#littérature pour jeunesse
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louisstephaneulysse · 16 days ago
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lesparaversdemillina · 3 months ago
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Thieves' Gambit T1 de Kayvion Lewis
Ross Quest, voleuse de 16 ans, doit gagner un concours pour sauver sa mère kidnappée. Le récit est captivant, avec une dynamique authentique. Note: ★★★★
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lire1x · 3 months ago
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Les coquillages ne s'ouvrent qu'en été de Clara Héraut
L’été tire rapidement vers sa fin. Les élèves belges et suisses francophones ont déjà repris le chemin de l’école, alors que les Français savourent encore les derniers instants de leurs congés estivaux. Certaines appellations laissent croire à tort que leur lecture est réservée à la période estivale, du 21 juin au 20 septembre. « Les coquillages ne s’ouvrent qu’en été », de Clara Héraut, fait…
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aforcedelire · 5 months ago
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Le soleil est pour toi, Jandy Nelson
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Noah et Jude sont jumeaux et ont une complicité hors du commun. Sous le soleil de la Californie, Noah dessine et peint comme si sa vie en dépendait, et Jude, elle, sculpte des femmes de sable à longueur de temps. Aujourd’hui âgés de 16 ans, ils ne se parlent plus : un drame les a anéantis, et chacun doit se relever avant de pouvoir se retrouver.
J’ai vraiment beaucoup beaucoup aimé ! Le soleil est pour toi fait partie de ces romans qui m’ont toujours attirée et fait envie, et je suis très contente de l’avoir dévoré ce week-end. J’ai particulièrement apprécié la façon dont c’était écrit : l’autrice nous propose le point de vue de Noah à ses 13 ans, puis celui de Jude à ses 16 ans. Et petit à petit, on comprend qu’il s’est passé quelque chose de grave entre eux, quelque chose de grave dans leur famille, et au plus on avance, au plus les pièces du puzzle s’imbriquent, jusqu’à avoir le dessin final. J’ai beaucoup aimé. On parle de deuil, de secrets de famille, d’homosexualité, de premières expériences, du premier (vrai) amour, et surtout, d’art. La sculpture et le dessin sont au centre de ce roman, des personnages à part entière.
Et en parlant de personnages, je les ai toustes adoré. La solitude de Noah et la luminosité de son monde intérieur, l’effronterie et la solitude de Jude, la brutalité de Guillermo, la douceur d’Oscar, la multiplicité de la mère… Ils étaient tous super bien construits, profonds, et j’ai adoré en découvrir de plus en plus sur eux toustes. Et, enfin, c’était aussi une histoire de destin : tous leurs chemins étaient amenés à se croiser, comme si ça semblait écrit d’avance.
Pour finir, ça m’a beaucoup rappelé les romans que je lisais à 13-14 ans, et ça m’a fait beaucoup de bien !
22/06/2024 - 24/06/2024
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lecturedesam · 2 years ago
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Orgueil & préjugés - 1.Les Cinq filles de Mrs Bennet
Orgueil & préjugés – 1.Les Cinq filles de Mrs Bennet
  Auteur : Aurore Titre : Orgueil & préjugés – 1.Les Cinq filles de Mrs Bennet ISBN : 9782302077461 Format numerique – Groupe Delcourt Bandes déssinées       4eme de couverture :  L’arrivée d’un jeune, bel et riche jeune homme va mettre en émoi une bourgade cossue et ses occupantes en quête d’un époux. Tout Longbourn est en émoi depuis l’arrivée du fortuné Mr Bingley ! Menacée par un testament…
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justforbooks · 21 days ago
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Montolieu est l’étape idéale pour les amoureux du livre
Montolieu (Aude) constitue une agréable escapade à quelques kilomètres de Carcassonne. Ce « Village du Livre & des Arts » rassemble 17 librairies et a séduit de nombreux écrivains par son charme. L’occasion d’une belle balade littéraire dans les rues du bourg.
C'est l'un des 8 villages du livre recensés en France. On y trouve des libraires de livres anciens et d'occasion mais aussi des professionnels des arts et des métiers du livre : relieurs, doreurs, graveurs, calligraphes, enlumineurs, fabricants de papier, imprimeries artisanales, éditeurs.
Dans les 17 librairies du village, on trouve principalement des livres d'occasion, avec du vécu… une histoire. Certaines sont spécialisées en livres jeunesses ou encore en littérature anglaise : il y en a pour tous les goûts.
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Après avoir visité Carcassonne et sa fameuse Cité médiévale, une étape par Montolieu (Aude), charmante commune située à une quinzaine de kilomètres, s’impose. Il s’agit d’un « Village du Livre & des Arts », autrement dit un bourg rural où sont installés des librairies et des commerces d’artisanat autour du livre.
