#le vrai roussillon
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Burr's alcohol consumption, as described in his journal, is notoriously horrific; he thinks nothing of drinking a half-bottle of wine with a meal, and he frequently starts early in the day. But we should be wary of taking that at face value and assuming he had a problem; we need to put it in the perspective of his time.
Alcohol then wasn't the same as alcohol now. Brewing and fermentation methods have changed; for example, it's now common to add sugar early in the fermentation process to create a stronger wine. Consumer laws, standardisation, the ability to actually measure alcohol content; these have all changed the kinds and strengths of alcohol that are available. Even 'a bottle' was not necessarily the 75 cl volume that we're used to today.
Patterns of consumption were also *very* different. At a time when water was often unsafe, many people drank alcohol in amounts that look insane to us. For example, in the UK at this time it's been estimated that the *average* person drank half a gallon of gin per month. It's difficult to say what sort of consumption was normal, especially as drinking patterns varied across social classes, but it was definitely high, and the people of the time would have built up a tolerance accordingly.
It's also worth noting that while drinking was normal, actually being drunk was somewhat frowned upon, and Burr's contemporaries weren't shy of commenting on habits of insobriety (they called Luther Martin 'Old Brandy-Bottle' for a reason). But while Burr was accused of many things - being ambitious, devoted to sensual pleasures, a seducer, profligate with money, unprincipled, etc - nobody accuses him of excessive drinking.
So my suspicion is that while Burr drank a *lot* by modern standards, he probably wasn't as affected by the apparent quantity as we might assume, and it wasn't excessive by the standards of his time.
...his smoking and seducing, however? Totally as bad as they look.
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Pension canine, garde de chien à Bompas( 66430). Votre chiot essaie de vous parler
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Votre chiot essaie de vous parler
À partir du moment où ils prennent leur nouveau chiot, la plupart des propriétaires sont convaincus que leur chien essaie de leur dire quelque chose : ce grognement ressemblait-il à« Maman ?« C'était définitivement ça !Si seulement ils venaient avec un traducteur. Il est vrai que les chiens sont des créatures sociales et nous communiquent leurs sentiments à travers les sons et le langage corporel. Au cours des premières semaines, un chiot commencera à crier, à gémir et à grogner avant de grandir et d'adopter des méthodes de communication plus riches et plus complexes. Apprendre à parler chiot vous aide à mieux prendre soin de votre chiot et à développer ce dialogue à mesure qu'il grandit.
Mieux vous comprendrez comment votre chiot vit son monde, moins vous risquez de devenir frustré ou en colère (et peut-être de traiter votre protégé injustement). Et, en fin de compte, plus le lien entre vous deux sera meilleur et fort.
Commencez à décoder le langage des chiots : voici cinq explications pour vous aider à déchiffrer la signification de leur langage corporel et de leurs vocalisations.
Gémissement
Lorsqu’un chiot gémit, ce doux petit son menace de nous faire monter les larmes aux yeux. Une étude a même révélé que les gémissements d’un chiot sont plus tristes pour les parents que les pleurs d’un bébé. Les chiots gémissent lorsqu'ils en ont besoin : votre chiot peut avoir froid, se sentir seul ou avoir faim. Essayez de le réconforter avec de l'attention, de la nourriture ou même une serviette chaude, et vous constaterez qu'il s'arrêtera probablement.
Grognements
Les chiots grognent pour diverses raisons, mais c'est quelque chose qu'ils font lorsqu'ils sont détendus et satisfaits. Vous verrez des chiots grogner lorsqu'ils mangent, dorment ou se font caresser parce qu'ils aiment ça.
Cercles avant de dormir
Alors que vous vous préparez à vous coucher, vous gonflez votre oreiller et retirez vos draps. Les chiens ont une routine de sommeil similaire : ils tournent en rond et piétinent. On pense que ce comportement instinctif primaire a aidé les chiens sauvages à préparer et à aplatir leur litière d'herbe avant de dormir.
Se lécher les babines
Les chiens se lèchent souvent les lèvres lorsqu’ils sont nerveux ou anxieux. Vous pouvez aider votre chiot en trouvant la source de son anxiété et en utilisant des techniques pour le calmer.
S'éloigner des tapes sur la tête
Cela pourrait vous surprendre, mais de nombreux chiens n'aiment pas les caresses sur la tête. Les chiens adorent être touchés, mais pas nécessairement caressés , et il y a une différence importante.
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5 catamarans de voyage d'occasion à moins de 100.000 euros
Le marché du catamaran d'occasion, comme celui du neuf, est progression constante depuis de nombreuses années. Les multicoques sont très recherchés pour des programmes de croisière. C'est notamment le cas pour les candidats au grand départ entre autres. En effet, le catamaran est de plus en plus plébiscité par les candidats à la grande croisière pour son volume et le confort qu'il offre pour la vie à bord. Les jeunes retraités qui souhaitent naviguer à l'année, comme les familles partant pour une année sabbatique, se tournent maintenant vers le multicoque. Le secteur de la location de bateaux ne s'y est pas trompé et se tourne aussi de plus en plus vers le catamaran. Certains chantiers ont même adapté leur production pour proposer une gamme destinée à ce marché. L'inconvénient d'un catamaran reste tout de même le prix, beaucoup plus élevé qu'un monocoque. Cependant, il est possible de trouver de belles occasions pour moins de 100000 euros.
Le catamaran de voyage d'occasion idéal
Il est vrai que le catamaran a quelques avantages dont le volume habitable pour la vie à bord. Sur un catamaran de 11 mètres, vous pouvez avoir 3 ou 4 cabines avec leur propre salle d'eau par exemple. le carré, lui, sera vaste et pourra accueillir beaucoup de monde sans faire lever tout l'équipage dés que quelqu'un veut sortir de table. Mais c'est aussi son confort, en navigation, qui plait aux propriétaires. Il est beaucoup plus stable et rapide qu'un monocoque de même longueur. S'il est plus rapide qu'un monocoque de taille identique, le catamaran est quelques lacunes par rapport à ces derniers. Parmi ses défauts, il y a son incapacité à faire le même cap qu'un monocoque, au près. Enfin, le catamaran peut taper par gros temps. Un bon catamaran doit donc surperformer sur ces points. Et il existe des séries qui font vraiment la différence. Le catamaran idéal n'existe pas. Certains multicoques seront très rapides quand d'autres joueront sur le confort au détriment de la vitesse. Comme à chaque fois, lors de l'achat d'un bateau d'occasion, tout est une question de compromis et chacun choisit le sien, en fonction de ses besoins, de son programme.
5 catamarans à vendre pour moins de 100000 euros
On ne retiendra ici que des catamarans d'occasion de 11 à 12 mètres. Ils ont l'avantage de ne pas encore coûter trop cher en entretien, tout en offrant un bon volume habitable. Pour le budget, nous resterons sur une limite à 100000 euros. Ce budget semble le plus cohérent pour nombre de candidats au grand départ. Dans cette catégorie, le marché est très vaste. Pour trouver la perle rare, vous devrez courir les pontons de Bretagne à Canet en Roussillon en passant par La Rochelle. Ces multicoques seront souvent visibles en passant par des yachtborkers. Alors voici notre liste de 5 catamarans de voyage d'occasion. (Découvrez nos annonces de catamaran ici)
Outremer 40, du chantier Outremer
L'Outremer 40 rassemble toute la philosophie du chantier, créer des catamarans de croisière hauturière. Sorti en 1984, et dessiné par Gérard Danson, ses qualités marines sont excellentes, notamment au près grâce à ses dérives. Le bateau est assez léger et son fardage est assez réduit. L'Outremer 40 marche fort à toutes les allures. En contrepartie, son volume habitable est inférieur à la moyenne. Le bateau propose deux cabines doubles plus deux autres plus petites vers l'avant. Son cockpit a gagné en volume, à partir des années 90 en devenant l'Outremer 43. longueur: 12m. Largeur: 6.800m. Surface de voiles: 168m². Poids: 4000kg.
Catana 40, du chantier Catana
Le Catana 40 est le premier catamaran du chantier du même nom. Sorti en 1984, il a été dessiné par Lock Crowther.
Photo: avec l'aimable autorisation du chantier Catana Son caractère se rapproche de l'Outremer 40. Les qualités marines et la vitesse passaient avant le volume habitable. Construit en sandwich, le Catana 40 pèse moins de 5 tonnes. C'est sans doute un des catamarans les plus rapides de sa génération, et d'autres. Il est capable, lui aussi, de très bien remonter au près grâce à ses dérives sabres. Ces qualités se feront, là aussi, au détriment du volume habitable. longueur: 12.20m. Largeur: 5.90m. Surface de voiles: 78m². Poids: 4200kg.
