#arthur x guenievre
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versingetorix · 2 months ago
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Future robe pour ma Guenièvre, je crois que Kaamelott m’obsède un peut trop c’est temps çi 🥲
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cloudy-cloud-of-satan-sky · 15 days ago
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Je suis un peu en retard mais voilà, mon secret santa pour @jananabananawithnopeel
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miung-dreamer · 1 year ago
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Admettons qu'Arthur est bel et bien stérile.
Il aura passé 15 ans à ne pas consommer son mariage avec Guenievre par amour pour Aconia et par respect pour son serment.
Maintenant qu'il semble avoir véritablement des sentiments pour la reine, maintenant qu'il ne serait pas du tout contre de fonder une famille avec elle (le contraire actually), il ne peut (toujours) pas avoir d'enfants.
L'ironie terrible 😭😭
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rarougrougrou · 2 years ago
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Une idée d'edit pour du arthur guenievre et jsais pas si je dois en rire ou me trouver génial
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laudys83 · 2 years ago
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Merci aux Pendranièvre du Lac shippers, maintenant je peux plus écouter “Quatre mots sur un piano” sans penser à eux.
C’est malin.
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lillianjmoseley · 1 year ago
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Régler maintenant! 
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miung-dreamer · 1 year ago
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😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
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inner thoughts
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sibmakesart · 2 years ago
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Can i offer you a man that's been married for 20 years finally falling in love with his wife and having years of assholery and neglect to atone for ? No ? Well here it is anyway
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zialinart · 2 years ago
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Jpouvais pas faire des études de scenes de baiser sans LA meilleure scene de baiser de tous les temps
Request which one I should do next with a ko-fi    
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wayourt · 2 years ago
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Guenièvre : Qu’est-ce qui ne va pas ?
Arthur : J’ai peur de faire n’importe quoi. Comme toujours.
Guenièvre : À propos de quoi ?
Arthur : De nous… Plutôt de vous.
Guenièvre : Pourquoi ?
Arthur : Parce que je n’ai aucune idée de ce que je fais. Ça me consume. Mais j’ai peur que ça brûle tout sur son passage. Comme avant.
Guenièvre : Qu’est-ce que vous voulez vraiment ? Si vous oubliez la peur.
Arthur : Je vous veux vous. Mais j’ai peur d’avoir perdu ma chance.
Guenièvre : Je vous veux aussi.
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frisquette27 · 2 years ago
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Je crois qu'il faut vraiment que je me fasse soigner quand je vois les idées qui me trotte dans la tête franchement. Enfin bref, toujours avec les notes des choses les plus débiles que j'aurais du ecrire dans une autre histoire. Voici le chapitre 2 :
UN PHILTRE SANS PHILTRE (PARTIE 2)
Guenièvre avait entrainé plus loin le seigneur Perceval, de un plus loin car déjà elle avait dû mal à ne pas rire en voyant la tête de son mari et de deux surtout plus loin car elle était décidée à ce que le chevalier comprenne les intentions d’Angharad. Sa suivante était amoureuse du chevalier depuis tant d’année cependant leur relation n’avait pas évolué depuis. Aujourd’hui elle avait la ferme intention de dire tout ce qu’elle pensait et peu importe les conséquences. Elle qui était si réservée d’habitude.
« Seigneur Perceval je suis désolé de vous déranger et surtout de me mêler de ce qui ne me regarde pas ! Où en êtes-vous avec Angharad ? »
« Angharad mais je ne l’ai pas vu aujourd’hui ma Reine, franchement je sais pas ou elle est »
« Où en êtes-vous côté sentiments »
Vu l’expression du chevalier, elle devait être plus directe si elle ne voulait pas y passer la nuit.
« Bon est ce que vous l’aimez ? »
« Heu à vrai dire je l’aime bien »
Elle souffla, elle n’était pas rendue avec lui.
« Non est que vous l’aimez d’amour, vous savez comme un couple qui s’aime, enfin vous savez bien les choses de l’amour et tout ça »
« Ah comme vous et le Roi ? »
Elle éclata de rire.
« Non non non surtout pas comme moi et …mon époux, le contraire plutôt »
« Ben vous et le Roi vous vous aimez d’amour »
« Non mais c’est pas vraiment le sujet-là »
« Vous n’aimez pas le Roi ? Mais il vous aime, lui »
« Bon on vas pas y arriver, le Roi ne m’aime pas mais vous est ce que vous aimez Angharad car elle vous aime et elle attend désespérément que vous l’épousiez »
« Elle voudrait devenir ma femme vraiment ! Mais est ce que je peux épouser la suivante de la Reine j’ai le droit de faire ça »
« Oh que oui vous avez le droit d’épouser qui vous voulez »
« Ah et du coup faut que j’aille lui demander maintenant c’est ça »
« Enfin si vous le voulez bien sûr ! vous savez quoi, oui allez lui demander maintenant c’est une très bonne idée »
« Bon j’y vais mais qu’est-ce que je lui dis ? »
« Essayer avec Epousez moi, cela devrait suffire »
Le chevalier fit ce qui devait certainement dans sa tête ressembler à une révérence et se dirigea d’un pas assuré vers le château. Alors qu’il avait à peine fait trois pas, le seigneur Perceval se retourna.
