#Féminisme
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hard--headed--woman · 2 years ago
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of course many women are gonna identify as non-binary if you tell them that womanhood is a feeling, something you have to be conected to, to feel and to be conscious of everyday. it's not. and most women actually don't feel anything. "i don't know what feeling like a woman feels like/i don't really feel connected to womanhood most of the time so i am probably not a woman and must be non-binary!" no it's just totally normal. womanhood is not a feeling. we don't go around having a constant womanly feeling and loving everything about womanhood 24/7. this idea is totally made up, and most women wouldn't know what the fuck you're talking about. same goes for "being a woman is being totally happy about your gender" no. not all women like being women, and saying this implies that being a woman is feeling good with all gender rules and stereotypes (because that's the def of gender) and not only it is false, but also sexist. being a woman isn’t a feeling or a connection, it is a reality.
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les-larmes-d-eros · 11 months ago
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Photos par Danae Char
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laurierthefox · 7 months ago
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Bonjour à toustes !
Jusqu'ici j'avais très peu parlé de ma transition, de mon parcours, car j'ai appris que si nous voulions avancer en tant que communauté, il valait mieux mettre en avant nos luttes collectives, plutôt que les histoires individuelles.
Je suis toujours en accord avec ça, mais à l'heure ou certaines se revendiquent du féminisme (plus du fémo-nationalisme) j'avais envie de parler de la place de celui-ci dans ma transidentité et ma transition.
A l'approche du 17 Mai, et pour faire face au backlash contre le droit à disposer de son corps, j'ai eu envie, de manière extrêmement résumé et simplifié, de parler de ce lien et de la diversité de nos vécus. J'en parlerais sans doute beaucoup plus en détail un jour. Prenez soin de vous si vous pouvez
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petit-atelier-de-poesie · 5 months ago
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NOTE DE LECTURE : La chair est triste hélas. Ovidie. 2023
Un livre coup de poing pour continuer à découvrir la littérature féministe. Je ne connais pas Ovidie autrement que par sa réputation sulfureuse d'ancienne star du porno, mais surtout pour ses derniers travaux et engagements féministes. C'est donc avec curiosité que je me suis procurée ce bouquin témoignage d'années d'abstinence et de son analyse de comment en être arrivée là. Et puis il y a ce titre "La chair est triste hélas" tiré d'un poème de Mallarmé dont je me souviens encore des premiers vers. 
Un livre coup de poing, disais-je, puisque la violence du propos est tout d'abord insupportable, jusqu'à la nausée. Et puis le souvenir de mon propre vécu dans mes relations de couple, de ce rapport de force inévitable entre amour et mort.  Violence physique avec les rapports sexuels non consentis / viols ordinaires et objectification du corps féminin, violence psychologique avec les rapports humiliants de soumission / dépendance au regard de l'autre mâle et assujettissement de l'esprit féminin à son désir à lui. 
Un livre coup de coeur, finalement, puisque nous sommes de la même génération et que je partage sa position quant au féminisme dont je ne me revendiquais pas jusqu'à présent, mais qui fait tellement écho à mon ressenti de femme, aux thèmes qui me travaillent depuis toujours : féminité, identité, sexualité, et à la paix que j'ai trouvée depuis que je suis seule et libre, autonome et indépendante. 
Merci à Ovidie et toutes les autrices qui nous accompagnent dans la démarche et sur le chemin, puisque je n'ai pas encore lu tous les livres...
