#histoire de l'Afrique
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La Miséricorde de la Jungle [The Mercy of the Jungle] (Joël Karekezi, 2018)
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[Regarder] Godzilla x Kong : Le nouvel Empire (2024) Film en streaming VOSTFR – VF
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-Regarder Godzilla x Kong : Le nouvel Empire en streaming sur Papadustream.cfd : Streaming Le dernier opus de la franchise Monsterverse de Warner Bros. montre des signes d'une imagination anémique. Rien dans “Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire” ne fait sens, ce qui n'est pas, en soi, un problème. Nous ne sommes pas installés confortablement dans nos sièges de cinéma avec notre popcorn rassis pour discuter de métaphores et de science ; nous sommes ici pour les stars du titre. À propos de ce titre : “Godzilla x Kong” (censé évoquer divers autres titres dans d'autres films Godzilla, non hollywoodiens) pourrait signifier Godzilla multiplié par Kong, ou Godzilla croisé avec Kong, ou encore Godzilla contre Kong — une sorte de permutation de titans. Quoi qu'il en soit, il y aura des coups. Nous sommes là pour les coups.
Ce que nous ne sommes pas là pour voir, ce sont les humains, ce qui est chanceux, car ils tombent comme des mouches. La plupart des personnages des derniers films — y compris celui de 2021 “Godzilla vs. Kong” (également réalisé par Adam Wingard) — ont disparu, largement sans explication. Notre personnage principal maintenant est le Dr Ilene Andrews (Rebecca Hall), mère adoptive d'une préadolescente, Jia (Kaylee Hottle), membre de la tribu Iwi, qui communique directement avec Kong par le langage des signes. J'ai particulièrement regretté l'absence du Dr Nathan Lind d'Alexander Skarsgard, dont l'absence est en quelque sorte expliquée mais pas pleurée, et qui a été remplacé, pour des raisons narratives, par un vétérinaire farfelu des titans joué par Dan Stevens. (Pour une raison quelconque, je suppose pour signaler l'excentricité, Stevens arbore un accent australien exagéré.)
Ils sont rejoints une fois de plus par Bernie Hayes (Brian Tyree Henry), le podcaster-blogueur-documentariste-bizarre du dernier film. Pour une raison quelconque, il est convaincu que personne ne croit ses histoires sur les titans, même si le véritable Godzilla erre sur Terre et est montré aux actualités télévisées. (Je suis plus bloqué sur l'idée étrangement fantastique qu'il soit un blogueur populaire. N'aurait-il pas déjà un Substack à présent ?)
Ces humains sont assez ennuyeux, plus anémiques que dans le dernier film. Ils sont là uniquement pour propulser le récit à travers cette histoire, qui commence avec Kong vivant dans la Terre Creuse (exactement ce que ça semble être) et Godzilla à la surface. Tant que les deux ne se rencontrent jamais, tout va bien — et par tout, je veux dire l'humanité.
Ce qui signifie, bien sûr, qu'ils se rencontreront. Les scientifiques repèrent Godzilla en train de faire la sieste dans le Colisée, puis de se frayer un chemin à travers l'Europe et le nord de l'Afrique, absorbant apparemment autant d'énergie nucléaire qu'il le peut car il sent une confrontation arriver. En même temps, quelque chose ne va pas du tout dans le monde de Kong en dessous. Et Jia fait aussi des rêves étranges — des rêves qui mènent à une expédition dans la Terre Creuse.
Ce qui suit est une tentative d'établir beaucoup de mythologie pour la franchise Monsterverse. (Leur terme, pas le mien.) C'est une grosse erreur. Vous pouvez dire que c'est une erreur, parce que toute cette mythologie doit être révélée dans un dialogue explicatif fastidieux. Plus important encore, une fois que vous savez ce qui s'est passé dans le passé, vous savez précisément ce qui va se passer dans le présent, ce qui arrache tout suspense restant au film, ne laissant que les coups. (Tellement de coups.)
D'ailleurs : cette série a-t-elle besoin d'une mythologie ? Godzilla et Kong ont tous deux une riche histoire cinématographique sur laquelle s'appuyer — c'est le 38ème film pour Godzilla et le 13ème pour Kong, et bien qu'ils n'aient pas partagé l'écran jusqu'à récemment, ils apportent tout leur bagage et leur histoire avec eux. Cela ressemble à une tentative désespérée pour la franchise de crossover de justifier à la fois son existence et sa continuation.
Ce qui n'est pas surprenant. Le bilan de cette série donne le tournis. Le film de 2014 “Godzilla”, une sorte de redémarrage de la série originale de Toho mettant en vedette le personnage, était un film légitimement excellent, équilibrant spectacle et pathos humain. Mais ensuite sont venus “Kong: Skull Island” et “Godzilla: Roi des Monstres”, tous deux censés construire un univers partagé, tous deux non seulement mauvais mais vraiment déprimants. Ensuite, il y a eu “Godzilla vs. Kong”, qui n'était pas, techniquement parlant, bon — mais il promettait une confrontation et l'apportait, avec un coda tardif de coopération involontaire et visuellement spectaculaire entre le singe massif et le lézard nucléaire. C'était un plaisir à regarder, surtout parce que le climax arrivait enfin : les deux monstres avaient enfin leur rencontre tant attendue.
Mais avec ce zénith dans le rétroviseur, “Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire” n'a plus beaucoup de route à parcourir, et ça se voit. Les meilleurs moments impliquent Kong se déplaçant à travers le paysage, Godzilla piétinant et écrasant des choses, et bien sûr la confrontation finale inévitable, qui réserve quelques surprises. Kong en particulier semble n'avoir aucun problème à communiquer sans langage humain, et ces scènes prolongées sont tellement amusantes à regarder qu'il est décevant de revenir aux humains.
