#la note est en morse

[manamihanako]

TXT - DEJA VU [VOSTFR]

Traduction en français faite par moi! Merci de ne pas reprendre ou republier mes traductions sans autorisation ou attribution appropriée.

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Artiste : TXT

Chanson : DÉJÀ VU

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Oui, j'ai fui d'innombrables fois

Par simple peur

Te laissant attendre à la ligne de départ

Le langage morse résonne au milieu des décombres

Une vieille promesse, promesse

Sans comprendre la raison de mes larmes, mon anemoia*

Toi et moi, sous la promesse étoilée

Devant nos couronnes poussiéreuses

Encore une fois, comme le rêve gravé dans mon âme

Sois mon éternité, dis mon nom

Je me souviens de la réponse que j'ai enfin trouvée

Mon avenir, c'est toi

Prononce mon nom

Je te serrerai fort dans mes bras, comme promis le premier jour

Comme du déjà-vu

Tu as un air de déjà-vu

Dis-le

Dis-le

Dis-le, dis-le encore plus fort

Dans cette pluie ardente qui me brûle

Au cours de ce voyage long et éternel

La tristesse que nous avons partagée est ma clarté

Elle réside dans tes larmes

Oh, même lorsque je m'écroule, tu es tout ce dont j'ai besoin

Au milieu de toutes les ruines, notre lieu de promesse

Le pays du repos, le retour de l'éternité

Tu es celle qui m'a attendu

Je me souviens de la réponse que j'ai enfin trouvée

Mon avenir, c'est toi

Prononce mon nom

Je te serrerai fort dans mes bras, comme promis le premier jour

Comme du déjà-vu

Tu as un air de déjà-vu

Dis-le

Dis-le

Dis-le, dis-le encore plus fort

Je te le promets, encore et encore

Tu es mon avenir (c'est toi)

Sous le voile de lumière

Je te serrerai fort, toi qui rayonnes comme une mariée

Comme du déjà-vu

Tu as un air de déjà-vu

Dis-le

Dis-le

Dis-le, dis-le encore plus fort

Notes de traduction :

- "Anemoia" est un terme inventé par John Koenig dans son dictionnaire "The Dictionary of Obscure Sorrows" (Dictionnaire des peines obscures). Il décrit un sentiment de nostalgie pour une époque que l'on n'a jamais connue. Il s'agit essentiellement de la sensation d'être nostalgique d'une époque ou d'une période de l'histoire que l'on n'a pas vécue.

[marieevebibliobulle]

C’est quoi : un roman policier humoristique

En quelle langue : en français 

Ça parle de quoi : d’un cadavre de classe

C’est pour qui : les adolescents, 10 ans et plus

Résumé : 

Un cours de mathématique aux problèmes impossibles, une belle pomme rouge laissée en cadeau et un prof détestable, c’est comme ça que commence l’incroyable aventure de « Cadavre de classe ». Suit l’enquête astucieuse et loufoque de l’inspecteur et de Chamberland qui sauront faire preuve d’ingéniosité, de déduction et de jeux de mots pour t'épater! Pas du genre à suivre? Tant mieux! Participe activement à l’histoire de ce polar ancestral interactif à l’humour intelligent bien actuel! 1000 pages de Gags qui passent comme s’il y en avait 208, code morse et mot mystère sont à l’honneur sans tomber dans l’humour facile. Dans ce livre, tout est sujet à comédie, même la notice bibliographique de l’auteur à la fin. Une aventure inusitée, faite de papier, t’attend! Qui démasquera le coupable en premier? Toi ou les détectives? Mais quel suspense !!

Mon analyse :

Robert Soulière joue avec son média, le roman papier, et sort des sentiers battus pour captiver le lecteur ou la lectrice, l’interpellant à participer à l’histoire en usant de jeux, comme le mot mystère cachant le nom de l’assassin, ou modifiant la méthode de narration en écrivant un chapitre complet en suivant l’inspecteur sur la page de gauche, Chamberland sur celle de droite. Ce roman est une expérience en joie, on ressort de la lecture revitalisé et satisfait. C’est pourquoi je le recommande aux jeunes de 10 ans et plus qui veulent découvrir et aimer la lecture, ou raccrocher avec un intérêt trop souvent perdu au cours du parcours scolaire.  

 Je donne ▬•••• / •••••, plaisir assuré ! 

[page-a-pages]

Etre soi: Julian est une sirène et autres albums

Julian est une sirène fait partie des albums qui ont été remarqués au printemps dernier. Aux Etats-Unis, où il a été publié en 2018, il a récolté quantité de prix et a été traduit en quatorze langues (catalan, portugais, italien, chinois, danois, allemand, espagnol, finnois, norvégien, suédois, français, japonais, néerlandais et coréen). Il se pourrait même qu’il devienne un classique d’un genre fluide où les catégories et les identités s’expriment avec simplicité dans toute leur complexité.

Julian rêve d’être une sirène et avec l’aide de sa grand-mère il va le devenir. On pourrait se satisfaire de ce résumé tant le propos est abordé avec naturel, se contentant pour l’étayer d’une ligne de texte sous les images, quand elles ne sont pas en pleine page, se suffisant à elles-mêmes. C’est ainsi que les enfants prendront cette histoire, avec évidence, tant il est courant, à leur âge, de rêver d’être une sirène ou un autre personnage de conte. Mes petites voisines, à qui j’ai lu l’album, l’ont aimé et ont beaucoup apprécié les illustrations. A un moment donné, elles m’ont posé la question: « Julian, c’est une fille ou un garçon ? » Je leur ai répondu que Julian était un garçon, réponse tout à fait convaincante puisqu’on a repris la lecture. Elles n’ont bronché ni sur le fait qu’un garçon — mais Julian se sent-il garçon ? — veuille être une sirène. En y repensant, j’aurais pu leur répondre comme ma fille le faisait quand, petite, on lui demandait si elle était une fille ou un garçon et qu’elle répondait avec beaucoup de sérieux: “Je suis un titi” (son surnom). Donc, comme son titre l’indique, à part son prénom de garçon, Julian est une sirène. Tout simplement.

