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La suite...
Pour suivre la suite des aventures de Nell,
je vous propose de passer à la saison 2 :
Les partitions de Nell, Composition de souvenirs épicés
au lien suivant : https://nelltoo2.tumblr.com/
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Hormones = mort du désir ?
Après ce texte, j’aurais relaté toute l’histoire de Nell en 2019, même un peu plus.
Il s’agit donc du dernier de cette première saison !
21/02/2020
Voilà bientôt 9 mois que Nell prend la pilule, rien d’anormale lorsqu’on est une jeune femme avec une sexualité régulière (ou du moins… présente).
20 Mai 2019
Le 1er rendez-vous chez sa gynécologue, Nell demande un moyen de contraception (la pilule) et parle aussi des symptômes qu’elle endure lors de ses règles :
Nell écrit « hémorragies conduisant à l’anémie, vomissements, constipation puis diarrhées, douleurs au ventre et au crâne menant jusqu’à l’évanouissement. »
Nell pense « j’ai déjà fait mes recherches, je me suis renseignée… une endométriose serait la meilleure explication ! »
Malheureusement, pour une 1ère entrevue, elle préfère ne rien suggérer.
Ce médecin lui demande de revenir la voir si la prise de pilule n’aide pas ou si d’autres symptômes apparaissent lors du traitement.
12 Septembre 2019
Nell voit son nouveau médecin traitant.
Nell écrit « Douleurs pelviennes et stomacales même hors menstruations et infections urinaires à répétition… »
Nell change de pilules et va faire une prise de sang
17 Octobre 2019
Elle prend de nouveau rendez-vous chez sa gynécologue pour les mêmes symptômes et sans résultats concluant pour la prise de sang.
Cette fois-ci, ce médecin lui parle de l’endométriose
Nell pense « ENFIN ! »
Gynéco écrit « le seul traitement actuel contre les douleurs et désagréments est de ne plus avoir ses menstruations. »
Le principe est simple : empêcher l’ovulation par la prise continue d’hormones, on appelle ça une « ménopause artificielle », joyeux non ?
Nell pense « Ok j’ai une ordonnance, mais je ne suis pas plus avancée… toujours des suppositions et pas de réponse…. Heureusement, je dois passer une échographie endopelvienne »
Cette échographie est faite avec un appareil (ressemblant beaucoup à un vibromasseur) que l’on introduit dans le vagin pour aller tâter la paroi utérine et détecter une anomalie.
Vendredi 21 Décembre 2019
L’échographie est prévue pour 8h30
La radiologue, une femme assez jeune et très sympa prend en charge Nell.
Nell pense « j’ai l’air fine dans cette position … sur le dos, les fesses relevées, les jambes écartées. Je ne sais pas si le peu d’abdos que j’ai vont tenir bien longtemps… »
Ensuite, les sensations… une fois la chose froide et recouverte de gel, insérée dans son anatomie, un tâtonnement répétitif et gênant commence.
L’anomalie est difficile à trouver, la radiologue passe sur d’innombrables zones que Nell doit commenter pour indiquer une douleur.
Avant de trouver, une sensation gênante de plaisir se fait sentir lors d’un tâtonnement hasardeux du médecin. Rouge de honte et troublée par la gêne Nell bafouille.
Nell écrit « Eu… comment dire … la sensation était bizarre »
Ce constat fit redoubler d’effort la radiologue voulant être sûr que l’endométriose ne se situait pas ici…
Une autre zone retenue cependant l’attention de celle-ci et contenait bien une endométriose.
Celle-ci était si petite qu’il s’agissait en réalité d’une « endométriose millimétrique »
Nell pense « comment une si petite anomalie peut infliger de telles souffrances ??? »
Janvier 2020
Nell pense « je prends la pilule en continue, tout se passe bien, aucun effet secondaire douloureux puisque je n’ai plus aucune menstruation et au moins j’ai aucune chance de tomber enceinte ! »
Elle doit seulement tous les 6 mois stopper sa prise d’hormone pour évacuer ce qui n’est pas utile à son corps.
Nell pense « La tranquillité est apparue et rien ne vient entacher ce ciel bleu ! »
Sauf une chose…
Elle ne s’en rendit pas compte immédiatement, c’est d’ailleurs apparu insidieusement…
Nell a perdu son désir ... ou du moins, il est loin d’être aussi violent qu’auparavant.
L’envie insoutenable qu’elle supporte tous les soir pour Klaus a disparu.
C’est un soir où celui-ci eut envie qu’elle ne senti pas l’excitation monter
Nell pense « Mon corps ne réagis pas avec la même intensité que d’habitude … Merde… je suis pas du tout humide… c’est quoi ce bordel ? »
Cet incident créa des douleurs lors de l’acte pour les deux amoureux et ceux même avec l’aide d’un lubrifiant…
Peinée par cela et ne voulant pas que son amour croit qu’il n’avait plus d’importance pour elle, Nell en discuta avec lui.
Il ne semblait pas affecté par la nouvelle, ce qui rassura la jeune femme.
Nell écrit « Au moins, maintenant on est au même niveau de motivation ! »
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Clarté intellectuelle
Dimanche 15 Décembre 2019
Nell et Klaus retournent chez eux après un weekend passé chez les parents de chacun.
Dans la voiture Nell se perds dans ses pensées : un travail à rendre en sociologie est basée sur la bienveillance.
Voilà… une r��vélation se fait dans son esprit
Un simple mot vient d’expliquer tellement de choses…
Nell pense « J’ai toujours été attirée par le risque, j’ai toujours eu une vie chaotique, déséquilibré, sans garde-fou pour me jeter dans le vide. Et c’est encore le cas maintenant, j’aime être frivole dans mes relations amoureuses. »
Même dans sa relation avec Klaus, Nell est en chute libre et se laisse aller.
Mais, elle sait qu’avec lui, elle aura un filet de sécurité si un jour elle devait s’écraser au sol.
Et c’est toute la différence avec les autres : tombant près du sol, ses anciennes connaissances auraient été du genre à creuser un trou sans font pour lui éviter le choc, sans pour autant lui laisser la possibilité de s’élever de nouveau.
Vendredi 7 Février 2020
Nell écrit « Mes études en psychologie me passionnent, n’étant qu’en 2ème année de licence je suis encore loin de toutes les connaissances qui m’attendent.
En cours d’anglais, lors d’une lecture de texte, un thème m’interpelle : « The Locus of Control » ou « Locus de contrôle ». Pour ceux ayant bonne mémoire et ayant bien suivit mon blog, vous reconnaitrez peut-être un ou plusieurs cas, expliqués par la suite. »
Je vous traduis et résume un article dont je vous mets le lien ici : https://www.psychologytoday.com/us/blog/cui-bono/201104/freedom-and-control
Les recherches sur le sujet indiquent 2 types de personnes :
- Les personnes ayant un locus de contrôle interne (personnes qui croient avoir le contrôle des récompenses qu'elles reçoivent dans la vie)
- Les personnes ayant un locus de contrôle externe (personnes qui croient que leur destin est entre les mains de facteurs externes et incontrôlables).
Et il semblerait que les personnes avec un locus interne soient en meilleure santé psychologique et réussissent mieux que celles avec locus externe.
Pourtant, il existe des inconvénients à être dans le contrôle, et principalement quand il s'agit d'essayer de contrôler autrui : personne ne souhaite être sous le contrôle de qui qu’onques.
Dans ce cas, il est conseillé, dans le cas où nous n'aimons pas la façon dont les autres se comportent, de changer nos propres sentiments face à leur comportement..
Les habitudes comportementales sont difficiles à changer et ceux même lorsqu'une personne veut vraiment changer ses propres habitudes. Alors, si une personne n’est pas intéressée, il sera presque impossible de la faire changer.
James Redfield dans son roman The Celestine Prophecy., il s’appuie sur les travaux d'Ernest Becker, et suggère que la tentative de contrôler le comportement d'une autre personne est une sorte de névrose, basée sur des sentiments d'impuissance de l'enfance.
Redfield qualifie de « drames de contrôle », différentes stratégies et tentatives d'emprise sur autrui. Les tentatives d’influence les plus évidentes sont les deux drames de contrôle actif, L’Interrogateur et L’intimidateur.
- L'Interrogateur interroge et critique constamment le comportement des autres, les déséquilibrant et les mettant mal à l'aise.
- L'intimidateur utilise la violence ou les menaces pour amener les autres à se conformer à ses souhaits.
Redfield identifie également deux « drames » de contrôle passif, The Aloof (« Le Distant ») et The Poor Me (« Le pauvre de moi »).
- L'Aloof agit avec distance et détachement, parle rarement, mais seulement de façon vague et cryptée. Cette stratégie oblige les autres à faire tout le travail de communication et de coordination des activités.
- The Poor Me se plaint constamment de ne pas se sentir bien. Cette stratégie vise à culpabiliser les autres en leur demandant de tout faire, en les forçant à s'occuper de tout, y compris de sa personne.
Les tentatives pour contrôler les autres ne se limite pas aux « drames de contrôle névrotique ».
De nombreuses façons sont considérées comme parfaitement normales et pas du tout névrotiques.
Ex : les gens utilisent la flatterie et font des choses gentilles pour les autres, en s'attendant à ce qu'ils leur rendent la pareille.
Chacun a des normes concernant un comportement approprié, et essaye de changer les personnes ne suivant pas ces normes.
Souvent, les gens prétendent qu'ils essaient de changer les autres pour leur propre bien.
Pour Don Miguel Ruiz, une personne vraiment libre est immunisée contre les tentatives névrotiques et « normales » des autres à réguler son comportement. Le conseil qu'il nous donne est « Ne prenez rien personnellement ».
En faisant cela, nous considérons toutes les tentatives faites comme des déclarations les concernant, et non nous concernant. En refusant de prendre personnellement les menaces, les critiques, les dérobades, les plaintes, les éloges ou la désapprobation, nous agissons sur notre propre réalité et non sur la leur.
D’ailleurs, une personne véritablement libre ne cherche pas non plus à contrôler les autres.
Si vous ne parvenez pas à contrôler ou convaincre une personne (qui, à vos yeux, se comportent mal), que c’est dans son propre intérêt, vous perdez un temps précieux, ce qui est contraire à la liberté.
