#il est bo
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Note
Pour le ao3 wrapped: 27 et/ou 29 ! :D
27. What do you listen to while writing?
ça dépend de ce que j'écris ! Si c'est du Star Wars, j'ai une playlist qui comprend une sélection des remix de la musique Star Wars par Samuel Kim ou la BO de la série Obi-Wan Kenobi. Sinon, je me partage entre Lofi Girl et le site My Noise, en fonction de de ce dont j'ai besoin comme ambiance/bruit de fond
29. Favorite line/passage you wrote this year?
Cette question est merveilleuse, parce que j'ai pu me rendre compte combien j'ai adoré ce que j'ai écrit cette année :D :D :D Mon égo est aux anges, merci pour lui. Je crois que je pourrais faire un Director's Commentary de tous mes fics.
Je vais faire une sélection douloureuse, mais j'en mets quand même plusieurs !!
D'abord Genshin !
Dans la partie 3 de De l'harmonie (De l'eurythmie), la scène où Kaveh et Alhaitham posent les fondations de leur nid, et ce petit bout tellement visuel dans ma tête : "
"Mais même Alhaitham eut un temps d’arrêt lorsque Kaveh se débarrassa de ses pantoufles et monta sur le tapis, faisant un petit tour satisfait sur lui-même, caressant la fibre des orteils. Il leva alors les yeux vers lui, brillants, et lui tendit la main.
— Viens voir comme il est doux !
Sans attendre de réponse, il lui saisit le poignet et le tira. Leurs glandes exocrines se touchèrent et leur arracha à tous les deux un gémissement vite étouffé. Mais Kaveh ne le lâcha pas et Alhaitham ne chercha pas à se dégager. La poitrine bloquée, il retira ses pantoufles à son tour et monta sur le tapis. La matière l’intéressait moins que la satisfaction de Kaveh, que ses doigts serrant les siens et son odeur qu’il mélangeait sans hésitation à la sienne."
(Et les blagues pourries de Cyno.)
*
Dans Et à la nuit s'épanouit, ce passage :
"— Qu’est-ce qui te fait croire que j’ai envie de partir ?
Il indiqua, comme si c’était une évidence, l’un des tableaux qu’il avait accrochés, le canapé qu’il avait fait retapisser, la bibliothèque où se trouvait sa table à dessin, et enfin la cuisine où bien trop de choses avaient été changées depuis son emménagement pour que ça vaille la peine de préciser quoi. Vue de l’extérieur, la crainte d’Alhaitham semblait effectivement ridicule. Mais encore une fois…
— Peut-être le fait que tu fasses ton budget pour savoir quand tu pourras déménager, répondit-il, irrité.
— Peut-être que j’attendais que tu me dises que je pouvais rester ! rétorqua Kaveh sur le même ton.
Alhaitham indiqua, comme si c’était une évidence, l’un des tableaux qu’il avait laissé Kaveh accrocher, le canapé qu’il l��avait laissé retapisser, la bibliothèque où il avait fait de la place pour sa table à dessin et, enfin, la cuisine où Kaveh avait changé bien trop de choses pour que ça vaille la peine de préciser quoi."
(Et toute la scène entre Alhaitham et Nahida !!! Je l'aime fort !)
*
Côté Star Wars :
Dans la série des De l'espoir, la scène où Luke touche le Côté Obscur dans Les braises :
"Mal à l’aise, Luke reprit la méditation. Ce fut plus difficile qu’il s’y attendait. L’immersion qui lui venait si naturellement d’habitude lui échappait, le monde paraissait assourdi. Sous ses pieds, le sable glissait, traître, un adversaire plutôt qu’un compagnon. Le troisième jour, l’irritation de Luke fut à son paroxysme. Les yeux fermés très fort, imaginant le désert autour de lui, il chercha à nouveau la sérénité, mais les dunes l’étouffaient, cachaient la vie, s’étendaient trop loin et l’empêchaient de toucher l’horizon, le privaient de la lumière des soleils levants.
Il serra les dents, il ne voulait, pouvait, pas retourner auprès de Ben sur un tel échec, alors que ses pieds trébuchaient, alors que le désert se dérobait à lui… Il ferma les paupières encore plus fort et se dit que ce serait bien plus facile si les dunes dans sa tête cessaient de l’étouffer… Dans un élan de colère, il s’imagina les faire disparaître. Une tempête de sable changeait leur forme, pourquoi ne pourrait-il pas faire de même ? Les aplatir, les disperser, s’en débarrasser ! Elles ne lui servaient à rien !
Ses dunes imaginaires s’effondrèrent. Le sable s’éparpilla d’un coup. Le silence se fit dans sa tête. Mais c’était un silence inquiétant, celui d’un lieu mort, où plus une créature ne vivait, toutes chassées de chez elles par une violence inimaginable, ou pire : tuées.
Luke eut froid.
Puis honte."
*
La toute fin de À l'aube de notre premier jour :
"Main dans la main, ils traversèrent le long couloir blanc du palais royal.
Anakin n’arrivait toujours pas à mettre Obi-Wan dans une case, ni de confiance, ni pas, ni parfois oui, ni parfois non. Indéfinissable.
Mais il était sans équivoque dans le camp d’Anakin, songea ce dernier avec une inébranlable certitude.
Et il le serait toujours."
*
Dans Et tout au bout, ta main tendue, les deux scènes où on voit Anakin lutter contre le Côté Obscur, et à choisir, celle-ci :
"C’est trop tard, tu ne peux plus te cacher, tu t’es toi-même démasqué. Dis-moi quand, enfin, dans ta tête, je n’ai plus été un padawan pour de vrai, dis-moi, dis-moi, dis-moi…
Et la réponse vint : sur un fond de chagrin dévastateur, celui d’Obi-Wan, l’image d’Anakin aux yeux dorés, le visage dur et l’aura glaciale. D’un coup, il se retourne et découpe Sidious, une fois, deux fois, et il tombe à genoux, haletant. Son cri de rage, de douleur, et la voix rauque avec laquelle il hurle en boucle :
— Il n’y a pas d’ignorance ! Il y a la connaissance ! Il n’y a pas de passion ! Il y a la sérénité ! Il n’y a pas de chaos ! Il y a l’harmonie ! Il n’y a pas de mort ! Il y a la Force ! Il n’y a pas d’ignorance, il y a la connaissance, il n’y a pas de passion, il y a la sérénité ilnyapasdechaos…
Encore et encore, jusqu’à ce que sa gorge douloureuse le force à murmurer, jusqu’à ce que le mantra l’ancre à nouveau dans la réalité de la Force, que la chaleur du Côté Clair brûle le Côté Obscur qui empoisonnait sa signature, qui embrouillait ses pensées, qui nourrissait le noyau de fureur permanente au fond de lui.
Enfin, il lève les yeux, bleus, immenses, magnifiques. Et sous ceux d’Obi-Wan ne se trouve plus son padawan succombant au Côté Obscur, mais un homme extraordinaire."
*
Dans Les Voies, il y en a tellement que j'aime que c'est une torture, mais disons, pour les Voies divergentes, la première scène de la fic en elle-même, encore une fois Anakin vs le Côté Obscur :
"Le combat s’écoula dans un brouillard givrant, il n’existait que le choc du bleu sur le rouge, que les grognements de son ennemi qui reculait, que la puissance froide de la Force dans ses veines, dans chaque cellule. Les Sith contrôlaient la Force ? Les Jedi la servaient ? Qu’avait-il besoin des Sith et des Jedi ? Il était la Force, il était son enfant, sa forme de chair, il était sa main et sa volonté !
Il abattit le traître. Le transperça de sa lame, l’ouvrit en deux. Puis il saisit cette vie pervertie avant qu’elle s’éteigne et s’offrit le plaisir de la détruire lui-même.
Il ne resterait rien de Sheev Palpatine, de Dark Sidious, pas même l’écho de sa conscience dans la Force.
— …Walker ! Skywalker !
Anakin se retourna et frappa, et sa lame en rencontra une autre, violette, inflexible. Mace Windu. Windu qui aurait dû être là, Obi-Wan aurait survécu s’il avait été là, mais non, il avait sûrement fallu encore discuter et palabrer, pour qu’il arrive aussi tard ! Qu’avait-il besoin des Sith et des Jedi ? Le mieux était peut-être de reprendre à zéro. Tous les éliminer et recommencer. Windu ne le laisserait pas faire, et le combat serait difficile, plus dur que contre le traître. Mais au bout du compte, ce n’était qu’un Jedi. Les Jedi étaient au service de la Force, à SON service, et Windu plierait."
Pour les Voies convergentes, honnêtement 90% du chapitre 1, mais extrayons ce passage :
"— Je vais méditer un peu avant de manger. Est-ce que tu veux m’accompagner… ?
Parfois Anakin était d’humeur, parfois non, et parfois il se joignait à lui en cours de route. Il hocha la tête, alors ils s’installèrent face à face sur le tapis de méditation. Anakin tendit les bras, paumes offertes, et Obi-Wan y pressa les siennes avant de fermer les yeux. Ils n’avaient pas toujours besoin de se toucher, mais ça aidait Anakin et lui n’allait certainement pas le lui refuser, même si ça lui rajoutait une touche de difficulté.
Le contact de leurs callosités, un peu décalées à cause de la différence de taille et de forme de leurs mains, la dureté de la prothèse d’Anakin sous la douceur du gant de nanosoie, la chaleur constante qu’il dégageait, le bruit de son souffle tout proche, tant d’éléments perturbateurs dont se détacher.
Mais Obi-Wan, donc, avait de l’entraînement."
(Et aussi Anakin et le Vaapad, tellement) (et ce bout-là dans le chapitre 8 :
"Avec ce manque de dignité typique qu’Anakin invoquait chez lui, Obi-Wan lui mordit l’épaule. Étant donné les mains empoignant ses fesses, ce geste ne put que dérailler la conversation et les pousser à s’unir de façon bien plus prosaïque et profane que dans la Force.
Mais tout aussi transcendante.")
*
Dans Le Cercle littéraire des défenseurs de la galaxie : Tous les résumés de Cœurs de Kyber XD XD et :
"— Alors oui, continua Obi-Wan, sans merci. J’ai regretté de t’avoir pris comme padawan, et de nombreuses fois.
Inexplicablement, après cette déclaration d’une violence insoutenable, il esquissa un petit sourire. Puis il tourna un peu la tête, regarda Anakin du coin de l’œil.
— Aussi souvent, j’imagine, que tu as regretté que je ne sois pas Qui-Gon Jinn.
Il ne retenait vraiment pas ses coups.
— Mais quelle importance ? continua-t-il, les mains dans ses manches, le regard perdu à l’horizon. Quelle importance, ce que nous pensions et ce que nous regrettions il y a toutes ces années, comparé à tout ce que nous avons vécu ensemble, à tout ce que nous avons partagé ? Quelle importance ce que nous étions à l’époque, comparé à ce que nous sommes aujourd’hui ? Aujourd’hui, je ne regrette rien. Je suis simplement heureux de te connaître, heureux que tu me sois cher et de t’être cher. Et reconnaissant à Maître Qui-Gon de m’avoir donné la chance de te rencontrer."
(Mais aussi la scène avec Rex. La scène avec Rex <3)
*
Dans De la Cosmographie :
"Obi-Wan en profita pour le détailler, un plaisir qu’il s’accordait rarement. En partie pour ne pas nourrir l’ego déjà bien établi de son compagnon, en partie parce qu’il s’en était empêché si longtemps. Les boucles châtain aux reflets dorés qui ornaient son front, les sourcils épais qui lui donnaient si facilement l’air ombrageux. Ses yeux clairs, invisibles à cet angle, mais qu’il imaginait si bien. Son profil parfait, avec ce nez par miracle encore droit, le trait marqué de sa mâchoire où Obi-Wan aimait tant passer la bouche le matin, quand sa peau était délicieusement râpeuse. Ses lèvres pleines, encadrées de sillons triangulaires qui se creusaient quand il souriait, et qui révélaient déjà quel serait le dessin de son visage vingt ans plus tard.
Obi-Wan espérait le voir, de tout son cœur.
Il serait magnifique, son Anakin, avec des rides au coin des yeux."
*
Dans Sous vos yeux, la scène où Obi-Wan dit à Anakin qu'il a failli quitter l'Ordre pour lui me fait bêtement rire :
"— La première fois, évidemment, à ton arrivée au temple…
— Évidemment ?
Il se redressa à son tour face à lui, semblant surpris.
— Je croyais que tu le savais. Si le Conseil avait refusé de faire de toi un Jedi, je t’aurais enseigné à te servir de la Force en dehors de l’Ordre. Maître Qui-Gon avait raison en disant qu’il fallait que tu sois formé.
À nouveau, Anakin dut complètement réarranger sa vision des choses.
— Tu ne m’aimais même pas, à l’époque, lâcha-t-il sans le vouloir. Et, ajouta-t-il, ne me sors pas que les Jedi aiment tout le monde, je connais la théorie . La réalité, c’est que si tu pouvais faire tomber discrètement le sénateur de Geminia de sa nacelle, tu le ferais.
— Il serait bien moins compliqué de le faire destituer, rétorqua Obi-Wan d’un ton terriblement raisonnable, mais un sourire frémissant au coin des lèvres. Néanmoins, les Géminians ont voté pour lui et il est de notre devoir de respecter la volonté du peuple, quelle que soient nos réserves.
Anakin avait une tout autre opinion, mais il avait appris à choisir ses batailles.
— Quoi qu’il en soit, tu étais un être vivant, digne de mon dévouement comme le serait tout autre.
— Mais tu m’aurais fait tomber de la tour du Temple si tu avais pu ?
— Tu avais neuf ans, rappela Obi-Wan sévèrement.
— OK, OK, murmura Anakin en mettant la main sur sa nuque avant de l’embrasser pour détourner son attention du fait qu’il ait jamais été un enfant.
Il remarquait quand même qu’Obi-Wan n’avait pas nié qu’il l’aurait bien balancé par la fenêtre, s’il n’avait pas eu seulement neuf ans."