Cet album est né de l’intérêt de l’auteure pour les questions liées au genre, mais également de sa rencontre avec une personne trans, son parcours et les questions liées à sa transition au niveau du cercle familial. « Comment va-t-on expliquer ça aux enfants?».  Elle s’est dès lors intéressée à des références qui pourraient raconter ce type d’expériences autour d’identités de genre du point de vue d’un enfant et non des adultes. Elle s’est documentée sur le milieu drag, le voguing, les ballrooms new-yorkaises et s’est procuré un film documentaire emblématique : Paris is burning. Ces pratiques ont beaucoup inspiré l’album, dans leur façon d’inclure les rapports de jeu avec un très grand sérieux - comme d’ailleurs les enfants savent si bien le faire -, les expressions exubérantes et en même temps naturelles, les vécus de questions d’acceptation, de famille et de quête de soi.

Pour autant qu’on lise l’anglais et qu’on maîtrise un peu le vocabulaire LGBTQIA+, la page du site de Jessica Love en lien avec l’album - https://jesslove.format.com/julian-is-a-mermaid - mérite qu’on s’y arrête. Après une brève présentation de l’album, elle reproduit des extraits d’une interview où elle répond aux questions liées à son inspiration et au fait qu’elle ait choisi de mettre en scène une famille afro-latino-américaine et des expériences trans (ou drag) alors qu’elle même est blanche et cishet (cis: en accord avec son genre de naissance + het: hétéro). D’ailleurs, cette partie de la page porte le titre suivant : “On being a white, cishet artist creating outside my experience…” Car si Jessica Love a longtemps craint de ne pas avoir la légitimité de traiter d’un sujet et d’un groupe ethnique qui ne sont pas siens, elle avait à cœur de soutenir le mouvement Black Lives Matter et de lutter contre le racisme anti-noir. Ces questions importantes permettent des discussions qui ont rarement lieu lorsqu’on reste dans les normes très blanches de l’édition jeunesse.

Ce premier album a mûri pendant six ans. Et si son auteure a beaucoup dessiné étant enfant, elle n’en a pour autant pas fait son métier. On est d’autant plus charmé par la qualité des illustrations à la gouache sur papier brut dont la couleur est proche de celle de la peau des protagonistes. Ici le blanc, du papier et des peaux, n’est pas la couleur par défaut. Le dessin agile et expressif - on adore la liberté contenue dans les scènes de rue -, aux couleurs poudrées teintées de touches vivres pourrait presque se passer de texte. D’ailleurs les mots sont rares et bien placés. Les pages de garde épatantes mettent en scène, en ouverture du livre, une brochette de grands-mères aux corps généreux contenus dans des maillots de bain colorés et le referment sur ces mêmes grands-mères bonnes fées devenues des sirènes bienveillantes qui accompagnent le jeune Julian dans son devenir. Ce dernier d’ailleurs regarde les lecteurices droit dans les yeux, un sourire clin d’oeil aux lèvres. Sa Mamita aussi nous regarde, l’air de dire: “Vous voyez comme c’est simple!”.

Citons enfin une scène de rue carnavalesque, digne de Rio de Janeiro, où l’auteure a glissé en premier plan deux drag queen, dont l’une belle comme un papillon est juchée sur des platform shoes aux talons démesurés. Une manière de légitimer, mine de rien, le queer.

  Un nouvel album, Julian at the Wedding, paraîtra en anglais au mois d’octobre et sa traduction française au printemps 2021. On l’attend avec impatience…

N.B. Que les lecteurices n’aillent pas croire que le vocabulaire LGBTQIA+ m’est familier, ni que je connaisse les mouvements cités par Jessica Love sur son site. Non, j’ai dû apprendre, me renseigner. Mais surtout, ma fille Loraine-Titi Furter, militante active, très à l’aise sur les questions de genre, sujet de ses recherches, a collaboré une nouvelle fois avec enthousiasme et bienveillance à cet article.

Anne Herbauts, dans son nouvel album qui paraît cet automne chez Casterman, aborde le thème des manières propres à chacun de vivre sa vie. 

Un enfant énumère les différences qu’il note dans les traits de caractère de ses parents. Chaque comparaison le ramène à lui et à la conclusion suivante: “Moi, je ne suis ni l’un ni l’autre. Je suis moi.” Et l’auteure, au moyen de ses illustrations, d’emmener le lecteur en balade - en randonnée - dans le quotidien de cet enfant, du matin à la promenade de l’après-midi. Des parents, on ne verra que des bribes de corps, les mains, les pieds puisque c’est le point de vue de l’enfant qui prime, sa manière bien à lui d’appréhender sa journée. Et comme on est à sa hauteur, il est représenté en entier, sous la forme d’un petit animal qui change de page en page au gré des petits noms tendres dont l’affublent ses parents: “petit chat”, “lapin”, “moustique” et autres noms d’oiseaux.Anne Herbauts poursuit son travail à destination des plus petits. Creusant dans cette direction, elle va loin dans la simplicité - même dans le désordre d’une maison - et laisse place à l’espace dans la page, au grain du papier. Les taches de couleur à l’aquarelle sont parfois rehaussées de traits au crayon, ces mêmes traits qu’elle décline seuls, au besoin. On retrouve également ses impressions sur papiers découpés pour les vêtements. Au résultat, un album d’une extrême lisibilité, au dessin gai et poétique.

Signalons encore deux autres titres sur l’être soi parus au printemps passé à L’Ecole des loisirs ; l’un chez Kaléidoscope, l’autre chez Pastel.

  Milo le pacifique n’a que faire de se battre comme ses congénères. Sur la banquise aux ours polaires, il préfère regarder les étoiles filantes et s’occuper de ses protégés, les blanchons. Bien malgré lui, il est emmené un jour dans la grande ville qui ne dort jamais à devoir combattre sur un ring… Milo se retrouve alors face à une vieille connaissance, le terrible Yuma, un morse champion du monde des poids lourds. Au final, ces retrouvailles n’auront que du bon.

  « Rien que toi… Il n’y a pas deux ours comme toi » dit Maman Ourse en réponse à la question de son petit Alfie. Cette réponse qu’elle va répéter de page en page, en randonnée, elle l’étaye d’exemples qui vont du particulier – le petit ours et sa sœur bébé – au général – le monde qui les entoure - et qui sont des leçons d’apprentissage et d’ouverture sur la vie, sur soi. A mesurer le monde, dans toute sa tendresse, on se voit lire cet album au calme, bien calés dans des coussins, un bras autour d’un petit corps qui se pelotonne, avec le pouce dans la bouche.

