#Papilles et Pupilles
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Au coeur de notre "belle Dame nature", le café du jour sera gourmand et énergisant, rien que pour titiller nos papilles et les pupilles du cœur....tout simplement bien ! 💙
Bonne dégustation à toutes et tous ! ☕️
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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« Les rêves de poussière »
Tu vois, le temps presse et t'entraîne
Au milieu d’un tourbillon qui te balaye
Télévision sans couleurs,
Tu papilles une mandarine dans ta cuisine
Tu pupilles les couleurs de ta vie,
Mais la bruine
C’est juste un sillon dans ta tête,
Qui te gêne
Qui me peine
Il fait noir dans ta mémoire
Ta mèche de cheveux sur ton épaule
Rosie depuis le temps de l’école
Mais cette frénésie s’envole
I love rock’n’roll
Toi qui chantais l’espoir
Que les choses enfin changent
C’est bizarre: tout s’efface,
Tu veux peut-être
Que j’arrête
Il fait noir dans ta mémoire
J’aimerais lancer un lasso
Pour attraper tes yeux,
Et retenir l’écho, qui oublie tout:
Les bains de minuit, la piscine
Les mots des chansons, les fins des films
Même les points sur tes interrogations
Sans raisons
Il fait noir dans ta mémoire
Qui sont ces gens sur la photo ?
Je récite des histoires, mais tout sonne faux
Quand je te parle, tu n’es pas là, alors où ?
Quand tu dis je t’aime,
C’est pas moi, c’est vous
Tu m’oublies dans ce silence grande échelle
Tu m’épelles
Il fait noir dans ta mémoire
J’ai beau tout faire, me perdre dans tes caresses
Plonger sans cesse dans ce tourbillon d’images
Tenter de freiner cette détresse grande vitesse
Tu oublieras coûte que coûte, oui les épines
Mais aussi l’eau de rose sur tes cils
On ne peut rien contre ce mal qui gomme
Même l’automne
Il fait noir dans ta mémoire
#french#écrivain#my writing#écrire#français#poésie#pensées#nuit#poem#solitude#alzheimer#memory#ehpad
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Tickets (en français, ci-dessous)
DE
Um der herbstlichen Monotonie ein Schnippchen zu schlagen, lädt Sie Improfusion zu einem außergewöhnlichen Dinner zwischen Lachen und Überraschungen ein, das großzügig mit deutsch-französischer Soße gekocht und mit Ihren Vorschlägen gewürzt wird! Kommen Sie zahlreich, mit geschärften Geschmacksnerven und Augen, um mit uns einen Moment der Geselligkeit zu genießen!
Am 18. Oktober 2024 um 20.30 Uhr!
FR
Pour tromper la monotonie automnale, Improfusion vous convie à un dîner exceptionnel entre rire et surprises généreusement mitonnées à la sauce franco-allemande et épicées par vos suggestions ! Venez nombreux, les papilles et les pupilles aiguisées pour partger avec nous un moment de convivialité!
Le 18 octobre 2024 à 20h30 !
#improfusion berlin#théâtre d'improvisation#improvisationstheater#improvisation theater#improv#berlin#deutsch-französisch improvisationstheater#fliegendes theater#comedy berlin#improv comedy berlin#interkulturelles theater#german-french
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Pain de campagne très moelleux cuit en cocotte | Les recettes de Mamie Paulette
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Les secrets d’un mariage gourmand : Choix du traiteur et menus savoureux
Votre grand jour approche à grands pas et vous rêvez déjà des délices culinaires qui régaleront vos invités lors de votre mariage. Le choix du traiteur et des repas est une étape cruciale pour assurer le succès et la satisfaction de vos convives. Dans cet article, nous allons explorer ensemble les astuces pour faire de cette sélection un véritable festin pour les papilles et les pupilles !
CRITÈRES À CONSIDÉRER POUR CHOISIR LE TRAITEUR DE VOTRE MARIAGE
OPTIONS DE MENU POUR UN MARIAGE INOUBLIABLE
Un mariage mémorable est également un mariage où l’abondance et la variété règnent en maître. Proposez à vos invités une véritable symphonie de saveurs en optant pour un menu mariage diversifié. Des entrées exquises aux desserts somptueux, laissez-vous séduire par une explosion de goûts et de couleurs. Avec des menus personnalisés, vous pourrez créer une expérience culinaire unique, reflétant vos préférences et votre style.