Riche d’une longue histoire, puisque occupé depuis la Préhistoire, Montolieu est devenu un village du livre en 1990, à l’initiative de Michel Braibant, relieur belge installé à Carcassonne, explique l’office du tourisme du Grand Carcassonne. Son rapport avec les écrivains est toutefois plus ancien encore : le village en a inspiré beaucoup, comme l’autrice Anna Gavalda, qui a vécu à Montolieu quelques années.
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Au total, aujourd’hui, cette commune de 800 habitants compte 17 librairies de livres anciens, neufs ou d’occasion. « Certaines librairies ont justement des spécialités (BD, jeunesse, art, revues, journaux anciens…) », détaille l’office du tourisme. Les visiteurs peuvent aussi arpenter les 15 galeries ou ateliers d’art du village. Le bourg dispose par ailleurs d’un Musée des Arts & Métiers du Livre, où il est notamment possible de s’initier aux arts graphiques.
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Mais plus généralement, ce bourg pittoresque est l’occasion d’une agréable balade. Au détour de ses ruelles fleuries et de ses maisons anciennes, il est possible de découvrir l’église Saint-André, un édifice du XIVe siècle classé aux monuments historiques, l’ancienne manufacture royale de draps, ou encore la chapelle Saint-Roch, qui offre un magnifique panorama sur les environs.
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Situé sur les contreforts de la Montagne noire, au beau milieu des vignes, Montolieu ouvre sur de nombreux itinéraires de randonnée dans les gorges de l’Alzeau et de la Dure, avec ses ponts et ses moulins. « Oliviers, cyprès, variétés de cactus et arbustes fleuris mettent sublimement en beauté le paysage », assure l’office de tourisme.
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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christian-dubuis-santini · 11 months ago
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La plupart des classiques de la littérature jeunesse viennent d’être amputés du passé simple jugé trop difficile pour les enfants…
Le progressisme c’est le contraire du progrès, il n’y a de progrès que dans le symbolique.
Céder sur les mots c’est déjà avoir cédé sur les choses.
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dors-ee · 7 months ago
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Bonjour!
J'espère que tu ne m'en voudras pas de glisser un petit message dans ta boîte aujourd'hui!
Pour cette journée "Parle ta langue", je me demandais si tu aimerais nous présenter deux ou trois œuvres d'art françaises que tu apprécies particulièrement?
Evidemment, aucune pression ; ne réponds que si tu en as envie!
Je te souhaite une très belle journée!
Salut ! Aucun problème ! Art plastique j'admets préférer des peintres non français, en général. Après en littérature -j'ai fais une licence de lettres modernes- j'ai plusieurs auteurs que j'apprécie !
Albert Camus, du 20ème siècle, j'apprécie non pas seulement sa philosophie. La Peste est très poignant, une vraie histoire qui touche profondément. Caligula de ce dont je me souviens, pour quelqu'un qui n'apprécie pas plus que cela le théâtre, était assez agréable à lire. L'étranger, j'ai également bien apprécié, là aussi non pas uniquement pour la philosophie mais le personnage, l'histoire même. Camus était un romancier, même si j'ai l'impression qu'hors de France il est plus connu pour ses idées sur l'absurde.
À l'époque, jeune idiot en lycée, je n'accrochais pas mais maintenant des années après je dois citer Phedre de Racine. Je dois aussi citer Zola, Madame Bovary de Flaubert, et je n'ai plus le nom mais un truc obscur de fin 19eme. Je me souviens quand on a eu le nom en 1ere année de licence, puis lu le livre, tout le monde se demandait "mais c'est quoi ce truc?!". Mais j'en ai de bons souvenirs, ne serait-ce que pour l'étrangeté !
Pour Zola bien que c'était très laborieux à l'époque de le lire, jeune idiot en collège encore une fois, je reconnais aujourd'hui son apport. Et le fait qu'en vrai il est bien moins laborieux et ennuyant que Balzac! Quant à Madame Bovary je ne sais si je recommanderais de le lire. Il représente tellement bien l'ennui et sa souffrance à elle, ses aspirations, son ambition ses erreurs... Mais il est long et bien chiant soyons honnête. (Et c'est là qu'est son génie. Je trouve cela drôle).
En poésie j'apprécie Rimbaud, Les saisons, et autres je n'ai plus les noms exacts raaaaah, Baudelaire j'ai personnellement moins aimé, mais peut-être que c'était l'âge. Rimbaud me parlait plus. Jeune âme artiste torturé. Je me retrouvais dans ses élans émotionnels et élucubrations existentielles. Dans ses images surtout... J'adore ses images et son language.
J'ai perdu pas mal de références, je ne me souviens pas de tout... Donc je pense qu'il y en a plus pais ma mémoire me fait défaut.
Je citerai peut-être Antigone de Cocteau, là aussi mon idiotie de jeunesse me faisait le rejeter, mais il n'est pas si mal.