Julian est une sirène / Jessica Love.- L’Ecole des loisirs (Pastel), 2020

Ni l’un ni l’autre / Anne Herbauts. - Casterman, 2020

Milo l’ours polaire / Laurent Souillé et Juliette Lagrange. – Kaléidoscope, 2020

Rien que toi / Sally Grindley et Célia Chauffrey. – L’Ecole des loisirs (Pastel), 2020

[zerozooblog]

POURQUOI LIRE LE PRÉCIS DE ZÉROZOÏSME : (1 de 4) Un regard sur l'artiste, son art, sa philosophie.

PRÉCIS DE ZÉROZOÏSME - Tome 1 En livre numérique sur Kindle et sur Kobo

Vol. 1 de 4. Après 7 éditions papier, une 8e édition numérique 2017 fidèle à l’insolite de 1986 et enrichie : 578 reproductions, 2091 pages 13x18cm.

À LA FOIS : Roman thriller réel et science-fiction vraie sur l’art. Documentaire cru sur l’art et ses coulisses par un expert. Visite guidée et catalogue d'expo muséale subversive. Manifeste atypique d’art et de philo. Guide intuitif et esprit de survie pour artiste, décalé, PDG-décrocheur! Autobio littéraire théâtral d’un artiste clé.

Livre culte des années 80, gadget explosif, inclassable dans la culture, contre-culture, à coté de l‘art, de l’art contemporain réac, des artistes, de tout! En 2017, 31 ans après sa 1re édition, il est + punch car rien n’a bougé dans les ghettos corrompus, imposés de l’art et son marché, et de la vie qu’il ventile. Hier trop novateur, là encore +!

Livre qui a marqué l'histoire contemporaine de l'art, de la littérature, philo, mode, culture de masse par son impact. Unique, d’avant-garde par ses idées, le look, le style littéraire, l’orthographe, sa rhétorique, sa nature multiforme et polysémique.

Le trip effréné de Zéro Zoo, self-made, auteur d’idées, d’art, d’évènements, qui a prêché chez les sourds, peint chez les aveugles, a chargé les Goliaths de l’art et après 15 ans de dèche a réussi.

Pour tous et ceux qui veulent être peintre à succès, créateur multiple, déduire comment. Saisir les causes des prix élevés des oeuvres de Zéro Zoo : prix provocs, contestataires, revendicatifs!

Livre rebelle mais enjoué! Détox de la bêtise et de la fraude de l’art issu de la politique et du public désinformé qui ont provoqué l’idéologie d’art Zérozoïste et son exit vers l’underground ON THE GROUND!

RÉPARTI DANS LES TROIS 1ers VOL. :

SUR L’AUTEUR : Biographie, citations et oeuvres-chocs du dictionnaire LE PETIT ZÉROZOÏSTE ILLUSTRÉ

L’AUTOBIO DE ZÉRO ZOO : Du début dans la rue, aux humiliations, censures, péripéties, succès, trahisons, drames, violences, détresses, ardeurs, coups de théâtre, victoires!

LE PRÉCIS : Relate l’idéologie cool.

L’EXPO ZÉROZOÏSTE : Montre l’ouverture d’esprit Zérozoïste par un show de tableaux, d’œuvres et hors-d'œuvre Zérozoïstes! Expo où la variété extrême, antagoniste, et la virtuosité de Zéro Zoo valent 50 artistes! Peindre à vie le même tableau, style ringard ou intello, être un subventionné encultureur du n’importe quoi, artiste-fonctionnaire en série, suceur, collabo, non! Expo antistandardisation, dissidente, innovante, de suprématie d’art. Visite muséale de 374 oeuvres et notes atypiques. Laxatif et knockout pour cultivés, donateurs à des musées, galeristes, artistes moulés, commissaires-priseurs, directeurs de musée, de magazines d’art, critiques : à 95% flics arrogants et figés de l’art.

+ 52 DOCUS D’ARCHIVES : photos, posters, extraits de presse, livres, lettres.

+ VOL. 4 : Ajout : PETIT MANUEL DE SURVOL DU MAQUIS DE L’ART ET DE LA PENSÉE ZÉROZOÏSTE 2017

2 VERSETS DU PRÉCIS :

L’art, la vie, les mœurs et modes de la culture Zérozoïste sont définis ou non, simples, complexes, rockers, sexy, ils se créent à mesure, changent. L’art et la pensée Zérozoïste éclatent dans les tendances et styles Zérozoïstes, d’avant-gardes, d’arrière-gardes, centres, autres. Mouvance déjouant les académismes.

Le ZÉROZOÏSME est un oeil magique ouvert sur la modernité du temps, de l'espace, de l'ailleurs, du sentiment neuf qui bouge. Il est la neuve lumière bifurqué et s'exprime sous forme de sténo, code et morse de toutes possibilités. Il est la mutation de l'art, de la pensée, un révélateur sensuel, orgasmique du temps présent inventé. Il est l'idée d'une idée qui dépasse ce que tous les arts et philosophies ont tenté d'imaginer. C’est un luxe, une folie, un rêve, un champagne, un plaisir grisant, un passeport.

Auteur : François-Pierre Bleau dit ZÉRO ZOO

Peintre, idéologiste, créateur multiple, dealer de drogue d’art Zérozoïste.

Version en orthographe normale. Il y en a une en Zérozoïste.

fpbleau@gmail.com

SITE DU PRÉCIS DE ZÉROZOÏSME

VIDÉO TEASER DU PRÉCIS DE ZÉROZOÏSME

[julienlapointe-art]

RECHERCHE THÉORIQUE 4 ET PRATIQUE 2 : DESSIN NUMÉRIQUE ET CROQUIS

En continuant mes recherches, j’ai commencé à faire des séries de croquis à travers non seulement mon cahier d’esquisse, mais aussi à travers la tablette graphique. Je suis venu à la conclusion que j’apprécierais qu’une partie de mon projet soit fait en dessin numérique de style animation, de plans fixes ou de stop-motion alors qu’il est plus facile d’arriver à de tel résultat depuis le dessin numérique. De plus, je recherchais à trouver une apparence pour les personnages qui apparaitront dans mon projet. Il m’est venu par la tête de faire une certaine continuation d’un de mes projets en utilisant les personnages représentés dans celui-ci.

