#la princesse lointaine
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lepetitdragonvert · 1 year ago
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La princesse Mélissinde et le chevalier Bertrand / Princess Melisande and Bertrand
Artist : Auguste François Gorguet (1862-1927)
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eternal--returned · 4 months ago
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Alphonse Mucha ֍ Sarah Bernhardt as La Princesse Lointaine, for La Plume magazine (1897)
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zebreacadabra · 5 months ago
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"Have One On Me" comparison
-Focus on Sarah Bernardt -
As Joanna said in an interview, a model in a some parisian art studio around 1920 in Paris (France) is one of the inspirations for the HOOM cover photo. As I already said, Sarah Bernardt (mostly active between 1860 and 1915), represent a comparison that can be considered as a little bit anachronic from the date Joanna give. But there is too much resemblance for not being mentioned. First of all, as the most famous actress of her time, she was depicted by a lot of difrent painters, mostly in strong "femme fatale" or lasive pose, that match with the HOOM cover picture. Than more over, if the Alphonse Mucha's atelier was the parisian art studio that Joanna refers to, it can't be better matching as Sarah Bernardt was modeling for him. The French actress and the Czech artist was close friends. For difrents portraits, and several theater posters, she posed for him. In one of the previous post you can see some of her "portrait posters" in the background of the atelier. Is Sarah Bernardt the model posing in Paris that Joanna pointed out? She can be a good chalenger, for sure.
Here we have in order, portraits mades by :
Georges Rochegrosse
Georges Rochegrosse
Georges Clairin
Georges Clairin (depicted in the role of Theodora)
Georges Rochegrosse (painting that can be seen in the picture of her privet appartement )
And the Mucha's prints:
Theater posters:
Medee
Hamlet
La Dame Aux Camélias
Lorenzaccio
Gismonda
La Samaritaine
La Tosca
Also:
Portrait with stars background and lily flowers crown
Portrait featured on famous biscuit box Lefèvre-Utile (LU)
Portrait as her caracter in "La Princesse Lointaine"
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lilias42 · 2 months ago
Note
Helloooo! J'ai vu que tu mentionnais le conte de l'Auvergnat dans une réponce! Est ce qu'il y a d'autre légende qui t'inspire quand tu ecrit ?
Coucou ! Merci pour la question ! Et ah ! Contente de voir quelqu'un d'autre qui connait ce conte ! :D
Et c'est pas si rare que je m'inspire de contes plus ou moins directement. ça peut être des éléments de contes qui sont repris tel quel de conte par exemple, comme le coup du crapaud maléfique et il y aurait peut-être aussi un moment où quelqu'un tenterait de graver une croix sur le père de Dil, Caemgen, pour affaiblir ses pouvoirs et tenter de l'exorciser, même si ça finit avec Caemgen qui rétorque "mec, j'ai littéralement un chapelet sur moi, ça sert à rien".
Sinon, je pense qu'en inspirations plus lointaines, même si ce n'est pas vraiment des contes, il y a le Roman de Renart que j'ai lu y a un moment et que j'avais vraiment beaucoup aimé, surtout que j'avais une version en ancien français alors ça mettait bien dans l'ambiance de l'époque. J'aime beaucoup le personnage de Renart avec son côté très malin, qui s'en sort toujours grâce à sa ruse mais qui peut se faire doubler par plus malin que lui avec Tibert le chat, mais qui compte aussi beaucoup sur sa femme dans les quelques histoires où elle apparait (on le voie confier son fort à son épouse lorsqu'il part par exemple). Qui sait, c'est peut-être de là que vient inconsciemment le côté roublard de Gwilim qui n'hésite pas à frauder le roi et passer au-dessus de la loi pour que ses sujets ne finissent pas complètement exsangues d'impôts. Sinon, je m'inspire aussi des contes russes, surtout ceux qui ont été retranscrit en film d'animation par les studios soviétiques Soiouzmoultfilm qui sont vraiment magnifiques (faut dire, quand ton budget, c'est l'Etat pour former de bons petits soviets, ça aide), en particulier le film "Le Petit Cheval Bossu" qui est adapté d'un opéra, ou la "Princesse-grenouille" qui lui vient d'un conte russe, que j'ai beaucoup regardé quand j'étais petite, même si j'ai lu la version écrite bien plus tard (les deux sont disponibles sur Youtube).
Sinon, il y a aussi la mythologie grecque (et les quelques brides de mythologie perso qu'avaient les romains mais bon, les romains, c'est des militaires, ils vont à l'essentiel - même leurs villes ont un modèle de camp militaire pour dire ! - et ils sont complètement dans l'orthopraxie [même manière de faire dans un cadre religieux, en opposition avec l'orthodoxie où là, c'est tout le monde pense la même chose], faut que ce soit un maximum carré et sans accro sinon, il recommence tout, même s'ils peuvent "tricher" pour avoir le résultat qu'ils veulent [comme faire jeuner les poulets la veille pour être sûr qu'il ait de l'appétit quand on fera la prédiction par exemple]) qui m'inspire beaucoup, surtout quand mes histoires sont pendant l'Antiquité, même si je reprend rarement les histoires au pied de la lettre et j'adapte les récits pour notre époque et / ou que ça passe mieux pour le scénario vu que souvent, on ne voie pas les héros pendant les exploits guerriers mais, dans le quotidien et avec des civils tout autour qui doivent se débrouiller pour savoir comment tu te débrouilles pour gérer un alcoolique à l'alcool très mauvais qui a eu la mauvaise idée d'avoir une super force (coucou Héraclès version grecque où si ces actes sont dignes d'être admirés, son comportement est TOUT ce qu'il ne faut pas faire pour un homme grec). Après tout, les grecs faisaient eux-mêmes des modifications dans leurs histoires, que ce soit car ils ont un trou de mémoire, pour plaire au public, ou pour faire l'histoire qu'ils préfèrent eux alors, je ne me prend pas la tête avec le respect du matériel source pour rester coller au "canon" de la mythologie.
En gros, c'est souvent ça avec les légendes qui m'inspirent : on garde le squelette et on adapte selon ce qui arrange. De toutes façons, c'est de l'oral à la base alors, ça a dû être modifier des milliers de fois avant d'arriver jusqu'à nous. Quitte à me prendre la tête, je préfère le faire pour que l'histoire se tienne plutôt que de respecter religieusement un canon dont tout le monde se fichait à l'époque.
Faudrait que je lise aussi du Georges Sand vu qu'elle a retranscrit pas mal de contes du Berry, ou les légendes arthuriennes, même si je lis vraiment pas beaucoup pour l'instant, surtout que je suis en voiture en ce moment pour le boulot, pas en transport alors, voilà quoi. Enfin, je me débrouillerai bien !
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mote-historie · 2 years ago
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1895 Sarah Bernhardt in the role of Melissinde ‘La Princesse Lointaine’ or Faraway Princess by Edmond Rostand, Theatre de la Renaissance.  
By 1890 Lalique had his own workshop and atelier, and a workforce of 30. Patronage from actress Sarah Bernhardt in the mid 1890s led to her wearing spectacular stage jewellery designed by him. In 1896 during an evening of celebration to mark Bernhardt’s 30 years as an actress each guest received a silver medal engraved by Lalique with her image. Bernhardt would introduce Lalique to a wealthy Portuguese art collector, Calouste Gulbenkian. He would commission 145 jewelled objects between 1895 and 1912, freeing Lalique up from any financial concerns, while allowing his creativity to soar. A display of his work at the Exposition Universelle in 1900 is considered the peak of his jewellery career; in the same year he was awarded Officer of the French Legion D’Honneur. (x) 
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hana-ko56 · 1 year ago
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L’Éclipse Des Cœurs
Dans un royaume lointain, deux terres se faisaient face, séparées par une mystérieuse éclipse qui survenait une fois par an. À l'Est, se dressait le royaume ensoleillé de Lumina, réputé pour ses vastes prairies verdoyantes et ses châteaux éblouissants baignés de lumière. À l'Ouest, se trouvait le royaume lunaire d'Umbrus, un endroit envoûtant enveloppé d'une brume nocturne où les étoiles brillaient d'un éclat mystique.