Maintenant, si tu permets, j'ai aussi lu des auteurs non français mais non anglais et certains j'aimerais en parler : Lampedusa et Le Guépard, très très intéressant et l'air de rien lui aussi peut aller assez en profondeur et faire réfléchir sur certaines choses. Il campe aussi la Sicile, à une certaine époque. Bien intéressant.
Zweig, magnifique, qu'en dire. Il est poignant, prenant, mais ausis exude un certain calme. Ce n'est pas le tumultueux Rimbaud, loin de là. Au contraire. Il n'est également pas aussi obscure et complexe que les russes. Et pourtant il parle d'émotions humaines, il donne des lessons qui touchent profondément rt marquent à jamais oserais-je dire. Je me souviendrai toujours de La Pitié dangereuse je pense. Ou de La confusion des sentiments. Ou de certaines de ses nouvelles.
J'ai aussi lu des auteurs russes, même si je ne sais si c'est vraiment une bonne idée d'en parler. Je dirais Dostoyevsky et Tolstoy sont... quelque chose. Chacun à leur manière. Mais Anna Karenina est lui aussi un de ceux qui restent en mémoire. Je n'aime pas Anna, ni Vronsky, ni son mari. J'aime Kitty et Levin, oh surtout Levin de ce dont je me souviens je pouvais tellement m'identifier à sa recherche de sens, son fonctionnement mental, ses pensées. Sa réponse était dans la famille la tradition et dieu... Mais je ne peux m'empêcher de penser et si ? Et si aujourd'hui ? Si il était un homme moderne avec tous nos philosophes ? avec les connaissances et diagnostiques...
A meek one, Crime et Chatiment de Dostoyevski m'ont marqué. Le grand inquisiteur... Mais bon Dois-je vraiment décrire Dostoyesvki ? Si vous avez des semaines à perdre à vous torturer et triturer les méninges je le recommanderais. Sinon... Je ne sais pas. Il apporte des choses évidemment mais il est si complexe !
Ah je pense à un dernier auteur français, plus un philosophe : Henri Bergson. Les philosophes ont tendance à m'énerver mais lui j'ai bien aimé.
Oh un dernier nom désolé ! Théophile Gautier (h ou sans h je ne sais plus. Les tags disent sans h donc sans h!). Bien pour des nouvelles ghotiques et fantastiques. (Je préfère largement à Maupassant je dois avouer. Jamais pu digérer Maupassant.)
Jeune j'ai apprécié quelques pensées sur l'art et le théâtre d'Artaud, et un peu de sa poésie. Mais je n'ai jamais pu pardonner son sexisme et sa misogynie. Je ne veux pas entendre l'qrgument "c'est son temps" pour lui. Si Monsieur était si spécial et un génie, il pouvait aller contre son temps non?
Oh non français... hum... celui qui a écrit la maison de poupée je crois... Icksen?
Bref je dois m'arrêter haha 🤣 (et retrouver le nom du gars avec sa torture ornée de gemmes oui celui qui était étrange et nous a tous questionnés en licence 1 haha).
Voilà j'espère que c'est ok haha !
Bonne journée à toi aussi ! Enfin, fin de journée si tu es sur la même timezone que moi !
(Je suis content d'avoir pu parler de littérature... je n'ai jamais terminé ma licence, dernier semestre non complété, et je suis maintenant perdu en psycho... La littérature me manque beaucoup. Donc c'est cool...).
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oviri7 · 4 months ago
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« Je n'abandonnai nullement mon goût pour l'idéal; je l'ai plus vif que jamais, je l'aurai toujours. Le moindre acte de vertu, le moindre grain de talent, me paraissent infiniment supérieurs à toutes les richesses, à tous les succès du monde. Mais, comme j'avais l'esprit juste, je vis en même temps que l’idéal et la réalité n'ont rien à faire ensemble; que le monde, jusqu'à nouvel ordre, est voué sans appel a la platitude, à la médiocrité; que la cause qui plaît aux âmes bien nées est sûre d'être vaincue; que ce qui est vrai en littérature, en poésie, aux yeux des gens raffinés, est toujours faux dans le monde grossier des faits accomplis. »
Ernest Renan - Souvenirs d’enfance et de jeunesse
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contesdefleurs · 1 year ago
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Lire ou ne pas lire assez : telle est la question
Lit-on assez ? Une question à laquelle certain-e-s disent non, encourageant ainsi la quantité de lectures.
Il y a de cela un moment, je voyais circuler l'idée selon laquelle on ne lit "pas assez". Qu'il faut lire un certain nombre de livres pour pouvoir écrire, que les récits imagés, comme les BD, mangas, et autres formats semblables, ne comptaient pas. Il est peut-être nécessaire de faire quelques rappels.
