#fils de pêcheur
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leparfumdesreves · 4 months ago
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Au hasard de mes ballades...
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Voici une Oeuvre d'Art insolite qui se découvre uniquement à marée basse sur le Bassin d'Arcachon.
Un Ostréiculteur du Canon au Cap Ferret a fait ériger en mai 2015 une statue en bronze sur ses parcs à huîtres.
Cette statue de deux mètres de haut, en alliage de cuivre et d’étain, symbole dorénavant de l’activité du lieu, représente un "Parqueur" en plein travail avec sa fourche à huîtres. Philippe Reveleau, ostréiculteur de père en fils depuis six générations a voulu rendre hommage à sa profession.
C'est en vacances, en se baladant sur une plage au Brésil, que l'idée a germé dans la tête de l'Ostréiculteur du Cap Ferret.
Il avait alors aperçu des statues de pêcheurs le long d'un rocher.
De retour chez lui, Philippe Reveleau a passé commande à l'Artiste Hollandaise, Christine Wiersema-Nederlof.
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La statue est visible à marée basse.
Pratique, plus de chapeau vous indique donc 2 m d’eau minimum !
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codumofr · 2 months ago
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Le Bento ou Ô-Bento est un repas traditionnel au Japon consommé dans une boîte. Le trait le plus caractéristique de ce repas traditionnel est la “Bento Banko” qui est la boîte contenante en soit, le repas. Ce nom pourrait être grossièrement traduit par “Gamelles”. En elle-même, la boîte n’est apparue que durant l’époque Azuchi-Momoyama, s’étalant de 1568 à 1600. Cette période, courte, est dominée par une école d’art du nom de Kano (Kano-Ha) fondée par Kano Masanobu, Peintre en chef du Shogunat Ashigaka. Laïque et professionnelle, cette école d’art perdura jusqu'au vingtième siècle où l’atelier devenu intenable déclina et disparut progressivement. Ainsi, le repas est traditionnellement consommé durant la période de l’Hanami où les Cerisiers du Japon perdent leurs feuilles ou bien durant une cérémonie du thé. Ce n’est qu’avec la récente popularité de la cuisine Japonaise et ainsi, l’extension de cette dernière dans le monde entier que le mot “Bento” est devenu le terme quasi-universel pour désigner les repas à emporter Japonais. Nous retrouvons la consommation de telle préparation, mais avec un nom de boîte différent durant l’ère Heian, période particulièrement riche en termes de culture et d’art, s’étalant de 794 à 1185. Ainsi, lors de l’Osechi Ryori, repas du Nouvel An Japonais, le repas est dans une boîte du nom de “Jubako”. Se composant à l’origine d’un plat mijoté avec du Saké ou de la Sauce Soja du nom “Nimono” accompagné de Légumes, Fruits de Mers, Poissons ou bien de Tofu. Au fil du temps et de l’évolution de la société, une variété plus grande plats ont été développée pour l’Osechi Ryori et donc, les “Boîtes Jubako” se sont aussi développées. Nous pouvons ainsi retrouver : l’Ichi-no-Ju composé de mets se mariant avec une consommation de Saké ; le Ni-no-Ju composé de plats dit “Yakimono” et “Sunomono”, respectivement signifiant de la nourriture cuite à la grille et de la nourriture marinée ; le San-no-Ju qui est un repas avec des produits provenant de la Mer ou de la Montagne ; le Yo-no-Ju composé de plats mijotés et le Go-no-Ju qui est une boîte laissé vide, symbolisant ainsi le besoin de bonheur qui devrait prendre place dans la boîte et donc le besoin de ce dernier.
Ce n’est qu’au début du huitième siècle qu’un livre d’histoire compile différentes notes où sont décrits des gens transportant du “Hoshi”, riz cuit à la vapeur et séché dans le but d’être utilisé comme repas portable lors de voyages plus ou moins longs. Les Japonais ne prenaient que deux repas par jour jusqu’à la fin du dix-septième siècle et les deux repas étaient un simple petit-déjeuner et un dîner. Ce n’est qu’au milieu de l’Époque Edo s’étalant de 1600 à 1868 que les trois repas par jour se généralisent grâce à l’introduction des lampes à huile et de leur lumière au niveau du début du dix-huitième siècle. Ainsi, la durée d’éveil et d’activité des travailleurs s’étalant, ils devinrent quasiment nécessaires d'apporter un repas du soir pour pouvoir tenir la cadence. Les agriculteurs de cette époque remplissaient d’aliments tels que du Riz d’Orge ou des Prunes Salées des récipients en bois courbé du nom de “Menpa” et les emportaient avec eux au travail. Excellents pour absorber l'humidité et assurer la ventilation, ces récipients permettaient donc de conserver les repas frais et délicieux même lorsqu’ils avaient refroidi. Toutefois, pour les travaux de plus grosse nécessité, un “Oke” qui est un grand seau de bois traditionnel était rempli de boulettes de riz et d’un plat d’accompagnement du nom “d’Okazu” et servait donc pour un repas collectif. Pour les pêcheurs, le travail en mer étant moins facile à terme de nourriture, ils apportent une quantité de riz mesurais dans une unité correspondante à une tasse japonaise d’environ 180 millilitres de riz, cette unité est le “Go” et ils en apportent en mer 7 go de Riz. Une quantité d'environ 1260 millilitres de Riz. Ce riz était entreposé dans une boîte à deux étages fabriquée en Cyprès Japonais du nom de “Funabento” et l’accompagnement (Okazu) est dans ce cas du poisson péché par le pécheur lui-même. Le Funabento n'avait pas qu’une utilisation de transport de repas, mais pouvait aussi servir de bouée de sauvetage pour les pêcheurs tombés à l’eau, de seau lorsqu’il est nécessaire d'écoper le bateau lors de fuite d’eau. Pour finir, le rôle du “Bento” n’avait pas qu’une dimension pratique et fournisseur d’énergie aux travailleurs. On peut le retrouver utilisé dans l’agrément d’occasions spéciales d’elle que le Hanami (Coutume traditionnelle japonaise d'apprécier la beauté des fleurs.) et été à l’époque réservé aux nobles et aux samouraïs. Ce n’est qu’au milieu de l’époque Edo (1603 à 1867) que la pratique se développera et atteindra les couches populaires. À cette époque, le repas classique du Bento était des Onigiris en étant enroulée dans des feuilles de bambou et ce n’est que pendant l’ère Taisho, qu’une évolution significative sera faite. Les Boîtes d’Aluminium de par leurs apparences argentées et de sa facilité de nettoyage devient un symbole de luxe.