CONSEILS POUR OPTIMISER VOTRE BUDGET TRAITEUR
Il est tout à fait possible de régaler vos invités sans pour autant faire exploser votre budget. En négociant habilement avec votre traiteur, vous pourrez obtenir des tarifs avantageux tout en préservant la qualité. Explorez également les options adaptées aux mariages à petit budget, sans sacrifier pour autant le plaisir gustatif. Avec un peu de créativité, vous pourrez réaliser des économies tout en offrant une expérience culinaire de premier choix à vos convives.
ERREURS À ÉVITER LORS DU CHOIX DU TRAITEUR POUR VOTRE MARIAGE
LES PETITS CONSEILS
Planifiez une dégustation en amont pour évaluer la qualité et le style du traiteur.
Demandez des recommandations à des amis ou des professionnels de confiance pour trouver le traiteur idéal.
Gardez à l’esprit les allergies alimentaires et les restrictions alimentaires de vos invités lors de la sélection du menu.
Discutez des options de service avec le traiteur pour une expérience fluide et agréable le jour du mariage.
Prévoyez des alternatives pour les enfants et les végétariens afin que tous vos invités se sentent pris en charge.
Assurez-vous de comprendre les modalités de paiement et les conditions d’annulation avec votre traiteur.
Confirmez les détails logistiques avec le traiteur, tels que les horaires de livraison et les équipements nécessaires sur place.
Communiquez clairement vos attentes et vos préférences avec le traiteur pour éviter toute confusion le jour du mariage.
Votre mariage est une occasion spéciale pour célébrer l’amour et l’union avec vos proches. En choisissant le traiteur idéal et en élaborant des menus savoureux, vous créez des souvenirs inoubliables pour vous et vos invités. Que votre mariage soit chic et sophistiqué ou décontracté et convivial, un festin délicieux est la clé pour marquer les esprits. Alors, lancez-vous dans cette aventure culinaire avec enthousiasme et gourmandise. Et préparez-vous à vivre une journée magique où chaque bouchée sera une véritable déclaration d’amour en ajoutant à votre mariage un traiteur et des menus savoureux!
Si vous êtes à la recherche d’autres types d’informations sur le mariage, n’hésitez pas à consulter nos articles proposées par Partybox.
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Gougère is a dish from Burgundy, a delicious mixture of choux pastry and cheese.
Gougères
Recipe from Papilles et pupilles
Takes
25 min prep + 25 min baking
Ingredients for ~30 small choux
25cL water
75g butter
150g flour
3 to 4 eggs
150g grated hard cheese: Emmental, Comté or Beaufort
salt, ground nutmeg
Recipe
Preheat the oven to 180°C.
In a pan, bring the butter, water and a pinch of salt and nutmeg to a boil.
Remove from heat and add the flour in one go. Mix well.
Put the pan back on high heat and dry out the dough: stir it continuously for 5 min. The dough should easily detach from the bottom and sides of the pan.
Let cool for a few minutes.
Add the eggs one by one. After the first three eggs, dip the tip of a spatula into the batter then rotate it to point up. There should be a small “crest“ of batter that will fall back towards the spatula without touching it. If the batter remains upright, the dough is too stiff, add a little more egg.
Add most of the cheese (set aside a little).
Drop spoonfuls of batter on a baking sheet to make small choux or use a piping bag if you’re feeling fancy. Sprinkle with remaining cheese.
Bake for about 25 min at 180°C. The choux should be golden and puffy. Do not open the oven until the very end of the baking time to avoid them deflating.
Let cool a bit then serve immediately.
#recipe#cooking#french cooking#french recipe#appetizer#starter#vegetarian#choux#cheese#gougères#burgundy#source: papilles et pupilles
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C'est le temps des vacances avec toutes les couleurs et les saveurs des îles sur un plateau bonheur, au plus grand plaisir des papilles et pupilles !
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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Un étal riche en couleurs et saveurs qui réveille vos papilles et pupilles !
#au-jardin-de-mon-coeur
Marrakech Medina 🕌🏰😍
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Télévision
Tu vois, le temps presse et t'entraîne
Au milieu d’un tourbillon qui balaye
La télévision et ses couleurs,
Tu papilles une mandarine dans ta cuisine
Tu pupilles les couleurs de ta vie,
Mais la bruine
C’est juste un sillon dans ta tête,
Qui te gêne
Qui me peine
Il fait noir dans ta mémoire
Ta mèche de cheveux sur ton épaule
A blanchi depuis le temps de l’école
Mais cette frénésie s’envole
Il pleure sur le rock’n’roll
Toi qui gardais l’espoir
Que les choses enfin changent
C’est bizarre: tout s’efface,
Tu veux peut-être
Que j’arrête
Il fait noir dans ta mémoire
J’aimerais lancer un lasso
Pour rattraper tes yeux,
Et retenir l’écho, qui oublie tout:
Les bains de minuit, la piscine
Les mots des chansons, les fins des films
Même les points sur tes interrogations
Sans raisons
Il fait noir dans ta mémoire
Qui sont ces gens sur la photo ?