Je me suis alors lancé sur la recherche du design que mes personnages auront le long de ce projet. Pour le moment, je ne suis qu’aux premières esquisses et modèles de ces personnages. Donc, le design final peut changer pendant ce temps.

Je me suis aussi mis sur le dessin des nombreux codes que je vais utiliser, dont le windings, le code morse et le code binaire. Prendre en note qu’il est possible que d’autres sortes de codes et symboles puissent se rajouter à la liste de ceux utilisés durant la production du projet.

Voici la tablette graphique que j’utilise à la maison

‘’Learn to get in touch with the silence within yourself, and know that everything in life has purpose. There are no mistakes, no coincidences, all events are blessings given to us to learn from. ‘’

-Elisabeth Kubler-Ross

[oelnet]

Epreuve de philosophie / «J’ai eu une copie rédigée en morse» ; les professeurs choqués lors de la correction du Bac

Epreuve de philosophie / «J’ai eu une copie rédigée en morse» ; les professeurs choqués lors de la correction du Bac

La correction du sujet de philosophie du Bac 2021 français est une rude épreuve pour les enseignants. Sachant que cette année c’est la meilleure note qui serait retenue entre celle-ci et celle du contrôle continu, décision prise par Jean-Michel Blanquer en raison des perturbations dues au Covid-19, les candidats ne se sont pas donnés à fond. Départs précipités, travail bâclé, références…

[filsdepecheur-blog]

La Pointe, depuis quand?

Cette semaine, on commence par le tout début! La Grande-Entrée, d’où ça vient? Comment un petit bout de terre est-il devenu le port le plus important des Îles au XXe siècle? Avec l’aide du livre La pointe de Grande-Entrée, un siècle de petite histoire et des Notes historiques sur la paroisse de Grande-Entrée du Rév. Raymond Cyr, essayons de tracer un portrait du peuplement de la Pointe!

Dès la découverte des Îles-de-la-Madeleine, la Grande-Entrée est un lieu de prédilection pour la chasse et la pêche. Jusqu’à la fin des années 1700, les Basques et les Bretons viennent régulièrement à cet endroit pour y pratiquer la chasse aux morses. À la suite de leur disparition au tournant du XIXe, la pêche devient la motivation principale des visiteurs.

À cette époque, très peu de gens s’y installent en permanence. Ce sont surtout des Anglais puisque la Grande-Entrée, à l’époque nommée Île Coffin, doit avoir un clergé protestant. Une clause le stipule. Les premières familles francophones à s’y installer pour de bon sont celles de Gilles Pilet (ancêtres de Pealey de Grande-Entrée), William Médore et Isidore Cormier. C’est certainement la proximité avec la mer qui pousse ces premiers colons à s’y installer.

Si peu de gens sont là toute l’année, la Pointe est quand même très bien utilisée. Avant 1900, ce sont surtout des pêcheurs qui viennent de partout sur les Îles gagner un peu d’argent. Ce sont autant des francophones que des anglophones qui se font des petits camps sur la Pointe, pouvant alors y rester pour la saison de pêche. C’est ainsi que les habitants des autres villages finissent par quitter leurs cantons pour venir peupler la Pointe dans l’est des Îles!

Je vous donne rendez-vous la semaine prochaine, où je vais approfondir sur la pêche. Son influence sur la Pointe est tellement grande qu’elle mérite une semaine à elle toute seule!

Yan Richard-Doyle

[monsieurloutre]

Moment -1 : comme dans un entre-deux

Dans la chambre, dans le salon Moi je tourne en rond, je tourne en rond

~ Je suis un homme in Totem, Zazie

Les choses ont évolué ! Finalement, assez rapidement, j’ai été contacté par mon tuteur, qui est d’ailleurs une tutrice. L’autre jour, en pleine chasse à l’appartement, Madame Hermine m’a appelé et s’est présentée : elle sera ma tutrice de terrain pendant cette année, pour m’aider, m’épauler et me guider. Le courant a eu l’air de passer dès le début. Le chef d’établissement m’avait aussi contacté par mail, presque immédiatement après que je me fus fait connaître. Je serai donc responsable de deux classes de seconde générale. Un demi-service de neuf heures, un seul niveau à préparer ; j’ai de la chance. 

Depuis la dernière fois, j’ai trouvé un appartement, miraculeusement vite. Celui-ci a le bon goût de se situer à mi-chemin de l’INSPÉ et de mon établissement. J’ai vraiment de la chance. Aujourd’hui, je suis tranquillement posé dans mon appartement. Tout va bien… à deux détails près : mes affaires ne sont toujours pas là, et l’électricité non plus. Pratique pour avoir de l’eau chaude, et préparer des cours. Au moment où j’écris ces lignes, sur le plan de travail de la cuisine, alors que la batterie de mon ordinateur agonise, j’attends minuit avec grande impatience : c’est l’heure où l’électricité devrait arriver. En tout cas si j’en crois le conseiller que j’ai eu tout à l’heure au téléphone, qui serait sans doute allé plus vite en prenant note de mes questions en morse. Et donc, entre mes grandes réflexions sur ce que je vais faire à ma première heure de cours et l’attente (non dénuée d’angoisse) de l’arrivée de l’électricité, je me balade dans mon appartement en me prenant pour une chanson de Zazie. 

Dans l’entre-temps, la pré-rentrée dans l’établissement a eu lieu. J’ai rencontré en personne Madame Hermine, et effectivement, le courant passe bien. Elle a du métier, de l’expérience, et il s’avère que dans notre vision du métier ainsi que dans notre pratique, plusieurs points communs nous unissent. J’intègre ainsi le lycée Tamref en confiance, rasséréné. Elle m’a aidé, m’aide et m’aidera pour les aspects pratiques : clés, carte de cantine, codes informatiques… Je suis soigné comme un bébé loutre. 

Ceci étant dit, la pré-rentrée avait un petit quelque chose de ventilateur : du vent fut brassé. Lors de l’amphi de rentrée — dédoublé pour des raisons sanitaires —, les personnels de direction ont donné un certain nombre d’informations. En pêle-mêle, nous sommes quatre stagiaires sur l’établissement, les manuels des Terminales arriveront au plus tôt en janvier, la sécurité en TP est une grande inconnue, et nous aurons des masques fournis par l’EN. D’une marque bien connue de sous-vêtements en trois lettres. Ce sont les fétichistes qui vont être contents. 