Depuis des siècles, ces deux royaumes étaient en conflit, cherchant à étendre leur territoire et à s'affirmer comme le royaume suprême de la contrée. La haine entre les deux nations était profonde, et chaque royaume interdisait strictement tout contact avec l'autre.
Cependant, au-delà de la haine et des querelles, un phénomène mystique et inexpliqué se produisait pendant l'éclipse annuelle. Pendant ces moments fugaces, quand le soleil et la lune semblaient se toucher, une force magique permettait une brève ouverture entre Lumina et Umbrus.
C'est pendant l'une de ces éclipses que les destins de deux âmes brisées se sont croisés. La princesse Isabella, héritière du royaume de Lumina, se sentait étouffée par les attentes pesantes de la cour royale. Sa passion pour l'art et l'exploration était constamment réprimée par les règles strictes de l'étiquette.
De l'autre côté de l'éclipse, le prince Alexander d'Umbrus, faisait face à des responsabilités similaires, mais son cœur aspirait à la liberté et à l'aventure au-delà des sombres murs du château.
Alors que l'éclipse approchait, tous deux ressentaient une irrésistible attraction vers l'inconnu. Ils se retrouvaient incapables de résister à la tentation de découvrir ce qui se cachait de l'autre côté du voile magique. Guidés par le mystère de l'éclipse, Isabella et Alexander se lancèrent dans une quête secrète qui changerait à jamais le destin de leurs royaumes et de leur propre cœur.
Lorsque l'éclipse atteignit son apogée, un étrange phénomène enveloppa les royaumes de Lumina et d'Umbrus. Une douce lumière dorée se mêla à la lueur argentée de la lune, créant un halo envoûtant autour du voile magique qui les séparait. C'était le signe que l'éclipse était arrivée, et que le moment propice pour la rencontre était venu.
Isabella, habillée d'une cape sombre pour se fondre dans l'obscurité, s'était éclipsée discrètement du château royal de Lumina. Elle avait gardé secrètement la connaissance de l'éclipse des cœurs, une légende familiale transmise de génération en génération, qui racontait la possibilité de rencontrer un être spécial de l'autre royaume pendant cette nuit magique.
De son côté, Alexander avait attendu des années l'arrivée de l'éclipse, espérant que cette fois serait différente. Il avait fait des recherches sur les anciennes chroniques d'Umbrus pour percer le mystère de l'éclipse des cœurs. Grâce à ces écrits, il avait finalement découvert le lieu où l'éclipse ouvrait un passage entre les royaumes.
Sous le couvert de la nuit, Isabella et Alexander se retrouvèrent face à face au milieu d'une clairière secrète, nichée à la frontière des deux royaumes. Leurs regards se croisèrent, et un frisson d'électricité parcourut leurs échines.
« Je ne m'attendais pas à vous voir ici », murmura Isabella, les yeux pétillants d'une curiosité intrépide.
Alexander lui sourit, un sourire énigmatique qui dissimulait à peine son cœur qui battait la chamade. « Moi non plus, princesse. Mais je suis enchanté que le destin nous ait réunis. »
Au cours de cette nuit magique, ils parlèrent de leurs passions et de leurs rêves les plus profonds, réalisant qu'ils avaient plus en commun que les barrières artificielles qui les séparaient. Isabella partagea ses œuvres d'art, tandis qu'Alexander dévoilait ses connaissances sur les mystères anciens d'Umbrus.
Les heures s'écoulèrent comme des instants fugaces, et ils étaient à peine conscients de l'aube qui pointait à l'horizon. Le lien qui grandissait entre eux était inexplicable et intense, comme si leurs cœurs avaient toujours été liés.
Cependant, les premières lueurs du jour les rappelaient à la réalité. Ils savaient que rester ensemble était dangereux, car la découverte de leur rencontre interdite déclencherait inévitablement la colère de leurs royaumes.
Le cœur lourd, ils échangèrent un dernier regard empreint de promesses muettes et se séparèrent, chacun retournant à ses responsabilités dans leurs royaumes respectifs.
Mais à partir de ce moment, Isabella et Alexander savaient que leur destin était lié par une force qui dépassait le pouvoir des royaumes. Ils se trouvaient face à un dilemme : préserver leur amour naissant malgré les risques ou renoncer à cette relation interdite au nom de la loyauté envers leur peuple.
Et ainsi, leur aventure romantique, au-delà des contraintes de Lumina et d'Umbrus, était en marche. Ils avaient survécu à leur premier rendez-vous caché, mais ce n'était que le début d'une épreuve qui les mettrait à l'épreuve et les rapprocherait encore davantage.
Au fil des éclipses suivantes, Isabella et Alexander se retrouvèrent régulièrement dans leur clairière secrète, cherchant des moments de répit et de passion au milieu des conflits de leurs royaumes respectifs. Leur amour grandissait en intensité, devenant un lien indestructible qui transcendait les différences de Lumina et d'Umbrus.
Cependant, leur relation clandestine n'était pas passée inaperçue. Des rumeurs commençaient à circuler dans les cours royales, alimentant la méfiance entre les deux royaumes rivaux. Les conseillers royaux d'Isabella et d'Alexander avaient leurs soupçons, et ils ne reculeraient devant rien pour découvrir la vérité.
Isabella se retrouva confrontée à un choix difficile : continuer à se risquer à des rencontres secrètes avec Alexander, ou sacrifier leur amour au nom de la sécurité et de la paix entre Lumina et Umbrus.
De son côté, Alexander était déterminé à protéger Isabella, même si cela signifiait se tenir loin d'elle pour préserver la paix fragile entre les royaumes. Mais son cœur le poussait dans une direction différente, car il savait que l'amour qu'ils partageaient pouvait être la clé pour réunir leurs peuples divisés.
Alors que les tensions entre Lumina et Umbrus s'intensifiaient, une ancienne prophétie refit surface, parlant d'un amour interdit entre les héritiers des deux royaumes. La prophétie prédisait que cet amour serait à la fois une bénédiction et une malédiction, apportant à la fois la paix et la discorde.
Les conseillers royaux d'Isabella et d'Alexander virent cette prophétie comme une confirmation de leurs soupçons. Ils décidèrent de les séparer définitivement, convaincus que c'était la seule façon de sauver leurs royaumes.
Pourtant, Isabella et Alexander refusaient de se plier à la volonté de leurs conseillers. Ils savaient que leur amour était plus fort que toute prophétie ou barrière magique. Ensemble, ils décidèrent de rechercher la clé qui pourrait unir Lumina et Umbrus, brisant ainsi le sort qui les maintenait séparés depuis des siècles.
Leur quête les conduisit à travers des paysages enchantés et des épreuves dangereuses. Ils firent face à des créatures magiques et à des énigmes énigmatiques, mais leur détermination ne faiblit pas. Au contraire, elle grandit encore plus, renforcée par l'amour qu'ils se portaient l'un à l'autre.
