#justice criminelle
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1er décembre 1924 : création officielle de la Brigade spéciale N°1, ancêtre de la Brigade criminelle ➽ http://bit.ly/Brigade-Criminelle Émanation de la "Brigade du Chef" créée douze ans plus tôt, celle qui deviendra la "Brigade criminelle" en 1944 concentre ses efforts sur les affaires criminelles et les affaires sensibles
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Message de Louis de Bourbon, duc d’Anjou, suite à l’assassinat de la jeune Philippine :
C’est avec une profonde tristesse et un juste sentiment d’horreur que nous avons appris ce nouveau drame qu’est l’assassinat de la jeune Philippine. La Princesse Marie Marguerite et moi-même assurons la famille de notre soutien et de nos prières dans cette épreuve auquel chacun peut s’identifier. Quels parents peuvent rester insensibles à cette vie ôtée, à ce crime odieux ?
Malheureusement, une fois de plus, la justice de notre pays apparaît dans toute sa déliquescence et toute son incurie. Jamais dans l’histoire de France ni d’aucun autre pays, un État a aussi peu appliqué les règles de la plus élémentaire justice alors qu’il en a les moyens. Des peines peu ou pas appliquées laissent les pires criminels dans la nature, et leur donnent un sentiment d’impunité. Quand les Français auront-ils le droit de goûter à la quiétude si nécessaire à l’épanouissement des peuples ? Il est temps d’œuvrer ensemble au retour d’un État de justice.
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Poutine répond : "Si je suis un criminel de guerre, que sont les présidents américains depuis Nixon jusqu'à aujourd'hui ? Dire tout haut la vérité sur les agissements des présidents et des militaires américains loin d'être une gageure. Selon moi ils doivent être jugé en tant que criminel de guerre, ils devrait être rejoint par tous les présidents américains qui ont provoqué des dizaines de guerres dans le monde sans même avoir le droit de le faire. J'énumère également les guerres dans lesquelles les USA ont été impliqués. Fin du 19e siècle 1890 Dakota du Sud, les troupes du gouvernement américain tuent et abattent 300 Indiens. 1890 - Argentine, intervention militaire américaine à Buenos Aires. 1891 - Les marines chiliens répriment un soulèvement local. 1891 - Haïti : l'armée américaine réprime une émeute de Noirs à Navas. 1892 - Idaho, l'armée américaine réprime une émeute dans une mine d'argent. 1893 (- ?) - Hawaï, la marine américaine renverse le gouvernement du Royaume indépendant et annexe l'État. 1894 - Chicago : l'armée américaine réprime brutalement une grève des chemins de fer, tuant 34 personnes au total. 1894 - Le Nicaragua est occupé par l'armée américaine pendant un mois. 1894-1895 - Chine : la marine et les marines américains participent à la guerre sino-japonaise. 1894-1896 - Corée, occupation de Séoul. 1895 - Panama, les marines américains attaquent la province colombienne. 1896 - Nicaragua, les marines américains débarquent à Corinth. 1898-1900 - Chine, participation de l'armée américaine à la répression de la rébellion des boxeurs. 1898-1910 (- ?) - Philippines, la marine américaine renverse le gouvernement et tue 600 000 Philippins. 1898-1902 (et +) - Cuba, la marine américaine combat pendant la guerre hispano-américaine. 1898 (- ?) - Porto Rico, occupation pendant la guerre hispano-américaine. 1898 - Guam, la marine américaine occupe l'île et y construit une base militaire. 1898 (- ?) - Minnesota, l'armée américaine détruit la tribu Chippewa (Ojibwe) près du lac Leach. 1898 - Nicaragua, les marines américains débarquent dans le port de San Juan del Sur. 1899 (- ?) - Samoa, l'armée américaine participe à la guerre du trône. 1899 - Nicaragua, la marine américaine débarque au port de Bluefield. 1899-1901 - Idaho, l'armée américaine réprime brutalement la révolte des mineurs de Coeur d'Alene. Premier quart du XXe siècle 1901 - Oklahoma, l'armée américaine réprime la rébellion des Indian Creek. 1901-1914 - Panama, la marine américaine occupe et annexe la zone du canal. 1903 - Honduras, les marines américains répriment la révolution. 1903-1904 - République dominicaine, les marines américains répriment la révolution. 1904-1905 - Corée, les marines américains participent à la guerre russo-japonaise. 1906-1909 - Cuba : les marines américains interviennent et suppriment les élections démocratiques. 1907 - Le Nicaragua, à la suite de l'occupation, crée un protectorat dans le cadre de la "diplomatie du dollar". 1907 - Honduras, occupé par les marines américains pendant la guerre avec le Nicaragua. 1908 - Panama : les marines américains interviennent dans le processus électoral. 1910 - Nicaragua, les marines américains occupent Bluefield et Corinth. 1911 - Honduras, l'armée américaine participe à la guerre civile. 1911-1941 - Chine : la marine et l'armée américaines occupent le pays et participent à la répression de nombreuses émeutes. 1912 - Cuba, l'armée américaine participe à la guerre civile. 1912 - Panama, l'armée américaine et les marines répriment une émeute électorale. 1912 - Honduras : le corps des marines défend les intérêts économiques des États-Unis. 1912-1933 - Nicaragua : l'armée américaine occupe le pays pendant dix ans et participe à la guérilla. La liste est longue a vous de la compléter et de la déposer à la cour de justice internationale
