#la robe bleue
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lours-postal · 6 months ago
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2024 - 501
1/1
série « repartir », 2
collage papier photographique brillant
sur support bristol A5
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série « repartir », 1
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pigeonneaux · 1 year ago
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Morgane 🏃💥
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chic-a-gigot · 1 month ago
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 142, vol. 12, octobre 1912, Paris. Robe de bal et manteau du soir. — Laferrière. Photo Talbot. Bibliothèque nationale de France
Robe en lamé argent rebrodé de fleurs d'or, recouverte d'un péplum en mousseline de soie violette brodée d'or: bordure de skungs. Manteau de taffetas avec impressions bleues Pompadour sur un fond maïs, garni de velours violet; col de dentelle d'or.
Dress in silver lamé embroidered with gold flowers, covered with a peplum in purple silk muslin embroidered with gold: border of skungs. Coat of taffeta with blue Pompadour prints on a corn background, trimmed with purple velvet; collar of gold lace.
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eirene · 7 months ago
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Portrait de jeune femme a la robe bleue. Private Collection
Paul Emile Chabas
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au-jardin-de-mon-coeur · 4 months ago
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La tenue du jour avec cette petite robe blanche ou bleue...👗
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Elle est bien plus qu'un vêtement, c'est une ode à la liberté et à la féminité ! Imaginez-vous marchant au bord de la mer, le vent caressant légèrement le tissu de votre robe, vous faisant sentir libre et insouciante...
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shakeskp · 12 days ago
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Encore des histoires de mont-blancs
Après ma diatribe contre le mont-blanc de l'Aki, @redfoxline m'a recommandé celui de la pâtisserie Kenta et Akira, si un jour j'avais l'occasion de passer par Rouen. Or ! Il se trouve que par un hasard assez extraordinaire, je venais justement à Rouen ce samedi.
J'avais un timing serré : mon train arrivait à 11h07 et j'étais attendue chez ma sœur pour l'anniversaire de ma nièce à midi. Le train a bien sûr eu dix minutes de retard - pour la ligne Paris-Le Havre, c'est le tarif de base.
J'arrive à la pâtisserie au pas de course pour découvrir qu'elle n'ouvre pas à 11h comme indiqué en ligne, mais à 12h désormais... Je repars la tête basse et la glacière vide (oui, j'avais pris une mini-glacière, je suis une professionnelle).
La chance était malgré tout de mon côté, car alors que je n'y croyais pas, je suis libérée suffisamment tôt pour repartir à nouveau au pas de course à la pâtisserie... Où il restait du mont-blanc ! Le monsieur est allé me le monter exprès en cuisine, la classe.
La dame à qui j'ai parlé était un peu déroutée quand je lui ai dit que je repartais à Paris avec, mais ma glacière l'a rassurée !
Au moment de déguster après un sobacha pour me préparer le palais, j'avais bien décidé de prendre en compte le fait qu'il avait voyagé dans le train ET le métro parisien.
Je n'ai pas eu besoin.
Parce que ça, ça, ce sont des gens qui ont compris que l'intérêt du mont-blanc, c'est la châtaigne !!!!! Que c'est bien joli de vanter que ta crème de marron, elle est faite maison et avec des châtaignes d'Ardèche AOP récoltées à la main une nuit de lune bleue par des prêtresses en robe diaphane, ça ne sert à RIEN si c'est pour y en mettre une très fine couche de vermicelles sur un cumulus de chantilly !
Non, là, il y a une couche de crème de marron raisonnable, et dedans il y a des a des vraies châtaignes. La crème fouettée est légère et pas trop sucrée, la meringue a juste la bonne épaisseur pour apporter du craquant.
J'en conclu que si le mont-blanc de l'Aki était si mauvais, c'était pour que je découvre celui-ci. Merci @redfoxline <3 <3 <3
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gloriousfartcupcake · 8 months ago
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La belle jeune💙 femme en robe🥿 bleue 👗
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lisaalmeida · 4 months ago
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Mon cher ami,
Aujourd’hui c’est mon corps qui écrit à vos lèvres, les mots imbibés d’amour dans l’encre de ma fièvre. J’ai pour habitude de garder tout en moi, c’est une jolie façon pour ne pas altérer mes sentiments de femme, partager c’est souvent rendre fragile le vent de nos pensées, je ne veux pas voir le beau se transformer en cristal. Prenez alors les lettres de mes mains, le lit de ma peau et la fleur de mon âge. Touchez le rouge de votre bouche contaminée par le murmure de mon rêve, embrassez ce rendez-vous secret qui passe sur l’instant.
