#la canopée
Explore tagged Tumblr posts
Text
#beauty box#blissim#Laura travelbook#mai#may#art#illustration#cosmetics#douceur de mai#rituals#Yolaine#unboxing#haul#packaging#design#romantic#French#la canopée#beauté#cosmétiques#printemps#spring#subscription box#monthly
3 notes
·
View notes
Text
Le silence
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 4 août
Thème : Puzzle/sous la canopée
. .
Une nouvelle pièce est tirée de la boîte du puzzle. Louis l’examine soigneusement avant de la rapprocher de l’image. Ce puzzle est difficile. Rien ne ressemble plus à une feuille d’arbre qu’une autre feuille d’arbre, et là, sous la canopée, ce ne sont pas les feuilles qui manquent.
Les animaux sont déjà faits. Singe, jaguar, anaconda, tout ça c’est assez facile à repérer et à assembler. Les fleurs, aussi, sont presque toutes déjà placées, ou au moins installée environ à la bonne distance des bords. Les bords sont bien sûr déjà finis, c’est la première chose à faire et Louis s’y applique consciencieusement, à chaque fois qu’il ouvre une nouvelle boite.
Il aime les puzzles. Il a toujours aimé ça. Ça empêche de penser.
Louis est installé sous la table – privilège des enfants, en tout cas ceux qui sont encore dans le groupe des petits. Il aimerait bien que la nappe des jours de fête soit installée. Ça ferait comme une cabane de tissu. Il aime bien les cabanes. Il se sent protégé dedans. A l’abri.
Au-dehors, la pluie tambourine contre la vitre, furieuse.
Au-dedans, les éclats de voix toutes aussi furieuses, mais différentes. Feutrées. Les voix de parents qui ne veulent pas que les enfants entendent les disputes.
Là-haut, Lisa est dans sa chambre, écouteurs sur les oreilles, la musique à fond. Elle a passé l’âge de jouer sous la table. De toute façon, Louis ne comptait pas vraiment sur elle. Quand les cris démarrent, c’est chacun pour soi. Chacun sa cachette. Son évasion. Sa technique pour ramener le silence.
Louis se concentre sur ses feuilles. Son puzzle est bien plus dur que ceux recommandés à son âge, mais il s’applique. Et Papa et Maman sont si fiers de lui, après. Ils s’en vantent auprès des autres adultes, la félicitation suprême. Louis qui est si intelligent. Louis qui est si sage. Ah, on a bien du souci avec Lisa, c’est l’âge, c’est la crise d’adolescence, mais Louis est un enfant modèle. Un amour. Un ange.
Louis s’applique. Plus c’est dur, mieux c’est. Il y est presque, dans la jungle. La canopée s’épaissit, feuille après feuille, liane après liane. Les fleurs qui voguaient encore sans amarres trouvent leur place peu à peu dans cette luxuriance verte. C’est plutôt joli.
Un claquement sec dans la cuisine. Le bruit d’une gifle. Louis sursaute comme si c’était un coup de tonnerre. Il regarde un peu, sans les voir, les pièces qui restent devant lui. Elles deviennent floues. Les larmes qui montent. Une porte qui claque. Le moteur de la voiture qui s’éloigne. Des sanglots dans la cuisine.
Il se concentre.
On ne montre pas aux adultes qu’on sait. Ça leur fait de la peine. Il n’y a rien dans la cuisine. Il ne s’est rien passé. Louis essuie ses yeux. Il finit son puzzle. Les feuilles. Les arbres. La canopée. En la regardant assez fort, elle pourrait l’engloutir – offrir un abri plus puissant encore que la table avec sa nappe des jours de fête, un refuge où personne ne pourrait venir le chercher. Il vivrait au milieu des fleurs, des singes et des jaguars.
La pluie tambourine à la fenêtre, de moins en moins fort. Le silence retombe sur la maison.
.
.
