#focalisés
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RAYONNER LA LUMIÈRE QUOI QU'IL ARRIVE
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Quoi qu’il arrive c’est l’Amour qui guide notre chemin. Avec le cœur, nous pouvons envoyer des rayons lumineux, qui nourrissent la vie, partout dans notre corps et autour de nous. Et bien sûr nous pouvons étendre son rayonnement à l’échelle de tous les règnes, de la Terre et de l’Univers. Quand le ciel s’obscurcit, la…
#canal#focalisés#Fréquences#L&039;Amour qui guide notre chemin#la Source de toute Lumière dans l&039;Univers#le coeur#rayons lumineux
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Ça va parler français 5min.
J'aimerais être assistant plateau ou backliner, le problème c'est que faut être vif et précis et j'ai l'impression que mon cerveau réagit à deux à l'heure. Le temps qu'il lui faut pour comprendre qu'ili y a un problème, pour trouver une solution et ensuite se mettre en route pour l'exécuter, j'ai vraiment vraiment l'impression d'être LENT. Et ça passe pas ça pour les métiers qui m'intéressent/le milieu dans lequel je souhaite travailler.
C'est très frustrant. J'ai la même impression que lorsqu'on rêve et qu'on peut juste marcher/bouger super lentement. J'essaie de prendre des vitamines, du café, j'ai même essayé des médocs pas français pour être plus concentré mais ça m'a fait l'effet inverse. Y a rien qui me réveille et me garde présent longtemps.
Je sais pas ce que c'est et j'ai trop peur d'en parler à un médecin et qu'on me dise soit que y a rien à y faire c'est comme ça, ou qu'on me dise que j'essaye pas assez et que ça vient de moi. Parce que j'essaye. J'essaye de bien dormir, j'essaye de bien manger, de bouger et faire du sport, mais au final je suis juste fatigué et quand j'essaye de me concentrer sur une tâche (parfois aussi simple que lire) j'arrive pas à le maintenir plus de 10 min (si j'ai de la chance) sans avoir envie de dormir.
#et quand j'arrive à comprendre la situation/trouver une solution/mettre mon corps en mouvement je suis tellement focalisé sur ce que j'ai à#faire que je fais pas attention au reste et c'est là que je fais plein de bêtises/accidents et que certains détails m'échappent (parce que#je veux pas perdre ma concentration et la solution que j'ai trouvée)
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Une raison que je préfère une géante aussi grande qu'un bâtiment est que je ne serais qu'une petite partie de la population en-dessous. Mon ancienne obsession avec le "hivemind" n'a jamais vraiment disparu. Peut-être c'est même un intérêt voyeuriste
I think about daiost landscape art and the way people are implemented in it as apart of the nature, with no particular emphasis put on them. I think having small insignificant people like that would make for nice giantess art. But actually adding the giantess could be in done in two ways...: you stray from the original daiost intent of not separating humanity from nature, by putting emphasis on a singular giantess. OR, find a way to remove attention from the giantess. You would probably have to expand the landscape even more, and I wonder if adding multiple of them would remove the singularity or just make it even more attention-grabbing
#I had posted and deleted this before. À cause de l'embarras. Mais j'avais un point#Je voudrais incorporer cet aspect plus dans mon art#Car en ce moment je trouve que (si ce n'est pas un pinup) c'est plutôt focalisé sur 1 on 1 (géante x petit) que géante x population
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Quand je regarde mes séries j'entends souvent dire "Si ils parlaient correctement de ce qu'ils ressentaient, y aura pas de conflit ou de problème dans leur relation". Et en soit c'est vrai, dans une relation il est important de communiquer. En revanche ce qui se passe dans maws ne peut pas se résoudre simplement par de la communication. Pendant cette saison 2, le trio a commencé a avoir leurs propres choses concernant leurs vies. Jimmy est devenu Flamebird pour le Daily Planet et a une équipe. Lois a le choix de booster sa carrière. Mais Clark ? Il n'a que sa vie Superman, on voit qu'il aime bien son boulot au Daily Planet. Mais je trouve pas que ça le passionne autant que Lois.
Sans compter que Lois a aussi ses problèmes, son père, le fait que ses problèmes de confiance et d'abandon reviennent à la surface dans les récents épisodes. Elle aime Clark mais ne sait pas comment correctement entretenir cette relation pareil pour Clark. Avant Jimmy et Lois, il s'était isolé des autres et du coup ça lui arrive d'être un peu ignorant concernant les signes et les relations sociales. Leur manque de communication n'est pas dû à un manque de confiance l'un envers l'autre. Mais parce qu'ils craignent la réaction de l'autre si ils l'apprennent. Mais aussi par le fait qu'en ce moment, des évènements les dépassent complètement et n'ont pas pu trouver ne serait ce qu'un moment pour se poser et parler seul à seul. Clark et Lois sont tellement focalisés sur leurs problèmes qu'ils se négligent l'un à l'autre, voir même être distant sans même le vouloir. Au bout d'un moment, ça finit par craquer comme on a pu le voir avec Lois par exemple.
C'est pour ça que j'avais pas mal apprécié Jimmy dans cet épisode, car il sait pas comment parler à Clark suite à ce qui s'est passé au Star Lab. Ce qui est assez compréhensible ! Mais en parlant avec Kara qui le comprend à une certaine mesure, il arrive à retrouver le courage nécessaire pour pouvoir lui parler !
Oui il faut parler dans une relation mais parfois il arrive que même parler avec son ami ou son partenaire, ça peut aggraver les choses. Je sais que les gens n'aiment pas les clichés du manque de communication, le malentendu etc... mais en soit c'est quelque chose d'assez réaliste dans les relations qu'elles soient romantiques ou platoniques. Ce que traverse le trio est en soit réaliste et je pense que c'est pour ça que ça rend leur relation triste en soi !
When I watch my series, I often hear people say "If they talked properly about how they felt, there wouldn't be any conflict or problems in their relationship". And in itself it's true, in a relationship it's important to communicate. But what's happening in maws can't be solved simply by communication. In season 2, the trio began to do their own thing with their lives. Jimmy has become Flamebird for the Daily Planet and has a team. Lois has the choice of boosting her career. But Clark? He's only got his Superman life, and you can tell he likes his job at the Daily Planet. But I don't think he's as passionate about it as Lois is.
Not to mention that Lois also has her own problems, her father, the fact that her trust and abandonment issues come to the surface in recent episodes. She loves Clark but doesn't know how to properly nurture that relationship, and the same goes for Clark. Before Jimmy and Lois, he'd isolated himself from others, so he's sometimes a bit clueless about signs and social relationships. Their lack of communication isn't because they don't trust each other. It's because they're afraid of how the other will react if they find out. But also because, at the moment, events are completely out of their control and they haven't been able to find even a moment to sit down and talk to each other alone. Clark and Lois are so focused on their problems that they neglect each other, even being distant without meaning to be. And after a while, it just snaps, as we saw with Lois, for example.
That's why I liked Jimmy in this episode, because he doesn't know how to talk to Clark after what happened at Star Lab. Which is quite understandable! But by talking to Kara, who understands him to a certain extent, he manages to find the courage he needs to talk to him!
Yes, you have to talk in a relationship, but sometimes even talking to your friend or partner can make things worse. I know people don't like the clichés of lack of communication, misunderstanding etc… but in itself it's something quite realistic in relationships whether romantic or platonic. What the trio is going through is in itself realistic, and I think that's what makes their relationship sad in itself!
#my adventures with superman#maws#maws spoilers#maws season 2#clark kent#lois lane#jimmy olsen#kara zor el#I don't care if there miscommunication or misunderstanding because I know they will be able to resolve this#In some ways those problems test their relationship to see if it can overcome it#I just want them to be okay
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Il a précisé que les environs l'appelaient Green Eyes. C'est vrai que ses yeux étaient joliment verts, je ne l'aurais pas cru. Je ne regarde pas assez les yeux des êtres...
Ma tête allait dans plusieurs directions. Je ne voulais pas être de ceux qui rejettent les êtres survivant à l'extérieur, par peur ou par dégoût, ou par les deux, comme le critiquent des films mainstreams. Néanmoins, je ne voulais pas être de ces jeunes gens aisés et innocents qui se font tromper, justement parce qu'ils ne voulaient pas être de ceux qui rejettent les moins aisés et innocents sans raison.
Puis, les yeux verts de Green Eyes s'étaient attardés sur mes affaires lorsqu'il ouvra la conversation, et celle-ci était curieusement focalisée sur mon entourage sain et ma vie qui s'écoulait sans difficultés financières. Lorsqu'il s'écria que je pourrais filmer sa vie, suite à ma confession sur mon temps cinématographique, je perdis mon humanité et lui dis que j'aimais la tranquillité et la solitude.
Il cria alors à Beauty de s'approcher. Il fit les présentations. Elle allait comme moi à la Nouvelle Orléans. Elle pensait que je m'appelais Sugar. Son regard me fit sentir tel un joli petit éclair à la vanille. Quelle dégoûtante sensation. Un guest à l'auberge à Montréal me l'avait déjà offerte, mais il avait été plus doux dans son approche.
Je crus pertinent de répliquer que je m'appelais plutôt Salt. Elle n'eut pas l'air de comprendre. Green Eyes, n'en parlons pas. Soudain, une frayeur me traversa. Et si c'était un jeu d'équipe ? L'un détournerait ma conscience tandis que l'autre filerait avec mes choses. Ça m'était arrivé en France. L'on avait résisté ce jour-là.
Mon apparence se fit donc contrariée. Beauty partit, je ne sais même plus comment. Green Eyes admit alors qu'il manquait d'argent. 1$ contre le retour de la tranquillité était embêtant mais, d'un autre côté, il y avait du temps avant que le bus ne démarre, et il me semblait qu'il n'y avait pas qu'un seul Green Eyes dans les environs. J'espérais donc acquérir une tranquillité totale dans le quartier avec le dollar.
Je partis quand-même marcher. Green Eyes pourrait être insatisfait, ou passer le mot à d'autres Green Eyes. Il plut néanmoins. De plus, entrer dans l'établissement où je pensais qu'était entrée la passagère sympathique d'Allemagne m'intéressait. Le rejet et la vulnérabilité me bloquaient néanmoins. C'était d'ailleurs pour ça que je m'étais mis à marcher, et en partie pour ça que je m'étais initialement assis loin de tout le monde, à l'ombre et à proximité de Green Eyes.