Pour commencer, nous vivons dans une époque où la jeunesse est décrite comme une génération manquant de l'intérêt pour la "sainte" lecture. Cette affirmation n'a jamais été aussi fausse. Avec la naissance d'internet et des réseaux sociaux, la multiplication des plateformes de lectures, les partages de textes, les nouveaux outils de lecture comme les tablettes par exemple, les formats, nous n'avons pas connu une jeunesse aussi intéressée par la lecture. Déjà parce que la lecture n'est plus réservée qu'à une classe sociale, mais en plus de cela l'apparition de nouveaux outils et leur accessibilité est plus répandue de nos jours. Une des différences majeures, c'est qu'elle ne s'intéresse pas à la même littérature, du moins pas à la littérature qu'on peut imaginer.
Les livres "classiques" n'intéressent plus les gens comme avant, tout simplement parce que la société a évolué. Continuer de considérer l'objet livre, la littérature classique et une forme unique comme étant des critères qui valident ou non la légitimité à se dire écrivain-e, ou même lecteurice, c'est tenir une position plutôt conservatrice. Sacraliser l'objet livre et des textes anciens, c'est ce qui caractérise des idées qui ne vivent que dans le passé sans accepter que l'on puisse évoluer. Cela montre aussi un manque de recul sur le fonctionnement d'une société. Si ses outils, ses objets et ses moyens évoluent, de fait, notre manière de lire, manger, se divertir va évoluer aussi. Rien de bien révolutionnaire finalement.
De plus, la quantité de lectures dépend d'autres facteurs. Certains d'entre eux, selon les milieux et les personnes, ne sont pas considérés comme légitimes également. De même que pour le livre et la littérature classique, on tente par ce genre de propos de suivre, voire défendre, des normes sociales dans le milieu de l'écriture et de la littérature. Oui, il est normal de ne pas pouvoir lire cinquante livres par an et de ne pas le vouloir aussi. Oui, on peut aimer lire et écrire en lisant peu et être écrivain-e. Même si l'accessibilité de la lecture est plus répandue, elle n'est pas simple pour autant. Même si la lecture est davantage possible dans différents milieux sociaux, elle est beaucoup plus présente dans les milieux privilégiés parce qu'ils ont, comme le nom l'indique, des privilèges qui permettent d'accéder plus facilement et plus régulièrement à la lecture et à la culture de manière générale.
En fin de compte, la lecture n'est pas quelque chose qui ne se résume que par l'action de lire. Comme dit dans un précédent billet, il y a des enjeux sociaux à prendre en compte. Si le mot "écrivain" devient un titre réservé à une élite dont les critères arbitraires résident dans la quantité de lectures notamment, alors il ne restera de ce mot que l'idée qu'il faut lire toujours plus. D'où l'injonction régulière de lire souvent. Mais qu'est-ce que cela signifie lire dans ce cas ? S'il y a des "excuses" plus acceptables que d'autres, pourquoi les facteurs sociaux seraient dans ce cas moins légitimes alors qu'ils montrent des inégalités que l'on observe déjà sur différents plans ?
Lire ou ne pas lire assez : tout dépend des critères qui sont instaurés, et surtout par qui. Personnellement, je pense humblement qu'il faut cesser de défendre des idées qui tendent juste à créer des hiérarchies qui ne serviront qu'à rassurer celleux qui ont besoin de légitimer une supériorité inexistante pour taire l'existence de leurs propres privilèges. Elles tendent à nier les inégalités et à banaliser les oppressions en dénigrant des classes sociales. Ce mot n'est pas vulgaire, il décrit une réalité. Il n'y a pas de chance ou de volonté, il y a des facteurs à prendre en compte. En parler met mal à l'aise, parce que cela prouve que cette supériorité n'est pas innée, n'est pas à récompenser et encore moins à applaudir. Peut-être que dans l'imaginaire collectif, elle existe et qu'elle représente un idéal de réussite. Dans le monde réel, il s'agit en vérité que d'une illusion idéologique.
Lire autant que l'on souhaite, si on le souhaite. Et écrire autant qu'on le veut, si on le veut. Lire et écrire en s'amusant, en prenant plaisir de le faire, parce qu'on apprécie ces activités, et non parce qu'il "faudrait" le faire, c'est probablement cela que l'on devrait défendre. Qu'en pensez-vous ?
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Merci pour ta lecture ! À bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
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ernestinee · 1 year ago
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J'ai terminé "Un sale livre", de Frank Andriat. J'étais dans un autre livre mais mon ado l'a lu pour l'école et il était tellement remué en me disant de le lire que j'ai déposé l'autre un petit peu. Ça m'a pris 2h, il y a 140 pages, je l'ai lu d'une traite.