« Ma reine vous vous trompez le Roi il vous aime, il ne le sait peut-être pas encore mais il vous aime »
*******
Dans le laboratoire, les deux enchanteurs se disputaient une nouvelle fois, et cette fois au sujet du rangement ou plutôt du non-rangement des affaires de Merlin.
« A un moment donné soit vous me virez illico presto toutes vos cochonneries de cette table soit je vous les mets dans la tronche »
« OH mais euh ! c’est mon laboratoire à la base quand même »
« Peut-être mais comme je suis obligé de cohabiter avec vous, vous allez me ranger ce bordel car je ne sais pas travailler dans ces conditions »
« Oui ben il y a pas que mes affaires là, vous allez pas me dire que c’est pas à vous cette fiole »
Elias prit la potion que Merlin lui tendait.
« Effectivement celle-là, c’est bien la mienne vu quelle est étiquetée correctement et qu’à priori elle ressemble à une vraie potion »
L’enchanteur l’examina, puis ses yeux s’agrandir de terreur.
« Attendez c’est la potion pour la Reine, dites-moi je vous en supplie qu’il ne vous manque pas une de vos saletés »
« Oh tout de suite ! Elle a dû partir effrayé par tous vos cris c’est tout ! »
« Je l’espère pour vous parce que sinon on n’est pas dans la merde moi je vous le dis »
« Pfff »
Les deux hommes se défièrent du regard quand soudain en même temps ils pensèrent à la même potion.  Oh non pourvu que non, ben si elle était plus là.
« Vous l’avez jeté bien sûr »
« Non »
« Ah ben on est mort ! »
********
Guenièvre de plus en plus joyeuse croisa sa mère dans un couloir, comme ivre elle lui sourit contente de la trouver sur son chemin. Sourire qu’elle perdit immédiatement dès que sa mère s’adressa à elle.
« Mais comment vous vous êtes attifé aujourd’hui, vous ne pensez quand même pas que ce sont des façons pour une Reine, c’est votre mari que vous devez affoler pas l’ensemble de la gent masculine de ce château »
« Mais je l’aime bien ma robe »
« Ah c’est sur quand il s’agit de faire des conneries vous êtes pas la dernière, Allez-vous changer »
« Non j’ai pas envie »
« Ah mais je vous demande pas votre avis »
« Je vous le donne quand même, je m’habille comme je veux, je vais où je veux et je fais ce que je veux ! Et comme vous savez si bien me le faire remarquer je suis la REINE donc si ça vous plait pas vous allez qu’à rentrer en Carmèlide voir si j’y suis »
Soulevant légèrement sa robe, la tête haute, Guenièvre planta sa mère dans le couloir poursuivant son chemin. Si ce qu’elle faisait ne plaisait pas aux autres, tant pis pour eux. Les effets de la potion s’accentuaient, ses émotions avait dépassé le stade de l’euphorie.
******
Arthur n’en revenait toujours pas, sa femme avait osé lui faire des allusions en dessous de la ceinture, non il se trompait, il avait les idées mal placées. Sa femme était bien trop prude et puis jamais elle ne se moquait de lui. Elle était gentille avec lui, beaucoup trop gentille pensa-t-il. Et cette robe qui ne laissait peu de place à l’imagination, pourquoi portait-elle une robe aussi …non non il devait penser à autre chose qu’au buste de sa femme, d’ailleurs elle avait une magnifique poitrine, ah non il devait réellement penser à autre chose. Le seigneur Karadoc lui tenait la jambe dans le couloir, il ne l’écoutait pas du tout d’abord car cela devait être totalement inintéressant et puis il était beaucoup trop absorbé dans ses pensées. Il n’avait même pas entendu la femme du chevalier les rejoindre.
« Donc vous comprenez avec ma femme on pensait que cela vous dérangerez pas si on reste encore un peu histoire de trouver un quartier général »
« Hein de quoi »
« Sire, vous comprenez avec les enfants nous ne pouvons pas vivre dehors »
Elle le regardait droit dans les yeux avec défi, il l’avait éjecté du trône, de son lit, il n’allait quand même pas la foutre dehors en plus. Beaucoup trop rancunière, elle pensait déjà à sa vengeance et a sa gourdasse de femme qui en ferait les frais. Le Roi la regarda un peu perplexe, il avait dû renoncer à cette femme qu’il pensait aimer et pourtant elle était là devant lui et son cœur ne s’affolait plus, pire il se rendait compte que mise à part l’interdit, il ne la trouvait plus si intéressante alors certes elle lui rappelait les romaines dans son attitude et par son intelligence. Elle savait ce qu’elle voulait, il avait toujours aimé les femmes de caractère mais cette femme avait voulu l’homme ou le Roi. Il connaissait déjà la réponse et elle ne lui plaisait pas.
