#joie de lire
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lafeedelaverite · 1 year ago
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leschosesetlesfantomes · 24 days ago
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Les habitudes qui rendent ma vie un peu plus douce et heureuse en tant que personne fluctuante et dépressive : · Lire. Pas forcément beaucoup, mais régulièrement. Le lecture me force à me concentrer, à mobiliser mon attention, à me poser. C'est une forme de méditation active. Et puis surtout c'est l'une de mes passions, ça m'apporte beaucoup de joie.
· Chronométrer les moments importants pour moi, ceux que j'ai du mal à m'accorder, comme la lecture, pour m'obliger à m'offrir ce temps. Souvent, je n'ose pas commencer une activité parce que j'ai peur de ne pas être productive, mais visualiser le temps exact me fait relativiser : 30 minutes dans une journée, c'est rien du tout. Lancer le chronomètre me donne aussi une impulsion d'action et me permet de sortir de la paralysie.
· Marcher plus. L'objectif c'est 10 000 pas mais je n'y arrive pas toujours. C'est pas grave. Souvent je rentre du travail à pied, ça me prend seulement 15 minutes de plus que le bus. J'en profite pour écouter un épisode de podcast, ce que j'ai rarement le temps de faire. Marcher me permet d'être dehors, de prendre l'air, d'être seule et de ne pas hurler intérieurement sur tous les gens du bus (ou si je suis à vélo, sur les autres cyclistes ou les automobilistes), donc ça me repose émotionnellement. Je suis extrêmement sensible aux gens et je me prends toujours toutes leurs énergies négatives en pleine tête (parce que malheureusement c'est rare les scènes de bonheur dans le bus donc je reçois peu d'énergies positives).
· Écrire : tout et n'importe quoi. Des pensées. Des histoires. Des poèmes. Des lettres. Des billets sur Tumblr.
· Dormir assez et boire assez : ça je n'y arrive pas vraiment mais pour l'instant je ne me blâme pas. Le reste est déjà bien.
· Détendre mon corps. Je fais du bruxisme et ça crée des tensions dans ma nuque, mes épaules, mon crâne et évidemment mon visage. C'est super douloureux. J'essaie d'être attentive à mes sensations physiques, de me relâcher, de faire des auto-massages. J'essaie aussi de sourire quand j'y pense et c'est assez magique, ça déclenche tout de suite une mini joie intérieure, je suis tout à coup reconnaissante d'être en vie. Ne fonctionne pas avec les sourires forcés.
· Ne pas me disperser. Ne pas me lancer dans un millier d'activités. Me rappeler régulièrement qui je suis et ce que j'aime pour ne pas me perdre, c'est-à-dire : lire et écrire, être au calme, marcher dans la forêt, être avec mes amies proches, bouger librement mon corps. Écrire ces désirs et ces objectifs régulièrement pour ne pas les oublier. J'ai écrit mes résolutions 2025 à peu près 5 fois depuis fin décembre mais la répétition me permet de garder mes projets en tête. Eh oui, certaines personnes sont si déconnectées d'elles-mêmes que se rappeler ses propres désirs est laborieux.
· Accepter mes différences et mes étrangetés qui ne sont des différences et des étrangetés que si je ne les assume pas. Ma différence en elle-même n'est pas douloureuse. Ce sont le rejet, le mépris et les discours d'exclusion des autres qui font mal.
· Accepter d'avoir une personnalité contrastée, comme beaucoup de personnes. Nous ne sommes pas des archétypes, nous ne sommes pas des stéréotypes, nous ne sommes pas des personnages de fiction. Par exemple la société oppose depuis toujours la figure de la sainte et celle de la salope, la deuxième étant très souvent réprimée socialement. Mais l'identité n'est pas binaire. Vouloir être une sainte le lundi et une salope le mardi ne signifie pas qu'on est hystérique, instable ou malade. Je ne suis pas linéaire, j'ai des désirs et je suis vivante. Je serai sage et docile quand je serai morte.
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nietzsche813 · 2 months ago
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La liberté ou la mort, extrait
Robespierre jouait à lancer des branches à Brount avec Elisabeth, à quelques distances devant eux. Il courrait pour entraîner le molosse derrière lui, et jetait le bâton de toutes ses forces, ne se souciant pas de voir s'il risquait de tacher ses bas blancs de boue. Brount partait comme un fou avec ses grandes pattes désordonnées, la langue pendant sur le côté et la queue frétillante. Quand il revenait avec le morceau de bois, Elisabeth et Maximilien devaient s'escrimer à le lui récupérer et tiraient de toutes leurs forces pour le lui arracher de la gueule. Le jeu recommençait ensuite, pour la plus grande joie des trois participants.
Saint-Just marchait les bras croisés dans le dos, au rythme d'Eléonore.
-Eléonore, maintenant que nous sommes bons amis, puis-je me permettre une question?
La jeune fille lui sourit d'un air indulgent.
- Voyons la question.
Saint-Just se racla la gorge et fixa son regard sur la pointe de ses bottes.
- Eh bien... je ne comprends pas que tu ne sois pas amoureuse de lui.
Eléonore laissa échapper un petit rire. Elle ne paraissait pas particulièrement vexée ou embarrassée par cette question indiscrète.
-Et pourquoi cela ? demanda-t-elle.
Saint-Just redressa la tête et fit un geste de la main vague vers Brount qui s'était mis à aboyer joyeusement, et Elisabeth qui faisait semblant de jeter le bâton pour la troisième fois.
- Je ne sais pas, regarde le... Tout à l'heure il faisait un travail de géant pour la patrie, et maintenant il se contente d'une récompense si simple ! Jouer avec son chien, nourrir ses oiseaux, manger le potage de ta mère ce soir, lire quelques pages de Rousseau au coin du feu...
-... quelques oranges, une visite de son cher Saint-Just...
- Si nous parvenons à installer et à protéger notre république, il ne cherchera aucune récompense pour lui même. Il ne faudra pas davantage que ces quelques plaisirs que nous avons évoqués pour faire son bonheur. Quand on en vient à le connaitre, il est si doux, si sincère. Parfois, cela me noue le coeur quand j'y pense.
- Certainement, approuva Eléonore en venant prendre le bras d'Antoine, et c'est pour cela que mes parents le considèrent comme leur fils et moi comme mon frère. Le sang ne me le rendrait pas plus cher.
- Un frère, oui...Mais imagine le comme époux, ne serait-ce pas mieux encore ? La voix de Saint-Just s'était réduite à un murmure rêveur. Il est si loyal, si dévoué. Non vraiment, tu ne trouveras pas mieux que lui.
