#liberté d’expression
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Le livre du géographe Andreas Malm “Comment saboter un pipeline” est cité par le gouvernement dans le décret qui justifie la dissolution du collectif écologiste. Ses éditeurs français et étrangers s’en insurgent et s’en inquiètent.
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Le Royaume-Uni c’est un autre level niveau antisémitisme quand même. Ça me fait marrer quand je repense à tous ceux qui disaient qu’ils avaient beaucoup mieux réussi l’intégration que nous parce qu’ils pratiquent le communautarisme et non pas l’universalisme et que c’était la faute à la laïcité… Que tout le monde vivait en harmonie et dans la tolérance… Tu parles. Londres n’a pas volé son surnom de Londonistan…
Ça fait des années que c’est assez visible. Je préfère honnêtement notre culture de l’engueulade permanente plutôt que de tout balayer sous le tapis en faisant semblant de ne pas voir le problème.
Aux États Unis c’est inquiétant aussi l’antisémitisme délirant dans les universités.
#ça braille tranquillement mort aux juifs dans les rues#leur vision de la liberté d’expression m’effare#c’est des menaces de mort#enfin merde quoi
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Sous la surface lisse comme une image de synthèse, on ignore tout de sa machinerie intérieure et de ses évidents troubles de la personnalité. On peut lui trouver une tête de gendre idéal, lui reconnaître une bonne mémoire et une excellente connaissance technique des dossiers, voire un certain talent oratoire, on ne parvient pas à trouver qu’il était taillé pour le poste, alors qu’il serait parfait derrière un guichet de banque ou dans le rôle d’un DRH chargé d’annoncer au personnel un nouveau plan de licenciements. L’impression qui domine est que la politique, au fond, lui est tout aussi étrangère que la culture du pays qu’il est censé diriger. Que ce soit en France ou dans le monde, cet homme à la fois hautain, méprisant et bavard ne comprend pas ce qui se passe. Il gère (mal), il communique (mal), il réprime (brutalement), il supprime la liberté d’expression (efficacement) mais il ne gouverne pas.
Alain de Benoist
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Série et livre Haute Couture, par Emmanuelle Bousquet
Issue d’une famille de couturiers d’une marque de renommée française dont j’ai toujours caché le nom, adolescente je ne m’autorisais aucune liberté d’expression vestimentaire, marquée au fer rouge par notre marque familiale je me suis tue pendant toutes ces années essentielles de construction sur ma féminité …depuis cette obsession à travailler la peau de la Femme ne m’a jamais quitté, un long combat interne entre le vêtement et la chair, mais aussi chercher une seconde peau sur mes autoportraits que je créé en floutant, éprouvant en cassant , mordant, grattant les polaroids ( séries précédentes ).
Ici juste le temps de cette série « Haute Couture », je couds à l’aiguille cette seconde peau, une recherche de liberté chronique face à mes origines familiales.
Ressaisir cette liberté perdue face aux diktats de la mode qui enferment, utiliser ce développement personnel pour faire renaître au quotidien la liberté de son corps.
Chaque femme est libre d’être soi de n’importe quelle forme, origine, genre … écrasée par cette société qui n’évolue toujours pas assez dans le bon sens encore…
#Emmanuelle Bousquet#allure#nude portrait#Intimité intérieure#fine art nude#photographic nude#autoportrait#selfportrait#féminisme#feminism#Mode#fashion#Femme photographe#female photographers#Grain de peau
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– Et vous, vous êtes dans quoi au juste ? – Dans le réchauffement. – Ah c’est bien ça, non ? Ça a bien le vent en poupe cette histoire-là, non ? – Vous parlez de vent ? Nous, c’est tornades et typhons ! On n’a pas une minute à nous : fonte des glaciers par ici, stress hydrique par là, El Niño qui tempête dans le Pacifique, les ours polaires qui se noient dans l’Atlantique... La puissance éditoriale tous formats, les images en boucle... vous n’imaginez pas le boulot.
