#la princesse lointaine
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La princesse Mélissinde et le chevalier Bertrand / Princess Melisande and Bertrand
Artist : Auguste François Gorguet (1862-1927)
#auguste françois gorguet#melissinde#melisandre#chevalier bertrand#knight#bertrand#Bertrand d’allamanon#princess of tripoli#la princesse lointaine#edmond rostand#mélissinde#medieva#art#squire
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Alphonse Mucha ֍ Sarah Bernhardt as La Princesse Lointaine, for La Plume magazine (1897)
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Alphonse Mucha (Czech, 1860 - 1939) • Sarah Bernhardt as La Princesse Lointaine • Poster for La Plume magazine • 1897
#illustration#art#illustrator#alphonse mucha#art nouveau illustration#poster illustration#magazine illustration#sarah bernhardt#french poster#fin de siècle artwork#artwork#sassafras and moonshine blog
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"Have One On Me" comparison
-Focus on Sarah Bernardt -
As Joanna said in an interview, a model in a some parisian art studio around 1920 in Paris (France) is one of the inspirations for the HOOM cover photo. As I already said, Sarah Bernardt (mostly active between 1860 and 1915), represent a comparison that can be considered as a little bit anachronic from the date Joanna give. But there is too much resemblance for not being mentioned. First of all, as the most famous actress of her time, she was depicted by a lot of difrent painters, mostly in strong "femme fatale" or lasive pose, that match with the HOOM cover picture. Than more over, if the Alphonse Mucha's atelier was the parisian art studio that Joanna refers to, it can't be better matching as Sarah Bernardt was modeling for him. The French actress and the Czech artist was close friends. For difrents portraits, and several theater posters, she posed for him. In one of the previous post you can see some of her "portrait posters" in the background of the atelier. Is Sarah Bernardt the model posing in Paris that Joanna pointed out? She can be a good chalenger, for sure.
Here we have in order, portraits mades by :
Georges Rochegrosse
Georges Rochegrosse
Georges Clairin
Georges Clairin (depicted in the role of Theodora)
Georges Rochegrosse (painting that can be seen in the picture of her privet appartement )
And the Mucha's prints:
Theater posters:
Medee
Hamlet
La Dame Aux Camélias
Lorenzaccio
Gismonda
La Samaritaine
La Tosca
Also:
Portrait with stars background and lily flowers crown
Portrait featured on famous biscuit box Lefèvre-Utile (LU)
Portrait as her caracter in "La Princesse Lointaine"
#joanna newsom#have one on me#have one on me comarison#art#alphonse mucha#art nouveau#1900#1900s#sarah bernhardt
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"Couronne" en laiton argenté, perles soufflées et strass créée par René Lalique pour Sarah Bernhardt dans la pièce "La Princesse Lointaine" d'Edmond Rostand, reprise ensuite par Joseph Porphyre Pinchon pour "Lohengrin" de Richard Wagner (1911), au-dessus d'un portrait de "Sarah Bernhardt dans la Princesse Lointaine d'Edmond Rostand" par l'atelier Nadar (1895) à l'exposition "Bijoux de Scène de l'Opéra de Paris" à l'Opéra Garnier, Paris, décembre 2024.
#expos#inspirations bijoux#bijoux de tête#ArtNouveau#végétal#perle#strass#Lalique#Bernhardt#Rostand#Pinchon#Wagner#Nadar#OperaGarnier
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Helloooo! J'ai vu que tu mentionnais le conte de l'Auvergnat dans une réponce! Est ce qu'il y a d'autre légende qui t'inspire quand tu ecrit ?
Coucou ! Merci pour la question ! Et ah ! Contente de voir quelqu'un d'autre qui connait ce conte ! :D
Et c'est pas si rare que je m'inspire de contes plus ou moins directement. ça peut être des éléments de contes qui sont repris tel quel de conte par exemple, comme le coup du crapaud maléfique et il y aurait peut-être aussi un moment où quelqu'un tenterait de graver une croix sur le père de Dil, Caemgen, pour affaiblir ses pouvoirs et tenter de l'exorciser, même si ça finit avec Caemgen qui rétorque "mec, j'ai littéralement un chapelet sur moi, ça sert à rien".
Sinon, je pense qu'en inspirations plus lointaines, même si ce n'est pas vraiment des contes, il y a le Roman de Renart que j'ai lu y a un moment et que j'avais vraiment beaucoup aimé, surtout que j'avais une version en ancien français alors ça mettait bien dans l'ambiance de l'époque. J'aime beaucoup le personnage de Renart avec son côté très malin, qui s'en sort toujours grâce à sa ruse mais qui peut se faire doubler par plus malin que lui avec Tibert le chat, mais qui compte aussi beaucoup sur sa femme dans les quelques histoires où elle apparait (on le voie confier son fort à son épouse lorsqu'il part par exemple). Qui sait, c'est peut-être de là que vient inconsciemment le côté roublard de Gwilim qui n'hésite pas à frauder le roi et passer au-dessus de la loi pour que ses sujets ne finissent pas complètement exsangues d'impôts. Sinon, je m'inspire aussi des contes russes, surtout ceux qui ont été retranscrit en film d'animation par les studios soviétiques Soiouzmoultfilm qui sont vraiment magnifiques (faut dire, quand ton budget, c'est l'Etat pour former de bons petits soviets, ça aide), en particulier le film "Le Petit Cheval Bossu" qui est adapté d'un opéra, ou la "Princesse-grenouille" qui lui vient d'un conte russe, que j'ai beaucoup regardé quand j'étais petite, même si j'ai lu la version écrite bien plus tard (les deux sont disponibles sur Youtube).
