#arthur x guenievre
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Future robe pour ma Guenièvre, je crois que Kaamelott m’obsède un peut trop c’est temps çi 🥲
#Astier prener moi en costumière 🥲#dessin traditionnel#my draws#arthur x guenievre#Guenièvre#Kaamelott
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Admettons qu'Arthur est bel et bien stérile.
Il aura passé 15 ans à ne pas consommer son mariage avec Guenievre par amour pour Aconia et par respect pour son serment.
Maintenant qu'il semble avoir véritablement des sentiments pour la reine, maintenant qu'il ne serait pas du tout contre de fonder une famille avec elle (le contraire actually), il ne peut (toujours) pas avoir d'enfants.
L'ironie terrible 😭😭
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Une idée d'edit pour du arthur guenievre et jsais pas si je dois en rire ou me trouver génial
#kaamelott#arthur x guenievre#pendranievre#il est loin le temps où j'avais bloqué le tag#mais est ce que j'ai le temps de faire cet edit#on verra
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Merci aux Pendranièvre du Lac shippers, maintenant je peux plus écouter “Quatre mots sur un piano” sans penser à eux.
C’est malin.
#kaamelott#pendranièvre du lac#arthur pendragon#guenievre#lancelot#arthur x guenievre#lancelot x guenievre#pendranievre
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Régler maintenant!
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😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
inner thoughts
#😭😭😭😭#i want these 3 words for her so much#c'est tellement arthur d'avoir les miquettes de prononcer cette phrase#she deserves this love declaration ma choupette#alexandre donne nous ça donne lui ça#sloubs a décidé de nous retourner le cœur today#she chose violence today#tu me donnes envie de lire des fics sur ça sérieux#et guenievre qui est toute innocente as usual sur le dernier dessin#qui ne se doute pas que son mari...#wow les émotions là#arthur x guenièvre#arthur x guenievre#pendranièvre#pendranievre#kaamelott fanart#kaamelott
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Can i offer you a man that's been married for 20 years finally falling in love with his wife and having years of assholery and neglect to atone for ? No ? Well here it is anyway
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Jpouvais pas faire des études de scenes de baiser sans LA meilleure scene de baiser de tous les temps
Request which one I should do next with a ko-fi
#kaamelott#kaamelott fanart#arthur pendragon#guenievre#arthur x guenièvre#kaamelott v1#ok ok i wanna explain for my non french followers cause godamn this is my favorite kiss scene ever#oh fuck it i wanted to explain in tags but tumblr has a limit on tags now ???#when did it happen this is terrible#maybe i'll reblog it with an explanation when i'm not lazy enough#that's sad i did the whole story in tags but it didn't register#i know i know nobody reads the tags anyway#things
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Je viens de finir "Les dames du lac" de Marion Zimmer Bradley (super bouquin au passage) et je déconne pas. Les dix dernières pages c'est un plan à trois entre Lancelot, Arthur et Guenièvre.
Trop d'émotions contradictoires dans ma tête là
#arthur guenievre lancelot#lancelot kaamelott#arthur kaamelott#kaamelott#en mode prude pendant tout le livre et pis à la fin guenièvre est en mode “fuck it”#why not finalement#arthur pendragon#lancelot du lac#arthur x guenièvre#you go girl
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Purée mais c'est EXCELLENT 🤣🤣
J'ai tellement hâte de lire la suite !! Ça va décoiffer !
Puis Arthur qui est toute chose alors qu'il ne l'a vu que qq mn 😏😏
Guenièvre is on fire 🔥🔥
En écrivant ET SI .. j'ai retrouvé dans mes vielles notes des idées completement farfelues ce qui m'a donné l'idée de les regrouper et d'écrire une histoire completement barge. J'avais prévu de faire qu"un chapitre mais elle est trop longue donc je partage déjà un premier chapitre.
Cette histoire est à prendre 3eme degres (voire plus) mais ça m'amuse. Et comme d'habitude écrit à la va vite ...
Un philtre sans philtre…
Jamais il n’avait vu ça, comment cet énergumène avait pu se tromper à ce point et surtout comment avait-il fait pour créer une potion qui aurait de tels effets. Il savait depuis longtemps que la réputation de Merlin était surfaite et que c’était disons-le sans langue de bois, un gros nul. Mais là, il avait fait très fort. Certes cela entraînerait surement des conséquences mais Elias avait eu une superbe journée, il n’avait jamais autant ri. Les habitants du château eux n’avaient certainement pas trouvé cela très drôle. Prendre ses quatre vérités en pleine figure ce n’était déjà pas facile mais personne n’aurait pu soupçonner que la vérité c’était la Reine qui allait la donner. Quel caractère ! Jamais Elias n’aurait pensé que Guenièvre était aussi volcanique et amusante. Elle cachait bien son jeu derrière son minois angélique.
Tout avait commencé par une commande un peu inhabituelle émanant d’un crétin du château, l’autre bourgeois voulait une potion qui rendrait sa femme moins coincée, il voulait une potion qui la désinhiberait un peu. Il avait donc concocté pour une somme rondelette une nouvelle potion, entre la potion de vérité et une potion d’euphorie mais voilà Merlin vexé avait essayé de faire de même. La potion de Merlin était d’un vert étrange avec une fumée violette qui s’échappait de la fiole. Elias l’avait donc invectivé en lui conseillant fortement de se débarrasser de cette mixture rapidement avant d’empoisonner quelqu’un. Mais comme à son habitude l’enchanteur n’avait pas rangé ladite mixture et elle avait trainé sur la table pendant des jours jusqu’à ce matin.
Cela faisait quelques semaines qu’elle avait réintégré le château et son rôle de pante verte, heu non de Reine pensa-t-elle, tout avait repris comme avant. Mis à part le fait qu’elle était plus loquace avec son mari, elle osait maintenant lui dire ce qu’elle pensait, en tout cas elle avait vu juste pour l’arrivée du Roi Loth. Elle reprenait doucement ses marques dans la vie du château même si elle évité soigneusement la femme de Karadoc tout avait à peu près pris le même chemin. D’ailleurs il fallait absolument qu’elle demande au Roi quand avait-il prévu de laisser partir les seigneurs Karadoc et Perceval pour qu’ils puissent monter leur clan autonome car éviter son ancienne amie était particulièrement désagréable. Elle se sentait coupable envers elle ce qui était un comble, peut être devrait elle lui offrir un présent. Du coup ses nuits étaient tourmentées et ce matin une migraine lui donnait la nausée. Elle décida donc de se rendre chez Merlin dès l’aube pour soulager sa douleur.
