#la douce france
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Een Kleine Kijk in de Toosiaanse Kunst-Keuken
Dat regeren vooruitzien is, is niet altijd iedereen duidelijk. In haar kunstactiviteiten probeert Toos van Holstein dat wel te doen. Want ze heeft heel wat ballen in de lucht te houden. Haar TOOS&ART van deze week geeft een inkijk in die Kunst-Keuken #art
Regeren is vooruitzien. Best een kunst als je naar de praktijk kijkt. Maar kunst creĂ«ren en presenteren is ook zoân zaak van vooruitzien en daarmee dus ook een kunst. Oordeel zelf bij dit inkijkje in mijn eigenste Kunst-Keuken. Begin mei, op weg naar mijn keramiekavontuur in Gubbio, deed ik in La Douce France niet alleen Fayence aan voor de Jardin de Sculpture, maar natuurlijk ook mijnâŠ
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1962-63 trend:
Heart-shaped Sunglasses!
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SĂ©rie La Douce France, par Satellite June
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L'Art et la mode, no. 5, vol. 10, 29 décembre 1888, Paris. A la Parisienne. E. Henry. La Parisienne, dessin original de F. Fournery. BibliothÚque nationale de France
Au gui lâan neuf! Quand tous ont leur part de bonheur, Blonde enfant de Paris, pourquoi ce pli rĂȘveur En ton malicieux visage?
Tu vas perdre ton rire Ă compter tes doigts blancs⊠Voyons, naĂŻve HĂ©bĂ©, mais les fleurs nâont pas d'Ăąge⊠Elles renaissent au printemps.
La belle de Milo revit, non plus entiĂšre; Mais, si ce nâĂ©tait faitâŠ, de jalouse colĂšre Les bras lui tomberaient encore :
A te voir marcher dans ta grĂące souveraine, impeccable de corps sous tes brocarts de reine, Parisienne aux cheveux d'or!
Sur le rĂ©seau d'azur de tes fins poignets roses De mes lĂšvres jâĂ©cris mille bien douces choses Et signe dâun baiser: c'est court!
PrĂ©feres-tu mon sang ? ou pour peu quâil tâamuse. Si tu voulais mon cĆur : parle, c'est toi sa Muse; Au gui lâan neuf: câest toi lâamour.
1er janvier 1889.
#L'Art et la mode#19th century#1880s#1888#on this day#December 29#periodical#fashion#fashion plate#art plate#poetry#bibliothĂšque nationale de france#dress
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La cantine
Dieu que j'ai aimé la cantine.
Les nourritures roboratives des cantines nous enseignent que nous faisons peu les difficiles quand nous avons faim, et que nous faisons les ingrats une fois rassasiĂ©s. Et au souvenir de la fĂȘte que c'Ă©tait, enfant, les jours de cordon bleu, de steak hachĂ©, de bourguignon et de petit salĂ©, nous regrettons cette douce prise en charge. La cantine Ă©tait l'un des trĂ©sors d'une routine qui semblait devoir durer toujours pour des enfants heureux Ă la seule odeur de la sauce brune, dans le vacarme du couloir de la file d'attente. Un esprit rassurant habitait les lieux hospitaliers de notre enfance. Le carrelage du sol, la glissiĂšre des plateaux-repas, la fumĂ©e des chauffe-plats, la foule nombreuse, l'institution d'un jour des frites, formaient un monde comprĂ©hensif et chaleureux.
