#il n'y a RIEN d'intéressant
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hm
#en français parce qu'il doit y avoir 5 français qui suivent ce blog#mais contexte#la streameuse que je regardais a crash#donc en attendant qu'elle revienne je traînais sur twitch et j'me suis dit. on va voir si le jeu maudit est vraiment si bon qu'il mérite#à ce point d'être défendu#et#c'est juste un énième clone de witcher 3 et d'assassin's creed (sauce origins et jeux suivants)#vraiment capitalism breeds innovation#il n'y a RIEN d'intéressant#tout est super rigide les graphismes sont cet espèce de beau sans âme qui a envahi les jeux AAA depuis 8 ans#les éléments de gameplay (attaquer des camps par ex) sont les mêmes que dans AC et c'est chiant#les combats sont chiants#genre c'est même pas mauvais genre la honte suprême#juste vraiment la formule super palatable qui est répétée et répétée depuis presque dix ans parce que c'est ce qui marche#oui je sais que les gens défendent plus le jeu par réaction que parce que le jeu est bon#mais quand même#après avoir regardé la vidéo sur la 'marketabilité' de la franchise je peux dire. oui effectivement c'est encore un produit vendu à un#public bercé par les produits dérivés depuis qu'ils ont 5 ans
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Par contre Netflix il va falloir se calmer, il y a des périodes où il n'y a rien d'intéressant à regarder puis d'un coup ils balancent pleiiiiiin de trucs à regarder wsh les gens comme moi ont une vie ça suffit oui de balancer trop de trucs
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Vivre à Downhill
Petite ville américaine sans histoire de 35 000 habitants, Downhill ne fait pas vraiment parler d'elle en dehors de ses frontières. Tellement peu, à vrai dire, que beaucoup ignorent même son existence, tant il ne s'y passe rien d'intéressant.
Quelques détails 1 · À Downhill, tous les numéros de téléphone commencent par l'indicatif (745), au lieu de ceux qui sont généralement utilisés dans le reste de l'Indiana. Cet indicatif n'est utilisé nulle part ailleurs dans le reste du pays.
2 · En réglant sa radio sur la fréquence 28.9FM on peut y entendre être diffusé quasiment en continu la même chanson, I'm Waiting Just For You par Wanda Jackson, de 9 heures du matin à 9 heures du soir. Le reste du temps, on n'y entend que du bruit blanc, et, parfois, si on tend un peu l'oreille on peut entendre une voix mécanique répéter "Warwick. Gabriel. Kieran. Patrick." en boucle.
3 · S'il n'y a pas d'écrans plats à Downhill et que les gens préfèrent les télévisions à tube cathodique, ou même les téléphones à cadrans, ce n'est pas pour autant qu'on vit entièrement dans le passé. Internet est extrêmement rapide en ville et tout le monde utilise la fibre optique.
4 · Au sud de la ville, au-delà de Chester's Lake, une base aérienne abandonnée depuis plusieurs décennies a pris domicile dans les bois. Ses vieux hangars rouillés et ses bâtiments qui tombent en ruines ont tendance à attirer les squatteurs, les excentriques et les explorateurs urbains.
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🗺️ Localisation À Downhill, on aime plaisanter que toutes les routes mènent en ville. Et c'est vrai. Situé au nord de toutes les direction dans l'Indiana, si on ne la cherche pas, Downhill est très facile à trouver. Just 100 miles away.
🌡️ Climat Le climat en ville est dans la moyenne de l'état, en plein été il peut en général faire jusqu'à 29°C et jusqu'à -6°C en hiver. De temps en temps, il arrive que la météo se dér��gle et qu'il se mette à neiger en été, ou qu'il fasse plus de trente degrés en hiver, mais qu'est-ce qu'on y peut, c'est la faute au réchauffement climatique.
🧑🤝🧑 Démographie Downhill est une ville très diverse, même si selon ses propres nombres, on y compte 28% de la population avec des origines afro-américaines ; 21% avec des origines asiatiques ; 18,9% avec des origines latino ; 6% avec des origines natives-américaines ; contre 60% avec des origines blanches.
🚖 Transports La ville possède une gare ferroviaire, la même depuis sa fondation, qui a toujours été en activité et est le principal moyen de transport utilisé par les habitants pour aller et venir de la ville à une autre. On y trouve aussi quatre lignes de bus, la ligne 1, la ligne 3, la ligne 4 et la ligne 5 qui desservent tout Downhill en continu jour et nuit, sauf le mercredi. Un projet d'aéroport est en discussion depuis 1941.
🎓 Éducation Si la ville ne possède pas sa propre université, on y trouve néanmois trois collèges, deux écoles maternelles, un lycée et un community college. 67% de la population a fait des études supérieures après le lycée, et 99% des élèves de Downhill mènent leurs études jusqu'au bout. (Le lycée de Downhill ne permet plus à ses élèves d'abandonner leurs études depuis 2001.)
👮 Criminalité Avec un taux de criminalité extrêmement bas, voire parfois inexistant, Downhill a de quoi se vanter ! Les habitants de Parker's Lane, en particulier, s'y sentent tellement en sécurité qu'ils n'ont même pas besoin de verrouiller leurs portes d'entrées. Sauf le mercredi, quand les chauffeurs de bus ne travaillent pas.
🏛️ Culture Juste en face de l'hôtel de ville, on peut trouver la seule bibliothèque publique de Downhill, elle y sert aussi à conserver les archives de la ville. En centre-ville, les curieux peuvent visiter le musée de la ville et son exposition quasi-permanente sur l'Egypte Ancienne. Et, finalement, on peut aussi trouver l'observatoire astronomique sur les collines de Cove Road.
🛎️ Services Downhill est l'une des rares villes américaines à encore pleinement employer un service de livraison quotidienne de lait à domicile. Tous les jours, de 4:00 à 6:00, en même temps que les éboueurs, les livreurs de lait parcourent la ville à bord de leurs camionnettes blanches et bleues, le pistolet à la ceinture.
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Il est temps d'arrêter de défendre Cyberpunk 2077
Dans un peu plus d'un mois sortira le DLC de Cyberpunk 2077, Phantom Liberty. Et si je compte y jouer, ne serait-ce que pour la curiosité, je fatigue d'avance à l'idée d'entendre de nouveau les éternelles rengaines à base de "ça va, le jeu n'est plus si buggé maintenant". Parce que bon, le problème n'a jamais été là.
J'avais déjà écrit un fil au sujet des problèmes que je trouvais au gameplay du jeu, mais malheureusement, il y a plus à creuser.
Alors, peut-être que le DLC proposera quelque chose d'intéressant, qu'il y aura encore un patch qui améliorera les choses... mais en substance, on ne sauvera pas Cyberpunk 2077. Car au delà des bugs, on a un jeu qui ne tient pas ses promesses. Et ni les patchs ni un DLC n'y feront grand chose.
Soyez avertis : ce billet contient de (légers) spoilers sur le jeu.
L'ambition démesurée
A priori, tout le monde se doute que les ambitions de Cyberpunk 2077 étaient gargantuesques et que le jeu est loin de les avoir remplies. Ce qui est d'autant plus triste, c'est que derrière ce fantasme, il y a une catastrophe humaine et des dizaines, sinon centaines, de développeurs qui ont crunché pendant des mois pour tenir une deadline impossible. Rappelons que les développeurs ont déclaré qu'ils voulaient poursuivre le développement jusqu'en 2022 pour espérer faire ce qui était prévu - et les ambitions étaient si gargantuesques qu'il n'est pas sûr que cela aurait suffi non plus.
Et cet enfer vécu par les développeurs ne s'est pas arrêté à la sortie du jeu, étant donné tout le travail qu'il y a eu à faire pour stabiliser le jeu par la suite.
"Cyberpunk" ? "2077" ?
Au delà des évidents problèmes de scope, Cyberpunk 2077 a bien du mal à tenir une promesse presque banale en apparence : celle de son titre.
En surface, le jeu fait clairement le travail : on a un jeu qui fait très cyberpunk dans le visuel, dans les sons et dans l'ambiance. Le soin apporté à Night City et à tout un tas de détails est tout simplement monumental, et la quête principale, sans être extraordinaire, se laisse très bien suivre.
Seulement, quand on creuse... eh bien, en une centaine d'heures passées sur le jeu, j'ai eu bien du mal à voir dans ce jeu l'expérience cyberpunk implicitement promise dans un futur situé dans un demi-siècle, ni n'y ai vu de messages de lutte anti-corporations pourtant présents dans la promotion du jeu.
A vrai dire, j'ai dû croiser trois personnes travaillant pour des corporations dans le jeu. Meredith Stout (Militech), Haiko Arasaka et Goro Takemura (Arasaka). On peut "romancer" la première, conclure un pacte avec la seconde, et on est amené à collaborer avec le troisième pendant tout un arc. On pourrait y voir l'impossibilité de renverser le système en tant qu'individu, et il y a sans doute un peu de cela. Mais pour un jeu qui voudrait dénoncer la domination des corporations sur les états, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il y va de façon légère, pour ne pas dire superficielle.
Et de manière générale, Cyberpunk 2077 semble avoir une vision très superficielle du futur et du cyberpunk. La vision de la société qu'on nous propose, outre la domination des corpos, consiste à verser dans une sexualisation et un peu de trash à tout va, ce qui bien visible dans les publicités qu'on voit un peu partout dans Night City. Et... c'est tout. C'est tout ce que le jeu nous propose comme vision cyberpunk du futur en 2077. Des méga corporations qui sont plus mentionnées qu'autre chose, beaucoup de lumière, du cul et du gore.