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sabinerondissime · 2 months ago
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J'avoue, j'ai passé une bonne soirée avec cette mini série que j'ai regardé en une fois. Hélas, c'est un VO sous-titré ! Il faut aimer l'humour loufoque, les contes de fée déjantés et les histoires fantastiques. Soledad est amoureuse de Diego, mais elle ne peut l'épouser car il n'est que pêcheur alors qu'elle est la princesse du royaume. Diego demande de l'aide à une sorcière, qui jette un sort sur le royaume : plus personne ne pourra tomber amoureux tant que les deux amants ne seront pas réunis. La princesse Soledad doit garder en vie un petit dragon d'eau pour tenir Diego en sécurité jusqu'à leurs retrouvailles. C'est ce que raconte la légende d'un village, attirant les touristes dans un hôtel au bord de la faillite. L'hôtel ne survit que parce que Maxi, le fils de l'hôtelière, se prostitue auprès des clientes et grâce aux récitals de la chanteuse Enamora. L'arrivée d'Antonio et Juana puis de Goya aidera-t-elle à lever la malédiction qui pèse sur le village?
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chicinsilk · 1 year ago
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US Vogue July 1940
Model wearing a red Lisle yarn sweater, the color of a Breton fisherman, under a satin swimsuit with Lastex by Peck & Peck.
Modéle portant un pull en fil d'Écosse rouge, la couleur d'un pêcheur breton, sous un maillot de bain en satin avec Lastex de Peck & Peck.
Photo Toni Frissel vogue archive
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maudbachotet · 2 years ago
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Dans les pas de Suzanne
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Le 7 avril, je parcourais l’exposition « Pionnières » au musée du Luxembourg. Je me souviens avoir brandi mon téléphone pour ne capturer qu’un seul tableau. Parce qu’en posant mon regard sur lui, j’avais senti mon cœur s’emballer. Et j’avais alors voulu sauvegarder la preuve de ce trouble dans une mémoire plus vive que celle logée dans mon cerveau. Ce tableau, c’était La Chambre bleue de Suzanne Valadon. Ce tableau, je le connaissais déjà et je l’aimais déjà aussi. Mais c’était la première fois que je me trouvais face à lui. Et je ne le savais pas si majestueux. Il n’est pas si grand en vérité, mais moi je n’avais jamais pu me le projeter qu’aux dimensions de l’écran de mon ordinateur portable dont il habillait le fond, profané çà et là par des icônes méthodiquement dispersées autour du corps de l’odalisque.
Depuis trois jours, je profite de l’absence estivale de mes parents pour séjourner dans la maison de mon enfance. Je redécouvre le petit village normand dans lequel j’ai vécu dix-huit ans et dont je ne connais pourtant que peu de choses parce que je m’y sentais à l’étroit et que je désirais ardemment en sortir. Et puis j’apprends, au hasard d’une recherche Google, que le fils de Suzanne, Maurice Utrillo, a peint la petite église de mon petit village. Et alors, naviguant de lien en lien, j’apprends que Suzanne a logé sur la petite place de la petite mairie de mon petit village. Sans doute dans une petite maison de pêcheurs. Sans doute dans une petite maison de pêcheurs similaires à celle de mon arrière-grand-mère. Sans doute alors l’a-t-elle croisée. Personne ne sait et ça n’a pas grande importance. Ce qui en a, selon moi, c’est qu’il y a exactement cent ans, en août 1922, Suzanne peignait une toile intitulée Vue de ma fenêtre à Genêts. Que j’observe depuis la fenêtre ouverte de mon navigateur web. À Genêts.
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miung-dreamer · 2 years ago
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What if...
What if Guenièvre ne rentre pas à Kaamelott après sa piqûre de guêpe?
