#femmes et science
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Il y a 78 ans mourrait le Dr Sara Josephine Baker (1873-1945) qui a révolutionné la santé publique. Elle a particulièrement travaillé pour améliorer la santé des enfants dans les quartiers pauvres de New York. Elle a adapté ses actions en comprenant les personnes qu'elle voulait protéger. Par exemple, elle a créé des lieux de distribution de lait sains et peu coûteux, formé et certifié des sages-femmes pour les femmes immigrantes, et formé des grandes sœurs pour prendre soin des plus jeunes. On estime qu'elle aurait sauver 90 000 bébés.
#femmes en science#histoire de la médecine#femmes médecins#femmes et science#médecine#santé publique#Youtube
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#pierre déléage#l'autre mental#figures de l'anthropologue en écrivain de science-fiction#la découverte#où sont les femmes ?#philip k. dick#lucien lévy-bruhl#benjamin lee whorf#carlos castaneda#eduardo viveiros de castro#épistémologie#anthropologie#un seul auteur de science-fiction#fictionnaliser la manière et non le contenu#expliquer la stabilité des idées plutôt que les catégoriser#anthropologie ventriloque#commutateurs#réalités parallèles qui sont des perceptions d'un individu#au mot de la lettre pour créer du fantastique
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Elle est là, ses cheveux longs détachés, en sous-vêtements devant la prestigieuse université islamique Azad de Téhéran, en Iran. Cette étudiante, dont l'identité est inconnue, a été interpellée samedi 2 novembre 2024 après avoir manifesté contre le harcèlement des forces de sécurité de l'établissement.
Armin Arefi, informe qu'elle aurait été frappée à la tête, ce qui aurait provoqué une hémorragie.
Ahou Daryaei la jeune femme inscrite dans l'unité de Science et de Recherche de l'établissement, a été importunée parce qu'elle ne portait pas de maghnaeh, ce tissu noir couvrant la tête, le front, le menton et la poitrine, obligatoire dans les universités. D'autres médias iraniens précisent que les forces de sécurité et la milice bassidi, cette force paramilitaire composée d'hommes et de femmes placés sous le contrôle des pasdaran, lui auraient ensuite déchiré son hijab inapproprié et ses vêtements.
Ahou Daryaei, a young woman enrolled in the institution's Science and Research Unit, was harassed because she was not wearing a maghnaeh, a black cloth covering the head, forehead, chin and chest, which is mandatory in universities. Other Iranian media reports state that security forces and the Basidi militia, a paramilitary force of men and women under the control of the Revolutionary Guards, then tore off her inappropriate hijab and her clothes.
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French Podcast Recommendations
The following list contains podcasts in French that I, a native French speaker, listen to. So if you're a beginner in French, those might be too hard for you !
The rest of the post will be in French !
1) Chasseurs de Sciences : Chaque épisode dure une dizaine de minutes et porte sur des scientifiques/personnalités "méconnu(e)s". (Il y a plein d'épisodes sur des femmes qui ont eu un impact énorme sur leur discipline)
Super intéressant !
Mes épisodes préférés : Henrietta Lacks, morte il y a 70ans..et toujours vivante ; Ada Lovelace, autrice du premier programme informatique..en 1843 ; Rosalind Franklin, une femme à la conquête de l'ADN ; Nelly Bly, 10 jours dans un asile psychiatrique et 72 jours autour du monde ;
2) Vénus s'épilait-elle la chatte ?
C'est un podcast sur l'histoire de l'art et le féminisme !
Les épisodes sur Picasso et Frida Kahlo sont à écouter absolument ! Frida Kahlo, au delà du mythe ; Picasso, séparer l'homme de l'artiste ;
3) Thinkerview :
Séries d'interviews sur différents sujets (qui ne sont pas vraiment mentionnés dans les médias).
Super intéressant si vous vous intéressez un peu à la géopolitique/ réchauffement climatique
Mes épisodes préférés : L'effondrement, le point critique ? Aurore Stéphant (Elle parle de l'industrie minière et de ses impacts sur l'environnement. L'écoute de cet épisode devrait être obligatoire pour l'ensemble de la population)
Guillaume Pitron : L'enfumage de la transition écologique
4) Mythologie Grecque
Un podcast sur ... la mythologie grecque !
Remarque : Je crois qu'à la base c'est un podcast à écouter avant d'aller dormir donc les effets sonores sont un peu...particuliers.
Voilà voilà, après, je vous conseille, s'il y a des sujets particuliers qui vous intéressent, de juste les taper en français dans la barre de recherche de Spotify et de choisir au hasard des podcasts ! C'est comme ça que j'ai découvert un tas de podcasts en anglais/ allemand/ espagnol. Bonne écoute !
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Automne 1927 - Champs-les-Sims
3/5
Avoir deux filles m'a fait beaucoup pensé. Surtout au vu de ce que tu écris dans ta lettre au sujet des femmes au Canada ou de l'enseignement de l'anglais. J'en ai discuté avec Antoine, et figure toi qu'il connait étrangement bien le sujet. En effet, la faculté des Sciences Politiques où il étudie est très "américanophile" comme il dit. Il dit que ça vient de Tocqueville, même si je n'ai aucune idée de qui il s'agit mis à part qu'il s'agissait d'un philosophe. Nous en avons même parlé assez longuement, et quand Antoine parle de politique, il a cette petite lueur dans les yeux qui me rend parfois jalouse de ne pas être allée à la faculté.
Il aimerait pouvoir en parler plus longuement, mais Grand-Mère n'apprécie pas tellement les socialistes, sans bien sur évoquer les communistes. De plus, avoir un débat avec elle est éreintant, elle ne cesse de multiplier les stratégies de fuite ou les appels au bon sens quand elle se sent en difficulté. Pour mon frère, c'est assez difficile à vivre car il aimerait pouvoir partager plus de choses avec elle. Pense-tu, quand il est question de politique, elle rapporte tout à Napoléon ! Et pas seulement au troisième.
