#la plus belle histoire des femmes
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maaarine · 1 month ago
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"The societies in which prostitution is a common practice are those like ours – that never call into question the lawfulness of the male sex drive . . .
People gladly assert that the female libido is easier to control. Nobody has ever proved it.
On the other hand, girls have always been taught to channel their desires; whereas in the case of boys, they are praised and valued.
As for the men who would be isolated or disgraced by nature, they would need sisters of charity of a rather special kind to relieve their distress.
What of isolated or disgraced women?
To say that women have the right to sell themselves is to conceal the fact that men have the right to buy them."
La Plus Belle Histoire des femmes (Françoise Héritier, Michelle Perrot, Sylviane Agacinski, Nicole Bacharan, 2011)
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lisaalmeida · 6 days ago
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Je ne finirai pas comme un crétin dans un hôtel, avec une fille de 22 ans qui m'emmerde parce qu'elle a envie de sortir" ; "J'adore les femmes qui ont de l'expérience, quand leur histoire s'inscrit sur leur corps, j'adore les femmes qui ont des complexes, parce que j'aime la pudeur " ; "Toutes les femmes avec qui j'ai vécu sont les plus belles femmes du Monde.... Vous vous souvenez de cette réplique de G. Depardieu à M. Blanc dans "Tenue de soirée" de Bertrand Blier?: "Regarde-toi dans mes yeux, tu vas te trouver sublime" c'est ça l'amour, cela n'a rien à voir avec les canons. Les hommes sont tellement fatigués de sexualité qu'ils ne voient pas quand l'amour tape à la porte. La perfection, quel ennui!! .... C'est Proust qui disait: « Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination »
Benoît Poelvoorde .
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ekman · 6 months ago
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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transparentgentlemenmarker · 8 months ago
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Je ne finirai pas comme un crétin dans un hôtel, avec une fille de 22 ans qui m'emmerde parce qu'elle a envie de sortir. J'adore les femmes qui ont de l'expérience, quand leur histoire s'inscrit sur leur corps, j'adore les femmes qui ont des complexes, parce que j'aime la pudeur. Toutes les femmes avec qui j'ai vécu sont les plus belles femmes du Monde.... Vous vous souvenez de cette réplique de G. Depardieu à M. Blanc dans Tenue de soirée de Bertrand Blier ? : "Regarde-toi dans mes yeux, tu vas te trouver sublime" c'est ça l'amour, cela n'a rien à voir avec les canons. Les hommes sont tellement fatigués de sexualité qu'ils ne voient pas quand l'amour tape à la porte. La perfection, quel ennui
Proust disait laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination
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Benoît Poelvoorde
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jamie-007 · 8 months ago
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♥️ Une jolie et émouvante histoire....Celle des visiteurs mystérieux de la tombe de Caroline Christine Walter.
Caroline est née en 1850 dans une famille pauvre en Allemagne. Suite au décès de leurs parents, Caroline et sa sœur Selma partent vivre chez leurs grands-parents à Fribourg.
Hélas en 1867, à l'âge de 17 ans, Caroline contracte la tuberculose et décède en quelques semaines. Sa sœur bien-aimée, fait alors construire une statue tombale grandeur nature de Caroline s'endormant en train de lire.
Après quelques semaines, Selma remarque que les fleurs fanées qu'elle avait déposées sur la tombe de sa sœur avaient été remplacées par des fleurs fraîches. Elle en conclue qu'un admirateur inconnu vient fleurir la tombe . Rien d'anormal puisque de son vivant, Caroline était une très belle jeune femme et avait de nombreux prétendants. Mais voilà que 150 ans plus tard, quelqu'un continue de déposer régulièrement une fleur fraîche sur la tombe de Caroline . À ce jour le mystère reste entier. On ne sait toujours pas qui sont ces visiteurs inconnus qui se succèdent depuis 150 ans pour continuer à fleurir la tombe de Caroline... 🌹
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ernestinee · 11 months ago
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"Combien de fois faut-il rejouer la fable, pour être capable de s'en défaire ? Sommes-nous condamnés à ça, reproduire inlassablement la même illusion, le même désenchantement? Tandis que Milan me regardait, je cherchais les segments invisibles qui relient les hommes, je cherchais, par-delà les différences, l'atome semblable, le dénominateur commun."
Je viens de terminer "Les jolis garçons" de Delphine de Vigan.
L'histoire d'une femme qui aime les hommes, l'obsession, les façons d'aimer. J'ai trouvé quelques accents semblables à ceux d'Annie Ernaux dans l'écriture comme dans le sujet. On y rencontre Emma Pile, le récit est à la première personne, elle raconte trois histoires d'amour.
Je n'aimais pas la première, je trouvais la narration trop lourde jusqu'à ce que je comprenne le contexte et fasse le lien entre le style répétitif et l'obsession qu'elle ressentait.
Les deux autres histoires sont plus banales, la rencontre , l'histoire, la rupture, mais la plume est si belle, et derrière elle, une réflexion sur le besoin entêtant d'être aimée.
⭐⭐⭐⭐
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lilias42 · 2 months ago
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Suite : la colère d'Achille maitrisée AVANT que ça tourne à la Tragédie !
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Suite de ce billet. Merci à @ladyniniane pour m'avoir parlé de ce passage de l'Iliade et m'avoir donné l'idée !
Comme j'en parlais dans le précédent billet, Kelon aide Briséis à s'enfuir avant qu'Achille ne puisse lui faire quoi que ce soit, mais il provoque la colère du prince d'Egine, même s'il arrive à s'en sortir grâce à ses camarades, en particulier de son amie Hélène, de la cité d'Egine (rien à voir avec Hélène de Troie).
Petit point conception de personnage !
