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A la Place Clichy, Paris, par Lem, 1900.
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saga: Soumission & Domination 362
Espagne 2015-4 : Javier et Arturo
Quand nous arrivons, Javier est là , accompagné d'un jeune mec. Ils sont encore habillés quand la triplette passe sa frustration en déboulant comme des fous, à poil et qu'ils sautent dans l'eau attrapant au passage le jeune homme.
Javier sort vite de ses vĂȘtements juste au cas oĂč ils reviendraient le chercher !
J'explique Ă Marc et HervĂ© le pourquoi de leur excitation. Arturo (le nouveau) nage maintenant, nu, avec la triplette. Je repĂȘche avec PH les vĂȘtements qui flottent et pousse jusqu'Ă la lingerie les mettre au sĂšche-linge.
Paco ramÚne l'apéro et je le vois apprécier que Jesus soit revenu. Entre deux verres, les plagistes se dessalent dans la piscine. Et nous finissons tous dans l'eau, un verre à la main. Insidieusement, par les passages répétés sous l'eau, entre nos jambes (soit disant pour jouer) de nos plus jeunes avec Arturo qu'ils ont dévoyé, la température de nos corps monte. Nos sangs aussi semblent avoir des velléités d'expansion et je m'aperçois que je ne suis pas le seul à bander ferme. On les laisse faire et bientÎt on se retrouve tous à poil, les maillots flottant entre deux eaux. On sort de l'eau et entre le léger vent chaud et les frottements, on sÚche vite.
Pendant l'apĂ©ritif, nous avons appris qui Ă©tait Arturo. Il fait fonction d'assistant auprĂšs de Javier qui l'a rĂ©cupĂ©rĂ© auprĂšs du pole-emploi local. Au dĂ©part il l'avait embauchĂ© comme homme toute main pour faire des petits travaux Ă son agence (peinture et bricolage). Puis ils sont passĂ©s aux travaux Ă la maison ! J'imagine bien Arturo le bleu de travail ouvert sur sa poitrine imberbe !! Depuis ils ne se quittent plus. Et comme il avait commencĂ© une formation vente, Javier envisage mĂȘme de le rĂ©inscrire en formation par alternance.
En attendant, il n'est pas farouche le gamin (18ans quand mĂȘme). Au milieu de notre triplette, il se donne Ă fond dans la pipe. Petit format, dans les 1,75m musclĂ© mais lĂ©ger 55Kg, il est plutĂŽt passif (info Javier). ExtĂ©rieurement il est brun de poil mais imberbe avec une peau bronzĂ© du plus bel effet. Elle est lĂ©gĂšrement plus claire sur les fesses ce qui me fait dire qu'en hivers il reste hĂąlĂ©.
Je devine qu'il y a plus que cela entre eux. J'isole Javier pour savoir le fin mot de l'histoire, je suis curieux, on ne me refera pas ! En fait, c'est le fils d'une connaissance mais nĂ©anmoins " gros con " qui l'a foutu Ă la porte quand il avait appris que son rejeton Ă©tait homo. Sans ressource, ce dernier acceptait tous les tafs mĂȘme manuels qu'il pouvait trouver. Et non, il n'avait pas encore fait la pute quand Javier l'avait rĂ©cupĂ©rĂ© !
Comme il connait la filiale espagnole de notre sociĂ©tĂ© pour avoir Ă©tĂ© approvisionneur en clients, je lui propose d'y faire taffer son protĂ©gĂ©. Il refuse gentiment et me dit qu'ils n'ont pas besoin. Il gagne trĂšs bien sa vie, le salaire qu'il verse Ă Arturo est quasiment de l'argent de poche puisqu'ils vivent ensemble. Et cĂŽtĂ© sexe, il ne l'empĂȘche pas de faire ce qu'il veut comme je peux le voir.
Je me retourne et vois l'animal planté sur les 22cm de mon Marc. On en rit et partons à la recherche d'un plan nous aussi.
Je rejoins JoĂŁo qui entreprend Max et Enguerrand en mĂȘme temps. Il a besoin d'aide ! J'attrape mon beau-frĂšre, il va pour se dĂ©battre et voit que c'est moi qui le ceinture Ă la taille. Rotation, il pose ses lĂšvre sur les miennes, me souffle un " ça te dirait qu'on se fasse un truc tous les deux ". Avant de m'entrainer dans la villa et leur chambre.
Nous faisons l'amour lentement. Chacun prend soin de maĂźtriser la montĂ©e du plaisir de son partenaire. A ce petit jeu, il est trĂšs douĂ©. Quand on est trop proche de jouir, on s'arrĂȘte. Dans une de nos " pause ", il me dit qu'il est trop content que je les ai emmenĂ©s ici. Il n'en pouvait plus des camps scouts et de la ferme, mĂȘme si quand ses frĂšres y sont il est content et surtout quand toute sa nouvelle " famille " s'y rĂ©uni.
Lors d'une autre, il se presse contre moi et je sens des larmes tomber sur ma peau. Je le serre plus fort, embrasse le front qui est Ă ma portĂ©e avant de relever son menton, de le fixer dans les yeux et de poser doucement mes lĂšvres sur les siennes. Juste un baiser, pas de pelle, je sens que ce n'est pas le moment. Je devine qu'il se fait un mauvais flash-back. Il vient doucement Ă se confier. Avec ma façon trĂšs personnelle d'aborder les choses, je m'Ă©tais imaginĂ© qu'il avait tournĂ© la page et que XX de XXX n'Ă©tait plus qu'une expĂ©rience qui aurait pu ĂȘtre meilleure. Mais ce n'est pas complĂštement son cas. Je le laisse venir. Alors que ses larmes coulent encore, il m'assure ĂȘtre trĂšs heureux avec Max et Nathan. Qu'il ne pouvait avoir de meilleurs amis et amants. C'est juste que de temps en temps, ça remontait sans crier gare et il ne voulait pas les souler avec ça. Surtout pendant les vacances. Il ne savait pas pourquoi, si c'Ă©tait un mot, une attitude mais il revoyait des scĂšnes avec XX et il avait mal.