Transcription :
Eugénie « Et comment se passe l’école mon garçon ? »
Marc-Antoine « Très bien Grand-Mère. Mes professeurs sont contents de mon travail et je passe la plupart de mon temps libre à la bibliothèque. Ils n’arrêtent pas d’y ramener de nouveaux livres, c’est fascinant. Beaucoup de livres américains cependant... »
Arsinoé « Et ça ne te plaît pas ? »
Marc-Antoine « Bon, je n’ose pas dire grand-chose, mais j’ai l’impression que tout le monde à la faculté ne jure que par l’Amérique. L’Amérique par ci, l’industrie américaine par là, la femme américaine serait « trop libérée »… Enfin bref, nos anciens sont tellement persuadés de prêcher en territoire conquis qu’ils en oublient que tout le monde n’est pas d’accord. Mais d’un autre côté, ils fustigent Wilson et ses Quatorze Points. »
Arsinoé « Donc en réalité, ils ne suivent que ce qui les arrange. Soit c’est un modèle à suivre, soit c’est un contre-exemple à éviter. »
Marc-Antoine « Exactement ! Ils n’ont que ça à la bouche ! »
Eugénie « Les Américains sont des brutes incultes, je l’ai toujours dit. Je ne vois pas en quoi nous devrions être fascinés par tous ces imbéciles d’outre Atlantique. »
Arsinoé « Le Canada est aussi en Amérique, Grand-Mère. »
Eugénie « Seigneur ma fille, me crois-tu idiote ? Heureusement qu’il y a là-bas quelques français pour raffiner l’ensemble, voilà ce que je dis ! Si ce n’était Napoléon, je ne parviens pas à comprendre ce qui a pu pousser ton arrière-grand-oncle Jacques à rester. »
Marc-Antoine « Tout n’est pas si blanc ou si noir Grand-Mère. Et je ne crois pas qu’on puisse parler vraiment de « français ». Ils sont canadiens depuis bien longtemps, et si ce n’est la langue, je pense qu’ils ont une culture aussi différente qu’entre nous et… voyons… nos voisins allemands par exemple. »
Eugénie « Oh non, pas les allemands. Ces immondes brutes nous ont bien fait assez de mal ! »
Marc-Antoine « Je ne faisais que… oh, laissez tomber ce n’est pas grave. »
Arsinoé « Vous n’aimez pas grand-monde Grand-Mère. »
Eugénie « Il faut dire qu’il n’y a pas grand monde pour nous aimer non plus. La réciproque est vraie également. Mais n’y voyez pas une attaque contre nos cousins, ce sont de braves gens. Même si il est vrai que Cousin Jules est sans doute trop américain sur bien des aspects... »
Marc-Antoine « Je ne suis pas sur que... »
Arsinoé « Quelqu’un peut-il trouver grâce à vos yeux ? »
Eugénie « Tu me vois donc comme une vieille bique amère… Pour commencer, vous bien sur ! Ma brillante descendance qui comble toutes mes attentes, ainsi que... »
Marc-Antoine « Que pensez-vous des communistes ? »
Eugénie « Oh ceux-là. Vous savez, je n’ai rien contre les socialistes, mais il ne faut pas trop l’être non plus n’est-ce pas ? Quand il était jeune, votre père a lu un livre socialiste, et il a retourné la tête à tous les élèves de sa classe. C’était un pamphlet anti-clérical, a-t-on idée d’introduire cela chez nous ? Les communistes détestent Dieu ! Fort heureusement, votre grand-père a eu tôt fait de lui remettre les idées en place. »
Arsinoé « Pourtant, Papa aime toujours aussi peu les curés, de même que les monarchistes. »
Eugénie « C’est à cause de toutes ces bêtises qu’il a lues. Le socialisme mets des idées étranges dans la tête des gens. Vous savez qui était également socialiste ? La mère de Cousin Jules. Et quels étranges fils elle a eu… La brave femme a sans doute fait de son mieux, mais avec de telles idées, il était naturel que ces deux arbres ne poussent pas droit. »
Arsinoé « Admettez quand même que certaines idées sont bonnes. Je ne suis pas spécialistes, mais il me semble que les communistes veulent davantage d’égalité dans la société, et ce n’est pas plus mal n’est-ce pas ? »
Eugénie « De mon temps, les gens n’avaient pas toutes ces bêtises en tête et ils n’étaient pas plus malheureux. L’égalité… pfff, à quoi bon ? Va t-on déposséder tous ces braves patrons des biens qu’ils ont mis leur vie entière à créer ? »
Marc-Antoine « Et bien, nous pouvons comprendre leur point de vue non ? »
Eugénie « Veux-tu voir ta sœur privée de ses biens ? Toutes nos belles choses dispersées aux quatre vents ? Assister à la fin de tout ce que votre grand-père et votre oncle ont mis une vie à bâtir ? »
Marc-Antoine « Non… bien sur que non... »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Constantin Le Bris#Adelphe Barbois#Maximilien Le Bris#Jacques Le Bris#Jules Le Bris#Jacqueline Rumédier
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La femme traditionnelle ou la femme absolue, en se donnant, en vivant pour un autre, en voulant être uniquement pour un autre être, avec simplicité et pureté, s’accomplissait, appartenait à elle-même, manifestait son propre héroïsme et devenait même supérieure aux hommes ordinaires. La femme moderne, en voulant être pour elle-même, s’est détruite. La « personnalité » qu’elle désirait tant tue toute ressemblance avec la personnalité féminine en elle. Il est facile de prévoir ce qu’il adviendra des relations entre les sexes, même d’un point de vue matériel… Que pourrait-il se passer entre ces êtres mélangés, privés de tout contact avec les forces de leur nature la plus profonde ?
Entre ces êtres pour qui le sexe est réduit au plan physiologique ? Entre ces êtres qui, dans les recoins les plus profonds de leur âme, ne sont ni hommes ni femmes, ou qui sont des femmes masculines ou des hommes féminins, et qui prétendent avoir atteint l’émancipation sexuelle totale tout en n’ayant en réalité que régressé ? Toutes les relations sont vouées à avoir un caractère ambigu et en déclin : les promiscuités camarades et les sympathies “intellectuelles” morbides telles qu’elles sont courantes dans le nouveau réalisme communiste. En d’autres termes, la femme moderne sera affectée par des complexes névrotiques et tous les autres complexes sur lesquels Freud a construit une “science” qui est véritablement un signe de notre époque.
Julius Evola
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saga: Soumission & Domination 330
Sosthène par Sosthène, mes Asiates
Sosthène me fait le récit de sa première prestation. Je lui dis de ne me formuler que ses impressions, j'ai déjà reçu le compte rendu de son séjour à Paris.
Sosthène :
Sasha vient de me mettre dans le train. Les premières c'est classe. Je suis entouré de vieux et mes jeans tranchent un peu parmi les costumes. D'être attendu sur le quai par un chauffeur qui porte une pancarte à mon nom, c'est étrange pour moi. Il prend mon bagage et je le suis sans un mot. Il me dit que monsieur XXX m'attend et qu'il me conduit chez lui. Je n'ai jamais été servi et ça me met un peu mal à l'aise.
