#Intimité intérieure
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les-larmes-d-eros · 1 month ago
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Série Inner Light, par Flor Garduño
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swedesinstockholm · 7 months ago
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2 juillet
dernier matin seule dans la maison, maman est en vacances demain. j'aurais du mettre me réveil à huit heures et profiter de chaque seconde. hier maman m'a dit que j'en avais assez profité non? oui, mais mes matins seule à la maison sont ce que j'ai eu de plus précieux, de plus sacré ces dix dernières années, et je les aime comme au premier jour, quand j'avais quatorze ans et que je séchais les cours pour rentrer. une vie entière ne suffirait pas pour profiter des matins tranquilles à la maison. cette nuit j'ai rêvé que je me réveillais dans la même chambre que n. et ses deux colocs, je dormais dans un lit superposé et un des deux colocs dormait au dessus de moi et quand il grimpait sur l'échelle tout le lit se mettait à trembler. on dormait à l'intérieur d'une espèce de grand sac de couchage relevé par dessus la tête pour protéger son intimité et je regardais par le trou du sac de couchage au dessus de ma tête et je me disais que malgré tout, il valait mieux ça que de rentrer à la maison. hier n. m'a écrit que si j'étais encore là dans un an on pourrait participer aux 48h neukölln et j'avais envie de lui répondre que oui je serais là parce que de toute façon je peux pas être ici. pas le choix. je lui ai dit i'm going batshit crazy here et elle m'a dit qu'elle était encore plus contente que je vienne alors. c'est la deuxième fois qu'elle me sauve la vie en un an. la première fois c'était de r. cette fois c'est de maman.
je suis retombée sur le post de l'article sur grey gardens et dans les commentaires tout le monde s'indignait de la lecture complètement erronée et romantisée du film par la journaliste et j'avais un peu honte de m'être laissée avoir par sa vision de l'histoire, parce que je l'ai vu ce film et il est terrifiant. la mère de little edie est un monstre qui veut pas que sa fille aille vivre sa vie à new york, little edie qui rêve d'amour et de devenir une star à broadway mais elle est prisonnière de sa mère dans leur manoir qui tombe en ruines, isolées du reste du monde. depuis que j'ai vu ce film mon pire cauchemar c'est de finir comme little edie et sa mère, même si on habite pas dans un manoir délabré et que maman n'est pas folle. parfois maman m'apparait comme un monstre auquel je dois échapper. le dimanche dans la forêt quand je l'entends derrière moi qui me rattrape parce qu'elle court et moi je marche, ça devient littéral. je suis remplie de colère contre elle. j'ai tellement de colère à l'intérieur de moi que ça me fait peur. je vois probablement que la pointe de l'iceberg en plus.
hier on a fait une séance de yoga à la maison avec a. et dès le début quand elle nous a fait faire des micro mouvements avec les pieds j'ai senti les larmes me monter aux yeux et je me suis dit oh putain le trauma, je l'avais oublié celui-là. enfin bof pas trop, mais ça faisait un moment qu'il s'était plus manifesté à travers le corps. j'ai pensé à la phrase your body is a library of pain, perfectly filed. j'ai senti que mon corps contenait un océan de douleur. je contiens un océan de douleur et de colère. c'est-à-dire une tempête. avec des vagues scélérates. mais c'est un océan intérieur comme dans voyage au centre de la terre, un océan souterrain dont rien ne parait à l'extérieur, sauf parfois des larmes, comme des gouttelettes d'eau de mer qui suinteraient à travers la croûte terrestre. à la fin a. a posé la paume de sa main chaude sur mon dos pour que je sente comment ma cage thoracique était plus grande d'un côté que de l'autre et j'ai de nouveau eu envie de pleurer. je lui ai dit que je voulais trouver un truc de thérapie par le mouvement à berlin mais j'ai trop peur d'exploser.
bon finalement c'est pas plus mal que ce soit la fin de mes journées seules à la maison parce que j'ai encore éclaté en sanglots au milieu de l'après-midi comme ça sans prévenir. je pleurais comme kate winslet, avec mes sanglots de désespérée. c'était théâtral et pathétique et j'ai du regarder un épisode de curb your enthusiasm en mangeant du chocolat pour me calmer parce que j'étais trop déprimée pour continuer à travailler. le TEMPS qu'il me vole depuis un an ce mec, c'est vertigineux, c'est criminel, je pourrais le poursuivre en justice, et ce serait même pas la première fois qu'il se retrouverait au tribunal. je me demande s'il a parlé de moi à son psy, par rapport à son complexe de connard, et si son psy lui a conseillé de me laisser tranquille pendant quelques temps, pour me laisser le temps de me sevrer et de guérir proprement. l'autre hypothèse, plus probable: il est trop occupé par la personne avec qui il discutait sur whatsapp l'autre jour pendant que je lui envoyais des passages de heart of a dog et je suis tout simplement passée au second plan.
hier a. m'a dit que je devais faire du core strengthening pour renforcer ma colonne vertébrale et développer mes abdos pour qu'ils aident à la soutenir. peut être que si je fais ça je me laisserai moins aplatir par les gens. j'ai toujours eu l'impression que mon maintien bancal était lié à mon estime de moi bancale. j'ai vu qu'il allait faire 33 degrés à berlin la semaine prochaine. j'ai peur de me retrouver clouée à l'appart étalée sur mon lit sans pouvoir bouger avec les jambes lourdes et la tête qui fourmille satané réchauffement climatique il va me foutre en l'air tous mes plans de réinvention de moi-même. peut être que dans un premier temps je pourrai me concentrer sur l'écriture. me concentrer dessus pleinement je veux dire. et puis je sortirai le soir. c'est bien aussi. c'est très bien même, vu que ça avance pas trop trop ces derniers temps.
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alain75fr · 3 months ago
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Le 05 Novembre 2024
Aujourd’hui nous avons quitté Muktinath et cet hôtel vraiment supérieur. Belle décoration de la salle à manger ainsi que les chambres avec de grands lits , on avait des serviettes, un luxe . Juste une parenthèse . Il faut savoir aussi qu’il n’y a pas de chauffage , heureusement nos duvets font l’affaire avec une couverture supplémentaire …mais avant de reprendre notre chemin qui nous conduira à Lupra , nous sommes allés sur le lieu de pèlerinage des hindous , un lieu sacré où ils viennent se purifier le corps et l’esprit , ils sont très nombreux; pour y accéder , il faut gravir quatre cent marche . Certains d’entre eux se font porter par des chaises à porteur . Une fois arrivés , ils se déshabillent et rentrent dans une eau assez fraîche . Pour cela il y a deux bassins .Bien sûr ils gardent leur intimité ,ça crée beaucoup de mouvements , de cris de joie…. Hommes , femmes, jeunes adultes participent de concert à cette purification. Juste à quelques pas le monastère bouddhique que nous visitons contraste par le silence du lieu , peu de monde . Nous pouvons prendre des photos. Un bouddha par sa taille imposante domine à l’extérieur, face a la chaîne des Annapurnas . Après cette visite nous prenons un sentier qui nous fera passer par un col à 3900 mètres , un dénivelé de deux cents mètres , on a connu plus dure. Une fois passés, nous descendons sur Lupra , trois heures pour y arriver .En cours de trajet nous rencontrons un petit garçon derrière un grillage. C’est un orphelin de père qui travaille avec sa mère dans une exploitation de pommes. Nous lui donnons un peu d’argent et un snicker. Que faire d’autre?On découvre un petit village avec ses maisons encore une fois typiques et son monastère . Nous déjeunons sur place . De hautes falaises impressionnantes enserrent le lieu. C’est la fin de notre treck , une jeep nous attend pour rejoindre Jomsom . Cela nous évite de marcher sur la piste . De plus aucun intérêt. De toute façon , nous sommes légèrement épuisés pour ne pas dire plus . En un quart d’heure nous arrivons à notre hôtel et là, après la douche on essaye de récupérer en se mettant sous la couette. Pendant ce temps Ramji , s’occupe de réserver nos places d’avion pour Kathmandou. Nous prenons deux vols intérieurs , Pokora puis Katmandou . Vers 19 h nous dînons , ce sera le dernier repas avec Dépendra , il nous quitte demain . Nous lui remettrons une enveloppe pour le remercier d’avoir été un garçon adorable , toujours attentionné .On est un peu sur les rotules après ce trek, pas sûr qu’on aurait pu continuer plus longtemps mais ça valait le coup.