J'entrai dans l'établissement. Pas d'Allemande. Pas de toilettes. Pas de WiFi. Pas de coca. Je m'apprêtais à rester mais la vendeuse m'épargna en évoquant les toilettes du restaurant japonnais à côté. Il y eut à nouveau plusieurs chemins dans ma tête. l'Allemande était sûrement à l'intérieur mais c'était un restaurant, qui plus est Japonnais, et je ne souhaitais acquérir rien de plus qu'un coca. 1 dollar contre la solitude ça faisait déjà beaucoup. Enfin, pour un être bousculé par la peur du rejet et de la vulnérabilité, la démarche complète commençait à être gênante.
Mais l'extérieur était mouillé, l'attente encore importante et les Green Eyes peut-être toujours ambitieux. Puis fuck it, pourquoi pas vaincre ses peurs.
Malgré le peu de lumière, et le bois et le plastique isolant chaque table, je compris que l'Allemande n'était pas là. Fuck. Les employés du lieu de restauration japonaise, qui semblaient être beaucoup de choses si ce n'est Japonais, eurent de la difficulté à gérer mon cas particulier. L'on me donna une table et mon coca, mais l'on vint régulièrement s'assurer que je ne voulais pas plus que le sombre liquide gazeux, que je ne voulais pas plutôt de la nourriture japonaise, et, tout aussi régulièrement, que j'étais sûr que j'étais alright. Je commençais à me le demander.
L'une des attaquants fut finalement amicale. Elle me demanda de quoi parlait le livre que je lisais. Je me perdis en anecdotes, pour finalement admettre que je ne savais pas trop, comme je n'étais qu'au début. Elle revint et, fuck, j'aurais juré qu'elle se montrait taquine. Je commençais à être un être humain comblé quand me vint la pensée qu'elle ambitionnait peut-être un pourboire coquin. Fuck, d'abord Green Eyes puis ça.
Je crois que ça m'était déjà arrivé en Grèce. Une serveuse s'était montrée amicale et, alors que je m'apprêtais à tomber amoureux, papa affirma qu'elle voulait de l'argent. De plus, concernant la serveuse du restaurant japonnais, j'eus l'impression qu'elle était déjà venue à bout du client précédent. Elle parut surprise du pourboire qu'il lui laissa.
Qu'à cela ne tienne, j'avais failli perdre la vie, donc un peu de chaleur humaine, même payante, était la bienvenue. Mentalement prêt à être généreux, je lui annonçai que j'étais prêt à payer. Elle me répondit que ce n'était pas la peine... La gratuité est une sensation confortable, elle allège le corps et déploie le sourire.
Beauty était bien dans le bus pour la Nouvelle Orléans. Green Eyes n'avait pas menti. Et la personne d'Allemagne avait un siège assigné à côté du mien. Elle aussi avait vécu très jeune dans une famille d'accueil étrangère pendant une année, au Texas la concernant. Presque pour la première fois de mon temps, presque 10 ans après Sydney, je pus en parler.
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As mentionned on the pictures this is Colorido's materials
10/ ?? 絵コンテ。もともとアニメーターの僕はビデオコンテを作っていたらすぐ動きにこだわるので 紙で描きました。
10/ ?? Storyboard. Fait sur papier parce qu'en tant qu'animateur je sais qu'en vidéo je me serais trop focalisé sur le mouvement
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C'est en sortant de la campagne pour pénétrer dans un endroit aussi humainement dense que Paris que l'on devient plus Dostoïevski que Tolstoï. Entraîné dans le flux de l'espèce les désirs s'interchangent comme les fils du destin, et nous sommes amenés à être focalisés sur l'Humain et ses différentes facettes plutôt que sur la Nature et ses différentes palettes.
L'environnement nous influence et impose sa patte. Ainsi ce qui ressort sur le premier plan de Paris est l'humain, la marée humaine. Le rat des champs à la patience virgilienne de pouvoir observer les rats des villes qui eux n'ont pas le temps de s'observer. Cependant, on ne peut blâmer la nécessité. Que pensent-ils et pensent-ils seulement en marchant droit devant eux telles les fourmis suivant leur traits de phéromones étant ici les traits des responsabilités societales qui pèsent sur leurs épaules ? En échangeant ça et là on obtient déjà des bribes de personnages, lorsque l'on est pas ignoré comme un pestiféré face à leur méfiance quasi obsessionnelle. (trouve-t-on ici l'origine de la mauvaise réputation des français à l'étranger ?) C'était frappant à ce point que, ces gens qui ignorent vos requêtes sont tels ces NPC dans les jeux vidéos avec lesquels vous ne pouvez pas interagir malgré vos tentatives.
Dehors, l'élégance des parisiennes estompent temporairement l'armada de travaux pour la route vers les jeux olympiques, la route vers les enfers ?
Quoiqu'il en soit à Paris, l'argent fait le bonheur. Mais n'oublions pas que la spéculation non raisonnable fait la loi sur le marché économique et que si les gens sont prêts à payer il y en aura toujours pour se gaver. Il n'y a là rien de bien raisonnable.
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Le judaïsme est un projet politique
Nous avons largement montré, dans différents chapitres de nos livres, que les intellectuels juifs, toutes tendances confondues, encouragent l’immigration de toutes leurs forces, partout où ils sont installés. Leur objectif est de dissoudre les sociétés ethniquement homogènes et de favoriser le métissage, afin de parvenir, à terme, à l’unification du monde et à l’instauration d’un gouvernement mondial.
"Après la mise en place d’institutions continentales européennes, apparaîtra peut-être l’urgente nécessité d’un gouvernement mondial", nous dit Jacques Attali, dans son Dictionnaire du XXIe siècle.
La société multiculturelle et l’affaiblissement du sentiment d’appartenance leur permet aussi de se préserver d’un sursaut nationaliste, dont ils gardent un souvenir cuisant. Les propos à ce sujet sont innombrables. Tous les intellectuels juifs – sans aucune exception – sont ainsi focalisés sur cette question de la société “plurielle” et exercent une “vigilance antiraciste” permanente, par delà leurs divergences politiques.
Dans L’Humanité perdue (1996), le philosophe Alain Finkielkraut explique : "Le risque mortel que fait peser sur le monde le culte de l’appartenance, la segmentation de l’humanité et l’enfermement des individus dans leur race ou dans leur culture ne saurait être définitivement conjuré que par l’instauration des sociétés pluriethniques."
Bernard-Henri Lévy tient un discours beaucoup plus explicite qui reflète mieux cette volonté cosmopolite de détruire les nations : "La machine européenne, écrit-il… est venue s’inscrire contre ces nationalismes mystiques et a commencé à les renvoyer au musée des horreurs historiques. Avec la mort de ces nationalismes, les Juifs perdent le plus redoutable de leurs adversaires." (Récidives, 2004). Le philosophe milliardaire s’empresse de préciser la nature de cette Europe démocratique, qui ne doit pas, selon lui, être "une nation de plus", mais "un dispositif de nature à travailler, fracturer, pulvériser et, finalement, nécroser, les identités et les fixations nationales."
L’immigration comme nécessité
Les intellectuels juifs nous présentent toujours l’immigration comme une nécessité économique, un apport indispensable, un enrichissement extraordinaire, etc. Voyez ce rapport de la Banque mondiale de novembre 2005, qui encourageait la Russie à ouvrir ses frontières. L’immigration, peut-on lire, serait "l’une des principales conditions d’une croissance économique stable. La population du pays est vieillissante et déclinante… Pour pleinement compenser la dépopulation, un flux annuel d’un million d’immigrants employables serait nécessaire." Et qui trouvait-on alors à la tête de la Banque mondiale ? : Paul Wolfowitz, un ardent sioniste, qui fut aussi l’un des plus fervents partisans de la guerre contre l’Irak en 2003.
Un article du journal Libération du 25 juillet 2005 nous prévenait : "Selon les projections d’Eurostat présentées par Serge Feld, de l’université de Louvain, l’Union européenne perdrait 14 millions d’habitants d’ici à 2030." C’est "une menace que seule la poursuite de l’immigration permettra d’atténuer." Et d’ici 2030, nous rassurait-on, "l’immigration fera gagner 25 millions d’habitants à l’UE." Cet article, intitulé "L’immigration au secours de l’Europe", était signé par un certain Éric Aeschlimann.
Pour tous ces intellectuels juifs, qui nous font l’amabilité de penser à nos retraites, il n’est évidemment pas question que les Européens puissent avoir recours à des politiques natalistes. C’est ce qu’a bien exprimé Daniel Cohn-Bendit : "Une politique nataliste me semble absolument inutile… La famille n’a pas de valeur par elle-même." Et Cohn-Bendit fait la promotion des couples homosexuels : "Ce qui compte beaucoup plus, pour moi, ce sont les relations dans le couple. Quel que soit le sexe des partenaires : un couple homosexuel doit avoir les mêmes droits qu’un couple hétérosexuel." (Une Envie de politique, 1998).
L’immigration est une chance
Tout le monde connaît la formule L’immigration, une chance pour la France, qui est le titre d’un livre de l’ancien ministre Bernard Stasi (1984). Dans Le Figaro du 13 octobre 2004, le directeur de presse Alexandre Adler nous invitait à faire entrer la Turquie dans l’Europe : La Turquie, qui a "des élections libres, une presse libre, des intellectuels qui n’ont rien à envier aux nôtres, des universités admirables ouvertes sur le monde", représente une "chance inespérée… Sachons aujourd’hui déchiffrer ce signe pour assurer la liberté de notre continent demain."
L’un des principaux conseillers de Jacques Chirac, Pierre Lellouche, député de la droite libérale et président de l’Assemblée de l’OTAN, le déclarait sans ambages dans Actualités juives du 23 décembre 2004 : "Parce que la Turquie est un pays musulman, je souhaite qu’elle entre dans l’Union."
L’apologie du métissage
Les intellectuels juifs n’ont de cesse de faire l’apologie du métissage, mais là encore, il faut comprendre qu’il s’agit surtout d’un discours réservé à l’exportation, car les juifs, eux, ont le devoir de ne pas se métisser et de conserver leur identité. "Nous souhaitons le développement des réseaux dans le tissu planétaire, nous appelons au métissage…", écrit le sociologue Edgar Morin (Nahoum), dans Terre-Patrie (1993). "Nous n’avons pas la Terre promise, mais nous avons une aspiration, un vouloir, un mythe, un rêve : réaliser la Terre patrie." (Un nouveau commencement, 1991).