Rien sur la vie "virtuelle" sur Internet ou son équivalent, rien sur les réseaux sociaux, rien sur le traitement des données et leur confidentialité. Comment, sur un jeu censé se dérouler dans cinquante ans dans le futur, a-t-on pu passer à côté d'un sujet aussi critique de notre monde actuel en 2020(3) ? Rien non plus sur l'utilisation croissante d'implants et la remise en question éventuelle de notre humanité, si ce n'est un vague commentaire sur Adam Smasher ("freak's barely even human anymore!"), perdu entre des milliers de lignes de dialogue.
Le cyberpunk est un genre qui s'est fondé sur la critique de son époque et d'une vision du monde, et ce que j'ai vu de plus provoquant dans CP2077, c'est l'hypersexualisation liée à la consommation.
Quant à la domination des corporations, on a du mal à ne pas déjà la sentir dans notre propre époque en 2020. Du coup, non seulement le futur dystopique que CP2077 veut nous présenter est assez creux, mais en plus, il a bien du mal à nous perturber, n'ayant pas été mis à jour pour refléter notre futur, et pas celui des années 80 (quand le genre est apparu).
Le jeu marcherait peut-être s'il s'appelait Cyberpunk 2020 (et encore). Manque de pot, il s'appelle Cyberpunk 2077, et quand on creuse sous l'esthétique du jeu, on ne trouve guère plus que du cyberpunk dépolitisé, vidé de sa substance et réduit à de l'hypersexualisation un peu cringe et beaucoup de néons.
Le mot de la fin
J'ai titré ce billet de manière volontairement provocatrice, mais je ne suis pas loin de penser qu'il faut effectivement arrêter de défendre Cyberpunk 2077. D'abord parce que ce jeu a été un échec sur le plan critique et une catastrophe sur les plans technique et humain. Et ensuite, parce que les bugs (les défenseurs du jeu aimant rappeler que Witcher 3, lui aussi, était sorti buggé) n'ont jamais été le problème du jeu. La superficialité de ses messages et de son contenu en sont un beaucoup plus sérieux. Et aucun patch ni DLC ne changera cela.
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Speak No Evil
Une famille américaine passe le week-end dans la propriété de rêve d'une charmante famille britannique rencontrée en vacances. Mais ce séjour qui s’annonçait idyllique se transforme rapidement en atroce cauchemar.
Speak No Evil de James Watkins est horrible. Outre le fait que le film original est repris à la ligne à certains moments, les éléments qui rendait l'intrigue intéressante sont supprimés pour nous servir le gloubi-glouba habituel des films d'horreur mainstream américains. À bas, la froideur et la fin très raid de l'original danois, vive la fin heureuse et héroïsée américaine. Ainsi la résolution est très hâtive, manque cruellement de logique et rend le film ultra conventionnel et solennel.
L'histoire du couple invité est gonflée mais manque complètement d'accroche émotionnelle pour nous tenir intéressés. L'autre famille en fait des caisses, sans aucune subtilité. James McAvoy surjoue ce rôle, le rendant très premier degré et grave. Tout est fade et mélodramatique. La tensione t le sentiment d'emprisonnement, d'enclave autour du couple invité, de claustrophobie complètement oubliés. Il n'y a pas de choc des mondes et des pratiques, de rapport de pouvoir vraiment fort. Dans l'original, le père invitant entre dans la salle de bain alors que la mère invitée est en train de se doucher, ou bien il observe le couple invité en train de faire l'amour, le père le remarquant. Le puritanisme américain annihile complètement ce sentiment de gêne et de malaise que le film danois mettait en place.
Le remake n'a donc pas l'audace de faire les mêmes choix que le film original. Dans un sens, ce serait une bonne nouvelle pour avoir une liberté dans l'adaptation qui justifierait presque sa présence même du remake, mais c'est archi mauvais avec une annihilation complète du propos. Je pense que là où le film aurait pu proposer quelque chose d'intéressant et de nouveau, ça aurait été de faire un changement sur le père de la famille invitée, parler de masculinité toxique et de rapport de domination sexiste au sein du couple. Pourquoi ajouter cette histoire avec la femme qui sextote quelqu'un d'autre, de non-dits et ne rien en faire ? Il y aurait pu y avoir un revirement intéressant, d'autant plus qu'il y a encore cette scène horrible où les deux pères crient.
Passez votre chemin.
Speak No Evil de James Watkins 2024 – 18 septembre 2024 en salle en France États-Unis
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La dépression est si simple à gérer.
La dépression est si simple à gérer. Tu te sens seul ? Tes pensées négatives te bouffent de l'intérieur ? Parle en a quelqu'un.
Mais quelle magnifique idée !!! Pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt ? Et pourtant… pourtant je suis loin d'être vraiment seule. Je suis entouré de gens qui tiennent à moi. Ma famille ? Et pourquoi pas les en parler ? Oui mais… non. Le problème justement c'est que je les connais. Je les connais assez pour m'imaginer leurs réactions, les potentiels chosent qu'ils vont me sortir à ce sujet et c'est une des principales raisons pour laquelle je refuse de me livrer à eux, à cette « famille » parce que mon cerveau à déjà fait le tour. Je sais ce qu'il en est. Les possibles tournures de conversations ont été ressasser et recalculer des milliards de fois dans ma tête.
Alors quoi ? Tiens vas voir un psy ! Mais oui, une personne diplômée qui a passé les plus belles années de sa vie à faire des études sur le comportement humain et qui dois logiquement savoir comment sortir n'importe qui de ce genre de merdier mental ou plutôt l'aider à se démêler les pensées. Pourtant le but est-il vraiment de nous aider à trouver réponses à nos questions ? A calmer nos sautes d'humeurs ? Ou sommes-nous juste un sujet d'études de plus dans un monde en pleine construction.
Toutes ces créations de l'hommes sont toutes aussi stupides les unes que les autres. Un bon gros lot de consolation, voilà ce que c'est. Payer quelqu'un pour qu'il passe du temps à vous écouter déballer vos alors qu'en réalité ça reste un étranger qui finalement connaitra toute l'histoire de votre vie au bout d'une ou deux sessions facturées.
Bullshit. Quelle médiocrité que d'en arriver à ce stade. Et pourtant. *J'entre dans le bureau de la psy avec laquelle j'ai rendez-vous* J'ai tellement de choses à dire et pourtant aucune phrase qui se créé. Rien de concret, d'intéressant, d'innovant qui me viens. Que des broutilles qui me tourbillonnent autour. Et personne vraiment personne pour venir se perdre avec moi là-dedans.
Lire des livres sur l'introversion et comment en vivre ? C'est ce qu'elle ma conseillée. Elle dit que je suis comme je suis et qu'il n'y a pas de mal à ça. Que je dois apprendre à naviguer dans ce monde qui m'entoure à ma manière. Lire ? Je ne fais que ça ! Je l'ai déjà fini ce livre d'ailleurs m'dame. D'ailleurs le lire n'y changera strictement rien à vrai dire.
Je hais ce monde d'extravertie et le fait que nous les introverties somment ceux qui doivent s'adapter parce qu'on représente une minorité face à ce monde bruyant. Mais bon, je ne vais pas me laisser mourir quand même… Donc il va bien falloir que je trouve comment m'en sortir sans être constamment étiquette comme la fille bizarre, timide et réservé. Rien de tout ça, je n'ai simplement pas envie d'apprendre à communiquer avec vous. Qui que vous soyez.
Mais bon (x2), je ne vais pas me laisser mourir quand même… je n'ai pas les moyens pour. Mais j'ai déjà essayé. Et même la, une chose semblait me retenir à la vie et j'ignorais quoi. Mais avec du recul peut-être que c'est ça qui me retenait… de savoir, de comprendre ce qu'étais cette chose.
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Lettre 48
Vendredi 24 Mars 2023
Cher Hugo,
Pour le coup, cette journée n'a rien d'intéressant tu sais. Je n'ai pas eu cours et je suis resté toute la journée chez moi. J'ai décidé de me remettre à regarder Dr Quinn parce que je commençais à saturer de Dr House même si j'arrive à la fin de la série.
Je suis contente c'est satisfaisant de terminer des histoires télévisées comme ça. En particulier des histoires que j'ai longtemps regardé dans le désordre durant l'enfance. Je ressens un grand plaisir à tout regarder correctement et comprendre le sens des histoires que je touchais à peine du bout eu doigt avant.
Honnêtement je n'ai rien fait du tout de cette journée mais j'ai pas mai échangé avec Thibault au passage. Je pense qu'il n'y a rien de nouveau, je dirais que la situation est quand même toujours étrange. Il relance la conversation parfois même avant que je n'ai répondu au premier message, il est vraisemblable attaché au fait que l'on fasse partie du quotidien de l'un et de l'autre. Même s'il ne s'en rend pas compte ou ne le dit pas, c'est un homme très pudique, mais ses agissements le trahissent sans aucun doute. De mon côté, je me surprends à me servir de lui pour construire des murailles entre nous. Mais malgré tout, tu es là et tu n'as jamais quitté mes pensées. Je dirais même qu'en ce moment tu les hantes de plus en plus, je ne sais pourquoi j'ai le sentiment de me reconnecter à toi de jour en jour, je le ressens au plus profond de mon coeur et pourtant nous ne sommes toujours pas en contact. Que se passe-t-il dont ? Je ne sais pas.. mais même le temps n'en vient pas à bout de nous. Je ne peux que croire en notre force désormais, c'est clair que si on vient à bout d'un erasmus alors qu'est-ce-qui peut nous arrêter ?
