde ou qu'il couche avec n'importe qui mais la je parle d'elle)
c'est pas juste par rapport à l'amour, pcq elle lui dit qu'il peut coucher avec toutes les femmes qu'il veut en dehors du mariage - et elle elle promet jamais de pas coucher avec macrinus hein - c'est vraiment pcq tout leur plot c'était elle qui l'éduquait pour que rome en fasse un prête-nom et elle décide de niquer rome. Si arthur n'a pas d'enfant avec sa femme il aura jamais d'héritiers et son pouvoir politique est en danger. c'est un point qui est dit et répété plein de fois et elle c'était sa prof d'histoire, de culture et de politique. sans dec. elle se venge de rome en utilisant son cœur, c'est gros comme une maison (en vrai j'espère que quand elle balance sa robe rouge par terre elle voulait lui dire qu'elle le dégageait de son mariage avec elle pcq elle pouvait pas supporter la culpabilité de lui faire ça finalement mais que lui a pas voulu capter)
donc bref c'est un élément important qu'elle le foute dans la sauce sciemment is all i'm saying
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Arthur est resté allongé pour le père Blaise, Bohort, Merlin, Anna, Karadoc.
Guenièvre est le premier personnage pour qui il fait l'effort de s'asseoir.
Venec est le premier personnage pour qui il fait l'effort de se lever.
#je suis toujours submergée par mes émotions quand je vois cet épisode#dies irae#livre VI#random thought#kaamelott#arthur pendragon#venec#guenièvre#pendranievre
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Est-ce que quelqu’un pourrait me faire un résumé du livre VI surtout sur comment Arthur passe de simple soldat à roi de Bretagne?
C’est pour une fic
Merciiiiiiii
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Perspective
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⸻ closed starter with @mindkiler : ❛ this place is cursed. ❜
— Tá com medo, filha do medo? — Violet fez uma pausa dramática que se encerrou numa risada nervosa. — Porque eu ‘tô, acredite. — A semideusa não era uma frequentadora assídua de festas por se sentir terrivelmente mal em situações de algazarra. Seria desnecessário que ela verbalizasse o fato de que toda aquela gritaria fazia com que seu coração disparasse e que o oxigênio não parecesse suprir tão bem suas necessidades básicas de sobrevivência. Violet sabia que estava hiperventilando e que, mais cedo ou mais tarde, aquilo lhe traria problemas. — Acho que vou passar mal. — Ela não sabia se a filha de Fobos estava tão preocupada assim, mas parecia coerente que Beatrice conseguisse lidar melhor com aquele tipo de situação. — Você acha que consegue me carregar pra fora daqui? Você sabe, caso eu apague.
#╰ ⸻ ✟ filed under : INTERACTION˙#w. mindkiler#sinta-se livre pra resolver a crise da vi na base da porr*da kkkk
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I'm just once again thinking about how people from outside of Brasil will never experience the epic rises and falls of Sprinterkombi.
The original video is from @/meandyz on tiktok and it's all i've been thinking about this week
#choque de cultura#alguem curtiu o post que fiz quando vi esse vídeo pela primeira vez e me liguei que tava com tempo livre pra legendar auhsuhaushusd
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Dès sorties de décembre qui m'intéressent 📖📚
Pour ce mois, il y a pas beaucoup de sorties, mais il en y a certains qui m'intéressent vraiment beaucoup.
Dans ma petite liste, nous avons du De Saxus , du Mxm Bookmark et de l'indépendant.
Mais surtout beaucoup de suite de saga, c'est chouette non.
Nous avons du T.J. Klune avec Sous la porte qui chuchote et le tome 5 des Contes de Verania ; le tome 2 de Crescent city de Sarah J. Maas ; le troisième tome de Daevabad de S.A. Chakraborty ; le tome 5 de Élites de F.V. Estyer ; le tome 2 de roi des glaces de Haruki Takahiro ; et, Nos lettres enflammées, du fameux duo d'auteur Vi Keeland et Pénélope Ward.
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Vis-à-vis, Peter Swanson
Enfin un polar coup de cœur, auquel je pensais encore alors que j’avais refermé mon livre entre deux séances de lecture !
Hen est une illustratrice de génie, mais malheureusement psychologiquement fragile. Elle et son mari Lloyd viennent d’emménager dans un petit quartier résidentiel paisible, où ils pourront enfin se poser. Alors qu’ils font connaissance avec leurs voisins Matthew et Mira lors d’un dîner, Hen voit quelque chose qui la marque : un trophée d’escrime, dans le bureau de Matthew ; le même trophée d’escrime, elle en est persuadée, qui a servi à assassiner un jeune homme il y a quelques années. Le meurtre n’a jamais été résolu, et Hen a longtemps été obsédée par l’affaire. Se pourrait-il que son voisin soit le meurtrier ? À moins que ce ne soit un nouvel épisode psychotique ?
J’ai ADORÉ ce roman, on est trimballés d’un point de vue à un autre, on se demande qui de Hen ou de Matthew a raison : Hen a-t-elle démasqué un tueur en série ? Matthew n’est-il qu’une victime des hallucinations de sa voisine ? L’écriture est fluide, on s’attache très vite aux personnages. Peu à peu, on voit que Matthew n’a pas eu une enfance facile, entre un père violent et un frère qui semble suivre le même chemin ; et plusieurs fois, je me suis demandé qui croire. Qui ment ? On a d’abord le point de vue de Hen, puis celui de Matthew, et occasionnellement celui de sa femme Mira ; et vers le milieu du roman, on fait la connaissance de Richard, le frère de Matthew. C’est toute une galerie de personnages très intéressants et très bien construits !
Et je me suis faite avoir comme une bleue. Et j’ai adoré ! Les 50 dernières pages sont encore plus haletantes, j’avais l’impression de regarder un thriller hyper prenant ! La fin est ultra satisfaisante, et on sait enfin qui avait raison. Et qu’est-ce que c’était bien ! Ce qui est top aussi, c’est que certes ça parle de tueurs en série et tout et tout, mais avec la façon dont c’est écrit, ce n’est pas du tout glauque ou violent. C’est vraiment fluide et super agréable à lire ! Très gros coup de cœur qui me valide ma participation au @ challengegallmeister de ce mois-ci !
09/11/2022 - 13/11-2022
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Alors ma compréhension est peut être debilos mais à mes yeux, la scène montre le tournant de ces deux relations du point de vue d'Arthur.
C'est le moment où il tourne la page véritablement sur ces deux histoires.
Il a lâché Mevanwi à contre cœur, a perdu Aconia quand il venait la chercher. Mais son cœur n'a pas fait le "deuil" de ces séparations. D'où ce serment auquel il s'est raccroché coûte que coûte (parce que cela l'arrangeait et parce qu'il ne lui restait plus que ça d'Aconia).
Les deux femmes ont 2 choses en commun dans cette scène :
- le rouge : couleur de l'interdit (amour adultère / mariage invalide)
- la réplique "j'ai (trop) froid" => elles ont froid car l'amour / l'attachement d'Arthur est en train de s'en aller, disparaître.
D'ailleurs quand Arthur demande à Aconia "il fait moins froid en Macédoine ? ", elle répond "partout il fait moins froid". On pourrait penser qu'elle parle de la météo là (c'est une méditerranéenne après tout et on est en Bretagne) mais à l'autre question "avec moi, vous n'avez pas moins froid ? ", elle préfère demander "(le Graal), tu l'as retrouvé ?"
Pour moi, ici, le Graal fait référence à l'amour véritable. Celui qu'Arthur pensait avoir trouvé avec elle (et retrouver avec Mevanwi ?).
Et aussi, Aconia alerte aussi Arthur "si tu ne fais pas un feu, je m'en vais" => moi je le traduis en "si tu cesses de m'aimer, je ne serais plus qu'un souvenir".