Certes, les humains peuvent être une partie fructueuse de ces films de monstres. Le récent film japonais “Godzilla Minus One”, produit pour une fraction du budget de “Godzilla x Kong” et récipiendaire de l'Oscar des meilleurs effets visuels cette année, parvient à combiner la créature avec un véritable pathos et un accent sur le coût humain de la guerre, de la culpabilité et du traumatisme. C'est plus en phase avec l'origine de Godzilla, aussi, en tant que
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Petit retour aux sources...
Ne trouvez-vous pas que cela fait très longtemps que je ne vous ai pas parlé de mon cher Maroc ? Quand on sait la place qu'occupe ce pays dans mon histoire personnelle, on pourrait s'en étonner... Je vous mentirais, si je ne reconnaissais pas que je m'y réfugie en pensée, à peu près tous les jours, un petit moment... ou pour de longues échappées solitaires... Le célèbre diptyque de Raimbaud (''Je sais que je pourrais être plus heureux ailleurs... Je ne sais pas où c'est, mais je sais que c'est ailleurs'') est devenu, pour moi : ''Mais moi, je sais où c'est : c'est à Rabat''...
Permettez-moi de m'échapper quelques minutes de la grisaille ambiante –aggravée, comme si besoin était, par un temps... digne de la situation de notre pays et des non-solutions évoquées par nos ''meneurs'' : sinistre, glaciale, stérile, inutile, repoussante, glissante à en être dangereuse... Pourtant, chers Amis-lecteurs, permettez-moi de vous proposer de m'accompagner dans ce qui est pour moi (et de loin, après tant et tant de voyages et tant de tours du monde) la plus belle ville et le plus beau pays. Et ce d'autant plus que notre président, jamais à court d'une mauvaise idée, s'est débrouillé pour brouiller la France avec un de ses plus sûrs, plus fidèles, plus anciens amis... au profit (pour personne !) de l'antipathique et repoussant (et intrinsèquement mauvais pour la France) leader algérien Abdel Madjid Tebboune...
Pour ne pas que ce petit voyage évocateur tombe comme un cheveu dans la soupe, je profite d'un événement que personne ne pense à fêter : le nouvel an berbère. (La communauté berbère est très importante au Maroc et le Roi Mohammed VI a conféré à leur langue le statut de ''seconde langue officielle'' dans la Constitution de 2011). Dimanche, donc, la communauté dite ''amazigh'' (=''les hommes libres'') dans la langue ''t'Amazight'', fêtait son Nouvel An, celui de l'année 2978 dans leur calendrier (entre les 5784 ans des juifs et nos 2024 ans, mais plus du double des 1445 ans des arabes !). Le ''point zéro'' de ce décompte remonte à l'accession au trône de Pharaon du roi Amazigh Sheshonq 1er --dont Wikipédia m'a permis de découvrir qu'il est mort en 922 av. J.-C., qu'il était fils de Nimlot et de Tentsepeth et petit fils de Mehtenvreskhet (à vos souhaits !), qu'il eut pour enfants Osorkon Ier, Sheshonq II et Nimlot Ier, comme petits enfants Takelot Ier, Sheshonq III, Iouwelot et Nesbanebdjed III ... et qu'il régna de 945 à 924 av. J.-C. Mais bon ! Si vous insistez vraiment, j'arrête d'étaler un non-savoir que je n'avais pas il y a 10 minutes...
De manière moins académique, cette population Amazigh (également dite ''Chleuh'' ou ch'l Ha, et berbère au Maroc, kabyle en Algérie ou djerbienne en Tunisie) correspond aux premier habitants de tout le nord de l'Afrique jusqu'à l'invasion des armées d'occupation arabes (''les cavaliers d'Allah'') qui ne sont donc (et ils n'aiment pas qu'on le leur rappelle) que ''des colonisateurs sans espoir de retour''... Permettez-moi une anecdote, un souvenir personnel : mon épouse et moi traversions à cheval une oasis perdue du Désert blanc, dans la région de Siwa (entre Tobrouk et el-Alamein), lorsque nous avons croisé un groupe de paysans qui devisaient entre eux. Ma surprise quand j'ai réalisé que je comprenais ce qu'ils disaient n'a eu d'égale que la leur lorsqu'un ''n'srani'' (= un nazaréen, donc un chrétien) leur a parlé dans cette même langue. Les ''chleuhs'' occupaient bien tout le nord de l'Afrique, jusqu'en Egypte où ils ont donc régné !
Mais ces guerriers farouches (on parlait, au temps de l'Empire français, des ''irréductibles chleuhs'') n'ont jamais été soumis, et ils ont résisté aux carthaginois, aux romains, aux ottomans et aux européens (français et espagnols). Et s'ils ont cédé devant Allah, ce n'est que pour ce qui concerne la pratique de la foi (encore qu'il existe un fort reste chrétien dont mon regretté ami Mgr Pierre Boz était Exarque) : ils se sont repliés dans des zones montagneuses où ils ont conservé et protégé leur héritage culturel, leur langue, leur alphabet et leur mode de vie... avant de devenir, sous le nom prestigieux de ''goums'', les soldats invincibles qui ont eu raison de la Wehrmacht à Monte Cassino et au Garigliano, sous les ordres du futur Maréchal Juin, dans des corps à corps d'anthologie....
Une autre anecdote, moins personnelle mais plus amusante : depuis 1912, lors de la pacification du Maroc par les généraux Gouraud et Lyautey (et d'autres héros) le contingent français avait pu mesurer la vaillance de combattants chleuhs, dans la fameuse ''guerre du Rif''. Lorsqu'ils ont été ramenés en France après 1914 –et pour cause !-- nos ''piou-pious'' ont gardé l'habitude de désigner leurs ennemis du jour par ''les chleuhs''... Et voilà comment l'Armée allemande s'est retrouvée réputée être peuplée d'habitants d'une tribu du Moyen-Atlas !