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lesdamesmures · 11 months ago
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Scène 13 "Une femme mure sur la plage"
C’était Titouan qui attendait sur son vélo derrière le portail. Julie apparu sur la terrasse, de loin elle lui faisait
- Entre Titouan ! c’est ouvert, tu peux poser ton vélo dans le jardin ! Elle restait sur la terrasse vêtue de sa robe portefeuille bleu foncée, ses bras croisés sous la poitrine
Titouan marquait un temps d’arrêt en la découvrant avant de refermer le portail derrière lui et la rejoindre
- Viens Titouan ! tu as mis une chemise blanche, ça te va bien tu es beau ! Ajoutait Julie en le voyant se diriger vers elle
- Merci Julie ! vous êtes belle aussi, cette robe est très jolie elle vous va bien ! Répondait Titouan surpris de voir Julie dans cette petite robe qui dévoilait presque profondément le sillon de sa poitrine et ses jambes à mi-cuisses
Pour la première fois, il voyait Julie dans une tenue assez moulante qui mettait en valeur ses formes, sa poitrine paraissait plus volumineuse et ses jambes donnaient envie de découvrir ses cuisses. Elle avait mis des escarpins beiges clair, un sourire radieux illuminait son visage
- Merci mon prince c’est gentil ! Reprenait Julie en ajustant machinalement sa robe pour lui donner quelques centimètres de plus avant de lui tendre la main pour l’inviter à rentrer
Titouan montait les 3 marches qui menaient à la terrasse, mettait son sac sur son épaule avant de prendre la main accueillante de Julie
Il était rassuré de retrouver Julie telle qu’elle était en la quittant. Il craignait toujours que sa raison reprenne le dessus, qu’elle lui annonce qu’elle ne pouvait pas se permettre une relation avec un homme de son âge, ou une quelconque décision qu’il n’aurait pu contester. Depuis cette soirée à échanger des sms et leurs échanges réguliers, il avait du mal à réaliser ce qui lui arrivait, encore plus après cette journée à la plage, cette intimité partagée, ces caresses intimes il avait la sensation d’un rêve éveillé et se demandait ce qu’elle pouvait ressentir pour lui.
Avant de prendre la main tendue de Julie, Titouan sortait la bouteille de champagne de son sac en lui tendant le gâteau 
- Je voulais pas venir les mains vides quand même ! C’est votre anniversaire
- Oh c’est gentil, ça me touche beaucoup. Entre Titouan
Elle prenait le gâteau d’une main et prenait celle de Titouan de l’autre en le précédent. Titouan se laissait entrainer derrière Julie, main dans la main il admirait Julie qui ondulait dans sa petite robe, ses fesses paraissant plus charnues et larges qu’en maillot. Il découvrait son intérieur, une grande pièce ouverte sur la terrasse et le jardin avec le salon et la cuisine derrière un muret séparant les 2 espaces. Au fond de la pièce, un escalier en bois blanc montait à l’étage, derrière un couloir avec probablement d’autres pièces au rez de chaussé. L’ensemble était coquet et chaleureux malgré la lumière de fin de journée provenant du jardin, un rayon de soleil traversait la pièce de part en part
En passant devant le canapé, Julie me lâcha la main en m’invitant à m’assoir pendant qu’elle se dirigeait vers la cuisine. Sur la table basse, elle avait préparé 2 flûtes de champagne et de quoi grignoter en buvant
Assieds toi mon prince ! Je vais mettre ta bouteille au frais. Ca nous en fera 2, j’en ai une dans le frigidaire, j’ai hâte de trinquer j’adore le champagne ! Disait-elle en traversant la pièce pour rejoindre la cuisine ouverte
Oui avec plaisir Julie ! Je la regardais se déplacer, la bouteille à la main et profitait d’une légère transparence de sa robe quand elle traversait le rayon de soleil qui inondait toute la partie cuisine
J’en profitais pour poser un petit galet en forme de coeur sur la table basse. Je l’avais trouvé sur la plage il y a quelques jours lorsque j’étais allé sur la plage des blockhaus. J’avais été pris de cours pour acheter un cadeau et l’idée que Julie garde précieusement ce galet me plaisait, comme un secret entre nous qui lui rappelait notre relation singulière.
Je la regardais se baisser devant le frigidaire, son postérieur tourné vers moi je ne pouvais m’empêcher de l’admirer comme si je le voyais pour la 1ère fois. Je profitais de cet instant furtif en découvrant sa robe glisser sur son fessier et voir sa cuisse se dévoiler
Elle se redressait, passant sa main sur sa hanche pour réajuster sa robe avant de revenir vers moi avec la bouteille de champagne
- Tu veux bien l’ouvrir Titouan, j’ai envie de fêter cette journée mémorable ! Elle me tendait la bouteille et s’asseyait sur le canapé à ma gauche
Je prenais la bouteille, elle était assise tout proche je pouvais sentir une odeur agréable et parfumée qui enveloppait notre espace, ses jambes serrées l’une contre l’autre laissaient remonter sa robe à mi-cuisses et son décolleté mettait en valeur sa poitrine pigeonnante formant un sillon encore plus large qu’avec son maillot. Elle replaçait soigneusement le pan de sa robe portefeuille avant de poser ses mains sur ses genoux, elle se tenait droite sans s’adosser assise sur le bord du canapé sa flûte à la main, impatiente d’être remplie.