Quand je rencontre Henri, je suis très stressé. Je suis seul, pas comme la fois où j'ai rencontré Marc. Rien à voir ! Il me reçoit très gentiment. Et je me détends quand il commence à parler littérature. Le stress revient quand Kev pour qui je suis le cadeau arrive. Je ne comprends pas au départ. Il semble désagréablement surpris de me voir assis avec son " Père/Amant ". Cela s'éclaircit quand je suis présenté comme son présent d'anniversaire. Vite il m'emmène chez lui. Je suis surpris je croyais qu'ils vivaient ensemble. Son appartement est très beau. Les tableaux et sculptures, très orientés homo sont quand même beaux. Le mec est un rapide, il me bouscule direct sur son canapé et me met nu en quelques secondes ! Je n'ai pas le temps de penser que je suis déjà en train de l'embrasser. Tout ira très vite et sans voir le temps passer, je me retrouve vidé, encore plein de sa bite, écrasé par son corps rompu par l'exercice.
Un vrai tourbillon, sans avoir l'intensité de ce que j'ai vécu avec Justin, c'est très étrange comme j'ai vraiment aimé ça. Kev est un amant très fort et sa science de l'amour est consommée.
Mais nous ne sommes pas en avance pour son diner d'anniversaire. Je m'emmêle les pinceaux avec ma cravate il m'aide et son corps dans mon dos m'excite encore.
Le restaurant dans lequel Henri nous emmène est un des meilleurs de Paris. Je suis un peu gauche et cela m'énerve intérieurement. Je suis très gêné quand Henri me tend un petit paquet semblable à celui qu'il offre à Kev. Il insiste et je trouve un jonc en or qu'il m'oblige à passer à mon poignet. Je suis très embarrassé. Kev me persuade d'accepter en me disant qu'il me va même mieux qu'à lui. C'est vrai que l'or ressort bien sur ma peau un peu trop bronzée.
Pendant le retour à l'appartement, j'ai beau faire un effort je finis par ne pouvoir retenir l'émerveillement que je ressens à parcourir le Paris des grands monuments. La nuit qui suit ne nous laisse que quelques heures de sommeil. Il m'a éreinté. Je crois bien l'avoir sodomisé autant de fois que lui m'a labouré l'anneau. Je l'avais cru actif pur mais sa rondelle n'était pas à son coup d'essai.
Le dimanche il me propose/impose une balade dans Paris. Le métro c'est assez " spécial " mais avec Kev à mes côtés, je ne crains rien. Je suis comme un gamin et j'ai l'impression que lui aussi. Devant la tour Eiffel, il m'embrasse devant tout le monde puis s'en prend à un type qui nous aurait insultés. J'ai un moment peur que cela ne dégénère mais c'est finalement pour l'autre que cela fini mal puisqu'il préfère partir avec une femme vulgaire à son bras. Dans les escaliers qui montent au 3ème, je sème Kev qui me rejoint en soufflant. Cela ne m'empêche pas de lui rouler un patin tellement je suis content. Apres avoir vu Paris d'en haut, nous nous faisons draguer à la terrasse du café du Louvre par 2 bataves femelles en chaleurs. Kev les détrompe en me roulant une nouvelle pelle. On se sépare en riant tous les 4 de leur méprise. Pris par l'ambiance détendue que Kev a su faire naitre entre nous, je loupe mon train. Alors que je vais pour m'affoler, Kev minimise le fait et même si je le presse, il me calme et j'arrive à prendre le train suivant. Je suis gêné qu'il se soit cru obligé de m'accompagner à la gare.
Dès que le train démarre, j'appelle Sasha pour le prévenir. Evidemment ce n'est pas grave pour lui. Je travaille jusqu'à l'arrivé.
Alors qu'il me prend dans ses bras et me claque une bise sur les joues, il note tout de suite le bracelet qui orne mon poignet.
Comme je le vois essayer de le retirer et que plus il essaye et moins il y arrive, je lui suggère du savon mais qu'il est tout à fait en droit de le garder. Les cadeaux d'Henri sont toujours de valeur et je lui montre ma voiture, 50% provient de ses largesses. J'ajoute que l'or donne un joli reflet à sa peau et lui dit que quand il se fera poser son piercing au téton, cela sera raccord. Je lui demande s'il a pensé à un animal à placer à l'opposé du tigre. Comme rien ne vient je lui propose une tête de jaguar, un animal de la forêt amazonienne. Le noir pourrait être réalisé avec des émaux ou un travail de l'or différent.
Il m'écoute et de dit rien.
Je le revois le mardi soir pour la séance " sport ". Il porte toujours son jonc en or. Je lui demande s'il l'avait ôté depuis Paris. Il me répond que non seulement il l'avait remonté et coincé sur son avant-bras sous ses chemises pour ne pas avoir de question chez lui. Echauffements, musculation, Jona voudrait le voir plus large. Il estime que quelques cm de plus de tout de poitrine seraient du plus bel effet. Ce n'est que pour son combat qu'il le retire.
Je le regarde combattre. Avec João il adopte naturellement un style coulé très esthétique. Je demande à François de remplacer notre brésilien. Le combat gagne en efficacité. Sosthène se retrouve plus souvent à terre mais il progresse vite. Je suis plus particulièrement les deniers arrivés. L'émulation qui règne les booste et avec le régime préconisé par Jona, les semaines qui passent voient leurs carrures s'élargir et la balance accuser des prises de muscle intéressantes. Je vais devoir équiper la serre de postes supplémentaires de musculation. Le second étage commence à être un peu petit et comme je ne compte pas étaler les jours d'ouverture générale, c'est la seule solution. La terrasse autour de la grande piscine est tout à fait propice à recevoir une douzaine de poste sur les 25m de long.
Ils se donnent tous à fond. Mes " médecins " qui n'arrivent qu'à venir qu'une séance sur deux sont en meilleurs forme qu'à leur embauche. Même une fois par semaine, cela les sort de leurs bouquins et ils sont plus équilibrés ! De plus, ils ont acquis maintenant un niveau suffisant pour maitriser n'importe quelle brute épaisse qui essayerait de passer en force. Certains ont déjà eu recours à leurs nouvelles compétences pour maitriser des excités avant qu'ils ne deviennent trop méchants. Les urgences voient passer une faune assez hétéroclite.
Je suis obligé de calmer mes clients. Depuis que les fiches de João et de Sosthène sont apparues sur mon site privé de réservation, ils reçoivent jusqu'à 5 demandes par semaine. Alors qu'ils ne sont plus " primo-prestation ", certains clients n'hésitent pas à proposer un règlement supplémentaire pour avoir leur compagnie prioritairement. Cela se fait sans préjudice pour mes autres escorts qui performent bien. Le chiffre d'affaire de ma société, sans même compter la part Espagnole ne cesse de monter et avec une progression à 2 chiffres, je participe bien à l'effort national. Pas de licenciements chez moi !
