#guenievre est sublime
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frisquette27 · 2 years ago
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Je crois qu'il faut vraiment que je me fasse soigner quand je vois les idĂ©es qui me trotte dans la tĂȘte franchement. Enfin bref, toujours avec les notes des choses les plus dĂ©biles que j'aurais du ecrire dans une autre histoire. Voici le chapitre 2 :
UN PHILTRE SANS PHILTRE (PARTIE 2)
GueniĂšvre avait entrainĂ© plus loin le seigneur Perceval, de un plus loin car dĂ©jĂ  elle avait dĂ» mal Ă  ne pas rire en voyant la tĂȘte de son mari et de deux surtout plus loin car elle Ă©tait dĂ©cidĂ©e Ă  ce que le chevalier comprenne les intentions d’Angharad. Sa suivante Ă©tait amoureuse du chevalier depuis tant d’annĂ©e cependant leur relation n’avait pas Ă©voluĂ© depuis. Aujourd’hui elle avait la ferme intention de dire tout ce qu’elle pensait et peu importe les consĂ©quences. Elle qui Ă©tait si rĂ©servĂ©e d’habitude.
« Seigneur Perceval je suis dĂ©solĂ© de vous dĂ©ranger et surtout de me mĂȘler de ce qui ne me regarde pas ! OĂč en ĂȘtes-vous avec Angharad ? »
« Angharad mais je ne l’ai pas vu aujourd’hui ma Reine, franchement je sais pas ou elle est »
« OĂč en ĂȘtes-vous cĂŽtĂ© sentiments »
Vu l’expression du chevalier, elle devait ĂȘtre plus directe si elle ne voulait pas y passer la nuit.
« Bon est ce que vous l’aimez ? »
« Heu Ă  vrai dire je l’aime bien »
Elle souffla, elle n’était pas rendue avec lui.
« Non est que vous l’aimez d’amour, vous savez comme un couple qui s’aime, enfin vous savez bien les choses de l’amour et tout ça »
« Ah comme vous et le Roi ? »
Elle Ă©clata de rire.
« Non non non surtout pas comme moi et 
mon Ă©poux, le contraire plutĂŽt »
« Ben vous et le Roi vous vous aimez d’amour »
« Non mais c’est pas vraiment le sujet-là »
« Vous n’aimez pas le Roi ? Mais il vous aime, lui »
« Bon on vas pas y arriver, le Roi ne m’aime pas mais vous est ce que vous aimez Angharad car elle vous aime et elle attend dĂ©sespĂ©rĂ©ment que vous l’épousiez »
« Elle voudrait devenir ma femme vraiment ! Mais est ce que je peux Ă©pouser la suivante de la Reine j’ai le droit de faire ça »
« Oh que oui vous avez le droit d’épouser qui vous voulez »
« Ah et du coup faut que j’aille lui demander maintenant c’est ça »
« Enfin si vous le voulez bien sĂ»r ! vous savez quoi, oui allez lui demander maintenant c’est une trĂšs bonne idĂ©e »
« Bon j’y vais mais qu’est-ce que je lui dis ? »
« Essayer avec Epousez moi, cela devrait suffire »
Le chevalier fit ce qui devait certainement dans sa tĂȘte ressembler Ă  une rĂ©vĂ©rence et se dirigea d’un pas assurĂ© vers le chĂąteau. Alors qu’il avait Ă  peine fait trois pas, le seigneur Perceval se retourna.
« Ma reine vous vous trompez le Roi il vous aime, il ne le sait peut-ĂȘtre pas encore mais il vous aime »
*******
Dans le laboratoire, les deux enchanteurs se disputaient une nouvelle fois, et cette fois au sujet du rangement ou plutĂŽt du non-rangement des affaires de Merlin.
« A un moment donné soit vous me virez illico presto toutes vos cochonneries de cette table soit je vous les mets dans la tronche »
« OH mais euh ! c’est mon laboratoire Ă  la base quand mĂȘme »
« Peut-ĂȘtre mais comme je suis obligĂ© de cohabiter avec vous, vous allez me ranger ce bordel car je ne sais pas travailler dans ces conditions »
« Oui ben il y a pas que mes affaires lĂ , vous allez pas me dire que c’est pas Ă  vous cette fiole »
Elias prit la potion que Merlin lui tendait.