J'allais deux fois, trois fois, chercher du supplĂ©ment de cordon bleu, de yaourt Ă l'ananas, et des tranches de baguette "bien cuite", au point de finir seul Ă table, longtemps aprĂšs le dĂ©part des camarades partis jouer au football. La paix revenue dans la grande salle posait la respiration. L'avenir serait meilleur. Nous portions des Nike Air et disions des gros mots, mais c'Ă©tait temporaire. Tintement des couverts en arriĂšre-plan plan. Grondement tranquille de quelque soufflerie, bruit apaisant. Je restais longtemps aprĂšs la fin de ces services, parfois jusqu'Ă la sonnerie de fin de rĂ©crĂ©ation tandis que les "dames de la cantine" s'Ă©tonnaient de trouver encore un Ă©lĂšve Ă table. Je n'irai pas jouer, le monde est dĂ©cevant, il fait meilleur dans la proximitĂ© des grandes personnes qui sont lĂ pour nous. J'allais encore chercher du supplĂ©ment. Tout revenait dans l'ordre. C'Ă©tait la vie stable et la paix, peut-ĂȘtre un aperçu d'Ă©ternitĂ© bienheureuse. Tintement de couverts encore. Travailleurs en cuisine qui s'apostrophent en rangeant des chariots. La paix loin des engrenages du monde. Mes grands-parents, Ă Paris, lĂ -bas, l'ordre de leur maison. Un refuge possible. La France tenue par des gens de France, souriants et ĂągĂ©s. Une organisation du monde qui venait de loin et se donnait Ă moi pourtant, Ă demi-Ă©tranger, un ordre qui me donnait hospitalitĂ©, amour, avenir. J'ai immensĂ©ment aimĂ© ces fins des services de cantine. Moments d'alternative inventĂ©s, gagnĂ©s sur l'engrenage obligatoire, moments de rĂ©collection, de rĂ©capitulation, moments de retrouvailles avec le temps lent de mon pays. La cour de rĂ©crĂ© c'Ă©tait les jeux stupides, les prochaines boums, les tiraillements sans rĂ©pit de la rĂ©putation et de la sentimentalitĂ© qui vous hameçonnent et vous enlĂšvent Ă vous mĂȘme. Rester longtemps Ă la cantine c'Ă©tait ĂȘtre rendu Ă soi-mĂȘme dans la joie contenue, sans commentaire, sans Ă©clat, dans un cadre, un tout petit cadre, qui dĂ©limite une paix totale.
Beaucoup plus tard je n'ai plus aimĂ© que la vie variĂ©e, les "excitantes opportunitĂ©s" pour "profiter de la vie" et "s'Ă©clater comme des malades" dans des nouveautĂ©s Ă©tonnantes et toujours renouvellĂ©es, qui vous mettent la tĂȘte Ă l'envers. Il fallait pour que la vie ait du sel, pour repousser le dĂ©mon qui vous accuse d'ĂȘtre un ratĂ©, accumuler en une seule journĂ©e un maximum de musts, que ces musts deviennent un flux continu, abondant, et sĂ»r, qui vous remplisse et vous fasse passer par-dessus la vie.
Il fallait en une seule journĂ©e avoir gagnĂ© de l'argent, avoir Ă©tĂ© beau, avoir Ă©tĂ© bien habillĂ©, avoir affermi son avenir professionnel, avoir serrĂ© une petite et s'en ĂȘtre rĂ©servĂ© une autre pour plus tard, avoir Ă©tĂ© drĂŽle, avoir Ă©tĂ© profond, avoir Ă©tĂ© guerrier de la survie immĂ©diate dans un tĂȘte Ă tĂȘte avec l'existence tout en ayant acceptĂ© avec dĂ©gagement un salaire, l'amour d'une famille, d'un pays, d'un Dieu charitable, et goĂ»tĂ© cette stabilitĂ©.
Il fallait en une seule heure avoir captĂ© au rĂ©veil une musique nouvelle et opportune qui avait Ă©teint vos doutes et façonnĂ© votre optimum d'Ă©tat d'esprit, puis s'ĂȘtre douchĂ© en Ă©trennant un fabuleux gel douche dĂ©robĂ© la veille dans un magasin de luxe, puis avoir passĂ© vos vĂȘtements favoris tout en honorant simultanĂ©ment un rendez-vous tĂ©lĂ©phonique pris de longue date qui allait permettre un dĂ©blocage administratif auquel on ne croyait plus, ĂȘtre sorti et avoir marchĂ© face au soleil tout juste revenu et croisĂ© au moins un regard de jolie passante, ĂȘtre montĂ© dans le mĂ©tro Ă la seconde exacte oĂč les portes fermaient, et s'en ĂȘtre allĂ© ainsi vers la foule des opportunitĂ©s de l'heure suivante, de la journĂ©e suivante, des annĂ©es suivantes sous l'Ă©gide d'une prĂ©sence protectrice et bienveillante.