C'est une histoire dans une histoire. On est dans une classe d'ados, qui reçoivent un livre à lire par leur prof de français qui est vraiment le genre de prof qu'on a envie d'avoir, gentille, ouverte et passionnée. Le livre qu'ils doivent lire raconte l'histoire de Nadir, immigré de Syrie, arrivé en France avec son père et sa sœur après que leur maman ait été tuée lors d'une raffle. On lit ce livre là en même temps que les étudiants. Chaque chapitre est le reflet du livre dans la vision d'une personne. La lectrice qui n'aime pas lire mais se plonge dedans tellement il est réel et utilise du vocabulaire normal, le père de la lectrice qui a feuilleté un peu et veut porter plainte contre l'école pcq le langage du livre est trop cru, la prof et sa passion, la documentaliste de l'école qui organise un débat tellement ce livre a remué les élèves, Faruk qui est lui aussi immigré de Syrie et dans l'école depuis quelques mois...
Les thématiques abordées sont nombreuses. Côté Nadir: le racisme, la condition des femmes, les conditions de vie sous daesh, ce que l'on ressent quand on doit fuir son pays et le laisser aux mains de barbares, changer de vie pour un avenir très incertain, se retrouver dans l'illégalité et arriver dans un pays qu'on croyait accueillant et qui finalement ne l'est pas tant que ça. Côté classe, ces thématiques sont abordées aussi et lorsque l'un des intellos de la classe sort que pour lui c'est "Un sale livre", on lit également l'avis des élèves sur ce que doit être un bon livre. Vaut-il mieux un vocabulaire cru mais vrai, qui montre vraiment la réalité ? Vaut-il mieux des belles phrases qui subliment la réalité au point de la camoufler ? Pourquoi la littérature jeunesse est-elle à ce point au ban pour certains érudits ?
La fin m'a mis les larmes aux yeux je comprends que mon ado me l'ait conseillé.
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metacarpus · 1 year ago
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les copaings j'ai écrit une nouvelle en français pour le concours Louise Weiss, si vous voulez la lire et me donner votre retour ça serait avec plaisir. ambiance littérature jeunesse
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francepittoresque · 5 months ago
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21 juin 1824 : mort du littérateur et académicien Étienne Aignan ➽ http://bit.ly/Etienne-Aignan S’attirant quelques épigrammes par ses larcins en littérature qui lui valurent le surnom de « Cosaque de l’Institut », celui qui montra dès sa jeunesse un goût prononcé pour la poésie ne dut la vie sauve qu’à la chute de Robespierre, puis s’essaya au théâtre et aux brochures politiques
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stiltonpocket · 1 year ago
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Heidi
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Heidi est un roman qui fait parti des plus célèbres récits de la littérature d'enfance et de jeunesse. Il a été écrit par la femme de lettres suisse alémanique Johanna Spyri, publié en 1880 et 1881. Grâce au dessin animé, l'héroïne du roman est devenue un personnage mythique connue dans le monde entier. 
Sa tante, Dete, laisse l’orpheline Heidi chez son grand-père, sur un alpage au-dessus de Maienfield dans le Canton des Grisons, en Suisse. Au détriment de ce que tout le monde croit, le vieil homme n’est pas dur du tout. Il s’attache bien rapidement à Heidi, en nous démontrant que les mauvaises langues parlent sans réellement connaître quelqu'un.  
Ici, nous parcourons ensemble une analyse des thèmes, les plus importants dans l'opéra, à travers ses personnages.
Nous commencons par le personnage là où tout à commencé: la tante Dete. 
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La tante d’Heidi n’est pas un personagge des plus aimables. 
Dete était bien jeune à la mort du père d’Heidi et a pris soin d’elle pendant quatre ans. La première fois qu’on lui a offert un emploi à Francfort, elle a refusé, non par compassion mais par sens du devoir. Pour être précis, elle souffrait l’idée d'être jugée par la société à cause d’un choix égoïste.  Ceci est souligné par le temps qu'elle passe en s’excusant envers les villageois tout en montant sur l���alpage avec Heidi. 
Il y a un autre élément essentiel à considérer, qui reviendra plusieurs fois dans la narration: le chalet perdu au sommet des montagnes représente un endroit éloigné par la société, où serait enfermé une partie de soi qui n’est ni acceptée ni intégrée. C’est exactement ce qui est passé à le grand-père et Dete génère la même dynamique avec Heidi: Heidi n’est rien d’autre que le devoir à qu’elle a été appelée et dont elle veut fuir, qui l'oblige à vivre dans quel petit village et à sacrifier ses opportunités de carrière. Il faut s’en débarrasser, où personne ne peut la voir.
Dès qu’elle apparaît dans cette histoire, elle est toujours en train de satisfaire un besoin personnel. Elle laissa Heidi chez son grand-père bien consciente de sa réputation, elle revint la récupérer puis la ramena à Francfort, lorsqu’elle vit une opportunité de gagner de l’argent. Elle essaie de dissimuler ses mauvaises intentions en prétextant qu’Heidi ait besoin d’une éducation. Il s’agit d’une opportunité que personne ne pourrait refuser.  Nous nous rendons compte qu’elle se désintéresse du bien être d’Heidi à Francfort, même lorsque cette dernière risque sa vie par nostalgie.