« Ah mais voilà nos grecs ! »
Guenièvre venait de faire son apparition dans le couloir. Au son de sa voix Arthur avait instinctivement tourné son regard vers elle, elle était vraiment magnifique avec ses cheveux lâchés et son petit air revêche, depuis quand la trouvait il aussi jolie, ah oui, déjà quand il l’avait délivré sur le camp de Lancelot, il l’avait trouvé magnifique sans tout son attirail de reine et quand elle avait posé sa main sur joue il avait eu un petit coup au cœur mais bon maintenant tout est redevenu comme avant non. Ben non a priori son cœur avait l’air de pensait le contraire.
« Des Grecs ? Où est qu’il y a des grecs Ma Reine »
Karadoc avait été le premier à réagir, Guenièvre se rapprocha de lui et en lui posant la main sur son bras, elle lui sourit.
« Voyons seigneur Karadoc vous n’êtes pas Grec ? Parce qu’à priori votre femme, elle est Grec bon d’après mon mari »
« On vient de Vannes, nous ! »
« Ah ben il a dû se tromper ou alors c’est moi qu’il trompait tout simplement mais vous n’avez pas de coutume particulière en ce qui concerne les baisers dans les cuisines, je ne sais pas moi pour dire bonjour peut être »
« Dans les cuisines moi je mange, en même temps je mange un peu partout »
« Aaaah Alors les baisers c’est un peu partout »
Arthur n’arrivait pas à suivre la conversation saugrenue trop obnubilé par la main de son épouse sur le bras de Karadoc. Une colère sourde grimpait en lui, pourquoi avait-elle la main sur lui et pourquoi elle ne la retirait pas. Ses poings se serrèrent, il devait contrôler cette colère sinon son poing allait partir tout seul dans la tronche de son abruti de chevalier.
« Je ne voudrais surtout pas enfreindre le protocole en ne respectant pas vos coutumes »
Œil pour œil dent pour dent, avec un sourire carnassier, elle se redressa sur la pointe des pieds et se rapprocha dangereusement du seigneur Karadoc. Elle posa délicatement ses lèvres sur ce dernier, moins d’une seconde mais ce baiser fit vriller totalement le Roi, d’abord la bouche ouverte, il ne réagit pas, puis il hurla.
« NON MAIS VOUS AVEZ TOTALEMENT PERDU LA TETE !!! »
Ignorant les cris de son mari, elle sourit au chevalier.
« Bonne journée seigneur Karadoc » puis se tourna vers la femme qui la regardait estomaqué « bon vous je sais pas comment on dit bonjour en grec quand au baiser mon mari s’en ai déjà occupé »
Et sans attendre son reste, elle reparti comme elle était venu. Laissant son époux dans une rage folle, elle avait embrassé l’autre quiche, lui il n’avait pas le droit de gouter à ses lèvres, qu’il l’attirait tellement et elle, elle avait embrassé un autre homme. Ah non, elle n’allait pas se barrer comme ça, il la poursuivit dans le couloir en hurlant.
« NON MAIS EN PLUS VOUS ALLEZ PAS VOUS BARRER, REVENEZ IMEDIATEMENT…..GUENIEVRE JE PLAISANTE PAS …GUENIEVRE »
« Vous avez comprit de quoi elle parlait vous, avec la cuisine et tout »
« Laissez tomber, mon ami, laissez tomber »
Elle s’était mise à courir en riant, semant son époux qui se demandait depuis quand sa femme était-elle devenue aussi rapide. Elle était devenue folle, il n’y avait pas d’autre explication, elle avait embrassé Karadoc. Non mais il ne pouvait pas le croire, c’était quoi cette audace, depuis quand elle était aussi audacieuse et pourquoi elle ne l’avait jamais essayé de l’embrasser lui d’abord. Ah oui il ne voulait pas qu’elle l’approche, et pourtant si elle avait osé lui faire ça, comment aurait il réagit, non non il dérapait total.
*******
Guenièvre avait semé facilement son mari, au détour d’un couloir, elle connaissait tellement ce château à force d’y errer si souvent. Parce qu’il fallait être honnête ses journées n’était pas vraiment rempli, de la broderie, des discussions avec sa mère, et de temps en temps elle pouvait donner son avis sur les jardins. Enfin donner son avis était un bien grand mot, d’ailleurs en parlant de jardin, une idée lui traversa l’esprit. Riant de son idée, elle opéra un demi-tour direction les jardins et au pas de course.