Au retour de certaines nuits passĂ©es dehors Ă courir les filles je prenais conscience dans des moments d'illumination profonde, que jouir vraiment de la vie supposait de se contenir totalement et tout le temps. J'allais ces nuits lĂ au bout de moi-mĂȘme, au bout de mes finances, au bout de mon temps libre, au bout de ma peur de l'autre pour oser l'aborder et rĂ©ussir Ă la convaincre, j'osais aller chercher cette vie qui ne venait pas Ă moi et j'assumais de la prendre avec mĂ©thode et passion exactement comme on prend une fille. Je touchais au centre de l'existence, Ă ce pourquoi j'avais jusqu'ici vĂ©cu sans avoir osĂ© y aller. AussitĂŽt, tout devenait paradoxe. Les hommes etaient malheureux disaient Pascal, de ne pouvoir rester en leur chambre ? Eh bien tout le malheur des hommes je le voyais Ă©tait de vouloir jouir de la vie, de vouloir s'abĂźmer, s'Ă©vader, s'oublier. La musculation, l'Ă©ducation, le gain d'argent, les belles possessions matĂ©rielles, les appuis mondains Ă©taient des potentiels laborieusement amassĂ©s, mais ils Ă©taient comme de l'huile dans des outres fatiguĂ©es de les contenir et qui ne demandaient qu'Ă crever, qu'Ă se rĂ©pandre, qu'Ă purger leur trop-plein. Il faudrait ne jamais vouloir se soulager et ne jamais se fatiguer d'amasser, toute la vraie joie est lĂ . Ă quels tourments nous condamnent, je le voyais, la recherche hĂ©doniste ! Ă cet homme moderne et maudit qui se gaspille lui-mĂȘme parce qu'il est seul, habitĂ© d'un monde de dĂ©sir et assiĂ©gĂ© d'un monde d'impossibilitĂ©s. Telle est la cruelle condition des hommes, voilĂ ce que je comprenais. En-dedans, un besoin total, et en-dehors, une indiffĂ©rence totale. J'ai beaucoup aimĂ© les auteurs qui ont su exprimer ce moment prĂ©cis, ce lieu prĂ©cis de l'existence, ce vrai tĂȘte Ă tĂȘte avec les choses, un face Ă face musculaire, intellectuel, instinctif, spirituel, financier, judiciaire, total, qui engage avec frayeur et ivresse la totalitĂ© de votre ĂȘtre qui veut de toutes ses forces faire naĂźtre un nouveau monde. Herman Hesse, Dostoievski, London, Morand, CĂ©line. Et plus prĂšs de nous, Soral et Cysia Zykie. Alors vous sentez que vous n'ĂȘtes pas de taille, que vous ĂȘtes faible et fanfaron ou tout du moins, que vous pourrez tenir mais temporairement, qu'il faudra trĂšs vite un support, "un lieu oĂč reposer sa tĂȘte", une grĂące, une aide externe, une rĂ©ponse Ă vos tentatives comme une bouĂ©e de sauvetage Ă un naufragĂ© haletant qui s'Ă©puise et s'affole.
J'ai longtemps fait le fou pour sortir de la condition de perdant immobile que nous promettait cette affreuse ville de Grenoble, entre les gauchistes, les fonctionnaires, les Ă©tudiants ESC et les racailles. Il a fallu, du moins le croyais-je, il a fallu trouver une bande de fous et de dĂ©classĂ©s comme moi, et lancer la machine. Resquiller, voler, cambrioler, siphonner, camper, cogner, attraper, crier, saccager, courir pour sa vie. Plus tard ce fut le Vietnam, Hongkong, Paris, tenter sa chance, forcer la chance. L'argent, la bourgeoisie retrouvĂ©e, re-perdue, regagnĂ©e, les vestes en cuir et les baskets Dior Homme ancien modĂšle, les filles qui ont la mĂšche sur le front et le collant qui s'arrĂȘte Ă la cheville. Planer au-dessus du marĂ©cage oĂč s'enfonce le monde impie des indiffĂ©rents, et parfois se dĂ©battre dedans, avec horreur, larmes et rage.
Eh bien je préférais la cantine.
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The soft skin (La peau douce)
Directed by François Truffaut
France, Portugal, 1964
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US Vogue September 1, 1952
Christian Dior Haute Couture Fall/Winter 1952-53 Collection. "Ligne profilée". Margaret Phillips wears a black wool town dress. Fnely fitted, in the softest wool, a double-breasted dress, the crew neck of which is tied with white pique. Over the dress goes a small box jacket; on the head, an intricate fold of white felt.
Christian Dior Collection Haute Couture Automne/Hiver 1952-53. "ligne ProfilĂ©e". Margaret Phillips porte une robe de ville en laine noire. Finement moulĂ©e, dans la laine la plus douce, une robe Ă double boutonnage, dont le col ras du cou est nouĂ© de piquĂ© blanc. Par-dessus la robe va une petite veste box; sur la tĂȘte, un pli complexe de feutre blanc.