Voilà, pardon, je me suis emballée xD
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saga: Soumission & Domination 332
Nouvel an 2015
Depuis deux jours, Samir et Ammed ne quittent pas la cuisine ; ils font les plats que nous consommerons pendant le " WE " qui arrive. Ce matin, sont arrivés les plats préparés de Julien (des terrines de poisson, de gibier, du saumon fumé maison et autres pains surprises) il nous laisse sa voiture frigo. Le pâtissier est passé livrer notre commande. La chambre froide est pleine à craquer mais dimanche soir ce ne sera plus le cas !
Depuis ce matin, les invités arrivent. Kevin est dans les premiers, Henri est invité au réveillon d'Emma et ils ont des affaires à voir avant. Il me remercie pour Sosthène et me demande si exceptionnellement je ne l'aurais pas invité. Il avait bien kiffé sa nuit avec lui. Je lui dis qu'il est invité comme tous mes autres escorts ce qui le surprend car il pensait encore que j'avais gardé bien séparés mes deux mondes. Je lui annonce la mauvaise nouvelle qu'il sera avec son mec, un canon de mécano ! Il me demande si je blague, que lui un lettré soit avec un manuel, très manuel, il n'en revient pas. Je lui dis que j'avais exagéré car c'est aussi le fils de mon concessionnaire Peugeot.
Ric arrive sur ses talons. Il m'annonce qu'Alban descend avec Bo-gosse et moitié. Mais ils ne seront pas là de bonne heure. Je lui passe les clés de la 300C pour qu'il l'a sorte et que ça fasse de la place pour les motos des invités. Je préfère ne pas les laisser dehors durant plusieurs jours. C'est moins grave pour les caisses (hormis nos deux Mercédès). Les aquitains arrivent en groupe les internes me disent qu'ils avaient dû échanger leur garde du 31 par 3 WE complets mais ils étaient sûr de ne pas le regretter. Les 3 " étalons " du club hippique suivent. Jules, lui, a préféré faire le voyage sur la selle d'un de mes deux Motards. Ils sont chauds bien que rafraichis par le climat hivernal.
A midi nous sommes déjà plus de 20. Pour ne pas entamer les préparations de Samir et Ammed, nous sortons en ville. Un " steak house " nous apporte notre content de protéines. Evidemment nous ne sommes pas à la même table mais quand certains veulent régler, je prends le tout sur ma carte. Nous trainons en peu en ville et squattons la quasi-totalité du bar où nous prenons notre café. A notre retour, nous trouvons quelques invités supplémentaires déjà dispersé entre les différents points de sport. Je fais le tour du blockhaus, les sacs et valises commencent à s'entasser dans les chambres. Bientôt il ne nous manque plus que nos commerçants, Julien, Daniel et les parisiens. Mes escorts qui apparaissent pour la première fois pour beaucoup de mes amis (sauf les plus proches qui les ont croisés à mon chevet lors de mon accident) font leur petit effet ! Kev est ravi de revoir Sosthène et je sais que ce n'est pas la présence de Justin qui va l'empêcher de conclure à nouveau avec lui. Ce dernier, Justin, se demande un peu quand même dans quel monde de fou il était tombé. En tant qu'hôte, je le prends en charge et lui explique un peu comment marche la maison et les êtres qui actuellement l'occupent. Il sait que Sosthène travaille pour moi et connait tous mes escorts puisqu'il est chargé depuis le départ de l'entretien de ma flotte de RCZ. Du coup, il est surpris des autres mecs qui sont là. Façon idiote (dixit lui), de généraliser à partir de l'échantillon de mes relations qu'il connaissait. Il me demande qui est le mec qui colle aux basques de son Sosthène. Je lui dis que c'est un ami et lui demande si Sosthène lui avait expliqué la fête du nouvel an chez moi. Le " en gros " qu'il me répond me fait penser que mon escort à du édulcorer !
Je lui explique que nous serons 80 en tout et que des hommes chauds/bouillants avec des hormones en surdosages. Tous homo ou bi, ça va rapidement déraper en partouze où tous et chacun vont papillonner de l'un à l'autre en fonction des affinités et envies du moment. Il me regarde un peu effrayé et me dit qu'il avait pensé que Sosthène blaguait quand il le lui avait dit.
Je le laisse réfléchir et attend qu'il me dise quelque chose. Comme il reste coi, je lui dis qu'il peut, s'il le désire, nous quitter mais que je crois bien que Sosthène avait envie de rester. Je glisse que d'après le peu que ce dernier m'avait confié, lui-même ne déparerai pas parmi mes autres amis. Il me confie qu'il n'a que peu d'expérience et que Sosthène n'est que son 3ème mec. Je ris et lui dis qu'il va vite combler son retard ce WE. Il continue ses confidences et me dit craindre pour sa virginité anale lui qui n'est qu'actif. Je l'assure qu'il ne la perdra que volontairement. Personne ne se fait forcer chez moi sauf dans des scénarii mutuellement consentis. De plus il sera toujours libre de partir quand il veut.
Comme je lui fais visiter les différents niveaux, il kiffe la serre où maintenant une salle de muscu entoure la piscine de 25m. Après avoir vu le second étage, il me demande pourquoi j'ai autant d'installations. Entre mes 25 escorts et la maison plus quelques amis qui passent de temps à autre, il faut bien tout ça pour ne pas refroidir entre 2 séries. Quand Sosthène lui en avait parlé, il n'avait pas imaginé que nous nous retrouvions quasiment tous ensemble pour le sport.
Les Parisiens arrivent enfin avec une glacière. Interrogation : réponse " caviar " ! Ils avaient eu Samir au téléphone et me disent que les blinis doivent nous attendre.
Nous sommes tous réunis au 4ème pour l'apéritif. Le champagne est à bonne température et tout le monde apprécie la cuvée Cristal 2002 de Roederer. Tous aussi nous dégustons le caviar de nos Parisiens. Je profite de ce moment-là pour distribuer mes petits cadeaux. Avec l'aide d'Ernesto, PH et Ludovic, nous donnons à chacun son petit paquet. Je me suis gardé la distribution de celui de Côme et Justin entre autre. Le premier parce que c'est mon " beau-frère " et le second parce qu'il est nouveau dans mon monde. J'ai bien fait parce que Justin veut refuser dans un premier temps. Il argumente qu'il n'est là que par Sosthène. Je lui dis que si Sosthène et lui sont ensemble, c'est qu'il a surement des qualités cachées, je laisse un blanc, enfin pour quelques minutes encore. Eclat de rire général. Côme est venu à ma demande et celle de Ludovic. Il n'est pas très chaud d'être entouré de gays en chaleur puisqu'il ne kiffe que Jona et François. Mais, entre mon désir qu'il soit avec nous, celui de Ludovic et les arguments de ses deux Pd préféré, il a accepté de venir.
A mon top tout le monde ouvre. Marc et Hervé, tenus dans l'ignorance, sont surpris en bien. Connaissant l'oiseau, il s'étaient attendu à quelque chose de plus voyant. Merci pour la confiance !!
Ils sont tous content. Même mes deux gendarmes. Les anneaux sont suffisamment discrets pour être portés en service et l'inscription suffisamment absconse pour ne pas révéler une homosexualité non affichée. Ils sont suffisamment précieux pour les pétasses Parisiennes (que j'adore au demeurant). Seul le choix de l'or rose en surprend certains mais une fois mis aux doigts, le ton reste discret. Alors qu'on lève nos flutes pour l'occasion, c'est Ludovic qui me donne à son tour un petit paquet. Comme je m'interroge, il me dit que c'est de la part des 79 participants à cette soirée du nouvel an. Je les traite d'imbéciles ce qui les fait rire une nouvelle fois. J'ouvre. Ils savent tous ce que c'est et ça m'énerve, j'aime bien être celui qui sait tout !! Je découvre une tête de tigre en diamants avec les bandes en saphirs noirs réalisé par Van Cleef & Arpel, en pendentif pour mon oreille. Elle reprend le dessin de la tête que j'ai utilisée pour mon piercing, l'ensemble est raccord. Pour une fois je reste muet. Ils ont beau être nombreux, ça quand même du leur coûter un max à chacun. Je les remercie tous pour ce geste. Franck me dit que son grand père a participé aussi. PH me rassure aussi pour ceux qui n'ont pas nos moyens, chacun y a été selon ses possibilités. Tous voulaient participer. Je remplace le diamant d'Emma par cette nouvelle " breloque ". Et c'est le signal de départ. Il n'est que 22h30 et à 22h35 tout le monde est à poil ! A part Samir et Ammed passant dans les différents étages pour nous signifier le passage à 2015, je n'ai pas vu grand-chose de la soirée. Je me souviens m'être fait baiser par les étalons du club hippique mais pas que. J'ai aussi enculé pas mal de mecs. Un des moments mémorables a été le dépucelage de Justin, à sa demande, pour connaitre ce que ressentait Sosthène. Après s'être fait bien préparé la rondelle par son petit copain, il était venu vers moi pour que je sois le premier à l'enculer. Je ne demande qu'une fois " pourquoi pas Sosthène ? ". Réponse : " avant lui c'est toi qui me faisait bander ". Ça le mérite d'être clair. Sosthène est d'accord donc je m'enfonce en lui. Ça faisait longtemps que je ne m'étais fait un puceau et c'est vraiment trop bon. Je prends mon temps pour bien apprécier et qu'il prenne son pied lui aussi. Tout pendant que je l'encule, Sosthène lui tient la tête et alterne encouragements et roulage de pelle. Justin est courageux et tient à faire plaisir à Sosthène. Passés les trois/quatre premiers va et vient, il se détend brusquement et commence à apprécier ma présence. Il a un dos bien large et j'ai de quoi m'accrocher à ses épaules. Son petit cul commence à bien réagir à l'envahissement de sa pastille centrale il en vient à reculer tout seul sur ma bite quand je mets un peu trop de temps à le réenfiler. Il avoue à Sosthène que c'est finalement très bon de se faire enculer aussi. J'entends ce dernier lui répondre qu'avec lui, il aurait eu beaucoup de mal à se retenir. Il avait préféré que ça se passe mal avec moi ! Je le remercie en riant. Il s'excuse que ce n'était pas ce qu'il avait voulu dire. Je me retire avant d'avoir jouit et lui passe le relais. Maintenant que le chemin est fait, il pouvait y aller. Alors que Sosthène s'enfonce délicatement, sa bite est quand même la taille au-dessus de la mienne, Justin m'appelle. J'approche ma tête de la sienne. Il m'attrape par le cou et me roule une pelle avec un grand merci de les avoir aidés.
Un autre moment de pur plaisir : me faire prendre en sandwich, ma queue dans le petit Théo (le frère d'Ed) gentiment prêté par Tic et Tac qui vient de fêter ses 18ans et le cul défoncé par les 24x5.5 de Bo-gosse. La première fois de la soirée où je me suis laissé aller à jouir totalement. Son gros gland et sa façon particulière de donner une petite rotation à sa queue lors des pénétrations sont diablement efficaces ! Ça plus la rondelle de Théo qui pulsait autour de ma propre bite m'a fait craquer.
J'ai fait une pause après cela. J'avais un peu faim. Je m'aperçois que je ne suis pas le seul. Un bon tiers des participants est autour du buffet à se raconter les premiers plans. Ric me dit que mes deux Lads avaient fait merveille pour satisfaire son appétit. Mes deux motards de la gendarmerie nous rejoignent. Ils m'encadrent et je me retrouve avec un bras de chaque autour de mon cou. Ils sont ravis de leur 31. Ils trouvent ça encore plus démentiel qu'à leur dernier passage. Je leur dis que j'espère qu'ils n'avaient pas fait de folie pour leur participation à ça (en secouant la tête pour faire briller les diamants et saphirs noirs de mon oreille). En rigolant le plus balaise me dit qu'ils avaient rackettés quelques grands excès de vitesses en liquide (Joke bien sûr). Ils me disent que j'ai une équipe d'escorts qui tient la route. Ils se sont fait en parallèle mes deux vietnamiens. C'était leurs premiers et ils avaient kiffé leur douceur même au milieu de l'ambiance hyper chaude (pour rester corrects) qui régnait dans la serre. Ils rappellent à ceux qui sont autour de moi la surprise qu'ils avaient eu à nous contrôler sur l'autoroute, entre nos physiques moulés dans nos combis en cuir qui auraient fait bander un eunuque et l'arrivée d'Ernesto dans la Mercédès. Ils s'étaient demandé un moment sur quel monde ils étaient tombés.
Marc qui nous rejoint à la fin de leur récit, nous dit que c'est pas étonnant. Ce n'était pas la première fois que j'allumais la maréchaussée ! Et, à son tour, il raconte les deux fois où je suis passé à la " casserole " pour éviter le retrait de permis (cf. épisodes D-mot6 et D-mot7). Autour de nous ceux qui ne savaient pas me traitent de véritable obsédé. Je me défends que je n'avais pas eu le choix. Je venais d'avoir mon permis et à 18ans sur une X11 débridée, c'était le retrait de permis définitif au bas mot pour m'être fait contrôler à 210 !
Petit à petit on se retrouve tous au 4ème à reprendre des forces. Ça discute dans tous les coins. Mes escorts sont interrogés sur leur cursus...d'études pas de performances sexuelles !! Bande d'obsédés ! Alban tient dans ses bras Ric. Comme ils sont contre le bar/séparation de la cuisine, les quelques qui avaient encore des doutes quant au modèle qui lui avait servi pour les cariatides, sont confortés dans leur idée. Pour rire, il prend la pose et là c'est une évidence.
Il est 2h30, nous fêtons enfin le passage de l'année quand Xavier nous rejoint. Il ne pouvait pas abandonner sa femme un tel soir mais avait négocié pour pouvoir nous rejoindre au retour de la fête qu'ils avaient fait avec des amis. Depuis que j'ai "arrangé " leur petit problème de couple (elle n'arrivait pas à se faire pénétrer par les 26x6.5 de son mari), elle est très compréhensive et comme c'est chez moi, elle accepte qu'il vienne se défouler. Il ne reste pas habillé très longtemps. Les quelques escorts (c'est le seul client que j'invite à mes touzes) qui le connaissent le mettent à poil. Et ses 26cm déployés font envie à plus d'un. C'est d'ailleurs ce qui la relance !