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Alcoolémie n’est pas une amie
Vendredi 6 Décembre
20h30 Apéro chez un ami de Klaus
Soirée amusante, très bonne ambiance
Tous alcoolisés, les jeunes gens vont se coucher vers 1h du matin
Froid glacial dans la chambre d’amis qu’on leur fournit.
Nell pense « Je suis si fatiguée… mes yeux ont du mal à rester ouvert »
Se plaquant contre elle avec son sexe en érection, Nell ne s’attendais pas à ce que Klaus ait envie d’elle ! Surprise, amusée et surtout complètement soue, la jeune femme n’arrive plus à réfléchir.
Klaus en profite, prend la main féminine et la colle contre son membre, mettant la sienne directement sur le clitoris, chauffant et excitant Nell de ses doigts.
Le silence est de rigueur, il serait gênant que leurs hôtes s’aperçoivent de quelque chose.
Presque pour la mettre à l’épreuve, il prend Nell en bouche tout en gardant une main habile.
Nell pense « Pitié Nell, ne gémie pas ! concentre-toi sur ta respiration… elle a beau être forte, elle est moins repérable que des gémissements. »
Trop excité, Klaus demande une fellation, qu’elle s’exécute,
Nell écrit « je m’excuse mon chéri mais je ne peux pas continuer, j’ai mal à la mâchoire… ça doit être la fatigue plus l’alcool… »
Nell se hisse sur lui.
Les sensations sont folles, l’alcool anesthésiant Klaus, la danse des deux corps dure un bon moment.
Klaus écrit « Malheureusement, je vais m’arrêter là… je ne peux pas continuer, même sans avoir joui »
De même pour la jeune femme, dont les bras étaient douloureux et son entrejambe par les frictions la brulait
Nell pense « étant saoule, je ne devais pas être assez humide »
Le couple s’endort comme des loques.
A 10h, le réveille est difficile.
Direction la maison des « Beaux-parents » !
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Souffrance sacrée ou sacrée souffrance ?
Mercredi 20 Novembre
19h30 Klaus et Nell vont prendre leur leçon de danse hebdomadaire.
Une fois rentrés, ils regardent un film
1h30 les amoureux vont se coucher
Klaus est fatigué mais apparemment son corps à envie des envies « suspectes »
Nell écrit « tu plaisante ? »
Tout en rigolant, elle doute en voyant le regard malicieux de l’homme devant elle
Klaus écrit « Tu crois vraiment que je plaisante ? »
Il guide sa main féminine vers le sexe masculin, et la doigte doucement mais intensément.
Jamais Nell n’a connu une telle jouissance, un picotement, une acidité, une chaleur dans son anatomie, elle se sent partir en transe.
La main placée sur son sexe, L’envie de Klaus augmente, se lubrifiant par lui-même, donnant une facilité de mouvement à la prise de Nell qui grandie et enfle chaque seconde entre ses doigts.
A la demande du jeune homme, Nell lui fait une fellation.
Klaus écrit « comment veux-tu te positionner ? »
Nell écrit « mets-toi debout en dehors du lit… »
Il n’a pas le temps de demander la suite qu’aussi tôt, Nell se retrouve assise, les mains lui retenant le dos et les fesse (pour qu’il tienne debout malgré le plaisir emportant son esprit)
Nell pense « Empoigner son corps, c’est tellement satisfaisant ! il s’agit de parties angulaires de son équilibre : si je le lâche, il tombe. D’ailleurs, j’ai tout contrôle sur son esprit et son corps en ce moment précis »
Seul problème … Nell a mal aux mâchoires, elle perd le contrôle sur lui… et les rôles s’inversent :
Klaus renverse Nell sur le lit et la pénètre : d’abord lentement que la jeune femme puisse sentir toute son envie (grandeur et largeur) qui écarte ses parois.
Puis brutalement dans le fond de son intimité
La violence de ce coup de rein inflige une douleur indescriptible, le visage de la lady se tord.
Nell pense « OUTCH ! Qu’il est brut ! en plus, il met tout son poids pour me transpercer, cette souffrance est divine… »
Klaus semble se délecter du visage crispé par le plaisir qu’il voit succéder à la douleur
Chaque coup de bassin, inflige une douleur presque inhumaine, que Nell ne veut cependant pas voir s’arrêter
Nell pense « Cette souffrance est la bienvenue, le changement procure à mon corps un doux traumatisme que je veux inscrire en moi. »
Ils rendent es armes tous deux à 2h40, les membres endoloris par l’effort et le plaisir.
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Prétexte? Sieste
Mercredi 13 Novembre
Cette semaine les cours de danse que prennent Nell et Klaus sont annulés, Mais Les deux jeunes gens comptent bien se retrouver comme à leur habitude
Nell écrit « Je fini plus tôt ce soir donc attend toi à me voir débarquer vers 17h ! »
Klaus écrit « C’est cool ! je t’attends, à tout à l’heure.
Klaus reçoit Nell chez lui, mais semble fatigué, de même pour Nell dont les yeux lui brulent.
Ils décident donc de faire une courte sieste. Cependant, les intentions du jeune homme sont tout autre que de dormir !
Klaus écrit « Je dois avouer que je me doutais que ça allait se passer comme ça… en fait, c’était évident XD »
Nell écrit « MDR, tu avais tout prévu petit comploteur ! »
Finalement, ils font tout de même une sieste.
Une heure plus tard, Nell se réveille après un rêve très érotique.
Nell pense « Merde… J’ai encore envie, je ressens des picotements en bas, bizarrement ça m’excite ! »
Nell ne peut pas s’empêcher de le dire à Klaus, emportée par ses sensations.
Elle tente une approche directe : elle place la main de son compagnon sur son sexe humide. Celui-ci un peu déranger, grogne mais comprend rapidement la manip de Nell.
Nell écrit « Je suis désolé, mais j’ai encore envie de toi et je n’arrive pas à réprimer ça… »
Ne sachant plus quoi faire et sans réponse de Klaus elle commence à se questionner et presque avoir peur d’un stop de sa part.
Klaus a des petits mouvements de rapprochement.
Nell pense « Je n’ai pas envie qu’il se sente forcé parce que j’ai dit que j’avais envie… »
Il met la main de Nell directement sur son attribut, qui est déjà dur.
Klaus écrit « tu as envie… tu veux du sexe c’est ça ? »
Une question dans un souffle chaud un brin moqueur
Cela gêne Nell de l’avouer mais il dit vrai, cette phrase augmente d’un cran sa chaleur corporelle.
Une fois fini, Ils discutent de leurs envies et comment les communiquer
Klaus écrit « On a dut en parler au moins une dizaine de fois, il ne me faut pas grand-chose pour démarrer au quart de tour, mais souvent ce qui me retiens de prendre les initiatives c’est par flegme XD, donc tu dois prendre « la chose » en mains si je peux dire ! si tu veux on peut me comparer à une voiture Diesel… il est lent au démarrage mais une fois lancé… »
Nell écrit « Mais je ne suis pas du genre à prendre les décisions, du moins je ne l’ai jamais appris, en plus j’ai toujours peur de te forcer en un sens … tu m’as parlé de tes exs qui avaient tendance à exagérer lorsqu’il s’agissait de recourir à tes bons soins »
Klaus écrit « Toi, tu es du genre Hybride, encore pire à démarrer que le Diesel ! On n’est pas près d’y arriver MDR. Pour ce qui est d’elles je leur ai déjà mi des stops mais ce n’est pas ça qui nous a séparer rassure toi. D’ailleurs, je peux dire qu’avec toi je suis assez tranquille à ce niveau-là »
Est arrivé ensuite l’heure d’aller à la fête foraine.
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Bonheur X Douleur
Mardi 22 octobre
Nell fini les cours exceptionnellement à 18h et se rend dans un bar où se déroule l’anniversaire d’une amie. Klaus est présent lui aussi.
A 18h15, elle est devant bar et retrouve son copain ainsi qu’un ami du groupe.
Klaus écrit « dommage qu’il soit arrivé aussi tôt, j’aurais bien aimé passer un peu de temps avec toi avant »
Nell écrit « Ne t’inquiète pas on aura bien assez le temps de rester tous les deux 😊 »
Pendant 1h, les 3 compagnons attendent l’arrivée du reste du groupe.
Tous arrivent et commandent leur boisson.
Le bar est bondé, leurs commandes n’arrivent qu’environ 1h après.
Nell écrit « Si je devais être un élément je serais un glaçon ! »
Regards étonnés autour d’elle, ils ne comprennent pas le sens de cette phrase jusqu’à ce qu’ils voient ses mains.
Nell écrit « mes ongles se sont violacés, mais en hiver, ils sont carrément bleus ! »
Tous ressentent petit à petit le froid environnant et rentrent dans la salle principale qui est inondé par les discutions des clients et la musique d’ambiance.
Klaus paix gentiment une bière à Nell, puis veut lui en reprendre une.
Nell écrit « non cette fois je paix ma bière, hors de question de te ruiner déjà que tu en offre beaucoup trop »
Klaus écrit « C’est toi qui vois, ça ne m’aurait pas dérangé de t’en offrir une supplémentaire. »
La soirée bas son plein, les rires et discussions plus ou moins sérieuses s’enchainent.
Puis vient l’instant cigarette…
Klaus à une amie « Tiens, je peux te taxer une clope ? »
Nell pense « Oh non… ce n’est pas sérieux franchement… lui qui a arrêté de fumer depuis fin Aout… »
Tous sortent pour fumer, Nell les accompagne à regret, pour ne pas se retrouver seule.
Klaus écrit « Il y a un problème Nell ? tu es toute bizarre »
Nell écrit « Bin, ça me fait chier de voir que tu fume alors que tu t’es arrêté il n’y a pas longtemps… »
Klaus écrit « Nell, on en a déjà parlé. Tu sais que je ne ressens pas le manque que les autres ont vis-à-vis de la cigarette, et que si je fume une cigarette de temps en temps, ce n’est pas ça qui va m’y remettre… »
Nell écrit « ça je sais et tu fais bien ce que tu veux, d’ailleurs je me suis mise avec toi alors même que tu étais fumeur. Mais toutes les années où tu as encrassé tes poumons ne sont pas effacées, et il faut souvent le double de temps pour renouveler tes poumons… alors même une seule cigarette de temps en temps n’est pas bonne pour le but que tu t’es fixé. J’ai l’impression que tu sabote toi-même tes efforts »
Après cette froide discussions (du fait de la personnalité têtu des deux protagonistes), l’ambiance se réchauffe : Nell perd un peu de ses capacités cognitives sous l’effet de l’alcool.