Outre le maintien de leurs traditions vestimentaires, artistiques ou coutumières ( la ''Guédra'', la célèbre ''Fantasia'' ou le ''T'bourida'' –mot dérivé de ''baroud'' (qui veut dire la poudre ou la guerre)-- il leur reste de ce passé glorieux la pratique, dans les villages les plus reculés, de la Taskiwine, une danse martiale typique des montagnes du Haut-Atlas, qui tire son nom de la corne de bélier richement décorée que porte chaque danseur, le Tiskt, et fait vibrer les épaules au rythme des tambourins et des flûtes en bois d'olivier, ces ''raïtas'' au son si aigre. Cette pratique, qui encourage la cohésion sociale et l’harmonie, a joué un rôle certain dans l'histoire parfois difficile de ce peuple. Nul doute qu'on l'a dansée, et beaucoup, dimanche dernier...
Il me reste à demander pardon à ceux d'entre vous qui ne partagent pas mes choix (que je reconnais parfois contestables) pour tout ce qui touche au Maroc. Mais ceux qui me connaissent connaissent aussi l'analyse que je fais des relations franco-marocaines : ''L'Histoire retiendra que la France a exercé au Maroc une mission iso-coloniale. Mais la vérité est que tout français qui a mis les pieds dans ce pays s'est retrouvé lui-même comme ''colonisé'' par son charme, sa beauté, sa richesse, et la gentillesse de ses habitants''... qui deviennent souvent infréquentables, hélas, dès qu'ils s'expatrient. Mon ami d'enfance le Roi Hassan II aimait faire sur ce sujet des remarques éblouissantes... que nos dirigeants auraient mille fois mieux fait d'écouter religieusement, au lieu de nous enfermer dans leurs certitudes mensongères et doctrinaires qui ne mèneront jamais nulle part !
Nous reviendrons, dès demain, à des sujets plus habituels, c'est promis. En attendant, Bonne Année 2978 à nos amis berbères... même si cette notion n'a pas le moindre sens, en terre d'islam...
H-Cl.
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Ma nouvelle théorie du complot préférée : les anciens égyptiens avaient l’électricité. De quel cerveau illuminé vient-elle ? Rien de moins que notre Graaaaaand Maître à tous, j'ai nommé Gims !
Du génie, putain. Du pur génie. Une citation directe de notre nouveau grand historien, pour le plaisir, et ensuite un article du Parisien qui est un peu plus sérieux et critique.
"L'Afrique, c'est Wakanda, bordel ! À l'époque de l'empire de Koush, il y avait de l'électricité. [...] Les pyramides qu'on voit là, au sommet il y a de l'or, l'or c'est le meilleur conducteur pour l'électricité. C'était des foutues antennes, les gens avaient l'électricité […]. La science, que (les Égyptiens) avaient, dépasse l'entendement et les historiens le savent."
Je recommande la lecture de l'article du Parisien, qui dit notamment que la théorie existait déjà avant Gims, et qu'elle est née de sentiments anti-néocolonialistes qui ont leur légitimité quand elles sont réellement ancrées dans l'histoire.
Bref. Je ris comme une baleine toute seule depuis que je suis tombée sur cette histoire. Fallait que je partage.
#upthebaguette#french side of tumblr#french stuff#maître gims#théories du complot#conspiracy theories#vivelarépublique
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L'Express: Stratégie de la France en Afrique : ce qu'il faut retenir du discours de Macron
L'Express: Stratégie de la France en Afrique : ce qu'il faut retenir du discours de Macron.
L'Afrique terre ancienne et terre de jeunesse, passé et avenir de la terre.
Réalité complexe mais non pas illisible.
Terre de richesses minérales, végétales et animales trop souvent soumise aux pillages mondiaux et pas seulement continentaux.
Pour la France, l'Afrique du Nord et l'union pour la Méditerranée barrés par le véto américain.
Le Sahara et le sub-Sahara gangrené par les trafics, l'engagement djihadiste et l'infantilisation des populations touaregs, la solution reste à trouver sinon à pratiquer. Nous y sommes dans une impasse ! Véto américain ?...
l'Afrique de l'ouest, division avec offense islamiste contre les populations du sud chrétiennes, comment ne pas prendre parti, comment n'être pas partisan ? Les ingérences moyen-orientales dans la région n'y sont peut-être pas absentes dans la détérioration des situations locales. Qu'y peut la diplomatie française et européenne ? Peu, bien peu...
L'Afrique équatoriale entre Boko Haram et la société de sécurité privée Wagner, les positions de la France n'y est pas des plus confortables.
L'Afrique centrale, Congos et région des lacs y sont indissociables par l'histoire et la dramatique actualité. Pour les Congos il faut craindre le véto américain. Pour les lacs rien ne se fera sans les populations Houtous, tout se fait sans elles !
La France n'y a pas les leviers d'autrefois, la Belgique et l'Europe pourraient nous aider à résoudre ces équations difficiles !?
Reste l'Afrique australe où rien n'est facile ou profitable, où tout peut devenir facile et, aussi, profitable...
L'Afrique et la France, c'est une longue histoire qui ne fait que commencer.
#news#politics#history#france#justice#european union#us politics#republic of south africa#subsaharian africa#north africa#equatorial africa#sahara#mediterranean union#american veto#touareg#congos#richnesses#minerals#vegetal#animals#youth#lakes's region#tutsi#houtou#austral africa#western africa#christian south#islamic north
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Yennayer où Yennar dans certaines régions est le premier jour de l'an du calendrier agraire utilisé depuis l'Antiquité par les Berbères à travers l'Afrique du Nord. Fêté selon les régions du 12 au 14 janvier de chaque année, il correspond au premier jour de janvier du calendrier julien, qui aujourd'hui est décalé de 13 jours par rapport au calendrier grégorien. Suite probablement à une erreur des premières associations culturelles qui ont prôné le retour à cette fête traditionnelle menacée de disparition, l'opinion que la date traditionnelle est le 12 janvier est très répandue, surtout en Algérie, bien que d’après des spécialistes la date exacte est le 14 janvier.
