#linge de maison
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publicite-francaise · 11 months ago
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A la Place Clichy, Paris, par Lem, 1900.
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camisoledadparis · 10 days ago
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saga: Soumission & Domination 362
Espagne 2015-4 : Javier et Arturo
Quand nous arrivons, Javier est là, accompagné d'un jeune mec. Ils sont encore habillés quand la triplette passe sa frustration en déboulant comme des fous, à poil et qu'ils sautent dans l'eau attrapant au passage le jeune homme.
Javier sort vite de ses vêtements juste au cas où ils reviendraient le chercher !
J'explique à Marc et Hervé le pourquoi de leur excitation. Arturo (le nouveau) nage maintenant, nu, avec la triplette. Je repêche avec PH les vêtements qui flottent et pousse jusqu'à la lingerie les mettre au sèche-linge.
Paco ramène l'apéro et je le vois apprécier que Jesus soit revenu. Entre deux verres, les plagistes se dessalent dans la piscine. Et nous finissons tous dans l'eau, un verre à la main. Insidieusement, par les passages répétés sous l'eau, entre nos jambes (soit disant pour jouer) de nos plus jeunes avec Arturo qu'ils ont dévoyé, la température de nos corps monte. Nos sangs aussi semblent avoir des velléités d'expansion et je m'aperçois que je ne suis pas le seul à bander ferme. On les laisse faire et bientôt on se retrouve tous à poil, les maillots flottant entre deux eaux. On sort de l'eau et entre le léger vent chaud et les frottements, on sèche vite.
Pendant l'apéritif, nous avons appris qui était Arturo. Il fait fonction d'assistant auprès de Javier qui l'a récupéré auprès du pole-emploi local. Au départ il l'avait embauché comme homme toute main pour faire des petits travaux à son agence (peinture et bricolage). Puis ils sont passés aux travaux à la maison ! J'imagine bien Arturo le bleu de travail ouvert sur sa poitrine imberbe !! Depuis ils ne se quittent plus. Et comme il avait commencé une formation vente, Javier envisage même de le réinscrire en formation par alternance.
En attendant, il n'est pas farouche le gamin (18ans quand même). Au milieu de notre triplette, il se donne à fond dans la pipe. Petit format, dans les 1,75m musclé mais léger 55Kg, il est plutôt passif (info Javier). Extérieurement il est brun de poil mais imberbe avec une peau bronzé du plus bel effet. Elle est légèrement plus claire sur les fesses ce qui me fait dire qu'en hivers il reste hâlé.
Je devine qu'il y a plus que cela entre eux. J'isole Javier pour savoir le fin mot de l'histoire, je suis curieux, on ne me refera pas ! En fait, c'est le fils d'une connaissance mais néanmoins " gros con " qui l'a foutu à la porte quand il avait appris que son rejeton était homo. Sans ressource, ce dernier acceptait tous les tafs même manuels qu'il pouvait trouver. Et non, il n'avait pas encore fait la pute quand Javier l'avait récupéré !
Comme il connait la filiale espagnole de notre société pour avoir été approvisionneur en clients, je lui propose d'y faire taffer son protégé. Il refuse gentiment et me dit qu'ils n'ont pas besoin. Il gagne très bien sa vie, le salaire qu'il verse à Arturo est quasiment de l'argent de poche puisqu'ils vivent ensemble. Et côté sexe, il ne l'empêche pas de faire ce qu'il veut comme je peux le voir.
Je me retourne et vois l'animal planté sur les 22cm de mon Marc. On en rit et partons à la recherche d'un plan nous aussi.
Je rejoins João qui entreprend Max et Enguerrand en même temps. Il a besoin d'aide ! J'attrape mon beau-frère, il va pour se débattre et voit que c'est moi qui le ceinture à la taille. Rotation, il pose ses lèvre sur les miennes, me souffle un " ça te dirait qu'on se fasse un truc tous les deux ". Avant de m'entrainer dans la villa et leur chambre.
Nous faisons l'amour lentement. Chacun prend soin de maîtriser la montée du plaisir de son partenaire. A ce petit jeu, il est très doué. Quand on est trop proche de jouir, on s'arrête. Dans une de nos " pause ", il me dit qu'il est trop content que je les ai emmenés ici. Il n'en pouvait plus des camps scouts et de la ferme, même si quand ses frères y sont il est content et surtout quand toute sa nouvelle " famille " s'y réuni.
Lors d'une autre, il se presse contre moi et je sens des larmes tomber sur ma peau. Je le serre plus fort, embrasse le front qui est à ma portée avant de relever son menton, de le fixer dans les yeux et de poser doucement mes lèvres sur les siennes. Juste un baiser, pas de pelle, je sens que ce n'est pas le moment. Je devine qu'il se fait un mauvais flash-back. Il vient doucement à se confier. Avec ma façon très personnelle d'aborder les choses, je m'étais imaginé qu'il avait tourné la page et que XX de XXX n'était plus qu'une expérience qui aurait pu être meilleure. Mais ce n'est pas complètement son cas. Je le laisse venir. Alors que ses larmes coulent encore, il m'assure être très heureux avec Max et Nathan. Qu'il ne pouvait avoir de meilleurs amis et amants. C'est juste que de temps en temps, ça remontait sans crier gare et il ne voulait pas les souler avec ça. Surtout pendant les vacances. Il ne savait pas pourquoi, si c'était un mot, une attitude mais il revoyait des scènes avec XX et il avait mal.