Dans son Dictionnaire du XXIe siècle (1998), Jacques Attali écrit : Il faut "encourager la diversité, partager les richesses… s’ouvrir aux cultures des autres, favoriser tous les métissages, apprendre à penser globalement." C’est ce qui permet à l’histrionmédiatique Daniel Cohn-Bendit de déclarer son amour de la France, en mélangeant tout : "Ce qui me plaît en France, c’est son cosmopolitisme. Les Noirs, les Arabes, les Juifs. J’aime la France surtout pour ça." (Juifs et Français, 1979). Pour le “grand public”, cette inlassable propagande planétarienne se vérifie aisément dans la production cinématographique (Voir nos cinq livres sur le sujet).
En 2003, un ancien premier ministre d’origine juive, Laurent Fabius, socialiste et richissime, avait déclaré : "Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République." Nicolas Sarkozy, dont la mère est née Mallah, avait dit pareillement, dans son discours d’investiture au Congrès du parti libéral, le 14 janvier 2007 : "Je veux être le président d’une France qui aura compris que la création sera dans le mélange, dans l’ouverture, dans la rencontre, je n’ai pas peur du mot, dans le métissage." Mais lui n’a épousé que des femmes juives.
Un phénomène inéluctable
Les intellectuels juifs entendent aussi nous faire croire qu’il est inutile de tenter de s’opposer à ce phénomène, comme si le destin de l’humanité était déjà tracé par des forces supérieures. Voyez ce que dit Jean “Daniel” (Bensaïd), le patron du Nouvel Observateur, en date du 13 octobre 2005 : "Rien n’arrêtera les mouvements des populations misérables vers un Occident vieux et riche… C’est pourquoi la sagesse, la raison, consiste désormais à faire comme si nous allions recevoir de plus en plus d’émigrés dont il faut préparer l’accueil."
Son “ennemi” politique, Alain Minc, tient le même langage dans La Vengeance des Nations (1990) : L’immigration une « perspective inévitable », dit-il. "L’immigration va augmenter : autant s’y préparer et y préparer les Français au lieu de les laisser fantasmer à partir d’une situation aujourd’hui moins critique qu’ils ne veulent le croire." Dans La Machine égalitaire, publié en 1987, il en parle comme s’il s’agissait d’une révélation biblique. Son chapitre intitulé Les Dix commandements ne laisse pas de doute à cet égard : "Entre une Europe en pleine décadence démographique et les pays surpeuplés du Sud de la Méditerranée, le phénomène de déversoir est inévitable".
Dans son livre Une Envie de politique (1998), Daniel Cohn-Bendit insiste sur la nécessité pour les Européens d’ouvrir grand leurs… frontières. Le modèle que nous propose l’ancien anarchiste Cohn-Bendit est maintenant l’Amérique libérale : "Il faut que l’Europe se pense comme région d’immigration, à la manière des États-Unis". Et Cohn-Bendit ajoute : "Il faut d’abord se dire qu’il y aura toujours un mouvement d’immigration en raison de l’inégalité forte entre les pays industrialisés et les pays en développement du Maghreb ou d’Afrique… Cela vaut pour l’Europe entière."
Notons que dans l’ancien discours marxiste, c’était la « société sans classes » qui devait être "inéluctable". Mais vous l’avez compris, il ne s’agit pas tant ici d’analyses sérieuses que d’un discours de propagande qui consiste à nous retirer l’idée même de nous défendre.
Nous sommes trop "frileux"
En 1982, Albert Memmi écrivait dans son livre sur Le Racisme : En France, "un mépris craintif ou ironique de tout étranger, un quant-à-soi barricadé, une hospitalité quasi-nulle… un chauvinisme toujours renaissant révèlent que la peur agressive d’autrui est toujours latente."
Les Français, décidément, sont des gens antipathiques, mais il est tout de même bon de s’installer chez eux. Dans son livre L’Idéologie française, en 1981, Bernard-Henri Lévy écrivait que les patries, les patois, les traditions… Tout cela n’est qu’un "repli frileux et crispé sur les identités les plus pauvres." Alain Minc nous sermonne lui aussi à sa manière, nous assurant que c’est "l’ignorance qui alimente la xénophobie", et qu’il faut donc "lutter contre le délire xénophobe" et en finir avec cette "paranoïa française". Il faut, dit-il, "rompre avec notre rigidité mentale".
Le mépris du goy
Les intellectuels juifs ont souvent exprimé leur mépris de nos vieilles civilisations. On se souvient du mot de Georges-Marc Benamou dans l’éditorial du premier numéro du mensuel Globe, lancé en 1985 par Pierre Bergé, le richissime patron socialiste d’Yves Saint-Laurent : "Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux." Dans L’Idéologie française (1981), Bernard-Henri Lévy parlait déjà"d’épaisses sottises", au sujet des bourrées et des binious. Les "patries en tout genre et leurs cortèges de vieilleries" le dégoûtent. Guy Konopnicki tient le même genre de propos, quand il parle de "culte du terroir, extase devant les vertus paysannes, philosophie spontanée, bon sens populaire et toutes sortes de vieilleries réactionnaires." (La Place de la nation, 1983).
La houtzpah talmudique
Les intellectuels juifs manifestent régulièrement une certaine inclination à proférer d’énormes contrevérités. On nous dira par exemple que l’immigration n’a pas augmenté, qu’elle n’a jamais été aussi basse, que les races n’existent pas, etc. Cette disposition à prendre les goys pour des demeurés s’appelle la “h’outzpah” (“Chutzpah”, avec la graphie allemande, en raclant la gorge). Écoutez le philosophe marxiste Jacques Derrida nous expliquer qu’il y a "beaucoup plus de place qu’on ne le dit pour accueillir plus d’étrangers… l’immigration n’a pas augmenté, contrairement à ce que l’on affirme." (De quoi demain…, 2001).
En mars 2008, la revue Géo Histoire avait publié un entretien avec le démographe Gérard Noiriel, qui avait pour titre Le fantasme identitaire : "Fort de ses recherches, l’historien peut rappeler que depuis cent cinquante ans, jamais l’immigration n’a été aussi faible en France. En 2007, cela fait plus de trente ans qu’elle n’a pas augmenté de façon significative. Les statistiques produites par l’Ined (Institut national des Études démographiques) le démontrent : il y a moins d’étrangers aujourd’hui qu’il n’y en avait en 1997."
L’ancien ministre Jack Lang manifeste les mêmes dispositions talmudiques. Le samedi 3 septembre 2005, à l’émission Tout le monde en parle, il répondait à Thierry Ardisson, qui lui posa la question à brûle-pourpoint : "Vous ne trouvez pas qu’il y a trop d’immigrés en France ?" : "Non, répondit Jack Lang, vous savez que la France est le pays qui a le moins d’immigrés en Europe."
Dans le même registre, des scientifiques tels que Roger-Gérard Schwartzenberg ou Axel Kahn nous assurent que "les races n’existent pas". Et nous venons tous d’Afrique, c’est bien connu ! La palme revient toutefois à l’essayiste Guy Sorman, qui nous affirme, dans son livre En attendant les barbares (1992) : "Ce ne serait pas la présence des étrangers qui susciterait le racisme, mais leur absence : le fantasme de l’immigré serait le fourrier de la violence, beaucoup plus que l’immigré lui-même." Et d’ailleurs, "la France, qui comptait des centaines de dialectes, patois et langues régionales, il y a unsiècle, n’était-elle pas alors plus multiculturellequ’elle ne l’est aujourd’hui ?"
Ces gens-là, c’est évident, ont l’art de se foutre de la gueule du monde. Maintenant, si vous trouvez un juif qui tient un discours à l’opposé de celui-ci, c’est tout simplement qu’il n’est pas juif. Comme le disait Joseph Goebbels, bon connaisseur en la matière : "Ce qui est juif et ce qui ne l’est pas, c’est nous qui en décidons." Hervé Ryssen
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LES ACTUALITES TECHNOLOGIQUES EN AFRIQUE
16 Novembre 2023
Source France 24
Retrouvez le dernier épisode de l'émission "Tech 24" présenté par Guillaume Grallet.
"À la clef, des données climatiques et environnementales plus précises et actualisées plus souvent que ce que permet aujourd'hui la Nasa. Un projet intéressant comme ceux que promet de révéler le prochain Challenge App Afrique.
Lancé conjointement par RFI et France 24, ce concours de start-ups en Afrique francophone est, pour sa septième édition, focalisé sur les énergies vertes avec une composante numérique. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 9 janvier 2024."
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Cette histoire est de celle qui crée les légendes
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Nous existons tous dans un flux cognitif dans lequel notre conscience expérimente une réalité mentale. Ce flux alimente en nous une construction mentale qui permet de grandir à travers l’afflux de connaissances et d’expériences. Seule une infime partie de notre conscience y est localisée, laissant d’autres pans…
#construction mentale#flux cognitif#nous sommes absorbés et focalisés sur cette continuité d’expérience mentale#ouvrir l’esprit à tout ce qui vous dépasse
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Toute Votre Vie - Robin Buckley
Stranger Things Masterlist
Résumé : Depuis que tu sors avec Robin, tu deviens de plus en plus distante avec tes amies and tout le monde a l'impression que tu changes beaucoup, même Robin qui commence à penser qu'elle ruine peut-être ta vie.
Warnings : fluff, un peu d'angst, un peu de jalousie, soirée, mauvaises amies, mention de mort à cause du froid et d'un accident de voiture, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 4k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Ruin My Life par Zolita
Les mains posées sur le volant, tu écoutes Robin te raconter le film Retour Vers Le Futur avec passion. Elle te parle de chaque minute en ajoutant ses commentaires personnels. Toute ton attention est focalisée sur elle, tes yeux se posent souvent sur elle même si tu conduis. Robin est complètement perdue dans son explication donc elle ne voit pas tout de suite que tu es distraite. Quand elle s'en rend compte, elle te réprimande tout de suite.
-Du calme, je suis un pilote, tentes-tu de la rassurer.
-Je veux pas mourir !
-Je sais conduire.
-On en reparlera quand tu auras fait un accident.
-Eh ! t’indignes-tu. C'est qui qui a le permis entre toi et moi ? questionnes-tu et elle reste silencieuse, une expression agacée sur le visage. Voilà ! Donc tu ne peux pas critiquer ma conduite.