Il faut analyser chaque personnage en rapport avec son personnage spéculaire. Le premier c’est le rapport entre le grand-père et Dete, car ils émettent une critique à la société. 
Les deux sont les tuteurs d’Heidi et ils ont abandonné le petit village, l’un pour fuir dans les montagnes (rejet complet) et l’autre pour embrasser une société encore plus grande et complexe. Cependant, la croissance narrative de son grand-père l'amène à faire la paix et à se réconcilier avec la société. En revanche Dete se perd dans le système capitaliste avide (juste en contradiction avec la montagne comme endroit des sentiments), représenté par Francfort. Ils montrent deux choix différents et opposés à la société: le rejet complet ou l’immersion totale. 
Heidi, de son côte, représente la pureté et la joie non contaminées par les problèmes des adultes. Cette force l’accompagne dans toutes ses aventures et grâce à elle Heidi change la vie de ceux qui les entourent. Elle touche l’enfant en chacun de nous. 
Le personnage qui s’oppose à la force vitale d’Heidi a été interprété par Mademoiselle Rottenmeier. Elle met en avant des traits de caractère uniquement négatifs en opposition à la force de bien.. Elle considère Heidi comme une sauvage et essaie de lui donner de la discipline à travers la sévérité. Heidi perd complètement la  joie de vivre, jusqu’à risquer la mort par dépression. La seule façon pour elle d’avoir sauvé la vie c’est de la ramener sur l’alpage.  Cela représente la force de guérison de la nature et ce thème est exploré aussi par le personnage de Klara et comment elle récupère l’usage des jambes.
Un autre sujet qu'il faut analyser c’est le rapport entre Peter et Heidi. 
Peter nous donne une vision de la vie dans la montagne opposée à la vision de Heidi. Avec Heidi nous apprenons à apprécier la vie dans la nature, bien qu’elle ne soit pas toujours merveilleuse. La montagne peut se révéler un vrai cauchemar, car elle n’est pas seulement les fleurs et les couleurs, mais aussi l’anàlphabetisme, le travail des enfants et la solitude. Peter n’est pas capable de lire ni d'écrire, il a commencé à travailler à l'âge de cinq ans et il souffre terriblement de la solitude. 
Il y a aussi beaucoup de personnages positifs dans la grande ville, comme toute la famille de Klara et Sebastian. Cela signifie que la société n’est pas seulement un endroit terrible, il y a aussi gens de bon cœur. De plus, les possibilités économiques de la famille de Klara ont pu atténuer les problèmes engendrés par la pauvreté et donner à Heidi et sa famille une vie meilleure. 
Pour conclure, j’ai vraiment adoré le livre et il est devenu un de mes livres favoris de tous les temps. Comme Heidi j’adore la montagne et je souffre de la même nostalgie. La description faite par Johanna Spyri m’a rappelé mon enfance et j'espère qu’elle vous fera la même impression.
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havaforever · 1 year ago
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ANATOMIE D'UNE CHUTE - Brillant, Subtile, Captivant.
On peut dire d' Anatomie d’une chute de Justine Triet (Palme d'or 2023 amplement méritée) que c'est un film sur le réel, sur l'impossibilité de capter le réel, sur l'effort incessant de l'humain pour le comprendre.
C'est un film subtil et fort sur cette part manquante à laquelle nous nous heurtons tous, sur la façon dont nous comblons les failles, les pièces du puzzle qui nous manquent avec l’imaginaire. Nous accumulons les grilles de compréhension, comme des filets, que nous jetons sur le réel en espérant le capturer et il nous échappe toujours.
Nos grilles de lectures s'accumulent sans succès. Ici, cinq au moins se confrontent: la subjectivité de chacun, la psychanalyse et ses interprétations, la justice et ses enquêtes, la littérature et la fiction et bien sûr, le cinéma et sa manière de se jouer des images.
Ceci pour le réflexion générale qu'inspire ce magnifique film.
En ce qui concerne plus précisément le récit, un enfant, Daniel, retrouve son père, Samuel, mort devant la maison, alors qu'il revient d'une promenade. Seule sa mère, Sandra, était présente au moment de la chute. Mais elle dormait. Comment cet homme est-il mort ? Sa femme l’a-t-elle tué ? S’est-il suicidé ? Le film ne répondra pas.