Photo Frances McLaughlin-Gill vogue archive
#us vogue#september 1952#fashion 50s#fall/winter#automne/hiver#haute couture#christian dior#margaret phillips#frances mclaughlin#vintage vogue#vintage fashion
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MA FRANCE ET MOI
"Câest celle de 1789, une FRANCE qui se lĂšve, celle qui conteste, qui refuse !
La FRANCE qui proteste qui veut savoir, câest la FRANCE joyeuse, curieuse et Ă©rudite, la FRANCE de MoliĂšre qui tant se battit contre lâhypocrisie, celle de La Fontaine celle de Stendhal, de Balzac, celle de JaurĂšs, celle de Victor Hugo et de Jules VallĂšs !
La FRANCE de lâinvention, des chercheurs, celle de Pasteur, celle de Denis Papin et de Pierre et Marie Curie !
La FRANCE des Lettres, celle de Chateaubriand, de Montaigne, la FRANCE de la PoĂ©sie, celle de Musset, dâEluard, de Baudelaire, de Verlaine et celle dâ AimĂ© CĂ©saire !
La FRANCE qui combat tous les totalitarismes, tous les racismes, tous les intĂ©grismes, lâobscurantisme et tout manichĂ©isme !
La FRANCE qui aime les Mots, les Mots doux, les Mots dâAmour, et aussi la LibertĂ© de dire des gros Mots !
La FRANCE qui nâen finira jamais de dĂ©tester le mot "SOUMISSION" et de choyer le Mot RĂVOLTE !
Oui ma FRANCE Ă moi câest celle des PoĂštes, des Musiciens, celle dâArmstrong, celle de lâAccordĂ©on, celle des Chansons douces, des Chansons graves, des EspiĂšgles, des Humoristiques, des Moqueuses ou celle truffĂ©e de Mots qui font rĂȘver dâun Amour que lâon nâosera jamais dĂ©clarer Ă celle quâon aime.
Ma FRANCE Ă moi câest celle de Picasso, de CĂ©zanne et celle de Soulages, celle dâIngres, celle de Rodin !
La FRANCE des Calembours, des "Bidochons", celle de la Paillardise aussi bien que celle du "Chant des Partisans".
Ma FRANCE câest celle de Daumier, celle de lâ "Assiette au beurre", du "Sapeur Camembert", celle de Chaval, celle de Cabu, de Gottlieb, de SinĂ©, celle du "Canard", de "Fluide Glacial" et de "Charlie", drĂŽles, insolents, LIBRES !
Ma FRANCE, câest aussi celle des dictĂ©es de Pivot celle de Klarsfeld et celle de LĂ©opold Sedar Senghor, la FRANCE des "Enfants du Paradis" et des "Enfants du Veld âhiv", celle de la Mode libre, celle de la Danse, des flirts et des CĂąlins, celle de la Musique douce et des Rocks dĂ©jantĂ©s, celle de la Gourmandise !
Ma France Ă moi câest une FRANCE capable de renvoyer dos Ă dos la Bible et le Coran sâil lui prend lâenvie dâĂȘtre AthĂ©e !
Eh oui ! Ma FRANCE est une FRANCE LIBRE, FRATERNELLE et Ă©ternellement INSOUMISE aux dictats de la "bien-pensance" !
Il nâest quâen respectant toutes ces diversitĂ©s quâon arrive un jour Ă vivre la "DOUCE FRANCE" de Trenet.
Celle qui mâa toujours plu et que notre jeunesse lucide et combative fera perdurer par-delĂ les obscurantismes.
Figure rĂ©volutionnaire, emblĂ©matique, durant "La Commune", le "PĂšre DuchĂȘne" Ă©crivait au frontispice du Journal quâil publiait en 1793 ,
"LA RĂPUBLIQUE OU LA MORT !"
Son journal coûtait 1 sou⊠mais on en avait pour son argent !"
Pierre Perret
C'Ă©tait aussi ma FRANCE...
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Transfemme des plus féminine veut sympathiser dans le sud
Salut ! Je ne fais que rĂ©pĂ©ter ce qu'on dit de moi. Que je suis hyper fĂ©minine et douce. J'avoue ĂȘtre folle des talons aiguilles, des jupes ajustĂ©es et ce genre de truc. J'habite Montauban, mais je me dĂ©place un peu partout dans le sud de la France pour mon boulot de photographe. Je veux avant tout dialoguer avec des hommes ouverts d'esprit. Je suis cĂ©libataire aprĂšs tout !