Dans certaines régions, Yennayer est précédé par "imensi n yennayer" (littéralement « le dîner de Yennayer ») qui a lieu la veille du Nouvel An Amazigh. Les gens se réunissent et attendent, à travers différentes manifestations, la venue de la nouvelle année.
Origines l'Académie berbère s'est basée sur le fait que les Nord-Africains avaient coutume de célébrer Yennayer chaque année, pour le décréter comme « nouvel an amazigh ». C’est Ammar Negadi6 qui mit en avant un calendrier berbère, en 1980, basé sur un évènement marquant dans l’histoire du peuple amazigh, un fait historique incontestable pour en faire le point zéro du calendrier. Son choix s’est porté sur l’an 950 avant Jésus-Christ qui correspond à la date où le roi berbère Sheshonq Ier (ⵛⵛⵏⵈ) (orthographié également Chichnaq ou Chichneq) fut intronisé pharaon d’Égypte et fonda la XXIIe dynastie qui régna sur l'Égypte jusqu’à l’an 715 av. J.-C. Ce roi berbère avait réussi à unifier l’Égypte pour ensuite envahir le Royaume d’Israël. On dit de lui qu’il s’empara des trésors du temple de Salomon à Jérusalem en 926 avant Jésus-Christ. Cette date est mentionnée dans la Bible et constituerait, par-là-même, la première date de l’histoire berbère sur un support écrit. Le roi Sheshonq est évoqué dans la Bible sous le nom de Sésaq et Shishaq (שִׁישַׁק) en hébraïque ancien cette version reste très contestée.
Le mythe de la vieille, dans l’univers culturel berbère, un drame mythique marqua, de sa forte empreinte, Yennayer. Des histoires légendaires sont différemment contées au sujet d’une vieille femme. Chaque contrée et localité ont leur version. Les Kabyles disaient qu’une vieille femme, croyant l’hiver passé, sortit un jour de soleil dans les champs et se moqua de lui. Yennayer mécontent emprunta deux jours à furar (février) et déclencha, pour se venger, un grand orage qui emporta, dans ses énormes flots, la vieille.
Des traditions berbères liées au changement de l’année se retrouvent dans plusieurs régions d’Afrique, voire du bassin méditerranéen. Elles s’apparentent parfois à de la superstition; néanmoins elles participent à la socialisation des personnes, harmonisent et renforcent le tissu culturel. Des peuples d’identités différentes, considèrent les divers rites de Yennayer faisant partie intégrante de leur patrimoine culturel.
Yennayer et ses rites, le vocable "yennayer" s’apparente au terme latin "ianuarius" (janvier). Il est le plus utilisé dans l’univers culturel berbère, même si le Kabyle a tendance à employer parfois « ixf u segwas » (le début de l’année) ou encore « tabburt u segwas ». Les At Waziten (les berbères de Libye) préfèrent « anezwar n u segwas » (introduction de l’année). Ce mois marque les débuts du solstice d’hiver. Le soleil entame sa remontée. Les jours encore très froids se rallongent et instaurent l’espoir d’une meilleure année. Il est ritualisé d’une manière assez significative. La célébration de Yennayer s’articule autour de plusieurs symboliques.
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La Chine et l'Afrique : Une histoire de commerce qui façonne l'avenir
Les relations entre la Chine et l’Afrique sont le fruit d’une histoire ancienne et d’une transformation profonde au fil des siècles.
Les relations commerciales entre la Chine et l’Afrique sont le fruit d’une histoire ancienne et d’une transformation profonde au fil des siècles. De l’époque des routes maritimes reliant les ports africains aux comptoirs asiatiques à l’essor de la coopération économique dans l’ère moderne, les échanges entre ces deux régions ont pris des proportions stratégiques majeures. Aujourd’hui, la Chine…
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L'Afrique, un continent en mouvement
L’Afrique, un continent aux multiples facettes, révèle une complexité fascinante. Loin des clichés, elle est le théâtre de dynamiques économiques, sociales et politiques qui redessinent le paysage mondial. L’Afrique, berceau de l’humanité, est aujourd’hui un continent en pleine mutation. Loin des clichés stéréotypés, l’Afrique est un espace dynamique, où se croisent des histoires multiples, des…
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1er décembre : le 80e anniversaire du massacre de Thiaroye, la fin d’un déni français
Au Sénégal et dans plusieurs pays d’Afrique, on célèbre le 80e anniversaire du terrible massacre de Thiaroye opéré par l’armée française en 1944. Après 80 ans de déni, la France et notamment plusieurs localités comme Morlaix, où ils avaient été cantonnés, commémorent cette journée honteuse du 1er décembre.
Fin novembre 1944, plus de 1 600 soldats africains (officiellement 1 280) issus de différents territoires de l'Afrique-Occidentale française sont regroupés dans le camp de Thiaroye, à une quinzaine de kilomètres du centre de Dakar. On les appelle les « tirailleurs sénégalais » mais ils sont aussi originaires Dahomey (actuel Bénin), du Soudan français (actuel Mali), de la Haute-Volta (actuel Burkina-Faso), de la Côte d'Ivoire, de l'Oubangui-Chari (actuels Tchad et Centrafrique), du Niger, du Gabon et du Togo. Ils ont aidé la France à vaincre l’occupant allemand, leur mission étant terminée, ils ont été rapatriés pour être démobilisés.
Ils n’ont été payés que très partiellement et la plupart refusent de quitter le camp tant que leur solde n’aura pas été versée intégralement en outre il réclame que leur pécule en francs français soit changé en franc de l’AOF au cours officiel de 500 pour 1000 FF au lieu de 250 comme on le leur propose. En réponse à ce mouvement de protestation, le camp est investi par les troupes du général Dagnan au matin du 1er décembre et les Français tirent sur les soldats africains rassemblés. L’armée française a d’abord reconnu 35 morts, puis 70… sans compter les très nombreux blessés. Les historiens parlent de plusieurs centaines de morts, probablement entre 300 et 400. 80 ans après, la majeure partie des archives françaises concernant ce crime de guerre ne sont toujours pas publiques.
