#ils se sont persuadés de dire la vérité ! »
Explore tagged Tumblr posts
Text
« A force de mentir, ils se sont persuadés de dire la vérité ! »
Au lieu de résoudre les crises, le pouvoir les accentue !
Temps de lecture = 1 minute Le gouvernement va taxer tous azimuts et il va faire en sorte que le pouvoir d’achat des Français soit encore réduit davantage. Par Alexandre Goldfarb Continue reading « A force de mentir, ils se sont persuadés de dire la vérité ! »
#Alexandre Goldfarb#à force de mentir#ils se sont persuadés de dire la vérité#Observatoire du MENSONGE#politique
0 notes
Text
Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 20
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Hello les loulous !
Vous lisez certainement cette intro un moment après la publication du post sur le chapitre 19, mais sachez que je commence immédiatement après avoir fini le chapitre précédent. Celui-ci était si mauvais que j’ai désespérément besoin de prendre quelque chose de bon dans cette saga avant de refermer mon document LibreOffice.
La dernière fois, Mara trahissait l’Empire, tuait un Très Haut Mage et volait la sphère-négation, tout ça dans un chapitre qui arrivait à être chiant à mourir en dépit des enjeux.
Aujourd’hui, nous rejoignons notre mauvaise troupe sur Tadix. Le chapitre 20 s’intitule « Archange, ou comment découvrir que son futur potentiel peut-être petit copain voire fiancé est sans doute un sérial killer. »
Bref, la dernière fois qu’ils apparaissaient, nos sacrés camarades venaient tout juste d’invoquer Archange et sa clique, ce à quoi certains dragons ne réagissaient pas très bien.
Archange ordonne à ses démons de se calmer avant que tout ça vire au bain de sang. Tout ce beau monde se détend, les démons sont tous des top models, et Archange va voir Tara, ravi de la croiser. Tout ça ne plaît pas du tout à Cal, qui lâche un grognement. Parce que même le génie du groupe réagit comme un clebs quand il voit sa copine se faire draguer par un prétendant politique.
« Fafnir écrasa le pied de Cal, ce qui le fit sursauter. Il jeta un regard blessé à la naine, qui le lui rendit froidement, haussant ses sourcils roux d’un air de dire : « Eh bien quoi ? Tu veux vraiment tout faire rater ? » »
Putain, même Fafnir a une réaction logique, tu la sens ton efficacité, Cal ?
« Il se sentait l’âme d’un homme de Cro-Magnon. À moi ! À moi ! En fait, il aurait bien attrapé Tara pour l’emmener dans sa caverne. (les hommes de Cro-Magnon ne méritent pas la comparaison avec Cal. Et je suis persuadée qu’ils étaient mille fois plus subtils que ce que Madame S.A.M. imagine. Also Cal vient d’Autremonde et les bouquins passent leur temps à nous dire qu’il est inculte sur tout ce qui concerne la Terre, il ne devrait pas se faire ce genre de réflexion)
Sauf que, pour l’instant, Tara avait l’air littéralement hypnotisée par le bellâtre. Elle le regardait comme s’ils étaient seuls au monde. Cal espéra très fort que c’était du cinéma. Qu’elle n’oubliait pas que ce… truc était un monstre sous ce corps trop parfait. (Oh mais fait chier… qu’est-ce qu’on en a à foutre de la réelle apparence d’Archange ? Certes, je ne choisirai peut-être pas un démon pour une partie de jambes en l’air, mais 1/ peut-être qu’il y a des gens qui aiment bien, d’où tu juges. 2/ les relations inter-espèces ne doivent pas être si rares que ça dans cet univers, il y en a eu plusieurs simplement dans le magic gang 3/ La visée de Tara n’est pas de se marier par amour pour Archange, mais pour former une alliance politique qui leur éviterait une guerre ! Un autre parti envisagé était Chem, tu crois qu’elle a envie de pécho son mentor ? Donc qu’est-ce qu’on s’en fout d’à quoi il ressemble en vérité, ou du fait qu’il cache à quoi il ressemble ?? L’essentiel, ce sont ses actions, à la fin, pas le nombre d’yeux qu’il a !)
En fait, si Cal avait été dans les pensées de Tara, il aurait été encore plus inquiet. Parce que lorsque Archange avait plongé ses yeux verts dans les yeux bleu marine de Tara, la jeune fille avait senti… quelque chose.
Comme si elle était attirée par Archange. Un peu comme ce qu’elle ressentait… avait ressenti pour Robin, lorsqu’elle était folle amoureuse du demi-elfe. »
Ce bouquin aurait dû s’appeler « Tara Duncan : Adonis contre apollons ». Quand j’ai commencé ce PDF, j’attendais de la baston, pas un concours de JoJo poses. Je veux juste qu’un dragon casse la gueule d’un démon à ce stade, s’il n’y a que ça je serai déjà contente. C’est dire.
Sur ce, Archange ordonne à ses subalternes de distribuer les cadeaux qu’ils ont amené.
« Les démons avaient bien étudié les Omoisiens. Ils savaient ce qui allait plaire à Lisbeth. Tout n’était qu’or et joyaux étonnants, pierres extraites de leurs planètes, nouvelles couleurs, nouvelles textures, étoffes soyeuses rebrodées d’animaux improbables. Tara ne put s’empêcher d’être surprise. Elle ne savait pas pourquoi mais elle avait du mal à imaginer que les démons avaient un tel sens artistique. Mais elle comprenait très bien ce qu’ils faisaient. « Regardez, nous ne sommes pas différents de vous, nous aimons les mêmes choses, nous avons le sens de la beauté, soyons amis. »
C’était incroyablement habile. D’ailleurs, tout autour d’elle, elle sentait que les gens se détendaient »
Putain mais quelle habileté de fou d’offrir des cadeaux pour briser la glace face à des alliés politiques. Trop malins les gars. Stade avancé de réflexion, 4739 de QI, hauts potentiels intellectuels.
« [Lisbeth] leur offrit de précieuses semences, des blés résistant aux maladies, des pousses d’arbres fruitiers en stase prêtes à être plantées, des embryons d’animaux, un millier environ, des objets et gadgets fabriqués par ses usines et ses savants. Elle montrait l’étendue de ce qu’AutreMonde et Omois pouvaient apporter aux nouvelles planètes. Les machines mi-mécaniques mi-magiques, des systèmes de communication (elle avait la ferme intention d’inonder ce nouveau et juteux marché avec ses plaquettes de cristal-phone super-sophistiquées avec projection holographique des appelants, mémoire de plusieurs milliers de TMO52 etc.), des connaissances médicales aussi, des sorts de Reparus automatiques très coûteux et complexes, puisqu’on ne pouvait pas se guérir soi-même, ou encore de merveilleux parfums, des onguents onctueux et adoucissants, bref, un panel très varié dans lequel leurs futurs partenaires commerciaux allaient pouvoir choisir ce qui leur serait utile.
C’était aussi intelligent que ce qu’avaient fait les démons. »
Nan. Nan, c’est bien plus intelligent que ce qu’ont offert les démons, bien plus élaboré et ciblé, et une plus grande preuve de considération. Rendons à César ce qui appartient à César, ça, c’est une écriture de Lisbeth telle qu’elle la mérite. D’autant que, si on est indulgent envers madame S.A.M. et qu’on choisit de dire que ce n’est pas un élément sorti du chapeau, les Reparus automatiques ne sont pas répandus dans l’univers de Tara Duncan. Ce qui signifie que Lisbeth réserve ces éléments coûteux à la diplomatie avec les démons. Très in-character pour le personnage. À côté de ça, les tissus péniblement décrits que leur offrent les démons, ils peuvent aller se rhabiller avec.
« De fait, avec ses coffres regorgeant de joyaux et d’étoffes, il paraissait un peu futile, quoique très luxueux, alors que l’Impératrice montrait sa volonté de commercer. D’accord. Le point était pour Lisbeth. Il tourna son regard vers Tara. La jeune fille l’avait certainement conseillée. Il ne devait pas, jamais, sous-estimer l’intelligence de la jeune humaine. »
Oui bah c’est ça, suppose que le mérite revient à Tara et pas à Lisbeth. C’est sûr que Lisbeth n’a pas l’intelligence de prendre cette décision elle-même. Elle n’est jamais qu’Impératrice d’Omois depuis plusieurs années. Une broutille.
Bon, cela dit, vu la façon dont elle a exercé son pouvoir dans les chapitres précédents, la narration a probablement raison d’accorder cette idée à Tara. Mais ça m’énerve profondément.
Archange est parfait et il trouve Tara parfaite, blablabla. C’est l’heure de la récré, et par récré on entend que les démons vont se balader un peu partout et le reste des gens présents aussi. On a une redite de la blague « Ce serait drôle si on tuait un démon sans faire exprès oupsie » du chapitre 17, mais qui ne marche pas cette fois. Les âmes démoniaques, prisonnières des objets que porte Tara, se tiennent à carreau.
Un Tadixien vient s’enquérir du magicgang, ce qui fait réagir bizarrement Fabrice, qui se demande s’il ne serait pas atteint un peu par la magie démoniaque de la troupe d’Archange. Oupsie doupsie.
« Fabrice aurait dû rester sur Terre » : 3 (surtout que pour l’instant il est aussi utile qu’un plot).
Et sur ce, Glubl est de retour !! Vous savez, le type que rencontre Moineau pendant la réception, dans le chapitre 4 ? Je l’aime bien, même s’il n’a pas fait grand-chose pour l’instant. C’est le moment d’en apprendre un petit peu plus sur lui :
« Comme Sylver, il était une sorte d’hybride. Une création artificielle voulue par un sortcelier qui désirait que des humains, et non plus des gnomes, soient capables de communiquer avec les Santivoriens. Il avait donc mélangé les ADN, mis les produits dans le ventre de plusieurs mères porteuses humaines, puis attendu de voir ce qui allait en sortir. La majorité des infortunés frères et sœurs de Glubl étaient morts ou étaient nés si déformés que la mort aurait été préférable. Fort heureusement, le sortcelier en question avait fini par être démasqué et emprisonné. Glubl avait été confié à des parents humains, mais, très jeune, avait manifesté de grandes capacités télépathiques. Dès qu’un Diseur se promenait à proximité, le jeune garçon était capable de percevoir ce qu’il disait. »
Bon, mis à part cette histoire d’être né « si déformé que la mort aurait été préférable » (je vois d’où ça vient mais ça a des petits relents de validisme quand même), je trouve l’origin story de Glubl cent fois plus intéressante que tout ce qui a été tenté en terme de personnages jusque-là. Sincèrement.