Moitié (le mec de Bo-gosse) se jette le premier dessus. Habitué aux 24cm de son mec et un peu entrainé par les queues qu'il s'était mangé depuis le début de la soirée, nous l'avons vu se les prendre en entier, menton sur les couilles et nez contre le pubis. Les participants se trouvent à nouveau, ils s'écartent par 2, 3 ou même 4 et s'égaillent entre la terrasse, et les autres niveaux. Je monte avec Alban et Ric. Le sculpteur voulait voir le vieillissement de son " baiser ". La patine est brillante à certains endroits, ceux qui attirent le plus les caresses. Dans quelques années, la patine noire sera usée laissant paraitre le doré du bronze. Des gémissements nous attire de l'autre côté. Les mains accrochées aux hanches d'un des protagonistes de l'oeuvre, les jambes écartées, nous trouvons louis, le petit mec de Franck, en train de se faire littéralement défoncer par le Lad motard et ses 24x7. Les yeux fermé, il savoure le moment. Je lui caresse la tête, il ouvre les yeux. Je lui demande si Franck sait qu'il se fait emmancher par un tel engin. Il me sourit déjà bien parti entre le poppers et la saillie qu'il subit. Il me répond de descendre, je le trouverais sûrement en train d'enculer un de mes escorts et probablement Max (le petit mec à qui je donne des cours de français) ou Kamal.
Je descends au 3ème. Je vérifie que notre chambre est bien fermée et parcours avec Alban et Ric les autres chambres. Ça baise partout ! Au second chaque banc de muscu supporte un mec en train de se faire sodomiser. Ric nous abandonne et je pousse vers le fond. Sous les douches 4 mecs se font du bien et pas en se savonnant ! Dans la piscine les deux mecs qui y sont se roulent des pelles. Je leur rappelle que je ne veux pas de sperme dans l'eau. Ils secouent la tête pour me signifier qu'ils ont entendu mais ne se décollent pas pour autant. Au premier mon bureau sert aussi de support à un couple qui fait l'amour. Je descends directement au sous-sol. Le donjon est plein, au moins 15 mecs y baisent. Jimmy se faite enculer par la bite d'un des gendarmes accolée à un gode de bonne dimension. Arnaud se fait préparer par Léopold en vue d'une profonde saillie. Je le vois faire plusieurs allers et retours de la douche où il se plante un embout à lavement dans le cul et les WC à côté.
Dans le Jardin qui n'est plus que la moitié de lui-même depuis l'implantation de la seconde salle de sport, je vois Anthony faire des longueurs. Je l'arrête et il me dit se détendre un peu avant de retourner dans l'arène. Dans les palmiers, Viktor et Nicolaï en 69 se font ramoner par Marc et Pablo.
Plus loin je tombe sur Ludovic et Côme en recherche de partenaire, enfin en ce qui concerne Ludovic. Côme, lui, s'est contenté jusque-là de faire l'amour à ses deux amis Jona et François. Je les prends par les bras et m'enfonce entre les arbres. Contre le mur du fond, la luminosité est faible. J'attire leurs têtes vers la mienne et je leur roule des pelles alternativement pour commencer puis tous les trois ensembles. Dans l'euphorie du moment, ils ne se reculent pas et leurs langues se trouvent et se touchent pour se battent avec la mienne. Mes mains caressent leurs deux corps musclés, je sens les leurs sur moi. Nos bites raidissent et nous les écrasons contre les hanches des autres. Côme est très excité. Ludovic me semble bien chaud lui aussi. De fil en aiguille, je me retrouve en train d'enculer mon Ludovic tout en me faisant moi-même sauter par son grand frère. J'adore ! A l'occasion d'un changement de position, je provoque la sodomie de Ludovic par son frère. Au départ je suis sûr que chacun pense que son frère s'est éclipsé et qu'ils font l'amour avec moi. Je les regarde. Ils sont superbes ! A part la barbe de 3 jours et ses épaules plus larges, on pourrait croire à des jumeaux. C'est d'ailleurs c'est elle (la barbe) qui trahi l'accouplement. Quand Ludovic sent les poils raides piquer son cou, il comprend que ce n'est pas moi qui lui lime le cul mais son frère. Avant qu'il ne le repousse, je prends sa tête entre mes mains, lui roule une pelle et lui dit de laisser faire et de prendre son pied. Je me redresse et fait de même avec Côme. Comme je suis en roulage de pelle avec lui, je sens mon Ludovic pomper ma bite qui, tout naturellement, était venue de placer devant sa bouche.
Alors qu'on reprend nos souffles Côme et moi, ce dernier, sans pour autant cesser d'enculer son frère, me traite de salaud. Je me recule et leur demande à tous les deux s'ils n'étaient pas en train de prendre un pied géant. Pour preuve Côme ne cessait de pilonner son frère et celui-ci, tout bandant, ne se sauvait pas à toutes jambes mais était plutôt enclin à reculer sur la bite qui le défonçait.
Ludovic se retourne sur le dos pour voir la tête de son frère en train de jouir de son corps. Je suis ravi quand Côme se penche et qu'ils se roulent un patin tout sauf fraternel ! Je rentre alors dans le jeu. Je me colle au dos de Côme et lui met mes 20cm. Ludovic m'aide en ouvrant les fesses de son frère avec ses mains. Nous nous éclatons dans cet échange à en partie incestueux. Côme est le premier à partir. Il accentue en violence ses coups de rein et s'immobilise, son gland au plus loin dans son frère, qui pulse au rythme de ses éjaculations. Il m'entraine avec lui. Ma bite a toujours du mal à résister aux compressions spasmodiques d'une jouissance extrême et je rempli ma kpote. Ludovic est le dernier à juter et se répand entres leurs abdos collés. Break, on se décolle et, avant que les deux frères se séparent et se retrouvent sur le dos côte à côte, je les entends se dire qu'ils s'aiment ! Avant que le sperme soit trop froid, je lèche leurs abdos. Et nous nous roulons de nouveau une méga pelle. C'est Côme qui me dira merci le premier pour ce plan qui a dégénéré. Ludovic me demande si cela ne me gêne pas qu'il aime son frère aussi. Je leur souris et leur dis qu'il n'était pas question pour moi de le séparer de ses frères ni même de ses parents. Et ce n'est pas moi qui vais avoir du mal à comprendre qu'on puisse aimer plus d'une personne !!
Nous nous endormons dans notre coin, isolé de la furie ambiante.
Jardinier
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La ministre néerlandaise de la Santé : la pandémie de Covid était une opération militaire de l’OTAN
Iustina Filimon
📍Un membre du gouvernement néerlandais a admis que la pandémie de Covid était une « opération militaire », révélant que pendant la pandémie, son pays recevait les ordres de l'Alliance de l'Atlantique Nord.
La ministre néerlandaise de la Santé, Fleur Agema, a révélé que « l'opération militaire » était dirigée par l'OTAN et le coordinateur néerlandais pour la sécurité et la lutte contre le terrorisme (NCTV).
📍 english.nctv.nl
NCTV est l'agence de sécurité nationale des Pays-Bas.
Dans un discours prononcé au parlement néerlandais et cité par SlayNews, Agema a admis que la politique pandémique des Pays-Bas est menée "sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense" . Elle a souligné que le gouvernement néerlandais a répondu à la pandémie conformément aux « obligations de l'OTAN ».
📍 slaynews.com/news/dutch-gov…
Ainsi, l'Agema a confirmé que la politique de lutte contre la pandémie était un « coup d'État » exécuté par NCTV.
La célèbre médecin néerlandaise Els van Veen a déclaré qu'elle comprenait enfin ce qui lui était arrivé - ainsi qu'à d'autres médecins éminents - pendant la crise de Covid. Dans un article sur X , van Veen dit : « C'était une opération militaire. Le ministère de la Santé obéit à l'OTAN et à NCTV" .
L'intervention de la ministre Fleur Agema, jeudi 24 octobre, était une première : elle est la première ministre de la Santé de toute l'histoire du Parlement à expliquer son action en mettant en cause "les obligations de l'OTAN". Et il ne l'a pas fait une seule fois, mais six fois, comme l'a souligné le député Pepijn van Houwelingen (FVD).
Une vidéo de trois minutes dans laquelle l'Agema déclare devant le Parlement que la préparation à une pandémie est liée aux obligations du traité (OTAN) et que l'agence de sécurité NCTV est à la tête de l'ensemble de l'action est devenue virale sur la plateforme X. Van Houwelingen a promis de réagir immédiatement aux questions posées par les parlementaires.
L'Agema a fait ces révélations lors d'un débat sur la "résilience". Elle a déclaré que les Pays-Bas doivent se préparer à tout type de catastrophe, comme « les menaces hybrides, les menaces militaires, les catastrophes naturelles ou une nouvelle pandémie » . Un « renforcement substantiel » de la résilience du pays est nécessaire , a-t-elle déclaré, ajoutant :
"Sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense, nous présenterons au printemps un plan d'action."
Agema a expliqué que peu de temps après avoir pris ses fonctions de ministre, elle a été informée de la résilience et des obligations envers l'OTAN :
"Depuis ce briefing, nous travaillons avec des collègues du ministère pour déterminer ce dont nous avons besoin pour remplir nos obligations envers l'OTAN. Nous faisons tout cela sous la direction de NCTV. Plusieurs ministères y participent. J’ai demandé s’il y avait un chevauchement entre la préparation à une pandémie et la résilience et on m’a répondu que oui. »
Elle a ajouté :
"Nous voulons disposer des mêmes outils que ceux dont nous aurions du avoir pendant la crise du Corona."
La vidéo entière peut être vue ici :
x.com/veen_els/statu…
Dans un article sur X, le chercheur Cees van den Bos, qui utilise des ressources obtenues dans le cadre de la loi néerlandaise sur la liberté d'information (Woo), a répondu à ces révélations, affirmant que la pandémie était un "coup d'État" .
Il a qualifié NCTV de marionnette de l’OTAN.
« Ce pays ne sera pas libre à moins que NCTV ne soit complètement aboli et que ce genre de gouvernement fantôme ne soit plus jamais autorisé à exister.
"C'est le plus grand obstacle à la démocratie."
Van den Bos a ajouté qu'il n'y a aucun contrôle sur NCTV :
"NCTV a carte blanche comme on l'a également vu pendant la crise corona". 🔽
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Yo!
Pas de soucis, tu peux râler sans problèmes ici!
L'artbook sort le 18 - vendredi prochain! Et normalement, si Amazon ne me fait pas défaut, je pourrais l'avoir entre lundi et mercredi.
Il y avait une version collector avec une image plus détaillée (avec tous les personnages!) aussi disponible, mais comme elle n'est pas à la vente sur Amazon, ben... je l'ai pas prise lol
Ah ça reddit... Je pense que ça dépend des sous et je ne veux pas trop catégoriser les utilisateurs, puisqu'au final je pense que chaque "sous" a un public dédié, mais parfois c'est vraiment le 18-25 de JVC, avec encore plus de personnes lamentables
(je crois qu'un type m'a dit que je ne devais pas être considéré comme un être humain parce que j'avais osé suggérer que rendre les tests de paternité systématiques à chaque naissance c'était une dépense inutile pour la sécu juste faite pour flatter l'ego de certains messieurs qui n'ont pas envie de passer par la case judiciaire s'ils ont vraiment un doute sur "leur" bébé. J'ai bien rigolé hahaha.)
Et c'est marrant parce que pour Unicorn Overlord, il y a tellement de personnes, en tous cas de le fandom Fire Emblem, qui ont chié sur le dernier opus de la série (Engage) en utilisant des arguments foireux comme du "évidemment l'avatar est aimé de tout le monde les persos n'ont pas de profondeur et sont obligés de l'adorer" en se gargarisant sur UO - alors que ce n'est pas le même de jeu/genre de jeu/type, mais ils voulaient juste faire une comparaison foireuse - et au final, je suppose qu'on retrouve ces mêmes personnes faire du "self insert" avec Alain, et des tiers lists de waifu, mais attention, si tu leur dis que leur intérêt du jeu est simplement basé sur les éléments empruntés aux "dating sims", ils vont s'offusquer et râler :)
Les commentaires c'est vraiment du... enfin, tu en as fais la douloureuse expérience, mais je pense que ce qui m'a le plus emmerdé c'est les posts/commentaires essayant d'expliquer pourquoi Rosalinde est trop bien, et en gros, on reprend les vieux clichés de "ouah une elfe chocolat c'est génial je l'ai waifu-é direct!" enfin, merde quoi, il n'y a que moi que ça choque ces qualificatifs des années 50s ou c'est encore une autre bizarrerie culturelle outre-atlantique (je ne sais pas quelle est la nationalité majoritaires des personnes qui postent dans ce sous, mais si c'est la même chose que pour les sous de Fire Emblem, l'Oncle Sam est majoritaire!) qui fait que ce genre de "désignation" est mieux acceptée qu'ici...
Je pense qu'on se rejoint là-dessus, le côté harem/dating sim des jeux de stratégie est franchement chiant, surtout quand il prend le pas sur l'écriture et la caractérisation des personnages - au moins dans UO ce n'est pas systématique, Ummels (et Raenys? Ou je les confonds?) même si elle reçoit l'anneau, retourne auprès de Scarlett. Pareil pour Berengeria, mais quand ça existe je trouve ça franchement moche, shipping googles ou pas, on ne m'enlèvera pas l'idée que le couple entre Alain et Virginia est typiquement écrit, fait et pensé juste parce qu'il faut qu'Alain puisse se mettre en couple/donner son anneau à tout le monde! - mais alors quand en plus le fandom (surtout redshit) ne se focalise que sur l'aspect harem pour ensuite s'autocongratuler sur le "oui mais j'aime ce jeu tu vois il est tactique et il y a de bons persos" alors que justement, il ne discute que très peu des persos, c'est franchement bof.
Je ne sais pas si tu as tenté de lire des fics, mais il y en a pas mal en mode "Alain et son harem" alors que bon, je pense qu'il y a matière à faire autre chose, même si au final les gens écrivent ce qu'ils veulent et si je ne suis pas contente, ben j'ai qu'à écrire lol.
A vrai dire, c'est mon premier jeu Vanillaware et c'est vrai que le design "boing boing" m'a vraiment rebutée au début - je me suis mise à y penser de façon ridicule et ça m'a permis de tenir, mais enfin c'est vrai qu'en tant que joueuse, je sais que ce genre de choses n'est pas pour moi et je me demande bien pourquoi VW a besoin de faire appel à ce genre d'artifices alors que leur design/sprite art est franchement très beau et très détaillé.