Au sommet d'une montagne sacrée, ils découvrirent un ancien autel où le pouvoir de l'éclipse était le plus fort. Là, ils comprirent qu'ils devaient sceller leur amour par un acte d'unité, mettant ainsi fin à la malédiction et ouvrant la voie à la paix entre Lumina et Umbrus.
Main dans la main, Isabella et Alexander firent appel aux forces de l'amour pour briser le voile magique qui les séparait. Une lumière éblouissante émana de leur étreinte, et l'éclipse s'évanouit lentement.
Soudainement, la clairière secrète s'illumina alors que la barrière entre les royaumes tombait. Les deux peuples, émerveillés, virent que l'amour d'Isabella et d'Alexander avait triomphé.
Le roi et la reine de Lumina et d'Umbrus comprirent qu'ils ne pouvaient plus s'opposer à cet amour. Au lieu de cela, ils décidèrent de réunir leurs royaumes en un seul, où la magie de l'éclipse des cœurs perdurerait pour toujours.
Ainsi, Isabella et Alexander devinrent les souverains d'un royaume uni, où la force de leur amour éclairerait la vie de leur peuple, créant une ère de paix et d'harmonie.
Et dans cette nouvelle ère, chaque éclipse annuelle serait célébrée comme le symbole de l'unité entre Lumina et Umbrus, rappelant à tous que l'amour a le pouvoir de transcender les frontières et de réaliser l'impossible.
FIN
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detournementsmineurs · 1 year ago
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"La Princesse Lointaine" lithographie d'Alfons Mucha (1897) présentés à l'exposition "Sarah Bernhardt. Et la Femme Créa la Star" au Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, juillet 2023.
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paulysson1 · 2 years ago
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Alain
Tu es parti.
J'ai pleuré,
Comme-ci "tue" étais mon propre Père.
Mon Odin à moi,
Je crois en toi,
Comme tu disais "pour le paradis mon passeport est le mien".
Je me rappellerai toujours de tes histoires,...
que m'as-tu caché de plus scélérat aha,
Sur ma poitrine un grand coups dans le cœur,
Je me relève,
Je vivrai en ton honneur !
Un rêveur,
Il aimait la vie,
Femme, enfants, ex et touticounti.
C'est mensonge de dire qu'il ne resolvait pas les ombres,
Les peines des taches des démons.
Il éclairait la vie,
Avec une vie pépère,
Bien mérité en terre picarde,
Les terres qui l'ont bâtis.
Laissez-moi vous parlez de cet Être ==>
Il créait des paradis,
Un exemple, par exemple des exemples au travaille.
C'était un sacré filou, toujours l'histoire au bout du chemin,
Il se répétait quelque peu mais c'était un héros, c'était afin de marquer les esprits.
Et quel Esprit !
Cet homme, qui n'était même de ma famille,
Pourtant il m'avait adopté,
Prit dans son jolie nid.
Père de deux jolies filles,
Aussi capricieuses que des anguilles
Mais ce sont tes petites princesses,
J'en prendrais soin toute ma vie.
Si je dois terminer ce poème,
Je dirais que tu étais certainement un modèle,
En qualités et défauts,
Je remplirais ma tâche,
De te ressembler dans tes plus lumineuse faces.
Je t'aime.
Viel homme fatigué,
Les ombres ton traînes dans le lointain.
Je te recherchais de l'autre côté
Reprendre u jacuzzi ensemble, avec u bon verre de whisky.
Je ne suis saint je ne peux te ramener auprès des tiens, j'en navré vieux pkte,
Je dérive et c'est mieux, sur la rivière,
De tes reveS,
Je me transporte, je me balade,
J'envisage ton jolie visage,
Et surtout une petite liqueur.
Je sais que d'où tu es m, tu prendra soin des tiens.
Et n'oublie jamais,
Je t'aime,
Alain
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au-jardin-de-mon-coeur · 2 years ago
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Il était une fois dans un pays lointain, très lointain, une jeune princesse fut bannie de sa maison, le royaume mystique. Emportée par la seule vie qu'elle connaissait, elle ne pouvait que rêver de ce qu'elle avait autrefois dans la beauté des bois. Comme les papillons volent et les pétales de fleurs tombent, cela reflète les saisons de notre vie, les choix que nous faisons et la beauté qui émerge dans les endroits les plus sombres. Avec des robes imaginées par Nonoo et peintes à la main par de Gournay , elle nous emmène dans les bois et s'empare de nos cœurs…
http://annstreetstudio.com
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ondessiderales · 6 days ago
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Adolescence
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Rin-Len Kagamine - Adolescence
Nous nous étions fait la promesse d'une danse éternelle mais la croissance de ma poitrine l'a rendue impossible à tenir. Nos cheveux soyeux se reflètent dans le miroir. Nous nous les peignons réciproquement. Dans le même lit, nous tremblions tous les deux. Main dans la main, nous étions comme unis par un même fil.
Un visage inconnu m'apparaît suivi d'un doux murmure. Je saisis un marteau et brise la vitre qui éclate en morceaux. Nous détruisons le château que l'on avait construit ensemble. Le son des os grinçants est la cloche qui annonce la fin de la princesse et du prince charmant.
Nous ne sommes plus le reflet de l'autre. La longueur de nos doigts maintenant diffère.
Dormirons-nous désormais dans un lit différent ? Tu viens me murmurer "Bonne nuit". Tournant la poignée, tu ouvres la porte. En entendant son grincement je suis venu te rattrapper. J'ai déposé un baiser sur ton doigt tendu. L'envie de m'enfuir a parcouru mon dos à cet instant-là.
"N'éteins pas la lumière, je dormirai toute seule demain soir. Je ne suis pas encore prête à l'être cette nuit", dis-je en te frappant avec l'oreiller. "J'ai peur des monstres"
"N'est-ce pas un peu puéril ma princesse ?" Tes yeux pleins de larmes semblent pourtant me dire que j'ai tort.
Le temps passé avec maman et papa n'est plus qu'un rêve lointain. Ta chaleur passe à travers le fin fil qui nous unit et me fait perdre mon sang froid.
Sans un mot, tu fermes la porte à clé. Nous nous regardons les yeux dans les yeux Tous les deux à la recherche d'une réponse. Je vais laisser passer ton excuse infantile et éteindre les lumières. Je ne devrais pas toucher ces cheveux, mais je n'hésiterai pas à mentir.
Le temps s'est soudainement arrêté. Deux personnes se partagent un baiser. J'aimerais pouvoir synchroniser les battements de mon cœur avec les tiens. Ton souffle chaud s'estompe tout comme la chaleur de l'étreinte. Je n'irai pas plus loin que ça, je ne suis que ton chevalier.
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coulisses-onirisme · 10 days ago
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Sasseta, Mariage mystique de Saint François (musée Condé, Chantilly) La charité, la pauvreté, l'humilité.