– Ah oui, quand même. Et vous Madame ? – Moi ? Oh moi je gère les épidémies mondiales. – Attendez... le … c’était vous ? – Oui, Monsieur. – Ahhhh, alors là… Chapeau bas, Messieurs ! Nous avons avec nous la personne qui a mis le monde sous cloche pendant deux ans ! – Vous me gênez. Le dossier était fort bien préparé, je dois dire. Un cas exemplaire de collaboration public/privé au niveau transnational. – Vous parlez le Mandarin alors ? – Oui, mais avec un fort accent texan.
– Et vous, Monsieur ? Vous êtes sur quel type de dossier ? – Moi ? Comment dire... c’est un peu dilué au début, mais ça finit généralement en apothéose. – Vous nous cuisinez, là ! Allez ! Dites tout ! – Tout ? Mais vous voulez ma mort ! Bon. Alors il s’agirait plutôt de faire bouger les gens sur des thématiques sociétales au début, et puis on redessine une carte politique à partir de quelques incidents, un peu de corruption, deux ou trois bavures bien mises en scène... bref, de quoi reprofiler les institutions en contrôlant progressivement la liberté de mouvement, d’expression, de transaction. – Je l’ai ! Vous, vous êtes dans les révolutions de couleur ! Un fond de CIA, quelques graines de Sorros, une bonne dose de LGBTQ+ et hop, c’est parti ! – Oui, c’est un peu raccourci mais je reconnais qu’il y a de cela. Et des dossiers pédophiles aussi – je me permets de rajouter cette info car c’est déterminant et ça dépasse mon seul champ de compétence opératif.
– Et vous jeune homme ? Vous ne dites pas grand chose. Quel peut bien être votre pré carré ? – Oh moi ? Je suis une compétence transverse. – “Transverse” ? C’est une nouvelle orientation sexuelle ? – Certes non. Je travaille un peu pour vous tous en fait. – Voyez-vous cela ! – Je m’occupe principalement des médias. De leur contrôle, pour être précis. L’intitulé du poste que j’occupe est “Régulateur des Pressions”. Nous avons à notre disposition divers leviers que nous actionnons plus ou moins, isolément ou de façon groupée. Tout dépend du résultat recherché. – Des leviers dites-vous ? – Oui, c’est cela même. Pour vous donner des exemples, nous avons le levier “viols et attouchements” pour les vieux journalistes un brin trop rigides. Nous avons aussi “fraudes fiscales et revenus dissimulés” pour les patrons de chaîne qui se croient intouchables. Ou alors “bashing racial et harcèlement social” pour les présentatrices indisciplinées. Quand vous les contrôlez, vous avez un œil sur tout. – Je suppose que vous avez également la main sur les financements ? – Oui aussi, mais c’est une collègue qui s’en occupe. Les financements publics, les dettes effacées, les rachats convenus, c’est son truc ! – Eh bien nous vous remercions pour votre soutien zélé ! Franchement, vous nous aidez bien ! – Quand on peut rendre service...
J.-M. M.
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Finie la rigolade !
L’inénarrable crétinerie des dirigeants va devenir sacrée !
Les mêmes qui se mobilisent pour la "liberté d’expression". "JE SUIS CHARLIE", bla-bla-bla… veulent réintroduire le système de surveillance soviétique au sein de d’une société de contrôle ultra-capitaliste… 🫶
Extrait du texte de loi que les salopards vont laisser passer à l’assemblée:
SENAT
« De l'outrage en ligne
« Art. 222-33-1-2. - I. - Est puni de 3 750 euros d'amende et d'un an d'emprisonnement le fait, hors les cas prévus aux articles 222-17 à 222-18-1, 222-33-1 et 222-
33-2 à 222-33-2-3 du présent code et aux troisième et quatrième alinéas de l'article 33 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, de diffuser en ligne tout contenu qui soit porte atteinte à la dignité d'une personne ou présente à son égard un caractère injurieux, dégradant ou humiliant, soit crée à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante.
« Est considéré comme diffusé en ligne au sens du présent article tout contenu transmis au moyen d'un service de plateforme en ligne défini au 4 du I de l'article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique, d'un service de réseaux sociaux en ligne ou d'un service de plateformes de partage de vidéo au sens du règlement (UE) 2022/1925 du Parlement européen et du Conseil du 14 septembre 2022 relatif aux marchés contestables et équitables dans le secteur numérique et modifiant les directives (UE) 2019/1937 et (UE) 2020/1828.