Nell pense « Et merde… je suis déjà bourré au bout de la deuxième bières… quelle petite joueuse ! »
Une énième sortie clope, Klaus et Nell se retrouvent seuls à discuter.
Désinhibée, Nell peu alors exprimer ce qu’elle ressent depuis quelques temps.
Nell écrit « Tu sais quoi… j’ai envie de toi MDR ! »
Klaus écrit « Je dois t’avouer que moi aussi XD »
Après quelques instant les deux jeunes saluent leurs amis et rentrent chez Klaus.
La tension monte progressivement avec moultes caresses
Nell pense « Putain fait chier, j’ai mes règles… même si c’est la fin du cycle, je ne peux rien faire ! Bon... bin.. comme d’habitude, je vais me sacrifier, tant pis pour moi, j’attendrais l’instant inespéré une fois que je serai débarrassée de cette malédiction »
Tout se passe bien, Klaus prend son pied sous les bons soins de Nell qui se délecte du plaisir visuel que celui-ci prend.
Oui, tout se passe bien jusqu’à ce que Klaus vienne jouer lui aussi avec le corps de la jeune femme !
Klaus écrit « Si tu en as tellement envie, il y a plusieurs solutions dont on a déjà parler : soit avec capote en prenant le risque que tu ais des douleurs, ou on essais par derrière, si tu es prête à tenter le coups »
Nell pense « Le dernier coup avec capote j’ai douillé comme jamais, mais penser à la sodomie me rend malade, je crois préférer cent fois souffrir. Bon d’un côté c’est une ancienne expérience qui n’était pas réalisé de façon sécuritaire et avec lui, je crois que je pourrais réessayer… »
Nell à elle-même « Non, Non et Non ! rien que d’y penser me donne la nausée… c’est hors de mon étique de vie. Je souhaiterais garder le peu de dignité qu’il me reste… déjà que la fellation… bin… de base je trouve ça… dégueu, j’ai toujours le sentiment que l’on me souille la bouche. Seul le fait de voir mon partenaire prendre du plaisir me motive, alors si je ne le vois même pas… c’est mort !»
Tant pis, elle se résigne à ne pas prendre de plaisir ce soir.
Seul problème : un boulet de plomb qu’elle a en bas du ventre, dû à l’excitation et l’envie.
Cette chose roule, grossie avec le temps et l’action du jeune homme près d’elle.
Nell pense « Cette douleur est insoutenable ! elle se rapproche presque des douleurs lors des premiers saignements… »
Nell à elle-même « Non mais pourquoi je pense à ça ! je suis devant un homme qui prend son pied et moi, je souffre au point de secrètement espéré qu’il ait envie de me prendre… et ceux peu importe le sens ! je souffre… je souffre de plaisir… d’envie. A l’instant T j’ai juste envie de disparaitre, de m’évanouir dans les airs… juste envie de mourir. »
Klaus réussit enfin à jouir, une jouissance se rapprochant presque plus d’une contraction de douleur.
Fatigué par l’émotion et du shoot d’endorphines qui le submerge, Klaus se nettoie puis se couche.
A ses côtés, Nell ne peut plus bouger tant son ventre lui indique sa frustration.
Une frustration jamais connue auparavant.
Klaus en embrassant Nell « ça va mon amour ? »
Nell « j’ai mal au ventre… »
Klaus écrit « des douleurs de règles ? »
Nell écrit « Non… de frustration ! »
Klaus écrit « Ah… je suis désolé… je m’excuse… »
Nell écrit « ce ne sont pas tes excuses qui vont arranger le problème… »
Klaus écrit « je sais mais il faut que tu sache ça m’embête quand même »
Aucune réponse de Nell
Nell pense « Quelle réflexion stupide ! Si tu étais tellement désolé, tu ferais quelque chose… »
Ne supportant que très mal la frustration, Nell s’allonge en tournant le dos à son partenaire.
Elle se recroqueville pour adoucir son ventre et son esprit, qui reprochent injustement ce mal à Klaus.
Nell pense « C’est injuste, je lui ai donné et lui rien ! il est égoïste de me laisser comme ça une fois qu’il a eu ce qu’il voulait… et ça à chaque fois, … une fois qu’il a fini… plus rien ! ce n’est jamais équitable… j’ai toujours trop donné et cela depuis le début de ma vie, trop donné pour ne jamais assez recevoir. »
Nell à elle-même « Arrête de te plaindre ! c’est toi qui es faible face à tes pulsion… tu espères trop des hommes. De plus, tu ne peux pas lui reprocher cette fatigue dont tu ne connais pas le ressentit ! Tu le vois plus que souvent résister à l’envie de jouir juste pour faire continuer TON plaisir ! Alors dis-moi, qui est le plus égoïste des deux finalement ?»
Nell pense « … gné gné gné… m’en fout… en ce moment je suis frustré … j’y repenserai demain matin »
Si Klaus avait lu dans les pensées de la jeune femme, il aurait été capable de sortir la phrase qu’elle-même s’était mise en tête :
« Répartie.com, Répartie.com… Elle est partie par-là, on ne la retrouvera pas ! »
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Temps Perdu
La semaine avant la reprise des cours en Septembre, Nell décide de rentrer chez ses parents.
Elle reçoit alors une avalanche de messages : de ses amis et amies, ainsi que de ses anciens sexfriends.
Jamais elle n’avait été aussi occupée en si peu de temps : tous voulaient la voir et ses parents lui assignaient des tâches.
Klaus et Nell discutèrent le soir via internet.
Bizarrement, ils discutèrent bien plus que lorsqu’ils étaient en face à face.
Tous deux s’en rendirent compte et reparlèrent alors de leur précédente dispute.
Les cours reprirent, Klaus semblait se réveiller d’un seul coup et redevint lui-même : amoureux transit, fougueux, toujours avide d’actions.
A tel point qu’elle eut presque peur de ce retour abrupte.
« Lui avait-on jeter un sort ? »
La première fois où ils refirent l’amour, Klaus enchaina 3 fois d’affilé, sans sourciller, au point que Nell crue mourir de frisson, de plaisir et de fatigue.
23 septembre
Nell écrit « Y a Nyls qui me reparle… Il veut discuter… Je ne sais pas trop quoi penser »
Klaus écrit « moi j’ai mon idée »
Nell écrit « dis moi » »
Klaus écrit « bin d’après toi pourquoi te parlait-il avant ? »
Nell écrit « Je sais bien XD mais là il est au parfum que je suis avec toi »
Klaus écrit « il y en a que ça ne dérange pas »
Nell écrit « il le sentira passer s’il tente quelque chose »
Klaus écrit « Parce que tu comptes lui parler »
Nell écrit « J’y réfléchi, ça t’inquiète ? »
Klaus écrit « Je t’avoues que ça ne me plait pas plus que ça. Mais tu fais bien ce que tu veux »
Nell écrit « Tu sais bien que tu n’as rien à craindre ! c’est avec toi que je suis, pas quelqu’un d’autre. La preuve, je te mets au courant. »
Klaus écrit « Oui j’ai aucun doute là-dessus. C’est juste que sur la description que j’ai eu de ce mec, j’ai du mal à le cerner. Je ne l’aime pas en gros. »
Nell écrit « ça se comprends… j’ai aussi un mauvais souvenir, mais il veut discuter et ça me va tant qu’il n’y a rien de plus »
Klaus écrit « comme tu veux, après tout je n’ai rien à te dire »
Nell écrit « tu veux en discuter au téléphone ? je ne peux pas t’obliger à l’apprécier et je ne suis pas sûr de le supporter non-plus… »
Klaus écrit « En discuter ne va pas apporter plus au sujet. Je t’ai dit qu’il ne me plaisait pas, tu me dis que tu n’as pas de bons souvenirs, donc pourquoi veux-tu quand même lui parler ? »
Nell écrit « Curiosité de savoir s’il est toujours le même… c’est stupide, mais s’il a un peu changé, il se peut que je change de jugement »
Klaus écrit « franchement je n’aime pas cette idée. Ça va juste causer des situations de prise de tête parce que tu fais ce que tu veux, mais que ça ne me plait pas »
Nell écrit « il n’y a aucune raison de se prendre la tête pour ça et tu le sais… Tu n’as rien à craindre donc ne fais pas comme si je faisais quelque chose de grave »
Klaus écrit « Fais ce que tu veux »
Nell écrit « tu vas m’en vouloir c’est ça ? »
Klaus écrit « Je ne sais pas, je ne comprends pas pourquoi tu veux lui parler »
Nell écrit « Et si je te rassure en te disant qu’il n’y a pas de raison sexuelle, ça ne te rassure même pas ? »
Klaus écrit « Ce n’est même pas ça le sujet, je trouve chelou qu’un mec qui t’a saoulé et avec qui tu as coupé les ponts, revient te parler du jour au lendemain. C’est évident qu’il ne veut pas seulement parler et toi tu veux lui parler pour voir s’il a changé. En soit j’ai déjà la réponse, c’est non, je suis sûr à 90% que c’est juste un chien. Il ne va rien t’apporter de bien, voilà mon opinion »
Nell écrit « Il est en couple… »
Klaus écrit « Ecoute mon amour, je suis en train d’argumenter pour rien. Donc si tu veux lui parler vas-y, je ne t’oblige en rien contre ta volonté et je ne ferai jamais. Mais sache que ça ne me plait pas. »
Nell écrit « Tu n’argumente pas pour rien, je comprends tout à fait ton point de vue et si j’étais à ta place, je me poserai aussi des questions. Je n’ai juste pas envie que tu me reproche quelque chose qui n’as aucune incidence sur notre situation à tous les deux »
Klaus écrit « Quand je dis que j’argumente pour rien, c’est parce que tu es têtu et comme tu veux le faire, je te laisse le faire, mais tu te rendras compte par toi-même qu’il y a de fortes chances que c’est un connard »
Nell écrit « Je sais bien, si je le constate une énième fois, je ne me ferai pas prier pour l’envoyer bouler »
Klaus écrit « ce qui ne me rassure pas c’est le moment où tu as dit que tu comptais le voir
Nell écrit « ça ne te rassure pas par rapport à quoi ? »
Klaus écrit « Je ne sais pas, j’ai un mauvais pressentiment et généralement, j’en prends compte. Néanmoins, je me rends compte que tu fais des efforts pour bien me prouver que tu ne me cache rien et je t’en remercie. Mais bon… »
Nell écrit « tu as peur que je te trompe un jour ? »