J’ai aussi rencontré l’équipe de physique-chimie : une quinzaine de collègues, semblant très sympathiques, soudés ; un terrain définitivement prometteur, qui plus est pour une année de stage. Nous nous trouvons tous un peu désemparés, y compris les plus expérimentés, face aux inconnues de la sécurité en TP. Qui désinfectera le matériel ? En combien de temps ? L’avenir nous le dira. Soit par une circulaire, soit par l’expérience.

Enfin, j’ai mis la main sur mon emploi du temps. Ce sera vendredi que je rencontrerai mes élèves, des deux classes. J’ai quelques jours pour préparer (au moins) ma première séance. Je suis, étrangement, plus intrigué que paniqué. Que vais-je pouvoir leur dire ? Sera-t-il évident de capter l’attention des élèves et de les reconnaître avec ces masques qui cachent la moitié du visage ? Cet aspect-là, lui, n’est pas le plus appréciable, a fortiori pour une entrée dans le métier. Mais comme une collègue l’a fait remarquer à sa stagiaire  : au moins, après ça, nous serons parés à tout.

Maintenant, c’est l’attente de la rencontre avec les élèves.

Je suis dans un entre-deux assez étrange, à moitié intronisé dans l’établissement, à moitié installé, mais sans avoir commencé mes cours, ni avoir véritablement déménagé. Comme une sensation étrange d’être à la bonne place, mais pas tout à fait, pas entièrement. 

Cela aussi passera. 

[relations-occasionnelles-blog]

Quelles positions sont les plus efficaces pour atteindre l'orgasme ?

Bien qu'il soit juste de dire que les hommes apprécient la plupart des positions sexuelles, les femmes ne sont pas nécessairement aussi faciles à satisfaire.

Comme les préférences sexuelles d'un mec ne sont peut-être pas toujours ce qui va amener une femme à la ligne d'arrivée, certains experts du sexe et artistes interprètes adultes se sont montrés intéressés par les meilleures positions susceptibles de plaire aux femmes. Il semble que si les positions sexuelles évoluées , très stimulantes comme le yoga, peuvent être géniales pour changer de temps en temps, ce que les femmes veulent vraiment le plus est simple: être missionnaire.

Ne dépensez pas toute votre énergie à essayer de faire fonctionner une position folle, mais plutôt à consacrer du temps à augmenter ce niveau de plaisir avec quelques classiques.

1. Missionnaire

Missionnaire est l’une des positions sexuelles les plus populaires car elle donne des résultats. C'est intime, vous permettant de regarder profondément dans les yeux de votre amoureux lorsque vous atteignez la ligne d'arrivée. «Le positionnement et le mouvement stimulent le clitoris de la femme , ce dont la majorité des femmes (près de 70%) ont besoin pour atteindre l'orgasme»

2. Variation missionnaire: les jambes sur la poitrine

Morse note que le missionnaire est formidable car il existe de nombreuses façons de le pimenter. «Par exemple, au lieu de poser poitrine contre poitrine, essayez de tenir les jambes de votre partenaire contre votre poitrine, croisées aux chevilles avec les muscles de la cuisse serrés», suggère-t-elle. «Les femmes aimeront toujours cette variante car les cuisses crispées procurent la même quantité de stimulation clitoridienne (sinon plus) et permettent un peu plus de mouvement de la hanche pour aider votre partenaire à atteindre cet objectif idéal. Les hommes apprécieront certainement la sensation de tension, la capacité de pousser plus profondément, et la visibilité accrue ne fera pas de mal non plus. "

3. Variation en levrette: cuillèreempilée

Si nous passions par les positions les plus agréables pour les hommes, le style à quatre pattes prendrait définitivement une place de choix. "Ce n'est pas un secret pour personne que les hommes aiment cette position pornographique"��

4. Variation De Style Chien: Oreiller Sous Le Bassin

Si la sensation d'empilement s'avère un peu trop forte, vous pouvez également essayer de placer un oreiller sous son bassin. «La légère élévation permet une pénétration beaucoup plus profonde et la place également à l'angle idéal pour une stimulation sans effort.

5. Variation De Style Chien: Chien Aplati

Il existe d’autres possibilités pour les chiens traditionnels qui conviennent parfaitement aux femmes.

"Alors qu'il est dans un chien aplati, l'homme est capable de maintenir la femme par le bas du dos"..C'est formidable pour les femmes qui aiment être attachées, mais le bas du dos est aussi une zone érogène du corps de la femme. Cette position peut également permettre une plus grande stimulation..

6. Femme sur le dessus

Quand il s'agit de positions sexuelles adaptées aux femmes, être au top est définitivement un atout.

"Avec l'homme sur son dos, les dames maîtrisent parfaitement la profondeur et la vitesse des mouvements et sont libres de se moudre les hanches pour obtenir la meilleure stimulation directe du clitoris"..

D'un point de vue visuel, cette position est à la hauteur de ce qu'elle mérite pour les gars. De plus, étant donné que cette position met davantage l'accent sur le va-et-vient que sur la poussée, les hommes ont aussi tendance à durer un peu plus longtemps!

7. Femme au sommet Variation: Chaise

Les femmes ont tendance à sauter la position standard de cow-girl parce qu’elles sont trop timides dans leurs mouvements.

Si tel est le cas, ou si vous avez juste envie d'essayer quelque chose d'un peu plus à l'aise, placez-vous sur le canapé ou le fauteuil le plus proche. Asseyez-vous normalement et demandez à votre partenaire de vous chevaucher de manière à être face à face ou face à face, selon la taille. Au lieu de rebondir comme dans tous vos films préférés, demandez à votre partenaire de tourner en rond et de basculer pour que le pénis frappe le mur de son point G encore et encore..

Bonus: Ajoutez des jouets sexuels au mélange

Parfois, incorporer des jouets sexuels dans les activités de votre chambre à coucher peut vous aider à ne pas tomber dans la routine. Même les positions que vous avez effectuées un million de fois peuvent faire peau neuve avec le bon accessoire. C'est essentiellement la même chose que d'amener un tiers dans la chambre sans se sentir coupable de tricherie.

