#karaba la sorcière
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Watched "Kirikou et la sorcière" again after so long and I can't stop thinking about how the character Karaba.
How this woman became a witch because a poisoned thorn was stabbed into her back against her will, and she's constantly suffering because of it, but it also gives her her powers, and she refuses to ask someone to take it off because of that, she's kind of used to that pain now, it's not as bad as when she was assaulted, she never wants to go through the same pain ever again, she'd rather bully a whole village, letting them believe anything as long as they fear her, she has a total control over them and her sentients and hates it when Kirikou started questioning everything and jeopardize her work, but in the end she's just so relieved to stop hurting that she doesn't care about her powers afterwards and wants to live with him...
Just... wow. Shout out to this wonderful, strong, complex Queen!!
#kirikou et la sorcière#saemi rambles#judt food for thoughts#so many things implied just in her backstory and character arc#karaba la sorcière#karaba the sorceress
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Karaba, Kirikou et la Sorcière
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Karaba la sorcière
#my art#not hellsing#artistic nudity#cw nudity#kirikou and the sorceress#kirikou et la sorcière#west africa#the design is absolutely stunning#y'all need to check out that movie btw#it's absolutely amazing and I'll never shut up about it#i hope i did her justice. I hope the skin isn't too light bc the bg was light gray at first#and I hate color theory#also it deals with SA and gender issues as well as a more metaphorical approach to Africa's plight under colonialism#i love rendering. you put colors that shouldn't be there all over everything
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Mais pourquoi karaba la sorcière est-elle méchante ?
Aquarelle
#painting#watercolor#sketchbook#traditional art#artwork#artists on tumblr#drawing#small artist#art#aquarelle
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Most of the traumatic viewing material from my childhood was TV based, usually things that were meant to be kinda funny but child!me took way too seriously (eg. Round The Twist) or things that were meant to be scary morality tales that my goody-two-shoes ass couldn't actually obey (prime example: "If you don't go to sleep at night when you're told to, a creepy man surrounded by not-butterflies that are actually EYELIDS will come into your room and take your eyelids so you can never sleep again" WELL THAT REALLY HELPS MY ANXIETY-RELATED INSOMNIA, THANKS).
But for films, one thing that stands out to me is Kirikou et la Sorcière, which my French class was shown multiple times (once in an actual cinema, iirc). As an adult, I learnt it was based on a lot of West African folklore, which makes sense because folklore in general is almost universally bizarre and Kirikou et la Sorcière very much on that level. You can look up a plot summary but it will not do it justice. Weirdly, the intentionally creepy stuff which scared me at the time has not stayed with me as much as the scene near the end where (spoilers for this weird film) la titular Sorcière is saved by the titular Kirikou (a newborn baby who can talk and walk) who removed a thorn from her back which was making her evil(?), and so she's like thanks, and he's like, 'Cool, marry me?'
Karaba la Sorcière: 'Excuse me, sir, you are a literal newborn baby, even if you did command your mother to give birth to you at the start of this movie. You should marry someone your own age, in about two decades time.'
Kirikou: 'I don't like little girls, or timeskips.'
Karaba: 'Okay but I'm not marrying a baby, so I'll just give you a thank you kiss instead.' *kisses him*
Kirikou: *rapidly ages into his early twenties*
Karaba: ‘I guess I can marry you now.'
And they do??? Even though he's like??? Three months old??? Apparently once he gets his mum to recognise him, and that all the men in the village aren't dead (long story), everyone just rolls with this???
(oh and everyone is pretty lax about clothes in a non-sexual kind of way, so of course it got banned in the US and the UK for a while. Not for marrying a baby though! For the female-presenting nipples.)
Reblog for bigger sample size!
#Jacob/Renesmee eat your heart out#in fairness it is much better written than that whole 'in love with the contents of your ovaries' storyline#but I definitely was not ready for it at age six
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ptn y'a une go qui me fixe comme karaba la sorcière ds le bus aidez moi
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KARABA la sorcière vs. Karaba in real life (Fatoumata Diawara)
#kirikou#karaba#karaba la sorcière#africa#west africa#fatoumata diawara#cartoon#black woman#melanin#cosplay#afropunk#afrohair#tradition
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First Batch of my #SixFanartsChallenge
Thanks again for the characters suggestions! I haven’t drawn digitally for like, a year so it was quite a challenge and a great exercise
Check the close ups on my blog :>
#6fanarts#sixfanarts#sixfanartschallenge#VaëllV#vaellv#digital art#kim possible#karaba#kirikou et la sorcière#furiosa#mad max#mad max fury road#mad max furiosa#cruella de vil#tiana#princess tiana#the princess and the frog#disney tiana#natacha#natacha hotesse de l'air#my art
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na0_ as karaba la sorcière (1998)
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kirikou mon ami nous a redonné la vie.