Bon je dois extrapoler à mort avec mon côté Pendra ultra, mais je pense vraiment que cette scène est là pour nous dire qu'Arthur tourne la page sur ces deux femmes. Et que son cœur se retrouve désormais libre pour en aimer une autre (tout le monde a compris de qui je parle 👀😅).
Et c'est peut être pour ça qu'on a le droit plus tard à une des plus belles scènes Arthur x Guenievre de la série.
Le roi qui se montre patient, à l'écoute de Guenievre. Qui parle avec une voix douce, qui lui avoue des choses difficiles (le premier mariage, les raisons de son suicide). Qui admet "dans l'absolu, tout devrait vous concerner" (😭).
Arthur est enfin libéré (délivré...).
****
C'est mon interprétation et ça se trouve je suis complètement à côté de la plaque 😬
mais j'comprends rien à la scène dans dies irae où mevanwi et aconia sont à califourchon sur arturus torse poil, j'vous jure j'ai l'impression d'être débile à pas capter la métaphore
#kaamelott#discussion kaamelott#livre vi#arthur x guenièvre#arthur x guenievre#pendranievre#pendranièvre#aconia#mevanwi
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⌜ 𝐀𝐕𝐈𝐒𝐎𝐒: strangers to lovers, minhas habilidades precárias em espanhol, sexo casual e sem proteção [não pode camaradas!], dirty talk, diferença de idade, finger sucking, oral masc, elogios, manhandling, tapinhas leves, um ‘papi’, dumbification, dacryphilia. ˚ ☽ ˚.⋆ ⌝
꒰ 𝐍𝐎𝐓𝐀𝐒 𝐃𝐀 𝐀𝐔𝐓𝐎𝐑𝐀 ꒱ @dejuncullen você é a grande culpada por tudo isso, te odeiooo.
𓍢ִ໋🀦 ELE É O TIPO DE HOMEM QUE VOCÊ SÓ VAI CONHECER UMA VEZ NA VIDA ─────
você percebe isso a partir do momento em que põe os olhos na figura masculina pela primeira vez. Sentada a umas duas mesas de distância da dele, na varanda do saguão do hotel.
Simplesmente, não conseguiu deixar de repará-lo. Os fios espessos do cabelo, como as mãos correm por entre as mechas de forma desleixada, balançando pouquinho conforme o vento suave da manhã sopra. A regata branca, um casaco pendurado nas costas da cadeira livre à mesa. O nariz pontiagudo, os olhos escondidos por trás das lentes dos óculos de sol.
Com certeza, não é brasileiro. Dá pra notar só pela comida que escolheu do buffet para o prato. Fica tão intrigada, obcecada em observá-lo, que se esquece do próprio café da manhã. Os pãezinhos esfriando junto do café na xícara. Quer abrir o aplicativo de mensagens e mandar uma pra sua amiga dizendo cê não acredita no gatinho que eu vi, porém nem tem tempo. O homem ergue o queixo, a atenção desviando do aparelho em mãos para notar a sua presença, à frente em seu campo de visão.
Você abaixa o olhar na mesma hora, sente-se como se tivesse cometido um crime e tivesse sido pega no flagra. Morde o lábio, tentando conter o sorriso bobo. As palmas das mãos suam, frias de repente, então se ocupa com a xícara de porcelana. Não sabe se bebe, por vezes ameaça levar à boca, mas desiste no meio do caminho, perdidinha feito um robô em pane. E quando levanta os olhos mais uma vez, na mesma direção que tanto fitou, a mirada do homem se encontra com a tua novamente.
Parece que vai morrer, credo. Nunca sentiu tamanha vergonha na vida, o estômago até revira. Não vai mais conseguir comer, nem pensar, nem respirar, não enquanto ainda estiver na cena do crime.
Se levanta, então. Cata uns dois pãezinhos do prato, empurra um gole de café pra dentro e caminha em direção ao saguão. Pô, não está nem tão bonitinha... Já vestiu as roupas que planejou pro dia, porém não se maquiou, nem fez os cabelos do jeito que queria, porque o plano era só descer pra tomar café antes de curtir mais um dia turistando pela cidade espanhola. Agora, está fugindo feito uma criminosa, com a boca cheia de pão, para o elevador.
Mas ao pensar que o fechar das portas cinzas significaria liberdade, o seu coração tem um motivo a mais para palpitar assim que o homem se coloca para dentro do cubículo antes que te perca de vista.
Mastiga com mais pressa, escondendo o outro pãozinho entre as mãos. Ao seu lado, ele tira os óculos, está segurando o casaco e uma bolsa transversal.
Olha pra ti.
— Enzo — diz, e pela forma com que anuncia o nome, dá pra sacar que fala espanhol.
Você passa as costas da mão sobre a boca, limpando qualquer farelinho que tenha sobrado. Oi... eh, responde em português, automática, e entra em pânico de novo por breves segundos quando o cérebro não consegue pensar em uma saudação sequer na língua estrangeira. Fala o nome, logo, sem se forçar a raciocinar mais.
— ¿Eres de aquí? ¿De Madrid?
— Ahm... — gagueja. — Brasil!
Ele sorri.
— Ah, sí. Brasil... ¡Es un lugar magnífico! — e elogia. Mas o olhar aperta, procura saber: “Entiendes lo que digo, ¿no?”
— Sí, sí! — Sorri de volta, hiperventilando já.
O seu desespero é perceptível, é fofo. Ele te observa, a cabeça pendendo pro canto lentamente. Ri junto, cada vez o sorriso mais largo. Tem vontade de perguntar mais coisas, esticar a conversa, só que o seu andar chega, e você sai, retraída demais pra falar o que quer que seja.
Merda, devia ter dito algo. Fica se remoendo o dia inteiro, se achando a maior boba por ter perdido a oportunidade. Por que teve que agir como uma adolescente sonsa, hein? Aí, nem os museus têm mais graça, nenhum ponto turístico consegue tirar aquele fiozinho de arrependimento de ti. No outro dia, entretanto, desce pra tomar café no mesmo horário com a tola intenção de tentar vê-lo outra vez, e dito e feito. O homem está sentado numa poltrona do lobby, parece que estava ao seu aguardo também.
Você sente até as pernas bambearem.
— ¡Buenos días! — te saúda. — ¿Cómo se dice ‘buenos días’ en Brasil?
Você demora uns segundinhos pra raciocinar, “bom dia”, responde. Ele sorri.
— Es muy parecido — e comenta, sem jeito. Mira na direção do buffet, ¿Vamos?
Embora, às vezes, ele use termos que você desconhece e precisa pedir para explicar de novo, a conversa se dá muito bem. Descobre que é mais velho, uruguaio, e não espanhol como de imediato achou que fosse. Você conta um pouco sobre o estado da onde vem, e ele se encanta com a forma que seu sotaque pronuncia o nome dele. Enzo. Puxando o som do ‘z’ acima de tudo.
É com a companhia dele que você desbrava a cidade hoje. Vão juntos à uma pracinha, comem sorvete, depois jogam conversa fora enquanto exploram uma lojinha ali por perto. Mais à tarde, é levada até um barzinho. Lá, a conversa se estende ainda mais, regando os assuntos à cerveja que dividem. Quando você não entende nada, só ri, com as bochechas já quentes de tanto sorrir. Honestamente, pode deixá-lo falando sozinho por horas, só porque gosta do som rouco da voz masculina e dos olhos castanhos.