Je reste Ă l'Ă©coute. Il est couchĂ© contre moi, sa tĂȘte au creux de mon Ă©paule et nous regardons le plafond. Il me parle du suicide. Du nombre de fois oĂč il a failli se foutre en l'air, des mĂ©thodes qu'il avait mĂȘme envisagĂ© : fusil de chasse, accident de la route volontaire, mĂȘme le train.
C'est noir mais il faut que ça sorte ! Il m'explique que c'Ă©tait surtout aprĂšs qu'il se soit fait enculer par toute la bande qu'il pensait à ça. Au tout dĂ©part, il avait cru que XX avait quelques sentiments pour lui et que c'Ă©tait par jalousie envers sa soeur que ce dernier l'avait " pris ". Mais rapidement il avait ouvert les yeux et dĂšs ce moment il s'Ă©tait tellement senti une sous-merde, que ça marronnait dans sa tĂȘte. Il ajoute qu'il n'aurait probablement pas eu le courage de passer l'Ă©tĂ©. Bon l'autoflagellation et l'auto-complaisance dans la noirceur Ă ses limites. Je le secoue le fait basculer sur moi et lui roule un patin. Sa queue rĂ©agit au quart de tour et colle la mienne qui n'avait pas ramollie. Il a besoin de confiance en lui, bon je vais le laisser m'enculer, sans lui dire.
Petit 69, je lui mange la bite et la rondelle en alternance et lui demande de me faire pareil. Il me travaille bien l'anneau et entre réguliÚrement 1 bon cm de langue dedans. Je le pompe en faisant attention à ne pas aller trop loin.
Je le plaque dos sur le lit, mes mains maintiennent ses poignets alors que j'enjambe son bassin et que je recule pour dresser sa bite contre mon sillon. Je me penche, lui roule un patin et en jouant du bassin me plante ses 19cm dans l'oignon. Ma bouche Ă©touffe son cri. Je me l'enfonce bien profond et ressent le petit coup de bassin qu'il ne peut retenir et qui propulse ses derniers mm dans mon cul.
Je décolle ma bouche de la sienne et lui demande si ça va. Les yeux brillants, il me dit que je suis trop bon (et il y met plus que le cul dans cette assertion). Je lui dis de se laisser faire et déploie toute mon expérience à lui faire l'amour. J'utilise toutes les variations possibles lors de ma chevauchée. Le travail compressif de ma rondelle que je module différemment selon que je rythme " au pas " ou " au galop " le met sur orbite.
Je serre les genoux contre son torse et roule sur le cĂŽtĂ©. Comme ça, sans qu'il ait dĂ©culĂ©, il se retrouve au-dessus mes jambes autour de ses reins. Je les attrape aux plis des genoux et Ă©carte bien pour lui laisser toute latitude Ă m'enculer. Il se redresse sur ses genoux, soulevant mon bassin sous lequel il glisse un oreiller. Et lĂ mon " petit frĂšre " se dĂ©chaine. Il me dĂ©fonce le cul comme un fou, tapant son bassin contre mes fesses Ă chaque pĂ©nĂ©tration. Il ralentit, je sens qu'il veut un truc mais n'ose pas me le demander. Je suis sĂ»r que c'est une levrette. Je le repousse et me tourne Ă 4 pattes. J'entends derriĂšre moi un merci en mĂȘme temps qu'il se rĂ©introduit en moi. LĂ , accrochĂ© Ă mes hanches, il me lime royalement. Quelques contractions de ma rondelle et il largue la purĂ©e. Je le bloque en moi le temps qu'il se vide et continue Ă serrer alors qu'il sort. Moi j'ai rempli ma paume et alors que je vais pour lĂ©cher mon sperme, il me tire le bras pour en avaler un max. je rĂ©cupĂšre le reste et un peu plus en allant le chercher entre ses dents.
Le répit est bref. Max et Nathan nous ont retrouvés et sautés dessus. Ils veulent savoir pourquoi on s'était isolé alors qu'ils partagent tout tous les 3.
MalgrĂ© les gestes de dĂ©nĂ©gation d'Enguerrand, j'explique Ă ses deux amours que notre ami commun avait eu un passage Ă vide. Max voit tout de suite de quoi il retourne alors que Nathan ne rĂ©alise qu'aprĂšs. Enguerrand se fait copieusement engueuler, comme quoi ils sont lĂ pour lui, mĂȘme quand il est mal. Il ajoute qu'il est temps qu'ils me laissent tranquille, que j'en ai dĂ©jĂ fait assez pour eux.
Là je les interromps. Je leur dis que je leur serais toujours dispo et que je préfÚre qu'ils viennent me voir plutÎt qu'ils fassent une connerie. Je les engueulerais certainement mais je les aiderais dans tous les cas.
Max s'excuse qu'il n'avait pas voulu m'Ă©carter en disant cela, juste qu'il voulait qu'Enguerrand sache que s'ils avaient tous les trois le mĂȘme Ăąge, il pouvait quand mĂȘme s'appuyer sur eux deux.