Tara va pour se reposer, mais elle croise…
« Mourmur les attendait près de l’entrée du couloir alors qu’ils se dirigeaient vers leurs chambres. »
YES, enfin ma dopamine est de retour.
« — L’Impératrice ne fait pas confiance aux démons (ça, elle n’était pas la seule !). Elle pense qu’ils vont peut-être tenter d’utiliser leur magie démoniaque afin de faire venir d’autres démons, maintenant qu’autant d’entre eux sont ici. Mes petits bijoux sont là pour les en empêcher. Ils bloquent le flux du pentagramme, on ne peut pas l’utiliser, et si on passe les défenses de mes machines, elles émettent tout de suite un signal d’alarme qui réveillerait un mort. Elles passent aussi du vert au rouge dès qu’un vortex est ouvert dans un rayon de cent tatrolls (j’ai tendance à penser qu’il y a plus subtil, comme alerte. Genre quitte à ce que Lisbeth et Tara aient toutes les deux des montres, utilisez-les pour les avertir discrètement, afin que les démons ne se doutent pas qu’on sait ce qu’ils sont en train de faire ? C’est donner une information capitale à un potentiel ennemi... Bon je sais pas pourquoi je me fatigue, Mourmur son truc c’est les explosions, pas la discrétion). Grâce à ma présence dans le cercle, j’ai pu mesurer tout ce dont j’avais besoin pour nous protéger et surtout pour les calibrer. Pardon si cela a pris autant de temps, mais j’ai dû utiliser une partie de la magie que vous envoyiez dans le vortex afin de les rendre compatibles avec. (Mourmur qui s’excuse ? OOC, je suis entièrement sortie de l’histoire. Plus sérieusement, le mec est giga imbu de lui-même et a une trop forte confiance en lui, il devrait plutôt se vanter)
Le vieux savant avait l’air très satisfait de lui (MERCI, ça c’est le Mourmur que je connais). Tara comprenait à présent un peu mieux pourquoi il avait fait partie de l’étoile du pentagramme, alors qu’il était le plus faible d’entre eux en magie, et de loin, mais aussi pourquoi il avait été si long et si compliqué de faire venir les démons »
Oui, c’est bien ce que je pensais, Mourmur n’excelle pas en magie comme le reste de la famille. Faut pas s’étonner après si c’est mon personnage préféré (même si, faut avouer, s’ils avaient continué de développer Manitou, ça aurait sans doute été lui mon préféré).
« Ils hochèrent tous la tête d’un air très convaincu.
Tara aperçut du coin de l’œil une silhouette qu’elle connaissait bien.
Angelica.
La peste parlait avec un démon qui semblait l’écouter avec passion.
Tara serra les lèvres. Qu’est-ce que son ennemie était en train de manigancer encore ?
À la fin de la discussion entre Angelica et le démon, alors que Mourmur continuait à expliquer ce qu’il avait mis en place pour les protéger, Tara faillit avaler de travers. Angelica venait de poser la main sur le torse musclé du démon, moulé par une fine chemise bleue. C’était un geste très intime pour quelqu’un qu’elle avait dû rencontrer deux minutes plus tôt ! Le démon sourit et ils partirent ensemble.
— Et toi, Tara, qu’est-ce que tu en penses ?
— Hein ? dit Tara qui n’avait pas écouté un mot.
— Deux, répondit Cal, moqueur. (Bon, je peux critiquer Cal autant que je veux, mais celle-là j’aurais pu la faire, j’accepte. L’un de mes crushs répond bien « Feur » quand on lui dit « Quoi », donc bon...) Nous nous demandions si tu pensais que les démons étaient aussi inoffensifs qu’ils s’appliquent à le paraître ou bien des bêtes assoiffées de sang. Pour l’instant, les bêtes assoiffées de sang mènent cinq voix contre une, notre amie Fafnir s’obstinant à les trouver « mignons ». »
Étrangement, j’aime bien cette scène… ? Oui, mes standards ont fortement baissé, mon fav c’est Mourmur et je lis Tara Duncan, de plus le chapitre précédent était affreux… Mais en terme de mise en scène et de dialogue, elle fonctionne. C’est facile de la visualiser car elle se découpe exactement comme un extrait de série télévisée. Là je comprends l’idée, et c’est plutôt bien retranscrit.
Tara apprend que Lisbeth a décidé d’éloigner les chambres de ses amis de la sienne. Mais bon, le fait que Lisbeth accepte leur présence est déjà une faveur que j’ai du mal à comprendre.
« Tara rentra donc seule dans sa suite toute blanche et prit une douche pour délasser ses épaules fatiguées par la charge de magie. Les sièges, perchés sur de fragiles tiges d’acier, robots animés et non pas magiques, s’écartaient sur son chemin. La première fois qu’elle s’était assise sur l’un d’eux, elle avait eu peur que son poids ne le fasse basculer ou ne le casse, mais le siège avait tenu le choc. Puis, d’une voix métallique, lui avait signalé qu’elle pouvait se laisser aller, qu’il était inutile qu’elle se tienne sur la pointe des pieds afin de répartir son poids et qu’il avait été fabriqué pour supporter une masse de deux tonnes. Tara avait fait la grimace, ces robots étaient un peu trop malins à son goût. Elle préférait les bons vieux fauteuils de bois confortables animés sur AutreMonde.
Au moins, eux ne parlaient pas. Enfin, pas encore »
Des fauteuils animés comme des robots c’est giga stylé, Tara est juste une hater des Tadixiens, c’est fou. Je suis sûre que si Mourmur ou Cal lui avaient fabriqué la même chose elle aurait trouvé ça super original et inventif. Et puis bon, un truc en principe pas vivant mais qui parle et rend des services elle en a un sur sa nuque, c’est sa changeline. Et je doute que son exosquelette du tome précédent n’était pas un poil robotisé. Les doubles standards ça suffit.
Bon, j’exagère, je ne suis pas opposée à ce qu’ils développent l’aversion irrationnelle de Tara envers une planète inconnue. C’est simplement dommage que ce soit contre Tadix qu’elle soit hostile, car à part les mœurs des Tadixiens autour des banquets, il n’y a rien d’extraordinairement détestable. Au moins, la narration nous fait savoir que ce n’est que le point de vue de Tara. Pour l’instant.
« La changeline lui créa un pyjama moelleux et frissonnante, parce que la température était un peu fraîche dans sa chambre, (je ne sais pas pourquoi j’ai ri en imaginant à quoi ressemblait un pyjama « moelleux et frissonnante ». Disons que coller ces deux bouts ensemble n’était pas super habile) Tara se glissa avec Galant à ses côtés dans le grand lit tout aussi blanc. Elle posa les Objets près d’elle, les sangles se resserrèrent afin de l’empêcher de s’envoler pendant son repos et sombra dans un sommeil sans rêve, tandis que son pégase l’enveloppait de ses ailes duveteuses. (mais l’image de cette chambre… je veux vivre là-bas, vraiment. Pourquoi on passe autant de temps sur AutreMonde ? Tout ce qu’ils ont pour eux c’est des palais faits en pierres précieuses)
Le lit la réveilla une heure plus tard, tandis que les sangles se rétractaient et qu’une douce lumière commençait lentement à éclairer la chambre. Tara sourit en réalisant qu’elle était surprise. D’habitude, soit on l’enlevait, soit quelqu’un s’introduisait dans sa chambre, soit il se passait quelque chose de bizarre ou d’étrange. Et là, rien. Comme si on lui donnait un petit répit avant que les choses vraiment sérieuses ne commencent. Elle s’étira et commença à se lever.
Puis se figea lorsqu’une voix bien connue murmura doucement.
— Tara ? »
Et le chapitre se termine ainsi ! J’ai bien fait d’enchaîner avec celui-là, il était nettement plus agréable à lire.
La prochaine fois, nous nous concentrerons sur Robin ! Ce sera l’occasion de savoir ce qui lui est arrivé.
D’ici là, à toutes !
#tara duncan#tara duncan 10#french#tara duncan critique#upthebaguette#français#book criticism#book critique#critique livre#dragons contre démons#lisbeth duncan
4 notes
·
View notes
Text
Comme le hasard est têtu!
La France en 2021, dirigée par le duo Macron/Castex et leur MASQUE DE FAIRE. De faire ce qu’il leur a été ordonné. Pour le deuxième c’est clair/obscur, il a l’accent, ce n’est pas un signe diacritique, mais il est évident qu’il est là comme Casse-texte. La langue française ne possède pas de macron ! Ce diacritique est un signe dans certains alphabets pour indiquer l’allongement phonétique de la prononciation de la lettre. Le macron est ce bâton, cette barre horizontale placée en règle générale au dessus des voyelles. Donc « Ā » par exemple. Un accent plat en quelques sortes si vous préférez. La France s’est donc dotée d’un accent plat, d’une barre au dessus d’elle, d’une chape de béton, d’un bâton, comme président de la république. Puisque le macron allonge, c’est sa nature, il y a de fortes probabilités que ça dure longtemps, tout comme ses discours où il n’a rien à dire mais où il tient à le dire le plus longtemps possible! Quand aux coups de bâtons, les siens et ceux des farces de l’ordre ? Ça suffit. Non ? Basta… Gageons que “notre antiquaire“ pourra toujours avoir une explication de sa blonde professeure de français, de théâtre, elle aussi sans doute à retardement, du style femme à qui on ne la fait pas, cherche homme à qui on ne l’a pas fait! Oui je sais, citez Dac peut toujours faire bas de plafond, mais moi j’aime.
Revenons à notre diacritique macron. Cette barre au dessus. Il y a donc quelque chose qui l’empêche de grandir, de s’élever. C’est écrit, c’est un signe, ça le suit partout, tout le temps et ça ne vole pas très haut et pour tout dire, c’est aussi, ici, bas de plafond. Un ex-gosse de 40 ans, violé à 15 ans, toujours pas père et qui se croit donc obligé de nous infantiliser, et qui persuadé qu’il n’a pas de limites. Un espèce de mâle-barré qui veut faire de nous des mal-barrés. Revoyez l’analyse du Psychiatre italien Adriano Segatori au sujet de Macron le psychopathe.