Não quer dizer que está apaixonada nem nada, afinal não tem como se apaixonar em tão pouco tempo. Mas, com certeza, o calor que sente emanando do próprio corpo significa algo. Pode ser por causa da camisa de botões azul escuro — essas peças nunca falham em ser atrativas, né? —, ou o anel prateado que chama a sua atenção toda vez que ele articula com as mãos no ar. Até mesmo o perfume... Ah, o perfume! Uma fragrância que enche os pulmões, amadeirada mas com um leve toque doce. Impregnando o dia inteiro, praticamente te convidando para afundar o rosto na curva do pescoço alheio.
Por fim, é levada até a porta do quarto de hotel. A desculpa dele é que queria te ajudar com as sacolas, como se você tivesse comprado Madrid inteira. E era pra terminar ali, simples. Te entrega as suas coisas, e o máximo que faz é se inclinar, devagarzinho, feito pedisse silenciosamente por permissão, e depositar um beijinho na cantinho da sua boca, a milímetros de tocar os seus lábios pintados de batom. Mas você segura na mão dele, quando o rapaz se afasta pelo corredor, não o deixa escapar.
Enzo leva o olhar da sua mão entrelaçada na dele pro seu rosto. Sorri ao te ver encolhendo-se, retraída, deitando o canto do corpo no batente da porta. O seu sorriso contido, bobo. Nessa hora, nenhuma palavra é necessária pra entender o que se quer passar. O seu corpo fala sozinho, em alto e bom tom.
Ele se aproxima novamente, a outra mão toca o canto do seu rosto. Quente, afetuoso. ¿Qué te pasa, nena? O foco dos olhos castanhos está na sua boca, a pergunta é sussurrada, sedutora. O toque dos dedos contornam o seu maxilar até se fechar no seu queixo, ¿Quieres algo más que un beso?
Você não tem certeza de que palavra usar, qual comando preferir. Na verdade, não queria nem estar pensando. O cérebro queria estar desligado para que o só o corpo pudesse aproveitar o momento. O envolve entre os braços, o rosto pode, finalmente, se esconder na curvatura do pescoço masculino, aspirar o perfume inebriante. Escuta o som da risadinha dele, sente as mãos grandes sendo depositadas na sua cintura. ¿Qué quieres? Dímelo.
Ergue o olhar, tímida. A ponta do seu nariz roça contra a dele, cria um atrito que só pela proximidade absurda, deixa tudo ainda mais tenso, erótico.
— En Brasil — você começa, mordendo o lábio —, a gente diz ‘foder.’
O sorriso de Enzo cresce, quase em câmera lenta. Foder, repete a palavra num sussurro. De novo, nem tem que pensar muito para compreender. Tudo soa similiar, e parece que a sua mente está conectada a dele por um desejo tão carnal.
Os lábios do uruguaio vão de encontro aos seus, a língua quente esbarra na tua. Os corpos ganham vida própria. Aos poucos, o cenário principal deixa de ser o corredor do hotel, pra ser o seu quarto. A porta é fechada com um empurrãozinho dos pés, enquanto o caminho escolhido é em direção a sua cama.
As mãos sobem da sua cintura para pegarem na barra da blusa e a retirarem. Quando você deita sobre o colchão, apoiando os cotovelos, é a deixa para que o homem possa puxar os seus shorts também.
— ¿Quieres ponerte de rodillas? — ele pergunta, ao desabotoar a própria blusa. O olhar afiado, banhado de vontade, delirando. Nos lábios, você nota o vermelho manchado do seu batom. — Correrme en tu boca...
Talvez seja a mente perdida na ânsia, porque não processa o que te foi dito. Fica com os olhinhos parados, a boca entreaberta puxando ar, ofegante. Tão bobinha que tudo que ele faz é rir, correndo as mãos pelos cabelos em vez de levá-las diretor para o cinto da bermuda.
— ¿Qué? ¿No lo comprendes, no? — o tom usado contigo beira o deboche, é mais agudo. E ao contrário do que normalmente sentiria, aqui sente um frio na barriga, ainda mais tesão. Ele se inclina pra perto. — Mira.
E como se estivesse aprendendo uma coisa pela primeira vez, o imita quando ele separa os lábios. Deixa que o polegar do homem arraste no seu lábio inferior, e depois o médio e o indicador juntos deslizem por cima da sua língua, até ocuparem a sua boca. Así, ele murmura, empurra e recua com a mão, num movimento lento, sensual, metértelo en la boca.
Ah, agora você entende bem. O rosto queima, o jeito molhado com que os dedos saem da sua boca, um fiozinho de saliva resistindo à distância, é devasso, estimula. Faz que sim, se ajoelhando no chão de madeira, os olhos vidrados no desafivelar do cinto até poder ter a ereção em plena vista.
Separa os lábios mais uma vez, como te foi ‘ensinado’. Te enche a boca, vai ao ponto do seu nariz tocar na virilha dele, e vem, completamente molhadinho. Permite que o uruguaio controle o compasso, que pegue no canto do seu rosto. Levanta o olhar para o dele, rendida não só pela lascividade do que faz, mas também pela bela visão que tem da face masculina por esse ângulo.
Enzo usa o indicador da mão livre para deslizar pela curva do seu nariz, afetuoso.
— Qué ojitos más bonitos... — te elogia, com um sorriso. Nesse momento, você jura, o coração parece que explode. — Eres tan bella, nena. Preciosa. — Ele suspira, a cabeça pende pra trás, depois pro canto. Te olha de um jeito tão canalha que você evita retribuir o olhar. — Me encantaría correrme en tu boca... pero prefiero guardarlo todo para dentro de ti.
É conduzida de volta pra cama, facilmente manuseada quando dá o controle da situação na palma da mão alheia. Ele vem por cima, destrava o encaixe frontal do seu sutiã, perdendo-se entre os seus seios assim que os libera do aperto da peça. Você segura nos cabelos dele, inquieta sob o chupar delicioso da língua em cada biquinho, o morder selvagem dos dentes. Arfa, tendo que apartar-se dos fios pretos enquanto a boca desce pela sua barriga.
Te liberta da última peça íntima também, os beijos molhados estalando na sua pele, do ventre ao monte de vênus. A ponta do nariz grande se esfregando de leve por cima da região onde sabe que está o seu pontinho sensível. A palma da mão corre em meio à sua umidade, o friozinho do anel prateado deslizando na sua pele fervente. Estala dois, três tapinhas seguidos que te fazem estremecer, choramingando baixinho. Enzo sorri, não precisa, mas volta àquele tom debochadinho de antes, de quem tem que soletrar com calma os comandos para que você possa compreender. Leva a mão aos seus lábios, dá um toquezinho por cima, de aquí, e depois desce tudo de novo, deixando um rastro molhado até dar outro tapinha na sua buceta, a aquí. E são esses pequenos detalhes que deixam tudo ainda melhor, nossa. Te faz sentir tão bobinha, tola, mas é tão bom...
Quando ele se põe pra dentro, você tranca as pernas ao redor da cintura masculina, o envolve entre os braços, sentindo-o dominar tudo. Ele insiste no contato visual, porém, erguendo o torso, apoiando-se no antebraço contra o colchão, para te olhar no olhos. Sorrir. Ofegante igual você. Gemendo baixo, rouco. Primeiro, lento, só que logo se rende à velocidade, ao som cortado dos seus gemidos a cada estocada mais forte. E são tantos estímulos, porra... Você quer tapar a boca, cerrar os olhos pra tentar se conter. É o barulhinho pornográfico dos corpos em choque, a voz masculina, o perfume da pele quente. Está tão sensível que os olhinhos molham, uma lagrimazinha escorrendo bochecha a baixo.
— Oh, no... Perdón, perdóname, cariño. — Ele cessa o ritmo, o polegar limpa a umidade do seu rosto.
‘En—’, até começa a querer chamar o nome dele, mas a frustração de não receber mais os mesmo estímulos e na mesma medida é tamanha que só sabe se remexer, lamuriando, a mente derretida, murmurando por fim dale, dale, papi.