On se cĂąline un moment tous les 4 jusqu'Ă l'arrivĂ© des miens, PH, Ludovic et Ernesto. Du coup ça repart en sexe !! Cette fois je profite des culs et ma bite s'enfonce Ă tour de rĂŽle dans chacun de ceux de notre triplette. Mes amours aussi profitent des petits jeunes qui ne demandent que ça. Enguerrand se rĂ©serve quand mĂȘme pour accueillir mon sperme au fond de lui. Je me termine en labourant son petit trou en levrette, tirant vers moi sa tĂȘte en arriĂšre pour qu'on se roule une pelle. Nathan, couchĂ© sous mon petit beau-frĂšre avale sa production alors qu'il se fait dĂ©foncer par Ernesto. Nous sommes dĂ©couverts par Marc qui nous cherchait. Le diner nous attendait ! Retour sur la terrasse en maillots. Arturo est content de nous revoir, ça faisait un moment qu'il n'Ă©tait entourĂ© que de " vieux " !
Max lui demande combien de fois il s'était fait enculer. De but en blanc, ça surprend notre invité qui bafouille un 2 ou 3. Rires de Javier qui nous dit que comme ils lui sont tous passés dessus sauf Jesus, c'est plutÎt 5 qu'il faut compter. Là , Marc annonce 6 car il l'a pris deux fois.
Arturo rougi sous son bronzage. Il se dĂ©fend d'ĂȘtre une pute. Nathan l'entoure de ses bras et dit qu'il est juste un mec qui aime baiser c'est tout, comme nous tous ici.
Il a bien résumé la situation.
La paëlla Valencienne est trÚs réussie et il ne reste pas un grain de riz quand nous en avons terminée avec elle. Paco est ravi de ça !
C'est vers 3h du matin que nous nous endormons un peu partout.
Le grand soleil me rĂ©veille. Je suis sur un des matelas de la piscine, dans mes bras se trouvent les deux frĂšres, Ludovic et Enguerrand. Je me glisse pour aller prendre un cafĂ© et voir oĂč sont les autres. Debout je me retourne. Enguerrand a rejoint Ludovic et se love en cuillĂšre contre son ventre.
La maison est encore muette. A la cuisine Paco me sert un café à réveiller un mort ! Mais ça fait du bien. Tout bas il me demande si tout va bien. Il me dit qu'heureusement que Marc et Hervé sont là , sinon Jesus l'aurait mis sur les rotules. Il ajoute que ça fait un moment qu'il n'était pas tombé sur un assoiffé de sexe comme lui.
Mug en main, je fais le tour de la villa. Personne dans le séjour, coups d'oeil dans les chambres, ils sont tous là en ordres dispersés. Romain n'est pas avec João, PH et Ernesto sont dispersés, l'un avec Hervé l'autre avec Jaime. Je vois ce qu'avais voulu dire Paco quand je surprends Jesus en train de pomper les 22cm de Marc !! Il me fait un clin d'oeil et lÚve le pouce. Je lui fais signe de continuer, je connais mon homme et sais qu'il adore ce genre de retour à la réalité.
Sur la terrasse, Enguerrand est réveillé et je le vois en train de s'enfiler la bite en érection matinale de son frÚre. Il me fait bander ce con !
Je me couche derriĂšre Ludovic et lui enfile ma bite. LĂ , notre " tanche de jambon " (prise en sandwich, faut suivre un peu !) se rĂ©veille. Il voit avec qui il baise et nous traite d'obsĂ©dĂ©s. Il n'empĂȘche qu'il ne se dĂ©robe pas et que tous les trois nous jouissons pour la premiĂšre fois de la journĂ©e.
On se déboite juste alors qu'arrive le reste de la triplette et mes escorts. Ils apportent café, jus d'oranges fraichement pressées plus du pain frais. On petit déjeune avant d'aller se laver.
Les jours qui suivent durant cette premiĂšre semaine seront du mĂȘme style. Jaime a pris pension Ă la villa tout comme Jesus. Les autres : les hollandais et RubĂ©n passent de temps Ă autre. Arvid nous a demandĂ© si on pouvait l'hĂ©berger nos deux derniĂšres semaines. Il trouve l'ambiance de la villa dĂ©mentielle et kiff les baises inopinĂ©es.
La " plage " commence Ă repĂ©rer le petit groupe que nous formons. Lorsque les rabatteurs de boites descendent distribuer leurs flyers, canons dans leurs maillots de bains sexys, ils nous convient tous. On doit ĂȘtre le seul groupe homogĂšne en Ăąge, musculature et maillots remplis de la plage.
Nous acceptons une soirĂ©e qui promet d'ĂȘtre chaude dans la boite dont les rabatteurs qui nous ont dĂ©marchĂ©s Ă©taient plus beaux.
Jardinier
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Faire son pain, câest renouer avec un rituel ancien, redonner Ă cet aliment simple et sacrĂ© toute la place qu'il mĂ©rite. Le pĂ©trissage de la pĂąte, la lente montĂ©e sous le linge, le temps qui sâĂ©tire et nous rappelle que certaines choses ne peuvent ĂȘtre prĂ©cipitĂ©es. Enfourner le pain, sentir la chaleur du four, attendre cette odeur enivrante de croĂ»te dorĂ©e qui emplit la maison⊠Cela nous ancre dans lâessentiel, dans la patience et la satisfaction du travail bien fait.
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EDITORIAL
This Fashion Story is truly ICONIC
TopModel He Cong literally slayed this shoot for W Magazine China "The Icon Issue" wearing pieces from the Maison Margiela Artisanal SS24 Haute Couture Collection by John Galliano.