Le président Hollande en 2014 est le premier à reconnaître une “répression sanglante”, mais en s’en tenant au bilan officiel de 1945 : 35 morts, sans les nommer ni révéler le lieu de leur sépulture ni reconnaître la spoliation du rappel de solde et la responsabilité de l’armée. Le 28 novembre 2024, le président Emmanuel Macron reconnaît officiellement le ‘massacre’ de Thiaroye dans une lettre adressée à son homologue sénégalais Bassirou Diomaye Faye, anticipant de trois jours ce 80e anniversaire. À l’assemblée nationale française, on annonce une commission d’enquête… En parallèle, côté sénégalais, un groupe d’historiens, de documentalistes et d’archivistes a été missionné pour tenter de faire la lumière sur les nombreuses zones d’ombre autour de ce massacre qui a profondément marqué les populations d’Afrique de l’Ouest. Son évocation auprès des plus jeunes est une illustration de l’époque terrible de la colonisation française et participe au discrédit de la France dans la région. Est-ce une coïncidence si deux jours avant ce 80e anniversaire le gouvernement sénégalais annonçait que l’armée française était invitée à quitter le Sénégal. Le Tchad venait de faire de même.
Le massacre est aussi commémoré chaque 23 août lors de la Journées des tirailleurs.
À lire Le massacre de Thiaroye - 1er décembre 1944. Histoire d’un mensonge d'État, Armelle Mabon, Le Passager clandestin, novembre 2024, 272 p.
Thiaroye 1944. Histoire et mémoire d’un massacre colonial, Martin Mourre, PUR, mars 2017, 240 p.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 1er décembre 2024
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La ruse c gardé la mesure de montagne....c le serpent et T.la mesure de ma montagnes
.
C du supra spirit
Avant que tu efface tes textere (retiens de ne pas le faire)
Car ici c privé
Et quelques chose se réveil
Donc n'efface.pas tes textes
Et duplique l'ai
.
Quand tu place la roue des patriarches en toi
Ce n'es pas des songes mais des rêve
Étrange
Non réel
.
Or si tu écris pour nous (parce tu es dans un prolongement gratuit et sans intérêt mais sauf qu'ici David oublie le provisoirement)
C des songes
Parfois
Puisque personne t'invite à venir
Savoir où découvrir
.
Même si une écriture deux fois différente à ce sujet
.
Sa veux dire ici enterre ta dévotion
Quelque instant
.
.
L'albinos ta donné les noms des présidents africains corrompu
C'était je te le rappelle
Au Sénégal et en côté d'ivoire
Alors peur être que c faux
Donc on vas appeler côté d'ivoire
L'évasion
Et ici
Sénégal le livre sa veux dire le récit
.
Et là tout redevient normal
La roue des patriarches s'éloigne
.
Sauf que Moshe n'a jamais été dans cette roue
.
Tu comprends
Moshe regarde
Moshe écoute
Moshe entend
Mais moshe ne parle pas
.
Tombouctou est une saturation de la pensée
Qui voyage dans le Spirit (à ceux qui sont dessus)
D'où ton génie hier qui dit
J'ai déjà détruit des montagnes
.
Si l'on dit corruption
C que d'autres ont des intérêts
.
.
Un homme à su
Ta vie
Ta dit
Et est parti
Et encore une fois
Avec 10 ans d'intervalle
.
Mais notre albinos
Elle s'en fou
Et tu sais quen Afrique
Ont dit deux le pouvoir de l'éternel
Dans quelque chose de mystique
Pourtant si tu retournes
Personne te le dira
Tout comme les histoires de jumeaux
.
Si ont te pourchasse dans les rêve
C que le récit
Qui casse l'Afrique
Viens de l'Afrique
Par le paiement de d'autres
.
Mais nous on vie plus en Afrique
Je parle pour darielys
.
Donc le mouvement
C de rendre inerte
D'autre nation
Par d'autres nations
.
Et peux être que l'évasion troquer par un faux récit de conscience
Et dans cette Afrique
Puisque l'Africain cubain et l'albinos et d'autre éphémères
Ton presque déjà mis en garde
.
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MÉDITATION
1tim 4:7. Repousse les contes profanes et absurdes.
bien-aimés! J'aimerai bien vous rappeler ce petit texte qui dit que : la foi vient de ce qu'on entend .
Oui bien-aimés! À force d'écouter une chose on risque de croire à cela..
À force d'écouter les gens qui parlent mal du christianisme , qui parlent mal de Jésus-Christ notre seigneur , on risque de commencer à le mépriser ..
Pour la petite histoire: il y'a un boxeur congolais qui vit en France et s'appelle YOURI KALENGA surnommé EL TORO..
Ce boxeur a grandi dans une famille chrétienne au Congo mais arrivé en Europe , voyant le niveau de vie européen , il se fait influencer par ses amis qui lui disaient que c'est à cause du christianisme que l'Afrique est entrain de souffrir ... Et que Jésus-Christ est une histoire inventée par l'homme blanc pour dominer sur les noirs ; et que la bible est une drogue pour assoupir les africains ...
À force d'écouter des telles convictions ; il est allé poser un acte qu'il regrette aujourd'hui; il a déchiré la bible devant la caméra et a dit que l'histoire de Jésus-Christ est un mensonge ; et il a incité les gens à faire pareil..
Et vous savez quoi?? Depuis qu'il a posé cet acte , sa carrière ne marche plus bien; il ne reçoit plus des contrats comme avant ; tout est devenu noir dans sa vie...
Récemment je l'ai suivi, il se plaint et il regrette amèrement son acte; il demande à Dieu de lui pardonner et accuse ses amis d'être ceux qui l'ont influencer dans le mal.