« Ah ben si vous avez mal à ce point il vous faut une potion »
« C’est justement pour ça que je suis là, je suis vraiment désolé de vous déranger Merlin »
« Non mais vous ne le dérangeait pas ! Il ne sait juste pas faire ce genre de potion »
« Non mais ça va oui, on ne vous a pas sonné Môssieur Elias, c’est à moi que la Reine demande d’abord »
« Oui justement c’est la Reine, vous allez donc pas l’empoisonner ! »
Elias posa sur la table une fiole au milieu de tout le bazar de son acolyte.
« Je pense que ma potion sera plus efficace ma Reine si vous voulez ne plus avoir mal à la tête avec l’autre agité vous risquez d’être transformé en pigeon »
« Ah non beurk pas en pigeon »
« Et puis quoi encore ! Vous en connaissez-vous des potions qui transforment les gens en pigeon »
« Oui ça existe mais vous ne savez pas les faire »
« Ah vous voyez ! » dit Merlin en le pointant du doigt
« Non mais ce n’était pas un compliment »
« Je m’en doute venant de vous cela tiendrait du miracle »
« Je disais juste que vous êtes un GROS nul et que c’est dangereux de prendre la moindre de vos potions »
« Désolé Messieurs, je ne voulais surtout pas vous déranger, je vais prendre la potion et vous laissez d’accord »
Les deux enchanteurs n’entendirent pas la Reine, trop occupé à se disputer et surtout ils ne virent pas qu’elle prit la potion verte avec elle.
Dans le couloir Guenièvre se rendit compte qu’elle ne savait quelle dose prendre, entendant encore les cris émaner du laboratoire, elle n’osa pas y retourner pour demander. Tant pis elle prit toute la fiole, cette potion avait un gout affreux et lui fit tourner la tête, elle n’aurait certainement pas du tout prendre.
En se rendant dans sa chambre, elle réalisa que son mal de tête était bien parti mais elle se sentait étrange. Elle était un peu euphorique tout d’abord elle mit cela sur le compte du soulagement, le fait de ne plus avoir mal devait la rendre heureuse. Tiens ce dit-elle en ouvrant la porte, son mari était levé et déjà parti ce qui était plutôt surprenant car depuis son retour il avait tendance à trainer longtemps dans leurs lits. Peut-être en ne la voyant pas ce matin, il s’était décidé à se lever plus tôt mais non ma pauvre fille pensa-t-elle, on a dû venir le chercher pour une urgence. Enfin une urgence, il la faisait bien rire avec leurs urgences, on dirait plutôt une bande de môme qui ne sais rien faire sans leur Roi. Oh non comment pouvait-elle avoir ce genre de pensée, elle était étrange ce matin, les chevaliers n’étaient pas une bande d’attardé, oh mon dieu, si, c’était tous des idiots. Alors c’était vrai, elle-même manquait cruellement de culture, on ne lui avait jamais vraiment permis d’accéder au savoir mais finalement se dit elle, elle n’était pas stupide il suffisait que l’on lui explique un peu et elle percutait bien. En revanche les chevaliers, parce que c’étaient des hommes on partait du principe qu’ils étaient réfléchis, ce matin elle en doutait fortement.
La nouvelle servante fit son apparition avec le plateau du petit déjeuner, elle se planta devant le lit vide. Guenièvre qui était assise devant sa coiffeuse regardait perplexe la jeune femme ne pas bouger.
« Vous attendez quoi du coup »
La servante sursauta et fixa la Reine.
« Je dois servir le petit déjeuner »
« Posez donc le plateau sur la table »
« On m’a dit que je devais servir le petit déjeuner de Monsieur au lit »
« Oui peut être, posez le plateau sur la table, il n’y a personne dans le lit »
« Ni Monsieur ni Madame ne sont dans le lit, on ne m’a pas dit de le poser sur la table »
Réflexion faite les chevaliers devaient quand même paraitre vachement plus réfléchi du coup.
« C’est pour ça que vous ai demandé de le poser sur la table, vu que ni monsieur ni moi-même étions dans le lit »
« Du coup c’est vous madame »
« On s’est déjà vu Nessa, vous ne vous rappelez pas de moi, je suis la Reine Guenièvre »
« Votre prénom je ne m’en rappelais plus, du coup c’est plus pratique de vous appeler Madame, mais comme Monsieur il change pas mal de Madame je m’y perds »
« Oui je comprends, Monsieur a tendance à beaucoup changer de Madame mais c’est pas grave vous pouvez reprendre votre plateau je n’ai pas très faim »
« Et Monsieur ? »
«Il est pas là ! »
« Il n’a pas faim du coup »
« Non voilà il n’a pas faim et de toute façon il est pas là »
« Mais il ne va pas revenir, faut pas que je l’attende avec le plateau ?»
« Vous voulez l’attendre avec le plateau devant le lit jusqu’à son retour, c’est ça »
« C’est peut-être mieux, on m’a pas dit si je pouvais partir si Monsieur était pas là »
« Pfff Ok moi je vais m’habiller correctement faites ce que vous voulez »
Elle entreprit donc d’enfiler une robe plus convenable, enfin plus Reine derrière le paravent, en regardant de plus près la robe préparer par Angharad, elle eut un doute. Elle sortit de derrière le paravent la robe mal attachée et se planta devant la servante.
« Qu’est-ce que vous en pensez ? »
« De quoi ? »
« De la Robe ! Qu’est-ce que vous en pensez ! Sincèrement ! »
« Sincèrement ? »
« Oui , oui avec vous je pense que je peux avoir la vérité »
« Ben c’est une robe de bourge »
« Ok mais sinon »
« C’est une robe pour les vielles bourgeoise »
« Donc cette robe me vieillit c’est ça »
« Non disons que, vous ne donnez pas envie »
« Ah oui carrément »
« Ben c’est ça qui est bien avec les bourgeoises c’est qu’il n’y a pas beaucoup de peau qui dépasse et puis ça met pas en valeur vos formes et du coup les messieurs ils préfèrent les p’tites servantes car on fait plus… vous voyiez quoi »
« Je voulais la vérité ben je l’ai eu »
Pourtant Guenièvre n’était absolument pas contrariée par les réflexions de la servante bien au contraire elle était même d’accord avec cette dernière. Ce matin elle se sentait joueuse et avait bien envie d’être un petit peu plus outrageuse dans sa tenue, c’est vrai après tout elle était jeune et la nature lui avait donné des jolies arguments à mettre en valeur. Et la cerise sur le gâteau se dit elle, cela risqué de faire parler la cour et pour une fois qu’elle l'aurait fait exprès, elle s’en réjouissait d’avance. Elle fit donc appeler Angharad, qui ramena rapidement une multitude de robe.