đ·: Zhong Ling
đ: Austin Feng1
#fashion photography#photoshoot#fashion editorial#editorial#editorial photography#w magazine#w magazine china#chinsesmodel#he cong
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11 Novembre 2024
Cette fois câest bien fini , la journĂ©e dâhier a Ă©tĂ© notre retour Ă Paris . Nous avons pris un taxi avec nos deux gros sacs câĂ©tait plus simple , le vol de nuit avec Air France sâest trĂšs bien passĂ© mĂȘme si nous avons attendu deux heures de plus; nâayant pas de correspondance Ă Paris pour nous , pas de problĂšme, pour certains ça complique toujours les choses . Retour sous un ciel dâautomne, il y a encore 8h nous Ă©tions en Ă©tĂ© Ă New Delhi mais trĂšs polluĂ©. Un petit choc thermique nous a contraint Ă nous couvrir dâune polaire pour Thierry et dâune Doudoune pour moi . Le passage Ă la douane se fait automatiquement en scannant notre passeport, il nây a plus d'agent, juste un peu de personnel qui oriente les arrivants sur le chemin Ă suivre avant de rĂ©cupĂ©rer les bagages. Nous Ă©tions au terminal 2. Le taxi a mis un peu plus de 39 minutes avant de nous dĂ©poser devant notre porte, avenue dâItalie. Auparavant il y avait une Navette Air France qui amenait les personnes qui le souhaitaient jusqu'aux gares Parisiennes, mais elle a Ă©tĂ© supprimĂ©e, pour une fois qu'il y avait quelque chose de pratique dans cet AĂ©roport...Pas de trop de circulation en ce dimanche matin. On a rĂ©glĂ© la somme de soixante cinq euros que nous avons arrondi Ă soixante dix euros . Le chauffeur semble ĂȘtre un gros fumeur, lâhabitacle sentait le tabac froid . Un dĂ©tail qui peut avoir son importance pour certains . ArrivĂ©s Ă lâappartement ça Ă©tĂ© le grand dĂ©ballage đ , machine Ă laver mise en route , Ă©videmment beaucoup de linge Ă laver ⊠câest le rituel des retours . Nous nous sommes offert un masque qui vient complĂ©ter la sĂ©rie que nous avons dĂ©jĂ . LĂ aussi câest devenu un rituel. Ă chaque endroit oĂč nous essayons d'en rapporter un, heureusement quâon ne part pas chaque mois sinon nous serions envahis âŠ. Pour rĂ©sumer . Nous sommes partis le 24 octobre, aprĂšs la dĂ©ception du 19 et revenus le 10 novembre au matin . Ce treck dans le Haut Mustang fut une belle dĂ©couverte, difficile pour moi, pour Thierry ce fut plus facile. Les paysages sont grandioses ,dĂ©sertiques avec peu de vĂ©gĂ©tation, lâĂ©rosion des roches crĂ©e de vĂ©ritables tableaux , les couleurs de celles-ci passent de lâocre au gris avec beaucoup de dĂ©clinĂ©s, de nuances. Ces villages composĂ©s de maisons traditionnelles au murs blancs au style TibĂ©tain, toits terrasses, oĂč le bois ramassĂ© est stockĂ© pour le chauffage et la cuisine, ainsi que certains aliments, couronne le pĂ©rimĂštre ,de petites ouvertures. Nous sommes Ă plus ou moins trois milles mĂštres dâaltitude, lâhiver, il fait trĂšs froid . Souvent il y a un monastĂšre qui donne lâimportance de la religion Bouddhiste dans cette rĂ©gion . Le panorama des sommets enneigĂ©s des Annapurna donne une dimension grandiose , impressionnante qui nous renvoie Ă notre petite condition humaine . Pour finir et cela a son importance nous avons rencontrĂ© deux compagnons de route qui nous ont accompagnĂ©s avec beaucoup de professionnalisme et de chaleur humaine . Nous en avons dĂ©jĂ parlĂ© . Autre chose . Ramji ,Chhiring et Tina nous ont demandĂ© de faire en quelque sorte de la publicitĂ© autour de leur petite agence quâils viennent de crĂ©er (www.nepalvacance.com), bien sĂ»r nous leur avons dit que nous le ferions, de plus nous resterons en contact pour suivre le dĂ©veloppement de leur affaire . Nous leur avons dit que peut-ĂȘtre des personnes de notre famille, peut-ĂȘtre, seraient un jour intĂ©ressĂ©es de suivre lâexemple des tontons .
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Automne 1917, Hylewood, Canada (3/9)
Notre nouvelle bonne est trĂšs bien, trĂšs sĂ©rieuse, mais elle est⊠plutĂŽt particuliĂšre. Lâautre jour, des tensions ont Ă©mergĂ© avec ma femme, parce quâelle sâest mis en tĂȘte de plier tout le linge de maison selon des formes gĂ©omĂ©triques afin dâoptimiser le rangement. Elle progresse en français, mais pas encore assez pour avoir une communication fluide, et jâai dĂ» servir dâinterprĂšte entre ma femme que la grossesse met dans tous ses Ă©tats pour un rien, et la bonne qui lui exposait avec aplomb ses thĂ©ories gĂ©omĂ©triques. Moi, ces histoires me font une belle jambe (ha !), et jâaimerais mieux quâon me laisse en dehors de tout cela.
[Transcription] Maria Mayordomo : No hay dos sĂĄbanas del mismo tamaño⊠¿CĂłmo hacer que todas quepan perfectamente en el cajĂłn? (Il nây a pas deux draps qui font la mĂȘme taille⊠Comment faire pour quâils rentrent tous parfaitement dans la commode ?) Maria Mayordomo : ÂĄTengo una soluciĂłn! Veamos si funciona. (Jâai une solution ! Voyons voir si ça marche.)
