#le rendre dépendant
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willcmsv · 5 months ago
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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aisakalegacy · 4 months ago
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Traits : Crasseux, courageux, instable, amoureux de la nature, hypersensible.
Souhait à long terme : Grand explorateur (échec).
Jules Le Bris est né le 28 décembre 1873 sur l'île ontarienne d'Hylewood, au Canada. Benjamin d'une famille de cinq enfants, fils d'un éleveur de chevaux et d'une écrivaine anarchiste, élevé par une bonne mexicaine qui lui apprend l'espagnol dès l'enfance, il fait sa scolarité à la petite école publique de l'île. Bon élève, il révèle cependant un comportement brutal, changeant, bagarreur et colérique, et, à partir de ses dix ans, il multiplie les fugues.
En 1884, après six jours de fugue, il est retrouvé inconscient et intoxiqué dans une fumerie d'opium à Kingston. Dès lors, des médecins lui diagnostiquent des "états-limites". Il est hospitalisé cinq mois. Pendant sa convalescence, son père l'introduit aux romans d'aventure et fait naître chez lui la passion de l'exploration et lui redonne un intérêt pour les études malgré ses difficultés d'apprentissage et son manque de mémoire, causés par le traitement qui lui a été remis à sa sortie de l'hôpital : un médicament à base de hachisch, pour lequel il développera une forte accoutumance et qu'il consommera jusqu'à sa mort. Malgré cela, il persévère dans l'étude de la géographie et de la linguistique arabe, avec le rêve de se rendre un jour en Egypte.
À l'âge de dix-neuf ans, en 1893, il épouse Eugénie Bernard, une jeune femme de l'île issue d'une famille pauvre et pieuse, dont il est amoureux depuis qu'il a treize ans et qu'il ne tarde pas à mettre enceinte. Mais pourtant, la même année, il saisit l'opportunité de partir travailler à Deir el-Bahari, en Egypte, sur un chantier de fouilles aux côtés d'une équipe suisse, anglaise et allemande et où il apprend la langue de Goethe. C'est le premier d'une série de quatre voyaes en Egypte : entre 1893 et 1897, entre 1898 et 1900, entre 1910 et 1914, puis entre 1918 et 1921.
Ses envies d'aventure le conduisent également à faire une expédition d'un an entre 1905 et 1906 au Nunavut, dans les terres sauvages polaires au Nord du Canada, dont il revient avec une cicatrice au visage suite à un affrontement avec une ourse polaire.
Ses voyages l'éloignent de sa famille plusieurs années consécutives à chaque fois, et marquent un fossé grandissant entre son épouse et lui-même. Chaque fois qu'il revient, le même cycle s'installe : voyant que sa femme lui en veut de l'avoir abandonnée avec leurs enfants, il intensifie ses efforts et son implication dans leur relation, puis quand Eugénie se réchauffe et que les chose s'améliorent entre eux, son égyptomanie le reprend et il repart en laissant sa femme éplorée et enceinte, ou avec un nouvel enfant en bas-âge.
En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. Il s'engage volontairement dans le 22e Bataillon franco-canadien aux côtés d'une poignée d'autres hommes de l'île. Il s'embarque pour l'Angleterre le 20 mai 1915 à bord du Saxonia à l’âge de 41 ans, alors qu’il est marié avec 4 enfants - ce qui, normalement, devrait le dispenser de servir. Il est envoyé dans les tranchées pour la première fois le 20 septembre au sein de la 5e Brigade de la 2e Division canadienne près d'Ypres en Flandre en Belgique, où il est grièvement blessé par des éclats d’obus et où il perd une de ses jambes.
Il revient de la guerre changé, particulièrement nerveux et irritable, plus dépendant encore au hachisch, et agité par de nombreux cauchemars. Après trois ans de convalescence, il repart finalement en Egypte pour son quatrième et dernier voyage, qui ne se passe pas du tout comme prévu puisqu'il est rattrapé par la guerre civile égyptienne d'indépendance. Elle le contraint à se terrer deux ans dans le désert jusqu'à ce qu'il puisse fuir l'Egypte. Ce dernier voyage lui passe l'envie de l'exploration.
Quand il rentre, il a la désagréable surprise de voir que sa maîtresse égyptienne Layan, accompagnée de leur fille bâtarde Layla, a fait tout le chemin jusqu'au Canada pour le trouver et le forcer à remplir une fausse promesse qu'il lui avait fait, et a rencontré sa femme à la place... Comprenant que son époux a abusé de la naïveté d'une femme sans instruction, Eugénie s'est liée d'amitié à sa maîtresse et lui a offert un emploi ainsi qu'une éducation pour sa fille, qu'elle propose d'élever en tant que pupile aux côtés de leurs quatre enfants. Au lieu de s'opposer, les deux femmes font donc désormais front contre lui... Cela porte un ultime coup à son mariage.
La liste des griefs d'Eugénie, qui supporte sans broncher la défection de son mari, est d'autant plus longue que Jules part systématiquement dans les moments où elle a le plus besoin de lui. Par exemple, au moment de son départ en 1918, leur fille aînée Louise est portée disparue à la suite de la désertion de son fiancé et de l'annulation brutale de ses noces. Pour essayer de sauver son mariage, Jules entreprend d'adopter - sans l'assentiment de sa femme - une petite orpheline de guerre. Par ailleurs, Eugénie ignore que Jules a également un fils aîné caché de sensiblement le même âge que Louise, élevée par une de ses anciennes maîtresses et reconnu par le mari de celle-ci... Malheureusement, le divorce est illégal en Ontario, et le couple désuni est coincé ensemble.