-Je peux quand tu me mets en danger.
-Je sais ce que je fais, Robs !
-Ouais, bah regarde la route, t’ordonne Robin en pointant devant toi.
-C'est pas de ma faute si ce que tu dis est intéressant.
-On écoute avec les oreilles, pas les yeux, j’te rappelle.
-Mais j'adore voir ton visage s'illuminer quand tu parles de quelque chose qui te passionne ! T'es encore plus mignonne quand tu parles sans t'arrêter, avoues-tu, faisant rougir les joues de Robin.
-Bref, ne nous cause pas d'accident !
-Jamais, je tiens trop à toi pour te mettre en danger, affirmes-tu en posant rapidement ta main sur la sienne. Bon, tu disais ? Marty aide son père à inviter sa mère au bal ?
Ta question suffit pour la relancer. Robin repart dans son analyse du film, mais cette fois elle s'assure que tu regardes la route.
Robin n’a pas fini de parler de Retour Vers Le Futur quand vous arrivez à votre destination une demi-heure plus tard. Tu l’as conduite à un lac que tu connais très bien. Plus jeune, tes parents t’y amenaient souvent. Peu de personnes se rendent dans ce lieu donc tu sais que vous serez tranquilles pour votre rendez-vous. Vous installez vos affaires pour le pique-nique. Quand tout est prêt, tu regardes Robin avec un sourire malicieux et elle sait que rien de bon ne s'annonce.
-Quoi ? demande-t-elle, craignant le pire.
-J’espère que t’as bien pris ton maillot de bain comme je t’ai dit.
-J’avais espoir que tu sois pas sérieuse.
-Je suis plus que sérieuse, souris-tu et Robin ouvre grand les yeux.
-Mais l’eau va être gelée !
-Chochotte. Allez, viens ! dis-tu en commençant à enlever tes vêtements pour être en maillot.
Tu cours vers le lac et saute dedans sans attendre. L’eau est, effectivement, fraîche, mais tu n’y prêtes pas plus attention. Tu fais quelques brasses avant de crier à Robin de te rejoindre quand tu vois qu’elle est en maillot. Avec réticence, Robin marche jusqu’à l’eau. Elle prend une profonde inspiration avant de venir vers toi en nageant rapidement. Elle claque des dents, ce qui te fait rire.
-Elle est congelée ! s’exclame-t-elle pendant que tu la prends dans tes bras.
-T’inquiète, tu vas t’y habituer dans cinq minutes.
-Cinq minutes ? C’est trop ! J’aurai le temps de mourir de froid.
-Pourquoi tu penses absolument que je veux faire des choses pour te tuer aujourd’hui ?
Robin a besoin d’une seconde pour te répondre à cause du froid.
-C’est pas de ma faute si tous tes actes peuvent amener à une situation horrible.
-Tu ne vas pas mourir d’hypothermie, déclares-tu en frottant ses bras pour lui donner un peu de chaleur.
-Si je meurs pas de froid dans cette eau, je vais choper une maladie qui va me tuer. J’te préviens, si c’est le cas, je te hante.
-Ça ne me dérange pas.
-Y/N ! crie-t-elle avec un air horrifié.
-Je rigole. Je te veux près de moi, vivante et en bonne santé, la rassures-tu avant de l’embrasser chastement. On sort ?
-J’ai cru que tu le dirais jamais.
Elle ne te laisse pas répondre avant de sortir de l’eau, serrant son corps contre elle un maximum. Tu ris en la voyant ainsi, mais au fond de toi, tu as aussi froid. Tu cours vers ta voiture et saisit serviettes et couvertures. Tu reviens vers Robin et les lui tends. Elle t’arrache pratiquement une serviette des mains avant de se sécher à vitesse lumière et de s’enrouler dans une des couvertures. Quand tu as fait pareil, tu te colles à Robin, voulant vous réchauffer avec votre chaleur corporelle également.
-Tu es presque bleue, dis-tu après l’avoir regardé avec plus d’attention.
-Normal, ton lac, c’est un glaçon ! rétorque-t-elle en claquant toujours des dents.
-Sois pas si dramatique.
-Tu n’as pas eu froid peut-être ?
Ne répondant pas immédiatement, Robin te regarde comme si tu étais un alien, pensant que tu as chaud.
-Un peu, oui, chuchotes-tu avec un sourire.
-Ha ! Tu vois ?
Quand votre température corporelle est remontée, vous mangez votre pique-nique alors que Robin divague sur un nouveau sujet. Quand vous avez fini, vous vous allongez en vous prenant dans les bras. Vous n’avez pas l’occasion d’être aussi proche physiquement à l’extérieur, alors vous en profitez un maximum. En milieu d’après-midi, la tête de Robin se retrouve posée sur ta poitrine et ta main se perd dans ses cheveux avec délicatesse. Tu apprécies les rayons du soleil sur ton visage, rendant le moment encore plus agréable. Tu fermes les yeux, savourant chaque seconde. À ce moment-là, tu te dis que tu pourrais rester dans cette position toute ta vie. Tu veux rester avec Robin toute ta vie. Tes pensées romantiques sont arrêtées quand Robin chuchote ton nom.
-Oui, Robs ? réponds-tu doucement.
-Tu sais qu’on reprend les cours dans une semaine ?
-Je suis au courant, oui. Pourquoi ?
-Comment on va faire au lycée ?
Tu arrêtes de caresser ses cheveux et relève son visage avec ta main. Tu vois à son expression qu’elle est nerveuse, tu fronces les sourcils tentant de comprendre la raison.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
Robin s’assoit sur la couverture tout en réfléchissant à la façon dont elle peut te partager ses pensées. Inquiète, tu te mets dans la même position, devinant le sérieux de la conversation.
-Est-ce qu’on agit comme si on ne se connaissait pas ? Ou on fait comme si on était des connaissances ? Enfin, dans un monde parfait, je te demanderais si tu voudrais qu’on agisse comme un couple devant tout le monde, mais ce n’est pas le cas, alors comment on fait ? demande-t-elle rapidement.
-Je veux pouvoir te parler quand je le veux. Je ne peux pas t’embrasser devant tout le monde, mais je ne veux pas agir comme si tu étais une inconnue. Enfin, si ça te va, évidemment ! Si tu préfères qu’on la joue discrète, il n’y a pas de problème.
-Je veux aussi pouvoir être proche de toi autant qu’on le peut.
-Alors, c’est parfait. Laissons-les penser qu’on est juste de très bonnes amies, souris-tu, Robin fait de même. Au fait, je voulais te demander, Jason m’a dit qu’il faisait une fête ce vendredi, histoire de célébrer la fin des vacances d’été, tu veux venir avec moi ?
-Une fête chez Jason Carver ?
-Je sais que ça a l’air nul aux premiers abords, mais on a pas à rester proche de lui. On peut juste danser toutes les deux ou rester avec mes amis. Tu peux même inviter Steve !
-Je crois que Steve a un rendez-vous ce soir-là. Mais t’es sûre que je peux venir ? Il ne m’a pas invitée.
-Plus il y a de monde, plus il est content. Il va y avoir tellement de monde qu’il ne va pas réaliser s’il y a une personne de plus. Et puis, comme j’ai dit, on peut rester dans notre coin tranquille et si c’est vraiment nul, on aura qu’à partir.
-D’accord, allons-y, alors ! confirme Robin pendant que vous reprenez votre position initiale.
A la soirée de Jason, tu parles avec tes amies en attendant Robin ー tu n’as pas pu l’accompagner donc c’est Steve qui l’amène avant de partir à son rendez-vous. Même si tu écoutes la discussion de tes amies, ton regard est posé sur la porte d’entrée. Quand tu la vois enfin apparaître, tu ne fais plus attention à tes amis et marches prestement vers Robin. Tu ne lui laisses pas le temps de réagir avant de la prendre dans tes bras. Elle te rend ton étreinte en un instant. Quand vous vous séparez, tu lui saisis la main et l’amènes vers tes amies, un grand sourire sur ton visage.
-Les filles, je ne sais pas si vous la connaissez toutes donc voici Robin. Elle fait partie de la fanfare de l’école, informes-tu, fièrement.
-Tu joues du saxophone, c’est ça ? questionne ton amie Crystal.
-Euh, de la trompette, en fait, la corrige Robin, embarrassée.
-C’est pareil.
-Contente de te rencontrer, Robin. Vous aviez des cours en commun l’année passée ? lui demande Chrissy.
-Non, on est devenues amies cet été. Elle m’a aidé à trouver un film à Family Video.
Après la réponse de Robin, tes amies se remettent à parler entre elles jusqu’à ce que Chrissy attire l'attention de Robin.
-Les boissons sont dans la cuisine, si tu veux.
-C’est vrai, tu dois avoir soif ! t’exclames-tu, suite à l’information de Chrissy. On revient, les filles.
Tu amènes Robin dans la cuisine et lui sers un verre après qu’elle t’ait dit ce qu’elle voulait. Vous restez dans la pièce à discuter, oubliant complètement tes amies. Vous n’avez pas eu l’occasion de vous revoir depuis la journée pique-nique, alors vous rattrapez les quelques jours de perdus.
Vous parlez depuis presque une heure quand Carol, une autre de tes amies, vient te chercher et te traîner sur la piste de danse, car sa chanson préférée est en train de passer. Tu n’as pas le temps de t’excuser auprès de Robin que tu es déjà dans le salon. Tu danses avec tes amies pendant une trentaine de minutes quand tu arrives enfin à t’évader pour aller rejoindre Robin. Tu veux t’assurer qu’elle va bien, mais tu veux aussi aller dans le salon avec elle. Tu n’as pas à chercher très longtemps. Tu la retrouves dans la cuisine, son verre vide dans la main, en train de discuter avec Joshua, un membre de l’équipe de basket. Tu penses qu’il est trop proche d’elle. Ta jalousie a fait son apparition sans que tu t’en rendes compte. Tu te diriges vers eux et te mets à côté de Robin avant de faire un sourire hypocrite.
-Désolée de vous interrompre, mais j’ai besoin de parler à Robin deux minutes.
-Bien sûr, acquiesce Joshua, mais il ne vous laisse pas tranquille, t’agaçant un peu plus.