-Pour ce qui est du physique... commença Eléonore
- Du physique ! répéta-t-il, le cri qu'il ne réussit par à réprimer attirant un instant l'attention de Brount vers lui. Comment peux tu parler du physique face à une telle âme ! Et puis de toute façon la physionomie de Maximilien n'a rien de désagréable, regarde, il est petit certes, mais il a les mollets bien fait, une mine intelligente, des yeux verts, un joli nez...
- Tu ne trouves pas qu'il a un style un peu démodé?
- Maximilien s'en fiche des fariboles de la mode! Il prends soin de ses vêtement et il est toujours bien mis. On ne peut pas en dire autant des trois quarts des députés qui siègent à la Convention avec les cheveux gras et les bottes crottées. Son style est très respectable.
Eléonore se mit à rire de bon coeur devant l'air révolté de Saint-Just.
-Antoine... Si moi je ne suis pas amoureuse de lui, rien ne t'empêche de l'être, toi.
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dreaminginthedeepsouth · 2 months ago
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Doctor Rieux thus resolved to compile this chronicle which you find before you in order not to number among those who keep quiet, in order to bear witness in favor of those who suffer the plague, in order that some memorial would exist of the injustice and the violence which had been inflicted upon them. He wanted quite simply to record what one learns in the midst of the pestilence, namely that there are more things to admire about human beings than to despise. . . He knew what this happy crowd did not know, but what it could have learned from books: the plague baccilus never dies nor disappears for good, that it may rest dormant for dozens of years in furniture, in furnishings, that it waits patiently in bedrooms, cellars, trunks and bookshelves; and that perhaps the day will come when to the misfortune or enlightenment of humanity, the plague will again bestir its rats and send them forth to die in a happy city.
[L]e docteur Rieux décida alors de rédiger le récit qui s’achève ici, pour ne pas être de ceux quise taisent, pour témoigner en faveur de ces pestiférés, pour laisser de moins un souvenir de l’injustice et de la violence qui leur avaient été faites, et pour dire simplement ce qu’on apprend au milieu des fléaux, qu’il y a dans les homes plus de choses à admirer que de choses à mépriser. . . [I]l savait ce que cette foule en joie ignorait, et qu’on peut lire dans les livres, que le bacilli de la peste ne meurt ni disparaît jamais, qu’il peut rester pendant des dizaines d’années endormi dans les meubles et le linge, qu’il attend patiemment dans les chambers, les caves, les malles, les mouchoirs et les paperasses, et que, peut-être, le jour viendrait où, pour le Malheur et l’enseignement des hommes, la peste réveillerait ses rats et les enverrait mourir dans une cité heureuse.
—Albert Camus, La peste, bk v (1947) in Albert Camus Théâtre, Récits et Nouvelles (Pléiade ed. 1967), pp. 1473-74. As Albert Camus reminds us, we delude ourselves by thinking that the baccilus of fascism is gone. It lies dormant to be revived again, as we witnessed on Nov 5
[Robert Scott Horton]
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crococookie · 11 months ago
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Tips pour RP avec des personnages ayant des troubles dys.
Je parle surtout avec mon vécu et les difficultés que je retrouve au quotidien.
(Mon texte ne sera pas corrigé via un correcteur en ligne. Risque de faute.)
• Éviter un maximum d'utiliser des polices avec des empâtement.
C'est aussi agréable pour nous que lire un pavé barré. (Lexend de Google font... Just perfect).
• Prenez le temps de séparer les lignes de dialogue du reste du texte.
Changer de couleur ne suffit vraiment pas. Sautez au moins une lignes avant et après. Surtout si l'espacement des lignes est petite.
• l'écriture inclusive c'est ok, mais pas pour tout. Le mélange de mots (celleux, createurices etc...) c'est juste une difficulté en plus pour nous.
Comme certains point médian ! Au mieux, demandez a la personne avec qui vous jouez si iel préfère le •, le . ou encore le bon vieux - (mon pref ! Celui qui le convient me mieux). Et le TOP DU TOP ! Utilisez des mots neutres, tout simplement. Genre "Les hommes et les femmes" dire "les personnes" aux lieux de celleux. (C'est mieux si l'écriture inclusive était vraiment inclusive pour un max de gens).
• Essayez d'être assez bref.
Genre ça sert vraiment a rien de broder le texte en rajoutant des mots inutiles pour dire que Eugène mange une tranche de pain de mie. Joliment le décrire, oui. En faire une tonne, non. Pas besoin de remonter jusqu'à la pouce du blé.
• Si on répond a côté de la plaque, nous le dire avec bienveillance.
Il arrive (souvent) qu'on lisent mal une phrase, ce qui peut changer le sens de la réponse qu'on nous a envoyé. Ce n'est pas un manque d'attention mais juste que parfois, certains mots se changent en d'autre mots, ce qui est problématique pour la conpréhension su texte.
• Écrire et surtout lire nous prend plus de temps et plus d'énergie.
Nous pressez ne sert a rien a part nous mettre mal. Quand le texte devant vos yeux, même avec la plus grande concentration au monde, est illisible (fatigue, stresse...). Bah on ne peut rien y faire.
• Nous rattraper sur nos fautes sans notre accord peut être... Extrêmement vexant et baisser notres estimes de nous.
On sait qu'on fait des fautes, et même avec une super explication on l'a refera au premier coup de fatigue. Écrire est surtout un plaisir, on n'as pas forcément envie d'avoir un court de français, même si de base le geste était bienveillant.
• Surtout... SURTOUT laissez nous une chance.
Personnellement j'ai souvent ressenti de la honte a cause de ça. Je fais des fautes, je passe mes RP au correcteur orthographique, mais certaines fautes restes.
Bien-sûr, chaque dys est unique. Certaines choses dites ici ne sont pas valable pour tout le monde. C'est surtout mon vécu et ce que j'ai pu entendre en parlant avec d'autre dys rpgiste (trop rare malheureusement, souvent pas honte).
C'est pour ça que le mieux à faire, c'est d'en parler en amont. A vous, personnes dys, de prévenir en cas de problème. Et a vous, les autres, d'être cool pour que tout le monde puisse partager un passe temps/passion dans la joie et la bonne humeur.
Les dys (et autres), n'ayez pas honte. Ce n'est pas parce que votre écriture n'est pas parfaite que vous écrivez mal. Nous ne sommes pas bête, pas fainéants, et non, nos troubles dys ne sont pas une "simple excuse pour mal écrire" mais bien un handicap.
N'hésitez pas a rebloguer si vous voulez rajouter quelque chose (surtout des petits conseils) ou a tout simplement le dire en commentaire.
Et soyez bienveillant, il y a déjà trop de colère en ce moment.