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Tyrannie politique au Royaume-Uni. Le dissident Tommy Robinson arrêté à la veille d’une manifestation à Londres
Source Breizh Info cliquez ici Les persécutions du gouvernement britannique contre l’activiste de droite Tommy Robinson relancent le débat sur la liberté d’expression, les abus de pouvoir de l’État et la répression systématique des voix dissidentes. Connu pour ses prises de position contre les gangs de viols et la montée de l’islam radical au Royaume-Uni, Robinson, de son vrai nom Stephen…
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Le réseau X fait face à une interdiction au Brésil alors qu’Elon défie l’ordre du gouvernement de censurer les utilisateurs. La liberté d’expression est attaquée et piétinée dans plusieurs pays par des gouvernements autoritaires ou en voie de le devenir. https://bityl.co/PGXj
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La milliardaire juive Miriam Adelson conditionne son colossal soutien financier à Trump en échange de l’annexion de toute la Palestine
Trump a grand besoin de l’or juif. Le peuple élu lui présente sa liste de conditions et nos lecteurs ne seront pas vraiment surpris d’apprendre qu’elles relèvent de l’extorsion.
Haaretz :
Bien que Donald Trump conserve depuis sept mois une avance dans les sondages sur le président Joe Biden, des informations de plus en plus nombreuses font état d’une panique financière qui s’est emparée de l’ancien président républicain. Donald Trump est à la traîne de Joe Biden en matière de collecte de fonds, et le fait qu’il ait dépensé une grande partie de ses dons pour une batterie d’avocats dans quatre affaires pénales, ainsi que pour des compensations dans d’autres affaires civiles, n’arrange certainement pas les choses. Les grands donateurs ont du mal à ouvrir leur chéquier et insistent pour que l’argent soit affecté à la campagne politique plutôt qu’aux frais juridiques personnels de M. Trump. Aujourd’hui, Trump a désespérément besoin d’argent, et il organise une braderie sur la future autorité présidentielle. Tout est possible pour cet homme qui pense qu’une victoire présidentielle le sauvera de la prison – ce qui l’effraie plus que tout. Même s’il est désormais un criminel condamné, M. Trump peut toujours compter sur des donateurs – et le New York Magazine a consacré son numéro du 20 mai à un profil détaillé de l’un de ces donateurs, le Dr Miriam Adelson.
La juive Miriam Adelson
Les grands donateurs ont toujours eu une influence considérable sur la politique américaine, mais grâce à la Cour suprême, ils sont devenus les faiseurs de roi au cours des 14 dernières années. Les juges issus de la Federalist Society qui ont conquis la Cour suprême au XXIe siècle ont ouvert les vannes avec l’arrêt Citizens United de 2010. Cinq juges nommés par les Républicains ont statué que les entreprises jouissaient de la liberté d’expression et que l’argent était une forme d’expression, et qu’aucune limite ne pouvait donc être imposée aux dons des campagnes électorales. Les quatre juges nommés par les démocrates ont exprimé leur désaccord. Quelques jours avant l’arrêt, le président Barack Obama avait prévenu dans son discours sur l’état de l’Union que les juges fédéralistes avaient ouvert une boîte de Pandore. La droite lui a reproché de porter atteinte à la dignité et à l’indépendance du pouvoir judiciaire. Très vite, il s’est avéré qu’il avait raison. Selon une étude de l’université de Chicago, 144 millions de dollars ont été dépensés par les démocrates et les républicains lors de l’élection présidentielle de 2008. Lors de la première élection présidentielle qui a suivi l’arrêt, en 2012, le montant combiné a grimpé à 1 milliard de dollars. Lors de l’élection présidentielle de 2020, ce montant s’élevait à 14,4 milliards de dollars.
En Amérique, la présidence est à vendre au plus offrant. À ce jeu-là, il n’est pas difficile de savoir qui est «��faiseur de roi ».
Et non, ce ne sont pas les Blancs.