Quelques secondes plus tard et un long pschittt de gaz, nous trinquions avec enthousiasme en nous souriant 
- Joyeux anniversaire Julie, si j’avais su plus tôt que votre anniversaire était aujourd’hui, j’aurai aimé vous offrir un cadeau mais j’espère que ce petit galet symbolisera ces derniers jours et qu’il vous portera bonheur ! Ajoutais-je en prenant le galet qu’elle n’avait pas remarqué, lui tendant comme un bijou précieux pour le poser dans sa main
Elle regardait le galet attentivement en le caressant avec son pouce tout en le gardant dans sa main, elle semblait étonnée comme si elle ne revenait pas de sa forme en coeur
- Oh merci mon prince ! Tu es trop mignon c’est touchant ! Elle réagissait, surprise par ce cadeau qui n’avait comme valeur que notre relation secrète
Elle se penchait vers moi, posant sa main sur ma cuisse et tendant ses lèvres comme si elle m’invitait à les embrasser
- Il a l’air naturel, où l’as tu trouvé mon prince ? Demandait-elle en laissant sa main affectueusement sur ma cuisse tout en regardant à nouveau le galet
Je lui expliquais timidement que je l’avais trouvé le jour où j’avais été sur la plage des blockhaus pour m’aérer. J’étais sur cette plage quand elle m’avait envoyé pour la 1ère fois un sms pour me proposer de nous retrouver à la plage en fin de journée. Elle réfléchissait un court moment
- Ah oui ! Ce fameux jour où je t’ai fais passer pour mon fils à cause de ce type qui me collait ? Demandait-elle avec un air faussement embarrassé  
Je me rappelais de tout dans les moindres détails et confirmais d’un signe de la tête avec un sourire amusé. Elle serrait son galet dans la main, hésitante avant de m’interroger sur ce que j’avais ressenti quand elle m’avait fait passer pour son fils.
Je sentais qu’elle avait envie de parle, de ce que je ressentais. Elle semblait curieuse et étonnée quand j’évoquais ce galet que j’avais ramassé en pensant à elle.
- Je ne m’y attendais pas, ça m’a fait bizarre de passer pour votre fils pour vous débarrasser de cet homme mais je comprend, c’était peut-être la meilleure chose à faire !
- Ca ne t’a pas trop vexé ? Elle prenait un air désolée en imaginant que ça aurait pu me contrarier
- Non Julie ! Ca m’a surpris sur le coup c’est vrai mais j’ai pris ça plutôt pour de la connivence et j’étais assez fier de vous servir d’alibi
Elle m’adressait un sourire bienveillant tout en caressant ma cuisse d’un geste plein de tendresse
- Et vous Julie qu’avez-vous ressenti ?
Elle prenait une gorgée de champagne en levant les yeux au ciel comme si elle se replongeait dans l’instant
- Et bien si tu veux savoir, je me suis dis que tu étais très conciliant et attentionné et que tu ferais un bon fils ! Reprenait t’elle après un moment, comme une pirouette et puis elle ajoutait plus sérieusement
- J’ai réalisé à ce moment que ta présence m’était précieuse et je me souviens aussi de ce détail quand je me suis arrêtée pour remettre ma tunique
- Quel détail Julie ?
- Ton expression quand j’ai réajusté mon maillot en replaçant ma poitrine, tu avais l’air de quelqu’un qui n’avait jamais vu une femme remettre ses seins en place. A ce moment j’ai compris que je te troublais m��me si je me demandais ce que tu pouvais trouver à une femme de mon âge mais depuis j’ai compris je crois
- C’est vrai Julie, je crois que vous m’avez troublé dès que je vous ai vu aller vous baigner le 1er jour
- Tu m’observais de loin ? Tu regardais mes fesses ? Ajoutait-elle naturellement comme si elle parlait avec quelqu’un d’intime
- Vous m’en voulez Julie ? Me contentais-je de répondre
- Si je t’en voulais je n’aurai pas continué à te voir Titouan mais je ne sais pas ce que je représente pour toi ? As-tu déjà eu une relation avec une femme mure ou c’est par curiosité ou peut-être un fantasme ?
Sa manière de parler aussi directement me déstabilisait, me renvoyant une image de moi que je n’aimais pas mais elle avait raison, notre échange était intime et sincère
- Non jamais Julie ! Je suis désolé si je vous ai paru incorrect mais je vous trouve belle, vous êtes douce et ça me trouble énormément. Je sais que ça peut vous paraitre idiot, même immature peut-être mais je vous me fascinez, je me sens bien en votre compagnie
- Tu ne réponds pas tout à fait ! Tu sais Titouan, je ne suis pas le genre de femme à avoir des aventures. Jusqu’à présent j’avais des croyances et des principes que je pensais solides même immuables mais depuis cet épisode sur la plage, je me sens perturbée par le regard que tu me renvois. J’avoue que c’est agréable même flatteur et en même temps j’ai eu du mal à imaginer que notre relation puisse devenir aussi intime, pourtant ces moments à la plage l’étaient
- Je vous ai choqué Julie ? Je sais que j’ai été au delà du raisonnable et dépassé votre « un peu » mais c’était difficile de résister et encore plus quand on s’est baigné nus. Je ne veux pas me vanter mais … ! J’hésitais à poursuivre ne voulant pas être maladroit en parlant de mon éjaculation rapide
- Je crois que je n’ai jamais autant excité, je ne pensais pas jouir aussi vite ! En disant ça je commençais à sentir l’effet que me faisait notre échange sur nos ressentis. Je n’avais pas l’habitude de parler aussi franchement et ouvertement de mes ressentis mais c’était peut-être la maturité et la différence avec les filles de mon âge
- Tu veux bien nous resservir du champagne mon prince ? Ca va peut être nous faire tourner la tête mais j’ai envie de profiter de ce moment et si ça peut te faire déculpabiliser j’étais aussi très excitée même si je sentais bien que tu avais besoin de te libérer depuis le temps que tu étais à l’étroit dans ton short
- Vous êtes merveilleuse Julie, vous me faites énormément d’effet je n’ai jamais été aussi troublé et sensible à une femme ! Je ressentais un soulagement, cet échange direct et l’effet du champagne commençait à me désinhiber
Je remplissais notre 2ème verre tout en repensant à ce moment qu’on évoquait, quand elle masturbait mon sexe contre ses fesses. Nnous étions intime mais je ressentais cette retenue érotique et sensuelle. Je découvrais pour la 1ère fois l’intimité avec une femme mure, une femme d’expérience qui sait donner du plaisir sans faix semblant, sans jeu ni calcul
- Tu sais Titouan, je ne me serai jamais cru capable de faire ça mais parfois le désir amène à se surprendre soi-même ! Concluait-elle en me remerciant avant d’entamer sa 2ème flûte de champagne
Je la regardais, son décolleté dévoilait le sillon profond de sa poitrine, sa robe marquait ses hanches, ses cuisses dévoilées, ses bras potelés et son visage plein de charme et de douceur, je sentais mon sexe réagir et se comprimer dans mon jean. Même si c’était moins visible qu’en short je ne m’inquiétais pas, je savais qu’elle devait s’en douter et ne s’en offusquerait pas. Je la regardais sans détour, on buvait silencieusement, le désir nous enveloppait, nos regards se croisaient, un sourire attendrissant sur ses lèvres me laissait comprendre son envie. Elle se bougeait sans changer de position, je me rendais compte moi aussi de ces mouvements que l’excitation me provoquait
Julie reposa sa flûte, elle s’avançait vers la table, sans rien dire enleva ses escarpins avant de replier ses jambes sur le canapé, laissant sa robe découvrir naturellement le haut de ses cuisses. En me regardant elle tendit le bras vers moi en disant 
- Viens !