Putin responds: "If I am a war criminal, what are the American presidents from Nixon to today? Speaking out loud the truth about the actions of American presidents and military is far from a challenge. In my opinion, they should be tried as war criminals, they should be joined by all the American presidents who have provoked dozens of wars in the world without even having the right to do so. I also list the wars in which the USA has been involved. End of the 19th century 1890 South Dakota, US government troops kill and slaughter 300 Indians. 1890 - Argentina, US military intervention in Buenos Aires. 1891 - Chilean marines suppress a local uprising. 1891 - Haiti: US army suppresses a black riot in Navas. 1892 - Idaho, US army suppresses a riot in a silver mine. 1893 (- ?) - Hawaii, the US Navy overthrows the government of the independent Kingdom and annexes the state. 1894 - Chicago: the US Army brutally suppresses a railroad strike, killing 34 people in total. 1894 - Nicaragua is occupied by the US Army for a month. 1894-1895 - China: the US Navy and Marines participate in the Sino-Japanese War. 1894-1896 - Korea, occupation of Seoul. 1895 - Panama, the US Marines attack the Colombian province. 1896 - Nicaragua, the US Marines land at Corinth. 1898-1900 - China, participation of the US Army in the suppression of the Boxer Rebellion. 1898-1910 (- ?) - Philippines, the US Navy overthrows the government and kills 600,000 Filipinos. 1898-1902 (and +) - Cuba, the US Navy fights during the Spanish-American War. 1898 (- ?) - Puerto Rico, occupation during the Spanish-American War. 1898 - Guam, the US Navy occupies the island and builds a military base there. 1898 (- ?) - Minnesota, the US Army destroys the Chippewa (Ojibwe) tribe near Leach Lake. 1898 - Nicaragua, the US Marines land in the port of San Juan del Sur. 1899 (- ?) - Samoa, the US Army participates in the War of the Throne. 1899 - Nicaragua, the US Navy lands in the port of Bluefield. 1899-1901 - Idaho, the US Army brutally suppresses the Coeur d'Alene miners' revolt. First quarter of the 20th century 1901 - Oklahoma, the US Army suppresses the Indian Creek rebellion. 1901-1914 - Panama, the US Navy occupies and annexes the Canal Zone. 1903 - Honduras, the US Marines suppress the revolution. 1903-1904 - Dominican Republic, the US Marines suppress the revolution. 1904-1905 - Korea, the US Marines participate in the Russo-Japanese War. 1906-1909 - Cuba: the US Marines intervene and suppress democratic elections. 1907 - Nicaragua, following the occupation, creates a protectorate as part of "dollar diplomacy". 1907 - Honduras, occupied by the US Marines during the war with Nicaragua. 1908 - Panama: the US Marines intervene in the electoral process. 1910 - Nicaragua, the US Marines occupy Bluefield and Corinth. 1911 - Honduras, the US Army participates in the civil war. 1911-1941 - China: The US Navy and Army occupy the country and participate in the repression of numerous riots. 1912 - Cuba, the US Army participates in the civil war. 1912 - Panama, the US Army and Marines repress an electoral riot. 1912 - Honduras: The Marine Corps defends the economic interests of the United States. 1912-1933 - Nicaragua: The US Army occupies the country for ten years and participates in the guerrilla warfare. The list is long, it's up to you to complete it and submit it to the International Court of Justice
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Des criminels qui devraient être traduits en justice
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En moins d’un siècle, l’idéologie (que Céline ramasse dans ce raccourci saisissant: "commerce américain") a ruiné le rapport constitutif de l’homme à sa liberté, il suffit de relire Georges Bernanos dans La France contre les robots…
«Il y a vingt ans [c'est-à-dire dans les années vingt du XXe siècle], le petit bourgeois français refusait de laisser prendre ses empreintes digitales, formalité jusqu'alors réservée aux forçats. Oh! oui, je sais, vous vous dites que ce sont là des bagatelles. Mais en protestant contre ces bagatelles le petit bourgeois engageait sans le savoir un héritage immense, toute une civilisation dont l'évanouissement progressif a passé presque inaperçu, parce que l'Etat Moderne, le Moloch Technique, en posant solidement les bases de sa future tyrannie, restait fidèle à l'ancien vocabulaire libéral, couvrait ou justifiait du vocabulaire libéral ses innombrables usurpations. Au petit bourgeois français, refusant de laisser prendre ses empreintes digitales, l'intellectuel de profession, le parasite intellectuel, toujours complice du pouvoir, même quand il paraît le combattre, ripostait avec dédain que ce préjugé contre la Science risquait de mettre obstacle à une admirable réforme des méthodes d'identification, qu'on ne pouvait sacrifier le Progrès à la crainte ridicule de se salir les doigts. Erreur profonde ! ce n'étaient pas ses doigts que le petit bourgeois français, l'immortel La Brige de Courteline, craignait de salir, c'était sa dignité, c'était son âme. Oh ! peut-être ne s'en doutait-il pas, ou ne s'en doutait-il qu'à demi, peut-être sa révolte était-elle beaucoup moins celle de la prévoyance que celle de l'instinct. N'importe ! On