Le magnat des casinos de Las Vegas, Sheldon Adelson, a été le premier à reconnaître ce potentiel. Au cours de la dernière décennie de sa vie, il a dépensé la somme astronomique d’un demi-milliard de dollars pour soutenir des hommes politiques. Lors de la campagne présidentielle de 2012, il a rompu avec la longue habitude des grands donateurs de financer plusieurs candidats, couvrant ainsi leurs paris, et a préféré miser sur un seul candidat : il a donné à Newt Gingrich des dizaines de millions de dollars lors de sa candidature ratée à la primaire républicaine de 2012 contre Mitt Romney.
Sheldon Adelson, mari de Miriam Adelson, décédé en 2021
Adelson a peut-être perdu cette bataille, mais il a gagné la guerre. Sa volonté de soutenir un candidat avec une somme d’argent sans précédent a fait de lui une figure dominante du GOP presque du jour au lendemain. Adelson n’a jamais caché sa satisfaction d’être dans cette nouvelle position de faiseur de roi. C’est ainsi qu’ont été conçues les « primaires Adelson » : à l’approche des élections de 2016, pas moins de 17 candidats potentiels à la présidence ont fait le pèlerinage à Las Vegas pour l’implorer de les financer, laissant leur amour-propre au pays.
Le New York Times a révélé qu’en 2016, après que Trump a remporté les primaires républicaines mais s’est retrouvé sans donateurs pour affronter Hillary Clinton, Adelson lui a proposé un marché : 20 millions de dollars en échange du transfert de l’ambassade des États-Unis en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem. Ce fut le début d’une relation fructueuse et enrichissante pour les deux hommes. Au total, Adelson a versé plus de 90 millions de dollars à Trump, l’ambassade a été transférée à Jérusalem (contre l’avis des collaborateurs de Trump) et Adelson est devenu le donateur le plus influent de Trump. Après la mort d’Adelson en janvier 2021, les républicains se demandaient ce que ferait sa veuve. Bien qu’elle s’abstienne d’accorder des interviews aux journalistes qui ne font pas partie de son personnel, Miriam Adelson a confirmé au New York Times, il y a environ un an, que les primaires Adelson ne reviendraient pas. Elle n’a pas l’intention de s’impliquer aussi profondément dans la politique américaine que son mari. Mais si quelqu’un pensait qu’elle se tenait à l’écart de la politique américaine, il s’est récemment trompé. L’article du New York Magazine sur Adelson, écrit par Elizabeth Weil, ne cite pas Adelson elle-même mais regorge d’informations sur la vie personnelle de la riche veuve, ce qui rend difficile de croire qu’elle ne s’est pas entretenue avec Weil officieusement. C’est assez facile à comprendre : Adelson utilise le magazine pour envoyer à Trump une allusion loin d’être subtile, elle pourrait être intéressée à lui faire des dons et serait heureuse d’être son plus grand donateur – et celui de toute la campagne – à condition qu’il lui donne ce qu’elle veut. Moins de deux semaines après cette histoire flatteuse, qui pourrait être interprétée comme l’appel public d’une femme à un homme, Politico a rapporté qu’Adelson avait finalement décidé de faire un don à Trump. Mais il ne s’agissait pas de n’importe quel don. Selon le rapport, Adelson n’a pas donné le nom de la somme, mais on s’attend à ce qu’elle « dépense plus que ce qu’elle et son défunt mari avaient fait il y a quatre ans ». Cela ferait d’elle la plus grande donatrice de la campagne 2024. Les journalistes de Politico n’ont pas donné la raison de la décision d’Adelson, mais l’article du New York Magazine pourrait fournir la réponse.
« La presse a souvent rapporté que les dons des Adelson étaient ceux de Sheldon, alors qu’en réalité, ils étaient aussi ceux de Miriam », a écrit M. Weill. « Certains observateurs des Adelson pensaient que la vie serait plus saine une fois que Miriam contrôlerait seule la fortune familiale. C’était une erreur. Sheldon était un tyran : combatif, procédurier, vantard. Miriam est une idéologue« . Un ancien cadre supérieur aurait déclaré : « [Sheldon] était celui qui aboyait, mais je crois que c’est elle qui mordait… Elle était plus agressive. Il était plus agressif si elle était dans la pi��ce ». Adelson a tendance à être tout aussi direct que son défunt mari lorsqu’il s’adresse aux hommes politiques. Après que M. Trump a transféré l’ambassade des États-Unis à Jérusalem, l’une des organisations financées par M. Adelson a publié une pleine page de publicité dans le New York Times. Sur une image de Trump portant une kippa et visitant le Mur occidental, l’annonce le félicitait : « Président Trump : Vous avez promis. Vous avez tenu parole ».