Sans répondre je posais mon verre à mon tour et attrapais sa main. Elle m’attirait vers elle en accompagnant ma tête dans le creux de son ventre. Je me laissais faire sans résistance et posait me posait sur ses cuisses contre son ventre douillet, laissant mes jambes repliées sur le bord du canapé
- Installe toi bien Titouan, tu peux poser les pieds sur le canapé ne t’inquiète pas si tu veux enlever tes chaussures aussi tu seras mieux ! Ajoutait-elle de sa voix douce
Je quittais à regret son ventre douillet juste le temps d’enlever mes chaussures et revenir me pelote dans ce nid douillet qu’elle m’offrait
- Tu es bien comme ça mon bébé ! Disait-elle en me regardant contre son ventre, commençant à caresser mes cheveux
- Oh oui Julie je suis trop bien ! Répondais-je en levant les yeux vers elle tout en passant mon bras autour de sa hanche. Elle ria légèrement en m’entendant en reprenant ses caresses sur mon crâne
Mes doigts pouvaient sentir la couture de sa culotte sous sa robe et les douces rondeurs de ses formes. Elle me parlait la tête penchée vers moi, chuchotant presque mais j’entendais sa voix qui me disait
- J’ai envie de rester comme ça un moment, de te regarder en caressant ton visage mon bébé, te sentir contre mon ventre
Je ne disais rien, je fermais les yeux en savourant ses caresses plus maternelles que sexuelles, ses doigts se faufilant dans mes cheveux. Je vivais l’instant, laissant ma main caresser sa hanche, sentant la douceur de sa robe qui couvrait son corps. Elle se pencha pour m’embrasser le crâne, je posais sentir sa poitrine venir se comprimer contre ma tête. Ma main la caressait au même rythme que la sienne, je sentais sa cuisse se découvrir au fur et à mesure de mes caresses
Je fermais les yeux, ses caresses se faisaient plus insistantes, plus appuyées, allant de mon crâne jusqu’à mon cou. Son index suivait l’intérieur de mon col de chemise finissant par se faufiler petit à petit dans l’ouverture. Sa main retrouvait son index pour venir caresser ma peau par l’ouverture de ma chemise, après quelques aller-retour, ses doigts se recroquevillaient sur le premier bouton fermé, cherchant à l’ouvrir pour descendre sur mon torse et caresser mon pectorau. Ses mains étaient douces, ses caresses lentes, progressives, et si sensuelles qu’elles me provoquaient des frissons faisant pointer mes tétons. 
Ma main suivait le cadencent de ses caresses, posée sur sa hanche, s’allongeant jusqu’au galbe de sa fesse. Sa robe glissait sur sa peau au fur et mesure des passages entre sa hanche et sa fesse, mes caresses descendaient sur sa cuisse découverte, ma main se hasardait sur sa peau douce, tout comme la sienne à l’intérieur de ma chemise. Le bout de mes doigts s’insinuaient sous le tissus jusqu’à rencontrer l’élastique de sa lingerie. Mon doigt suivait  la frontière jusqu’à sentir ses fesses couvertes par le fin tissus, se perdant sur l’arrière de ses cuisses pour longer sa culotte et remonter sur son autre fesse. Mes doigts dessinaient ce chemin de bout en bout, lentement, sensuellemment en même que les siens allant de mon torse à mon épaule  
Elle déboutonnait un autre bouton pour glisser sa main jusqu’à mon ventre, remontant en massant mes pectoraux l’un après l’autre, écartant délicatement le tissus en polissant l’arrondi de mon épaule. Je gardais mes yeux fermés, je ne la voyais plus, je la sentais si proche, si fusionelle, aucun son ni paroles superflues ne venaient troubler ce moment d’intimité, on entendait distinctement  le bruissement de nos caresses et le frottement de nos vêtements sur nos mains. On s’offrait ce mélange enivrant de tendresse révérencieuse et d’intimité retenue, chez elle, sur son canapé sans crainte d’être dérangés par quiconque. Nos caresses gardaient une réserve, pour ma part le respect de son âge et la découverte de sa maturité, pour elle, je devinais sa retenue pour ce que je représentais à ses yeux, un jeune homme ayant l’âge d’être son fils. Je ressentais l’harmonie de nos pensées, de nos caresses explorant les recoins encore inexplorés. Nous savourions ensemble l’érotisme de l’instant, comme si nous voulions d’un comme accord le faire durer
Je remontais sur sa hanche, sentant le bout de mon majeur glisser sous l’élastique de sa culotte, rejoins par mes doigts, ma main remontait sous sa culotte pour sentir sa peau, descendre sur sa fesse jusqu’à rencontrer le sillon de ses fesses. De sa main, elle écartait ma chemise, comme pour laisser plus d’espace à ses caresses qui parcouraient mon torse, allant jusqu’à mon aisselle où ses doigts s’attardaient. Mes doigts s’arrêtaient sur sa raie des fesses, la dessinant du bout des doigts jusqu’à cette petite grotte sombre qui se formait au bas de son sillon. Mes doigts palpaient avec curiosité et délicatesse cet endroit si intime où je sentais ses poils pubiens qui remontaient à l’intérieur de sa raie.
Elle se pencha sur moi, je sentais ses lèvres se poser sur ma tempe et venir s’ouvrirent dans le creux de mon oreille, je contractais mes épaules en savourant ses petits baisers qui s’interrompaient pour l’entendre à mon oreille
- Tu veux qu’on aille dans ma chambre mon Titouan ?
J’ouvrais les yeux en tournant mon regard vers elle, abasourdi comme je ne revenais pas de ce qu’elle me soufflait à l’oreille. Elle répétait tout bas en s’approchant de ma bouche 
- J’ai envie qu’on aille dans ma chambre mon bébé ! Et déposait un baiser sur mes lèvres
J’étais circonspect et sans voix en l’entendant me répéter son envie, d’un air embrumé par nos caresses je répondais à son baiser à mon tour en disant 
- Oui j’ai envie Julie, vous me faites vivre un vrai fantasme Julie ! Elle souriait en soupirant avant d’ajouter
- Je crois que tu m’as entrainé dans ce fantasme Titouan ! Se contentait-elle de rajouter en se redressant laissant sa main posée sur ma tempe. Mon coeur battait fort en l’entendant, je vivais des émotions plus que fortes ces derniers jours mais l’entendre me dire ça, me faisait littéralement chavirer !
Elle déplia ses jambes en prenant ma main qui restait collée à ses fesses, m’incitant à la suivre
- On prend le champagne avec nous ? Elle attrapait sa flûte au passage sans attendre ma réponse
Je prenais la mienne, lâchait sa main pour m’emparer de la bouteille avant qu’elle prenne mon bras en se dirigeant d’abord vers la terrasse. Elle s’arrêta au niveau de la baie en me tendant son verre
- Je vais fermer la baie vitrée quand même, personne ne vient mais on sait jamais
Je la regardais dans sa robe tout en remplissant sa flûte puis la mienne. 
- A nous mon prince, à notre rencontre et ces moments de douceur, tu me dévergondes tu sais ! Enchainait-elle en levant sa flûte pour la faire tinter contre la mienne
- A nous Julie, à votre anniversaire et ces inoubliables moments en votre compagnie
- Peut-être que tu me tutoyer maintenant Titouan tu ne crois pas ? je me sentirai moins décalée par rapport à toi
- C’est comme vous … pardon ! comme tu préfères Julie, je risque de me mélanger mais je vais essayer
-  Tu fais comme tu as envie Titouan, je trouve ça charmant aussi ce vouvoiement alors reste naturel
Nous restions sur le pas de la terrasse en buvant notre 3ème flûte, la bouteille était pratiquement vide. Nos regards se portaient alternativement sur l’extérieur et des oeillades en se souriant, chacun dans nos pensées on dégustait l’instant quand elle me posa la question naïvement 
- Tu penses à quoi Titouan ? 