Discuter avec Emmanuelle
#trans#rencontre#transgender#celibataires#trans woman#transisbeautiful#france#amour#crossdresser#travestie#montauban
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The Sun and the Moon, Livre de la Vigne nostre Seigneur, France, 1450-1470 (Bodleian Library, MS. Douce 134, fol. 49v)Â
[via @discardingimages]
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souls of the slothful being devoured by dragons and eagles in hell
in the "livre de la vigne nostre seigneur", france, c. 1450â1470
source: Oxford, Bodleian Library, MS. Douce 134, fol. 84v
#beautiful slothful boy with red lipstick you deserved better#15th century#medieval art#hell#dragons#livre de la vigne nostre seigneur#souls#violence
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SĂ©rie La Douce France, par Satellite June
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. BibliothÚque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chĂšre amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?⊠Voilà bien une idée de femme!⊠Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût⊠et les autres. Ces derniÚres ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment oĂč nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goĂ»t qui portent encore les choses Ă la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est Ă ce moment-lĂ qu'une mode est dĂ©modĂ©e. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractĂ©ristique est d'etre au contraire en perpĂ©tuelle Ă©volution. Une Ă©volution! que dis-je? un vertige⊠On n'a pas le temps s'y reconnaitre⊠Il semble que toutes les les pays soient conviĂ©s Ă nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelĂ©s. Et c'est la Perse et bientĂŽt l'Inde, et c'est la GrĂšce, la GrĂšce de M. Pierre LoĂŒys, la GrĂšce Ă demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis aprĂšs, on remontera dans le moyen Ăąge. On pillera les musĂ©es. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutĂŽt achevĂ© sa petite diatribe, si vaine ! que dĂ©jĂ on pourrait lui rĂ©pondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une trĂšs vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mĂȘmes⊠» Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez Ă©difiĂ©e. La mode actuelle, qui a le dĂ©savantage de coĂ»ter trĂšs cher Ă celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supĂ©rioritĂ© d'Ă©chapper au ridicule. Elle court si vite!âŠ
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne gĂ©nĂ©rale, je ne sais pas moi, la synthĂšseâŠ
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitiĂ© des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidĂšles Ă des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent trĂšs dans le train! La note serait-elle donnĂ©e par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulĂ© en cornet, le lourd ou l'aĂ©rien?⊠Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractĂ©rise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vĂȘtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vĂȘtement, cette attitude molle, hanchĂ©e, abandonnĂ©e, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup portĂ© cette annĂ©e. » Quelle impropriĂ©tĂ© fĂącheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez Ă ravir et vous tenez de mĂȘme, qu'il n'a jamais Ă©tĂ© question de ventre, mais qu'il a Ă©tĂ© Ă©normĂ©ment question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgrĂ© de retentissantes interdictions ecclĂ©siastiques, n'est pas prĂšs de disparaĂźtre, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevĂ©, portant tout le poids du corps sur un seul cĂŽtĂ©, ce qui donne aussitĂŽt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et dĂ©jetĂ©e.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fiÚres, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a mĂȘme lĂ un profond mystĂšre. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiquĂ© de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fĂ©es, de magiciennes ou de dĂ©esses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage Ă des culottes baleinĂ©es qu'Ă des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prĂ©texte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si dĂ©licieuse? Comment arrive-t-elle Ă donner l'impression de n'ĂȘtre, en dessous, couverte que de linons impondĂ©rables et de souples batistes? Ănigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'hĂ©roĂŻsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus Ă©tonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il Ă©tait dĂ©vorĂ© par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dĂ© remuer. Mais la femme Ă la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste Ă droite et Ă gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingĂ©nieux et terrible lui froisse les cĂŽtes, lui comprime le ventre, lui lacĂšre les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrĂ©e, elle s'avance, dĂ©sarticulĂ©e et engageante, suivant toutes les rĂšgles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
â
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?⊠That's a woman's idea!⊠As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste⊠and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. Thatâs when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness⊠We don't have time to relate⊠It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre LoĂŒys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: âBut, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnightâŠ" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!âŠ
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesisâŠ
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?⊠Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: âThe stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
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Les délices de Capoue...
