#familles de sang-bleu
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divide-et-impera-rpg · 1 year ago
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Le sang bleu semble être de plus en plus une évidence en France afin de pouvoir accéder à certaines responsabilités au sein du royaume. Les grandes familles nobles françaises peuvent prétendre à bien plus de choses que des familles du peuple. Un avantage indéniable pour leurs héritiers. Le royaume de France est décomposé en duchés, comtés, vicomtés, baronnies, pour l’instant sur le forum seuls des duchés et comtés seront accessibles en jeu, mais cela restera une liste non exhaustive et par conséquent, elle est susceptible de changer au cours de l’évolution du forum. Vous pouvez retrouver la carte de France des duchés et comtés utilisés sur le forum par ici.
Princes de France
Si la famille royale se place dans la première lignée de la monarchie, les Princes de France sont de leur famille. Cousins, oncles tantes quelques personnes peuvent prétendre à ce titre, bénéficiant d’un statut spécial. Pouvant prétendre au trône s’il n’y a plus de descendants avant eux. Principe de la loi salique remise en vigueur en France.
maison de condé-bourbon
Lignée de l’un de l’oncles du roi, la famille Condé-Bourbon se retrouve à être en première ligne pour le trône si tous les Bourbons abdiques ou décèdent. Le dauphin des Princes de Condé s’est retrouvé premier ministre depuis le 25 juin 2020, il place ses cartes au fur et à mesure du temps. La famille prône clairement les privilèges du sang bleu, installant peu à peu les nouvelles règles dans la société française qui ne plaisent pas à tout le monde. Véritables politiciens ils sont capables de bien des choses. Ils sont princes de Condé, pour le petit territoire de Brie en île de France, leur seigneurie se basant à Condé-en-Brie.
Première Branche X Dominique de Condé-Bourbon, née en 1947 (76 ans), premier prince de sang, prince de Condé. X Henriette de Condé-Bourbon, née de Guis en 1947 (75 ans), princesse de Condé. X Laure d’Alsace-Lorraine, née de Condé-Bourbon en 1970 (53 ans), princesse de sang, comtesse d’Alsace-Lorraine. ➜ voir la maison d’Alsace-Lorraine. X François de Condé-Bourbon, né en 1973 (50 ans), dauphin de condé, prince de sang (PNJ du forum). X Victor de Condé-Bourbon, né en 1975 (48 ans), prince de sang. Deuxième Branche X François de Condé-Bourbon, né en 1973 (50 ans), dauphin de condé, prince de sang (PNJ du forum) X Margaret de Condé-Bourbon, née d’York en 1975 (48 ans). V Aurore de Condé-Bourbon, née en 1998 (25 ans), princesse de sang. V Léon de Condé-Bourbon, né en 1998 (25 ans), prince de sang. Troisième Branche X Victor de Condé-Bourbon, né en 1975 (48 ans), prince de sang. X Kirsten de Condé-Bourbon, née de Norvège en 1975 (48 ans). V Edouard de Condé-Bourbon, né en 1998 (24 ans), prince de sang. V Béatrice de Condé-Bourbon, née en 2001 (22 ans), princesse de sang. V Emmanuel de Condé-Bourbon, né en 2004 (19 ans), prince de Sang.
maison d’artois
Deuxième lignée des oncles du roi de France, ayant récupéré le comté d’Artois par la même occasion. Profitant de cette manière des privilèges associés aux princes de sang. Celui-ci représente une partie du nord de la France, la région Nord-Pas de Calais, le domaine familial se place à Arras ce qui en fait le chef-lieu du comté. Légèrement jaloux des Condés, la maison d’Artois, apprécierait également prendre place auprès du roi et des siens.