Azuli, du chantier Soubise
Comment ne pas citer un plan Erik Lerouge dans cette sélection. Il y avait le choix entre le Freydis 42, le Ville Audrain et l'Azuli...entre autres. L'Azuli a été construit par le chantier Soubise. Il est compliqué, ici, de donner une description de l'Azuli. En effet, les modèles construits étaient tous plus ou moins différents. Il n'en reste que ce catamaran est sans doute le plus performant et marin de tous. A l'inverse, le volume habitable ne sera, souvent, pas une priorité. Enfin, certaines unités peuvent être assez techniques. longueur: 11.40m. Largeur: 6.40m. Surface de voiles: 89m². Poids: 3000kg.
Kennex 380
Le Kennex 380 a été construit par le chantier du même nom, de 1988 à 1997. Dessiné par le groupe Graal, 60 unités du Kennex 380
ont été construites. Moins connu que les grandes séries, ce catamaran mérite le détour. Le Kennex 380 se trouve être un très bon compromis entre volume et performances. De conception plus moderne, son fardage commence à augmenter par rapport aux précédents. De très bonne construction, il était proposé avec des ailerons ou des dérives sabres. Le bateau propose deux belles cabines à l'arrière chaque coque, perpendiculaires à ces dernières. Trois autres cabines sont disponibles sur l'avant. longueur: 11.55m. Largeur: 6.00m. Surface de voiles: 90m². Poids: 5500kg.
Lagoon 37
Avec le Lagoon 37, on arrive à la limite de compromis entre volume habitable et qualités marines. Le cabinetd'architecture VPLP n'aura pas réussi à offrir les sensations sous voiles. Cependant, ses atouts sont ailleurs. Ils sont dans son volume. Pour les équipages acceptant d'utiliser le moteur régulièrement, ce sera le cas pour remonter au près, il offrira un volume habitable exceptionnel. Le Lagoon 37 propose entre autre trois très belles cabines doubles. Enfin, les aménagements intérieurs sont très fonctionnels. Et cela compte aussi en croisière. longueur: 11.20m. Largeur: 6015m. Surface de voiles: 78m². Poids: 5390kg. Pour terminer, pensez à regarder notre Guide d'achat du catamaran neuf et d'occasion, reprenant de nombreux conseils.
Louez votre catamaran pour une croisière à la cabine !
Vous souhaitez profiter des plaisirs du catamaran ou de la voile, mais sans investir pour autant dans l'achat d'un bateau, Dans ce cas, il est temps de réserver votre croisière à la cabine ! Il s'agit d'un concept de navigation qui se développe depuis les années 2000. Le principe est simple : vous louez votre cabine au sein d'un catamaran. Celle-ci dispose d'une chambre et d'une salle de bain pour un confort optimal. Généralement, les bateaux font entre 15 et 20 mètres, ce qui vous assure une stabilité lors de la navigation. La croisière à la cabine est la nouvelle façon de naviguer. Ce concept, autant familial que luxueux, a su séduire tous les adeptes de la navigation. Il existe quatre sortes de cabines et chacune d'entre elles s'adapte à vos besoins, vos envies et votre budget : - La cabine intérieure : aménagée dans le bateau, elle ne dispose pas de fenêtre. C'est donc l'option la plus économique et la plus confortable pour les voyageurs qui aiment dormir dans le noir total. - La cabine extérieure : elle contient au moins une fenêtre qui permet d'admirer les flots et le paysage. - La cabine avec balcon privé : un peu plus spacieuse que la cabine intérieure ou extérieure, la cabine avec balcon privé est une sorte de suite. Vous avez à votre disposition un espace extérieur personnel, idéal pour prendre le petit déjeuner en respirant l'air marin. - La cabine sous forme de suite : rien de tel pour une croisière luxueuse. Ici, votre cabine a des allures de palace. Vous disposez d'un salon, d'une chambre, d'un balcon et d'une salle de bain. En outre, l'équipage est aux petits soins, sans oublier le fait que la suite contient un équipement complet (peignoirs, machine à café, sèche-cheveux, etc). Read the full article
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Poisson d’avril !
Un poisson d’avril est une plaisanterie, voire un canular, que l’on fait le 1er avril à ses connaissances ou à ses amis. Il est aussi de coutume de faire des canulars dans les médias, aussi bien presse écrite, radio, télévision que sur Internet.
Pour les enfants, il consiste à accrocher un poisson de papier dans le dos des personnes dont on veut se gausser. « Poisson d’avril ! » est aussi l’exclamation que l’on pousse une fois qu’une des plaisanteries est découverte.
Les origines du poisson d'avril restent obscures mais la tradition festive de personnes qui sont l'objet de farces ou de satires existe dans plusieurs cultures depuis l'Antiquité et le Moyen Âge : fêtes religieuses romaines des Hilaria célébrées le 25 mars ; la Holi, fête des couleurs hindouiste ; Sizdah bedar, fête persane ; Pourim, fête juive ; fête des Fous médiévale en Europe.
Les écrits folkloristes proposent de nombreuses origines mais il ne s'agit que de « vagues conjectures ».
Une première explication relie le poisson d'avril à la Pâques qui marque la fin du jeûne du carême, le poisson prenant une place alimentaire importante à cette période. De plus, l'ichthus chrétien, symbole graphique représentant un poisson, est un acronyme du nom de Jésus utilisé du Ier siècle au IVe siècle et le mot poisson serait une corruption du mot Passion.
Une autre hypothèse, couramment reprise par les médias, relie la date du 1er avril à la réforme calendaire au XVIe siècle. Au Moyen-Âge, dans plusieurs villes et régions européennes, l’année commençait à des dates variées (Noël, 1er mars, 25 mars) et correspondait selon le calendrier julien au Jour de l'an. Le 25 mars notamment était associé la fête de l'Annonciation à Marie avec la tradition de s'échanger des étrennes. En France, l’année civile débutait à différentes dates selon les provinces mais dans celles où elle commençait le 25 mars, il était courant de prolonger les fêtes mariales jusqu'au 1er avril. Le roi Charles IX décide, par l’Édit de Roussillon en 1564, que l’année débuterait désormais le 1er janvier, marque du rallongement des journées, au lieu de fin mars, arrivée du printemps. Le pape Grégoire XIII étend cette mesure à l'ensemble de la chrétienté avec l'adoption du calendrier grégorien en 1582. Selon la légende, beaucoup de personnes eurent des difficultés à s'adapter au nouveau calendrier, d'autres n'étaient pas au courant du changement et continuèrent à célébrer le 1er avril selon l'ancienne tradition. Pour se moquer d'elles, certains profitèrent de l’occasion pour raconter aux étourdis des histoires pour rire et leur remettre de faux poissons correspondant à la fin du Carême. Ainsi naquit le fameux poisson d’avril, le jour des fous, le jour de ceux qui n’acceptent pas la réalité ou la voient autrement. Cette hypothèse de la réforme calendaire, qui s'appuyait sur le fait que la tradition du poisson d'avril est bien attestée au XVIe siècle, est cependant contredite car l'expression ou la notion de poisson d'avril est évoquée dans plusieurs écrits antérieurs à 1564, notamment un poème de Pierre Michault en 1466, Le livre de la deablerie (diablerie) du curé Eloy d'Amerval en 1508 ou un poème dans l'œuvre Testament rhetoricae d'Eduard de Dene en 1539.
Une autre origine viendrait de l'usage dans différents pays d'ouvrir la saison de pêche le 1er avril ou au contraire dans d'autres de la suspendre, afin de respecter la période de reproduction. Pour faire un cadeau aux pêcheurs, et pour se moquer un peu d'eux car la pêche était soit trop facile (abondance le jour d'ouverture), soit infructueuse (jour de suspension), on leur offrait un hareng. C'est alors qu'une habitude populaire s'installa : on accrochait subrepticement un vrai poisson dans le dos des gens. Comme les habits étaient plus larges, les victimes ne s'en apercevaient pas tout de suite, de sorte que le poisson devenait de plus en plus gluant et puant. Ainsi naquit le goût de faire ce jour-là des petits cadeaux pour rire, des plaisanteries ou des mystifications. Là encore cette hypothèse est rejetée, les archives historiques mentionnant le choix d'autres dates par les autorités gérant les pêches.
Selon le folkloriste Alan Dundes (en), plusieurs usages semblent s’être en fait mélangés avec celui du carnaval en ce jour qui est une probable émanation d'anciens rites de fertilité et d'inversion, de fêtes au cours desquelles les victimes de farces sont confrontées à un rite calendaire de passage : influence des fêtes antiques, sortie du signe zodiacal des Poissons (dernier signe de l’hiver et dernier signe zodiacal), avril considéré au Moyen-Âge comme le premier mois du printemps (le 1er avril étant fixé comme un rite printanier), prolongement la période du carême où il n’est permis de manger que du poisson.