Il y a quelques jours Ă peine, je concluais mon ''Ă©ditorial'' par cette remarque un peu acide que ''ce qui va --et doit, si rien n'est tentĂ©-- nous tomber dessus, c'est la victoire du Laid sur le Beau, du Mauvais sur le Bon, du Mal sur le Bien et du Faux sur le Vrai. Et Ă ce jour, hĂ©las... nous sommes bien mal partis ! '' Mais j'ai dĂ» me fourrer un doigt dans lâĆil, ''quelque part'' : en cet Ă©tĂ© de tous les dangers oĂč, comme le dit un titre de Nicolas Baverez, '' Nous dansons sur un volcan'', je ne croise que des gens heureux ou -Ă tout le moins- contents. La mode, en 2024, est au vacancier heu-reux
Oubliées, les ''rabias'' contre Macron et les gros mensonges post-élections européennes... Envolées les craintes pourtant toutes justifiées sur l'immigration et la sécurité... Balayés, les bobards énormes et les contes de sorciÚres qui ont été déversés sur nous lors du second tour des pseudo-législatives... Nettoyées, les peurs de la décennie précédente sur la terre et le climat ou la fonte de tas de choses un peu partout, sur le tri dans dans la poubelle, la peur de la Gauche pour les sages, la peur de la Droite pour les myopes et la peur du centre pour les décentrés et les con-centrés... En six mots comme en mille : ''Dormez, braves gens, tout va bien''...
Il a suffi que les jeux olympiques se dĂ©roulent normalement, comme il Ă©tait prĂ©visible qu'ils se dĂ©roulent : sans les drames planĂ©taires annoncĂ©s Ă grand renfort de fake-news et de budgets de ''Comm''. L'Ă©norme prĂ©paration psychologique destinĂ©e Ă nous faire croire que tout ce que la terre porte de djihadistes-candidats-au-suicide Ă©tait dans les starting blocks (de maniĂšre Ă faire passer le prĂ©visible ''il ne se passe rien'' comme une immense victoire du macronisme et du darmananisme, unis, comme toujours, dans l'endormissement des cerveaux, la manipulation des foules et le viol des intelligences), a portĂ© ses fruits : la Nation s'est endormie dans la douceur de l'Ă©tĂ©. Tout peuple, depuis toujours et Ă jamais, aspire Ă la quiĂ©tude, au bien-ĂȘtre, Ă la douceur de vivre...
Le pouvoir peut ĂȘtre content : au moment oĂč il a temporairement arrĂȘtĂ© de nous faire paniquer en ne parlant presque plus de Poutine dans ses termes ''con-venus'', oĂč il admet que Kamala Harris serait un choix infiniment plus dĂ©vastateur que le trĂšs-dĂ©testĂ©-en-France ''homme Ă l'oreille coupĂ©e'', et oĂč le silence des medias ''Main stream'', toujoursaux ordres, nous assourdit... les braves gens peuvent croire que, Ă force de ne plus parler des vrais problĂšmes, ils auraient disparu comme par enchantement : nombre de français commence Ă croire que ni l'immigration, ni la violence urbaine, ni la drogue (etc...) ne peuvent avoir de corrĂ©lation entre elles et d'influence sur eux... et que, finalement, les vacances, c'est bien agrĂ©able (ce sur quoi je suis d'accord avec eux !)
Il n'empĂȘche... Au fur et Ă mesure que l'Europe âqui commence enfin Ă comprendre qu'elle n'a rien Ă faire dans cet ''indĂ©merdable merdier'' (Pardon. Si vous avez un meilleur mot, je suis preneur !)-- fait la danse du ventre pour se dĂ©gager du conflit russo-ukrainien, en douce, pour ne pas qu'il soit connu que les livraisons des armes promises sont asymptotes Ă zĂ©ro et que ZĂ©lensky se prĂ©pare Ă se jeter dans une guerilla oĂč le petit taon va piquer le gros ours ici et lĂ ... au fur et Ă mesure que l'Iran, devant l'entĂȘtement d'IsraĂ«l Ă ne pas Ă©couter les sirĂšnes onusiennes et les conseils de modĂ©ration donnĂ©s par ceux qui veulent sa fin, va finir par ouvrir un front Hezbollah au nord⊠nous nous rapprochons Ă pas feutrĂ©s de vraies guerres... pendant que, la date fatidique approchant, une intervention musclĂ©e chinoise devient de plus en plus prĂ©visible dans le dĂ©troit de Formose. ''Tout va bien...'', qu'ils nous rĂ©pĂštent !