« Je n’ai pas bien compris la demande de Madame, je me suis permise de ramener de multiple choix, même des robes que vous aviez étant princesse »
« C’est une excellente idée mais je ne suis plus une jouvencelle »
« Que Madame me permette cette réflexion, mais vous avez perdu un peu de poids suite à votre aventure dans la forêt »
« Vous avez raison mais j’ai gardé des formes que je n’avais pas étant jeune fille »
« De très jolie forme ! » dit la servante au plateau
« Mais pourquoi vous êtes encore là avec votre plateau, vous devriez déjà être de retour en cuisine, vous n’avez rien à faire dans les appartements de Madame »
« Non mais laissez là Angharad, elle attend Arthur »
« Mais Madame le Roi a déjà pris son petit déjeuner dans la salle »
« Ah bah vous voyiez vous pouvez partir Nessa »
« Ah non il va encore me crier dessus, une fois je lui repris le plateau et il a rouspété »
« Arthur rouspète tout le temps alors ça va rien changer ! »
Pourtant Nessa ne bougea regardant amusé la Reine essayer plusieurs robes différentes. Guenièvre finit par jeter son dévolu sur robe simple qui souligné parfaitement son buste, les épaules nues, elle était à la fois jolie et désirable.
« Bon parfait celle-là me ressemble plus »
« Vous êtes sur ma Reine, elle et quand même très serrée au niveau de la poitrine et beaucoup décolleté, ce n’est pas vraiment le genre de tenue que Madame porte habituellement »
« Bah justement ! je préfère ce type de robe »
« Votre mère risque de ne pas apprécier votre initiative »
Avec un grand un sourire, la Reine tourna sur elle-même, réellement ravie de porter enfin quelque chose qui lui plaisait.
« Bah tant pis ! Elle fera avec ! Tout le monde fera avec voilà c’est dit !»
Ce n’était plus qu’une simple euphorie, elle était bien, totalement en accord avec elle-même. Elle ferait ce qu’elle voudrait quand elle le voudrait. Elle était tellement transparente d’habitude, que là tout de suite elle voulait dire et faire ce qu’elle avait toujours voulu.
« Angharad arrêtez de faire les gros yeux, allez plutôt vous occuper de votre fiancé enfin fiancé je m’entends, d’ailleurs qu’est ce que vous attendez pour qu’il devienne vraiment votre fiancé »
« Disons que c’est plus compliqué qu’il n’y parait avec le seigneur Perceval nous entretenons il me semble une relation courtoise mais il me parait toutefois que nous nous dirigeons vers la bonne direction »
« Dans dix ans vous y êtes encore, je ne suis pas la mieux placé pour vous donner des conseils mais je vais lui parler, c’est beaucoup trop long ! »
Elle sorti en trombe de la chambre laissant les deux femmes estomaquées par son aplomb. Elle se dirigea d'un pas rapide vers la cour sans vraiment trop savoir ce qu’elle allait pouvoir dire au chevalier mais persuadé que si elle lui parlait simplement elle pourrait débloquer une situation qu’il n’avait pas lieu d’être. A défaut d’être elle-même heureuse dans son couple, elle ferait tout pour que sa suivante le soi.
Dans la cour se trouvait son mari qui houspillait aprés les seigneurs Karadoc et Perceval, la Reine sourit contente d’avoir trouvé le chevalier aussi rapidement.
« Non mais ça fait un quart d’heure que je vous explique la même chose et je n’ai pas le temps à perdre avec deux abrutis qui pige que dalle à ce que je leur raconte ! Alors vous allez ouvrir grand vos écoutilles ! »
« Mais du coup on est un clan autonome on a plus besoin de vous obéir non, c’est pas un peu le concept »
Arthur était hors de lui, quelle perte de temps, il était Roi bon sang ! Il sorti excalibur de son fourreau et brandit l’épée devant les deux hommes en hurlant.
« Je suis le Roi et vous voyez ça ! » dit il en le mettant l’épée flamboyante sous le nez « ça c’est excalibur qui fait de moi le chef suprême donc clan autonome ou pas vous prenez trois secondes pour m’écouter »
Il n’avait pas entendu Guenièvre arrivée, il fut donc surpris quand elle posa sa main sur son bras en signe d’apaisement. Sursautant légèrement au contact de cette dernière.
« Oh mais vous n’allez pas nous la sortir dès que quelque chose vous contrarie mon ami on va finir par croire que vous avez des complexes »
Elle se pencha à son oreille et lui murmura doucement pour qu’il soit le seul à l’entendre
« Ah mais c’est peut-être pour ça ! vous avez un complexe en même temps je suis la moins bien placé pour soutenir le contraire »
Les joues du Roi virèrent aux rouges, muet par l’audace de sa femme, elle n’avait quand même pas osé lui dire ça, elle avait bien sous-entendu ce qu’il venait de comprendre. Son regard espiègle le transperçait de toute part et son petit sourire mutin lui donnait des frissons. Il l’examina de la tête au pied, elle était magnifique et même beaucoup trop désirable dans cette tenue, il eu un coup de chaud.
« Seigneur Perceval, il faut absolument que je vous parle »
Elle avait lâché le bras de son mari pour prendre celui du chevalier et l’entraina avec elle au loin sans se soucier nullement de ce que pouvait penser les autres, et en particulier son mari.
« Je vous le rend après ! Ne vous inquiétez surtout pas vous pourrez continuer à leur hurler dessus, comme d’habitude quoi ! »
Arthur était totalement abasourdi par le cran de sa femme et il était resté là, la bouche ouverte.
« Qu’est ce qu’elle vous a dit ? »
« La ferme Karadoc »
#kaamelott fic#kaamelott#arthur x guenièvre#arthur x guenievre#pendranievre#pendranièvre#frisquette27 fic
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Faut vraiment que je trouve un style 😭
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What if...