Mon cher ami, l’inassouvi est une empreinte éternelle, la demande, une épaule qui reste dans le temps, entre moi, entre nous vit un silence si réel que je me gorge même de l’oubli pour embrasser la vie. La tristesse, la solitude ne sont rien lorsque je pense à vous, ma robe a des fleurs blanches qui poussent, joyeuses de vous savoir là-bas, mes doigts ordonnent, posent l'inutile pour que je me nourrisse du jour.
Mon cher ami, je perds l’usage de mon cœur, vous êtes cet ami qui manque à ma vie, cet être plein de mystère qui pourrait vivre jusque sur mes paupières, ce muscle qui ferait travailler ma chair, cette nuit qui m’aimerait à raison. Je vous pardonne de ne pas être et je vous aime néanmoins sur les rives bleues de ma passion.
@ Carole Riquet
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graigue · 1 month ago
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La robe bleue - The blue dress
Http://www.flickr.com/graigue
#originalphotographer #strasbourg #graigue #alsace #nude
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chicinsilk · 1 year ago
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US Vogue July 1966
Barbara Bach in the dress that makes its own glorious fireworks display - all over pink, blue and green sequins, with a high turtleneck and cutout armholes at the shoulders. Worn with chunky glitter globes in the ears…and a new shimmer on the lips: Luvender pale pearl slicked over Violet Vamp. The two lipsticks, Cremesticks by Coty. Dress by Eloise Curtis for David Styne. Earrings by Mimi di N. Hairstyle by Ara Gallant.
Barbara Bach dans la robe qui fait ses propres feux d'artifice glorieux - partout sur des paillettes roses, bleues et vertes, avec un col roulé haut et des emmanchures découpées sur les épaules. Porté avec de gros globes pailletés aux oreilles… et un nouveau scintillement sur les lèvres : Luvender nacré pâle lissé sur Violet Vamp. Les deux rouges à lèvres, Cremesticks de Coty. Robe par Eloise Curtis pour David Styne. Boucles d'oreilles par Mimi di N. Coiffure par Ara Gallant.
Photo Richard Avedon vogue archive
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lours-postal · 2 years ago
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2022 – 968, 940
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pompadourpink · 1 year ago
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Sophie's Misfortunes - #1
Les malheurs de Sophie - la Comtesse de Ségur, 1858
Chapitre 1 - la Poupée de cire
« Ma bonne, ma bonne, dit un jour Sophie en accourant dans sa chambre, venez vite ouvrir une caisse que papa m’a envoyée de Paris ; je crois que c’est une poupée de cire, car il m’en a promis une.
La bonne: Où est la caisse ?
Sophie: Dans l’antichambre : venez vite, ma bonne, je vous en supplie. »
La bonne posa son ouvrage et suivit Sophie à l’antichambre. Une caisse de bois blanc était posée sur une chaise ; la bonne l’ouvrit. Sophie aperçut la tête blonde et frisée d’une jolie poupée de cire ; elle poussa un cri de joie et voulut saisir la poupée, qui était encore couverte d’un papier d’emballage.
La bonne: Prenez garde ! ne tirez pas encore ; vous allez tout casser. La poupée tient par des cordons.
Sophie: Cassez-les, arrachez-les ; vite, ma bonne, que j’aie ma poupée.
"My maid, my maid!" Sophie said one day running into her maid's room. "Hurry up! Open this crate that daddy sent me from Paris. I think it's a wax doll, because he promised me one!" The maid: "Where is the crate?" Sophie: "In the antechamber. Come quick, please!" The maid set her work down and followed Sophie to the antechamber. A white wood crate was on a chair. The maid opened it. Sophie spotted the blonde and curly head of a beautiful wax doll. She let out a cry of joy and tried to grab the doll, which was still covered in wrapping paper. The maid: "Careful! Don't pull it yet. You'll break everything. The doll is kept in place by some cords," the maid said.
Sophie: "Break them, rip them. Hurry, my maid, so that I have my doll!"
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La bonne, au lieu de tirer et d’arracher, prit ses ciseaux, coupa les cordons, enleva les papiers, et Sophie put prendre la plus jolie poupée qu’elle eût jamais vue. Les joues étaient roses avec de petites fossettes ; les yeux bleus et brillants ; le cou, la poitrine, les bras en cire, charmants et potelés. La toilette était très simple : une robe de percale festonnée, une ceinture bleue, des bas de coton et des brodequins noirs en peau vernie.