#30jourspourécrire#30 jours pour écrire#4 août#puzzle#sous la canopée#histoire ancrée dans le réel encore une fois#sujet sensible pour ma part#part#j’ai essayé de ne pas diaboliser les adultes#je voulais surtout montrer que chacun essaye de bien faire avec sa propre logique#essaye de supporter la situation#et pourquoi ça ne fait que renforcer l’isolement de chaque personnage#en même temps qu’est-ce qu’ils peuvent faire d’autre ?#bref#ça ira mieux plus tard#promesse de l’auteur#french#french writer#écriture
12 notes
·
View notes
Text
Je l'ai croisé quand j'avais 5 ans. Lui était à peine plus jeune. On se baladait en forêt avec mon père. Je pouvais marcher longtemps pour mon âge, je me souviens que mon père était fier de moi pour ça.
On prenait toujours le même chemin. Un chemin large, assez fréquenté. Puis, on bifurquait vers un chemin secondaire. On traversait dans le sous-bois, on rejoignait un autre chemin qui nous faisait sortir de la forêt et nous menait jusqu'à la maison.
Il était là, sur le bord du chemin secondaire, et personne autour de lui. Moi, ça ne m'a pas étonnée. Des tas d'enfants sont seul·es dans la cour de la maternelle. Ça m'arrive aussi, ça n'est pas choquant. Mais ça a interpellé mon père, il a un peu ralenti, s'est arrêté à sa hauteur : -Tu es tout seul ? -Oui. Il sanglotait. On ne s'en rendait pas compte tant qu'il ne parlait pas. -Tu es venu avec tes parents ? -Oui. Avec ma maman. -Et tu sais où est ta maman ? -Non. -Comment tu t'appelles ? -Jed. -Viens, Jed, on va retrouver ta maman. Tu sais comment elle est habillée ?
Il savait pas. Mon père a pris l'enfant dans un bras, moi dans la main, et on a cherché la maman de Jed comme ça. On a refait tout le chemin principal. Il disait toujours la même chose aux gens qu'on croisait : bonjour, c'est Jed, il cherche sa maman. Si vous la voyez…
Je me souviens distinctement de cette phrase. Les gens répondaient en général d'accord. Je me souviens d'une dame qui ressemblait à ma mamie ou à ma maîtresse, enfin une vieille dame qui a dit oh la laaaa oui, d'accord, merci monsieur !
Je me souviens de cette dame qui sentait fort le parfum. Mais je ne me souviens pas de la maman de Jed. Je me souviens de mon père soulagé qui rentre à la maison avec moi dans les bras (parce que j'étais fatiguée d'avoir beaucoup marché et que c'était déjà l'heure de cuisiner). Je me souviens de la respiration de mon père, il marchait vite et avait quand même porté un enfant pendant un moment. Donc on l'avait trouvée, sa maman, mais je ne me souviens pas du tout de ce moment-là.
Je me souviens par contre de la tête de Jed vue d'en bas, dans les bras de mon père. Les yeux rouges et le nez qui coule jusqu'au menton. Son regard a croisé le mien, et je me suis sentie privilégiée d'être avec mon papa. De ne pas avoir besoin d'avoir peur. J'aurais voulu le soutenir un peu, mais je savais pas comment. Je l'ai juste regardé.
J'ai connu Jed.
8 notes
·
View notes
Text
Histoire improbable de la fantaisie
Et nous vivions heureux dans la canopée
youtube
#signalis#signalis fanart#original post#elster#ariane yeong#signalis spoilers#doodle#Polo & Pan#Youtube
839 notes
·
View notes
Text
Juin 6. La canopée. Parc des Mamelles, Guadeloupe.
#photographers on tumblr#original photography#landscape#zoo#forest#jungle#tropical#lensblr#sony a6000#guadeloupe#french west indies
180 notes
·
View notes
Text
If you’re a fan of dining with breathtaking views and don’t mind a bit of an extra journey, Lambojon Terraces La Canopée is the perfect place for you in Siquijor.