Enzo volta a sorrir. Deixa alguns selares nos seus lábios, repetindo as suas palavras entre os beijinhos, como se zombasse do seu teor de desespero, do termo que usou para se referir a ele.
— ¿Más rápido, hm? Más duro? — Ele te vira sobre a cama, te ajeita de quatro. A conversa suja te faz sorrir, burra de tanto tesão já, agarrando-se a um dos travesseiros. O corpo do uruguaio se inclina por cima do seu, chega com a boca pertinho do seu ouvido. — Tranquila, nena. Te daré todo lo que quieras.
#imninahchan#enzo vogrincic x reader#enzo vogrincic fanfic#enzo vogrincic smut#enzo vogrincic#la sociedad de la nieve#the society of the snow#a sociedade da neve
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on en parle que la scène où guenièvre demande "bon, j'le vois quand ?" alors qu'elle vient de renoncer à son rêve d'épouser un blond, toute sourire et toute mimi pcq elle veut trop rendre service, est directement suivie de la scène où aconia fait promettre à arthur de jamais consommer son mariage. pour moi y a une mise en opposition délibérée de l'innocence sincère de guenièvre vs le calcul politique d'aconia. genre guenièvre se sacrifie déjà pour arthur alors que y a zéro amour entre eux alors qu'aconia - qui aime arthur et vient de l'épouser - met sciemment (et égoïstement) le bordel dans son futur de souverain.
(je dis sciemment pcq arthur lui explique qu'il doit faire un mariage politique et qu'elle en sait largement assez pour savoir qu'un mariage politique non consommé c'est suffisamment grave pour mettre le titre d'arthur en péril - chose que lui ne sait probablement pas encore. et pour moi c'est clair qu'elle fait ça pcq elle en veut à mort à rome)
(c'est même pas du aconia-bashing hein pcq je trouve que ses raisons sont compréhensibles et qu'arthur est entièrement responsable de comment il traite guenièvre par la suite, je trouve juste le parallèle intéressant)
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20 anos depois eu levei no cuzinho. (Out-2024)
By; Lizandra
Oi, me chamo Lizandra, tenho 41 anos sou casada e tenho uma linda família, dois filho.
Casamos e vivemos até hoje felizes, mas nossa vida sexual já não é a mesma, nem de longe pra falar a verdade, meu marido tem 57 anos e o pic dele já esgotou, fica muitas vezes a ver navios (se que me entende!?).
Passei a trabalhar apenas em meio período e com o tempo livre na parte da tarde eu acabei me aventurando em conhecer pessoas, de preferência de outros estado e conversar sobre sexo e gozar.
Conversando com um cara começou a me dar uma vontade enorme de dar o cuzinho, depois de muito gozar conversando com ele essa passou a ser a minha meta, mas meu marido meteu no meu cuzinho pela ultima vez a uns 20 anos atrás e depois disso nunca mais...
Conheci através de um comentário em uma foto minha um rapaz de uns 22 anos e daqui do estado mesmo, trocamos whats e conversamos por dias, sempre sobre sexo, com vídeo chamada e ele gozando pra mim.
Numas das nossas conversas perguntei se ele não tinha desejo de me conhecer pessoalmente e se quisesse poderíamos marcar num lugar movimentado e batemos um papo pessoalmente e se conhecendo melhor ainda, ele topou, marcamos o dia e hora no shopping que daria acesso fácil para os dois e ao chegar ao local e ao vê-lo de longe me aproximei, me apresentei ao apertamos a mão sentir que ele estava com a mão suada e tenso, eu ri e disse que era apenas um encontro formal que não tinha porque ele ficar nervoso daquele jeito e que eu não iria fazer nada que ele não quisesse.
Paramos na praça de alimentação, pegamos um lanche e conversamos muito e não demorou ele mesmo entrou no assunto de ter uma relação com uma mulher mais velha, então me aprofundei na conversa relatei meu passado e que podia acontecer no presente e no final da conversar eu com liberdade perguntei se ele estava afim de ir para um motel comigo.
Ele topou e fomos, ao chegarmos ao motel, ele tímido sem jeito eu já segurei pelos braços puxando e comecei a beija-lo, ele não demorou me respondeu se entregando fui tirando a roupa dele devagar e logo a minha e ao ver aquele jovem de 22 anos, branco, 1,68 altura, corpo definido, bonito e ao ver que já estava de pau duro, que não era pequeno, o abracei sentido o seu calor e sentia sua rola encostar na minha coxas e ficando também excitada, ele começou a brincar com a minha buceta, alisando, metendo seus dedo e depois fomos para hidro.
Começamos a nos cariciar, se beijando o tempo todo e um dando banho no outro e extremamente excitados saímos do banho e fomos pra cama e ao deita-lo comecei a beijar descendo pelo seu pescoço o mordendo devagar e descendo pelo seu lindo corpo cheguei ate seu pau que estava super duro de tanto tesão, comecei a saboreá-lo com muito gosto, ele se contorcia, gemia o tempo todo de tesão e eu não me aguentava mais de tanta vontade de sentir ele dentro de mim, mais precisava dar primeiro um bom trato e não demorou ele pediu pra deixar meter na minha buceta. Antes eu pedi que ele chupasse minha buceta, que adoro, ele concordou me posicionei com minha bunda pro alto ele metendo aquela língua quente eu gemia e rebolava na boca dele de tanto tesão que ele me proporcionava já que não aguentava mais era eu e pedi que ele me comesse bem gostoso naquela posição mesmo.
Ele se levantou se ajeitou atrás de mim e ao sentir sua mão segurando a minha cintura eu viajei de tesão, ele encostou sua rola na entrada da minha buceta e meteu, que delicia, um pau novinho e duro me comendo, eu rebolava, pedia mais forte, levei tapas na bunda que deixaram marcas (eu sempre adorei ficar de bunda vermelha)
Mas eu não queria so na buceta, estava com tanto tesão que queria levar rolada no cuzinho, eu pedi a ele pra comer meu cuzinho, eu vi a alegria no seu rosto.
Ele tirou seu pau da minha buceta, lambeu e cuspiu no meu cú, quando ele encostou a cabeça da sua rola no meu buraquinho eu me estremeci todo e ao começar empurrar logo veio aquela dor.
Já eram mais de 20 anos sem levar uma rola no rabo e estava lacrado e apertado, relaxei, ele foi empurrando e a dor aumentando ate que a cabeça dele passou, dei um gritinho normal, ele parou, respirei fundo, ficamos ali parado por uns segundos e logo eu comecei a rebolar bem devagar, ele começou a empurrar e sentia meu buraco engolir aquilo tudo cm por cm bem devagar bem gostoso, ele gemia e elogiava que estava gostoso demais e logo que botou tudo sentir seus ovos encostar na minha bunda como sinal que estava tudo enterrado em mim. Ele começou a socar meu cu e eu rebolava o tempo todo, ficamos um bom tempo e sentia quando ele ia gozar ele parava pois não queria gozar logo, assim ficamos um bom tempo fodendo gostoso e trocamos algumas posições eu meu cuzinho já tinha cedido a espessura e tamanho do pau dele, eu não sentia mais dores, somente prazer e muito tesão de estar sentido um homem gostoso dentro de mim depois e longos anos de jejum.
Não conseguiu mais aguentar, sentia que ele gozava dentro de mim, pude sentir os jatos de porras que ele depositava no fundo do meu buraco que foi uma delicia, muito leite.
Ele deitou em cima de mim esperando amolecer pra tirar e saindo, e quando me levantei sua porra escorreu pelas minhas pernas de tanto leite que ele tinha armazenado dentro de mim, ele deitou do meu lado e nos beijamos ardentemente e ele me contava que foi maravilhoso e delicioso e que nunca esquecera daquele dia.