Je reste à l'écoute. Il est couché contre moi, sa tête au creux de mon épaule et nous regardons le plafond. Il me parle du suicide. Du nombre de fois où il a failli se foutre en l'air, des méthodes qu'il avait même envisagé : fusil de chasse, accident de la route volontaire, même le train.
C'est noir mais il faut que ça sorte ! Il m'explique que c'était surtout après qu'il se soit fait enculer par toute la bande qu'il pensait à ça. Au tout départ, il avait cru que XX avait quelques sentiments pour lui et que c'était par jalousie envers sa soeur que ce dernier l'avait " pris ". Mais rapidement il avait ouvert les yeux et dès ce moment il s'était tellement senti une sous-merde, que ça marronnait dans sa tête. Il ajoute qu'il n'aurait probablement pas eu le courage de passer l'été. Bon l'autoflagellation et l'auto-complaisance dans la noirceur à ses limites. Je le secoue le fait basculer sur moi et lui roule un patin. Sa queue réagit au quart de tour et colle la mienne qui n'avait pas ramollie. Il a besoin de confiance en lui, bon je vais le laisser m'enculer, sans lui dire.
Petit 69, je lui mange la bite et la rondelle en alternance et lui demande de me faire pareil. Il me travaille bien l'anneau et entre régulièrement 1 bon cm de langue dedans. Je le pompe en faisant attention à ne pas aller trop loin.
Je le plaque dos sur le lit, mes mains maintiennent ses poignets alors que j'enjambe son bassin et que je recule pour dresser sa bite contre mon sillon. Je me penche, lui roule un patin et en jouant du bassin me plante ses 19cm dans l'oignon. Ma bouche étouffe son cri. Je me l'enfonce bien profond et ressent le petit coup de bassin qu'il ne peut retenir et qui propulse ses derniers mm dans mon cul.
Je décolle ma bouche de la sienne et lui demande si ça va. Les yeux brillants, il me dit que je suis trop bon (et il y met plus que le cul dans cette assertion). Je lui dis de se laisser faire et déploie toute mon expérience à lui faire l'amour. J'utilise toutes les variations possibles lors de ma chevauchée. Le travail compressif de ma rondelle que je module différemment selon que je rythme " au pas " ou " au galop " le met sur orbite.
Je serre les genoux contre son torse et roule sur le côté. Comme ça, sans qu'il ait déculé, il se retrouve au-dessus mes jambes autour de ses reins. Je les attrape aux plis des genoux et écarte bien pour lui laisser toute latitude à m'enculer. Il se redresse sur ses genoux, soulevant mon bassin sous lequel il glisse un oreiller. Et là mon " petit frère " se déchaine. Il me défonce le cul comme un fou, tapant son bassin contre mes fesses à chaque pénétration. Il ralentit, je sens qu'il veut un truc mais n'ose pas me le demander. Je suis sûr que c'est une levrette. Je le repousse et me tourne à 4 pattes. J'entends derrière moi un merci en même temps qu'il se réintroduit en moi. Là, accroché à mes hanches, il me lime royalement. Quelques contractions de ma rondelle et il largue la purée. Je le bloque en moi le temps qu'il se vide et continue à serrer alors qu'il sort. Moi j'ai rempli ma paume et alors que je vais pour lécher mon sperme, il me tire le bras pour en avaler un max. je récupère le reste et un peu plus en allant le chercher entre ses dents.
Le répit est bref. Max et Nathan nous ont retrouvés et sautés dessus. Ils veulent savoir pourquoi on s'était isolé alors qu'ils partagent tout tous les 3.
Malgré les gestes de dénégation d'Enguerrand, j'explique à ses deux amours que notre ami commun avait eu un passage à vide. Max voit tout de suite de quoi il retourne alors que Nathan ne réalise qu'après. Enguerrand se fait copieusement engueuler, comme quoi ils sont là pour lui, même quand il est mal. Il ajoute qu'il est temps qu'ils me laissent tranquille, que j'en ai déjà fait assez pour eux.
Là je les interromps. Je leur dis que je leur serais toujours dispo et que je préfère qu'ils viennent me voir plutôt qu'ils fassent une connerie. Je les engueulerais certainement mais je les aiderais dans tous les cas.
Max s'excuse qu'il n'avait pas voulu m'écarter en disant cela, juste qu'il voulait qu'Enguerrand sache que s'ils avaient tous les trois le même âge, il pouvait quand même s'appuyer sur eux deux.
On se câline un moment tous les 4 jusqu'à l'arrivé des miens, PH, Ludovic et Ernesto. Du coup ça repart en sexe !! Cette fois je profite des culs et ma bite s'enfonce à tour de rôle dans chacun de ceux de notre triplette. Mes amours aussi profitent des petits jeunes qui ne demandent que ça. Enguerrand se réserve quand même pour accueillir mon sperme au fond de lui. Je me termine en labourant son petit trou en levrette, tirant vers moi sa tête en arrière pour qu'on se roule une pelle. Nathan, couché sous mon petit beau-frère avale sa production alors qu'il se fait défoncer par Ernesto. Nous sommes découverts par Marc qui nous cherchait. Le diner nous attendait ! Retour sur la terrasse en maillots. Arturo est content de nous revoir, ça faisait un moment qu'il n'était entouré que de " vieux " !