Nous n’allons pas citer tous les idiots et les stupides qui gouvernent, la liste est vraiment longue, et parfois opaque. Ils sont probablement à considérer, comme le suggérait Einstein, comme la majorité. Les idiots en raison de leur nombre infini d’une part, et de leur stupidité illimitée d’autre part. Nous nous contenterons des Macron, Attali, Veran, Castex, Schwab, Gates, Biden, Soros, et une note particulière pour la blonde à retardement Lacombe.
Il n’y a pas à ma connaissance de traité philosophique de la stupidité. Il y a des essais. Celui de Robert Musil : “Il n'est pas une seule pensée importante dont la bêtise ne sache aussitôt faire usage; elle peut se mouvoir dans toutes les directions et prendre tous les costumes de la vérité.
La vérité, elle, n'a jamais qu'un seul vêtement, un seul chemin: elle est toujours handicapée.
La bêtise dont il s'agit là n'est pas une maladie mentale; ce n'en est pas moins la plus dangereuse des maladies de l'esprit, parce que c'est la vie même qu'elle menace.“
Et puis “les lois fondamentales de la stupidité humaine“ de Carlo.M Cipolla…
Et si la philosophie et la bêtise avaient la même racine, la même matrice ? l’étonnement! Tiens! Faudrait demander à BHL ou Onfray ? Nan, je plaisante!
La philosophie naît de l’émerveillement, de l’étonnement d’être dans le monde, de se poser des questions et de savoir. Mais la racine de la stupidité vient aussi de l’étonnement. Le stupide est, comme le philosophe, celui qui est étonné. Avez-vous remarqué comment les stupides ont toujours l’air étonné ? Qu’on les écoute dans leur diarrhée verbale, ils sont étonnés! Qu’on ne les écoute pas ? Ils sont étonnés et en colère. Comme le Veran, toujours prêt à faire pan pan cucul. Faut-dire qu’être pris en flagrant délit d’inintelligence est toujours douloureux pour un crétin. La différence est que chez le philosophe, l’étonnement est à l’origine de la connaissance, tandis que chez le stupide, la connaissance est à l’origine de l’étonnement. Le philosophe va de l’étonnement à la réflexion, le stupide reste coincé dans l’étonnement. Chez le philosophe, la connaissance est un processus, chez le stupide, c’est juste un contact avec la connaissance! Seulement un contact.
Autant il peut m’arriver de supporter la simple bêtise ou la bêtise dite des simples, voire même faire naître chez moi une forme de sympathie ou d’attendrissement, autant j’ai un mépris absolu pour la bêtise qui se prétend intelligente! Il n’y a pas pire bêtise que la bêtise des vaniteux, qui croient représenter l’esprit du monde. Comme Caroline Fiat cette députée LFI, aide-soignante, qui est surnommée par les députés de la majorité, “la Bac moins deux“! Cette bêtise des vaniteux, m’est tout simplement insupportable. Mais cela ne leur suffit pas, car comme le disait Ortega Y Gasset, le stupide, se sentant dans l’air du temps, proclame le droit à la stupidité et l’impose partout.
Que des bobos considèrent une aide-soignante comme stupide, comme autrefois était considéré comme stupide l’innocent qui venait de la campagne en ville, qui descendait de ses montagnes pour “monter à Paris“ et déjà son accent, certaines expressions, sa façon de s’habiller, ou son regard, étaient gages de sa candeur, sa naïveté.
Or, ces “imbéciles intellectuels“(Bernanos) sont aux commandes, et prétendent être les sachants et détenir le monopole du savoir! Et là, va falloir se bouger, car avec leur soi-disant vaccin, ça craint pour l’humanité. Ces imbéciles, ne sont pas intelligents, certes. Mais ils sont rusés, nauséabonds, toxiques, stupides et méchants. Au plus profond de leur crasse pensée d’idiot, ils sont persuadés qu’ils font une bonne action en éliminant les inutiles, les bouches de trop à nourrir, les sans dents, les tous ceux qui ne sont rien! Une vaccination de masse, pour nous par pour eux, avec une nouvelle technique dont on ne connait pas les conséquences si ce n’est qu’il est sûr que cela modifiera de manière irréversible notre génome et que cela sera transmis à notre descendance.
Depuis Einstein, la stupidité a fait des progrès. Cent ans de crétinerie, pour passer de la stupidité passive à la stupidité active. De la stupidité technologique en très haute définition. La stupidité au pouvoir, qui a inventé son propre canon et son lexique, le politiquement correct, ce croisement entre idéologie et stupidité, intolérance et imbécillité.
Exit donc l’ancien prototype de l’idiot. C’est maintenant l’ère de “l’idiot global“. Cet idiot, pense en idiot, il connait les moyens techniques d’entrer en relation avec le monde entier en temps réel, mais il n’a toujours rien à dire! Cet idiot global, bas du plafond peut toujours mettre le bâton à la verticale pour se tenir debout. Start-up nation oblige, le bâton de l’idiot global, sans lequel il se sent perdu, est son smartphone! Encore du hasard certainement quand on sait que smart en russe se traduit par mort, et phonos en grec par meurtre.
Il est dit que quand le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt. L’inverse est aussi vrai! Je regarde le doigt de ceux qui nous accusent de cons, de complotistes, de conspirationistes. Je n’y vois que des stupides. En certains temps comme a pu le constater G. Courteline, “Se faire traiter de con par un imbécile est une volupté de fin gourmet.“
Là, il est temps d’agir, et de mettre en prison à perpétuité Mr Macron, son gouvernement et l’administration pour génocide contre le peuple Français
4 notes
·
View notes
Text
Qui est DIEU pour MOI ?
et pour VOUS ?
Les Évangiles nous rapportent que, à deux reprises, une voix fit entendre des cieux ces paroles : «Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui
j’ai mis toute mon affection.»
La première fois (au moment où Jean-Baptiste baptisa Jésus dans le Jourdain) est relatée en Matthieu 3, 17 : «Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection.»
La seconde fois, en Matthieu 17, 5, sur le mont de la transfiguration. Seuls Pierre, Jacques et Jean entendirent : «Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection : écoutez-le !»
Et c’est à propos du premier épisode que j’ai reçu l’objection suivante : “Si Jésus est Dieu, qui a parlé ?”
Objection rejetée ! Parce qu’elle limite singulièrement Dieu.
Alors qui est Dieu ?
> Pour moi qui le connais depuis ma plus tendre enfance, mais qui L’ai abandonné pendant une quinzaine d’années, avant qu’IL ne se révèle à mon esprit puis à mon âme, au début des années 70, par des lectures scientifico-historiques.(1)
> Pour vous qui LE connaissez plus ou moins bien, depuis plus ou moins longtemps, vous qui venez de LE découvrir, ou vous qui LE rejetez pour diverses raisons... qui sont de mauvaises raisons même si vous êtes persuadés qu’elles sont bonnes :
DIEU est une réalité qui dépasse notre entendement humain.
Notre intelligence est trop limitée, même celles des hommes et des femmes les plus brillants d’entre nous, même ceux qui auraient un QI supérieur à 150, ce qui n’est pas mon cas. Alors ? Suis-je plus qualifié qu’un autre pour vous dire quelle est la réalité de Dieu ?
A l’instar du prophète Amos (7, 14) qui répondit : «Je ne suis ni prophète, ni fils de prophète; mais je suis berger, et je cultive des sycomores.», je peux dire la même chose ou presque : “Je ne suis ni prophète, ni fils de prophète; mais j’ai été professeur, et je cultive des idées.” Et, ces idées que je cultive (dans ma solitude de chercheur de vérités et de Dieu lui-même) me viennent parce que j’ai fait mien ce verset : «Invoque-MOI, et JE te répondrai; JE t’annoncerai de grandes choses, des choses cachées, que tu ne connais pas.» (Jérémie 33, 3)
Dieu est-IL une personne en trois... ou trois personnes en une ? La Trinité est-elle une réalité ou une construction simplificatrice de théologiens(2) ?
Dieu est SINGULIER et IL est PLURIEL.
Marc 12, 29 : «Jésus répondit : Voici le premier [commandement] : Écoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est L’UNIQUE SEIGNEUR.» Il est bien SINGULIER !
MAIS...
Par son Saint-Esprit, IL est capable de se diviser(3) et de nous inonder de SA lumière. En effet, c’est le Saint-Esprit qui nous transmet les pensées de Dieu. «Mais, quand on vous livrera, ne vous inquiétez ni de la manière dont vous parlerez ni de ce que vous direz : ce que vous aurez à dire vous sera donné à l’heure même.» (Matthieu 10, 19)
Et Jésus ? se divise-t-IL ? LUI qui nous dit : «Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure EN MOI et en qui JE demeure porte beaucoup de fruit, car SANS MOI vous ne pouvez rien faire.» (Jean 15, 5)
Jésus est Dieu(4). Il est une partie, une émanation de Dieu. Jésus s’est incarné(5) pour devenir homme et accomplir son œuvre salvatrice et rédemptrice.
Jésus peut nous remplir, nous transformer à son image et nous devons devenir une image parfaite de Dieu et de Jésus-Christ. «Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait.»(6) (Matthieu 5, 48)
Alors, avons-nous quelque chose à faire ?
RIEN, sinon de laisser couler en nous la sève qui vient du divin cep, et cette ressemblance avec le Christ se développera au maximum. Laissons croître en nous l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ pour pouvoir le déverser sur les autres, sur nos frères et sœurs, sur nos voisins chrétiens ou non, sur le monde et que cet AMOUR rende le monde meilleur.(7)
Jean-Marc Tartar, 27 octobre 2023.
Notes :
1/ Eh oui ! Tous les chemins peuvent mener à Dieu, même (les mensonges de) la science athée !!!
2/ Et si la Trinité n’était qu’une tentative de “récupérer” les cultes païens des triades de divinités planétaires antiques.
3/ voir Actes 2, 1 à 4
4/ Liste non exhaustive de versets montrant la divinité de Jésus :
• Lire le premier chapitre de l’Évangile de Jean. «... la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.»
• Jean 1, 14 : «Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.»
• Jean 8, 58 : «Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je suis.»
• Jean 14, 9 : «Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père; comment dis-tu : Montre-nous le Père ?»