En France, au début du XXe siècle, on s’envoyait de jolies cartes postales toutes ornées d’un poisson d’avril et richement décorées.
Le musée du château de Dieppe conserve une très importante collection de cartes postales sur ce thème.
Cette coutume de faire des plaisanteries s’est répandue dans de nombreux pays, bien que le poisson ne se soit pas toujours exporté en même temps :
Les Américains et les Britanniques ont conservé leur April Fool’s Day (certains Écossais parlent aussi de Gowk ou de Cuckoo),
Les Allemands ont leur Aprilscherz,
Cette coutume existe aussi au Danemark, aux Pays-Bas, en Belgique, au Canada, en Italie, en Pologne, au Portugal, aux États-Unis, en Suisse, en Suède, en Finlande, ou même au Japon,
En Russie il s'appelle le « jour des fous » (den durakov).
En Roumanie, il s'agit de la « tromperie/duperie du 1er avril » (păcăleală de 1 aprilie),
Au Portugal et au Brésil il s'appelle « jour des mensonges » (dia das mentiras).
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Un Amour d’acteur
Morgan Du Roy
1 – L’inconnu de Bel air
William arrêta sa moto à seulement quelques kilomètres de Gordes, non loin de Roussillon, dans le Lubéron. Il avait vu un reportage sur cette région, à la télévision, et il en était immédiatement tombé sous le charme. Il éprouvait un tel besoin de se changer les idées que ces vacances, planifiées à la dernière minute, s’étaient imposées à lui comme une indispensable bouffée d’air.
Il gravit une petite route et s’installa sur un terrain, occupé par une végétation luxuriante, qui avait l’air à l’abandon. En ce mois de juillet, le soleil cognait et les zones d’ombre et de fraîcheur étaient les bienvenues.
Il installa une serviette sur l’herbe fraîche pour s’y asseoir et contempler la colline de Gordes qui lui faisait face, tel un trophée. En effet, il avait roulé depuis tôt le matin pour parcourir les sept cents kilomètres qui le séparaient de la capitale, ne s’arrêtant que pour prendre de l’essence. La récompense se dressait maintenant devant lui sur son rocher monumental, avec ses maisons pittoresques en pierre, son château, ses abbayes. L’air était chargé de mille parfums et il régnait ici un calme incroyable pour ce jeune Parisien au tempérament de feu. Il s’allongea quelques instants et ferma les yeux pour profiter à fond de cette quiétude. Comme c’était bon.
William avait vingt-quatre ans. Ce petit blond au regard franc possédait de grands yeux qui pouvaient vous charmer ou vous pétrifier avec une facilité et une vivacité déconcertantes. Le visage fin, avec un petit nez et des lèvres charnues, William inspirait la réserve, ou peut-être même une certaine noblesse. Avec ses cheveux blonds toujours bien coiffés et son look de motard tiré à quatre épingles, le jeune homme ne laissait jamais personne indifférent. Loin d’en abuser, Will, comme le surnommaient ses amis, était d’une nature spontanée, naturelle, pour ne pas dire impulsive.
Deux jours plus tôt, Will ignorait encore tout de ce qui allait le porter jusque dans le Lubéron. Et c’est sur un coup de tête qu’il enfourcha sa moto, emportant avec lui le strict minimum, une savonnette, quelques vêtements de rechange, un peu de nourriture et une bouteille d’eau.
Il dégrafa l’une des sacoches de sa moto pour la poser à côté de sa serviette. Il ouvrit une boîte de thon en conserve et la retourna dans une demi-baguette qu’il fendit avec les doigts. William ne réclamait pas plus de confort. Il avait de quoi combler sa soif et sa faim, il réfléchirait à la suite des événements le moment venu.
Épuisé par sa longue route depuis Paris, il ne tarda pas à s’endormir, bercé par le chant des cigales et des grillons. Il fut réveillé par des rires de jeunes qui descendaient la route sur des skates. Il éprouva soudain une petite frayeur. Et si on lui volait sa moto ? Il vérifia aussitôt que l’engin était cadenassé, à l’abri des regards. C’est là qu’il aperçut deux jeunes, torse nu, qui admiraient son bolide :
— Elle est superbe ! commenta le plus grand avec son accent du sud, un beau brun aux yeux verts, musclé. Elle doit coûter cher.
— C’est une Harley-Davidson Iron 883, répondit fièrement William en s’approchant d’eux. Neuve, elle n’est pas donnée. Mais je l’ai achetée d’occasion. C’était une affaire.
— J’aime bien sa couleur un peu orangée, ce n’est pas courant, poursuivit le second, un grand roux mince couvert de taches de rousseurs. Elle a de la classe. J’aimerais bien en faire un tour…
Will hésita quelques secondes.
— Je le ferais bien, mais je n’ai qu’un casque et je ne suis pas le genre à mettre en péril la vie d’un ado pour une démonstration de…
— Un ado ? répéta le brun en éclatant de rire, dévoilant une dentition parfaitement alignée, tout en jouant machinalement avec la chaînette en or qui pendait autour de son cou. Ce n’est pas parce qu’on fait du skate qu’on est des gamins ! J’ai presque vingt ans !
— Et moi bientôt dix-neuf, reprit le roux.
— J’en ai vingt-quatre, répondit William et ça ne m’empêche pas de prendre des précautions.
— Juste un tour, jusqu’en haut de la côte, insista le plus jeune, en prenant une charmante expression de chien battu.
Le jeune motard se laissa convaincre par ce dernier argument et enfonça la clé dans sa machine pour en faire rugir le moteur. Il attrapa son casque intégral et le tendit au rouquin.
— Quels sont vos prénoms ? demanda-t-il sur le ton de la plaisanterie. Si on a un accident, je veux savoir quoi écrire sur vos pierres tombales.
— Moi, c’est Thomas, mais on m’appelle toujours Tom, dit le beau brun en observant Will avec une expression ambiguë. J’habite dans le village d’à côté.
— Je m’appelle Léo, continua le roux en enfilant le casque. En dehors des vacances, on prend le bus ensemble pour aller en cours.
William enfourcha sa Harley Davidson, vite imité par Léo qui s’assit juste derrière lui.
Il eut à peine le temps de s’agripper que la moto démarrait nerveusement, traçant plusieurs dizaines de mètres avant qu’il n’ait le temps de se rendre compte qu’ils partaient.
Will était un virtuose des deux roues et il maîtrisait parfaitement son engin. Il n’avait peur ni de la vitesse, ni des obstacles qui pouvaient se dresser devant lui. Il gravit la côte en l’espace de quelques secondes et Léo fut rudement secoué lorsque, d’un mouvement brusque mais parfaitement calculé, il fit demi-tour, la moto se trouvant presque en position parallèle à la route. Accroché à son siège, il éprouva un nouveau coup de frayeur quand Will fit crisser le pneu arrière pour s’arrêter dans un arc-de-cercle à quelques centimètres de Thomas.
Ce dernier éclata de rire en pointant son ami du doigt :
— Si tu voyais ta tête ! s’exclama-t-il. Tu es tout blanc ! Vous avez vu des zombies là-haut ?
— J’aimerais bien t’y voir, répondit le roux en descendant rapidement de la moto, ses jambes flageolant encore de peur. Le siège est trop petit pour tenir à deux et il n’y a rien pour s’accrocher.
— Alors ? Tu montes ou tu discutes ? lui somma Will en faisant à nouveau rugir le moteur de sa Harley.
Tom prit un petit air espiègle avant d’enfiler le casque à son tour. Comme son ami, il s’accrocha à la selle en cuir, mais dès que la moto fut partie, il enlaça William de manière à la fois si délicate et si tactile que le motard comprit qu’il retirait un certain plaisir à palper ses muscles et surtout, ses abdominaux.
Arrivé en haut, de la côte, Will commença son demi-tour, mais Thomas lui fit signe de s’arrêter.
— Attends ! lui dit-il. Il y a un verger d’abricotiers pleins à craquer. On peut aller en chercher quelques-uns ?
Le jeune motard accepta et rangea son bolide au bord de la route.
Les deux garçons traversèrent l’herbe en friches et tentèrent de cueillir quelques fruits. Malheureusement quelqu’un avait probablement eu la même idée auparavant, car les branches les plus généreuses n’étaient accessibles qu’en grimpant dans l’arbre.
— Tu veux que j’y aille ? proposa Will. Tu me fais la courte échelle ?
Tom acquiesça aussitôt et se vit en position de recevoir au creux de ses mains la chaussure en cuir du motard. Il en profita pour le détailler sans aucune retenue.