Max lui demande combien de fois il s'était fait enculer. De but en blanc, ça surprend notre invité qui bafouille un 2 ou 3. Rires de Javier qui nous dit que comme ils lui sont tous passés dessus sauf Jesus, c'est plutôt 5 qu'il faut compter. Là, Marc annonce 6 car il l'a pris deux fois.
Arturo rougi sous son bronzage. Il se défend d'être une pute. Nathan l'entoure de ses bras et dit qu'il est juste un mec qui aime baiser c'est tout, comme nous tous ici.
Il a bien résumé la situation.
La paëlla Valencienne est très réussie et il ne reste pas un grain de riz quand nous en avons terminée avec elle. Paco est ravi de ça !
C'est vers 3h du matin que nous nous endormons un peu partout.
Le grand soleil me réveille. Je suis sur un des matelas de la piscine, dans mes bras se trouvent les deux frères, Ludovic et Enguerrand. Je me glisse pour aller prendre un café et voir où sont les autres. Debout je me retourne. Enguerrand a rejoint Ludovic et se love en cuillère contre son ventre.
La maison est encore muette. A la cuisine Paco me sert un café à réveiller un mort ! Mais ça fait du bien. Tout bas il me demande si tout va bien. Il me dit qu'heureusement que Marc et Hervé sont là, sinon Jesus l'aurait mis sur les rotules. Il ajoute que ça fait un moment qu'il n'était pas tombé sur un assoiffé de sexe comme lui.
Mug en main, je fais le tour de la villa. Personne dans le séjour, coups d'oeil dans les chambres, ils sont tous là en ordres dispersés. Romain n'est pas avec João, PH et Ernesto sont dispersés, l'un avec Hervé l'autre avec Jaime. Je vois ce qu'avais voulu dire Paco quand je surprends Jesus en train de pomper les 22cm de Marc !! Il me fait un clin d'oeil et lève le pouce. Je lui fais signe de continuer, je connais mon homme et sais qu'il adore ce genre de retour à la réalité.
Sur la terrasse, Enguerrand est réveillé et je le vois en train de s'enfiler la bite en érection matinale de son frère. Il me fait bander ce con !
Je me couche derrière Ludovic et lui enfile ma bite. Là, notre " tanche de jambon " (prise en sandwich, faut suivre un peu !) se réveille. Il voit avec qui il baise et nous traite d'obsédés. Il n'empêche qu'il ne se dérobe pas et que tous les trois nous jouissons pour la première fois de la journée.
On se déboite juste alors qu'arrive le reste de la triplette et mes escorts. Ils apportent café, jus d'oranges fraichement pressées plus du pain frais. On petit déjeune avant d'aller se laver.
Les jours qui suivent durant cette première semaine seront du même style. Jaime a pris pension à la villa tout comme Jesus. Les autres : les hollandais et Rubén passent de temps à autre. Arvid nous a demandé si on pouvait l'héberger nos deux dernières semaines. Il trouve l'ambiance de la villa démentielle et kiff les baises inopinées.
La " plage " commence à repérer le petit groupe que nous formons. Lorsque les rabatteurs de boites descendent distribuer leurs flyers, canons dans leurs maillots de bains sexys, ils nous convient tous. On doit être le seul groupe homogène en âge, musculature et maillots remplis de la plage.
Nous acceptons une soirée qui promet d'être chaude dans la boite dont les rabatteurs qui nous ont démarchés étaient plus beaux.
Jardinier
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sabinerondissime · 2 months ago
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Faire son pain, c’est renouer avec un rituel ancien, redonner à cet aliment simple et sacré toute la place qu'il mérite. Le pétrissage de la pâte, la lente montée sous le linge, le temps qui s’étire et nous rappelle que certaines choses ne peuvent être précipitées. Enfourner le pain, sentir la chaleur du four, attendre cette odeur enivrante de croûte dorée qui emplit la maison… Cela nous ancre dans l’essentiel, dans la patience et la satisfaction du travail bien fait.
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nimbusnomade · 14 hours ago
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La Petite année chinoise 小年 (xiǎo nián) également appelée "Petit nouvel an" est un événement de la culture traditionnelle chinoise tombant environ une semaine avant le Nouvel an chinois (ou "fête du Printemps").
La Petite année est considéré comme la veille du Nouvel an traditionnel. 
Ce jour là les familles se réunissent autour d'un repas constitué essentiellement autour du riz, de boulettes et de sucreries traditionnelles.
Honneur au dieu du fourneau
Ce festival est une célébration à Zaowangye 灶王爺, également connu comme "dieu du fourneau" ou "dieu de la cuisine". 
Ce dieu de la mythologie chinoise est un fonctionnaire de l'Empereur de Jade, envoyé dans chaque famille afin d'y enquêter et d'en rendre compte le 23ème (dans le nord du pays) ou le 24ème (dans le sud) jour du 12ème mois lunaire.