5/ Marie n’a jamais demandé à porter le titre catholique de “Mère de Dieu”. Elle fut la première mère porteuse de l’histoire de l’humanité.
6/ “Te ressembler, Jésus, c’est mon espoir suprême,
Penser, agir, aimer toujours plus comme toi.
Te ressembler, Jésus, c’est mon espoir suprême,
Par ton Esprit rends moi semblable à toi.”
7/ L’apôtre Paul nous recommande de prier pour ceux qui nous gouvernent, car dit-il toute autorité vient de Dieu : «Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu.» (Romains 13, 1)
MAIS les choses ont changé. La corruption a mis en place des gouvernements diabolisés. Ainsi, les prières que nous devons faire monter vers le trône de la Grâce sont de demander que Dieu anéantisse leurs projets de destructions. (cf 2 Samuel 15, 31 : «On vint dire à David : Achitophel est avec Absalom parmi les conjurés. Et David dit : O Eternel, réduis à néant les conseils d’Achitophel !»)
0 notes
Text
Apprendre à vivre avec humilité
As-tu déjà eu l'occasion de rencontrer un chrétien grincheux?
Peut-être as-tu déjà croisé le chemin de chrétiens aimant rouspéter, se plaindre ou parler durement des autres. Il se pourrait même que tu aies été l'un d'eux à un moment de ta vie.
Il peut être bon de faire une introspection, pour éviter de devenir l'un de ces chrétiens pharisaïques persuadés de détenir la vérité dont les autres seraient dépourvus. Tu peux voir à quel point il peut être tentant de regarder les autres de haut, de les rabaisser ou de les considérer comme pire que nous.
Cependant, en faisant cela, nous n'atteignons pas le but du message de Jésus.
La parole de Dieu enseigne que nous commençons tous au même point de départ. Seule la grâce de Dieu nous permet d’être sauvés et de découvrir la vérité sur l’amour que Dieu nous porte.
Cela ne nous rend pas meilleurs que les autres chrétiens! En réalité, tel que Paul l’a dit dans Éphésiens 4:2, nous devons nous montrer humbles et doux dans nos relations et non pas durs et critiques. De plus, il nous encourage à faire preuve de patience et à nous entraider de toutes les façons possibles, afin de grandir ensemble.
Ces idées n'émanent pas de Paul, mais sont inspirées de la conduite de Jésus durant sa vie. Comme disciples de Jésus, nous devrions aussi traiter toute personne de notre vie avec douceur, patience et humilité. Chacun mérite d’être considéré avec dignité, patience et amour, quelle que soit son apparence ou ses croyances.
Prends un moment aujourd’hui pour réfléchir à des moyens de gagner en patience, en humilité et en amour avec les autres. Cela pourrait être d'offrir une écoute attentive, de se soucier d’autrui, de dire des paroles encourageantes ou de reconnaître ses erreurs devant ceux que tu aurais pu offenser.
Décide aujourd’hui de vivre dans l’humilité et la grâce envers les autres.
0 notes
Text
Claymore et le Féminisme
Je sais que beaucoup disent que Claymore est féministe mais je suis assez partagée. Car si c'est du féminisme, ce n'est pas le plus récent qui prend désormais en compte (enfin, ça fait plus d'une à deux décennie(s) mais... bref.) les pressions et stéréotypes subit par les hommes.
Oui, l'émancipation féminine telle que décrite dans le manga avec les femmes se rebellant contre le joug des hommes ne les voyant que comme des outils séparés d'eux est féministe, c'est quelque chose que j'ai aussi repéré dans Claymore et que j'ai beaucoup apprécié.
Presque autant que de pouvoir enfin apprécier un manga où les femmes ont le rôle principal et où, quand elles se font déshabiller, leur corps est montrer sans fard et sans accent particulier. La pudibonderie du bout de tissus qui reste miraculeusement sur les parties sexualisées alors que tout le reste à été détruit est absente. Pareil pour le stéréotype inverse et ridicule dans lequel les héroïnes perdent souvent en premier les vêtements dissimulant leurs attributs et s'arrêtent au beau milieu d'un combat à mort pour bien mettre l'accent dessus sous couvert de se dissimuler. C'était vraiment très appréciable de la part de l'auteur.
Par contre, on ne peut nier qu'il a toujours inclus un certain nombre de stéréotypes sur les hommes.
Le plus fort (même si de peu) des Abyssal est un homme ce qui (désolée Isley, tu restes un de mes préférés) n'a pas beaucoup de sens si on prend en compte les dires de Daë sur le fait que leurs expérimentations ont permit de créer des guerrières plus puissantes dans les générations qui ont suivit quand ils ont commencer à provoquer la haine des Yôma chez elles plutôt que de se contenter de prendre des orphelines au hasard. Sans parler du fait que Riful nous apprend que plus le guerrier est puissant et plus son éveil le sera, raison pour laquelle elle recherche l'éveil des premiers numéro dans la partie 1 et laisse Claire, Jean et Galatéa partir tout en les encourageant à continuer de développer leur force. Ce qui était d'une complaisance rivalisant avec de la stupidité pure et simple.
Ce qui signifie qu'il est probable que, même en étant haut-placés comme dans les cinq premiers numéros, les guerriers de la génération masculine, inconscients des dangers de l'éveil (car étant les premiers sujets de test), n'ont probablement pas eu le temps d'atteindre leur plein potentiel avant l'éveil.
De même, cette idée de comparer l'homme à quelque chose qui, par opposition naturalisé (urg !) envers la femme ne pourrait que céder plus facilement au désir sexuel est un nid à sexisme contre eux et pour lequel je préfère suivre l'hypothèse des niveaux de lecture, c'est-à-dire que Miria expliquait son point de vu aux fantômes plutôt que l'auteur établissant un fait irréfutable de son manga.
Je veux dire, Chronos en fait lui aussi mention mais, au moment où il en parle, le lecteur en sait déjà plus que lui sur les origines des Yôma. De plus, le fait qu'il soit l'un des premiers lui donne, certes, plus d'expérience avec son pouvoir mais l'handicape aussi pour faire une comparaison réelle de la situation en terme d'évolution du contrôle basé sur le sexe. Après tout, on parle de celui qui est persuadé que son éveil lui a donner un état d'esprit ''démoniaque''... alors que, pour rappel, les Y��ma sont en réalité une arme biologique créée de toute pièce par l'organisation à des fins d'expérimentations militaires. Ainsi, il n'est pas improbable qu'il ne fasse que répéter ce qu'on lui a toujours présenter comme la vérité.
Après, il y a les comportements d'Isley (encore...) face à Luciela sur sa capacité à se disputer avec elle... parce qu'elle est une femme (plutôt que sur une caractéristique personnelle de sa part) et celui de Raki (après qu'Isley l'ait élever, tient donc !) face aux apprentis lors de la chute de l'organisation où celui-ci décide de leur prendre l'épée pour se battre parce qu'elles sont des filles et que c'est plus adaptés aux mains d'un homme. Plutôt qu'un adulte protégeant des enfants.
Il est là, cet inconscient du langage. Ces stéréotypes reproduits, inconsciemment ou non, qui transmettent une image. L'auteur à brillamment éviter de les reproduire sur les femmes et je l'en félicite car c'est l'un des meilleurs points de son oeuvre alors que ça n'aurait pas pu être facile avec la véritable industrie derrière le manga. Mais il a du travail à faire pour étendre cette caractéristique aux hommes.
1 note
·
View note
Text
Depuis un certain temps déjà, je m'efforce de travailler sur moi-même, de changer ma perception et mon image corporelle que j’ai envers moi-même.
Persuadée que tout le monde partage cette vision négative en me regardant. Je me suis souvent sentie comme si je défilais le catwalk autour de ma piscine de condo, exposant tous mes défauts donnant la nausées à tous mes voisins.
Ce matin, au bord de la piscine, j'ai observé des femmes de toutes formes, qui semblaient profiter pleinement du moment présent, tandis que moi, je retenais mon souffle pour tenter de dissimuler mes "bourrelets". Effectivement, je ne suis pas dans leurs têtes pour savoir si elles étaient à 100% bien, mais j’aime bien m’imaginer que oui ! Puis, j'ai remarqué quelques femme plus âgées, qui semblaient être en totale harmonie avec leurs corps, leurs courbes et leurs imperfections. Cela m'a fait réaliser que moi aussi, un jour, je serai moins jeune et mon apparence reflétera mon parcours de vie. En me préoccupant constamment de mon apparence, imparfaite selon les normes de beauté, je passais à côté de l'instant présent.
Cette prise de conscience m'a secouée de l'intérieur. J'ai réalisé que mes préoccupations constantes concernant mon apparence m'avaient emprisonnée dans une spirale d'insécurité et de manque de confiance en moi. En me focalisant uniquement sur mes imperfections selon les normes établies, j'ai négligé de vivre pleinement le moment présent.
J'ai pris conscience que le temps était précieux et qu'il était temps de me libérer de ces chaînes auto-imposées. J'ai compris que mon bonheur et ma véritable beauté ne dépendaient pas d'une apparence parfaite, mais plutôt de l'amour et de l'acceptation de moi-même telle que je suis, avec toutes mes qualités et mes défauts.
Je me suis rendu compte que le véritable pouvoir résidait dans ma capacité à embrasser ma propre authenticité, à célébrer mes courbes, mes cicatrices et mes imperfections. C'est là que réside ma beauté unique et mon charme personnel.
Désormais, je choisis de me concentrer sur les moments de joie, de connexion et d'épanouissement, plutôt que sur les jugements superficiels ou les normes étriquées de beauté. Je veux être comme ces femmes plus âgées que j'ai observée, qui rayonnait d'une confiance et d'une sérénité émanant de son amour-propre inébranlable.
Une révélation m'a frappée de plein fouet : si je regarde les autres avec une indifférence totale, il en va de même pour eux. Qu'est-ce que les gens autour de moi à la piscine, à la plage ou ailleurs pensent en me voyant ? Probablement la même chose que ce que je pense en les regardant. Après tout, je ne les connais pas et mes pensées sont très générales. Pour les autres, je suis juste une fille parmi tant d'autres, une femme parmi la foule. Et dans 99% des cas, je ne me souviens même pas d'eux deux secondes plus tard, encore moins de leurs imperfections ou de leurs cicatrices. Logiquement, les personnes qui nous entourent se soucient tout autant de nos défauts que nous nous soucions des leurs, c'est-à-dire pas du tout !