Instantanément je répondais
- Je pense à ce moment présent et ces derniers jours où je vous connaissais pas encore, tout ce que vous représentez pour moi … arfff ! Tout ce que tu représentes pour moi ! Me reprenais-je, ayant du mal à la tutoyer
- Ne t’embêtes pas à me tutoyer si tu n’as pas l’habitude, ça viendra peut-être quand nous .. nous serons plus intimes ! Elle hésitait cherchant la manière de dire les choses mais j’avais compris le sens de ce qu’elle voulait dire
- D’accord Julie, vous avez raison ça viendra mais je me sens plus à l’aise en vous vouvoyant ne m’en voulez pas
- Ca ne me dérange pas Titouan je trouve ça troublant même pour tout te dire ! Elle me regardait en mimant une posture hautaine et se mettait à rire en voyant ma réaction
Je lui souriais sans rien répondre, voyant sa flûte presque vide, je finissais la bouteille en partageant le reste de champagne
- Oh je vais être pompette Titouan, une bouteille à 2 ça me tourne la tête mais tant pis je passe un moment délicieux mon prince et puis c’est mon anniversaire !
- Moi aussi je crois j’ai pas l’habitude de boire du champagne à cette heure mais c’est votre … ton anniversaire … Oh et puis zut ! j’abandonne le tutoiement, vous m’en voudrez pas ? moi aussi ça me trouble et encore plus que vous Julie
Elle me regardait d’un air amusé, ses yeux brillait je la sentais taquine, coquine même. Elle se collait à moi comme si elle me cherchait, je la sentais joueuse et presque autant excitée que moi. Elle baissait le regard en m’inspectant presque avant d’ajouter de but en blanc
- Mes fesses te font toujours autant d’effet j’ai l’impression ! Ses yeux restaient fixés sur mon jean, elle pouvait bien évidemment constater la bosse qui me compressait
- Comment avez-vous deviné Julie ! Je rentrais dans son jeu en confirmant d’un air penaud ce qu’elle me disait avec tant de légèreté
- Alors tu as toujours envie que je te montre ma chambre mon prince ? Sans attendre ma réponse, elle rentrait dans la maison en attendant que je passe pour refermer la baie vitrée
Je m’exécutais sans broncher, terriblement excité par cette complicité qui s’installait, je savais que le moment qui suivrait me laisserait des souvenirs qui resteraient pour toujours et que je sortirai grandi de cette soirée d’anniversaire chez Julie
Julie me prenait la main en se dirigeant vers les escaliers, nos flûtes étaient vides et nous avions déjà assez bu. Arrivée au pied de l’escalier elle s’arrêta un moment, je la sentais hésitante et sans dire plus elle se pencha passant ses mains sous sa robe en faisant glisser sa culotte jusqu’à ses chevilles et finir par la retirer devant moi. Je restais médusé, ravalant ma salive je la regardais
- Je crois que tu fantasmes beaucoup sur mes fesses non ?! Osait-elle dire avec sa culotte dans la main
- Oh oui Julie ! Enfin pas que vos fesses mais depuis le 1er jour sur la plage oui elles me font fantasmer
Elle me souriait d’un air conciliant et tendre comme si elle avait envie de découvrir mes fantasmes pour les réaliser
- Suis moi mon prince, ma chambre est là-haut ! Elle m’emboitait le pas commençant à monter les premières marches en attendant que je la suive
Après quelques marches, elle passa ses mains sur ses fesses et souleva sa robe sachant que j’étais à 2 marches derrière, elle m’offrait son fessier mature et charnu qui ondulait langoureusement en montant les escaliers jusqu'à sa chambre ...
A suivre ... (Scène 14 le 2 avril 2024 à 6h00)
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le-store-marseillais · 2 years ago
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Store Marseille
Store enrouleur bambou naturel, store occultant en bambou extérieur intérieur Stores à rouleaux Marseillais, protection solaire intimité isolant contre la chaleur
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LE STORE MARSEILLAIS 
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les-larmes-d-eros · 5 months ago
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Reverência, par Marat Safin
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lalignedujour · 1 year ago
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Elle est vraiment sans filtre avec moi, et c'est ça que j'aime. Cette intimité par défaut, dès qu'on est ensemble. Pas besoin de l'organiser. C'est tout de suite là.
Je suis dans le car pour Mayence. Elle y est pour encore quatre mois, alors on essaie de se voir de temps en temps. Je le prends à Bordeaux et puis zou jusqu'à Mayence.
Elle n'a aucune tactique avec moi, c'est que de la vulnérabilité. Et moi pareil. Ça circule librement entre son intérieur et le mien.
Le car vient de Pamplone. A la gare routière, ça monte et ça descend. On se croise, on de frotte entre inconnu.es. Il y a à côté de moi une femme avec un sandwich triangle sur lequel c'est marqué les apports nutritionnels en espagnol.
Le truc fait Pamplone-Berlin normal. C'est un car de 52 places et ça fait un trajet des Aventuriers du Rail.
Le chauffeur quinqua écoute Skyrock. Je me dis que ça raconte quelque-chose sur lui. L'heure affichée en rouge n'a toujours rien à voir avec l'heure réelle, ni les heures, ni les minutes, même en reflet dans la vitre quand il fait noir, toujours rien à voir. C'est une heure laissée à la dérive, qui se donne du mal chaque minute pour rien.
Je lui raconterai ça, ça lui plaira. Mais avant, je me le note pour moi dans ma tête. Nourrir mon intimité avant de la lui proposer.
C'est chacun.e dans sa bulle, pourtant nos cuisses se touchent parfois. Aucune intimité. Extrême promiscuité.
Avec Elle, c'est l'inverse. La relation est à distance, et pourtant presque palpable. Je sais exactement son sourire quand elle reçoit mon message dont elle sait lequel de mes sourires il traduit.
Tout ce trajet pour retrouver une personne. Il y a pourtant tant de gens sur le trajet, mais on décide de ne pas nous montrer nos beautés.
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super-caribe-suomi1012 · 2 years ago
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Écouter : l'art de se mettre en veilleuse...
Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un. D’une certaine façon, c’est lui dire : « Tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là. Je suis disponible à ta présence. Je me sens touché par ce que tu es, parce que tu dis. »
Écouter, c’est commencer par se taire. Avez-vous remarqué combien de tentatives d’échange ou de pseudo-dialogues sont remplis d’expressions du genre : « Ah oui, c’est comme moi ! » ou « Moi aussi, j’ai eu affaire à telle situation. » Cette pseudo-compréhension, qui s’approprie le dit de l’autre pour mieux le phagocyter, n’est qu’une occasion pour parler de soi, pour s’emparer du discours de l’autre et développer le sien.
Écouter, c’est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser rejoindre et peut-être transformer par l’autre. C’est accepter qu’autrui entre dans notre intimité et mette en veilleuse nos pensées, nos ressentis, comme il entrerait dans notre maison et s’y installerait un instant, s’asseyant dans notre fauteuil et prenant ses aises, en sollicitant notre attention pour lui seul.