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Maria Mayordomo
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La fiĂšvre de Tohru
Fandom :Â Fruits Basket
Relationship :Â Kyo x Tohru
Voici ma participation pour le Sicktember 2024 pour le prompt : Tu es en train de cracher tes poumons.
JâespĂšre que ça vous plaira.
RĂ©sumĂ© : Kyo retira ses chaussures, la maison semblait vide. Il monta Ă l'Ă©tage lorsquâil entendit du bruit. Apparemment, il nâĂ©tait pas seul dans la maison. Quelquâun toussait. Il se dirigea vers la chambre de Tohru. La porte Ă©tait ouverte. Elle rangeait du linge et toussa Ă nouveau. Kyo fronça les sourcils.
Disclaimer : Fruits Basket appartient Ă Natsuki Takaya.
@sicktember
AO3 / FF.NET
Kyo entra dans la maison. Il avait passĂ© la journĂ©e au dojo de Kazuma. Il Ă©tait impatient de prendre une bonne douche et de se reposer. Il Ă©tait parti trĂšs tĂŽt dans la matinĂ©e, Tohru, Yuki et Shigure dormaient encore. Il savait que Tohru devait passer la journĂ©e avec Uo et Hana, Yuki avait une rĂ©union avec le BDE, quant-Ă Shigure, Dieu seul sait ce quâil avait fait de sa journĂ©e.
Kyo retira ses chaussures, la maison semblait vide. Il devait ĂȘtre le premier Ă ĂȘtre rentrĂ©. Il monta Ă l'Ă©tage lorsquâil entendit du bruit. Apparemment, il nâĂ©tait pas seul dans la maison. ArrivĂ© en haut de lâescalier, un nouveau bruit se fit entendre. Quelquâun toussait. Il se dirigea vers la chambre de Tohru. La porte Ă©tait ouverte. Elle rangeait du linge et toussa Ă nouveau. Kyo fronça les sourcils.
« Tohru ? »
Elle sursauta, ne lâayant pas entendu arriver.
« Kyo-kun ! Tu es rentré depuis longtemps ? »
Il la regarda avec inquiĂ©tude. Elle avait les joues rouges, les yeux brillants. Et malgrĂ© son sourire, il voyait quâelle avait de la fiĂšvre.
« Est-ce que tu te sens bien ? Demanda-t-il. »
Elle acquiesça, toujours souriante.
« Je vais bien. »
Elle se mit Ă tousser de nouveau. Une toux incontrĂŽlable quâelle ne pouvait pas arrĂȘter. Kyo paniqua. Comment pouvait-elle dire quâelle allait bien ?
« Tu ne vas pas bien, dit Kyo. Tu es en train de cracher tes poumons.
-Je suis désolée, répondit Tohru une fois sa toux calmée.
-Pourquoi tu tâexcuses ? Ce nâest pas de ta faute si tu es malade. »
CâĂ©tait bien Tohru pensa-t-il. Il fallait quâelle sâexcuse pour quelque chose dont elle nâĂ©tait pas responsable. Elle nâallait vraiment pas bien. Elle avait les yeux mi-clos et penchait vers lâavant. Elle penchait de plus en plus et sâil ne faisait rien, elle allait se retrouver par terre. Il la rattrapa par les bras, faisant attention Ă ne pas quâelle tombe sur lui. Il ne voulait pas se transformer en chat alors quâelle avait besoin de lui. Il la fit sâasseoir sur le lit.
« Ta journĂ©e est finie pour aujourdâhui, dit-il. Repose-toi. Je vais te prĂ©parer quelque chose Ă manger.
-Merci Kyo-kun. »
Il sortit de la chambre et alla dans la cuisine pour lui prĂ©parer du bouillon. CâĂ©tait ce que Kazuma lui cuisinait lorsquâil Ă©tait malade. Il prĂ©para un plateau, versa le bouillon dans un bol et monta dans la chambre. Tohru sâĂ©tait allongĂ©e dans son lit. Elle avait mis son pyjama et dormait profondĂ©ment. Kyo posa le plateau sur le bureau et sâassit sur la chaise quâil avait placĂ© Ă cĂŽtĂ© du lit. Il allait attendre quelques instant pour ĂȘtre sĂ»r quâelle aille bien. Il mit sa tĂȘte entre ses mains. Il Ă©tait Ă©puisĂ© Ă cause de son entraĂźnement, mais pour le moment, tout ce qui comptait, câĂ©tait que Tohru guĂ©risse.
******
Tohru se rĂ©veilla lentement. La nuit Ă©tait tombĂ©e. Les rideaux nâavaient pas Ă©tĂ© tirĂ©s et la lune Ă©clairait la chambre. Dormir lui avait fait du bien. Elle tourna la tĂȘte et vit Kyo. Il Ă©tait assit sur la chaise de bureau. Sa tĂȘte et ses bras Ă©taient posĂ©s sur les bords du lit. Cette position ne devait pas ĂȘtre confortable. Pourtant, il dormait profondĂ©ment. Tohru approcha doucement sa main de la sienne, mais nâosa pas la toucher. Kyo Ă©tait restĂ© prĂšs dâelle. Il avait veillĂ© sur elle. Une douce chaleur envahie son cĆur. Elle Ă©tait heureuse. La fatigue lâenvahit. Elle ferma les yeux et sâendormit avec un immense sourire aux lĂšvres.