Cette réalisation m'a libérée d'un fardeau émotionnel inutile. J'ai compris que la plupart des gens sont tellement absorbés par leurs propres préoccupations, leurs propres imperfections et leurs propres vies qu'ils ne portent pas un regard critique sur les autres. Ils ne se soucient pas de nos défauts, de nos bourrelets ou de nos cicatrices, car ils ont leurs propres soucis à gérer.
Alors, pourquoi devrions-nous nous laisser emprisonner par des pensées négatives et des complexes basés sur des suppositions ? Au lieu de cela, nous devons nous concentrer sur notre propre bonheur, notre propre bien-être et notre propre estime de soi. Nous devons apprendre à nous aimer et à nous accepter tels que nous sommes, en comprenant que notre valeur ne se résume pas à des apparences superficielles.
La vérité est que nous sommes tous des êtres uniques et extraordinaires, avec nos propres qualités et nos propres histoires. Souvenons-nous que la plupart des gens autour de nous sont tout aussi préoccupés par leurs propres imperfections et qu'ils ne nous jugent pas autant que nous le pensons.
Rappelez-vous, nous sommes tous des êtres uniques et magnifiques, et notre véritable valeur ne peut être mesurée par des chiffres sur une balance ou des critères de beauté arbitraires. C'est en nous aimant nous-mêmes et en vivant pleinement chaque instant que nous pourrons réellement briller.
Je partage cette réflexion en créant ma propre définition de la confiance en soi sans me soucier des normes imposées par la société. Je me sens drôlement plus légère juste à me répéter que les gens qui m’entourent ont d’autre préoccupation en tête que de juger mon corps et mon apparence.
Pleine de détermination, je me suis levée et j’ai bravé le catwalk, traversant avec confiance chaque pas jusqu’à l’eau. Ensuite, je me suis retournée pour jeter un coup d’œil derrière moi, et là, la réalité m’a frappée de plein fouet : personne n’avait même levé les yeux pour me regarder. Tout ce sentiment d’être jugée était simplement dans ma tête.
Je vous invite à marcher fièrement sur votre propre catwalk, en sachant que vous êtes magnifique, puissant(e) et précieux(se) tel(le) que vous êtes. Ne vous arrêtez pas pour les regards des autres, car votre propre perception de vous-même est ce qui compte vraiment.
-L'égoïste bienveillante xx
#beaute#catwalk#fashion#fashion nude#bien être#confianceensoi#bienveillante#bienveillance#ab/dl blog#lifestyle blog#blogger#blog personal
0 notes
Text
Comment faire de la Prospection MLM en Expert
Ne PERDEZ PLUS VOTRE TEMPS à faire vos listes de contacts en MLM !
Beaucoup d’entrepreneurs en sont persuadés.
Ils doutent, et finissent par croire qu’il n’y a pas assez de clients intéressés par ce qu'ils proposent.
Que les gens préfèrent acheter sur Amazon.
Que le marketing de réseau meurt à petit feu et qu’il aura disparu d’ici peu.
Alors, ils trouvent des solutions :
Étendre (encore plus) leur gamme de produits et services pour attirer un public plus large.
Trouver plus de personnes intéressées.
Seulement...
Le vrai problème est ailleurs.
Ce n’est pas le nombre de clients en baisse qui freine le business de CES entrepreneurs
Mais plutôt la façon dont ils les trouvent :
Le marketing par liste de noms, le spamming dans les groupes Facebook (qui vire parfois au harcèlement) ou le démarchage des amis de ses amis, etc.
Ce n’est plus efficace !
Ces méthodes lâ sont mortes le jour où les gens ont commencé à acheter via Internet plutôt que de faire 5 minutes de voiture pour aller à la supérette du bout delà rue.
Maintenant, pour réussir, il faut aller chercher les clients là où ils sont.
Autrement dit, derrière un écran.
C’est peut-être triste à dire, mais c’est la stricte vérité.
Bien sûr, dit comme ça, ça a l’air difficile :
Vous n’êtes peut-être pas à l’aise avec l’informatique, vous ne connaissez rien au marketing digital et vous n’avez pas le temps de mettre en place un système de vente...
C’est là que nous intervenons.
On a justement la solution idéale pour toutes les personnes qui bossent dans le MLM.
Une solution qui permet de se développer rapidement et d’en vivre.
Cette solution, c’est un système (
génial) de prospection automatique pour le marketing de réseau.
Pas mal, non ?
Alors, si vous êtes fatigué de prospecter dans le vent :
Découvrez les 5 clés pour développer rapidement votre MLM grâce aux tunnels de vente !
C’est une formation en direct, à nos côtés, pour apprendre à construire son système de vente, sans se prendre la tête, et même si vous n’y connaissez rien.
Vraiment.
Pour ça je vous offre un webinaire aujourd’hui !
(Les places sont limitées à 200 participants.)
À tout à l’heure,
Lien Linktree https://linktr.ee/businessargent
Cliquez sur le lien si dessous.
A Bientôt
Jean
Conseiller Web SIO
#affiliation#tunnedevente#argent#travail#travailadomicile#opportunité#liberté financière #liberté#independent#promotion#opportunité affaire #indépendant financièrement #voyage#gagner de l'argent #MLM#marketing de réseaux # mère de famille #conseiller système IO #conseiller web #system clé en main # webinaire #conseiller expert # coach # thérapeute # retraité # business # réussite # entrepreneur #
0 notes
Text
4.44
Mon amour il m’est impossible de trouver le sommeil ni le repos.
J’ai voulu ce soir ne pas me shooter aux médicaments, en vain.
Mon cerveau ne cesse de penser à toi, à tous les mots que j’aimerais t’écrire mais que je dois par pudeur dissimuler ici et là.
J’aimerais te dire que tu as été mon plus beau rêve éveillé, mes plus beaux couchers de soleil, mes plus beaux petit déjeuners, les plus belles siestes, mes meilleurs souvenirs, mon plus bel avenir.
Je me souviens pleurer au cabinet, seul, quelques semaines après notre rencontre.
Je pleurais de t’avoir un jour rencontré, au milieu de nul part, dans l’un des plus beaux paradis terrestres.
Si longtemps que je t’attendais, si longtemps que j’espérais, si longtemps que je te voulais.
Je m’accrochais à mes rêves comme certains à des promesses.
J’étais persuadé qu’il ne s’agirait pas d’un mirage mais d’un mystère, le mystère de la vie.
J’étais persuadé, avant même que l’on sorte ensemble, que nous étions destinés.
J’étais certain que je pourrais panser tes blessures.
J’étais sans doute trop optimiste, cavalier ou trop déterminé.
Dieu sera le seul juge de mes errances.
Tu étais mon évidence, ma meilleure alliée, mon meilleur argument celui qui laisse sans voix.
J’ai cru réussir, j’ai cru que ma patience épongerait tes plaies pourtant béantes que je ne voulais voir.
J’ai cru en moi, j’ai cru en toi.
J’ai cru en nous, j’ai cru que nous serions plus fort que tous ces couples insipides.
J’ai cru que cet amour le Vrai ne servirait pas une histoire qui ne fut que quelques pages dans un livre entaché de souffrances.
Mon désespoir est grand. Mes rêves demeurent.
Je suis vide, vidé, éventré, agonisant.
Je pleurs pour un rien pour un tout.
Je pleurs pour tes chaussons délicatement rangés sous la table de nuit que j’avais achetée pour toi.
Je pleurs ces tiroirs vides, je pleurs tes crèmes de nuit qui se sont envolées dans mon sommeil.
Je pleurs la Pipi.
Je pleurs ces verres d’eau que je me précipitais de remplir pour honorer mes obligations.
Je pleurs ces attentions que je ne peux plus t’offrir, je pleurs ces carres de chocolat noir, ces mousses au chocolat, ces blancs en neige qui recouvrent le plan de travail, je pleurs ces draps parfaitement pliés, je pleure ton rasoir posé sur le rebord de la baignoire.
Je pleurs cet appartement vide de toi. Je pleurs tes manteaux jamais suspendu sur un cintre, ton pyjama plié sous le coussin, ton verre d’eau à côté du lit, tes sous vêtements dans la panière à linge.
Je pleurs t’es cheveux sur le balcon agrippés à l’olivier.
Je pleurs le saumon au four avec des courgettes.
Je pleurs chacun de tes plats, tes pâtes au pesto avec la mozzarella, je pleurs tes pieds que je caresse et toi qui réagit par un geste brutal.
Je pleurs te mettre de la Biafine partout, je pleurs chaque grain de peau, je pleurs tes jolis seins tes fesses indomptables. Je pleurs t’es lèvres, tes yeux verts.
Je pleurs tout.
Je pleurs ta tête qui se pose sur mon épaule quand je t amène en scooter.
Je pleurs la Frecha, le klaxon sous les ponts.
Je pleurs même ta mauvaise tête en rentrant de ta journée.
Je pleurs tes doutes et incertitudes.
Je pleurs les taches inutiles : retoucheur alors que les pantalons sont à la bonne taille.
Se plaindre pour les pantalons en velours qui se détendent.
Je pleurs toi qui cries parce que j’ai mis de l’eau partout en sortant de la douche et toi qui t’évertue à m’expliquer comment utiliser le pommeau de douche et comment me positionner.
Je pleurs de ne plus rentrer dans des églises avec toi.
Je pleurs tes peurs.
Je pleurs tous ces voyages et paysages. Ces weeks end improvisés.
Ne pas réussir à faire l’amour dans la baignoire.
Je pleurs tes certitudes. Je pleurs ta vérité.
Je pleurs ton apprentissage de l’italien à peine initié.
Tout ce qui m’appartient t’appartient.
Aujourd hui je n’ai plus rien.
Que des souvenirs.
5.02
Io no.
Le soleil se lève. Je n’ai pas dormi de la nuit.
J’ai perdu ma vie.
Je ne vis plus je survis entr deux océans.
Tu étais mon plus beau mistral, mon pacifique ma lumière.
Tu as donné du sens à ma vie.
Merci
0 notes
Text
Aujourd’hui, mamie est morte.