La bise ! ♥
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coovieilledentelle · 10 months ago
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Je ne changerai jamais mes amis fantastiques, ma vie merveilleuse, ma famille bien-aimée pour des cheveux moins gris ou un ventre plus plat. En vieillissant, je suis devenue plus amicale envers moi-même et moins critique envers moi-même.Je suis devenu mon ami…Je ne me blâme pas d'avoir mangé des biscuits supplémentaires, de ne pas avoir fait le lit ou d'avoir raté quelque chose de stupide dont je n'avais pas besoin. J'ai le droit d'être désordonnée, d'être extravagante. J'ai vu beaucoup de chers amis quitter ce monde trop tôt, avant de réaliser la grande liberté du vieillissement Qui m'en voudra si je décide de lire ou de jouer sur mon ordinateur jusqu'à quatre heures du matin et de dormir jusqu'à midi? Qui me critiquera de rester au lit ou devant la télé aussi longtemps que je le souhaite. Je vais danser avec ces merveilleux tubes des années 60 70 et 80 et si en même temps je veux pleurer pour un amour perdu …Si je veux, je marcherai le long de la plage en short trop allongé sur un corps en décomposition et plongerai dans les vagues avec abandon, malgré le regard pénalisant des autres . Ils vieilliront également. Je sais que parfois j'oublie, mais il y a des choses dans la vie qui devraient aussi être oubliées. Je me souviens des choses importantes. Bien sûr, au fil des ans, mon cœur s'est brisé. Mais les cœurs brisés nous donnent force, compréhension et compassion. Un cœur qui n'a jamais souffert est immaculé et stérile et ne connaîtra jamais la joie d'être imparfait. J'ai la chance d'avoir vécu assez longtemps pour avoir mes cheveux gris et mon rire juvénile gravés à jamais dans les sillons profonds de mon visage. Beaucoup n'ont jamais ri, beaucoup sont morts avant que leurs cheveux ne deviennent argentés.
En vieillissant, il est plus facile d'être positif. Vous vous souciez moins de ce que les autres pensent. Je ne me remets plus en question. J'ai gagné le droit de faire des erreurs. Donc, pour répondre à votre question, j'aime être vieux. J'aime la personne que je suis devenue. Je ne vivrai pas éternellement, mais tant que je serai encore là, je ne perdrai pas de temps à regretter ce qui a pu être ou à s'inquiéter de ce qui sera. Et si je le veux, je mangerai un dessert tous les jours. Avec du Champagne.
Que notre amitié ne soit jamais séparée, car elle vient du cœur !
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doublxpresso · 7 months ago
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Hi !!
( Warning ⚠️: I'm sorry, but I don't speak English very well (⬅️I don't even now if I can say that...) but I really really want to tell you something, so I'm gonna use french, and if you can't use a translator, tell it to me, I'll do my best to say it again in english 😔🙇🏻, sorry again)
Bon
Je voulais vraiment te dire que tes fanfictions link click m'apportent beaucoup de réconfort et de joie dans ma vie, c'est pas grand chose, mais c'est sincère !
Je voulais aussi te proposer quelque chose : je suis pas doué pour traduire du français en anglais, mais je peux traduire de l'anglais au français ! Alors si tu es intéressé par traduire t'es fanfictions en français, je suis là ( gratuitement, je précise, c'est juste parce que j'adore les tiennes, j'ai pas de diplôme de traduction, ou autre )!!
Thanks again, and keep doing wonderful things like that ❤️
PS : sorry, there's not really they/them pronouns in french, and I don't how to use them in french....
Amane
Salut Amane,
Bah du coup pas de soucis, il se trouve que je parle français haha!
Ca me fait super plaisir de lire ça, content que mes comics te plaisent! Je ne comptais pas du tout les traduire en français moi-même, alors si tu veux le faire, pas de soucis! N'oublies juste pas de me créditer si tu les repostes ^-^
En tout cas merci de m'avoir laisser un message malgré la barriere de langue, ça me fait super plaisir! (et ouai je sais, chiant les pronoms en français haha) Merci beaucoup <3
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crescent-city-rpg · 5 months ago
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Welcome Autumn !
Petite maj sauvage du matin pour mettre en place le design d'automne de Crescent City, by @boite-a-idees Pour celleux qui s'en souviennent, nous avions gagné le concours du forum de l'année sur @pubrpgdesign et c'est avec une grande joie que nous avons lu la newsletter spéciale sur notre gros bébé. Pour la lire, c'est par ici ! Prenez soin de vous ! Le Staff de CC.
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page-a-pages · 2 years ago
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Pas l'temps je lis (mai-juin 2023)
Pas l’temps je lis est la chronique que je tiens dans le supplément culture qui paraît chaque samedi dans le quotidien Le Temps. Ci-dessous vous trouverez la liste des livres présentés dans les chroniques. Elle permettra aux abonné.es du Temps de les retouver facilement, offrira des pistes aux lecteur.ices du blog et sera utile aux éditeurs.trices qui verront ainsi quels livres ont été retenus et auront une idée du ton de la chronique.
06 mai 2023 - Comment dorment les animaux
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Les Animaux dorment, Kjersti Annesdatter Skomsvold, Mari Kanstad Johnsen, Cambourakis - Album dès 4 ans
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Vive la sieste, Yuichi Kasano, L'Ecole des loisirs - Cartonné 0-3 ans
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Comment dorment les animaux, Marie Stumpfova, Jiri Dvorak, La Partie - Documentaire dès 3-4 ans
13 mai 2023 - Cadeaux de naissance
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Tu vois le jour, Laurent Moreau, Hélium - Livre accordéon dès la naissance
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Je, Olivier Douzou, Le Rouergue Jeunesse - Album dès 3 mois
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Les Images de Lou et Mouf: le chantier, la ville, Jeanne Ashbé, Pastel / L'Ecole des loisirs - Cartonnés 0-2 ans
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Mes p'tits doigts, Anne Crahay, CotCotCot - Album 0-2 ans
20 mai 2023 - Le temps du voyage
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Notre Voyage, Romain Bernard, La Partie - Album dès 3 ans
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Le Temps est rond, Victoria Kaario, Juliette Binet, Le Rouergue - Cartonné dès 2 ans
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Killiok, Anne Brouillard, Pastel / L'Ecole des loisirs - Album dès 6 ans
27 mai 2023 - Wouf Wouf !