Elle avait trouvé deux jardiniers, et leurs demanda d’arracher tout le jasmin d’hiver jaune.
« Ma Reine, c’est le Roi qui avait donné l’ordre de planter ce jasmin »
« Oh oui je sais pour les amours inavoués, enfin il ne l’est pas resté longtemps inavoué son amour !! »
Les deux hommes ne comprenaient rien à ce que la Reine pouvait raconter, ils se cantonnaient de secouer la tête devant le débit de parole de leur souveraine. Elle avait l’air bien agitée aujourd’hui, elle remuait les bras dans tous les sens et parlait de plus en plus vite et de plus en plus fort.
« Alors il pense certainement que je sais pas ouvrir un bouquin, mais bon quand j’ai appris que c’était lui qui avait demandé que l’on plante ses fleurs, ben moi je me suis dit c’est pas normal d’habitude il s’en fout du jardin ..hein vous comprenez…en plus moi je voulais des fleurs rouge..au début j’ai pensé Ah ben oui c’est comme d’habitude il veut me faire …enfin vous voyez quoi ….d’ailleurs j’aurais du me méfier mais bon comme je suis la Reine des GOURDASSES ..ben j’ai pas compris …donc j’ai découvert le jasmin d’hiver, alors oui ce machin-là, c’est pour les amours inavoués …non mais arrêtez de secouer la tête bêtement. »
« Oui ..oui Ma reine »
Elle souffla, essayant de ralentir sa respiration, elle était beaucoup trop énervée, elle ne maitrisait plus vraiment. Après quelques secondes, elle reprit plus calmement.
« On vas faire simple, vous m’arrachez tout ce truc jaune, ordre de la REINE, et vous me le faite livrer enfin déverser complètement dans la chambre du seigneur Karadoc, c’est bon, c’est clair !»
« Oui, oui ma Reine » dirent les deux hommes à l’unisson.
« Bon parfait »
Elle repartit vers le château, en croisant un garde, elle lui expliqua la mission des jardinniers et lui demanda de bien veiller à que tout soit fait selon ses ordres.
« D’ailleurs je vais vous donner un mot à déposer avec, c’est important de laisser un mot quand on offre des fleurs à une femme »
*******
Arthur avait l’impression d’avoir fait tout le tour du château et pourtant il ne trouvait pas sa femme, ce n’était pas vrai, il n’avait pas le temps de jouer à cache-cache avec elle.
« Sire »
Ah non il n’avait pas le temps pour ça non plus ! D’ailleurs pourquoi Merlin faisait cette tête, oh cela sentait les conneries.
« Qu’est ce que vous avez encore fait !»
« Tout de suite ! »
« Pourquoi vous avez pas fait une connerie peut être »
« Heu enfin ça dépend !  Vous avez vu la Reine aujourd’hui »
« Je la cherche justement..attendez mais oui c’était pas normal son attitude, qu’est ce que vous lui avez fait espèce de pignouf »
« Son attitude, elle a quoi d’inhabituel l’attitude de la Reine » demanda l’enchanteur tout penaud
« Disons qu’elle est ..enfin elle est plus ..Non mais sérieusement qu’est-ce que vous avez foutu..encore »
Merlin entreprit d’expliquer la visite de la Reine dans son laboratoire, son mal de tête, la dispute avec Elias et la malencontreuse erreur de potion. Plus l’enchanteur se perdait dans les détails, plus la patience du Roi était mise à rude épreuve.
« Et du coup cette potion foireuse elle doit faire quoi exactement »
« Celle d’Elias devait rendre les personnes moins coincées, plus désinhiber un truc dans le genre »
« Ah la vache! Il marche le machin! Pour être désinhibé, il y a pas de problème et pourquoi la vôtre elle est foirée »
« D’après l’autre j’ai forcé sur les ingrédients mais bon j’avais raison elle fonctionne du coup »
« Combien temps ça fait effet ? »
« Aucune idée, quelques heures, un jour ou peut être plus mais c’est pas irréversible »
Après avoir laissé son mot au garde, la Reine voulut se rendre dans la salle des archives, elle mourrait d’envie d’emprunter tous les livres qu’elle voulait et cette fois l’autre cureton n’allait certainement pas lui interdire l’accès. C’était complétement fou, que tout le monde se ligue contre elle, après tout pourquoi ne pourrait-elle pas se cultiver un tant soit peu , personne ne la respectait dans ce château, elle était juste de la décoration et encore au vu de ce que pensait son mari, elle était plutôt de la décoration moche.
« Ah il manquerait plus que cela !»
*******
La porte était fermée à clef, elle jouait de malchance. Elle se rappela qu’il y avait une réunion de la table ronde, voilà ou devait se trouvait l’autre grand machin, tant pis elle allait déranger tout le monde.