Mais n'ayez aucune crainte, amis lecteurs : pendant que le monde hĂ©site entre effondrement, Ă©croulement et dĂ©gringolade, Macron et son extraordinaire aptitude Ă procrastiner veillent sur vous. Nous ne sommes pas prĂšs d'avoir un gouvernement (et, Ă en juger par l'expĂ©rience de nos amis belges, ce serait plutĂŽt la seule vraie bonne nouvelle du moment !), la France est divisĂ©e comme rarement (j'ai vĂ©cu, contrairement Ă ceux qui en parlent trop souvent, la rivalitĂ© PĂ©tain-De Gaulle), et le monde a, littĂ©ralement perdu la tĂȘte. Les anciennes ''racines''(qui permettaient de s'accrocher en attendant la fin de l'ouragan) ont disparu, sont ridiculisĂ©es et plus que mollement dĂ©fendues, mĂȘme par ceux qui se souviennent encore de leur ''avoir existĂ©'', et qui savent encore que lĂ seulement se cache, honteusement, la seule et ultime possibilitĂ© d'Ă©viter l'effilochage en cours.
Comme les lecteurs habituels de ce Blog s'en souviennent peut-ĂȘtre, j'ai pas mal ''crapahutĂ©'' cet Ă©tĂ©, d'est en ouest et du nord au sud de la France, et j'ai pu vĂ©rifier la volontĂ© (couronnĂ©e de succĂšs) de nos concitoyens pour le bonheur... Les cĂŽtes semblent s'enfoncer sous le poids des foules de touristes, les montagnes sont usĂ©es par les chaussures de hordes de vacanciers, les rĂ©sidences secondaires ont fait le plein âdans la crainte, sans doute que la connerie militante des mĂ©lenchoniens ne les rĂ©quisitionnent comme le recommande leur stupide et surtout mortifĂšre ''programme''... C'est Ă peine, disent certains commerçants, s'ils dĂ©pensent peut-ĂȘtre un peu moins. Mais regardez ces vacanciers : sincĂšrement, combien en avez-vous entendu qui arrĂȘtaient de lĂ©chouiller leur cornet ''king size'' pour Ă©voquer la politique, sous quelque forme que ce soit, intĂ©rieure, extĂ©rieure, mondiale ? Je vais vous Ă©conomiser la fatigue âmĂȘme lĂ©gĂšre-- de rechercher : la rĂ©ponse est : zĂ©ro, sauf exception !
''Les peuples heureux n'ont pas d'histoire'', dit le proverbe... Alors que je n'ai jamais Ă©tĂ© d'accord avec cette affirmation, je commence Ă me rallier Ă ce qu'elle sous-entend : Ă force de ne plus avoir d'histoire au prĂ©sent et de rĂ©Ă©crire sans cesse des mensonges progressistes sur son passĂ©, le peuple français est bel et bien en train de sortir de l'Histoire. Et le plus fort, c'est qu'il semble en ĂȘtre heureux... Le rĂ©veil âs'il peut encore avoir lieu-- sera terrible, je le crains... Mais en attendant, nous voici revenus en l'an 215 avant JC, au temps des guerres puniques : l'Ă©tĂ© 2024 aura ressemblĂ© Ă s'y mĂ©prendre aux dĂ©lices de Capoue, qui ont sonnĂ© la fin de la civilisation carthaginoise...
H-Cl.
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Les artistes soutiennent le nouveau front populaire
Jonas 2024 #24 - affiche pour le nouveau front populaire -
linogravure 15x21 - impression en deux couleurs sur papier Unica Fabriano 250 grs - encre aqua linoprint de Schmincke - impression sur presse taille douce Reig -140 A
premier tirage de ce visuel "Unité ouvriers paysans " réalisé en 2021 à partir d'une affiche de "mai 68 - réalisé par des étudiants des beaux arts de Paris" -> -> -> https://patric-jonas.tumblr.com/post/653729580870483968/semaine-23-affiches-politiques-01-france
ce nouveau visuel reprend la célÚbre plante/outil et bien sûr avec un slogant d'actualité - FRONT POPU 2024 -
réalisation Jonas - 06 -2024
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Voici 36 raisons de faire des affiches pour le Front Populaire 24.
en savoir + sur le projet participatif 24x36 - voir le site 24x36.art -> -> -> https://24x36.art/index.html?success=1
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contacts et renseignements : [email protected] Â
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#Jonas#2024#résister#projet artistique#linogravure#linoprint#impression#nouveau front populaire#NFP 2024#NFP#mai 68- juin 24#ingraving#rouge#vert#rouge et vert#24x36#24x36.art
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Le soleil commençait Ă se coucher sur les toits de Rome, plongeant la ville dans une lueur dorĂ©e qui semblait presque irrĂ©elle. T/P, une Ă©tudiante Ă©trangĂšre fraĂźchement arrivĂ©e en Italie pour un Ă©change universitaire, se dirigeait vers le cafĂ© oĂč elle devait retrouver ses nouveaux amis. Depuis son arrivĂ©e, elle n'avait pas encore eu l'occasion de rencontrer Brando, le fameux Brando dont tout le monde parlait avec autant de fascination que de mĂ©pris.