What if Guenièvre ne rentre pas à Kaamelott après sa piqûre de guêpe?
Finalement Merlin est du voyage et en chemin, il arrive à lui rafistoler son pied avec des plantes rares trouvées près d’un petit ruisseau. Elle va beaucoup mieux et n’a pas envie de retrouver l’ambiance du château avec ses parents qui doivent être insupportables sur le trône...
Elle n’arrête pas de se dire qu’Arthur semblait un peu abattu quand elle l’a quitté. Elle ne veut pas qu’il désespère. Puis elle croit que sans la couronne de fleurs sur elle, son mari est potentiellement en danger.
Elle décide de repartir dans l’autre sens au début avec Merlin, puis elle continue sans lui. Elle paye un jeune guide qui l’emmène sur la côte (les jumelles sont probablement là-bas?) : elle y croise leur père, un étrange pêcheur qui parle beaucoup de son fils parti en mer. Elle a de la peine pour lui mais son esprit est occupé par Arthur. Où est-il ? Le pêcheur l’a rencontré ce qui la rassure mais sait seulement qu’il est reparti dans les terres sans savoir vraiment où...
Elle se résigne à repartir chez elle mais elle demande au guide resté à ses côtés s’il peut les faire passer par un autre chemin sûr que celui de la route principale pour Kaamelott. Ils marchent des jours et des jours. La Reine s’inquiète de plus en plus sans comprendre vraiment pourquoi.
Ils tombent sur une troupe de théâtre installé pour l’été et....... Arthur en train de crier “vous voulez le voir en colère le chef de guerre? Vous croyez que vous pouvez le contenir!?!?!?! “
Elle l’appelle dans un cri. Ce n’est pas la première fois qu’elle voit son époux en rogne mais elle sent quelque chose d’étrange dans sa voix. Quelque chose de désespéré comme quelqu’un qui tente de se débattre, de se sauver. En le rejoignant, elle comprend qu’il s’adressait à deux hommes dont un emmitouflé dans une longue cape noire. Instinctivement, elle se place devant son époux comme pour le protéger. Elle est elle-même surprise de sa réaction mais une défiance monte elle vis-à-vis de ces individus.
Arthur est très surpris de la trouver là. Inquiet qu’elle ait pu traverser une partie du pays “seule”, il a une furieuse envie de l’engueuler mais il doit l’avouer. Il est soulagé... tellement soulagé de la revoir. Il ne lui dira pas mais elle lui avait manqué. Arthur est encore plus étonné quand il regarde son guide : celui-ci semble déstabilisé par sa femme. Pire, il y décèle comme une crainte dans ses yeux.
Guenièvre maintient le regard de l’homme en noir. Elle ne comprend pas mais elle n’a pas peur. Pourtant, elle a tendance à être impressionnée par des inconnus et celui-là a une carrure impressionnante. Mais là, non. Elle se tient droite, près de son époux et ne fléchit pas.
L’homme finit par se lever. Il semble ne pas vouloir les approcher. Etrange, pense Arthur.
Il accepte de partir sur le champs pour les ramener à Kaamelott mais Guenièvre décline la proposition (”j’ai déjà un très bon guide”). Il insiste en prétextant que son mari a déjà payé. Ce à quoi, elle répond “donc il ne vous doit plus rien ! Merci mais on n’a plus besoin de vos services,. Vous pouvez trouver un autre voyageur perdu”. Arthur voit deux volontés s’affronter par le regard : insistant et anxieux pour son guide, inflexible pour sa femme.
Finalement, l’homme en noir s’en va en silence la mine défaite...
#au départ je voulais faire un post super court mais c'est parti en cacahuete#what if guenievre avait retrouvé arthur en compagnie de meleagant#elle aurait protégé son abruti de mari des griffes de meleagant#arthur n'aurait jamais ete voir prysca#pas d'histoire d'infecondite et donc pas de suicide ?#j'aime l'idee que meleagant ait PEUR de guenievre#genre guenievre c'est l'antidote de meleagant#il est le diable qui pousse au desespoir#elle est le rayon de soleil rempli d'espoir et d'optimisme#kaamelott#kaamelott au#livre v#arthur x guenièvre#arthur x guenievre#pendranievre#pendranièvre#meleagant
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Bonjour à tous, bonjour mes reines, Bonjour mes chevaliers, bonjour Kaamelott fandom!
Ça fait un long moment n’est-ce pas?
Je vais être honnête: je me suis forcé à ne pas poster sur Tumblr, car je souhaitais vraiment pouvoir revenir vers vous tous avec une date définitive pour l’update de l’OS 11.
Alors sans faire de ronds de jambes, je vous annonce que je poste la première partie du OS 11, le mardi 31 janvier, à 20h 🥳
Ça fait plus d’un an que je n’ai pas updater ma fic sur AO3, mais je n’ai jamais, jamais, jamais cessé de l’écrire. Des mois et des mois de frustration et de prise de tête car ma vie professionnelle a pris un tournant intense, et toutes les nouvelles responsabilités qu’on m’a attribué n’ont pas ramené que du pognon, elles ont aussi ramené beaucoup de stress. Pour le coup, écrire le OS 11 m’a beaucoup aidé émotionnellement, même quand je ne pouvais sortir que 2 pages par semaines, même quand j’en effaçait 10 par pure perfectionnisme.
Le revers de la médaille c’est la culpabilité de ne pas avoir pu partagé la suite avec vous, mes lectrices et lecteurs tellement merveilleux et tellement impliqués dans LPDG.