Cette année, M. Trump a remporté les primaires facilement et rapidement, en quelques semaines seulement. Après avoir renvoyé tous ses concurrents, il a invité Adelson à un dîner de shabbat à Mar-a-Lago en mars. Selon l’article du New York Magazine, Trump n’est pas sorti de ce dîner avec le chèque qu’il espérait, mais il semble avoir compris comment l’obtenir. Quelques jours plus tard, il a accordé une interview à Omer Lachmanovitch et Ariel Kahana du quotidien gratuit Israel Hayom, propriété d’Adelson.
Donald Trump, Omer Lachmanovitch et Ariel Kahana
« Je suis une personne très loyale. J’ai été loyal envers Israël. J’ai été le meilleur président de l’histoire par un facteur de 10 pour Israël en raison de toutes les choses que je fais, l’ambassade, Jérusalem étant la capitale… Mais ensuite, vous avez les accords d’Abraham et ensuite vous avez le plateau du Golan », leur a dit Trump, faisant référence à la reconnaissance américaine de la souveraineté israélienne sur le territoire. « Personne ne pensait que cela serait possible. » Après cinq mois au cours desquels il a refusé de préciser sa position sur la guerre entre Israël et le Hamas, préférant s’en prendre au Premier ministre Benjamin Netanyahu, grâce à Adelson, Trump a finalement exprimé un soutien sans équivoque à Israël. Cependant, selon l’article de Weil, Trump a commis une erreur tactique qui l’a éloigné de l’argent qu’il recherche si désespérément. « Vous devez terminer votre guerre », a-t-il déclaré. « Vous devez la terminer. Vous l’avez fait. Et je suis sûr que vous le ferez ». Adelson, qui habite à Herzliya et qui est un mégadonateur pour le développement des colonies en Cisjordanie, n’a pas voulu entendre Trump aspirer à la paix. Elle ne voulait rien entendre qui aurait pu être interprété comme une critique d’Israël. Selon le rapport, ce qu’elle attend vraiment du second mandat de Trump, c’est une annexion israélienne de la Cisjordanie et une reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté israélienne dans toutes les régions du pays. Dans ces conditions, il n’y a pas de place pour l’Autorité palestinienne et personne avec qui signer un accord de paix.
Herzliya
L’article du New York Magazine se termine par une menace implicite à l’encontre de Trump : « L’élection présidentielle aura lieu dans cinq mois. Adelson continue de se tenir à l’écart de la course ». En l’espace de dix jours, Politico a rapporté que l’ancien président et M. Adelson s’étaient rencontrés et parlés au téléphone à plusieurs reprises depuis ce dîner de mars. Ce dont ils ont parlé n’a pas été rapporté, mais les relations de Trump avec ses donateurs milliardaires ont tendance à se multiplier. Adelson n’est pas le seul grand donateur ; d’autres viennent aussi avec leur liste de demandes. Le Washington Post a récemment fait état d’une autre réunion entre M. Trump et certains donateurs, un groupe qui, selon M. Trump, comprenait « 98 % de mes amis juifs ». Lors de cette réunion, qui s’est tenue à New York le 14 mai, les donateurs ont interrogé M. Trump sur les étudiants qui manifestaient contre Israël sur les campus, ce à quoi il a répondu : « Tout étudiant qui proteste est expulsé du pays. Vous savez, il y a beaucoup d’étudiants étrangers. Dès qu’ils entendront cela, ils se tiendront à carreau ».