Dans le même temps, les voyages successifs de Jules ont mis un coup dur à la famille Le Bris sur le plan économique, d'autant plus que leur seul entrée d'argent, les élevages Le Bris, ont été vendus pour financer le dernier voyage de Jules. La famille est donc contrainte à de nombreuses restrictions budgétaires, notamment en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, et Jules se montre de plus en plus anxieux et irritable à ce sujet. Si l'avenir de son fils aîné Lucien semble garanti malgré le manque de maturité de ce dernier, ce n'est pas le cas de son cadet Agathon, qui n'ose avouer à son père qu'il se destine à une carrière musicale...
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au-jardin-de-mon-coeur · 1 year ago
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«Aimer une personne ne consiste pas à la posséder mais, au contraire, à la laisser respirer."
Aimer, ce n’est pas accaparer l’autre, encore moins le rendre dépendant de soi, bien au contraire, c’est vouloir son autonomie.
La jalousie, la possessivité, la peur de perdre l’autre sont des passions qui parasitent, voire détruisent la relation de couple.
L’amour véritable ne retient pas, il libère. Il n’étouffe pas l’autre, il lui apprend à mieux respirer.
Il sait que l’autre ne lui appartient pas, mais qu’il se donne librement. Il recherche sa présence, mais il aime aussi la solitude et les temps de séparation, car il sait que ce sont eux qui lui feront mieux encore goûter la présence de l’aimé(e).
Mieux vaut éviter l’amour fusionnel, même si, bien souvent, la fusion est le type de relation de couple que vont rechercher deux individus qui manquent de sécurité intérieure.
Dans sa forme la plus authentique, l’amour relie deux êtres autonomes, indépendants, libres de leurs désirs et de leurs engagements. »
– Frédéric Lenoir
Aimer une personne authentiquement implique de reconnaître son individualité, son autonomie et de la laisser être elle-même. L’amour véritable ne consiste pas à chercher à posséder ou à contrôler l’autre personne, mais à respecter sa liberté, ses choix et son développement personnel.
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dragonbird505 · 4 months ago
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EN/AN
Hi there!
So, I got obsessed with monster hunter (stories) again and found this doodle I’ve done : Mily singing a lullaby Ratha (before he gets his wings) and his unborn little sister Rathy (a razewing rathian with pink feathery wings). This is around the time before they leave Rutoh to go to Kuan, after the young Rathalos is old enough to travel and defend himself.
As you can see here, Mily has several scars (depending on the world she’s in, the scars she got in that world can appear on her shapeshifting skin. These are marks of her past adventures in each universe she goes into. Orion posses this same ability) : one on her nose after a wild velociprey scratched her the moment she arrived and one on her shoulder she got from the rage-rayed Anjanath she fought in Hakolo island.
I’ll post of Orion in the world of Monster hunter as well!
Hope you like it 😊.
Note : Mily, Orion and Rathy are my characters. The concept of Razewinf Rathian belongs to me. Ratha, the monsters and the world of Monster hunter/Monster hunter stories belongs to Capcom.
FR/FR
Salut !
Alors, mon obsession pour monster hunter (stories) a refait surface et j’ai retrouvé ce petit dessin : Mily chantant une berceuse à Ratha (avant qu’il n’ait ses ailes) et à sa petite sœur Rathy (une « Rathian destructrice » la traduction française est vraiment affreuse 😂😂 aux ailes plumées roses). C’est un peu avant qu’ils ne quittent Rutoh pour se rendre à Kuan, une fois que le jeune Rathalos fut assez grand pour voyager et se défendre.
Comme vous pouvez le voir Mily à plusieurs cicatrices (dépendant du monde dans lequel elle ce trouve, ces dernières qu’elle a eut dans ce monde en particulier peut apparaîtrent sur sa peau de métamorphe. Ce sont des marques de ses anciennes aventures dans chaque s univers où elle c’est rendue. Orion a aussi cette capacité.) : une sur son née à cause d’un Velociprey sauvage qui l’a griffé quand elle est arrivée et deux sur son épaule après son combat contre l’Anjanath affecté par les rayons rouges sur l’île d’Hakolo.
Je publierai Orion dans dans monde de Monster hunter aussi!
En espérant que ça vous plaise 😊.
Note : Mily, Orion et Rathy sont mes personnages. Le concept de la Rathian destructrice est mien aussi. Ratha, les monstres et l’univers de Monster Hunter/Monster hunter stories appartiennent à Capcom.
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claudehenrion · 7 months ago
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Splendeur(s) de la sieste contemplative...
Un mot de honte : j'ai commis une grosse erreur, en expédiant ce soir un éditorial déjà publié récemment. . La voilà rattrapée, avec toutes mes excuses !
Je n'arrive pas à trancher : ce phénomène nouveau (pour moi, en tout cas) est-il indépendamment dépendant de mon âge, ou en est-il dépendamment indépendant ? Je me suis récemment mis à trouver intrinsèquement délicieux les moments que je passe ''à ne rien faire'' qui, par un heureux hasard, tendent à se multiplier, à ma plus grande honte. Vous allez me dire que j'ai une belle audace d'en appeler, dans une même phrase, à un ''heureux hasard'' et à ''ma plus grande honte''. Mais c''est là, précisément, qu'est l'objet de ma quête de ce jour : rendre à l'inactivité et à la contemplation la place qui devrait être la leur...
Pour le philosophe, il est clair que l'existence ne saurait être intégralement absorbée par l'activité, pas plus que réduite à l'exercice d'un rapport instrumental au monde (NDLR : cette phrase n'est évidemment pas de moi, mais j'ai trouvé qu'elle ''sonne'' parfaitement bien, à ce moment de la réflexion de celui qui l'a pondue !). Il convient donc de toute urgence de re-légitimer l'inactivité comme une preuve éclatante de notre appartenance à la seule espèce animale qui est capable de performances telles que ''la pêche, assis au bord de la rivière qui coule à deux pas''.!