Ce que Justine Triet met en scène, c'est le procès de cette femme trop forte, trop dure, trop fermée, trop libre surtout, et à travers ceux qui gravitent autour : la recherche incessante, universelle qui nous confronte tous à notre impuissance à accéder à l'absolue Vérité. Les avocats ne cessent de s'interrompre les uns, les autres, de s'attaquer ( exceptionnel duo d'acteurs pour les deux avocats, Antoine Reinartz en avocat général teigneux qui ne lâche pas sa proie et Swann Arlaud en amour de jeunesse transformé en chevalier servant).
Ils se renvoient mutuellement à la figure qu’un procès n'est pas le lieu de l'imaginaire, de la création, de l'invention, mais celui de la preuve réelle, irréfutable, de la pièce à conviction, du témoin à charge, le lieu de la reconstitution exacte des faits. Et pourtant, c'est ce qu'ils ne cessent de faire :" imaginer". Tout comme cette femme accusée qui est un célèbre écrivain. Tout comme son mari mort qui enregistrait sur son téléphone les scènes de leur vie quotidienne pour s'en inspirer pour écrire enfin un livre à son tour. Parce que "imaginer" c'est ce que l'humain fait de mieux et notre rapport au réel est un aller retour constant vers l'imaginaire.
Discussion percutante en plein procès sur la différence entre ce qui est "probable" et ce qui est "possible". On ne peut pas condamner une femme parce qu'une histoire est "possible", tant de choses sont possibles, mais pas davantage sur ce qui est "probable". Le probable, c'est ce qui serait crédible dans cette affaire, or nous ne sommes pas là pour croire en une version, le procès ne doit pas être le lieu de l'opinion, ni de la conviction, même de l' "intime conviction"( film génial d'Antoine Raimbault , en 2019). Il doit être le lieu de la vérité judiciaire et c'est un effort constant de se le rappeler et de souffler sur toutes ces images qui assaillent notre cerveau au cours du procès, tous ces films, tout ce petit cinéma qui se met en marche sans qu'on le veuille dans notre esprit.
Les experts et leur ton grave de scientifique se succèdent et donnent leurs versions possibles des faits qui sont aussitôt démenties par d’autres expertises, d’autres hypothèses. Le psychanalyste du défunt, à son tour, vient à la barre et témoigne contre l'épouse. Il donne sa version du réel, celle qu'il a bâtie séance après séance dans son cabinet en écoutant son patient et l'accusée s'insurge : depuis quand confond-t-on l’interprétation psychanalytique et le réel? La vérité des faits et le ressenti du sujet qui s'exprime sur un divan? Le psychanalyste n'est pas un enquêteur, il ne recherche pas la vérité mais à comprendre son patient pour le soigner. Il ne sait que ce qu’a bien voulu lui dire son patient, le réel passé au crible de sa subjectivité et de sa souffrance. Il ne connaît rien, au fond, de la vie objective de ce couple…
On tourne autour de la vérité, on ne la connaît pas. La caméra ne nous montre que des subjectivités en concurrence, elle accroît le doute. On ne pourra s'appuyer que sur des photos du couple et une scène de dispute exceptionnelle. Une scène qui montre sans hésitation possible que ce couple allait mal mais que cet homme allait mal aussi. Cette scène de dispute, où la souffrance de Samuel est au coeur de ce qui les oppose, lui, la rendant responsable de cette souffrance, elle, le renvoyant à sa propre responsabilité face à son sentiment d'échec, peut nous faire autant pencher vers l’idée du suicide que vers celle du meurtre. Comment trancher?
C'est un couple qui ne se supporte plus et l’on voit qu'entre eux deux non plus, il n’y a pas de vérité. Ils ont beau crier, se gifler, briser des verres, personne ne l'emporte. Ils disent tous les deux la vérité. La vérité, c’est qu’ils ont vécu une tragédie, leur enfant a été victime d'un accident qui l'a rendu malvoyant et comme l’enfant était sous la responsabilité du père ce jour-là, c'est lui qui en porte la culpabilité. Il ne s’en est pas remis. Elle, si. Peut-être un peu trop bien, et en définitive ce serait ce dont elle est accusée. Elle a continué à vivre, écrire, aimer. Il s'est effondré. C’est une économie. Un équilibre. Et il la hait de cela.
Il la hait de sa force, jouée remarquablement par Sandra Hüller. Elle est inaccessible à la culpabilisation. Elle refuse de porter sur elle son échec à lui. Elle refuse de se flageller car elle est un écrivain à succès et qu'il n'a pas réussi à écrire son roman. Elle le tue à petits feux, c’est vrai, par ce qu’elle est : sa dureté, sa résistance, son absence de culpabilité, sa force, sa réussite, son appétit de vivre, son appétit sexuel qui la pousse à chercher ailleurs ce qu'il ne lui donne plus. Mais peut-on dire qu'elle ait tort? Est-ce faux que Samuel s’enferme dans une position de victime et d’échec, car il a peur de vivre, d'écrire, de s'exposer? et s'il l’étouffe de ses reproches, de sa jalousie, de ses complexes, de sa culpabilité n'est-ce pas pour l'entraîner dans sa chute précisément?