Elle a arboré une dernière fois ses cheveux noir corbeau, s’est repoudré une énième fois le visage sur sa peau claire. Paraît-il qu’elle avait décidé de dormir vers 20h ce soir-là : « je dors tôt aujourd’hui car demain je dois aller chercher mon argent à la banque ». Elle s’est allongé dans son lit, sans savoir qu’elle ne se réveillerait pas cette fois. La faucheuse ne prévient pas. Elle passe simplement te voir et tu sais. Tu comprends. Ils ont eu pitié de toi là-haut. Ils t’ont accordé une mort paisible. En plein somme. J’espère que tu te sens légère et apaisée là où tu es. Elle t’a prit cet espoir et bien d’autres. Tu te reposais simplement pour être en forme et elle t’a enlevé la possibilité de voir l’un de tes petits enfants se marier le jour de l’anniversaire d’un autre. Tu emportes aussi avec toi l’espoir qu’aucun de mes enfants rencontrera un de ses grands-parents paternels, et tu laisses mon père, dont je suis faite à l’image et la première descendance de cet union, comme un orphelin. Un orphelin, portant le poids d’un père parti trop tôt et d’une mère avec laquelle une relation fusionnelle s’est transformé en querelle. Ce n’est pas à toi que je veux, ni à la mort, ni au bon Dieu. Ainsi les choses sont faites. Je crois que j’en veux un peu à moi-même de mettre tant éloignée de toi — toi que j’aimais autrefois plus que la chair dont je suis le fruit, d’avoir écouté chaque bruit de couloir sans te laisser la chance de t’exprimer, de donner ta vérité. De t’avoir jugée. J’espère que là où tu es, tu me pardonnes pour tout ça. Comme j’espère que chacun te pardonne pour tes propres erreurs. Dieu est miséricordieux à qui demande le pardon. Qui serions-nous pour en avoir le monopole? Et puis, finalement, ça me fait enfin grandir. Je sens qu’il s’est encore passé quelque chose en moi. Comme une évolution. Naturelle, finalement. Je me sens un peu plus « femme » que je ne l’étais hier. Une quête perpétuelle pour moi tu sais. Je vois les choses encore différemment. Et je me questionne encore un peu plus qu’avant… Je crois que tu as d’abord eu chaud puis ces dernières heures, plus froid. Ce n’était pas ton souhait. Tu as toujours préféré les températures plus élevées. Au moins, tu as passé ton dernier jour sur tes terres — les seules qui t’ont toujours parues familières. Et ça, je suis persuadée que ça l’était. Vogue en paix à ton prochain voyage… que celui-ci te soit fructueux et apaise ton âme. Et merci d’avoir fait un détour pour m’adresser un dernier signe. J’espère pouvoir te dire aurevoir prochainement à mon tour. Sur le sol où j’ai marché pour la première fois il y a 26 ans, là où tout pour moi à commencer. Au plaisir de se recroiser, dans de plus belles conditions encore, dans cette vie ou dans une autre. Adieu.
- FND, pour le 3 Juillet 2023.
0 notes
Text
Ça fait de trop longues années que chaque fois que des professeurs du collège où enseignait mère emmenaient des élèves en voyage scolaire en Allemagne, il y en avait toujours pour foutre le bordel au milieu d'un monument aux morts de la dernière guerre en clamant que les Nazis n'avaient pas tué assez de juifs.
Chaque fois qu'on fait un cours d'Histoire de la Seconde Guerre mondiale, il se trouve des petits Français musulmans pour se coller de joviales claques dans le dos quand on évoque l'Holocauste. Ma mère travaillait dans une région lyonnaise où la concentration en Turcs était forte, et il y avait levée de boucliers à la moindre évocation du génocide arménien. Les Loups gris sont à Lyon depuis quelques années.
La complaisance générale de La France soi-disant Insoumise face à l'entrisme islamiste dans les milieux populaires est déjà une honte en temps normal mais là, alors que des terroristes assumés viennent de lancer un assaut sans précédent sur une population civile avec l'intention tout à fait explicite de rayer leur pays de la carte (le fameux mantra « De la mer au Jourdain » est un appel à la haine parfaitement transparent qui fait pourtant florès dans les manifestations occidentales de soutien à la « Palestine »), alors que des terroristes paradent avec des cadavres profanés dans un mépris conjoint des préceptes de l'islam et de la dignité, là, l'attitude des Soumis aux ayatollahs au petit pied a quelque chose de foncièrement écœurant — au sens le plus littéral du terme, à vous arracher le cœur de chagrin, de colère et de terreur.
Il faudrait être terrorisé par l'assurance tranquille avec laquelle les membres d'un parti soi-disant de gauche offrent leur soutien à la lie belligérante et théocratique du militantisme bondieusard. Ne jamais oublier les paroles d'Houria Bouteldja évoquant, cynique et ricanante, Jean-Luc Mélenchon comme une prise de guerre. Les fous de Dieu se rient de ceux qui les méprennent pour des agneaux du sacrifice, alors qu'ils aiguisent les couteaux. La gauche iranienne, fut un temps, s'était persuadée qu'une fois au pouvoir, le Shah renversé et la République instituée, il serait toujours temps de se débarrasser de Khomeini et ses disciples. Khomeini, déjà accueilli en héros populaire à sa descente de l'avion, ils auraient dû se méfier. À l'époque, une troupe de journalistes françaises de gauche s'était rendue sur place pour rencontrer le grand ayatollah, elles en étaient revenues secouées de quelques illusions, tout de même. Elles n'avaient encore rien vu.
La vérité, c'est que nul parmi les jeunes coqs qui montent au créneau chaque fois qu'on parle du conflit israélo-palestinien ne connaît l'histoire de ce conflit. Tout ce qu'ils ont à dire, ce sont des phrases toutes faites nourries d'un imaginaire manichéen, simpliste, hollywoodien, où tout se justifie si l'on peut accoler la bonne étiquette à celui qui tient le fusil.
Le plus beau triple lutz du week-end revient aux féministes d’extrême gauche qui défendent l’écriture inclusive et voient de la culture du viol partout tout en défendant des viols de guerre au nom de l’anticolonialisme
30 notes
·
View notes
Text
L'éolienne du Béarn
Temps de lecture = 1 minute Bayrou, l’éolienne…Il tourne dans le vide, il fait du vent et il ne produit rien ou pas grande chose et comme l’avait écrit Madame Weil :« Bayrou, c’est pire que tout » Par Alexandre Goldfarb Continue reading L’éolienne du Béarn
#Alexandre Goldfarb#Fr&#François Bayrou#ils se sont persuadés de dire la vérité ! »#l&039;éolienne du Béarn#Macron#Observatoire du MENSONGE#politique
1 note
·
View note
Text
Faut-il haïr Macron... ou le détester, seulement ? (''Saison II'')
Pour la France, les perspectives sont plus que sombres : un Président qui erre depuis cinq ans déjà, sans arriver à exister autrement qu'à travers quelques petits calculs, des petites phrases méchantes et des petits jeux politicailleurs, mais qui a réussi (?) à organiser une fracture du pays comme rarement : la ''res publica'' est devenue une caricature de ce qu'on nous fait croire qu'elle est, et nos perspectives n'en sont pas, au mieux, et, sont terrifiantes, au pire... dans un déni de tous les problème graves, comme la menace que va faire peser sur notre futur la présence à la Chambre de nostalgiques du ‘’Grand-soir’’ et de la haine. ‘’On est très mal’’ !
Les mesures prises au petit malheur la chance ne peuvent qu'accroître encore la dette, dont les taux d’intérêt vont exploser. Mais en plus de tous ces cauchemars, Mélenchon, en bon ‘’Lider minimo’’ qu’il est, veut tout bloquer et tout contrôler : les prix, les loyers, les revenus, la propriété, le capital, les chefs d’entreprises (vus par lui : ‘’ces sales patrons’’), les héritages, votre argent de poche et vos menus... et bientôt votre consommation individuelle, dans tous les domaines --conséquence obligée ! Mais là où il se sublime, c'est dans sa ''mutation écologique'', qui va nous coûter des sommes aujourd'hui encore inimaginables ! (NDLR : pour ne pas nous écarter du sujet de ce jour, déjà tellement lourd, nous allons faire comme si cette mutation était inéluctable. Quelle que soit la vérité --que nous rétablirons dans d'autres ''billets''-- on va dire qu'il faut lutter pour le climat : Greta Thunberg le dit !).
Cette soi-disant ''transition écologique'' (en fait... des impôts supplémentaires pour des motifs discutables !) va provoquer l’augmentation de tous les prix, impossible à digérer : l’isolation des logements, le remplacement des énergies fossiles par d'affreuses éoliennes, la décarbonation de tout ce qui bouge, etc... coûteront la peau de ce que vous voulez... sans parler de l'interdiction en 2035 des moteurs thermiques. C'est une idiotie, tout le monde le sait, mais (ou ''donc'', tant ils sont stupides !) les parlementaires européens viennent de la voter : la technique n’est pas au point et les approvisionnements en électricité ne seront jamais disponibles en de telles quantités... et cela met en faillite toute la filière automobile en Europe, et plusieurs millions d’Européens sur le carreau... Bravo, les mecs ! Je ne sais pas pour qui vous travaillez, mais il doit être content de vous : plus con qu'un député européen, on meurt ! Et personne ne ''moufte'', dans Landerneau ! Circulez...
Qui va payer ce qui sera vu par les historiens comme la plus grande galéjade de tous les temps... pourtant riches en histoires de fous ! Le gouvernement ne saura quoi répondre aux exigences -- artificiellement créées par lui-- du consommateur qu'on a persuadé qu'il avait envie (mais pas les moyens) d'une voiture électrique... Face à cette écologie mal comprise, le budget des ménages va exploser, et les français, qui ont déjà du mal à accepter les coûts induits par la guerre en Ukraine sur le pétrole ou le blé, ne comprendront pas une inflation induite --et pérenne-- liée à une ''mutation climatique'' qui n'a aucune chance d'atteindre ses objectifs, pas plus qu'à une ''contre-délocalisation'' faite sous pression : les victimes du discours de Greta Thunberg, se réveilleront choqués par la facture. Mais il sera trop tard !