Question placements, André (mon banquier et celui des comptes " escort " de mes employés) s'en charge personnellement. Même si la façade officielle est irréprochable, il préfère ne pas confier mon dossier à un collaborateur. De plus ça l'amuse d'optimiser au mieux les avoirs de mes équipiers.il n'est pas mauvais à ce petit jeu et ses résultats sont souvent proches des deux chiffres eux aussi.
Il me faut 2 semaines pour équiper le jardin de deux nouveaux postes de développé couché, un de développé incliné, une gamme de paires d'altères de 10 à 34 Kg avec trois bancs à inclinaison variable, un poste papillon/oiseau et une chaise romaine avec option traction. J'achète aussi une tour 4 postes pour y travailler les dorsaux, et les bras plus une presse à jambes. Ils me sont livrés et posés. Les installateurs sortent de chez moi un peu cassés même s'ils faisaient honneur à la société. S'il n'y avait les palmiers et les plantes grasses, la cour ressemblerait à une véritable salle de sport. Surtout que de l'autre côté de la piscine j'ai installé pas loin de 50m² de tatami, que l'on puisse s'entrainer à plus de deux à la fois.
Quand mes Escorts découvrent les nouvelles installations, ils sont ravis. Parfois les attentes pour se partager un poste dépassaient des 2mn. Jona, lui, se demandait bien comment il allait pouvoir gérer les exercices de tous. Il a passé une soirée à réorganiser les passages sur les postes en intégrants les nouveaux. Et chacun reçoit sa nouvelle feuille de travail en conséquence. Ric passe voir mon installation. Alors qu'il venait de temps à autre s'entrainer avec nous, il avait cessé faute de place. La nouvelle installation lui plait bien. Sosthène et João qui font sa connaissance sont impressionnés par la masse musculaire qu'il a développée. C'est le plus hypertrophié de nous tous mais comme il a tout travaillé, le résultat est très harmonieux.
Mes premiers Asiatiques
Je recrute aussi les deux asiatiques qui étaient sortis des listes. Lâm et Khang, ils sont amis mais pas petits amis. Ce sont deux français d'origine vietnamienne. Petits formats, 1m70 et 1m72, légers et peu musclés. Ils vont détoner par rapports à mes autres Escorts mais c'est l'idée préconçue que nous en avons et que mes clients vont attendre. Cheveux noir, raides et courts ils sont le parfait physique asiatique.
Je les aborde alors qu'ils sont en train d'écluser un demi dans le bar à coté de leur Fac de langues. Je m'assois à leur table et dit les avoir remarqué et qu'ils seraient idéaux pour le travail d'Escort que ma société propose. J'ajoute rapidement que ma société propose les services de traducteurs mais pas dans les langues asiatiques. Avant qu'ils n'aient réagis, je leur demande quelles langues ils parlent. Alors que l'un me demande qui je suis, l'autre me répond déjà. Ils parlent vietnamien, le mandarin et le cantonais aussi. Le second en même temps me demande ce que je leur veux et qui je suis. Je remercie le premier et réponds au second. Etat civil, nom de ma société, prestations proposées. Je précise officielles. Là je les intrigues avant qu'ils ne comprennent le sous-entendu. En bons homos coming-outés, ils me préviennent qu'ils ne sont pas intéressés par les femmes. Du tac au tac, je leur dis que cela tombe bien la majeur partie de mes clients le sont aussi. Rapidement je leur donne une idée du revenu mensuel qu'ils seraient à même de se faire. Avec des parents immigrés et aux revenus modestes, ça les interpelle évidemment. En cité U, le dossier que j'ai sur eux m'a informé qu'ils ne mangent même pas au Restau-U.
Celui qui m'avait répondu me demande des précisions. L'autres est plus circonspect. J'entre dans les détails, leur explique que j'ai déjà 23 escorts réguliers qui travaillent pour moi. Je leur dis qu'ils ont bien compris la partie non décrite du travail et que c'est bien par elle qu'ils peuvent se faire de tels salaires. J'explique ma stratégie de diversification ethnique et ajoute que cela passe aussi par des stéréotypes. Ils se doutent bien de celui qui est accroché à leurs basques. Le plus expansif acquiesce car c'est souvent pour cela qu'ils sont dragués. Je leur demande si c'est contre leurs penchants ? Il rit et me dit que j'ai du pot, qu'ils rentrent tous les deux pile-poil dans l'imagerie. Ils n'aiment rien moins que de se faire défoncer grave. Je leur demande s'ils iraient jusqu'à montrer les mêmes stéréotypes de soumissions que leurs cousins de l'est. La réponse est immédiate, si c'est ce qui est demandé par le client alors ils peuvent s'adapter. Je me tourne vers le moins disert. Il opine de la tête. Quand je leur demande s'ils sont partants alors, j'ai droit à 2 oui très nets.
Je leur demande de passer à l'adresse de ma carte que je leur donne. On se fixe le lendemain fin d'après-midi.
En bons petits soldats, ils sont devant la porte à 18h pile. Je les fais entrer et nous montons au premier. Ils sont captivés par la frise de mon bureau (photographies de mes escorts). Le plus bavard me dit qu'il comprend alors mon besoin de diversification. Je remplis leur dossier avec les renseignements qui me manquaient. Notamment la taille de leurs sexes. Avec 15x4 et 14x3, ils ne se situent pas dans le haut du tableau. Quand ils se mettent à poil, je leur dit que c'est trop fourni autour ! Ça ne leur pose pas de problème de tailler là. En sport ils vont faire plaisir à Jona avec leur pratique de la boxe Thaï. Je les emmène à la salle de bain et en chemin explique le fonctionnement de l'étage entièrement dédié à la société, chambres et dressing aussi. Je les guide dans l'élagage de leur pilosité et ils en sortent parfaits. Nous finissons le dossier. Je leur donne l'adresse du labo dans lequel ils vont devoir se faire analyser. Il comprenne la démarche même si je leur dis que toutes les relations se font sous kpote. Je note scrupuleusement leurs tailles et mensurations. Je vais devoir acheter en urgence de quoi couvrir leurs fesses. Je n'ai que Maxou dans leurs dimensions et n'ai pas un très gros stock en sous-vêtements. Surtout que quand ils essayent un des ES que j'ai pour lui, c'est juste une taille trop grande !! Mon magasin de vêtement va ramer aussi pour leur trouver des costumes et smokings. Comme ils ne vont commencer probablement qu'avec des contrats " sexe ", j'aurai le temps de les équiper.