Bien-aimés! Dans son histoire il y'a une leçon à tirer; ce que nous pouvons retenir est de ne pas laisser les gens influencer notre foi en mal; surtout si nous ne sommes pas encore mieux affermis.
L'apôtre Paul dit à timothée de façon très radicale: repousse les contes profanes et absurdes .
Église ! Nous devons nous aussi repousser les contes profanes et absurdes...
Il faut éviter les gens qui ne vous disent que des discours qui sont contre votre foi chrétienne; les gens qui vous racontent que des mensonges ; les gens qui cherchent à semer la haine dans votre coeur pour les choses sacrées .
Nous reconnaissons que Jésus-Christ est le fils de Dieu qui était venu en chair pour mourrir pour nos péchés ; il était mort et ressuscité et ensuite monter au ciel nous laissant la promesse qu'il viendra nous chercher ; et quand bien même nous serons morts avant son arrivé , nous avons cette espérance que nous ressusciterons lorsqu'il reviendra dans sa gloire.
Voilà ce que nous reconnaissons! Le reste n'est pas notre problème!
Si quelqu'un pense que puisqu'il est noir et qu'il n'a rien avoir avec Jésus-Christ puisqu'il était juif; c'est son problème mais ne lui laisser pas l'occasion de semer ses absurdités en vous et vos enfants...
Que le seigneur nous bénisse!
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Aliko Dangote, originaire du Nigeria, est une figure emblématique du monde des affaires et le magnat le plus riche d'Afrique. Avec une fortune estimée à 13,9 milliards de dollars (12,8 milliards d'euros), Dangote est un exemple de réussite entrepreneuriale sur le continent. Cet article explore le parcours de ce titan des affaires, fondateur du plus grand conglomérat industriel du Nigeria, le groupe Dangote, et sa contribution au développement économique de l'Afrique. La Naissance d'un Empire Industriel Le groupe Dangote, fondé par Aliko Dangote, est le vaisseau amiral de cet empire industriel tentaculaire. La société a commencé ses activités dans le commerce de ciment, et a rapidement évolué pour devenir le plus grand producteur de ciment d'Afrique. Dangote Cement, la filiale phare, est aujourd'hui implantée dans dix pays africains, avec une capacité de production annuelle de près de 50 millions de tonnes. Cette production massive permet à l'entreprise de dégager des bénéfices considérables, illustrés par les plus de 600 millions de dollars (548 millions d'euros) versés à Dangote en 2022, en tant qu'actionnaire majoritaire détenant 85 % des parts. Une Vision d'Expansion : La Méga-Raffinerie de Lekki En mai 2023, Aliko Dangote a franchi une nouvelle étape dans son expansion avec l'inauguration de la méga-raffinerie de Lekki, la plus grande d'Afrique. Ce projet ambitieux est destiné à transformer l'industrie pétrochimique du continent. Avec cette raffinerie, le groupe Dangote prévoit d'augmenter considérablement ses revenus, actuellement estimés à environ 4 milliards de dollars (3,6 milliards d'euros) par an. À terme, les revenus annuels pourraient atteindre 30 milliards de dollars (27 milliards d'euros), renforçant ainsi la position de Dangote comme l'un des acteurs économiques les plus influents d'Afrique. L'Impact Économique et Social de Dangote Le succès de Dangote ne se limite pas à l'accumulation de richesses personnelles. Son entreprise a un impact significatif sur l'économie africaine, en créant des emplois et en soutenant le développement des infrastructures. En investissant dans divers secteurs, tels que l'agroalimentaire, la logistique, et l'énergie, Aliko Dangote contribue à diversifier l'économie nigériane et à réduire la dépendance aux importations. Aliko Dangote est un modèle de réussite entrepreneuriale en Afrique. Avec une vision claire et des investissements stratégiques, il a su bâtir un empire qui continue de croître et d'influencer le paysage économique africain. Son histoire est une source d'inspiration pour de nombreux entrepreneurs africains, illustrant que le continent est un terreau fertile pour les opportunités économiques et le développement industriel. https://savoirentreprendre.net/?p=15350&feed_id=11782
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Et après ?
Ceux de nos concitoyens dont le système mémoriel n'a pas été trop gravement endommagé par les agressions incessantes de la Doxa --cette vision progressiste du monde, prétendue correcte mais qui ne peut déboucher que sur une catastrophe-- n'ont pas oublié les jours maudits où on leur imposait des confinements inutiles, des masques sans effet, des humiliantes ''autorisations dérogatoires'', des boutiques fermées, des familles privées de deuil, une sous-vie au rabais et des non-vaccins qui ni n'empêchent, ni ne guérissent, ni ne protègent ! En ces temps de malheur, les faux beaux esprits dissertaient sur ''le monde d'après'' (sous-entendu : ''après-le-covid'', qui était pour eux la clé du monde futur ! Ah! Les idiots )
En avons-nous rigolé, ici-même, de cette prétention des plus nuls à se prendre pour Nostradamus, copiant la célèbre grenouille de la Fontaine qui se voulait plus grosse qu'un bœuf ! Or, le temps ayant passé, je suis obligé de reconnaître qu'ils n'avaient pas entièrement tort et je n'avais, moi, que partiellement raison : car oui,un monde ''autre'' est arrivé... ou plutôt est en train de s'installer sur la planète : sans que le covid ni aucune des mauvaises ''bonnes raisons'' qu'ils invoquaient n'y soient pour quoi que ce soit... un ''monde nouveau'' ou, plus exactement, un ''ordre nouveau'' est bel et bien en train d'étaler ses horreurs devant nos yeux incrédules et effarés, et ce monde est, hélas, ''post-occidental'', pour notre plus grand malheur et celui du futur de l'humanité.