Sinon, il y a aussi la mythologie grecque (et les quelques brides de mythologie perso qu'avaient les romains mais bon, les romains, c'est des militaires, ils vont à l'essentiel - même leurs villes ont un modèle de camp militaire pour dire ! - et ils sont complètement dans l'orthopraxie [même manière de faire dans un cadre religieux, en opposition avec l'orthodoxie où là, c'est tout le monde pense la même chose], faut que ce soit un maximum carré et sans accro sinon, il recommence tout, même s'ils peuvent "tricher" pour avoir le résultat qu'ils veulent [comme faire jeuner les poulets la veille pour être sûr qu'il ait de l'appétit quand on fera la prédiction par exemple]) qui m'inspire beaucoup, surtout quand mes histoires sont pendant l'Antiquité, même si je reprend rarement les histoires au pied de la lettre et j'adapte les récits pour notre époque et / ou que ça passe mieux pour le scénario vu que souvent, on ne voie pas les héros pendant les exploits guerriers mais, dans le quotidien et avec des civils tout autour qui doivent se débrouiller pour savoir comment tu te débrouilles pour gérer un alcoolique à l'alcool très mauvais qui a eu la mauvaise idée d'avoir une super force (coucou Héraclès version grecque où si ces actes sont dignes d'être admirés, son comportement est TOUT ce qu'il ne faut pas faire pour un homme grec). Après tout, les grecs faisaient eux-mêmes des modifications dans leurs histoires, que ce soit car ils ont un trou de mémoire, pour plaire au public, ou pour faire l'histoire qu'ils préfèrent eux alors, je ne me prend pas la tête avec le respect du matériel source pour rester coller au "canon" de la mythologie.
En gros, c'est souvent ça avec les légendes qui m'inspirent : on garde le squelette et on adapte selon ce qui arrange. De toutes façons, c'est de l'oral à la base alors, ça a dû être modifier des milliers de fois avant d'arriver jusqu'à nous. Quitte à me prendre la tête, je préfère le faire pour que l'histoire se tienne plutôt que de respecter religieusement un canon dont tout le monde se fichait à l'époque.
Faudrait que je lise aussi du Georges Sand vu qu'elle a retranscrit pas mal de contes du Berry, ou les légendes arthuriennes, même si je lis vraiment pas beaucoup pour l'instant, surtout que je suis en voiture en ce moment pour le boulot, pas en transport alors, voilà quoi. Enfin, je me débrouillerai bien !
#écriture de curieuse#civis thewinterpeony#merci beaucoup pour les questions !#j'espère avoir bien répondu à ta question ! Et contente de voir quelqu'un d'autre qui connaisse ce conte !#C'est vrai que de mémoire tu disais être du centre de la France dans un billet alors il doit aussi être dans ton coin#c'est bien les contes et les légendes ! Si j'avais le gout j'essayerai d'en lire plus !#Mais là je vais me contenter de la série de BD Brocéliande de la bibliothèque c'est déjà ça ^^'#pas trop l'énergie de lire en ce moment...
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Photo
1895 Sarah Bernhardt in the role of Melissinde ‘La Princesse Lointaine’ or Faraway Princess by Edmond Rostand, Theatre de la Renaissance.
By 1890 Lalique had his own workshop and atelier, and a workforce of 30. Patronage from actress Sarah Bernhardt in the mid 1890s led to her wearing spectacular stage jewellery designed by him. In 1896 during an evening of celebration to mark Bernhardt’s 30 years as an actress each guest received a silver medal engraved by Lalique with her image. Bernhardt would introduce Lalique to a wealthy Portuguese art collector, Calouste Gulbenkian. He would commission 145 jewelled objects between 1895 and 1912, freeing Lalique up from any financial concerns, while allowing his creativity to soar. A display of his work at the Exposition Universelle in 1900 is considered the peak of his jewellery career; in the same year he was awarded Officer of the French Legion D’Honneur. (x)
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L’Éclipse Des Cœurs
Dans un royaume lointain, deux terres se faisaient face, séparées par une mystérieuse éclipse qui survenait une fois par an. À l'Est, se dressait le royaume ensoleillé de Lumina, réputé pour ses vastes prairies verdoyantes et ses châteaux éblouissants baignés de lumière. À l'Ouest, se trouvait le royaume lunaire d'Umbrus, un endroit envoûtant enveloppé d'une brume nocturne où les étoiles brillaient d'un éclat mystique.
Depuis des siècles, ces deux royaumes étaient en conflit, cherchant à étendre leur territoire et à s'affirmer comme le royaume suprême de la contrée. La haine entre les deux nations était profonde, et chaque royaume interdisait strictement tout contact avec l'autre.
Cependant, au-delà de la haine et des querelles, un phénomène mystique et inexpliqué se produisait pendant l'éclipse annuelle. Pendant ces moments fugaces, quand le soleil et la lune semblaient se toucher, une force magique permettait une brève ouverture entre Lumina et Umbrus.