Finalement Merlin est du voyage et en chemin, il arrive à lui rafistoler son pied avec des plantes rares trouvées près d’un petit ruisseau. Elle va beaucoup mieux et n’a pas envie de retrouver l’ambiance du château avec ses parents qui doivent être insupportables sur le trône...
Elle n’arrête pas de se dire qu’Arthur semblait un peu abattu quand elle l’a quitté. Elle ne veut pas qu’il désespère. Puis elle croit que sans la couronne de fleurs sur elle, son mari est potentiellement en danger.
Elle décide de repartir dans l’autre sens au début avec Merlin, puis elle continue sans lui. Elle paye un jeune guide qui l’emmène sur la côte (les jumelles sont probablement là-bas?) : elle y croise leur père, un étrange pêcheur qui parle beaucoup de son fils parti en mer. Elle a de la peine pour lui mais son esprit est occupé par Arthur. Où est-il ? Le pêcheur l’a rencontré ce qui la rassure mais sait seulement qu’il est reparti dans les terres sans savoir vraiment où...
Elle se résigne à repartir chez elle mais elle demande au guide resté à ses côtés s’il peut les faire passer par un autre chemin sûr que celui de la route principale pour Kaamelott. Ils marchent des jours et des jours. La Reine s’inquiète de plus en plus sans comprendre vraiment pourquoi.
Ils tombent sur une troupe de théâtre installé pour l’été et....... Arthur en train de crier “vous voulez le voir en colère le chef de guerre? Vous croyez que vous pouvez le contenir!?!?!?! “
Elle l’appelle dans un cri. Ce n’est pas la première fois qu’elle voit son époux en rogne mais elle sent quelque chose d’étrange dans sa voix. Quelque chose de désespéré comme quelqu’un qui tente de se débattre, de se sauver. En le rejoignant, elle comprend qu’il s’adressait à deux hommes dont un emmitouflé dans une longue cape noire. Instinctivement, elle se place devant son époux comme pour le protéger. Elle est elle-même surprise de sa réaction mais une défiance monte elle vis-à-vis de ces individus.
Arthur est très surpris de la trouver là. Inquiet qu’elle ait pu traverser une partie du pays “seule”, il a une furieuse envie de l’engueuler mais il doit l’avouer. Il est soulagé... tellement soulagé de la revoir. Il ne lui dira pas mais elle lui avait manqué. Arthur est encore plus étonné quand il regarde son guide : celui-ci semble déstabilisé par sa femme. Pire, il y décèle comme une crainte dans ses yeux.
Guenièvre maintient le regard de l’homme en noir. Elle ne comprend pas mais elle n’a pas peur. Pourtant, elle a tendance à être impressionnée par des inconnus et celui-là a une carrure impressionnante. Mais là, non. Elle se tient droite, près de son époux et ne fléchit pas.
L’homme finit par se lever. Il semble ne pas vouloir les approcher. Etrange, pense Arthur. 
Il accepte de partir sur le champs pour les ramener à Kaamelott mais Guenièvre décline la proposition (”j’ai déjà un très bon guide”). Il insiste en prétextant que son mari a déjà payé. Ce à quoi, elle répond “donc il ne vous doit plus rien ! Merci mais on n’a plus besoin de vos services,. Vous pouvez trouver un autre voyageur perdu”. Arthur voit deux volontés s’affronter par le regard : insistant et anxieux pour son guide, inflexible pour sa femme.
Finalement, l’homme en noir s’en va en silence la mine défaite... 
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leblogdemarinaetjeanmarie · 10 months ago
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SAMEDI 13 JANVIER 2024 (Billet 2 / 3)
Comme promis nous vous racontons l’histoire des photos que nous avons choisies pour notre Carte de Vœux 2024. Elles ont toujours une histoire nos Cartes de Voeux, souvenez-vous de celle de l’année dernière, illustrée par une belle aquarelle de la Place Jemaa el Fna et une calligraphie en arabe et en français, le tout réalisé par un ami marocain, Rachid, un ancien GO, retrouvé par le plus grand des hasards dans la Médina de Marrakech. Mais les hasards existent-ils ?...
Jeudi 28 décembre 2023 nous avions rendez-vous à 16 heures avec Justin à l’entrée du Village. Nous avions connu Justin en 2014 lorsque nous sommes allés pour la première fois au Club Med de Cap Skirring. Cette année-là nous avons fait pratiquement toutes les sorties au programme du service des Excursions, mais pas uniquement avec le Club.
Sur la plage, entre les rangées de transats et les parasols réservés aux GM (rappel : les GM ce sont les clients du Club) et l’océan, tous les jours, défilent des Sénégalais qui vendent des paréos, de l’artisanat local… et certains proposent diverses excursions, souvent analogues à celles du Club mais à des tarifs beaucoup plus intéressants. Dans le cas de Justin, ce fut un peu particulier car nous avons fait partie de ses tout premiers « clients ». Nous nous souvenons lui avoir même donné des conseils de « marketing », un bien grand mot mais qui consistaient essentiellement à lui dire d’avoir par exemple dans son sac à dos un book, avec des photos pour « montrer » ses excursions, des horaires et des tarifs précis…
Revenus en 2018 puis en 2019, nous lui sommes restés fidèles et avons même gardé le contact le reste de l’année grâce à WhatsApp. Nous avons eu comme ça l’occasion de le recommander à plusieurs reprises à des GM qui ont été toujours très satisfaits de ses services. Parmi les derniers, Corinne et Dominique (devenus des amis et des lecteurs/abonnés du Blog depuis), qui sont venus à Cap Skirring l’année dernière. Ils l’ont beaucoup sollicité et gardent un excellent souvenir de ce qu’ils ont fait ensemble, dont de la bicyclette pour Dominique, grand amateur de la Petite Reine.