Je t'aime très fort débilos. J'espère que ta journée de demain sera très belle, passes une bonne nuit mon trésor...
M.
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Chroniques des Invisibles - 2.7 - Rapprochements
Dans sa nouvelle chambre d��hôtel, Ludivine profitait du calme pour entrer toutes ses données.
Noah était avec elle, à la regarder faire. Elle avait une passion pour l'informatique. Comme ils fuyaient à travers le pays, Lulu avait fait en sorte de passer par plusieurs proxy pour éviter d'être repérée. Elle avait aussi un logiciel maison pour voir si quelqu'un se connectait aux mêmes endroits qu'elle.
La plupart du temps, c'était de fausses alertes, mais elle les prenait toujours au sérieux. Elle se déconnectait, bloquait tout wifi sur son ordi.
Ce soir, elle travaillait sans connexion. Elle notait les données que son carnet renfermait déjà, les transformait en statistiques.
Elle fini par relever la tête.
- J'avais raison!
- Sur?
- Alix. C'est le premier à avoir assez de jugeote pour pas vouloir se relever. Il a pas demandé à recommencer non plus.
Elle regarde ses notes papier, fouillant dans ses gribouillis pour s'assurer de ne pas avoir fait d'erreur.
- C'est pas quelque chose d'habituel. Il a même pas demandé à te revoir faire. Et il t'a pas interrogé dessus. ...par contre, il a interrogé Mel.
- Et tu trouves ça bizarre?
- Bien sûr! Tu voudrais pas, toi?
Noah fait la moue.
- J'en sais rien. J'ai tout le loisir de le faire, moi.
Ludivine soupire, avant de se tourner vers Noah.
- Au fait! Méline m'a récupéré mon matos. Demain, on pourra recommencer à faire des prises !
- Sous la surveillance de qui?
Noah a l'air blasé. Ludivine gonfle ses joues, avant de se retourner vers son pc pour le ranger.
- Comme si tu l'ignorais. De toute façon, je trouve que c'est une bonne idée. Je me sens plus en sécurité avec Mel qu'avec n'importe qui.
- Même avec moi?
Elle secoue la tête.
- Méline peut se sortir de presque tout grâce à son intellect. On peut pas en dire autant de toi. Même si quand on est dans la merde, tu aides bien.
Noah se laisse tombe sur le lit, faussement vexé.
- T'es méchante avec moi ! Je vais le dire à Méline !
Ludivine se met à rire, imité par Noah. Il a un regard doux envers elle.
- C'est toujours agréable de discuter avec toi, au calme.
- Pourquoi tu laisses ces filles nous suivre alors?
- par peur de la solitude. Du silence.
- Et tu te sens mieux avec tes groupies?
Il soupire.
- Toi aussi, tu les appelles comme ça?
- C'est ce qu'elles sont. Avec elles, il n'y a pas d'autre sujet possible que toi. Ton aptitude, ton apparence. Je me demande ce que Debby fait avec elles. Sans doute la même chose que toi. Ecouter le bruit de fond.
Noah hoche la tête. Il sait bien que si les filles partaient, ça ne gênerait personne d'autre que lui. Pourtant, il ne peut pas. Se rappeler du silence, de lorsqu'il avait vu Ludivine incapable de se souvenir de lui, son jumeau. Cette sensation de vide qui le dévorait...
- "non mais je suis trop d'accord, il a des yeux à se damner! Si y'avait pas sa soeur, ça ferait des semaines qu'il serait dans mon lit! J'aimerai trop qu'il m'apprenne à sauter!"
Noah se redresse, surpris par la voix de Ludivine, et soudain mal à l'aise. Il a un sourire gêné.
- Arrête, ça fait trop bizarre dans ta bouche.
- Y'avait que ce type de discussion pendant que vous étiez partis. Je peux te dire, c'était lourd. Si j'avais pas eu Eloïse, j'en aurai claqué une.
- T'as appris quelque chose d'intéressant, d'ailleurs?
- Non. Juste que je suis d'accord avec Mel. Tu les as laissé rester que pour le physique. Et y'en a qui n'ont rien d'autre à offrir.
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Le lendemain, Lulu est chargée comme une mule devant le car. Plusieurs sacs de sport, dans lesquels sont rangés tout son matériel. Elle trépigne, pendant que Noah fini de se préparer. Méline s'approche et lui retire un sac. Elle le met en bandoulière.
- Tu vas pas tout porter toute seule. On est plusieurs à t'accompagner.
- C'est pas si lourd que ça...
- T'es maladroite Lu. J'ai eu beaucoup de mal à trouver quelqu'un pour réparer ton appareil.
Ludivine rougit. Leur dernière sortie photo s'était achevée sur sa superbe chute, à cause d'un caillou. Elle avait tenté de se rattraper, Méline s'était précipité, et Noah l'avait rattrapé de justesse avant qu'elle ne s'éclate la tête contre le sol. Pour son matériel, par contre, il n'avait pas beaucoup aimé se retrouver sous son poids. En vérifiant ce qui avait souffert, elle avait tout sorti, paniquée. Méline avait rattrapé l'appareil photo avant qu'elle le pose au sol.
- Inspire Lu. T'es méthodique d'habitude, alors continue.
Elle avait suivi les conseils de Méline. Elle s'était calmé et avait sorti au fur à mesure ce qu'elle devait vérifier. Son ordinateur avait pris un coup, mais rien de grave. Son trépied, lui, avait souffert. Elle avait reposé son appareil dessus, pour bien s'en rendre compte. Il était désaxé. Son appareil, lui, était celui qui avait pris le plus cher. L'objectif était bloqué, la lentille déplacée, et l'écran de retour était fissuré. Méline lui avait pris des mains en la voyant dépitée. Elle lui avait rendu la carte mémoire, puis mis l'appareil en bandoulière.
- Noah, tu peux rentrer avec Lu? J'ai quelque chose à faire.
Elle avait appris plus tard que Méline avait sillonné tous les magasins d’électronique afin de faire réparer l'appareil photo. Même si elle lui en avait ramené un autre, son ancien appareil avait été remis à neuf.
- Pourquoi tu t'es embêtée à le réparer si tu m'en a acheté un autre?
- Parce que c'est Noah qui te l'avait offert.
Méline a un petit sourire.
- Avec ses premières paies. Même si tu t'en sers pas, garde-le.
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- Et voilà l'artiste !
Ludivine relève la tête vers Noah. Il est tout heureux. Ludivine sourit.
- On peut y aller alors.
- Alix vient avec nous, c'est ok?
- C'est parfait.
Méline les dirige vers un chantier à l'abandon, entouré de végétation. La route n'est pas tout près, et il n'y a que quelques barres pour rappeler qu'il y avait un bâtiment ici. Rien d'intéressant pour de l'urbex.
- L'endroit te convient Lu?
- C'est parfait ! Avec la lumière, ça va être GE-NIAL!
Méline sourit et pose le sac, pendant que Ludivine commence à monter son matériel. Alix s'approche, pour la regarder faire.
- C'est pas lourd tout ça?
- ça pèse le poids qu'il faut. On fait pas beaucoup plus léger. C'est du carbone.
Sur le premier trépied, elle pose son nouvel appareil photo, prépare les focales. Le second est pour son appareil réparé. Noah le regarde avec un petit sourire.
- Vous l'avez réparé finalement?
- Mel m'a dit que c'était un cadeau de ta part. Hors de question que je m'en sépare.
Elle lui lance un grand sourire. Noah lui ébouriffe les cheveux. Comme Méline fait avec lui. Elle rit.
- Allez. Va te mettre en place.
Noah s'installe, sous les ordres de Ludivine. Elle recadre l'objectif. Alix la regarde faire, sous l'oeil bienveillant de Méline.
- Tu vas faire quoi?
- Prendre des vidéos de ses aptitudes. Et des photos.
Elle désigne l'ancien appareil.
- Lui, il est sur "sport". Il va prendre des photos très vite. Celui-ci, il va enregistrer.
- Ok.
- Noah! Prêt?
- Toujours.
- Go!
Alix observe Noah se mettre à marcher, avant de sauter. Juste quelques centimètres. Pourtant, il n'arrive pas à détacher ses yeux de sa prestation. Plusieurs fois, toujours de la même façon.
De son côté, Méline fixe Alix. Elle s'approche doucement de Ludivine.
- Tu peux me prendre un enregistrement d'Alix pendant que Noah saute? Juste un.
Ludivine hoche la tête, avant de se retourner et de consigner ça dans son carnet. C'était la première fois qu'elle voulait ce genre de choses.
- Tu te méfies?
- Plus que Noah.
- Plus que rien du tout? Tu es d'une précision...
Elle range son carnet, puis tourne la caméra, pour filmer Alix quelques minutes, avant de la recadrer à nouveau.
- Mademoiselle est satisfaite?
- Encore une ou deux ! Et cette fois, cours.
Il ne se fait pas prier. Il se défoule, et il a l'air d'un gamin fier de montrer ses talents. Méline le regarde faire avec un petit sourire, avant d'apercevoir Alix.
- Noah!
Il s'arrête subitement. Elle lui fait signe.
- Oui?
- Tu peux faire un autre test pour Lu?
- Quel genre?
Elle fait un signe de tête vers Alix.
- Fais sauter Alix avec toi.
- HEIN ?!