Kelon : J'ai finalement décidé de mettre tout le monde en tunique qui correspondrait plus à l'époque mycénienne, histoire de rappeler qu'on est à une époque plus ancienne que celle de Pyrkaïa où on est vraiment à l'époque de la Grèce classique / fin de l'époque archaïque, et de l'époque de Metaheta où on est au début de l'époque mycénienne et où ses habits se rapprochent plus de ceux représenté sur les fresques du fort de Knossos (et comme on est avec elle, les habits représentés sont bien plus féminins). On est sur la fin de l'époque mycénienne / début époque archaïque alors, il y a des tuniques cousus et des habits plus drapés. J'ai laissé Kelon en psuedo-chiton car, même si on est à une époque où on porte plus de tunique, il a la composante "comment je fais pour m'habiller avec deux ailes énormes dans le dos ?" à prendre en compte alors, il a une sorte de tunique cousu qu'il enfile par les jambes, et tient autour de son cou avec une bande de tissu et deux fibules pour que ça ne tombe pas. Il n'a également aucun motif sur ses habits pour souligner sa pauvreté et sa différence sociale avec les autres personnages, il n'a pas les moyens d'avoir de beaux tissus avec de belles broderies comme les généraux ou les soldats venant d'une famille plus aisée. Il a aussi gardé son bandeau pour retenir ses cheveux quand il vole et rappeler Claude.
Hélène (de la cité d'Etolie) : c'est un vrai personnage d'une version de l'Iliade ! Dans cette histoire, Hélène participe à la guerre de Troie, combat Achille et gagne contre lui au point de le tuer mais, Zeus ressuscite Achille qui la tue en retour. Bon, c'est une histoire qui sert surement à dire aux femmes de ne jamais combattre et de rester bien sagement à la cuisine MAIS, elle a quand même tué Achille le quasi invulnérable ! ça mérite d'être soulignée ! Ici, vu qu'on est à une période de transition entre l'époque mycénienne où les femmes avaient une place plus importante, et l'époque classique grecque où les femmes sont d'éternelles mineures à peine humaines et sans aucun droit ou presque, j'ai décidé d'en faire une engagée volontaire qui est là parce que dans sa cité, on laisse encore de la place aux femmes, même si ça reste exceptionnelle qu'une femme s'engage, et ça reste très dur pour elle et ses camarades car, ce n'est pas le cas dans toutes les cités, en particulier avec les généraux qui sont tous de très grands nobles ou propriétaires terriens où la condition des femmes... voilà, elle s'est dégradée assez vite car, ils n'ont pas vraiment besoin d'elles à part pour gérer la maison (ce qui est déjà une énorme tâche et responsabilité, ne l'oublions pas), là où ça a pris plus de temps côté peuple car, les femmes travaillent autant que les hommes pour subvenir aux besoins de leur famille, même si elles deviendront de plus en plus marginalisées avec le temps
ATTENTION ! Pour le coup, je ne sais pas si c'est comme ça que ça s'est passé dans notre monde ! Surtout que déjà qu'on a du mal à trouver des sources pour les élites, je ne vous parle même pas des gens du peuple ! C'est vraiment pour le fonctionnement de mon monde, ne prenez pas ça au pied de la lettre !
Hélène s'est cependant vite illustré pour être une excellente fantassine qui a un très grand esprit de corps et sait galvaniser ses camarades, tout en étant très apprécié par eux, en particulier les autres femmes. Elle est très amie avec Kelon d'ailleurs, elle le trouve gentil et intéressant, et lui apprend même à lire et écrire vu qu'il est analphabète de base (pas les moyens d'aller à l'école). Faut dire, en dix ans de guerre et de siège, ils ont eu le temps. A la fin, même si elle est là volontairement au début, elle perd de plus en plus patience en voyant la guerre s'éternisée, et pète littéralement un cable quand elle voie les généraux se mettre à se disputer pour une femme alors que leur camp vient d'être ravagée par la peste car, un des leurs s'est comporté comme un connard avec deux prêtres d'Apollon, y a des choses plus urgentes à régler ! Alors, quand Kelon va aider Briséis à s'évader, elle le couvre avec d'autres soldats de leur camp, histoire qu'elle puisse rentrer chez elle et éviter qu'une autre vie soit détruite. C'est un vol mais, c'est un vol pour la bonne cause donc, ça passe. Quand Achille menace de plumer Kelon, elle intervient et s'interpose entre eux, même si elle sait que normalement, Kelon a mérité de se faire punir pour son délit, elle sait qu'Achille ne fait qu'une crise de colère et veut juste massacrer quelqu'un pour se passer les nerfs. Kelon est son ami alors, elle le défendra, comme une phalange qui reste toujours soudés quoi qu'il arrive !
Pour ses habits, elle est d'une famille plus aisée que Kelon alors, elle a quelques motifs sur sa tunique : une chouette (ref + ref) qui est le symbole d'Athéna, et un vautour qui est un des animaux d'Arès, pour représenter qu'elle est une combattante complète, elle a autant l'intelligence d'Athéna que la force brute d'Arès. Elle porte également une tenue d'homme car, c'est bien plus pratique pour se battre. Je ne l'ai pas mis en armure car, c'est un duel qui s'est fait de manière impromptue et pour mieux montrer ses émotions vu que bon, l'armure complète de l'époque, ça ressemble à ça : l'armure de Dendras (reconstitution en dessin et reconstitution physique). Je lui ai juste laissé ses jambières en plus de son bouclier pour finir de la protéger et elle aurait pu encore les avoir. Pour son bouclier, il est basé sur une représentation des boucliers bilobés qu'on a retrouvé à Mycènes avec une grosse arrête centrale et cette forme de huit.
ATTENTION A NOUVEAU !!! JE ME SUIS TROMPE ! C'EST PAS HELENE D'ETOLIE QUI ARRIVE A LE TUER ! C'EST PENTHESILEE QUI ARRIVE A LE TUER ! Hélène, elle ne fait "que" le blesser ! C'est pas mal mais, je me suis emmêlée les pinceaux quand même !!! Je suis vraiment désolé pour ça, j'essayerai de ne pas refaire l'erreur plus tard !