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Iggy, Alex Cousseau, Janik Coat, Les Fourmis rouges - Album dès 4-5 ans
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Tout le monde a un teckel sauf moi, Charlotte Pollet, Biscoto - Album dès 4-5 ans
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Chien Pourri, le grand fourre toutout, Colas Gutman, Marc Boutavant, L'Ecole des loisirs - 6-9 ans
03 juin 2023 - Trois bandes dessinées
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Swamp, Johann G. Louis, Dargaud - Dès 12 ans
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Béa Wolf, Zach Weinersmith, Boulet, trad. Aude Pasquier, Albin Michel - Tous âges dès 10 ans
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Blancaflor, la princesse aux pouvoirs secrets, Sergio Garcia Sanchez, Rue de Sèvres - Dès 9-10 ans
10 juin 2023 - Des animaux pas si domestiqués que ça
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Bonne nuit, gorille, Peggy Rathmann, L'Ecole des loisirs - Cartonné dès 3 ans
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Tigre et Chat, Allira Tee, La Joie de lire - Album dès 5 ans
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Hector, Fred Dupouy, Lucie Maillot, Talents Hauts - Roman dès 8-9 ans
17 juin 2023 - Que fait-on le samedi?
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Jour de marché, Alice Oehr, La Partie - Album dès 3-4 ans
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Tommy fait les courses, Rotraut Susanne Berner, La Joie de lire - Cartonné dès 2 ans
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Pops et Mimosa. Mission salade, Emile Cucherousset, Thomas Baas, Actes Sud Junior - Album dès 6 ans
24 juin 2023 - Au coeur du végétal, les cycles de la vie
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Comment naissent les arbres, Charles Berberian, La Martinière - Album dès 4 ans
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De fleurs en fleurs, Anne Crausaz, MeMo - Album documentaire dès 6 ans
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Végétal, Juliette Einhorn, Hélène Druvert, la Martinière - Documentaire dès 9-10 ans
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jeanchrisosme · 1 year ago
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Aime une personne douce ... Le genre dont le cœur est brisé par les chiots et les enfants blessés. Quelqu’un qui pleure sur des fins tristes au cinéma et ressent une joie profonde par rapport aux gens heureux. Quelqu’un qui embrasse ton âme au lieu de ton cœur parce qu’ils savent que ton âme est là où tu gardes ton univers et que ton cœur n’est qu’une étoile. Le genre de personne à qui l’on dit qu’ils sont trop sensibles parce qu’ils ont un cœur plus fragile et facilement blessé. (Pourtant, les gens doux trouveront toujours une raison de sourire, peu importe à quel point les choses sont malheureuses.) Aime une personne douce. Un être humain qui a toujours un gentil sourire pour tout le monde, même quand ils ne retrouvent pas le sourire en retour. Quelqu’un dont le coeur est brisé par la condition de ce monde. Quelqu’un qui a toujours un mot gentil pour ceux qui ont reçu les pires nouvelles qu’ils pouvaient en ce moment. Un homme ou une femme qui ne peut pas regarder quelqu’un qui souffre et ne rien faire pour l’aider. (Vous voyez, les gens doux ne toléreront jamais l’injustice devant eux et ne laisseront jamais tomber quand quelqu’un est blessé.) Aime une personne douce. Une personne qui est positive, même dans le pire des cas. Quelqu’un dont la force n’est pas dans la bravade, mais dans le calme. Quelqu’un qui est fort pour les autres parce que c’est ce qui est nécessaire dans ce moment. Quelqu’un qui est la lune qui apaise à la place du soleil qui brûle. Quelqu’un qui voit le meilleur des gens même quand vous pensez qu’ils ne valent pas la peine. Le genre de personne qui veut toujours faire le meilleur pour ceux qu’il aime. (Parce que les gens doux ne supportent pas l’idée de blesser quelqu’un qui leur a accordé leur confiance.) Aime une personne douce. Le genre qui regarde quelqu’un qui se bat, que ce soit pour ouvrir une porte, ou a perdu ses clés et fera tout ce qu’il peut pour aider. Quelqu’un qui préférerait souffrir que de laisser tomber quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui essaie, pas parce que c’est ce qu’ils ont à faire, mais parce qu’ils veulent faire de leur mieux. Un être humain toujours prêt à communiquer et à parler. (Les personnes les plus douces demanderont toujours deux fois si vous êtes d’accord, quand vous dites que vous l’êtes, parce qu’elles peuvent lire les humeurs et comprendre quand vous avez besoin de quelqu’un qui vous écoute.) Protéger une personne douce. Ce genre de personnes est en train de se mettre en danger avec des mots comme «endurcir» et «vous êtes si naïf» et «ils vont profiter de vous». Quelqu’un que vous pouvez voir qu’on tente de le briser. Quelqu’un qui est une cible facile pour le ridicule parce que leur coeur est plus doux que la plupart des autres autour. Quelqu’un qui est rapide à s’excuser et réparer les choses indépendamment de la faute (Les personnes douces ont besoin de protection non pas parce qu’elles sont faibles, mais parce qu’elles ont été brisées brutalement par ceux en qui elles avaient confiance en leurs coeurs.) Sois une personne douce. Sois un coussin dans un monde plein de rochers et d’endroits difficiles. Sois une âme douce où tout le monde est blasé. Sois cette personne. Parce que les gens comme ça sont plus rares et plus précieux que les bijoux les plus rares de ce monde.
Nikita Gill
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ernestinee · 5 months ago
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Alors alors. J'ai fini le bouquin. Spoilers dans la suite au cas où vous voudriez lire malgré tout (il a 4,5/5 sur Babelio, je suis juste passée à côté mais foncez foncez, c'est un premier roman, il faut encourager l'écriture, et je suis loin d'être une référence en lecture)
Donc on en était au moment où elle est hospitalisée et Alexandrin devient pote avec le papa.
Et puis ça fait ça :
- tout va bien
- tout va bien
- tout va bien
- ils se marient
- elle annonce sa grossesse le jour du mariage
- tout va bien
- première écho, c'est des triplés.
- tout va bien malgré une légère inquiétude, pour rappel, elle est très malade du cœur
- tout va bien
- deuxième écho c'est des triplées. Monsieur ose raloter une seconde pcq il se voyait bien jouer au foot avec ses petits mecs. Après, il a très vite un élan de paternité protectrice pour toutes ses petites femmes.
- tout va bien.
- elle meurt subitement lors des premières contractions. Césarienne, les petites vont bien.
Alors après le décès, le personnage évolue, et c'est ce qui sauve un peu le livre à mes yeux, il y a de la tristesse, la présence subtile de Marie dans le caractère des filles, une joie légère et enfantine dans les petits détails précieux. La poésie va mieux à la mélancolie qu'au bonheur, c'est mon côté Baudelaire.
Alors je me pose des questions, pourquoi ce livre a-t-il 4,5/5 sur Babelio ? Est-ce que je suis une vieille conne aigrie ? Je n'ai pas aimé, ça ne veut pas dire que c'est mauvais, je ne me permettrais pas. Mais je n'ai pas aimé, je ne suis pas la cible, je suis passée à côté. Le texte est beau quand on aime la poésie. L'histoire est belle quand on aime que tout se passe bien. J'ai trouvé que c'était trop imprégné de clichés sur les hommes, les femmes, la vie. Le personnage principal m'est antipathique et encore maintenant je ne sais pas si c'était voulu. La fin sauve le livre mais tient en 20 pages.