Ce (long ?) préambule pour que vous compreniez les liens qui peuvent se tisser entre les GM, le personnel (70% des GO et 100% des GE sont sénégalais), mais aussi la population locale. Le village de Cap Skirring (1823 âmes) s’est créé « autour » du Village du Club Med. Avant, il n’y avait quasiment rien, si ce n’est quelques paillotes de pêcheurs…
Mais revenons à Justin qui nous a proposé d’assister à un coucher de soleil dans les bolongs, les bolongs étant « des bras de mer, répertoriés comme de petits affluents à l’embouchure du fleuve Casamance » (merci Wikipédia pour la définition). Ils sont bordés de mangroves à palétuviers dont les racines sont souvent recouvertes de petites huitres. Ils servent aussi de refuges à toutes sortes d’oiseaux. [Pour info, voir les 2 cartes ci-dessus qui montrent la région du Sénégal appelée La Casamance, située entre la Gambie et la Guinée Bissau… et, tout en bas, pratiquement à la frontière entre La Casamance et la Guinée Bissau, le Village du Club Med de Cap Skirring.]
La balade se fait bien sûr en pirogue et comme entre la plage et la pirogue il peut y avoir un mètre ou deux de sable vaseux, Marina a été portée par le piroguier et JM par Justin.
Les photos qui suivent se passent de tout commentaire, à noter seulement que nous nous sommes arrêtés sur une petite île où nous avons fait la connaissance de quelques familles qui y vivent presque en autarcie. Justin les connaissant, nous avons pu avoir des échanges très sympathiques avec de jeunes mamans (tous les hommes devaient être partis à la pêche), entre autres au pied d’un baobab majestueux,nous offrant un somptueux contre-jour… le début d’un coucher de soleil, au fil de l’eau, en longeant les mangroves, dans un silence magique juste rompu de temps en temps par les cris d’un oiseau dans le lointain... Un moment totalement « out of the world ! ». Lorsque nous avons regagné la terre ferme, il était 19h45.
Le lendemain, après avoir visionné les photos, nous nous sommes dit que c’était cette excursion que nous voulions évoquer pour nos Vœux. Voilà pourquoi tous les mots qui nous sont venus en les rédigeant ne pouvaient qu’évoquer l’émerveillement, la sérénité, la paix et l’amour…
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dooareyastudy · 1 year ago
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Bonjour, est-ce que tu aimes le théâtre ? Pourquoi ? Quelles sont tes pièces, auteurs ou genres préférés du théâtre ? Peut tu m’en résumer quelques-unes de tes préf, mais brièvement hein je ne prendre trop de ton temps :)
Je ne suis pas très calée en théâtre, même si j'aime bien lire quelques pièces. Ce que j'apprécie particulièrement, c'est quand tu lis une pièce, et que tu sens qu'elle est faite pour être dite plutôt que lue. Et que ça te donne envie de le lire à voix haute plutôt que dans ta tête. Pour autant, j'ai rarement l'envie de voir une pièce jouée !
Parmi mes dramaturges préférés : Racine (>>>>>>> Corneille), Sophocle, Tchékhov. Je n'ai pas des goûts très originaux, je me suis contentée de lire des auteurs considérés comme des classiques !
Parmi mes pièces préférées : Phèdre, de Racine ; Le roi pêcheur, de Gracq (<3) ; Faust, de Goethe et Les bonnes, de Genet.
Phèdre, c'est l'histoire d'une femme qui aime Hippolyte, le fils de son mari. Amour qui n'est pas réciproque, puisque le fils en aime une autre. Si Phèdre trouve de la consolation dans l'idée qu'Hippolyte a un cœur de pierre, elle trouve l'idée qu'il puisse aimer (une autre qu'elle, évidemment) insupportable. Phèdre, c'est aussi la beauté des vers de Racine et l'apothéose de la tragédie classique.
Le roi pêcheur est une pièce bien plus récente (1948) et d'inspiration tout à fait différente puisqu'elle prend ses racines dans un des mythes de la légende arthurienne. En bref, elle raconte l'histoire de l'échec de Perceval au château du Graal. Cette pièce, c'est vraiment du très grand Gracq. J'incite fortement toute personne à lire cette pièce !!!!
J'ai l'impression qu'on est nombreux à avoir étudié Les bonnes au lycée mais si ce n'est pas ton cas, la pièce raconte l'histoire de deux bonnes (par très surprenant) qui entretiennent une relation ambiguë entre elles et avec leur patronne. J'en garde un très bon souvenir, ce qui est rarement le cas des œuvres qu'on étudié en classe je trouve.