Tomamos um banho comemos e bebemos alguma coisa e ainda rolou mais umas vezes, depois saímos do motel e voltamos ao shopping, e depois vim pra casa ainda de cuzinho piscando e ardendo.
Enviado ao Te Contos por Lizandra
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Olá Mah! Como vai? Faz um smut do San (Ateez) ?? Adoro sua escrita, por favor nunca morra 💋
⎯⎯⎯⎯ 𝐆𝐀𝐌𝐄𝐑 𝐁𝐎𝐘
(bf!San x Leitora)
⢷⠀Gênero: Smut, pwp.
⢷⠀Avisos: MDNI, breve menção a masturbação (San é quem recebe), sexo explícito, palavras de baixo calão, leitora é chamada de "gatinha", "boneca" e semelhantes.
⢷⠀Notas: Oiê amore! Estou muito bem, e você? Espero que esteja bem também. Chegou a vez do Sanzinho dar continuidade a categoria Ateez aqui no perfil! (você não imagina o quanto eu ri lendo o "nunca morra por favor" kakakak, prometo me manter vivíssima!) Boa leitura, espero que goste <3
O enorme vazio que você sentiu ao lado aposto da cama a fez acordar do agradável sono que usufruía nessa tarde chuvosa. A falta dos braços acolhedores de seu namorado a abraçando durante a soneca preguiçosa foi a causa do seu despertar.
Você estava se sentindo mole, não queria sair da grande e macia cama, mas também sabe que não conseguiria voltar a dormir de forma alguma, não sem o seu amado consigo. Para você, não existe aconchego maior do que descansar junto de San, ficar com os corpos emaranhados um no outro, trocando leves carícias até que o sono os sucumba. Isso já era um costume.
Ainda um tanto sonolenta, sua atenção é tomada por baixos cochichos e sons repetitivos de tecla. Ao se virar para o lado oposto, encontra a imagem do seu namorado de costas para onde você estava. Sentado em frente ao seu computador, com o headset descansando sobre o pescoço, San estava parecendo extremamente concentrado na tela de seu monitor para notar que você já havia despertado. Você julgou que ele só poderia estar fazendo a única coisa a qual ele frequentemente faz quando está entediado; jogando.
Se locomovendo arrastadamente até seu namorado, você pousa seu queixo sobre o ombro do maior na tentativa de finalmente chamar a atenção dele. O mesmo acaba se assustando pelo ato repentino mas logo sorri quando nota você.
— Não vi que você já estava acordada, gatinha. — San diz baixinho, para que só você possa o escutar.
— Você me deixou abandonada lá na cama, não consegui voltar a dormir. — Você reclama dramaticamente, fazendo San rir pelo exagero.
— Eu 'tô literalmente do outro lado do quarto, boneca. Vamos, venha cá. — Ele a chama, batendo com a palma levemente em uma das coxas cobertas pela calça de moletom de cor acinzentada.
Sem enrolação, você circunda a cadeira estofada onde San se mantém acomodado e logo senta-se confortavelmente sobre ele. Você fica com as suas pernas um tanto espremidas uma a outra pelo frio causado pelo ar gélido do quarto, uma de suas mãos acariciando levemente o rosto de San enquanto o mesmo deposita beijos suaves sobre ela enquanto sua cabeça está recostada sobre o peitoral de seu namorado. Choi não se contém em lhe roubar um breve beijo quando nota seus olhinhos inchados de tanto dormir o vislumbrando.
— Olá meninos! — Você diz rente ao microfone acoplado no fone de ouvido do rapaz. San sempre joga com os mesmos amigos, e como você já os conhece, sempre que pode os cumprimenta.
— Eles estão te dizendo oi de volta, só não entendi porque o Wooyoung 'tá tentando bancar o engraçadinho. Ela não 'tá te ouvindo não, palhaço. — Você ri, ouvindo ruídos incompreensíveis vindo do fone de San que logo os manda calar a boca.
O tempo estava parecendo passar lentamente, tanto que quase cochilou sobre o colo de San. Esse que com uma das mãos livre estava acariciando suas coxas expostas, lhe resultando em ainda mais sono. Você ama como os carinhos de San por seu corpo te deixam tão aconchegada, incrivelmente relaxada.
— Porra! — Você ouve San esbravejar novamente. Pelo o que parece, ele não estava indo muito bem no jogo. — Seu filho da puta! — Ele diz com um pouco mais de raiva. Você vê a mandíbula do homem se apertar, uma veia proeminente surgir em sua testa e a voz baixa se tornar mais grave a cada xingamento. Deus, por que ele está tão sexy?
— O que foi? Esse joguinho mal está deixando meu gatinho impaciente? — Você o provoca enquanto sorrateiramente mergulha sua mão para baixo da larga camiseta preta do rapaz, ele reclama num murmúrio com o toque gelado de sua mão contra a pele quente dele. — Precisa da minha ajuda para se manter calminho? — Seus dedos agora brincam com o cós da calça do maior, deixando claro suas intenções.
Choi apenas sorri travesso a você e volta sua atenção ao maldito monitor. Ele não negou sua oferta então você decide dar continuidade ao seu ato. Vagarosamente e sem delongas, sua mão adentra a calça de tecido leve te deixando surpresa ao notar que ele estava sem cueca. Com facilidade, você alcança o membro do mesmo que, em resposta, morde o lábio inferior pelo contato.
— Docinho, espera só mais um pouco, a partida está quase terminando. — Ele sussurra, tentando controlar as palavras para que os meninos não o escutem.
Você ignora o pedido do seu namorado e continua com seus toques, o sentindo-o despertar em sua mão. Seus dedos brincam com cada pedacinho daquela região de San, o fazendo se desconcentrar do que está fazendo no jogo.
Você beija com carinho e provocação o canto da boca de Choi, combinando-se com os toques nada apressados em seu pau, seu polegar rodeia com precisão a ponta já meladinha, fazendo San suspirar pesado, o peito dele subindo e descendo, tentando manter regular a respiração. Vê-lo lutar contra a própria excitação faz você já começar a sentir sua calcinha ficando molhada.
"Porra, San! O que você 'tá fazendo cara?" Você escuta saindo ruídosamente do fone de San, mas o mesmo já está mais do que rendido a sua punheta para se quer prestar atenção.
— Sannie está um pouquinho ocupado agora, meninos. — Você diz pertinho do microfone, sem desviar a atenção de seu namorado.
— Vocês se viram sem mim galera. Fui. — Ele desliga apressadamente ambos os aparelhos, logo a tomando nos braços e a levando até a cama.
Ao te colocar sobre a cama, San se põe acima do seu corpo e começa a beijar sua boca afoitamente. Ainda sem paciência, ele retira toda e qualquer peça de roupa que você estava usando, as jogando em algum canto do quarto e logo fazendo o mesmo consigo. Com agora ambos totalmente nús, Choi começa a beijar, sugar e lamber fervorosamente seu pescoço, descendo os firmes dedos até sua intimidade onde começa a tocá-la.
— Mal comecei a brincar e você já 'tá toda molhada... 'tá tão carente assim, lindinha? — San desce beijos pela região dos seus seios e começa a chupar um dos mamilos com vontade.
Seu corpo responde, torcendo-se sobre os lençóis, se deleitando da boca e dos toques de San em sua região quente. Sem demora, o maior se acomoda melhor entre suas pernas e se encaixa em sua entrada, sentindo-se aliviado por finalmente mergulhar em seu interior macio.