Allez ⭐⭐⭐. La première pcq j'aime quand on ose écrire, la deuxième parce que la poésie est bien mariée à la prose, ça me l'a rendue plus digeste, la troisième parce que la mélancolie finale était douce à lire.
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atchela-wander · 8 months ago
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I'm currently doing a lot of "GO FCKING VOTE !!!" propaganda on Instagram for my fellow french froggies as the literal n*zis are back in town. Let me do it here as well.
👹
On a les pires droitardés racistes, anti-feministes, anti-social et lgbt-phobe du pays littéralement aux portes du pouvoir. S'ils ont la majorité absolue lors des législatives on est TOUS dans la MERDE.
T'es pas racisé.e, pas LGBT, ou pas une femme, les luttes du genre Kanaky et Palestine ça t'en touche une sans te faire bouger l'autre, voir les quatre à la fois ? Bah t'es pas riche non plus. Donc s'ils roulent sur l'Assemblée Nationale on va avoir plus de lois pour restreindre nos droits et nos porte-monnaies. Source: leurs votes à l'Assemblée Nationale et leur programme claqué au sol.
Oh, t'es riche ? Gg à toi, mais saches qu'ils vont se faire une joie de détruire notre culture. Et oui, ils se targuent d'être les garants de la culture franco-française, la vraie. De ce fait, ils rejettent TOUT ce qui ne relève pas de la pure tradition, du patrimoine. C'est littéralement la mort de l'art. Bonus: ils s'en foutent de l'écologie. Encore une fois, il s'agirait de lire les programmes si tu ne vois vraiment rien de grave avec ces clowns. (J'avoue qu'à part ça et te dire que tu passerais pour une grosse merde auprès de 99% de la population je vois pas trop quoi d'autre te dire ptdrrr-)
Alors je vous en supplie, ALLEZ VOTER ! Vous pouvez même voter pour des centristes bizzares du genre de Macron, mais par pitié ne laissez aucun terrain au Rassemblement National et ses pairs.
Vous pouvez pas aller voter ? Faire une procuration ça prend moins d'une heure. Le temps de remplir un formulaire en ligne sur le site du gouvernement (maprocuration . gouv) et aller au commissariat avec votre carte d'identité pour faire valider la demande si vous n'avez pas d'identité numérique valide. J'ai juré que le plus long c'est de demander à la personne à qui vous voulez filer la procu si elle est ok. Et le trajet jusqu'au commico.
Donc voilà. Si mon arrière grand père s'est fait enfermé par les n*zis alors qu'il les combattait c'est pas pour qu'on remette le couvert avec eux de si tôt. Si mes grands parents espagnols et italiens ont fui le fascisme dans leurs pays c'est pas pour nous voir le subir ici et ça ne me donne franchement pas envie de refuser l'asile à d'autres personnes.
Pays de la liberté, de l'égalité et des droits de l'homme il paraît...
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aurevoirmonty · 9 days ago
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Comme l'a souligné Marcel Conche, la société qui peut lire son avenir dans son passé est une société en repos, sans inquiétude. Sur cette permanence se fonde le sentiment de sécurité. Au contraire, les nouveautés, le "progrès" apporteront le trouble. À partir du moment où l'on rêve de cité idéale et de lendemains meilleurs, se trouve tué en chacun le contentement. Dès lors, domine le mécontentement de soi et du monde. Ce qui est figuré sur le bouclier d'Achille est au contraire une société heureuse, tout à la joie de vivre comme elle a toujours vécu. Les noces sont joyeuses, l'équité règne, l'amitié civique est générale. Quand la guerre survient, la cité attaquée fait front, tout le peuple se porte sur les remparts, l'ennemi n'a pas d'allié dans la place.
Dominique Venner, Un Samouraï d'Occident.
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marie-swriting · 16 days ago
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Chanceux - Bradley "Rooster" Bradshaw
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Top Gun Maverick Masterlist
Résumé : Bradley rentre après six mois de déploiement et vous ne pouvez pas rester une seconde loin de l'autre.
Warnings : Les personnes mineures, merci de ne pas le lire, car ce one shot a plus de thèmes sexuelles que d'habitude même s'il n'y a pas de smut, fluff, demande en mariage, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : So High School par Taylor Swift
-Le cours est terminé pour aujourd’hui, déclares-tu à tes étudiants qui cachent mal leur joie. N’oubliez pas que vous devez me rendre votre devoir sur Aristote et l’Ethique à Nicomaque pour vendredi prochain. Vous pouvez me l’envoyer par mail ou me le rendre en main propre, je m’en fiche, juste rendez-le à temps.
Tu fermes ton ordinateur et commences à ranger tes affaires dans un de tes sacs tout en saluant les étudiants qui quittent la salle. Tu réponds à quelques questions avant de tout éteindre et de partir de l’université, enfin en week-end.
Tu te rends dans le parking dédié aux enseignants tout en regardant tes notifications sur ton téléphone. Tu avais espoir qu’un message de Bradley qui est en déploiement depuis six mois t’attendrait, mais rien. Tu soupires et espères qu’il t'appellera ce soir. Tu sais qu’il rentre bientôt, mais tu ne peux t’empêcher d’être impatiente, il te manque. 
En arrivant vers ta voiture, tu ouvres la portière de derrière et commences à déposer tes deux sacs. Concentrée sur tes gestes, tu ne fais pas attention à tes alentours jusqu’à ce qu’une voix vienne derrière toi.
-Excusez-moi, madame, j’aurais une question sur le cours de philo…
-Bradley ! t’exclames-tu, un grand sourire en te retournant vers lui.
Sans attendre une seconde, tu cours jusqu’à lui et sautes dans ses bras, enroulant tes jambes autour de sa taille et en enfouissant ton visage au creux de son cou. Bradley te réceptionne facilement et te serre contre lui, humant ton parfum qui lui a tant manqué. Tu relèves la tête vers le visage de Bradley et l’embrasses passionnément. Tu passes tes mains dans ses cheveux, ayant besoin de t’assurer qu’il est bien là. Bradley répond à ton baiser avec autant de fougue.
-Un peu de tenu, on est dans une fac ici !
La voix de ta collègue et amie Savannah vous interrompt dans votre baiser. Vous la regardez et vous voyez son expression taquin sur son visage. Bradley te repose par terre et prend ta main dans la sienne. 
-Dieu merci, t’es enfin rentrée, elle va pouvoir me laisser tranquille.
-T’inquiète pas pour ça, je vais la garder occupée, répond Bradley à ta collègue avec un regard rempli de sous-entendus. 