Alors que le plus ouvert contourne le bureau pour tenter de me montrer comment il est dans la baise, je le retiens. Moi qui, d'habitude, saute sur tout ce qui bouge, je suis bloqué devant eux. Je suis le premier surpris, c'est une réaction que je n'avais encore jamais eu encore. Je m'en excuse et leur dit que j'aurais un spécialiste le WE prochain pour les tester. Là, je pense à Marc qui se fera un plaisir de les formater comme leurs homologues restés au pays. D'ici là, ils ont juste le temps de passer dès le lendemain au labo pour avoir les résultats vendredi.
Sans être pour autant vexés, ils acceptent le plan.
Samedi Après-midi :
Marc est prêt, je lui en avais déjà parlé et il attend avec impatience de voir quelles sont les différences avec les petits mecs qu'il culbute habituellement et ce qu'il va devoir leur apprendre. Il m'a demandé d'intégrer Hervé qui commence lui aussi à avoir une bonne expérience de leurs " pratiques ". Du coup Ernesto est arrivé pour le WE. Après tout, il n'y a pas de raisons que seuls nos " vieux " soient à la fête !
Mes deux recrues arrivent à l'heure convenue. Je vois qu'ils se sont préparés. Leurs vêtements sont plus près du corps, ils sentent discrètement le parfum.
Je les conduis au premier où je leur présente Marc et Hervé. La suite est ce que je vais voir sur les caméras qui équipent l'étage.
Ils entrent tous les 4 dans une des grandes chambres de l'étage. Lâm et Khang savent surement qu'ils doivent se faire serviables. Ils commencent par déshabiller nos deux quadras, prenant soin de bien plier les vêtements avant de venir en retirer un autre. Une fois nos hommes nus, ils les font se coucher sur le lit en ayant pris soin de placer sous eux des draps de bains présents sur la commode. Ils tirent de leurs sacs à dos des huiles et s'en servent pour les détendre et les masser. Je les vois s'écarter le temps de se mettre nus eux aussi avant de reprendre le massage. A ce stade, ils chevauchent les cuisses de leur " patients " et massent leurs dos avant de descendre sur les fessiers. Une fois replacés à genoux entre les cuisses écartés de Marc et d'Hervé, je peux les voir masser la rondelle et le périnée de leurs victimes. Quand ils les font se tourner sur le dos, je remarque que leurs derniers massages ont eu des effets. Les bites de nos deux Mâles sont raides ! Là, pas d'huile mais de la salive. Je les vois pomper à poser leurs nez sur les abdos de Marc et Hervé. Ils ont l'air de bien se débrouiller et j'entends Marc approuver. Après quelques minutes de suce, ils remontent manger les tétons tout en frottant leurs petits pecs contre les sexes qu'ils viennent d'abandonner. C'est finalement très bandant la différence de format entre eux et nos hommes. Alors que seul avec eux, je n'avais pas eu d'excitation, là, à les mater, je bande !
Sur l'ordre de Marc, ils enfilent les kpotes sur les bites qui vont les défoncer. En fait je vois Marc et Hervé rester sur le dos et les deux petits nouveaux s'assoir sur leurs queues. Ils bossent bien et leurs cuisses fines ont de la résistance ! Ils s'échangent leurs axes de va et vient et reprennent leurs fonctions de branlage par sphincter anal. J'entends les commentaires que s'échangent Marc et Hervé. Ils ont l'air assez content de la soumission de mes deux asiatiques. Hervé dit même que c'est assez proche de ce qu'il trouve sur place. Marc est d'accord. Ils ont apprécié le massage préliminaire, très bien réalisé.
Je récupère le quatuor après leurs douches pour faire un débriefing. Mes deux hommes sont d'accord pour dire qu'ils se sont très bien débrouillés. L'attente que l'on peut avoir concernant un jeune asiate est bien comblée par leur façon de faire. Lâm m'explique que sa mère est masseuse et ajoute tout de suite, de peur qu'on se méprenne, mais sans sexe.
Comme ils ont réussi leurs examens de passage, je leur annonce qu'ils seront proposés à la clientèle dès la semaine suivante. Comme ils n'ont pas encore le permis, ils se déplaceront en taxi le temps de le passer. C'était une question d'argent qui sera vite réglé dès leur première prestation.
Jardinier
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Boy Genius wrapped up Feb 2023, but I got this nice review 10 days ago.
Maybe it was someone from Tumblr? If so and you're reading this, it has been the one light in a deeply hopeless two weeks— sincerely, thank you.
As I responded on AO3, I promise I will attempt to make all future backstory adventures more Eurocentric.
→ back to the Billy & White index
↓ more details ↓
Now, me, as a vulgar Ugly American— what do I know about European pop culture in the 1990s? What would have broken through to unambitious, uncultured suburban American teens?
Hmmmm... Barcelona '92 Olympics? The mascot was a scribbly dog thing. That's all I remember.
Ace of Base (Swedish) dominated 1994 with The Sign. They had another hit with All That She Wants (Is Another Baby) from the same year. Urban legends immediately started that they were Nazis and "the sign" was a swastika (an Ankh in the music video). Various levels of confirmation on that.
Do we count Björk as European?
I'm trying to think of European movies that broke through— the 1990s is the era of independent film but that was mostly focused on American auteurs. The big international hits were for an older audience— teens weren't into Lars von Trier or Three Colors Trilogy.
La Femme Nikita and Léon: The Professional (French-Italian) appealed big-time to the guys already into Tarantino and Hong Kong Action. At the end of the decade you get Run Lola Run (German), very big with teens and college students.
Billy and his date go see Jeunet-et-Caro's Delicatessen (French) in Tomorrow's Just Another Day. (Their City of Lost Children already referenced in VB for the design of Watch and Ward.)
Note, I'm excluding British pop culture, which I've already included a lot of in the fiction. The UK is still in the EU in the mid-90s, obvs, but American pop culture has a far different relationship with the British than with the rest of Europe. Even before the Beatles. "Cool Britannia" had a major hold in the US after 1997. A Ben & Jerry's ice cream. Tony Blair was on The Simpsons, before he became a war criminal. Trainspotting, Britpop and Elisabeth Hurley— God Save the Queen. As a British Comedy obsessive, I can write endlessly about the UK in the '90s—music, politics, TV, actors, comedians etc. Ask me anything about Spitting Image or all the stock jokes associated with Deputy PM John Prescott from Have I Got News for You. Except you shouldn't, it will be very boring for you.
