#Féminisme
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chat-dit · 29 days ago
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laurierthefox · 11 months ago
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Bonjour à toustes !
Jusqu'ici j'avais très peu parlé de ma transition, de mon parcours, car j'ai appris que si nous voulions avancer en tant que communauté, il valait mieux mettre en avant nos luttes collectives, plutôt que les histoires individuelles.
Je suis toujours en accord avec ça, mais à l'heure ou certaines se revendiquent du féminisme (plus du fémo-nationalisme) j'avais envie de parler de la place de celui-ci dans ma transidentité et ma transition.
A l'approche du 17 Mai, et pour faire face au backlash contre le droit à disposer de son corps, j'ai eu envie, de manière extrêmement résumé et simplifié, de parler de ce lien et de la diversité de nos vécus. J'en parlerais sans doute beaucoup plus en détail un jour. Prenez soin de vous si vous pouvez
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petit-atelier-de-poesie · 8 months ago
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NOTE DE LECTURE : La chair est triste hélas. Ovidie. 2023
Un livre coup de poing pour continuer à découvrir la littérature féministe. Je ne connais pas Ovidie autrement que par sa réputation sulfureuse d'ancienne star du porno, mais surtout pour ses derniers travaux et engagements féministes. C'est donc avec curiosité que je me suis procurée ce bouquin témoignage d'années d'abstinence et de son analyse de comment en être arrivée là. Et puis il y a ce titre "La chair est triste hélas" tiré d'un poème de Mallarmé dont je me souviens encore des premiers vers. 
Un livre coup de poing, disais-je, puisque la violence du propos est tout d'abord insupportable, jusqu'à la nausée. Et puis le souvenir de mon propre vécu dans mes relations de couple, de ce rapport de force inévitable entre amour et mort.  Violence physique avec les rapports sexuels non consentis / viols ordinaires et objectification du corps féminin, violence psychologique avec les rapports humiliants de soumission / dépendance au regard de l'autre mâle et assujettissement de l'esprit féminin à son désir à lui. 
Un livre coup de coeur, finalement, puisque nous sommes de la même génération et que je partage sa position quant au féminisme dont je ne me revendiquais pas jusqu'à présent, mais qui fait tellement écho à mon ressenti de femme, aux thèmes qui me travaillent depuis toujours : féminité, identité, sexualité, et à la paix que j'ai trouvée depuis que je suis seule et libre, autonome et indépendante. 
Merci à Ovidie et toutes les autrices qui nous accompagnent dans la démarche et sur le chemin, puisque je n'ai pas encore lu tous les livres...
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je-suis-ronflex · 10 months ago
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Quatennens qui renonce à être candidat aux législatives, je dis amen d'écouter le peuple et de ne pas passer en force contre l'avis des militants
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gwennpetrichor · 1 month ago
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Writever mars 2025
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1. Femmes
Il ne connaît aucune femme qu’il estimerait « forte ». Il répète sur Twitter qu’il ne connaît aucune femme capable de porter des charges lourdes, de prendre des décisions importantes, de résister à la douleur, de faire preuve de résilience. Il ne connaît pas sa propre mère, et encore moins sa grand-mère, il ne sait pas qui est vraiment sa sœur, et il épousera une femme dont il ignorera la force toute sa vie.
2. Droits
Elles ont lutté pour le droit de vote (avec des bombes).
Elles ont gagné le droit de travailler (avec rémunération).
3. Ménagère
Le sang se lave à l’eau froide, l’eau oxygénée pour détacher, il ne faut pas attendre et nettoyer le plus tôt possible avant que la crasse ne s’installe. Chaque tiquet de caisse, chaque facture, chaque reçu sont soignement archivés. La bonne ménagère sait effacer les preuves et aligner les alibis.
4. Coller
Une lettre à la fois les colleuses féministes prennent leur temps, pour une fois de parler sans se presser. Un mur de 10 mètres de long ne peut pas être interrompu par l’octave au dessus.
5. Miroir
Elle admire dans le miroir chaque breloque dûement gagnée comme autant de médailles sur sa poitrine. Une pour chaque accouchement, celle-ci pour excuser une gifle, cette autre pour marquer 20 ans de labeurs ininterrompus. Quel bon prince, qu’il garde son argent, elle façonnera la prochaine avec le plomb de sa molaire arrière-gauche.
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francepittoresque · 5 months ago
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3 novembre 1793 : Olympe de Gouges est guillotinée sur ordre du Tribunal révolutionnaire Célèbre auteur de la "Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne" et considérée comme une des pionnières du féminisme français, elle se signale d'abord par des écrits royalistes, avant de se faire républicaine deux ans plus tard, après l’évasion de Louis XVI arrêté à Varennes ➽ http://bit.ly/Olympe-Gouges
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fleursselenes · 2 months ago
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Aujourd'hui, je voudrais simplement rendre hommage à mon instinct féminin surdéveloppé. A défaut de vivre dans une lénifiante ignorance, je peux survivre dans une douloureuse mais vraie lucidité.