Il est vrai que William était un très beau garçon. Si son visage volontaire et avenant le rendait très attirant, son corps musclé parfaitement dessiné lui donnait un air protecteur qui ne pouvait pas laisser indifférent.
En grimpant dans l’arbre, Will manqua de perdre l’équilibre et le jeune brun se trouva à quelques malheureux centimètres d’une belle bosse qui ne fit qu’exciter son imagination juvénile.
En regardant le motard assis sur une branche, cueillant virilement les abricots tout en se balançant avec assurance, Tom réalisa combien il le désirait. Et si le beau blond lui lança quelques fruits sur la tête pour le taquiner, l’idée ne quitta plus son esprit et devint peu à peu obsédante. Le soleil, la chaleur, le chant des cigales, la promiscuité, la vue de son corps masculin à demi-nu, son pantalon moulant en cuir, ses muscles, son sourire, tout n’était que des prétextes à le vouloir ici et maintenant.
William redescendit de l’abricotier sans soupçonner un instant le trouble qu’il provoquait chez son jeune passager.
Ils se retrouvèrent bientôt face à face et, si le jeune motard trouvait équivoque le comportement du beau brun, il ne s’attendait pas du tout à ce que celui-ci s’approche soudain de lui pour poser subitement ses lèvres sur les siennes.
Le contact fut immédiatement doux, rassurant, naturel, exquis.
Mais, par peur de paraître inconvenant ou d’abuser de sa jeunesse, Will le repoussa doucement.
— Allons, qu’est-ce qui t’arrive ? Tu ne me connais même pas…
— Je… J’en avais extrêmement envie, expliqua Thomas en le fixant droit dans les yeux sans le moindre regret. Et si tu me le permets, je recommencerai. Tu… Tu me plais…
Will afficha un petit sourire de satisfaction. Lui qui avait une soif de reconnaissance haute comme des montagnes, ne pouvait que savourer cet intérêt irrépressible pour sa personne.
Tom considéra ce sourire comme une invitation à poursuivre et il l’embrassa de nouveau. Le jeune était si délicat, si prévenant, qu’interrompre un tel besoin de douceur aurait été perçu comme brutal.
Mais le jeune brun ne s’arrêta pas là et poussa Will pour qu’ils se retrouvent bientôt tous les deux allongés dans l’herbe fraîche du verger, sous l’abricotier qui laissait passer quelques scintillements de soleil au gré d’un vent léger et chaud.
Toujours soudé à ses lèvres, Tom suivit le dessin des pectoraux et des abdominaux de son chauffeur du bout des doigts. Là encore, il se montrait si doux qu’il en était presque attendrissant.
William se laissa faire, à la fois, conquis, séduit et curieux de savoir où le jeune homme allait le conduire.
Mais Tom finit par descendre légèrement pour embrasser son corps, ses biceps, ses mains, son nombril, ses tétons, puis il finit par poser sa joue contre son thorax.
— Qu’attends-tu de moi ? demanda William, toujours aussi intrigué.
— Rien, murmura Tom. Quand on est heureux au présent, on n’attend rien de l’avenir. On profite de l’instant en sachant qu’il sera vite balayé par la réalité.
— Comme tu es philosophe, pour un jeune de ton âge.
— Tu dis ça parce que tu m’as vu faire du skate ? Reviens-en. Il y a des tas de domaines dans lesquels je pourrais très bien t’impressionner. L’âge n’est qu’une unité de mesure pour ceux qui n’ont pas confiance en eux…
William se surprit à lui caresser affectueusement les cheveux. Ils étaient incroyablement doux et soyeux à la fois. Il descendit lentement et effleurant la peau de sa joue, douce et lisse. Il se risqua à aller jusqu’à ses lèvres bien dessinées, véritable invitation aux baisers.
— C’est vrai ce que tu dis. C’est bien de se contenter des plaisirs du présent… Je passe ma vie à courir de casting en casting en me demandant si cela sera payant un jour…
— Tu es acteur ? Quel beau métier… Quel est ton nom ?
— William Faune. C’est mon véritable nom, mais je suis un total inconnu.
— Faune ? Comme les faunes ? C’est trop joli. Il ne faut pas te décourager. Beaucoup de comédiens ont été reconnus sur le tard.
— Je me sens bien contre toi, reprit Will, comme dans un cocon. C’est bizarre…
— Non, c’est normal. Moi, j’ai l’impression de déjà te connaître.
— On ne devrait pas trop rester ici. Que va penser ton ami Léo ?
— Je m’en moque. Il me bassine à longueur de journée avec les filles avec qui il espère coucher, mais il refuse de voir qu’elles ne sont pas attirées par lui…
— Et toi ? Tu n’es pas attiré par les filles ?
— Non. Plus depuis une demi-heure.
Will éclata de rire et Tom apprécia l’écho qu’il en entendit dans le thorax de son partenaire.
— Avec toi, les choses vont très vite, remarqua le jeune motard. À ce train-là, tu m’auras oublié dans cinquante-trois secondes.
— Ça m’étonnerait ! Je n’oublie que ceux qui n’ont aucun intérêt. Toi, si je le pouvais, je t’enfermerais au creux de ma main pour te garder contre moi, à jamais.
William se demanda un instant s’il plaisantait, mais son ton était résolument sérieux.
— On n’enferme pas ceux que l’on aime. Tu confonds amour et possession.
— C’est toi qui es un peu rapide, lui fit remarquer Tom en faisant tourner le bout de son doigt autour de son nombril. Qui t’a parlé d’amour ?
Impatient de mettre un terme à cette scène qui avait pour lui peu de sens, William se leva subitement pour se retrouver assis dans l’herbe.
— Je vais te ramener.
— Déjà ? demanda le jeune brun sans masquer sa déception. Il se leva lentement, se tournant vers lui pour le scruter de ses yeux étonnamment verts qui contrastaient avec sa peau mate. Je pensais que tu pousserais la virée à moto un peu plus loin. Je ne te plais pas ?
— Tu es effectivement très mignon, dit Will en passant un doigt sous son menton pour maintenir son visage dans sa direction. Pour moi, tu n’es qu’un enfant et moi… Et moi, je suis venu ici pour oublier mes soucis, pour… pour me remettre d’une rupture. Je serais incapable de te rendre heureux.
Thomas ferma les yeux un instant, révélant de longs cils épais et foncés. Un rayon de soleil transperça le feuillage de l’abricotier pour faire danser des formes dorées sur sa peau parfaitement lisse. Il attrapa le doigt de William et l’embrassa sensuellement du bout des lèvres :
— Je n’attends pas que tu me rendes heureux. Je peux le faire moi-même, si je sens que je suis aimé.
Le jeune motard, bien que refusant de goûter davantage à ce fruit défendu, presque effrayant, fut troublé par l’aplomb et la maturité de son jeune prétendant.
Il l’embrassa sur les lèvres, comme pour lui dire adieu.
— Ramasse quelques fruits pour Léo et toi. Nous repartons.
— Je me fiche de Léo, c’est toi que je voudrais croquer.
Will fit mine de ne pas avoir entendu et tourna la clé de contact de son bolide, vite rejoint par son passager.
— C’est ainsi que ça se termine ? demanda le plus jeune.
— On vient de se rencontrer. Peut-être que nous nous reverrons. Qui sait ?
Thomas parut triste, presque désespéré. En s’installant derrière Will, le jeune homme s’agrippa à son thorax de toutes ses forces.
La moto fila droit pour dévaler la colline, telle une bombe et le jeune brun serra encore plus fort son chauffeur comme s’il pressentait que celui-ci allait lui échapper. Et il eut bien raison car, en arrivant à l’embranchement d’une route de campagne, un véhicule noir leur refusa la priorité en se présentant à la perpendiculaire, comme un mur infranchissable.
Au dernier instant, William changea de trajectoire, contournant miraculeusement la voiture, mais il roulait bien trop vite pour espérer freiner.
Un fossé engloutit brutalement la moto, avant de recracher les deux corps vers le ciel. La pression des mains de Tom disparut subitement et William vola dans les airs, comme un oiseau sans aile. Il sentit l’herbe sèche d’un champ brûlé par le soleil griffer son visage et son torse.
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Du vinaigre rouge dans le grenache noir - Gérard Muller Par quel miracle, a-t-il suffi d’une seule année pour transformer une piquette notoire en un nectar qui a gagné le grand prix de la meilleure AOC Côtes du Roussillon ? C’est le mystère qu’un viticulteur jaloux va essayer d’élucider avec l’aide de la gendarmerie d’Estagel.Très vite, les enquêteurs s’aperçoivent que le domaine en question a bénéficié des conseils d’une jeune œnologue ayant fait ses preuves en Australie. Mais quel est son secret ? Et, si tant est qu’il y en ait un, est-il honnête ? Ce roman permettra en outre au lecteur de voyager dans les Pyrénées-Orientales pour découvrir le petit monde des viticulteurs de la région et se familiariser avec le processus d’élaboration du vin.