Achille : pour lui, j'ai peut-être pas trop à le présenter mais, étant donné qu'il fait une colère car il ne peut pas avoir la plus jolie esclave du camp, qu'il tue quand même un de ses propres alliés car il s'est moqué de lui (car Achille est tombée amoureux de Penthésilée, reine des amazones, alors qu'elle est en train de mourir car il vient de la tuer, ce type doit revoir sa définition du romantisme !), et qu'il préfère aller mourir jeune couvert de gloire au lieu d'écouter sa mère qui a toujours pris soin de lui et de rester à Egine pour mourir vieux et inconnu, ce qui le fait regretter dans l'Odyssée (vraie anecdote, il dit à Ulysse en enfers qu'il préférerait être un valet de ferme [donc très souvent un esclave à l'époque, soyons clair] que d'être mort, y a fallu attendre qu'il meurt pour qu'il grandisse)... ouais, pour une version moderne du personnage, c'est très facile d'en faire un petit c*n égocentrique ne pensant qu'à lui et à sa gloire. Attention ici aussi, c'est dans les codes de l'époque : les héros grecs le sont car, ils sont à la recherche de gloire, ils ne sont pas là pour aider la veuve et l'orphelin. Si Héraclès fait ses douze travaux, c'est pas pour aider les gens mais, pour payer sa dette suite à son meurtre de sa femme et de ses enfants dans un coup de sang provoqué par Héra. C'est ça un héros grec mais, pour une histoire moderne qui suit des codes moraux et narratifs de notre époque, soit faut assumer à fond qu'on est vraiment sur les codes de la Grèce antique autant qu'on les connait et là, autant lire / écouter l'Iliade directement, soit on assume qu'on change des trucs pour en faire autre chose.
Je suis donc partie sur ça : Achille est un prince très fier de son rang, très fier de sa force, très sur de son droit sur tout, qui a également le comportement d'un sale gamin pourri gâté qui déteste qu'on lui dise non (merci Pélée pour le coup, Thétis est le seul parent compétent dans ce couple) et qui n'a aucun respect pour les personnes en-dessous de lui comme Kelon ou Hélène ou qui ne rentre pas dans l'idéal aristocratique de la force comme Kelon dont il trouve le pouvoir inutile, voir même Odysseus vu qu'il est plus rusé et veut que la guerre s'arrête pour rentrer chez lui retrouver sa femme et son fils, et très sanguin quand il s'énerve. Pour ses habits à lui, je lui a donné plein de motif pour souligner sa richesse, plus dans le style des vases à décors géométriques qui vont avec la période, tout en étant facile à reproduire sur toutes les pages. Le motif sur son bouclier de type tour est un aigle, pour rappeler Zeus (capable de se transformer en aigle et de mémoire, je crois que c'est un animal qui lui ait pas mal associé mais je peux me tromper, je me suis surtout appuyé sur mes souvenirs pour cette BD) qui l'a ressuscité dans la légende originale avec Hélène d'Etolie. Pour la forme de son épée, je me suis appuyé sur les reproduction de cet article (en accès libre) : "Les armes aux premiers temps de la Grèce mycénienne : marqueurs de pouvoir et de hiérarchie sociale". J'ai juste juste exagérée la taille des antennes de sa garde pour la rendre plus unique. La forme de son bouclier demi-cylindrique de type tour vient également de là. Etant donné qu'il est quand même censé être un des plus puissants guerriers achéens, il n'a pas de cicatrice, il n'a jamais été assez blessé pour en avoir une (et l'armure de Dendra aide, essayez de passer une forteresse de métal pareille !)
Odysseus : Ulysse retrouve son nom grec pour marquer que c'est un personnage qui est pas mal modernisé aussi. Si déjà dans l'Iliade, il fait tout pour ne pas aller à la Guerre de Troie en se faisant passer pour fou et c'est lui qui trouve la ruse pour en finir avec de Troie, ici, j'ai poussé le curseur plus loin en en faisant vraiment LE général qui veut en finir au plus vite avec cette guerre en négociant avec les troyens et qui n'est pas dans la course à l'égo qu'est cette guerre. Il veut rentrer chez lui car il a déjà loupé toute la croissance de Télémaque et que sa femme qu'il aime vraiment (dans le futur, Kelon le décrira comme l'homme le plus fidèle à sa femme qu'il a rencontré de toute son existences qui durera quand même mille ans) lui manque terriblement. Il a autre chose à faire que s'enterrer à Troie pour récupérer de la gloire au combat et du butin puis Hélène car c'est l'excuse pratique pour se taper dessus. Il est également un des rares qui arrivent à relativement bien canaliser Achille et qui ne se laisse pas impressionner par ses colères et ses coups de sang : Odysseus est un père, il a l'habitude des enfants capricieux, même si Télémaque est bien plus sage et mature qu'Achille. Il apprécie beaucoup les pouvoirs de Kelon car, il les trouve extrêmement pratique. On est en Grèce / équivalent de la Grèce en Almyra après tout, le climat est plutôt sec et pouvoir faire pleuvoir à volonté est une vraie aubaine pour les cultures, et il trouve ça bien plus pratique que juste augmenter sa force brute, surtout qu'il voie le potentiel futur de Kelon qui maitrise quand même la météo à 40 ans, alors quand il sera bien plus âgé, il risque de devenir extrêmement puissant. Il essaye donc de ne pas se le mettre à dos, histoire qu'il n'est pas de dent particulière contre sa cité.
Pour son design, je lui ai donné une barbe et tenté de lui faire des rides autour des yeux pour marqué qu'il est un homme d'âge mur, là où Achille qui est plus jeune et est donc glabre (Kelon a plus l'âge d'Odysseus, mais il continue à se raser de près car, son visage est encore assez juvénile étant donné qu'il vieillit bien moins vite à cause de sa condition de sorcier), et que le stress et la fatigue de la guerre l'ont fait vieillir bien plus vite (et comme on dirait : les bustes de grecs qu'on a, c'est des copies romaines et pour un romain, un grec, c'est un homme avec une barbe). Pour ses habits, je me suis basée sur cet oenochoé où il a un pétasse et une chlamyde (sorte de grand manteau) de voyageur, même si après coup, le manteau lui fait vraiment de grandes épaules... Pour les motifs, il s'agit de canard pour rappeler Pénélope / Πηνελόπεια dont le nom pourrait venir du mot "sarcelle, oiseau aquatique" en pré-grec, et de chouette étant donné que c'est le favori d'Athéna dans les mythes. Pour sa fibule, c'est un lys stylisée, de nouveau pour rappeler son mariage et sa fidélité à sa femme. Le motif en bas de sa tunique représente des grenades, qui sont un des fruits associés à Héra avec le paon et le coucou.