Fin
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LINGE BASQUE, TISSU TRADITIONNEL TRĂS TENDANCE
Le tissu servait de nappe les jours de fĂȘte ou de toile Ă©paisse pour protĂ©ger les bĆufs de la chaleur et des moustiques.
Noble et rustique, en Lin, la qualitĂ© du tissage du coton d'aujourd'hui fait perdurer cette rĂ©putation. Les maisons du linge basque, avec des crĂ©ations modernes ou des collections plus traditionnelles, perpĂ©tuent un Art de Vivre... đ
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Luo Yang Carpe Diem, La Maison de Z, 2022
Limited edition of 800 copies. Softcover with embossing and foil stamping. The book contains 4 booklets sewed on PapersenseâąÂ wood pulp washable paper. 19 x 24 cm, 96 pages.
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2007ćčŽă23æłăźăšăă«çșèĄšăăćäžä»Łăź100äșș仄äžăźć„łæ§ăèżœăç¶ăăćœŒć„łăăĄăźèș«äœăšç掻ăźć€ćăèšéČăăă·ăȘăŒășăGirlsăă2019ćčŽă«ăčăżăŒăăă1990ćčŽä»ŁćŸćăă2000ćčŽä»Łććă«çăŸăăè„ăäžä»Łă«çŠçčă移ăæ°ă·ăȘăŒășăYouthăăȘă©ăć€ćăăçŸä»ŁäžćœăźăăŸăăŸăȘè„è
ăźçŸ€ćăæăăŠăăŸăă
When we talk about âBa ling houâ (born after the 1980s) in China, we are actually talking about the first generation born under the one-child policy and raised during the reform and opening up led by Deng Xiaoping after the Cultural Revolution (1966-1976).
This generation grew up together with the Internet and social media, melting into a consumer society that is totally in rupture with the preceding generations. Luo Yang, a photographer born in 1984, is also one of them.
In 2007, at the age of 23, Luo started the series Girls, which brought her international recognition. For ten years, Luo Yang followed more than a hundred of women from her generation, recording changes to their bodies and their lives, observing and capturing their delicate transition to adulthood. It's as if the photographer was capturing their (her) emotions as a young woman by holding a mirror up to her own growth and evolution alongside those of her models.
Now, Luo Yang is in her late 30s. In the new series Youth that she started in 2019, Luo shifts her focus to a younger generation born in the late 1990s and early 2000s. She continues to explore through Generation Z the changes of contemporary China now globalized and reached on a new scale and tries to preserve a photographic trace of these âatypical charactersâ in a social context.
From Girls to Youth, Luo Yang keeps âdocumentingâ the post-teenagers and young adults that she met in her everyday life, using her works to tell the "story of youth" across generations. She depicts an emerging Chinese youth culture through her work that defies imposed expectations and stereotypes, showing evidence of her subjectsâ individuality and personality. It is a personal account at femininity, gender, and identity that reflects the profound and ongoing changes taking place in our society.
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10 juin 1936
Au détour du chemin, Il étendit la main, Devant le beau matin.
Le ciel Ă©tait si clair Que les nuages dans lâair Ressemblaient Ă lâĂ©cume de la mer.
Et la fleur des pommiers Blanchissait dans les prĂ©s OĂč sĂ©chait le linge lavĂ©.
La source qui chantait, Chantait la vie qui passait Au long des prés, au long des haies.
Et la forĂȘt Ă lâhorizon, OĂč verdissait le gazon, Comme une cloche Ă©tait pleine de sons.
La vie Ă©tait si belle, Elle entrait si bien dans ses prunelles Dans son cĆur et dans ses oreilles,
Quâil Ă©clata de rire : Il rit au monde et aux soupirs Du vent dans les arbres en fleur.
Il rit Ă lâodeur de la terre, Il rit au linge des lavandiĂšres, Il rit aux nuages passant dans lâair.
Comme il riait en haut de la colline, Parut la fille de belle mine Qui venait de la maison voisine.
Et la fille rit aussi Et quand son rire sâĂ©vanouit Les oiseaux chantaient Ă nouveau.
Elle rit de le voir rire Et les colombes qui se mirent Dans le bassin aux calmes eaux ĂcoutĂšrent son rire Dans lâair sâĂ©vanouir.
Jamais plus ils ne se revirent. Elle passa souvent sur le chemin OĂč lâhomme tendit la main Ă la lumiĂšre du matin.
Maintes fois il se souvint dâelle Et sa mĂ©moire trop fidĂšle Se rĂ©flĂ©tait dans ses prunelles.
Maintes fois elle se souvint de lui Et dans lâeau profonde du puits Câest son visage quâelle revit.
Les ans passĂšrent un Ă un En palissant comme au matin Les cartes quâun joueur tient dans sa main.
Tous deux pourrissent dans la terre, Mordus par les vers sincĂšres. La terre emplit leur bouche pour les faire taire.
Peut-ĂȘtre sâappelleraient-ils dans la nuit, Si la mort nâavait horreur du bruit : Le chemin reste et le temps fuit.
Mais chaque jour le beau matin Comme un Ćuf tombe dans la main Du passant sur le chemin.
Chaque jour le ciel est si clair Que les nuages dans lâair Sont comme lâĂ©cume sur la mer.
Morts ! Ăpaves sombrĂ©es dans la terre, Nous ignorons vos misĂšres ChantĂ©es par les solitaires.
Nous nageons, nous vivons, Dans lâair pur de chaque saison. La vie est belle et lâair est bon.