Le Monstre marin ; L'Enlèvement d'Amymoné (autre titre)
Titre
Le Monstre marin ; L'Enlèvement d'Amymoné (autre titre)
Auteur
Dürer Albrecht En savoir plus
Création
Date de création
1498 vers
Description
L’une des estampes les plus mystérieuses de Dürer, baptisée par ce dernier le « Monstre marin » (Meerwunder) dans son Journal aux Pays-Bas, semble convoquer l’un des mythes germaniques auxquels on aime généralement associer l’artiste. Un monstre mi-homme mi-poisson, affublé de bois de cerf et brandissant une carapace de tortue en guise de bouclier, enlève une jeune princesse, coiffée, selon les interprétations, à la milanaise ou à l’orientale. Elle lance un regard aussi éploré que résigné vers la rive où elle prenait les eaux avec ses compagnes terrorisées, alors qu’accourent ses parents désemparés. Ce drame marin s’inscrit dans un paysage alpin, devant un château semblable à celui de Nuremberg, tandis qu’au fond apparaît dans le lointain un petit bateau que le monstre semble redouter. Dürer fait preuve ici d’une maîtrise absolue de la technique du burin, disposant un dense réseau de lignes horizontales pour ménager des reflets sur l’eau et former un fond plus sombre qui met les figures en valeur. La scène d’enlèvement, hautement sensuelle, semble n’être qu’un prétexte pour graver un gracieux nu féminin à l’antique. C’était une préoccupation partagée par son contemporain Jacopo de’ Barbari, qui reprit le motif de la nudité alanguie dans la Victoire se reposant parmi les trophées : la construction du corps, le placement des bras, la lumière venant de la droite ou le traitement de la poitrine sont rigoureusement identiques. Jacopo réutilisa cette même pose pour sa gravure religieuse de la Vierge à l’Enfant qui fut diffusée en Allemagne (voir par exemple sa reprise dans le relief de Hans Daucher, Bâle, Historisches Museum, inv.-Nr.1932.1159, vers 1515). Les échanges entre Dürer et Barbari étaient en effet nourris : ce dernier avait d’ailleurs proposé un peu plus tôt un triton comparable au monstre dürérien (gravure de Triton et Néréide, vers 1496-1497) ; tous deux s’inspirèrent d’ailleurs très certainement des monstrueux dieux marins de Mantegna. Comme Barbari, Dürer porta un intérêt grandissant au nu féminin classique à partir de la fin des années 1490, notamment après son retour d’Italie. On peut enfin noter des similitudes entre la composition du Monstre marin et le dessin de L’Enlèvement d’Europe (Albertina, inv. 3062) ou le nu féminin qui est tiré de ce dernier (Albertina, inv. 3072). Le Monstre marin n’a été associé avec certitude à aucune source littéraire : on a voulu y reconnaître Amymoné enlevée par Poséidon, la nymphe Périmélé sauvée par le même dieu, ou encore Scylla courtisée par Glaucos, une créature mi-homme, mi-poisson. Mais peut-être faut-il écarter la mythologie gréco-romaine et se tourner plutôt vers une légende germanique (comme celle des origines antiques de Nuremberg), à moins qu’il ne s’agisse de la métaphore, chère aux humanistes proches de Dürer, du transfert de la Renaissance à l’antique depuis l’Italie jusqu’au nord des Alpes. Mathieu Deldicque
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eternal--returned · 3 months ago
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Alphonse Mucha ֍ Ilsée, Princesse de Tripoli (1897)
Based on Edmond Rostand's La Princesse Lointaine, written for Sarah Bernhardt in 1895, L'Ilsée, Princesse de Tripoli was commissioned from the author Robert de Flers by the Parisian publisher Henri Piazza.
By the time De Flers had completed his manuscript, Mucha had only three months to prepare 134 coloured lithographs before the edition was due to go to print.
Mucha later wrote of the experience: 'We worked on four stones simultaneously. I did some of the drawings straight onto the stone. Other things, particularly the decorative edgings, I drew on tracing paper which was then passed on to the draughtsmen who continued the work with the colors I specified. I hardly had time to sketch out the motif for an ornament when they came and took it from my hands and got down to work on it.'
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yespat49 · 2 months ago
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Apollo et l’empire du mensonge
par Laurent Guyénot Seuls les héros des mythes et des contes peuvent voyager physiquement dans l’Autre Monde et en revenir vivants1. L’Autre Monde est alors représenté comme un pays lointain et inaccessible au commun des mortels. Dans certaines traditions asiatiques, comme dans « Le Conte de la Princesse Kaguya », la lune joue ce rôle. Ce n’est pas le cas en Occident. Néanmoins, sur un plan…
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astroone · 5 months ago
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Par le décret de votre puissance Suprême
Vous êtes la princesse lointaine ,
Celle qui dérobe
Les âmes et rêves des hommes
Qui se perdent sous vos robes
Leurs yeux vers votre summum
Se tendent
se bandent
De leurs paupières éveillées
Papillons qui de votre lumière
Sont friands.
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epopoiia-leblog · 5 months ago
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Un moment tant attendu
Il était une fois un moment tant attendu. Mercredi soir, les copains du théâtre, joyeuses retrouvailles, salut, ça va, tope-là, les filles se font la bise, les garçons se chambrent un peu, c’est bon enfant, on a tous surtout hâte que le cours commence. Là, notre professeure, elle n’en peut déjà plus de nous, on la rend folle mais elle nous aime bien quand même. On le sait bien. En piste, nous dit-elle. Les pieds sur le parquet, cour à gauche, jardin à droite, la scène est à nous. On fait le radeau, cris d’animaux, nous voilà chiens, chats et singes, pourquoi pas ?  Maman, Papa, Mamie aussi, on les imite les vieux messieurs, les vieilles dames, clochards, paysans, présidents, stars de cinéma, et puis c’est toi, et puis c’est moi, on se ridiculise, certains se vexent, ça nous amuse, ça nous fait rire, c’est ça aussi être copains. Pas de pleurs, pas de larmes ou alors pour de faux, mais de vraies rigolades.  Viens le temps des histoires. On les invente, de toutes pièces, rien n’a de sens, on raconte n’importe quoi, notre imagination déborde mais peu importe c’est ça le jeu. Et puis voici le texte, celui des auteurs, morts ou vivants, ceux qui écrivent, leurs personnages 0n les incarne. Leurs peaux, on les épluche, comme des bananes, et sur nos dos on les porte leurs grands manteaux, sur nos têtes, masques de fous, on s’y cache dessous, mais de nous il en reste encore un peu. Petits enfants, nous voilà rois ou martyres, princesses, servantes, héros ou criminels, rien de bien méchant, tout ça c’est pour de faux. Clap clap ! On s’applaudit, on en veut encore mais vient le temps de tirer le rideau. Tout est déjà terminé. Les au revoir s’éternisent, papas et mamans klaxonnent, il faut y aller. Dans la voiture, monte une petite fille, elle regarde ses amis s’en aller et ces joies de l'enfance qui s’éloignent avec eux, qui bientôt ne seront plus qu’un souvenir lointain. En reste désormais, des amitiés perdues, une scène regrettée et une histoire à raconter.
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problematicseries · 6 months ago
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PROBLEMATIC SEASON 4
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults and fictional, names are used for a face and don’t represent anybody.
FR FANFIC
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Episode 2 : Dying light
Heeseung regarde les étoiles et se retourne vers Chae.
Il aperçoit qu’elle grelotte légèrement sous sa couverture de survie.
Il se lève et pose la sienne sur elle.
« Merci Hee » répond Chae, celui ci hoche la tête et va marcher sur le bord de la plage, trouver des morceaux de bois afin de maintenir le feu en vie.
Alors que Chae se rendort, épuisée par les événements, Heeseung se lève discrètement et se dirige vers le bord de la plage.
La lueur de la lune éclaire son chemin alors qu'il avance sur le sable froid, ses pieds laissant des empreintes éphémères derrière lui.
Le bruit des vagues qui se brisent contre le rivage accompagne ses pas. Il se met à chercher des morceaux de bois flotté, les ramassant un par un et les empilant dans ses bras.
L'air marin est frais et vivifiant, mais Heeseung reste concentré sur sa tache.
Son esprit est envahi par le crash, la mort de ses amis et son frère, une douleur sourde qui ne le quitte pas.