Elle rentra sans frapper, tous les chevaliers se tournèrent vers la porte, persuadé que c’était enfin le Roi qui daignait les rejoindre. Quelle fut leur surprise quand ils virent la Reine s’avancer dans la salle et s’assoir directement dans un siège.
« Ben alors Messieurs, c’est quoi ces têtes, de quoi vous discutiez » dit elle avec un sourire à éclairer toute la bretagne.
« Vous pouvez m’expliquer clairement ce que vous faite là, c’est pas un salon de thé ici et puis c’est quoi cette tenue, vous avez croisé votre mère aujourd’hui »
« Oh père je sais bien que c’est pas un salon de thé et puis d’abord c’est pas vous que je suis venue voir »
Elle se tourna vers le père Blaise
« Vous avez fermé la salle des archives, j’ai besoin d’emprunter des livres »
« Afin pourquoi vous voulez emprunter des livres ? »
« Bah pour lire »
« Sinon vous avez qu’à m’ignorez tant que vous y êtes, votre robe là, votre mère la vue »
« Ben quoi ma robe, elle est jolie ma robe, qu’est ce vous en pensez seigneur de Rinel »
« Vous êtes magnifique ma Reine »
« Merci, ben vous voyez »
« Non mais ça compte pas »
« Pourquoi ça compte pas »
« C’est un con »
« Et alors je pensais que finalement c’était une compétence demandée pour être chevalier à la table ronde, d’être con »
« Alors je vous rejoins on a quand même une belle bande d’abruti mais de là à dire que c’est une prérogative pour le recrutement »
« Il y a quoi se poser des questions non ? »
Léodagan sourit à sa fille, depuis quand sa gamine se permettait d’être insolente, cela lui plaisait bien du coup.
« Et sinon vous savez où il est votre pignouf de mari ? »
« Houla , je suis incontestablement la moins bien placé pour y répondre, certainement avec une de ses maitresses ou avec la femme de l’un d’entre vous »
De plus en plus amusé par l’attitude de sa fille, le Roi de Carmèlide continua
« Sinon votre mère vous l’avez croisé ? »
« Oui d’ailleurs si vous la cherchez elle doit être en Carmèlide »
« Hein »
« Bah oui pour voir si j’y suis voyons « 
Léodagan éclata de rire, les autres chevaliers regardaient perplexe cet échange.
« Et du coup vous parliez de quoi avant que j’arrive »
« Ma reine, nous échangions sur la quête du Graal en attendant que le Roi arrive » répondit poliment le seigneur Bohort
« Ah mais oui d’ailleurs vous ne l’avez toujours pas trouvé ce bidule »
« Ma Reine la quête est des plus complexe, nous cherchons encore à savoir si le Graal est une coupe ou un récipient »
« Non vous êtes sérieux, parque une coupe ce n’est pas un récipient peut être !  Bon ben moi je vous laisse à mon avis le Graal il pourrait être dans les cuisines que personne ne le trouverait »
« Ah ben s’il était dans les cuisines je l’aurais trouvé » répliqua le seigneur Karadoc
La reine se dirigea vers le père Blaise et tendit sa main ouverte vers lui.
« La clef s’il vous plait »
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versingetorix · 2 months ago
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Faut vraiment que je trouve un style 😭
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thelastofthebookworms · 3 months ago
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When Arthur wakes Lancelot despite it all, Lancelot pledges allegiance to him despite it all too and Arthur's like "come on, she's waiting for you" 😭😭
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miung-dreamer · 1 year ago
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Je tombe sur cet article de blog qui parle de KV1 :
Dans le passage Le Roi Arthur & Guenièvre * Statut Facebook : C’est compliqué * :
" Il fait preuve d’empathie et ses énervements ne seraient-ils pas après tout, le signe d’un refoulement amoureux ? "
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moi = MAIS OUI !
(nan je sais que je me voile la face... Arthur ne ressentait rien dans les premières saisons mais laissez moi rêver 🤣)
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beautifulsnake2162020 · 2 years ago
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The Vitulation Cycle: An Arthuriana fanfiction (King Arthur x OC and Arthur x Guinevere x Lancelot) CHAPTER 14: MORDRED
Disclaimer: This is a work of fanfiction I do not make any money from this. Cultist Simulator elements belongs to the Weather Factory, House of the Dragon/Game of thrones elements belongs to George RR Martin and Arthuriana while generally regarded as under the public domain, it comes from the culture of Britain.
Chapter 14 - Mordred
"We're watching you." Sir Lancelot tells you before he goes back to her majesty's side. Only for Sir Gwaine to make a gesture with his two fingers gesturing from his eyes to you. Understandable really since Ayrmida had just recovered from something that triggered her past trauma. You were all gathered to have a picnic in the Castle grounds, or more specifically in the gardens since it was the best place where the sun's warmth was. While you were given a chance to spend some time with Ayrmida alone, you could still feel everyone's eyes on you, especially Sir Ector her grandfather.