L'ordre ancien, en tout cas, n'est plus, ou s'en va. Et ça, c'est une horreur acquise. L'état actuel de la Terre fait plus pitié qu'envie et, franchement, je ne connais personne qui se réjouisse de ce drame (sauf mélanchon... mais justement, c'est ''personne'' !). L'ordre ancien s'éloigne, et aucun, je dis bien : aucun remplacement n'apparaît à l'horizon. Voici le monde replongé dans des périodes sombres de son Histoire : une civilisation meurt... et rien de bon ne vient la remplacer. Un jour, peut être... Et dans ce clair-obscur crépusculaire, ressurgit le plus vieux système du monde, celui qui n'a besoin ni de règles ni de gendarmes : la loi du plus fort... à ceci près que cette débâcle de l'esprit est activée par et au seul profit de ceux que les wokistes et les islamo-progressistes désignent par ''les minorités opprimées''. Des opprimés opprimants ? Allez comprendre !
Le spectacle du monde d'aujourd'hui ne peut que faire penser à Gramsci : ''Lutter contre les idées dominantes, en transformant les idées existantes en idées ''justes'', c’est-à-dire révolutionnaires, en particulier dans les classes exploitées et opprimées''. Dans la folie de ce qu'il appelle ''sa justice'', le Hamas se sent autorisé à transgresser les limites ultimes de l'humanité, la mettant plus bas que l'animalité, et va chercher aux sources les plus éloignées de notre proto-histoire, le massacre des néandertaliens par les sapiens, --y compris les otages et les viols... qui nous valent quelque 4 % du génome néandertalien dans notre ADN-- ce ''pogrom'' avant l'heure, dont l'horreur a survécu et s'est imposé dans notre mémoire collective à travers l'image d'un Caïn tuant son propre frère. Les assassins du Hamas nous ramènent aux pires moments de nos origines !
Loi du plus fort ? Contre la lamentable ''voix de l'ONU'' totalement dévaluée, Israël trouve dans l'immensité de cette horreur un droit au talion, sous le noble prétexte de ''détruire le Hamas'' –ce qui serait une opération de salut public. Oui mais, lorsque les ''dégâts collatéraux'' dépassent 5 ou 10 fois ce qui les a justifiés, on doit se demander ''Et après ?''. Le Conseil de Sécurité et l'Union européenne sont inaudibles, comme ils l'ont été dans les crises du Donbass russo-ukrainien, de la corne de l'Afrique --et de l'Afrique en général--, entre les deux Chines, en azéro-arménie, et dans toutes les folies, à venir mais quasi certaines (= en préparation) dues à celle du satrape turc... et / ou n'importe où ailleurs dans le monde, aujourd'hui ou demain. La présidente du Comité International de la Croix Rouge parlait hier d'un ''échec catastrophique que le monde ne doit pas tolérer''... en oubliant de préciser duquel elle parle : ''pas d'amalgame'', n'est-ce pas !
La colère du monde contre sa partie européenne ou occidentale (on n'ose plus dire ou écrire ''blanche'', ce qui est pourtant la seule explication sérieuse, mais fait de vous un paria) pose le problème de l'ordre sur la Terre. En l'absence du chat, dit le proverbe, les souris dansent ! La civilisation-référence, celle qui maintenait l'ordre du monde et des choses, est en train de sombrer dans et par sa propre incapacité à se souvenir de qui elle était, de pourquoi elle est là, de qui elle est, et de pourquoi l'Humanité avec une majuscule a besoin qu'elle reste à la place qu'elle occupe depuis plus d'un demi-millénaire. Bien sur, qu'elle n'était pas parfaite ! Qu'est-ce qui l'a jamais été, et qu'est-ce qui peut l'être ? Mais –répétons-le haut et fort-- elle est, et de très loin, ce qui pouvait arriver de mieux à la-dite Humanité. Toutes, je dis bien : toutes, les tentatives qui ont été lancées par des idéocrates destructeurs ou des rêveurs rarement doux, ont tourné au fiasco –quand ce n'est pas à la catastrophe, comme le communisme sous toutes ses formes...
Le 12 novembre, la vraie France est descendue dans la rue. 150 ou 180 000 braves gens, blancs pour la plupart, ont crié –sagement-- leur réprobation. Ça ne servira strictement à rien, sinon à des postures, à des promesses insincères et à des déclarations creuses, préparées à l'avance (''La marche doit se transformer en démarche !'' --dixit Larcher-- ou ''la France ne tolérera pas l'intolérable !'' --dixit Macron, truismes qui mériteraient de figurer sur le ''mur des cons'', eux !). Pendant ce temps, les foules du monde dit ''non-occidental''hurlent par millions leur haine profonde de l'Occident... devant toutes les Ambassades des pays qui leur ont permis –à de très rares exceptions près-- d'être qui elles sont. Pire encore, elles font ça en invoquant des vertus dites judéo-chrétiennes, revisitées et réécrites jusqu'à les rendre insensées, pour réfuter ceci un jour, autre chose le lendemain, et une troisième le jour suivant...
Mais que proposent-elles, en échange ? L'ordre actuel, qui est en passe de devenir un ''désordre mondial'' par la faute d'imprécateurs malveillants et masochistes, avait été imposé au monde par les vainqueurs de 1945, et sans doute était-il, en ce temps-là, le moins mauvais possible (un exemple ? l'intangibilité des frontières...). Qu'en reste-t-il vraiment ? Principalement des mots et une phraséologie qui ont été vidés de leur sens, des idées faussement générales sans le moindre intérêt quand elles ne sont pas mortifères, des torrents de contre-vérités honteuses, une ''lecture du monde orientée à en faire perdre le nord''... et une planète qui ne sait plus où elle va... et n'arrive même plus à aller ''nulle part'', mis à part une haine inexplicable pour (ou contre) le CO²... qui est pourtant vital pour elle. Au fou...