Now the big European backstory story I have notes for would be a 1990-1991-set road trip through the Eastern Bloc and newly independent ex-Soviet Commonwealth of Independent States as Billy and White try to pick up abandoned super-science research from former state-sponsored labs for pennies on the dollar.
Starting in East Berlin, they stumble through Poland, Hungary, Yugoslavia into the Federation of Former Soviet States, heading east. White tries to trade Levis blue jeans for death ray plans. Billy mangles translating a dozen languages he barely understands (he's only 16).
They cause international incidents and nearly get killed over and over, running away to the next country. They are tailed by EuroPol, accidentally become oligarchs and have to be airlifted out of the US Embassy in Tashkent.
Tetris would be key. A Trojan Horse— it was actually a coded super-weapon meant to destabilize the west. Billy and White somehow figure it out and neuter its power while fucking everything else up.
I dunno. I might never write it but it's fun to think about.
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#billy quizboy#pete white#venture bros#fan fiction#fanfic#research#ao3#writer#writing#1990s#1990s nostalgia#90s#decade: 1990s#europe#comments#comment#backstory#brainstorming#on writing#storyline#fiction
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Croise tes cuisses sur ma tête
De façon à ce que ma langue,
Taisant toute sotte harangue,
Ne puisse plus que faire fête
À ton con ainsi qu’à ton cu
Dont je suis l’à-jamais vaincu
Comme de tout ton corps, du reste,
Et de ton âme mal céleste,
Et de ton esprit carnassier
Qui dévore en moi l’idéal
Et m’a fait le plus putassier
Du plus pur, du plus lilial
Que j’étais avant ta rencontre
Depuis des ans et puis des ans.
Là, dispose-toi bien et montre
Par quelques gestes complaisants
Qu’au fond t’aimes ton vieux bonhomme
Ou du moins le souffre faisant
Minette (avec boule de gomme)
Et feuille de rose, tout comme
Un plus jeune mieux séduisant
Sans doute mais moins bath en somme
Quant à la science et au faire.
Ô ton con ! qu’il sent bon ! J’y fouille
Tant de la gueule que du blaire
Et j’y fais le diable et j’y flaire
Et j’y farfouille et j’y bafouille
Et j’y renifle et oh ! j’y bave
Dans ton con à l’odeur cochonne
Que surplombe une motte flave
Et qu’un duvet roux environne
Qui mène au trou miraculeux
Où je farfouille, où je bafouille
Où je renifle et où je bave
Avec le soin méticuleux
Et l’âpre ferveur d’un esclave
Affranchi de tout préjugé.
La raie adorable que j’ai
Léchée amoroso depuis
Les reins en passant par le puits
Où je m’attarde en un long stage
Pour les dévotions d’usage,
Me conduit tout droit à la fente
Triomphante de mon infante.
Là, je dis un salamalec
Absolument ésotérique
Au clitoris rien moins que sec,
Si bien que ma tête d’en bas
Qu’exaspèrent tous ces ébats
S’épanche en blanche rhétorique,
Mais s’apaise dès ces prémisses.
Et je m’endors entre tes cuisses
Qu’à travers tout cet émoi tendre
La fatigue t’a fait détendre.
Paul Verlaine, Femmes, 1890
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Cette semaine, les lauréats et lauréates des Prix Nobel 2024 vont être annoncé·es. Perçus par beaucoup comme les récompenses suprêmes pour les scientifiques, force est de constater que le lauréat moyen un vieil homme blanc loin de représenté la diversité actuelle du monde de la recherche. (Pour simplifier la problématique, je ne parlerais ici que des Prix Nobel dit “scientifique” : physique, chimie et médecine et le prix d’économie).
En plus de 120 ans, les femmes représentent moins de 4% des lauréats. Plusieurs chercheuses sont particulièrement connues pour ne pas avoir reçu de Prix Nobel. Le cas de Lise Meitner est particulièrement emblématique car on sait qu’elle a été nominée pas moins de 49 fois entre 1924 à 1967 tant pour le prix en chimie qu’en physique.
Le monde de la recherche ayant grandement changer depuis les premiers Prix Nobel, je vais me focaliser sur les années 2000 à 2024. Sur cette période, une étude* sur les récompenses prestigieuses en sciences a montré que si les femmes sont moins récompensées que les hommes, elles sont de plus en plus récompensées et dans des proportions de plus en plus proches au sex-ratio des professeurs (ou équivalent).
Autre point positif, les carrières des lauréates sont similaire à celle des lauréats. Les lauréates ont même tendance à être plus jeune et donc être récompensées plus rapidement. Des résultats équivalent ont été trouvé** dans les Prix Nobel lié à la recherche pharmaceutique (parmi les Prix Nobel de chimie et de médecine).
Les différences encore observée dans le nombre de récompense viendrait donc de 2 grandes catégories :
les choix de carrière des femmes dans le recherche (elles quittent plus la recherche, ont des carrières plus courtes -en particulier la parentalité a un coût supérieur sur la carrière des chercheuses)
des stéréotypes et des biais implicites qui ralentissent les carrières des femmes (par exemple, les femmes sont moins citées et moins souvent première autrice)
Il faut reconnaitre que l’Académie des Sciences de Suède (qui attribue les Prix Nobel de physique, chimie et économie) semble avoir pris conscience du problème et récompense nettement plus de femmes qu’avant. Depuis 2018, elle a récompensé au moins une femme par an (sauf en 2021). Cela représente la moitié des femmes récompensées par l’institution.
Clairement les débats sur le manque de femmes Prix Nobel qui ont secoué la communauté scientifique durant les années 2010 ont donc porté leurs fruits. S’il faut rester vigilent sur ce point, il ne faut pas que ça éclipse deux autres problèmes : la difficulté pour les femmes de monter les échelons du monde de la recherche et le peu de diversité ethnique des Prix Nobel.