Lorsque l’un des donateurs anonymes s’est plaint que les étudiants et les professeurs pourraient un jour occuper des postes de pouvoir, M. Trump a déclaré que les manifestants faisaient partie d’une « révolution radicale » qu’il s’était engagé à vaincre. « Si vous me faites élire, et c’est vraiment ce que vous devriez faire, nous allons faire reculer ce mouvement [pro-palestinien] de 25 ou 30 ans. » S’adressant aux donateurs, M. Trump n’a pas mentionné M. Netanyahou, qu’il déteste depuis que le premier ministre a reconnu la victoire de M. Biden en 2020. Toutefois, en faisant référence à l’attaque terroriste du Hamas du 7 octobre, il a laissé entendre de manière très directe que son opinion sur M. Netanyahou n’avait pas changé : « Si vous remontez dans l’histoire, c’est comme juste avant l’Holocauste. Le président ou le chef du pays était faible. La situation n’a cessé de s’aggraver. Et puis, tout d’un coup, vous vous retrouvez avec Hitler. Vous vous retrouvez avec un problème que personne ne connaissait ».
Trump est décidément le plus brave des goyim.
Hélas pour lui, malgré tous ses efforts, les juifs haïssent si fanatiquement les Blancs qu’ils doivent choisir entre écraser tout de suite l’insurrection pro-palestinienne portée par les gens marron qui votent à gauche aux USA, ou finaliser la mise en minorité des Blancs que Biden garantit avec l’ouverture totale des frontières.
Or Trump doit faire campagne sur la question de l’immigration clandestine.
Pour les juifs, c’est à n’en pas douter un choix cornélien.
Une pause de quelques années dans la mise en minorité des Blancs aux États-Unis, leur but de toujours, ne peut se négocier que moyennant une concession gigantesque. Cette concession, c’est l’annexion de la Cisjordanie et la reconnaissance du Grand Israël par l’Amérique sous occupation.
Et c’est exactement ce que Trump s’apprête à faire.
Si les juifs annexent l’ensemble de la Palestine, 7 millions de Palestiniens vivront dans un vaste ghetto contrôlé par la juiverie esclavagiste.
Les médias et les politiciens continueront de qualifier le régime de Tel Aviv de « seule démocratie du Proche-Orient » pour continuer de lui fournir armes, munitions, cash et impunité diplomatique.
Il n’y a que dans les démocraties peuplées de non-juifs que les gens sont systématiquement désarmés.
Si ces juifs veulent annexer ces territoires, ce n’est pas pour coexister ad vitam aeternam avec les populations tombées entre les griffes, mais pour les éradiquer d’une façon ou d’une autre.
Démocratie Participative
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Quelques trucs bien. Septembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Prévoir le dernier week-end de septembre au bord de la mer avec mon amie C. Penser que cela peut devenir un rituel de la rentrée ou de la fin de l’été
Retourner à la médiathèque pour prévenir de la reprise de l’atelier d’écriture dès le mois prochain
Réussir à finaliser le bilan d’un jeune en opposition. Se satisfaire de peu
Dormir une nuit entière et se sentir d’attaque de bon matin
Être invitée à l’anniversaire d’une ancienne collègue de travail comme « personne qui compte »
Être consciente que je ne suis ni l’abbé Pierre, ni Mère Teresa. Me le rappeler au cas où
Prendre des nouvelles d’une amie inquiète pour la santé de son père. Sentir que je prends soin d’elle en le faisant
Organiser l’anniversaire de maman à la maison
Bouquiner dans mon lit le matin après une nuit complète et plusieurs autres d’insomnies
Lire un livre bouleversant d’amour impossible et de poésie salvatrice
Espérer que ma fille puisse se rapprocher de la maison pour un domicile voisin. Penser qu’elle a toujours eu beaucoup de chance dans la vie et que cette opportunité en est encore une, même si elle n’est plus seule pour prendre les décisions
Trouver enfin une solution d’organisation pour mettre en place l’atelier de peinture, arts et musées
Recevoir par courrier deux bouquins : un choisi et un offert par mon amie P. Savourer la lecture par anticipation
Aller enfin à un vrai rendez-vous, depuis longtemps. Provoquer la rencontre et déjà envisager la prochaine
Écouter à la radio Fatou Diome parler de créativité de l’écriture et de la liberté d’expression
Continuer à penser des projets : atelier de peinture, atelier de lecture, etc. Malgré la résistance de mes collègues de l’équipe éducative
Vivre le retour des insomnies : endormissement et/ou réveil nocturne
Répondre positivement à un rendez-vous attendu depuis des mois. Rester dans l’expectative : j’y vais, je verrai !, essentiel de la philosophie de l’action
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musique urbaine ..