-On aurait dû partir il y a une dizaine de minutes pour rentrer à l’heure chez toi, dis-tu à Robin et elle te regarde avec les sourcils froncés. Tu devrais aller appeler ta mère pour la prévenir que je vais te déposer en retard.
-Qu…, commence-t-elle à dire avant de voir ton regard insistant. Oh oui ! C’est vrai. J’y vais, tu as raison. Salut, Joshua.
Tu regardes Robin quitter la pièce avant de reposer tes yeux sur Joshua. Tu comprends à son regard qu’il est totalement attiré par elle, faisant grandir ta jalousie.
-Y/N, où est-ce que tu avais caché ta magnifique amie tout ce temps ? Je ne l’avais jamais remarquée, déclare-t-il avec un sourire en coin.
-Elle est dans la fanfare de l’école. Elle est là à tous tes matchs, réponds-tu, sèchement.
-Maintenant, je le saurai. Dis-moi, c’est vous êtes bonnes amies, c’est ça ? Donc, tu sais quel est son type de mec ?
-Désolée, mais tu n’es pas du tout son type, dis-tu et il n’a pas l’air de vouloir abandonner. Et puis, elle a déjà quelqu’un.
-Tu sais ce qu’on dit, c’est pas parce qu’il y a un gardien que tu peux pas marquer de but, rigole-t-il et tu te retiens de lever les yeux. C’est sérieux avec ce mec ?
-Oui, c’est très sérieux, déclares-tu en croisant tes mains sur ta poitrine. Cette personne aime beaucoup Robin, tout comme Robin l’aime. Tu n’as aucune chance avec elle, Joshua. Je dois y aller. Robin m’attend.
Tu plantes Joshua dans la cuisine et sors de la maison de Jason. Tu retrouves Robin à côté de ta voiture. Vous montez à l’intérieur et tu commences à rouler alors que ta colère redescend doucement.
-C’était quoi cette histoire avec ma mère ? Je dors chez toi et ta mère a mis le couvre feu à une heure du matin et il est actuellement minuit, veut savoir Robin.
-Je voulais partir de la fête. Elle était nulle.
-Mais, tu t’amusais avec tes amies.
-Je… Je veux juste passer du temps avec toi, mens-tu, mais elle voit clair dans ton jeu.
-Il y a autre chose.
-Bon, d’accord ! J’étais peut-être un peu jalouse, admets-tu, honteuse.
-Pourquoi ?
-Joshua.
-Il était un peu lourd, mais il était sympa, dit Robin, sans comprendre.
-Il te draguait !
-Quoi ? Pas du tout ! s’indigne-t-elle et tu te sens obligée de rigoler face à sa naïveté.
-Robin, je peux t’assurer que si. La preuve : il m’a demandé quel était ton type de mec et si tu étais avec quelqu’un.
-Oh… Qu’est-ce que tu lui as dit ?
-Qu’il n’avait aucune chance, commences-tu avant de te mordre l’intérieur de la joue. Et… j’ai peut-être laissé échapper que tu étais avec quelqu’un. Je n’ai pas dit que c’était une fille et encore moins que c’était moi, évidemment, mais il sait que tu es en couple. Je suis désolée, je sais que je n’aurais pas dû, mais ma jalousie a parlé pour moi ! Il m’a juste énervé à penser qu’il pouvait se permettre de tenter son coup même quand je lui disais qu’il était pas ton genre.
Tu n’oses pas regarder Robin, craignant qu’elle t’en veuille. Toutefois, tu sens sa main se poser sur ta cuisse, elle te fait un sourire avant de déclarer :
-Au moins, il me laissera tranquille. T’inquiète, je t’en veux pas.
Comme vous en avez convenu à la fin des vacances, vous continuez à vous voir au lycée. Vous parlez, travaillez et mangez ensemble. Certaines de tes amies sont surprises de voir que ton amitié soudaine avec Robin semble être aussi forte. Même si elles ne font pas de commentaires en ta présence, elles n’hésitent pas à parler de Robin et toi. Elles sont surtout outrées de voir que tu as osé annuler beaucoup de sorties à la dernière minute à cause de Robin. Une fois, tu as même manqué un entraînement, car Robin était malade. Bien évidemment, ta petite amie t’avait réprimandé, mais tu lui avais assuré que ce n’était pas grave. Toutefois, Crystal n’hésite jamais à reparler de cet événement dès qu’elle peut. Chrissy semble être la seule de tes amies à soutenir ton “amitié” avec Robin. Elle te défend quand elle entend les autres filles parler dans ton dos. Cependant, tu sais que tes “amies” parlent de plus en plus contre toi. Tu n’es pas dupe, tu vois bien le regard qu’elles te lancent surtout si tu mentionnes Robin ou si elle est proche de toi, mais tu n’y fais pas attention. Tu n’as jamais été très proche d’elles et tu savais qu’une majorité d’entre elles était hypocrites donc tu n’es pas étonnée. Tant que tu as Robin près de toi, c’est tout ce qui t’importe. Crystal, Carol et les autres peuvent continuer à parler, tu veux juste ta petite amie à tes côtés.
Un vendredi de novembre, il y a un match de basket au lycée. Comme d’habitude, tu as ta tenue de cheerleader et montre ton soutien à l’équipe. De son côté, Robin motive les joueurs avec sa trompette aux côtés de la fanfare. Un des avantages de ces matchs est que tu peux regarder Robin discrètement. Étant face aux estrades, tu dois regarder devant, autrement dit, là où Robin se tient. Il n’est pas rare que vous lâchez des rires discrets en vous regardant un peu trop longtemps.
Ce soir-là, n’est pas une exception. Accompagnée de tes coéquipières, vous faites votre chorégraphie, sous les applaudissements des spectateurs. À un moment, tes yeux se posent sur Robin et tu te trompes dans tes pas, écrasant le pied de Crystal sans faire exprès. Cette dernière te lance un regard noir, mais tu n’y prêtes pas attention. Robin tente de se retenir de rire tout en jouant de la trompette. Tu continues ta chorégraphie comme si rien ne s’était passé.
À la fin du match, l’équipe d’Hawkins High gagne donc vous faites votre chorégraphie spéciale jusqu’à ce que les joueurs retournent dans les vestiaires. Quand tout est terminé, les cheerleaders et toi partez vous changer. Il reste seulement deux autres filles quand tu es prête à partir. Tu prends ton sac et te diriges vers la porte quand Crystal t’empêche de partir en se mettant en face de toi, Carol à ses côtés.
-Tu comptes m’expliquer pourquoi tu m’as écrasé le pied ? te demande Crystal avec un regard interrogateur.
-Je me suis trompée dans les pas, ça arrive.
-C’est pas la première fois que tu fais une erreur depuis le début de l’année, remarque Carol et tu lèves les yeux.
-Faut juste que je travaille plus les choré, c’est pas grave.
-Faudrait déjà que tu viennes aux entraînements et que tu sois concentrée, rétorque Crystal.
-Ecoute, si tu as quelque chose à me dire, dis-le directement au lieu de faire des insinuations, commences-tu à t’énerver.
-Tout ce que je dis, c’est que t’es de plus en plus distraite, surtout pendant les matchs. T’es toujours là à regarder la fanfare.
-Tu veux dire les spectateurs ?
-Non, tu regardes la fanfare un particulier, te corrige Crystal avec un sourire malicieux. Pas vrai, Carol ?
-Généralement, c’est du côté de Robin.
-Et alors, j’ai pas le droit de regarder mon amie une fois de temps en temps ?
-Je trouve juste ça bizarre que depuis ton amitié avec Robin, t’es de moins en moins investie. Et je parle même pas du nombre de fois où tu nous as lâché, tu l’as ramenée ou t’es partie des soirées à cause d’elle. Elle est pas censée avoir un copain en plus ? Elle pourrait nous laisser un peu, continue Crystal et tu serres les poings.
-T’as intérêt à t’arrêter là.
-Je sais même pas pourquoi tu continues à lui parler. Elle est pas méchante, mais elle est bizarre, quand même.
-Tu retires ça tout de suite. Je t’interdis de l’insulter ! t’énerves-tu en faisant un pas en avant.
-C’est bon, j’ai rien dit de méchant ! se défend Crystal. En plus, la dernière fois que tu l’as invité à une sortie, elle a pas arrêté de parler du dernier film sorti au cinéma. C’est bon, on a compris que Breakfast Club est un chef d'œuvre. On a pas besoin de savoir chaque détail.
-C’est vraiment que c’était un peu pénible, acquiesce Carol, pensive.
-Si vous êtes pas capable d’apprécier sa compagnie, je vois pas pourquoi je m’obstine à continuer à vous parler. Robin est ma meilleure amie et que vous le voulez ou non, je vais continuer à sortir avec elle, déclares-tu.
-C’est ton problème, mais reste concentrée pendant les matchs, j’ai pas besoin que tu me détruise les pieds avant la fin de l’année. Enfin, ça, c’est si Chrissy veut encore bien te garder. Avec tout ce que tu fais depuis la rentrée, je ne serais pas étonnée de savoir qu’elle veut te sortir de l’équipe, dit Crystal, attendant une réaction de ta part.
-Tu sais quoi ? Elle n’aura même pas besoin de le faire, car j’abandonne, annonce-tu avec sérieux. Je ne veux plus être cheerleader et je ne veux surtout plus être amie avec des personnes hypocrites et qui se sentent obligées de rabaisser les autres.
Énervée, tu les dépasses et marches jusqu’à la porte. Quand tu la refermes derrière toi, tu retrouves Robin, un sourire gêné sur le visage. Tu te jettes dans tes bras, ayant besoin de son réconfort. Elle te rend ton étreinte, te serrant un peu plus fort. Quelques secondes plus tard, vous quittez le lycée et tu conduis jusqu’à chez Robin, car tu dors chez elle. Durant le trajet, elle est silencieuse et tu devines qu’elle est préoccupée. Tu n’oses pas lui poser une question, sachant qu’elle viendra te parler quand elle sera prête.
Fatiguée de votre journée, vous n’attendez pas une seconde avant de vous mettre en pyjama quand vous arrivez. Dans le confort de son lit, vous êtes enlacées dans l’obscurité. Tu sombres tout doucement dans le sommeil alors que Robin a les yeux grands ouverts. Ta respiration commence à se calmer quand Robin te secoue doucement. Tu ouvres les yeux alors que Robin allume sa lampe de chevet. Pendant une seconde, tu bloques la lumière à l’aide de ton bras avant de regarder Robin assise en face de toi.