avait beau lui dire : « Que risquez-vous ? Que vous importe d'être instantanément reconnu, grâce au moyen le plus simple et le plus infaillible ? Le criminel seul trouve avantage à se cacher... » Il reconnaissait bien que le raisonnement n'était pas sans valeur, mais il ne se sentait pas convaincu. En ce temps-là, le procédé de M. Bertillon n'était en effet redoutable qu'au criminel, et il en est encore de même maintenant. C'est le mot de criminel dont le sens s'est prodigieusement élargi, jusqu'à désigner tout citoyen peu favorable au Régime, au Système, au Parti, ou à l'homme qui les incarne. Le petit bourgeois français n'avait certainement pas assez d'imagination pour se représenter un monde comme le nôtre si différent du sien, un monde où à chaque carrefour la Police d'Etat guetterait les suspects, filtrerait les passants, ferait du moindre portier d'hôtel, responsable de ses fiches, son auxiliaire bénévole et public. Mais tout en se félicitant de voir la Justice tirer parti, contre les récidivistes de la nouvelle méthode, il pressentait qu'une arme si perfectionnée, aux mains de l'Etat, ne resterait pas longtemps inoffensive pour les simples citoyens. C'était sa dignité qu'il croyait seulement défendre, et il défendait avec elle nos sécurités et nos vies. Depuis vingt ans, combien de millions d'hommes, en Russie, en Italie, en Allemagne, en Espagne, ont été ainsi, grâce aux empreintes digitales, mis dans l'impossibilité non seulement de nuire aux Tyrans, mais de s'en cacher ou de les fuir ? Et ce système ingénieux a encore détruit quelque chose de plus précieux que des millions de vies humaines. L'idée qu'un citoyen qui n'a jamais eu affaire à la Justice de son pays, devrait rester parfaitement libre de dissimuler son identité à qui lui plaît, pour des motifs dont il est seul juge, ou simplement pour son plaisir, que toute indiscrétion d'un policier sur ce chapitre ne saurait être tolérée sans les raisons les plus graves, cette idée ne vient plus à l'esprit de personne. Le jour n'est pas loin peut-être où il semblera aussi naturel de laisser notre clef dans la serrure, afin que la police puisse entrer chez nous nuit et jour, que d'ouvrir notre portefeuille à toute réquisition. Et lorsque l'Etat jugera plus pratique, afin d'épargner le temps de ses innombrables contrôleurs de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L'épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en sera grandement facilitée.»
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A little bit of background on "I shall ask for the abolition for the punishment of death (...)"
Tl;dr: Yes, La Fayette did indeed said something along the line. The quote is likely from a speech of his during a session of the French Chamber of Deputies on June 23, 1828.
Everyone who has ever researched La Fayette’s standpoints regarding the death penalty or his general effort to reform penal law, will have come across this quote.
(I did not create this; it is literally one of the first results that will show up.)
Everyone who has done some research about the death penalty (in America) might very likely also have come across this quote. It was used by numerous politicians and judges on all levels of the political hierarchy. It was also used as a headline by The Hangman, a historical anti-death penalty paper.
The point of the matter, there is nowhere a single source in sight. While a colourful presentation of something that very well sounds like something La Fayette would say is all fine and dandy, it is no proof that he actually made this statement. Not to mention the time and context of the quote. Besides, a fair number of people using this quote in speeches attributed these words to Thomas Jefferson.
A short overview about Jeffersons opinion regarding the death penalty and why it is highly unlikely that this quote is form him: Jefferson had certain misgivings about the then current practices and thought that a reform was needed. While he argued that the death penalty should be reserved for fewer cases, he was not for the abolition of the death penalty altogether.
But back to La Fayette, after much cross-referencing I came across a passage in a book that stated that La Fayette said these words in a session of the Chambre des Députés in 1830. And fair enough, a look in the Archives parlementaires, a compilation of all the speeches and parliamentary proceedings in the Chamber from 1787 until 1860 tells us that La Fayette spoke about this topic of the abolition of the death penalty on August 7 and on October 8, 1830. However, on no occasion did his speech match the quote in question.
I went back to La Fayette’s Memoirs since in the original French version several of his speeches are included, that are not featured in the English translation. Unsurprisingly, the Chamber discussed on several occasions topics where La Fayette could have made his statement. The best match I found so far is this excerpt from a speech on June 23, 1828:
L’allocation pour frais de justice criminelle me fournit l’occasion de répéter encore une fois mes vœux pour l’abolition de la peine de mort, que l'incertitude des jugements humains rend si effroyable (…)
Mémoires, correspondance et manuscrits du général Lafayette, Vol. 6, Marquis de La Fayette, Paris, Leipzig, 1838, p. 145.