C'est pendant l'une de ces éclipses que les destins de deux âmes brisées se sont croisés. La princesse Isabella, héritière du royaume de Lumina, se sentait étouffée par les attentes pesantes de la cour royale. Sa passion pour l'art et l'exploration était constamment réprimée par les règles strictes de l'étiquette.
De l'autre côté de l'éclipse, le prince Alexander d'Umbrus, faisait face à des responsabilités similaires, mais son cœur aspirait à la liberté et à l'aventure au-delà des sombres murs du château.
Alors que l'éclipse approchait, tous deux ressentaient une irrésistible attraction vers l'inconnu. Ils se retrouvaient incapables de résister à la tentation de découvrir ce qui se cachait de l'autre côté du voile magique. Guidés par le mystère de l'éclipse, Isabella et Alexander se lancèrent dans une quête secrète qui changerait à jamais le destin de leurs royaumes et de leur propre cœur.
Lorsque l'éclipse atteignit son apogée, un étrange phénomène enveloppa les royaumes de Lumina et d'Umbrus. Une douce lumière dorée se mêla à la lueur argentée de la lune, créant un halo envoûtant autour du voile magique qui les séparait. C'était le signe que l'éclipse était arrivée, et que le moment propice pour la rencontre était venu.
Isabella, habillée d'une cape sombre pour se fondre dans l'obscurité, s'était éclipsée discrètement du château royal de Lumina. Elle avait gardé secrètement la connaissance de l'éclipse des cœurs, une légende familiale transmise de génération en génération, qui racontait la possibilité de rencontrer un être spécial de l'autre royaume pendant cette nuit magique.
De son côté, Alexander avait attendu des années l'arrivée de l'éclipse, espérant que cette fois serait différente. Il avait fait des recherches sur les anciennes chroniques d'Umbrus pour percer le mystère de l'éclipse des cœurs. Grâce à ces écrits, il avait finalement découvert le lieu où l'éclipse ouvrait un passage entre les royaumes.
Sous le couvert de la nuit, Isabella et Alexander se retrouvèrent face à face au milieu d'une clairière secrète, nichée à la frontière des deux royaumes. Leurs regards se croisèrent, et un frisson d'électricité parcourut leurs échines.
« Je ne m'attendais pas à vous voir ici », murmura Isabella, les yeux pétillants d'une curiosité intrépide.
Alexander lui sourit, un sourire énigmatique qui dissimulait à peine son cœur qui battait la chamade. « Moi non plus, princesse. Mais je suis enchanté que le destin nous ait réunis. »
Au cours de cette nuit magique, ils parlèrent de leurs passions et de leurs rêves les plus profonds, réalisant qu'ils avaient plus en commun que les barrières artificielles qui les séparaient. Isabella partagea ses œuvres d'art, tandis qu'Alexander dévoilait ses connaissances sur les mystères anciens d'Umbrus.
Les heures s'écoulèrent comme des instants fugaces, et ils étaient à peine conscients de l'aube qui pointait à l'horizon. Le lien qui grandissait entre eux était inexplicable et intense, comme si leurs cœurs avaient toujours été liés.
Cependant, les premières lueurs du jour les rappelaient à la réalité. Ils savaient que rester ensemble était dangereux, car la découverte de leur rencontre interdite déclencherait inévitablement la colère de leurs royaumes.
Le cœur lourd, ils échangèrent un dernier regard empreint de promesses muettes et se séparèrent, chacun retournant à ses responsabilités dans leurs royaumes respectifs.
Mais à partir de ce moment, Isabella et Alexander savaient que leur destin était lié par une force qui dépassait le pouvoir des royaumes. Ils se trouvaient face à un dilemme : préserver leur amour naissant malgré les risques ou renoncer à cette relation interdite au nom de la loyauté envers leur peuple.
Et ainsi, leur aventure romantique, au-delà des contraintes de Lumina et d'Umbrus, était en marche. Ils avaient survécu à leur premier rendez-vous caché, mais ce n'était que le début d'une épreuve qui les mettrait à l'épreuve et les rapprocherait encore davantage.
Au fil des éclipses suivantes, Isabella et Alexander se retrouvèrent régulièrement dans leur clairière secrète, cherchant des moments de répit et de passion au milieu des conflits de leurs royaumes respectifs. Leur amour grandissait en intensité, devenant un lien indestructible qui transcendait les différences de Lumina et d'Umbrus.
Cependant, leur relation clandestine n'était pas passée inaperçue. Des rumeurs commençaient à circuler dans les cours royales, alimentant la méfiance entre les deux royaumes rivaux. Les conseillers royaux d'Isabella et d'Alexander avaient leurs soupçons, et ils ne reculeraient devant rien pour découvrir la vérité.
Isabella se retrouva confrontée à un choix difficile : continuer à se risquer à des rencontres secrètes avec Alexander, ou sacrifier leur amour au nom de la sécurité et de la paix entre Lumina et Umbrus.
De son côté, Alexander était déterminé à protéger Isabella, même si cela signifiait se tenir loin d'elle pour préserver la paix fragile entre les royaumes. Mais son cœur le poussait dans une direction différente, car il savait que l'amour qu'ils partageaient pouvait être la clé pour réunir leurs peuples divisés.
Alors que les tensions entre Lumina et Umbrus s'intensifiaient, une ancienne prophétie refit surface, parlant d'un amour interdit entre les héritiers des deux royaumes. La prophétie prédisait que cet amour serait à la fois une bénédiction et une malédiction, apportant à la fois la paix et la discorde.