Ele começa lento e calmo, sorvendo seus gemidos e o som úmido de suas intimidades colidindo. Ao conseguir designar um ritmo mais acelerado de estocadas, Choi segura com a destra ambos seus pulsos acima de sua cabeça enquanto aperta suas bochechas com a canhota. Os movimentos eram inebriantes, a forma como a virilha de San roçava em seu clitóris te levava ao céu.
— Sannie... — Você o chama com a voz falha.
— Você gosta assim, não é? Gosta da forma como eu cuido dessa bucetinha gostosa. — Ele desce a mão que estava em seu rosto para agarrar um de seus seios. San beija sua boca de forma desleixada, gananciosamente pegando todos seus gemidos para si.
Seus choramingos soando mais altos e necessitados a cada penetrada mais robusta que San investe em sua buceta. A forma irregular como ele chama seu nome a faz sentir aqueles nós familiares no estômago.
Não demora muito para seu corpo esquentar de um jeito absurdo, você continua choramingando palavras desconexas enquanto se perde em meio ao prazer delirante do orgasmo. Seus olhos reviram, enxergando estrelas por trás das pálpebras enquanto espasmos tomam seu corpo. Segurando seu quadril com força limitada, San despeja o seu líquido vigoroso no interior de suas coxas, jorrando corda por corda de esperma, extraindo até a última gota.
Choi descansa o próprio peso sobre você, deitando-se sobre seu peito e a abraçando em seguida. Alguns minutos se passam e vocês continuam na mesma confortável posição, sentindo-se até sonolentos, mas toda essa tranquilidade é interrompida quando o celular de San começa a tocar sobre a cômoda.
Um grito estridente ecoa do aparelho fazendo San afastar o mesmo do ouvido.
"Graças a você nós perdemos a partida 'pra um bando de moleques pamonhas que vão zoar com a nossa cara até não conseguirem mais. 'Tá feliz, San? 'TÁ FELIZ?"
E com isso a chamada é encerrada. San a olha confuso, com os olhos arregalados enquanto você caí na gargalhada pelo o que acabará de ouvir.
ㅤㅤㅤ
Lembrando que a ask continua aberta! E se você gostou, dá uma forcinha aí! Uma curtida, um reblog ou um comentário são mais do que suficientes para eu saber que você se agradou com meu conteúdo :)
Até a próxima, bjsss <3
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Eternamente Minha
Oioii estrelinhas, a quanto tempo!! Bem vindes a mais um imagine!
Essa com certeza foi a one shot mais longa que já escrevi, 3k de palavras, da pra acreditar??
Quero fazer um agradecimento muito mais que especial para as divas @daylighthts e @caahdelevingne que foram as duas mentes de titânio que me inspiraram a escrever essa one maravilhosa. Amo vcs, muito obrigadaaaa ❤️❤️
Avisos: Enzo!Vampiro, sexo sem proteção (já sabe né??), age gap, spit kink, nipple play, oral sex (fem. receiving), acho que um pouco de dark romance e angst se encaixam aqui também!
Vocabulário: Cisplatina: Antiga capitania brasileira que hoje em dia é o país Uruguai.
♡
Mudar de cidade pode significar muitas coisas, se abrir para algo novo, iniciar uma nova fase, deixar o que passou para trás, para Hanna foi tudo isso e mais um pouco. Sair de sua cidade natal por mais que tenha doído como mil facadas foi ao mesmo tempo um despertar para novas manhãs com mais brilho e liberdade.
Não estava em seus planos sair do seio familiar assim que estreou seus dezoito anos, mas como tudo na vida pode virar de cabeça para baixo, e a famosa Lei de Murphy parece nunca falhar para a jovem, se viu expulsa de casa após revelar sua sexualidade aos seus genitores, como se a bissexualidade fosse um bicho de sete cabeças que destruiria a honra da família.
Hanna decidiu deixar para sempre o passado, saiu da pequena cidade de interior, saiu da Paraíba, saiu do Nordeste, saiu do Brasil. Carregou consigo apenas uma mala com suas coisas e a alegria que costumava irradiar em seus tempos de infância, uma criança conhecendo o mundo pela princesa vez, sem traumas, sem remorso, mas também sem perdão. Montevidéu nunca foi sua primeira opção, mas com certeza a mais rápida e barata para sair de seus demônios do passado.
Depois de meses morando em albergues e procurando por emprego, conquistou sua segurança financeira e alugou um apartamento, pouco a pouco sendo transformado em seu mundo, da cor da parede até a colcha de cama. Voltou a estudar, passou no vestibular, foi promovida em seu emprego e pode finalmente dizer que estava livre.
Mas havia algo que desde o dia em que havia se mudado a incomodava, seu vizinho.
Ao lado do prédio em que morava, havia um casarão que com certeza havia sido construído no século passado, não lhe transmitia medo, mas emanava um silêncio descomunal. Durante todo o dia, portas e janelas sempre fechadas, durante a noite, apenas uma janela aberta, um quarto iluminado apenas por uma fraca luz amarelada, coincidentemente sendo a janela frente a frente com a janela do quarto da garota. Hanna podia jurar que ja chegara a ouvir a melodia de um violino tocar durante a madrugada, calmo e sereno, tocando musicas que pareciam ser apenas para ela.
Seu espírito curioso e explorador não a iria deixar apenas ao suspense do casarão, por isso, a brasileira buscou sua vizinha mais querida e também a primeira moradora do prédio, a Sra. Gonzalez, puxando o assunto do lugar sombrio com a idosa em uma das diversas tardes de chá que elas tinham.
"Esse casarão aí?" A idosa ri "É da família Vogrincic, uma das mais ricas do país, eles são ricos desde os tempos da Cisplatina*, esse casarão já foi residência deles por séculos, mas agora eles o largaram as traças depois que um dos filhos do Conde morreu, lá pelos anos cinquenta" A grisalha então faz uma pequena pausa dramática e se aproxima da jovem sussurrando "Dizem que ele é mal assombrado, e que o coitado do filho do Conde nunca morreu e na verdade virou um vampiro, que anda pela cidade como uma pessoa normal de manhã, e de noite procura sua próxima vitima que vai ceder seu sangue".
Um arrepio percorre na espinha de Hanna, que ri de nervoso com a revelação da senhora e bebe uma boa quantidade de chá, tentando aliviar a tensão que sentia.
"É brincadeira, bobinha, o herdeiro dos Vogrincic realmente mora lá mas ele é muito reservado, nunca vi a cara daquele sujeitinho, mas nunca se sabe né?"
Por mais que acreditasse fielmente que tudo aquilo era apenas uma historinha boba da Sra. Gonzalez, afinal, ela nunca teve medo de histórias de terror, a jovem passou a prestar mais atenção na mansão solitária, e com isso passou a perceber coisas novas.
A janela que sempre se abria à noite agora estava aberta em pleno meio dia, não conseguia ver o tal Vogrincic em momento algum, mas podia ver um pouco do que se havia no cômodo.
Um piso de azulejos centenários, uma cama que exibia um belo enxoval completamente preto, o violino que tanto ouvia preso na parede como um item de decoração.
Hanna imaginava que o Vogrincic poderia ser um herdeiro idoso milionário sem descendentes e destinado a viver os últimos anos de sua vida sozinho no casarão. Mesmo pensando que poderia estar totalmente enganada, seu coração bondoso e espírito comunicativo a levou a agir impulsivamente.
Preparou então uma torta de maracujá com brigadeiro, especialidade de sua vó, a única familiar que a brasileira sentia falta, a única com qual ela guardava apenas boas lembranças, tirando o fato da sua morte, é claro.
Decidiu que levaria a sobremesa para o homem solitário como forma de apresentação, atitude de boa vizinhança, assim como a Sra. Gonzalez fez com a mesma meses atrás. Poderia ser rejeitada, ignorada, ou nem mesmo ser atendida, mas precisava arriscar pois necessitava mais do que tudo descobrir quem era o homem.