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nos-vies-avant · 1 year ago
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lounesdarbois · 3 days ago
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Groland.
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coulisses-onirisme · 3 months ago
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chat-dit · 6 months ago
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Militobre #9 - Lutte contre les VSS
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culturefrancaise · 1 year ago
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Quand les femmes eurent le droit de voter
"Quand les femmes eurent le droit de voter" sur https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-pieds-sur-terre/quand-les-femmes-eurent-le-droit-de-voter-1905941 via @radiofrance
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pascal-bernheim · 5 months ago
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itsdanielaasblog · 2 years ago
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Saalut tout le monde ! Welcome back to itsdanielasblog 😊
Aujourd’hui j’aimerais bien parler d’un sujet sur lequel je me questionne depuis quelques temps : la féminisation des noms de métiers. Pour commencer, il faut bien se demander quel est le pouvoir de la langue dans la perception humaine : un exemple que je trouve très puissant en matière concerne la tribu Himbas. Cette tribu namibienne n’a que cinq mots pour décrire les couleurs : la conséquence est la complète différence de perception des couleurs mêmes. En effet, le manque de distinction entre les mots pour « vert » et « bleu » mène à l’impossibilité de distinguer les deux couleurs. Cette réalité confirme l’ « hypothèse de Sapir Whorf », qui soutien – brièvement – que les représentations mentales dépendent des catégorie linguistique et que, donc, la façon dont on perçoit le monde dépend aussi de la langue qu’on utilise.
Là, après avoir constaté l'importance de la langue, il faut s’interroger sur qu’est-ce que c’est le genre linguistique même. Le genre dans la langue est l’exemple le plus évident de la dichotomie linguistique homme/femme et est souvent lié aux anciens Grecs et surtout à Protagoras ; le « genre » concernait la division des noms grecs dans les trois différentes classifications : masculin/féminin/neutre. Dans les langues indo-européennes, le genre des noms n’a rien à voir avec le signifié, mais avec la forme : un élément important est, par exemple, la terminaison des mots.  Déjà pendant le Moyen Âge on parlait de certaines profession au féminin comme dans les cas d’ « inventeure », « chirurgienne », « commandante » – ou, plus souvent, des substantifs féminisés par l’intermédiaire du suffixe « -esse », comme dans « venderesse ». Ce phénomène s’est amplifié au XIXe siècle, avec l’avènement de l’âge industriel ; il s’est accéléré depuis le début du XXe siècle, où les nécessités sociales liées au premier conflit mondial ont amené les femmes à exercer des activités jusqu’alors réservées aux hommes. La question du genre dans la langue dans l'histoire moderne remonte au XVIIème siècle avec Vaugelas qui, en 1647, a introduit la règle « le masculin l’importe sur le féminin » étant le masculin le genre le plus noble. Est-ce qu’on parlait de noblesse grammaticale ou sociale ? Je crois que c’est déjà une bonne question de départ ! Mais Vaugelas n’était pas le seul (bien suuur) : déjà Bouhours avait soutenu sans réserve Vaugelas, mais c’est avec Beauzée qu’on se rend compte que le sujet est aussi social et pas que linguistique : il soutenait que le masculin est plus noble à cause de la supériorité du mal sur la femelle. Même Maurice Druon, ex-secrétaire perpétuel de l’Académie française, a défendu l’idée que les noms de fonction devraient être masculins « puisqu’en français, l’espèce homme, ou le genre humain si l’on préfère, est masculin ».
En 1998, la Commission générale de terminologie et de néologie a publié le Rapport sur la féminisation des noms de métier, fonction, grade ou titre dans lequel elle ne s’oppose pas à la féminisation des noms de professions mais manifeste son désaccord avec la féminisation complète. Parmi ceux qui s’occupent de la problématique de la féminisation en France, la place la plus importante a été prise par la Commission de féminisation qui a travaillé de décembre 1983 à février 1986.
On peut donc soutenir que la féminisation des noms de métier n’est pas un problème du XXIème siècle !  
L’Académie française s’en est occupée en 2019, moment dans lequel on a reformulé le dictionnaire, en le pensant – aussi – au féminin. Ça a été le moment où on a reconnu la version féminine de la plupart des noms de métiers. Cet effort intellectuel nait d’une prise de conscience collective : il faut reconnaitre aux femmes une place dans la langue ainsi que dans la société. Toutes les évolutions qui vont dans cette direction peuvent être envisagées : ça suffit qu’elles ne contreviennent pas aux règles élémentaires et fondamentales de la langue. Ce n’est pas possible, donc, de changer ou bien de « bouleverser le système de la langue ».