Même la solide Eglise catholique, qui a résisté à tout jusque là, cette ''seule structure humain qui ait tenu 2000 ans'', donne des signes de grande faiblesse, puisque c'est de l'intérieur qu'elle se fissure : sa hiérarchie semble chercher, dans un mouvement-pour-le-mouvement très progressiste, à s'adapter au monde en folie, qu'elle avait pour seule mission –sacrée-- de maintenir dans une Vérité qu'elle croyait éternelle... Par attrition de tout ''modèle'' auquel se rattacher, le seul destin qui nous est proposé est un mélange de cacophonie, de violence de tous contre tous, à tous les étages (les exceptions ayant plutôt tendance à se raréfier), et une forme jusque là inconnue de ''guerre mondiale en tranches, par petits morceaux''. Il y a de quoi s'inquiéter...
H-Cl.
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Célébration du riche héritage de l'Afrique dans le football masculin aux Jeux Olympiques
Alors que le monde tourne son attention vers Paris pour les Jeux Olympiques de 2024 qui débutent cette semaine, les fans de football africains ont des raisons de se souvenir avec fierté de la riche histoire du continent dans le football olympique masculin. Depuis leurs humbles débuts jusqu’à leurs médailles d’or, les équipes africaines ont laissé une marque indélébile sur la scène olympique,…
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Photo d’illustration : Le maïs comme ingrédient pour les produits cosmétiques (domaine public)
À la découverte du trésor de l'Afrique de l'Ouest : Les grains de maïs de Sahel Agri-Sol
5 juillet 2024
Au cœur de l'Afrique de l'Ouest, les agriculteurs cultivent les trésors de la nature - des grains de maïs inégalés en qualité, saveur et polyvalence. En tant qu’exportateur des produits agricoles, nous invitons les fabricants de produits alimentaires et de cosmétiques du monde entier à découvrir le pouvoir transformateur de notre maïs exceptionnel.
Un héritage d'excellence
L'histoire de Sahel Agri-Sol est profondément enracinée dans la riche tradition agricole du Mali. Depuis des générations, nos agriculteurs prennent soin de la terre, combinant des techniques éprouvées avec des pratiques durables modernes. Cette approche unique donne des grains de maïs qui non seulement répondent, mais dépassent les normes mondiales, offrant un produit vraiment spécial sur le marché actuel.
Pour les fabricants de produits alimentaires : Élevez vos créations culinaires
Profil gustatif
Nos grains de maïs possèdent une saveur robuste, légèrement sucrée avec des notes de noisette - un témoignage du terroir unique de l'Afrique de l'Ouest. Ce goût distinctif peut ajouter de la profondeur et du caractère à une large gamme de produits alimentaires, distinguant vos offres sur un marché concurrentiel.
Polyvalence
De la farine de maïs traditionnelle et de la polenta aux en-cas innovants et au popcorn gourmet, notre maïs s'adapte magnifiquement à diverses applications. Sa texture supérieure et sa qualité constante le rendent idéal pour :
Excellence nutritionnelle
Riche en nutriments essentiels, notre maïs est une source de :
Pour les fabricants de cosmétiques : Le secret de beauté nature
Ingrédients innovants
Libérez le potentiel du maïs dans vos formulations cosmétiques :
1. Extrait de soie de maïs : Riche en antioxydants, il offre des propriétés anti-âge et apaisantes pour la peau.
2. Huile de maïs : Une huile légère, non comédogène, parfaite pour les hydratants et les produits capillaires.
3. Amidon de maïs : Un excellent absorbant naturel pour les poudres et les shampoings secs.
4. Farine de maïs fine : Un exfoliant doux pour les gommages corporels et les nettoyants pour le visage.
Attrait écologique
À une époque où les consommateurs exigent des solutions de beauté naturelles et durables, nos ingrédients dérivés du maïs offrent un récit convaincant. Mettez en avant la pureté et l'origine de vos ingrédients, en reliant votre marque au riche patrimoine agricole de l'Afrique de l'Ouest.
Les avantages Sahel Agri-Sol
1. Culture durable
Nos fermes emploient un mélange de sagesse traditionnelle et de pratiques écologiques modernes, assurant un impact environnemental minimal tout en maximisant le rendement et la qualité.
2. Contrôle qualité rigoureux
De la sélection des semences à la récolte et au traitement, chaque étape est méticuleusement surveillée. Nos installations de pointe et nos protocoles de test rigoureux garantissent la pureté, la cohérence et la sécurité.
3. Solutions flexibles
Que vous ayez besoin d'expéditions en vrac ou de plus petites quantités, nous offrons des options d'emballage personnalisables pour répondre à vos besoins spécifiques.
4. Disponibilité toute l'année
Notre planification stratégique et nos vastes installations de stockage assurent un approvisionnement stable tout au long de l'année, protégeant vos calendriers de production des fluctuations saisonnières.
5. Avantage concurrentiel
En choisissant Sahel Agri-Sol, vous n'achetez pas seulement du maïs - vous investissez dans une histoire de durabilité, de tradition et de qualité qui résonne avec les consommateurs conscients d'aujourd'hui.
6. Soutien et expertise
Notre équipe d'experts agricoles et de professionnels du service client est toujours prête à vous aider, de la sélection des produits au soutien logistique.
Portée mondiale, impact local
En vous associant à Sahel Agri-Sol, vous ne vous contentez pas d'élever vos produits, mais vous soutenez également des pratiques agricoles durables et contribuez au développement économique des communautés ouest-africaines.
Découvrez la différence Sahel Agri-Sol
Nous vous invitons à découvrir la qualité inégalée de notre maïs ouest-africain. Contactez-nous dès aujourd'hui pour demander des échantillons, discuter de vos besoins spécifiques ou organiser une visite de nos installations au Mali. Explorons ensemble comment les grains de maïs premium de Sahel Agri-Sol peuvent révolutionner votre gamme de produits et captiver vos clients.
Apportez l'essence dorée de l'Afrique de l'Ouest à vos produits mondiaux. Choisissez Sahel Agri-Sol - où la qualité rencontre la tradition et l'innovation embrasse la nature.
Sahel Agri-Sol
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