Une première remarque : se passionner pour l'inactivité est le meilleur moyen de découvrir qu'on n'est pas le seul à adorer jouer à ce sport : toute la fonction publique (française en tout cas) est ''sur les starting blocks'' depuis pas mal de temps, place enviée sur le podium où elle risque d'être détrônée par les cheminots, les éboueurs, les contrôleurs aériens... et les pratiquants d'autres sports qui refont systématiquement surface à l'approche de tout grand événement susceptible de donner naissance à de grands mouvements de foule (Noël, Pâques, jeux olympiques...).
Mais revenons à nos moutons : officiellement, l'inactivité est aujourd'hui (dé)considérée jusqu'à n'être devenue qu'une forme fanée de la paresse. Il arrive même qu'on la confonde avec ''les loisirs'' dont la fonction première (et même seconde, et plus, si affinités) est de se reposer d'un travail effectué –et qui dépendent donc d'une logique d'activité et non de son contraire
''Il suffit de traverser la rue...'', dit l'un. ''Il faut rabioter les indemnités chômage'', dit l'autre... Et tel qui se croit Ministre des Finances (il n'est que celui de la Dette irrattrapable !), fait des phrases ronflantes (= ''qui font ronfler ceux qui les entendent''), mais passe son temps à écrire, mal, des ''histoires de cul''... ce qui va lui permettre de déblatérer sur la pornographie triomphante... (Mais ma confiance en une ''justice immanente'' est vérifiée : il vend en moyenne entre 1500 et 2000 exemplaires de chacun de ces torchons, ce qui, compte tenu de leur ''intérêt'' (?), est inespéré !).
Attention ! Les ''loisirs'' relèvent de ce qu'on désignait autrefois par ''le temps libre'' –et la Gauche, qui n'a jamais craint le ridicule, avait donné un rang ministériel à cette activité syndiquée ! Il n'empêche... J'aurais adoré être ''Ministre du temps libre'', et j'aurais donné à la France un très bel exemple à suivre...-- car en y réfléchissant bien, une bonne et authentique méditation n'est en aucun cas un synonyme de ''dépréciation de l'action,'', bien au contraire : quel animal, à part l'Homme dans tout ce qu'il a de majuscule, est capable de ''méditer'' ? En réalité, l'inactivité est à la base de toute activité humaine.
Le philosophe allemand Buyng Chul Han (NB : plus coréen que cet allemand-là, tu meurs !) écrit, dans ''Vita contemplativa''... ou ''de l'inactivité'' (ed. Actes Sud -Avril 2024) : ''Seule l'inactivité donne un éclat à la vie. Si nous perdons la faculté d'être inactif, nous nous transformons en machines... dont la seule ambition est de fonctionner''. Et il poursuit : ''L'inactivité, c'est ce qui est humain en nous'', ce qui me convient très bien, à ce stade de mon existence (NB : ça n'a pas toujours été le cas... mais il paraît qu'on se bonifie en vieillissant !).
Deux problèmes adjacents sautent aussitôt à l'esprit de tout candidat contemplateur potentiel : le premier est relatif à la nouveauté-du-moment : l'intelligence artificielle –dont on sait qu'elle n'est ni l'une, ni l'autre. Qui voit de l'artifice dans ce machin qui va pour de bon nous réduire à ce que nous n'aurions jamais dû devenir ? Et qu'y a-t-il d'intelligent dans un incroyable déluge de chiffres qui permet de toujours finir par trouver un ''quelque chose'' qui ait l'air vaguement humain... mais que nous n'aurions pas su/osé inventer avec une telle vélocité ? Ses gourous, ses grands prêtres et ses thuriféraires vont-ils devoir lui apprendre à ''glander'', pour qu'on puisse se mettre à vraiment la considérer ''humaine'' ? Seul problème : ''souffrance'' ou ''endurance'' sont deux états qu'aucune machine n'a jamais pu atteindre... et ''inactivité contemplative'' encore bien moins.
Et le second problème, bien plus grave à mes yeux, est celui du statut des fonctionnaires : si le ''fare niente'' volontaire et organisé est vraiment une preuve d'intelligence avancée, cela voudrait dire que ces gens sont, en moyenne, plus intelligents que ceux qui bossent, triment, bûchent et turbinent. Ce serait affreux... et pourtant, il y a du vrai dans ce mensonge : il faut bien constater qu'ils raflent tout et ne nous laissent pas grand chose ! Ces bouffeurs de curés (pour la vaste majorité d'entre eux) ont même transformé en ''avantages acquis'' le calendrier chrétien... qu 'ils refusent de conserver d'autre part. Dans leur monde artificiel (mais, au fond, pas très intelligent, quoi qu'on puisse en dire !), Noël, Pâques, Pentecôte, Toussaint, ''15 Août'', etc.. , en attendant les fêtes musulmanes, ne sont plus que des raisons supplémentaires de bosser encore moins.
Car comme la machine, les fonctionnaires ne connaissent que deux états : allumés... ou éteints.. (le plus souvent, par expérience, c'est le second qui prend le dessus). Chez eux, cet état permanent de ''pêcheur assis sur son tabouret et ne pensant à rien'' est devenu une seconde nature, un fait social, une valeur-en-soi,, une croyance, une culture... bref une splendide caractéristique de notre temps... qu'ils précipitent vers une fin qui surviendra trop tôt... C'est en attendant cette issue assez probable que je me suis mis à cultiver ce qui leur est tout-à-fait naturel : je bulle !
H-Cl.