Les conseillers royaux d'Isabella et d'Alexander virent cette prophétie comme une confirmation de leurs soupçons. Ils décidèrent de les séparer définitivement, convaincus que c'était la seule façon de sauver leurs royaumes.
Pourtant, Isabella et Alexander refusaient de se plier à la volonté de leurs conseillers. Ils savaient que leur amour était plus fort que toute prophétie ou barrière magique. Ensemble, ils décidèrent de rechercher la clé qui pourrait unir Lumina et Umbrus, brisant ainsi le sort qui les maintenait séparés depuis des siècles.
Leur quête les conduisit à travers des paysages enchantés et des épreuves dangereuses. Ils firent face à des créatures magiques et à des énigmes énigmatiques, mais leur détermination ne faiblit pas. Au contraire, elle grandit encore plus, renforcée par l'amour qu'ils se portaient l'un à l'autre.
Au sommet d'une montagne sacrée, ils découvrirent un ancien autel où le pouvoir de l'éclipse était le plus fort. Là, ils comprirent qu'ils devaient sceller leur amour par un acte d'unité, mettant ainsi fin à la malédiction et ouvrant la voie à la paix entre Lumina et Umbrus.
Main dans la main, Isabella et Alexander firent appel aux forces de l'amour pour briser le voile magique qui les séparait. Une lumière éblouissante émana de leur étreinte, et l'éclipse s'évanouit lentement.
Soudainement, la clairière secrète s'illumina alors que la barrière entre les royaumes tombait. Les deux peuples, émerveillés, virent que l'amour d'Isabella et d'Alexander avait triomphé.
Le roi et la reine de Lumina et d'Umbrus comprirent qu'ils ne pouvaient plus s'opposer à cet amour. Au lieu de cela, ils décidèrent de réunir leurs royaumes en un seul, où la magie de l'éclipse des cœurs perdurerait pour toujours.
Ainsi, Isabella et Alexander devinrent les souverains d'un royaume uni, où la force de leur amour éclairerait la vie de leur peuple, créant une ère de paix et d'harmonie.
Et dans cette nouvelle ère, chaque éclipse annuelle serait célébrée comme le symbole de l'unité entre Lumina et Umbrus, rappelant à tous que l'amour a le pouvoir de transcender les frontières et de réaliser l'impossible.
FIN
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Alain
Tu es parti.
J'ai pleuré,
Comme-ci "tue" étais mon propre Père.
Mon Odin à moi,
Je crois en toi,
Comme tu disais "pour le paradis mon passeport est le mien".
Je me rappellerai toujours de tes histoires,...
que m'as-tu caché de plus scélérat aha,
Sur ma poitrine un grand coups dans le cœur,
Je me relève,
Je vivrai en ton honneur !
Un rêveur,
Il aimait la vie,
Femme, enfants, ex et touticounti.
C'est mensonge de dire qu'il ne resolvait pas les ombres,
Les peines des taches des démons.
Il éclairait la vie,
Avec une vie pépère,
Bien mérité en terre picarde,
Les terres qui l'ont bâtis.
Laissez-moi vous parlez de cet Être ==>
Il créait des paradis,
Un exemple, par exemple des exemples au travaille.
C'était un sacré filou, toujours l'histoire au bout du chemin,
Il se répétait quelque peu mais c'était un héros, c'était afin de marquer les esprits.
Et quel Esprit !
Cet homme, qui n'était même de ma famille,
Pourtant il m'avait adopté,
Prit dans son jolie nid.
Père de deux jolies filles,
Aussi capricieuses que des anguilles
Mais ce sont tes petites princesses,
J'en prendrais soin toute ma vie.
Si je dois terminer ce poème,
Je dirais que tu étais certainement un modèle,
En qualités et défauts,
Je remplirais ma tâche,
De te ressembler dans tes plus lumineuse faces.
Je t'aime.
Viel homme fatigué,
Les ombres ton traînes dans le lointain.
Je te recherchais de l'autre côté
Reprendre u jacuzzi ensemble, avec u bon verre de whisky.
Je ne suis saint je ne peux te ramener auprès des tiens, j'en navré vieux pkte,
Je dérive et c'est mieux, sur la rivière,
De tes reveS,
Je me transporte, je me balade,
J'envisage ton jolie visage,
Et surtout une petite liqueur.
Je sais que d'où tu es m, tu prendra soin des tiens.
Et n'oublie jamais,
Je t'aime,
Alain
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Il était une fois dans un pays lointain, très lointain, une jeune princesse fut bannie de sa maison, le royaume mystique. Emportée par la seule vie qu'elle connaissait, elle ne pouvait que rêver de ce qu'elle avait autrefois dans la beauté des bois. Comme les papillons volent et les pétales de fleurs tombent, cela reflète les saisons de notre vie, les choix que nous faisons et la beauté qui émerge dans les endroits les plus sombres. Avec des robes imaginées par Nonoo et peintes à la main par de Gournay , elle nous emmène dans les bois et s'empare de nos cœurs…
http://annstreetstudio.com
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Domnei or donnoi is an Old Provençal term meaning the attitude of chivalrous devotion of a knight to his Lady, which was mainly a non-physical and non-marital relationship.