My Translation:
The allowance for the criminal justice costs gives me the opportunity to repeat once again my call for the abolition of the death penalty, which the uncertainty of human judgement makes so appalling (…)
And while this is not a perfect match to the quote above, it is the closet match I could find so far. The question now, is there an even better match or was the original quote changed with time and repeated citations?
#marquis de lafayette#french history#la fayette#american history#history#1828#1830#1838#death penalty#french politics
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Les Sages de Sion à l’origine de l’arrestation de Pavel Durov
Durov est la cible d’une cabale aux larges ramifications.
L’angle d’attaque de la « justice » française est basique : comme patron de Telegram, Durov est coresponsable de tous les crimes ou délits que des utilisateurs auraient pu commettre via son réseau social, partout dans le monde.
Selon cette logique, le patron d’Orange devrait être arrêté pour avoir fourni internet à des criminels.
De même pour le patron d’Apple pour avoir fourni des smartphones à des criminels.
Macron, tout comme les juges à sa botte, n’est que l’instrument de commanditaires beaucoup plus puissants.
Il s’agit bien sûr du gouvernement américain.
Washington se sert des états croupions de l’UE pour faire ce que la loi américaine ne permet pas.
L’idée des juifs est de faire plier les réseaux sociaux qui seraient tentés de leur résister, même partiellement.
Ces derniers temps, Durov n’était pas dans les petits papiers des juifs.
Haaretz :
Il y a quelques mois, des pirates informatiques étrangers ont réussi à s’introduire dans un ordinateur lié au ministère israélien de la justice. Des dizaines de milliers de fichiers classifiés et de courriels sensibles ont été divulgués. Des liens permettant à quiconque de télécharger ces fichiers ont été publiés sur Telegram, l’application de messagerie instantanée la plus populaire.
Cependant, ils ont rapidement commencé à disparaître. L’un après l’autre, les canaux Telegram des pirates ont été supprimés, leurs utilisateurs effacés et les messages contenant les liens de téléchargement disparus.
Selon un certain nombre de personnes bien informées, Israël mène une guerre numérique sur plusieurs fronts pour tenter d’endiguer la fuite apparemment sans fin de ses informations. Il s’agit notamment de surveiller le web et les sites de médias sociaux à la recherche de fuites et d’adresser des demandes de retrait légal à des entreprises technologiques telles que Google, Amazon, Meta et même Telegram, afin de les supprimer ou de les bloquer.
Depuis le 7 octobre et jusqu’à aujourd’hui, nous avons assisté à un effort concerté de cyber-attaques, dont certaines sont directement liées ou attribuées à des États ennemis et à des organisations terroristes, pour mener des « attaques de perception sous la forme de publication de fuites », explique Haim Wismonsky, directeur de l’unité cybernétique du bureau du procureur de l’État israélien, qui fait partie du ministère de la justice et qui est l’organisme chargé de déposer les demandes effectives auprès des entreprises technologiques.
« La publication de ces fuites a pour but de faire peur, d’inspirer la panique au public et de donner le sentiment que nous sommes exposés et pénétrables, mais elle vise également à causer des dommages économiques, voire à mettre en danger la vie des personnes dont les données personnelles sont incluses dans ces fuites », a expliqué M. Wismonsky à Haaretz.
Cette politique et la manière dont elle est mise en œuvre font d’Israël un cas unique. De nombreux pays, dont les États-Unis, prennent généralement des mesures pénales ou juridiques à l’encontre des auteurs de fuites, qu’ils soient étrangers ou locaux, mais s’accommodent de l’existence de la fuite en ligne. Israël, en revanche, utilise les règles internes des entreprises technologiques pour les inciter à retirer les produits piratés en son nom – et empêcher ainsi les données divulguées d’atteindre le public ou les journalistes, tant en Israël qu’à l’étranger.
Les plateformes, même celles qui sont considérées comme hostiles aux demandes des gouvernements, comme Telegram, ont mis en place des règles destinées à les défendre contre les ramifications juridiques de la conduite de leurs utilisateurs. Il peut s’agir de demandes de retrait pour violation des droits d’auteur ou de plaintes pour diffamation.
Les documents piratés entrent dans la catégorie générale des biens volés, de sorte que les politiques mises en place pour empêcher la diffusion de fichiers permettant de télécharger illégalement des films ou des séries télévisées peuvent également être utilisées pour retirer des documents piratés, volés sur des serveurs israéliens sans le consentement de l’utilisateur.
Ces derniers mois, par exemple, des demandes israéliennes signalant des violations des conditions d’utilisation de Telegram ont conduit à au moins dix suppressions d’utilisateurs et de canaux de groupes de pirates. Souvent, ce sont les mêmes groupes de pirates qui, sans se laisser décourager, ont ouvert un nouveau canal et posté de nouveaux liens vers les mêmes fuites.
Depuis le début de la guerre, Telegram s’est révélé être un défi de taille pour Israël. Alors que de nombreuses entreprises technologiques ont rationalisé les mécanismes par lesquels les États peuvent les contacter, Telegram est considéré comme le moins coopératif de tous.