L’attente a été longue et j’en suis la première désolée, mais pour le coup, je reviens non seulement organisée, mais aussi avec du Lourd (notez le grand L 😂)
Le OS 11 fait bien plus que 100 pages, je vais pas vous donner le décompte tout de suite, sinon vous allez halluciné 😅
À tout ceux qui attendent l’update depuis tout ce temps, à tout ceux qui commentent, qui m’envoient des messages d’encouragements sur Tumblr, qui n’ont pas l’intention d’abandonner cette histoire malgré le manque d’update, qui veulent toujours continuer à suivre les aventures de Guenièvre et Arthur, de la Svala et son Dux Bellorum… je veux vous dire que je vous adore, que je brûle de reconnaissance, que ces centaines de pages vous sont dédiés, que je n’ai jamais relâché mes efforts pour vous donner une suite, que vous méritez la grosse bombe que ce OS 11 va être, et que vous allez manger de plus de cent pages avec uniquement Guenièvre et Arthur. Yup. On se rattrape comme on peut. ❤️
Vu la longueur de la bête, je vais devoir découper le OS en trois parties. Ça me fend le cœur mais c’est comme ça. J’ai grave hésité à tout balancer d’un coup, mais ça ferait trop, beaucoup trop à digérer. Il y aura énormément de dialogues, plus que dans la totalité des OS précédents, et la façon dont j’ai construit ce chapitre, chaque élément, chaque attaque, question ou révélation entre Arthur et Guenièvre, va trouver son écho au fur et mesure de la lecture. Aucun de ces deux personnages ne perdra le nord dans leur affrontement, ce fameux affrontement qui aborde finalement leur mariage passé. Vous allez probablement avoir l’impression d’assister à un match de tennis, puis à une avalanche 😅
Beaucoup des questions qu’on m’a posé en commentaire sur AO3, trouveront leurs réponses, il y aura beaucoup de révélations sur Horsa, sur Lancelot… bref, ça va être la pétarade quoi.
Je vous conseille fortement de relire la fic depuis le début, ou tout du moins depuis le OS 5, la destruction de Kaamelott, pour pouvoir savourer à quel point le OS 11 est un écho et une fatalité évidente pour tout ce qui s’est passé avant dans l’histoire. Tout les dialogues entre Arthur et Guenièvre du OS 5 au OS 10, sont particulièrement importants.
J’ai la chance inouïe d’avoir des lectrices et lecteurs qui flairent mes plots comme Sherlock Holmes flairent les mystères. J’espère que vous allez kiffé ce qui vient, les dénouements et les renouements des plots, tout ça c’est pour vous!
Finalement, même si cette année 2023 ne s’annonce pas plus chill que les autres niveau boulot, j’ai décidé de faire de LPDG une priorité. Ça veut dire poster tout les mois. On va voir si j’y arrive, mais je suis déterminée. Je veux m’avancer dans cet objectif avec bienveillance et sans stress ou culpabilité, j’ai déjà trop de ça dans ma vie. À travers LPDG, je veux viber avec vous, rire avec vous, pleurer avec vous, hurler avec vous et à mon petit niveau, rendre hommage à l’univers de Kaamelott qui m’a tant donné et ce depuis que je suis petite.
La seconde partie du OS sera posté fin février, la troisième fin mars. Ça part en crescendo, soyez prévenue! Énormément de angst, mais aussi énormément d’amour, comme il se doit. ☺️
Ok je crois que c’est tout! Encore merci, merci beaucoup, merci mille fois, merci tellement à toutes les personnes qui ont glissé dans mes DM sur Tumblr, juste pour m’encourager, ou juste pour me demander comment ça va… merci à toute les personnes qui commente sur AO3. Ça n’a pas de prix, ça signifie tant pour moi. Merci pour tout les kudos et les Hits, merci pour votre temps, merci pour votre soutien, merci pour votre lecture.
À très vite,
Avec tout mon amour,
Lily.
#LesPétalesDeGuenièvre🌸
#kv1#lpdg#les pétales de guenièvre#kaamelott fanfiction#kaamelott fanart#kaamelott#KV1 fanfic#arthur guenievre#arthur et guenièvre#arthur x guenièvre#arthur pendragon#Guenièvre#Guenièvre de Carmélide#my art: please don’t use without asking
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Chapters: 11/? Fandom: Kaamelott Rating: Explicit Warnings: Graphic Depictions Of Violence, Rape/Non-Con Relationships: Guenièvre & Arthur Pendragon (Kaamelott), Alzagar/Guenièvre (Kaamelott), Alzagar & Venec (Kaamelott), Alzagar & Dikhil (Kaamelott), Guenièvre & Lancelot (Kaamelott), Lancelot (Kaamelott)/Original Female Character(s), Aconia Minor/Arthur Pendragon Characters: Guenièvre (Kaamelott), Alzagar (Kaamelott), Venec (Kaamelott), Dikhil (Kaamelott), Arthur Pendragon (Kaamelott), Léodagan (Kaamelott), Séli (Kaamelott), Lancelot (Kaamelott), Aconia Minor Additional Tags: Unrequited Love, Marriage of Convenience, Rape/Non-con Elements, Non-Canon Relationship, Friendship, Love, Drama & Romance, Strong Female Characters, Badass Guenièvre (Kaamelott), Abduction, Child Abuse, Male-Female Friendship Summary:
Guenièvre, fille de Léodagan, est enlevée au berceau par une servante. Elevée à des milliers de kilomètres de sa terre natale, pauvre mais libre, elle ne pourra cependant pas échapper à son destin qui la rattrapera bien des années plus tard
#kaamelott fanfiction#j'aime tellement écrire Venec en méchant#c'est dingue#venec x alzagar#alzagar x guenievre#arthur x guenievre
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Guenièvre : Qu’est-ce qui ne va pas ?
Arthur : J’ai peur de faire n’importe quoi. Comme toujours.
Guenièvre : À propos de quoi ?
Arthur : De nous… Plutôt de vous.
Guenièvre : Pourquoi ?
Arthur : Parce que je n’ai aucune idée de ce que je fais. Ça me consume. Mais j’ai peur que ça brûle tout sur son passage. Comme avant.
Guenièvre : Qu’est-ce que vous voulez vraiment ? Si vous oubliez la peur.
Arthur : Je vous veux vous. Mais j’ai peur d’avoir perdu ma chance.
Guenièvre : Je vous veux aussi.
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Je crois qu'il faut vraiment que je me fasse soigner quand je vois les idées qui me trotte dans la tête franchement. Enfin bref, toujours avec les notes des choses les plus débiles que j'aurais du ecrire dans une autre histoire. Voici le chapitre 2 :
UN PHILTRE SANS PHILTRE (PARTIE 2)
Guenièvre avait entrainé plus loin le seigneur Perceval, de un plus loin car déjà elle avait dû mal à ne pas rire en voyant la tête de son mari et de deux surtout plus loin car elle était décidée à ce que le chevalier comprenne les intentions d’Angharad. Sa suivante était amoureuse du chevalier depuis tant d’année cependant leur relation n’avait pas évolué depuis. Aujourd’hui elle avait la ferme intention de dire tout ce qu’elle pensait et peu importe les conséquences. Elle qui était si réservée d’habitude.