« Effectivement celle-lĂ , c’est bien la mienne vu quelle est Ă©tiquetĂ©e correctement et qu’à priori elle ressemble Ă  une vraie potion »
L’enchanteur l’examina, puis ses yeux s’agrandir de terreur.
« Attendez c’est la potion pour la Reine, dites-moi je vous en supplie qu’il ne vous manque pas une de vos saletĂ©s »
« Oh tout de suite ! Elle a dĂ» partir effrayĂ© par tous vos cris c’est tout ! »
« Je l’espĂšre pour vous parce que sinon on n’est pas dans la merde moi je vous le dis »
« Pfff »
Les deux hommes se dĂ©fiĂšrent du regard quand soudain en mĂȘme temps ils pensĂšrent Ă  la mĂȘme potion.  Oh non pourvu que non, ben si elle Ă©tait plus lĂ .
« Vous l’avez jetĂ© bien sĂ»r »
« Non »
« Ah ben on est mort ! »
********
GueniĂšvre de plus en plus joyeuse croisa sa mĂšre dans un couloir, comme ivre elle lui sourit contente de la trouver sur son chemin. Sourire qu’elle perdit immĂ©diatement dĂšs que sa mĂšre s’adressa Ă  elle.
« Mais comment vous vous ĂȘtes attifĂ© aujourd’hui, vous ne pensez quand mĂȘme pas que ce sont des façons pour une Reine, c’est votre mari que vous devez affoler pas l’ensemble de la gent masculine de ce chĂąteau »
« Mais je l’aime bien ma robe »
« Ah c’est sur quand il s’agit de faire des conneries vous ĂȘtes pas la derniĂšre, Allez-vous changer »
« Non j’ai pas envie »
« Ah mais je vous demande pas votre avis »
« Je vous le donne quand mĂȘme, je m’habille comme je veux, je vais oĂč je veux et je fais ce que je veux ! Et comme vous savez si bien me le faire remarquer je suis la REINE donc si ça vous plait pas vous allez qu’à rentrer en CarmĂšlide voir si j’y suis »
Soulevant lĂ©gĂšrement sa robe, la tĂȘte haute, GueniĂšvre planta sa mĂšre dans le couloir poursuivant son chemin. Si ce qu’elle faisait ne plaisait pas aux autres, tant pis pour eux. Les effets de la potion s’accentuaient, ses Ă©motions avait dĂ©passĂ© le stade de l’euphorie.
******
Arthur n’en revenait toujours pas, sa femme avait osĂ© lui faire des allusions en dessous de la ceinture, non il se trompait, il avait les idĂ©es mal placĂ©es. Sa femme Ă©tait bien trop prude et puis jamais elle ne se moquait de lui. Elle Ă©tait gentille avec lui, beaucoup trop gentille pensa-t-il. Et cette robe qui ne laissait peu de place Ă  l’imagination, pourquoi portait-elle une robe aussi 
non non il devait penser Ă  autre chose qu’au buste de sa femme, d’ailleurs elle avait une magnifique poitrine, ah non il devait rĂ©ellement penser Ă  autre chose. Le seigneur Karadoc lui tenait la jambe dans le couloir, il ne l’écoutait pas du tout d’abord car cela devait ĂȘtre totalement inintĂ©ressant et puis il Ă©tait beaucoup trop absorbĂ© dans ses pensĂ©es. Il n’avait mĂȘme pas entendu la femme du chevalier les rejoindre.
« Donc vous comprenez avec ma femme on pensait que cela vous dérangerez pas si on reste encore un peu histoire de trouver un quartier général »
« Hein de quoi »
« Sire, vous comprenez avec les enfants nous ne pouvons pas vivre dehors »
Elle le regardait droit dans les yeux avec dĂ©fi, il l’avait Ă©jectĂ© du trĂŽne, de son lit, il n’allait quand mĂȘme pas la foutre dehors en plus. Beaucoup trop rancuniĂšre, elle pensait dĂ©jĂ  Ă  sa vengeance et a sa gourdasse de femme qui en ferait les frais. Le Roi la regarda un peu perplexe, il avait dĂ» renoncer Ă  cette femme qu’il pensait aimer et pourtant elle Ă©tait lĂ  devant lui et son cƓur ne s’affolait plus, pire il se rendait compte que mise Ă  part l’interdit, il ne la trouvait plus si intĂ©ressante alors certes elle lui rappelait les romaines dans son attitude et par son intelligence. Elle savait ce qu’elle voulait, il avait toujours aimĂ© les femmes de caractĂšre mais cette femme avait voulu l’homme ou le Roi. Il connaissait dĂ©jĂ  la rĂ©ponse et elle ne lui plaisait pas.