[autodisciple]

Je me suis dit que je demeure seul tant que mes rêves m'harcèlent Est-ce que tu me reçois quand je me remémore ça ? Ma vie un morceau où les notes se morcellent J'entends des “Merci” qu'en décodant du morse Y a que dans la bêtise que l'homme est bien constant Seul dans ma caste j'ai pu faire ce constat En matant les constellations, je me suis dis Que si je vois l'amour de ma vie demain je lui dis “Casse-toi” Je suis parti, en quête de pureté J'ai supporté l'amour et la perte Pourtant tout ce qui m'appartient Ne m'a pas apporté ce qu'il y a d'important Tous les matins mal rasé Les autres me disent “T'es malheureux ‘zinc” Les sentiments, les raisons Pour ne pas vraiment y penser je té-ma l'horizon La lune est froide mais vient réchauffer mon âme la nuit L'écriture, le rap, m'ont permis d'aimer l'ennui Je vois le bon côté de choses quand j'ai du chagrin Car c'est une étape où peut se développer mon chakra Mon profil était celui du gamin Qui devant l'autorité avait bien du mal à se taire J'ai du mal à savoir quand démarrer mon histoire Je viens de naitre et je dois quitter ma nation au vu des lois qu'elle instaure J'ai besoin de regarder le paysage Jusqu'à temps que l'horizon me dévisage Si je respire à fond, qui médira ? Le silence est là pour tuer l'inexprimable

Lonepsi - La lune est froide

[rodrigo-llofriu-blog]

Comenzando a utilizar Arduino Uno

Arduino uno es una placa con un microprocesador incorporado que nos permite, entre varias cosas, recibir data obtenida a partir de distintos tipos de sensores como  pueden ser sensores infrarrojos o de ultra sonido como también nos permite controlar algunos dispositivos electrónicos como pueden ser leds para dar cierta información visual de los datos obtenidos mencionándolo como ejemplo. Esto nos da una cierta idea de lo que permite esta placa y nos hace pensar que puede ser utilizada como una interfaz del usuario para ayudar a crear posibles soluciones para los distintos problemas que nos vayamos a enfrentar como por ejemplo abrir una puerta automáticamente cuando recibe la señal de un sensor infrarrojo cuando detecta una persona. 

Otra de las grandes ventajas que nos ofrece esta placa es que podemos programar como nosotros queramos recibir la información obtenida de los distintos sensores conectados a cada pin, ya sea digital o analógico, para procesar dicha información y manipularla como nosotros queramos. Para lograr esto la placa consta de pines, entradas y salidas, digitales normales y del tipo pwn; ademas tiene entradas analógicas donde la placa hace de convertidor analógico a digital y así podemos manipular los datos mediante programación.

Los pines digitales sirven para controlar leds mediante programación modificando el tiempo de tensión o voltaje alto, haciendo que el led emita luz, y voltaje bajo, para que apague la luz; por lo que se puede poner que se prenda varias veces y apagar varias veces modificando el tiempo individualmente y así ejecutar código morse de forma lumínica como para dar un ejemplo.

Como se ve en las imágenes el terminal vivo del diodo se conecta al pin 13, por lo que hace lo mismo que el led programable propio de la placa ya que este está vinculado al pin 13, y el terminal de tierra esta conectado al pin de tierra.

https://drive.google.com/open?id=101MsxOLRzz-7JM_lecgzg6vIySa0a2nP

Siguiente a esto se conecto un botón a otro pin digital por lo que la placa detectaba cuando se apretaba el botón y dejaba apretar, esto me hace pensar en el note on y note off del protocolo midi. Esto hacia que al arruino se le pudiera indicar que interprete de forma que de señal cuando se mantuviera apretado o solamente apriete, por lo que se conecto un led a otro pin digital y se le indico la salida para hacer que el que botón prendiera y apagara dicho led de las formas antes mencionadas.

En otra etapa probamos conectar un sensor de ultrasonido para medir distancias como lo hacen los delfines y murciélagos a un pin digital, ya que dicho sensor tiene un convertidor de señal analógica a digital por que la señal ya estaba discretizada, otro pin digital con la capacidad de recibir señales de tipo pulso (pwm) permitiendo, como bien lo indica Arduino en su página: https://www.arduino.cc/en/tutorial/PWM,resultados similares a lo análogos a como lo haría una señal que cambia entre 0 y 5 voltios; ademas se conecta a un pin de tierra y uno de 5 voltios. La ventaja de tener una señal PWM es que podemos recrear cambios lineales de señal mediante la modulación de frecuencia y ancho del pulso, por lo que podríamos lograr hacer fade in y fade outs en un led a partir de la señal obtenida. Esto no pasaría en un sensor con conexión analógica como lo es el infrarrojo usado en clase ya que obtenemos la información analógicamente para la placa convierta esta información discretizandola en escalones por lo que perdemos es liberalidad al menos que usemos un potenciómetro, es decir una resistencia variable, en el led que muestra visualmente esta información variando así el nivel de tensión. 

Ambos sensores miden distancia pero la diferencia entre ambos es que el de ultra sonido capta más hacia los costados debido a tener un frente de onda con menos direccionalidad que el infrarrojo por lo que podría usarse para captar distancias donde no se necesita una zona especifica en contrario al sensor infrarrojo si como por ejemplo abrir una puerta al situarse debajo de este sensor.

Es muy interesante la capacidad que tienen este tipo de placas ya que se pueden usar como prototipos de proyectos o ser parte de un gran proyecto donde prenda luces de forma de indicador de un sistema donde un lenguaje, como Python, donde generan una base de datos o un programa y necesite tener indicadores o recibir información de sensores.

[zerozooblog]

LA MUTATION DE L’ART

PRÉCIS DE ZÉROZOÏSME – En 4 tomes. (En livre numérique sur Kindle et sur Kobo)

ART, PHILOSOPHIE, MOEURS, MODES, DE LA DISSIDENTE CULTURE ZÉROZOÏSTE. PAR FRANÇOIS-PIERRE BLEAU DIT ZÉRO ZOO. PEINTRE, SCULPTEUR, IDÉOLOGUE, TRAFIQUANT D’ART ET DE PENSÉES ZÉROZOÏSTE. EN 4 TOMES, 2091 PAGES,  578 OEUVRES TOP VARIÉES DE L’ARTISTE, APRÈS 7 ÉDITIONS PAPIER, UNE 8e ÉDITION NUMÉRIQUE 2017-2019 FIDÈLE À L’INSOLITE DE 1986 ET ENRICHIE

PRÉCIS DE ZÉROZOÏSME - Tome 1

Vol. 1 de 4. Après 7 éditions papier, une 8e édition numérique 2017 fidèle à l’insolite de 1986 et enrichie : 578 reproductions, 2091 pages 13x18cm.