Écouter, c’est accepter. C’est laisser tomber ce qui nous occupe pour donner son temps à l’autre. L’écoute ouverte est semblable à une promenade avec un ami. On marche à son pas, proche mais sans gêner, on se laisse conduire par lui, on s’arrête à sa discrétion, on repart avec lui, on est là pour lui. Cela s’appelle cheminer en compagnie.
Écouter, ce n’est pas chercher à répondre à celui qui se cherche, se dit ou résonne devant nous. Il convient surtout de lui permettre de s’entendre, de se reconnaître, de se retrouver dans les errances ou le labyrinthe de ses pensées. C’est refuser de penser à sa place, de donner des conseils, et même de vouloir comprendre. C’est simplement entendre.
Écouter, c’est accueillir l’autre, le reconnaître tel qu’il se définit, sans se substituer à lui pour lui dire ce qu’il doit être. Bien sûr, il y a différents niveaux d’écoute. L’écoute active sera celle qui permet à celui qui parle d’entendre ce qu’il dit. L’écoute miroir, la plus rare et donc la plus recherchée, sera inconditionnelle; elle permet de vider les trop-pleins d’amertume et de regrets. L’écoute résonance sera celle qui amplifie le dit de l’autre en restant ouvert et positif à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à celui qui s’exprime le temps et l’espace de trouver sa voie.
Écouter, ce n’est pas vouloir que quelqu’un soit comme ceci ou comme cela, c’est apprendre à se positionner silencieusement dans ce léger décalage entre ce qui est dit et ce qui est entendu.
Être attentif à quelqu’un qui souffre, ce n’est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c’est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son chemin pour s’en libérer ou continuer à la porter.
Apprendre à écouter dans cette liberté d’être, c’est l’exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos détresses, en retrouvant la part d’universel dans l’unicité de chacun.
Écouter, c’est donner à l’autre ce que l’on ne nous a peut-être jamais donné : de l’attention, du temps, une présence bienveillante. C’est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, dans notre corps, dans nos émotions. C’est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie ardente. C’est devenir un poète de l’« humanitude », qui sent le cœur et voit l’âme des choses.
À celui qui sait écouter est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure du vivant, il commence à découvrir l’infini qui vit à la fois la richesse et l’originalité de l’autre. C’est alors qu’il entrevoit combien la rencontre est source d’être et non pas d’avoir.
Jacques Salomé
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christophe76460 · 1 day ago
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Sujets de Prière : Seigneur, déverse tes trésors de gloire dans ma vie ! 🌟
Père céleste, toi qui règne dans la gloire éternelle, je viens devant toi avec un cœur associé à ta présence. 🙏
Seigneur, tu es le Dieu qui possède les trésors infinis de la gloire, et aujourd'hui, je me tiens devant toi pour recevoir ce que tu as réservé pour moi. 📖 Éphésiens 3:16 – « Afin qu'il vous donne, selon la richesse de sa gloire, d'être puissamment fortifiés par son Esprit dans l'homme intérieur. »
*1. Déverse tes trésors de gloire dans ma vie spirituelle 🌈*
Seigneur, je désire marcher dans une intimité profonde avec toi. Remplis-moi de ton Esprit, éclaire mon intelligence et renouvelle mon cœur. Que ton feu brûle en moi afin que je sois une lumière pour ce monde. 📖 Colossiens 1:27 – « Christ en vous, l'espérance de la gloire. »
*2. Déverse tes trésors de gloire dans ma destinée 🌟*
Seigneur, tu as des plans de paix et de bonheur pour moi. Ouvre les portes que toi seul peux ouvrir et fermer celles qui ne sont pas en accord avec ta volonté. Aligne ma vie avec ton plan divin et conduis-moi dans la prospérité de tes promesses. 📖 Jérémie 29:11 – « Car je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance. »
*3. Déverse tes trésors de gloire dans mes finances et mes besoins matériels 💰*
Seigneur, tu es le Dieu de l'abondance. Je viens devant toi, sachant que tu es capable de pourvoir à tous mes besoins. Bénis mon travail, mes finances et mes ressources afin que je puisse être une source de bénédiction pour les autres. 📖 Philippiens 4:19 – « Et mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ. »
*4. Déverse tes trésors de gloire dans ma santé et ma force physique 🏋️‍♂️*
Seigneur, tu es le Dieu qui guérit et restaure. Remplis mon corps de ta vitalité et de ta puissance. Toute maladie, toute faiblesse et tout épuisement doivent disparaître !
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manue-ringo · 4 months ago
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Quand les barrières tombent partie 2
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Mulder prit un instant pour la contempler, ses doigts glissant doucement le long de sa hanche, admirant chaque courbe avec une attention émerveillée. Parker, le cœur palpitant, lui adressa un sourire doux avant de fermer les yeux, s’abandonnant entièrement au plaisir qui montait en elle, ses muscles se relâchaient peu à peu, sa tête s'enfonçant dans l'oreiller alors qu'elle lâchait prise, confiante dans les mains expertes de son partenaire. Mulder effleura l'intérieur de ses cuisses de ses lèvres, avançant avec une lenteur calculée, savourant chaque frémissement. Ses propres lèvres brûlaient à chaque baiser déposé, et il ne pouvait empêcher les battements de son cœur de s’accélérer au rythme des réactions de Parker. Le souffle chaud du jeune homme chatouillait son intimité, et chaque sensation lui procurait une chaleur intense.
Quand il déposa finalement ses lèvres dessus, Parker sursauta légèrement, un rire gêné s'échappant de ses lèvres. Sa main glissa instinctivement dans ses cheveux, l'attirant plus près, guidant ses gestes avec tendresse, un geste rempli de confiance et de désir. Concentré et attentif, il poursuivit ses caresses, sa langue immisçant de légères pressions sur son bouton de chair, stimulant chaque nerf sensible. Parker répondit à ses attentions, ses cuisses s'écartant instinctivement pour réclamer plus de sensations. Ses hanches se soulevèrent d'elles-mêmes, cherchant à se synchroniser avec les mouvements précis de Mulder. Ses mains remontaient lentement le long de ses hanches, cherchant à amplifier les sensations qu’elle ressentait. Mulder tentait de garder le contrôle de ses émotions, chaque réponse de Parker accentuant son propre désir. Il laissa sa langue explorer chaque recoin délicat, guettant ses réactions, son attention fixée sur ses soupirs et ses gémissements. Il voulait la voir perdre pied, la pousser au-delà de la raison. Mais dans cette quête, il sentait aussi sa propre raison vaciller. Il bouillonnait intérieurement, comblé par le bonheur de la voir s'extasier sous ses caresses. Leurs désirs se mêlaient, tissant un lien intense et profond entre eux. En parfaite harmonie, il ajustait la cadence de ses mouvements, ses lèvres et sa langue traçant des cercles délicats, aspirant, mordillant doucement, avec une attention méticuleuse portée aux endroits les plus sensibles, attentif à chaque frémissement. Il savait désormais quels endroits la faisaient frémir, et il s'appliquait à prolonger cet échange complice. La respiration de Parker devint plus rapide et irrégulière à mesure qu'elle s'approchait du sommet de son plaisir. Ses jambes tremblaient légèrement, son corps tout entier tendu vers cet instant de libération. Ses mains se crispèrent sur les draps, ses doigts s'enfonçant dans le tissu, s'accrochant à cette sensation tangible qui les unissait. La propre respiration de Mulder devint plus profonde, plus irrégulière, et il devait lutter pour ne pas perdre le contrôle face à l’excitation croissante qui le submergeait. Il était complètement absorbé par les réactions de sa partenaire, son corps tout entier en phase avec le sien. Chaque gémissement, chaque halètement qu’elle laissait échapper était une victoire silencieuse qui nourrissait son propre désir.