« Ah mais voilà nos grecs ! »
GueniĂšvre venait de faire son apparition dans le couloir. Au son de sa voix Arthur avait instinctivement tournĂ© son regard vers elle, elle Ă©tait vraiment magnifique avec ses cheveux lĂąchĂ©s et son petit air revĂȘche, depuis quand la trouvait il aussi jolie, ah oui, dĂ©jĂ  quand il l’avait dĂ©livrĂ© sur le camp de Lancelot, il l’avait trouvĂ© magnifique sans tout son attirail de reine et quand elle avait posĂ© sa main sur joue il avait eu un petit coup au cƓur mais bon maintenant tout est redevenu comme avant non. Ben non a priori son cƓur avait l’air de pensait le contraire.
« Des Grecs ? OĂč est qu’il y a des grecs Ma Reine »
Karadoc avait été le premier à réagir, GueniÚvre se rapprocha de lui et en lui posant la main sur son bras, elle lui sourit.
« Voyons seigneur Karadoc vous n’ĂȘtes pas Grec ? Parce qu’à priori votre femme, elle est Grec bon d’aprĂšs mon mari »
« On vient de Vannes, nous ! »
« Ah ben il a dĂ» se tromper ou alors c’est moi qu’il trompait tout simplement mais vous n’avez pas de coutume particuliĂšre en ce qui concerne les baisers dans les cuisines, je ne sais pas moi pour dire bonjour peut ĂȘtre »
« Dans les cuisines moi je mange, en mĂȘme temps je mange un peu partout »
« Aaaah Alors les baisers c’est un peu partout »
Arthur n’arrivait pas Ă  suivre la conversation saugrenue trop obnubilĂ© par la main de son Ă©pouse sur le bras de Karadoc. Une colĂšre sourde grimpait en lui, pourquoi avait-elle la main sur lui et pourquoi elle ne la retirait pas. Ses poings se serrĂšrent, il devait contrĂŽler cette colĂšre sinon son poing allait partir tout seul dans la tronche de son abruti de chevalier.
« Je ne voudrais surtout pas enfreindre le protocole en ne respectant pas vos coutumes »
ƒil pour Ɠil dent pour dent, avec un sourire carnassier, elle se redressa sur la pointe des pieds et se rapprocha dangereusement du seigneur Karadoc. Elle posa dĂ©licatement ses lĂšvres sur ce dernier, moins d’une seconde mais ce baiser fit vriller totalement le Roi, d’abord la bouche ouverte, il ne rĂ©agit pas, puis il hurla.
« NON MAIS VOUS AVEZ TOTALEMENT PERDU LA TETE !!! »
Ignorant les cris de son mari, elle sourit au chevalier.
« Bonne journĂ©e seigneur Karadoc » puis se tourna vers la femme qui la regardait estomaquĂ© « bon vous je sais pas comment on dit bonjour en grec quand au baiser mon mari s’en ai dĂ©jĂ  occupé »
Et sans attendre son reste, elle reparti comme elle Ă©tait venu. Laissant son Ă©poux dans une rage folle, elle avait embrassĂ© l’autre quiche, lui il n’avait pas le droit de gouter Ă  ses lĂšvres, qu’il l’attirait tellement et elle, elle avait embrassĂ© un autre homme. Ah non, elle n’allait pas se barrer comme ça, il la poursuivit dans le couloir en hurlant.
« NON MAIS EN PLUS VOUS ALLEZ PAS VOUS BARRER, REVENEZ IMEDIATEMENT
..GUENIEVRE JE PLAISANTE PAS 
GUENIEVRE »
« Vous avez comprit de quoi elle parlait vous, avec la cuisine et tout »
« Laissez tomber, mon ami, laissez tomber »
Elle s’était mise Ă  courir en riant, semant son Ă©poux qui se demandait depuis quand sa femme Ă©tait-elle devenue aussi rapide. Elle Ă©tait devenue folle, il n’y avait pas d’autre explication, elle avait embrassĂ© Karadoc. Non mais il ne pouvait pas le croire, c’était quoi cette audace, depuis quand elle Ă©tait aussi audacieuse et pourquoi elle ne l’avait jamais essayĂ© de l’embrasser lui d’abord. Ah oui il ne voulait pas qu’elle l’approche, et pourtant si elle avait osĂ© lui faire ça, comment aurait il rĂ©agit, non non il dĂ©rapait total.