Bibliographie :
Bünemann, S., & Seifert, R. (2024). Bibliometric comparison of Nobel Prize laureates in physiology or medicine and chemistry. Naunyn-Schmiedeberg’s Archives of Pharmacology, 397(9), 7169–7185. https://doi.org/10.1007/s00210-024-03081-z
Meho, L. I. (2021). The gender gap in highly prestigious international research awards, 2001–2020. Quantitative Science Studies, 2(3), 976–989. https://doi.org/10.1162/qss_a_00148
Mehlin, H. (2024, May 21). Nomination Archive. Retrieved October 3, 2024, from NobelPrize.org website: https://www.nobelprize.org/nomination/archive/show_people.php?id=6097
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Les termes de remplacement, grand remplacement, petit remplacement sont inacceptables. Ils sont le fait d'un esprit brillant mais femelle et surtout passif, ils portent en eux-même la résignation à une situation finale alors même qu'elle est en cours. Se résigner à ce mot pour qualifier une tentative de génocide est une faute contre la cause. Remplacement est un mot de compteur de cheptel, c'est un vocabulaire de statisticien neutre: "Dans le parc de Sceaux les perruches à collier ont remplacé les mésanges huppées", non pas, mais des haïsseurs de mésanges ont organisé le surpeuplement du parc par des lâchers répétés d'immondes perroquets tueurs sortis d'Afrique qui se nourrissent des oeufs de mésanges et qui ont été sélectionnés pour cette raison précise. "Remplacement", un type du CNRS pourrait l'employer pour commenter des cartes hachurées parcourues de flèches directionnelles : "on assiste à....", "on le voit donc, des situations qui changent et qui...". Baratin de science-potard qui veut faire avaler au peuple "à éduquer" les couleuvres de "l'inéluctable".
"Remplacement" induit soit passivité soit neutralité, tant chez l'émetteur du mot que chez l'auditeur. Tant que l'on vit il n'y a pas de remplacement. Il n'y a pas de remplaçeur non plus, il y a des squatteurs, des profiteurs, des ingrats, des fuyards, des troglodytes, des coucous, des nuisibles, des excitateurs de perruche, des apporteurs de perruches, cela à foison. Le Grand Squat. La Grande Occupation. La Grande Usurpation. La Grande Invasion (Usmaini). La Grande Spéculation. Le Grand Outrage. La Grande Profanation. La Grande Extorsion. Le Grand Chantage. Le Grand Pillage. Le Grand Racket. La Grande Tentative. La Grande Intimidation. La Grande Menace. La Grande Impureté. La Grande Perversion. Le Grand Déshonneur. La Grande Puanteur. N'importe quoi qui exprime la Grande Agression telle qu'elle est vraiment sur le terrain réel. Mais remplacement ment.
Comment un pays se défend d'une invasion lorsque la frontière est tombée? Comme une cellule. Comment une cellule se défend d'une intrusion? Par sa MEMBRANE. La membrane, appliquée à un peuple privé de frontière c'est son intelligence collective, son être collectif, son ingénierie sociale, sa Charité interne couplée à son hostilité externe, ses greniers abondants en interne couplés à sa politique de terre brûlée en externe, ses femmes réservées qui savent qu'elles portent la race de leur peuple.
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« Il me semble que, lorsqu'on veut estimer la valeur d'une civilisation, on ne doit pas considérer si elle a construit ou si elle peut construire de grandes cités, de magnifiques maisons, de belles routes, si elle a su imaginer des meubles beaux et confortables, inventer des outils et des instruments utiles et ingénieux. On ne doit même pas s'attacher aux institutions, aux arts et aux sciences qu'elle a créés. Ce qu'il faut examiner avant tout, c'est le type d'humanité qu'elle a su produire, le caractère des hommes et des femmes qu'elle a formés. Seul, l'être humain, l'homme aussi bien que la femme, révèle l'essence, la personnalité, l’âme de la civilisation dont il est issu. »
L’esprit du peuple chinois - Hong-Ming Kou
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La jeune femme inscrite dans l'unité de Science et de Recherche de l'établissement, a été importunée parce qu'elle ne portait pas de maghnaeh ce tissu noir couvrant la tête, le front, le menton et la poitrine, obligatoire dans les universités. D'autres médias iraniens précisent que les forces de sécurité et la milice bassidi, cette force paramilitaire composée d'hommes et de femmes placés sous le contrôle des pasdaran, lui auraient ensuite déchiré son hijab onapproprié et ses vêtements.
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EXPOSITION | Grotte Chauvet, l'aventure scientifique ➽ https://tinyurl.com/Exposition-Grotte-Chauvet Chef d’œuvre et témoignage unique de notre passé, la Grotte Chauvet n’est visitable que par les scientifiques qui y travaillent depuis sa découverte, en 1994, dans un état de préservation remarquable. Qui n’a pas rêvé d’endosser une tenue de scientifique et de suivre les pas de ces femmes et hommes explorant cette grotte depuis plus de vingt-cinq ans ? C’est à cette expérience unique qu’invite l’exposition proposée par la Cité des sciences et de l’industrie
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C'est ainsi que je me suis retrouvé parmi les rapetisseurs de monde, les postmodernes, les transhumanistes, les mondialistes, les globalistes, les journalistes, les technologistes, les algorithmés du bulbe, les scientistes, les socialistes, les progressistes, les transexualistes, les climatistes, les covidiotistes, les antiracistes, les antifascistes, les attestationistes, les confinistes, les vaccinistes, les enfermistes, les cul-erre-codistes, les maquinnesaitistes, les phoquechèqueuristes… je n'exigeais pas grand-chose et j'étais prêt à en trouver encore moins. Des barbares depuis des temps immémoriaux sont devenus encore plus barbares par la diligence, la science et même la religion, profondément inaccessibles à toute transcendance, abîmés jusqu'à la moelle à tous les degrés de l'exagération et de l'insuffisance, ternes et inharmonieux, je ne connais pas de peuple plus divisé en lui-même que les occidentés, vous y voyez des ingénieurs, des avocats, des artisans, des chefs d’entreprise, des financiers, des docteurs, des influenceurs, des journalistes, des écrivains, des maîtres et des esclaves, des jeunes et des anciens, mais pas d'hommes - n'est-ce pas comme un champ de bataille où les mains et les bras et tous les autres membres sont démembrés en tas, tandis que le sang de la vie s'écoule dans le sable ?
Chacun a droit à son écran, direz-vous, et je le dis aussi. Seulement, chacun doit être ce qu'il est, avec de l'amour, il doit être ce qu'il est, car c'est ainsi qu'un esprit vit dans ses actes, et s'il est poussé dans une profession où l'esprit ne peut vivre, qu'il la repousse avec mépris et qu'il apprenne à lire, à écrire, à dessiner, à composer, à labourer la terre, à pêcher, à chasser, à se battre ! Mais les occidentés se contentent du néant de la vie, et c'est pour cela qu'il y a tant de travail bâclé chez eux et si peu d'activités libres et agréables. Pourtant, cela pourrait être le travail de l'homme, s'il n'était pas si dépourvu de sentiment pour toute la beauté de la vie, si seulement la malédiction de la pseudo-culture ne pesait pas partout sur ce peuple éclaté.