Klaus écrit « Tout le monde espère que ça ne lui arrive pas donc logiquement oui. J’ai peur de te voir changé de regard et de comportement envers ma personne. Un individu qui te donne autant envie de lui parler est forcément susceptible de t’influencer. Je ne veux pas te perdre… »
Nell écrit « Mon chéri… tu n’as absolument aucune chance de me perdre par sa faute. Je suis avec toi, je ne veux et ne voudrais être avec personne d’autre ! Tu me vois toujours heureuse avec toi et j’ai envie de le rester. Je ne veux pas te mentir pour quoique ce soit alors je te mets au courant et si je parle avec quelqu’un que tu ne connais pas tu le seras toujours. Risquer notre relation sera trop stupide vu mes sentiments pour toi »
Klaus écrit « D’accord. Dans ce cas si tu le vois, dis-moi juste où tu seras, pour me rassurer »
Nell écrit « je te le dirais, mais interdiction de faire l’espion, pas question que tu me surveille comme un fou de jalousie »
Klaus écrit « Non, ce n’est pas mon intention, je ne suis pas comme ça et ce n’est pas pour rien que je t’ai précisé « pour me rassurer »
Nell écrit « Si tu me fais confiance et que tu m’aimes, je te le rendrais au centuple ne l’oublie pas. D’ailleurs, tu n’as même pas besoin de me donner tout ça… je t’aime et je n’ai pas besoin de plus ! »
Klaus écrit « je te fais confiance, c’est une certitude, mais des fois de mauvais pressentiments changent temporairement la donne. Je fais toujours confiance à mes pressentiments, ils se sont toujours révélés vrai »
Nell écrit « je ne peux pas lutter contre un pressentiment… c’est triste comme histoire »
Klaus écrit « en effet »
Nell écrit « j’avoue que j’ai un peu la gorge nouée »
Klaus écrit « Pourquoi ? »
Nell écrit « Notre discussion, tes pressentiments, moi qui essais de te rassurer sans succès… c’est frustrant de se dire que c’est pour une histoire ridicule »
Klaus écrit « tes arguments de tout à l’heure m’ont rassuré »
Nell écrit « tu me le dis mais j’ai aucune garantie que tu ne vas pas encore psychoter… »
Klaus écrit « ton argumentation juste avant que j’accepte que tu puisses le voir sous conditions, m’a convaincu »
Nell écrit « là, j’ai envie d’un gros câlin et de bisous »
Klaus écrit « Moi aussi »
Nell écrit « Ce Fucking emploi du temps m’embistrouille ! Sinon je serai venu te voir directement »
Klaus écrit « PTDR, embistrouille ? WTF »
Nell écrit « Et oui ça existe chez moi MDR ! »
Klaus écrit « ça veut dire quoi ? »
Nell écrit « m’embête ou m’emmerde, en moins impoli »
Klaus écrit « et en plus drôle surtout XD »
Nell écrit « oui principalement 😊 »
Finalement Nell ne mettra que quelques heures avant de bloquer définitivement Nyls, étant trop insistant pour la voir. Un malheureux retour en mémoire, qui conduira la jeune femme à ne jamais le recroiser, et ce pour le plus grand bien de la stabilité dans son couple !
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TNT
Vendredi 23 Aout 2019
Voici Nell et Klaus sur le canapé, chez celui-ci
Il propose à sa belle de faire un barbecue, tout se passe bien, à part un mal-être qui grandit sans que Nell ne puisse y changer quoi-que-ce-soit.
Un mal-être qui ne date pas d’hier, mais qui vient subitement la hanter.
Nell pense « Nous sommes à la veille de mes règles et le nombre de rapports sexuel que nous avons eu ce mois-ci, se comptent sur les doigts d’une main… Que se passe-t-il ? pourquoi tout a changé ? à présent, on ne fait l’amour même pas une fois par semaine… il dit que c’est la chaleur et la fatigue qui influe sur sa libido, mais il doit y avoir autre chose… ne m’aime-t-il plus ? puisqu’il me voit tous les jours en ce moment, s’est-il lacé de moi ? ne me désire-t-il plus ? ne suis-je devenu qu’une colocataire bonne à ranger ce putain d’appartement et faire la vaisselle !? On ne sort plus, on ne fait plus l’amour. Lorsqu’il est là, c’est pour regarder la PUTAIN de télé ou jouer sur son smartphone… je me sens aussi seul que s’il n’était pas là… je m’ennuie… je m’ennuie… JE M’ENNUIE ET CA ME REND FOLLE !!! En revanche, pendant ma période de menstruation, s’il lui vient des idées (ce qui est souvent le cas malheureusement)… il se fera vite recaler ! Pas question de lui offrir ce plaisir alors que je dois souffrir cette frustration en attendant une semaine, une semaine qui n’aboutira sûrement à rien vu son entrain à la chose… »
Nell a la gorge serrée, elle a envie de frapper ou de casser quelque chose… elle a envie de hurler et pleurer pour libérer toute cette tristesse, cette colère et cette déception.
Klaus n’est pas aveugle et voit bien le trouble de sa compagne, mais celle-ci ne veut rien lui dire : démarrer un conflit serait inutile.
Nell à elle-même « Bon… calme toi… fait quelque chose qui te vide la tête et ça ira mieux ensuite. Écoute de la musique ! Tu aimes la musique classique, alors mets ton casque et assomme-toi avec. »
Klaus à l’extérieur près du barbecue voit Nell se placer sur le canapé à peine éclairer, avec sa musique dans les oreilles.
Il ne l’a peut-être pas vu mais des larmes coulent sur ses joues, la pression descend puis remonte.
Malgré ce qu’il croit être de l’inactivité, Nell est pleine d’un regain d’énergie qui la pousse à se questionner sur son mal-être.
Nell pense « Voilà le problème : j’en attend trop de sa part… lorsque j’ai envie de lui c’est souvent parce que je le vois et que j’imagine des choses, puis me voilà déçue et frustrée par un fantasme ne se réalisant pas : Je m’attendais à ce qu’il profite de l’absence de mes règles mais rien… Lorsqu’il rentre après son boulot, j’imagine faire une sortie, mais lui, étant fatigué, rien ne se passe… Devant la télé j’espère que l’un de nous engage une conversation, mais qu’avons-nous à nous dire ? il travail, moi je reste enfermée toute la journée sans savoir que faire… »
Secrètement, elle espère avoir le courage de tout déballer et que la poudre prenne feu.
Que la pression face exploser cette pseudo tranquillité et que Nell reçoive autre chose que de l’indifférence et de la solitude.
La musique ne réussit pas à la calmer, elle décide donc de faire quelques pas de danse pour la mouvoir et occuper un peu plus son esprit.
Klaus rentre avec la viande cuite, et va se placer dans le canaper sans lui parler, ni la frôler, sans porter la moindre attention à la jeune femme… cela la mets dans une colère encore plus noir !
Nell écrit « Je vais marcher une peu… »
Klaus écrit « tu vas où ? »
Nell écrit « juste faire le tour du pâté de maison »
Klaus écrit « tu es sûr que ça va ? »
Nell écrit « Oui… »
Klaus écrit « Attends, Nell… »
Non, elle n’attend pas ! elle doit partir tout de suite et rien ne doit arrêter sa course.
Une fois revenue, Klaus est toujours sur le canapé, mais son attention est maintenant bien tournée vers Nell.
Mais cela ne soulage pas la jeune femme de son mal-être
Klaus écrit « faudrait que tu m’explique… tu m’inquiète là. »
Nell écrit « Bin … si je devais te le dire directement en « exagérant », je te dirais que je me sens seule… et que j’ai l’impression de vivre avec un coloc… je suis aussi frustrée parce qu’il ne se passe plus rien au lit et qu’on pourrait me comparer à un fumeur essayant d’arrêter… »
Klaus écrit « Ouai en même temps, toi, il faudrait le faire tous les jours… »
Nell, blessée par ces propos lourds de sens, claque son repas sur la table et repart dehors.
Il fallait qu’elle sorte encore, sinon elle ne répondait plus d’elle.
Cette fois, elle n’a pas le courage de marcher, son corps est écrasé par l’insinuation de son compagnon, elle s’assied donc sur un trottoir et déverse toutes ses larmes sans retenu.
Nell pense « Je n’y retournerai pas… il va seulement s’excuser, et il me l’a dit : souvent il s’excuse sans conviction mais seulement pour que cela s’arrange… JE N’AI AUCUN BESOIN DE SON HYPOCRISIE, NI DE SA LÂCHETÉ ! ET S’IL VEUT VRAIMENT QUE CA S’ARRANGE ? IL ME FAUDRA PLUS QU’UN SIMPLE « PARDON » A LA NOIX ! »
Après un bon moment, alors que Nell n’arrivait même plus à pleurer, Klaus arrive et s’accroupit près d’elle.
Comme attendu il s’excusa en argumentant qu’il avait craqué sous le coup de la colère
Nell écrit « Tu ne te rend pas compte à quel point tu m’as fait mal ! Donc pour toi, je ne suis qu’une salope qui n’attend que de se faire baiser, hein, c’est ça ?????! Si je te désir autant, c’est parce que je t’aime, c’est tout… et de voir que tu ne me désire plus… ça me rend triste… je me demande ce qui a bien pu changer à ce point… »
Klaus écrit « Non, ce n’est pas du tout ce que je pense et tu le sais… d’ailleurs en ce moment, tu dois bien te rendre compte que je te dis « je t’aime » plus qu’avant… alors oui j’ai une baisse de libido, mais ça ne change rien aux sentiments que je te porte… le midi je rentre simplement pour te voir, je pourrai tout aussi bien manger sur place, mais non j’ai envie de te voir. »
Nell écrit « Quelquefois, je me demande si tu ne devrais pas mieux manger chez ta sœur, parce que tu passes le peu de temps que tu as avec moi, soit sur ton portable, soit à regarder cette PUTAIN de télé, que j’ai eu envie de péter une bonne centaine de fois ! Je ne fais pas de reproche seulement à toi, parce que je ne fais rien pour engager une discussion un minimum intéressante vu mes occupations, je n’ai rien à dire… »
Klaus écrit « Rien ne t’empêche de prendre les ou plutôt “la” chose en main : me retirant le téléphone et commençant les hostilités. Ça ne me déplairait pas que tu sois un peu plus entreprenante, même si je vois bien que, toi comme moi, nous avons des effort à faire ...»