Qui plus est, alors que de nombreuses plateformes de médias sociaux ont investi massivement dans la modération, permettant aux personnes et aux organisations d’aider à surveiller le contenu – par exemple, le retrait de contenu antisémite ou de messages incitant au terrorisme ou même le retrait de vidéos du massacre du 7 octobre – Telegram ne l’a pas fait. Les États et les utilisateurs disposent d’une adresse électronique unique à laquelle ils peuvent envoyer leurs griefs.
Telegram est apparu au début de la guerre comme une plateforme clé utilisée par le Hamas dans sa guerre de l’information contre Israël, une plateforme qu’Israël n’a pas été en mesure de traiter correctement, faute de capacités de surveillance et de compréhension de la plateforme. Préoccupés par la vague de contenus pro-Hamas, qui comprenait des vidéos de l’attaque elle-même ainsi qu’un flux constant de matériel de propagande, des Israéliens du secteur des hautes technologies ont tenté, à la fin de l’année 2023, de contacter le fondateur de Telegram, Pavel Durov.
Bien qu’ils aient réussi à contacter Durov, qui vit aux Émirats arabes unis, celui-ci s’est montré peu réceptif à ces demandes privées d’amélioration de la modération sur la plateforme. Bien que quelques pages liées directement à l’aile militaire du Hamas aient été bloquées localement par la suite, l’initiative privée n’a pas réussi à convaincre le fondateur de l’application. Des sources expliquent que Google ou Meta retireront une page s’il s’avère qu’elle est directement liée au Hamas et qu’Amazon supprimera un site web pour avoir hébergé du matériel terroriste.
Sur Telegram, le contenu ne peut pas être supprimé avec de tels arguments. Seules les marchandises manifestement volées seront retirées, ce qui fait des réclamations de contenu la seule voie efficace pour les autorités juridiques israéliennes. Les données parlent d’elles-mêmes : Selon les chiffres officiels fournis par Israël, le ministère de la justice a envoyé à Facebook plus de 40 000 demandes de retrait de « contenu illégal » qui ont été acceptées. Il ne s’agit pas de messages pro- ou anti-israéliens, mais de contenus illégaux au regard des normes occidentales. Même TikTok a retiré plus de 20 000 messages signalés par Israël. Sur Telegram, ce nombre est légèrement supérieur à 1 300.
Les juifs veulent faire main basse sur Telegram.
Si Durov veut pouvoir à nouveau faire le tour du monde avec des prostituées slaves, il va devoir donner aux juifs ce qu’ils veulent.
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Régis de Castelnau
L’atroce tragédie de l’assassinat de la jeune Philippine venant après tant d’autres, provoque fort normalement une émotion considérable. Le coupable est d’abord évidemment le salaud qui a accompli cette horreur. Mais il y a des complices, voire des gens que l’on peut considérer comme des coauteurs, et ce ne sont pas des magistrats. Il ne faut pas se tromper de cible cette fois-ci. Libéré de prison, LE CRIMINEL N’AURAIT PAS DÛ SE TROUVER SUR LE TERRITOIRE FRANÇAIS. Faire du juge de l’application des peines qui l’a remis en liberté le principal responsable parmi ceux qui ont créé cette situation est une erreur. Après une procédure régulière, il avait été condamné à une peine de sept ans de réclusion, et il a été libéré après en avoir accompli cinq. Il faut rappeler qu’il existe (comme partout) un système de remises de peine dont l’objectif est de contribuer à l’obtention d’un certain calme dans les centres de détention. En l’occurrence, l’auteur de ce nouveau crime avait accompli les deux tiers de sa peine, et la décision a été prise assortie d’un contrôle et d’une obligation de quitter le territoire français en étant expulsé. L’inexécution de ces mesures n’était pas de la responsabilité du juge de l’application des peines. C’est la totale défaillance du pouvoir néolibéral destructeur des services publics qui est à l’origine de cette nouvelle tragédie. Il l’est doublement. D’abord en privant la Sécurité et la Justice des moyens indispensables pour accomplir leurs missions. Ce réel désintérêt politique, au-delà des parlottes démagogiques que l’on entend de loin en loin, a quelque chose de criminel. Ensuite, en matière d’organisation de la sécurité sur son territoire la France a perdu sa souveraineté au profit de l’Union Européenne et par sa soumission à des engagements internationaux contraignants. Cette double contrainte, rend quasiment impossible l’exécution des OQTF. Celle issue de l’appartenance à l’UE n’est réellement remise en cause par aucune des forces politiques représentées au Parlement. Aujourd’hui, que ce soit le chef de l’État ou le Premier ministre, nos dirigeants, accompagné des belles âmes sont des militants acharnés de la soumission. Et par conséquent responsables de la mort de Philippine. Les voir tous prendre la pose est insupportable. PS : je sais c’est bizarre, pour une fois je ne dis pas de mal des magistrats. Pas d’inquiétude on y reviendra.