La Canopée Bar and Restaurant is a hidden gem perched atop a mountain, providing diners with unparalleled views of Siquijor’s lush natural landscape and the glistening sea below. Nestled amidst the verdant surroundings, this enchanting eatery offers more than just delicious cuisine—it’s an immersive experience that allows guests to reconnect with nature while indulging in delectable dishes.
Whether you’re sipping on a refreshing cocktail or savoring a sumptuous meal, every moment spent at La Canopée is enriched by the breathtaking scenery that surrounds you. It’s the perfect destination for those seeking both culinary delights and soul-stirring vistas in the heart of Siquijor.
BuCafe or Bukid Cafe is a sustainable mountain side cafe and restaurant overlooking the mountainous area of Siquijor Island stretching to the ocean. It’s about ten minutes away from the closest main road. From the exterior, I could already tell that the cafe is nature-themed as it is evidently made of natural and local materials, predominantly bamboo. The structure reminded me of nipa kiosks, very common to have in a Filipino yard to entertain guests or to have a siesta.
There are shared tables overlooking the views as well as tables a bit far from the edge. If the seats are all occupied on the main floor, you can head downstairs for more seats and tables. The seats on the edge of the lower floor of the cafe requires you to sit on the floor and has a ledge for the legs to rest on.
Once seated, you can enjoy the view of Siquijor. It’s mostly greenery and the sea, but it was really beautiful and relaxing. We went there in the middle of the afternoon, but I think the place would be really beautiful during sunset.
From the islands of Siargao, to Siquijor, Cebu, and Bohol and across Asia, Shaka is probably one of our go to places. I've talked about Shaka in my other previous blogs, and this place really needs no further explanation. The food and drinks are refreshing, healthy, and surprisingly filling. We spent an hour just chilling here, and we had a good nap hearing the sound of the waves.
One consistent thing about Siquijor – the people emanate a positive energy and again were uber friendly.
Baha Ba’r (literally meaning “Flood Bar”) is nestled in the heart of Maite village, 1km south of San Juan town and 8km from Siquijor port. It is a restaurant / bar designed and built to reflect the traditional island wood designs with hints of the commonly seen Spanish influences and stone structures.
Baha Ba’r has a “loungey” informal laid-back atmosphere that welcomes overseas visitors and locals alike. It prides itself on having an extensive tapas style menu that permits you to experience the best flavours of the Philippines and great cocktail drinks menu. It is a wonderfully arranged wooden house with a discrete, chic atmosphere. Food is great!
Rum Bar is a sanctuary in its own right for people who want to disconnect from the frenzy of everyday life. It is well known for being the best place to relax on the beach while enjoying a wide selection of music. The bar prides itself on having a wide range of songs for any mood: whether you are in the mood for relaxing music to accompany you while you admire the sunset or livelier tunes to party until dawn.
We went here because we had a really fun time in Rumbar in Siargao. It did not disappoint.
#travel#photographers on tumblr#original photographers#landscape#food#original photography#iphonography#siquijor
19 notes
·
View notes
Text
C’EST L’ÉTÉ, METTEZ VOUS À LA BEACH CAR
Volkswagen Coccinelle Jolly de 1960
La Beetle Jolly est un one-off produit par Ghia en 1960. Beetle Jolly est un one-off produit par Ghia en 1960. La recette appliquée chez Fiat et Renault est respectée: pas de portes, des tubes chromés de renfort, canopée en tissus et sièges en osier. L’allure de l’ensemble est sympathique. L’avantage est un net gain de performance puisque l’auto ne pèse que 650kgs. Le prototype n’a jamais quitté le groupe Volkswagen depuis…La recette appliquée chez Fiat et Renault est respectée: pas de portes, des tubes chromés de renfort, canopée en tissus et sièges en osier. L’allure de l’ensemble est sympathique. L’avantage est un net gain de performance puisque l’auto ne pèse que 650kgs. Le prototype n’a jamais quitté le groupe Volkswagen depuis…
17 notes
·
View notes
Text
(tw guerre, description de stress post traumatique)
Dans les entrailles des montagnes du Montana, à l’abri des regards, dissimulée sous la canopée infinie, se trouve une ville nommée Arkadia. Se dressant comme un mirage, un paradis troublé pour ceux qui, au bord de l’abîme, ont osé marcher vers la lumière.