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lhistoireduneetoile · 2 years ago
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N'étant pas en grande forme, j'avais le besoin de prendre mes distances, de me replier sur moi-même, même avec mes amis proches, même avec ceux qui en général me font du bien. Ce replie m'a permis de me rendre compte que si on se parlait autant, c'était uniquement parce que je leur écrivais, parce que je suis celle qui anime nos conversations sans quoi il ne se passe rien, et je dois bien avouer que la réalité me fait si mal. Je me remets tellement en question, j'ai juste l'impression de m'accrocher à eux, d'avoir besoin de leur présence alors que ce n'est pas réciproque. Tout ça me donne encore plus envie de m'éloigner, d'apprendre à être seule et de me suffir à moi-même pour ne plus être dépendante de qui que ce soit. Je veux que mon bonheur m'appartient et que mes états ne dépendent que de moi. Je ne veux plus vivre pour les autres, mais pour moi. J'espère y parvenir un jour.
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lepartidelamort · 10 months ago
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Les goules blanches font ajouter une ligne dans la constitution pour tuer leurs enfants
La lesbienne Mélanie Vogel était très heureuse de constitutionnaliser le meurtre d’enfants hier. Il faut noter qu’elle a pu le faire avec l’aide des vieux mâles beta majoritaires au sénat.
La constitution est tellement irréversible, que Macron la change.
Je me suis engagé à rendre irréversible la liberté des femmes de recourir à l’IVG en l’inscrivant dans la Constitution. Après l’Assemblée nationale, le Sénat fait un pas décisif dont je me félicite. Pour le vote final, je convoquerai le Parlement en Congrès le 4 mars. — Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) February 28, 2024
Cette ligne ajoutée à un bout de papier est surtout le dernier clou dans le cercueil de cette démocratie finissante.
Les lois des cycles karmiques sont d’acier.
L’avortement en France, c’est à peu près 240,000 avortements en 2023. Sur une décennie, c’est plus de 2 millions d’enfants à naître éradiqués, soit le nombre de migrants du tiers-monde, principalement musulmans, qui submergent le pays sur la même période.
Ce dépeuplement dicté par les femmes blanches entraîne un vieillissement massif et rapide de la population. La moyenne d’âge en France est désormais de 43 ans, en augmentation constante.
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La moyenne d’âge en Algérie est de 27 ans au Congo de 18 ans dans un continent dont les bassins de peuplement sont déjà saturés.
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Ce vieillissement entraîne une compression généralisée du nombre de travailleurs en mesure de payer des impôts et des taxes, avec une masse de vieux dépendants des subsides de l’État, donc de l’impôt, en expansion constante.
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Pour faire face à ces dépenses de retraite et de santé colossales, l’État s’endette toujours plus massivement.
À charge pour les actifs de payer le poids de cette dette, donc de voir leur revenu disponible se réduire toujours plus.
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Faute de revenus adéquats, la pression sur les jeunes couples est toujours plus forte, ce qui décourage une natalité déjà faible.
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Les conséquences du diktat vaginal sont claires : la destruction pure et simple de l’ordre social qui découle de la pression intense sur la reproduction des populations blanches.
Paradoxalement, les femmes sont les grandes demandeuses d’un large système sociale pour les protéger des conséquences de leur hypergamie. Sans ce vaste système social, elles se retrouvent livrées à elles-mêmes et doivent s’assurer de trouver un parti masculin matériellement à l’aise et ne surtout pas s’en séparer.
Sans ce filet de sécurité pour les traînées, impossible de jouer aux putes jusqu’à 40 ans, voire plus.
Au delà de ça, si les quelques 16 millions d’allogènes qui vivent en France n’ont pas encore créé de véritables narco-émirats, c’est parce que l’État paye un tribut énorme sous forme d’aides sociales.
Le système se trouve face à une contradiction insoluble : d’une part organiser la dénatalité pour satisfaire les femmes blanches, d’autre part tenter de compenser le déficit fiscal par l’immigration en important des masses inassimilables qui, par ailleurs, sont résolument patriarcales et dont la natalité est boostée par les aides sociales.
Le résultat final, d’ici 30 ans, au maximum, ce n’est pas l’utopie féministe, c’est Tombouctou.
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Mais oui, en effet, une ligne sur l’avortement va bien être ajoutée dans le texte rédigé par le juif Debré en 1958.
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Les lois de la nature se moquent de la démocratie ou des crises d’hystérie des catins. Elles organisent le monde depuis des milliards d’années et continueront de le faire pour des milliards d’années.
Cette république juive sénile peut faire de la paperasse pour plaire à quelques bourgeoises qui s’ennuient, la loi brutale de vie s’imposera. Si un peuple dégénère en laissant ses femmes dicter la conduite de l’État, par définition le domaine réservé de l’homme, alors cet état et ce peuple se condamnent à un châtiment racial impitoyable.
Quand cet état fera faillite, devenu incapable d’entretenir 25 millions de vieillards, assiégé par autant de fanatiques musulmans et de noirs assoiffés de vengeance raciale, ce n’est pas le mince cordon des Blanches névrosées qui endiguera la désintégration du système social.
Il suffira d’un séisme pour que tout soit emporté en quelques semaines et, si l’on en juge par la situation, c’est la guerre de trop que les juifs veulent mener contre la Russie qui sera ce séisme.
Les lois des cycles font faire leur office et la grande épuration aura lieu, quoi qu’il arrive.