En entrant dans le café, elle le vit immédiatement. Brando, adossé nonchalamment au bar, un sourire arrogant aux lÚvres, discutait avec une bande de garçons tout aussi charismatiques que lui. Ses yeux brillaient d'une lueur malicieuse lorsqu'il la remarqua. Il n'avait pas besoin de dire un mot pour que toute l'attention de la piÚce soit dirigée vers lui, comme s'il était le centre de l'univers.
T/P s'approcha, se sentant étrangement attirée par cet aura magnétique, bien qu'elle ait entendu parler de ses maniÚres de charo et de son attitude de connard. Elle s'assit à une table non loin du bar, essayant de ne pas trop attirer l'attention.
"Tu dois ĂȘtre la nouvelle," lança Brando en s'approchant, ses yeux scrutant chaque dĂ©tail de son visage. "T/P, c'est ça?"
Elle hocha la tĂȘte, tentant de masquer son trouble sous un sourire poli. "C'est bien ça."
Il s'assit sans invitation, son sourire se faisant plus provocateur. "Alors, comment trouves-tu Rome? As-tu déjà succombé à son charme?"
"Rome est magnifique," répondit-elle, essayant de ne pas se laisser déstabiliser par son regard perçant. "Mais je pense qu'il y a encore beaucoup à découvrir."
"Ah, il y a tant de choses Ă dĂ©couvrir ici, en effet," murmura-t-il en se penchant lĂ©gĂšrement vers elle, rĂ©duisant la distance entre eux. "Et je serais ravi de te les montrer... si tu es prĂȘte Ă suivre le rythme."
Sa voix douce et sĂ©ductrice avait un effet presque hypnotique, mais T/P savait qu'elle devait rester sur ses gardes. "Merci pour la proposition, mais je pense que je prĂ©fĂšre explorer par moi-mĂȘme," rĂ©pliqua-t-elle avec un sourire dĂ©fiant.
Brando éclata de rire, un rire franc et moqueur. "Tu as du cran, j'aime ça. Mais fais attention, Rome a une maniÚre de te séduire avant de te dévorer."
"Je suis capable de me défendre," rétorqua-t-elle, refusant de se laisser intimider.
"Je n'en doute pas," dit-il en se levant. "Mais parfois, il vaut mieux savoir Ă qui se fier. On se reverra, T/P." Il s'Ă©loigna, laissant derriĂšre lui un parfum de provocation et de danger.
Les jours suivants, T/P croisa souvent Brando, toujours avec ce mĂȘme sourire arrogant et cette attitude provocante. Chaque rencontre Ă©tait un jeu de tensions et de dĂ©fis. Brando aimait la pousser dans ses retranchements, et elle refusait obstinĂ©ment de lui cĂ©der du terrain.
Un soir, alors qu'elle se promenait seule sur les bords du Tibre, Brando apparut soudain à ses cÎtés. "Tu es toujours aussi indépendante, hein?" dit-il en lui tendant une rose rouge, symbole à la fois de passion et de danger.
"Je n'ai pas besoin d'un guide," répliqua-t-elle en prenant la rose avec un sourire.
"Non, mais peut-ĂȘtre d'un compagnon de jeu," rĂ©torqua-t-il en la fixant intensĂ©ment.
Leurs regards se croisĂšrent, et T/P sentit une vague de chaleur envahir son corps. Peut-ĂȘtre qu'au fond, elle n'Ă©tait pas totalement insensible Ă son charme toxique. Peut-ĂȘtre que ce jeu dangereux Ă©tait exactement ce dont elle avait besoin pour se sentir vivante.
"Tu penses vraiment pouvoir me suivre?" murmura-t-elle, un sourire défiant sur les lÚvres.
Brando éclata de rire. "Oh, T/P, je pense que c'est toi qui devrais te préparer à suivre le rythme."
Et c'est ainsi que leur danse de provocation et de tension continua, chaque jour un peu plus intense, un peu plus dangereuse, comme une flamme qui refuse de s'Ă©teindre.
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