It was true that you admired and held some affection for the youngest member of the court. But you know it wasn't love. Perhaps it's because she too was still trying to find herself. For all you could remember all you really wanted was to belong to someplace as yourself. You didn't feel at home with the Christian orphanage that raised you until you were able to find work in your studies in botany. You initially came to Camelot at eleven to learn under their scholars more about the sciences. Merlin was a strict teacher and seems to dislike you for a reason you couldn't understand. You were thankful that unofficially, King Arthur had in nearly everything but name became your father. You would sometimes feel guilty when sometimes you eavesdropped the various arguments they would have about you.
"You are playing a very dangerous game Arthur!"
"Merlin, I don't care what future you have foreseen. He's just a boy and you are already treating him over something he hasn't done."
"Yet. Done yet Arthur. You choosing to ignore my warnings will only break your heart. Your love for him will be wasted."
"Tell me Merlin, have you become so obsessed with what the future may become that you forget to live in the present? You don't know if he will make those choices! I will take guidance from what you have seen but I will not stop loving Mordred as my own child."
It was then that you became interested in the martial ways. You didn't know why Merlin treated you this way, but you were going to prove him wrong that King Arthur was wasting his love on you.
And so like Ayrmida you sought to make yourself one of the best people to ever serve Camelot. You began paying attention to the politics, the martial ways, and the resources Camelot has to offer. You weren't at all finished with your journey, but now you understand some of the decisions he, Queen Guinevere, and some of the other knights and courtiers were doing. You didn't know enough to make your own opinions on what should be done yet, but you feel you were on your way there.
"Mordred? What is King Arthur like?" Ayrmida asks bringing your attention back to your own present. Seated beside her on a picnic blanket eating on cheese, bread, mutton and boiled eggs.
"Where do I begin?"
"From whatever you have thought of first." You chuckle at her response at your rhetorical question.
"This may seem strange but King Arthur is much like a father to me."
"Oh?"
"My parents were travelers who died on their way to a pilgrimage. And so the Christian convent had raised me when I was the only one who survived the plague. I don't recall what they did before they took me on that pilgrimage trip. It was when I went to Camelot for further studies than the convent could offer that I found a father figure in him. Back then I too was the young blood in court - not the youngest since there were plenty of boys my age who wanted to enter into Camelot's martial training. But probably the only one who was here for scholarly studies rather than just martial training. Arthur had found me in my studies and had began volunteering to personally help with things that just escaped my understanding. The funny thing was that I didn't know he was the King. I just assumed he was another courtier or a scholar of Camelot. It was only when I attended my first Court session and he made his appearance that I discovered that he was the King himself. And afterward we just became closer."
"I see." She says before taking a bite of her buttered bread.
"I'm just nervous of something embarrassing happening if or when he chooses to talk to me in open court."
"He wouldn't intentionally do that. I imagine that any embarrassment is most likely to come from you."
"Mordred!" She exclaims in disbelief but you could tell that she found the humor in your joke.
"It's true. On your first court session with Queen Guinevere I was wondering if your nervousness would make you faint on front of everyone."
"Well it was my first time in any court! You have years of experience."
"I'm only three years older than you."
"You've been here far longer than I have."
"And what is so different from all the court sessions you've attended with Queen Guinevere presiding? This time you'll be meeting with Camelot's King." Then you see her face change. You couldn't tell if it was better or worse but there was definitely a change in her.
"There will be many things different."
"I highly doubt that."
"I hope for that too." She says before she takes a quick glance at all the knights who were watching the two of you. As soon as they see her looking at them they quickly turn away and pretend to have been doing something else. You couldn't help but roll your eyes at them. They weren't trying to be discreet and their gazes at you and Ayrmida were obvious in your peripheral vision. You knew that many of them thought that you were infatuated with her and feared that you might take this chance to seduce her. This wasn't the case though you did hold affection for her.
And to think these were the same people whose ranks you will be joining once you became a knight.
"May I ask a promise from you Mordred?" She asks as she brings herself closer to you. Her expression serious.
"What kind of promise?"
"Will you promise that no matter what happens could we still be friends?" You couldn't help but smile.
"Of course I will. But why make me promise over something so obvious?"
"Because I fear you wouldn't want to be my friend anymore after something happens. You have been a good friend to me Mordred, and I wouldn't want to lose our friendship." This touched you, it's been awhile since anyone your age wanted to be with you. The other boys who had started their martial training before you did were envious of your relationship with the King and didn't want to have anything to do with you. And girls around your age just keep looking at you in a strange light. Probably this infatuation that everyone keeps saying you have for Ayrmida.
You make sure to meet her eyes as you make her a promise she requested.
"I, Mordred, promise to still be your friend no matter what happens." She smiles back with some relief.
"And I, Ayrmida promise the same. Thank you for this Mordred."