Avant son départ, on lui brûle de l'encens et lui prépare des offrandes pour qu'il parle en bien de la famille. Les offrandes comprennent têtes de porc, poissons, pâte de haricot sucrée, fruits, boulettes cuites, et de nombreuses sucreries traditionnelles. 
Le soir du réveillon du Nouvel an, Zaowangye revient et une cérémonie d'accueil a lieu et une nouvelle image est collée sur le mur.
Du contenu de son rapport dépendent les bénédictions ou les malédictions de l'année à venir sur le foyer : les bonnes actions sont récompensées et les mauvaises punies. 
Bien qu'aujourd'hui peu de familles respectent encore la tradition des offrandes, de nombreuses activités traditionnelles sont toujours très populaires.
Activités traditionnelles
Il est de tradition d'écrire et d'accrocher des couplets autour des portes le jour de la Petite année afin d'attirer la faveur des dieux.
On colle également des papiers découpés représentant souvent des animaux de bon augure comme la chauve-souris, sur les fenêtres.
Le Petit nouvel an est également un jour de grand nettoyage. Ce jour-là tous les ménages dès l'aube, balayent la maison, nettoient les fenêtres, lavent linges et casseroles, etc. Cette coutume est une image symbolisant le détachement des choses sales et vieilles du passé afin de commencer une nouvelle année saine.
Ce jour-là on se lave et on se coupe les cheveux pour symboliser un nouveau départ pour la nouvelle année.
Il ne faut cependant pas se couper les cheveux ou balayer après le début du Nouvel an, ce qui aurait l'effet contraire en faisant partir la chance durant toute l'année à venir.
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alain75fr · 2 months ago
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11 Novembre 2024
Cette fois c’est bien fini , la journée d’hier a été notre retour à Paris . Nous avons pris un taxi avec nos deux gros sacs c’était plus simple , le vol de nuit avec Air France s’est très bien passé même si nous avons attendu deux heures de plus; n’ayant pas de correspondance à Paris pour nous , pas de problème, pour certains ça complique toujours les choses . Retour sous un ciel d’automne, il y a encore 8h nous étions en été à New Delhi mais très pollué. Un petit choc thermique nous a contraint à nous couvrir d’une polaire pour Thierry et d’une Doudoune pour moi . Le passage à la douane se fait automatiquement en scannant notre passeport, il n’y a plus d'agent, juste un peu de personnel qui oriente les arrivants sur le chemin à suivre avant de récupérer les bagages. Nous étions au terminal 2. Le taxi a mis un peu plus de 39 minutes avant de nous déposer devant notre porte, avenue d’Italie. Auparavant il y avait une Navette Air France qui amenait les personnes qui le souhaitaient jusqu'aux gares Parisiennes, mais elle a été supprimée, pour une fois qu'il y avait quelque chose de pratique dans cet Aéroport...Pas de trop de circulation en ce dimanche matin. On a réglé la somme de soixante cinq euros que nous avons arrondi à soixante dix euros . Le chauffeur semble être un gros fumeur, l’habitacle sentait le tabac froid . Un détail qui peut avoir son importance pour certains . Arrivés à l’appartement ça été le grand déballage 😞 , machine à laver mise en route , évidemment beaucoup de linge à laver … c’est le rituel des retours . Nous nous sommes offert un masque qui vient compléter la série que nous avons déjà. Là aussi c’est devenu un rituel. À chaque endroit où nous essayons d'en rapporter un, heureusement qu’on ne part pas chaque mois sinon nous serions envahis …. Pour résumer . Nous sommes partis le 24 octobre, après la déception du 19 et revenus le 10 novembre au matin . Ce treck dans le Haut Mustang fut une belle découverte, difficile pour moi, pour Thierry ce fut plus facile. Les paysages sont grandioses ,désertiques avec peu de végétation, l’érosion des roches crée de véritables tableaux , les couleurs de celles-ci passent de l’ocre au gris avec beaucoup de déclinés, de nuances. Ces villages composés de maisons traditionnelles au murs blancs au style Tibétain, toits terrasses, où le bois ramassé est stocké pour le chauffage et la cuisine, ainsi que certains aliments, couronne le périmètre ,de petites ouvertures. Nous sommes à plus ou moins trois milles mètres d’altitude, l’hiver, il fait très froid . Souvent il y a un monastère qui donne l’importance de la religion Bouddhiste dans cette région . Le panorama des sommets enneigés des Annapurna donne une dimension grandiose , impressionnante qui nous renvoie à notre petite condition humaine . Pour finir et cela a son importance nous avons rencontré deux compagnons de route qui nous ont accompagnés avec beaucoup de professionnalisme et de chaleur humaine . Nous en avons déjà parlé . Autre chose . Ramji ,Chhiring et Tina nous ont demandé de faire en quelque sorte de la publicité autour de leur petite agence qu’ils viennent de créer (www.nepalvacance.com), bien sûr nous leur avons dit que nous le ferions, de plus nous resterons en contact pour suivre le développement de leur affaire . Nous leur avons dit que peut-être des personnes de notre famille, peut-être, seraient un jour intéressées de suivre l’exemple des tontons .