Est-ce que c'est fait pour attirer les afficionados de la main droite? J'en sais rien, mais c'est vrai que ça m'attriste un peu, parce que pour pouvoir jouer à ce jeu, ben il faut quand même avaler certaines couleuvres qui ont de plus en plus de mal à passer.
C'est aussi pour ça que j'ai pris l'artbook puisque apparemment, il y aura aussi des designs et illustrations des personnages dans leur, selon Google Trad "private clothes", et j'ose espérer qu'on ne parle pas de slips, mais de vêtements de la vie "civile" et non les armures qu'on voit lorsqu'on utilise les unités - comme l'illustration de couverture (Railanor a des vêtements! Morard porte une tunique assez large pour ne plus se balader torse nu! Melisandre porte une robe longue!) - comme petit lot de consolation en mode, s'il faut mettre des fesses et des seins qui rebondissent pour titiller les joueurs, au moins les développeurs ont envisagé que ces personnages peuvent mettre des vêtements dans la vie "civile" qui n'est, certes, pas celle du jeu, mais enfin, que - je sais que j'en parle beaucoup mais c'est la seule perso féminin dans sa classe - Railanor est peut être pensée comme étant quelque chose d'autre qu'une paire de seins.
Après je ne me leurre pas, ces designs (jambes à l'air!) attirent un certain public et vendent, à tel point que maintenant, c'est devenu mainstream.
Je jouais jusqu'à peu à Fire Emblem Heroes, et franchement même les lancières elfes sont plus "modestes" que certaines unités qui sortent de ce jeu, donc je pense que j'y suis, malheureusement, habituée.
Pour le fanservice, je suppose que pour les personnes attirées par les hommes il y Alain qui se balade sans manches - le kink aisselles n'est pas mon truc mais à ce qu'il parait ça attire certaines personnes? - et les mercenaires/landskenecht (Magellan et Jeremy quoi) qui ont des gros bras avec des gros muscles pour ceux/celles que ça intéresse, mais on est absolument pas au niveau de Scarlett qui a des jiggle physics digne du flan de mes 5 ans, de Berengeria qui ne met pas de culotte et le fait savoir (même dans la couverture de l'artbook il y a un plan sur ses fesses enfin merde quoi :() et les bottes à talons cuirassées de Virginia/Ilénia.
Si je peux faire une comparaison, c'est un peu comme aller dans un restaurant connu pour ses hamburgers, en commander un et juste manger des frites - sûr elles sont bonne, mais enfin, la pub et le restaurant, à la base, c'est pour les burgers.
Donc même si je trouve le "sprite work" très beau et les designs de paysage ou, en général, les éléments en 2D supers, ben à la fin, ce ne sont que des frites puisque l'élément d'appel principal du produit, ben ça reste Yahna et qui se déhanche ou Scarlett qui rebondit à chaque action.
Et c'est super chiant, parce que Miriam/Monica, Chloé, les prêtresses, Hilda et Frau ont montré qu'ils peuvent faire des designs sans utiliser leur main droite, et ça reste quelque chose de très réussi, mais à côté de ça on a encore les lancières elfes, le speedo des jumelles elfiques, Dyna qui ne porte, ben, pas grand chose, Yunifee qui flashe son derrière, Berengeriat et "l'armure string" ou encore la robe avec "fente sur le côté" de Virginia/Ilénia qui ne sert, à mon sens, qu'�� se poser la question "culotte ou pas culotte". Et quand tu compares ça au design des unités masculines, surtout pour les lanciers elfes c'est...
Enfin bref.
Est-ce que c'est l'aspect dating sim qui a poussé les développeurs à faire de tels designs, ou est-ce que, justement, ce sont les designs qui ont poussé à intégrer un aspect "dating sim", j'en sais rien, mais au final, je reste persuadée que ces questions de fanservice/design de personnages sont avant tout liées au public qui est visé par le jeu en question - même si je pense qu'en 2024, il est possible de développer un jeu de stratégie qui pourra être acheté par des jeunes gens (ou moins jeunes!) avec un spritework aussi détaillé que UO, sans absolument développer ce jeu à l'attention d'hommes en mal de galipettes.
#anon#replies#tout ceux qui disent ouin ouin l'aspect dating sim et les avatars ont ruiné fire emblem#et qui derrière voient Alain comme une extension d'eux mêmes et essaient de faire de la waifu war#en mode 'oui mais c'est pas de l'inceste parce qu'Alain est le cousin de Virginia mais pas moi!'#gros on ne parles pas de toi enfin je crois?#ces tierlists sont vraiment compliquées lol#Fais ta fanfic avec ton personnage en tant que self insert ou dessine ton avatar mais pas dans une discussion sur les persons#même si ce genre de discussion n'amène pas la conversation sur des terrains plus propices à autre chose que#'elle est joli elle a des gros lolos' 'oui mais elle elle est badass et a de belles fesses'#pour les memes et fanworks en général je me garde de faire des critiques parce qu'au final#les gens écrivent/dessinent/postent d'abord pour eux et ils font ce qu'ils veulent#mais c'est vrai que sur le reddit en tous cas essayer le sous n'est pas là pour discuter du concept de chevalerie différent#entre Clive et Jérôme#ou le développement qui a fini sur les rotules et a sabré la partie Albion en mode#après avoir joué à Drakengard avec Virginia et Gilbert on essaie de nous vendre Scarlett qui pensait très fort à ses amies et à son père#mais qui n'a jamais pipé un mot ou s'est demandé qu'est ce qu'il se passait à Albion? Sur elle a sa mission mais enfin merde#Sans compter le scénario qui se marche sur les pieds pour forcer Nigel et Sanation à combattre#mais tkt si tu veux discuter sur UO que ce soit d'un point de vue doyliste sur le développement et les designs#ou sur le jeu/scénar en mode watsonien tu peux le faire ici!#unicorn overlord stuff
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Questions abouth the author
Merci de m'avoir taguée @ladyniniane, même si c'était parfois un peu compliqué de répondre à certaines questions ^^
About me
When did you start writing?
J'ai commencé à écrire vers mes neuf-dix ans, après avoir passé mon enfance à écouter puis par la suite raconter des histoires avec mon frère.
Are there genres/themes you enjoy reading different to the ones you write?
J'aime beaucoup la poésie, et j'ai énormément lu étant plus jeune. Mon parcours scolaire m'a également fait découvrir beaucoup de genres et de thèmes différents, et si certaines œuvres ne m'ont clairement pas plue à l'époque (La Bête Humaine de Zola notamment ou encore les Mémoires de De Gaule), d'autres m'ont touchée et fascinée (Les Liaisons Dangereuses de Laclos ou encore L'Odyssée d'Homère).
Mes genres préférés restent la fantasy, le fantastique et les œuvres mythologiques. J'aime beaucoup les univers développés par la science-fiction également, mais je n'en lis quasiment pas, ce qui fait que lorsque j'écris dans l'espace, la magie reste présente.
Is there an author you want to emulate, or one to whom you're often compared?
Je ne cherche pas réellement à reproduire le style d'un auteur, mais je sais que je suis fortement influencée par Jacques Prévert. Une amie m'a déjà comparé à des groupes de musiques tels que Artics Monkeys.
Can you tell me a little about your writing space?
Comme pour le dessin, j'écris généralement à une table (sur ordinateur ou papier) ou dans mon lit.
What’s your most effective way to muster up some muse?
Laisser mon cerveau joyeusement divaguer en écoutant de la musique atmosphérique (en ce moment la BO d'Elden Ring aide beaucoup curieusement, particulièrement celle de Leyndell.)
Did the place(s) you grew up in influence the people and places you write about?
Oh que oui ! La présence de l'eau est assez importante dans mes écrits, et ça n'étonnera pas grand monde de savoir que j'ai grandi et que je vis en Bretagne. Les légendes de chez moi m'ont également beaucoup marquées, et je ne peux pas m'empêcher de faire des références en écrivant des personnages ou des lieux.
Are there any recurring themes of your writing, and if so, do they surprise you at all?
Beaucoup de mes histoires, et ce dès mon plus jeune âge, tournent autour de trois thèmes récurents : le deuil, l'absence, et la puissance de l'amour, qu'il soit platonique ou non, dans ses bons et ses mauvais côtés. Ce qui ne m'étonne pas beaucoup, au vu de mon passé, et des œuvres qui m'ont influencée.
My Characters
Would you please tell me about your current favourite character?
... Monsieur le juge c'est pas une question facile ça... On va dire Islin, vu que c'est l'un de mes personnages qui me suis depuis bien... Dix ans ? Je crois ? Ma dou que le temps passe vite.
J'ai déjà parlé de lui il y a longtemps, un aveugle ayant une soeur jumelle, Aria, et qui a vécu une enfance difficile (avec entre autre kidnapping, abandon et brimades et harcèlement dans le village ou il habitait au début de l'histoire que j'ai commencé avec une amie). Vu qu'il a -enter autre- le pouvoir de visiter des timelines différentes, ça me permet d'approfondir son caractère, de voir ce qui aurait pu se passer si... Résultat, c'est passé du "ressemble à un bébou, est un bébou" à "ressemble à un bébou, mais pourrais te tuer sans la moindre hésitation si tu fais du mal à ceux qu'il aime"
Which of your characters do you think you’d be friends with in real life?
Sans doute la plupart ? À part ceux que j'ai écris pour être des ordures, j'ai du mal à ne pas me sentir attachée envers mes personnages. Après, qui sait, je pense que certains aimeraient me coller des baffes vu tout ce que je leur fait subir ^^
Which of your characters would you dislike most if you met them?
Euuuuuuuuh... Plus que détester, ce serait surtout en avoir une crainte sévère : Artémissia, la mère d'Aéria et la patronne de la mafia de la ville censée partir bientôt à la retraite. "Censée".
Tell me more about the process of coming up with your characters.
Généralement je commence par l'apparence (en quelques traits simples : âge, couleurs d'yeux, de cheveux et de peau) puis je cherche un prénom qui collerait à l'histoire que j'imagine. Une de mes fanfictions annonce le twist de fin par le prénom de mon héroïne qui a une signification particulière en breton par exemple.
Do you notice any recurring themes/traits among your characters?
À part la propension de mes personnages d'être des femmes aux cheveux courts qui ont une sale tendance à se sacrifier pour les autres... La plupart feraient tout pour ceux qu'elles considèrent proches, mais certaines sont plus prêtes à se salir les mains que d'autres. Et tous, absolument tous, ont vécu soit un deuil, soit un abandon.
How do you picture your characters?
Je les imagine souvent dans des scènes que je joue dans ma tête. J'ai un mal de chien à les séparer de leur contexte, ce qui fait que des fois, c'est compliqué de les dessiner. Ils gagnent en netteté au fur et à mesure que l'histoire avance
My Writing
What’s your reason for writing?
La plupart du temps c'est parce qu'une histoire a décidé de s'inviter dans mon cerveau, et elle devient tellement omniprésente que je dois la poser sur le papier avant que je ne devienne chèvre. Certaines fois, c'est pour exprimer les émotions qui bouillonnent en moi et qui n'arrivent pas à sortir autrement.
Is there any specific comment or type of comment you find particularly motivating coming from your readers?
J'adore quand mes lecteurs me disent que mes écrits leur ont fait ressentir les émotions de mes personnages. J'avoue que j'ai aussi une certaine fierté lorsqu'on me dit que j'ai réussi à faire les pleurer.
How do you want to be thought of by those who read your work?
Comme quelqu'un qui les a ému.
What do you feel is your greatest strength as a writer?
Ma description des ambiances, des lieux et des émotions. C'est sans doute parce que j'ai commencé à écrire de la poésie, mais j'arrive assez bien à retranscrire des atmosphères et des sentiments via les mots.
How do you feel about your own writing?
Je sens et je vois que j'ai fait beaucoup de chemin. De mes premiers écrits que j'ai du mal à relire à ceux plus récents, on voit clairement une sacrée évolution. Mais ce qui est assez drôle, c'est que déjà toute petite j'avais des thèmes qui me tenaient à cœur et qui le sont restés. Ils ont juste évolués.
If you were the last person on earth and knew your writing would never be read by another human, would you still write?
Oui, tout comme je continuerais de dessiner. C'est quelque chose qui me permet de m'évader, je ne vois pas pourquoi j'arrêterai.
When you write, are you influenced by what others might enjoy reading, or do you write purely what you enjoy? if it’s a mix of the two, which holds the most influence?
Honnêtement, sans doute un peu un mix des deux. Mais c'est surtout ce que moi j'aime faire qui prend le dessus. Je peux suivre des thèmes, des appels à texte, mais au final, j'en fais toujours ce que je veux, et je finis par retomber dans mes thèmes, mes images, mes sons. Parfois ça met du temps à venir. Ça peut danser dans mon crâne des mois, des années avant que je ne le couche quelque part. Alors ça ne sert à rien de suivre les trend. De toute manière, on ne peut pas écrire pour tout le monde, alors autant écrire pour soi.
Je ne tagg personne, mais si certains veulent s'essayer à l'exercice, n'hésitez pas ^^
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Oh purée la musique officielle des JO qui est plagiée sur la BO de Jurassic Park ils nous auront tout fait 😂😂😂
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Je vais essayer de résumer rapidement ce qui m'énerve avec les Molières.
Je ne m'attarderai pas sur les blagues de mauvais goût, les gagnant.e.s qui n'ont pas le temps de faire des discours (oui c'est bien pire que pendant les Oscars où les Césars) et donc le manque de prise de position sur l'actualité artistique et politique alors que le théâtre est aujourd'hui un des seuls arts véritablement engagés. Je ne parlerai même pas du caractère ultra-parisien de la cérémonie qui oublie complètement que le théâtre se crée et vit aussi en dehors de Paris. Même les enseignants que j'ai à Nanterre en Master de Théâtre semblent oublier ce point : un de mes profs était choqué d'apprendre que j'avais déjà vu, il y a plus d'un an à Caen, un spectacle qui venait d'arriver à Paris. Non je ne parlerai pas de tout cela même si c'est détestable et que ça mériterait un post.
Je veux m'arrêter sur l'hypocrisie de cette cérémonie. Elle prétend récompenser et célébrer le théâtre et sa diversité mais elle ne fait que renforcer les stéréotypes et le système de domination malsain.