Je récite des histoires, mais tout sonne faux
Quand je te parle, tu n’es pas là, alors où ?
Quand tu dis je t’aime,
C’est pas moi, c’est vous
Tu m’oublies dans ce silence à grande échelle
Je t’appelle
Tu m’épelles
Il fait noir dans ta mémoire
J’ai beau tout faire, me perdre dans tes caresses
Plonger sans cesse dans ce mélange d’images
Tenter de freiner cette détresse grande vitesse
Tu oublieras coûte que coûte, oui les épines
Mais aussi l’eau de rose sur tes cils
On ne peut rien contre ce mal qui gomme
Même les paroles
Il fait noir dans ta mémoire
#TempsQuiPresse#RêvesDePoussière#NoirDansLaMémoire#LassoDesSouvenirs#SilenceGrandeÉchelle#alzheimers
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Le confinement
Comme chaque lendemain de beuverie, je me réveillai la tête dans les nuages tout en gardant les yeux mi-clos. Un pied devant l’autre sans décrocher ma vue du sol, je marchai jusqu’à la cuisine où une surprise m’attendait. L’évier n’était plus à sa place mais à celle du frigo. Quant à lui, au lieu d’être à côté de la fenêtre, il était à la place du vaisselier. Je ne me souvenais pas avoir déménagé les meubles. Malgré cette étrange désorientation, je pris mon petit-déjeuner avec aussi la certitude de boire habituellement un thé en observant le café dans ma tasse. Peu après, je profitai du repos en ouvrant la porte du balcon lorsque j’entendis un bruit agaçant dans la rue. Une femme semblait hurler. Curieux de connaitre la propriétaire de cette voix de vendeuse de poissons, je sortis et ne vis personne. Dès lors, je remarquai que le ciel avait une apparence différente d’un jaune lisse. Tout parut changé, même l’immeuble en face n’avait plus sa façade haussmannienne. D’ailleurs, j’avais l’impression qu’il n’y avait plus d’autres immeubles que le mien dans la rue.
Il était dix-huit heures quand je me réveillai en trombe. Je n’ai pas souvenir de m’être endormi ni d’avoir changé de vêtements. Toutefois, je n’étais plus en pyjama, portant un jean et un sweat gris. Je décidai de sortir mais pas moyen d’ouvrir la porte fermée à clé. Je passai une bonne demi-heure sans trouver la clé ni son double. Rapidement, un bruit comme un toussement provint du couloir extérieur. Dès lors, je remarquai à travers la serrure un œil qui m’espionnait. « Que voulez-vous ? » demandai-je sans obtenir de réponse. La pupille tournait comme pour regarder les coins de la serrure. L’oeil semblait plus gros, à croire que son propriétaire utilisait un télescope pour m’espionner. J’appelai deux fois, trois fois mais rien ne se passa. Soudain, l’œil s’éloigna disparaissant derrière un voile jaune. Je ne reconnus pas le hall, les portes des voisins n’existaient plus. Dès lors, j’essayai d’appeler mes parents, mais la tonalité sonnait occupée. J’attendis un peu en regardant la télévision qui me berça profondément.
Quel choc au réveil ! Juste en face de moi, je découvris un gros bloc de plastique. Le carré était coloré de chaque côté par des graffitis difficilement compréhensibles. Il rappelait les jeux de cubes puzzles avec lesquels je jouais dans mon enfance. Je fis le tour car il prenait de la place au milieu du salon. Derrière, je remarquai l’absence de la télévision mais à peine ai-je tourné le dos que la télé réapparut tout à coup. Elle fonctionnait toujours. Le cube trônait, imposait sa présence au point de me sentir mal à l’aise. Il n’avait rien d’envoutant, seulement je ne concevais pas avoir ça continuellement dans mon appartement. Je partir boire un verre d’eau lorsque j’entendis cet étrange bruit, comme une respiration derrière la porte. L’œil était de retour ! Il me dévisageait de son gros cercle noir en son milieu. La pupille me fixait puis, j’entendis un rire de femme. La voix était proche de celle qui avait hurlé dans la rue. Je tournai la poignée pour essayer d’ouvrir, je cherchai la clé dans mes poches de manteau, dans les tiroirs. Je ne savais plus où je l’avais posée. En cherchant dans les meubles du salon, je ne fis pas attention à la disparition du cube. Tout était redevenu normal, sauf que je ne trouvai pas cette satanée clé.