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"La justice de la guerre, lorsqu’elle est rapportée à la justa causa, comporte toujours à l’état latent une amorce de discrimination de l’adversaire injuste […] l’ennemi devient simple criminel, et le reste, à savoir la privation des droits de l’adversaire et le pillage de ses biens, c’est-à-dire la destruction du concept d’ennemi qui formellement présuppose toujours un justis holis, s’ensuit pratiquement tout seul."
Carl Schmitt, Le Nomos de la Terre (1950)
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Imagine, un instant, cette scène déconcertante qui s’est jouée en 2016, répétée dans sa terrible ironie en 2024, où un peuple tout entier se trouve confronté au choix de son avenir. Les États-Unis, cette nation qui se veut le phare de la démocratie moderne, ce prétendu bastion de liberté et d’égalité, a préféré porter aux nues un homme ou comme j’aime à l’appeler un déchet humain, dont les travers semblent arrachés aux heures les plus sombres de notre histoire : misogyne notoire, raciste décomplexé, assombri par des accusations criminelles, et même des allégations de viol.
Et que dire des droits des femmes, constamment piétinés ? Voici un homme qui se bat avec acharnement pour renverser les acquis fondamentaux, comme le droit à disposer de son propre corps, prônant une régression à l’époque où les femmes n’étaient guère plus que des citoyennes de seconde zone. Un homme pour qui l’existence des personnes LGBTQIA+ ne suscite qu’indifférence, voire mépris, et qui rêve d’un monde où la diversité n’est qu’une cible à ridiculiser ou à effacer. Un homme pour qui les immigrés, ces âmes venues chercher refuge ou un avenir meilleur, sont traités comme une menace, une plaie à éradiquer.
Et face à lui, deux femmes, à huit ans d’intervalle. Des femmes dont l’expérience, la rigueur et l’engagement auraient, en toute justice, dû inspirer l’estime. Mais non. On les a diabolisées, on les a jugées avec une sévérité disproportionnée, comme si la seule audace d’une femme à briguer le pouvoir était une offense. On leur a attribué toutes les tares d’un monde dont elles n’étaient que les victime expiatoires, tandis que l’homme, avec ses failles béantes, sa rhétorique de haine, et son mépris affiché pour les valeurs humaines, a trouvé ses soutiens.
Le choix de 2016 et la rechute de 2024 ne sont pas que des revers politiques : ils sont la preuve accablante d’une culture qui, même après des siècles de lutte pour l’égalité, préfère encore donner sa voix à la figure de l’autoritarisme masculin, aussi viciée soit-elle, plutôt que de donner sa chance à une femme. En élisant l’oppression personnifiée, ce pays a montré combien le chemin vers la véritable équité reste tragiquement inachevé.
Je crains, profondément, pour l’avenir de l’humanité. Comment pourrais-je ne pas être hantée par cette angoisse sourde, face au spectacle des élections présidentielles américaines dont le verdict retentit jusque sur nos rivages européens, empoisonnant l’air de nos démocraties déjà fragiles ? Ce choix de leader, plus qu’un simple vote, est une onde de choc qui ébranle notre monde, un avertissement que les valeurs que nous pensions inébranlables vacillent sous la poussée d’une vague de populisme, de division et de désespoir.
En voyant l’Amérique se tourner à nouveau vers un homme qui ne porte que le mépris pour le multilatéralisme, le réchauffement climatique, et les droits humains, je me demande ce que l’avenir nous réserve, ici en Europe. Aurons-nous la force de résister ? Aurons-nous l’unité nécessaire pour défendre nos démocraties contre les influences toxiques qui viennent d’outre-Atlantique ? Car ne nous y trompons pas : un tel résultat est un présage funeste, une promesse de tensions croissantes, de politiques de repli, de guerres économiques qui menacent déjà nos économies, nos sociétés, et nos libertés.
Comment préserver l’espoir, alors que les progrès en matière d’écologie, de justice sociale, et de paix mondiale sont remis en cause ? Le monde vacille, l’ombre de l’incertitude s’étend, et il devient difficile de ne pas craindre une descente accélérée vers le chaos, un retour aux époques où la force brute et la rhétorique de la peur prenaient le dessus sur l’espoir, la coopération, et le dialogue.
En cette heure incertaine, je tremble à l’idée d’un avenir où les alliances fragiles qui protègent encore notre sécurité se fissurent, où l’extrémisme et la haine contaminent nos discours et nos urnes. Une Europe affaiblie par les turbulences de ce nouveau mandat américain semble être la proie rêvée pour le populisme, la désinformation, et la montée des nationalismes qui menacent de défaire tout ce que nous avons bâti avec tant de peine. Alors oui, j’ai peur, mais cette peur doit peut-être nous alerter, nous réveiller, avant qu’il ne soit trop tard.
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Flicards : je vous l'ai dit hier soir, vous pratiquez un harcèlement intense et totalement criminel sur moi et mes amis et notamment ma compagne et collaboratrice Anne Pangolin Guéno, et mon ex-compagne.