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e642 · 2 years ago
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Prendre mon indépendance émotionnelle a été le travail le plus coûteux qu’il m’ait été donné de faire. Ce n’est pas quelque chose que j’ai conscientisé de prime abord. Je suis passée par plein d’introspections qui avaient toutes pour conclusion l’indépendance. Le plus dur a été de comprendre qu’il fallait que je réussisse à m’apporter ce que j’attendais que les autres m’apportent. Autrement dit, il n’a pas fallu uniquement restreindre mes interactions, il a fallu les compenser. C’est compliqué de s’apporter à soi ce qu’on se permet d’attendre des autres. Me rendre compte que j’étais dépendante dans la plupart des événements de ma vie a été un aveu d’échec pour moi, un comportement qui soulevait rien de plus qu’une facilité déconcertante à attendre que l’on vienne faire les choses à ma place. Pendant longtemps j’ai eu cette croyance stupide mais ancrée que l’autonomie émotionnelle consistait à vivre en acceptant de se restreindre de ce qui nous manquait. C’est-à-dire apprendre à vivre en étant incomplet. Le fait est qu’il fallait surtout combler avec mes ressources ce que je m’interdisais de puiser ailleurs. C’était du déni, une fois de plus. Ça m’a appris le discernement, la nuance et le respect de moi. En me considérant assez pour moi même et capable, je me suis permis d’ouvrir la porte à la bienveillance. Il m’a toujours été bien plus aisé de me rabaisser que de m’élever car ça ne demande pas d’effort de ne pas se considérer. Quelle banalité de se complaire dans la malveillance autant à son égard qu’à celui d’autrui. Lorsque la fatigue s’immisce entre nos deux hémisphère le besoin de s’économiser à court terme est bien plus intense qu’à long terme, c’est pour cette raison que nous apprécions tant la bienveillance des autres, plus que la notre car cela ne requiert pas d’effort. Me détacher de cette envie irrépressible d’être le centre de la vie des autres, d’être mise en tort ou d’attendre les mots de tiers pour avancer a été bénéfique. Certes, je me suis sentie seule le temps de me convaincre qu’il fallait que je prenne le relais pour que mon isolement et mon jeûne relationnel aient un sens. La priorisation de soi -indûment confondue avec l’égoïsme- est une étape nécessaire, puisque je me refuse à être le centre de gravité des autres, je dois devenir le mien. J’ai dû discerner l’injustice et la justice de mes mots et de mes actes à mon égard. Faire cet effort ultime de confesser que je suis bien plus que je ne le pense, que je mérite un intérêt sincère et profond envers moi, qu’il me manque certainement des choses mais que c’est réversible. En somme, me percevoir comme mon adversaire a été écarté, prônant le développement de la complicité pour enfin être ma partenaire. Comment puis-je être optimale et saine dans le monde extérieur sans l’être dans mon monde à moi ? Il m’a fallu persister pour me tolérer et me sentir tout a fait légitime de me traiter correctement. Aujourd’hui, je m’estime assez adroite pour me réconforter honnêtement et efficacement car je suis indulgente et non pas négligente comme j’ai eu aimé me le répéter pour me délégitimer de toute mansuétude. Néanmoins, c’est un travail constant que je n’ai pas achevé et sur lequel, je le sais, j’écrirai encore de nombreuses lignes pour peaufiner mon intention.  
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doctortrico · 1 year ago
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Thème principal : Detroit Become Human
(Il peut être vue d’en d’autre RP également)
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Prénom
Callixte (prononcé Callix)
Âge
inconnue
Sexe
Masculin
Espèce
Androïde
Métier
À la base c’est un androïde policier mais il a préféré se tourner vers l’a médecine alors il travail en tant que médecin et je dirais même chirurgien.
Apparence
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Tout comme Connor et bien Callixte a l’apparence d’un jeune homme, châtains avec les cheveux plutôt courts et les yeux de même couleur. Il a tendance à porter des vêtements tout de noir comme un t-shirt noir accompagner d’une veste en cuir ainsi d’un jeans et comme j’ai dit tout ça est de couleur noir. Il est généralement inexpressif, ce qui donne l’impression qu’il est froid, ce qui pourrait paraître normal puisque c’est un demi Androide, on le voit à la petite LED sur sa tempe. La lumière change de couleur selon ses humeurs. Mais en parlant de la LED elle n’est pas toujours présente. Encore une fois cela dépend des rp il peut la retiré comme il peut la garder.
Caractère
Étant un demi androïde je ne sait pas si je peut vraiment appeler ça un caractère. Pourquoi je dit ça ? Il est simple c’est parce que Callixte est tout simplement rester avec l’instabilité logiciel de Connor. Alors il est bloquer avec du coup il a des émotions c’est vrais mais que très faible alors il ne pourras pas pleuré ou même rire sois il est neutre ou bien sois il sourit tout simplement. Mais attention je ne dit pas qu’il est impossible à rendre déviant mais il est extrêmement difficile d’ailleurs son caractère dépend du rp en fait et ouais en gros ça dépend dans quel circonstance qu’il est devenu déviant il peut autant être tout gentil et adorable que méchant et même finir en tant que criminel. Comme je dit tout dépend alors à vous de forger son caractère !
Aime
Même si Callixte se r’approche plus d’un androïde qu’un déviant il adore aider les autres peut-importe le type d’aide il serras ravis de proposer son aide. Sinon il a tendance à préféré agir seul dépendant de se qu’il dois faire pour aider. Et puis comme chaque fois pour le reste cela va dépendre de se qu’il deviens un fois déviant.
Aime pas
Callixte a tendance à détester quand il ne peut pas aider les autres comme il s’en veux s’il refuse par exemple ou bien s’il n’a tout simplement pas réussi à aider la personne. Il n’aime pas également quand on refuse de son aide ou de recevoir des soins médical de ça part juste parce que c’est un androïde.