better version of the one i posted a while ago x_x
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Fatoumata Diawara ou Sia le rêve du python Fatoumata Diawara passe ses premières années à Abidjan dans une famille nombreuse. Son père l'initie à la danse et à la guitare. À l'âge de 9 ans, après la mort brutale d'une sœur plus âgée, elle est adoptée par sa tante comédienne qui vit au Mali. En 1997, Fatoumata Diawara est repérée par le cinéaste Cheick Oumar Sissoko qui l’engage dans le film La Genèse (prix « Un certain regard » au festival de Cannes en 1999) afin d’interpréter le premier rôle féminin. En 1998, elle part en France afin de travailler au Théâtre des Bouffes du Nord sur l’adaptation de Jean-Louis Sagot-Duvauroux de la pièce Antigone. Elle tourne dans plusieurs longs-métrages dont Sìa : Le Rêve du python (Prix spécial du Jury au Fespaco en 2001). En 2002, elle fuit un mariage forcé avec son cousin pour rejoindre la compagnie Royal de luxe et tourne six ans au sein de la troupe. En novembre 2006, elle est choisie pour interpréter le premier rôle féminin de l’Opéra du Sahel, à Bamako. C’est à ce moment qu’elle est remarquée par Cheick Tidiane Seck. Elle participe à l'enregistrement de l’album de Dee Dee Bridgewater. Dans cette même période, elle rencontre Oumou Sangaré qui la sollicite pour l’enregistrement de son album Seya. Fatoumata Diawara décide alors de se lancer dans l’aventure de la musique et commence à travailler à son propre répertoire. Elle poursuit également ses expériences au cinéma, en jouant notamment dans le film Il va pleuvoir sur Conakry du réalisateur guinéen Cheick Fantamady Camara, où elle interprète le rôle d'une jeune chanteuse. En 2007, elle tient le rôle de Karaba dans la comédie musicale Kirikou et Karaba, tirée du dessin animé Kirikou et la sorcière de Michel Ocelot. En parallèle, elle travaille sur le disque de la comédie musicale. Cheick Tidiane Seck lui propose alors d’enregistrer sur son propre album Sabaly. Elle a l’opportunité de chanter avec Herbie Hancock (The Imagine project, Grammy Award en 20113) ou Hank Jones. Parallèlement, elle enregistre sur divers albums (Afrocubism, Cheick Lo, etc.). Elle s'engage contre l'excision dans sa région d'origine au Mali. La suite sur cascades TV(Facebook) https://www.instagram.com/p/CQLNW23nP3C/?utm_medium=tumblr
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Le mythe de la gorgone Méduse ou la destruction du féminin
Nous connaissons tou-te-s la monstrueuse gorgone Méduse, mais peu de personnes connaissent son histoire. Il faut savoir que Méduse n’a pas toujours été un monstre. Que disent les mythes à son sujet ?
Méduse (Μέδουσα : « la protectrice ») est une petite fille de Gaïa (la Déesse mère, la Terre) et Pontos (fils de Gaïa, la Mer) et sœur des Grées (les vieilles femmes). Et non, on ne va pas parler du fait que son grand-père soit également son oncle, ni du fait que ses parents soient frère et sœur.
Méduse avait fait vœu de servir la déesse Athéna (la Sagesse), et dans son temple dédié aux femmes sans maris ni amant, Poséidon (dieu de la mer, des océans et des tremblements de terre) s’est épris d’elle et l’a violée. On peut lire qu’Athéna fut très offensée de la violation de son temple, mais également qu’elle était jalouse de la beauté de Méduse. En tous cas, elle métamorphosa Méduse et ses deux sœurs en monstres, leurs cheveux devinrent serpents et leur regard transformera toute personne qui les regardera en pierre. Elles furent toutes trois condamnées à l’isolement pour le reste de leur vie, bannies par Athéna, on les appellera désormais les gorgones.
Persée, a pour mission de rapporter la tête de Méduse, il sera aidé par Athéna et Hermès (le dieu Messager), qui vont lui fournir des objets pour mener sa quête à bien. Il menace les Grées, qui sont les sœurs et également protectrices des gorgones, et les contraint à donner la position de la cachette de leurs petites sœurs.
Il parvint à décapiter Méduse et offrit sa tête à Athéna.