D’un point de vue linguistique, il est possible de féminiser presque tous les substantifs, en particulier les substantifs désignant les professions. Dans le lien que je vous ai laissé en pièce jointe il y a quelques exemples de règles utilisées par l’Académie française !
Mais pourquoi est-il si important féminiser les noms de métiers ?
On peut contextualiser ce thème dans le domaine du sexisme langagier : selon les études de Michard, le sexisme du langage est caractérisé par la dévalorisation généralisée des termes de genre féminin et par l’exclusion, l’invisibilisation des femmes dans les discours en raison de la fausse valeur générique du masculin. Le sexisme langagier se nourrit de même de la méconnaissance de l’effet des rapports de pouvoir sur les processus de symbolisation et des représentation socio-cognitives et idéologiques qui en résultent. La féminisation des noms dans le sexisme langagier, se présente comme une valorisation de ce qui d’habitude est dévalorisé : l’utilisation du masculin en tant que spécifique (mâle) représente la tentative de rétablir la symétrie linguistique. Dans cette perspective, il faut aussi prendre en considération le concept de masculin générique : le féminin s’oppose au masculin en tant qu’humain, sous-entendant le genre féminin comme humain relatif. Par contre, la féminisation des noms peut jouer le rôle opposé : ça pourrait conduire à la dé-humanisation de mots en soi, en les représentant seulement pour le genre exprimé. Pour autant, la question qui se pose est : faut-il féminiser ou humaniser ? 
Pour revenir aux métiers, la notion absolue de profession ou de fonction est formalisée par le masculin sans différence de sexe : cependant, si on utilise des féminins dans ces exemples, le sens femelle envahit celui de profession ou de fonction, le relativise, le restreint, le dévie. Ce procès peut conduire à l’effacement complet de la fonction/profession et arrive à signifier « épouse ».
Pour conclure, on peut expliquer la volonté de féminiser comme une tentative de suivre une évolution sociale qui est marquée par l’accès des femmes à des métiers ou à des positions hiérarchiques dont elles avaient été longtemps écartées. Citons Marie-Jo Mathieu et Jean-Marie Pierrel: « la féminisation n’est ni une mode passagère, ni un programme politique, mais une revendication fondamentale, essentielle, existentielle de tout individu dans notre société : ce qui n’est pas nommé n’existe pas ».
J’ai cherché à résumer les questions fondamentales concernant la pratique de la féminisation des noms de métiers, qu’est-ce vous en pensez ? On en parle dans les commentaires !
P.S. L’usage est une réalité complexe : certains points de résistance doivent être pris en compte. Les raisons qui, en certains cas, s’opposent à la féminisation ne peuvent pas être a priori considérées comme irrecevables.
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petit-atelier-de-poesie · 5 months ago
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NOTE DE LECTURE : Sorcières. La puissance invaincue des femmes. Mona Chollet. 2018
Enfin je me suis lancée dans la lecture de Mona Chollet ! Il m'a fallu tout ce temps, une cinquantaine d'années, pour me dire féministe. Et je ne pouvais passer à côté de cet essai, qui m'a suscité tant de dégout, de colère et de compassion.  Immédiatement, je me suis sentie proche de l'autrice qui fait appel à ses souvenirs d'enfance avec les stéréotypes des sorcières dont les contes classiques nous abreuvent. Je les ai connues moi aussi, fascinée et terrifiée. Et puis, après avoir fait en introduction l'inventaire des horreurs vécues par les femmes au cours des siècles historiques, de la "chasse au sorcières" à nos jours, très vite on rentre dans le vif du sujet :  1. le désir d'indépendance, celui revendiqué pour avoir une vie à soi et faire fi du sacrifice pour le couple 2. le désir de stérilité, celui possible avec la contraception et le droit à l'IVG pour faire fi de la famille  3. le désir de respect, celui mérité avec l'âge pour faire fi de l'invisibilité et accéder à la sagesse  4. le désir d'égalité, celui rêvé entre les hommes et les femmes si le féminisme était partagé pour faire fi de la société patriarcale  Je rêve moi aussi de faire partie de ce nouveau monde, ainsi que les générations à venir, et en attendant je lirai encore un autre essai de Mona Chollet pour "Réinventer l'amour"... avec cette fois beaucoup d'espoir.
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mamaasawriter · 9 months ago
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Mais être belle ne suffit pas, il faut surtout être bandante, comme si l'érection était le pôle d'orientation de notre existence. Nous sommes tyrannisées par notre quête désespérée et obstinée d'être au cœur du désir des hommes. Et cette quête est délétère, car elle nous condamne à n'être définies que par l'axe d'un désir extérieur, et à nous entre-jalouser. Je ne veux plus de ce rapport destructeur entre femmes. Je veux me réjouir de leur beauté et de leur réussite, qui ne me retire rien.
Ovidie, La chair est triste hélas
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