Sophie l’embrassa plus de vingt fois, et, la tenant dans ses bras, elle se mit à sauter et à danser. Son cousin Paul, qui avait cinq ans, et qui était en visite chez Sophie, accourut aux cris de joie qu’elle poussait.
« Paul, regarde quelle jolie poupée m’a envoyée papa ! s’écria Sophie.
Paul: Donne-la-moi, que je la voie mieux.
Sophie: Non, tu la casserais.
Paul: Je t’assure que j’y prendrai bien garde ; je te la rendrai tout de suite. »
Sophie donna la poupée à son cousin, en lui recommandant encore de prendre bien garde de la faire tomber. Paul la retourna, la regarda de tous les côtés, puis la remit à Sophie en secouant la tête.
The maid, instead of pulling and ripping, took some scissors, cut the cords, removed the papers, and Sophie was able to grab the most beautiful doll she had ever seen. The cheeks were pink with little dimples. The eyes were blue and bright. The neck, the chest, the wax arms, charming and chubby. The outfit was simple: a scalloped, percale dress, a blue belt, cotton stockings and black, patent leather boots. Sophie kissed her more than twenty times and, holding her by the arms, she started to jump and dance. Her cousin Paul, who was five years old, and who was visiting Sophie, ran to her cries of joy. "Paul, look at the lovely doll daddy sent me!" Sophie cried out. "Give her to me, I want a better look at her." "No, you would break her." "I promise you I'll be careful. I'll give her back right away." Sophie gave the doll to her cousin, telling him once again to be very careful not to drop her. Paul turned her around, looked at her from every side and then gave her back to Sophie, shaking his head.
*
Sophie: Pourquoi secoues-tu la tête ?
Paul: Parce que cette poupée n’est pas solide ; je crains que tu ne la casses.
Sophie: Oh ! sois tranquille, je vais la soigner tant, tant que je ne la casserai jamais. Je vais demander à maman d’inviter Camille et Madeleine à déjeuner avec nous, pour leur faire voir ma jolie poupée.
Paul: Elles te la casseront.
Sophie: Non, elles sont trop bonnes pour me faire de la peine en cassant ma pauvre poupée.
Le lendemain, Sophie peigna et habilla sa poupée, parce que ses amies devaient venir. En l’habillant, elle la trouva pâle. « Peut-être, dit-elle, a-t-elle froid, ses pieds sont glacés. Je vais la mettre un peu au soleil pour que mes amies voient que j’en ai bien soin et que je la tiens bien chaudement. » Sophie alla porter la poupée au soleil sur la fenêtre du salon.
« Que fais-tu à la fenêtre, Sophie ? lui demanda sa maman.
Sophie: Je veux réchauffer ma poupée, maman ; elle a très froid.
"Why are you shaking your head?" "Because that doll isn't solid. I'm afraid you're going to break her." "Oh, don't worry. I'll take such good care of her, so much so that I'll never break her. I'm going to ask mother to invite Camille and Madeleine to have lunch with us, so I can show them my beautiful doll." "They'll break her." "No, they're too nice to hurt me by breaking my poor doll." The next day, Sophie combed and dressed her doll, because her friends were supposed to come. While dressing her, she thought she was pale. "Maybe," she said, "she's cold. Her feet are freezing. I'm going to put her in the sun for a little bit so my friends can see that I'm taking care of her and keeping her nice and warm." Sophie went to put the doll in the sun in the sitting room's window. "What are you doing at the window, Sophie?" her mother asked. "I want to warm my doll up, mother. She's very cold."
*
La maman: Prends garde, tu vas la faire fondre.
Sophie: Oh non ! maman, il n’y a pas de danger : elle est dure comme du bois.
La maman: Mais la chaleur la rendra molle ; il lui arrivera quelque malheur, je t’en préviens. »
Sophie ne voulut pas croire sa maman, elle mit la poupée étendue tout de son long au soleil, qui était brûlant.
Au même instant elle entendit le bruit d’une voiture : c’étaient ses amies qui arrivaient. Elle courut au-devant d’elles ; Paul les avait attendues sur le perron ; elles entrèrent au salon en courant et parlant toutes à la fois. Malgré leur impatience de voir la poupée, elles commencèrent par dire bonjour à Mme de Réan, maman de Sophie ; elles allèrent ensuite à Sophie, qui tenait sa poupée et la regardait d’un air consterné.