Ménésthée : roi d'Athènes à l'époque de l'Iliade, vu qu'il a tout petit rôle dans cette histoire, j'ai laissé Achille ne pas le respecter du tout et le prendre de haut comme les autres. Etant donné qu'il est le fils de Thésée, je lui ait donné des motifs de taureau sur son col afin de rappeler les exploits mythologiques de son père (même si dans la version Fodlan / Almyra, il n'a sans doute pas la même origine, c'est surement plutôt un sorcier dont les fiertés lui donne une apparence mi-homme, mi-taureau).
Agamemnon : figure importante de l'Iliade alors, les gens l'écoute mais, ça reste quand même un type très violent (le mec a quand même assassiné le premier mari de Clystemnestre et ses enfants pour pouvoir convoler avec elle et a été à deux doigts de sacrifier sa fille Iphigénie pour partir à la guerre, tu m'étonnes que sa femme veuille sa peau !) qui aime le combat alors, il a zéro souci à laisser deux personnes de son propre camp se battre pour résoudre un problème entre eux, même s'il sait aussi que les troyens ne doivent rien rater depuis leurs remparts. Il a des motifs de sanglier pour rappeler Arès et son caractère violent mais, qui n'est pas adouci par la présence de la chouette d'Athéna comme pour Hélène qui est bien plus pondérée que lui.
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selidren · 6 months ago
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Automne 1922 - Louxor (Egypte)
4/10
Je constate en tous cas que Jules semble tenter de se racheter, à sa manière pour sûr, mais j'ai l'impression que vous y trouvez une forme de sincérité cette fois. C'est en tous cas ce que semblent indiquer vos mots. Il est bien altruiste de prendre sous son aile la petite Gizelle, mais il est vrai que dans un couple, la communication et le compromis sont supposées être les valeurs reines. Et si vous tentiez de vous imposer ? Après tout, qu'il l'ait avoué ou non, il a bien du s'adapter à votre décision d'accueillir Layan et Leyla. Faites lui sentir qu'il a tout intérêt à avoir votre assentiment.
Cela me fait penser que Constantin m'a demandé il y a peu si nous pourrions nous installer en Egypte pour nos vieux jours, quand les enfants seront adultes. C'est très lointain, mais je suis très partagée sur cette question. D'un côté, il me suffit d'embrasser du regard ces paysages magnifiques et de sentir les palpitations que me provoquent les ruines antiques pour avoir envie de dire oui sans un regret. Et vivre sans Madame Eugénie au quotidien semble justifier l'effort. Mais pourrai-je laisser mes enfants, mêmes adultes, aussi loin de moi ? Je sais que j'ai encore bien le temps, Eugénie est en particulier bien trop jeune pour se passer de moi. Mais étant donné que j'ai en vous une oreille attentive et un regard bienveillant, qu'en pensez vous ?
Transcription :
Albertine « C’est la grande salle hypostyle de Karnak. J’avais tellement envie de la revoir. »
Constantin « C’est ici que nous nous sommes mariés. Je pensais bien que cela te ferait plaisir. »
Albertine « Raconte moi cette salle Constantin. Je dois la connaître mieux, puisqu’elle est si importante pour nous. »
Constantin « Hum… Et bien ses plans ont été dessinés sous la reine Hatshepsout. Elle a laissé sa marque un peu partout sur l’édifice, il faut le dire, pour asseoir sa légitimité. »
Albertine « Une femme pharaon, cela n’a pas du être facile. »
Constantin « Certainement pas non, son nom a subit un méthodique martelage après sa mort. Vois-tu son obélisque là-bas qui domine le site ? »
Constantin « En ce qui concerne l’édification en elle-même, il y a des spéculations. »
Albertine « Lesquelles ? »
Constantin « Beaucoup s’accordent sur une fin de XVIIIème dynastie. Horemheb certainement, quoique cela me semble peu plausible. »
Albertine « C’est ton avis qui m’intéresse. Dis-moi donc. Je ne t’ai pas épousé pour que tu te contente de me répéter ce que disent les autres. »
Constantin « Je pense que c’est plus tardif. La terminologie m’indique un début de XIXème dynastie. Pour ne pas trop se malmener l’esprit, autant prendre ce que les textes nous donnent, à savoir une profusion d’inscriptions au nom de Séthi Ier. On retrouve également la marque de ses successeurs, mais je suis certain que c’est à lui que nous devons ce monument. »
Albertine « Merci à lui dans ce cas. Cet endroit est tout simplement grandiose. »
Constantin « Puisque nous sommes non loin de l’endroit où nous nous sommes mariés… »
Albertine « Nous y sommes. »
Constantin « Non, c’était bien là-bas. Nous en sommes éloignés d’une bonne trentaine de pas. Bref, comme cet endroit est d’une certaine importance pour nous, je me disais que ce serait mieux de procéder à cette demande importante pour notre mariage ici. »
Albertine « C’est dit… d’une telle façon. J’en suis à la fois curieuse et un peu soucieuse. »
Constantin « J’ai une demande à formuler, mais tu ne seras pas d’accord. »
Albertine « Belle entrée en matière. Et tu espères encore me convaincre ? »
Constantin « Cesse donc de te moquer de moi ! Il s’agit de quelque chose qui me tient à coeur et tu m’angoisse. »
Albertine « Pardon, pardon. Je me tais. »
Constantin « Avec la guerre et ces histoires de guerre civile, j’ai été tenu loin d’Egypte pendant longtemps. De plus, nous avons des enfants dont il faut s’occuper de l’éducation. Et puis avec Grand-Mère qui n’est plus si jeune, je me dois de rester avec elle. Mais je pense de plus en plus à après. »
Albertine « Vas-y, je t’écoute. »
Constantin « Quand les enfants seront grands et n’auront plus besoin de nous, j’aimerais que nous nous installions en Egypte. Définitivement. A Port-Saïd ou Alexandrie peut-être. Nous y aurions un climat agréable au bord de la mer, nous pourrions facilement descendre vers le sud pour mon travail, ou prendre un bateau pour rentrer en France de temps à autres. Alors, qu’est-ce que tu en pense ? »