Voilà le topo, joie et amour. Je pourrais vous faire un récap’ sur le mythe de Persée… sauf que j’en ai pas envie. C’est dit.
Persée tenant la tête de Méduse, Benvenuto Cellini, 1554
Selon Elizabeth Johnson (théologienne féministe américaine), cette statue avait pour but de mettre en garde contre le pouvoir politique croissant des femmes en Italie.
Comme dans la vraie vie, c’est la victime de viol qui se fait défoncer.
Comme dans la vraie vie, on ferme les yeux face à son histoire.
Comme dans la vraie vie, on la punie.
Comme dans la vraie vie, on la rend repoussante.
Comme dans la vraie vie, on en fait un pariât.
Comme dans la vraie vie, sa famille est traînée elle aussi dans la honte.
Comme dans la vraie vie, on empêche sa famille de la protéger.
En bref, c’est le patriarcat qui a créé la monstrueuse gorgone Méduse.
Ça me fait d’ailleurs penser à l’histoire de Karaba, dans Kirikou et la Sorcière. Cette femme a été attaquée par des hommes qui lui ont enfoncé une épine dans le dos. La souffrance la transforme en méchante sorcière, qui sème la terreur sur tout un village duquel tous les hommes ont désormais disparu.
La métamorphose de Méduse n’est pas hasardeuse. Ses cheveux sont transformés en serpents qui représentent la puissance féminine issue de la terre. Et son regard change quiconque le croise en pierre, on peut analyser ce pouvoir comme étant la capacité de provoquer une érection aux hommes.
Ce mythe met en opposition deux modèles féminins. D’une part celui d’Athéna, qui représente la sagesse et fait partie des divinités Olympiennes qui vivent dans le ciel. Athéna est née casquée, du crâne de son père (Zeus) et représente la vierge, la femme respectable aux yeux des hommes. Le fait qu’elle soit née toute formée du crâne de son père a pour effet d’occulter le mystère et son pouvoir féminin. Dans ce mythe, elle est dépeinte comme jalouse (elle transforme les cheveux de Méduse, qui sont son plus bel atout de séduction) et prise d’un instinct de rivalité et elle s’en prend à Méduse, qui au contraire aurait eu besoin de soutien.
Méduse, quant à elle symbolise un tout autre modèle féminin. Elle représente l’archétype de la femme fatale, la perversion. Il s’agit d’une divinité pré-olympienne associée aux mystérieux pouvoirs féminins de la terre, la féminité primitive.
Tobin Siebers (auteur spécialisé en sciences-humaines) pense qu’Athéna et Méduse sont deux pôles féminins, et qu’Athéna porte le gorgonéion sur son bouclier dans le but de s’emparer des pouvoirs féminins de Méduse. Il serait nécessaire de dompter la femme sauvage et la libido pour réaliser son projet patriarcal.
Nietzsche, dans « La Naissance de la tragédie » voit dans ce combat entre Méduse et Athéna (à travers Persée) le symbole de la lutte du principe apollinien d’ordre et de lumière contre le côté dionysiaque, obscur, intuitif et débordant d’émotions.
Comme dans la vraie vie, les femmes se jalousent.
Comme dans la vraie vie, la rivalité féminine est destructrice.
Comme dans la vraie vie, des femmes se rangent du côté des hommes pour gagner leur respect.
Comme dans la vraie vie, on étouffe et méprise la féminité primitive.
Comme dans la vraie vie, on veut occulter la libido des femmes.
Comme dans la vraie vie, on associe la femme séduisante à la perversion.
Comme dans la vraie vie, on veut une féminité qui rassure les hommes.
Le mythe reprend également la symbolique de la femme comme source de vie et de mort. En effet, du cou tranché de Méduse naissent Pégase (le cheval ailé) et Chrysaor. Oui parce qu’en plus elle est tombée enceinte de son violeur, comme si elle avait pas assez mangé. Le sang qui coule de sa blessure est recueilli, celui qui coule de la veine gauche est un poison mortel, tandis que celui qui perle de sa veine droite à le pouvoir de conjurer la mort.
Le gorgonéion, est le nom donné à la tête coupée de Méduse. Ce symbole est utilisé sur des boucliers ou en guise d’amulettes, il sert de protection et garde les secrets féminins. On sait qu’Athéna l’utilise sur son bouclier afin de s’approprier les pouvoirs féminins de Méduse. Ce motif, très répandu, aurait pour but d’inspirer la terreur pour exorciser ses propres peurs, notamment la peur de la vengeance féminine. Le gorgonéion serait une expression symbolique du pouvoir féminin et de la rage des femmes. Ce grand pouvoir est donc réapproprié par les hommes et leurs représentants (ici Athéna), afin de le maîtriser et surtout d’en priver les femmes, considérées comme dangereuses. Les figures effrayantes étant associées au genre qui détient le pouvoir, il est logique de penser que le symbole du gorgonéion provient d’une ancienne société matriarcale.