Je passe rapidement sur l'invisibilisation de certains corps de métier comme les dramaturges, les technicien.ne.s, les créateur.ice.s sons et lumières, les coiffeur.se.s, maquilleur.se.s, les costumier.è.s, les créateur.ice.s des décors... La moindre des choses serait de les récompenser, ils font le théâtre autant que les acteur.ice.s. Je passe également sur l'invisibilisation d'arts comme la marionnette et le cabaret qui méritent tout autant leur place dans la cérémonie.
Cette cérémonie ne récompense presque que des hommes et des femmes blanc.he.s (et je dis hommes et femmes en toute connaissance de cause et c'est surtout des hommes qui gagnent dans les catégories mixtes) dont les spectacles sont le plus conventionnels possible aussi bien artistiquement que politiquement. J'adore blaguer sur le manque de subtilité d'Ivo Van Hove mais au moins il essaye de faire dire quelque chose à son théâtre et il crée quelque chose même quand ça foire il essaye. Les spectacles récompensés ne prennent aucun risques et les personnes qui sont récompensées encore moins. La cérémonie qui doit célébrer l'audace et la diversité récompense le conformisme ou le consensuel et quand elle ne le fait pas et qu'elle récompense l'audace, elle récompense toujours les mêmes gens. Ce sont des gens qui le méritent mais ce sont toujours les mêmes. Des hommes et quelques femmes, blanc.he.s, talentueux.ses, important.e.s, mais toujours les mêmes.
Des artistes ultra talentueux et engagés comme Rebecca Chaillon, Mohamed El Kathib ou Adama Diop ne seront JAMAIS récompensés et quand ils le sont c'est pour leurs spectacles les moins engagés. Je pense là à Marcial Di Fonzo Bo qui a gagné son Molière pour son specatcle jeunesse sur Méliès "M comme Méliès" c'est un joli spectacle mais on parle d'un metteur en scène et acteur qui crée des spectacles sur les violences de guerre, sur le traumatisme de la dictature (il est Argentin), sur la situation de la communauté LGBTQIA+ en Amérique du Sud....
Et pour ce qui est de la partie artistique.... Je ne veux pas non plus m'étendre dessus mais même si ce sont des metteur.se.s en scène que j'aime et dont j'aime l'esthétique qui sont parfois nommés dans les spectacle de théâtre public (je ne vais pas ou peu au théâtre privé) je sais que ce ne sont pas les esthétiques les plus inventives. Je les aime mais je suis honnête. Les Molières ne le sont pas.
Cette cérémonie me dégoûte et cette année elle n'a fait que confirmer ce que je pense d'elle.
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 20
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Hello les loulous !
Vous lisez certainement cette intro un moment après la publication du post sur le chapitre 19, mais sachez que je commence immédiatement après avoir fini le chapitre précédent. Celui-ci était si mauvais que j’ai désespérément besoin de prendre quelque chose de bon dans cette saga avant de refermer mon document LibreOffice.
La dernière fois, Mara trahissait l’Empire, tuait un Très Haut Mage et volait la sphère-négation, tout ça dans un chapitre qui arrivait à être chiant à mourir en dépit des enjeux.
Aujourd’hui, nous rejoignons notre mauvaise troupe sur Tadix. Le chapitre 20 s’intitule « Archange, ou comment découvrir que son futur potentiel peut-être petit copain voire fiancé est sans doute un sérial killer. »
Bref, la dernière fois qu’ils apparaissaient, nos sacrés camarades venaient tout juste d’invoquer Archange et sa clique, ce à quoi certains dragons ne réagissaient pas très bien.
Archange ordonne à ses démons de se calmer avant que tout ça vire au bain de sang. Tout ce beau monde se détend, les démons sont tous des top models, et Archange va voir Tara, ravi de la croiser. Tout ça ne plaît pas du tout à Cal, qui lâche un grognement. Parce que même le génie du groupe réagit comme un clebs quand il voit sa copine se faire draguer par un prétendant politique.
« Fafnir écrasa le pied de Cal, ce qui le fit sursauter. Il jeta un regard blessé à la naine, qui le lui rendit froidement, haussant ses sourcils roux d’un air de dire : « Eh bien quoi ? Tu veux vraiment tout faire rater ? » »
Putain, même Fafnir a une réaction logique, tu la sens ton efficacité, Cal ?
« Il se sentait l’âme d’un homme de Cro-Magnon. À moi ! À moi ! En fait, il aurait bien attrapé Tara pour l’emmener dans sa caverne. (les hommes de Cro-Magnon ne méritent pas la comparaison avec Cal. Et je suis persuadée qu’ils étaient mille fois plus subtils que ce que Madame S.A.M. imagine. Also Cal vient d’Autremonde et les bouquins passent leur temps à nous dire qu’il est inculte sur tout ce qui concerne la Terre, il ne devrait pas se faire ce genre de réflexion)
Sauf que, pour l’instant, Tara avait l’air littéralement hypnotisée par le bellâtre. Elle le regardait comme s’ils étaient seuls au monde. Cal espéra très fort que c’était du cinéma. Qu’elle n’oubliait pas que ce… truc était un monstre sous ce corps trop parfait. (Oh mais fait chier… qu’est-ce qu’on en a à foutre de la réelle apparence d’Archange ? Certes, je ne choisirai peut-être pas un démon pour une partie de jambes en l’air, mais 1/ peut-être qu’il y a des gens qui aiment bien, d’où tu juges. 2/ les relations inter-espèces ne doivent pas être si rares que ça dans cet univers, il y en a eu plusieurs simplement dans le magic gang 3/ La visée de Tara n’est pas de se marier par amour pour Archange, mais pour former une alliance politique qui leur éviterait une guerre ! Un autre parti envisagé était Chem, tu crois qu’elle a envie de pécho son mentor ? Donc qu’est-ce qu’on s’en fout d’à quoi il ressemble en vérité, ou du fait qu’il cache à quoi il ressemble ?? L’essentiel, ce sont ses actions, à la fin, pas le nombre d’yeux qu’il a !)
En fait, si Cal avait été dans les pensées de Tara, il aurait été encore plus inquiet. Parce que lorsque Archange avait plongé ses yeux verts dans les yeux bleu marine de Tara, la jeune fille avait senti… quelque chose.
Comme si elle était attirée par Archange. Un peu comme ce qu’elle ressentait… avait ressenti pour Robin, lorsqu’elle était folle amoureuse du demi-elfe. »
Ce bouquin aurait dû s’appeler « Tara Duncan : Adonis contre apollons ». Quand j’ai commencé ce PDF, j’attendais de la baston, pas un concours de JoJo poses. Je veux juste qu’un dragon casse la gueule d’un démon à ce stade, s’il n’y a que ça je serai déjà contente. C’est dire.
Sur ce, Archange ordonne à ses subalternes de distribuer les cadeaux qu’ils ont amené.
« Les démons avaient bien étudié les Omoisiens. Ils savaient ce qui allait plaire à Lisbeth. Tout n’était qu’or et joyaux étonnants, pierres extraites de leurs planètes, nouvelles couleurs, nouvelles textures, étoffes soyeuses rebrodées d’animaux improbables. Tara ne put s’empêcher d’être surprise. Elle ne savait pas pourquoi mais elle avait du mal à imaginer que les démons avaient un tel sens artistique. Mais elle comprenait très bien ce qu’ils faisaient. « Regardez, nous ne sommes pas différents de vous, nous aimons les mêmes choses, nous avons le sens de la beauté, soyons amis. »
C’était incroyablement habile. D’ailleurs, tout autour d’elle, elle sentait que les gens se détendaient »
Putain mais quelle habileté de fou d’offrir des cadeaux pour briser la glace face à des alliés politiques. Trop malins les gars. Stade avancé de réflexion, 4739 de QI, hauts potentiels intellectuels.
« [Lisbeth] leur offrit de précieuses semences, des blés résistant aux maladies, des pousses d’arbres fruitiers en stase prêtes à être plantées, des embryons d’animaux, un millier environ, des objets et gadgets fabriqués par ses usines et ses savants. Elle montrait l’étendue de ce qu’AutreMonde et Omois pouvaient apporter aux nouvelles planètes. Les machines mi-mécaniques mi-magiques, des systèmes de communication (elle avait la ferme intention d’inonder ce nouveau et juteux marché avec ses plaquettes de cristal-phone super-sophistiquées avec projection holographique des appelants, mémoire de plusieurs milliers de TMO52 etc.), des connaissances médicales aussi, des sorts de Reparus automatiques très coûteux et complexes, puisqu’on ne pouvait pas se guérir soi-même, ou encore de merveilleux parfums, des onguents onctueux et adoucissants, bref, un panel très varié dans lequel leurs futurs partenaires commerciaux allaient pouvoir choisir ce qui leur serait utile.
C’était aussi intelligent que ce qu’avaient fait les démons. »
Nan. Nan, c’est bien plus intelligent que ce qu’ont offert les démons, bien plus élaboré et ciblé, et une plus grande preuve de considération. Rendons à César ce qui appartient à César, ça, c’est une écriture de Lisbeth telle qu’elle la mérite. D’autant que, si on est indulgent envers madame S.A.M. et qu’on choisit de dire que ce n’est pas un élément sorti du chapeau, les Reparus automatiques ne sont pas répandus dans l’univers de Tara Duncan. Ce qui signifie que Lisbeth réserve ces éléments coûteux à la diplomatie avec les démons. Très in-character pour le personnage. À côté de ça, les tissus péniblement décrits que leur offrent les démons, ils peuvent aller se rhabiller avec.
« De fait, avec ses coffres regorgeant de joyaux et d’étoffes, il paraissait un peu futile, quoique très luxueux, alors que l’Impératrice montrait sa volonté de commercer. D’accord. Le point était pour Lisbeth. Il tourna son regard vers Tara. La jeune fille l’avait certainement conseillée. Il ne devait pas, jamais, sous-estimer l’intelligence de la jeune humaine. »
Oui bah c’est ça, suppose que le mérite revient à Tara et pas à Lisbeth. C’est sûr que Lisbeth n’a pas l’intelligence de prendre cette décision elle-même. Elle n’est jamais qu’Impératrice d’Omois depuis plusieurs années. Une broutille.
Bon, cela dit, vu la façon dont elle a exercé son pouvoir dans les chapitres précédents, la narration a probablement raison d’accorder cette idée à Tara. Mais ça m’énerve profondément.
Archange est parfait et il trouve Tara parfaite, blablabla. C’est l’heure de la récré, et par récré on entend que les démons vont se balader un peu partout et le reste des gens présents aussi. On a une redite de la blague « Ce serait drôle si on tuait un démon sans faire exprès oupsie » du chapitre 17, mais qui ne marche pas cette fois. Les âmes démoniaques, prisonnières des objets que porte Tara, se tiennent à carreau.
Un Tadixien vient s’enquérir du magicgang, ce qui fait réagir bizarrement Fabrice, qui se demande s’il ne serait pas atteint un peu par la magie démoniaque de la troupe d’Archange. Oupsie doupsie.
« Fabrice aurait dû rester sur Terre » : 3 (surtout que pour l’instant il est aussi utile qu’un plot).
Et sur ce, Glubl est de retour !! Vous savez, le type que rencontre Moineau pendant la réception, dans le chapitre 4 ? Je l’aime bien, même s’il n’a pas fait grand-chose pour l’instant. C’est le moment d’en apprendre un petit peu plus sur lui :
« Comme Sylver, il était une sorte d’hybride. Une création artificielle voulue par un sortcelier qui désirait que des humains, et non plus des gnomes, soient capables de communiquer avec les Santivoriens. Il avait donc mélangé les ADN, mis les produits dans le ventre de plusieurs mères porteuses humaines, puis attendu de voir ce qui allait en sortir. La majorité des infortunés frères et sœurs de Glubl étaient morts ou étaient nés si déformés que la mort aurait été préférable. Fort heureusement, le sortcelier en question avait fini par être démasqué et emprisonné. Glubl avait été confié à des parents humains, mais, très jeune, avait manifesté de grandes capacités télépathiques. Dès qu’un Diseur se promenait à proximité, le jeune garçon était capable de percevoir ce qu’il disait. »
Bon, mis à part cette histoire d’être né « si déformé que la mort aurait été préférable » (je vois d’où ça vient mais ça a des petits relents de validisme quand même), je trouve l’origin story de Glubl cent fois plus intéressante que tout ce qui a été tenté en terme de personnages jusque-là. Sincèrement.
Tara va pour se reposer, mais elle croise…
« Mourmur les attendait près de l’entrée du couloir alors qu’ils se dirigeaient vers leurs chambres. »
YES, enfin ma dopamine est de retour.
« — L’Impératrice ne fait pas confiance aux démons (ça, elle n’était pas la seule !). Elle pense qu’ils vont peut-être tenter d’utiliser leur magie démoniaque afin de faire venir d’autres démons, maintenant qu’autant d’entre eux sont ici. Mes petits bijoux sont là pour les en empêcher. Ils bloquent le flux du pentagramme, on ne peut pas l’utiliser, et si on passe les défenses de mes machines, elles émettent tout de suite un signal d’alarme qui réveillerait un mort. Elles passent aussi du vert au rouge dès qu’un vortex est ouvert dans un rayon de cent tatrolls (j’ai tendance à penser qu’il y a plus subtil, comme alerte. Genre quitte à ce que Lisbeth et Tara aient toutes les deux des montres, utilisez-les pour les avertir discrètement, afin que les démons ne se doutent pas qu’on sait ce qu’ils sont en train de faire ? C’est donner une information capitale à un potentiel ennemi... Bon je sais pas pourquoi je me fatigue, Mourmur son truc c’est les explosions, pas la discrétion). Grâce à ma présence dans le cercle, j’ai pu mesurer tout ce dont j’avais besoin pour nous protéger et surtout pour les calibrer. Pardon si cela a pris autant de temps, mais j’ai dû utiliser une partie de la magie que vous envoyiez dans le vortex afin de les rendre compatibles avec. (Mourmur qui s’excuse ? OOC, je suis entièrement sortie de l’histoire. Plus sérieusement, le mec est giga imbu de lui-même et a une trop forte confiance en lui, il devrait plutôt se vanter)
Le vieux savant avait l’air très satisfait de lui (MERCI, ça c’est le Mourmur que je connais). Tara comprenait à présent un peu mieux pourquoi il avait fait partie de l’étoile du pentagramme, alors qu’il était le plus faible d’entre eux en magie, et de loin, mais aussi pourquoi il avait été si long et si compliqué de faire venir les démons »
Oui, c’est bien ce que je pensais, Mourmur n’excelle pas en magie comme le reste de la famille. Faut pas s’étonner après si c’est mon personnage préféré (même si, faut avouer, s’ils avaient continué de développer Manitou, ça aurait sans doute été lui mon préféré).