On pourrait pendant des heures dévider des ‘’containers��’ entiers des grosses ''mélenchonneries'' auxquelles le macronisme, indéfini puisque inexistant en tant que sujet politique ou économique original, a ouvert toutes grandes les portes de l'Hémicycle : par sa faute, nous allons devoir cohabiter 5 longues années avec des révolutionnaires ''canal sanglant'', des wokistes en rupture de raison, des rouges-verts venimeux, des aigris permanents et des envieux-par-système, des anti-flics indigénistes communautaristes, des antispécistes préférant les scorpions à ceux qu'ils ont piqué, des ''végan'' violents et des faux écologistes conFISCateurs, des nostalgiques d'un islam entre-temps dévoré par l'islamisme, des promoteurs de la burka, du khamis et de la djellabah et des collabos burkinistes, des promoteurs du ''Allahou Akbar'', du communautarisme assumé, de la haine sociale, des ''refuzniks'' d'appeler ''chat'' un chat... et, pour dire la vérité, tout autant d' anti-républicains proclamés. Pour moins que ça, on mérite d'être voué aux escaliers des gémonies.
Et pourtant, force est de constater qu'il n'y a vraiment pas de justice, sur Terre : lorsque j'aurai supplié ''Votez, pour n'importe qui ou quoi, sauf les macronistes et les ''mélenchtoniens'' (NB : je tiens au ''T'', qui range le Jean-Luc éponyme parmi les habitants du Chton, les Enfers mythologiques)... et lorsque j’aurai dit que le RN est bien moins intrinsèquement dangereux et est donc cent, mille fois préférable à ces deux-là, ''par définition'', un peu comme comme le covid --par exemple--est préférable à la peste et au choléra (car, contrairement à la Gauche, il n'a pas ''vocation à l'incruste'', ni à ''causer l'irréversible'', ni à tout casser au nom d'une théorie anti-humaine), je serai obligé d'écrire, immédiatement après, que le choix, dimanche, ne sera pas entre deux pathologies mortelles, mais entre deux visions du monde qui le sont plus encore. A l'échelle de la France, le choix est entre une Nupes --révolutionnaire islamo-compatible-- et un ex-marcheur qui se croit ''Ensemble'' quand il est de plus en plus seul et ne représente rien que lui-même, donc rien de bon... avec, entre les deux, les quelques voix qui atterriront dans l'escarcelle du FN, contre les cris d’orfraie du ‘’poiltiquement correct’’. Elles ne serviront pas à grand chose, disent certains ? Oh ! Que oui : à atténuer un peu la force relative de l'une et de l'autre des maladies qui nous menacent ! NB : et s’abstenir ne profite qu’aux ennemis de ce qui a été et est encore LA FRANCE.
Au moment de vous dire ce que je m'apprête à écrire, je me regarde avec dégoût et je me bouche très fort le nez... Mais hélas, il faudra --pour essayer de sauver quelques meubles-- choisir la Gauche macronienne, contre la folie hyper-furieuse de Méchencon, qui fera de notre belle et chère France, en moins de 5 ans, un iso-francistan islamisé, à l'abandon, en ruine, et à la dérive à jamais... et de nous, des pauvres, et la risée du monde. Croyez bien qu'il m'en coûte beaucoup d'écrire des mots pareils... et c'est parce que je me doutais que j'aurais à le faire que j'ai eu un tel désir de rester en dehors de cette catastrophe annoncée et difficilement évitable : une des rares choses que m'ont enseigné les quelques ''baffes'' reçues durant ma longue carrière, c'est que ''quand tu n'as pas la main, tout ce que tu fais ou as envie de faire ne sert rigoureusement à rien. Il vaut mieux ne rien faire, ne rien tenter''.
Or... avant la catastrophe qui est en gestation, je n'avais déjà pas beaucoup la main... mais au moins, certains protagonistes comprenaient le sens de ce que j'écrivais, tandis que, avec la future répartition de rôles et les rapports de force qui se trament dans l'ombre... même mon vocabulaire ne sera plus compris : il ne saurait exister le plus petit terrain d'entente entre n'importe qui approuve et s'enthousiasme pour Macron ou Mélenchon et leurs idées, et ce que je crois, à termes variables, ''bon'' pour l'Humanité, intrinsèquement, et pour la France.
Ayant dépassé l'âge où on s'expatrie facilement, je me prépare à subir le pire et à vivre une vieillesse autre que celle espérée. En attendant (car il ne se passera rien, les tout premiers jours. Souvenez-vous : ''D'abord et avant tout, il faut endormir le condamné pour ne pas qu'il se débatte !''), je vais, dès demain, me détourner au maximum de toutes les laideurs insondables de la politique au quotidien : je n'ai vraiment plus du tout la main, en macro-mélenchtonie ! Après nous... le néant ?
H-Cl.
4 notes
·
View notes
Text
Poème
- Mais c’est moi qui ai écrit ça ? Non, je ne te crois pas !
- C’est pourtant la vérité, murmurai-je.
Je récupérai la caméra déposée sur la commode et, après l’avoir branchée sur la télévision, je démarrai le film. Elle resta muette, attentive. Soudain, elle garda la bouche grande ouverte en se découvrant sur l’écran. J’avais filmé juste après qu’elle se soit levée du lit. Elle était en sous-vêtements, petite culotte en coton et t-shirt moulant. On distinguait la pointe de ses seins à travers le tissu.
Elle se vit marcher tel un robot dans le couloir. Elle ouvrit le tiroir de mon bureau et sortit un cahier. D’ailleurs, elle m’avait surprise car personne ne savait que j’avais encore des cahiers vierges dans ce tiroir. Il faut dire que je ne l’ouvre plus depuis que j’utilise un ordinateur pour écrire. On pouvait entendre ma voix l’appeler. Je n’aime m’entendre parler, cependant, elle ne porta pas attention à mes appels et continua de s’observer. Elle entra dans la salle à manger, prit un stylo à côté du téléphone fixe et commença à écrire.
Tout en gardant un œil sur l’écran, elle détailla ses mots sur le papier qu’elle tenait toujours dans la main. En fait, elle ne reconnaissait pas son écriture ni même la langue dans laquelle elle avait écrit. C’était du latin ; j’avais reconnu certains mots tels que « quoque » ou « amo». Néanmoins, ses vers étaient incompréhensibles et je regrettais avoir arrêté l’étude de cette langue dès la cinquième, préférant le grec, plus compliqué et plus noble.
J’avais posé la caméra pour me recoucher. Elle continua de tourner, ainsi on pouvait la voir écrire entièrement jusqu‘à ce qu’elle s’effondre brutalement. Sa tête tomba sur la table. Elle garda le stylo dans la main. Elle restait endormie, j’accélérai le visionnage. Puis, tout s’arrêta subitement. Elle ne sut pas comment elle a fait pour retourner dormir.
- Je… je ne sais pas quoi dire, soupira-t-elle.
Un sanglot envahit le timbre de sa voix. C’était une telle évidence qu’elle voulait pleurer de honte car elle ne contrôlait rien de son propre corps. Je la pris dans les bras, je la rassurai. Elle inspira fortement pour retenir ses larmes. Dès lors, je demandai si elle n’avait pas de douleurs.
- Si, mal aux cervicales et à la tête quand je me réveille, répondit-elle.
- C’est peut-être lié, ne crois-tu pas ?
- Peut-être… surement !
Cela faisait plusieurs jours que ce problème durait. Elle se levait en pleine nuit, très souvent vers trois heures du matin. Elle partait écrire des poèmes dans différentes langues. Je reconnus du vieux français, de l’anglais mais aussi de l’allemand. Ensuite, elle s’endormait subitement avant de retourner se coucher. Elle se levait toujours à moitié perdue, persuadée avoir rêvée… et avec un atroce mal de crâne.
Quelques jours plus tard, elle prit rendez-vous chez son médecin traitant. Ce dernier lui conseilla un psychanalyste. Il suspecta un burnout ou au moins, une dépression liée à un quelconque évènement. Par précaution, ma compagne fit quelques tests et prises de sang qui n’apportèrent aucune réponse.
Lorsque le psychologue regarda les vidéos prises, il ne montra rien de sa surprise. En fait, il avait face à lui, un cas extrêmement intéressant. Il lut les poèmes, fit quelques recherches et grâce à ses contacts, il découvrit des ressemblances avec des auteurs célèbres. Il y avait du Esope dans certains poèmes, du Victor Hugo dans d’autres, il y avait aussi le style de Goethe. Un nom retint particulièrement son esprit car il était présent sur certaines feuilles, posées comme s’il s’agissait de l’auteur des poèmes.
- Qui est exactement Ann Finch ?
- Justement, je ne sais pas, répondit-elle.
- C’est étonnant que vous ne sachiez pas qu’Ann Finch était une poétesse anglaise. Ce qui me surprend, c’est que vous signez son nom et les poèmes sont en français. Un peu vieillot mais en français tout de même.
Elle ne répondit pas à sa réflexion. Elle sentit une certaine hostilité, se demandant si elle avait inventée tout ça. Aussi, il proposa d’organiser une séance d’hypnose. Il ne savait pas ce que cela donnerait, alors, il invita un collègue spécialisé dans cette méthode. Mon amie accepta à condition que je sois présent. La séance fut riche et me stupéfia.
Elle était assise dans le canapé de travail, le psychiatre face à elle laissait pendre un pendule qu’elle suivait du regard tout en écoutant ses mots. Il annonça qu’il arrêterait, puis il compta jusqu’à trois l’obligeant à fermer les yeux. Le silence ambiançait le cabinet. Tout en prenant des notes, l’autre psy suivait à côté de moi la séance. Il avait posé un magnétophone sur une table basse, à gauche de mon amie, ainsi qu’une caméra sur le bureau pour filmer l’hypnotiseur et sa patiente.
Elle demeurait assise, les genoux collés, les mains sur les cuisses. Le médecin proposa revivre cette nuit. Soudain, son visage perdit son calme tout en gardant les yeux fermés. Elle respira fortement par coups saccadés, elle se mit à parler dans une voix bien plus grave:
- J’ai besoin d’écrire, j’ai besoin d’écrire ! J’ai besoin d’une plume ! Je tuerais pour une plume !
- Qui êtes-vous ? demanda le psychanaliste.
- Et toi, qui es-tu pour poser la question ?
L’homme se présenta, annonça ses qualifications, faisant rire mon amie qui gardait toujours les paupières fermées. Je déglutis à l’annonce du nom qu’elle prononça.
- Je m’appelle François Villon.
- Vraiment ? Alors vous pouvez nous réciter la ballade des pendus ?