Albertine « Je ne sais pas, pas encore. Notre petite Eugénie n’a que cinq ans, c’est si tôt pour envisager de la quitter un jour. »
Constantin « Nous attendrons aussi longtemps que tu le souhaites. »
Albertine « Mais j’avoue que l’idée me plait. Nous aurions notre propre maison, notre propre rythme… J’aime l’idée. Je te promets d’y réfléchir sérieusement. »
Constantin « Merci mon amour. »
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septperceptions · 1 year ago
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que ça me déchire le cœur ces femmes qui aiment avec grandeur, que ça me torture ces beautés de la nature qui souffre quotidiennement d’aimer des hommes qui ne les méritent pas. Que ça m’épuise de les visionner en vidéo suppliant que la dépendance cesse. Que ça me brise de voir la gente féminine se briser sous le coup de l’amour, ou du moins des semblants d’amours. Que deviendront ces femmes battantes qui croient au grand Amour ? Que vont-elle devenir ces femmes sensibles, aimantes, honnêtes, qui attendent une histoire déchirante qui les fera vibrer ? Mes amies, mes inconnues, et pour les futures, n’oubliez jamais à quel point vous brillez, à quel point la vie est belle avec vous, à quel point votre sensibilité est un cadeau. N’oubliez jamais et ne doutez jamais de votre valeur, vous êtes le cadeau de ce monde, et peu importe si les hommes ne le remarque pas. Continuez de vivre, de croire à l’amour, de rire, de pleurer, continuer d’exister et d’être vous mêmes. Mais promettez moi de ne plus jamais accepter les manques de respect et de ne plus croire aux paroles sans actes.
Je vous aimes.
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loup-venant · 9 months ago
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Quand les portes s'ouvrent, les voyageurs attendent en foule devant, empêchant en partie ceux qui descendent de s'extraire des voitures aisément. Les quais ne sont pas particulièrement étroits ni bondés. C'est en retrait que Léa observe cette inclination individuelle de plus en plus prononcée.
Une balade audio lui glisse dans les oreilles depuis son casque. Elle s'empare des tensions que la situation provoque dans son ventre. Léa ferme les yeux un instant. Une guitare, une voix douce, un hautbois, et des percussions modestes forment ensemble un air qui lui inspire un chemin sous les arbres l'été, entre forêt et champs. Une discussion entre amis qui vient de finir, qui laisse place au silence précieux, celui qui ouvre les portes des nuages ou des étoiles. Une véritable couverture de douceur, pour construire des forts ou rester au chaud devant les flammes.
Quand Léa rouvre les yeux, son agacement s'expulse dans un soupir profond. Le monde revient, sur le quai, dans le train. Les pas pressés des uns, les rires des autres. Elle s'aligne derrière un groupe de jeunes adolescents. Ils n'ont pas loins d'avoir son age, à une dizaine prêt. Ils se serrent les uns contres les autres, s'accrochent à ce qu'ils peuvent, le sac de leur copain de devant, la rampe verticale à l'entrée de la voiture, l'épaule de celui à coté. Un nuage dense comme un orage, prêt à s'engouffrer en un éclair dès que la route sera dégagée.
C'est au tour de Léa de s'avancer pour rentrer, elle a la main sur la rampe, son pied prêt à décoller quand quelqu'un lui passe devant. Un homme qui ne lui adresse aucun regard. Il est monté comme si l'escalier lui appartenait, et qu'il y vivait seul. C'est au moins ce qu'on peut lire sur le visage circonspect de Léa qui s'est reculée inconsciemment, par automatisme, malgré elle, pour éviter tout accident. Elle ne se permettrait pas de bousculer quelqu'un, le dépasser dans une file. Elle n'a pas été touchée, mais ça fait quand même mal.
Autour d'elle, elle n’aperçoit rien d'autre que des regards qui semblent lui demander ce qu'elle attend pour monter. Elle avale sa rancoeur, et se hisse dans le train, défaite. Dans le couloir entre les sièges, elle ère à la recherche d'une place seule. A première vue, ça ne sera pas pour aujourd'hui. Elle passe le groupe d'adolescents. Ils se sont entassés sur deux fois quatre place et continue de se pousser, de rigoler. Plus loin, une femme avec une valise au moins aussi grande qu'elle et deux sacs utilise également quatre places. En face, deux gars qui ne parlent pas mais qui s'étalent aussi loins qu'ils le peuvent la regarde passer.
C'est après eux, à coté d'un petit vieux avec une casquette et sa canne à laquelle il accroche un sourire imperturbable que Léa s'assied. Après, s'aurait été trop dangereux. C'est là que le gars qui lui est passé devant s'est assis. Elle souhaite éviter la prison tant qu'elle peut.
Le petit vieux regarde par la fenêtre pendant la quasi entièreté du trajet. Parfois, Léa a l'impression de lire des histoires dans ses yeux qui semblent s'accrocher à tous les détails des paysages qu'ils traversent. Son coeur s'apaise en l'observant. Il incarne la balade dans les bois à lui tout seul. Quand il se lève à son arrêt, c'est après un échange intense avec les yeux de Léa. Ils brillaient comme une flamme prête à s'éteindre. Fragile, et si belle à la fois.
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ofwhimsicaldreams · 1 month ago
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What are the best books you've read this year?
Why am I only seeing the notification for your ask now 😱 sorry about the delay dude!
So, best of books read in 2024 (thank you Goodreads for the list):
L'usage du thé: Une histoire sensible du bout du monde de Lucie Azéma: un ouvrage qui mêle histoire, géographie, récit de voyage, petite histoire dans la grande... c'était très intéressant et l'autrice a une jolie plume. Ça m'a donné envie d'aller boire du thé dans tout un tas de régions très différentes ! Et d'explorer un peu plus les différents types de thé que je bois, également... Aussi lu Les femmes aussi sont du voyage d'elle cette année.