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aisakalegacy · 10 months ago
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Automne 1917, Hylewood, Canada (3/9)
Notre nouvelle bonne est très bien, très sérieuse, mais elle est… plutôt particulière. L’autre jour, des tensions ont émergé avec ma femme, parce qu’elle s’est mis en tête de plier tout le linge de maison selon des formes géométriques afin d’optimiser le rangement. Elle progresse en français, mais pas encore assez pour avoir une communication fluide, et j’ai dû servir d’interprète entre ma femme que la grossesse met dans tous ses états pour un rien, et la bonne qui lui exposait avec aplomb ses théories géométriques. Moi, ces histoires me font une belle jambe (ha !), et j’aimerais mieux qu’on me laisse en dehors de tout cela.
[Transcription] Maria Mayordomo : No hay dos sábanas del mismo tamaño… ¿Cómo hacer que todas quepan perfectamente en el cajón? (Il n’y a pas deux draps qui font la même taille… Comment faire pour qu’ils rentrent tous parfaitement dans la commode ?) Maria Mayordomo : ¡Tengo una solución! Veamos si funciona. (J’ai une solution ! Voyons voir si ça marche.)
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sofya-fanfics · 4 months ago
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La fièvre de Tohru
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Fandom : Fruits Basket
Relationship : Kyo x Tohru
Voici ma participation pour le Sicktember 2024 pour le prompt : Tu es en train de cracher tes poumons.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Kyo retira ses chaussures, la maison semblait vide. Il monta à l'étage lorsqu’il entendit du bruit. Apparemment, il n’était pas seul dans la maison. Quelqu’un toussait. Il se dirigea vers la chambre de Tohru. La porte était ouverte. Elle rangeait du linge et toussa à nouveau. Kyo fronça les sourcils.
Disclaimer : Fruits Basket appartient à Natsuki Takaya.
@sicktember
AO3 / FF.NET
Kyo entra dans la maison. Il avait passé la journée au dojo de Kazuma. Il était impatient de prendre une bonne douche et de se reposer. Il était parti très tôt dans la matinée, Tohru, Yuki et Shigure dormaient encore. Il savait que Tohru devait passer la journée avec Uo et Hana, Yuki avait une réunion avec le BDE, quant-à Shigure, Dieu seul sait ce qu’il avait fait de sa journée.
Kyo retira ses chaussures, la maison semblait vide. Il devait être le premier à être rentré. Il monta à l'étage lorsqu’il entendit du bruit. Apparemment, il n’était pas seul dans la maison. Arrivé en haut de l’escalier, un nouveau bruit se fit entendre. Quelqu’un toussait. Il se dirigea vers la chambre de Tohru. La porte était ouverte. Elle rangeait du linge et toussa à nouveau. Kyo fronça les sourcils.
« Tohru ? »
Elle sursauta, ne l’ayant pas entendu arriver.
« Kyo-kun ! Tu es rentré depuis longtemps ? »
Il la regarda avec inquiétude. Elle avait les joues rouges, les yeux brillants. Et malgré son sourire, il voyait qu’elle avait de la fièvre.
« Est-ce que tu te sens bien ? Demanda-t-il. »
Elle acquiesça, toujours souriante.
« Je vais bien. »
Elle se mit à tousser de nouveau. Une toux incontrôlable qu’elle ne pouvait pas arrêter. Kyo paniqua. Comment pouvait-elle dire qu’elle allait bien ?
« Tu ne vas pas bien, dit Kyo. Tu es en train de cracher tes poumons.
-Je suis désolée, répondit Tohru une fois sa toux calmée.
-Pourquoi tu t’excuses ? Ce n’est pas de ta faute si tu es malade. »
C’était bien Tohru pensa-t-il. Il fallait qu’elle s’excuse pour quelque chose dont elle n’était pas responsable. Elle n’allait vraiment pas bien. Elle avait les yeux mi-clos et penchait vers l’avant. Elle penchait de plus en plus et s’il ne faisait rien, elle allait se retrouver par terre. Il la rattrapa par les bras, faisant attention à ne pas qu’elle tombe sur lui. Il ne voulait pas se transformer en chat alors qu’elle avait besoin de lui. Il la fit s’asseoir sur le lit.
« Ta journée est finie pour aujourd’hui, dit-il. Repose-toi. Je vais te préparer quelque chose à manger.
-Merci Kyo-kun. »
Il sortit de la chambre et alla dans la cuisine pour lui préparer du bouillon. C’était ce que Kazuma lui cuisinait lorsqu’il était malade. Il prépara un plateau, versa le bouillon dans un bol et monta dans la chambre. Tohru s’était allongée dans son lit. Elle avait mis son pyjama et dormait profondément. Kyo posa le plateau sur le bureau et s’assit sur la chaise qu’il avait placé à côté du lit. Il allait attendre quelques instant pour être sûr qu’elle aille bien. Il mit sa tête entre ses mains. Il était épuisé à cause de son entraînement, mais pour le moment, tout ce qui comptait, c’était que Tohru guérisse.
******
Tohru se réveilla lentement. La nuit était tombée. Les rideaux n’avaient pas été tirés et la lune éclairait la chambre. Dormir lui avait fait du bien. Elle tourna la tête et vit Kyo. Il était assit sur la chaise de bureau. Sa tête et ses bras étaient posés sur les bords du lit. Cette position ne devait pas être confortable. Pourtant, il dormait profondément. Tohru approcha doucement sa main de la sienne, mais n’osa pas la toucher. Kyo était resté près d’elle. Il avait veillé sur elle. Une douce chaleur envahie son cœur. Elle était heureuse. La fatigue l’envahit. Elle ferma les yeux et s’endormit avec un immense sourire aux lèvres.