Madeleine, regardant la poupée: La poupée est aveugle, elle n’a pas d’yeux.
Camille: Quel dommage ! comme elle est jolie !
Madeleine: Mais comment est-elle devenue aveugle ! Elle devait avoir des yeux.
Sophie ne disait rien ; elle regardait la poupée et pleurait.
Mother: "Be careful, she'll melt." Sophie: "No, mother, there's no danger. She's as hard as wood." Mother: "But the heat will make her soft. Something bad will happen to her, I'm warning you." Sophie didn't want to believe her mother. She laid the doll out in the sun, which was scorching hot. At that moment, she heard the sound of a carriage. It was her friends showing up. She ran to go meet them. Paul had been waiting for them on the front steps. They ran into the sitting room, talking all at once. Despite their impatience to see the doll, they first said hello to Mrs. de Réan, Sophie's mother. They then went to Sophie, who was holding the doll and looking at her with dismay. "The doll is blind. She doesn't have any eyes!" Madeleine said. "What a shame! How beautiful she is!" Camille said. "But how did she get blind? She was supposed to have eyes." Sophie didn't say anything. She was looking at the doll and crying.
*
Madame de Réan: Je t’avais dit, Sophie, qu’il arriverait un malheur à ta poupée si tu t’obstinais à la mettre au soleil. Heureusement que la figure et les bras n’ont pas eu le temps de fondre. Voyons, ne pleure pas ; je suis très habile médecin, je pourrai peut-être lui rendre ses yeux.
Sophie, pleurant: C’est impossible, maman, ils n’y sont plus.
Mme de Réan prit la poupée en souriant et la secoua un peu ; on entendit comme quelque chose qui roulait dans la tête. « Ce sont les yeux qui font le bruit que tu entends, dit Mme de Réan ; la cire a fondu autour des yeux, et ils sont tombés. Mais je tâcherai de les ravoir. Déshabillez la poupée, mes enfants, pendant que je préparerai mes instruments. »
Aussitôt Paul et les trois petites filles se précipitèrent sur la poupée pour la déshabiller. Sophie ne pleurait plus ; elle attendait avec impatience ce qui allait arriver.
La maman revint, prit ses ciseaux, détacha le corps cousu à la poitrine ; les yeux, qui étaient dans la tête, tombèrent sur ses genoux ; elle les prit avec des pinces, les replaça où ils devaient être, et, pour les empêcher de tomber encore, elle coula dans la tête, et sur la place où étaient les yeux, de la cire fondue qu’elle avait apportée dans une petite casserole ; elle attendit quelques instants que la cire fût refroidie, et puis elle recousit le corps à la tête.
Les petites n’avaient pas bougé. Sophie regardait avec crainte toutes ces opérations, elle avait peur que ce ne fût pas bien ; mais, quand elle vit sa poupée raccommodée et aussi jolie qu’auparavant, elle sauta au cou de sa maman et l’embrassa dix fois.
Sophie's mother said, "I told you so, Sophie. Something bad would happen to your doll if you insisted on putting her in the sun. Fortunately, the face and the arms didn't have enough time to melt. Come on, don't cry. I'm a very skilled doctor, I might be able to give her back her eyes." "It's impossible, mother. They're gone," Sophie cried. Mrs. de Réan took the doll with a smile and shook her a bit. They could hear something rolling around in the head. "Those are the eyes making the noise you hear," Mrs. de Réan said. "The wax melted around the eyes and they fell. But I'll try to get them back. Undress the doll, children, while I get my tools ready." Right away, Paul and the three little girls came upon the doll to undress her. Sophie wasn't crying anymore. She waited restlessly for what was going to happen. The mother came back. She took her scissors and detached the body sewn at the chest. The eyes, which were inside the head, fell onto her knees. She took them with some pliers and put them back where they were supposed to be. To prevent them from falling again, she poured some melted wax that she brought in a little pan on the place where the eyes were. She waited a little bit to let the wax cool down, then she resewed the body to the head. The little ones didn't move. Sophie watched this whole operation with fear. She was afraid it wouldn't work out. But when she saw her doll fixed up and as beautiful as before, she jumped to her mother's neck and kissed it ten times.
-
« Merci, ma chère maman, disait-elle, merci : une autre fois je vous écouterai, bien sûr. »
On rhabilla bien vite la poupée, on l’assit sur un petit fauteuil et on l’emmena promener en triomphe en chantant :
Vive maman ! De baisers je la mange. Vive maman ! Elle est notre bon ange.