Une brume lourde et impénétrable enveloppe la ville, noyant tout dans son épaisseur et protégeant ses habitants des dangers du monde extérieur. Au sein de cette brume se cachent des êtres que l’on ne rencontre que dans les mythes et les épopées : nymphes, satyres, demi-dieux, et autres héros de temps oubliés. Parfois, dans le murmure du vent, on croit entendre les pas lourds des dieux eux-mêmes, venus se reposer loin des cieux agités.
Pour beaucoup, Arkadia est un refuge sacré, mais pour d'autres, la vie y est marquée par des cicatrices profondes. La guerre a pris fin il y a une dizaine d'années, et ceux qui en ont réchappé portent encore le fardeau de leurs souvenirs, aussi lourd qu’une épée rouillée jamais déposée.
Arkadia, c'est l'histoire de réveils nocturnes, hantés par des cauchemars, où l'on peine à retrouver le sommeil. De prières sans réponses, d'appels désespérés perdus dans le silence de divinités indifférentes. De l’effort qu’on fournit pour avancer, non par désir, mais par nécessité. D'adelphes tombés au combat, convaincus d’avoir choisi le bon camp. D'anciens enfants soldats qui ont survécu, mais qui errent maintenant, perdu.e.s, même dix ans plus tard.
Pourtant, il existe des moments, fragiles comme un éclat de lumière sur la surface d’un lac, où tout semble s’apaiser, comme dans un rêve éveillé. Ici, au sein de ces vies écorchées, émerge une communauté unie dans la souffrance. Les histoires résonnent en grec ancien, mais les plaies, elles, sont intemporelles.
Inspirez. Expirez. Vous y arriverez. La guerre est terminée depuis dix ans, tout va bien.
ACHILLES COME DOWN, est un projet inspire par l'univers de Rick Riordan. Le contexte se déroule dix ans après une terrible guerre civile, déchirant le monde mythologique. Au cœur d'une petite ville du Montana, satyres, nymphes et demi-dieux paraissent avoir retrouvé une fragile tranquillité. A mi-chemin entre le city et le fantastique, plus porte sur le worldbuilding et la psychologie des personnages que sur les intrigues et enjeux.
16 notes
·
View notes
Text
Voici les sujets du 1er au 15 août 2023 📚✨ Deux sujets par jour, choisissez celui qui vous inspire le plus pour écrire votre texte.
À vos stylos !
Vivantes / Après la fin du monde
Apprivoiser / Ce que cache un masque
Bleu lagon / Le cheval doré
Puzzle / Sous la canopée
Vibration / Souvenirs d'autres vies
Papillon / Chat GPT
Volutes / Tomber, encore
Monstres / Noir et blanc
Démolition / Coyotes et renards
Humanité / Le musicien fantôme
Voyance / La vie d'un pigeon
Forêt / Sur le devant de la scène
Tourbillons / La lumière sous la porte
Changement / Crieront-ils mon nom ?
Le corps / Six mois dormir
Consignes | Sujets d’écriture des années précédentes | Instagram
53 notes
·
View notes
Text
La Vanille Chamissonis Collector, une espèce de vanille unique, singulière, rare elle pousse dans la forêt tropicale atlantique du Cerrado du Brésil Mata Atlântica sur la côte Est. Charnues et huileuses, avec des notes de fruits mûrs, d’anis, de marasquin, de réglisse très prononcée, de coumarine, de feuille de tabac fraîche, un fond fumé et boisé, avec des notes fruitées en fond. Cette espèce est si rare qu’elle constitue un autre don précieux de la nature et peu d’agriculteurs la repèrent à l’état sauvage ils la cultivent parfois sous la canopée il va sans dire que la production est limitée
Caractéristiques
Chamissonis Vanille Gourmet
Origine : Brésil
Terroir : Forêt Atlantique
Récolte : 2023
Durcissement : cuit à la vapeur et séché
Affinage : >9 mois
Humidité : 55%
6 notes
·
View notes
Text
La Canopée, forum des Halles (Paris 1er) – gouache, novembre 2019. VISIBLE dans l’exposition VILLE, MER, CAMPAGNE, jusqu’au 18 novembre, galerie Arts Factory, 27, rue de Charonne, 75011 Paris, tous les jours sauf le dimanche de 12h30 à 19h30. Et sinon, voici le Forum des Halles 8 ans auparavant.