Robert Desnos
[Alfred Sisley - Normandie, le sentier au bord de l'eau, soir Ă Sahurs]
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Entretenir Votre Maison Sans Punaises De Lit Ă Paris
Pour maintenir votre maison sans punaises de lit Ă Paris, se conformer Ă ces suggestions : de maniĂšre approfondie Ă©valuer d'occasion meubles, entretenir votre maison sans encombrement, routiniĂšrement aspirateur tapis et meubles, nettoyer linge de lit dans de l'eau chaude et utiliser punaise de lit -proof coussin revĂȘtements. Lorsque vous voyagez, inspectez bagages et hĂŽtel espaces, et nettoyer vĂȘtements dans l'eau chaude Ă votre retour Ă la maison. La dĂ©couverte prĂ©coce et rapide activitĂ© sont clĂ©s Ă©viter invasions.
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Journal
Hier, je vous parlais du peu de passion que j'ai pour le mĂ©nage. Aujourd'hui, je veux vous parlez du peu d'aide que je reçois de la part de mon fils et mon mari concernant l'entretien de la maison. Mais tout d'abord, je dois prendre mes responsabilitĂ©s. Je n'ai jamais voulu les obliger Ă m'aider. Quand j'Ă©tais enfant, ma mĂšre travaillait et nous laissait Ă ma sĆur et moi, une liste de choses Ă faire avant son retour. A l'Ă©poque, je trouvais cela complĂštement injuste que mes matinĂ©es de libres soient en partis occupĂ©es Ă Ă©tendre le linge, passer l'aspirateur, dĂ©barrasser le lave-vaisselle etc. J'ai donc dĂ©cidĂ© qu'une fois que j'aurais des enfants, je ne leur demanderai rien. Il se trouve que j'ai toujours Ă©tĂ© une femme Ă la maison, par choix, parce que je voulais ĂȘtre prĂ©sente pour mes enfants, contrairement Ă mes parents qui bossaient Ă©normĂ©ment. J'avais dons le temps de faire le mĂ©nage sans trop rien leur demander, si ce n'est de faire la vaisselle Ă tour de rĂŽle. A cette Ă©poque, les 4 enfants Ă©taient tous Ă la maison. Maintenant, nous sommes 3 dans le mĂȘme appartement. J'ai pris de l'Ăąge et parfois, j'ai besoin qu'on m'aide pour faire certaines choses. Exemple du jour, accrocher les rideaux ou nettoyer les lustres. Ce que Monsieur a fait en rĂąlant et en me disant qu'il ne voyait pas pourquoi je faisais ce genre de chose que personne ne remarque. Il doit, depuis des semaines, nettoyer les alarmes incendies qui sont tachĂ©es de cacas de mouches. Il est assez grand pour le faire sans monter sur une chaise, moi pas ! Mais bien que je lui demande gentiment tout les jours, rien n'est fait. Autre exemple, la poudre de cafĂ© qu'il laisse derriĂšre lui quand il remplis la machine, alors que je lui ai demandĂ© de nettoyer le cas Ă©chĂ©ant, vu qu'il est le seul a s'en servir. Alors je nettoie devant lui mais ça ne le dĂ©range pas plus que ça. Mon fils, quant a lui, ne sort pas de sa chambre. Quand je lui demande de la ranger un peu, il soupire en disant que personne n'y vient Ă part lui. Concernant son linge sale, j'ai mis un panier au pied de son lit car il avait la flemme de le mettre dans celui prĂšs de la machine. Mais chaque fois que je vais chercher son linge sale, il est sur son lit et pas dans le panier. S'il se coupe une tranche de pain, il laisse les miettes. Si mon mari enlĂšve un cotĂ© du plaid sur le canapĂ© en se vautrant dessus, il attend que je le remette en place. Il y a cette petite voix qui me rĂ©pĂšte: " C'est bien fait pour toi ! Tu n'avais qu'a les "dresser" dĂšs le dĂ©part, gueuler comme le fait ta mĂšre, crĂ©er un climat de tension mĂ©nagĂšre, histoire que tout le monde en fasse un minimum !" Mais je dĂ©teste les conflits ! Et comme je suis une femme au foyer, je me dis que c'est mon job. Mais ça me pĂšse de plus en plus, de voir qu'en plus de ce "job", je suis quand mĂȘme souvent leur bonne ! En fait, ĂȘtre une femme au foyer, c'est nettoyer le bordel des autres, sans jamais ĂȘtre payĂ©, sans jamais ĂȘtre en vacances, ni en weekend. C'est aussi renoncer Ă des tas de choses, parce que financiĂšrement, je n'ai jamais Ă©tĂ© autonome. C'est avoir constamment en tĂȘte que l'on dĂ©pend de l'autre. Alors oui, j'ai eu l'immense bonheur de pouvoir Ă©lever mes 4 enfants, d'ĂȘtre lĂ pour eux Ă chaque moment. J'ai Ă©tĂ© une mĂšre avant tout et c'est ce que je voulais. Mais mon dernier aura 18 ans dans quelques mois, il finira par quitter la maison, comme ses frĂšres et sa sĆur avant lui. Et moi, je serais lĂ , proche de la soixantaine, Ă encore me dire que c'est normal que je passe derriĂšre mon mari, parce que c'est lui qui rapporte le salaire qui nous permet de vivre.
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Nina Leen, Le dilemme travail-maison des femmes, 1947.
MénagÚre Marjorie McWeeney en train de repasser au milieu d'une exposition symbolique de son travail domestique hebdomadaire au magasin Bloomingdale's, comprenant 35 lits à faire, 750 articles de verre et de porcelaine, 400 piÚces de vaisselle en argent à laver, 174 livres de nourriture à préparer, quelques-uns des 250 articles de lessive sur une corde à linge, et une machine à laver avec essoreuse.