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mysadecstasy · 1 year ago
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Mon corps décharné
Mon corps, décharné. Mon corps, blême et fiévreux. Sinon rose, comme une pivoine. Ce corps porte les stigmates du temps morcelé entre un abîme et un autre. Combien d’aller-retours entre ici et ailleurs ? À briser sa coque sur les récifs. Lagons bleus, trainée d’écume et derrière les arbres des cascades vertigineuses. Combien a-t-il supporté ? Mais je ne me plains pas car je suis mon pire ennemi. Mon âme en sait quelque chose. Mon esprit et ma pensée sont liés, imbriqués plutôt, ils avancent en rythme dans un désert d’horreurs et de merveilles. Je suis mon pire ennemi et souvent je ne me reconnais pas. Sur la corde je tiens mon équilibre vital. D’un abîme à l’autre, d’une falaise à une autre. Le vent, la pluie, le désordre total. Des gens qui errent. Ils errent remplis d’effroi, tenant leur âme sous le bras. Ils cherchent le bureau de la rémission des péchés. Laver son âme comme on se lave les mains, regardant la crasse être engloutie par le siphon. S’il était si simple de se purifier l’horreur serait peut-être plus démente encore. C’est un fil barbelé qui relie la famine et la paresse. C’est un fil barbelé qui relie la vanité aux limbes. C’est un fil barbelé qui fait le pont entre le néant et le tout. Et c’est les mains couvertes de sang que l’on s’abreuve en connaissance, en expérience. Chaque médaille a son revers. Tout doit revenir à sa place. Les morts iront tous avec les morts et la joie sera toujours encouragée par la joie. Au jugement dernier, tout nous sera révélé.
J’ai pris la route ce matin. Possédé. Il était tôt et on voyait les lumières des maisons s’éclairer une à une. Juste sous le brouillard qui coiffe le vallon. Ma tête semblait claire mais que dire de tous ces assauts, de toutes ces questions. Chemin faisant je goûtais au plaisir de l’abandon, au soulagement de l’acceptation. Je n’aurai jamais les réponses. Non pas qu’on me les refuse mais on ne trouve pas quelque chose qui n’existe pas. On peut en rêver, croire le toucher, se l’approprier mais jamais le posséder ou le vivre. Et alors... il y a la vie, laissons les rêves à leur place. Il y a ces visages, tous semblables, avec un sourire faux qui paraît avoir été tracé au cutter. Au cutter dans la chair de ces parvenus. De ces escrocs de la joie. Militant du bonheur à emporter. Sur ma route, en rang. Les mêmes yeux vides. Extase du vice. C’est sans issue. Plié depuis dix millénaires ou plus.
J’avance. Le jour a dévoré la pureté de l’aube. J’acquiesce. Demain sera une nouvelle aube. C’est le mythe de Sisyphe. Une beauté diaphane aux couleurs de coquillages qui se débat et perd à tous les coups. J’avance. Avec mon corps décharné, blême et fiévreux.  La noyade. J’y pense comme ceux qui meurent en mer. La noyade. La dernière fois qu’on a pris la mer… La houle, le noir, le fracas et puis plus rien que de l’eau. Du menton à la gorge. Elle s’infiltre. Se répand et noie. Je préférerais voir surgir des cieux les quatre Cavaliers de l’Apocalypse. Mais il n’y a que de l’eau. Du sel et de l’eau. Pour les braves qui ont voulu toucher un horizon sans espoir, sans mirage, sans rien d’autre qu’une ligne inatteignable. Tendue comme la dernière chance. Seule au bout du regard effaré l’espoir entre les dents. L’horizon, cruel artifice, vers qui tous les regards se tournent. Horizon implacable aux allures de couperet. Je me suis arrêté dans un petit village de pêcheurs, la chaleur étouffante gronde. Il est l’heure de la sieste et j’erre dans le port. Du sang macule le sol de la jetée de pierre, la vente du matin est terminé. Des mouettes s’arrachent les derniers déchets pendant que le sang sèche. Demain ce sera la même ritournelle, pêcheurs et acheteurs, sous le ciel cru, blanc tant il est chaud. Du haut des remparts je vois l’horizon, je le voyais aussi depuis je jetée. Ici, il semble y avoir une dissonance. Une divergence, un détachement. Comme une rupture soudaine. Dissonance entre cet horizon qui porte toujours le même visage et mes pas errants sur les remparts chauds. Dissonance entre mes espoirs vains et la réalité brûlante. Mes bras sont pleins d’une candeur invincible. D’une cotonneuse soif. Et je laisse ma main glisser le long des remparts, je caresse le temps.
Temps qui s’effiloche comme un collant filé. Néons noirs, yeux de velours. Sidération. Derrière c’est un abîme qui se creuse, les souvenirs en fosse commune. Les peut-être et autres hésitations disparaissent comme une trainée de poudre. Le temps laboure. Le temps moissonne et régurgite. Je ferme les yeux, menton levé vers l’immensité bleue. A qui appartiennent toutes ces secondes ? Menton levé, je n’ai que faire de vos balbutiements. Ce sera toujours la rage. La rage au ventre. Une rage qui transpire, conquérante, une soif carnassière envers les merveilles de l’instant. Se dresse alors devant moi la tour aux huit faces. Sur chaque face, une tête d’ange à six yeux. Et sous chaque ange sommeille une vertu. Je l’observe, elle est immense… Elle tourne sur elle-même dans un silence de cathédrale. Elle est là, à mes pieds, monolithique et fastueuse. En son sommet trône, sur un piédestal, la clef de la vie. Inutile. Je ne veux pas savoir. C’est la seule nourriture de l’essence que d’ignorer son lendemain tout en se forgeant avec.