« Seigneur Perceval je suis désolé de vous déranger et surtout de me mêler de ce qui ne me regarde pas ! Où en êtes-vous avec Angharad ? »
« Angharad mais je ne l’ai pas vu aujourd’hui ma Reine, franchement je sais pas ou elle est »
« Où en êtes-vous côté sentiments »
Vu l’expression du chevalier, elle devait être plus directe si elle ne voulait pas y passer la nuit.
« Bon est ce que vous l’aimez ? »
« Heu à vrai dire je l’aime bien »
Elle souffla, elle n’était pas rendue avec lui.
« Non est que vous l’aimez d’amour, vous savez comme un couple qui s’aime, enfin vous savez bien les choses de l’amour et tout ça »
« Ah comme vous et le Roi ? »
Elle éclata de rire.
« Non non non surtout pas comme moi et …mon époux, le contraire plutôt »
« Ben vous et le Roi vous vous aimez d’amour »
« Non mais c’est pas vraiment le sujet-là »
« Vous n’aimez pas le Roi ? Mais il vous aime, lui »
« Bon on vas pas y arriver, le Roi ne m’aime pas mais vous est ce que vous aimez Angharad car elle vous aime et elle attend désespérément que vous l’épousiez »
« Elle voudrait devenir ma femme vraiment ! Mais est ce que je peux épouser la suivante de la Reine j’ai le droit de faire ça »
« Oh que oui vous avez le droit d’épouser qui vous voulez »
« Ah et du coup faut que j’aille lui demander maintenant c’est ça »
« Enfin si vous le voulez bien sûr ! vous savez quoi, oui allez lui demander maintenant c’est une très bonne idée »
« Bon j’y vais mais qu’est-ce que je lui dis ? »
« Essayer avec Epousez moi, cela devrait suffire »
Le chevalier fit ce qui devait certainement dans sa tête ressembler à une révérence et se dirigea d’un pas assuré vers le château. Alors qu’il avait à peine fait trois pas, le seigneur Perceval se retourna.
« Ma reine vous vous trompez le Roi il vous aime, il ne le sait peut-être pas encore mais il vous aime »
*******
Dans le laboratoire, les deux enchanteurs se disputaient une nouvelle fois, et cette fois au sujet du rangement ou plutôt du non-rangement des affaires de Merlin.
« A un moment donné soit vous me virez illico presto toutes vos cochonneries de cette table soit je vous les mets dans la tronche »
« OH mais euh ! c’est mon laboratoire à la base quand même »
« Peut-être mais comme je suis obligé de cohabiter avec vous, vous allez me ranger ce bordel car je ne sais pas travailler dans ces conditions »
« Oui ben il y a pas que mes affaires là, vous allez pas me dire que c’est pas à vous cette fiole »
Elias prit la potion que Merlin lui tendait.
« Effectivement celle-là, c’est bien la mienne vu quelle est étiquetée correctement et qu’à priori elle ressemble à une vraie potion »
L’enchanteur l’examina, puis ses yeux s’agrandir de terreur.
« Attendez c’est la potion pour la Reine, dites-moi je vous en supplie qu’il ne vous manque pas une de vos saletés »
« Oh tout de suite ! Elle a dû partir effrayé par tous vos cris c’est tout ! »
« Je l’espère pour vous parce que sinon on n’est pas dans la merde moi je vous le dis »
« Pfff »
Les deux hommes se défièrent du regard quand soudain en même temps ils pensèrent à la même potion. Oh non pourvu que non, ben si elle était plus là.
« Vous l’avez jeté bien sûr »
« Non »
« Ah ben on est mort ! »
********
Guenièvre de plus en plus joyeuse croisa sa mère dans un couloir, comme ivre elle lui sourit contente de la trouver sur son chemin. Sourire qu’elle perdit immédiatement dès que sa mère s’adressa à elle.
« Mais comment vous vous êtes attifé aujourd’hui, vous ne pensez quand même pas que ce sont des façons pour une Reine, c’est votre mari que vous devez affoler pas l’ensemble de la gent masculine de ce château »
« Mais je l’aime bien ma robe »
« Ah c’est sur quand il s’agit de faire des conneries vous êtes pas la dernière, Allez-vous changer »
« Non j’ai pas envie »
« Ah mais je vous demande pas votre avis »
« Je vous le donne quand même, je m’habille comme je veux, je vais où je veux et je fais ce que je veux ! Et comme vous savez si bien me le faire remarquer je suis la REINE donc si ça vous plait pas vous allez qu’à rentrer en Carmèlide voir si j’y suis »
Soulevant légèrement sa robe, la tête haute, Guenièvre planta sa mère dans le couloir poursuivant son chemin. Si ce qu’elle faisait ne plaisait pas aux autres, tant pis pour eux. Les effets de la potion s’accentuaient, ses émotions avait dépassé le stade de l’euphorie.
******
Arthur n’en revenait toujours pas, sa femme avait osé lui faire des allusions en dessous de la ceinture, non il se trompait, il avait les idées mal placées. Sa femme était bien trop prude et puis jamais elle ne se moquait de lui. Elle était gentille avec lui, beaucoup trop gentille pensa-t-il. Et cette robe qui ne laissait peu de place à l’imagination, pourquoi portait-elle une robe aussi …non non il devait penser à autre chose qu’au buste de sa femme, d’ailleurs elle avait une magnifique poitrine, ah non il devait réellement penser à autre chose. Le seigneur Karadoc lui tenait la jambe dans le couloir, il ne l’écoutait pas du tout d’abord car cela devait être totalement inintéressant et puis il était beaucoup trop absorbé dans ses pensées. Il n’avait même pas entendu la femme du chevalier les rejoindre.
« Donc vous comprenez avec ma femme on pensait que cela vous dérangerez pas si on reste encore un peu histoire de trouver un quartier général »
« Hein de quoi »
« Sire, vous comprenez avec les enfants nous ne pouvons pas vivre dehors »
Elle le regardait droit dans les yeux avec défi, il l’avait éjecté du trône, de son lit, il n’allait quand même pas la foutre dehors en plus. Beaucoup trop rancunière, elle pensait déjà à sa vengeance et a sa gourdasse de femme qui en ferait les frais. Le Roi la regarda un peu perplexe, il avait dû renoncer à cette femme qu’il pensait aimer et pourtant elle était là devant lui et son cœur ne s’affolait plus, pire il se rendait compte que mise à part l’interdit, il ne la trouvait plus si intéressante alors certes elle lui rappelait les romaines dans son attitude et par son intelligence. Elle savait ce qu’elle voulait, il avait toujours aimé les femmes de caractère mais cette femme avait voulu l’homme ou le Roi. Il connaissait déjà la réponse et elle ne lui plaisait pas.