Une fois la crise passée, les deux amoureux rentrèrent essuyer les larmes noires de maquillage qui coulaient sur les joues de Nell.
Cette nuit sera l’une des nombreuses nuits, où Nell s’étant résignée, n’imaginera aucune scène de sexe avec Klaus et s’endormira sereine dans les bras de son amour.
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Instant Philosophie #2
Agrid écrit « Tu es une hypersensible Nell »
Nell écrit « Je suis une quoi ? »
Agrid écrit « Une hypersensible, et tu comprendras sacrément mieux une fois que tu te seras renseignée »
Nell écrit « Non, je ne suis pas… une hypersensible, je suis Nell, juste Nell »
Agrid écrit « Et bien, Juste Nell, il ne s’est jamais passé de choses bizarres, des choses inexplicables quand tu étais en colère ou que tu avais peur ? »
Nell pense « eu… après cette intro foireuse, j’espère qu’ils auront le courage de lire la suite… »
Nell écrit « Comme vous n’êtes peut-être pas informés et c’était mon cas, je vais faire un plan expliquant les avantages et les inconvénients pour que vous puissiez mieux vous représenter la chose. Ce qui n’est pas forcément exhaustif et si quelqu’un veut me corriger il sera remercié de partager ses connaissances »
Dans un 1er temps, il ne s’agit pas d’une maladie ou d’un trouble mental, mais d’un trait de personnalité plus exacerbé (plus développé), qui toucherait 1 personne sur 5, ce qui est souvent ignoré.
Sens : raison/pensée
Sens : les 5 sens
Sensible = synthèse de la raison, de la sensibilité et des 5 sens
Hypersensibilité ≈ développement exacerbé de la raison, de la sensibilité et des sens
Il existe plusieurs aspects de l’hypersensibilité :
- Les Introvertis : pour qui l’environnement ne permet pas d’exprimer leur ressenti et les force à le cacher
- Les Extravertis : pour qui la parole semble facile et libératrice, mais qui peut sembler compliqué pour la compréhension d’autrui, c’est d’ailleurs chez eux que l’on détecte le plus souvent l’hypersensibilité
- L’hypersensibilité Protectrice : base son ressenti principalement sur l’empathie et l’aspect social
- L’hypersensibilité de Découragement : entrainé par une grande fatigue mentale et le manque de compréhension de l’entourage
- L’enfermement dans le mental : va refouler une partie ou l’entièreté de ses ressentit
ATTENTION !!! ces différents aspects de l’hypersensibilité, ne sont pas forcément séparés et se regroupent souvent dans une même hypersensibilité.
Toujours l’impression de réfléchir trop vite ou même de trop penser.
C’est d’ailleurs comme un instinct, on apprend à prévoir pour mieux encaisser, toujours dans l’anticipation. Très intuitifs, on ressent à travers les ambiances, les non-dits et les vibrations d’atmosphères.
Cette réflexion incessante amène à se focaliser sur de tous petits détails, insignifiants pour les autres, l’attention est braquée sur les subtilités, les nuances et les détails : un geste paraissant anodin devient vite une signification claire pour l’hypersensible.
C’est d’ailleurs dans ces détails que la créativité trouve sa place et cela dans tous les domaines.
L’appréciation des détails et la créativité dans le domaine du sociale mène à une très grande empathie qui semble être la source de l’hypersensibilité
Souvent vu comme un caractère positif, il n’en est pas moins un inconvénient.
En effet, l’hypersensible est, comme vu précédemment, un être sensible et à fleur de peau. Une critique peut être ressenti comme la fin du monde, ceci est souvent accompagné d’un mal de vivre.
Dans l’extrême, ils se sentent souvent incompris avec un sentiment de décalage face aux autres, cela étant dû à la complexité de leur ressenti, leur analyse constante et la place trop importante que prennent leur pensés.
Le sentiment d’anormalité est présent, mais il faut souvent du temps avant qu’un hypersensible ou son entourage puisse identifier la cause de ses mal-être.
Les conseils qui sont souvent donnés aux hypersensibles et à leur entourage, sont de développer et mieux connaitre leur sensibilité afin de mieux la gérer.
La Sophrologie, la relaxation sont des activités qui se révèleraient bénéfiques pour ces personnes.
Une autre technique serait de dessiner le signe de l’infini, cela harmoniserait le cerveau, diminuerai les ondes cérébrales, permettant l’apaisement.
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Relation Exclusive
Soirée du 28 Juin
Nell se voit surprise de voir réapparaitre les sms de Timba, dont elle n’avait plus de nouvelles depuis un moment.
Timba écrit « Hello Clithen 😉 »
Nell écrit « Hello, tu m’as tué MDR ! je ne m’attendais pas à ça »
Timba écrit « Je suis content de t’avoir tué alors, mais j’espère ne pas aller en prison pour ça »
Nell écrit « Personne pourra témoigner Tkt 😉 »
Timba écrit « Il n’y aura pas de corps 😊 »
[…]
Nell écrit « Au fait, je ne sais pas si je te l’ai dit… je suis officiellement avec quelqu’un »
Timba écrit « Oui, tu m’avais prévenu que c’était en préparation, ça se passe bien ? il s’appelle comment ? »
Nell écrit « Oui très bien, pour toi il se nommera Klaus »
Nell n’avait pas envie que Timba sache le nom de son compagnon, peut-être un peu parano mais elle n’aime pas que l’on rentre dans sa vie privée
Timba écrit « C’est pour ça que tu as supprimé ton compte AUM ? tu es exclusive maintenant ? »
Nell écrit « Je l’ai supprimé parce que je n’y allais plus, et je suis bien avec lui donc pas envie d’aller voir ailleurs »
Timba écrit « ok ça se tient en partie 😊 »
Nell écrit « Explique XD »
Timba écrit « Se sentir bien avec lui peut être une raison de ne pas aller voir ailleurs. Mais aller voir ailleurs n’est pas uniquement fonction de si on est bien avec quelqu’un. Ça peut être parce qu’on en a envie/besoin, indépendamment de comment on se sent avec lui ou elle. »
Nell écrit « Oui mais pour l’instant ce n’est pas le cas pour moi »
Timba écrit « dans tous les cas ce n’est pas une obligation »
Nell écrit « Je sais bien »
Timba écrit « Même si c’était le cas pour toi, moi je ne peux pas en ce moment… J’ai mes règles MDR 😉 »
Nell ne sait pas pourquoi, mais ça lui fait du bien d’avoir quelqu’un comme Timba avec qui discuter, sans même l’avoir déjà rencontré, une liberté totale de parole, une « absence » de jugement qui lui fait du bien. Elle ne sait pas encore, si elle voudra le voir un jour en IRL, mais pour l’instant Nell s’amuse bien.
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Officialisation
Dimanche 16 Juin
Nell écrit « Je pense que je vais sortir avec Klaus »
Maman écrit « tu le dit d’une façon si sérieuse qu’on pourrait croire que tu te forces !»
Nell écrit « Non, loin de là, je sais que j’ai des sentiments et qu’il en a aussi pour moi, mais je me pose encore des questions : est-ce que notre relation va changer une fois notre relation rendue officiel ? est-ce que l’on va tomber dans une routine et l’ennui ? Est-ce que je fais bien de m’engager alors que je ne suis même pas sûr de la durabilité ? »
Maman écrit « tu n’es pas obligé de prendre ta décision maintenant, tu as le temps »
Nell écrit « je le sais très bien, mais je me rends compte que l’on est surement en « couple » depuis un petit moment et au fond je sais que je suis bien avec lui, mais je n’arrive même pas à lui dire un simple « je t’aime » en réponse aux siens… et ça m’apporte toujours de la gêne autant pour moi que pour lui »
Maman écrit « Ton père est un peu comme ça, tout dépend de la personnalité de la personne, certains le disent beaucoup, d’autres pas du tout. Mais cela n’empêche pas les deux personnes de s’aimer »
Nell écrit « Y a aussi la notion de couple que me dérange : même si ça serait juste un moyen de donner une réponse au parent de Klaus, je le vois comme une attache qui marquerai sur le front de la personne « tu possèdes la personne donc plus besoin de faire des effort ».
Maman écrit « Oui je suis d’accord que la notion de couple ça fait vieux jeu, d’ailleurs avec ton père on n’a jamais vraiment officialisé notre relation, on s’est rapproché, on est tombé amoureux puis on est resté ensemble sans aucune demande officielle de sa part ou de la mienne »
19h
Klaus récupère Nell à la gare pour la ramener chez lui, ils passent une soirée assez calme, jusqu’au moment de monter Nell enfile un sous-vêtement acheté un jour plus tôt : il s’agit d’une culotte en dentelle avec 3 ouvertures laissant entrevoir le début de ses reins.
Avant de la montrer à son Sexfriend, Nell enfile une combinaison de nuit noire très légère à la manière d’une nuisette.
Klaus a des yeux tous ronds devant la tenue de la jeune femme, qui est évidement fière d’elle
Les jeux commencent : les baisers, les caresses, les mordillements, mais toujours avec l’humour déplacé qui caractérise Klaus dans ces moments-là.