Première Branche X Laurent d’Artois, né en 1950 (73 ans), deuxième prince de sang comte d’Artois. X Félicie d’Artois, née Janvier en 1950 (73 ans), comtesse d’Artois. X Jean d’Artois, né en 1973 (50 ans), dauphin d'Artois, prince de sang. X Fleur de Toulouse, née d’Artois en 1970 (50 ans), princesse de sang, comtesse de Toulouse. ➜ voir la maison de Toulouse. (lien de la famille de toulouse) X Pierre d’Artois, né en 1977 (46 ans), prince de sang. Deuxième Branche X Jean d’Artois, né en 1973 (50 ans), dauphin d'Artois, prince de sang. X Audrey d’Artois, née Dupond en 1971 (52 ans), dauphine d’Artois. V Rose d’Artois, née en 1998 (24 ans), princesse de sang. V Julien d’Artois, né en 2003 (20 ans), prince de sang. Troisième Branche X Pierre d’Artois, né en 1977 (46 ans), prince de sang. X Fiona d’Artois, née de Bavière en 1977 (46 ans). V Ambroise d’Artois, né en 2000 (23 ans), prince de sang. V Théodore d’Artois, né en 2004 (19 ans), prince de sang. V Alice d’Artois, née en 2008 (15 ans), princesse de sang.
Duchés
Les ducs sont les premiers vassaux du roi, faisant partie des Grands de France, ils sont donc les seigneurs du territoire auquel ils sont rattachés. Les septs duchés de France qui se trouvent sur le forum sont l’Anjou, l’Aquitaine, le Berry, la Bourgogne, la Bretagne, la Normandie et la Savoie. Chaque famille se trouvant dans ces seigneuries peuvent prétendre à une place auprès du roi et de la famille royale.
maison d'anjou
Le duché d’Anjou prend lieu et place avec pour seigneurie à Angers, il s’agit d’un duché historique la famille de Bourbon conservait pour eux tant qu’ils ne pouvaient pas régner sur la France. C’est ainsi qu’ils ont choisi une famille conservatrice et qui leur sera loyale pour les remplacer.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né.
maison d'aquitaine
Longtemps dans le domaine royal anglais, le duché d’Aquitaine et son chef-lieu Bordeaux ont été repris par les français après la guerre de Cent Ans. La maison d’Aquitaine est une famille prônant des valeurs d’équités et de noblesse de coeur et d’esprit, ils ont de cette manière beaucoup de mal avec les nouvelles lois du pays.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né. Quatrième branche troisième né.
maison de berry
Le duché du Berry se distingue en Cher et Indre, sa capitale étant Bourges. La famille se retrouvant en tant que seigneur a également été choisie par les Bourbons et ils remercient grandement la famille royale. Le fait qu’ils puissent à nouveau posséder des terres est une des choses les plus importantes pour eux.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né.
maison de bourgogne
Descendants des Valois, ils sont heureux d’avoir récupéré le titre de leurs ancêtres, reprenant la place qui est la leur. Une famille connaissant sa naissance et sa valeur sans hésitation, ils se placent dans le sens de la couronne afin de rester dans les bonnes grâce et de ne pas perdre la place qu’ils viennent de retrouver. Leur territoire correspond approximativement à la Bourgogne-Franche-Comté et le chef-lieu est Dijon.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né. Quatrième branche troisième né.
maison de bretagne
Longtemps loin des affaires royales, le duché de Bretagne se replace sous la coupe de celles-ci. La maison de Bretagne voit cela d’une mauvaise augure, même si récupérer leur titre est une bonne chose. Ils appréciaient leur indépendance. Allant de l’ancienne armorique à la loire Atlantique ayant pour capitale Rennes, le duché se figure être neutre pour l’instant dans la politique française.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né. Quatrième branche troisième né.
maison de normandie
Les normands et leur duché perdu il y a quelques siècles et une surprise dans les choix ducals du roi de France. Ayant gagné leur loyauté en leur rendant leurs terres et leur capitale Rouan, la maison de Normandie ne peut plus contredire le roi et compte bien rester dans les petits papiers de celui-ci et de son entourage.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né.
maison de savoie
Dépendant une partie de leur histoire du Saint Empire Germanique, le duché de Savoie français est mis en place pour la princesse Claude de Bourbon et sa descendance. Comprenant le dauphiné et la Savoie, sa capitale est Chambéry, la maison de Savoie est bien entendu de lignée royale, même s’ils ne peuvent prétendre au titre. Ils ont donc prôné leur loyauté envers la couronne de France. L’époux de la princesse Claude a été érigé au titre de duc de Savoie après le couronnement de son beau-frère. Aucune branche n’est autorisée à la création dans cette famille.