« Ils hochèrent tous la tête d’un air très convaincu.
Tara aperçut du coin de l’œil une silhouette qu’elle connaissait bien.
Angelica.
La peste parlait avec un démon qui semblait l’écouter avec passion.
Tara serra les lèvres. Qu’est-ce que son ennemie était en train de manigancer encore ?
À la fin de la discussion entre Angelica et le démon, alors que Mourmur continuait à expliquer ce qu’il avait mis en place pour les protéger, Tara faillit avaler de travers. Angelica venait de poser la main sur le torse musclé du démon, moulé par une fine chemise bleue. C’était un geste très intime pour quelqu’un qu’elle avait dû rencontrer deux minutes plus tôt ! Le démon sourit et ils partirent ensemble.
— Et toi, Tara, qu’est-ce que tu en penses ?
— Hein ? dit Tara qui n’avait pas écouté un mot.
— Deux, répondit Cal, moqueur. (Bon, je peux critiquer Cal autant que je veux, mais celle-là j’aurais pu la faire, j’accepte. L’un de mes crushs répond bien « Feur » quand on lui dit « Quoi », donc bon...) Nous nous demandions si tu pensais que les démons étaient aussi inoffensifs qu’ils s’appliquent à le paraître ou bien des bêtes assoiffées de sang. Pour l’instant, les bêtes assoiffées de sang mènent cinq voix contre une, notre amie Fafnir s’obstinant à les trouver « mignons ». »
Étrangement, j’aime bien cette scène… ? Oui, mes standards ont fortement baissé, mon fav c’est Mourmur et je lis Tara Duncan, de plus le chapitre précédent était affreux… Mais en terme de mise en scène et de dialogue, elle fonctionne. C’est facile de la visualiser car elle se découpe exactement comme un extrait de série télévisée. Là je comprends l’idée, et c’est plutôt bien retranscrit.
Tara apprend que Lisbeth a décidé d’éloigner les chambres de ses amis de la sienne. Mais bon, le fait que Lisbeth accepte leur présence est déjà une faveur que j’ai du mal à comprendre.
« Tara rentra donc seule dans sa suite toute blanche et prit une douche pour délasser ses épaules fatiguées par la charge de magie. Les sièges, perchés sur de fragiles tiges d’acier, robots animés et non pas magiques, s’écartaient sur son chemin. La première fois qu’elle s’était assise sur l’un d’eux, elle avait eu peur que son poids ne le fasse basculer ou ne le casse, mais le siège avait tenu le choc. Puis, d’une voix métallique, lui avait signalé qu’elle pouvait se laisser aller, qu’il était inutile qu’elle se tienne sur la pointe des pieds afin de répartir son poids et qu’il avait été fabriqué pour supporter une masse de deux tonnes. Tara avait fait la grimace, ces robots étaient un peu trop malins à son goût. Elle préférait les bons vieux fauteuils de bois confortables animés sur AutreMonde.
Au moins, eux ne parlaient pas. Enfin, pas encore »
Des fauteuils animés comme des robots c’est giga stylé, Tara est juste une hater des Tadixiens, c’est fou. Je suis sûre que si Mourmur ou Cal lui avaient fabriqué la même chose elle aurait trouvé ça super original et inventif. Et puis bon, un truc en principe pas vivant mais qui parle et rend des services elle en a un sur sa nuque, c’est sa changeline. Et je doute que son exosquelette du tome précédent n’était pas un poil robotisé. Les doubles standards ça suffit.
Bon, j’exagère, je ne suis pas opposée à ce qu’ils développent l’aversion irrationnelle de Tara envers une planète inconnue. C’est simplement dommage que ce soit contre Tadix qu’elle soit hostile, car à part les mœurs des Tadixiens autour des banquets, il n’y a rien d’extraordinairement détestable. Au moins, la narration nous fait savoir que ce n’est que le point de vue de Tara. Pour l’instant.
« La changeline lui créa un pyjama moelleux et frissonnante, parce que la température était un peu fraîche dans sa chambre, (je ne sais pas pourquoi j’ai ri en imaginant à quoi ressemblait un pyjama « moelleux et frissonnante ». Disons que coller ces deux bouts ensemble n’était pas super habile) Tara se glissa avec Galant à ses côtés dans le grand lit tout aussi blanc. Elle posa les Objets près d’elle, les sangles se resserrèrent afin de l’empêcher de s’envoler pendant son repos et sombra dans un sommeil sans rêve, tandis que son pégase l’enveloppait de ses ailes duveteuses. (mais l’image de cette chambre… je veux vivre là-bas, vraiment. Pourquoi on passe autant de temps sur AutreMonde ? Tout ce qu’ils ont pour eux c’est des palais faits en pierres précieuses)
Le lit la réveilla une heure plus tard, tandis que les sangles se rétractaient et qu’une douce lumière commençait lentement à éclairer la chambre. Tara sourit en réalisant qu’elle était surprise. D’habitude, soit on l’enlevait, soit quelqu’un s’introduisait dans sa chambre, soit il se passait quelque chose de bizarre ou d’étrange. Et là, rien. Comme si on lui donnait un petit répit avant que les choses vraiment sérieuses ne commencent. Elle s’étira et commença à se lever.
Puis se figea lorsqu’une voix bien connue murmura doucement.
— Tara ? »
Et le chapitre se termine ainsi ! J’ai bien fait d’enchaîner avec celui-là, il était nettement plus agréable à lire.
La prochaine fois, nous nous concentrerons sur Robin ! Ce sera l’occasion de savoir ce qui lui est arrivé.
D’ici là, à toutes !
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Jamiroquai, Deeper Underground, Live (no date)
Fantastique chanson beaucoup plus rock que le reste du travail du groupe.
Elle a fait partie de la BO de l'excellent Godzilla de Roland Emmerich (1 998).
Etude comparée de riffs. Celui-ci est un chef d'oeuvre fuzz, allié à une section rythmique dont on connaît le niveau légendaire.
Prenons 2 des plus grands tubes rock du siècle en cours, la scie absolue des White Stripes 7 Nation Army (2 003) qui évidemment a été reprise dans les stades et les mariages, et le surfait mais intéressant Take Me Out de Franz Ferdinand (2 004). Il est difficile techniquement d'expliquer pourquoi ces 2 derniers riffs sont lourdingues et plaisent aux beaufs, et pourquoi celui de Deeper Underground est un chef d'oeuvre.
A côté de 7 Nation Army, l'autre hymne des stades (de l'OM), Jump de Van Halen est de la haute couture.
On peut cela dit comparer la bêtise ou le relatif inintérêt des duos basse-batterie sur les 2 chansons que je critique ici.
Basile Pesso, 10 avril 2 024 (Fb, avec le live)
#basile pesso#Jamiroquai#musique#music#écrivains#écrivains sur tumblr#journalisme#journalistes#journalistes sur tumblr#contenu original#technique musicale#yes we are magazine#Godzilla#Roland Emmerich#Godzilla contre 'Ours'
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Synthpop Retrospective - Bronski Beat : The Age of Consent
Quand The Age of Consent sort en 1984, le mouvement est déjà bien installé. C'en est même une très bonne année avec les débuts d'Alphaville et leur « Forever Young » , le « SFX » d'Haruomi Hosono (curiosité d'un membre d'YMO sur laquelle il faut foncer), « Who's Afraid of the Art of Noise » ou encore des sorties – pas les meilleures - d'Ultravox, OMD, Depeche Mode, Jean-Michel Jarre sans oublier le « Like A Virgin » de Madonna, qui ne fait qu'asseoir la Synthpop dans le mainstream. Deux albums vont pourtant sortir du lot, principalement par leur engagement pour la cause homo-sexuelle ; « Welcome to the Pleasuredome » de Frankie Goes to Hollywood et « The Age of Consent » de Bronski Beat.
Non pas que la musique n'est pas importante ici – je reviendrai un jour sur le travail de Trevor Horn pour le groupe derrière « Relax » - mais elle marquera moins que le message derrière les deux œuvres ; l'homo-sexualité existe et il faudra faire avec. Comme l'écrit Simon Reynolds dans son « Rip it Up and Start Again », ça ne se lit pas sur son visage que Jimmy Somerville est homosexuel (contrairement aux Frankie Goes qui en poussaient l'imagerie dans ses retranchements) ; son objectif était de montrer qu'un gay ressemblait à n'importe qui d'autres. Pourtant, ce qui frappe aussi, c'est la différence entre ce physique, un peu skin sorti tout droit de « This is England » et la voix du personnage, ce que je ne m'attendais pas à la première écoute.
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« Smalltown Boy » est bien sûr devenu un hymne, repris dans le film « Pride » sorti en 2014 (excellente BO pour les amateurs de Synthpop) et cela est moins du à la production – certes impeccable, jouant avec adresse sur un sentiment entre joie et mélancolie – de Steve Bronski et Larry Steinbacheck qu'au chant haut-perché de Jimmy, rappelant alors l'autre icône queer Sylvester, aussi bien pour sa façon de pousser la gueulante que dans le rythme de certaines compositions ; « Why » est clairement un single Hi-NRJ.
Outre ces deux tubes, que trouvons-nous dans cette première galette ? Deux reprises. Une de « It Ain't Necessarily So », un standard de jazz des Gershwin, qui je trouve, ne marche pas forcément dans une production synthétique, même si elle sonne toujours moins kitsch que le « Heatwave » un peu plus loin. Et une autre « double » reprise du « I Feel Love » de Moroder/Summer et « Johnny Remember Me » de Goddard, dans une version rappelant fortement celle du producteur italien Giorgio, moins Moog certainement mais avec quelques ajouts sympathiques, un mélange de deux classiques qui fonctionne étonnamment bien.
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Sur le reste de l'album, qui oscille donc entre Hi-NRJ synthétique (« Junk » fait le job) et des titres plus « downtempo », Jimmy continue à pousser ses longues notes de diva soul, souvent les mêmes, au point où on finit par se lasser de ce qui faisait la qualité première d'Age of Consent. Surtout pour des textes aussi bateaux que « No More War », sur lesquels je ne peux même pas jeter la pierre, cri du cœur oblige, on a pas mieux à dire dans l'époque de conflit actuelle et subie. « Need-A-Man Blues » et « Love & Money » sont quant à elles, des pièces aussi rythmées qu'atmosphériques, j'apprécie beaucoup le second, notamment pour ce gimmick au clavier qui revient tout le long et ces envolées planantes au saxophone.
Vous serez moins étonnés après avoir lu cette chronique de savoir que le second album de Bronski Beat, sans la voix de Jimmy Somerville parti fonder The Communards, ait moins fonctionné. Sans lui, The Age of Consent aurait été beaucoup plus commun. On peut retrouver un petit peu la saveur de ce qu'aurait donné un VRAI second album, avec le trio d'origine sur l'album de remixes et de démos Hundreds & Thousands ou sur certaines versions « expanded » mais pour la suite, on préférera passer du côté des Communards plutôt que chez Bronski (mais bon, vous me connaissez, je vais écouter les deux quand même !)
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In Vespa
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Saio dunha das últimas sesións de cinema ás que tiven o pracer de ir. En Numax, Compostela. Teño un sorriso inperturbábel, o corazón a baterme fóra do peito. Que bo filme, que bo corpo me deixou! Tratábase do último filme de Nanni Moretti, Il sol dell'avvenire, deste mesmo ano. Subín á miña Vespa, que deixara aparcada preto da sala, e volvín para a casa coa música festiva que acompañaba aos créditos na miña cabeza. Movendo a cabeza dun lado a outro, bailarina, alegre. Feliz.
Fun rumiando na grande -e grata- influenza que tivo na miña persoa Nanni Moretti e o visionado do seu filme máis sonado, Caro diario (1993), en primeiro ou segundo de carreira de audiovisuais. Decateime de que non era casualidade o que, despois de moitos anos de usar bus, coche e tren como transporte prioritario, me decidira a coller unha moto. Unha Vespa, por suposto... non, en realidade non é unha Vespa, senón unha imitación en versión eléctrica. Pero ten as vibes dunha Vespa, indubidablemente, pois iso foi o que me engaiolou dela: eu quixen ser como Nanni Moretti e percorrer a Roma popular sobre dúas rodas, preguntando as miñas ocorrencias aos transeuntes, transformando a realidade ao meu paso e coa banda sonora latendo no corazón.
A Vespa é todo un símbolo, unha icona, a representación dun estilo de vida e dun caracter nacional. Ou trátase dun estereotipo máis de Italia, como a pasta ou o característico xesto de pechar os dedos e axitar a man? Aínda que o consideraramos un cliché, a xente en Italia acéptao e presume del orgullosa; está presente ao longo de toda a historia do seu cinema, dende a posguerra até a actualidade. Mais eu daríalle a consideración de símbolo, en tanto que está ligado á historia do pobo Italiano e á súa clase obreira, específicamente, aínda que nalgún contexto a Vespa poda tratarse dun obxecto de glamour.
Situámonos no contexto do final do conflito armado que trazou o destino de Europa: a Segunda Guerra Mundial. Italia, como reflicte o seu movemento neorrealista en boca de directores como Rossellini ou De Sica, é un país feito anacos despois dunha cruel ditadura fascista e a invasión dunha potencia estranxeira. Europa, en xeral, sofre as consecuencias dunha guerra devastadora para todos os aspectos dunha sociedade, incluído o económico. Xorde entón a necesidade de dotar á poboación de medios de locomoción asequibles que axuden a activar a economía, e propostas como o Escaravello de Volkswagen, alemán... ou a Vespa de Piaggio, italiana.