*******
GueniĂšvre avait semĂ© facilement son mari, au dĂ©tour d’un couloir, elle connaissait tellement ce chĂąteau Ă  force d’y errer si souvent. Parce qu’il fallait ĂȘtre honnĂȘte ses journĂ©es n’était pas vraiment rempli, de la broderie, des discussions avec sa mĂšre, et de temps en temps elle pouvait donner son avis sur les jardins. Enfin donner son avis Ă©tait un bien grand mot, d’ailleurs en parlant de jardin, une idĂ©e lui traversa l’esprit. Riant de son idĂ©e, elle opĂ©ra un demi-tour direction les jardins et au pas de course.
Elle avait trouvĂ© deux jardiniers, et leurs demanda d’arracher tout le jasmin d’hiver jaune.
« Ma Reine, c’est le Roi qui avait donnĂ© l’ordre de planter ce jasmin »
« Oh oui je sais pour les amours inavouĂ©s, enfin il ne l’est pas restĂ© longtemps inavouĂ© son amour !! »
Les deux hommes ne comprenaient rien Ă  ce que la Reine pouvait raconter, ils se cantonnaient de secouer la tĂȘte devant le dĂ©bit de parole de leur souveraine. Elle avait l’air bien agitĂ©e aujourd’hui, elle remuait les bras dans tous les sens et parlait de plus en plus vite et de plus en plus fort.
« Alors il pense certainement que je sais pas ouvrir un bouquin, mais bon quand j’ai appris que c’était lui qui avait demandĂ© que l’on plante ses fleurs, ben moi je me suis dit c’est pas normal d’habitude il s’en fout du jardin ..hein vous comprenez
en plus moi je voulais des fleurs rouge..au dĂ©but j’ai pensĂ© Ah ben oui c’est comme d’habitude il veut me faire 
enfin vous voyez quoi 
.d’ailleurs j’aurais du me mĂ©fier mais bon comme je suis la Reine des GOURDASSES ..ben j’ai pas compris 
donc j’ai dĂ©couvert le jasmin d’hiver, alors oui ce machin-lĂ , c’est pour les amours inavouĂ©s 
non mais arrĂȘtez de secouer la tĂȘte bĂȘtement. »
« Oui ..oui Ma reine »
Elle souffla, essayant de ralentir sa respiration, elle était beaucoup trop énervée, elle ne maitrisait plus vraiment. AprÚs quelques secondes, elle reprit plus calmement.
« On vas faire simple, vous m’arrachez tout ce truc jaune, ordre de la REINE, et vous me le faite livrer enfin dĂ©verser complĂštement dans la chambre du seigneur Karadoc, c’est bon, c’est clair !»
« Oui, oui ma Reine » dirent les deux hommes Ă  l’unisson.
« Bon parfait »
Elle repartit vers le chĂąteau, en croisant un garde, elle lui expliqua la mission des jardinniers et lui demanda de bien veiller Ă  que tout soit fait selon ses ordres.
« D’ailleurs je vais vous donner un mot Ă  dĂ©poser avec, c’est important de laisser un mot quand on offre des fleurs Ă  une femme »
*******
Arthur avait l’impression d’avoir fait tout le tour du chĂąteau et pourtant il ne trouvait pas sa femme, ce n’était pas vrai, il n’avait pas le temps de jouer Ă  cache-cache avec elle.
« Sire »
Ah non il n’avait pas le temps pour ça non plus ! D’ailleurs pourquoi Merlin faisait cette tĂȘte, oh cela sentait les conneries.
« Qu’est ce que vous avez encore fait !»