La jeune femme commence à se dénuder mais pas entièrement
Nell écrit « Dit-moi si tu souhaites que je retire le reste 😉 »
Klaus écrit « j’allais justement te poser la question »
Nell écrit « alors pose la … 😉 »
Klaus écrit « pourrais-tu retirer le reste afin que je voie ta fameuse surprise ? 😊»
Nell sortie du lit et enleva entièrement sa nuisette
Klaus écrit « j’aime déjà beaucoup le devant ! »
Nell écrit « tu veux surement que je te montre l’arrière 😉 »
Nell pense « Merde… le devant est soft mais l’arrière… jamais je n’aurais pensé mettre un truc de la sorte ! »
Nell à elle-même « Nell… tu es une jeune femme libre, pas la petite fille apeurée que tu étais ! De plu,s tu te trouves devant un homme qui t’aime telle que tu es… Si tu avais tant de mal à assumer, tu n’aurais pas eu l’audace d’acheter ce genre de sous-vêtement »
Nell se tourna en douceur, tout en regardant son amant allongé sur le lit : les yeux encore plus écarquillés, la surprise, l’admiration et/ou le désir semblaient ressortir de ses yeux.
Il tira Nell sur le lit et la plaque sur le dos afin de la caresser, l’embrasser.
Tous deux en émois cherchaient la bouche de l’autre et rapprochèrent leurs corps avec force
Nell qui s’accrochait à son amant avec force, demanda à Klaus de lui retirer sa culotte qui venait d’être souillée par la main de celui-ci.
Il la caressa avec intensité, au point qu’il vint au-dessus d’elle pour lui procurer ses soins avec plus d’intensité, il alla même jusqu’à jouer avec sa langue. Celle-ci rendra la jeune femme morte intérieurement, ne sachant où regarder, elle posera ses yeux sur Klaus, la regardant avec des yeux emplis d’ardeur.
Les mouvements de Klaus donnèrent à Nell un ressenti encore inconnu dont l’intensité dépassait tout ce qu’elle connaissait.
Une fois un nombre incertain d’orgasme atteins, Nell pris la chose en main, puis en bouche. S’amusant à échanger entre mains et bouche pour perdre l’esprit de son amant
Finalement, Nell enfourche Klaus
Klaus écrit « Aujourd’hui ma mère m’a demandé si finalement on était ensemble… je n’ai pas su quoi lui répondre »
Nell pense « cette question est un coup du destin ? moi qui y réfléchissait il y a peu… et en discutait avec ma mère… XD »
Nell écrit « Humm… pour moi on a tout d’un couple à part l’étiquette officielle alors … à ton avis ? »
Klaus écrit « Je pense que oui mais je ne voudrais pas me tromper… alors je vais te poser la question une fois pour toute : Nell veux-tu être avec moi ? »
Nell écrit « Oui… »
La réponse de Nell était à peine audible avec l’émotion et même si elle savait que Klaus avait entendu, celui-ci réitéra sa question :
Klaus écrit « Veux-tu être ma petite amie ? »
Nell écrit « Oui ! … mais promets moi que rien ne changera… je souhaite garder la tendresse, la bonne humeur, les activités et tout ce qui est présent »
Cette réponse claire laissait échapper un certain soulagement de la part de Nell, qui en avait fini avec cette incertitude
Klaus écrit « Ne t’inquiète pas, je ne souhaite rien changer non plus, tu recevras surement un peu plus de cadeau que maintenant c’est tout 😉 »
Dans un élan de désir et de joie, Klaus retourna sa compagne et la pénétra avec une tendresse infinie
Nell écrit « je t’en prie… ne viens pas en moi… »
Klaus écrit « Ne t’inquiète pas, j’ai tellement envie que je n’arrive même pas à venir »
Klaus finit tout de même par mettre un préservatif
Une fois venu, il changea de protection et demanda à Nell de s’attacher les cheveux en 2 couettes
Elle devant, lui derrière. Les deux en pleine communion.
La soirée se finit sur une discussion au sujet de leur relation, une relation qui semblait nouvelle mais qui ne l’était finalement pas tant que ça
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ADN : Au Début, Nell #3
Nell grandit et ses résultats scolaires sont bons.
Cependant, tous les jours elle est tétanisée à l’idées d’aller à l’école, cette pensée lui nouait le ventre.
Chaque jour, elle réfléchissait à un stratagème pour échapper à ses anciennes « amies » qu’elle avait renommées en secret « les sorcières ».
Les trois pestes s’amusaient à martyriser Nell.
Lorsqu’une lui disait des méchancetés, la deuxième fouillait dans son sac. La pire des trois, Léa, lui tirait les cheveux et lui mettait des tapes derrière la tête, autant lors des récréations, que sous le nez des professeurs, qui ne semblaient rien voir.
Jamais Nell n’eut le courage de dénoncer ces violences, par peur des représailles principalement, mais aussi de ne pas être écoutée et prise au sérieux.
Léa, Florine et Alicia trouvèrent une nouvelle torture en se moquant des « sentiments » de Nell à l’égard de Max, qui ne comprit ni comment elles s’en étaient rendu compte, ni pourquoi cela se transformait en sujet de moquerie.
Les sorcières firent du chantage à Nell en lui demandant de laisser tomber Max, si elle acceptait, les filles lui laisseraient une place dans leur groupe. Nell naïve, crue leurs paroles et les rejoignit, tout en abandonnant pour un moment ses sentiments.
Comme une évidence, ces trois « amies » continuèrent à la harceler. Étant les plus populaires de la classe, elles montèrent tous leurs camarades contre Nell. Certains garçons aussi se mirent à la harceler, ce qui entraîna un mouvement général de moqueries et d'humiliations, sans que les professeurs ne réagissent.
Nell ne put se raccrocher qu'à Alan, qui n'était, certes, pas populaire mais un ami loyal (secrètement amoureux de Nell)
Un mercredi midi, alors que Nell sortait de classe et mettait ses chaussures, elle vit le couloir vide.
Nell pense « Oh non, je suis encore la dernière… j’espère ne pas trop me faire gronder de mon retard »
Elle enfila son manteau puis partit.
Dans ce couloir, passant près des toilettes, il y avait un angle menant à la sortie.
Le temps était gris, ce qui donnait assez de lumière pour voir devant soi mais donnait une atmosphère assez sombre.
Nell dépassa les toilettes, soudain, elle senti qu'on lui entravait les épaules. Quelqu’un derrière elle, contre le mur dans son corps. Elle ne vit pas la personne mais sentit bien que la stature était celle d'un garçon bien plus grand qu’elle.
Trois silhouettes sortirent des toilettes voisines et s'approchèrent à pas de velours.
Les trois personnes ayant enfin atteint Nell au bout du couloir, elle put alors voir ses trois « amies » devant elle. Toutes avaient un regard malingre, ainsi qu’un sourire en coin, Nell ne bougea pas et regarda ses interlocutrices sans détourner les yeux. Elle ne comprenait toujours rien… mais ça allait vite venir, plus vite qu'elle ne pouvait l'imaginer.
Léa écrit « Alors comme ça, on ne dit pas au revoir à ses amies ? »
Alicia écrit « Non elle est trop gâtée pour ça… »
Florine écrit « Et bien elle ne nous en voudra pas si on lui prend quelques affaires... elle peut en racheter ! »
L'une des trois fouilla dans le sac de Nell, qui se débattu, sans succès à cause du garçon présent dans son dos. La plus odieuse vint tout près d'elle.
Léa écrit « Comment oses tu protester ?!!! »
Léa prit le coup de Nell et serra sa prise.
Nell eu du mal à respirer, au point de ne plus sentir le moindre oxygène s’infiltrer dans ses poumons
Nell pense : « Ça y est, je vais mourir dans ce couloir »
Elle lança un coup de pied désespéré dans le ventre de son agresseur, qui lâcha prise, ce qui permit à Nell de reprendre une grande inspiration.
Léa se redressa et menaça Nell afin que celle-ci ne dise mot au sujet de cet incident.
Les quatre personnages partirent en laissant Nell sur place, sous le choc et à bout de souffle.
Nell pense « Sortir… Sortir… Sortir… »
Une fois fait, Nell retrouva sa nourrice, qui vit la terreur sur son visage.
Aussitôt, elle prit les épaules de Nell et la secoua doucement en lui demandant ce qu'il s'était passé.
L’écolière ne pouvait dire mot tellement sa gorge lui semblait sèche et serrée.
Elle éclata en sanglot, tout en baissant le visage vers le sol tant elle avait honte
Nell pense « Moi qui ai déjà plusieurs années de judo derrière moi… comment ai-je pu me laisser humilier de cette façon ? »
Sa nourrice la raccompagna, lui posant des questions durant la route, Nell répondit, mais toujours avec une grande honte. La nourrice prévint ses parents, qui allèrent voir le proviseur.
Nell ne voulait pas aller le voir, elle ne voulait pas paraître faible et l'admettre.
Elle voulait juste se cacher et ne plus jamais croiser quelqu'un.
Malheureusement, le proviseur était déjà en pleine discussion avec ses parents, ou plutôt… c’étaient les parents qui hurlaient sur le proviseur.
Père de Nell écrit « Si vous ne réagissez pas, je m’en chargerais moi-même et je doute de la bonne fin de cette histoire !!! »
Le proviseur proposa une confrontation entre la chef des agresseurs et la victime, cependant, rien ne se passa comme prévu : une fois les parents amadoués, Léa en face de Nell lui serra la main en guise d'excuse. Bien évidemment le proviseur n’avait pas pensé à une punition et laissa cet incident se régler par grotesque une poignée de main.
On lisait aisément tout le dégoût de Léa et la peur de Nell envers de futurs représailles.
Celles-ci ne se firent pas attendre...
N'ayant plus confiance en ses professeurs, ni en ses parents, Nell garda le reste de l'histoire pour elle. Tout au long de l'école primaire, elle reçut coups sur coups et fut obligée de cacher les marques physique et psychologiques qu'elle recevait.
La seule explication de cette cruauté, qu’elle réussit à tirer lorsqu’elle posera la question à son agresseur sera…
Léa écrit « je ne sais pas, je ne t’aime pas, c’est tout. »
Trop naïve, trop bonne et surtout trop conne… « une débile mentale, une attardée, une niaise, un être pas fini. » Voilà comment Nell décrira la petite fille qu’elle était… ou était-elle juste une idéaliste ? Un être qui croyait en la bonté, maintenant bafouée par quelques égoïstes et jaloux ?