Elle a un sourire espiègle. Noah a le même à ce moment-là. Ludivine, elle, griffonne à toute vitesse. Trop de nouvelles informations. Elle jubile intérieurement. Alix, lui, recule doucement quand Noah s'approche.
- Non, merci, j'ai...
- Tu l'as fait une fois. La première fois c'est toujours la pire. Tu vas voir, ça va de mieux en mieux au fur à mesure.
Noah lui saisit le poignet et l'entraîne devant l'objectif.
- On va faire simple. On va juste sauter en hauteur. Pour pas tomber, c'est facile, tu sautes.
Il acquiesce, jetant un regard implorant à Méline, qui sourit.
- T'inquiètes pas Alix, mon frère sait ce qu'il fait.
- Allez. Un, deux...
Ils sautent. Un instant de saut, ils réapparaissent à peine plus haut. Alix retombe sur ses pieds, les bras écartés pour s'assurer une stabilité.
- C'est dans la boite! Merci !
Elle commence à démonter son matériel pour le ranger. Alix, lui, s'accroupi.
- Putain, comment tu fais pour supporter tout ça?
- Oh, tu sais, pour moi c'est tout à fait normal.
Il s'éloigne pour aider Ludivine à tout ranger. Méline, elle fait le guet.
- C'est bon! On peut rentrer.
Noah s'approche et prend un des sacs de Ludivine.
- Merci.
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Une fois rentrés, Méline, Ludivine et Noah s'enferment dans le car. Elles sont vautrées sur la banquette arrière, pendant que Noah les regarde disséquer la vidéo.
- Ah! Regarde!
Noah se rapproche. Ludivine remet la vidéo, au ralenti.
- Tu vois, je te l'avais dit! C'est pas de la vitesse. Tu disparais. C'est un millième de seconde, mais quand même !
- Et c'est important?
- Oui. ça infirme certaines théories. Et ça veut dire que tu dois pouvoir sauter tout type de matériau.
Il se relève.
- C'est pas tout ça, mais j'ai rendez-vous avec Deborah. Je vais vous chercher à boire avant?
- Un coca.
- Un orangina.
Il disparaît, avant de revenir quelques minutes plus tard avec des cannettes.
- Les boissons de ces demoiselles...
Elles rient devant les ronds de jambe de Noah. Dès que Noah est reparti, elles se désaltèrent en continuant à regarder les vidéos.
- Tu as celle avec Alix?
- Laquelle?
- Celle que je t'ai demandé.
- Elle est...là.
Elle la met en route. Les deux filles scrutent attentivement les expressions d'Alix. Apres plusieurs visionnages, Ludivine prend le portable de Méline.
- Je te la convertis et je la mets sur ton tel. Tu pourras la regarder autant que tu veux.
- J'ai pas besoin de...
- Regarde la fin de la bande Mel.
Elle clique sur une vidéo. Un angle différent de l'angle principal. Noah et Alix sautent. Puis ce dernier s'accroupi, pour reprendre son souffle.
"C'est dans la boite! Merci!"
Un bruit. Noah s'éloigne. Alix suit du regard Noah, avant de lancer un petit sourire adorable vers le coté gauche de l'objectif.
- T'as répondu à son sourire.
- Oui. Enfin...
- J'ai vu ton sourire Mel. Y'a pas que de la méfiance hein? C'est comme avec Ana. Tu commences à l'apprécier.
- C'est toi qui rougit quand il passe trop près de toi.
Un coup de coude fans les cotes fini par faire rire Méline. Elle reprend son sérieux rapidement.
- Je l'apprécie, oui. Mais c'est risqué. On le connait pas encore.
- Méline, je t'ai pas vu comme ça depuis longtemps. Est-ce que...tu pourrais lui laisser une chance? S'il te plaît?
Méline fait la moue.
- Je veux bien. Mais dans ce cas, il faut qu'on trouve quelqu'un qui sera plus objectif que nous. Parce que c'est pas avec le crush que tu te paies sur lui que tu vas voir ses défauts.
- Mel!
- J'en parle à Ana.
- Je m'en occuperai.
Ludivine se garde bien de dire qu'elle n'a pas l'intention de lui donner sa mission de suite. C'est toujours une bonne chose de laisser du temps au temps.
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Obtenir Une Mettre Au Défi Une Agence Numérique Fonctionnelle
Table of Contents
Le Point Sur Trier Les Critères D'une Agence Numérique Efficace Performante
Voyez Ce Rapport A Propos Calculer Le Risque D'une Agence Numérique
Des Details Inconnue Sur Comprendre Votre Agence Numérique Idéale
Les Questions Peu Connues A Propos de Placer Une Agence Numérique Dans Votre Hiérarchie.
Le Guide Ultime De Découvrir Une Agence Numérique Performante
Les Faits Inconnues sur Prendre En Compte Dans Une Agence Numérique
Explorer Le Fit Avec Son Agence Numérique Pour Amateurs
NACES est une association d'entreprises non gouvernementales indépendantes basées aux États-Unis qui fournissent des services d'évaluation des diplômes aux personnes qui ont effectivement terminé leurs études en dehors des États-Unis. Nos membres servent des établissements d'enseignement, des sociétés spécialisées, des entités réglementaires et juridiques, des entreprises et des particuliers qui ont besoin d'une évaluation précise des diplômes non américains. Les membres du NACES sont des entreprises établies avec un personnel expérimenté et de nombreuses années de service professionnel dans le domaine des examens d'éducation comparée utilisés.
Les sociétés membres du NACES qui ont apporté des modifications à leurs activités normales ou qui ont effectivement fermé temporairement, ont en fait mis à niveau leurs sites Web de manière appropriée. Nous vous recommandons d'évaluer les informations publiées sur les sites de nos membres et de travailler avec eux pour acquérir les services dont vous avez besoin. Agence numérique. Avec de véritables rêves de mettre fin à cette crise et de maintenir votre santé, Kenneth Warren, président de la National Association of Credential Examination Provider (NACES).
Je pense que vous serez d'accord avec moi lorsque j'affirme qu'une stratégie marketing est incomplète si elle ne traite pas des canaux numériques. Comme pour février 2020, Statista rapporte une augmentation de 13% du plan de dépenses en marketing numérique par rapport à août 2019 (11,8%) dans leur étude. Cela ne fait que révéler la valeur des canaux tels que les médias sociaux, le contenu, le référencement, la vidéo, etc.
Plus A Propos de Prendre En Compte Dans Une Agence Numérique
La Grosse Rumeur Sur Faire Confiance À Une Agence Numérique
1. Un contenu bien meilleur peut générer du trafic vers un blog jusqu'à 2 000% .2. Quant au mois de mai 2020, Google était responsable de 67% de tout le trafic de recherche de smartphone et de 94% du trafic naturel total3. Les entreprises et les entreprises de taille moyenne s'appuient davantage sur le référencement technique et l'avancement du contenu pour augmenter et maintenir l'existence de la recherche.
Comme il n'y a pas de version mise à jour de cette statistique, je pense que nous pouvons comparer le référencement au Pay Per Click ici. 5. Le moteur de recherche en ligne génère 93% de tout le trafic du site Web. 6. En ce qui concerne janvier 2020, environ 95,88% de toutes les recherches sur Google comportent 4 mots ou plus. 7. Toutes les entreprises ont deux secondes en ce qui concerne le temps de chargement du site Web.
18% de toutes les recherches locales aboutissent à une vente en un jour. 72% des personnes qui visitent un emplacement physique en choisiront un dans un rayon de 5 miles de leur zone d'origine. D'ici 2021, les appareils mobiles influenceront plus de 1,4 billion de dollars sur les ventes locales. 9. Avoir une vignette vidéo dans la page de résultats de recherche peut doubler votre trafic de recherche.
Le Guide Supreme Pour Trier Les Critères D'une Agence Numérique Efficace Performante
11. 69% des chercheurs utiliseront leur téléphone pour les aider à prendre une décision concernant un achat en magasin. Source: Timb Design12. Il y a eu en fait une croissance de 500% pour des expressions comme «près de moi maintenant» .13. À propos des sites sur la page d'accueil de Google sont en HTTPS. Près de 85% des gens abandonneront un achat s'ils gèrent un site non sécurisé.
50% des individus sont plus susceptibles de cliquer sur un nom de marque spécifique si cette marque apparaît plus d'une fois sur le résultat du moteur de recherche. 15. 87% des spécialistes du marketing vidéo en ligne déclarent que la vidéo a en fait augmenté le trafic vers leur site. 16. Des études de recherche montrent qu'en 2020, plus de la moitié de tous les utilisateurs de smartphones utiliseront la technologie vocale sur leur gadget.
17. Google compte environ 83 787 recherches par seconde de la journée. 18. Les publicités ou les liens marketing ne doivent pas occuper plus de 15% d'un site Web, sinon ils pourraient être facturés par Google. Source: Wix19. La page de résultats de recherche supérieure de la page de résultats de recherche naturelle de Google a un CTR moyen de 31,7% .20,21. La structure des liens est la tactique de référencement la plus difficile à mettre en œuvre, selon 65% des spécialistes du marketing en ligne. Le référencement a un taux de conversion de 14,6% contre 1,7% pour les approches sortantes standard telles que le démarchage téléphonique ou le publipostage. 23. Seulement 7% des internautes verront la troisième page de résultats de recherche. 24.