J'ai prévenu que nous vous attaquerions collectivement en justice, et j'ai donné le chef d'accusation. Vu les circonstances votre carrière est LITTÉRALEMENT TERMINÉE.
Cela dit vous avez la possibilité de vous arrêter immédiatement, et nous réfléchirons aux suites à donner à vos agissements. L'IGPN va de toute façon être saisie en France, et les organes identiques dans les autres pays.
Basile Pesso.
#harcèlement#diffamation#violences policères#abus de pouvoir#violence institutionnelle#crimes#délits#folie#psychiatrie#délire collectif
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COUTUME | Monitoire d’antan : destiné à confondre le coupable d’un crime ➽ http://bit.ly/Monitoire-Proces-Criminel Destiné à obtenir des témoignages lorsque ceux-ci s’avèrent inexistants ou non concluants dans le cadre d’un procès criminel, le monitoire est créé en France par le pape Alexandre III au XIIe siècle mais ne fera pas l’objet d’ordonnances royales avant 1512 : il consiste, pour le clergé paroissial, à fulminer une injonction à leurs paroissiens de témoigner sous peine d’excommunication
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Je suis bien triste pour la petite Philippine, son regard ne me quitte pas. Et aussi pour sa famille qui doit souffrir que leur drame soit récupéré par tous les charognards de tous bords.
Le consensus est pourtant pas compliqué.
Évidemment que le criminel n’aurait jamais dû être en France, et qu’il faut remettre en place les lois abrogées par les gouvernements depuis 20 ans : l’expulsion des criminels étrangers et le délit de séjour irrégulier.
Évidemment que la justice est bien trop clémente avec les agresseurs sexuels. Le meurtrier de Philippine aurait dû être jugé comme un majeur, et avoir eu la peine de prison prévue par la loi. Il a eu moins et des remises de peine par dessus le marché.
Certains regardent ailleurs quand les violeurs sont de la famille, d’autres quand ils sont bien de chez nous, d’autres quand ils ne sont pas de chez nous. Chacun veut trouver son violeur archétypique et en faire un épouvantail, tout en oubliant très, très vite, les victimes.
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PDiddy a été arrêté à NewYork par le FBI 17 septembre 2024. Il est visé par plusieurs plaintes pour agression sexuelle.
Did you know that PDiddy led efforts to galvanize the Black Vote in both the 2008, 2012 Obama & 2016 Hillary Clinton campaign bid?
donc accusé de trafic sexuel, de travail forcé, de transport et de coercition liés à la prostitution, de délits liés aux stupéfiants, d'enlèvement, d'incendie criminel, de corruption et d'entrave à la justice. Montrez-moi vos amis et je vous montrerai qui vous êtes
P DIDDY WAS JUST PLACED ON “SUICIDE WATCH” IN A NEW PRISON CELL
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Prison reforms and changes in Napoleonic France
From Clémence Zacharie, The Code d'Instruction criminelle, 1808 (source)
“First of all, the Code was an institutional code that reorganised most notably prisons, an aspect of the reform that is often overlooked, as well as certain law courts. Prison reform was considered from the very beginnings of the Consulate and a text from 1801 created maisons centrales interdépartementales [detention centres covering a number of départements, ed.] which were intended, amongst other things, to hold prisoners as punishment for their crimes. At the same time, a decree issued by Chaptal which dates from the same year reorganised the prisoners’ daily lives: diets were improved through an increase in daily rations and living conditions developed with the addition of heating in some cells. As well as these changes, prisoners were also encouraged to work to earn some revenue that would also contribute to a better standard of living. The 1808 Code continued this work. A decree by Montalivet dating from 20 October 1810 was concerned with the creation of prisons. The decree made provisions for the installation in each arrondissement of maisons d'arrêt [holding centres, ed.], located near to the courts, which would house the accused. The decree also planned for the creation of maisons de justice. The goal of these maisons was to house separately the accused and the condemned; prisons at the start of the 19th century were in a terrible state, mixing those already condemned and those awaiting trial together in horrendous squalor and a complete lack of privacy.”
“These establishments were placed under the direct control of préfets, who were responsible for their correct functioning, their hygiene and their security. To this end, they were also required to visit the sites at least once a year. The préfets were also responsible for the staffing of the establishments. The 1808 Code also instigated the organisation of these penitentiary centres by départements, which would lead to their better management. Monitoring of the detainees was thorough in order to ensure that detention could not be considered as arbitrary; incarcerations required a mandat express from the juge d'instruction or from the president of the cour d'assise. The juge d'instruction was also required to visit the accused every month and the same was expected of the president of the cour d'assise at each court session. Responsibility for costs and the prison budget was transferred to local authorities.��
#Code d'Instruction criminelle#1808#napoleonic code#prisons#french history#prison reform#France#napoleonic era#napoleonic#napoleon#history#Napoleon’s reforms#reforms#napoleonic reforms
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''Le Canard est toujours vivant''...