Durant toute la nuit j’ai cherché à sortir de mon appartement. J’habitai au quatrième étage donc difficile de pouvoir descendre par le balcon. De plus, les lumières extérieures restèrent éteinte, impossible de voir quoi que ce soit. Je fouillai chaque pièce, chaque endroit où je pouvais avoir laissé la clé de la porte d’entrée. J’angoissai au point d’oublier de manger, alors que j’avais aussi cherché dans le frigo, dans le bac à salades ainsi que dans le poulet à l’apparence de plastique. Hélas, je ne l’ai jamais retrouvée. Je m’endormis, épuisé de sommeil sans m’en rendre compte. Au matin, les rayons du soleil frappèrent mon visage, je me réveillai en découvrant que je n’étais pas seul. A côté de moi, une jeune femme dormait. Je ne la connaissais pas. Sa présence m’intrigua, pourtant je décidai de la laisser dormir en préparant le petit-déjeuner. La respiration résonna derrière la porte d’entrée, tel un écho dans une pièce vide. Je me doutais que l’œil était derrière guettant mes faits et gestes. Cependant, je l’ignorai malgré mes nombreuses questions : « Qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous êtes ? Pourquoi ? Pourquoi espionnez-vous ? Pourquoi moi ? » Tant de questions, trop de questions. Puis la jeune femme entra dans la cuisine. Elle demanda si j’allais bien comme si nous vivions ensemble. D’ailleurs, elle se promenait en petite culotte, cachant sa poitrine d’un T-shirt légèrement serré. Elle s’assit, prit un bol pour le remplir de café et tartina une tranche de pain avant de m’en proposer une. Je ne la connaissais pas, néanmoins j’avais une sensation de déjà-vu ; elle ne m’était pas inconnue.
Après m’être habitué à sa présence, elle disait s’appeler Clarabelle, elle disparut brutalement lorsqu’ un rire aigu pénétra l’appartement. Je fus pris d’effroi au son de ce rire à la fois puissant et terriblement aigu. C’était celui d’une petite fille mais aggravé comme si la fille était une géante. Le vacarme provoqua des nausées dans ma tête, je crus m’évanouir. Peu après, tout redevint calme. Je constatai que l’œil était de nouveau derrière la serrure. Dès lors, je criai et réclamai des explications. Mais rien, aucune réponse. L’œil me contemplait de sa pupille noire. Il tournait toujours et encore, puis s’éloignait pour laisser place à un couloir aux couleurs ternes, aussi ternes que le ciel Je commençai à déprimer et angoisser dans cet appartement devenu sordide pourtant plaisant à vivre auparavant. De mon balcon, je ne voyais plus aucun bâtiment. Il y avait cette couleur jaune triste qui embrumait le ciel, la même couleur dans le hall derrière la porte. Elle était moche, triste, elle me faisait déprimer. A ce moment, je réalisai que Clarabelle me manquait.
Je n’ai jamais su si j’ai dormi longtemps, ni comment je me suis endormi. Je me réveillai au son d’une sonnerie, assis à la table de la salle à manger. Le repas cuisait tranquillement dans le four, le minuteur répétait que le poulet était prêt. Pendant ce temps, j’écrivais des mots croisés dans un journal. L’odeur de la sauce du poulet a toujours été un régal pour mes papilles. Je me précipitai dans la cuisine quand je compris que l’œil était présent. Je sortis le poulet du four et le déposai sur la table avant d’aller frapper à la porte dans le but de tenter une énième communication impossible avec son propriétaire. L’œil s’éloigna dans un rire indescriptible. Tout-à-coup un fracas retentit ! Je crus à un orage, seulement les heurts sur le plafond et les murs rappelaient plus à une pluie de pierres qu’à des éclairs. La peur au ventre, je plongeai sous la table de la cuisine, attendant que le séisme stoppe. Au bout de quelques secondes, un hurlement suivi d’un autre mirent fin à cet orage angoissant. Je me levai et constatai le désordre dans la chambre et le salon. La télé en vrac gisait sous l’énorme cube réapparu. A ce moment, je pris peur et m’isolai dans la salle de bain. J’attendis quelques minutes en réfléchissant sur la raison de son retour et comment j’allais m’en débarrasser. Mais en retournant dans le salon, tout était en ordre : la télé réparée et le cube encore disparu.