A princess lointaine or princesse lointaine, (in French, "distant princess") is a stock character of an unattainable loved figure. The name comes from the play La Princesse Lointaine by Edmond Rostand (1895), and draws on medieval��romances. The romantic interest of many knights errant, she was usually a woman of much higher birth, often far distant from the knight, and usually wealthier than he was, beautiful, and of admirable character.
Below the cut, an excerpt from a book relating Domnei to s&m dominatrices. I can not vouch for the quality and political slant, but it poses some interesting juxtapositions you could play with
Sadomasochism and courtly love
The following excerpt, translated from the French title The Meaning of desire – sado-masochism and Courtly Love by Emmanuel-Juste Duits, explores the considerable overlap between sadomasochism and courtly love. If anyone has a better translation please feel free to submit it.
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Sadomasochistic dominatrix and courtly dominatrix
Wearing leathers, her long black hair tied by a braid, her legs sheathed, hard and inquisitive glance, surrounded by the colors of the night, this image is represented by the dominatrix.
What common features would she have with the ‘courtly lady,’ of a gentle and wise appearance, with a high hat surmounted by a veil, hidden by her long robe embroidered with pink and turquoise hues?
Imageries opposed, or similar realities?
In courtly love and SM it is easy to see the similarity of the terms used, symbolic gestures, and even certain practices. The dominatrix officiates in a “dungeon,” a space furnished with the often Gothic character where arched windows open, with walls of stone, impressive chains, iron doors. She receives servants and, just as in courtly love, the classical sexual act is just out of reach. Inaccessibility and distance are law.
But let us begin with the trait which gives its title to these two queens: domina /dominatrix. Why ? By their haughty character and magical power (mana), they dominate man who readily recognizes himself as a vassal. The first troubadour, Guillaume IX, one of the most powerful lords of the kingdom, called himself a vassal of his lady. The domnei (the chivalrous male lover) is admitted during a kneeling ceremony where he receives a ring as a pledge of fidelity and absolute obedience.
It thus becomes a genuine act of serving (in the medieval sense), ironically reversing the older chivalrous act of force and instituting a new male submission by the Middle Ages! But what does female domination sung by the minstrels consist of? What does this word hide, far beyond a capricious will and the arbitrariness of desires? It is evident that the courtly lady develops moral and intellectual qualities which are far from evoking sadism and the violence unleashed by tyrannical instincts. She is supposed to be cheerful, welcoming, and witty. This may also be appropriate, in some respects, to the real dominatrix who demonstrates self-control and respect for her subjects.
What is the fascinating virtue that invests the feudal overlord (suzerain)?
Patriarchal societies advocate a so-called “natural” order which contains a set of coherent values, which are linked together and enslave us to the family, to a warrior and vengeful God, to the father, to the country, and to the enterprise. And also a supposedly natural place is there attributed to woman. According to this perspective woman is passive in essence, which is expressed in her sexual posture but also in her “intuitive and receptive” mind and in her social role which consists of the conservation of society and the exclusive breeding of children in the tradition. How all this goes together!
But the domina, however, has enough inner strength to overthrow this aesthetic prescription. Only against the inertia of a medieval society imbued with manly values – ??or against a modern society that insidiously demeans it – does it come to the fore and assert itself as sexually and mentally active. Whether it is the “black” domina of SM or the “white” domina of the courtly love, it escapes the function devoted to women “by nature and by God”. Neither mother, nor good wife, nor receptacle of penetration. Neither soft nor fragile, nor manipulative, demanding, and tyrannical.
Today’s society spreads the image of such free, strong and unleashed women, as if a new femininity was dreaming on the fringes of our collective consciousness. In the teenage version, these are the Spice Girls and the Amazons in Hard Rock Leather, or Catwoman and other practitioners of the martial arts. Ideal for millions of girls who, for now, do not seem to assume this girl’s power. Moreover, what should such a slogan hide to be truly revolutionary? The modern woman risks confusing liberation, especially a positive but limited external one, with psychological, erotic and spiritual liberation.
[……..]
[It] has the merit of showing the radical difference between the purely material independence of the wonder-woman serving a social function, and dominating it, which rejects most norms of productive and sexual “utility.” The true dominatrix fascinates not by her brutality nor by her sadism, but by her intellectual, erotic and aesthetic autonomy. She sculpts and invents her own norms, and attributes to herself the decision and the action – without necessarily denying them to men, even if a fundamentally amorphous character would characterize it, according to the founder of Scum.
This interior and mental power constitutes the focal point of our two figures of dominas. They are also cruel. When Lancelot returns from a thousand sufferings, his body broken and his wounds exposed, Guinevere pretends to reject him because he hesitated for a few moments before one of his most mortal trials. At their reunion, these adulterous lovers of the Arthurian cycle finally spend a night of love and their sheets are covered with the blood of the knight who cut a finger by forcing open the grid that separated him from his mistress … Thus, the courtly eroticism has sometimes taken a cruel turn. Guillaume IX, the first troubadour, tells a very edifying story. Disguised as an innocent clerk, the hero of the song crosses two noble ladies, married moreover, who find him to their taste and collect him in their lodgings. He pretends to be mute. Here is what Agnes says to Ermessen:
“We have found what we are seeking. My sister, for the sake of God let us lodge him, for he is truly mute and never by our plan will be known. So the hero finds himself in the ladies company, fed capons near the stove, thinking “When we had drunk and eaten, I stole myself as they pleased. Behind my back they brought me the wicked cat and felon; One pulled him along my side to the heel dragged by the tail without waiting. She pulled the cat and he clawed at me: they made me more than one hundred wounds.” Agnes to Ermessen, “Sister, he is mute, it is veryclear; let us prepare for the bath and take advantage of his presence.” “Eight days and more I remained in this furnace. I took them as many times as you will hear: One hundred and eighty-eight times (…) I cannot tell you my pain at all.”