Gérard Muller, Toulousain de cœur et amateur de vins fins, est un vrai passionné de littérature. Il consacre son temps libre à l’écriture de romans de fiction, en voyageant à travers les différents genres, du polar au roman psychologique. Il anime par ailleurs un atelier littéraire consacré à l’écriture romanesque (atelier Philémon à Toulouse). Son avant-dernier polar (Le mystère de la grotte oubliée) a fait partie de la sélection du Prix de l’Embouchure 2021 et il a gagné le Prix de l’Académie des Livres de Toulouse 2021. Il a aussi remporté de nombreux prix de poésie et de nouvelles. Il est membre de la Société des Poètes et Artistes de France et Académicien des livres de Toulouse.
ISBN : 979-10-310-1185-1
n°127 de la collection "Crimes et châtiments"
11,5 X 17, 166 pages, 10,00 €
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🚘 #bixentef #tourisme #automobile #meteocar #vintage #legendcar #italycar 🇮🇹 #france 🇫🇷 #licence #piaggo #vespa400 #acma Développée par Piaggio, le célèbre constructeur des scooters Vespa des années 1950, et sortie en 1957, la Vespa 400 est une voiture compacte comme les affectionnent les Italiens. À l'instar de la Fiat 500, sa compacité, son petit moteur et son encombrement réduit en font une citadine idéale. Propulsée par un moteur deux cylindres de deux temps consommant du mélange, elle permet d'atteindre une vitesse maximale de 80–90 km/h. Une caractéristique originale de la Vespa 400, voiture de ville destinée à une clientèle en partie féminine, est son système de lubrification , destiné à faciliter la corvée du mélange huile essence, une spécificité du moteur 2T. Un réservoir d'huile 2 temps couplé à une petite pompe à manivelle est implanté sous le capot , au dessus du passage de la roue arrière droite (visible sur la photo de la vue arrière,capot ouvert). Lorsque la conductrice ou le conducteur remplit le réservoir d'essence, il donne un certain nombre de tours de manivelle pour injecter la bonne quantité d'huile dans l'essence. Ce n'est pas encore le graissage automatique séparé (tel le système Autolube -TM- créé par Yamaha pour ses motos et ses moteurs hors-bord) mais c'en est une préfiguration, qui épargne bien des taches d'huiles sur les vêtements de l'automobiliste. Voiture de dimensions très réduites , la Vespa 400 n'a pas de vrai coffre à bagages: La fausse calandre à l'avant dissimule un tiroir qui contient la batterie 12 volts, et la roue de secours est placée sous le siège du passager. Il n'y a pas d'ouvrant sur le capot AV. L'espace derrière les sièges peut permettre de caser quelques sacs ou, ce qui n'est pas très recommandé, deux jeunes enfants pour de courts trajets (la voiture est homologuée pour 2 passagers seulement). Cette voiture était construite en France par l'ACMA (Atelier de Construction de Motocycles et Automobiles) à Fourchambault. Environ 31 000 exemplaires sont sortis de ses ateliers de 1957 à 1961. @wikipedia (à Lasalle, Languedoc-Roussillon, France) https://www.instagram.com/p/CCRiXQOjZW6/?igshid=902eccnza1yy
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Vidéo n 11 du défi soigne ton assiette Comment choisir ses pâtes sans gluten? C'est vrai que se passer de pâtes ce n est pas facile...alors de temps en temps des pâtes sans gluten c est pas mal...faut il encore savoir lesquelles choisir selon comment vous les mangez... Le lien cliquable est dans la bio https://youtu.be/HKM8-kXUGH4 (à Languedoc-Roussillon, France) https://www.instagram.com/p/B5QlRafikmI/?igshid=1rjc8fkolv0ut
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LA GRANITE MONT LOZERE
A Villefort, le 2 Juin 2019
Ce week-end avait lieu la deuxième manche du Challenge Cyclo’Tour Rotor (organisé par LVO) ; la Granite Mont Lozère qui se déroulait à Villefort (48), au cœur des Cévennes entre Lozère et Gard. Ses parcours de moyenne montagne, au cœur du site « Causses et Cévennes » classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO et du Parc National des Cévennes, font découvrir les granits du Mont Lozère et les contreforts de la Margeride en passant par les sources du Tarn, du Lot et de l’Allier, dans un bel espace naturel unique et préservé. En termes de parcours, le choix est vaste entre rando sur 1 ou 2 jours et aussi cyclo avec 2 parcours proposés : me concernant j’optais bien sûr pour le grand proposant 125km et 2800m de D+. La météo est estivale avec déjà 18° pour le départ à 9h ; il va enfin faire chaud et ce n’est pas pour me déplaire !
Arrivé sur place le samedi, j’en profite pour récupérer mon dossard mais aussi pour un peu de détente avec la visite de Villefort et de la Garde-Guérin classé parmi les plus beaux villages de France (le panorama du sommet de la tour vaux le coup d’œil !)
Dimanche matin, je prends place sur la ligne de départ après une dernière reconnaissance des 2 derniers kms : je retrouve Clément Cambier et Damien Poncet en 1ere ligne l’occasion de discuter un peu dans l’attente du départ. La plupart de mes adversaires habituels ne sont pas là pour cause de week-end très chargé en cyclos mais j’ai pu repérer quelques noms sur la liste des inscrits qui me font dire que rien ne sera simple. Il faut aussi compter sur des coureurs FFC locaux et d’Occitanie car l’épreuve est la seule épreuve qualificative de la région Languedoc Roussillon pour les Championnats de France Masters sur route !
Après un « vrai » départ neutralisé pour quitter Villefort le peloton est lâché directement dans la pente avec un 1er col de 15km @ 6% de moyenne : le col du Pré de la Dame. Avec mon maillot distinctif de leader du challenge du « Triple Km » je reste en tête mais très vite Julien Berard va imprimer le tempo : un rythme soutenu qui me va bien ! Très vite le peloton s’étire et la sélection s’opère rapidement à ce train-là ! Passé la mi col nous voilà déjà plus qu’une dizaine tandis que Julien assure 90% des relais : je passe une fois ou deux et fait le point sur les forces en présence ; je constate que ça semble plus difficile pour 2 ou 3 gars et au sommet nous nous retrouvons à 7 après que Clément et Paul Enjalbert aient lâché prise les derniers. La descente qui suit annoncée dangereuse avec une chaussé étroite et pas en bonne état est abordée rapidement ; dès les 1ers virages techniques je vois un coureur (Antonin Azam) qui semble vouloir « faire la descente ». Ce dernier va exploser le Kom de cette descente sur Strava en prenant des risques totalement irresponsables (tous les virages coupés à gauche et des trajectoires tendues) : rappelons que la route n’était bien évidemment pas fermée et que plusieurs voitures (ou cyclos) montaient ! Le groupe explose donc et Antonin suivi par Julien arrivent à Génolhac avec près d’une minute d’avance sur un trio, et 1’30’’ sur moi accompagné par Digan Schiani-Muller. Paul et Clément bien que pas très loin ne rentrerons pas.
Passé Génolhac on aperçois très vite le trio devant nous (Damien accompagné de Mathieu Raymond et Quentin Sauvadon) et on s’active pour rentrer ; au prix d’un gros travail de ma part nous faisons la jonction sur une portion en faux plat avant le col de la Croix de Berthel : on discute un peu de la descente et on est tous d’accord pour dire que les 2 de devants sont plutôt du style Kamikaze ! Malgré tout le duo va plus vite en descente qu’en montée et nous revenons sans trop de peine : bien évidemment on n’a pas trop envie de relayer et Julien fait monter ce col assez roulant avec juste un peu plus de pente dans sa seconde partie. D’un commun accord on marque tout de même un arrêt express au ravito pour prendre des bidons et nos 2 amis font l’essentiel du boulot dans le faux plat descendant menant au Pont de Montvert.
Après 60km, les choses sérieuses commencent vraiment avec un enchainement de 2 cols : tout d’abord celui de Finiels (10,8km @ 6%) : Julien fait toujours le travail et son rythme va certainement finir par faire mal. C’est alors qu’au hameau de Finiels on rencontre le panneau du challenge du « Triple km » ; très vite je prends les choses en main et augmente progressivement l’allure ; le groupe de 7 se disloque et dans le final de ce segment de 3km j’attaque très fort pour m’assurer de passer en tête : c’est chose fait et quand je me retourne j’ai créé un petit écart mais marqué par l’effort je temporise et attends Damien et Julien, les 2 seuls ayant pu résister. Seulement je me rends compte qu’ils mettent du temps à boucher ce petit écart alors après quelques instants je reprends un bon rythme et prend de l’avance : le sommet n’est plus très loin et assez roulant ; je repasse la plaque et après avoir récupérer un nouveau bidon au ravito je franchis le sommet avec une trentaine de secondes d’avance. L’écart progresse un peu dans le faux plat qui suit mais au bas de la descente je sens venir quelques crampes qui me font ralentir et c’est toujours avec 30 ou 40’’ d’avance que j’arrive au Bleymard pour un autre gros morceau : le col du Goulet.