Le fait que Méduse appartienne aux divinités pré-olympiennes montre que son mythe est très ancien.
D’après Joseph Campbell (mythologue américain), lors de l’arrivée en Grèce des envahisseurs, les lieux de culte aux divinités féminines auraient été petit à petit remplacés par un nouveau panthéon, celui des dieux de l’Olympe, bien plus patriarcal.
Eleanor Wilner (poète et éditrice américaine) rejoint cette pensée, elle écrit dans « The Medusa Connection » :
« il devrait être évident que le mythe raconte l’histoire d’une migration et d’une invasion, entraînant le remplacement d’une religion par une autre : celle des anciennes divinités élémentaires – de la nature et de l’engendrement, de la soumission aux forces chtoniennes de la terre et au cycle des saisons – par les nouveaux dieux immortels de l’Olympe, les dieux du ciel, de l’intellect et de la volonté, garants de la nouvelle et tragique autonomie des héros humains. »
Pausanias (géographe et écrivain grec) donne une version historique du mythe de Méduse. Dans cette version, Méduse serait une reine Libyenne, elle aurait été tuée durant une campagne contre Persée (un prince du Péloponnèse). Les représentations du VIIème siècle avant JC représentent Méduse comme une centaure, certainement pour représenter un peuple matriarcal de cavalières, dont l’animal totem était le cheval.
Méduse est devenu un symbole,
« un important archétype de la créativité féminine […] une métaphore des pouvoirs précédemment cachés et dénigrés, des pouvoirs collectifs que nous commençons finalement à réclamer. » Annis Pratt (autrice américaine).
La guerre menée contre une femme est une déclaration de guerre contre toutes les femmes. C’est en étant solidaire que nous pourrons regagner nos pouvoirs. Si entre femmes on arrête de se tirer dans les pattes, et qu’on parvient et prendre conscience de notre force, les hommes n’auront plus qu’à trembler.
Medusa with the head of Perseus, Luciano Garbati, 2008
#meduse#gorgone#mythologie#féminisme#mythe#viol#métamorphose#persée#athéna#les grées#gorgones#patriarcat#karaba#kirikou#serpents#pouvoir#divinités#femme sauvage#féminité primitive#rivalité#gorgonéion#medusa#gorgon#mythology#feminism#myths#rape#metamorphosis#perseus#patriarchy
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French cinema #11 : animation
Les triplettes de Belleville,
Sylvain Chomet, 2003, tells the story of Madame Souza, who goes on a quest to rescue grandson Champion, a cyclist, who’s been kidnapped by the mafia for gambling purposes and taken to the city of Belleville. She is accompanied by Champion's hound, Bruno and the Triplets of Belleville, music hall singers from the 1930s, whom she meets in the city.
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Kirikou et la sorcière,
Michel Ocelot, 1998, depicts how a newborn boy saves his village (West Africa) from the evil witch Karaba
youtube
Ernest et Célestine,
Stéphane Aubier + Vincent Pataret + Benjamin Renner, 2012, tells the story of an unlikely friendship between a mouse and a bear.
youtube
Valse avec Bachir,
Ari Folman, 2008, depicts the director in search of his lost memories of his experience as a soldier in the 1982 lebanon war.
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Mune : le gardien de la lune,
Benoît Philippon + Alexandre Heboyan, 2015, tells the adventure of a small creature who is the guardian of the Moon and who must recover the Sun that was stolen by his fault.
youtube
Plus: Le magasin des suicides, Patrice Leconte, 2012 ; Conversation animée avec Noam Chomsky, Michel Gondry, 2015 (gorgeous imo) ; Louise en hiver, Jean-François Laguionie, 2016 and many more...
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Si vous avez déjà regardé le dessin animé de Kirikou, vous vous souvenez sans doute de Karaba la sorcière... Eh bien, là voilà dans la vie réelle. https://www.instagram.com/p/CZ5pEK9jn7z/?utm_medium=tumblr
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Quand je me sens mal ou que je suis fatiguée, j'ai froid. Dans cette situation B me dit :
- imagine le soleil frappant ton corps, ca va te réchauffer.
Souvent, ça fonctionne.
En ce moment, j'ai une épine plantée entre les deux homoplates, comme Karaba la sorcière.
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