J’ai tracé avec mon doigt, un cœur, entre tes omoplates, de la plus appliquée des façons. Tu as senti sur ta peau les vertiges de la douceur et les appels saccadés de la concupiscence. Concupiscence rougeoyante qui brûle les yeux. J’ai tracé une ligne qui va de ta hanche à ton épaule. J’y ai semé de l’or miettes. J’ai également tracé une ligne allant du bout de ton index jusque ton oreille. Oreille tapie dans tes cheveux défaits. Je t’ai recouverte de lignes imaginaires, de lignes du toucher, fugaces et hurlantes. Maintenant le jour peut mourir. Encore quelques minutes. Et je glisse mon corps meurtri sous le drap de fleurs, j’attends la caresse de ton éternité. Les yeux fermés, l’incertitude au ventre. Et tes lèvres me baisent, doucement et chaudes, dans le cou. Frisson et profonde respiration pour ce corps qui porte les stigmates du temps morcelé entre un abîme et un autre. La nuit fredonne un air… je le connais mais n’arrive plus à m’en souvenir… cette trompette, seule d’abord… puis les percussions. Accords mineurs. Et tout l’orchestre, grave… Je sais, Do dièse mineur. Mahler cinq. Trauermarsch… Je m’endors. Demain un autre voyage. Lancer de nouveaux ponts par-dessus l’impossible sous les yeux médusés de l’éternel. Avec mon corps de navigateur, mon corps hésitant. Mais plus rien ne m’effraie, les échecs m’ont appris l’inexorable va-et-vient des désirs et des cœurs en fleurs. Comme une marée ils labourent la grève. Rien ne m’effraie plus car j’ai appris à souffrir. Et j’ai aussi appris à rire pour de vrai. Comme lorsqu’on est mort de soif et qu’enfin une fontaine se présente. Je laisse à chacun ses traumatismes. Moi je dors dessus. Et tendre est la nuit pour ceux qui n’attendent plus rien. Plus rien car tout est là, à nos pieds.
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heroslitteraires · 2 years ago
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Dans la peau d’un tueur à gage.
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Jo Nesbo.
Du sang sur la glace. 153 pages.
Éditions Gallimard.
Quand on gagne sa vie en supprimant des gens, il peut être compliqué, voire dangereux, d’être proche de qui que ce soit. Olav est le tueur à gages attitré d’un gangster qui règne sur la prostitution et le trafic de drogue à Oslo. Lorsqu’il tombe enfin sous le charme de la femme de ses rêves, deux problèmes de taille se posent. C’est la jeune épouse - infidèle - de son patron. Et il est chargé de la tuer.
Soleil de nuit. 218 pages.
Éditions Gallimard.
Chargé de recouvrer les dettes pour le Pêcheur, le trafiquant de drogue le plus puissant d’Oslo, Jon Hansen succombe un jour à la tentation : l’argent proposé par un homme qu’il est chargé de liquider lui permettrait peut-être de payer un traitement expérimental pour sa petite fille, atteinte de leucémie. En vain… Trouvant refuge dans un petit village du Finnmark, le comté le plus isolé de Norvège, et alors qu’il est persuadé d’avoir tout perdu, Jon croise la route de Lea (dont le mari violent vient de disparaître en mer) et de son fils de dix ans, l’espiègle Knut… Une rédemption serait-elle possible? Mais on ne trahit pas impunément le Pêcheur. Et « rien de pire qu’une balle dont on ne sait pas quand elle va arriver »…
Mon avis :
C’est bien comme intrigue. Idéalement ces romans devraient se lire à la suite, car il y a des personnages récurrents qui donne du fil à retorde à Olav, le personnage principal. Ce sont deux nouvelles, donc quand on les lit un après l’autre, cela donne un bon roman. On ressent les difficultés que Olav a dû surmonter, comme une enfance difficile, pour faire des choix qu’il a fait. Cependant, quand il décide d’avoir une vie plus rangée et calme, son passé va lui rappeler d’où il vient.
Avez-vous lu ces livres? Comment les trouvez-vous?
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christophe76460 · 9 days ago
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➡️ ⟪ Roi ou laboureur ? ⟫
“Or Saül arrivait des champs, derrière ses bœufs.” 1 Samuel 11. 5
Saül devint le premier roi d’Israël, choisi par Dieu et oint par Samuel, puis acclamé par les Israélites assemblés à Mitspa : “Samuel dit à tout le peuple: Voyez-vous celui que l’Eternel a choisi ? Il n’y a personne dans tout le peuple qui soit semblable à lui. Et tout le peuple poussa les cris de : Vive le roi ! Samuel fit alors connaître au peuple le droit de la royauté, et il l’écrivit dans un livre, qu’il déposa devant l’Eternel. Puis il renvoya tout le peuple, chacun chez soi.” (1 Samuel 10. 24-25). On aurait pu s’attendre que Saül prenne ses fonctions en faisant peut-être le tour des tribus d’Israël et vérifiant ce qui les préoccupait, leurs craintes et leurs espoirs, pour cimenter ses relations avec chaque tribu. En fait si les Israélites s’étaient rassemblés à Mitspa, c’était à l’appel de Samuel qui assumait alors le rôle de chef.