Il serre la mâchoire, refoulant ses larmes, et prend une grande inspiration, l'air salé lui piquant les narines. Ses mains tremblent légèrement alors qu'il continue de ramasser du bois, chaque morceau lui rappelant l'absence de son frère.
Mais il ne peut pas se permettre de s'effondrer maintenant. Heeseung se redresse, les bras chargés de bois, il relève le regard.
La perte de ses proches le hante, mais il sait qu'il doit rester fort pour Chae. Chaque morceau de bois qu'il ramasse devient une promesse silencieuse de protection.
Il serre les poings, baisse la tête, une larme coule sur sa joue alors qu’il murmure « Pourquoi ai-je survécu et pas lui… »
Sa respiration se stabilise, et une résolution froide envahit ses traits. Il doit protéger Chae, coûte que coûte. Sa mission n'est plus simplement de survivre, mais de s'assurer que Chae reste en sécurité, peu importe les dangers qui les attendent.
Heeseung revient à l'abri, les bras chargés de morceaux de bois. En silence, il les ajoute au feu crépitant, veillant à ce que les flammes restent vives. Une fois satisfait de la chaleur et de la lumière, il s'étend près de Chae, les yeux fixés sur les étoiles.
Malgré la fatigue, son esprit reste en alerte, prêt à réagir à la moindre menace. Il se couche, le corps épuisé mais l'esprit résolu à veiller sur Chae jusqu'à l'aube.
Heeseung, alors qu'il somnolait, est brusquement tiré de son sommeil par une sirène lointaine.
Le son résonne dans sa tête alors qu'il s'assoit brusquement, cherchant à identifier la source de ce bruit perturbateur. Son esprit encore embrumé tente de démêler les sons, essayant de comprendre ce qui se passe autour de lui.
La sirène, persistante et assourdissante, le remplit d'une inquiétude grandissante.
« Qu’est ce que c’est ? » demande Chae en se retournant vers Heeseung.
« J’en ai aucune idée Chae » répond Heeseung.
.- POV JANG -
Une sensation dans sa nuque la réveille doucement.
San, dans le lit de Jang, collé contre son dos, dépose de tendres baisers sur sa nuque.
Il murmure doucement à son oreille, sa voix chaude et rassurante, "Bonjour princesse." Jang frissonne légèrement sous ses lèvres, un sourire naissant sur son visage alors qu'elle s'éveille lentement à cette douce attention.
« Bonjour San » répond elle en se retournant et l’embrassant.
Soudain, elle se retourne et attrape son téléphone portable, voir si elle a des nouvelles de la situation.
San s'adosse contre la tête de lit, ses abdos saillants et ses pectoraux musclés captant les premiers rayons de soleil qui filtrent à travers les rideaux. Il se passe la main sur le visage, tentant de chasser les derniers vestiges de sommeil, son expression affichant une détermination tranquille.
Jang s’assoit sur le rebord du lit et se redresse en mettant sa main sur sa bouche en lisant l’article avant de le lire à voix haute.
« Crash du vol 707 : échanges depuis la tour de contrôle, les dernières communications laissent entendre que personne n’a survécu ».
Jang montre son écran de téléphone à San.
« Les secours seront envoyés d’ici 72h… QUELLE BANDE D’ABRUTIS » s’exclame Jang en se levant du lit.
« Détends toi, ils ont retrouvé l’avion et vont envoyer des secouristes » répond San en cherchant du regard son caleçon sur le sol.
« CHOI SAN JE VAIS PAS ME CALMER BORDEL, s’il y a des survivants, ils ont besoin de soins IMMÉDIATEMENT, pas dans 72h alors que le crash a eu lieu hier soir !! » hurle Jang dans sa chambre.
« S’il envoient les secours dans 72h c’est qu’il ne peuvent pas faire autrement Jang, arrête de tout vouloir contrôler » répond San en enfilant son caleçon et un t-shirt.
« Et toi, arrête de minimiser la chose San, c’est de nos amis qu’on parle là ? » continue Jang.
« Nos amis sont potentiellement décédés Jang, il faut faire face à la réalité, tu as tout comme moi, lu l’article, personne n’aurait pu survive à ça, du moins, sans blessures graves » répond San en fronçant les sourcils et serrant sa mâchoire.
« VA TE FAIRE FOUTRE SAN » hurle Jang en lançant son téléphone portable sur lui.
Il attrape le téléphone en plein vol, le pose sur le lit et sort de la chambre en soupirant.
Jang souffle un coup, déterminée, attrape son téléphone portable sur le lit et décide de passer un coup de fil.
« bip »
« bip »
« bip »
« Allô ? »
« Gehlee ? C’est Jang, il me faut un hélicoptère au plus vite ».
.- POV PP -
Tu te retournes et observes la tempête prendre place.
D'épais nuages noirs envahissent le ciel, tourbillonnant avec une intensité menaçante. Le vent souffle en rafales, réduisant la visibilité. Des éclairs zèbrent le ciel, illuminant brièvement le paysage tropical.
« Et bah putain au moins on va pas pleurer pour une douche » marmonne Natty.
« Pourtant ça te ferait pas de mal » répond Youngseo en regardant Natty.
« Me fais pas regretter de t’avoir sauvée » répond Natty d’un ton ironique.
Tu pousse une palette contre la porte afin de sécuriser l’entrée.
« Viens m’aider Natty » tu lui demandes.
Natty s’approche et t’aide à pousser la palette.
Vous retournez vous asseoir près de Youngseo, qui semble s'endormir malgré la douleur.
Vous veillez sur elle, essayant de lui apporter un peu de réconfort dans cette situation.
« Tu penses pas qu’on devrait faire un feu ? » tu demandes à Natty.
« Tu sais allumer un feu miss Los Angeles ? » elle te demande en levant un sourcil.
Elle continue « C’est pas parce que j’ai habité au bronx et que ma sœur a brûlé des voitures que je sais allumer un feu hein »
Tu regardes ailleurs pour éviter de rire.
« Je vais chercher de quoi faire un feu » répond Natty en se levant et avançant dans un couloir.
Tu te relèves également et essaie de savoir quel est le bâtiment dans lequel vous vous êtes réfugiées.
Tu tentes d'ouvrir une porte fermée, mais comme prévu, elle ne bouge pas d'un pouce.
Tu continues d’errer dans les couloirs et aperçois un plan d’évacuation du bâtiment.
En scrutant attentivement le plan du bâtiment abandonné, tu remarques que celui-ci semble être un laboratoire scientifique, probablement abandonné depuis longtemps.
Le bâtiment est composé de plusieurs étages, avec des salles de taille variée et des couloirs labyrinthiques. Au sous-sol, tu distingues une zone étendue, deux fois plus grande que le bâtiment principal, ce qui laisse supposer l'existence de vastes installations souterraines.
La disposition complexe et la taille de ces infrastructures soulèvent des questions sur les activités qui ont pu s'y dérouler par le passé.
« Bordel qu’est ce que c’est que ça » tu marmonnes avant d’entendre un bruit suivi d’un autre bruit au sol dans la direction que Natty a prise.
Prenant instinctivement la direction du bruit, tu te précipites vers l'endroit d'où il provient.
À ta grande consternation, tu découvres le corps de Natty, gisant inconsciente sur le sol. Son visage pâle et son immobilité témoignent de la gravité de la situation.
Devant elle, dans le noir, une silhouette armée d’une barre en fer s’accroupi au dessus de natty et analyse son visage.
« Natty ?! » s’éxclame la silhouette.
Tu t’approches, la silhouette relève la tête.
« Ahyeon ?! » tu t’exclames à ton tour.
« FAIS CHIER » répond Ahyeon.