-Je demandais pas les détails. À lundi, rigole-t-elle avant de quitter les lieux. 
-À lundi, réponds-tu avant de te tourner vers Bradley. Je croyais que tu revenais dans deux jours.
-On a fini plus tôt et je voulais te faire une surprise, t’informe-t-il en t’embrassant chastement. 
-Comment t’es venu jusqu’ici ? demandes-tu en regardant sa chemise hawaïenne blanche et bleue, ta préférée. 
-Jake m’a déposé. Savannah m’a dit à quelle heure tu finissais donc je t’ai attendue patiemment, enfin presque.
-Elle savait ?
-Comment j’étais censé te faire une surprise sans une complice ? questionne Bradley rhétoriquement avec un sourire.
-T’as de la chance que j’aime ce genre de surprise. Oh non ! J’ai rien dans le frigo, t’exclames-tu soudainement. Je voulais faire les courses demain pour tout avoir pour te préparer ton plat préféré. Tu m’arranges pas avec tes surprises, en fait ! 
-On prendra un truc au Hard Deck, j’ai dit au Squad qu’on serait là ce soir, te rassure-t-il en te faisant monter dans la voiture côté conducteur. 
-Oh, je pensais qu’on allait passer la soirée en tête à tête, dis-tu une fois que Bradley est sur le siège passager.
-T’inquiète, commence-t-il en embrassant ta joue, je compte bien rester au lit avec toi toute la journée demain, mais on doit d’abord être sociable. Après ça, tu pourras me faire tout ce que tu veux, murmure suavement Bradley dans ton oreille.
-Sale pervers ! t’écris-tu, faussement offusquée et en frappant gentiment son épaule. Je ne pensais pas forcément à ça. Bon, d’accord, peut-être, mais pas que ! avoues-tu, suite à son regard appuyé. Mon petit ami m’a manqué, je voulais aussi rester dans tes bras, innocemment. 
-Innocemment, oui, j’y crois.
Suite à sa phrase, tu roules les yeux, mais rigoles malgré tout. Bradley lance la radio alors que tu commences à sortir du parking. Il prend ta main droite dans la sienne alors que les premières notes de Great Balls Of Fire sortent de l’autoradio. Il n’en faut pas plus à Bradley pour se mettre à chanter, tu le suis aussitôt. 
Et au Hard Deck, c’est la majorité des personnes présentes qui suivent Bradley chantant la chanson alors qu’il est au piano. Tu ne peux t’empêcher de le regarder tendrement pendant qu’il met l’ambiance. Que ça t’avait manqué de le voir s’amuser au piano entouré de ses amis. Tu n’aurais pas pu rêver d’un meilleur début de week-end. 
Après avoir fait danser tout le Hard Deck, vous allez jouer aux fléchettes tandis que Jake lance une chanson. Javy lance la première fléchette, il est proche du centre de la cible. Avec un regard arrogant, Jake lance après lui et fait un meilleur score. En attendant, tu parles avec Natasha et Bob pendant que Bradley a son bras enroulé autour de tes épaules. Il se sépare de toi seulement quand c’est son tour. Après Bradley, Reuben lance une fléchette puis, on t’annonce que c’est à toi. D’abord, tu refuses, sachant très bien que tu n’y arrives jamais, mais tu finis par céder. Sans grande surprise, tu es loin du centre. 
Vous continuez de jouer et tu continues à toujours éviter le mille. Agacée, tu demandes à Bradley de t’aider, ce qu’il accepte avec grande joie. Tu te places devant la cible, Bradley derrière toi, il prend ta main avec la fléchette et la lève tout en te donnant des indications dans ton oreille.
-Tu sais, commence Jake, si tu veux des conseils d’un pro, c’est à moi qu’il faut demander, pas à la cervelle de moineau ici. 
-Elle veut juste une excuse pour être collée à Rooster, informe Coyote d’un air taquin.
-Mon offre reste la même, je suis une meilleure compagnie. 
-T’as intérêt à la fermer, Bagman.
Jake rigole suite à la phrase de Bradley, content de pouvoir l’embêter. Bradley fait vite abstraction de Jake et se reconcentre sur ton corps contre le sien. Bradley profite de ce moment pour poser sa main de libre sur ta hanche tout en te guidant, puis tu lances la fléchette et pour la première fois de la soirée, tu es proche du mille. Tu pousses un cri de joie avant de te retourner et d’embrasser Bradley pour le remercier. 
-On a compris vous êtes amoureux, on peut continuer la partie ?
Vous ne relevez pas de la remarque de Hangman et vous retournez vers Natasha et Bob. Finalement, tu arrêtes de jouer, préférant rester sur cette victoire alors tu continues de discuter avec tes deux amis. Quand Bradley t’abandonne une nouvelle fois pour jouer, tu en profites pour te rendre aux toilettes.
En sortant du cabinet, tu te laves les mains et quand tu lèves les yeux vers le miroir, tu sursautes en découvrant Bradley derrière toi. 
-T’es bête, tu m’as fait peur !
-Je te cherchais.
-Je suis juste partie faire pipi, j’ai le droit, non ? rigoles-tu.
Après t’être essuyée les mains, tu te retournes pour faire face à ton petit ami. Sans attendre, il s’avance vers toi et pose ses mains sur tes hanches avant de poser ses lèvres sur les tiennes, tu réponds à son baiser tout de suite. Bradley te rapproche un peu plus de lui alors que tu enroules tes bras autour de son cou. La langue de Bradley se mélange à la tienne et pendant une seconde, tu oublies où vous êtes. Bradley te pose à côté du lavabo alors que ses lèvres passent de ta bouche à ton cou et que tu enroules tes jambes autour de sa taille. Tu essayes d’étouffer ton gémissement contre l’épaule de Bradley. 
-Bradley, on devrait arrêter, dis-tu sans grande conviction. Les autres sont juste à côté, continues-tu alors qu’il t’embrasse avant de s’attaquer à ton cou à nouveau, et n’importe qui peut rentrer.
-Comme si tu voulais que j’arrête. 
-Bien sûr que je ne veux pas que tu arrêtes.
-Alors, je vois pas le problème. Je peux être rapide, affirme Bradley avec un sourire suffisant.
Ses baisers passent de ton cou à ta clavicule tandis que sa main quitte ta hanche et descend doucement vers le haut de ta cuisse. À contrecoeur, tu retiens sa main et Bradley relève la tête pour te regarder.
-Tout à l’heure t’étais déçue qu’on ne reste pas seuls et maintenant, tu m’arrêtes. Tu me perds ! s’exclame-t-il en rigolant, frustré. 
-On ne s’est pas vus pendant six mois, il est hors de question qu’on couche rapidement ensemble aux toilettes du Hard Deck.
-Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? J’ai envie de toi.