Mais dès que les acclamations retombèrent, Saül retourna à sa petite vie tranquille… de fermier sur les terres de son père ! Il ne se comportait pas comme un roi mais comme un laboureur. Quelle leçon pour nous aujourd’hui ? Nous avons été rachetés par le sang de Christ et ainsi sommes devenus membres de la famille de Dieu et par là fils du Roi. Mais voici la question que nous devrions nous poser : est-ce que nous nous comportons comme fils du grand Roi ou simples laboureurs sur cette terre ? Sommes-nous prêts à représenter le Roi des Rois, à L’honorer devant les hommes, à défendre Ses intérêts, à devenir le sel et la lumière dans la nuit ?
A vivre une vie qui honore notre Roi et qui nous différencie des autres, à témoigner de notre appartenance au royaume de Dieu ? A Le louer et L’adorer en toute occasion, prier dans le nom de Jésus et ne pas attrister le Saint-Esprit ? A devenir des pêcheurs d’hommes et à faire connaître le nom du grand Roi en tant que Créateur et Dieu unique à un monde peut-être désintéressé, ou même moqueur, et à avoir le courage de nos convictions ? Les privilèges associés à notre position comportent aussi de grandes responsabilités. Alors, après avoir été oint de l’huile du St Esprit, ne retournez pas à vos habitudes de terriens ordinaires !
⦁ ‎samedi ‎2 ‎novembre ‎2024
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yes-bernie-stuff · 9 days ago
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Roi ou laboureur
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Samedi 2 novembre 2024 Roi ou laboureur ?
“Or Saül arrivait des champs, derrière ses bœufs.” 1 S 11. 5
Saül devint le premier roi d’Israël, choisi par Dieu et oint par Samuel, puis acclamé par les Israélites assemblés à Mitspa : “Samuel dit à tout le peuple: Voyez-vous celui que l’Eternel a choisi ? Il n’y a personne dans tout le peuple qui soit semblable à lui. Et tout le peuple poussa les cris de : Vive le roi ! Samuel fit alors connaître au peuple le droit de la royauté, et il l’écrivit dans un livre, qu’il déposa devant l’Eternel. Puis il renvoya tout le peuple, chacun chez soi.” (1 S 10. 24-25). On aurait pu s’attendre que Saül prenne ses fonctions en faisant peut-être le tour des tribus d’Israël et vérifiant ce qui les préoccupait, leurs craintes et leurs espoirs, pour cimenter ses relations avec chaque tribu. En fait si les Israélites s’étaient rassemblés à Mitspa, c’était à l’appel de Samuel qui assumait alors le rôle de chef. Mais dès que les acclamations retombèrent, Saül retourna à sa petite vie tranquille… de fermier sur les terres de son père ! Il ne se comportait pas comme un roi mais comme un laboureur. Quelle leçon pour nous aujourd’hui ? Nous avons été rachetés par le sang de Christ et ainsi sommes devenus membres de la famille de Dieu et par là fils du Roi. Mais voici la question que nous devrions nous poser : est-ce que nous nous comportons comme fils du grand Roi ou simples laboureurs sur cette terre ? Sommes-nous prêts à représenter le Roi des Rois, à L’honorer devant les hommes, à défendre Ses intérêts, à devenir le sel et la lumière dans la nuit ? A vivre une vie qui honore notre Roi et qui nous différencie des autres, à témoigner de notre appartenance au royaume de Dieu ? A Le louer et L’adorer en toute occasion, prier dans le nom de Jésus et ne pas attrister le Saint-Esprit ? A devenir des pêcheurs d’hommes et à faire connaître le nom du grand Roi en tant que Créateur et Dieu unique à un monde peut-être désintéressé, ou même moqueur, et à avoir le courage de nos convictions ? Les privilèges associés à notre position comportent aussi de grandes responsabilités. Alors, après avoir été oint de l’huile du St Esprit, ne retournez pas à vos habitudes de terriens ordinaires !