Première Branche X Etienne de Savoie, né en 1958 (65 ans). non jouable. X Lucienne de Savoie, née Lejeune en 1959 (64 ans). non jouable. X Xavier de Savoie, né en 1977 (46 ans), duc de Savoie. non jouable. Deuxième Branche X Xavier de Savoie, né en 1977 (46 ans), duc de Savoie. non jouable. X Claude de Savoie, née de Bourbon en 1973 (50 ans), duchesse de Savoie. non jouable. V Angélique de Savoie, né en 2004 (19 ans). V Martin de Savoie, né en 2005 (18 ans), dauphin de Savoie. V Arnaud de Savoie, né en 2008 (15 ans).
Comtés
Vassaux du roi et parfois de ducs les Comtes se place à la quatrième marche dans la hiérarchie monarchique. Rattachés à leurs différentes seigneuries par choix du roi et de la famille royale, prenant place néanmoins grâce à leur arbre généalogique, ils sont jouables pour le nombre de neuf. Le comté d’Artois étant pris par l’un des princes de sang, il restera l’Alsace-Lorraine, l’Auvergne, la Champagne, la Corse, Nice, Paris, la Provence et Toulouse. Chaque membre d’une de ses maisons peut prétendre à une place à la cour de France.
maison d'alsace-lorraine
La seigneurie d’Alsace-Lorraine se place sur cette région, pour plus de facilité avec pour capitale Nancy pour rappel du duché de Lorraine. Mariée à un Guise l’une des princesses de sang, sœur de l’actuel premier ministre a reçu le comté d’Alsace-Lorraine après la prise de pouvoir des Bourbon. Cette maison est assez peu tolérante et compte bien faire profiter sa lignée de cette place que possède le frère de la comtesse. Aucune branche n’est autorisée à la création dans cette famille.
Première Branche X Prénom de Guise, né en année (00 ans). X Prénom de Guise, né en année (00 ans). X Prénom d’Alsace-Lorraine, né de Guise en année (00 ans), comte d’Alsace-Lorraine. X Prénom de Guise, né en année (00 ans). Deuxième Branche X Prénom d’Alsace-Lorraine, né de Guise en année (00 ans), comte d’Alsace-Lorraine. X Laure d’Alsace-Lorraine, née de Condé-Bourbon en 1970 (53 ans), princesse de sang, comtesse d’Alsace-Lorraine. V Prénom d’Alsace-Lorraine, né en année (00 ans), fille. V Prénom d”Alsace-Lorraine, né en année (00 ans). dauphin d’Alsace-Lorraine. garçon. Troisième Branche X Prénom de Guise, né en année (00 ans). X Prénom de Guise, né en année (00 ans). V Prénom de Guise, né en année (00 ans). V Prénom de Guise, né en année (00 ans).
maison d'auvergne
Anciens vassaux du duchés d’Aquitaine, la maison d’Auvergne s’avère être seule à partir de maintenant, grâce au nouveau roi. Un privilège qu’ils comptent bien conserver pendant un moment, ils regardent donc ce qui est en train de se passer plus haut avec un oeil approbateur. Dans leur capitale Clermont-Ferrand, le comte et sa famille profitent de la seigneurie.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né.
maison de champagne
L’un des plus anciens comtés de France, en lieu et place de l’ancienne région administrative de Champagne-Ardennes. Les champenois ont pour chef-lieu Troyes, replacé à la tête de ce comté, la maison de Champagne profite de son statut comme la plupart de ses pairs. Même si une partie de leur territoire a été donnée à la maison de Condé-Bourbon, des princes de sang.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né.