"Of course, I'll still be your friend even when I become a Knight of the round table." She chuckles at this.
"I have no doubt you will."
She leaves you with a smile, and you couldn't help but feel she is keeping something from you. Some mysterious secret that she is keeping to herself. It was fine, even you have your own secrets.
You weren't going to deny to yourself that you wanted to be Arthur's heir. It wasn't because of the power it would give you but to also show that anyone who was devoted and hard working enough would also be good enough to be one of Camelot's leaders. It was why you strived to familiarize yourself with the different factions in court and what it would mean for the interest of Camelot. And your work seems to be paying off since you have the favor of many significant factions in court. Including Queen Guinevere and King Arthur before he had left to embark on his second attempt in fulfilling the Grail quest.
You couldn't wait for him to return. He might tease you for finally making a friend who is closer in your age than just being a perpetual student or squire to everyone his age.
And it turns out to your delight he came sooner than you had expected.
He arrived late at night with his brother Sir Kay and plenty of the other knights who had gone to take care of the problem of the witch hunters. You see them detain a few prisoners whom you recognize were some of the witch hunters that had attacked Camelot recently. You then quickly run to try to find Ayrmida so she may have her first glimpse of who Camelot's king was.
"Queen Guinevere, Sir Lancelot, Sir Gwaine, Sir Percival, have any of you seen Ayrmida? King Arthur has arrived with Sir Kay and the knights who went to take care of the witch hunters. I wanted to show her who he is before he holds court tomorrow."
"Oh that's wonderful Mordred!" Queen Guinevere says as she begins giving orders to some of her ladies to make sure the King's chambers were tidy and ready for his return.
"Does anyone know where Ayrmida is?"
"She's with Sir Ector having a dinner in town. You'll probably meet them tomorrow." Sir Lancelot tells you as he stands to give out his own orders and make his own preparations for King Arthur's return.
"Hmph that's if Arthur is ready to have court tomorrow. A banquet sure, but I think he will have at least one day of rest before returning to his duties."
"Want a bet Sir Percival?" Gwaine says with a grin. Since you won't be meeting either of the persons you were looking for, you take your dinner and retreat to your room to put yourself to sleep.
The next day, much to Sir Percival's dismay, King Arthur did hold court although it was much later than normal, though given that he, Sir Kay and the other knights who had ventured out had only arrived late last night.    
When he entered to take his seat at the round table there was much applause and excitement. He had his beard trimmed to his preferred length of being close to his chin and his beard hairs on the shorter end. Enough to show his beard but short enough to show the lower half of his face.
The court then settles down as Queen Guinevere takes her place beside him and everyone is seated.
"It's good to finally be back."
Another round of applause was given.
"I have missed you all and will now hear and discuss matters that are most urgent. I'll do this before I reveal whether my quest for the Grail has been a success or not."
As court went on your mind wondered where Ayrmida was. Your eyes finally see her behind her uncle at his chair at the round table and some distance behind her was a couple of hooded figures who seemed to blend in with the background. Who are they?
"Mordred." You hear him call your name and you step forward and present yourself on front of him.
"Based on reports of your progress it won't be long before you become a knight and part of the brotherhood of the round table. Your last few major tests would be in my presence before I formally knight you." He tells you with a smile and you couldn't help but share in his enthusiasm.
"Really your majesty?"
"Truly, why do you think the other knights tend to tease you a little bit more recently." You hear them laugh with some like Sir Gaheris and Sir Bedivere giving you encouraging looks.
This is it.
You will soon be knighted.
All you need to do is to past a few more tests and you would finally be a part of the highest brotherhood in Camelot.
"Tha-Thank you your majesty." You bow before him before going back to your place on the sides, although it wasn't lost on you that you did see encouraging smiles and gestures from the other knights of the round table.
A few more petitions and issues were discussed, but you couldn't hear any of them as your mind was still savoring the news that you were almost a knight.
Finally the petitions were finished and Queen Guinevere played her card.
"We may be done with the petitions but there is a new face in court that I want you to meet."
"Oh?" He asks in excitement. You almost forgot how he loves entertaining new members of his court.
"She's a new lady of mine. Lady Ayrmida?" Ayrmida makes her way on front of King Arthur. You see her more calm than she was her first time.
But even King Arthur could sense just a little bit of nervousness coming from her.
"Ayrmida? How are you?" He asks in a very gentle and soft tone. A tone you would often hear whenever he wanted to calm someone down.
"A little nervous since everyone is looking at me."
"Oh don't worry, everyone is also looking at me." That did the trick and this causes her to laugh and her nervousness disappeared.
"There we go, feeling better?" Arthur gives a little chuckle with a gentle smile and a glint of affection in his eyes.
"Yes, thank you for that."
"Well since you're feeling better. I would like to know what you've thought of Camelot and my court so far? Are my knights fooling around behind my back?" You couldn't help but laugh along with some of the other knights in the table.