Parker, totalement sensible à chaque sensation, sentit sa respiration s'accélérer brutalement. Une vague de plaisir intense la submergea, lui coupant le souffle et la laissant haletante. Elle s’accrocha de toutes ses forces à lui, ses ongles s’enfonçant doucement dans sa nuque, comme pour le sentir plus proche. Ses cuisses se refermèrent légèrement autour sa tête, un réflexe de plaisir incontrôlable, tandis que son bassin se cambrait de manière convulsive répondant à ces vagues successives de plaisir qui l'envahissaient. Sa tête bascula en arrière, et un râle profond de délice s'échappa malgré elle, ses lèvres s’ouvrant sur un sourire épanoui, tandis que son corps tout entier se tendait, alors qu'une chaleur explosive se diffusait dans tout son être. Mulder, sentant le point culminant, ralentissait subtilement ses mouvements, prolongeant l’instant pour elle avec une tendresse dévouée. Elle se cambra davantage, la tête rejetée en arrière, gémissant doucement avant de reprendre lentement son souffle et ses esprits. Un sourire radieux se dessina sur ses lèvres, un sourire empreint de satisfaction pure. Dans un état de béatitude presque irréel, Parker se laissa aller à la douceur de l'instant. Ses muscles, tendus jusque-là par le plaisir, se relâchèrent lentement, comme si la chaleur de leur échange avait fait fondre toute la résistance qu'elle avait pu opposer. Elle restait là, respirant profondément, ses pensées noyées dans la brume d’un plaisir indescriptible, une sensation d’abandon total à la personne qui se trouvait près d’elle.
Mulder mit un moment à revenir pleinement à la réalité, ivre d'une euphorie qui faisait encore vibrer son corps. Son cœur battait vite, et il tenta de calmer sa respiration saccadée. La sueur sur son front témoignait de l'intensité du moment. Lentement, il se laissa retomber contre le ventre de la jeune femme. Il ferma les yeux, sa tête reposant sur elle, sentant ses doigts fins encore tremblants, qui se glissaient doucement dans ses cheveux, ses caresses empreintes de gratitude silencieuse. Ils restèrent ainsi un moment, plongés dans un silence ému, encore bouleversés par leur expérience. Leurs respirations s'harmonisèrent, témoignant de leur connexion profonde.
Mulder finit par se redresser lentement pour la contempler, son regard débordant de tendresse et d'inquiétude. Ses muscles étaient encore tendus par l’intensité du moment, tandis qu'il observait son amie, cherchant à s'assurer qu'elle se sentait aussi bien que lui. Ses yeux parcouraient chaque détail de son visage, comme s’il craignait de la perdre dans cette nouvelle réalité qu’ils venaient de découvrir ensemble.
D’une voix basse, chargée d’émotion et de fragilité, il demanda :
Ça va ? Comment tu te sens ? Sa voix était basse, tremblante d’émotion, et il se surprit à vouloir protéger ce fragile instant. Ses doigts effleurèrent sa joue avec une douceur infinie, se glissant dans ses cheveux, les replaçant derrière son oreille, comme pour la garder près de lui, tout en cherchant des réponses dans son regard.
Parker frissonna sous ce contact, un sourire effleura ses lèvres encore marqué par la chaleur de l’instant, ses yeux plissés de bien-être et de plaisir. Mais il y avait quelque chose dans son expression, un mélange de légèreté et de vulnérabilité, comme si elle était perdue dans une mer d’émotions contradictoires.
Je me sens… Elle s’interrompit, cherchant ses mots, mais elle n’eut besoin de rien dire de plus. Son regard, la manière dont elle l’observait, tout cela exprimait mieux que des mots l’intensité de sa reconnaissance.
Ses lèvres s’étirèrent en un sourire plus franc, cette fois-ci, sans hésitation, celui d’une femme comblée, qui avait trouvé un apaisement rare dans un monde si chaotique.
Incroyablement bien.
Il y avait un tremblement dans sa voix, un frémissement qu’il n’avait jamais remarqué auparavant. Mulder ressentit ce frisson, et un élan de complicité naquit entre eux. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais il se tut, ne sachant pas quoi dire. Les mots semblaient inutiles face à ce qu’ils avaient traversé. Parker, elle, semblait vouloir ajouter quelque chose, mais elle se contenta de lui offrir un regard intense, celui qu’elle n’avait jamais vraiment partagé avec lui auparavant. Ses lèvres s’étirèrent en un sourire plus espiègle, comme si elle avait un secret qu’elle ne voulait pas encore dévoiler.
Tu sais… Murmura-t-elle, sa voix douce mais pleine de sous-entendus, une flamme d’irrévérence dans ses yeux.
Je crois qu'on vient juste de commencer, Mulder. Souffla-t-elle, ses yeux étincelant d’un mélange de défi et de séduction. Elle laissa ses doigts glisser lentement sur son torse, avant de se mordiller la lèvre inférieure, un geste presque imperceptible, mais qui ralluma une flamme qu’il tentait désespérément d’éteindre.
Le cœur de Mulder s’emballa une nouvelle fois. Il lutta pour garder son calme, pour ne pas céder à la tentation de répondre immédiatement à ce qu’elle insinuait. Chaque fibre de son être réclamait cette femme qui semblait se délecter de leur jeu dangereux. Il savait que les limites étaient floues, que ce qu’ils vivaient était bien plus complexe que ce qu’ils pouvaient admettre.
Il la regarda intensément, son esprit en proie à une tourmente qu’il ne pouvait articuler. Les mots se bousculaient dans sa gorge, mais il ne les prononça pas. Au lieu de ça, il se coucha à ses côtés, épuisé par la satisfaction du moment et la confusion qui l’envahissaient. Un sourire fugace se dessina sur ses lèvres, mais il disparut aussi vite qu’il était apparu. Ils étaient dans cet entre-deux, entre l’euphorie et l’incertitude, entre la joie du moment et la peur de ce que l’avenir réserverait.
Parker s’endormit presque instantanément, un soupir apaisé échappant de ses lèvres. Elle semblait en paix, un poids levé de ses épaules
Mulder, cependant, restait éveillé, perdu dans un tourbillon de pensées contradictoires. Malgré cette sérénité, une part de lui s'interrogeait sur ce que cette expérience signifiait pour leur relation. Il savait qu'ils avaient franchi une étape importante et voulait préserver cette nouvelle complicité.
Cependant, cette tranquillité apparente était trompeuse. Ni Mulder ni Parker ne soupçonnaient la menace qui approchait.
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latribune · 2 months ago
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les-larmes-d-eros · 9 months ago
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Photo par Jameson Baldwin
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thetulipchildren · 3 months ago
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Restauration de mon parcours et de mon flirte🦜Éclat & contraste..la forêt
Arbre...la compagnie
Le marée...la solitude appuyer,profonde et de sensation mais aussi douceur intrigantes
.