Elle continue « J’ai paniqué je pensais que j’étais la seule survivante ».
Tu t’approches et réponds « Si tu nous frappe toutes avec ta barre en fer tu risques d’être la seule survivante oui ».
Natty reprends doucement connaissance.
« Pourquoi tu m’a frappée sale conne » marmonne Natty en se tenant la tête.
« Tu m’as surprise Nat » répond Ahyeon.
« T’as de la chance qu’on soit pas a la Fac sinon je t’aurais rendu ton coup en 10 fois plus fort pétasse » répond Natty.
Ahyeon se redresse et te demande « Attends tu a dit ‘toutes’ donc il y a d’autres survivants ? »
« Youngseo est plus loin là bas, on est 4 pour le moment… ça va toi ? t’as pas de blessures suite au crash ? » tu demandes à Ahyeon.
Elle montre ses différents bandages sur les bras et jambes avant de répondre « a part ça ? ça peut aller, quelqu’un a amorti ma chute si je puis dire ».
Natty se relève et vous allez en direction de Youngseo.
Alors que vous retournez vers elle, tu remarques que Youngseo dort paisiblement, semblant ignorant de la tension et du chaos environnants.
Son visage serein contraste avec l'agitation qui règne autour, apportant un peu de calme dans cette situation troublante.
Vous allumez un feu difficilement avec les morceaux de palette et une jerricane d’essence que Ahyeon avait trouvé plus loin.
« On doit sûrement pouvoir remettre un peu de courant ici, il y a pas un générateur de secours ? » demande Ahyeon.
« Et on est censé avoir la réponse, c’est vrai qu’on habite ici sherlock » répond Natty en se tenant le crâne.
Ahyeon regarde par la fenêtre et vous signale qu’il y a des câbles électriques encore reliés au bâtiment.
« Elle a peut-être raison la bimbo » répond Natty.
« Si vous voulez aller jeter un coup d’œil vous pouvez, moi je reste avec Youngseo » tu réponds aux filles.
Ahyeon arrache un morceau de palette et le donne à Natty.
« Prends ça, on est jamais trop prudentes » dit Ahyeon en tendant le morceau de palette à Natty.
« Oui, si jamais t’essaie de me frapper à nouveau je t’éclaterai la gueule cette fois » réponds Natty.
« Même pas cap » répond Ahyeon en riant.
Tu soupires avant de dire « Ne vous entretuez pas et faites attention où vous marchez, j’ai vu un plan tout à l’heure, le bâtiment est immense et le sous sol aussi ».
« T’inquiète, si la lumière se rallume c’est qu’on a réussi, avec de la lumière on pourra montrer qu’on est là aux secours » répond Ahyeon.
Natty fabrique une torche avec un morceau de palette, de l’essence et du tissu.
Les filles s’éloignent dans le couloir jusqu’à ce que tu ne puisses plus voir la lumière de la torche de Natty.
-POV Natty-
Natty et Ahyeon avancent prudemment dans les couloirs sombres et abandonnés, leurs pas résonnant sur le sol poussiéreux.
Après avoir progressé un moment, elles parviennent enfin à atteindre le plan du bâtiment, éclairées par la faible lueur de la torche.
« Putain elle blaguait pas, c’est immense la dedans » dit Natty.
Ahyeon regarde le plan d’un peu plus près « Y’a des ascenseurs, donc y’a forcément du courant…. ICI » dit-elle en pointant du doigt la salle de transformation électrique.
«… deuxième étage, salle 308. » répond Natty en regardant le plan à son tour.
« aide moi » dit Ahyeon en essayant d’arracher la protection plastique du mur pour prendre le plan avec elle.
Natty pose la torche prudemment avant d’aider à arracher le plastique.
Les filles continuent à avancer dans les couloirs labyrinthiques du bâtiment abandonné, scrutant chaque recoin avec attention.
Le silence pesant qui règne dans les lieux ajoute à leur anxiété alors qu'elles cherchent un moyen de s'échapper ou de trouver de l'aide.
« Les escaliers sont i… » commence Ahyeon avant de se faire interrompre par Natty « écroules en effet ».
« Merde » marmonne Ahyeon.
Les filles font demi tour en cherchant un autre moyen de monter à l’étage.
Soudain, Ahyeon s’exclame « LES ASCENSEURS ! »
« Y’a pas de courant ma belle » répond Natty en toisant Ahyeon.
« On peut essayer de remonter par les câbles » réponds Natty en avançant vers les ascenseurs.
« Et maintenant » demande Natty en regardant les deux ascenseurs fermés.
« On en ouvre un » répond Ahyeon avant d’enfoncer sa barre en fer dans la fente de la porte de l’ascenseur.
Natty s’approcher et aide à pousser la barre, ce qui entrouvre les portes de l’ascenseur.
« Putain mais ça a combien d’années » demande Natty.
« Probablement abandonné dans les années 90 » répond Ahyeon avant de jeter un coup d’œil dans le couloir d’ascenseur.
« Ok, l’ascenseur est au deuxième, il faut qu’on remonte depuis les câbles du deuxième, je n’arrive pas à le voir donc il nous bloquera pas dans l’ascension » dit Ahyeon a Natty.
« Moi qui pensait que tu étais une fille bête » dit Natty.
« Et qu’est ce qui te faisait croire ça ? » répond Ahyeon en enfonçant sa barre dans les portes du deuxième ascenseur.
« T’es amie avec Chaewon non ? » répond Natty en commençant à ricanner.
« T’es amie avec Jang et c’est pas pour ça que t’es bien élevée » répond Ahyeon en ouvrant les portes.
Natty se tait.
« T’es bonne en sports ou j’y vais ? » demande Ahyeon.
« Comment ça ? » demande Natty.
« Il faut remonter le câble comme du monter de corde » répond Ahyeon.
« Je vais surveiller ici » répond Natty.
« Ok, j’en ai pour 30 secondes » dit Ahyeon.
Ahyeon s'accroche fermement au câble de l'ascenseur et commence à remonter, faisant appel à toute sa force pour progresser.
Avec chaque tiraillement du câble, elle avance, grimpant de plus en plus haut, jusqu'à atteindre la deuxième cage d'ascenseur.
Une fois à son niveau, elle cherche un moyen d'accéder à l'intérieur pour poursuivre leur exploration ou trouver un moyen de sortir de ce bâtiment sinistre.
« Je vois pas de trappe » crie Ahyeon.
« Ni en dessous ni au dessus ? » demande Natty.
« Je vais voir au dessus » répond Ahyeon.
Une fois sur la cage d’ascenseur, Ahyeon s’exclame « Il y a bien une trappe mais elle est bloquée, je vais avoir besoin que tu montes ».
« Fais chier » répond Natty avant de grimper à son tour.
Ahyeon et Natty examinent la trappe de l'ascenseur, cherchant des moyens de l'ouvrir.
Elles tâtent les bords, vérifient s'il y a un mécanisme ou un loquet, et essaient de soulever la trappe avec leurs mains.
« On va devoir y aller à la manière forte » répond Natty.
« Doucement, les câbles n’ont pas été entretenus depuis des année, on sait pas si ça peut tenir le choc » répond Ahyeon.
Natty et Ahyeon échangent des regards déterminés alors qu'elles frappent la trappe de l'ascenseur avec force.
Chaque coup résonne dans le couloir vide, amplifiant le sentiment de tension qui règne dans l'air. Les battements deviennent de plus en plus forts.
Ahyeon tombe dans l'ascenseur avec un cri étouffé alors que la trappe s'ouvre brusquement sous les coups.
La chute d'Ahyeon dans l'ascenseur déclenche une réaction en chaîne, mettant l'ascenseur en péril.