maison de corse
Les souverains héréditaires de Corse semblaient être une chose que l’île de beauté avait gardé, même une fois la république en place. Donc ce n’est pas très inquiets qu’ils ont accepté de reprendre leur titre de Comtes de Corse sur cette magnifique terre qui est la leur. Même s’il s’agissait avant la restauration de la monarchie d’un titre de courtoisie, la maison de Corse reste assez neutre dans les dernières lois proposées par le premier ministre.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né. Quatrième branche troisième né.
maison de nice
Ancien territoire de Savoie, le comté de nice, prenant l’est de la région Provence Alpes Côte d’azur, ayant pour capitale Nice. Leur histoire commune avec les italiens, offre une belle pluralité de culture qui fait que cette famille est naturellement tolérante et voit d’un mauvais oeil les derniers décrets pour les jeunes sorciers.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né.
maison de paris
En île de France, le Comte de Paris aurait pu également prétendre au titre de roi de France si seulement les Flamel et les Hermès avaient décidé de le choisir. Il n’est néanmoins pas rancunier envers ces familles, mais reste à l'abri des regards pour essayer de savoir où se positionner si besoin.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né. Quatrième branche troisième né.
maison de provence
Le comté de Provence se place sur le PACA ouest et le une partie du languedoc, fier de leur valeurs et de leur langue, il n’est pas rare de les entendre encore parler en Occitan. Famille sans prise de tête, ils passent au dessus de ce qui se passe actuellement, préférant profiter de leur vie à partir de maintenant. Le chef-lieu du comté est Aix-en-Provence.
Première branche (grands-parents) Deuxième Branche héritier. Troisième Branche deuxième né.
maison de toulouse
Marié à l’une des princesses de sang, le nouveau Comte de Toulouse est retenue dans ses volontés politiques, par son épouse. Lui qui aurait préféré lutter contre les dernières lois tout comme le Duc d’Aquitaine, il n’a pas le choix que de rester sagement dans la neutralité des faits, même s’il a tendance à engrainer ses enfants dans ses idées. Choses qui déplaisent grandement à la maison d’Artois à laquelle il est lié par alliance. Aucune branche n’est autorisée à la création dans cette famille.
Première Branche X Prénom de Saint-Gilles, né en année (00 ans). X Prénom de Saint-Gilles née nom de jeune fille en année (00 ans). X Antonin de Toulouse, né de Saint-Gilles en 1970 (50 ans), comte de Toulouse. Deuxième Branche X Antonin de Toulouse, né de Saint-Gilles en 1970 (50 ans), comte de Toulouse. X Fleur de Toulouse, née d’Artois en 1970 (50 ans), princesse de sang, comtesse de Toulouse. V Prénom de Toulouse, né en année (00 ans). dauphin de Toulouse. V Prénom de Toulouse, né en année (00 ans). V Prénom de Toulouse, né en année (00 ans). V Prénom de Toulouse, né en année (00 ans).
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rayondelun3 · 1 year ago
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C'est mon meilleur ami qui m'a fait ça. C'est lui qui m'a fait ça et qui a fait en sorte que les autres m'utilisent aussi.
Je me mutilais déjà, j'avais déjà un pied dans la mort, il le savait. C'est mon meilleur ami un jour de pluie qui m'a fait ça.
Depuis je n'oublie pas. J'y penses. J'y penses tout le temps.
C'était mon meilleur ami. Et puis il y a eu tous les autres. Tant d'autres. Tous des merdes.
Et avant lui qui était ce ? C'étaient des professeurs, professionnels en humiliation et harcèlement.
Je me souviens de ce qu'il y a eu encore avant ça. Je me rappelle l'origine du mal. Au fond de mon cœur que je voulais arracher chaque jour tant j'avais mal. Mal au ventre, mal à la tête, plaques d'eczéma sur les bras, piqûre de la sueur et du sang.