We shall not count all the courtly songs in which the lady finds herself cruel, pitiless, capricious, mocking, and in which the poet seems to delight in suffering inflicted by the woman whom he adores. Lancelot, the best of knights, will have to suffer public humiliation: to obey his queen Guenièvre, he will behave cowardly in the biggest tournament of the country for a whole day, wiping away the least gossip and taunts of the least grooms, and weak riders. Like Sacher-Masoch, loving implies accepting suffering, which is the pledge of true love.
Courtly love – a precursor of SM?
If the dominatrix inflicts suffering, the courtly lady also submits her servant to various trials: show her valor in the tournament if it is a knight, restrain your primary sexual desires, sing, make beautiful verses, respect the Secret, take many risks to stealthily observe her when she strips herself and goes to the bath, traveling alone and undergoing severe deprivations to increase its valor
In SM as in courtly love, one recognizes the classical scheme of the work in the dark, the ego being worked over by the confrontation with his fears, the tests involving a physical or moral danger. According to Jung, this phase is to be found in any evolutionary process, whether it be therapy or alchemy, the “matter” of the soul is to be tarnished and then melted with some violence.
To learn to be silent, to wait and to hold one’s desires, to wander, to feel alone, to suffer in one’s flesh, to enjoy only a few caresses and many blows, all this seems necessary to those who wish to acquire a little individuality! But to fulfill this individualizing function, the tests must have a profound meaning: they correspond in particular to the meeting of elements (tests linked to water, fire, earth, air – suspension, vertigo …), (Black, silence, abandonment, dismemberment, suffocation …), the overthrow of social values ??and the image of oneself (one finds in this class of the transvestite, the inversion of roles, the boss playing the slave … ).
Once encountered, trials need to be understood in order to integrate into one’s person: hence the role of the possible therapist and verbalization, and the need to know symbolism. By his poetic asceticism, the knight-troubadour will attain, as the initiate, a modified state of consciousness. Is this not what many songs testify to? Raimbaut d’Orange (1147-1173) has no suspicion of being taken for mad when he evokes this internal metamorphosis:
“Here is the opposite flower on the rocks among the mounds. Flower of snow, ice and jellies,
Who bites, who tightens and slings. (…) For in me all is reversed,
And the plains seem to me mound, The flower springs from the frost,
The hot in the flesh of the cold slice, The storm becomes singing and whistles
And the leaves cover the stems. So glad I am that I do not seem to be baseless in any place. ”
Within the middle classes of our society, the possible dangers are fortunately more limited than in the twelfth century. The brigands swarm less than in the medieval forests, and the suburbs do not compete with the court of miracles, in spite of our “savages.” The voyages are made in the warmth of the TGV, and do not allow us to appreciate either the dark night of the great forests, nor the disturbing howling of the animals, the bite of the cold, or the warmth of the horse. We are impoverished in “real” feelings, far from a formative confrontation with reality.
Apart from a few medical examinations and the pitiless irruption of the illness, which reminds us of the essential realities, we float in a rather abstract universe of social appearances. Some prefer to tear the veil and seek the meeting of elements by practicing sports, mountaineering, hang-gliding, diving … others find the ardor and ethics of combat by the martial arts. Finally, the sadomasochist makes it possible to taste somewhat forgotten sensations, and to return to reports that are both more refined and rough, perhaps more true and symbolic than what we experience under our social masks.
Thus the trials demanded by courtly love presented themselves in a less bloody light than in SM because medieval society itself had enough risks and dangers. Obviously, the excretory aspect that can be associated with SM – uro and scatophily – remains totally foreign to the courtly universe. The courtly love demands lose in intensity what they gain in extent. They involve a global character: the aim is to seek constant improvement and to modify one’s behavior on a daily basis.
The sadomasochistic game, for good reason, tends to unfold in a delimited field, with its instruments, its world, its well-defined witnesses . Once the session is over, the adept risks becoming a citizen again, sometimes an excellent cog in the company, an efficient executive or a faithful husband. SM is generally compatible with
Standards of liberalism; Once again, it resembles a therapy, with similar advantages and disadvantages: falling from anxiety and better adaptation to the business or family!