La poupée vécut très longtemps bien soignée, bien aimée ; mais petit à petit elle perdit ses charmes, voici comment. Un jour, Sophie pensa qu’il était bon de laver les poupées, puisqu’on lavait les enfants ; elle prit de l’eau, une éponge, du savon, et se mit à débarbouiller sa poupée ; elle la débarbouilla si bien, qu’elle lui enleva toutes ses couleurs : les joues et les lèvres devinrent pâles comme si elle était malade, et restèrent toujours sans couleur. Sophie pleura, mais la poupée resta pâle.
Un autre jour, Sophie pensa qu’il fallait lui friser les cheveux ; elle lui mit donc des papillotes : elle les passa au fer chaud, pour que les cheveux fussent mieux frisés. Quand elle lui ôta ses papillotes, les cheveux restèrent dedans ; le fer était trop chaud, Sophie avait brûlé les cheveux de sa poupée, qui était chauve. Sophie pleura, mais la poupée resta chauve.
"Thank you, my dear mother," she said. "Thank you. Next time, I'll listen to you, for sure." They quickly redressed the doll, set her on a little chair and went for a triumphant walk while chanting: Hooray for mother! I cover her in kisses! Hooray for mother! She is our angel! The doll lived for a long time, well cared-for, well loved. But, bit by bit, she lost her charms. Here's how. One day, Sophie thought it was a good idea to wash dolls, since people wash children. She took some water, a sponge, some soap and started to clean her doll. She cleaned her so well, that she removed all her color. The cheeks and lips became pale as if she were sick and were forever colorless. Sophie cried, but the doll was still pale. Another day, Sophie thought she had to curl her hair. She put some foil in her hair. She ironed it so that it would curl better. When she removed the foil, the hair stayed within. The iron was too hot. Sophie had burned her doll's hair, she was now bald. Sophie cried, but the doll was still bald.
*
Un autre jour encore, Sophie, qui s’occupait beaucoup de l’éducation de sa poupée, voulut lui apprendre à faire des tours de force. Elle la suspendit par les bras à une ficelle ; la poupée, qui ne tenait pas bien, tomba et se cassa un bras. La maman essaya de la raccommoder ; mais, comme il manquait des morceaux, il fallut chauffer beaucoup la cire, et le bras resta plus court que l’autre. Sophie pleura, mais le bras resta plus court.
Une autre fois, Sophie songea qu’un bain de pieds serait très utile à sa poupée, puisque les grandes personnes en prenaient. Elle versa de l’eau bouillante dans un petit seau, y plongea les pieds de la poupée, et, quand elle la retira, les pieds s’étaient fondus, et étaient dans le seau. Sophie pleura, mais la poupée resta sans jambes.
Depuis tous ces malheurs, Sophie n’aimait plus sa poupée, qui était devenue affreuse, et dont ses amies se moquaient ; enfin, un dernier jour, Sophie voulut lui apprendre à grimper aux arbres ; elle la fit monter sur une branche, la fit asseoir ; mais la poupée, qui ne tenait pas bien, tomba : sa tête frappa contre des pierres et se cassa en cent morceaux. Sophie ne pleura pas, mais elle invita ses amies à venir enterrer sa poupée.
Another day, Sophie, who was busy with her doll's upbringing, wanted to teach her to do some amazing feats. She hanged her by the arms from a string. The doll, which wasn't holding on well, fell and broke an arm. The mother tried to fix her up. But, since some pieces were missing, she had to heat up the wax quite a bit. The arm ended up shorter than the other. Sophie cried, but the arm was still shorter. Another time, Sophie thought that a foot bath would be useful to her doll, since all great people had them. She poured some boiling water into a little bucket and plunged the doll's feet into it. When she pulled her out, the feet had melted and were in the bucket. Sophie cried, but the doll still didn't have legs. After all these misfortunes, Sophie didn't love her doll anymore. The doll had become hideous and Sophie's friends were mocking her. At last, one day, Sophie wanted to teach her to climb trees. She put her on a branch and sat her there. But the doll, who wasn't holding on well, fell. Her head struck some rocks and broke into a hundred pieces. Sophie didn't cry. Instead, she invited her friends to come bury her doll.