Les vertus des anciens ne sont que des vices éclatants, comme l'a dit une mauvaise langue, je ne sais plus laquelle, et pourtant leurs vices eux-mêmes sont des vertus, car ils ne sont pas des vices ; un reste de l'esprit d'enfance et de beauté vivait encore parmi eux, et de tout ce qu'ils faisaient, rien n'était fait sans âme. Mais les vertus des occidentés sont un mal éclatant, rien de plus que la peur de l'homme, de la femme, de l’enfant, des efforts serviles arrachés au cœur stérile, et qui laissent sans esprit l'homme qui, gâté par la sainte harmonie des natures plus nobles, ne peut supporter les sursauts de la discorde qui crie dans tout l'ordre mort de ces hommes.
Je vous le dis: il n'y a rien de saint qui ne soit profané, qui ne soit dégradé dans ce peuple qui a perdu le rapport à son origine, même les sauvages, ces barbares calculateurs les poursuivent comme on applique un calcul, et il ne peut en être autrement, car là où un vice de l'homme s’est une fois formé, là il sert son but, là il cherche son profit, il est jaloux de ses profits, il n'est plus emporté par l'enthousiasme, à Dieu ne plaise ! et quand il fête, quand il aime, quand il prie, et même quand arrive la belle fête du printemps, quand le temps de la réconciliation du monde dissout toutes les inquiétudes et fait naître l'innocence dans un cœur coupable, lorsque, enivré par les chauds rayons du soleil, l'esclave oublie joyeusement ses chaînes et, apaisé par l'air divinement vivifié, les ennemis de l'homme sont aussi paisibles que les hommes, paisibles comme des enfants - quand même les chenilles poussent des ailes et les abeilles pullulent, l’occidenté,
l’occidenté, lui, reste confiné à sa profession, à son divertissement. Il ne se préoccupe guère du temps qu'il fait !
Mais c'est toi qui jugeras, sainte nature ! Car s'ils étaient humbles, ces hommes, s’ils ne se faisaient pas la loi pour le pire d'entre eux !
s'ils ne dénigraient pas ce qu'ils ne sont pas, et pourtant qu'ils dénigrent, s'ils ne se moquaient pas de Dieu, des dieux anciens!
Ou bien n'est-ce pas le divin que vous, occidentés, raillez et appelez sans âme ? L'air que vous buvez n'est-il pas l'air que vous buvez ? ne vaut-il pas mieux que vos bavardages ? que vous tous nourrissez, hommes astucieux ? Les sources de la terre et la rosée du matin rafraîchissent votre bosquet ; pourriez-vous faire cela ? Vous pouvez tuer, mais vous ne pouvez pas donner la vie, non pas sans l'amour, qui ne vient pas de toi, que tu n'as pas inventé. Tu t'inquiètes, tu fais des projets pour échapper au destin, et tu ne comprends pas que ton enfantine technique n'est d'aucun secours ; pendant ce temps, les étoiles se meuvent inoffensives au-dessus de toi.
Vous dégradez, vous détruisez la nature patiente là où elle vous tolère, et pourtant elle vit dans une jeunesse infinie, et tu ne peux pas bannir son automne et son printemps, vous ne gâtez pas son éther.
Ô elle doit être divine, car tu peux détruire et pourtant elle ne vieillit pas, elle ne vieillit pas, et malgré toi le beau reste beau.
C'est aussi un déchirement quand on voit vos artistes, et tous ceux qui respectent encore le génie, qui aiment le beau et le cultivent. Les bonnes âmes ! Elles vivent dans le monde comme des étrangers dans leur propre maison, elles sont comme le patient et souffrant Ulysse lorsqu'il s'asseyait à sa porte déguisé en mendiant, tandis que les prétendants éhontés clamaient dans la salle et demandaient : Qui nous a apporté le vagabond ?
Pleines d'amour, d'esprit et d'espoir, ses jeunes Muses grandissent pour le peuple disparate des occidentés ; on les revoit sept ans plus tard et ils errent comme des ombres, silencieux et froids. Ils sont comme la terre que l'ennemi sème avec du sel pour qu'il ne pousse jamais un brin d'herbe ; et quand ils parlent, malheur à celui qui les comprend !
Qui ne voit, dans leur titanesque projet comme dans leurs technologies protéiformes, la bataille, le combat désespéré que leur esprit troublé livre aux barbares contre les barbares auxquels il a affaire.
Tout ce qui existe sur terre est imparfait - c'est la vieille chanson des occidentés. Si quelqu'un pouvait dire une fois à ces âmes perdues que tout n'est si imparfait chez eux parce qu'ils ne laissent rien de pur sans être corrompu, rien de saint n'est épargné par leurs mains grossières et leur esprit grossier, que rien ne prospère parmi eux parce qu'ils ne respectent pas la racine, le germe de l'épanouissement, l’origine divine, que la vie parmi eux est rassise, lourde de soucis et pleine de discordes froides et muettes, parce qu'ils méprisent le génie de l'homme qui apporte la force et la noblesse dans les actes humains, la sérénité dans la souffrance, l'amour et la fraternité dans les villes et les maisons..
C'est aussi pour cela qu'ils ont si peur de la mort et qu'ils subissent, au nom de leur vie en coquille, toutes les disgrâces, parce qu'ils ne connaissent rien de plus élevé que l'œuvre bâclée qu'ils se sont donnée.
Là où un peuple aime le beau, où il honore le génie de ses artistes, là où l'esprit commun flotte comme l'air de la vie, là l'esprit timide s'ouvre, la suffisance se dissout, et tous les cœurs sont pieux et grands, et l'enthousiasme donne naissance à des héros. La patrie de tous les hommes est dans la langue, et l'étranger lui-même peut s'y attarder avec plaisir. Mais là où la nature divine et ses artistes sont ainsi insultés, là le plus beau plaisir de la vie est écarté et toute autre étoile est meilleure que la terre. Là, les hommes deviennent de plus en plus stériles, de plus en plus désolés, de plus en plus dégénérés alors qu'ils sont tous nés beaux ; la servilité s'accroît, et avec elle l'impudence, l'ivresse s'accroît avec les soucis, et l'abondance, la faim et la crainte de la famine ; la bénédiction de chaque année devient une malédiction, et tous les dieux s'enfuient.
Et malheur à l'étranger qui erre par amour et arrive chez un tel peuple, et malheur trois fois à celui qui arrive chez un tel peuple comme je l'ai fait, poussé par une grande joie comme je l'ai fait, ou poussé par un grand chagrin, cela revient au même ! Assez ! tu me connais, lecteur, et tu le prendras bien, car j'ai parlé en ton nom.
Je parlais aussi pour tous ceux qui sont dans ce pays et qui souffrent comme j'ai souffert.
(Avec Hölderlin au XXIe siècle)
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