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#Allocution présidentielle#casseroles#humour#liberté d&039;expression#liberté d’expression#Macron#musique#musique française#musique urbaine ..#Reforme des retraites
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Mardi 13 février 1979.
« La révolution iranienne a commencé.
Armés en quelques heures, les jeunes révolutionnaires ont assuré le pouvoir à l’Ayatollah Khomeiny et à son gouvernement. Cette première révolution islamique, que les observateurs sentaient couver depuis longtemps a éclaté brutalement quelques jours après le retour du chef religieux chiite. Morts, blessés, arrestations, bras tendus vers la victoire, tel est le spectacle qu’offrait Téhéran le 13 février 1979 ». Légende Sygma.
Je suis tombé par hasard sur des arrestations de membres présumés de la Savak* ( Sazman-e Ettel at va Amniyat-e keshvar, organisation pour le renseignement et la sécurité nationale), la police politique du shah, redoutée par la population. Elle avait virtuellement tous les pouvoirs illimités d’arrestation et de détention dans le pays.
Il y a, après une guerre ou une révolution, un court moment d’euphorie pendant lequel la presse peut travailler librement. Mais rapidement les nouvelles autorités, une fois un semblant d’ordre rétabli, bloquent toutes les initiatives des journalistes qui ne sont pas jugées conformes à l’intérêt de ces nouvelles autorités.
Ces réactions n’ont font qu’empirer au cours des années, pour maintenant laisser des pans entiers de l’information entre les mains de policiers ou de propagandistes officiels. Ce mouvement a même atteint certaines « démocraties occidentales ». Il est fort à parier que les récents succès de politiques d’extrême droite finiront par influencer toutes les classes politiques confondues, avec comme résultat un renforcement de législations restrictives à l’égard de la liberté de la presse, pourtant encore une liberté fondamentale garantie par la loi dans le cadre de la liberté d’expression que permet la démocratie.
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Années 80
Mode, design et graphisme en France
Ouvrage collectif comprenant les contributions de nombreux historiens, chercheurs, journalistes et conservateurs : Lola Barillot, Axelle Baroin, Alexis Bernier, Mathilde Le Corre, Anne-Marie Fèvre, Dominique Forest, Jean-Louis Gaillemin, Amélie Gastaut, Étienne Hervy, Karine Lacquemant, Sophie Lemahieu, Pascal Ory, Marie Ottavi, Julien Péquignot, Philippe Poirrier, Sébastien Quéquet, Margo Rouard-Snowman.
Ed.Les Arts Décoratifs, Paris 2022, 305 pages, 360 illustrations, 23,5x30,2cm, ISBN 9782383140030
euro 54,00
email if you want to buy [email protected]
Catalogue de l'exposition présentée au Musée des Arts décoratifs, à Paris, du 22 octobre 2022 au 16 avril 2023.
700 œuvres – objets, mobilier, silhouettes de mode, affiches, photographies, clips, pochettes de disques et fanzines – retracent cette époque frénétique synonyme d’éclectisme, où le postmodernisme ouvre tous les possibles artistiques.
Les années 80 voient naître une nouvelle génération de designers – Olivier Gagnère, Elizabeth Garouste et Mattia Bonetti, Philippe Starck, Martin Szekely… – dans un contexte propice à la liberté d’expression. La silhouette, elle aussi, se libère des injonctions de style et certains créateurs de mode sont élevés au rang de « superstars » comme Jean Paul Gaultier ou Thierry Mugler. La publicité, le design graphique et l’audiovisuel connaissent leurs années fastes avec Jean-Paul Goude, Jean-Baptiste Mondino et Étienne Robial. De la musique new wave au post-punk en passant par le hip-hop : c’est toute une histoire de la fête qui s’écrit dans des lieux mythiques fréquentés par les noctambules du Tout-Paris.