If it is true that the DM allows for some improvement of self, it does not push to fight for political justice. On the other hand, courtly love is in conflict with social integration. Many poems of troubadours could be discovered chanting a dispute of the religious or political order, especially from the Albigensian crusade. Bernart de Rovenac (1242-1261) accuses the lords (“I have a great desire to make a sirventès, powerful and cowardly men … although it seems madness to you, I am more pleased to blame you by telling you the truth – that is to say, pleasant things while lying … “); Guilhem Figuera (1215-1240) attacks the Church (“(…) Deceitful Rome, who are from all evil the guide, top and root, so that the good king of England was betrayed by you … Rome Rome, to weak men, you eat away the flesh and the bones and guide the blind with you into the pit … “). As for Peire Cardenal, he addresses a very insolent petition to the creator:
“A new sirventes I want to begin that I will recite on the Day of Judgment to him who created me and formed of nothing If he thinks I am reproaching myself for something … and I will make a good proposal that you bring me back from where I left on the first day or that you forgive my sins because I would not have committed them if I was not born (…) ”
Courtesy requires politeness, generosity, hence refusal of injustice. The appearance is beautiful only if the inner life strives towards the ideal. As an alchemist can succeed in the Great Work only if, in addition to his technical competence, he possesses moral qualities, so a troubadour is worthy of love only if, in addition to beautiful verses, he succeeds a few great gestures. The knight must correct the wrongs and fight against errors, false pretenses, both in and around the world. Here we find the socially subversive aspect of courtly love.
The difference is therefore essential between sadomasochism and courtly love. The domnei pursued a high, almost superhuman ideal, symbolized by the Grail and the Crusade, or by a state of poetic and mystical creation. The pain was on the way an inevitable companion, but it was not a goal, and was not inflicted “for pleasure.” The artist who has to struggle to perfect his creation and the knight who crosses distant lands
necessarily confront a thousand sufferings. They aim at a result and a work that transcends their individuality and can be offered to others. Their project is both personal and altruistic.
The courtly scene assumed its full meaning when it was accompanied by an effective verification of the acts and creations of its various protagonists. Despite the physical distance, it involved a mutual “surveillance”, by interposed reputation. A noble knight, a renowned lady or a well-liked troubadour were supposed to perform actions and works of brilliance, worthy of being reverberated from castles in progress. It was a question of the two lovers fighting against social and psychological baseness, of integrating the elements and the many facets of the human soul (masculine-feminine, hardness-softness, dependence-independence …), and finally to dis-identify from the social comedy.
In some respects, one might compare the gradual initiation of courtliness with that of master-disciple in the secret schools of the East. In courtly love as in esoteric schools, the meaning of these various tests, in addition to the magical integration of the elements, will be to find one’s true being. It is only after this work of inner self-esteem that authentic encounter with love is possible. There is no other way to isolate the essential love – that which is addressed to the whole person of the beloved, to her soul, if you will – to eliminate all that is addressed to what this person is not, that is to say, synonymous with his physical details.
And there can be no lovers of joy absolutely purified other than this desire which is exalted and satisfied with the mere presence of the beloved, the only feeling of the spiritual communion existing between her and him and whose embrace of looks is indeed the sign. Courtly love, like evolutionary SM, a complete loving path, with its own rituals and a form of pleasure, is quite different from the so-called “normal” sexual games.
These approaches prove that love and the couple can give themselves an end in addition (or beside) to procreation. They draw attention to one aspect of love relations, particularly revolutionary for the current mentality: the incandescence of pleasure achieved without recourse to the sexual act.
Today, when the classical aspect of sexuality is over-emphasized in relation to sensuality and erotic play, this will surprise. It would no doubt be necessary to recall in our “liberated” period a reality: relationships other than penetration are possible and satisfying, even for straight men! Courteous love like the SM invites us to question the distinction between the sensual and the sexual, and the new forms of relationships open to us. But what precisely was the love of courtly love, and where did it come from? We shall see that it remains a historical enigma.
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Alphonse Mucha ֍ Ilsée, Princesse de Tripoli (1897)
Based on Edmond Rostand's La Princesse Lointaine, written for Sarah Bernhardt in 1895, L'Ilsée, Princesse de Tripoli was commissioned from the author Robert de Flers by the Parisian publisher Henri Piazza.
By the time De Flers had completed his manuscript, Mucha had only three months to prepare 134 coloured lithographs before the edition was due to go to print.
Mucha later wrote of the experience: 'We worked on four stones simultaneously. I did some of the drawings straight onto the stone. Other things, particularly the decorative edgings, I drew on tracing paper which was then passed on to the draughtsmen who continued the work with the colors I specified. I hardly had time to sketch out the motif for an ornament when they came and took it from my hands and got down to work on it.'
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Adolescence
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Rin-Len Kagamine - Adolescence
Nous nous étions fait la promesse d'une danse éternelle mais la croissance de ma poitrine l'a rendue impossible à tenir. Nos cheveux soyeux se reflètent dans le miroir. Nous nous les peignons réciproquement. Dans le même lit, nous tremblions tous les deux. Main dans la main, nous étions comme unis par un même fil.
Un visage inconnu m'apparaît suivi d'un doux murmure. Je saisis un marteau et brise la vitre qui éclate en morceaux. Nous détruisons le château que l'on avait construit ensemble. Le son des os grinçants est la cloche qui annonce la fin de la princesse et du prince charmant.
Nous ne sommes plus le reflet de l'autre. La longueur de nos doigts maintenant diffère.
Dormirons-nous désormais dans un lit différent ? Tu viens me murmurer "Bonne nuit". Tournant la poignée, tu ouvres la porte. En entendant son grincement je suis venu te rattrapper. J'ai déposé un baiser sur ton doigt tendu. L'envie de m'enfuir a parcouru mon dos à cet instant-là.