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Marseille, le MuCEM et sa nouvelle collection permanente (à mes yeux, bien plus intéressante et mieux présentée que la précédente...)
Il y aura un nombre important de billets !!!
armoire à linge de maison, dot de Maria Hirner - Zillertal, Tyrol, 1840, alternée avec...
coffre - Montbardon, Hautes-Alpes, 1778
tonnelet en faĂŻence - NiĂšvre, 1736
coffre - Queyras, Hautes-Alpes, 1734 : "fait ce 7 janvier 1734 - fait par moy, G : EME"
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La lettre « B »
Baboune:
- Faire la gueule, bouder
- DĂ©signe aussi le bas du visage
Balado
Podcast
Baquet/Bacaisse:
Personne corpulente (homme/femme)
BĂądrer (verbe)
InquiÚter, importuner, se faire du souci. S'utilise habituellement dans sa forme négative (Ne pas se bùdrer).
Balayeuse:
Aspirateur
Barniques:
Lunettes
Barouetter
Se faire bousculer, se faire déplacer rudement.
Baveux:
Arrogant, effronté
BĂ©belle:
Jouet, babiole
Bebitte Ă patate:
Coccinelle
BĂ©cosse:
Toilette (w.c.)
BĂ©cycle/BĂ©cyk/bicyle/bicyk
Vélo, bicyclette. Note: un "bécyk à gaz" est une moto
Beurrée:
- Tranche de pain de mie recouvert d'une tartinade.
- Une grosse sommes d'argent.
Beurrer: (verbe)
- Salir
- Enduire, recouvrir d'une substance quelconque
Bine
- fĂšve/haricot
- petit coup de poing habituellement donné sur l'épaule
Bizouner:
S'occuper à de menus travaux. (Ne pas confondre le verbe bizouner avec le nom bizoune qui lui signifie pénis!)
Bol:
Toilette
Bolle:
Personne trĂšs intelligente
Botcher:
BĂącler
Brassée:
QuantitĂ© de vĂȘtements chargĂ©e et lavĂ©e dans un lave-linge
Brosse:
se saoûler, prendre une cuite
Expressions:
Swing la bacaisse dans l'fond d'la boĂźte Ă bois!
Se retrouve uniquement dans certaines chansons tranditionnelles. La bacaisse est Ă l'origine une bĂąche utilisĂ©e pour transporter le bois de chauffage Ă l'intĂ©rieur des maisons. L'expression peut donc s'interprĂ©ter comme une invitation Ă rapidement terminer ses tĂąches et venir faire la fĂȘte.
Boss des bécosses
DĂ©signe quelqu'un ayant le comportement d'un petit chef autoritaire, mais sans grande envergure.
Beurrer Ă©pais
Exagérer, pousser le bouchon
Bout d'la marde
C'est le comble, incroyable
Branler dans le manche
HĂ©siter
Broche Ă foin
Mal organisé
Se tirer/prendre une bûche
S'assoir
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Bon lundi !
Une nouvelle semaine commence !
Et jâaimerais vous partager aujourdâhui, la façon dont je rythme mes journĂ©es, afin de ne pas me sentir trop dĂ©passĂ© en fin de journĂ©e
2 . plan des journées
Le ménage !
Câest pendant que ma fille joue que je fait le plus bruyant ! Passer lâaspirateur partout, faire la vaisselle, et ranger ce qui traĂźne dans les grand lignes. Ensuite chaque jour est dĂ©diĂ© Ă une tĂąches plus ou moins importantes :
Laver par terre, ranger les placards, nettoyer les sanitaires, changer les draps⊠etc âŠ
Pendant que ma fille dors, je fais les choses le moins bruyant : laver par terre, faire le repassage, lancer les machine étendre et retirer le linge, préparer les repas ⊠et bien sûr ! Je me pose un peu !
Finalement quand tout est bien rĂŽdĂ©, on arrive Ă contrĂŽler son environnement « , et surtout Ă©viter le trop plein de bazarâŠ
En tant quâautiste je suis trĂšs frigique quand au mĂ©nage, je fonce tĂȘte baissĂ© dedans, et jâai besoin de continuellement ĂȘtre dans une maison rangĂ©e et propre.
Ensuite et non pas des moindres le plan des repas de la semaine ! La aussi je laisse peu de place Ă lâimprovisation, car je peux mettre des heures Ă chercher ce que je peux/veux/dois faire Ă manger
Et comme ma fille mange dĂ©sormais plus ou moins la mĂȘme chose que nous! Je fais un seul plat, et nous mangeons toute les deux le midi, et autant que possible, tous ensemble le soir et les week-ends ! (Merci lâapplication Jow pour cela)
Tout est dĂ©fini dans un planning, car je dĂ©teste les imprĂ©vus, jâaime les choses planifier, jâai affreusement besoin de mâorganiser au mieux pour pallier au monter de stress⊠car sans planification, je tourne autour de ce que je dois faire, et je veux TOUT faire dâun coup.
Jâai beaucoup rĂ©duit mon anxiĂ©tĂ© grĂące au pas Ă pas ;) et câest pour cela que je partage avec vous ces choses !
Je pense que mĂȘme les personne neurotypique peuvent y trouver leur compte, mĂȘme si je parle avant tout de mon parcours dâautiste !
VoilĂ voilĂ ! Demain je vous parlerais du troisiĂšme point ! Les habitudes !
Des choses qui prennent peu de places dans le quotidien, mais qui au fil du temps mâaide grandement Ă rĂ©duire le stress, et surtout rĂ©guler mes tensionsâŠ
Ă demain !
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