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Humour Improbable & Relation en Suspens
9 Mai 2019
Timba écrit « J’ai lu ton blog, tu t’es fait insulter en restant calme »
Nell écrit « Il n’a pas été correct mais je ne perds pas mon sang froid pour un mec pateil »
Timba écrit « Je t’ai perdue XD »
Nell écrit « ??? »
Timba écrit « Un mec « pateil » n’en vaut pas le coude, MDR ! mais bravo pour la maitrise du sang froid en tous cas »
[…]
Nell écrit « Je vais au Carrefour »
Timba écrit « Carrefour Quétigny ou la Touffe d’or ? (Touffe = Toison) »
10 Mai
Timba écrit « J’ai un jeu de mot auquel je viens de penser, et comme Yvain parle avec Perceval pour la 1ère fois je vais te le faire subir. Tu es prête ? »
Nell écrit « Je t’écoute »
Timba écrit « Qu’est-ce qu’un Baklava ? «
Nell écrit « … »
Timba écrit « Le passé simple d’un bac lavé ou l’action qui vient avant le bac sécha »
Nell écrit « Pfff XD »
Timba écrit « Je t’avais prévenu que ça faisait mal aux dents »
Nell écrit « Tu m’explique cette expression stp MDR »
Timba écrit « Quand on dit que quelque chose fait mal aux dents c’est que ça fait atrocement souffrir un peu comme une rage de dent, mais genre toutes les dents »
Nell écrit « Oui mais pour la blague… je ne vois pas le contexte »
Timba écrit « La blague était pourrie »
6 Juin
Timba écrit « Hello belle nymphette aux formes généreuses, comment va et quoi de huit ? »
Nell écrit « Bin… je vais peut-être me mettre en couple »
Timba écrit « What ? »
Nell écrit « Mais l’idée me retourne le cerveau, je doute »
Timba écrit « Qui est l’heureux élu ? »
Nell écrit « Si tu lis mon blog tu sauras bientôt, pas le post d’aujourd’hui mais le prochain devrait être plus révélateur »
Timba écrit « Tu vas être en couple exclusif et tout ? »
Nell écrit « Rien n’est décidé et je ne sais même pas… même si je me suis déjà séparé d’une bonne partie de mes relations »
Timba écrit « Je perds toutes mes chances de fricoter avec toi alors… c’est une catastrophe ! »
Nell écrit « Le problème c’est que si je me casais, j’aurais surement envie de séduire d’autres personnes après un certain temps… je suis une éternelle insatisfaite »
Timba écrit « Je vois… bienvenue au club ! »
Nell écrit « Pourtant toi tu es casé »
Timba écrit « Je suis plus vieux… pour avoir une famille, une relation durable, construire quelque chose avec quelqu’un sur qui compter… on ne peut pas se gratter le dos seul »
Nell écrit « MDR c’est vrai, de mon côté je ne veux rien donc c’est plus compliqué. Même si le gars en question est le 1er à ne pas me voir comme un objet »
Timba écrit « Le 1er de ta vie ? Moi je ne te prends pas comme un objet, non ? »
Nell écrit « Toi c’est différent, je ne t’ai encore jamais rencontré et tout dépend de ce que l’on entend par objet »
Timba écrit « Explique »
Nell écrit « Me prendre pour une poupée gonflable, ou me procurer quelque chose juste pour que je te le rende après… »
Timba écrit « Ça t’a fait souffrir ? »
Nell écrit « On s’y fait… »
Timba écrit « Ça veut dire oui. Tu es humaine et tu peux te sentir blesser parfois hein 😊 »
Nell écrit « On va dire qu’à force d’être pris pour de la merde tu y crois… »
Timba écrit « Je ne crois pas que tu sois de la merde »
Nell écrit « Je suis trop orgueilleuse pour y croire en même temps, mais on se pose des questions au bout d’un moment »
Timba écrit « C’est peut-être que les mecs choisis étaient pas assez délicats ou trop Coujat 😉 »
Nell écrit « Je ne sais pas si tu te rappels de Tod »
Timba écrit « Il était là dès les débuts, n’est-ce pas ? »
Nell écrit « Oui, je suis resté un certain temps avec… et bien, il ne me forçait pas à coucher avec mais il me donnait envie de force : il arrivait à me donner envie même si de base je n’étais pas excitée… et une fois excité, tu connais la suite XD C’est presque plus vicieux que du viol je trouve, parce que finalement je ne pouvais même pas m’en plaindre »
Timba écrit « Comment il faisait ça ? »
Nell écrit « … Titiller des zones sensibles, en sachant que mon corps entier est un frisson ambulant, donc pas bien compliqué »
Timba écrit « Tu lui en veux pour ça ? tu lui as déjà dit non ? »
Nell écrit « Oui un peu, mais je ressens surtout de la honte de n’avoir jamais pu résister… d’ailleurs, je n’ai jamais eu le temps de dire non XD »
Timba écrit « Tu étais rapidement excitée alors ? »
Nell écrit « Si tu connaissais ma sensibilité… il me réveillais comme ça le fourbe »
Timba écrit « J’aimerais bien la découvrir ta sensibilité »
Nell écrit « C’est ultra cool mais aussi une malédiction XD On ne peut pas me toucher : un frôlement et ça me chatouille ou me donne des frissons »
Timba écrit « Ça m’intrigue, j’en suis même tout émoustillé »
[…]
Timba écrit « Là j’aimerais bien te voir en petite tenue ou habillée mais sans culotte »
Nell écrit « J’adore, tu arrives à te chauffer tout seul par messages XD »
Timba écrit « Oui tu n’as même pas besoin de le faire, mais si tu essais je ne suis pas contre 😉 »
Nell écrit « Oui mais c’est dommage… tu me tombe tout cuit dans l’assiette… »
Timba écrit « Je fais le préchauffage et toi tu feras le chauffage 😊 »
Nell écrit « Si tu me vole la meilleure partie ce n’est pas cool 😉 »
Timba écrit « Tu veux faire le préchauffage et le chauffage ? Gourmande »
Nell écrit « Juste Séduction addict 😉 »
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ADN : Au Début, Nell #2
Nell n'a pas beaucoup d'amis à l'école…
Rectification : elle n’en a aucun.
Toujours dans la lune, elle rêve en permanence de son avenir et se questionne sur son présent.
Pas ultra jolie, une fille dans la moyenne, pourtant gentille, qui s'intéresse à tout, toujours joyeuse et qui peut tout donner pour ses amis.
Nell utilise sa générosité en offrant une partie de son goûter pour se sociabiliser, elle a déjà enregistré le principe de l’échange équitable.
Malheureusement, les autres n’ont pas les mêmes principes et en profitent, ils ne restent pas bien longtemps avec elle juste assez pour lui manger son goûter, puis repartir.
Une seule fille reste : c’est la « pouilleuse » de l’école et Nell fini par se faire rejeter encore plus à cause de son lien avec.
« Dès la petite enfance, le regard des autres prend déjà de l’importance »
[…]
Nell organise chaque année son anniversaire : toute sa classe de primaire est invitée, même les personnes qu’elle n’apprécie pas. En effet, elle prend déjà en compte la possibilité que certains camarades puissent être vexés de ne pas avoir été invités et que cela mène à des disputes qui renverrai Nell à la solitude…
« Une empathie exacerbée pour autrui, un mécanisme de défense qui, malheureusement, arrive trop tôt par rapport à ses camarades. »
Une contrainte qu’elle donne à ses parents et à elle-même : les cartons d’invitations, les préparatifs des jeux, l’organisation de la table en fonction des affinités (on pourrait presque croire à des préparatifs de mariage, sans le tonton raciste et ivrogne évidemment !). Certains dérapages, certaines disputes, avec Nell essayant toujours d’arranger les choses pour que le moment reste agréable.
Nell ne voulant que le bonheur des autres se retrouvera seul en fin de journée, à ranger les jouets et affaires que ses camarades lui auront dérangés ou même cassés.
« Ne serait-ce pas le contraire normalement ? Le rôle des invités n’est-il pas de veiller au bien-être de celui qui fête son anniversaire ? »
Bientôt elle se retrouve dans des classes mélangées, elle en perd ses repères et pense être du même âge que ses petits camarades, qui ont en réalité un an de moins qu'elle.
Nell fait penser à une attardée avec un retard mentalement.
Une étourdie, qui préfère découvrir, apprendre de belles choses plutôt que de retenir son âge ou celui de ces camarades. Pour elle, on n’est pas à un an près.
Puis comme par magie, elle rencontre Max : c'est le coup de foudre. Peut-être est-ce trop tôt pour une enfant de son âge de tomber amoureuse, mais Nell s'en fiche, elle aime Max.
« Ou plutôt l’image de Max : qui est le plus beau garçon de sa classe et le plus populaire. »
C'est aussi cette année qu'elle rencontre Alan : il n'est pas repoussant mais presque.
Pourtant Nell se lie d'amitié avec Alan et ils deviennent meilleurs amis. Alan habite juste à côté de chez elle, elle profite donc de voir son amis le soir après l’école, les mercredis et les weekends.
Nell se fait aussi ses premières amies, trois filles de son âge : Léa la leader, Florine la conseillère et Alicia la suiveuse.
Cependant ses nouvelles amies ne font pas bon ménage avec Alan.
C'est alors qu'elles commencent à se moquer de Nell, de plus en plus fort, au fil des semaines.
Puis ce sont les premières insultes et les premiers coups : d'abord derrière la tête, dans le dos et la figure. Le harcèlement se poursuit.
Chaque soir, Nell rentre chez elle et se force à sourire devant ses parents. Pendant le repas, elle parle des filles qui « l'embêtent » dit-elle à ses parents, par orgueil et pour ne pas trop les inquiéter.
Sa mère lui dit que la violence ne résout rien, son père et son frère lui conseillent de leurs rendre coups pour coups.
Nell ne sait plus où elle en est. Elle décide donc d’encaisser, elle essayera d’abord de les raisonner, ce qui échouera. Nell se résignera et préférera profiter des moments en compagnie d’Alan.
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Réunion de Famille
Samedi 1er juin 2019
Klaus et sa famille m’invitent afin de fêter le départ en retraite de sa mère qui parait bien apprécier Nell, elle pense même que celle-ci est la petite amie de son fils et durant les présentations avec l’entièreté de la famille et des amies, Nell est présentée comme la copine officielle de Klaus.