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chic-a-gigot · 6 months ago
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La Mode illustrée, no. 20, 16 mai 1869, Paris. Toilettes de Mme Bréant-Castel. 28. rue N.ve des P.ts Champs. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Robe de dessous en foulard, drap de soie, garnie avec sept volants, le dernier à tête dentelée. La casaque ajustée, pareille à la robe, est garnie d'un volant à tête dentelée, drapée sur les côtés sous un chou de même étoffe; cette casaque est complétée par une traîne qui atteint par derrière le bord supérieur de quatrième volant par derrière. Ceinture pouff composée de trois boucles et de deux pans courts, ceux-ci terminés par un volant.
Underdress in foulard, silk cloth, trimmed with seven ruffles, the last with a serrated head. The fitted jacket, similar to the dress, is trimmed with a ruffle with a serrated head, draped on the sides under a collar of the same fabric; this jacket is completed by a train which reaches from behind the upper edge of the fourth ruffle from behind. Pouff belt made up of three buckles and two short sections, these finished with a ruffle.
Robe de dessous en taffetas bleu, garnie de trois volants, à corsage montant et manches longues. Robe de dessus à corselet, en algérienne blanche avec rayures satinées bleues; cette tunique est drapée sur les côtés par une double cordelière en soie bleue, terminée par deux glands; la tunique est drapée par derrière en forme de pouff; de grands nœuds en rubans de taffetas bleu sont posés sur les plis de derrière de la tunique. Ceinture en même ruban. Le corselet et ses entournures ont pour garniture une frange pareille à celle du bord inférieur, mais plus étroite Col-cravate en dentelle blanche. Chapeau rond en paille d'Italie, orné par devant d'une grosse touffe de bluets, par derrière d'une touffe pareille, mais plus petite; autour de la calotte, très-plate, une corde double en paille.
Underdress in blue taffeta, trimmed with three ruffles, with a high bodice and long sleeves. Corselet top dress, white Algerian with blue satin stripes; this tunic is draped on the sides by a double blue silk cord, finished with two tassels; the tunic is draped from behind in the shape of a pouff; large bows made of blue taffeta ribbons are placed on the back folds of the tunic. Same ribbon belt. The corselet and its surroundings are trimmed with a fringe similar to that of the lower edge, but narrower White lace collar and tie. Round hat in Italian straw, decorated on the front with a large tuft of cornflowers, on the back with a similar tuft, but smaller; around the very flat cap, a double straw rope.
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epopoiia-leblog · 3 months ago
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Le soleil et le blé
Il était une fois le soleil et le blé. Et la voilà, elle avance. Un tapis rose plutôt que blanc. Sur ces épaules un costume, la veste déboutonnée, ouverte sur son ventre. Une brassière jaune qu’on devine, sous les fleurs bleues imprimées. Derrière elle, des fleurs encore, des lavandes et un champ. Le ciel, au loin. Bleu, lui aussi. Elle avance sans sourire mais heureuse toutefois, les cheveux dans le vent, ses pieds nus sur le tapis. Rose parce que la joie. Rose parce que pourquoi pas ? Et sa mère, robe verte, et son père, torse à l’air, bras contre bras, tous les trois les voilà. Ils avancent tous ensemble au milieu de ce parfum violet et lui les regarde arriver, à l’autre bout du tapis. Sa mère est là aussi, un chapeau sur la tête, et son père, jaune poussin la chemise et des alliances dans les mains. Entre leurs doigts, elles glissent, quand les mots de l’amour tombent des lèvres et des yeux de leurs mères, quelques larmes cachées. C’est ainsi, ils se le promettent, un mariage bienheureux, sous les coups de soleil et les bouquets de pins. Quelques éclaboussures, de mer et de rivière, le pastis, les olives, la pétanque, comme les vieux, parions sur les clichés. Les enfants, peut-être un jour, on verra, rien ne presse, n’abusons pas de promesses. Rien de trop grand mais de l’amour. Parce qu’après tout pourquoi pas. Parce qu’après tout la vie, parce qu’après tout la joie.
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contremineur · 1 year ago
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Quelquefois vous portiez une robe très bleue en satin d’Orient que brodaient des vols d’or; tout un golfe d’Asie ondoyait dans sa queue et mes rêves d’enfant y sont bercés encore.
Marie de Régnier, from La robe bleue
Marie de Régnier (20th December 1875 – 6th February 1963, also known by her maiden name Marie de Heredia or her pen-name Gérard d'Houville), French novelist and poet
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Marie de Régnier and her sister Louise de Heredia (1897)
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oldsardens · 3 months ago
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Anto-Carte - Jeune fille à la robe bleue. 1932
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