Dans un français parfait, elle entreprit un long monologue, prenant aussi la forme, et l’expression nécessaire lorsqu’elle dit : « Mais priez dieu que tous nous veuille absoudre ! ». J’entendis le psychiatre racler sa gorge avant de susurrer à mon oreille qu’elle n’oublia aucune strophe, surtout que le poème est long. Encore plus surprenant, elle ajouta un passage inconnu à la ballade.
L’hypnotiseur mit fin à la discussion en avançant le temps d’une semaine. A ce moment, mon amie se présenta comme un poète portugais totalement inconnu. Puis, elle devint Charles d’Orléans avant de prononcer le nom d’Ann Finch pour la première fois. Toutefois, ses discussions n’apportèrent rien d’intéressant. Le spécialiste continua à remonter dans le temps de mon amie. Il y avait au moins un poète par jour. Et enfin, nous eûmes la réponse à ses possessions.
- Je suis chez Amélie, dit-elle.
Je me souvenais de cette soirée. Je n’y avais pas été car j’étais invité à voir un match de football avec des amis dont le frère d’Amélie.
- On boit, on rit énormément. Et nous discutons sur la mort, l’au-delà et la vie après la mort… Oui ? Une partie de ouija ? (un sourire marqua soudainement son visage) Je suis d’accord, c’est excitant ! … Nous nous installons autour de la table, Mélanie revient avec un tableau qu’elle pose devant nous. On se tient par la main. C’est Christelle à ma droite et Léa à ma gauche. Nous commençons la séance dirigée par Amélie… Je ne sais pas, j’ai comme un souffle derrière mon oreille. Je me sens faillir pourtant je ne m’endors pas. Je crois que c’est l’alcool. Et…
Je retins mon souffle, écoutant ses explications avec attention. Elle garda le silence pendant quelques secondes avant d’affirmer :
- Je peux enfin réécrire. Quel bonheur ! Quel bonheur de me sentir vivante !
- Qui êtes-vous ?
- Mary Finch, dit-elle.
- Pourquoi êtes-vous en elle ? demanda-t-il avec le plus grand calme.
- Parce que son esprit a laissé la porte ouverte.
- Je vais vous demander de ne plus la déranger.
- Je comprends, dit-elle. Mais à une condition. Je voudrais écrire un dernier poème.
Il tendit un crayon et un carnet. Elle se mit tout-à-coup à griffonner, raturant, corrigeant. Elle prit son temps. Puis, elle signa de son nom avant de quitter sans prévenir. Mon amie tomba brusquement sur le côté. Toutefois, elle se réveilla lorsque le psychiatre lui ordonna d’ouvrir les yeux. Elle ne comprit pas pourquoi elle tenait un crayon dans une main et un carnet dans l’autre. Elle me regarda avec de gros yeux hagards avant de se lever et de réaliser qu’elle avait mal au cou. Elle comprit que cela avait recommencé.
Nous quittâmes le cabinet après avoir remercié les deux psychanalystes. Depuis ce jour, elle ne se lève plus la nuit pour écrire. Par contre, j’ai engueulé Amélie pour lui dire ce que je pensais de ces conneries de « ouija ».
Alex@r60 – août 2021
Photo: Auteur inconnu
32 notes
·
View notes
Text
NOUS POUVONS NOUS APPROPRIER LA PAROLE .
" Posted on July 10, 2024 by The Way "
J’entends souvent dire que les chanteurs << se sont appropriés quelque chose >>. Ils ont pris une chanson que quelqu’un d’autre a déjà chantée et ils y ont mis leur touche personnelle; ils l’ont chantée comme si c’était leur propre chanson. On entend parfois des chrétiens dire qu’il faut << s’approprier la Parole de Dieu >>. Explorons ce que cela signifie de s’approprier la Parole, ce que cela ne signifie pas, et comment nous nous approprions la Parole de façon pratique.
Commençons notre étude de la signification de s’approprier la Parole en regardant ce que ce n’est pas. S’approprier la Parole ne consiste pas à trouver quelque chose de nouveau, mais plutôt à prendre personnellement à cœur les vérités de la Parole que nous avons reçues d’un enseignement ou d’une étude. Il ne s’agit pas d’adapter la Parole à notre vie, mais plutôt de comprendre la Parole de Dieu afin de la retenir fermement et d’adapter ensuite notre vie à ses préceptes.
Maintenant que nous comprenons mieux ce que ce n’est pas, voyons ce que signifie s’approprier la Parole. Deux grands versets de la parabole du semeur et de la semence illustrent les caractéristiques de quelqu’un qui s’approprie la Parole. Le premier est celui de Luc 8:15.
Luc 8 : 15
Ce qui est tombé dans la bonne
terre, ce sont ceux qui, ayant entendu
la parole avec un cœur honnête et bon,
la retiennent, et portent du fruit avec
persévérance.
Dans ce verset, nous voyons qu’il y a des gens qui ont un cœur honnête et bon, et lorsqu’ils entendent la Parole, ils la retiennent. Le mot << retiennent >> dans ce verset signifie << avoir et s’y attacher, retenir fermement >>. Nous ne lâchons pas la Parole que nous avons reçue. Nous la retenons fermement. Comme il est dit en 1 Thessaloniciens 5 : 21 ' << . . . examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon >>.
L’autre verset que nous allons examiner se trouve en Matthieu.
Matthieu 13 : 23
Celui qui a reçu la semence dans
la bonne terre, c’est celui qui entend
la parole et la comprend ; il porte du
fruit, et un grain en donne cent, un
autre soixante, un autre trente.
<< Comprend >> dans ce verset signifie appréhender par la connaissance, réfléchir moralement, prendre à cœur, s’intéresser vivement à l’objet.
À la lumière de ces versets, s’approprier la Parole nécessite de faire l’effort de comprendre les vérités que nous trouvons dans la Parole de Dieu, d’y réfléchir moralement et de les prendre à cœur afin de les retenir fermement dans notre cœur. Lorsque nous agissons selon ces vérités, notre vie va porter du fruit. S’approprier la Parole nécessite de faire ce qu’il faut pour être pleinement persuadé de la vérité.
Que pouvons-nous donc faire pour nous approprier réellement la Parole ? Voici un exemple des étapes que j’ai suivies récemment pour m’approprier la Parole que j’avais entendue lors d’un enseignement Biblique. L’enseignant avait parlé des caractéristiques de quelqu’un qui considère les intérêts des autres. Je voulais vraiment faire en sorte que les vérités enseignées se réalisent dans ma vie. J’avais l’impression de n’avoir pas toujours bien considéré les intérêts des autres, et j’étais enthousiaste de voir comment Dieu agirait en moi si je décidais de m’approprier Sa Parole à cet égard.
Je suis rentré chez moi et j’ai étudié la Parole que l’enseignant de cette réunion avait enseignée. Je l’ai étudiée en voulant découvrir comment je pouvais l’appliquer personnellement. En étudiant de différents passages de la Parole, j’ai amélioré mon appréciation du sujet et j’ai constaté comment Jésus-Christ, Paul et d’autres disciples avaient mis en pratique ce principe de la Parole. Lorsque je passais mes journées au travail en considérant délibérément les intérêts des autres et en appliquant les principes que j’avais étudiés, j’ai vu que ma relation avec mes collègues commençait à s’améliorer.
Quelques semaines plus tard, ma supérieure immédiate, avec qui j’avais développé une amitié, a demandé à me voir dans son bureau. Elle a ouvert son cœur et m’a fait part d’une situation dans sa vie. Elle m’a demandé de prier pour elle et pour la situation parce qu’elle croyait que la prière ferait une différence. J’ai été ravi de voir que lorsque je me suis approprié la Parole dans cet aspect de la vie, mes actions ont conduit à cette occasion de pouvoir prier pour ma collègue et l’aider à résoudre un problème personnel. M’approprier la Parole m’a aidé à porter du bon fruit !
Nous avons maintenant une meilleure compréhension de ce que signifie s’approprier la Parole. Nous avons vu ce que ce n’est pas. Nous sommes allés à la Parole pour voir ce que c’est, et puis nous avons vu une façon pratique de nous approprier la Parole. Nous sommes prêts à appliquer ce que nous avons appris. Prenons donc à cœur les vérités de la Parole et comprenons la Parole afin que nous puissions la retenir fermement et adapter notre vie à ce que dit la Parole.
Que Dieu vous bénisse abondamment, vous fortifie, vous protège et vous garde en parfaite santé au nom de Jésus-Christ, amen!
0 notes
Text
En apprenant à vivre avec humilité
As-tu déjà eu l'occasion de rencontrer un chrétien grincheux?
Peut-être as-tu déjà croisé le chemin de chrétiens aimant rouspéter, se plaindre ou parler durement des autres. Il se pourrait même que tu aies été l'un d'eux à un moment de ta vie.
Il peut être bon de faire une introspection, pour éviter de devenir l'un de ces chrétiens pharisaïques persuadés de détenir la vérité dont les autres seraient dépourvus. Tu peux voir à quel point il peut être tentant de regarder les autres de haut, de les rabaisser ou de les considérer comme plus mauvais que nous.
Cependant, en faisant cela, nous n'atteignons pas le but du message de Jésus.
La parole de Dieu enseigne que nous commençons tous au même point de départ. Seule la grâce de Dieu nous permet d’être sauvés et de découvrir la vérité sur l’amour que Dieu nous porte.
Cela ne nous rend pas meilleurs que les autres chrétiens! En réalité, tel que Paul l’a dit dans Éphésiens 4:2, nous devons nous montrer humbles et doux dans nos relations et non pas durs et critiques. De plus, il nous encourage à faire preuve de patience et à nous entraider de toutes les façons possibles, afin de grandir ensemble.
Ces idées n'émanent pas de Paul, mais sont inspirées de la conduite de Jésus durant sa vie. Comme disciples de Jésus, nous devrions aussi traiter toute personne de notre vie avec douceur, patience et humilité. Chacun mérite d’être considéré avec dignité, patience et amour, quelles que soient son apparence ou ses croyances.
Prends un moment aujourd’hui pour réfléchir à des moyens de gagner en patience, en humilité et en amour avec les autres. Cela pourrait être d'offrir une écoute attentive, de se soucier d’autrui, de dire des paroles encourageantes ou de reconnaître ses erreurs devant ceux que tu aurais pu offenser.
Décide aujourd’hui de vivre dans l’humilité et la grâce envers les autres.
0 notes