The Rose Code by Kate Quinn: historical fiction set in Great-Britain during WWII, dealing with the intelligence service. It was fascinating, I learned a lot of things, and the author's writing style was quite pleasant to read. Loved the different characters too! From that author, I also read The Diamond Eye, which was pretty cool, but I preferred The Rose Code. I also added The Huntress and The Alice Network to my to-read pile of 2025.
La 7ème Victime d'Alexandra Marinina: murder mystery/whodunnit set in Moscow during the late 1990's, so relevant to my interests. I was so close to finding out who was the killer! But alas, no. Pretty interesting for who cares about the changes Russian society went through during the 90's. I also read L'illusion du Péché by the same author in 2023, it was good too.
The Beauty Myth by Naomi Wolf: doesn't need an introduction I think... still very actual. I find feminist theory to be quite disheartening to read lately, it feels as if things are getting worse instead of better. Depressing.
Comme un roman de Daniel Pennac: une relecture (pas lu depuis de nombreuses années cependant) qui est toujours aussi agréable ! Quelle belle ode à la lecture et la littérature... Ça commence à être daté par contre (les jeunes à banane et Santiag'), mais ça fait aussi son charme. Je me demande ce que Pennac écrirait s'il rédigeait cette ouvrage cette décennie...
Overall my hits of the year were more in the first half of the year than in the second half. There were a few disappointments, and a few books that were good, but that's it. (And I have to admit I preferred the movie to the book after having read The Martian. Matt Damon should have gotten the Oscar for that one damnit, he acted alone for most of the movie!)
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mariannaszymanska · 1 month ago
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INDIGNE FILS
CHAPITRE 1
Enfin, je me décide, ce secret me ronge plus que les vers qui bientôt se délecteront de ma vieille carcasse. Je lave mon âme sur le papier lourd et léger à la fois. Cette honteuse histoire ne me suivra pas dans la tombe. Je l’enterrai dans une boite en fer au fond du jardin avant que la vie me quitte.
Ma seule faute est d'être née femme et comme Ève je suis une tentatrice.
Mi-aout 1945, Paula m’appelle. Elle est enthousiaste. Son mari et elle ont rencontré un certain Joseph McCarthy (1). Elle ne tarit pas d’éloges à son sujet. À son avis, il sera de ceux qui compteront dans les prochaines années à Washington. Ils nous invitent à le rencontrer lors d’une collecte de fond qu’ils organisent, le 8 septembre.
Paula et moi venons toutes deux d’Ecosse. À New-York, nous étions voisines et sommes devenues très rapidement amies.
Elle a rencontré son mari lors d’une fête dans le Queens, tout comme moi. Bill était alors un jeune étudiant, héritier d’une riche famille brassicole. Après ses études de droit à Columbia ils se marièrent et s’installèrent. dans une belle demeure de Milwaukee.
Le 6 septembre, Je m’envolais seule de la Guarda, Fred étant accaparé par ses affaires. Paula m’attendait à mon arrivée Elle était radieuse dans son tailleur blanc. Nous nous embrassâmes chaleureusement, heureuse de nous retrouver, enfin.
1)Joseph McCarthy : : Homme politique américain né en 1908 et mort en 1957 Sénateur du Wisconsin (1947) « Il a été la figure de proue de l'anticommunisme aux États-Unis. La guerre froide s'installe et la peur du communisme aussi. Accusations fondées ou non, enquêtes judiciaires, autodafés de livres… Une véritable « chasse aux sorcières » s'organise et touche plusieurs millions d’Américains au début des années 1950. »
L’histoire, « Maccarthysme » : La peur américaine https://www.lhistoire.fr/%C2%AB%C2%A0maccarthysme%C2%A0%C2%BB%C2%A0-la-peur-am%C3%A9ricaine
Arte, McCarthy : Itinéraire d’un opportuniste, https://www.arte.tv/fr/videos/RC-024867/mccarthy/
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ascle · 10 months ago
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N’est-il pas de plus belle façon de quitter la ville lumière qu’en lui disant adieu au théâtre?
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Décembre 1897, Paris.
Edmond Rostand n'a pas encore trente ans mais déjà deux enfants et beaucoup d'angoisses. Il n'a rien écrit depuis deux ans.
En désespoir de cause, il propose au grand Constant Coquelin une pièce nouvelle, une comédie héroïque, en vers, pour les fêtes.
Seul souci : elle n'est pas encore écrite. Faisant fi des caprices des actrices, des exigences de ses producteurs corses, de la jalousie de sa femme, des histoires de coeur de son meilleur ami et du manque d'enthousiasme de l'ensemble de son entourage, Edmond se met à écrire cette pièce à laquelle personne ne croit. Pour l'instant, il n'a que le titre : Cyrano de Bergerac.
Cette pièce est sublime! J’en suis ressortie enchantée. Ce soir j’ai rêvé, j’ai voyagé, dans le temps, dans l’espace.
Merci Paris! (Et merci @laure14 ;)
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À votre santé! Wish you all!
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lesillusionsterrestres · 2 years ago
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Le vendeur de roses
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© Photographie de Steve McCurry
Il y a ce vendeur de roses qui traîne tout le temps dans le quartier, avec des fleurs plein les bras. Il arpente les terrasses de restaurant à la recherche d’amoureux transis dînant aux chandelles.
Mais Ravi – c’est son prénom, enfin, c’est celui que je lui ai inventé, en espérant qu’il le soit un jour – fait tout le temps la tête. Comme si le flot d’amour qu’il tenait contre son corps à longueur de journée, manquait à sa vie. Est-ce qu’il offre des roses à sa femme, Ravi ? Est-ce qu’il a une femme, Ravi ? J’imagine que non, autrement, il aurait un peu plus de soleil sur le visage.
Mais il est fort, Ravi, parce qu’il arrive quand même à fabriquer une lumière artificielle lorsqu’il se poste devant des clients potentiels. « Rose, 2 euros. Rose, 2 euros. » Et souvent, sa lumière halogène fait illusion auprès des touristes – déjà éblouis par les lumières clinquantes d’un Paris qui n’aurait pour atouts que la Tour Eiffel et les Champs-Élysées.