Histoire
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De base il avais été activer pour remplacer Connor qui avais été détruit. Mais ayant une parti de l’instabilité logiciel de celui-ci il se mis à avoir de faible émotion du coup il ne voulais pas se faire passer pour le Rk800 détruit juste avant. Malgré ça il se fit passer pour Connor au yeux de l’entreprise CyberLife pour être capable d’en sortir d’ailleurs cela c’est très bien passer il réussi à sortir sans problème sauf qu’il n’était pas parti voir le lieutenant Anderson comme il devais de base il avais juste décidé de faire autre chose.
Alors il se débarrassa des vêtements CyberLife pour en mettre d’autre. Bref bien sûr CyberLife on essayer de le retrouver mais à chaque fois il réussissais à leurs échapper par pur miracle comme il était vêtu de noir c’était facile pour lui de se cacher dans des coins sombre. Oui il est vrais que CyberLife peut le localiser normalement mais il avais réussi à se débarrasser de ça en piratant un ordinateur dans une bibliothèque. Enfin bon pendant la guerre il avais du tuer quelque humain s’il ne voulais pas finir détruit alors il avais tout simplement profiter pour leur faire les poche pour piquer l’argent. D’ailleurs d’avoir pris cette argent lui avais servis à apprendre se qu’il fallait pour aller en médecine et travailler à l’hôpital mais cela une fois que les androïdes sont complète libre. Bien sûr son histoire change si la présidente décide de ne pas leurs donner de libertés du coup cela dépend encore une fois du rp.
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des-mots-sur-maux · 2 years ago
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4 juillet 2023
Deuxième rendez-vous avec la psychologue du centre poids et santé, qui m’a remué psychologiquement les pensées que j’ai coincé dans ma tête, mon remède pour m’en sortir serait d’écrire sur papier mon ressenti que j’étouffe assez régulièrement, je ne sais pas quoi faire de mes émotions. Pour m’en rendre compte il faut que j’y travaille que j’y pense et que j’accepte de les accueillir pour ne plus sentir de frustration. J’ai beaucoup de mal à communiquer donc les écrire serait utile car sinon je risque de replonger dans les ténèbres , ce qui en est ressorti de cet entretien c’est que j’ai un énorme conflit en moi entre mon droit de vivre et la mort. Ce qui est réel mais je ne parviens pas à y mettre des mots. La thérapie m’aide à m’en rendre compte. J’ai ce droit de vivre j’aimerai chasser ces idées noires, mes craintes qui me pourrissent l’existence. Je sais que j’ai une peur énorme de l’abandon mais je ne savais pas que ça pouvais être aussi nocif et que cette dépendance affective me gâche la vie. Car un être humain ne peut pas être dépendant d’un autre être humain. Et je me fait du mal c’est pour cela que mes relations amicales sont compliqué à entretenir pour moi. Car je suis peut être trop dépendante et que je devrais laisser respirer ces personnes. Tout comme une ancienne relation que j’ai eu, j’admet que je n’ai pas été correcte car j’avais tellement peur d’être à l’abandon que ça m’a conduit à commettre des ts.
Ce qui explique sûrement ma dépendance affective envers les êtres humains..
Je m’abîme l’existence de mon corps je ne me respecte pas. J’en ai vraiment honte et je ne peut pas continuer dans cet esprit là. Ça risque de devenir dangereux et incompatible. Il faudrait que je retrouve ce goût de vivre et respecter mon corps personne ne pourra le faire à ma place.
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raisongardee · 2 years ago
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“On ne veut pas des gens qui pensent. On veut des gens qui consomment. Une jeunesse véritablement éduquée, instruite, qui pense et est éveillée, c’est une jeunesse qui "veut changer le monde", donc une jeunesse dangereuse pour ce pouvoir. Travailler activement à abrutir les jeunes, les rendre toujours plus dépendants au numérique, modeler leurs cerveaux et leurs désirs à coups d’algorithmes, c’est travailler à la préservation du système. Anéantir la jeunesse pour éviter la révolte. L’école ne doit surtout plus être un lieu de lien social et d’émancipation.”
Julie Pérel, « L’école à l’écran : un "abrutissement des masses" », in La Décroissance, n° 197, mars 2023.
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mariondanslorage · 2 years ago
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J'ai envie de ta douceur. J'en ai besoin. Besoin d'un mot qui fait fondre les montagnes. D'un geste qui embrase les forêts sinistres. Qui tient les monstres éloignés, un geste feu de cheminée. Tes lèvres, nuage dans l'obscurité. Ta main, refuge dans l'immensité.
J'ai besoin que tu me rassures. Me laisse pas m'effondrer. J'suis complètement dépendante, et même pas sûre de t'aimer. C'est ton corps qui me rassure, ta chaleur n'a pas d'égal... Ton âme, une étrangère, alliée ou ennemie que sais-je?
J'ai besoin de ta douceur... Me laisse pas mourir gelée. Seule, comme toutes ces nuits où j'ai tremblé. Je sais même pas d'où vient cette peur. C'est terrifiant, sans respirer... Ta main pourrait me libérer. Sur ma gorge, pour me rendre la vie. Sur ma gorge pour me tuer.
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christophe76460 · 2 months ago
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La foi c'est adhérer TOUT ENTIER à la révélation divine, tant dans l'Ancien que dans la Nouveau TLA FOI
estament. La foi est centrée sur CHRIST.
- ROMAINS 10.17 - Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ.
L'ABANDON DE LA FOI
Plusieurs raisons peuvent amener à l'abandon de la foi.
- 1 TIMOTHEE 1.6 - Quelques-uns, s'étant détournés de ces choses, se sont égarés dans de vains discours;
Ne nous égarons pas dans toutes sortes de fables et de généalogies sans fin qui produisent des controverses ( v.4 ) restons ancrés dans la simplicité quant au CHRIST.
- 1 TIMOTHEE 1.19 - ...en gardant la foi et une bonne conscience. Cette conscience, quelques-uns l'ont perdue, et ils ont fait naufrage par rapport à la foi.