A Vespa, deseñada por un enxeñeiro aeronáutico -aquí o por que do seu particular aspecto- converteuse no vehículo da clase obreira, do pobo currante. Tivo que chegar o William Wyler dende os EUA para romantizar este vehículo e darlle unha aura de glamour, ampliando o seu significado, grazas ao seu filme Roman holiday (1953). No filme, unha magnífica Audrey Hepburn fai de princesa de incógnito que quere probar por un día as vantaxes de ser unha plebea; o xornalista Gregory Peck lévaa en Vespa polas rúas de Roma, desfrutando dun pracer que daquela era tipicamente obreiro.
Roma! A cidade das Vespas -aínda que, na experiencia da que escribe, hai Vespas por todas as cidades italianas-, do Tévere, do Coliseo, do gelato, do sol dourado, dos barrios, do lecer despreocupado e do rebumbio cotiá. Todo isto está presente en Roman holiday, pero tamén en Caro diario. Quizabes co risco de caer na autoexotización, no mirar, como pobo, o propio con ollos alleos. Toda resignificación ten os seus riscos!
A Vespa tamén ten a capacidade de transformarse, de traspasar fronteiras e adaptarse a novos ecosistemas; no UK dos anos 60 e 70 foi a moto dos mods como os de Quadrophenia (Frank Roddam, 1979). Simbolizou a rebeldía, a liberdade, a xuventude, o angst dunha g-g-generation. Tamén chegou aos EUA, como elemento exótico e glamuroso, directamente influído polo filme de Wyler e Hepburn. Houbo quen lle engadiu un sidecar, houbo quen a convertiu nun motocarro...
Hóuboas de todas as cores e de todas as épocas; pero cóntovos un segredo: escollede unha ben chamativa para que teña un extra de significado narrativo no voso filme. Como elemento de atrezzo, caracteriza a unha personaxe, á persoa condutora, con toda a carga semántica e estética que viñemos describindo -xuventude, clase obreira, liberdade, lecer, despreocupación-. Serve para moitas cousas, entre elas tamén facer destacar á personaxe sobre as demais cunha elección particular de transporte. Nanni Moretti é Nanni Moretti en Vespa; Jimmy é Jimmy en Vespa; Teodoro e seu pai son Teodoro e seu pai na Vespa con sidecar.
Como calquera vehículo nun filme, a Vespa traslada ás personaxes dunha localización a outra; mais non se limita a esa función práctica. Como calquera outro arquetipo, constrúese ao longo da historia, levando de equipaxe unha manchea de significados.
Iso si, sede como o amigo Nanni -e non como Audrey- e levádeme casco!
Até o vindeiro episodio!
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saga: Soumission & Domination 322
WE à Paris-2
Le vernissage est terminé et je me retrouve le pantalon sur les chevilles, dans le bureau de Bo-gosse avec l'artiste à mes genoux en train de me pomper grave.
C'est à ce moment-là que je propose à Bo-gosse de finir la soirée chez lui avec son nouveau peintre.
C'est aussi à ce moment-là que Ludovic entre, à ma recherche. Il n'est pas étonné, PH à qui il avait demandé où j'étais, lui avait répondu " probablement en train de me faire pomper par l'artiste ". Il passe sa main sur la tête du pompeur et me demande s'il est meilleur que lui. Je l'attrape par le cou, lui roule une pelle et lui dit qu'il n'y a pas comparaison, il est le meilleur. J'attends un peu et ajoute " avec PH, Ernesto, Jimmy et une demi-douzaine d'autres mecs, mais toi, je t'aime ".
Il me roule une nouvelle pelle et d'un petit coup de bassin pousse la tête de l'artiste sur ma bite enfonçant mon gland dans sa gorge à l'étouffer. Petite vengeance ?!
Bo-gosse met fin aux hostilités. Il nous entraine vers les autres (après que je me sois réajusté). Regroupés, il nous propose de finir la soirée chez eux (lui et Moitié). Les provinciaux sont partants et Alban ne laisse pas son Ric filer sans lui. Bras dessus bras dessous, nous prenons toute la largeur des trottoirs jusqu'à leur appartement.
C'est la première fois que j'entre chez eux, les autres fois nous avions baisé dans son bureau !
Bel appartement donnant sur l'église de La Madeleine, dans les 400m², l'intérieur est très moderne. Le mobilier actuel est ponctué par des pièces anciennes de toute beauté. Notamment une commode Louis XV avec bronzes dorés qui se détache du reste du salon avec une glace avec cadre en bois doré de bien 20cm de large.
On joue les curieux et furetons dans tous les coins. Evidemment quand nous arrivons à leur chambre, la pose est plus longue.
Je crois bien que c'est Ludovic qui a poussé Bo-gosse en avant pour qu'il chute sur le lit. Quand ça commence comme ça, tout le monde se retrouve à poil rapidement. Moitié ouvre le tiroir à Kpotes et gels et ça part pour une nuit de débauche.
Je n'ai pas le temps de faire attention aux autres. Moi je me retrouve à enfiler ma queue dans le cul de Moitié. Il prend toujours aussi bien et aussi facile à la pénétration. Par contre une fois dedans il sait vous serrer la bite comme moi, c'est-à-dire que s'il le veut on ne peut plus bouger, compressé par sa rondelle. En attendant il me libère et je peux coulisser dans son cul. Une impression soyeuse parcourt ma hampe pourtant couverte d'un préservatif. Peut-être que c'est dû à la marque. Je le lime un bon 1/4 d'heure avant de trouver ma rondelle bien vide. La bite de Ludovic est libre. Couché sur le dos, ce dernier se fait bourrer la gueule par Alban et le cul par Bo-gosse. Ernesto et PH sont occupés à faire monter en pression Ric. Comme je me dégage de Moitié, je suis remplacé par notre ibère qui n'attendait que ça. PH lui occupe l'avant et enfile ses 19cm derrière la glotte de notre ami.
Je vois Ric enjamber le corps de Ludovic et s'assoir sur son sexe. Il fait face à Alban et je les vois se rouler des pelles. Orphelin, je repousse Bo-gosse et m'intercale entre lui et Ludovic.
J'ai juste le temps de m'enfoncer dans son cul avec toujours autant de délice, que Bo-gosse me défonce le cul. Son arrivée intempestive m'écrase contre les fesses de Ludovic qui poussé, s'étrangle avec le gland d'Alban.
Le temps de trouver tous nos rythmes et de les faire coïncider, Ludovic trinque ! Il s'étrangle plusieurs fois mais c'est bon pour moi. Quand il manque de s'étouffer, il se contracte de partout et sa rondelle spasme sur ma bite, la bloquant dans son évolution. Chaque pression bloquante, m'envoie dans le cerveau un coup de pression qui me chauffe, mais me chauffe !! Du coup je répercute à mon occupant et Bo-gosse me gueule dans les oreilles que c'est trop bon.
Ludo encaisse mais il bande dans le vide. Je me dégage de son cul et le retourne. En 69 nous nous faisons du bien. Alban n'a pas perdu au change, une kpote et il défonce mon mec ! Malgré ma bite dans le fond de sa bouche, la pénétration d'Alban lui arrache un gémissement long, long, enfin aussi long que les 21cm qui lui rentre dans le cul. Il ne peut y échapper, de toute manières il ne le voulait pas non plus, car je le bloque, menton posé sur son pubis et mon nez entre ses couilles remontées.
Chacun nous profitons d'une belle queue dans le cul qui s'active avec maestria et chacun nous nous occupons amoureusement de la bite de son amour ! Excité par les frottements sur ma rondelle, je pompe comme un malade sa bite. Je m'enfile son gland dans la gorge et dégluti pour le masser. J'alterne en le gardant en bouche et en passant ma langue râpeuse sur toute sa surface, dessous de couronne comprise, j'excite chaque mm² de la peau fine couverte de terminaisons nerveuses.
Je ne suis content que quand je sens qu'il lâche les vannes et que je sens rouler sous ma langue ses spermatozoïdes qui nagent dans son jus. J'en garde le plus en bouche pour noyer son gland dedans. Dans le lointain, j'entends Alban rugir alors qu'il doit remplir sa kpote. Puis c'est à mon tour de prendre mon plaisir. Je m'enfonce une dernière fois dans sa gorge et y lâche mon premier jet direct vers l'estomac !
Je recule le bassin pour larguer le reste dans la bouche de Ludovic qu'il puisse à son tour goûter mon sperme. Le mouvement m'enfonce bien profond les 24cm de Bo-gosse dans le cul.
Je sens les mains qui me tenaient les hanches me serrer plus fort, mon enculeur vient de juter à son tour.
Je me dégage. Je serre bien les lèvres en quittant la bite de Ludovic pour ne pas laisser échapper de sperme et je sens que Ludo fait de même. Nos enculeurs respectifs s'écartent et je me retourne pour rouler une pelle juteuse à mon dernier amour. Nos spermes se mélanges, je suis sûr que nos spermatos se battent entre eux, s'entortillent leurs flagelles comme nos langues s'affrontent.
Nous nous décollons que quand le partage est terminé et que nos dents brillent.
Nos deux enculeurs nous traitent affectueusement de salopes insatiables. Cette appréciation trouve un écho de la part du trio qui a fini, lui aussi.
Bo-gosse s'absente le temps de ramener des bouteilles d'eau. On en vide quelques une avant d'aller nous doucher. On a eu un peu chaud pendant un moment !
Comme ils ont une douche à deux pommes nous arrivons à nous y entasser tous. L'avantage c'est qu'on fait tomber un peu de gel douche sur nos tête et quand il coule, à partir des épaules, il nous suffit de nous frotter les uns contre les autres pour nous savonner efficacement. Evidemment nous sommes bruyant et même trop puisque ça tape contre le mur mitoyen avec l'appartement d'à côté. Donc, on se calme un peu !
Ça bataille encore un peu quand on recherche nos habits. Les slips et shortys volent dans tous les sens. Jusqu'à ce que chacun récupère le sien. Les chemises sont reboutonnées mais les cravates glissées dans les poches.
Nous rentrons à pied. Ric et Alban tournent vers l'atelier et nous nous dirigeons vers l'appart de Kev. L'air frais nous réveille tous et quand nous passons devant l'immeuble d'Henri, nous voyons son étage allumé et nous nous invitons. Kev nous ouvre, il a la clef. Nous trouvons Henri en peignoir sur son canapé à étudier des dossiers. Il nous accueille chaleureusement sans se soucier de l'heure. Il nous remercie même de le distraire de son travail.
Kev sort les alcools et sert tout le monde. Le choix est consensuel et se fixe sur un Jet 27 sur glaçon. Henri parle avec tout le monde et même plus avec Ludovic. Il sait bien qui il est et comment il se situe dans notre couple à 6 ! Henri est adorable et bienveillant comme toujours, comme il l'a été avec moi, même quand je n'étais encore que l'escort d'Emma.
C'est son seul ami qui sait presque tout. Et c'est pour ça aussi que je lui ai mis Kev entre les mains. Les amis, ça se bichonne non ?
Henri me demande comment marche ma société. Je lui brosse le tableau en quelques chiffres : CA, nombre d'employés et masse salariale, résultats nets et impôts, de la maison mère française. Ernesto sort ceux de la filiale espagnole.
Henri les analyse en quelques secondes. Il trouve que la masse salariale est trop importante. Il ajoute même si mon salaire est compris dedans. Kev est d'accord avec lui. Il me le dit plus crument : je paye très/trop cher mes collaborateurs.
Ma réponse est nette, je n'ai pas besoin de réfléchir. Je leur dit qu'il suffit que cela m'assure un salaire très confortable et que cela paye le blockhaus et mes 3 beurs de services (et oui y'a aussi Jimmy qui s'occupe de la campagne à l'année), ça me va. En plus je ne travaille qu'avec des jeunes qui, eux, ont besoin de cet argent pour vivre, donc si je peux donner un coup de pouce, je ne vois pas pourquoi je me priverais.
Kev me prend dans ses bras et me roule une pelle. Il me dit qu'il me reconnait là. Henri, lui, me dit qu'avec cette philosophie, ma société tourne alors idéalement !
PH connait mes comptes mais Ernesto et surtout Ludovic apprennent les chiffres totaux.
Ludovic en reste sur le cul. Il ne voyait pas ma société aussi importante. Ernesto me dit qu'il lui reste du boulot pour que la filiale espagnole rejoigne le niveau de la maison mère !
Ludovic trouve que je paye quand même énormément d'impôts. Je reconnais là le côté " droite terrienne " de sa famille. Je lui dis que moi, je suis content d'en payer autant. Qu'il n'oublie pas que c'est la prise en charge de la santé de tous, des infrastructures qui nous entourent. Et oui, je sais qu'il y a de la gabegie et qu'on pourrait sûrement faire mieux sans penser que nous en tant qu'homo, nous bénéficions de la totalité des impôts des hétéros sans avoir droit à tous leurs avantages. Mais je ne transfèrerais pas mon siège social ailleurs !
Henri qui est dans la même situation avec sa société basée en France, m'approuve. Il nous dit qu'il pense comme moi. La seule entorse qu'il a faite étant célibataire a été d'adopter Kev pour pouvoir économiser un peu sur les frais de succession.
Kev me donne les clefs de son appart et me glisse qu'il va rester cette nuit (enfin ce qu'il en reste) avec son mec/père. Il ajoute qu'ils nous attendent pour le brunch du dimanche.
La nuit sera calme. Tous éreintés par notre folle journée.
Réveils vers 11h ! Sans nous presser, nous nous câlinons sans sexe jusqu'à avoir les yeux en face des trous. Rasages, douches, quelques vêtements sur les fesses et nous débarquons 2 n° plus loin, chez Henri.
Je ne sais depuis combien de temps ils sont réveillés mais quand nous arrivons, un véritable buffet excite nos appétits. Les viennoiseries font concurrence aux plats plus anglo-saxons (sans aller jusqu'au red-beans). Nous ne nous faisons pas prier et pillons allègrement la table. Henri est un hôte charmant et nous avons plaisir à être avec lui malgré la différence d'âge.
Il nous demande ce que nous pensons de l'artiste dont nous avons vu les oeuvres la veille.
Je suis clair, je lui dis que sa bouche et son cul sont meilleurs que ses toiles.
Mes amis se récrient que je suis dur. Y'en a quand même pas mal qui ont aimé vu les commentaires que son oeuvre suscitait. Bof ! Moi j'aime pas.