-Désolée, dit-elle en faisant référence à la lumière. J’ai juste besoin de te parler de quelque chose.
-Dis-moi, murmures-tu avec une voix endormie.
-Tu vas vraiment quitter les cheerleaders ? demande Robin et tu fronces les sourcils. Je vous ai entendu. Je sais que tu t’es disputée avec tes amies à cause de moi. Je ne voulais pas créer des problèmes, je m’en veux, avoue-t-elle en évitant ton regard.
-Robin, c’est pas de ta faute.
-C’est un secret pour personne qu’elles ne m’apprécient pas et qu’elles m’accusent de ruiner ce que tu entreprends.
-Elles sont juste idiotes, déclares-tu en t’asseyant également.
-C’est tes amies.
-C’était, corriges-tu. Et puis, je n’ai jamais été proche d’elles. J’ai toujours su qu’elles attendaient l’excuse parfaite pour me tomber dessus. Il n’y a que Chrissy avec qui je m’entends bien et je sais que malgré mon départ, on continuera à parler, donc je ne m’en fais pas.
-Mais quand même ! Tu as quitté les cheerleaders à cause de moi alors que tu adores ça, s’exclame Robin, en se sentant coupable.
-Je vais pas te mentir, je voulais quitter les cheerleaders depuis un moment, disons que Crystal et Carol m’ont ouvert la porte, admets-tu. Et même si j’avais vraiment aimé le cheerleading, je serais partie, car elles ne sont pas gentilles avec toi. Je n’aime pas les réflexions qu’elles font. J’abandonnerais ma pseudo-carrière de cheerleaders si ça veut dire pouvoir être à tes côtés. Et puis, c’est seulement le lycée, je peux faire une autre activité extra-scolaire. Ce n’est pas aussi dramatique.
-Je veux juste pas que tu changes à cause de moi, chuchote Robin et tu la forces à te regarder.
-Crois-moi, si je change depuis qu’on est en couple, c’est seulement en bien. Depuis qu’on s’est rencontrées, tu m’aides à m’assumer. Je ne veux plus essayer d’être quelqu’un que je ne suis pas. Je veux être la vraie version de moi-même. Et c’est grâce à toi si j’ai le courage maintenant.
-J’ai pourtant l’impression que je ruine plus ta vie qu’autre chose, affirme-t-elle et tu hausses les épaules.
-Ça ne me dérangerait pas que tu ruines ma vie, si ça veut dire être avec toi. Je le pense vraiment, Robin. Je suis contente de t’avoir à mes côtés, alors arrête de penser que tu fais quelque chose de mal, car ce n’est pas le cas.
Robin te prend dans ses bras, ne sachant pas quoi dire. Tu l’étreins un peu plus, caressant son dos.
-Merci de m’avoir défendu, au fait, susurre-t-elle à ton oreille.
-Pas besoin de me remercier, j’allais pas les laisser t’insulter ! C’était ça qui te tracassait ? demandes-tu en te séparant d’elle alors que Robin te regarde surprise. J’ai bien vu ton regard quand je t’ai rejoint après le match.
-Disons que j’avais déjà des peurs depuis plusieurs semaines et entendre la conversation ne m’a pas aidé. J’ai commencé à avoir peur. Je me suis dit que si je détruisais vraiment ta vie sans m’en rendre compte, tu voudrais me quitter.
-Jamais, affirmes-tu. Je suis avec toi et je n’ai pas pour projet de t’abandonner. Je compte bien rester auprès de toi toute ma vie, si tu me le permets.
-C’est tout ce que je souhaite.
Tu poses tes lèvres sur celles de Robin tout en mettant tes mains dans ses cheveux. Celles de Robin trouvent leur chemin jusqu’à tes hanches te rapprochant un peu plus. Vous vous embrassez pendant quelques secondes avant de vous séparer. Tu lui souris alors que Robin éteint la lumière. Vous vous endormez paisiblement, sachant que vous allez rester ensemble toute votre vie.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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Avis impopulaire concernant Nine, je trouve que c'est une bonne chose qu'il se sépare de Sonic. Laissez moi expliquer, depuis que Nine a rencontré Sonic, ça a été l'une des plus belles choses qu'il ait eu dans sa vie. Depuis ce dernier n'avait plus qu'une idée en tête créer leur propre monde pour qu'ils puissent enfin avoir une vie paisible. Sauf que Sonic ne le voit pas justement, il est tellement focalisé à l'idée de sauver Green Hill et ses amis qu'il n'a pas prêté attention ce que Nine voulait. Et j'avais de la peine pour ces deux là, de voir cette relation se déchirer à cause de leurs désaccords. Par la suite, Nine devient possessif concernant Sonic, vous savez le genre d'ami possessif qui ne veut vous partager à qui que ce soit et veut vous garder pour eux seuls.
Sans compter que je le trouve même cruel envers Sonic en le tenant responsable mais aussi le blâmant ce qui s'est passé entre ces deux là voir même pour les autres parasphères. Alors que ce dernier culpabilisait déjà pour ce qui s'est passé ! Nine a aussi ses propres torts, sauf qu'il est tellement persuadé d'avoir raison dans ses actes qu'il ne voit pas justement ces erreurs. Et je trouve ça un peu à sens unique la manière dont la série traitait la relation entre ces deux là, tenant Sonic pour responsable mais ne pointant pas aussi du doigt les erreurs de Nine. Ça c'était quelque chose que j'avais pas aimé ! Et ce malgré que Sonic a essayé de le raisonner à mainte reprises. Son désir de vouloir protéger son monde le consumait peu à peu tout comme sa relation avec Sonic. Donc je pense que justement Nine a besoin de s'éloigner de Sonic du moins pendant quelques temps et quand il se sentirait mieux et prêt émotionnellement parlant, là je pense qu'il pourrait aller le voir.
Je peux comprendre pourquoi certains soient frustrés que Nine ne soit plus avec Sonic. Mais sa relation avec lui était malsaine pour Nine que pour Sonic !
Unpopular opinion regarding Nine, I think it's a good thing he's parting ways with Sonic. Let me explain, since Nine met Sonic, it's been one of the most important things in his life. Since then, Nine's only dream has been to create a world of their own, so they can finally enjoy a peaceful life together. Except Sonic doesn't see it, he's so focused on saving Green Hill and his friends that he doesn't realize what Nine wants. And I felt sorry for the two of them, seeing their relationship torn apart by their disagreements. Later, Nine becomes possessive of Sonic, you know the kind of possessive friend who doesn't want to share you with anyone and wants to keep you all to themselves.
Not to mention the fact that I even find him cruel towards Sonic, holding him responsible but also blaming him for what happened between those two and even for the other worlds. Even though Sonic was already feeling guilty about what happened! Nine has his own faults too, except that he's so convinced he's right in his actions that he doesn't see his mistakes. And I found it a bit one-sided the way the series treated the relationship between these two, holding Sonic responsible but not also pointing the finger at Nine's mistakes. That was something I didn't like! And this despite Sonic's repeated attempts to reason with him. His desire to protect his world was gradually consuming him, just like his relationship with Sonic. So I think Nine just needs to stay away from Sonic, at least for a while, and when he's feeling better and emotionally ready, then I think he could go and see him.
I can understand why some people are frustrated that Nine is no longer with Sonic. But his relationship with him was unhealthy for Nine as it was for Sonic!
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Il n'y a pas longtemps j'ai écouté un podcast d'un psy sur les relations amoureuses. Et il a mis en lumière certaines choses que je n'avais pas forcément conscientisées. En fait, le propos principal c'était que dans une relation avec quelqu'un on ne devrait se projeter qu'à hauteur de la durée actuelle de cette dernière. Autrement dit, si ça fait 2 semaines que tu es avec quelqu'un, ça ne sert à rien de penser à vos futures potentielles vacances, à si vous avez envie d'emménager ensemble ou autre parce que ce n'est pas realiste. Il faut plutôt penser à ce qu'on va bien pouvoir faire ce soir, ce week end, dans le mois, une attention particulière qui serait appréciable et profitables à l'autre comme à nous. On ne peut pas penser aux mêmes choses lorsque ça fait 1 mois et lorsque ça fait 1 an par exemple. Ça paraît logique, mais ce n'est pas ce qui est majoritairement appliqué. Il disait que c'est souvent les angoisses de l'avenir qui viennent ronger une relation et que ces angoisses, la plupart du temps, pourraient être évitées du simple fait qu'elles n'ont pas vraiment lieu d'être. On se projette trop sans prendre en compte qu'une relation avec quelqu'un n'est peut-être et sûrement pas prête à accueillir les changements et les tournants qu'on lui prévoit. J'ai des potes qui me disent souvent quand ils rencontrent quelqu'un et que c'est récent qu'ils ont hâte d'emménager ensemble ou de rencontrer les parents de l'autre. Il ne suggère pas qu'il y a une durée moyenne pour tout, on peut très bien emménager, partir en vacances, adopter un dobermann au bout d'une semaine mais ce n'est pas viable en général. Ça précipite une relation ou ça place des attentes alors qu'on en est pas là. Il suggère donc de prévoir et vouloir des choses en adéquation avec ce qu'on partage avec la personne. Et j'étais plutôt d'accord sans compter qu'il disait qu'on idéalise beaucoup le reste d'une relation parce qu'au début on ne s'est pas focalisé à hauteur qu'on pouvait le faire, donc ça amène beaucoup de déceptions. C'est le même principe que vivre au jour le jour et uniquement stresser pour des trucs qui arrivent dans le futur proche mais pour l'amour. Faut savoir prendre le temps de penser à des projets réalisables sur le court terme et cohérent avec le déroulé de notre relation actuelle. Et mine de rien, ça demande des efforts de ne pas se projeter trop loin avec une personne qu'on aime mais a fortiori ça évite de trop l'impacter à cause de l'angoisse, de l'impatience et de la déception. C'est dur de ne pas imaginer et fantasmer plein de choses avec quelqu'un parce que quand on aime on a envie de tout faire avec la personne. On nous dit toujours de ne pas vivre dans le passé mais dans le présent, c'est pareil pour le futur. Le présent c'est ce qui compte.
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13.