Fin
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leparfumdesreves · 4 months ago
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LINGE BASQUE, TISSU TRADITIONNEL TRÈS TENDANCE
Le tissu servait de nappe les jours de fête ou de toile épaisse pour protéger les bœufs de la chaleur et des moustiques.
Noble et rustique, en Lin, la qualité du tissage du coton d'aujourd'hui fait perdurer cette réputation. Les maisons du linge basque, avec des créations modernes ou des collections plus traditionnelles, perpétuent un Art de Vivre... 💙
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lvdbbooks · 5 months ago
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2024年8月14日
【新入荷・新本】
Luo Yang Carpe Diem, La Maison de Z, 2022
Limited edition of 800 copies. Softcover with embossing and foil stamping. The book contains 4 booklets sewed on Papersense™ wood pulp washable paper. 19 x 24 cm, 96 pages.
価格:8,800円(税込)
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一人っ子政策の下で生まれ、文化大革命(1966-1976)後の鄧小平による改革開放の中で育った第一世代、80后(バーリンホウ、1980年代以降生まれ)に属する1984年生まれの写真家、ルオ・ヤン(罗洋、Luo Yang)による作品集。
2007年、23歳のときに発表し、同世代の100人以上の女性を追い続け、彼女たちの身体と生活の変化を記録したシリーズ「Girls」、2019年にスタートし、1990年代後半から2000年代前半に生まれた若い世代に焦点を移す新シリーズ「Youth」など、変化する現代中国のさまざまな若者の群像を捉えています。
When we talk about “Ba ling hou” (born after the 1980s) in China, we are actually talking about the first generation born under the one-child policy and raised during the reform and opening up led by Deng Xiaoping after the Cultural Revolution (1966-1976).
This generation grew up together with the Internet and social media, melting into a consumer society that is totally in rupture with the preceding generations. Luo Yang, a photographer born in 1984, is also one of them.
In 2007, at the age of 23, Luo started the series Girls, which brought her international recognition. For ten years, Luo Yang followed more than a hundred of women from her generation, recording changes to their bodies and their lives, observing and capturing their delicate transition to adulthood. It's as if the photographer was capturing their (her) emotions as a young woman by holding a mirror up to her own growth and evolution alongside those of her models.
Now, Luo Yang is in her late 30s. In the new series Youth that she started in 2019, Luo shifts her focus to a younger generation born in the late 1990s and early 2000s. She continues to explore through Generation Z the changes of contemporary China now globalized and reached on a new scale and tries to preserve a photographic trace of these “atypical characters” in a social context.
From Girls to Youth, Luo Yang keeps “documenting” the post-teenagers and young adults that she met in her everyday life, using her works to tell the "story of youth" across generations. She depicts an emerging Chinese youth culture through her work that defies imposed expectations and stereotypes, showing evidence of her subjects’ individuality and personality. It is a personal account at femininity, gender, and identity that reflects the profound and ongoing changes taking place in our society.
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nous-dormirons-ensemble · 6 months ago
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10 juin 1936
Au détour du chemin, Il étendit la main, Devant le beau matin.
Le ciel était si clair Que les nuages dans l’air Ressemblaient à l’écume de la mer.
Et la fleur des pommiers Blanchissait dans les prés Où séchait le linge lavé.
La source qui chantait, Chantait la vie qui passait Au long des prés, au long des haies.
Et la forêt à l’horizon, Où verdissait le gazon, Comme une cloche était pleine de sons.
La vie était si belle, Elle entrait si bien dans ses prunelles Dans son cœur et dans ses oreilles,
Qu’il éclata de rire : Il rit au monde et aux soupirs Du vent dans les arbres en fleur.
Il rit à l’odeur de la terre, Il rit au linge des lavandières, Il rit aux nuages passant dans l’air.
Comme il riait en haut de la colline, Parut la fille de belle mine Qui venait de la maison voisine.
Et la fille rit aussi Et quand son rire s’évanouit Les oiseaux chantaient à nouveau.
Elle rit de le voir rire Et les colombes qui se mirent Dans le bassin aux calmes eaux Écoutèrent son rire Dans l’air s’évanouir.
Jamais plus ils ne se revirent. Elle passa souvent sur le chemin Où l’homme tendit la main À la lumière du matin.
Maintes fois il se souvint d’elle Et sa mémoire trop fidèle Se réflétait dans ses prunelles.
Maintes fois elle se souvint de lui Et dans l’eau profonde du puits C’est son visage qu’elle revit.
Les ans passèrent un à un En palissant comme au matin Les cartes qu’un joueur tient dans sa main.
Tous deux pourrissent dans la terre, Mordus par les vers sincères. La terre emplit leur bouche pour les faire taire.
Peut-être s’appelleraient-ils dans la nuit, Si la mort n’avait horreur du bruit : Le chemin reste et le temps fuit.
Mais chaque jour le beau matin Comme un œuf tombe dans la main Du passant sur le chemin.