« Tout de suite ! »
« Pourquoi vous avez pas fait une connerie peut ĂȘtre »
« Heu enfin ça dĂ©pend !  Vous avez vu la Reine aujourd’hui »
« Je la cherche justement..attendez mais oui c’était pas normal son attitude, qu’est ce que vous lui avez fait espĂšce de pignouf »
« Son attitude, elle a quoi d’inhabituel l’attitude de la Reine » demanda l’enchanteur tout penaud
« Disons qu’elle est ..enfin elle est plus ..Non mais sĂ©rieusement qu’est-ce que vous avez foutu..encore »
Merlin entreprit d’expliquer la visite de la Reine dans son laboratoire, son mal de tĂȘte, la dispute avec Elias et la malencontreuse erreur de potion. Plus l’enchanteur se perdait dans les dĂ©tails, plus la patience du Roi Ă©tait mise Ă  rude Ă©preuve.
« Et du coup cette potion foireuse elle doit faire quoi exactement »
« Celle d’Elias devait rendre les personnes moins coincĂ©es, plus dĂ©sinhiber un truc dans le genre »
« Ah la vache! Il marche le machin! Pour ĂȘtre dĂ©sinhibĂ©, il y a pas de problĂšme et pourquoi la vĂŽtre elle est foirĂ©e »
« D’aprĂšs l’autre j’ai forcĂ© sur les ingrĂ©dients mais bon j’avais raison elle fonctionne du coup »
« Combien temps ça fait effet ? »
« Aucune idĂ©e, quelques heures, un jour ou peut ĂȘtre plus mais c’est pas irrĂ©versible »
AprĂšs avoir laissĂ© son mot au garde, la Reine voulut se rendre dans la salle des archives, elle mourrait d’envie d’emprunter tous les livres qu’elle voulait et cette fois l’autre cureton n’allait certainement pas lui interdire l’accĂšs. C’était complĂ©tement fou, que tout le monde se ligue contre elle, aprĂšs tout pourquoi ne pourrait-elle pas se cultiver un tant soit peu , personne ne la respectait dans ce chĂąteau, elle Ă©tait juste de la dĂ©coration et encore au vu de ce que pensait son mari, elle Ă©tait plutĂŽt de la dĂ©coration moche.
« Ah il manquerait plus que cela !»
*******
La porte Ă©tait fermĂ©e Ă  clef, elle jouait de malchance. Elle se rappela qu’il y avait une rĂ©union de la table ronde, voilĂ  ou devait se trouvait l’autre grand machin, tant pis elle allait dĂ©ranger tout le monde.
Elle rentra sans frapper, tous les chevaliers se tournĂšrent vers la porte, persuadĂ© que c’était enfin le Roi qui daignait les rejoindre. Quelle fut leur surprise quand ils virent la Reine s’avancer dans la salle et s’assoir directement dans un siĂšge.
« Ben alors Messieurs, c’est quoi ces tĂȘtes, de quoi vous discutiez » dit elle avec un sourire Ă  Ă©clairer toute la bretagne.
« Vous pouvez m’expliquer clairement ce que vous faite lĂ , c’est pas un salon de thĂ© ici et puis c’est quoi cette tenue, vous avez croisĂ© votre mĂšre aujourd’hui »
« Oh pĂšre je sais bien que c’est pas un salon de thĂ© et puis d’abord c’est pas vous que je suis venue voir »
Elle se tourna vers le pĂšre Blaise
« Vous avez fermĂ© la salle des archives, j’ai besoin d’emprunter des livres »
« Afin pourquoi vous voulez emprunter des livres ? »
« Bah pour lire »
« Sinon vous avez qu’à m’ignorez tant que vous y ĂȘtes, votre robe lĂ , votre mĂšre la vue »
« Ben quoi ma robe, elle est jolie ma robe, qu’est ce vous en pensez seigneur de Rinel »
« Vous ĂȘtes magnifique ma Reine »
« Merci, ben vous voyez »
« Non mais ça compte pas »
« Pourquoi ça compte pas »
« C’est un con »
« Et alors je pensais que finalement c’était une compĂ©tence demandĂ©e pour ĂȘtre chevalier Ă  la table ronde, d’ĂȘtre con »
« Alors je vous rejoins on a quand mĂȘme une belle bande d’abruti mais de lĂ  Ă  dire que c’est une prĂ©rogative pour le recrutement »
« Il y a quoi se poser des questions non ? »
LĂ©odagan sourit Ă  sa fille, depuis quand sa gamine se permettait d’ĂȘtre insolente, cela lui plaisait bien du coup.