Je ne sais pas quelle heure il était ; c’était peut-être en fin d’après-midi. Je cherchai encore la clé quand j’entendis éternuer. Je partis voir si l’œil était revenu. Mais non ! A la place, je fus heureux de trouver la porte ouverte. Sans hésiter, je me dirigeai à l’extérieur de mon appartement et sans comprendre, à peine le pied posé dehors, je tombai, m’enfonçant dans un puits qui parut sans fond. J’atterris sans faire de bruit sur une espèce de tapis en forme de mousse et de tissus. L’effet de ce coussin fut si puissant que je m’endormis et me réveillai dans mon lit. Dans le salon, Clarabelle aidait un petit garçon que je ne connaissais pas à faire ses devoirs. Son visage me rappelait quelqu’un comme un cousin éloigné, un familier, peut-être un proche. Je me levai et proposai de jouer à un jeu de société. Le sourire du garçon illumina son visage mais ma femme rappela que notre fils devait d’abord finir ses leçons.
« Moi, j’aime bien regarder par la fenêtre qui ressemble à une serrure ». Affirma Alicia tout en s’approchant de la porte de sa maison de poupée. Un de ses petits frères essayait de reformer un puzzle 3D d’un petit chat. Il adorait ce jeu, seulement son jumeau, plus bagarreur et provocateur, empoigna un des cubes et le balança dans la maison de poupée. Dès lors, Alicia hurla contre le garnement appelant sa mère à l’aide. C’est son père qui intervint. Il gronda le mauvais garçon qui s’en fichait un peu puis, il récupéra le cube et afin de calmer sa fille en plein sanglots à cause des meubles cassés, il répara les dégâts avec une bonne colle. Ainsi Alicia pouvait continuer de jouer et admirer les petites figurines à travers la serrure. Cela lui donnait l’impression de voir dans un vrai appartement.
Alex@r60 – mars 2020
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De la bonne confiture de citrouille 🎃 plaisir pour les pupilles et les papilles 🎃
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Contes et merveilles
Le Marché Fantastique
Il est un lieu, à des lieux d’ici, dans lequel s’approvisionnent les auteurs de fantaisies. Pour le trouver, il faut suivre la traînée de drapeaux bleus, rouges, roses ou verts qui marquent le ciel, et le bruit que fond les épices pour entrer dans vos narines. Dans le vacarme incessant des chants des marchands, observons ensemble ce que ces fabuleux ambulateurs vendent. Chez Dame Tisane, des théières de sentiments: l’eau que vous verserez dedans prendra l’amertume de la tristesse, la douceur de l’amour ou le douillet de la tendresse. Pour les buveurs de thés plus corsés, elle vous proposera des arômes hors du commun: le goût du risque, les ailes de la peur, et les hauteurs vertige ! Un peu plus loin le marchand de rêve vend du sable en grande quantité pour tous les passionnés de l’oreiller. On trouve du sable anti-cauchemars, du sable pour des rêves lucides, du sable pour les rêves prémonitoires ! Il vous suffit d’en verser un peu sous votre édredon et ils vous emmèneront aux confins de votre sommeil. Tout près, on retrouve un fabricant de miroir: on raconte qu’il aurait confectionner lui même le miroir d’une reine cruelle vivant dans une contrée encore plus lointaine que celle-ci. Ces miroirs ne montrent généralement pas votre reflet, mais bien tout ce que vous voudrez voir d’autres ! Non loin de là s’agitent fruits et légumes de toutes les couleurs, aux saveurs innombrables. Un goût pour chaque pays imaginaires qui existent, vos papilles en perdront la raison ! Mais gare aux pommes de Pépin la sorcière, aussi rouges soient elles, il ne vaut mieux pas croquer dedans: bons nombres de princesses ne s’en sont pas réveillées. En bout de marché, après les vendeurs de lampes à génie et la petite vendeuse d’épices, se trouvent l’échoppe des chineurs de fleurs. J’aimerais que vous puissiez la voir: les couleurs dansent, jonglent se chevauchent font l’amour aux pupilles des passant. Un bouquet pour chaque prince charmant en perdition, pour tous les dragons qui se sentent seuls dans leur donjons, pour toutes les princesses assez braves pour se sauver elles-mêmes ! “Ils sont doux mes rêves ils sont doux!”, crient la harangue. Vous ne repartirez pas la tête vide, et le souvenir de ce capharnaüm grandiose reste, en bouche, comme une montgolfière sait rester en l’air. C’est un bonbon qui flotte: imagination.
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