« Ah mais voilà nos grecs ! »
Guenièvre venait de faire son apparition dans le couloir. Au son de sa voix Arthur avait instinctivement tourné son regard vers elle, elle était vraiment magnifique avec ses cheveux lâchés et son petit air revêche, depuis quand la trouvait il aussi jolie, ah oui, déjà quand il l’avait délivré sur le camp de Lancelot, il l’avait trouvé magnifique sans tout son attirail de reine et quand elle avait posé sa main sur joue il avait eu un petit coup au cœur mais bon maintenant tout est redevenu comme avant non. Ben non a priori son cœur avait l’air de pensait le contraire.
« Des Grecs ? Où est qu’il y a des grecs Ma Reine »
Karadoc avait été le premier à réagir, Guenièvre se rapprocha de lui et en lui posant la main sur son bras, elle lui sourit.
« Voyons seigneur Karadoc vous n’êtes pas Grec ? Parce qu’à priori votre femme, elle est Grec bon d’après mon mari »
« On vient de Vannes, nous ! »
« Ah ben il a dû se tromper ou alors c’est moi qu’il trompait tout simplement mais vous n’avez pas de coutume particulière en ce qui concerne les baisers dans les cuisines, je ne sais pas moi pour dire bonjour peut être »
« Dans les cuisines moi je mange, en même temps je mange un peu partout »
« Aaaah Alors les baisers c’est un peu partout »
Arthur n’arrivait pas à suivre la conversation saugrenue trop obnubilé par la main de son épouse sur le bras de Karadoc. Une colère sourde grimpait en lui, pourquoi avait-elle la main sur lui et pourquoi elle ne la retirait pas. Ses poings se serrèrent, il devait contrôler cette colère sinon son poing allait partir tout seul dans la tronche de son abruti de chevalier.
« Je ne voudrais surtout pas enfreindre le protocole en ne respectant pas vos coutumes »
Œil pour œil dent pour dent, avec un sourire carnassier, elle se redressa sur la pointe des pieds et se rapprocha dangereusement du seigneur Karadoc. Elle posa délicatement ses lèvres sur ce dernier, moins d’une seconde mais ce baiser fit vriller totalement le Roi, d’abord la bouche ouverte, il ne réagit pas, puis il hurla.
« NON MAIS VOUS AVEZ TOTALEMENT PERDU LA TETE !!! »
Ignorant les cris de son mari, elle sourit au chevalier.
« Bonne journée seigneur Karadoc » puis se tourna vers la femme qui la regardait estomaqué « bon vous je sais pas comment on dit bonjour en grec quand au baiser mon mari s’en ai déjà occupé »
Et sans attendre son reste, elle reparti comme elle était venu. Laissant son époux dans une rage folle, elle avait embrassé l’autre quiche, lui il n’avait pas le droit de gouter à ses lèvres, qu’il l’attirait tellement et elle, elle avait embrassé un autre homme. Ah non, elle n’allait pas se barrer comme ça, il la poursuivit dans le couloir en hurlant.
« NON MAIS EN PLUS VOUS ALLEZ PAS VOUS BARRER, REVENEZ IMEDIATEMENT…..GUENIEVRE JE PLAISANTE PAS …GUENIEVRE »
« Vous avez comprit de quoi elle parlait vous, avec la cuisine et tout »
« Laissez tomber, mon ami, laissez tomber »
Elle s’était mise à courir en riant, semant son époux qui se demandait depuis quand sa femme était-elle devenue aussi rapide. Elle était devenue folle, il n’y avait pas d’autre explication, elle avait embrassé Karadoc. Non mais il ne pouvait pas le croire, c’était quoi cette audace, depuis quand elle était aussi audacieuse et pourquoi elle ne l’avait jamais essayé de l’embrasser lui d’abord. Ah oui il ne voulait pas qu’elle l’approche, et pourtant si elle avait osé lui faire ça, comment aurait il réagit, non non il dérapait total.
*******
Guenièvre avait semé facilement son mari, au détour d’un couloir, elle connaissait tellement ce château à force d’y errer si souvent. Parce qu’il fallait être honnête ses journées n’était pas vraiment rempli, de la broderie, des discussions avec sa mère, et de temps en temps elle pouvait donner son avis sur les jardins. Enfin donner son avis était un bien grand mot, d’ailleurs en parlant de jardin, une idée lui traversa l’esprit. Riant de son idée, elle opéra un demi-tour direction les jardins et au pas de course.
Elle avait trouvé deux jardiniers, et leurs demanda d’arracher tout le jasmin d’hiver jaune.
« Ma Reine, c’est le Roi qui avait donné l’ordre de planter ce jasmin »
« Oh oui je sais pour les amours inavoués, enfin il ne l’est pas resté longtemps inavoué son amour !! »
Les deux hommes ne comprenaient rien à ce que la Reine pouvait raconter, ils se cantonnaient de secouer la tête devant le débit de parole de leur souveraine. Elle avait l’air bien agitée aujourd’hui, elle remuait les bras dans tous les sens et parlait de plus en plus vite et de plus en plus fort.
« Alors il pense certainement que je sais pas ouvrir un bouquin, mais bon quand j’ai appris que c’était lui qui avait demandé que l’on plante ses fleurs, ben moi je me suis dit c’est pas normal d’habitude il s’en fout du jardin ..hein vous comprenez…en plus moi je voulais des fleurs rouge..au début j’ai pensé Ah ben oui c’est comme d’habitude il veut me faire …enfin vous voyez quoi ….d’ailleurs j’aurais du me méfier mais bon comme je suis la Reine des GOURDASSES ..ben j’ai pas compris …donc j’ai découvert le jasmin d’hiver, alors oui ce machin-là, c’est pour les amours inavoués …non mais arrêtez de secouer la tête bêtement. »
« Oui ..oui Ma reine »
Elle souffla, essayant de ralentir sa respiration, elle était beaucoup trop énervée, elle ne maitrisait plus vraiment. Après quelques secondes, elle reprit plus calmement.