Le Goulet, c’est « seulement » 6km @ 7% mais j’ai pu lire que c’est très irrégulier avec des « murs » entrecoupés de replats ; le doute au début du col s’estompe dès les 1eres pentes où les crampes me laissent tranquille ! J’ai encore de la force et j’alterne debout/assis avec un max de vélocité dans les pentes les plus dures : mon avance augmente (je parviens à voir qu’il n’y a personne derrière à + de1’30, mais pas assez de visibilité pour faire un pointage plus long). Tout se passe bien jusqu’au sommet où j’ai même gardé une petite marge de sécurité ; il reste 38km principalement descendants mais avec tout de même quelques petites côtes et un peu de vent défavorable. Au bas de la descente du Goulet je ressens de nouveau les crampes : heureusement il me reste les ¾ d’un bidon et 2/3 gels : ça finis par passer ! La Côte de Mirandol ne m’arrête pas, pas plus qu’un gros moment de doute sur une route minuscule et déserte où j’ai pensé m’être trompé : il faut dire que voiture et moto ne m’ouvraient pas du tout la route puisque je ne les voyais quasi jamais !
Si près de l’arrivée je commence à vraiment y croire même si je n’ai aucun écart : seul les crampes me font peur tout comme le franchissement d’un passage à niveau où les barrières pourraient se fermer ! Rien de tout ça et la dernière côte de 1,5km @ 6% sur la D906 avant la Garde Guérin survient comme une délivrance : du sommet on voit loin derrière et il n’y a personne : j’enfile les virages de la descente menant au lac de Villefort sans perdre de temps au milieu de la circulation et je peux pleinement savourer les 2 derniers kms qui défilent à toute allure !
30’’ d’avance au pied du Goulet, 2’50 au sommet et 4’12 à l’arrivée : je n’aurais pas faibli par rapport au duo de poursuivants : c’est Damien Poncet qui prendra la 2eme place (comme aux 3 Cols jeudi !) devant Julien Berard dont la générosité sera récompensée par la 3eme place. Après un début de saison très solide et la victoire qui était toute proche, je concrétise ici comme je l’avais imaginé (ou plutôt rêvé) les jours précédents : en effet c’est exactement la course que je voulais faire, mais de là à la réaliser… un plan sans accro, que je pensais impossible (ou presque… !). A présent place à la haute montagne, avec La Time à Megève dès dimanche !
Résultats :
http://www.challengecyclotour.com/resultats/
ou cliquer ici
Strava
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Educateur canin le moins cher à Corneilla la rivière. former un chien avec un pointeur.
Education canine facile, rapide et sans force à Corneilla la rivière et Millas. Tarifs cours collectifs en éducation positive. Prix/ Tarifs : 100 euros les 10 séances de 45 minutes pour apprendre toute l'obéissance de base à votre chien à Perpignan , Toreilles, Saint-André, Néfiach, Canet en Roussillon, Baho. Appeler le 06 56 72 29 85
Nos Tarifs :
Tarifs éducation canine
Tarifs école du chiot
Tarifs pension canine
Tarifs Taxi Animalier
Pourquoi former un chien avec un pointeur ou une cible ? Entraînement avec une cible (pointeur)
Le ciblage peut aider dans le processus de formation des chiens. Ils peuvent être n'importe quel objet, allant de vrais pointeurs, y compris ceux au laser, et se terminant par un crayon ou le bout de votre doigt. En général, les pointeurs télescopiques pliants conviennent très bien au dressage des chiens, qui sont pratiques à transporter dans votre poche. Le chien apprend à toucher le bout du pointeur avec son nez, puis à le suivre des yeux. Ainsi, vous pouvez apprendre à votre chien à monter facilement dans la voiture, sauter sur la table de toilettage. Vous pouvez placer un pointeur au sol pour indiquer l'endroit où le chien doit vous attendre.
Voici quelques conseils pour commencer à apprendre le ciblage :
Frottez la pointe du pointeur avec de la nourriture délicieuse et laissez votre chien la renifler. Cliquez sur le "clicker" lorsque le chien regarde le pointeur, le renifle, le lèche. Donnez à votre chien une friandise après chaque clic. Répétez plusieurs fois, en éloignant légèrement le bout du pointeur du nez du chien. Déplacez le pointeur devant le nez du chien : haut, bas, de gauche à droite, cliquez chaque fois que le chien regarde vers le pointeur. Marchez un peu, cliquez si le chien fait au moins un pas dans la direction que vous pointez. Avec un pointeur, vous pouvez facilement apprendre à votre chien les tours les plus simples : se tenir sur ses pattes arrière lorsqu'il atteint le bout du pointeur ou «s'incliner » lorsque vous le posez au sol. Beaucoup considèrent ces tours comme assez difficiles, mais en fait, pour un chien, c'est un exercice très simple.
Les cours doivent être courts (3-4 minutes), mais fréquents. Gardez votre pointeur et ayez des friandises sur vous afin de pouvoir vous entraîner plusieurs fois par jour. Certains chiens comprennent tout du premier coup et essaient de toucher votre pointeur dès que possible, tandis que d'autres prendront plusieurs séances.
Si le chien commence à remuer la queue lorsqu'il voit un pointeur dans vos mains, c'est bien. Encore mieux s' il le touche avec impatience avec son nez et le suit. Le chien attrape-t-il ou mord-il le pointeur ? Ne cliquez pas, laissez-le essayer de savoir ce qui doit être fait pour vous faire cliquer à nouveau. Vous pouvez maintenant utiliser le pointeur préféré de votre chien pour développer une sorte de comportement. Si vous aimez l'agilité, vous pouvez utiliser le pointeur pour montrer à votre chien les obstacles ou les points d'arrêt.
Vous pouvez utiliser le ciblage pour éduquer votre chien aux commandes de base. Vous pouvez lui apprendre à allumer et éteindre l'interrupteur de la lumière ou à amener la télécommande du téléviseur.
Surtout, amusez-vous avec cette méthode d'éducation car c'est une nouvelle façon de communiquer avec votre chien.
Comment apprendre le ciblage à votre chien
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Poisson d’avril !
Un poisson d’avril est une plaisanterie, voire un canular, que l’on fait le 1er avril à ses connaissances ou à ses amis. Il est aussi de coutume de faire des canulars dans les médias, aussi bien presse écrite, radio, télévision que sur Internet.
Pour les enfants, il consiste à accrocher un poisson de papier dans le dos des personnes dont on veut se gausser. « Poisson d’avril ! » est aussi l’exclamation que l’on pousse une fois qu’une des plaisanteries est découverte.
Les origines du poisson d'avril restent obscures mais la tradition festive de personnes qui sont l'objet de farces ou de satires existe dans plusieurs cultures depuis l'Antiquité et le Moyen Âge : fêtes religieuses romaines des Hilaria célébrées le 25 mars ; la Holi, fête des couleurs hindouiste ; Sizdah bedar, fête persane ; Pourim, fête juive ; fête des Fous médiévale en Europe.
Les écrits folkloristes proposent de nombreuses origines mais il ne s'agit que de « vagues conjectures ».
Une première explication relie le poisson d'avril à la Pâques qui marque la fin du jeûne du carême, le poisson prenant une place alimentaire importante à cette période. De plus, l'ichthus chrétien, symbole graphique représentant un poisson, est un acronyme du nom de Jésus utilisé du Ier siècle au IVe siècle et le mot poisson serait une corruption du mot Passion.