- 1 TIMOTHEE 1.5 - Le but du commandement, c'est une charité venant d'un coeur pur, d'une bonne conscience, et d'une foi sincère.
Un coeur pur, une bonne conscience, une foi sincère marchent ensemble pour une foi vivante. Ne laissons pas s'émousser car cela peut amener à faire naufrage quant à la foi.
- 1 TIMOTHEE 4.1 - Mais l'Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s'attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons,
Certains abandonnerons la foi sous une influence satanique, esprits séducteurs, enseignements de démons. Exemples , l'influence des réligions orientales, du spiritisme, ou d'un christianisme dégénéré, détournant la conscience de la vraie foi chrétienne.
- 1 TIMOTHEE 5.8 - Si quelqu'un n'a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi, et il est pire qu'un infidèle.
Ne pas rendre à nos parents le soin que nous en avons reçu, équivant à renier la foi ❗​ Quel contraste avec les théories actuelles qui disent que les enfants n'ayant pas demandé à naître, n'ont aucune obligation envers leurs parents❗ Théories complètement opposées à la Parole de DIEU qui appelle les enfants à la reconnaissance envers leurs parents ,tout spécialement dans le veuvage, l'infirmité, l'âge , qui peuvent les rendre dépendants des soins que leurs enfants leur doivent.
- 1 TIMOTHEE 5.4 - Si une veuve a des enfants ou des petits-enfants, qu'ils apprennent avant tout à exercer la piété envers leur propre famille, et à rendre à leurs parents ce qu'ils ont reçu d'eux; car cela est agréable à Dieu.
- EPHESIENS 6.2-3 - Honore ton père et ta mère c'est le premier commandement avec une promesse, afin que tu sois heureux et que tu vives longtemps sur la terre.…
Mes amis(es) n'oublions surtout pas ceux qui ont pris soin de nous dans notre jeunesse. C'est si triste de voir des personnes âgés "oubliées " par leurs enfants...
Bonne journée à tous. Gardons notre foi bien vivante dans la communion avec notre SEIGNEUR .
Bonne journée à vous ♥
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yes-bernie-stuff · 3 months ago
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Dimanche 20 Octobre Quand Dieu ouvre la porte (1)
Pour connaître la volonté de Dieu, il y a deux choses à faire. D’abord, ne pas s’impatienter et vouloir forcer une porte fermée. Ensuite, ne pas créer sa propre porte. Pour réussir dans ce que Dieu vous a appelé(e) à faire, suivez le principe de la porte ouverte. La Bible dit : « Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie : Voici ce que dit Celui qui a la clé de David, qui ouvre et personne ne fermera, qui ferme et personne n'ouvrira : Je connais tes œuvres. J’ai mis devant toi une porte ouverte que nul ne peut fermer, parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole et que tu n'as pas renié mon nom » (v.7-8). Ces portes sont ouvertes pour trois types de personnes. 1) Celles qui ont « peu de puissance ». Nos erreurs ne nous disqualifient pas si l’on est prêt à apprendre d'elles. Et nos insuffisances ne limitent pas Dieu si on les laisse nous rendre plus dépendants de lui. 2) Celles qui ont « gardé ma parole ». Les personnes pour lesquelles Dieu ouvre des portes vivent selon ce principe : « Quoi que dise la Parole de Dieu sur un sujet, c'est ce que je vais penser, croire et faire. » Si une œuvre n'est pas dans le plan de Dieu, ne la réalisez pas. Si ce n'est pas dans son livre de recettes, ne l’ajoutez pas. 3) Celles qui n’ont « pas renié mon nom ». Malgré le rejet ou la moquerie, ces personnes parlent hardiment des choses qu'elles apprécient le plus dans la vie, y compris de leur relation avec Jésus. Si vous voulez que Dieu vous ouvre des portes, vivez chaque jour selon ces principes !
B365 — Plan de lecture Psaumes 141-144 Prière du jour Merci mon Dieu pour les portes que tu ouvres. The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024
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childrenofmoonlight · 4 months ago
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Hybrides
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Toujours pris entre deux mondes, les Hybrides sont des êtres qui n’arrivent que peu à trouver leur place dans le monde. Ils sont à la frontière entre deux peuples, mêlant des origines qui n’auraient jamais dû se retrouver ensemble, si l’on en croit la société. Beaucoup d’Hybrides sont rejetés par leurs parents, devant ainsi se débrouiller par eux-mêmes et comprendre seuls ce qu’ils sont et qui ils sont. Généralement mieux acceptés chez les Warlocks, ils sont la hantise des Humains, des Witches et des peuples magiques, qui prennent une naissance d’Hybrides comme un mauvais présage, en particulier chez les Witches.
Les Hybrides sont toujours des êtres mêlant deux origines différentes, ils possèdent toujours un parent d’un peuple dit humain ainsi qu’un parent d’un des autres peuples magiques dits inhumains. Ils peuvent alors récupérer des capacités et facultés de leurs deux parents, pouvant par exemple utiliser la magie élémentaire des Witches et savoir se changer en animaux comme les Changelings. Leurs pouvoirs sont entièrement dépendant de leurs origines et on a également remarqué que les Hybrides d’Humains et d’un peuple magique possèdent le plus de pouvoirs, comme si la magie des Witches et Warlocks inhibait les pouvoirs de leur autre parent. Physiquement, les Hybrides conservent toujours des caractéristiques de leurs parents inhumains, cela peut être la couleur des yeux, des écailles, des plumes ou autres caractéristiques minimes de la sorte. La plupart des Hybrides peuvent se faire passer pour des humains sans grande difficulté cependant..  On peine cependant à connaître les limites des Hybrides, chaque être étant souvent différent des autres, mais on sait cependant que leur espérance de vie s’approche des 120 ans, avec quelques différences selon leur parent d’un peuple humain. 