« On vas faire simple, vous m’arrachez tout ce truc jaune, ordre de la REINE, et vous me le faite livrer enfin déverser complètement dans la chambre du seigneur Karadoc, c’est bon, c’est clair !»
« Oui, oui ma Reine » dirent les deux hommes à l’unisson.
« Bon parfait »
Elle repartit vers le château, en croisant un garde, elle lui expliqua la mission des jardinniers et lui demanda de bien veiller à que tout soit fait selon ses ordres.
« D’ailleurs je vais vous donner un mot à déposer avec, c’est important de laisser un mot quand on offre des fleurs à une femme »
*******
Arthur avait l’impression d’avoir fait tout le tour du château et pourtant il ne trouvait pas sa femme, ce n’était pas vrai, il n’avait pas le temps de jouer à cache-cache avec elle.
« Sire »
Ah non il n’avait pas le temps pour ça non plus ! D’ailleurs pourquoi Merlin faisait cette tête, oh cela sentait les conneries.
« Qu’est ce que vous avez encore fait !»
« Tout de suite ! »
« Pourquoi vous avez pas fait une connerie peut être »
« Heu enfin ça dépend ! Vous avez vu la Reine aujourd’hui »
« Je la cherche justement..attendez mais oui c’était pas normal son attitude, qu’est ce que vous lui avez fait espèce de pignouf »
« Son attitude, elle a quoi d’inhabituel l’attitude de la Reine » demanda l’enchanteur tout penaud
« Disons qu’elle est ..enfin elle est plus ..Non mais sérieusement qu’est-ce que vous avez foutu..encore »
Merlin entreprit d’expliquer la visite de la Reine dans son laboratoire, son mal de tête, la dispute avec Elias et la malencontreuse erreur de potion. Plus l’enchanteur se perdait dans les détails, plus la patience du Roi était mise à rude épreuve.
« Et du coup cette potion foireuse elle doit faire quoi exactement »
« Celle d’Elias devait rendre les personnes moins coincées, plus désinhiber un truc dans le genre »
« Ah la vache! Il marche le machin! Pour être désinhibé, il y a pas de problème et pourquoi la vôtre elle est foirée »
« D’après l��autre j’ai forcé sur les ingrédients mais bon j’avais raison elle fonctionne du coup »
« Combien temps ça fait effet ? »
« Aucune idée, quelques heures, un jour ou peut être plus mais c’est pas irréversible »
Après avoir laissé son mot au garde, la Reine voulut se rendre dans la salle des archives, elle mourrait d’envie d’emprunter tous les livres qu’elle voulait et cette fois l’autre cureton n’allait certainement pas lui interdire l’accès. C’était complétement fou, que tout le monde se ligue contre elle, après tout pourquoi ne pourrait-elle pas se cultiver un tant soit peu , personne ne la respectait dans ce château, elle était juste de la décoration et encore au vu de ce que pensait son mari, elle était plutôt de la décoration moche.
« Ah il manquerait plus que cela !»
*******
La porte était fermée à clef, elle jouait de malchance. Elle se rappela qu’il y avait une réunion de la table ronde, voilà ou devait se trouvait l’autre grand machin, tant pis elle allait déranger tout le monde.
Elle rentra sans frapper, tous les chevaliers se tournèrent vers la porte, persuadé que c’était enfin le Roi qui daignait les rejoindre. Quelle fut leur surprise quand ils virent la Reine s’avancer dans la salle et s’assoir directement dans un siège.
« Ben alors Messieurs, c’est quoi ces têtes, de quoi vous discutiez » dit elle avec un sourire à éclairer toute la bretagne.
« Vous pouvez m’expliquer clairement ce que vous faite là, c’est pas un salon de thé ici et puis c’est quoi cette tenue, vous avez croisé votre mère aujourd’hui »
« Oh père je sais bien que c’est pas un salon de thé et puis d’abord c’est pas vous que je suis venue voir »
Elle se tourna vers le père Blaise
« Vous avez fermé la salle des archives, j’ai besoin d’emprunter des livres »
« Afin pourquoi vous voulez emprunter des livres ? »
« Bah pour lire »
« Sinon vous avez qu’à m’ignorez tant que vous y êtes, votre robe là, votre mère la vue »
« Ben quoi ma robe, elle est jolie ma robe, qu’est ce vous en pensez seigneur de Rinel »
« Vous êtes magnifique ma Reine »
« Merci, ben vous voyez »
« Non mais ça compte pas »
« Pourquoi ça compte pas »
« C’est un con »
« Et alors je pensais que finalement c’était une compétence demandée pour être chevalier à la table ronde, d’être con »
« Alors je vous rejoins on a quand même une belle bande d’abruti mais de là à dire que c’est une prérogative pour le recrutement »
« Il y a quoi se poser des questions non ? »
Léodagan sourit à sa fille, depuis quand sa gamine se permettait d’être insolente, cela lui plaisait bien du coup.
« Et sinon vous savez où il est votre pignouf de mari ? »
« Houla , je suis incontestablement la moins bien placé pour y répondre, certainement avec une de ses maitresses ou avec la femme de l’un d’entre vous »
De plus en plus amusé par l’attitude de sa fille, le Roi de Carmèlide continua
« Sinon votre mère vous l’avez croisé ? »
« Oui d’ailleurs si vous la cherchez elle doit être en Carmèlide »
« Hein »
« Bah oui pour voir si j’y suis voyons «
Léodagan éclata de rire, les autres chevaliers regardaient perplexe cet échange.
« Et du coup vous parliez de quoi avant que j’arrive »
« Ma reine, nous échangions sur la quête du Graal en attendant que le Roi arrive » répondit poliment le seigneur Bohort
« Ah mais oui d’ailleurs vous ne l’avez toujours pas trouvé ce bidule »
« Ma Reine la quête est des plus complexe, nous cherchons encore à savoir si le Graal est une coupe ou un récipient »
« Non vous êtes sérieux, parque une coupe ce n’est pas un récipient peut être ! Bon ben moi je vous laisse à mon avis le Graal il pourrait être dans les cuisines que personne ne le trouverait »
« Ah ben s’il était dans les cuisines je l’aurais trouvé » répliqua le seigneur Karadoc
La reine se dirigea vers le père Blaise et tendit sa main ouverte vers lui.
« La clef s’il vous plait »
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