Après avoir fait sa vente, Ravi s’éteint de nouveau. Son regard est sombre, et de toute évidence, si l’on criait « Âllo, y a quelqu’un ? », au fond de la cavité de son cœur, l’écho de notre voix nous reviendrait en plus triste, en plus désespérée.
Je me suis souvent demandé : « C’est quoi son histoire à Ravi ? » Mais Ravi ne parle pas français. Il maîtrise tout juste les quelques mots qui lui servent à présenter ses roses sur les terrasses. Je crois qu’il sait aussi baragouiner quelques mots en anglais. Mais comme c’est une langue que je ne sais moi-même pas baragouiner, c’est pas demain qu’on va pouvoir se parler. On peut pas aller bien loin avec Hello, Thank you et I love you, quoi que, on peut quand même aller quelque part : saluer, remercier, et dire l’amour. Tu m’diras, c’est un peu la base.
La base, mais pas assez pour raconter toute une vie. Alors, comme nous n’avions pas les mots pour nous parler, avec Ravi, je me suis mis à imaginer son histoire.
*
Ravi n’a pas toujours vendu des roses. Quand il avait 20 ans, dans son pays, au Pakistan, il vendait des oranges. Il était pauvre et vivait dans un bidonville avec ses parents et ses deux frères.
Dans une décharge, il avait dégoté une carcasse de voiture toute rouillée dont il ne restait quasiment rien, sinon le squelette décharné, simple et piteux. Mais c’était tout ce qu’il fallait à Ravi, qui avait accès à la beauté de cette épave, invisible aux yeux de tous. Avec son grand frère, ils ont ramené le trésor jusqu’à leur bidonville. Ravi savait déjà ce qu’il allait en faire. Il avait déjà tout imaginé et, dès le lendemain, il mettrait en place son projet. Il irait au grand marché acheter des oranges, négociées au meilleur prix. (Ravi était le plus grand négociateur de tous les temps : il négociait sans parler. Son sourire adoucissait tous les prix). Il viendrait ensuite revendre les oranges dans le quartier. La carcasse de voiture serait le meilleur des présentoirs.
C’est comme ça que le commerce florissant de Ravi a commencé, et qu’il a gagné en peu de temps le titre de : « Vendeur d’orange à la carcasse ».
Un jour, une jeune fille est venue près de son étal pour admirer ses oranges. Elle les regardait avec un émerveillement inconnu pour Ravi, comme s’ils étaient des petits soleils rangés dans un écrin d’obscurité. Alors, lui, regardait ses yeux à elle, et un nouvel émerveillement naissait encore. Il la trouvait belle comme le jour. Comme un jour prodigieux qui annonce le monde. Mystérieuse aussi, comme la nuit. Comme une nuit majestueuse qui promet l’infini.
Que faisait-elle là ? Qui était-elle ? Est-ce qu’elle venait lui murmurer un secret ? Qu’elle avait trouvé la clé du mystère des rêves ? Les mains de Ravi étaient moites tout à coup, sa gorge sèche, et son corps tremblant. Il ne comprenait pas grand-chose à ce qui était en train de lui arriver. Il ne savait pas comment s’appelait ce sentiment qu’il observait s’épanouir en lui. Il souriait. C’est ce qu’il savait faire de mieux, de toute façon. Et elle lui souriait en retour. Elle faisait ça encore mieux que lui, pensa-t-il. Et cela lui réchauffa le cœur. Elle a pris une orange. Il a refusé sa pièce.
Elle est revenue le lendemain, avec son mystère et ses yeux qui nourrissent toutes les misères. Il a osé lui demander son prénom. Elle a osé lui donner. Shala. Il était heureux de pouvoir la prononcer. Shala. Cette fois il aurait voulu la retenir, sauf que les mains moites, la gorge sèche et le corps tremblant. Il l’a regardée partir avec son orange. Il aurait voulu lui donner toutes les oranges du monde.
Ravi a sursauté de bonheur lorsqu’elle est revenue le troisième jour. Elle avait une question. Une de celle qui marque sans qu’on le remarque. Une de celle qu’on ne pose jamais à un inconnu, parce qu’à la fois trop banale et trop intime, trop légère et trop profonde, trop drôle et trop sérieuse. Une de celle qui fait mine de rien, mais qui a le pouvoir de faire jaillir de la poésie.
« Pourquoi vends-tu des oranges ? Et pas des fraises ou des bananes ? »
Et Ravi avait répondu, sans trop réfléchir : « Parce que l’orange de l’orange flatte ma carcasse, comme nul autre fruit. L’orange rend les choses belles et magiques. »
Shala avait aimé la réponse de Ravi, et elle était repartie avec son orange belle et magique. Ravi aurait voulu la retenir, encore, mais elle s’était éclipsée comme une lune trop pressée de rejoindre sa nuit.
Il a espéré qu’elle revienne le lendemain. Une quatrième fois. Et cette fois, « je la retiendrai » s’était dit Ravi, pour de bon. Je lui dirai combien elle est belle, je lui dirai que je veux la connaître, que je veux passer mes journées près d’elle, à admirer au fond de ses yeux, toutes les beautés cachées de ses ombres, qu’elle est un grand soleil, et surtout, il lui dirait, qu’il voudrait l’embrasser. Oui, il s’était dit que cette fois, il oserait lui dire qu’il rêve de l’embrasser. Qu’il se ficherait d’avoir les mains moites, la gorge serrée et le corps tremblant, qu’il arrêterait d’avoir peur et qu’il lui dirait tous les jolis mots qui lui sortent du cœur.
Mais Shala n’est pas revenue le lendemain, ni le jour d’après, ni les autres jours, ni aucun autre jour. Shala n’est jamais revenue. Et Ravi a arrêté de vendre des oranges. Le cœur n’y était plus.
Peut-être que Shala n’aimait pas les oranges, après tout. Peut-être qu’elle préférait les fraises ou les bananes. Oui, c’est ça qu’il aurait dû lui demander. Peut-être qu’elle préférait les fraises, qu’elle préférait les bananes. Peut-être qu’elle n’aimait pas les fruits ? Peut-être qu’elle rêvait de roses.