Nell pense « Beaucoup, mais BEAUCOUP trop de monde ici… que faire ? je ne connais presque personne et je ne vais pas passer la journée collée aux baskets de Klaus… ça serait ridicule et j’aurais l’air d’une asociale… »
Nell à elle-même « Bon… maintenant que tu es insérée dans le groupe, observe, écoute et essais d’analyser les gens pour mieux t’en rapprocher »
Heureusement pour elle, la sœur de Klaus que Nell apprécie beaucoup vient lui parler plusieurs fois dans la journée.
Le repas se poursuit, le groupe de jeune auquel Nell s’est collé va et viens suivant les pauses cigarette de chacun, Nell non fumeuse se retrouve cloué sur place. L’ennui monte chez les invités, une animation proposée par Klaus pour sa mère ne se déroule pas comme prévu… il s’énerve pour arranger le fonctionnement mais rien à faire.
Nell pense « Que faire ? il se débat avec une chose sur laquelle je ne lui serais d’aucune aide ! je suis déjà aller lui faire des caresses pour le détendre et lui montrer mon soutient, mais ça ne sert à rien… et le voir comme ça me rend mal »
Les gens partent petit à petit et ne restent que les personnes qui semblent les plus proche.
L’ambiance monte grâce à Klaus qui ayant abandonné son projet, met en place un jeu de Beer Pong pour sa mère
Nell pense « Le beau-frère de Klaus est génial, finalement je suis heureuse d’être venue. En plus, le voir se faire battre au Beer Pong par sa belle-mère est le plus beau des spectacles XD »
Une bombonne d’hélium est sortie et chacun prends un ballon pour aspirer des bouffés de gaz, la soirée devient folle, le bière Pong mêlé à l’hélium donne un aspect surréaliste à la scène.
Mère de Klaus écrit « Alors les jeunes, vous venez voir le feu d’artifice avec nous ? »
Après le feu d’artifice, Klaus et Nell dormirent chez les parents du jeune homme.
Seul malaise : sa sœur et son neveu dormaient dans la même pièce qu’eux.
Klaus écrit « je suis déçu que l’on ne puisse pas être seul tous les deux… mais bon… les lits sont déjà tous préparés et je ne vais pas leur demander de tout bouger maintenant »
Nell écrit « Oui ne t’inquiète pas ! on aurait dû prévoir ça avant de toute façon … en revanche, je n’ai pas de pyjama et ce n’est pas avec ma robe que je vais pouvoir dormir… »
Klaus écrit « Attends je vais demander à ma mère où elle à rangée mes vieux t-shirts. Ça te fera une chemise de nuit XD »
Dimanche 2 Juin 2019
Le matin fut un moment malaisant : Nell ne portait que le vieux t-shirt de Klaus, sa sœur était encore dans la chambre. Nell qui aimait dormir nu, elle dut se retenir d’arracher se fichu bout de tissu tellement elle avait chaud !
La sœur réveillée par les pleurs de son enfant descendit avec et ne remonta plus dans la chambre, le danger était écarté mais Nell n’était pas sereine pour autant, alors interdiction de faire quoi que ce soit avec Klaus dans ce lit.
Les deux amants durent se lever lorsque la mère et la sœur de celui-ci rentr��rent pour recoucher le bébé.
Sœur écrit « Au fait Nell, tu as marmonné cette nuit et c’était très drôle ! »
Tous se mirent à table, le soleil était de plomb.
Une fois le repas terminer Nell se retrouva quelques instants avec le père de Klaus, qui visiblement avait abusé sur le vin.
Puis un silence… à vous rendre vierge une actrice de porno…
Père écrit « Tout se passe bien entre vous ? tu es heureuse ? »
Nell écrit « Eu… oui… oui tout va très bien, sinon je pense que je ne serai pas ici, ahaha ! »
Nell pense « jouer le rôle de « la petite amie » est épuisant… mais bon… »
Père écrit « tu sais, il est un peu spécial, mais ce n’est pas un mauvais garçon »
Nell écrit « Tout le monde est spécial à sa manière 😊, ça serait ennuyeux si on se ressemblaient tous »
Père écrit « Tu es une gentille fille, essais de le garder le plus longtemps possible »
Nell pense « … je ne pense pas qu’il comprenne un jour que ON EST PAS EN COUPLE ! »
Elle parlera de cet échange à Klaus, gêné lui-même par la gêne procurée à sa partenaire
Klaus écrit « j’ai été un peu déstabilisé et agréablement surpris de voir que durant le départ en retraite de ma mère, tu n’étais pas tout le temps avec moi, tu as un peu parlé avec les gens, tu t’es bien intégrée ! »
Nell écrit « je n’allais quand même pas rester collée à tes baskets, je serais passé pour une sauvage. J’avoue aussi que ta sœur m’a aidée à supporter ce bain de foule »
Klaus écrit « j’apprécie beaucoup ton effort, c’est très agréable, d’autres n’en aurait pas fait autant »
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Réflexion & Émotion
Mercredi 01 Mai 2019, avec Klaus
Nell à elle-même « Te souviens-tu de ces sorties à vélo ?
Nell « Oui évidemment, avec des pauses au parc accompagnées de pain et chocolat ou d’une belle glace »
Nell à elle-même « un moment de bonheur éphémère mais très appréciable qu’il faut savourer »
Nell « En effet, on n’est jamais à l’abri d’un dérapage dont on a l’habitude… »
Moment coquin : tout se passe bien jusqu’à ce qu’il éteigne la lumière
Nell pense « je lui avais dit que la prochaine fois que je lui ferai une fellation sans préservatif ce serai dans l’obscurité… il vient de me donner du plaisir, que faire ? moi qui suis le principe du libre échange… suis-je forcé par redevance ? »
Malaise de la part de Nell qui imagine être redevable, s’en suit une discussion avec Klaus qui vit le trouble de la jeune femme.
Klaus écrit « Si je te donne quelque chose comme du plaisir, ce n’est pas pour recevoir une contrepartie, simplement parce que j’ai plaisir à t’offrir ce même plaisir »
Nell a tellement honte que des larmes affleures ses joues, heureusement il ne le voie pas.
Nell pense « C’est le 1er à me considérer comme un être humain et pas comme une poupée gonflable et à se soucier de ce que je peux ressentir à chaque instant… n’est-il pas humain ? »
Elle se sent ensuite coupable d’avoir stopper un moment juste pour une crise existentielle, mais la chaleur remonte, le plaisir semble même plus intense
Klaus écrit « je t’aime »
Ces mots sortent de sa bouche dans un élan de plaisir mais tout de même contrôlé (il regarde sa maîtresse, droit dans les yeux)
Nell à elle-même « OMG… ferme les yeux vite, qu’il ne voit pas ton trouble ! et efface ce sourire niais de ta figure ! »
L’homme s’amuse à allumer et éteindre la lumière pour que Nell ne le voie pas avoir du plaisir, alors qu’elle adore voir son partenaire dans ces moments-là…
Il rallume et Nell ne peut s’empêcher de lui dire, en restante hésitante :
Nell écrit « tu es magnifique à voir comme ça »
A son tour de fermer les yeux et d’avoir un sourire gêné
Plus tard dans la soirée, les deux jeunes discutent de ce qu’il s’est passé et Nell a affreusement honte d’avoir comparé cet homme extraordinairement droit avec des bêtes de la pire espèce.
Klaus écrit « Au fait, j’ai raison de croire que ma relation avec mon autre Sexfriend te dérange ? »
Nell écrit « absolument pas, tu sais que tu peux fréquenter qui tu veux et que je n’ai rien à redire, en même temps c’est moi qui aie mise en place ces règles… »
Nell pense « Pu**** ! il est trop clairvoyant et je ne suis pas assez discrète peut-être… De mon côté, je ne parle pas de mes autres histoires pour ne pas installer de malaise, il dit être curieux mais je me doute qu’il y aurait un jour de la jalousie si j’en discutais trop avec lui »
Mardi 7 Mai
22h50 Nell part de chez Klaus
Klaus écrit « Tu as changé d’avis ? 😉 »
Nell écrit « Tu m’as frustré je te déteste… »
Klaus écrit « Mais je voulais que tu restes ! »
Nell écrit « Raaaah ! tu arrêtes tout de suite ! Et de toute façon c’est trop tard ! »
Klaus écrit « Mais en plus tu me dis que l’on ne va pas se voir pendant une semaine et demie, je fais comment sans tes câlins légendaires ? »
Nell écrit « Mais… »
Klaus écrit « Mais quoi ? je suis triste maintenant »
Nell écrit « Tu me fais du chantage affectif là ! »
Klaus écrit « Non, je te voulais juste à mes côtés c’est tout »
Nell écrit « Tu me fais vriller ! ça doit bien te faire rire de me voir me démener entre mes envies et mes devoirs XD »
Klaus écrit « Bon ok j’arrête vraiment, désolé, c’est vrai que je suis déçu, mais ce n’est pas grave »
Nell écrit « Oui bin imagine ma position dans cette situation… »
Klaus écrit « Oui je sais, ce n’est pas pour rien que j’ai essayé d’utiliser des arguments de tentations, ce qui est certes sadique sur les bords »
Nell écrit « Tu devrais quand même aller voir derrière ta boite aux lettres aux cas où XD »
Klaus écrit « LOL ! il n’y a personne »
Nell écrit « Comment tu peux savoir, tu n’as pas regardé, va vraiment voir »
Klaus écrit « Ne cherche pas à me faire lever pour rien »
Nell écrit « Dommage, comme tu veux »
Klaus écrit « Tu serais derrière la boite aux lettres, tu ne dirais pas ça »
Nell écrit « Si tu ne vas pas vraiment voir ça ne sert à rien… D’ailleurs, ton voisin se fait plaisir avec sa musique MDR »
Klaus écrit « J’ai ouvert la porte et il n’y a personne »
Nell écrit « Oui je sais, je t’ai vu »
En réalité Nell n’était pas derrière la boite aux lettres, mais tout près de sa porte dans un angle de mur, elle attendait qu’il sorte pour se mettre dans l’encadrement de sa porte afin de le surprendre
Il ressort, va à sa boite aux lettres, ce qui laisse le champ libre à Nell, Klaus se retourne et la voie
Klaus écrit « Petite menteuse va ! 😊 »
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