« Et sinon vous savez oĂč il est votre pignouf de mari ? »
« Houla , je suis incontestablement la moins bien placĂ© pour y rĂ©pondre, certainement avec une de ses maitresses ou avec la femme de l’un d’entre vous »
De plus en plus amusĂ© par l’attitude de sa fille, le Roi de CarmĂšlide continua
« Sinon votre mĂšre vous l’avez croisé ? »
« Oui d’ailleurs si vous la cherchez elle doit ĂȘtre en CarmĂšlide »
« Hein »
« Bah oui pour voir si j’y suis voyons « 
LĂ©odagan Ă©clata de rire, les autres chevaliers regardaient perplexe cet Ă©change.
« Et du coup vous parliez de quoi avant que j’arrive »
« Ma reine, nous Ă©changions sur la quĂȘte du Graal en attendant que le Roi arrive » rĂ©pondit poliment le seigneur Bohort
« Ah mais oui d’ailleurs vous ne l’avez toujours pas trouvĂ© ce bidule »
« Ma Reine la quĂȘte est des plus complexe, nous cherchons encore Ă  savoir si le Graal est une coupe ou un rĂ©cipient »
« Non vous ĂȘtes sĂ©rieux, parque une coupe ce n’est pas un rĂ©cipient peut ĂȘtre !  Bon ben moi je vous laisse Ă  mon avis le Graal il pourrait ĂȘtre dans les cuisines que personne ne le trouverait »
« Ah ben s’il Ă©tait dans les cuisines je l’aurais trouvé » rĂ©pliqua le seigneur Karadoc
La reine se dirigea vers le pĂšre Blaise et tendit sa main ouverte vers lui.
« La clef s’il vous plait »
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frisquette27 · 2 years ago
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😍😍😍😍je suis dingue d elle dans le livre IV ..elle est trooop craquante
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gueniĂšvre + automne
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katewalker · 3 years ago
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c’est parti pour ma review ‘top of the pops’ de cette fantastique fic, je mets tout sous un read more parce que ça va ĂȘtre trĂšs long (et tumblr me laisse pas formater les screenshots d’une maniĂšre digeste, donc dĂ©solĂ©e pour ça) :
On commence fort avec une nouvelle disquette et le comeback de gueniĂšvre qui m’a mis Ă  terre, on vient de commencer la lecture ça s’annonce dĂ©jĂ  exceptionnel (et arthur en mode all panic and no disco, qu’elle drama bitch, je l’aime). Et LĂ©odagan, quel king tout au long de cet fic <3.
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Ensuite ce nom de groupchat, j’approuve (j’aime aussi bcp la variation les 3 Mousquetaires + Arthur hahahaha)  Arthur ce canard au tĂ©l avec sa femme pendant 2h30 💖 stp dis-moi qu’ils ont passĂ©s 20min Ă  faire le summum du cul-cul la praline: “non c’est vous qui raccrochez.... Ă  trois. Un. Deux. Trois.... Ohh vous avez pas raccrochĂ© :3″ et qu’il s’est fait surprendre par un chevalier et qu’il a raccrochĂ© sur un coup de flippe et qu’il a dĂ» s’excuser auprĂšs de GueniĂšvre le soir venu.
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dkjfhqdfksdhf meilleure introduction Ă  cette disquette. ET GUENIEVRE QUI A BABY SHARK EN SONNERIE JE HURLE. đŸ„șđŸ„ș💖Et est-ce que j’ai dĂ©jĂ  dit qu’Arthur Ă©tait un gros canard ? Et GueniĂšvre qui est si smooth, je vis pour ça.
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Arthur qui panique et va voir Perceval par rĂ©flexe đŸ„ș💖đŸ„șTout ce passage est goldĂ© avec Arhtur qui les vire tous un par un et qui les rĂ©intĂšgre (mĂȘme si LĂ©odagan est Ă  ça đŸ€)
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J’ai voulu criĂ© quand j’ai vu comment ce nouveau groupchat a Ă©tĂ© renommĂ© (est-ce que c’est LĂ©odagan qui l’a renommĂ© comme ça ? Please tell me so)
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Nan, mais comment tu as rĂ©ussi Ă  dĂ©velopper autour de ma connerie sur celle-lĂ , tellement mieux que ce j’aurai pu imaginer moi-mĂȘme. Arthur sur la dĂ©fensive DIREK parce que Karadoc parle Ă  GueniĂšvre, la disquette, GueniĂšvre encore une fois smooth AF 💖
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FSDFSDFSDSD Bohort qui vient pourrir le groove d’Arthur en plein milieu de sa tentative c’est juste MAGNIFIQUE et Gueniùvre qui se moque gentiment, je l’aime tellement.