23/12/23
#années 80#art exhibition catalogue#Musée Arts Décoratis Paris 2022#mode#design#graphisme#France années 80#Garouste Bonetti#Starck#Gaultier#Mondino#Sottsass#Yamamoto#Miyake#Comme des Garçons#designbooksmilano#fashionbooksmilano
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«Macron est un des leaders en pointe» de la répression de la liberté d’expression et de contrôle des médias–Lavrov
«Les relations entre Moscou et Paris sont au plus bas», a déploré le chef de la diplomatie russe.
Notamment en raison des positions que Paris prend sur les questions de liberté d'expression, de liberté de diffusion de l'information et sur les questions de respect de la profession de journaliste.
Et Lavrov de rappeler que la France était à l’origine de la Charte de Paris pour une nouvelle Europe (https://www.osce.org/files/f/documents/3/2/39517.pdf).
En 1990, l'OSCE avait approuvé une déclaration avec la promesse solennelle d'assurer un accès totalement libre à toute information ainsi qu'à celle provenant du territoire des autres États membres de cette OSCE, dont la Russie
Tout ça avant que la Russie ne s’émancipe de la tutelle occidentale des années Eltsine, ne développe son propre narratif, indésirable, et ne commence à gêner Washington.
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"La censure a toujours existé, quelles que soient les époques, sous des formes religieuses, morales et politiques. Mais paradoxalement, au XXIe siècle, elle est devenue omniprésente dans les démocraties libérales "représentatives ou pluralistes" d’Europe et d’Amérique. Exercée hier par l’Etat (qu’il ait été aristocratique, monarchique ou républicain, dictatorial ou démocratique), elle est aujourd’hui pratiquée encore par l’Etat (les lois mémorielles, synonymes de "vérités officielles", en sont un exemple édifiant), mais aussi par des entités privées, par de grandes compagnies multinationales, et par des ONG spécialisées dans la défense des minorités ethniques, religieuses et sexuelles et la protection des immigrés illégaux. Bénéficiant de l’appui tacite ou exprès de la majorité de l’oligarchie politico-économico-médiatique, ces organisations et institutions privées se substituent de plus en plus ouvertement à l’Etat pour limiter doctrinalement et arbitrairement la liberté d’expression du peuple."
Arnaud Imatz, Résister au dénialisme en histoire. Jalons pour un savoir non contaminé par l’idéologie mondialiste, 2022.
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Pour faire écho à un propos de Renaud Camus, je dirai qu’il n’y a effectivement aucune commune mesure aujourd’hui, sous nos latitudes, entre liberté de la Presse et liberté d’expression. J’irai même un peu plus loin que lui en avouant que je ressens la manifestation polymorphe des médias comme une atteinte directe à ma liberté d’expression. Car la Presse, dans l’écrasante majorité des cas, a vendu son âme à une kyrielle de diables fortunés, créatures malfaisantes incluant l’État lui-même par le biais du jeu des subventions. Elle a été bien incapable de préserver sa liberté de penser et d’agir, préférant devenir un produit profitable plutôt qu’un indispensable contre-pouvoir. Ralliée à toutes les verticalités, la voici donc prise par le vertige de la domination absolue. Elle n’exprime plus rien ; elle impose, à coups de marteau s’il le faut, son angle, son analyse, ses appréciations. L’actualité qu’elle commente est souvent peu attachée au réel, voire même au vraisemblable. Le réel de la Presse, sa réalité, est fabriquée à partir de postulats, de préconçus et de manipulations proprement obstétriques. Ce dont elle accouche est une vue de l’esprit, une sorte d’intelligence artificielle avant l’heure, une authentique fabrication. Le vacarme médiatique écrase nécessairement toute analyse honnête d’une question controversée. Ce qui compte, ce n’est pas l’exposé des évènements, mais la falsification, soit par décision soit par omission, du fait tangible et documenté. Le débat qu’une information honnête devrait susciter est de toute manière à éviter puisqu’il crée le doute, éveille la curiosité, implique la connaissance. Les médias ne sont plus que les relais de la puissance financière et globaliste. Ils viennent à la suite de la désertification éducative, de l’effondrement systématique des goûts, de la destruction de l’histoire et de la culture par l’industrie du loisir. La capacité de jugement de tout un chacun étant en cours d’éradication, on aura bientôt perdu jusqu’au souvenir du sens des mots “liberté d’expression”. J.-M. M.
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