- Début septembre 2022 -
Étude de l’anatomie humaine, focalisée sur le bas du corps et les jambes
Les études de muscles sur l’ensemble du buste ont été faites d’après un modèle 3D
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Rien ne dure pour toujours - Se perdre pour se retrouver - Chapitre 2 : Cité Pâle
REMASTER!!! \ ö /
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Dans les rues délabrées de la Cité pâle règne une étrange atmosphère. Une immense tour trône au centre de la ville, surplombant tous les bâtiments de la ville, touchant les nuages.
Nombreux bâtiments peinent à rester debout, pendant que d’autre s’adosse sur leurs voisins. Certain menace de basculer pour de bon ou de s’engouffre dans les immenses fissures qui éventre la ville.
Un peu partout, des vêtements parsèment les recoins de la ville, comme si leurs porteurs s’étaient subitement évaporés dans les airs, en plein milieu de leur occupation. Certains sont posés sur les chaises d’un restaurant pendant que des rats mangent les restes dans leurs assiettes. D’autres attendaient le bus pour rentrer chez eux, pendant que d’autres se prélassaient devant leurs écrans. Où sont-ils allés? Personne ne le sait. Personne n’est jamais revenu pour le dire.
Mais, malgré ces apparences de ville fantôme, la Cité Pale n’en regorge pas moins de vie.
***
Si il se fie à la couleur du ciel, il doit être tard. Il devrait rentrer, les rues sont encore plus dangereuses la nuit que le jour. Il a perdu son chapeau dans sa quête de nourriture, mais ça en a valu la peine : une soupe en cannette et un morceau de pain pas trop sec. Avec ça, il va pouvoir se faire un festin. Reprenant une grande chaussette en guise de sac et poussant la cannette (presque aussi grande que lui) Mono prend le chemin de la maison.
Après une longue marche, il est enfin plus très loin de chez lui, il n’a qu’a de s’engager dans la ruelle un peu plus loin pour atteindre le quartier où se trouve un bâtiment d’habitations. Le seul endroit à peu près sûr de la ville. Et où il a toujours vécu, aussi loin qu’il puisse rappeler.
Une foi qu’il a atteint la fin de la ruelle, il se cache derrière une benne à ordure et observe les environs. Une petite foule est amassée devant une vitrine, visiblement fascinée par les derniers modèles de télévisions en démonstration. Des grandes personnes, des "spectateurs " plus exactement . C’est comme ça que les enfants les appellent, car c’est ainsi que les télévisions semble s’adresse à eux. Leurs visages, du moins, ce qu’il en reste, sont déformés à un niveau plus ou moins avancé. Les plus chanceux ont encore 1 ou 2 yeux, bien que plus ou moins enfouis dans ce tourbillon de plies. D’autres ont leur bouche remontée sur un côté. Et pour terminer, certains ont leur visage si défiguré qui est difficile d’appeler ça un visage, complètement effacé, ni yeux ni nez, et surtout, plus de bouches.
« Et maintenant chers spectateurs et spectatrices, voici venir notre prochain programme ! » Dès les premières notes de la mélodie, les Spectateurs deviennent agités, manifestement enthousiasmés par l’émission en question. Davantage de spectateurs rejoignent le regroupement. Mono reste caché un moment à les observer, attendent de voir ce qui ce passer et trouver le bon moment pour s’engager dans la ruelle avec toute cette foule.
De loin, si on se fie aux rires, cela semble être une comédie. Certains spectateurs poussent des gloussements étranglés, presque animaliers. Rire sans bouche ce n’est pas drôle, mais ce n’est pas plus mal. Même si les spectateurs ne mangent habituellement pas les petits comme lui, c’est toujours un problème en moins à s’inquiéter, bien que cela n’enlève rien à leurs dangerosités. Ces derniers ont tendance à devenir… quelque peu agressifs, si qui que ce soit à l’audace de les déranger pendant leur occupation favorite.
Quoi qu’il en soit, avec cette distraction offerte par les télévisions, c’est le moment idéal pour traverser cette ruelle avec un minimum de risque. Avec prudence, il se faufile de carton en carton et de débris en débris, faisant rouler habilement sa cannette. Il garde un œil sur en tout temps sur le groupe, ils sont toujours focalisés sur les écrans. Bien.
Il est à présent derrière le groupe, personne ne remarque sa présence. Il doit tout de même prendre garde à ne pas trop s’approcher d’eux. Il se dirige maintenant à la prochaine intersection et plonge se cacher derrière le coin du mur. Mono sort là discrètement la tête, inspectant ses arrières pour s’assurer que personne ne l’a remarqué. Les spectateurs sont toujours hilares et d’autres se joindre au groupe, et ces derniers commence à se bousculer pour ce faire une place devant le spectacle, ce qui ne manque pas de provoqué quelque tension. Ils se poussent l’un l’autre et le ton commence à monter.
Ne voyant rien d’inhabituel, s’apprête à reprendre sa route quand, un bruit derrière lui attire son attention. Mono se cache derrière un carton avant qu’il ne soit repéré et observe les environs, prés a réagir. Soudainement, un homme surgit par une porte! Mono reste cacher, se faisant aussi petit qu’il le peut, espérant ne pas être repéré.
Le spectateur se rue dans sa direction, trébuchant dans des cartons. Le garçon a à peine le temps de se jeter hors de la trajectoire, évitant de justesse de se faire piétiner sous ces grosses chaussures. Il se met à courir à toute vitesse, laissant derrière son sac de fortune et sa cannette. Tant pis pour le repas de ce soir, il reviendra les chercher plus tard si il peut. Le bruit des pas lourd de l’adulte diminue rapidement et Mono jette un rapide coup d’œil dernier lui. Tien? Il ralentit sa course, il n’y a personne derrière lui.
Le spectateur cours vers la foule d’un pas dé-coordonner et tente lui aussi de se faire une place dans devant les écrans, ajoutant à l’agitation. Soulagé, Mono souffle un bon coup, quelque peu secoué. Ce n’est pas passé loin… plus de peur que de mal. Les spectateurs commencent à se battre pour de bon, pour avoir la meilleure place devant les écrans. Mieux vaut ne pas rester trop longtemps ici. Il retourne ramasser ses affaires et reprend sa route sans traîner.
Il atteint enfin la ruelle désirée. Il n’est plus très loin de son chez lui, mais il doit encore rester sur ses gardes. C’est une ruelle bien dégagée avec très peu de couverts pour se cacher. Après une bonne observation, la ruelle semble déserte mit appart les quelques cadavres picorés par les corbeaux. Bien, comme ça, ils ne seront pas tentés de lui piquer sa nourriture, ou de le pique lui.
Mono s’avance dans la ruelle, jusqu’à atteindre les abords d’un petit parc pour enfant. Il s’arrête un moment pour regarder l’attraction plus ou moins délabrée. Il n’y a personne à cette heure, les autres enfants du coin doivent tous être déjà rentés. Mais ça fait un bon moment qu’il n’a croisé aucun d’entre eux. Ça n’a rien d’inhabituel de ne pas se croiser pendants quelque jours, mais ça vas faire bientôt plus de 5 jours qu’il n’a rencontré ou même aperçu un autre enfant dans le coin. Il se demande si il n’est pas le dernier ici. Peut être qu’il devrait faire le tour des l’appartement, mais une prochaine fois, il est épuisé et affamé.
Son refuge se trouve pile en face du parc. Il rentre par la porte principale, grand ouverte, ou plutôt absente. Quelque hurlement du vent et le grincement de la bâtisse accompagnent la musique des multiples télévisions dans les différents appartements. Comme d’habitude, tout le monde est devant son écran à cette heure. Il ne lui reste plus qu’à rejoindre sa porte, le seul endroit encore à peu près sur de la ville. Enfin, il espère.
Le logement se trouve plus haut. Avec cette cannette, il ne pourra pas passer par les conduits d'aération comme d’habitude. Heureusement, l’ascenseur est encore fonctionnel, il n’aura pas à traîner cette cannette tout en haut des escaliers. À l’aide d’un bloc de jouet, préalablement mis à disposition pour les autres enfants, Mono appelle ledit ascenseur. Ce dernier descend dans un bruit infernal. Une fois arriver les grille-accordéon peine à s’ouvrir, mais grâce à sa petite taille, parvient a si faufilé. Il prend un autre bloc-jouet et le lance avec habileté sur le bouton du bon étage et l’ascenseur remonte dans son fracas habituel. Une fois à destination, il reprend ses affaires et il sort de l’ascenseur non sans une petite inspection au couloir après un tel raffut.
Il longe les portes le long du couloir. Il peut entendre les télévisions derrière chacune d’elles. Certaines lumières au plafond sont encore fonctionnelles, mais certaines commence à vaciller. Il arrive devant une porte avec un dessin d’un oiseau sur une branche, dessiner à la craie. C’est ici. À l’aide d’un chiffon attaché à la pogné pour faire tourner la poignée et parvient à ouvrir la porte et se glies discrètement à l'intérieur.
Il jette un œil au salon. Il peut voir une femme Téléspectatrice, et elle ne semble pas avoir remarqué son arrivée. Il prends soin de doucement refermé refermer la porte et prend quelque instant pour souffler… Enfin en sécurité.
Il observe un moment la Téléspectatrice. Elle est assise dans un sofa, devant son écran. Il ne pourrait pas dire si elle est endormie ou juste silencieuse.
En s’aventurant, il remarque un quelque chose parmi la jonchée de plat au sol, un… un pilon de poulet! Il s’approche et remarque qu’il reste un peu de viande. Merveilleux ! Ça sera parfait pour accompagner la soupe. Il doit tout de même faire attention à ne pas faire trop de bruit. Avec précaution, il récupère l’os, mais, malgré toute sa précaution, la pile d’assiettes vacille et il manque de se prendre un verre sur la tête. Le verre s’écrase avec fracas. Il recule de quelque pas, regardant avec appréhension à la spectatrice. Elle dirige brutalement son attention et son attention vers lui en grognant, visiblement irritée par le bruit. Tiens ? Elle… Elle n’a plus ses yeux. Est-ce qu’elle va le — . Elle se lève brutalement et fonce sur lui ! Il essaye de s’écarter, mais tombe à la renverse en se trébuchant dans des couverts au sol. Il n’aura pas le temps de se relever! Il se recroqueville sur lui même. La spectatrice est sur le point de l’attaquer quand...
" C’est moi ! " cris-t-il désespérément!
La spectatrice s’arrête brutalement et, pendant un temps, ils restent tous les deux figés… Tout tremblant, il se déroule doucement.