Notre Point Sur Parler À La Bonne Personne Dans Une Agence Numérique
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25. Sur la base des chiffres, le référencement organique a à voir avec 5,66 fois beaucoup mieux que les publicités de recherche payantes. Néanmoins, les experts recommandent toujours les annonces de recherche payantes si les entreprises n'ont pas le temps d'investir dans le référencement naturel. Dans l'ensemble, 33% ont été créés grâce au trafic de recherche organique et 32% ont été générés grâce à la recherche payante.
4,57 millions d'individus sont sur une sorte de réseaux sociaux. 27. 64% des acheteurs en ligne déclarent qu'une vidéo sur les réseaux sociaux les a aidés à faire leur choix. 28. Seuls 43% des magasins en ligne voient un trafic important sur leurs pages de réseaux sociaux. Source: Clutch.co29. La reconnaissance est la clé: 77% des utilisateurs de Twitter accordent plus d'importance à une marque lorsqu'ils réagissent à leur tweet.
Le Plus Important Principe de Chercher Une Agence Numérique
30. Le marketing de contenu est une préoccupation majeure des entreprises B2B après la création de marques et l'engagement sur les réseaux sociaux. 31. En avril 2020, 29% des adultes entre 18 et 29 ans utilisent Instagram.32. La personne typique investit environ 20 minutes sur Facebook ou une toutes les 6 minutes qu'une personne passera en ligne.
Dénicher Une Agence Numérique Qui Réussi - Les Faits
Le Truc Intelligent De Placer Une Agence Numérique Dans Votre Hiérarchie , Mais Que Personne N'Explique
2 milliards d'utilisateurs de YouTube regardent environ 5 milliards de vidéos, généralement chaque jour. Depuis janvier 2020, les 93% des vidéos les plus regardées étaient des vidéos. 34. Sur les 2,6 milliards de comptes sur Facebook, 3 milliards de profils sont faux. 35. 86% des femmes jetteront un coup d'œil sur les réseaux sociaux avant de choisir de faire un achat.
Seulement 12% déclarent avoir «beaucoup» confiance dans les recommandations de produits d'influence, contre 47% pour les amis et les ménages, et 33% pour les évaluations sur des sites Web comme Amazon. Cela étant dit, ils sont plus fiables que les célébrités standard et les athlètes professionnels. 37. 60% des utilisateurs de smartphones âgés de 13 à 34 ans utilisent SnapChat.38.
Il existe même une extension Chrome pour le blocage des publicités YouTube. 39. Les applications et les sites Web utilisent Facebook 53 - Agence numérique 1% du temps pour les possibilités de connexion sociale, ce qui facilite considérablement l'inscription des consommateurs aux produits et services. 40. Environ 66% des entreprises de plus de 100 employés utilisent Twitter dans le cadre de leur marketing.
Des Details Inconnue Sur Distinguer Une Agence Numérique D'une Autre
41. Les PDG sur LinkedIn ont environ 930 relations. 42. 60% des 218 millions de personnes sur SnapChat sont plus susceptibles de faire des achats impulsifs. 43. 1,53 million de dollars ont été dépensés en publicités SnapChat en 2019. En 2021, les bénéfices de marketing Internet estimés de l'application de messagerie sociale devraient atteindre 2,62 milliards de dollars.
91% du matériel des réseaux sociaux est accédé au moyen d'un appareil mobile. 45. 96% des personnes qui parlent d'entreprises et de marques sur les réseaux sociaux ne suivent pas activement ces marques en ligne. 46. 80% des utilisateurs Pinterest de la génération Y affirment que la plateforme les aidera à décider quoi acheter. La génération Y qui utilise Pinterest investit 17% de plus que la génération Y qui ne le fait pas.
50,9% de tous les comptes Twitter ont moins de 9 fans. 48. Un contenu de qualité supérieure sur les réseaux sociaux est deux fois plus susceptible d'intéresser la génération Y que ceux qui ont entre 55 et 64 ans.49. 39% des 675 millions d'utilisateurs de LinkedIn dépensent pour les avantages d'un compte premium. L'utilisateur typique investit 7:32 minutes sur le site par mois.
Les Grandes Lignes De Soumissionner Avec Une Agence Numérique
81% des milléniaux examinent Twitter au moins une fois par jour. Le nombre moyen de requêtes de recherche que Twitter reçoit par jour est de 2 milliards.51. Twitter capte 32% des internautes titulaires d'un diplôme universitaire. Les utilisateurs de Twitter sont également les plus susceptibles de générer des revenus supérieurs à la moyenne. 52. Les spécialistes du marketing en ligne et les spécialistes du marketing consacrent 13,5% de leur plan de dépenses aux publicités mobiles.
Les logiciels de marketing numérique devraient totaliser plus de 43,8 milliards de dollars en 2019 avec un bénéfice prévu de 65 dollars - Agence numérique, 9 milliards de dollars rien que pour les publicités mobiles. 54. Les gens accèdent à 69% de leurs médias sur leurs smartphones. 55. 89% des utilisateurs de smartphones utilisent des applications, tandis que seulement 11% utilisent des sites standard.
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Vacances... de rien du tout...
En règle générale, les vacances scolaires sont autant de moments privilégiés où je quitte un peu Paris pour aller me ressourcer, le plus souvent dans le Midi (à Mougins comme le savent mes amis), jusque là lieu comme béni des dieux (pour moi !), et depuis hier symbole d'un horrible carnage : 15 morts en un seul jour dans un ravissant Ehpad rose, bâti à 800 mètres de chez moi.... Une fois là, j'alterne la lecture, les longues siestes et la méditation (je n'ai jamais vraiment compris où se trouvait la frontière entre ''sieste'' et ''méditation''! Sans doute à cause d'un petit dessin humoristique des années ‘60 : ''Le chef ne se repose pas : il réfléchit'' !).
Cette année, ce satané virus a décidé de nous pourrir la vie jusque dans les plus petits détails : je parlais hier de cette insupportable ''trêve des coiffeurs'' qui attaque ce qui reste de la pilosité masculine (ce qui modifie donc notre apparence physique déjà en train de sombrer, pour certains d'entre nous) et la blondeur de nos épouses qui tend vers un ''blond vraiment très très clair''. Plus d'école, et donc : pas de vacances ! A la place des longues théories de vacanciers bloqués 5 heures dans leur voiture entre Fourvière et Vienne, il y a des gens confinés... dont beaucoup m'écrivent pour me dire que mes ''billets'' quasi-quotidiens sont une étape attendue dans leur journée. Il y en a même qui me font l'honneur de me ‘’mailer’’ que les vacances leur pèsent (par l'absence de Blogs) : ce sont de loin les plus indulgents et il faudra, la fin de la crise venue, leur élever un arc ou, à tout le moins, une stèle.
En attendant, je ne sais pas quoi faire : d'un côté je me dois à ces lecteurs... et s'il n'y en avait qu'un seul, ce serait suffisant pour justifier une ''continuité de ce Service pas public''. D'un autre côté, j'ai pitié des autres, ceux qui en ont peut-être marre de recevoir mes ''billets'' 5 jours sur 7... et ceux qui rêveraient parfois que j'attrape un rhumatisme du clavier... Et aussi, last but not least, il est vrai que la rédaction d'un ''billet'' par jour est une tâche contraignante : chaque jour, il me faut trouver un sujet susceptible d'intéresser d'autres que moi, rédiger une page ''Format A4'' et souvent un tout petit peu plus -compte tenu de la complexité de certains sujets abordés-, surveiller, avec une attention vétilleuse, la présentation, l'orthographe, le fond, la forme, la clarté et la lisibilité de chaque phrase et l'adéquation de chaque mot... J'ai beau relire mes ''billets'' une bonne dizaine de fois chaque jour, je n'arrive jamais à la hauteur de ce que j'aurais espéré : errare humanum est... mais je persévère !
Ajoutez à cela la complexité accrue que génère le confinement : on a beau dire ''j'm'en fiche pas mal'', ce n'est pas absolument vrai, et le changement de rythme imposé à la Nation suffirait déjà à rendre plus compliqué n'importe quoi... dont, pourquoi pas, la rédaction d'un Blog : au rythme où vont les choses lorsque le temps viendra enfin où nous pourrons sortir, nous serons mûrs pour être enfermés ! Toujours est-il que je voyais arriver avec soulagement ces ''vacances de Pâques'' (NDLR : le fait de garder aux choses leur vrai nom... me donne l'idée d'émettre un souhait : ''que le monde d'après'' soit moins verbeux et nous libère du jargon technocratico-énarcho-administratif, et de l'écriture dite inclusive ! Rien que ça justifierait toutes nos gênes actuelles !). Mais tout est remis en question par ce satané virus, car je n'ai jamais oublié ce principe éducatif que mon Père répétait à ses six enfants : ''Il ne faut jamais ériger nos propres impatiences en arguments de base opposables aux autres''. C'est le secret, ajoutait-il de toute vie en société.
Je vais donc m'en remettre à vous, amis lecteurs : ''Stop ou encore ?''.