Une autre hypothèse, couramment reprise par les médias, relie la date du 1er avril à la réforme calendaire au XVIe siècle. Au Moyen-Âge, dans plusieurs villes et régions européennes, l’année commençait à des dates variées (Noël, 1er mars, 25 mars) et correspondait selon le calendrier julien au Jour de l'an. Le 25 mars notamment était associé la fête de l'Annonciation à Marie avec la tradition de s'échanger des étrennes. En France, l’année civile débutait à différentes dates selon les provinces mais dans celles où elle commençait le 25 mars, il était courant de prolonger les fêtes mariales jusqu'au 1er avril. Le roi Charles IX décide, par l’Édit de Roussillon en 1564, que l’année débuterait désormais le 1er janvier, marque du rallongement des journées, au lieu de fin mars, arrivée du printemps. Le pape Grégoire XIII étend cette mesure à l'ensemble de la chrétienté avec l'adoption du calendrier grégorien en 1582. Selon la légende, beaucoup de personnes eurent des difficultés à s'adapter au nouveau calendrier, d'autres n'étaient pas au courant du changement et continuèrent à célébrer le 1er avril selon l'ancienne tradition. Pour se moquer d'elles, certains profitèrent de l’occasion pour raconter aux étourdis des histoires pour rire et leur remettre de faux poissons correspondant à la fin du Carême. Ainsi naquit le fameux poisson d’avril, le jour des fous, le jour de ceux qui n’acceptent pas la réalité ou la voient autrement. Cette hypothèse de la réforme calendaire, qui s'appuyait sur le fait que la tradition du poisson d'avril est bien attestée au XVIe siècle, est cependant contredite car l'expression ou la notion de poisson d'avril est évoquée dans plusieurs écrits antérieurs à 1564, notamment un poème de Pierre Michault en 1466, Le livre de la deablerie (diablerie) du curé Eloy d'Amerval en 1508 ou un poème dans l'œuvre Testament rhetoricae d'Eduard de Dene en 1539.
Une autre origine viendrait de l'usage dans différents pays d'ouvrir la saison de pêche le 1er avril ou au contraire dans d'autres de la suspendre, afin de respecter la période de reproduction. Pour faire un cadeau aux pêcheurs, et pour se moquer un peu d'eux car la pêche était soit trop facile (abondance le jour d'ouverture), soit infructueuse (jour de suspension), on leur offrait un hareng. C'est alors qu'une habitude populaire s'installa : on accrochait subrepticement un vrai poisson dans le dos des gens. Comme les habits étaient plus larges, les victimes ne s'en apercevaient pas tout de suite, de sorte que le poisson devenait de plus en plus gluant et puant. Ainsi naquit le goût de faire ce jour-là des petits cadeaux pour rire, des plaisanteries ou des mystifications. Là encore cette hypothèse est rejetée, les archives historiques mentionnant le choix d'autres dates par les autorités gérant les pêches.
Selon le folkloriste Alan Dundes (en), plusieurs usages semblent s’être en fait mélangés avec celui du carnaval en ce jour qui est une probable émanation d'anciens rites de fertilité et d'inversion, de fêtes au cours desquelles les victimes de farces sont confrontées à un rite calendaire de passage : influence des fêtes antiques, sortie du signe zodiacal des Poissons (dernier signe de l’hiver et dernier signe zodiacal), avril considéré au Moyen-Âge comme le premier mois du printemps (le 1er avril étant fixé comme un rite printanier), prolongement la période du carême où il n’est permis de manger que du poisson.
En France, au début du XXe siècle, on s’envoyait de jolies cartes postales toutes ornées d’un poisson d’avril et richement décorées.
Le musée du château de Dieppe conserve une très importante collection de cartes postales sur ce thème.
Cette coutume de faire des plaisanteries s’est répandue dans de nombreux pays, bien que le poisson ne se soit pas toujours exporté en même temps :
Les Américains et les Britanniques ont conservé leur April Fool’s Day (certains
Écossais parlent aussi de Gowk ou de Cuckoo),
Les Allemands ont leur Aprilscherz,
Cette coutume existe aussi au Danemark, aux Pays-Bas, en Belgique, au Canada, en Italie, en Pologne, au Portugal, aux États-Unis, en Suisse, en Suède, en Finlande, ou même au Japon,
En Russie il s'appelle le « jour des fous » (den dourakov).
En Roumanie, il s'agit de la « tromperie/duperie du 1er avril » (păcăleală de 1 aprilie),
Au Portugal et au Brésil il s'appelle « jour des mensonges » (dia das mentiras).
Daily inspiration. Discover more photos at http://justforbooks.tumblr.com
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Le village de Tourrettes-sur-Loup ©lepetitlugourmand
Au détour d’une ruelle pavée et montante dans un des plus beaux villages médiévaux perchés de la Côte d’Azur à la délicate senteur de violettes, se trouve une jolie surprise gastronomique : Clovis -Bistrot Gourmand, récompensé par une étoile au Guide Michelin en 2012, orchestré avec sincérité, passion et minutie par Julien Bousseau et son épouse Leah. Le jeune chef a construit son identité auprès de grands noms de la gastronomie française : Michel Rostang et Hélène Darroze; puis c’est à Anguilla aux caraïbes ( parti pour le chef Rostang dans un resort de luxe ) qu’il va faire une rencontre déterminante pour la suite de sa carrière : un des clients, passionné par sa cuisine, lui offre l’opportunité de devenir chef privé pour sa villa de St-jean-Cap-Ferrat. Très vite, il le convint et l’aide à ouvrir son propre établissement pour devenir “Lui-Même”, s’épanouir et partager son talent. C’est à Tourettes- sur-Loup, connu pour la culture de la violette et son artisanat local, qu’il reprend en 2008 l’établissement laissé par le chef étoilé Christophe Duffau parti pour s’agrandir et installer ses Bacchanales dans une jolie villa bourgeoise à Vence ( Les Bachannales – Vence ).
Le chef Julien Bousseau ©lepetitlugourmand
Julien Bousseau compose sa carte chaque semaine autour du « Produit » de saison à la très belle origine, qu’il respecte et qu’il met parfaitement en valeur dans ses créations; trois produits différents déclinés en entrée et en plat : afin de vivre et déguster toute leur essence et leur identité vive en grande gourmandise, une réussite.
L’Artichaut
Artichauts de Pays farcis au chèvre frais de Tourrettes et noisettes du Piémont, salade et échine de porc noir : exemple parfait de la mise an avant de l’artichaut qui est décliné et travaillé en plusieurs façons, d’abord farci au chèvre frais, puis en crème d’une douceur “velourée”, la noisette apporte le plaisir croustillant, le porc et la roquette donnent respectivement une rondeur et une une vivacité à l’ensemble.
Artichauts de Pays farcis au chèvre frais de Tourrettes et noisettes du Piémont, salade et échine de porc noir ©lepetitlugourmand
L’artichaut “Calico” du Roussillon rôti, oeufs de Tourettes aux tomates et anchois : un plat plus rustique qui rappelle l’enfance avec le geste de tremper les feuilles d’artichaut non pas dans la vinaigrette habituelle, mais dans des oeufs en brouillade “comme une piperade”.
L’artichaut “Calico” du Roussillon rôti, oeufs de Tourettes aux tomates et anchois ©lepetitlugourmand
La Pintade
Poêlée de suprême aux tomates “Piccadily”, olives Taggiashes et les premières courgettes Albenga : entrée en équilibre parfait, tout est là à sa perfection pour donner de son identité personnelle, la courgette d’Albenga est d’une fraicheur absolue cuisinée fondante et légèrement croquante à la fois, l’émulsion de courgette renforce les saveurs, les délicats et moelleux suprêmes de Pintade sont savoureux et bien balancés et les tomates picadilly délivrent une acidité en sucrosité parfaite.
Poêlée de suprême aux tomates “Piccadily”, olives Taggiashes et les premières courgettes Albenga ©lepetitlugourmand
Pintade Excellence de la maison Mieral, rôtie aux morilles de pays et vin jaune, riz grillé et asperges blanches : une volaille au joli pedigree à la cuisson parfaitement menée qui garde la finesse, les saveurs et la texture de la viande, les morilles et asperges sont la noble touche printanière et exquise, le riz grillé amène une texture pimpante, surprenante et très plaisante à ce plat très gourmand.
Pintade Excellence de la maison Mieral, rôtie aux morilles de pays et vin jaune, riz grillé et asperges blanches ©lepetitlugourmand
Le Haddock
Tartare de haddock au caviar, crème de ciboulette et velouté de cabillaud demi-sel : un nuage lacté de plaisir iodé ! Le velouté est d’une douceur agréable au goût raffiné subtilement salin et fumé, le haddock est délicat, le caviar donne une noble pincée de peps.
Tartare de haddock au caviar, crème de ciboulette et velouté de cabillaud demi-sel ©lepetitlugourmand
Haddock, asperges, gnocchis, pesto de roquette piquillos et chorizo : un plat aux saveurs mêlant intelligemment la Provence et le sud-ouest à l’esprit d’Hélène Darroze, les excellents piquillos et le chorizo donnent du relief et épaulent à merveille le Haddock, le gnocchi fondant est réconfortant de douceur, la roquette en pesto apporte une amertume en bel équilibre et les asperges vertes sont d’une grande vivacité de fraîcheur en croque.