" Hey… Ma-M’an ? " essaie-t-il timidement.
À sa voix, elle semble se calmer un peu. Ouf… Elle la reconnut.
En temps normal, n’importe quel téléspectateur l’aurait tué sans outre mesure, mais, ce n’est pas n’importe quelle téléspectatrice. Pour une raison mystérieuse, il semble que certains " parents " n’attaquent pas leurs enfants, du moins, pas avant que leur visage soit totalement effacé.
Sans se soucier de lui, elle retourne s’asseoir en grommelant, et reprend son émission. Mono pousse un long soupir de soulagement, un peu plus et ça en était fini de lui. Il reprend ses affaires avant de se rend à la cuisine sans plus tarder.
Dans ce monde, l’indifférence est ce que les enfants peuvent espérer de mieux.
Une foi dan la cuisine, il s’approche du comptoir et attache la cannette et l’os de poulet avec une ficelle qui de plus haut des tiroirs, puis escalade les tiroirs comme une échelle. Une foi sur le comptoir, il remonte le tout. Il ne lui reste plus qu’à la préparée tout ça. En temps normal, il aurait mangé la soupe froide. Mais cette fois-ci, il a des allumettes ! Il va pouvoir enfin manger une soupe chaude. Ça fait si longtemps…
Avec toute sa force, il traîne une petite casserole jusqu’à la cuisinière et la place sur le rond. Il doit maintenant ouvrir cette cannette. De toutes ses forces, il tire sur la boucle et parvient à ouvrir d’un quart la cannette. Il pousse la cannette jusqu'à la poêle et y verse la soupe, non sans quelque dégât, la cannette donne de gros coups en se vidant. Il ne parvient pas à la vidé complément mais ça suffira. Puis le poulet et, voilà. Maintenant, le feu! Avec impatience, il sort une allumette de son sac et, après quelques essais, il parvient à l’allumer. Il la place sous la casserole et se dépêche d’ouvrir le rond. Des flammes jaillissent sous la casserole. Bien! Il ajuste le feu et il ne lui reste plus le cas à attendre. Il se tient proche du feu pour se réchauffer, ça fait tellement du bien, surtout à ses pieds nus. En attendant, il mange son morceau de pain. Plutôt oxydé, mais parfaitement mangeable.
Il observe sa mère un instant . Il fut un temps où elle reproduisait, bien que partiellement, les recettes présentées à la télé. Avant, il se contentait de ce qui restait de rares repas de sa mère et de chapardage, comme beaucoup d’autres enfants. Mais depuis quelque son père à disparu… elle ne cuisine plus beaucoup. À partir de ce jour-là, elle a passé de plus en plus de temps devant la télé.
Mais à force d’observer sa mère cuisiner, il est devenu curieux et a voulue essayer en improvisant avec ce qu’il trouvait. Avec plus ou moins de succès. Il se souvient quand il a placé une cannette directement sur le feu, sans l’ouvrir. Les murs et le plafond sont là pour lui rappeler. À force, il a fini par prendre goût à des repas plus « raffiné » et saisi les rares occasions quand elles se présentent.
Il repense à tout à l’heure. Il ne sait pas encore combien de temps cette cohabitation va durer. Il a bien cru qu’elle allait le chasser de la maison pour de bon… ou pire. Depuis quelques semaines, il semble qu’elle a de plus en plus de mal à le reconnaître. Probablement, car ses yeux étaient de plus en plus absorbés par sa défiguration. Et maintenant, elle ne les a plus. Ça va devenir compliquer si il doit crier à chaque foi pour se faire reconnaître. D’ailleurs, il se demande comment elle et les autres font pour voir les émissions, ou voir tout court. Peut-être que le son leur suffit.
Il est tiré de ses pensées par le frémissement de la soupe. Aahh, elle est enfin prête. C’est l’heure de manger. À l’aide d’un bol, il se sert une belle portion et récupère l’os de poulet et s’empresse de goutter. Les petites nouilles, les morceaux de légumes, le bouillon… Dès la première bouchée, il ne peut plus s’arrêter. Il engloutit la soupe, essuyant la moindre goutte et miette avec le pain qu’il lui reste. Il ronge jusqu’à la dernière miette de viande sur l’os. Il mange même le drôle de bout moux. C’est si bon... Il n’a pas mangé comme ça depuis longtemps. Il avait presque oublié ce que c’était d’être rassasié. Si seulement il pouvait manger comme ça plus souvent...
Au salon, l’émission tire à sa fin. Sa mère se lève et se dirige vers la cuisine. Mono s’empresse de se cacher, avec ce qui s’est passé plus tôt, mieux vaut prendre ses précautions et part se cacher sous le rideau de la fenêtre. Sa mère arrive dans la cuisine d’un pas lourd et désordonnée, typique des Téléspectateurs.
Mono l’observe discrètement de derrière le rideau, prêt à prendre la fuite. Elle s’approche de la casserole, et, elle reste un moment figé, à fixer la soupe frémissante, probablement déconcertée par ce repas en pleine préparation dont elle n’a pas souvenir d’avoir commencé. Puis, machinalement, elle vide le reste de la cannette et commence à saisir des épices dans les placards et à les verser dans la soupe. Elle ne remarque même pas que les flacons sont vides, et ce depuis longtemps. Mais au moins, elle a l’air contente. Elle mélange le tout , éteint le feu et par manger sa préparation devant la télé. Dommage, il ne pourra pas reprendre de cette soupe plus tard.
Aller, mieux vaut aller se cacher et dormir. Mais avant, il doit aller placer son petit système de sécurité à l’entrée. Donc au salon. Il n’aime vraiment pas l’idée avec l’état de sa mère, mais il doit le faire, n’importe qui pourrait rentrer et le surprendre. Il a bien failli y passer la dernière fois où il a négligé de le faire. Donc, discrètement, Mono se faufile derrière le sofa. Sa mère est bien concentrée sur la télévision. Il se dirige doucement ver la porte et place une balle. Puis, il place en équilibre en animal à ressort contre la porte. Ça n’emperchera personne de rentrer, mais au moins, ça provoquera un petit chaos pour ne pas se faire surprendre durent son sommeil lui donner le temps de s’échappera : La balle ira frapper des cubes qui tomberont, l’animal a ressort tombera en poussant des cries et avec toute cette vaisselle par terre laisser par sa mère, bonne chance pour rentrer sans bruit.
L’esprit tranquille, il peut enfin aller se coucher. Il jette un œil une dernière fois à sa mère. Tôt ou tard… si ce n’est pas elle qui le chasse de la maison… c’est cette télé qui va… il ne préfère pas y penser. Il a déjà essayé de la prévenir, mais elle ne l’a jamais écoutée. Tout ce qu’il peut faire, c’est attendre l’inévitable, quel qu’il soit.
Mono se rend à dans sa chambre et part se cacher sous le lit, bien trop grand pour lui, comme tout le reste. Il s'est aménagé un petit nid avec un pull sur le sol et un ours en peluche. C'est poussiéreux, mais au moins, il est plus en sécurité que l’exposé sur le matelas.
Il se cale entre les pattes de l'ours en peluche plus gros que lui et prend une des grosses pattes et la serre contre lui.
Il essaye de faire taire son esprit, mais c'est difficile. Il a tellement de choses qui lui trottent dans la tête, tellement de questions et aucune réponse. C’est assez dur à expliquer, mais il a parfois l’impression que ce monde n’est pas dans son état normal. Qu’avant, les choses étaient différentes. Mais avant quoi ? Et différent, comment ? Il est incapable d’imaginer à quoi ce " avant " aurait bien pu ressembler. S’il a même existé un " avant ". Est-ce que les enfants ont toujours dû vivre ainsi ? Comme de la vermine à éliminer ou bonne à exploiter ? Est-ce que " avant " les enfants pouvaient vivre sans la peur d’être tués, capturer ou même manger par le premier "adulte " venue ? Aussi loin qui puise ce rappeler, il n’a rien connu d’autre. Mais, quand il y pence, il ne souvient de rien de ses plus jeunes années. Comme si, un jour, il a commencé à exister. Mais peut-être que tout ça est normal.
Après tout, quand il a eu l’occasion de demander à d’autres enfants de son quartier, tout comme lui, bien qu’ils soient habitués à vivre ainsi, ils l’impression que quelque chose cloche dans ce monde, de s’être réveillé un jour, dans un autre monde sans souvenir du précédent, si précédant il eut. Mais pour la plupart, ils trouvaient ces interrogations stupides et inutiles. Et il peut comprendre : même si les choses avaient été différentes à un point dans le passé, à quoi bon imaginer à quoi ressemblait un hypothétique « avant ». Ça ne changerait rien à la situation actuelle.
Peut-être que ce “monde d’avant ” n’était-ce qu’un rêve. Un très long rêve désespéré, pour oublier et échapper un instant à ce cauchemar éveillé qu’est cette réalité. Il devrait arrêter de ce trituré l’esprit avec toutes ces questions, qu’est qui peut y faire de toute façon. Mais c’est plus fort que lui, il ne peut s’en empêcher.
Après un temps, il parvient à faire taire son esprit de toutes ses inquiétudes et questions. Malgré la fatigue, il prend un certain temps laissé partir la tension dans son corps. À plusieurs reprises, dès que sa conscience commence à glisser, il est pris de sursaut, son corps incapable de sortir de ce mode survie, ne serais que pour quelques heures. Il prend une grande et longue respiration et essaye de trouver le repos.
Après de longues minutes et quelque dernier soubresaut, il parvient enfin à s’endormir. Avec un peu de chance, il pourra trouver un peu de répit dans ses rêves.
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BURN-OUT
Un sentiment assez étrange me submerge depuis quelque temps. La moindre tâche au travail devient une montagne, mes pensées sont focalisées sur le travail, impossible de m’endormir sans faire de cauchemars ou d’angoisser à l’idée de me retrouver exténuée, à terre.
Mes émotions sont décuplées, je n’ai plus les idées claires sur rien. Tout s’assombrit au tableau, je ne vois plus l’intérêt de ce que je fais, pour qui, pour quoi faire ? A cela s’ajoute la culpabilisation, la peur de bouger, d’arrêter, de changer. Bref de vivre tout simplement. Comme si j’étais bloquée dans un espace temps et que je ne pouvais rien y faire.
J’attends le moment où tout s’arrêtera, où on viendra me sauver.
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