"N'éteins pas la lumière, je dormirai toute seule demain soir. Je ne suis pas encore prête à l'être cette nuit", dis-je en te frappant avec l'oreiller. "J'ai peur des monstres"
"N'est-ce pas un peu puéril ma princesse ?" Tes yeux pleins de larmes semblent pourtant me dire que j'ai tort.
Le temps passé avec maman et papa n'est plus qu'un rêve lointain. Ta chaleur passe à travers le fin fil qui nous unit et me fait perdre mon sang froid.
Sans un mot, tu fermes la porte à clé. Nous nous regardons les yeux dans les yeux Tous les deux à la recherche d'une réponse. Je vais laisser passer ton excuse infantile et éteindre les lumières. Je ne devrais pas toucher ces cheveux, mais je n'hésiterai pas à mentir.
Le temps s'est soudainement arrêté. Deux personnes se partagent un baiser. J'aimerais pouvoir synchroniser les battements de mon cœur avec les tiens. Ton souffle chaud s'estompe tout comme la chaleur de l'étreinte. Je n'irai pas plus loin que ça, je ne suis que ton chevalier.
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Sasseta, Mariage mystique de Saint François (musée Condé, Chantilly) La charité, la pauvreté, l'humilité.
Le Monstre marin ; L'Enlèvement d'Amymoné (autre titre)
Titre
Le Monstre marin ; L'Enlèvement d'Amymoné (autre titre)
Auteur
Dürer Albrecht En savoir plus
Création
Date de création
1498 vers
Description
L’une des estampes les plus mystérieuses de Dürer, baptisée par ce dernier le « Monstre marin » (Meerwunder) dans son Journal aux Pays-Bas, semble convoquer l’un des mythes germaniques auxquels on aime généralement associer l’artiste. Un monstre mi-homme mi-poisson, affublé de bois de cerf et brandissant une carapace de tortue en guise de bouclier, enlève une jeune princesse, coiffée, selon les interprétations, à la milanaise ou à l’orientale. Elle lance un regard aussi éploré que résigné vers la rive où elle prenait les eaux avec ses compagnes terrorisées, alors qu’accourent ses parents désemparés. Ce drame marin s’inscrit dans un paysage alpin, devant un château semblable à celui de Nuremberg, tandis qu’au fond apparaît dans le lointain un petit bateau que le monstre semble redouter. Dürer fait preuve ici d’une maîtrise absolue de la technique du burin, disposant un dense réseau de lignes horizontales pour ménager des reflets sur l’eau et former un fond plus sombre qui met les figures en valeur. La scène d’enlèvement, hautement sensuelle, semble n’être qu’un prétexte pour graver un gracieux nu féminin à l’antique. C’était une préoccupation partagée par son contemporain Jacopo de’ Barbari, qui reprit le motif de la nudité alanguie dans la Victoire se reposant parmi les trophées : la construction du corps, le placement des bras, la lumière venant de la droite ou le traitement de la poitrine sont rigoureusement identiques. Jacopo réutilisa cette même pose pour sa gravure religieuse de la Vierge à l’Enfant qui fut diffusée en Allemagne (voir par exemple sa reprise dans le relief de Hans Daucher, Bâle, Historisches Museum, inv.-Nr.1932.1159, vers 1515). Les échanges entre Dürer et Barbari étaient en effet nourris : ce dernier avait d’ailleurs proposé un peu plus tôt un triton comparable au monstre dürérien (gravure de Triton et Néréide, vers 1496-1497) ; tous deux s’inspirèrent d’ailleurs très certainement des monstrueux dieux marins de Mantegna. Comme Barbari, Dürer porta un intérêt grandissant au nu féminin classique à partir de la fin des années 1490, notamment après son retour d’Italie. On peut enfin noter des similitudes entre la composition du Monstre marin et le dessin de L’Enlèvement d’Europe (Albertina, inv. 3062) ou le nu féminin qui est tiré de ce dernier (Albertina, inv. 3072). Le Monstre marin n’a été associé avec certitude à aucune source littéraire : on a voulu y reconnaître Amymoné enlevée par Poséidon, la nymphe Périmélé sauvée par le même dieu, ou encore Scylla courtisée par Glaucos, une créature mi-homme, mi-poisson. Mais peut-être faut-il écarter la mythologie gréco-romaine et se tourner plutôt vers une légende germanique (comme celle des origines antiques de Nuremberg), à moins qu’il ne s’agisse de la métaphore, chère aux humanistes proches de Dürer, du transfert de la Renaissance à l’antique depuis l’Italie jusqu’au nord des Alpes. Mathieu Deldicque
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Apollo et l’empire du mensonge
par Laurent Guyénot Seuls les héros des mythes et des contes peuvent voyager physiquement dans l’Autre Monde et en revenir vivants1. L’Autre Monde est alors représenté comme un pays lointain et inaccessible au commun des mortels. Dans certaines traditions asiatiques, comme dans « Le Conte de la Princesse Kaguya », la lune joue ce rôle. Ce n’est pas le cas en Occident. Néanmoins, sur un plan…
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"Broche" en laiton argenté et strass créée par René Lalique pour Sarah Bernhardt dans la pièce "La Princesse Lointaine" d'Edmond Rostand, reprise ensuite par Joseph Porphyre Pinchon pour "Lohengrin" de Richard Wagner (1911) à l'exposition "Bijoux de Scène de l'Opéra de Paris" à l'Opéra Garnier, Paris, décembre 2024.
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