Alors, quand son grand frère lui a parlé du business de vente de roses à Paris, Ravi s’est tout de suite dit : « Mais oui, les roses ! Shala rêve de roses ! » Et peut-être qu’en vendant des roses à Paris, il la recroiserait de nouveau… et il pourrait enfin lui dire tous les jolis mots qu’il n’a pas su lui dire. Il lui offrirait des roses, par milliers. Et ils pourraient enfin s’embrasser. Ils pourraient enfin s’aimer.
*
Mais bien sûr, c’est pas du tout ça l’histoire de Ravi. Sa vraie histoire est moins jolie, moins tristement jolie. Plus dur. La carcasse, les oranges, Shala, et tout et tout, très loin de la réalité. La réalité c’est que Ravi est parti loin de sa famille, se fait exploiter parce qu’il n’a pas de papier, partage une minable chambre de bonne avec 8 autres colocataires dans la même situation que lui. La réalité, c’est que Ravi travaille comme un acharné pour un salaire de misère. C’est Sofiane qui m’a raconté tout ça un jour, et il m’a même donné le vrai prénom de Ravi. À une lettre prêt, j’y étais. Mais il faut croire qu’une lettre change tout. Avec une lettre, on passe du conte féerique à la réalité sordide.
Quoi qu’il en soit, je souhaite toujours qu’il soit ravi, le vendeur de roses, qui s’appelle Raki.
// Dédé ANYOH //
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alice-wonderland-world · 10 days ago
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Je suis allée marcher à la mer et méditer dans la cathédrale face au vitraux bleus avec l'onde marine et Marie sans mains (ça paraît glauque comme ça mais c'est un lieu apaisant et une femme sans mains ya une symbolique derrière, merci à Clarissa pinkola estés).
Et il y a avait un couple dans la cinquantaine tout mignon en plein milieu de la cathédrale, la femme bougeait doucement, dansait et l'homme s'est mis à chanter. C'était tellement beau, angélique, imparfait et hors du temps. Je me suis souvenue que l'humanité pouvait tellement être belle. Qu'un homme qui est juste là à inviter sa partenaire à chanter avec lui c'est juste beau. C'est beau l'art, c'est beau d'exister pour soi, d'exister pour donner vie, pour donner sa voix, son énergie à un lieu quelque instant.
C'était un moment magique, ça rattrape l'abruti qui a traité une femme de prostituée ( elle était habillée en lolita japonaise, aucune culture le mec) pas agréable d'entendre ces mots alors que tu passes à côté et puis je me suis rappelée que selon certaines légendes marie aussi est une p. Donc j'ai passé mon chemin en dévisageant le mec comme s'il était l'être le plus dégoûtant du monde.
5 minutes et toute l'expression de l'humanité, de l'homme, le meilleur, le pire. Et le reste au milieu. Des histoires et des archétypes.
La que sabe.
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Rodolphe
Rodolphe vient d'avoir 30 ans. On s'est "connu" sur Facebook, il y a environ 6 ans de cela. Nous avons parlé pendant plusieurs semaines malgré notre très grande différence d'âge ( 27 ans ! ) et puis, ça c'est tassé. Honnêtement, je ne me souviens pas de la raison, ni de si nous étions réellement très proche. Mais je me souviens que nous parlions d'un voyage en Italie et que physiquement, nous nous plaisions beaucoup.
Il y a quelques mois, j'ai eu la surprise de voir Rodolphe trainer sur mes stories et au bout de quelques semaines, il a reprit contact. Il m'a annoncé qu'il était en couple et qu'il allait être papa, ce qu'il est devenu à la fin de l'année 2024. Mais ça ne l'a pas empêché de me draguer, de me faire des compliments, de me dire qu'il avait souvent pensé à moi etc. Néanmoins, le dialogue était très épisodique, avec des semaines, voir des mois sans un mot.
Avant hier soir, Rodolphe m'a de nouveau écrit, après un très long silence. Il m'a dit que sa femme et son bébé étaient absent pour quelques jours et c'est excusé de ne pas m'avoir écrit car depuis la naissance de son fils, il ne touchait plus terre. Et il a recommencé à me faire mille compliments, à me dire qu'il pensait souvent à moi, qu'il regrettait de ne pas être allé au bout de notre histoire il y a des années et qu'il espérait me voir un jour. Nous avons discuté toute la soirée et quand j'ai mis un terme à la conversation pour aller dormir, la première pensé que j'ai eu c'est :
"Mais quel bâtard !"
Que penser d'autre d'un mec qui vient juste d'être papa et qui profite de l'absence de sa femme pour en draguer une autre ? Cet idiot, je le vois venir de loin, il avait juste envie de passer une soirée virtuelle avec l'espoir que ces compliments, aussi faux que lui, allait me faire fondre comme neige au soleil. Mais on me l'a si souvent chanter cette chanson ! Je la connais par cœur et je ne crois plus aux mots désormais. Il se fous de moi comme de sa première chemise, je ne suis rien, je n'ai jamais rien été ! Si cela avait été le cas, il aurait été plus présent, il aurait écrit régulièrement au lieu de se cacher derrière des excuses bidons. D'ailleurs hier, aucune nouvelle. Il est juste passé regarder mes stories, sans dire un mot. Pourtant, il a du temps libre en ce moment, si j'ai bien compris et il m'avait dit la veille qu'il allait trouver du temps pour poursuivre notre conversation. Avant de dormir, je lui ai envoyé un mot dans lequel je suis un peu sarcastique sur le fait qu'il n'ait pas écrit alors qu'il a eut le temps de voir mes stories. Sa réponse que j'ai lu au matin, c'est qu'il a vu mes photos dans cette stories, que je suis trop belle et qu'il a envie de m'embrasser sans cesse.....
Je n'ai pas répondu. Sa réponse est un aveux qu'il n'en a rien à faire, la seule chose qui l'intéresse, c'est que je me montre plus coquine avec lui et là, il peut aller se aller faire voir, comme tous les autres. Je ne pense pas qu'il écrira avant un bon moment. Mais quand il le fera, il risque d'être fort surpris par mon changement de tons !
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