"Well it depends on your definition of fooling around. They tease and joke a lot, but when I was worried and traumatized upon hearing what the witch hunters were doing, they were there for me when I needed them the most." A resounding sound of awe surrounded the room.
"Even Mordred has been a great friend to me. And I think he would make a great knight of your round table." You couldn't help but blush a little bit at being specifically mentioned by her to your King and father figure.
"And how have you been adjusting being one of Queen Guinevere's ladies?"
"They were mostly good to me. Queen Guinevere herself had personally taken me under her wing."
"And how has she been with you?" He asks his wife speculatively.
"She's been a fine young lady. I'm extremely happy to have her as one of my ladies. She's almost like a daughter to me." He smiles at that, there was something mischievous about it that you couldn't explain why.
"Is this true Sir Lancelot? Or is there a hidden conspiracy between them?" He asks jokingly and both the Queen and Ayrmida laughs.
"It is true, my liege, and may I also add that she's been a hidden gem and a devoted student to the martial ways as her teacher. Even though she sometimes could be too impatient to move to the next level." Sir Lancelot says with affection and the King just chuckles at this. Almost as if to say that he knows what he's talking about.
"Now have you been good to your uncle Sir Kay and to your grandfather Sir Ector?" She gives him a sheepish look.
"I may have snuck out a few times from them but I make sure to take great care and I never go too far from the castle."
"Oh don't get me started." Sir Ector murmurs.
"In my defense, these trips were very insightful in showing me Camelot's strengths and weaknesses. And in the back of my mind I always knew my uncle have assigned some of the knights who weren't on duty to make sure nothing horrible happened to me."
"And what are Camelot's strengths and weaknesses?"
"To summarize because I sense some of your courtiers would want to be dismissed already - Camelot is strong in accepting all cultures and backgrounds of all who come and live here. But it's weakness is that not many of these cultures have a say in court beyond the local level. I will admit I am still learning. But your court is biased towards some of the dominant cultures here. And it would be good to have a few courtiers from lesser known subcultures that are subjects of Camelot contribute their perspective in your court."
This was rather bold of her. You too have noticed this issue but it is at a periphery to some of the other issues that you were thinking about. Where did she get this bravery from when a few moments ago she might have allowed her nervousness to take her over?
"This of course is not the only issue, but that is the issue that appeared first in my head when you asked."
"Of course, and I appreciate your honesty about your insights. There is always room for improvement and I and my court are also included in that."
"Likewise."
"Members of the round table, how has she been with all of you?"
"You're asking an awful lot of questions for a new face in court my King." Sir Dagonet comments as King Arthur gestures for him to continue on.
"She has been good. We were quite surprised when she was insistent on learning the martial ways but after discovering that she was a promising student, she was quite a sight to behold." Sir Bedivere says in an affectionate yet no nonsense way.
"Yeah."
"Agreed."
"What Sir Bedivere has said."
"She's also not scared to answer back. Quite refreshing." Sir Gwaine adds before smiling at Ayrmida's pointed look at him.
"Generally speaking you like her." King Arthur was met with more nods and affirmative responses.
"And what's the feedback from the ladies?" Those who were allied closely with Queen Guinevere gave the same replies that the knights had on Ayrmida while those who didn't like her and was probably planning to seduce Arthur just shrugged or remained silent.
Sir Dagonet was right, why was the King asking so much questions about her and to her?
"Well I think it's about time we wrap this up." You hear the relieved sighs of some members of the court. Some people cried out questions about his Grail quest but he ignored them and turned his attention back at Ayrmida with a hidden mischief in his smile once again.
"Has this been an insightful and satisfying experience for you?" Ayrmida smiles, nods and takes a breath.
"Yes it has. Thank you so much for this...father."
What?!
Father?!
You hear the surprised sounds of court.
"I'm sorry for the surprise to everyone. But it was part of her wish for her twelfth birthday." Arthur stands up as he goes to Ayrmida's side.
"I would like to formally introduce my eldest daughter, Ayrmida Targaryen Pendragon. Daenara, Daeron, you can reveal yourselves now." The hooded figures close to Ayrmida revealed themselves and you hear more gasps in the room.
The woman, Daenara Targaryen, the King's first wife is not just alive, she is here before all in court. She was definitely ethereally beautiful with her silvery blond hair and vibrant violet eyes. The boy, Daeron, Ayrmida's twin brother, looked a lot like King Arthur but with his mother's violet eyes.
"This is my son Daeron, and this is my first wife Daenara Targaryen. The Grail."
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lepetitdragonvert · 3 years ago
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La Quête du Saint Graal et la Mort d’Arthus by “Gauthier Map”
.c. 1301-1400
Source : Bibliothèque Nationale de France, département des manuscrits
Notice du catalogue : http://archivesetmanuscrits.bnf.fr/ark:/12148/cc49902t
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