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latribune · 1 month ago
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devenirmilliardaire · 4 months ago
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Noyade à la plage de Mermoz : le corps du lycéen toujours introuvable 48H après. Quarante- huit heures après sa noyade à la plage de Mermoz, le corps du jeune lycéen est toujours introuvable. Ses parents, proches et amis sont dans le désarroi. Les appels à l'aide pour retrouver son corps fusent de partout. Noyade à la plage de Mermoz : le corps du lycéen toujours introuvable 48H après Noyade-dans-un-bras-de-mer-Un-garçon-de-18-ans-meurt-noyé-une-enquête-ouverte Dans ce cadre, les pêcheurs des plages de Soumbédioune, Ngor et Ouakam sont sollicités. " Ngor est une zone de plongeurs, nous sommes réputés pour l'être. D'ailleurs, les parents du jeune lycéen qui s'est noyé à la plage de Mermoz sont venus me voir. 8 morts / sipress-mbao-le-bilan-de-la-noyade-s-alourdit-a-8-morts →LIRE AUSSI Bilan de la noyade à Sipress Mbao s’alourdit avec 8 morts Ils sollicitent notre aide pour retrouver le corps de leur fils. Et mon équipe et moi nous nous préparons à y aller juste après la prière du vendredi", nous avait confié un peu plutôt Diaga, un jeune pêcheur et plongeur de Ngor membre de l'union nationale des pêcheurs artisanaux (Unapas). Noyade de 5 personnes mortes à la plage de Lac Rose →LIRE AUSSI Kabirou Mbodj rejugé le 15 juillet Le jeune M.F. Touré était allé à la plage de Mermoz avec certains de ses camarades de classe pour se baigner. Noyade à la plage de Mermoz le corps du lycéen toujours introuvable 48H après Malheureusement, il s’est noyé, rapporte Les Echos. →LIRE AUSSI La Fondation « Servir le Sénégal » dissoute
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almanach-international · 5 months ago
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29 juin : c’est la Saint-Pierre, la fête des pêcheurs
Dans les ports de Provence et du Languedoc, la Saint-Pierre est la fête des pêcheurs, occasion d’une procession traditionnelle transportant la statue de saint Pierre de l’église jusqu’au port, comme c’est le cas à Antibes, à Sète, à Nice ou au Grau du Roi. Le 28 au soir, dans le petit port de Gruissan, la sérénade traverse les rues du village avec la « musicalité maritime » bien connue du réveil gruissanais. Le lendemain, c’est le « jour de gloire ». Le cortège part de la Prud’homie, jusqu’à l’église Notre Dame de l’Assomption pour célébrer la grand’messe. C’est là, que les pêcheurs gruissanais portent la barque d’apparat (symbolisant le travail) et un cierge allumé (qui exprime la foi) jusqu’au buste du saint placé dans le chœur de l’église. 
Certaines localités, comme Cassis, la Seyne-sur-Mer ou Antibes, ont cependant déplacé la fête au dernier week-end de juin, ce qui permet aux festivités de s’ouvrir par un feu d’artifice le vendredi soir et de se terminer le dimanche soir par une grande sardinade et une soirée dansante. À Agde, pour des raisons touristiques, la fête a même été reportée au premier week-end de juillet. Cette année, elle débutera le vendredi 7 juillet avec arrivée de la statue de Saint-Pierre à 21h par le fleuve Hérault avec animations, danses traditionnelles, peña… Place de la Marine. Le lendemain, au Grau d’aide, la sardinade sera accompagnée de musiques gitanes. Le dimanche, une gerbe sera jetée à l’eau en mémoire des pêcheurs disparus en mer. À Nice, la fête de la Festa de San Peïre (en nissart), débute par une messe à l'église Notre-Dame-du-Port puis se poursuit par une procession des pêcheurs depuis l’église jusqu'au port rythmée par des musiques et des danses folkloriques.
Dans les Caraïbes, principalement à la Jamaïque, une Journée internationale des pêcheurs est célébrée chaque 29 juin. Saint Pierre, l'un des douze premiers apôtres et le premier évêque de Rome, était à l'origine un pêcheur du lac de Tibériade. Pour cette raison, il est vénéré comme le saint patron des pêcheurs. Chaque 29 juin, l'Église catholique célèbre dans une même fête liturgique les apôtres saint Pierre et saint Paul. Le choix d'une seule date pour célébrer ces deux grandes figures s'est opéré après la réforme liturgique en 1970. Jusque-là, saint Pierre était fêté le 29 juin et saint Paul le lendemain.
De fait la Saint-Pierre et Saint-Paul est un jour férié dans certains pays catholiques : Malte, Chili, Pérou, Italie, Colombie et dans certains cantons suisses. Sur la côte péruvienne, dans les ports de Chorillos et de Lurin, la figure de saint Pierre est venue se superposer à celle du dieu fondateur Naylamp lors de cérémonie visant à bénir l’eau pour une bonne pêche tout au long de l’année. La a San Pedro y San Pablo est également très fêtée en Équateur.
Simon (alias Pierre) était le fils de Jonas, vivait à Capharnaüm où il est pêcheur sur le lac de Tibériade, avec son frère André. Un jour, il a rencontré Jésus qui lui a dit : « Suis-Moi, Je te ferai pêcheur d’hommes. » Il décida alors de tout quitter pour le suivre. Jésus lui donnera le nom araméen de « Képha », mot qui signifie « rocher » qui deviendra « Petrus » en latin, puis « Pierre » en français. « Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Église » (Matthieu, XVI, 17). 
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde
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youraufildespages · 5 months ago
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Un océan d'éternité de Marie-France Desmaray
 7/10 Vendée, 1935. Seul fils d’une famille de pêcheurs, Yann a toujours rêvé d’une vie de marin au long cours. Au point, un jour, de décider de s’enfuir. Mais en embarquant pour l’Irlande, il n’imagine pas les épreuves qui l’attendent. Après un voyage éprouvant, il se retrouve sur l’île de la grande Blasket, où il fait la connaissance de la mystérieuse Kiara et de sa petite sœur, la…
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