#2019#canopee#les halles#forum des halles#paris#1er#automne#escalator#smartphone#jeune fille#centre commercial#arbres#gouache#paysage#paysage gouache
21 notes
·
View notes
Text
Dans les bras de ma fée, je suis musicien, chanteur et poète, les couleurs de mon coeur font la fête, dans Ses ruelles, vêtues de lumière...
Dans les bras de ma fée, je suis magicien, danseur sur des airs de musettes, la canopée de mon âme, s'émerveille des courbes de Sa rivière....
Dans les bras de ma fée, je suis roi de la tendresse, prince des baisers, empereur de l'amour, Sa beauté sémillante rayonne dans tout l'univers,
Dans les bras de ma fée, je suis enfant, oiseau, petit ange avec des yeux de géant, pour Sa grâce abyssale et Son étoile sur mes terres .......💞🥀✨
35 notes
·
View notes
Text
Hola todos,
Je viens aux nouvelles suite à ces quelques jours de silence. Au bout de 3 semaines de stagnation, nous avons enfin pu récupérer notre fidèle destrier : le DoudiCuatro ! Après de chaleureux adieux à Gregorio et Patricia nous avons donc pu nous remettre en route vers la Patagonie (le 20 février).
Quelle joie ce fut de pouvoir repartir avec un moteur vrombissant et une voiture remise à neuf. Nous étions subjugués à l'idée d'aller enfin découvrir les paysages dont nous rêvions tant.
Notre première étape devait être le parc Conguillo, malheureusement il n'y avait plus de billets disponibles pour les jours suivants notre départ, le parc ayant une capacité d'accueil limitée.
Gregorio nous a alors conseillé de rejoindre son ami Nolberto, un garde forestier responsable du parc Villarrica, tout aussi sublime que Conguillo et un peu moins connu.
Après un coup de téléphone avec ce dernier, Gregorio nous a confirmé qu'il nous invitait à visiter le parc et, qu'en prime, il disposait d'une cabaña tour en bois à l'orée d'une forêt qu'il nous prêtait généreusement le temps du séjour dans le coin. Nous étions ravis.
Nous nous sommes donc mis en route direction Panguipulli, une petite ville magnifique surplombant un lac et dominée par un énorme volcan encore en activité. C'est à cet endroit que Nolberto nous a gentiment accueilli.
Après quelques victuailles et de belles histoires sur son amour pour la forêt et sa rencontre avec Gregorio, Nolberto nous a amené jusqu'à sa cabaña pour un repos bien mérité !
Le lendemain, avec l'énergie chargée à bloc, nous nous sommes dirigés vers Villarrica. Nous avons été accueillis par les deux collègues de Nolberto qui nous ont présenté les différentes possibilités de visite. Nous avions le choix entre monter jusqu'à un mirador pour observer le volcan de plus près, ou nous rendre jusqu'à un énorme glacier recouvert des cendres du volcan. La météo n'étant pas clémente ce jour-là, nous avons opté pour le glacier, par peur que les nuages couvrent la vue du volcan. Quel bon choix nous avons fait !
Nous avons entamé une randonnée qui a duré 7h aller-retour pour nous rendre jusqu'au glacier.
Celle-ci démarrait dans une forêt incroyable avec des arbres totalement inconnus à nos yeux, qui se hissaient à plusieurs dizaines de mètres. Au milieu de la forêt se trouvait même un arbre millénaire de plus de 1500 ans !
Ceci-dit, ses compagnons boisés, tout aussi grands, n'avaient rien à lui envier.