Haddock, asperges, gnocchis, pesto de roquette piquillos et chorizo ©lepetitlugourmand
Les desserts font aussi honneur aux produits et sont simplement bien menés pour finir sur une touche fraîche toute en saveur, par exemple : les fraises et chèvre frais de Tourettes-sur-Loup, un mariage en finesse équilibrée et parfumée sans sucre superflu ou encore : La rhubarbe à la mélisse et pamplemousse, pochée à la bière de Tourettes, glace à la fleur de sureau, meringue et biscuit qui est un véritable bouillon d’éclat herbacé.
les fraises et chèvre frais de Tourettes-sur-Loup ©lepetitlugourmand
La rhubarbe à la mélisse et pamplemousse, pochée à la bière de Tourettes, glace à la fleur de sureau, meringue et biscuit ©lepetitlugourmand
chocolats et sucettes maison à la violette ©lepetitlugourmand
Julien et Leah sont des passionnés de vins et cela se ressent dans leur sélection qui est pointue et efficace, ils aiment découvrir régulièrement de nouvelles références de vignerons indépendants, le plus souvent bio ou en biodynamie, qu’ils partagent également avec des petites assiettes et planches de charcuteries et fromages dans leur nouveau bar à vin situé juste à côté : le 19′ Clovis . La décoration de la salle intimiste à la douzaine de tables mêlant la pierre blanche, les poutres noires avec des touches de modernité, relevée par l’éclairage et les notes colorées des tableaux en exposition est efficace, la petite terrasse aux beaux jours permet de se fondre au village. Les différents produits locaux utilisés en subtilité comme la violette, la bière, le bois d’olivier façonné depuis 1958 par la famille Dubosq… est un joli clin d’oeil à l’artisanat du village.
Clovis – Bistrot Gourmand est une adresse rare pour vivre un moment vrai, délicat et gourmand.
Assiettes à pain et à huile d’olive en bois d’olivier ©lepetitlugourmand
Clovis – Bistrot gourmand- La Salle ©lepetitlugourmand
La salle ©lepetitlugourmand
La salle Clovis – Bistrot Gourmand ©lepetitlugourmand
Entrée – Plat – 42€ ou Plat – Dessert 40€
Entrée – Plat – Dessert 51€ ou Entrée – Plat – Fromage – Dessert 60€
Menu Dégustation 75€ ou avec accord mets et vins 110€
Vue depuis le village de Tourrettes-sur-Loup ©lepetitlugourmand
Clovis – Bistrot Gourmand – 21 Grande rue – 06140 Tourettes-sur-Loup
Tel : 04 93 58 87 04
ouvert tous les jours au déjeuner & au dîner sauf les Mardis, Mercredis (toute la journée) & samedi (midi)
19’Clovis – Bar et Cave à vin – 19 Grande rue – 06140 Tourettes-sur-Loup
http://www.clovisgourmand.fr/fr/accueil
http://19duclovis.fr/
Au détour d’une ruelle pavée et montante dans un des plus beaux villages médiévaux perchés de la Côte d'Azur à la délicate senteur de violettes, se trouve une jolie surprise gastronomique : Clovis -Bistrot Gourmand... Au détour d’une ruelle pavée et montante dans un des plus beaux villages médiévaux perchés de la Côte d'Azur à la délicate senteur de violettes, se trouve une jolie surprise gastronomique : Clovis -Bistrot Gourmand, récompensé par une étoile au Guide Michelin en 2012, orchestré avec sincérité, passion et minutie par Julien Bousseau et son épouse Leah.
#Chef#Clovis Bitrot Gourmand#Etoilé Michelin#Michelin#Restaurant Côte d&039;Azur#Tourrettes-sur-Loup
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Les 3 loustics... 😍 Faut se rendre à l évidence, les avoir les 3 à regarder l objectif en même temps, ça relève du défi mdr 😂 L intention est la en tout cas 💕 Jeudi... Nous partons demain soir 😱 Toujours du vent 💨 en pagaille et ils annoncent un temps très orageux cet après midi apparament ☔😭 Apparament du vent 💨 c'est partout sur toute la France 🇫🇷, à vrai dire je ne sais pas ce qu'il y a de plus rassurant mdr 😂 Force et courage à nous !! 😉 Bonne journée mes choux ❤️ On va tâcher de nous occuper 👍 . . . . . #challengeyourlife #instagood #maman #famille #grossesse #2018 #2015 #love #2012 #aout2018 #bebe3 #janvier2015 #octobre2012 #bebe #bebe1 #bebe2 #vacances (à Le Cap D'Agde, Languedoc-Roussillon, France) https://www.instagram.com/p/Bwq7oiJFgWk/?igshid=q6yfi82aflho
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La France dit « oui » au sulfoxaflor, un insecticide néfaste pour les abeilles
EN BREF – Alors qu’on parle beaucoup de glyphosate, la mise sur le marché en France de pesticides contenant la molécule controversée sulfoxaflor a été autorisée par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement, et du travail. Colère de l’Union nationale de l’apiculture française.
Encore une année noire pour les apiculteurs ! Comme en 2016, la récolte de miel en 2017 sera « catastrophique », observe, dans un communiqué, l’Union nationale de l’apiculture française (Unaf). La production ne dépassera pas 10 000 tonnes. « Dans les grandes régions de production comme en Provence Alpes Côte-d’Azur, en Rhône-Alpes, dans les Midi-Pyrénées et le Languedoc-Roussillon, les récoltes sont en baisse de 60 à 80 % par rapport à une année dite normale », s’alarme l’Unaf, alors qu’une étude, publiée par la revue PLoS One, vient de démontrer, par ailleurs, que les populations d’insectes ont probablement chuté de 80 % en Europe et ce, en moins de trente ans. Et, en France, chaque année, près de « 300 000 colonies d’abeilles domestiques et d’autres insectes pollinisateurs sauvages disparaissent en France« , selon l’association Agir pour l’Environnement.
À lire aussi : « Le Roundup face à ses juges », un film qui montre les maux du glyphosate
Une décision surprenante
C’est pourtant dans ce contexte que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement, et du travail (Anses), a autorisé, en septembre, la mise sur le marché en France des pesticides closer (sur des fruits, des légumes et des plantes vertes) et transform (sur des céréales), contenant du sulfoxaflor, une molécule produite par l’entreprise américaine Dow AgroSciences. Celle-ci est pourtant contestée : des études scientifiques montrent qu’elle fait partie des néonicotinoïdes, considérés comme responsables de la chute du nombre d’insectes, d’après l’étude de la revue PLoS One. Le sulfoxaflor, écrit Libération, serait néfaste pour les abeilles.
La décision a donc de quoi surprendre, d’autant plus que ces néonicotinoïdes sont censés être interdits à partir de 2018, ce que prévoit la loi sur la biodiversité de 2016. Cité par Libé, Gilles Lanio, le président de l’Unaf, s’insurge : « On nous dit : « C’est vrai, c’est un neurotoxique, il agit de la même façon, mais ça n’est pas un néonicotinoïde. » C’est faux ! On se moque de nous, je n’en reviens pas. C’est scandaleux, honteux et irresponsable. Cela s’est fait en catimini… »
Une pétition a été lancée par l’association Agir pour l’Environnement (un collectif de mobilisation citoyenne en faveur de l’environnement) pour interpeller le gouvernement et obtenir le retrait de cet insecticide. En outre, des députés appellent, dans une tribune au Monde, à interdire l’ensemble des néonicotinoïdes en Europe.
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La griffe illoise - Jean-Marc Taddéi
Dans le village d’Ille-sur-Têt, les chats vivaient sereinement jusqu’à l’arrivée de Bernard qui n’a pas une « tête à chat ».
Sentant la menace s’amplifier, quelques félins avisés dont le pantouflard O’Malet, l’intrépide Fripounet ou la mijaurée Daisy vont devoir s’organiser.
Avant de sortir les griffes, il va falloir faire certaines alliances dont on se serait bien passé !
Tours sournois, tendresse désarmante ou indépendance surprenante, le lecteur retrouvera avec plaisir et émotion les traits caractéristiques de son animal de compagnie préféré.Un conte écrit en vers… et contre tous !
Dans cette histoire pleine de rebondissements, Jean-Marc TADDEI nous livre un conte drôle et attachant qui ravira petits et grands.
Jean-Marc TADDEI, né en 1967 a grandi à Millas, village moyen de la plaine du Roussillon. Dès son adolescence, il se plait à lire, écrire, nouvelles et poèmes ce qui le pousse à des études littéraires.
Un diplôme informatique lui permet de devenir responsable d’un espace culturel dans une grande surface.
Proche de la nature, des animaux et soucieux des vraies valeurs humaines, il écrit des romans existentialistes
qui sont un vecteur essentiel dans un monde tourmenté.
ISBN : 979-10-310-1165-3
14,5 X 22,5, 116 pages, 12,00 €
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