Je ne suis pas certain que ce soit bien prudent ni très sage de reprendre si vite un semblant d'activité : la Faculté –dans sa pompeuse majesté--, Hippocrate et Esculape (et même moi, tout au fond de mon ''ressenti le plus intime'')... disons et répétons que c'est une folle décision : je suis loin d'avoir récupéré les forces perdues après toutes les tuiles qui me sont tombées dessus il y a bientôt un mois, et qui me laissent encore faible et comme épuisé. Mais l'important semble être que je sois encore vivant, comme le célèbre canard du vieux ''sketch'' de Robert Lamoureux.
D'un autre côté, j'ai vraiment hâte de dire mille fois ''Merci'' à toutes les marques de gentillesse que j'ai reçues, en un torrent de mails presque ininterrompu, illustré de mots qui m'ont comblé d'émotions profondes et auraient pu ''me donner la grosse tête'' s'il n'était pas évident qu'elles étaient dictées par le cœur et pour aucune autre raison. Compte tenu de l'état de grande fatigue dans lequel je me débats, je ne suis pas du tout certain de pouvoir répondre à la totalité des gentils messages qui me sont envoyés. Que tous leurs émetteurs trouvent ici le témoignage de ma reconnaissance émue et de ma sincère gratitude pour ce soutien, dans le fond vital.
Mais il n'y a pas que ''ça'' : malade ou pas, épuisé ou pas, j'entends résonner les cris de révolte qui se multiplient en France, ce pauvre pays si insulté, si mal traité, si calomnié, sur chaque sujet. Pour un peu, j'aurais envie de paraphraser De Gaulle : ''La France outragée, la France brisée, la France martyrisée''... à ceci près que personne ne peut honnêtement et sérieusement oser penser qu'elle puisse être ''libérée'', de près ou de loin : nos gouvernants, défaillants à en être criminels, refusent de voir toute vérité et n'osent même pas prononcer les noms des maux qui menacent notre existence en tant que nation et que peuple, mais aussi en temps que simples individus pris dans un ouragan..
Ai-je le droit d'invoquer une baisse de tension ou une chute de globules pour arrêter de hurler qu'il n'est pas acceptable (en donnant à ce mot sa vraie valeur, à l'inverse de nos politicards) que en France, en 2024, tout parent d'un adolescent ayant entre 11 à 17 ans tremble de peur en le regardant partir vers son lycée ou son collège ? Dans notre ''vieux pays sur un vieux continent'' (comme pouvait encore le dire mon ami Dominique de Villepin en février 2003 à l'ONU) un coup de couteau mortel est une ''aventure'' qui peut arriver à tout instant, n'importe où... pour rien ou pour une soi-disant insulte (NB : si traiter un afghan d'Afghan, c'est grave... c'est grave !).
Nous voici ramenés aux périodes les plus noires de notre histoire, à ceci près qu'il s'agit, là, de vraies périodes noires, pas des mauvaises interprétations de ce qui dérange les idéologues de notre Gauche, décidément tous pourris... Nos enfants ne sont plus en sécurité nulle part dans nos villes, juste parce qu'ils sont un peu plus blancs que d'autres, du même âge, qui s'attribuent le droit de les tuer à coups de couteau de boucherie pour cette seule absence de raison.
Mais que doit-on dire de nos femmes et de nos jeunes filles qui ne peuvent même plus sortir en jupe ou en robe (sauf longues comme un jour sans pain !)... de nos citadins condamnés à la laideur, en bas de chez eux, de campements de ''fortune'' (la seule ''fortune'' est celle que se font les ''dealers'' de drogues infâmes !)... d'où sortent des puanteurs assassines de substances mortelles pour notre jeunesse, déjà contaminée à l'excès... de la violence généralisée que refuse de voir une ''Justice'' (sic !) qui ne mérite plus son nom...
Devant ces troubles qui devraient être inacceptés –mais qui ne sont dits ''inacceptables'' qu'en paroles, dans des discours volontairement creux destinés à noyer le gogo-- nos gouvernants poursuivent des folies qui ne peuvent nous mener qu'à des catastrophes encore plus définitives. Au lieu de lutter, toutes affaires cessantes, contre une invasion de substitution clairement reconnue dans toute la littérature du genre depuis 20 ans, le Pouvoir en place nie toute évidence irréfutable et toute démonstration incontournable, et ne réagit pas lorsque des islamo-gauchistes criminels la soutiennent en mélanchonnisant sans savoir de quoi ils parlent, et sont prêts à tout pour ravager la planète jusqu'à sa mort –et la nôtre... ''quoi qu'il en coûte'' … comme si une phrase aussi stupide pouvait avoir le moindre sens !
C'est pour continuer à me battre contre les moulins à vent marqueurs de notre triste époque que je vais essayer de revenir vous murmurer ma petite sérénade, dans la faible mesure de mon absence de moyens. Peut-être, au début, sera-ce avec un rythme moins régulier, en fonction de mes possibilités physiologiques. Mais au moins aurai-je ainsi l'impression, lorsque mon heure viendra, d'avoir ''donné de moi-même''. Mais ceci est une autre histoire, dont nous reparlerons... le plus tard possible. A très bientôt, et –encore une fois-- un immense ''Merci'' pour votre soutien.
H-Cl.
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