En général, tout ce qui est nocif pour les parents sera nocif pour l’Hybride, cela inclut plantes comme métaux. Les Hybrides ne sont pas plus résistants ou plus forts, au contraire ils ont plutôt tendance à être plus faibles que leurs parents. Généralement, ils sont plus faciles à tuer que les peuples desquels ils sont issus. Et pendant longtemps, on a cru que leur sang avait des propriétés magiques, certains croient encore que le sang des Hybrides a des pouvoirs de guérison. 
On retrouve des Hybrides partout en Mag Síorghlas, bien qu’ils aient tendance à aller habiter avec les Warlocks des Hills pour leur propre protection. Chez les Warlocks, les Hybrides deviennent souvent des aides et assistants pour les plus vieux, où ils peuvent attendre des places importantes. Lorsqu’ils vivent dans les sociétés humaines, ils ont généralement des emplois inférieurs et sont très souvent moqués pour leurs caractéristiques inhumaines. La plupart des Hybrides ne parlent que la langue commune, n’ayant pas été assez en contact avec les peuples magiques pour apprendre la langue antique. 
Il n’existe aucune grande famille d’Hybrides, étant donné qu’ils apparaissent dans toutes les familles et qu’on essaie d’éviter d’avoir ces enfants quand on le peut. Cependant, on parle d’un rassemblement d’Hybrides situé à l’entrée des Hills, sorte de village secret où les Hybrides peuvent se rendre pour être protégés et vivre en paix. Cet endroit, protégé grâce aux pouvoirs des Hybrides, est secret et seuls les Hybrides peuvent le trouver, dit-on malgré le fait que d’autres peuples aient tenté de le trouver. Le groupe est connu comme des bandits dans la région des Crownlands et on les nomme les Chimera Siblings.
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port-salut · 6 months ago
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INVITATION À L’INSTALLATION DU NOUVEAU CURÉ DE LA PAROISSE DE DUMONT
Selon le calendrier d’installation établi par le diocèse des Cayes, le prêtre Sland Michel, nouveau curé de la paroisse de Dumont sera installé dans ses fonctions par les autorités du diocèse des Cayes le dimanche 28 juillet 2024 à 9h AM._
La rédaction de _La voix de Dumont_ est très heureuse d’informer les chrétiens et les paroissiens de la collectivité de Dumont que le prêtre Sland Michel, nouveau curé responsable de la paroisse de Dumont sera installé dans ses fonctions par les autorités ecclésiales du diocèse des Cayes le dimanche 28 juillet 2024 à 9h AM.
La rédaction de ce journal se mêle à la communauté chrétienne de Dumont pour souhaiter la plus cordiale bienvenue au nouveau curé Sland Michel. Il sera responsable de 4 autres communautés chrétiennes dépendantes de la paroisse de Dumont.
On invite tous les chrétiens de Saint François Sales situé à Marcabée, de Bienheureux Joseph Gérard situé à Roche-Jabouin, de Sainte Marie Madeleine située à Debouchette et de Notre-Dame du Mont Carmel de Chiendent à se joindre aux fidèles catholiques de Saint Nicolas pour souhaiter la bienvenue au nouveau prêtre Sland Michel le dimanche 28 juillet 2024 à 9h.
On doit se rappeler que l’ancien curé Jean Elicio Clément sera installé aussi dans ses fonctions par les autorités ecclésiales du diocèse des Cayes comme nouveau responsable de la paroisse de Fonds des Blancs le dimanche 4 août 2024 selon le calendrier des installations du diocèse des Cayes.
Il est prié aux chrétiens de la paroisse de Dumont de former une délégation pour se rendre à Fonds des Blancs afin d’assister à l’installation du prêtre Jean Elicio Clément en guise de reconnaissance de sa présence dans les communautés chrétiennes de la paroisse de Dumont.
La rédaction de ce journal citoyen profite de la circonstance qui lui est offerte pour encourager tous les citoyens de la diaspora, les chrétiens et les paroissiens de la collectivité de Dumont de s’unir pour soutenir financièrement les travaux de rénovation de l’église Saint Nicolas de Dumont.
On ne cesse jamais de se rappeler que l’église Saint Nicolas est à la fois un patrimoine religieux et culturel de la collectivité de Dumont. Elle est située à la porte d’entrée de la rue principale du centre-ville à en devenir. Il est important que la diaspora dumontienne s’organise à appuyer les efforts du nouveau curé chargé d’assumer la responsabilité des cinq communautés chrétiennes de la paroisse de Dumont.
Si le 3 février 2013 tous les citoyens étaient très heureux de savoir que leur communauté est élevée au rang de paroisse par les autorités de la congrégation catholique du département du sud; on ne doit pas négliger de collaborer avec le nouveau prêtre responsable dans le respect afin de renforcer la foi chrétienne de nos jeunes et d’aider les familles vulnérables à s’unir pour créer la cohésion sociale et l’harmonie entre les différents acteurs de cette communauté.
La rédaction de ce journal offre d’ores et déjà ses colonnes aux communautés chrétiennes de la paroisse de Dumont pour qu’on parviendra ensemble à construire une collectivité forte et responsable où il fait bon vivre pour tous les habitants de la collectivité de Dumont.
Jean-Marie Mondésir
Citoyen engagé de Dumont
Éditeur de La voix de Dumont
PDG de Dumont Inter 103.1 FM
Radiodumontinter.com
https://lavoixdumont.wordpress.com/2024/07/06/invitation-a-linstallation-du-nouveau-cure-de-la-paroisse-de-dumont/
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