Et pour que ce ''billet'' ne soit pas que le support de mes petits problèmes perso, je vais vous parler d'un livre que je viens de terminer : ''Le monde de Tocqueville'', le dernier chef d’œuvre de Nicolas Baverez (NDLR - je n'emploie ce terme laudatif qu'une fois tous les deux siècles, en moyenne. Mais là, il est à sa place). Alexis de Tocqueville est un personnage à dimension planétaire. Philosophe, économiste, historien, mais aussi avocat, journaliste, académicien, député, Ministre des Affaires étrangères... et j'en oublie, il est une figure emblématique du libéralisme, et à ce titre, infiniment plus connu dans l'univers anglo-saxon que dans le microcosme des intellectuels français, où, par la faute des pulsions à gauche qui ont trop souvent rythmé notre histoire, malheureusement, il est mal connu, mais surtout rejeté et mal aimé. Pensez qu'il voyait, dans notre ‘’Ancien Régime’’ non le bouillon immonde et indigeste dont on parle dans nos écoles et nos Universités, mais (je cite) ''une règle rigide avec une pratique molle'' . On comprend que nos technocrates le détestent, eux qui n'ont pas la moindre règle mais sont impitoyables avec le pauvre citoyen, à leurs yeux simple contribuable, assujetti et contrevenant, tout juste bon à confiner !
Et pour lui, d'ailleurs, le libéralisme (le vrai, pas cette bouillie pour les chats que nos nuls ont revêtu de ce nom) est ''une pensée douce pour âmes fortes''. Pas étonnants que ''ils'' n'y comprennent rien ! Autre péché mortel aux yeux des cuistres : son jugement de la révolution française : ''en poursuivant son cours, elle a achevé de tout détruire''. Après elle, ''le désordre était partout, personne ne savait plus ni commander ni obéir'' (NDLR - ça ne vous rappelle pas quelque chose ?). Ils ont eu la chance d'avoir Napoléon. Nous, comme la ''sœur Anne'' de Perrault, on ne voit ‘’que le soleil qui poudroie’’... Et encore, le voit-on en plein confinement !
Ultime remarque, de Tocqueville, qui est l'une des raisons d'être de ce Blog : ''La liberté n'existe pas sans la morale, et la morale sans la foi.'' Merci à lui ! Quant à vous, chers amis, quelle que soit la décision que vous prendrez pour moi, Bonnes vacances, même confinés. Et Joyeuses Pâques... sans joie ni Pâques, hélas....
H-Cl .
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Masculinité toxique someone ?
Bon premier post de ce blog. Espèce de havre d'écriture sacro-pseudo-saint, ou en tout cas tentative d'en faire un, l'avenir nous le dira.
Petite préface tout de même, écriture sans prétention, ou avec toute la prétention, ça va dépendre du jour. Qui n'a pour but de sortir les quelconques random sentiments qui ne pourraient sortir autrement. "Il faut bien que le corps exulte" comme disait Brel.
Je m'engage pas à du politiquement correcte, en fait la démarche est même contraire. Quiconque lira ne soyez pas heurtés, là n'est pas l'objectif. C'est même le contraire. La tentative d'un humain qui tente d'être bien dans sa vie, de faire sortir ses sentiments, y compris les plus toxiques.
Ces textes ne sauraient engager l'auteur et ne doivent pas être un support pour le juger je vous prie (c'est bien le but de ce blog, des choses dont je ne préfère discuter dans la vrai vie, pour des raisons diverses).
Je fais la tentative d'un espace d'expression le plus libre possible. Puisse-t'-il, et je l'espère, servir de support à mes plus sombres et profondes réflexions, quant bien même elles ne représenteraient en rien mes actes ou intentions, au moins cela pourrait mener à des raisonnements plus éclairés, plus sains, et à un humain qui s'exprime et refoule moins.
Ainsi j'attacherai une importance à écrire au fil de ma pensée (et j'ai déjà commencé par la présente)
Voilà pour la préface, si la couleur a été annoncée attaquons ma pensée du jour. Ce qu'on définit par Masculinité Toxique. Étrangement tout ces concepts me donnent toujours un premier avant goût amer, pourquoi est-ce que je me sens un peu attaqué par cette expression ? J'aime pas vraiment être associé au terme toxique je le pense, c'est le genre de chose que j'évite la toxicité dans les relations humaines. Pourtant difficile de me dire que le mot est mal choisi, il est plutôt très bien choisi en fait.
Je suis allé voir la définition, mais je pense être assez conscient du problème pour en apporter ma définition avec mon ressenti. Pour quelqu'un qui la vie au quotidien.
La masculinité toxique me ronge, comme je pense le racisme affecte toute personne qui est une minorité dans son pays, elle affecte à des niveaux évidents et à des niveaux bien plus subtils, mais là où elle affecte d'une façon certaine, c'est qu'elle affecte de façon universelle.
J'ai l'intime conviction que chaque homme est touché, chaque homme est profondément influencé, et j'irai même jusqu'à faire le postulat qu'il y aurait une relation de proportionnalité : plus un homme est inconscient du problème, plus profondément il en est affecté et elle l'influence.
J'ai simplement du mal à envisager qu'elle puisse être absente de la vie de quelqu'un qui vivrai dans la même société que moi. Mais là, honnêtement, je n'ai pas envie d'en faire la démonstration.
Parlons ressentis.
La masculinité toxique ronge comme l'acide, ces temps-ci plus que récemment, dans mon avènement personnel de fin d'étude, poste ambitieux, vie de travailleur cadre, chef de projet ou plutôt chef de projetS. Mais aussi l'homme de ma relation amoureuse, et j'ajouterai même amis, fils, personne sociable.
Mais mes premiers statuts, ma nouvelle vie, font de moi le premier sujet à la masculinité toxique, comme si j'étais la population à risque devant une épidémie, mais je ne le savais pas, ou plutôt je ne l'ai pas réfléchis de cette manière.
C'est un phénomène complexe, mais au final je pense que je gagnerai en le qualifiant avec des termes et sentiments simples. Les explications les plus complexes ne font pas les descriptions les plus fiables.
Ma masculinité toxique s'exprime par la domination, l'homme est déterminé par un besoin de dominer, c'était vrai du temps de l'homme préhistorique, et si ça l'était toujours ? Pas moins, pas plus, c'est juste toujours le cas.
Quel homme n'a pas compris que pour plaire il faut être celui qui sort du lot, d'une façon ou d'une autre ? Plus beau, plus riche, plus influent, plus intelligent, mais être celui qui se démarque d'un groupe social.
Quel homme n'a jamais vécu la honte de ne pas "réussir" ? Un homme doit réussir son entreprise, qu'elle soit littéralement une entreprise ou même un projet. Qu'est ce que l'homme chômeur ? Qu'est ce que l'homme qui souffre ? Si ce n'est un homme émasculé (déjà vu un homme beau grand musclé mais pauvre et chômeur ? Quelle représentation ?)
Là en vient la fragilité, concept clé de la masculinité toxique, ou peut être le contraire d'un concept clé ? Concept antagoniste. Un homme ne peut pas exprimer une véritable fragilité, un homme ne pleure jamais, ou seulement dans des conditions extrêmement contrôlées, dans le sens où la sociét�� trouve ça acceptable.
Un homme assume, un homme endure, la fragilité ne rend pas ça possible, on ne peut pas endurer lorsque l'on est vulnérable. Un chef a-t'il encore de la crédibilité après avoir montré sa fragilité ? Après s'être montré dans un état profondément vulnérable ?
Et pourtant qui ne l'a jamais été ? Qui peut être quelqu'un d'intéressant sans avoir été un jour vulnérable ?
Ainsi on érige ce totem, ce symbole, cet homme qui ne failli pas.
Je me sens concerné par cette influence, et difficile de me dire que, objectivement, je n'en applique pas les codes, car on n'arrive pas où j'en suis dans la société sans en embrasser les codes.
Mais suis-je à blâmer ? Puisque leur dire non, c'est souffrir. N'y a t'il rien de plus absolu que la souffrance ? S'il est bien une chose universelle, c'est que l'on ne veut pas souffrir.
Et pourtant cette masculinité toxique, elle me débecte, et d'une façon intéressante, autant s'est elle installé petit à petit chez moi depuis un jeune âge, autant je l'ai détesté et j'ai détesté les garçons et les hommes tellement tôt.
Je les ai détesté à un point d'indifférence et de mépris, ces archétypes, qui répendaient leur virilité sur la vie de leur entourage, souvent des plus faibles (mais qui est plus fort que l'homme viril dans la société ?)
Ainsi je me suis retrouvé homme détestant les hommes, à me trouver plus d'affections par les femmes, quoi qu'une majeure partie soient affectées par la féminité toxique (tiens, l'expression n'existe pas?). Cette forme miroir de la masculinité toxique, il fallait un modèle féminin pouvant fonctionner avec le masculin toxique, la femme superficielle, soumise, support pour l'homme.
Mais... J'ai toujours eu plus d'affections pour les victimes, car elles ne font pas (encore?) de mal autour d'elles.
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Là m'en vient l'idée avant de continuer, qu'il serait bon d'ajouter un paragraphe pour préciser que mes pensées sont un peu désordonnés, mais ce sera mon côté anticonformiste assumé.
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Et moi dans tout ça ?
Je me sens aujourd'hui renfermé, quel est mon modèle à suivre pour outrepasser au mieux cette masculinité toxique ? J'ai essayé, je le pense, pas trop mal, de déjà être innofensif. Car ô ciel j'ai méprisé les hommes dominant qui font souffrir. Mais derrière, je suis toujours affecté, moi.
Mes sentiments peinent à sortir, ils ne sont jamais valides, jamais appropriés, jamais un support est propice à leur expression.
L'écriture serait un support ? Devrais-je assumer qu'ils ne seront pas toujours appropriés ? Et même des fois invalides ?
Et si ce n'était pas important, si pour une fois dans ma vie, ce n'était pas des critères dominants ?
Et si écrire en faisant fi de ces conditions étaient mon indignation et ma réponse ?