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je-suis-ronflex · 6 months ago
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Quatennens qui renonce à être candidat aux législatives, je dis amen d'écouter le peuple et de ne pas passer en force contre l'avis des militants
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francepittoresque · 2 months ago
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3 novembre 1793 : Olympe de Gouges est guillotinée sur ordre du Tribunal révolutionnaire Célèbre auteur de la "Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne" et considérée comme une des pionnières du féminisme français, elle se signale d'abord par des écrits royalistes, avant de se faire républicaine deux ans plus tard, après l’évasion de Louis XVI arrêté à Varennes ➽ http://bit.ly/Olympe-Gouges
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nos-vies-avant · 8 months ago
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chat-dit · 2 months ago
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Militobre #9 - Lutte contre les VSS
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les-larmes-d-eros · 11 months ago
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Photo par Danae Char
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culturefrancaise · 8 months ago
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Quand les femmes eurent le droit de voter
"Quand les femmes eurent le droit de voter" sur https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-pieds-sur-terre/quand-les-femmes-eurent-le-droit-de-voter-1905941 via @radiofrance
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petit-atelier-de-poesie · 2 months ago
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des femmes qui disent tout haut... la grandeur des petites choses l'énigme des paradoxes les arcanes du pouvoir la mort aux trousses l'amour, l'amour? dont on parle toujours... (ou presque)
/ Fabienne PASSAMENT. 2024 Source : journal La Strada
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pascal-bernheim · 1 month ago
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itsdanielaasblog · 1 year ago
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Saalut tout le monde ! Welcome back to itsdanielasblog 😊
Aujourd’hui j’aimerais bien parler d’un sujet sur lequel je me questionne depuis quelques temps : la féminisation des noms de métiers. Pour commencer, il faut bien se demander quel est le pouvoir de la langue dans la perception humaine : un exemple que je trouve très puissant en matière concerne la tribu Himbas. Cette tribu namibienne n’a que cinq mots pour décrire les couleurs : la conséquence est la complète différence de perception des couleurs mêmes. En effet, le manque de distinction entre les mots pour « vert » et « bleu » mène à l’impossibilité de distinguer les deux couleurs. Cette réalité confirme l’ « hypothèse de Sapir Whorf », qui soutien – brièvement – que les représentations mentales dépendent des catégorie linguistique et que, donc, la façon dont on perçoit le monde dépend aussi de la langue qu’on utilise.
Là, après avoir constaté l'importance de la langue, il faut s’interroger sur qu’est-ce que c’est le genre linguistique même. Le genre dans la langue est l’exemple le plus évident de la dichotomie linguistique homme/femme et est souvent lié aux anciens Grecs et surtout à Protagoras ; le « genre » concernait la division des noms grecs dans les trois différentes classifications : masculin/féminin/neutre. Dans les langues indo-européennes, le genre des noms n’a rien à voir avec le signifié, mais avec la forme : un élément important est, par exemple, la terminaison des mots.  Déjà pendant le Moyen Âge on parlait de certaines profession au féminin comme dans les cas d’ « inventeure », « chirurgienne », « commandante » – ou, plus souvent, des substantifs féminisés par l’intermédiaire du suffixe « -esse », comme dans « venderesse ». Ce phénomène s’est amplifié au XIXe siècle, avec l’avènement de l’âge industriel ; il s’est accéléré depuis le début du XXe siècle, où les nécessités sociales liées au premier conflit mondial ont amené les femmes à exercer des activités jusqu’alors réservées aux hommes. La question du genre dans la langue dans l'histoire moderne remonte au XVIIème siècle avec Vaugelas qui, en 1647, a introduit la règle « le masculin l’importe sur le féminin » étant le masculin le genre le plus noble. Est-ce qu’on parlait de noblesse grammaticale ou sociale ? Je crois que c’est déjà une bonne question de départ ! Mais Vaugelas n’était pas le seul (bien suuur) : déjà Bouhours avait soutenu sans réserve Vaugelas, mais c’est avec Beauzée qu’on se rend compte que le sujet est aussi social et pas que linguistique : il soutenait que le masculin est plus noble à cause de la supériorité du mal sur la femelle. Même Maurice Druon, ex-secrétaire perpétuel de l’Académie française, a défendu l’idée que les noms de fonction devraient être masculins « puisqu’en français, l’espèce homme, ou le genre humain si l’on préfère, est masculin ».
En 1998, la Commission générale de terminologie et de néologie a publié le Rapport sur la féminisation des noms de métier, fonction, grade ou titre dans lequel elle ne s’oppose pas à la féminisation des noms de professions mais manifeste son désaccord avec la féminisation complète. Parmi ceux qui s’occupent de la problématique de la féminisation en France, la place la plus importante a été prise par la Commission de féminisation qui a travaillé de décembre 1983 à février 1986.
On peut donc soutenir que la féminisation des noms de métier n’est pas un problème du XXIème siècle !  
L’Académie française s’en est occupée en 2019, moment dans lequel on a reformulé le dictionnaire, en le pensant – aussi – au féminin. Ça a été le moment où on a reconnu la version féminine de la plupart des noms de métiers. Cet effort intellectuel nait d’une prise de conscience collective : il faut reconnaitre aux femmes une place dans la langue ainsi que dans la société. Toutes les évolutions qui vont dans cette direction peuvent être envisagées : ça suffit qu’elles ne contreviennent pas aux règles élémentaires et fondamentales de la langue. Ce n’est pas possible, donc, de changer ou bien de « bouleverser le système de la langue ».