À LA FOIS : Roman thriller réel et science-fiction vraie sur l’art. Documentaire cru sur l’art et ses coulisses par un expert. Visite guidée et catalogue d'expo muséale subversive. Manifeste atypique d’art et de philo. Guide intuitif et esprit de survie pour artiste, décalé, PDG-décrocheur! Autobio littéraire théâtral d’un artiste clé.

Livre culte des années 80, gadget explosif, inclassable dans la culture, contre-culture, à coté de l‘art, de l’art contemporain réac, des artistes, de tout! En 2017, 31 ans après sa 1re édition, il est + punch car rien n’a bougé dans les ghettos corrompus, imposés de l’art et son marché, et de la vie qu’il ventile. Hier trop novateur, là encore +!

Livre qui a marqué l'histoire contemporaine de l'art, de la littérature, philo, mode, culture de masse par son impact. Unique, d’avant-garde par ses idées, le look, le style littéraire, l’orthographe, sa rhétorique, sa nature multiforme et polysémique.

Le trip effréné de Zéro Zoo, self-made, auteur d’idées, d’art, d’évènements, qui a prêché chez les sourds, peint chez les aveugles, a chargé les Goliaths de l’art et après 15 ans de dèche a réussi.

Pour tous et ceux qui veulent être peintre à succès, créateur multiple, déduire comment. Saisir les causes des prix élevés des oeuvres de Zéro Zoo : prix provocs, contestataires, revendicatifs!

Livre rebelle mais enjoué! Détox de la bêtise et de la fraude de l’art issu de la politique et du public désinformé qui ont provoqué l’idéologie d’art Zérozoïste et son exit vers l’underground ON THE GROUND!

RÉPARTI DANS LES TROIS 1ers VOL. :

SUR L’AUTEUR : Biographie, citations et oeuvres-chocs du dictionnaire LE PETIT ZÉROZOÏSTE ILLUSTRÉ

L’AUTOBIO DE ZÉRO ZOO : Du début dans la rue, aux humiliations, censures, péripéties, succès, trahisons, drames, violences, détresses, ardeurs, coups de théâtre, victoires!

LE PRÉCIS : Relate l’idéologie cool.

L’EXPO ZÉROZOÏSTE : Montre l’ouverture d’esprit Zérozoïste par un show de tableaux, d’œuvres et hors-d'œuvre Zérozoïstes! Expo où la variété extrême, antagoniste, et la virtuosité de Zéro Zoo valent 50 artistes! Peindre à vie le même tableau, style ringard ou intello, être un subventionné encultureur du n’importe quoi, artiste-fonctionnaire en série, suceur, collabo, non! Expo antistandardisation, dissidente, innovante, de suprématie d’art. Visite muséale de 374 oeuvres et notes atypiques. Laxatif et knockout pour cultivés, donateurs à des musées, galeristes, artistes moulés, commissaires-priseurs, directeurs de musée, de magazines d’art, critiques : à 95% flics arrogants et figés de l’art.

+ 52 DOCUS D’ARCHIVES : photos, posters, extraits de presse, livres, lettres.

+ VOL. 4 : Ajout : PETIT MANUEL DE SURVOL DU MAQUIS DE L’ART ET DE LA PENSÉE ZÉROZOÏSTE 2017

2 VERSETS DU PRÉCIS :

L’art, la vie, les mœurs et modes de la culture Zérozoïste sont définis ou non, simples, complexes, rockers, sexy, ils se créent à mesure, changent. L’art et la pensée Zérozoïste éclatent dans les tendances et styles Zérozoïstes, d’avant-gardes, d’arrière-gardes, centres, autres. Mouvance déjouant les académismes.

Le ZÉROZOÏSME est un oeil magique ouvert sur la modernité du temps, de l'espace, de l'ailleurs, du sentiment neuf qui bouge. Il est la neuve lumière bifurqué et s'exprime sous forme de sténo, code et morse de toutes possibilités. Il est la mutation de l'art, de la pensée, un révélateur sensuel, orgasmique du temps présent inventé. Il est l'idée d'une idée qui dépasse ce que tous les arts et philosophies ont tenté d'imaginer. C’est un luxe, une folie, un rêve, un champagne, un plaisir grisant, un passeport..

Auteur : François-Pierre Bleau dit ZÉRO ZOO

Peintre, idéologiste, créateur multiple, dealer de drogue d’art Zérozoïste.

pbleau@gmail.com

SITE DU PRÉCIS DE ZÉROZOÏSME 

VIDÉO TEASER DU PRÉCIS DE ZÉROZOÏSME 

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[ieatmovies]