Le chemin se poursuivait ensuite dans la haute montagne, d'où nous observions avec admiration la canopée de la forêt qui s'éloignait.
12 000 pas et 600m de dénivelé plus tard, nous sommes enfin arrivés au pied du glacier. Ce géant de glace nous a laissé sans voix, tant sa splendeur était incroyable. Nous sommes restés une bonne heure à son pied, méditant et observant ce sublime spectacle.
Nous avons même trouvé un message politique au pied du glacier. Inscrit sur la roche volcanique à l'aide de pierres rougeâtres.
Suite à notre visite du parc nous sommes allés boire quelques piña coladas en récompense dans un bar local, ce qui nous a poussé à une petite journée repos le lendemain.
Hier soir nous avons repris la route en direction du second parc que nous voulions voir : Huilo Huilo.
Nous allons y entrer dès aujourd'hui (le 24 février).
Je vous tiens au courant pour la suite des aventures.
Besitos,
Luna
4 notes
·
View notes
Text
Je vais te dire une chose, ma petite Hannah : le monde se porterait bien mieux si l’on racontait plus d’histoires, justement. L’ennui, c’est que ta maman ne les entend pas pleurer. Qui ? Les histoires ! Elles errent dans le monde comme les akènes du pissenlit charriés par le vent. Elles se cognent à la canopée, brisent leurs petites ailes fragiles, beaucoup se perdent dans le désert ou se noient dans l’océan, sauf si quelqu’un les sauve. Il faut les sauver ! Mais comment ? En laissant les histoires entrer en soi.
Marie Charrel, Les Mangeurs de Nuit
#Marie Charrel#Les Mangeurs de Nuit#livre#book#citation#citation française#littérature#littérature française
8 notes
·
View notes
Text
04. Sous la canopée
Ici j’ai une amie qui est mon soleil, une autre madame qui est mon astre, et j’ai toi qui es ma forêt. Le jour où je t’ai avoué que tu étais vert émeraude pour moi (parce que tu es comme une forêt – tu sens bon, tu me donnes l’ombre, tu m’apaises, tu me perds ; tu fais pousser un néflier en bas de chez moi juste en regardant) j’ai eu l’impression de te déclarer mon amour. Je l’ai fait, d’ailleurs, peu de temps après. Et encore quelques jours plus tard – quand j’ai connu toutes tes odeurs – j’ai ajouté un petit sapin près de ton nom dans mon téléphone.
Pendant plus d’un an (on ne se connaissait pas bien) j’ai cru que tu étais calme : véritablement calme ; j’ai cru que tu étais imperturbable. Je t’ai surestimé pour ça. Maintenant je sais lire sous la canopée de ton visage. A la contraction des mâchoires et à l’ouverture de ta voix, je sens quand tu fais semblant – quand quelque chose au fond (en surface plutôt : tes surfaces sont surexposées, chaque centimètre de ta peau croule sous trop de monde de travail et de répétitions) t’oppresse.
Tu ne me laisses pas encore passer sous la surface de ton visage mais ce n’est pas grave ; tu me plais sous toutes tes frondaisons ; j’attends que tu m’ouvres, j’écoute les grondements, au-dessous.
11 notes
·
View notes
Text
Sous la canopée
Sous la canopée, je m’étends. Pour le calme, rien de tel
L’humus, la mousse accueillent mes os, murmurant
Des histoires que je ne révélerais pas, de bien belles
Sous la canopée, j’inspire. Un bol d’oxygène frais
A l’avaler d’un trait, je soupire
De contentement, et suis refait
Sous la canopée, je rêvasse. Rien ne peut déranger
Les pensées qui filent et trépassent
L’oubli et puis recommencer
Sous la canopée, j’explore. De mes mains et des sens
Les troncs, épines, fougères et spores
Laissent sur la peau leurs graves essences
Sous la canopée, je m’enfuis. Loin de vous, de toute infamie
Je trouve la paix et c’est gratuit
Sous la canopée, je revis
12 notes
·
View notes