D’un point de vue linguistique, il est possible de féminiser presque tous les substantifs, en particulier les substantifs désignant les professions. Dans le lien que je vous ai laissé en pièce jointe il y a quelques exemples de règles utilisées par l’Académie française !
Mais pourquoi est-il si important féminiser les noms de métiers ?
On peut contextualiser ce thème dans le domaine du sexisme langagier : selon les études de Michard, le sexisme du langage est caractérisé par la dévalorisation généralisée des termes de genre féminin et par l’exclusion, l’invisibilisation des femmes dans les discours en raison de la fausse valeur générique du masculin. Le sexisme langagier se nourrit de même de la méconnaissance de l’effet des rapports de pouvoir sur les processus de symbolisation et des représentation socio-cognitives et idéologiques qui en résultent. La féminisation des noms dans le sexisme langagier, se présente comme une valorisation de ce qui d’habitude est dévalorisé : l’utilisation du masculin en tant que spécifique (mâle) représente la tentative de rétablir la symétrie linguistique. Dans cette perspective, il faut aussi prendre en considération le concept de masculin générique : le féminin s’oppose au masculin en tant qu’humain, sous-entendant le genre féminin comme humain relatif. Par contre, la féminisation des noms peut jouer le rôle opposé : ça pourrait conduire à la dé-humanisation de mots en soi, en les représentant seulement pour le genre exprimé. Pour autant, la question qui se pose est : faut-il féminiser ou humaniser ? 
Pour revenir aux métiers, la notion absolue de profession ou de fonction est formalisée par le masculin sans différence de sexe : cependant, si on utilise des féminins dans ces exemples, le sens femelle envahit celui de profession ou de fonction, le relativise, le restreint, le dévie. Ce procès peut conduire à l’effacement complet de la fonction/profession et arrive à signifier « épouse ».
Pour conclure, on peut expliquer la volonté de féminiser comme une tentative de suivre une évolution sociale qui est marquée par l’accès des femmes à des métiers ou à des positions hiérarchiques dont elles avaient été longtemps écartées. Citons Marie-Jo Mathieu et Jean-Marie Pierrel: « la féminisation n’est ni une mode passagère, ni un programme politique, mais une revendication fondamentale, essentielle, existentielle de tout individu dans notre société : ce qui n’est pas nommé n’existe pas ».
J’ai cherché à résumer les questions fondamentales concernant la pratique de la féminisation des noms de métiers, qu’est-ce vous en pensez ? On en parle dans les commentaires !
P.S. L’usage est une réalité complexe : certains points de résistance doivent être pris en compte. Les raisons qui, en certains cas, s’opposent à la féminisation ne peuvent pas être a priori considérées comme irrecevables.
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mamaasawriter · 5 months ago
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Mais être belle ne suffit pas, il faut surtout être bandante, comme si l'érection était le pôle d'orientation de notre existence. Nous sommes tyrannisées par notre quête désespérée et obstinée d'être au cœur du désir des hommes. Et cette quête est délétère, car elle nous condamne à n'être définies que par l'axe d'un désir extérieur, et à nous entre-jalouser. Je ne veux plus de ce rapport destructeur entre femmes. Je veux me réjouir de leur beauté et de leur réussite, qui ne me retire rien.
Ovidie, La chair est triste hélas
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femsolid · 1 year ago
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Quel plaisir :) T'imagines si au lieu de se taper des hommes de droite sur tous les plateaux de télé on avait des féministes de gauche à chaque fois ? J'aurai pas vendu ma télé peut-être...
Le trouduc qui croit que la présomption d'innocence ça veut dire qu'on a pas le droit d'accuser les hommes et qui fait du mansplaining a une avocate LOL remballé.
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francepittoresque · 1 year ago
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3 novembre 1793 : Olympe de Gouges est guillotinée sur ordre du Tribunal révolutionnaire ➽ http://bit.ly/Olympe-Gouges Célèbre auteur de la "Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne" et considérée comme une des pionnières du féminisme français, elle se signale d'abord par des écrits royalistes, avant de se faire républicaine deux ans plus tard, après l’évasion de Louis XVI arrêté à Varennes
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