-Amène-moi au lit ou perds-moi pour toujours, Bradley Bradshaw.
-Pas besoin de me le dire deux fois. Je vais payer la note, récupère ton sac. 
Un grand sourire aux lèvres, tu quittes les toilettes et retrouves tes amis avant de récupérer tes affaires à la hâte.
-Qu’est-ce que tu fais ? te demande Natasha.
-Bradley est fatigué, on va rentrer.
-Fatigué, Bradshaw ? rigole Natasha en le voyant arriver et prendre ta main.
-Mort. Salut, les gars, dit-il en te tirant vers la sortie.
-Protégez-vous, je veux pas être parrain maintenant !
Bradley fait un doigt à Jake suite à sa remarque alors que vous quittez le Hard Deck tout en riant comme des adolescents. Autant dire, que c’est la première fois que vous partez du bar aussi vite. 
Après avoir passé une journée complète seuls dans votre maison, vous décidez qu’il est temps d’être sociable à nouveau. Après tout, Natasha est censée repartir en déploiement dans une semaine donc vous voulez en profiter pendant qu’ils sont encore tous là. 
Le dimanche après-midi, vous vous retrouvez à la plage. Les hommes jouent au football proche de l’Océan tandis qu’avec Natasha, vous avez préféré rester sur vos serviettes pour bronzer et profiter de la vue. Et profiter de la vue, pour toi, ça veut dire regarder ton petit ami torse nu en train de lancer le ballon à ses amis. 
-S’il te plaît, arrête, soupire Natasha.
-Quoi ?
-T’as beau avoir tes lunettes de soleil, je sais très bien que tu mates Rooster.
-C’est un crime de mater son copain ?
-En présence de ton amie célibataire, oui.
-Je vais arrêter, mais je te promets rien.
-Vous êtes horriblement mignons, se plaint-elle avant de marquer une pause. Je suis contente que Bradley t’ait trouvée, affirme ton amie, sincèrement.
-Je suis chanceuse de l’avoir trouvé.
-Tu sais, avant de te rencontrer, Bradley ne croyait pas vraiment en l’amour. Enfin, il y croyait, mais pas pour lui. Il a toujours idéalisé ses parents et il pensait que ce qu’ils avaient était rare alors, il ne se donnait jamais à fond dans ses relations. À quoi bon être en couple, s’il n’aurait jamais ce qu’ils avaient ? Puis, il t’a rencontré et tout a changé. Je ne l’avais jamais vu aussi heureux. 
-Il ne m’avait jamais dit ça, déclares-tu avec un sourire doux-amer. Je n’avais jamais été aussi heureuse avant lui non plus, tu sais. Je dis pas que mes anciennes relations ne m’ont pas comblé, celles qui se sont bien passées étaient belles, mais rien à voir avec ce que j’ai avec Bradley. Avec lui, c’est simple, rempli de passion et d’amour, expliques-tu en regardant brièvement Rooster. À chaque fois que je le regarde, je me sens comme… une lycéenne qui a le béguin pour la première fois, bien que je n’ai jamais vraiment connu ça, j’ai eu mon premier petit ami à dix-neuf ans. Je sais, c’est stupide, on est dans la trentaine, on est plus des gamins mais jamais je n’aurais cru trouver une relation aussi pure. Pour la première fois, imaginer un futur avec quelqu’un, c’est simple. Peu importe quel futur, mariés ou pas, enfants ou pas, tant qu’on est ensemble, ça me va. 
-On vous taquine beaucoup, mais on espère sincèrement que ça durera entre vous deux, te sourit Natasha avant de regarder en face d’elle. Tiens, quand on parle du loup, ton prince charmant arrive.
Bradley trottine vers toi, ses lunettes de soleil sur le nez et le corps luisant de sueur. À ta hauteur, Bradley se baisse et t'embrasse chastement. Il s’assoit sur le sable, à côté de tes jambes. 
-Alors, vous avez gagné ? lui demandes-tu.
-Regarde Hangman et t’auras ta réponse.
Sachant qu’il n’était pas dans son équipe et que tu peux entendre Jake crier à la tricherie, tu devines facilement que l’équipe de Bradley a gagné. 
-Ça mérite un câlin, déclare Bradley en s’approchant de toi.
En une seconde, tu poses ta main contre son torse pour le repousser.
-Tu transpires, c’est hors de question. Va te baigner et reviens après.
-Très bien, M’dame. 
Sans t’y attendre, Bradley te soulève et court vers l’eau pendant que tu protestes. Tu lui demandes de te reposer alors que vous entrez dans l’Océan. Tu te tiens tant bien que mal à Bradley, ignorant la sueur que tu critiquais plus tôt.
-Je ne veux pas mouiller mes cheveux, informes-tu, espérant qu’il te laisse tranquille.
-Je te ferai ta routine de cheveux, promis.
-Même, tu n’as pas intérêt, menaces-tu faussement.
Bradley fait d’abord semblant de te lâcher avant de plonger avec toi. Quand tu sors ta tête de l’eau, tu éclabousses Bradley, prétendant être en colère.
-La guerre est déclarée, Bradshaw.
Alors que vous rigolez, tu essayes de te venger en faisant tomber Bradley dans l’eau. Finalement, vous passez le reste de l’après-midi à vous baigner et à vous chamailler. Comme promis, le soir, Bradley fait ta routine complète de cheveux pour se faire pardonner. 
Pendant la semaine, quand tu as un moment de libre, tu en profites pour rester avec Bradley dans votre maison. Le dos collé contre le torse de Bradley, vous êtes sur le canapé en train de regarder American Pie. Cette comédie qui est plus érotique que romantique est importante pour vous deux. C’est en regardant le premier opus que Bradley t’a embrassé. 
Avant ce moment, vous aviez eu deux rendez-vous, mais aucun de vous deux n’avait osé passer le pas. Pour votre troisième rendez-vous, tu l’avais invité chez toi et vous aviez décidé de regarder American Pie que vous n’aviez pas vu depuis quelques années. Sur le canapé, vous étiez proches, mais avec une distance tout de même. Tandis qu’à l’écran John utilisait le terme “MILF” pour parler de la mère de Stifler, tu avais fait une blague qui avait fait rire Bradley et sans pouvoir tenir plus longtemps, il t’avait embrassé. 
C’était il y a trois ans et c’est un souvenir que vous chérissez encore. Il est donc normal qu’American Pie soit devenu votre film. Alors que vous vous approchez de la scène iconique de John, Bradley te serre un peu plus contre lui avant de baisser un peu le son de la télé, attirant ton attention.
-Je me rappelle encore à quel point j’étais nerveux avant de t’embrasser. Je crois que je n’avais jamais été aussi nerveux d’embrasser une fille avant.