Chaque jour le ciel est si clair Que les nuages dans l’air Sont comme l’écume sur la mer.
Morts ! Épaves sombrées dans la terre, Nous ignorons vos misères Chantées par les solitaires.
Nous nageons, nous vivons, Dans l’air pur de chaque saison. La vie est belle et l’air est bon.
Robert Desnos
[Alfred Sisley - Normandie, le sentier au bord de l'eau, soir à Sahurs]
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alinapresley · 7 months ago
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Entretenir Votre Maison Sans Punaises De Lit À Paris
Pour maintenir votre maison sans punaises de lit à Paris, se conformer à ces suggestions : de manière approfondie évaluer d'occasion meubles, entretenir votre maison sans encombrement, routinièrement aspirateur tapis et meubles, nettoyer linge de lit dans de l'eau chaude et utiliser punaise de lit -proof coussin revêtements. Lorsque vous voyagez, inspectez bagages et hôtel espaces, et nettoyer vêtements dans l'eau chaude à votre retour à la maison. La découverte précoce et rapide activité sont clés éviter invasions.
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viedomestique · 7 months ago
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Nina Leen, Le dilemme travail-maison des femmes, 1947.
Ménagère Marjorie McWeeney en train de repasser au milieu d'une exposition symbolique de son travail domestique hebdomadaire au magasin Bloomingdale's, comprenant 35 lits à faire, 750 articles de verre et de porcelaine, 400 pièces de vaisselle en argent à laver, 174 livres de nourriture à préparer, quelques-uns des 250 articles de lessive sur une corde à linge, et une machine à laver avec essoreuse.
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sabinerondissime · 4 months ago
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Journal
Hier, je vous parlais du peu de passion que j'ai pour le ménage. Aujourd'hui, je veux vous parlez du peu d'aide que je reçois de la part de mon fils et mon mari concernant l'entretien de la maison. Mais tout d'abord, je dois prendre mes responsabilités. Je n'ai jamais voulu les obliger à m'aider. Quand j'étais enfant, ma mère travaillait et nous laissait à ma sœur et moi, une liste de choses à faire avant son retour. A l'époque, je trouvais cela complètement injuste que mes matinées de libres soient en partis occupées à étendre le linge, passer l'aspirateur, débarrasser le lave-vaisselle etc. J'ai donc décidé qu'une fois que j'aurais des enfants, je ne leur demanderai rien. Il se trouve que j'ai toujours été une femme à la maison, par choix, parce que je voulais être présente pour mes enfants, contrairement à mes parents qui bossaient énormément. J'avais dons le temps de faire le ménage sans trop rien leur demander, si ce n'est de faire la vaisselle à tour de rôle. A cette époque, les 4 enfants étaient tous à la maison. Maintenant, nous sommes 3 dans le même appartement. J'ai pris de l'âge et parfois, j'ai besoin qu'on m'aide pour faire certaines choses. Exemple du jour, accrocher les rideaux ou nettoyer les lustres. Ce que Monsieur a fait en râlant et en me disant qu'il ne voyait pas pourquoi je faisais ce genre de chose que personne ne remarque. Il doit, depuis des semaines, nettoyer les alarmes incendies qui sont tachées de cacas de mouches. Il est assez grand pour le faire sans monter sur une chaise, moi pas ! Mais bien que je lui demande gentiment tout les jours, rien n'est fait. Autre exemple, la poudre de café qu'il laisse derrière lui quand il remplis la machine, alors que je lui ai demandé de nettoyer le cas échéant, vu qu'il est le seul a s'en servir. Alors je nettoie devant lui mais ça ne le dérange pas plus que ça. Mon fils, quant a lui, ne sort pas de sa chambre. Quand je lui demande de la ranger un peu, il soupire en disant que personne n'y vient à part lui. Concernant son linge sale, j'ai mis un panier au pied de son lit car il avait la flemme de le mettre dans celui près de la machine. Mais chaque fois que je vais chercher son linge sale, il est sur son lit et pas dans le panier. S'il se coupe une tranche de pain, il laisse les miettes. Si mon mari enlève un coté du plaid sur le canapé en se vautrant dessus, il attend que je le remette en place. Il y a cette petite voix qui me répète: " C'est bien fait pour toi ! Tu n'avais qu'a les "dresser" dès le départ, gueuler comme le fait ta mère, créer un climat de tension ménagère, histoire que tout le monde en fasse un minimum !" Mais je déteste les conflits ! Et comme je suis une femme au foyer, je me dis que c'est mon job. Mais ça me pèse de plus en plus, de voir qu'en plus de ce "job", je suis quand même souvent leur bonne ! En fait, être une femme au foyer, c'est nettoyer le bordel des autres, sans jamais être payé, sans jamais être en vacances, ni en weekend. C'est aussi renoncer à des tas de choses, parce que financièrement, je n'ai jamais été autonome. C'est avoir constamment en tête que l'on dépend de l'autre. Alors oui, j'ai eu l'immense bonheur de pouvoir élever mes 4 enfants, d'être là pour eux à chaque moment. J'ai été une mère avant tout et c'est ce que je voulais. Mais mon dernier aura 18 ans dans quelques mois, il finira par quitter la maison, comme ses frères et sa sœur avant lui. Et moi, je serais là, proche de la soixantaine, à encore me dire que c'est normal que je passe derrière mon mari, parce que c'est lui qui rapporte le salaire qui nous permet de vivre.