THE SNOWMAN (2017) C’est l’hiver, donc quoi de mieux qu’un film de circonstance tel que THE SNOWMAN, enquête policière se déroulant en Norvège, qui plus est avec Michael Fassbender? Et bien, n’importe quoi d’autre en fait, ce film de Thomas Alfredson -lui qui avait réalisé le très bon MORSE/LET THE RIGHT ONE IN en 2008- tombant dès son introduction dans l’inévitable gouffre de l’ennui: en effet, le long-métrage, malgré son imagerie intéressante mettant en valeur dès que possible cette blancheur typique du pays -neige et glace font partie intégrante du récit, c’est évident-, peine à trouver un rythme, comme ne sachant pas se décider entre contemplation et ambiance. Du coup, THE SNOWMAN dispose de pas mal d’atouts qui ne seront jamais vraiment exploités: à commencer par le personnage de Fassbender, antipathique enquêteur alcoolique se réveillant un jour sur deux dans le caniveau, à la mollesse de procédure insupportable. Et c’est là que le bât blesse, la quasi-totalité des protagonistes agissant lentement, et échangeant leur infos sans véritable enjeu: leur manque d’énergie nuit à leurs performances, identiques à celles de n’importe quelle série télé allemande/suédoise. Un constat froid pour un film qui l’est encore plus, à l’image d’une Charlotte Gainsbourg à l’effarante inutilité. Traquant ce tueur mystérieux -du jamais vu!!!- jouant avec la police via ses (rares) crimes -des notes écrites à la main et des bonhommes de neige WOW TROP CREEPY, ahum-, Fassbender va devoir lutter contre la gueule de bois quotidienne et la lenteur horrible des décisions prises par le casting entier: fail total pour le mystérieux méchant, identifiable dès sa première apparition (pas besoin d’être spécialiste en polars pour voir venir l’iceberg à des kilomètres)... Et puis quoi? Malgré des prestances correctes, THE SNOWMAN endort, ou énerve car semblant sans fin; et cette fin d’ailleurs... Négligeant même son climax et son final, THE SNOWMAN est si peu ambitieux qu’il en est plus que décevant: ce long-métrage fait exemple de série tv vue mille fois, mais réalisée avec un gros budget -touts proportions gardées-. Là où le film aurait pu nous offrir une immersion originale grâce à ses lieux, et surtout avec son tueur signant ses crimes en laissant de ridicules bonhommes de neige pas très loin, l’échec se constate amèrement, THE SNOWMAN n’étant clairement pas intéressant. Dommage, car creuser les mythes norvégiens ou accentuer le procédé criminel du bad guy -au passage sans charisme ni signe distinctif marquant- de manière plus forte aurait permis à THE SNOWMAN d’acquérir une notoriété suffisante pour détenir une véritable identité. Polar mou sans grand intérêt, THE SNOWMAN est sûrement l’un des pires choix cinématographiques de cette fin d’année, cadeau de Noël insipide au possible. Comment Thomas Alfredson a pu tomber si bas, lui qui avait su avec MORSE -et on pas son remake dégoûtant LET ME IN (2010)-, juste réinventer le concept vampirique tout en poétisant la chose? Un véritable écueil, qu’il faut à tout prix éviter, Fassbender signant ici sa pire interprétation depuis l’affreux ASSASSIN’S CREED (2017). Même la musique semble absente, c’est dire. On NIE EN BLOC. C’est catégorique et irréversible: NON. LE BONHOMME DE MERDE /20

[lepetitgarrigueillustre]

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À chaque halte de mes souterraines pérégrinations, je griffonne des pictogrammes, je trace des lignes et j'étale de larges coulées de peinture sur la paroi pour indiquer mon passage en ces lieux. Sans autre ambition que de témoigner de mon trajet. Comme pour baliser un chemin. Ces indications de mon éphémère présence en ce monde n'ont véritablement lieu d'être qu'à seule fin de réemprunter un jour ce trajet ; chose que je ne ferais jamais, je le sais. Mais peut-être quelqu'un d'autre partira à ma recherche et refera la même expédition que moi ; qui sait ? Je ne suis qu'un locataire incertain, un prisonnier dont les jours sont comptés, s'acharnant en vain à gribouiller les parois de sa geôle. Je suis un enfant qui ne peut s'empêcher d'imprimer la paume de sa main dans le ciment frais du trottoir. L'imbécile heureux qui grave son nom sur une pierre de la grande pyramide : « Ici est passé lord Byron », que le jeune Flaubert s'extasie à déchiffrer quelques années plus tard. Je ne suis rien d'autre que le Sioux préposé aux signaux de fumée sur la sierra. L'aligneur de cailloux. Le petit Poucet volontaire. Au beau milieu de nulle part, sur la plaine infinie, un petit cliquetis métallique se fait entendre : le télégraphiste oublié continue d'envoyer message après message sans que personne ne l'ait averti de la coupure des fils, plusieurs centaines de kilomètres en aval. Qu'importe ! Il martèle rageusement son appareil à morse et tente, coute que coute, d'accorder correctement ses participes passés avec les compléments d'objet direct s'ils sont placés avant le verbe « avoir ». Qui lui en tiendrait rigueur ? Je suis l’analphabète, le cireur de chaussures porteur de messages. Le commissionnaire incapable de décrypter les dépêches dont il est le dépositaire. Je suis le facteur des campagnes, perdu dans les bois, qui réécrit les lettres volées. Mermoz de l'inutile. L'expéditeur de codes secret dont la clé de lecture reste encore à inventer. Le clairon du Chemin des Dames, le petit tambour d'Eylau ou d'Austerlitz inapte à saisir les conséquences de ses bruyantes combinaisons de notes. Je suis le témoin à charge, l'invité surprise, le treizième à table. Je ne m'occupe de rien mais il n'est pas de sujet dont je ne m'empare pour tenter de le faire cabrioler comme un petit animal sur le poli de la table. Je suis le samizdat, le manuscrit interdit microfilmé dans la semelle du touriste anonyme qui passe les contrôles aux aéroports comme une fleur. Le traceur de cœurs percés de flèches sur les frênes de la forêt des Carnutes. Le doigt sur la vitre embuée qui fait rigoler tous les passagers du bus un soir d'hiver. Je ne suis qu'un passeur de plats. Celui qui file les tustes aux examens. L'as des combines. Celui qu'on attrape la main dans le sac, l'innocent aux mains pleines. Le coupable idéal. Toujours aux aguets, en retard pour la paye. Je connais tous les passages de la haute vallée, et l'on ne vient me chercher que pour traverser la frontière de nuit. Je suis celui qui envoie des lettres au jugé, à n'importe qui dans l'annuaire ; l’émetteur. Le poste à galène. Les sanglots longs des violons... Je répète : les sanglots longs... Celui qui reprend du rabiot et qui avertit les potes dans la file. Le dernier à la fête. Je suis le scrutateur, perdu dans l'océan.

Le hunier.

Je suis le jongleur de feuilles.

Je sais que je ne suis rien mais je trace quand-même, dans le noir de la galerie souterraine, mes petits dessins fort têtus.

                                                        *

Toujours la même chose : vent d'ouest, brume, froid constant et pluie battante.

Un groupe de cheminots descend du train pour Carcassonne, le long du tunnel principal.

Combien vous êtes dans ce quatuor ?

On est trois.

Ah oui ? Et qui ça ?

Mon frère et moi.  

T'as un frère ?

Oui, mais il est mort.