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En tant que grande sƓur, ça m’a fait beaucoup rire parce que c’est typiquement une remarque que je pourrais faire lmaooooo
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GUENIEVRE QUI UTILISE UN KAOMOJI NEED I SAY MORE??
☆*: .ïœĄ. o(≧▜≊)o .ïœĄ.:*☆
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J’aime bcp la disquette des tournesols de base, mais amenez comme ça c’est *chef’s kiss* et cette fin “mais vous ĂȘtes encore lĂ  ? plus maintenant” MAIS QUEL DRAMATIC BITCH dsfqsgqsgqsfg
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Elle est si douĂ©e pour draguer son mari, je suis amoureuse đŸ„°đŸ„°đŸ„°Je pense je suis pas la seule, tout l’échange sur Arthur qui capte qui se passe un truc et GueniĂšvre qui est lĂ  genre “non ❀”. PAR-FAIT
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Merlin basic astro bitch, je valide. Pauvre Perceval only trying to help and stating accurate scientific facts. GueniÚvre qui flirt back ALORS QUE SA MERE EST EN TRAIN DE LIRE kdfslfjsfdksjdf Déso Séli, mais je crois que ta fille a prévu de manger autre chose ce soir
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Il est si fier de lui INSUP/20 lmaoooo mais en vrai il a raison, il a tout défoncé et ultimement il se retrouve comme quiche.
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L’introduction de mon running prĂ©fĂ©rĂ© dans cette fic. Ca valait vraiment le coup de l’ajouter, je l’adore..
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J’ai couinĂ© SI FORT!!!!!!!!!
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Disquette inĂ©dite + Merlin qui arrive Ă  ĂȘtre drĂŽle + Arthur qui perd son sang froids + Kaomoji = one of the best moment <333 (les petits Merlin/Elias undertones pas dĂ©plaisants)
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LE RETOUR DE BONIFACE!!!! Meilleur perso pour la faire celle-lĂ , je suis aux anges (pun intended). Avec SĂ©li qui roast pour sublimer le tout. Parfait.
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Le coup de la belle petite poule, je crois que celle que j’aime le plus dfsdfsdfsd Nan en vrai j’arriverai pas Ă  trouver ma disquette prĂ©fĂ©rĂ©e, mais celle lĂ  est donnĂ©e tellement innocemment, je vois tellement Arthur faire du keysmash Ă  taper sur son Ă©cran avec son poing (ce que je fais parfois aussi sdgqdgsgsdgds)
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Pauvre Gauvain bĂ©bou et Yvain qui se casse juste derriĂšre qsdqsdq j’ai juste adorĂ© ce petit moment.
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LA DISQUETTE ULTIME. GO FOR IT GUENIEVRE! 💖💖
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Bref voilĂ , c’était si bien et tout ce que j’ai pas abordĂ© je l’aime d’amour aussi c’est juste que lĂ  ça fait dĂ©jĂ  assez long et en fait du premier mot au dernier, j’ai tout aimĂ©, et encore une fois t’ĂȘtre donnĂ© tant de mal avec le code et d’avoir broder tout autour en y intĂ©grant la petite rĂ©fĂ©rence qui va bien (genre le oh la la de GueniĂšvre que j’entends parfaitement dans ma tĂȘte et qui me rend zinzin) et rendre ça fluide et juste merci merci merci encore. Cette fic est rentrĂ©e directement dans ma liste de comfort fics.
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Toutes les disquettes de sa vie (en lui rĂ©unies, son Ăąme sƓur, son Ă©gĂ©rie, le hĂ©ros de toutes ses envies)
Une fic Kaamelott oĂč Arthur essaye dĂ©sespĂ©rĂ©ment de draguer sa femme. Plottwist : ça tourne mal. Tout le monde s'en mĂȘle. La 3Ăšme va vous surprendre.
Bon anniversaire @katewalker ; tu peux pas savoir comme je suis heureuse te t'avoir trouvĂ©e ♄♄♄.
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