Ernesto est le premier à nous quitter. Son avion pour Barcelone part vers 16h alors que notre train est en début de soirée.
Henri me lance les clefs de sa voiture pour que nous soyons ensemble un peu plus longtemps. Ernesto lui roule un gros patin de remerciement et nous le laissons tout bandant j'en suis sûr !
La C6 a toutes les options, quel confort ! On est dimanche et la circulation est fluide. Nous arrivons rapidement à Orly. Dans le hall, un peu de monde. Comme d'habitude, notre passage fait se retourner plus d'une femme et d'un homme. Nos embrassades alors qu'Ernesto doit passer en salle d'embarquement, en détourne pas mal. Faut dire qu'on met la langue dans nos bisous d'adieu !!
Retour à Paris. Henri nous demande de venir plus souvent les voir. Il sait que Kev est trop content quand nous sommes là. En plus ça lui permet de " choquer " en s'affichant avec nous. Il me dit que la prochaine fois nous devrions venir avec Emma et qu'on se fera un théâtre ou un opéra.
Je n'en ai vu qu'un d'opéra mais je me souviens bien de l'acteur/chanteur principal, un anglais à croquer !
Je lui dis qu'il nous fasse signe quand il y aura quelque chose à ne pas louper.
Kev nous ramène à Montparnasse juste à temps. Nous courrons et n'avons même pas le temps de composter. Du coup alors que le train démarre, je cherche le contrôleur pour lui expliquer notre cas. Je le trouve. Dans les 25/30ans pas avantagé par son uniforme alors qu'il parait pas mal.
Je lui explique que nous sommes 3 à ne pas avoir eu le temps de composter et je nous excuse d'avance. Il me demande où nous sommes. Je lui dis que mes amis ont dû prendre leurs places en premières. Je lui montre mon billet et alors qu'il le poinçonne, nous nous dirigeons vers les places. Quand nous arrivons, j'ai la surprise de voir Ric en train de discuter avec eux. Sourires avenants et contrits de mes amis qui présentent à leur tour leur billet. Ludovic déshabille le contrôleur de ses yeux et ce dernier ne peut que le remarquer. Je le vois rougir, teinte pivoine, et bafouiller pour nous dire que c'était pas grave et que nous avions eu le bon réflexe de venir le trouver.
Ludovic que je ne maitrise plus, si jamais j'ai pu un moment le diriger (je m'aperçois qu'il s'est émancipé), lui demande carrément s'il n'avait pas une cabine privé. De pivoine il passe tomate et il s'étouffe. Je lui tape dans le dos pour relancer sa respiration. Mais il a un mouvement de recul brusque. Quand j'en regarde la raison, je vois la main de Ludovic serrer la queue bandante du contrôleur dans son pantalon. Il est infernal ! Je lui dis de lâcher ce monsieur et de le laisser faire son travail. Au contrôleur, je lui exprime mes excuses pour le comportement déplacé de mon ami.
Quand il m'entend, il se défend que c'est pas lui qui a une trique de ouf. Qu'il essayait juste de rendre service ! PH entre dans le jeu. Il dit qu'effectivement, on ne peut décemment laisser repartir ce monsieur dans cet état. Avec tous les yeux des passagers au niveau de son bassin, tous vont s'apercevoir qu'il bande à mort. Il se lève et se place dans l'entrée de la cabine à 4. Ludovic ne perd pas de temps et dégrafe son pantalon. Ce dernier tombe immédiatement sur ses chaussures noires et laisse apparaitre un slip quelconque. Par contre, ce qui ne l'est pas c'est ce qu'il ne cache plus, un gros sexe de plus de 20cm épais. Vu le gabarit moyen du mec, c'est impressionnant. Même si je sais que les queues c'est pas proportionnel à la taille du mec !
Encore sous le choc notre jeune contrôleur ne réagit pas.
Il ne reprend ses esprits que lorsque Ludovic avale son gland. Il essaye alors de reculer mais ma présence dans son dos l'en empêche.
Je pose mon menton dans sa salière droite et lui souffle de se laisser faire. Que je connais mon Ludo, il va lui faire un bien fou.
Désireux je pense de ne pas faire d'esclandre, il serre les lèvres et se laisse pomper. Je rejoins PH pour faire écran avec le reste du wagon. Dans notre dos, passent des voyageurs qui cherchent leurs places où vont au wagon restaurant.
Notre contrôleur prend des initiatives. Il pose ses mains sur la tête de Ludovic et gère le rythme de pompage. Ludo se fait aux modifications des va et vient les mains posées sur le fessier cheminot pour éviter tout retrait intempestif.
Il ne relâche la pression que quand, dans un souffle, notre controleur l'informe que ça monte. Deux coups de poignet et il jute dans le mouchoir en papier que je tends à Ludovic.
Il se rajuste rapidement et nous souhaite un bon voyage. Il part, laissant derrière lui une odeur de sperme frais ! On éclate de rire quand la femme qui est installée face à notre porte plisse le nez. Nous ne reverrons plus notre contrôleur qu'à 10mn de l'arrivée. Il passe devant nous avec un sourire et un clin d'oeil. C'est seulement là que je note l'alliance qu'il porte à l'annulaire gauche.
Jardinier
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Noce i Dnie - nenufary
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Nim las nim kłos
Nim noc dojrzeje
Ktoś wygra los
Ktoś porzuci nas
Nasz dom nasz ląd zniknie gdzieś
Odpłynie w dal biała wieś
Będziemy snem zorzą zórz
Morskim dnem i gwiazdą
Pokochaj mnie z całych sił
Pokochaj mnie na sto lat
Pokochaj mnie jakbyś był
Tak młody jak był dawniej świat
Już zielenieje sad po burzy
Nim roztopimy się w podróży
Ty kochaj mnie od nocy do nocy
Aż po noc
Nim kłos nim las
Nim noc dojrzeje
Masz jeszcze czas
By pokochać mnie
Bo jak to jest jak to tak
Że więdnie bez cichnie ptak
Zegary tak śpieszą się
Biegną dnie i noce
Pokochaj mnie lesie mój
Kochajcie mnie ranne mgły
Darujcie mi biały strój
Tak mało już nocy i dni
Znów zielenieje sad po burzy
Nim roztopimy się w podróży
Ty kochaj mnie od nocy do nocy
Aż po noc
Avant la forêt, avant l'oreille
Avant que la nuit ne mûrisse
Quelqu'un gagnera à la loterie
Quelqu'un nous abandonnera
Notre maison, notre terre disparaîtra quelque part
Le village blanc s'envolera
Nous serons un rêve d'aurore boréale
Les fonds marins et l'étoile
Aime-moi de toutes tes forces
Aime-moi depuis cent ans
Aime-moi comme tu l'étais
Aussi jeune que le monde l'était
Le verger verdit déjà après la tempête
Avant de nous fondre dans le voyage
Tu m'aimes de nuit en nuit
Jusqu'à la nuit
Devant un épi de maïs il y a une forêt
Avant que la nuit ne mûrisse
Tu as encore le temps
M'aimer
Parce que si c'est comme ça, c'est comme ça
Que l'oiseau se flétrit sans silence
Les horloges sont si rapides
Les jours et les nuits passent
Aime-moi, ma forêt
Aime-moi, brumes matinales
Donne-moi la tenue blanche
Il y a si peu de nuits et de jours
Le verger est à nouveau vert après la tempête
Avant de nous fondre dans le voyage
Tu m'aimes de nuit en nuit
Jusqu'à la nuit
Before the forest, before the ear
Before the night matures
Someone will win the lottery
Someone will abandon us
Our house, our land will disappear somewhere
The white village will fly away
We will be a dream of aurora borealis
The seabed and the star
Love me with all your strength
Love me for a hundred years
Love me like you were
As young as the world was
The orchard is already greening after the storm
Before we blend into the journey
You love me from night to night
Until the night
In front of an ear of corn there is a forest
Before the night matures
You still have time
Love me
Because if it is like that, it is like that
That the bird withers without silence
The clocks are so fast
The days and nights pass
Love me, my forest
Love me, morning mists
Give me the white outfit
There are so few nights and days
The orchard is green again after the storm
Before we blend into the journey
You love me from night to night
Until the night
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Je suis enfin rentrée de ce voyaaaage. C'était beaucoup trop intense. J'ai énormément de négatif en tête parce que comme d'hab j'aime bien me saboter MAIS je vais essayer de me concentrer sur le positif.
Déjà, j'ai parlé à pleins de gens avec qui j'avais jamais parlé. C'est l'un des rares points positifs quand t'as pas de vrais potes, tu vas plus vers tout le monde. Puis j'ai bien vu la complicité que les gens avaient entre eux, c'était bo, et je me suis dit que c'était en énorme partie de ma faute si je n'avais pas de vrais potes dans mes études parce que j'ai très vite abandonné et séché.
Mais y a un truc que j'ai compris chez moi. Pour moi, la terre entière est ma pote et c'est seulement si t'as des comportements que je kiffe pas que je me dis que je ne t'aime finalement pas. Sauf que ça fonctionne pas comme ça chez les gens normaux?! Eux ils partent avec une base neutre et apprennent à connaître la personne et c'est par la suite qu'ils voient s'ils l'aiment ou pas.
Bon c'est déjà la fin de la liste en fait parce que flemme de revenir là dessus. Je suis contente que ce soit passé et comme d'hab j'ai plus que hâte de finir mes études.
(01/04/2023)
#ah oui contexte : voyage scolaire obligatoire#j'ai pleuré 2 jours d'affilés parce que j'avais pas envie d'y aller
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Un nouveau drama pour ce mois d'octobre (oui ca faisait longtemps que je n'avais pas fait de fiche; beaucoup de choses me sont arrivées dernièrement et je suis épuisée). Voici donc:
Titre: A good day to be a dog / Une bonne journée pour être un chien
Drama Coréen de 14 épisodes de 1H environ
Genre: Comédie, Romance, Surnaturel (Humain-Chien)
Quelques acteurs:
Histoire:
Han Hae Na (Park Gyu Young) est enseignante de littérature coréenne au lycée. Elle souffre d'une malédiction très particulière : si elle embrasse un homme, elle est condamnée à se transformer en chien chaque nuit, bien qu'elle reprenne sa forme humaine le matin. Il n'y a qu'un seul moyen de rompre la malédiction : recevoir un baiser de l'homme qui l'a embrassée... pendant qu'elle est sous sa forme de chien !
Elle a le béguin pour Lee Bo Kyum (Lee Hyun Woo), un collègue qui enseigne l'histoire dans la même école. Elle est éprise de lui, affirmant même qu'il est la seule raison pour laquelle elle veut continuer à venir au travail tous les matins.
Mais un soir, ivre, elle embrasse Jin Seo Won (Cha Eun Woo), un autre collègue masculin, pensant qu'il s'agissait de son coup de cœur.
Malheureusement pour elle, Jin Seo Won est terrifié par les chiens en raison d'un événement traumatisant survenu dans son passé et maintenant Han Hae Na doit trouver un moyen de l'amener à l'embrasser sous sa forme de chien, sous peine de passer le reste de sa vie en tant que chien !
Avis perso: Bon début pour ces 2 premiers épisodes sortis. Une relation inattendu avec des évènements inattendus et cocasses bien sûr, c'est divertissant :)
Trailer:
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Pour le voir:
Wiki ou Dramacool
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Ce matin on se réveil…avec des courbatures. Encoooore ! Zéro amélioration par rapport à hier. On se dit alors qu’on va prendre un de ces bus touristiques qui font le tour de la ville comme ça pas trop besoin de marcher.
On a choisi de faire la ligue bleue, elle dure environ deux heures. Le tour commence sur le Victoria & Alfred Waterfront (on a d’ailleurs appris que nombreux sont les gens à se tromper ou à penser qu’il s’agit d’une erreur car le mari de la reine Victoria s’appelait Albert. Mais c’est son fils, Alfred, qui a posé la première pierre de la jetée. C’est pour cela que son nom a été repris). En quittant le port, on nous explique qu’à l’époque, pour que les marins aient leur montre toujours à l’heure, tous les jours à midi un coup de canon était tiré à Signal hill. Et aujourd’hui encore cette tradition est perpétuée (sauf le dimanche). On comprend mieux les détonations 😂😅. Nous poursuivons notre route et quittons le centre ville. Nous passons devant l’hôpital Groote Schuur, très connu car, en 1967, le Dr. Christiaan Bernard a réussi la première transplantation cardiaque. Nous partons ensuite vers les vignobles de Constantia. Tous le long de la route ont été planté volontairement des chêne-liège, pour assurer la production de bouchon pour le vin. Il y a une ligne de bus qui fait le tour des vignobles pour aller déguster des vins. Dommage que je n’aime pas trop le vin 🍷, ça aurait été super intéressant ;) c’est une région assez huppée, il y a que de belles et grandes maisons. Toutes sont entourée de grandes palissades surmontées de plusieurs rangées de fils électriques. On se demande si c’est pour prévenir des cambriolages ? Oui mais pas ceux des humains…c’est pour les singes. Il n’est pas rare que ces jolis petits animaux ouvrent les portes ou les fenêtres des habitations pour se servir de nourriture et tour saccager sur leur passage…😣🐒 Nous arrivons gentiment à Hout Bay, quartier également assez huppé en bord de mer. Sur ces hauteurs, le petit hameau (presque bidonville) de Imizamo Yethu, en français : Par la lutte collective. Le contraste est choquant. Nous finissons notre tour dans les quartiers de Camps Bay et Clifton, c’est le quartier de la jetset à Capetown 😎. Le bus nous dépose sur la jetée et nous continuons notre visite à pied.
Nous nous rendons à Bo Kaap, un quartier haut en couleur au cœur de la ville. C’est le quartier des Malais du Cap. Les descendants des esclaves de l’actuelle Malaisie, Inde et Indonésie. Nous passons bien sûr voir la gare centrale. Malheureusement il y a des portiques pour accéder aux quais et les dames ne m’ont pas laissé approcher les trains de trop prêts 🤷🏽😢 on traverse la ville pour rejoindre la voiture qu’on a laissé sur la jetée et on file à l’hôtel en espérant voir le coucher de soleil depuis le toit ! Malheureusement il est caché derrière les nuages…mais on boit quand même un petit verre de rosé face à l’océan 🥂🌊
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