Et l’enfant est au milieu de cet affrontement où personne n'a tort, personne n'a raison. Et comme tout enfant face à un couple qui se déchire sous ses yeux, procès ou non, il est en position de juge, d’enquêteur, il veut comprendre. Qui fait du mal à qui ? Pourquoi tant de souffrance sous son toit ? Et il n’a pas toutes les pièces car il n’est qu’un enfant. Et il est "heurté" comme il le dit à la juge. On voudrait l'épargner mais c'est trop tard. Juger ses parents n’est pas sa position. Et la vie l'assigne pourtant à cette place.
Tel Oedipe à la fin de son enquête chez Sophocle, l’enfant du film est malvoyant. La cécité est à la fois le drame de cette famille, l’accident originel qui déchire ce couple, mais c’est aussi métaphoriquement l’impossibilité de voir le monde des adultes, l’enfant n’a pas les ressources pour juger ses parents. Il est dans le noir, comme nous tous face au réel, et il décide de sauver sa mère. Dans un geste précisément œdipien. Il n’est pas sûr de ce qu’il dit pour la sauver mais il suit son cœur. Puisqu’on ne pas comment la chose est arrivée, dit l'enfant, on peut au moins se demander pourquoi elle serait arrivée. Pourquoi la mère aurait-elle tué le père ? Il ne trouve aucune raison à cela. Pourquoi le père se serait-il suicidé ? Ça oui, il peut se le figurer. L’avocat général n’est pas convaincu. Mais c’est pourtant l’être qui vivait au plus près de ce couple, les connaissait le plus intimement qui parle et qui dit ce qu’il sent.
On ne saura jamais la vérité exacte de cette histoire, tout comme nous ne parviendrons jamais à pénétrer les secrets du réel qui recule dès que nous avançons. Nous ne connaîtrons que l'acte de cet enfant, celui de sauver sa mère. L'avant dernière image du film est très évocatrice à ce titre, les bras de l'enfant s'ouvrent et reçoivent la tête de la mère dans un geste extrêmement paternel et protecteur. Son visage s'approche et il baise ses cheveux. Face aux limites de la raison, la seule vérité, peut-être, alors, est-elle celle du désir de vivre au delà de tout ce qui est depuis toujours déjà mort?
NOTE 17/20 - Palme d'Or largement mérité pour un film magnifiquement filmé, juste, sensible et passionnant.
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duchesspeggy · 2 years ago
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Libraire, c'est un job très sympa, il faut juste bien avoir conscience qu'on va passer beaucoup plus de temps à déballer des cartons, chercher de la place sur les étagères, se résigner à renvoyer un livre trop bien mais que personne n'achète parce que y a vraiment plus de place sur les étagères et remplir des cartons que lire. C'est très physique comme métier en fait.
L'inconvénient, c'est que du coup je pourrais passer ma journée à parler livres et faire des recommandations x)
D'Edmond Prochain, je ne peux que recommander le Jargonnier catholique. Il donne pleins de définitions hilarantes (mais très respectueuses) de tout ce qui fait la foi catholique, une pépite. @scarletfantasia peut témoigner que "Franciscain : pauvre type" fait un tabac auprès des concernés ;)
Et je vois que l'on a grandi avec les mêmes séries historiques. Que des bonnes références tout ça (j'ai découvert récemment "Les Soeurs Espérance" de Sophie de Mullenheim, j'ai beaucoup aimé et je sais que je les aurais dévorés petite). Globalement, je conseille de garder un oeil sur les publications des éditions Mame (super maison d'édition qui a en plus bien compris que le livre pouvait être beau et sort pleins de trucs canons tous les ans), les éditions Pierre Tequi (plus tradi/scout) ou les éditions Plein Vent (une maison d'édition récente, dans la même lignée que les éditions du Triomphe (sans les titres rétros). Leur catalogue roman jeunesse est assez chouette).
Prince Eric ???? Vous êtes une femme (?) de goût également !
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Littéralement, mon premier achat de livres pour mon nouvel appartement (j'attends toujours qu'ils éditent le 5 et le 6 dans cet édition, surtout qu'Eric le Magnifique est un de mes préférés de la série ;__;)
Entre mon père et mes soeurs, on a tellement lu les premiers tomes dans leur vieille édition que les pages sont complètement décollées de la tranche x)
JE SUIS TELLEMENT HEUREUSE DE RENCONTRER QUELQU'UN D'AUTRE QUI CONNAISSE !!! Ces livres sont toute ma vie, je les ai lus pour la première fois à 8 ans et je ne m'en lasse pas. (Et je suis toujours aussi amoureuse de Jef) Mais comme ils ne sont connus que dans les cercles scouts français, c'est un peu compliqué de trouver des fans sur internet
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