La tour
Le cimetière des lobes du cerveau
Frontalement subtil .david
D'une hauteur pragmatisme . shelomoh
À l'ouest perspicace . yakov.
À l'est vertu . rachel
Dos au mur judicieux . Isaïe
.
Le lion
C la corde
Entre la flèche
Pointe de ces entrailles
Et son cœur
.
Maintenant les songe
La rose les chevaux la falaise sinué
Son reverse
La chute contre soi
Les armées contre soi
Les sorciers dune scientologie contre soi
.
Aaron c'est une Amande
Car lui n'aime pas être aimé
Car est de lui tout ce qui pousse rapidement
Comme une montagne
Entre degré et mesure
Car est de lui c indépendant du monde qui ont fait régné un sens de la liberté
Pourtant écrasé, jeté aux rongeurs féroce
.
Moshe lui
Est sage
Il laisse la vie se faire
Ne bouscule en rien
Et il râle
Pour l'espace de toute chose
.
.
Image de sa relation ;;;
Éternel de son cœur ... ,
Métaphore du pourpre et du pulse
Mais aussi de la crispation
Et de l'empreinte
.
Le lion de Dori
.
On note un sens dissimulé ramenez vers son intimité par des métaphores et des perceptions
.
Comme une chose peux être entre les temps une communication laissé comme une perception délient un songe indirect
.indirect ,en plusieurs passages de sa vie
.
2 indirect
Sarah pleur ces enfants kidnapper
Rachel la bibliothèque des île sans toit
Ne pouvant plus être Emprunté que par son intimité
.
Vi insignifiant
N'est point un rien🦜
On lutte le rien et le néant pour ramener de la couleur à l'ombre
Vide de sens
Et mélancolie de faire échouer se vide
Par son emprunte sans confrontation
Aujourd'hui je note matrice de c motricité
.
Une vue du monde intérieur
Sa nature comme son corps
.
Le sommet de ta tour c Aaron
Obligatoirement
La partie non dévoiler mme à soi même
.
Les pauses
C'est deux embranchements de la respiration
.
Laissé coulé
La source
Ou la ressentir
.
L'arbre de c poumons
Le marée est semblable à la lune
Le soleil est semblable à la forêt de fleurs
.
Un démon sous mon trône lorsk pas subtil
Un ange sous mon trône lorsk accusateur
Un diable sous mon trône lorsk à ma perte
.
EL chaï & Lion
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rideau-macrame · 8 months ago
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Rideau en Macramé de Porte : Élégance et Fonctionnalité
Les rideaux en macramé de porte sont une excellente façon d'ajouter du style et de la fonctionnalité à votre intérieur. Ils permettent de délimiter les espaces tout en laissant passer la lumière et l'air. Voici quelques conseils pour choisir ou créer le rideau en macramé de porte parfait pour votre maison.
Avantages des Rideaux en Macramé de Porte
Décoration Bohème : Ajoutent une touche artisanale et naturelle à votre décor.
Polyvalence : Peuvent être utilisés dans les entrées, les placards ou comme séparateurs de pièce.
Aération : Permettent une bonne circulation de l'air tout en offrant une certaine intimité.
Comment Choisir le Bon Rideau
Matériaux : Optez pour des fils de coton de haute qualité pour une meilleure durabilité.
Design : Choisissez un motif qui complète votre style intérieur.
Dimensions : Mesurez soigneusement l'espace pour un ajustement parfait.
Créez votre Propre Rideau en Macramé
Pour les amateurs de DIY, créer votre propre rideau en macramé peut être une activité gratifiante. Utilisez des tutoriels et des kits pour débutants pour vous guider dans la réalisation.
Où Trouver des Rideaux en Macramé de Porte
Pour découvrir une variété de rideaux en macramé de porte et des kits DIY, visitez "passion-macrame.com". Vous y trouverez tout le nécessaire pour ajouter une touche élégante et artisanale à votre maison.
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voyagerfrance · 8 months ago
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"Top Villas and Tips for a Perfect Stay on the French Riviera"
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La Côte d'Azur, aussi connue sous le nom de French Riviera, est un joyau étincelant de la Méditerranée, réputée pour ses plages magnifiques, son style de vie glamour et ses hébergements luxueux. Pour ceux qui planifient une escapade dans cette destination enchanteresse, trouver la villa parfaite est essentiel pour une expérience inoubliable. Voici quelques-unes des meilleures villas et des conseils pour garantir un séjour parfait sur la Côte d'Azur.
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Les Meilleures Villas de la Côte d'Azur
Villa Ephrussi de Rothschild Située à Saint-Jean-Cap-Ferrat, cette villa historique offre des vues imprenables sur la Méditerranée. Avec ses jardins luxuriants et ses intérieurs opulents, elle offre un avant-goût du luxe aristocratique.
Villa Les Cèdres Également à Saint-Jean-Cap-Ferrat, la Villa Les Cèdres est connue pour ses magnifiques jardins botaniques et son charme historique. Cette propriété exquise offre intimité et élégance, idéale pour les voyageurs exigeants.
Villa Eilenroc Perchée sur le Cap d'Antibes, la Villa Eilenroc dispose de vastes jardins et d'une plage privée. Son architecture classique française et ses commodités luxueuses en font un choix de premier ordre pour un séjour somptueux.
Villa Mauresque Située à Saint-Raphaël, cette villa combine architecture mauresque et luxe moderne. Avec ses vues imprenables sur la mer et son accès direct à la plage, elle est idéale pour une retraite sereine et élégante.
Villa La Coste Au cœur de la Provence, la Villa La Coste allie design contemporain et beauté naturelle. Entourée de vignobles et d'installations artistiques, elle offre une escapade unique et paisible.
Conseils pour un Séjour Parfait
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Réservez Tôt : La Côte d'Azur est une destination prisée, surtout en été. Pour garantir la villa de vos rêves, il est conseillé de réserver longtemps à l'avance.
Considérez l'Emplacement : La Riviera a de nombreux charmants villages et villes, chacun avec son propre attrait unique. Que vous préfériez l'ambiance animée de Nice ou l'élégance tranquille de Saint-Tropez, choisissez un emplacement qui correspond à vos préférences.
Explorez la Cuisine Locale : La Côte d'Azur est un paradis gastronomique. Ne manquez pas les spécialités locales comme la Bouillabaisse à Marseille ou la Socca à Nice. De nombreuses villas proposent des chefs privés qui peuvent préparer des repas gastronomiques avec des ingrédients frais et locaux.
Planifiez des Activités : Des excursions en yacht et la détente sur la plage à l'exploration des sites historiques et des musées d'art, il n'y a pas de pénurie d'activités sur la Riviera. Assurez-vous de planifier votre itinéraire pour profiter au maximum de votre séjour.
Adoptez le Style de Vie : La Côte d'Azur est synonyme de luxe et de détente. Prenez le temps de profiter du rythme plus lent, de siroter des vins locaux et d'admirer les vues imprenables.
Pour plus d'informations détaillées et pour explorer davantage de villas luxueuses, visitez voyagerfrance.fr/cote-dazur-villas.
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les-larmes-d-eros · 9 months ago
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Cativado, par Marat Safin
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