Usando seu vestido preferido, um par de tênis brancos e uma tiara de florzinhas na cabeça, Hanna vai até o casarão, as mãos tremem enquanto segura a travessa com a sobremesa e o coração bate aceleradamente em um ritmo anormal.
Quando ela se aproxima do casarão, a jovem passa a perceber os detalhes que nunca havia visto, por mais que a residência parecesse velha e abandonada de longe, de perto se apresentava bem mais polida e arrumada, pequenos canteiros de flores perfeitamente podados guiavam o caminho até o grande portão de madeira maciça, com detalhes talhados adornando o brasão da família Vogrincic, também talhado na madeira.
Um pouco surpresa, percebe que havia uma campainha ao lado do portão, que ela logo aperta, sem excitação.
Um minuto, dois, três minutos, Hanna até cogita tocar a campainha mais uma vez quando repentinamente o portão se abre, revelando a imagem de um homem extremamente belo. Não aparentava ter mais de trinta anos, cabelos negros um pouco longos jogados para trás dando destaque para seu rosto de traços marcantes, nariz alongado, sobrancelhas grossas, boca perfeitamente delineada, a garota pisca incontáveis vezes em poucos segundos apenas processando a imagem divina que se materializou em sua frente.
"Bom dia, no que posso ajudar?" Pergunta o homem, com uma voz que certamente poderia desestabilizar qualquer um.
Hanna gagueja, se esforçando ao máximo para recuperar sua sanidade e agir normalmente.
"Bom dia, eu me chamo Hanna, sou nova na vizinhança, gostaria de falar com o senhor Vogrincic, por favor"
O rapaz sorri de lado, coçando a nuca "bem... eu sou o senhor Vogrincic, o que deseja"
Abençoados sejam os músculos da brasileira que não permitiram que a mesma derrubasse a travessa da sobremesa de tão surpresa que ela ficou ao ouvir tais palavras. Nunca em hipótese alguma conseguiria imaginar que o tal herdeiro solitário fosse um homem tão jovem e tão... Ridiculamente lindo.
"Ah, é que eu cheguei aqui na vizinhança tem alguns meses e eu não sabia que você morava aqui, então eu pensei em trazer essa torta como uma forma de me apresentar como sua nova vizinha"
A jovem libera de uma vez tudo o que queria dizer e estendo a travessa para o homem, que hesita um pouco antes de a tomar de suas mãos.
"Obrigado, tenha um bom dia, senhorita" Subitamente a porta se fecha, deixando Hanna parada em choque por alguns minutos, muita coisa aconteceu em pouco tempo para que fosse devidamente processado em sua mente.
Sem conseguir fazer mais nada pelo resto do dia, a garota se deita em sua cama mais cedo do que o habitual, mas nem dormir foi capaz ja que todos os seus pensamentos se voltavam ao homem, sua beleza estonteante e o mistério envolto de sua existência.
Meia noite e meia em ponto, e a melodia do violino ecoa da janela do casarão, o som saia baixo, como se fosse tocado para que apenas ela pudesse ouvir, tocando o fundo de seu corpo e sua alma, fazendo seu sangue congelar.
O dia seguinte foi ainda pior em seus pensamentos, acordou com uma carta sobre sua escrivaninha, desconhecendo completamente a sua origem. A folha de papel amarelada era selada com um carimbo de cera nos tons de vermelho e... Com o brasão da família Vogrincic marcada sobre ele.
Com as mãos tremulas e o coração palpitando, Hanna abre a carta que continha apenas uma frase.
"A torta estava deliciosa, obrigado.
E. Vogrincic.”
Não podia ser, como aquela carta havia parado ali? Sorte da jovem por estar de ferias do trabalho e da faculdade, pois ela não tinha ideia de como sobreviveria em seus afazeres quando seu apartamento foi possivelmente invadido.
Sem se importar muito com as vestes que usava, caminhou a passos largos até seu vizinho, tocando sua campainha freneticamente a medida que sentia seu coração se aproximar de sua boca, mas dessa vez, sem repostas, nem sinal de vida do bonitão sinistrão.
Voltou pra casa derrotada, preparou um café e tentou relaxar, colocando em sua mente que tudo não passava de uma simples loucura de sua cabeça e que logo logo iria acordar tranquila de seu pesadelo. Caminhou até seu quarto com a caneca em mãos, sentou na cadeira de sua escrivaninha e logo sentiu seus músculos enfraquecerem, deixando a caneca com o líquido quente cair e se dividir em diversos pedaços pelo chão.
Era outra carta, idêntica a anterior, deixada exatamente no mesmo lugar.
"Sei que está assustada, não se preocupe, venha em minha casa hoje as 20hrs e te explicarei tudo.
E. Vogrincic"
Passadas horas e horas agonizantes e torturantes finalmente o momento chega, não sabendo o que a esperava na casa ao lado, Hanna pôs seu vestido preto de alças finas que descia até a metade de suas coxas, um par de sandálias da mesma cor e arrumou seus cabelos em um meio rabo de cavalo.
Poucos segundos após o tocar da campainha, o Vogrincic abre o portão de madeira trajando as roupas mais elegantes e incrivelmente pretas que a jovem ja viu, diferentemente dela, o homem estava calmo e com um sorriso terno em seu rosto.
(hora de dar play nessa perfeição aqui!!)
"Seja bem vinda a residência dos Vogrincic, senhorita" Ele abre passagem e a garota entra, se deparando com uma sala de entrada altamente luxuosa, detalhes dourados do chão ao teto que com certeza são de ouro maciço, castiçais e lustres iluminado cada lugar da casa que sempre se mostrou tão sombria.
Não sabia o que esperar daquela noite, dando conta de que poderia muito bem ser sequestrada e morta a qualquer momento, xingando mentalmente por ter aceitado entrar no mausoléu do estranho que conheceu no dia anterior e que supostamente invadiu sua casa duas vezes.
Caminharam pela propriedade até chegarem a sala de jantares, totalmente iluminada por castiçais de velas espalhados por toda a mesa, diversas opções de pratos salgados e doces incluindo a sobremesa feita pela própria Hanna, porém em uma travessa prateada e sendo o único prato que ja estava comido pela metade, pelo visto ele havia realmente gostado.
"Peço perdão por ter sido tão evasivo e não ter sequer me apresentado devidamente, sou Enzo Vogrincic, senhorita, mas pode me chamar apenas de Enzo, é um prazer em te conhecer"
Enzo estende sua mão e Hanna a aperta em cumprimento, sentindo o toque extremamente gélido da pele dele contra a sua.
Depois das apresentações feitas, o homem puxa a cadeira para que a jovem se sentasse, se sentando em frente a ela logo após.
"Como forma de retribuir sua sobremesa maravilhosa, decidi te proporcionar esse jantar, espero que seja do seu agrado"
Estranho como o homem parecia estar... preso no século passado, ou seria apenas polidez ao extremo?
"Você fez tudo isso?" Hanna pergunta
"Em partes, sim"
"Então recebeu ajuda? Possui empregadas então? Nunca vi ninguém nessa casa"
"São muitas perguntas, vamos com calma"
"Quem é você, Enzo Vogrincic, ou melhor, o que você é?"
Enzo respira fundo.
"Um vampiro, satisfeita? Venho notando sua curiosidade ao extremo por minha propriedade e por minha pessoa, coisa que ja havia tomado todos os cuidados para que ninguém fizesse, mas você, garota, desde o dia que se mudou para aquele apartamento que sinto que não tenho mais paz, sinto seus olhares mesmo quando não pode me ver, sabia que cedo ou tarde chegaríamos a esse ponto"
Hanna entra em choque, de todas as possibilidades que passavam por sua mente nunca imaginaria que seu vizinho fosse ser um vampiro.