-Je te faisais peur ou quoi ? blagues-tu. 
-Tu étais trop bien pour moi, tu l’es encore. J’arrive toujours pas à croire que tu veuilles de moi. Tu sais, je me souviens aussi de la première fois que je t’ai vu.
-Quand j’étais au Hard Deck avec Savannah, déclares-tu en repensant à ce moment avec tendresse. 
-Non, à la plage, corrige Bradley, te faisant froncer les sourcils.
-De quoi tu parles ? On s’est rencontrés au Hard Deck, un vendredi soir. Je m’en rappelle parfaitement.
-On a parlé la première fois au Hard Deck, mais la première fois que je t’ai vu, c’était avant.
-Je m’en rappellerais si on s’était rencontré avant.
-C’était environ deux semaines avant ce fameux soir au Hard Deck, explique-t-il avec un sourire. Tu étais à la plage, seule, en train de lire en grec ancien Le Banquet de Platon. Tout de suite, tu avais attiré mon attention. C’est pas tous les jours qu’on croise quelqu’un lire en grec, encore moins en grec ancien. À un moment, tu avais relevé la tête, tu attendais sûrement Savannah et quand j’avais pu voir ton visage, j’avais été pris au dépourvu. Je n’avais jamais vu quelqu’un aussi magnifique. J’avais envie de te parler, mais j’ai eu un appel de TopGun, je devais régler une paperasse et quand je suis revenu, tu n’étais plus là alors quand je t’ai recroisé au Hard Deck plus tard, je n’ai pas perdu une seconde.
-Tu ne me l’avais jamais dit. 
-Je voulais te le dire à un moment bien précis.
-C’est-à-dire ? demandes-tu alors que Bradley se lève du canapé et t’invite à faire de même. Qu’est-ce que tu fais ?
-La première fois que je t’ai vu, je savais que je devais te parler, commence Bradley, nerveusement. Et comme je viens te le dire, j’avais loupé l’occasion la première fois et j’ai eu de la chance, j’ai pu te croiser une deuxième fois et enfin faire ta connaissance. À ce moment-là, j’ignorais à quel point tu compterais pour moi, mais j’étais sûr d’une chose, je devais apprendre à te connaître et c’est ce que j’ai fait. Et je n’ai jamais regretté une seule fois. On est ensemble depuis trois ans et je veux toujours plus, dit-il avant de poser un genou à terre et de sortir un écrin de sa poche, alors me ferais-tu le grand honneur d’être ma femme ?
-Mon Dieu, oui ! Bien sûr que je veux être ta femme, t’exclames-tu en te jettant dans ses bras et en l’embrassant. 
Quand tu détaches tes lèvres de celles de Bradley, il respire normalement à nouveau et sort la bague de son écrin avant de te la passer au doigt. Détaillant du regard le bijou plus attentivement, tu la reconnais. Tu as déjà vu cette bague sur des photos, c’est celle de sa mère. Bradley n’a pas hésité une seconde avant de la choisir pour faire sa demande. Il s’était toujours dit que s’il était assez chanceux de trouver un amour qui serait la moitié de celui de ses parents, alors il utiliserait la bague de sa mère. Et quand tu es entrée dans sa vie, tu lui as prouvé à quel point il était chanceux car avec toi, il a trouvé un amour aussi extraordinaire que celui de Nick et Carol, si ce n’est plus.
Top Gun Maverick Masterlist
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loeilbavard · 30 days ago
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Le temps des loups
C’est typique, on parle plus des guerres que des reconstructions. Lire sur l’Allemagne d’après guerre c’est mieux comprendre l’Allemagne d'aujourd'hui. Ce livre est fabuleux, riche et documenté. Les photos d’archives apportent aussi beaucoup au propos. Harald Jähner explore tous les angles de la vie dans cette Allemagne vaincue, des plus légers aux plus graves. Il parle des 26 000 femmes qui ont dégagé les gravats de Berlin dans les belles robes qu’elles portaient dans les abris. Les seules robes qu’elles avaient pu sauvegarder. Le chapitre sur « La grande migration » rend compte des 40 millions de déracinés, des 10 millions de soldats allemands amochés qui retournent chez eux. J’ai été consternée de lire que les survivants des camps de concentration sont demeurés longtemps en Allemagne après avoir été libérés. Ils restèrent parqués dans des camps de réfugiés de l’ONU pendant des années et parfois dans les habits de camp. Un camp en particulier, celui de Föhrenwald a définitivement fermé en 1957! Le livre raconte aussi le marché noir où tout se paie en cigarettes ou en nature. Le chapitre sur la Coccinelle de Volkswagen nous apprend que ce sont les Alliés qui ont finalement fait un succès de l’idée d’Hitler d’offrir des autos économiques au peuple. Hitler avait délaissé son projet pour envahir la Pologne. On y apprend aussi comment la joie d’avoir survécu a suscité une énergie phénoménale de sorte que les cinémas, les salles de danse et les concerts ont repris avec une rapidité déconcertante. Deux semaines après la fin de la guerre, l’Orchestre Philharmonique de Berlin a donné un concert. Les musiciens avaient déblayé de leur mains le théâtre. Et évidemment, comment les Allemands ont fait face à leurs démons. Les procès, les condamnations et la dénazification. Le temps des loups est un livre magistral.
« ..c’est la même chose dans toutes les guerres. Quand on avance, c’est en masse; quand on recule c’est chacun pour soi » (Hans Habe, Zone Interdite)
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papillondusublime · 2 months ago
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Ah! Te dirai-je, ma fille, Ce pourquoi mon cœur vacille. Quand de travail je déborde, Comme l'évier de vaisselle, Larmes me tire sans corde La tourbe sous tes semelles. Ce qui cause mon tourment, Tu l'ignores, douce enfant. Amère est ma vie; moi seule Ai une place en cuisine. L'on me dit: « Ferme ta gueule! » Mais mon ventre crie famine. Papa veut que tu raisonnes Mais moi, que ta voix r��sonne. Ma fille, dans un bureau, La mienne étouffe avec moi. Comment, entre des barreaux, Délivrer un air de joie? Comme une grande personne, Il me faut, pour être bonne, Rêver petit sous un ciel Qui arrache mon plumage, Voler de mes propres ailes Tout en restant dans ma cage. Moi, je dis que les bonbons Auront, plus tard, goût de plomb. Tu sauras qu'ils font grossir Et amincissent l'émail, Qu'une femme doit grandir En hauteur et non en taille. Valent mieux que la raison Les jouets dans la maison. Mais, dans le monde des grands, Sont punis ceux qui partagent; Qui vole un rêve d'enfant, Sa peluche, est nommé sage. Poésie: extrait de "Ah! Te dirai-je, ma fille", à lire dans "Genèse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme
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