Des grincements sinistres résonnent à travers le conduit métallique, accompagnés de craquements inquiétants. Les câbles se tendent et se relâchent sous la tension, menaçant de rompre à tout moment.
Natty se penche au-dessus de la trappe ouverte, le cœur battant, cherchant à apercevoir Ahyeon dans l'obscurité de l'ascenseur.
Elle entend un léger gémissement et voit Ahyeon se redresser, se tenant la cheville avec une grimace de douleur.
« Je t’en supplie me dit pas que tu t’es cassé la cheville » dit Natty.
« Non, ça m’a un peu secouée, toi aussi t’as ressenti la secousse ? » demande Ahyeon effrayée.
« Oui, t’avais raison à propos de la vétusté » répond Natty en regardant plus haut.
« On va se dépêcher d’ouvrir cette porte avant que ça ne s’effondre alors » répond Ahyeon en se relevant.
Elle enfonce la barre en fer dans la porte et essaie de l’ouvrir.
« Faut que tu descendes m’aider Natty je vais pas y arriver seule » dit Ahyeon en tirant sur la barre en fer.
« Si je descend, l’ascenseur va lâcher Ahyeon » répond Natty.
La structure métallique semble sur le point de céder, plongeant Natty dans une panique palpable alors qu'elle se rend compte du danger imminent.
Les deux filles s’échangent un regard inquiet alors qu’Ahyeon tire sur la barre en fer pour ouvrir les portes de l’ascenseur.
Elle entrouvre l’ascenseur suffisamment pour passer.
« Vas-y d’abord » dit Natty depuis le dessus de la cage d’ascenseur.
En relâchant légèrement la barre, les portes se referment brutalement, projetant Ahyeon contre une paroi de l’ascenseur et envoyant une nouvelle secousse.
L'ascenseur grince et vacille de plus en plus, les câbles craquent sous la pression croissante.
Des bruits métalliques stridents résonnent dans l'espace confiné, amplifiant la tension déjà palpable.
Natty ressent le sol trembler sous ses pieds alors que la menace d'un effondrement imminent plane dans l'air. Chaque seconde qui passe semble prolonger l'agonie, faisant monter l'anxiété à son paroxysme alors que l'ascenseur menace de lâcher à tout moment.
« SORS DE LA DEDANS AHYEON DÉPÊCHE TOI » hurle Natty.
Ahyeon attrape à nouveau la barre et coulisse les portes avec ses jambes avant de passer en sécurité sur le sol du deuxième étage.
Un claquement assourdissant retentit alors que les portes de l'ascenseur se referment avec violence, envoyant une nouvelle secousse à travers la cabine déjà instable.
Dans un instant de terreur, l'ascenseur lâche, entraînant Natty dans sa chute vertigineuse.
Le sol semble se dérober sous ses pieds alors que l'obscurité l'engloutit dans une descente effrénée.
La sensation de chute libre est accompagnée du vacillement et des craquements sinistres de la structure métallique en désintégration, créant un tableau terrifiant d'impuissance face à la gravité implacable.
« NATTY » hurle Ahyeon.
Ahyeon se penche au-dessus du vide, impuissante, son cœur se serrant d'angoisse alors qu'elle assiste à la scène terrifiante de Natty chutant dans l'obscurité abyssale de l'ascenseur défaillant.
Son visage pâlit devant la gravité de la situation, une bouffée d'adrénaline lui parcourant le corps alors qu'elle réalise l'ampleur du danger.
Le bruit assourdissant résonne dans tout le bâtiment, envahissant chaque recoin de l'enceinte déserte.
C'est comme si le son de la destruction s'étendait jusqu'aux tréfonds du sous-sol, annonçant la chute brutale de la cage d'ascenseur.
Une onde de choc se propage à travers les murs, témoignant de la violence de l'impact et de l'effondrement imminent de la structure métallique.
C'est un son sinistre, empreint de danger et de désolation, qui hante l'atmosphère déjà lourde de tension et de mystère qui règne dans le bâtiment abandonné.
« NATTY RÉPONDS MOI JE T’EN SUPPLIE » continue Ahyeon.
Alors que les yeux d’Ahyeon se remplissent de larmes, elle aperçoit Natty remonter le câble avec difficulté.
Chaque mouvement de sa camarade semble empreint d'une lutte acharnée contre la gravité et la peur qui les assaille.
La tension dans l'air est palpable, alors que chaque instant semble être une lutte pour la survie.
Dans le silence oppressant qui suit le bruit sourd de l'effondrement, le courage de Natty brille comme un phare d'espoir dans l'obscurité croissante qui les entoure.
Les larmes d'Ahyeon sont le reflet de ses propres craintes et de son impuissance face à la situation, mais aussi de sa gratitude envers Natty pour sa détermination et sa force dans l'adversité.
Natty arrive à hauteur de Ahyeon alors que celle ci lui tend la main.
« Saute je suis là » réponds Ahyeon en essuyant ses larmes.
Dans un geste de courage, Natty saute et attrape la main d'Ahyeon, qui lui offre son aide pour remonter. Leurs doigts se serrent dans un élan de solidarité et de détermination, alors qu'elles luttent ensemble.
Leurs respirations s'entremêlent dans l'air chargé d'émotions alors qu'elles se soutiennent mutuellement dans ce moment critique.
Natty se couche par terre.
« Putain j’ai failli y rester » soupire Natty avant de continuer « j’ai bien fait de me rattraper au câble sinon j’aurai finie en bouillie, par contre j’ai fait tomber la torche pendant la chute ».
« J’ai eu peur » réponds Ahyeon.
« Tu chialais ? C’est pas toi qui voulais me tuer tout à l’heure ? » réponds Natty en regardant Ahyeon d’un air moqueur.
« Ouais, ça m’aurait embêté qu’un stupide ascenseur te tue avant moi » répond t’elle en rigolant.
Ahyeon sort le plan de sa poche.
« La salle 307 est au fond à droite, on y est presque ».
Les filles avancent avec précaution dans les couloirs déserts, leur regard scrutant chaque recoin à la recherche de la salle 307.
« Et sinon, tu viens d’où, tu fais quoi… tout ça quoi » demande Natty alors que les deux filles cherchent la salle d’entretien technique.
« Je viens de Los Angeles, comme 90% des étudiants de notre fac, et je fais des études d’architecture, ce qui est un peu utile dans notre cas en l’occurrence » répond Ahyeon.
« Et genre.. chae tu l’aimes bien ? t’es vraiment amie avec elle ? » demande Natty.
« Je pense pas que ce soit le moment pour les ragots » réponds Ahyeon.
Après quelques instants de recherche tendue, elles repèrent enfin la salle 307.
« On y est enfin, j’espère qu’on a pas fait tout ça pour rien » s’exclame Ahyeon.
Natty s’avance pour ouvrir la porte.
« Évidemment elle est fermée » répond Natty.
Ahyeon regarde le plan.
« Non par contre pas de détour mortel encore une fois » continue Natty.
« Bouge pas, je suis là dans 2 minutes » répond Ahyeon en entrant dans une pièce accolée.
Natty patiente et en profite pour se ré-attacher les cheveux.
Soudain, un bruit de bris de vitre retentit.
Natty cherche d’où ça peut venir.
La porte de la salle 307 s’ouvre sous la stupéfaction de Natty.
« Comment t’as fais ? » demande Natty alors que Ahyeon lui tient la porte.
Ahyeon se décale et laisse Natty voir la fenêtre brisée.
« T’as escaladé ? » demande Natty.