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philoursmars · 1 year ago
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Marseille, le MuCEM et sa nouvelle collection permanente (à mes yeux, bien plus intéressante et mieux présentée que la précédente...)
Il y aura un nombre important de billets !!!
armoire à linge de maison, dot de Maria Hirner - Zillertal, Tyrol, 1840, alternée avec...
coffre - Montbardon, Hautes-Alpes, 1778
tonnelet en faïence - Nièvre, 1736
coffre - Queyras, Hautes-Alpes, 1734 : "fait ce 7 janvier 1734 - fait par moy, G : EME"
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ascle · 1 year ago
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La lettre « B »
Baboune:
- Faire la gueule, bouder
- Désigne aussi le bas du visage
Balado
Podcast
Baquet/Bacaisse:
Personne corpulente (homme/femme)
Bâdrer (verbe)
Inquièter, importuner, se faire du souci. S'utilise habituellement dans sa forme négative (Ne pas se bâdrer).
Balayeuse:
Aspirateur
Barniques:
Lunettes
Barouetter
Se faire bousculer, se faire déplacer rudement.
Baveux:
Arrogant, effronté
Bébelle:
Jouet, babiole
Bebitte à patate:
Coccinelle
Bécosse:
Toilette (w.c.)
Bécycle/Bécyk/bicyle/bicyk
Vélo, bicyclette. Note: un "bécyk à gaz" est une moto
Beurrée:
- Tranche de pain de mie recouvert d'une tartinade.
- Une grosse sommes d'argent.
Beurrer: (verbe)
- Salir
- Enduire, recouvrir d'une substance quelconque
Bine
- fève/haricot
- petit coup de poing habituellement donné sur l'épaule
Bizouner:
S'occuper à de menus travaux. (Ne pas confondre le verbe bizouner avec le nom bizoune qui lui signifie pénis!)
Bol:
Toilette
Bolle:
Personne très intelligente
Botcher:
Bâcler
Brassée:
Quantité de vêtements chargée et lavée dans un lave-linge
Brosse:
se saoûler, prendre une cuite
Expressions:
Swing la bacaisse dans l'fond d'la boîte à bois!
Se retrouve uniquement dans certaines chansons tranditionnelles. La bacaisse est à l'origine une bâche utilisée pour transporter le bois de chauffage à l'intérieur des maisons. L'expression peut donc s'interpréter comme une invitation à rapidement terminer ses tâches et venir faire la fête.
Boss des bécosses
Désigne quelqu'un ayant le comportement d'un petit chef autoritaire, mais sans grande envergure.
Beurrer épais
Exagérer, pousser le bouchon
Bout d'la marde
C'est le comble, incroyable
Branler dans le manche
Hésiter
Broche à foin
Mal organisé
Se tirer/prendre une bûche
S'assoir
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happy-traditional-mom · 10 months ago
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Bon lundi !
Une nouvelle semaine commence !
Et j’aimerais vous partager aujourd’hui, la façon dont je rythme mes journées, afin de ne pas me sentir trop dépassé en fin de journée
2 . plan des journées
Le ménage !
C’est pendant que ma fille joue que je fait le plus bruyant ! Passer l’aspirateur partout, faire la vaisselle, et ranger ce qui traîne dans les grand lignes. Ensuite chaque jour est dédié à une tâches plus ou moins importantes :
Laver par terre, ranger les placards, nettoyer les sanitaires, changer les draps… etc …
Pendant que ma fille dors, je fais les choses le moins bruyant : laver par terre, faire le repassage, lancer les machine étendre et retirer le linge, préparer les repas … et bien sûr ! Je me pose un peu !
Finalement quand tout est bien rôdé, on arrive à contrôler son environnement « , et surtout éviter le trop plein de bazar…
En tant qu’autiste je suis très frigique quand au ménage, je fonce tête baissé dedans, et j’ai besoin de continuellement être dans une maison rangée et propre.
Ensuite et non pas des moindres le plan des repas de la semaine ! La aussi je laisse peu de place à l’improvisation, car je peux mettre des heures à chercher ce que je peux/veux/dois faire à manger
Et comme ma fille mange désormais plus ou moins la même chose que nous! Je fais un seul plat, et nous mangeons toute les deux le midi, et autant que possible, tous ensemble le soir et les week-ends ! (Merci l’application Jow pour cela)
Tout est défini dans un planning, car je déteste les imprévus, j’aime les choses planifier, j’ai affreusement besoin de m’organiser au mieux pour pallier au monter de stress… car sans planification, je tourne autour de ce que je dois faire, et je veux TOUT faire d’un coup.
J’ai beaucoup réduit mon anxiété grâce au pas à pas ;) et c’est pour cela que je partage avec vous ces choses !
Je pense que même les personne neurotypique peuvent y trouver leur compte, même si je parle avant tout de mon parcours d’autiste !
Voilà voilà ! Demain je vous parlerais du troisième point ! Les habitudes !
Des choses qui prennent peu de places dans le quotidien, mais qui au fil du temps m’aide grandement à réduire le stress, et surtout réguler mes tensions…
À demain !
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