Bienvenue sur le blog d'un random human thinking.
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26 mai - Jour 47
Nous partons visiter Ho Chi Minh Ville à pieds pour économiser et éviter les bouchons 🚶♀️.
Nous faisons une boucle pour voir tous les monuments et lieux cultes de la ville.
Nous commençons par le marché bin tanh (sortes de souques ressemblant au marché central de Phnom Penh). A peine nous sommes entrés que des bras tenant des t-shirts se tendent devant nous 👕. Nous ne pouvons plus avancer et devons esquiver les vendeurs insistants. Nous n'osons même pas nous arrêter regarder les stands de peur d'être harcelé, nous voulons juste fuir ce marché oppressant.
Nous arrivons ensuite au skydeck. Vue magnifique depuis le 52ème étage mais cela faisait longtemps que nous n'avons pas bu un coca aussi cher (bien sûr c'est la seule boisson que nous avons pu nous permettre). En tout cas l'ascenseur était très rapide car on ressentait une sensation bizarre dans nos jambes.
Nous sommes ensuite passés par la rue piétonne Nguyen Hue où il n'y avait rien d'intéressant.
Nous passons ensuite devant l'Opéra, la Cathédrale Notre Dame de Saïgon et la Poste Centrale de Saïgon, monuments colorés et populaires à HCMV.
Nous tombons aussi sur un centre commercial où on y trouve Zara, Mango et H&M, enfin ! 🛍
Ensuite nous continuons jusqu'au palais de la réunification. Là aussi rien d'intéressant mais au moins on l'aura vu.
Nous rentrons à l'hôtel en passant par un parc rempli de sportifs 🏃♂️.
Le soir repos avant de sortir faire un tour à Bui Vien street, rue animée par les bars, à 2 pas de notre hôtel. Par contre, pas moyen de s'entendre ! 🔊🎉
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«À quoi bon écrire des histoires ?»
Cette phrase, à chaque fois que je la lis ou l'entends, elle me frappe en plein cœur. D'une manière douloureuse. Parce qu'à chaque fois, j'y entends une remise en question de ce à quoi je me consacre des milliers d'heures de ma vie, et la seule réponse que j'arrive à y apporter c'est «Parce que j'aime ça !»
Alors que ce que je pense et que je n'ose jamais dire, c'est « Ne remets pas en cause ce que je fais, parce que je doute déjà beaucoup trop, et que je n'ai pas de vraie réponse bien ancrée qui puisse vraiment me justifier à tes yeux »
Mais pourquoi je me sens remise en cause, en fait ? Pourquoi j'ai l'impression qu'il faut que je me justifie ?
Déjà, voyons qui pose cette question et dans quel contexte.
Il y a ceux qui considèrent que le but d'une histoire écrite est d'être un livre et le but d'un livre est d'être un succès. N'écrire que pour soi, pour des blogs, des fanfictions, des textes amateurs, bref écrire tout ce qui s'écarte d'un succès validé leur semble être un gâchis de temps et d'énergie. Ce sont eux qui vont conseiller de mettre dans l'histoire de la romance, de la magie ou du suspens "parce que ça marche !". Sous cet angle, écrire des histoires devient un business ou une perte de temps. Ce sont les personnes qui vont demander combien de temps on a passé sur un livre, combien on a gagné, calculer ce que ça rapporte à l'heure et conseiller de s'améliorer ou abandonner. Ou alors, l'écriture n'est qu'un loisir, et ils ne comprennent pas qu'on peut y passer tant de temps, que ça peut être dur, que l'idée de ne pas arriver au bout soit si triste. Si c'est un loisir et qu'il ne te rend pas heureux·se, pourquoi continuer ? Il peut y avoir une volonté bienveillante derrière la question, quand on voit l'écrivain·e se donner tant de mal et qu'il n'y a pas de résultat, il faut lui faire réaliser que ça n'a pas de sens, pour son propre bien. Le problème, c'est que ce genre de réflexions, justement, font très mal à ceux qui écrivent.
Parce que la réponse à la question de départ est rarement «J'écris pour avoir du succès/de l'argent/de la valorisation sociale». C'est bienvenu quand ça arrive, c'est certain. Ne serait-ce que parce que ça fait taire les critiques dont je viens de parler, ce qui est toujours un soulagement. Et puis quand la société valide ce qu'on fait, ça fait toujours du bien par où ça passe.
Mais ce n'est pas ça le but.
Il y a aussi ceux qui considèrent que le but d'une histoire, c'est de toucher les lecteurs, de leur apporter quelque chose de fort, que ce soit intellectuellement, émotionnellement, philosophiquement... Transmettre une sagesse, une culture, une expérience, une idée, une vision du monde. Eux ne demandent pas à quoi bon écrire des histoires en général, ils demandent pourquoi toi, entre tous, tu en écris. Qu'est-ce que tu as à apporter aux lecteurs. Quel est ton pitch, ton idée originale, ton angle inattendu.
Cette exigence peut sembler effrayante, surtout qu'on l'aborde en se comparant aux meilleurs. Les fans de lecture ont souvent lu des milliers de livres, mais quand ils parlent de ce qui est important, ils vont revenir sur ce qui a été important pour eux, ce qui est important en littérature, bref quelques éléments parmi un corpus littéraire très vaste. Une pression d'autant plus écrasante quand on n'a pas le même bagage, ou pire, qu'on n'a pas spécialement aimé les "classiques" ou les livres particulièrement importants pour notre interlocuteur, parce que là, on n'a rien, même pas une base commune pour convaincre que si si notre histoire a quelque chose d'intéressant à apporter.
Savoir, consciemment, ce que notre histoire peut apporter, ça donne de l'assurance pour la présenter au reste du monde, c'est sûr. Ça donne une réponse à la question du "à quoi bon" qui est une justification acceptable. J'écris cette histoire pour défendre une cause, pour expliquer un point, pour montrer aux gens que ceci existe, pour faire réfléchir. Et ce sont de très bonnes raisons.
Sauf que, soyons honnêtes, ce n'est pas comme ça que ça a commencé. Ou plutôt, ce n'est pas ça qui nous a décidés, entre tous les moyens d'expression possibles et imaginables, d'écrire une histoire. On ne se lance pas dans la fiction uniquement pour défendre un point de vue ou donner des informations, surtout à l'heure d'internet. Et il arrive aussi qu'on n'ait pas clairement en tête une raison défendable de pourquoi on veut écrire une histoire, et cette histoire entre toutes les histoires, mais ça n'empêche pas de s'y accrocher.
Donc oui, on écrit pour transmettre quelque chose aux lecteurs, mais pas seulement.
Il y a ceux qui posent cette question parce qu'ils écrivent et se la posent eux-mêmes.
Comme je l'ai dit, écrire n'est pas de tout repos, et souvent on se demande pourquoi on se donne autant de mal. C'est long, c'est dur, ça ne ressemble pas à ce que j'avais en tête, je ne fais que me torturer pour au final faire moins bien que tous les autres*, et même si j'arrive à sortir cette foutue histoire de mon cerveau personne ne va la lire, et même si des gens la lisent ils l'oublieront très vite, alors à quoi bon tout ça ?
* existe aussi en version "mon histoire est géniale, mais je suis la seule personne au monde capable de l'apprécier alors à quoi bon tout ça ?". Nettement plus rare, bizarrement.
La réponse à la question sera alors frénétiquement cherchée dans les moments de satisfaction de l'écriture (les moments de flow, quand tout semble se mettre en place de soi-même), dans les louanges des lecteurs, dans la validation des figures d'autorité (éditeurs, critiques, conjoint, chacun a ses propres sensibilités), dans l'importance de ce qu'on veut transmettre aux lecteurs, dans la valorisation sociale (argent, célébrité), selon ce qu'on arrive à obtenir. Et ça aide. Tous ces éléments sont de précieuses sources de motivation pour continuer à écrire.
Mais ce n'est pas ça, la réponse primordiale à la question, l'élan qui nous a donné envie d'écrire des histoires au tout début.
Dans une histoire, on met doute et certitudes, défaites et victoires, joies et peines. Il n'existe que les aspects qui nous intéressent, depuis l'apparence des personnages jusqu'à la résolution de la problématique du monde entier. On part d'un point qui nous touche, nous heurte, nous passionne, nous fait vibrer, et on le triture jusqu'à sa résolution.
Ce n'est pas grave que l'histoire ne soit pas originale, il fallait l'écrire pour ajouter sa voix au chœur général des histoires qu'on adore. Ce n'est pas grave que l'histoire ne parle qu'à une minuscule niche de personnes, il fallait l'écrire pour étendre l'univers qui nous parle. Ce n'est pas grave que les personnages aillent à contre-courant de tout ce qu'on attend du genre, il fallait l'écrire pour avoir une version qui nous semble cohérente avec notre vision du monde. Il fallait l'écrire. Il faut l'écrire. Peut-être pas aujourd'hui, dans l'urgence, peut-être qu'on est fatigué ou qu'on n'a pas le temps ou qu'on a besoin de réfléchir encore au plan. Peu importe. Une histoire qui attend d'être écrite, c'est une impulsion qui reste en permanence au fond du crâne, en attendant qu'on se mette au boulot pour être libérée. Ne jamais la raconter, c'est juste frustrant.