"E o que vai fazer então? Me matar e beber meu sangue?"
Enzo ri, gelando o sangue de Hanna mais uma vez quando expõe seus dentes caninos extremamente afiados. Puta que pariu.
"Nunca te mataria, seria um desperdício para o mundo perder uma mulher tão linda, mas beber seu sangue não seria uma má ideia"
Isso foi um flerte? Jesus Cristo a jovem havia acabado de receber uma cantada de um vampiro!
"Você não está ajudando, Sr. Vogrincic"
"Te ajudaria se eu dissesse a verdade?"
"Com toda certeza"
"Então tá, te conto a verdade. Tudo que aquela sua vizinha te contou sobre mim e minha família é verdade, exceto a parte que eu procuro vitimas pra tomar o sangue delas, isso foi hilário" Ele bebe um gole do seu vinho, uma taça que magicamente havia surgido em sua mão "Minha família morou aqui por muitos anos, mas depois que eu "morri" de um mal súbito, nos anos cinquenta, deixaram a propriedade abandonada, mas eu não morri, fui atacado por vampiros que me transformaram em um deles, e fiquei aqui, sozinho, até que não é tão ruim, admito, me acostumei com minha vida e sei muito bem como me disfarçar por entre as pessoas por todos esses longos anos, mas o sentimento de solidão vem me atingindo mais que o normal, e foi desde sua chegada, Hanna, desde quando te vi pela primeira vez da janela de meu quarto venho sendo perturbado por você, venho desejando que me conheça e que me faça companhia, toco violino apenas para você, apareço apenas para você, e sinto muito por ter usado de meus poderes para entrar em seu quarto mas quando tocou minha campainha pela primeira vez não soube como reagir e tive que usar disso para que me buscasse novamente, eu quero você Hanna, quero que seja minha"
As palavras do vampiro tiram de Hanna todo o ar existente em seus pulmões, e por mais que ela tente, é incapaz de esboçar qualquer reação verbal.
"Não precisa dizer nada, se quiser sair as portas estarão abertas, pode ir e prometo que lhe deixarei em paz por toda minha eternidade"
Mais uma vez, o silêncio.
Hanna não sabia como explicar que uma onda de desejo pelo homem havia a atingido depois daquelas palavras, como um fogo subia de seus pés a cabeça.
"Acho que ja sei sua resposta"
Sorrindo de lado, num piscar de olhos Vogincic surge por trás da jovem, pondo seus cabelos de lado expondo a lateral de seu pescoço, ele cheira a pele e a beija com seus lábios gélidos, causando arrepios na mais nova.
"Me diz que me quer também, nena"
"Eu... Eu quero você Enzo"
Como um salto, Hanna sente suas costas colidirem com um colchão macio, percebendo que acabara de ser teletransportada magicamente para o quarto de Enzo.
"Enzo, mas que porra..."
"Shhh... Quietinha, vai ser a única vez que usei meus poderes, prometo"
O indicador do homem tocava os lábios dela, rapidamente substituídos pelos lábios dele, sem pressa, apenas desejos sendo aliviados.
O corpo do vampiro se deita completamente sobre o de Hanna, a prendendo entre ele e a cama, as mãos livres da jovem vão de encontro a camisa dele, sendo retirada de seu corpo expondo o abdômen dele que vai perdendo sua palidez a medida que vai recebendo arranhões da mulher.
Após beijos que se tornavam gradativamente mais ferozes, Enzo passa a descer seus beijos para o pescoço da brasileira, trilhando por sobre os ombros até chegar nas alças do vestido, que são retirados delicadamente por ele, ate que ela fique apenas com sua calcinha de renda.
"Sem sutiã, gatinha? Por essa eu não esperava"
Sem hesitar, Vogrincic passa a estimular os seios dela, utilizando de suas mãos e boca para a proporcionar um prazer humanamente impossível. Hanna sentia sua calcinha encharcar a medida que os estímulos passaram a ser mais intensos, Enzo sabia o que fazia, e fazia muito bem.
Sem aguentar mais, o vampiro continua sua trilha de beijos até a virilha da moça, e sem pedir autorização rasga a calcinha da mesma, arrancando dela um gritinho de surpresa. Vogrincic observa o quão molhada Hanna estava, sinal de que qualquer toque deixado ali seria motivo de seu delírio.
"Enzo... Por favor...”
Foram as primeiras palavras proferidas pela garota após longos minutos apenas de gemidos, tudo soando como musica para os ouvidos de Enzo, que não tarda em começar a chupar aquela buceta tão necessitada. Sua língua deslizava sobre todos os pontos sensíveis, enquanto ele controlava seus caninos que ameaçavam tocar a carne da garota.
Enzo interrompe quando percebe que Hanna se aproxima de gozar, o que a leva a soltar um gemido de reprovação.
"Tenha calma, querida, queria apenas te deixar preparada, o melhor ainda está por vir"
Ele levanta, apenas para retirar o resto de suas roupas e deixar a mostra seu membro enrijecido e vazando o pré semen, deixando a jovem salivando para ter pelo menos um pouco dele em si.
Como se lesse sua mente, Enzo fala.
"Gostou do que viu, nena? É todo seu, e você terá o quanto que quiser, ou aguentar"
Magicamente, a taça de vinho surge na mão do vampiro, que bebe um gole lentamente, com movimentos sensuais feitos de propósito para excitar ainda mais a mulher. Da mesma forma como o recipiente surgiu, ele some, quebrando sutilmente a promessa feita por Vogrincic.
Se encaixando entre as pernas de Hanna novamente, Vogrincic passa a estimular o clítoris inchado da mulher usando da cabeça de seu pau, aos poucos deslizando até a entrada apertada. Enzo penetra aos poucos, para que a jovem aguente toda a extensão entrando em si e alargando suas paredes internas.
“Caralho, tão apertadinha”
O quarto de infesta com o barulho sexual ecoado pelo casal, os gemidos de Hanna se uniam com os grunhidos roucos de Enzo e com o colidir de seus quadris. A mão direita do vampiro vai até o rosto da jovem, apertando levemente suas bochechas mantendo a boca da mais nova aberta, embriagado de prazer, ele cospe, sua saliva caindo sobre a língua dela, a obrigando a engolir o líquido que continha um leve gosto metálico.
Acho que Hanna já deveria imaginar que o que continha naquela taça não era vinho.
Era sangue.
A medida que as estocadas se tornavam mais rápidas e violentas, o orgasmo de ambos se aproximava, a jovem puxa Enzo pela nuca o pedindo por mais um beijo, que é aceito de bom grado pelo vampiro.
“Enzo… eu tô quase…”
“Eu sei, princesa, goza para mim como a putinha que você é”
As palavras sujas são o estímulo final para que Hanna goze, levando Vogrincic ao seu ápice logo depois, despejando seu esperma quente dentro da mesma.
O vampiro da um tempo para que a mulher se recupere, deitando-se na cama e a puxando para se deitar em seu lado com a cabeça em seu peitoral enquanto acariciava seu cabelo.
“O jantar, esquecemos completamente” Hanna fala rindo.
“Relaxa, meu amor, teremos todo tempo do mundo para comermos tudo o que quisermos”
“Bem, eu acho que todo tempo do mundo já é um exagero, preciso voltar pra casa, amanhã terei compromis-”
A fala da jovem é interrompida quando o homem fica sobre o corpo dela novamente, selando seu pescoço e sussurrando em seu ouvido.
“Nada disso, você é minha agora, bebita, por toda a eternidade”
E, finalmente, Enzo Vogrincic finca seus caninos afiados na pele macia do pescoço de Hanna, fadando seu destino a ser eterna, eternamente dele.
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