« Il y avait un rebord entre les deux salles donc je suis passé et j’ai cassé la fenêtre » répond Ahyeon en souriant.
« Trop forte » marmonne Natty.
Natty et Ahyeon pénètrent prudemment dans la salle 307, leurs yeux balayant rapidement l'environnement à la recherche d'un générateur.
La pièce est sombre, éclairée seulement par la lumière filtrant des fenêtres couvertes de poussière. Elles distinguent quelques meubles recouverts de draps blancs et des étagères poussiéreuses, mais aucun signe évident de générateur.
Elles échangent un regard anxieux, réalisant que leur quête pour rétablir l'électricité dans le bâtiment pourrait s'avérer plus difficile que prévu.
« OH OUI » s’exclame Ahyeon devant le disjoncteur.
Ahyeon remet le courant.
Une sirène assourdissante résonne dans tout le bâtiment, remplissant chaque coin de l'espace de son son strident.
Son hurlement retentit comme un avertissement, faisant vibrer les murs et faisant frémir ceux qui l'entendent.
Le bruit déchirant coupe à travers l'air, créant une atmosphère oppressante et chaotique dans le laboratoire abandonné.
Les battements de cœur s'accélèrent alors que chacun se demande ce qui pourrait déclencher une alarme si redoutable dans un lieu aussi isolé.
Ahyeon abaisse l’un des disjoncteur coupant la sirène.
« Et la lumière fut » dit Natty, retirant les mains de sur ses oreilles alors que le bâtiment s’illumine petit à petit.
« Comment est-ce possible qu’un bâtiment abandonné depuis si longtemps ait encore l’électricité, et une si grosse sirène ? » se questionne Ahyeon.
« Aucune idée, allons retrouver les filles » réponds Natty.
Ahyeon regarde autour d’elle, pleins de documents éparpillés.
« Tu viens Ahyeon ? » demande Natty.
« Oui » répond Ahyeon en quittant la pièce.
Elles se retrouvent toutes les deux devant la porte d’ascenseur.
« Y’a aucun moyen de descendre, sauf si on fait du rappel en câble d’ascenseur » dit Natty.
« On risque rien d’autre » répond Ahyeon.
Avec détermination, Ahyeon prend de l'élan et saute vers le câble d'ascenseur qui pend dans le vide.
Ses doigts s'accrochent fermement au métal froid alors qu'elle se balance dans le vide, ses pieds cherchant désespérément un appui.
Elle parvient finalement à s'agripper au câble, ses muscles tendus sous l'effort.
Se tenant fermement, elle commence à descendre lentement, centimètre par centimètre, vers le niveau inférieur.
Elle se balance et atteint le rez de chaussé.
« À ton tour Fiona » ricanne Ahyeon.
« ATTENDS QUE JE DESCENDE TOI » crie Natty avant de descendre.
Les deux filles rigolent en avançant dans le couloir.
« T’aurais vu ta tête quand t’as cru que j’étais tombée » lance Natty.
« C’était des larmes de joie » tacle Ahyeon.
Natty lui donne un coup dans l’épaule avant de répondre « Je t’aime bien toi ».
Alors que les filles se rapprochent du lieu où elles ont laissé les autres filles, elles n’y voient personne.
« Elles sont parties sans nous les salopes ? » demande Natty.
Natty se rapproche d’un petit mot laissé par les filles.
« On est descendues au sous sol chercher des médicaments pour Youngseo »
« Mais quoi ? sans lumière ? » demande Ahyeon.
« Elles ont peut être fait une torche avant de partir » réponds Natty.
« Le feu est éteint, elles ont du partir il y a un moment déjà » répond Ahyeon.
Natty se fait une torche avant de repartir.
« Bon bah on y va » réponds Natty avant que les deux filles ne partent en direction du sous sol.
« Elles sont passées par où ? » demande Natty en regardant l’escalier effondré.
Ahyeon sort le plan et le regarde d’un peu plus près.
« Sois disant il y aurait un autre escalier qui mène au sous terrain dans le bâtiment B, on a juste à longer le bâtiment » continue Ahyeon.
Natty et Ahyeon s’enfoncent dans le bâtiment, leurs pas résonnant dans les couloirs sombres et silencieux.
La lumière éclaire à peine leur chemin, révélant des murs décrépis et des portes métalliques rouillées.
Elles avancent prudemment, jetant des coups d’œil rapides autour d'elles, leur souffle court et nerveux.
L'odeur de moisi et de renfermé emplit l'air, rendant l'atmosphère encore plus oppressante. Après plusieurs minutes de marche, elles atteignent enfin l'escalier.
« Elles sont vraiment descendues là dedans ? » demande Ahyeon écœurée.
« Probablement, allons y » répond Natty.
-POV HEESEUNG-
Heeseung se leva, essayant de savoir d’où venait la sirène.
Chae se lève à son tour.
« Des gens ont survécu ? » commence Chae.
« Arrête tes bêtises » répond Heeseung en fronçant les sourcils, le regard noir.
Chae baisse les yeux.
« Désolé » commence Hee, « Je pense qu’il y a des gens sur cette île ».
Heeseung attrape une machette laissée sur le côté de l’abri et s’adresse à Chae « Tu viens avec moi, on va se sortir d’ici ».
Chae se place aux côtés d’Heeseung alors qu’ils s’enfoncent dans la forêt.
« Une sirène ? sur une île perdue ? » se questionne Heeseung.
« C’est peut être une sirène de secouristes » répond Chae.
« Les secouristes ne peuvent pas être déjà là, le crash a eu lieu il n’y a que quelques heures » répond Heeseung.
Heeseung et Chae, se frayant un chemin à travers les arbres de la dense forêt, avancent avec détermination malgré l'obscurité grandissante.
Leurs pas résonnent sur le sol recouvert de feuilles mortes, créant un écho dans le silence oppressant de la nuit. Les ombres mouvantes des arbres semblent les guider.
Chae, sa main serrée dans celle de Heeseung, le regarde avec une confiance silencieuse, trouvant du réconfort dans sa présence alors qu'ils s'aventurent plus profondément dans l'inconnu.
« Lâche pas ma main » lui dit Heeseung en la regardant.
« T’en fais pas je te lâche pas » répond Chae.
Ils tombent tous deux sur un morceau de carcasse de l’avion.
« Reste la et garde moi ça, je vais voir si il y a des trousses de soin ou des bouteilles d’eau » dit Heeseung en laissant sa machette à Chae.
Chae l’écoute et s’assoit par terre.
Heeseung fouille frénétiquement les débris d'avion, espérant trouver quelque chose d'utile.
Il scrute chaque recoin, déplaçant les débris avec précipitation, cherchant des indices qui pourraient les aider, lui et Chae, à trouver de l'aide ou un moyen de sortir de cette situation désespérée.
Ses mains fouillent rapidement les débris, espérant trouver une lueur d'espoir parmi les ruines du crash.
Il trouva une petite bouteille d’eau.
« Chae regarde ! » s’exclama t’il en lui montrant la bouteille d’eau, tout fier et souriant.
Elle applaudit en souriant.
Le sourire de Chae s'effaça brusquement alors qu'une silhouette sombre surgit soudainement derrière Heeseung, lui assénant un violent coup à l'arrière de la tête.
Le corps inanimé de Heeseung s'effondra au sol, laissant Chae seule.
« HEESEUNG » hurla Chaewon avant de se couvrir la bouche.
Son visage se figea dans une expression de choc et de peur tandis qu'elle observait la scène avec horreur, réalisant que leur situation venait de prendre un tournant sombre et menaçant.
FIN DE L’ÉPISODE 2.
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