Alors, à quoi bon écrire des histoires, dans un monde où tant de gens écrivent, où il peut être difficile de trouver sa place ? Parce que se retenir serait juste gâcher cet élan pour au final rester hantés par nos mondes avortés. Parce que trier les histoires qui méritent ou non d'être écrites revient à figer la culture dans un éternel recommencement des classiques, alors que la culture est un tissu mouvant auquel nous sommes tous légitimes d'y participer. Parce qu'écrire des histoires est un art et que la voix de chaque artiste est précieuse et ne doit jamais être réduite au silence.
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Test Qlinaire
Klaus écrit “Rien de bien intéressant durand ma journée, désolé…” Nell écrit “Je peux dire pareil pour la mienne. .. en plus pourquoi tu t'excuse?" Klaus écrit “Je sais pas, vu qu'il y a rien d'intéressant, bin ça coupe la discussion.” Nell écrit “Bin non puisque l'on arrive encore à discuter :) Des fois j'aime bien discuter à propos de rien” Klaus écrit “Mdr ! Dans ce cas, je suis dans mon canapé et je fais RIEN, je voulais boire un coup mais dans mon verre il y a RIEN et concernant ce que je vais manger ce soir, bin j'en sais RIEN. Mdr ça va comme discution ou on parle de RIEN ?” Nell écrit “Ah bin moi je bois du thé, de l’Earl Grey” Klaus écrit “Mdr je ne m’attendais pas à ça comme réponse 😂 je ne m'y connais pas en thé dsl. Je dois en boire une fois tous les 6 mois…” Nell écrit “C'est du thé vert et l'un des plus connus. Je te ferai goûter un jour” Klaus écrit “Tiens, en parlant alimentaire, c'est quoi ton plat préféré ?” Nell écrit “ en fait. .. j'aime beaucoup de choses mais y a rien qui ressort du lot” Klaus écrit “Tu es la première personne qui me dit ne pas avoir de plat préféré” Nell écrit “Ah et toi c'est quoi ton plat préféré?” Klaus écrit “Je crois que c'est la blanquette que ma mère prépare” Nell écrit “Je mange presque jamais de la Blanquette” Klaus écrit “Dommage, après il est aussi à savoir qu'il existe un très grand nombre de recettes pour la blanquette. Celle de ma mère, il y a pas de légume dedans par exemple.” Nell écrit “Mdr des patates et carottes?” Klaus écrit “Eu… Aurais tu fait une phrase a double sens ou c'est moi ?” Nell écrit “C’est toi 😂” Klaus écrit “Menteuse! Tu m'as parlé de patates et carottes” Nell écrit “J'ai voulu savoir ce qu’il y avait dedans, c'est toi le pervers” Klaus écrit “J'ai dit qu'il n'y avais pas de légume 😂” Nell écrit “Ah merde, j'ai mal lu ton message… j’ai tellement l'air con 😂" Klaus écrit “Ptdr ! C'est pas grave, maintenant à mes yeux en plus d'être sadomaso, tu es une perverse MDR" Nell écrit “Y a pas vraiment de difference" Klaus écrit “Oui et non, mais si pour toi c'est pareil, ça prouve bien que tu es sadomaso XD" Nell écrit “Plus Sado que maso ;)“ Klaus écrit “Ah ! Donc tu finis par l'avouer !” Nell écrit “On ne peut pas nier ce que l'on est" Klaus écrit “Tu te rends compte qu'on parle de ça à cause de tes patates et carottes ?"
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Les Chroniques de Livaï #321 ~ QUI LAISSE UNE TRACE, LAISSE UNE PLAIE (avril 845) Steffen Wenzel
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Nous voilà repartis, encore moins nombreux... Tous les blessés graves du dernier tronçon sont restés en arrière. A présent, c'est l'inconnu, toutes les expéditions précédentes ont fait demi-tour à partir d'ici.
Le chef est fébrile, ça se sent d'ici. Il galope vite, à côté du major, et il prendrait la tête s'il le pouvait. Nous arpentons depuis un moment un vaste plateau vide, sans relief particulier. Le cartographe, à côté de moi, mémorise les lieux et prend même le temps de tracer quelques lignes tant que les titans ne nous ennuient pas. Ca risque de ne pas durer, j'en aperçois au loin. Pour l'instant, nous les évitons volontairement. Mais j'ai quand même le cul serré.
Livaï a été envoyé à l'arrière avec l'escouade d'Hanji qui escorte le chariot. Greta et Mike ont aussi été dispersés, l'escouade de recrues est en arrière garde et l'équipe de Gelgar accompagne les lignes avant, devant moi. Je suis au centre, ce qui me donne la possibilité de d'avoir presque tout le monde à l'oeil.
Les jeunes sont pas rassurés, mais nous le sommes tous en vérité. C'est toujours un grand moment quand on dévoile une nouvelle zone. La première chose à faire c'est de repérer les bois, forêts et arbres isolés en cas d'escarmouche, ça nous permet d'y attirer les titans et de pouvoir nous battre plus efficacement. Ca manque, par ici... Les terrains plats, je déteste ça... On peut y galoper mais les titans y sont avantagés et peuvent nous voir plus facilement. Ils doivent aussi nous sentir car ils déboulent souvent de nulle part. Pourvu que cette fois...
La colonne s'engage dans une petite pente menant à un autre plateau semblable au précédent. J'ai l'impression que nous descendons de façon régulière... Même le parfum de l'air a changé ; il pique un peu le nez... Je me demande ce que ça veut dire... Et si il y avait une ville dans le coin ? Des humains comme nous qui auraient échappé au titans ? Non, impossible, les monstres sont bien trop près... Aucun humain ne peut survivre ici. Bon sang, je crois qu'ils se rapprochent.
Shadis fait un geste de la main et ordonne un arrêt dans un bosquet d'arbres. Une fois à terre, il nous dit qu'il n'y a sans doute rien d'intéressant par là. Erwin serre les lèvres, dans l'attente de la suite. Le major nous refait le topo : le but du bataillon est de trouver l'origine des titans, et ce n'est pas en nous en écartant que nous y arriverons, qu'il dit. Hanji s'apprête à s'exclamer de joie, mais Livaï l'arrête d'un petit coup de pied dans la jambe. Shadis continue en disant que nous allons nous rapprocher des lignes ennemies afin de découvrir quelque chose qui peut nous faire avancer. Nous n'avons jamais été si loin au sud et il est probable que notre objectif ne soit plus très éloigné.
Ouais, admettons. Mais on est peu nombreux, se jeter dans leur bras comme ça... Je le sens pas. Erwin demande pourquoi ne pas continuer encore ainsi sur quelques kilomètres ? Il sera toujours temps de bifurquer. Mais le major reste ferme ; nous avons une vue plongeante sur le plateau et aucun avant-poste ne se dessine à l'horizon. Nous n'avons rien pour voyager de nuit et nos réserves s'épuisent. Il faut vite en terminer sinon nous nous retrouverons sans ressource dans ces terres. On a même pas de quoi chasser, et nos réserves d'eau diminuent, c'est la merde...
Je trace des ronds dans la terre près de mes pieds en écoutant le chef et le major négocier notre avenir. Erwin soutient que tant que nous allons au sud, il n'est pas nécessaire de se diriger vers les titans, nous atteindrons bien quelque chose ; Shadis affirme que si nous n'allons pas au-devant de nos ennemis, tout ceci n'aura servi à rien et nous ne découvrirons rien de nouveau. Erwin essaie de rester calme. Nous, les soldats, on a pas notre mot à dire, mais je vois que Livaï est prêt à bondir et à gueuler si nécessaire. Chef Hanji danse d'un pied sur l'autre, n'osant pas prendre parti pour l'un ou l'autre. Greta boit les dernières gouttes de sa gourde - je la vois la pencher vers le sol et plus rien n'en tombe. La matinée est déjà terminée et si on doit prendre une décision, c'est maintenant ou jamais.
Soit on continue vers le sud-ouest comme on le fait depuis un moment, loin des titans, en prenant le risque de ne pas trouver d'abri, ce qui nous obligera à monter un campement ; soit on remonte vers le sud-est, en direction des titans, et on essaie de trouver d'où ils viennent. Mais si ça se trouve, on a tout faux, et cette étendue continue encore sur des kilomètres, avec des titans à perte de vue ! On peut pas le savoir avant d'avoir vérifié, que le major nous répond. Mais on a plus de vivres dans le chariot qu'on trimballe, et la réappro ne suffira pas si on doit livrer une bataille.
Faut bien se rendre à l'évidence, on est coincés. Mais le plan d'Erwin est plus sûr : si au bout de quelques heures, on ne trouve rien d'intéressant, on peut toujours revenir au dernier avant-poste, en espérant que la voie sera toujours libre. Shadis, lui, nous précipite dans un dangereux inconnu, avec l'assurance de combats à la clef.
Je me sens bizarrement anesthésié. Comme si je me préparais mentalement et physiquement à y rester cette fois. Nous nous préparons à remonter en selle, mais même nos chevaux semblent inquiets. Ils doivent eux aussi sentir des odeurs étranges...
C'est le major qui décide en dernier ressort. Et je ne suis même pas étonné quand nous commençons à tourner vers l'est, et nous dirigeons vers les silhouettes massives de nos ennemis. Ils ne se doutent pas du festin qui s'apprête à fondre sur eux... Non, Steff, ne soit pas défaitiste. Mike et Livaï sont là, avec eux, ça peut pas mal tourner. Je reste fixé sur Erwin, qui chevauche à côté du major, sûrement à contrecoeur mais assez diplomate pour ne pas le montrer.
Mais je ne m'y trompe pas : si ça barde trop, il fera ce qu'il peut pour nous tirer de là.
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