Je me rappelle des bleus des coupures des ongles rongés du sang et des larmes qui coulaient. Le visage n'est pas flou. Je me rappelle le sol froid. Je me rappelle que c'étaient ceux qui voulaient que je les appelle « papa » et « maman ».
J'oublie la plupart des moments de bonheur. Je suis couverte de cicatrices, celles qui se voient et celles qui ne se voient pas.
J'ai tenté d'arracher mon cœur et de vivre sans mais je ne suis pas comme ça. Oui je me suis battue, oui j'ai la haine, oui j'ai encore des larmes, oui ça fait toujours mal et parfois j'ai peur.
Dites-leur qu'ils m'ont presque tuée. Dites-leur que j'ai essayé environ 7 fois et que des autres je ne m'en souviens pas. Dites-leur que ce sont des merdes et qu'ils ont tout intérêt à se faire soigner. Dites-leur que j'ai voulu me venger, dites-leur que je veux leur mort. Dites-leur qu'ils pourrissent en moi, dites-leur qu'ils font partie de moi. Dites-leur que je me suis mise à dire les mêmes choses qu'il me disaient, à me faire ce qu'ils me faisaient, toute seule. Dites-leur que parfois ça revient et que c'est comme un ras de marrée. Dites-leur que j'ai laissé mon corps se faire emporter par la mer un nombre incalculable de fois en plein hiver en pleine tempête. Dites-leur que j'ai perdu des années de ma vie, que je n'ai quasiment pas connu l'innocence. Dites-leur qu'ils ont bousillé une partie de ma vie et de mon enfance et de mon adolescence et de ma vie de jeune femme.
Mais dites-leur que je peux me tenir sur le toit d'un gratte-ciel sans me jeter dans le vide. Dites-leur que je me bats toujours et que je fais le bien autour de moi malgré le mal qu'on me fait encore. Dites-leur que je me suis faite ma propre famille et que je peux aussi la défaire. Dites-leur que je vis ma vie à ma guise. Dites-leur que je danse en boîte de nuit, que j'aime le vin et qu'à n'importe quelle heure j'aide les gens. Dites-leur que j'aime la pluie et que je n'ai plus peur de souffrir.
Dites-leur qu'ils aillent se faire foutre. Que mes amies tueraient pour moi et qu'on est des tarées. Dites-leur que c'est moi la plus dingue parmi mes sœurs. Dites-leur que c'est moi qui ai sauvé une vingtaine de vies du suicide en 5 ans. Dites-leur que je sors des mecs du métro et que je les tabasse. Dites-leur que s'ils s'approchent je n'ai pas renoncé à la violence, dites-leur que je ne renoncerai jamais. Dites-leur que je dois prendre des tonnes de cachets comme une droguée et que si je pouvais je les traumatiserai à mon tour, dites-leur qu'eux ne survivraient pas comme mes sœurs et moi avons pu survivre.
Ou ne leur dites rien. C'est mieux comme ça.
Si vous aussi vous les connaissez, et vous en connaissez forcément, fuyez avant qu'ils ne vous attrapent. Sinon, appelez à l'aide. Appelez moi. Racontez moi.
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hippiepiphourra · 3 months ago
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Le Jouet, Francis Veber, 1976
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Un classique du cinéma français à voir ou à revoir
Pour Michel Bouquet en exécrable patron.
Pour Fabrice Greco en insolent (et touchant) rejeton de la famille Rambal-Cochet.
Pour Pierre Richard en François Perrin, journaliste jouet et jouet journaliste.
Derrière ce film familial, une question toujours d’actualité:
Est-ce que tout peut s’acheter ?
Pour les amateurs de pantalons délicieusement évasés, ce film est un véritable régal.
Nous sommes en 1976, année qui marque l’apogée de cette coupe chère à nos cœurs : le bas s’élargit, ce qui confère à la démarche un dynamisme séducteur. Presque tous les personnages en portent un. Mais la manière diffère. Petit horizon des styles des personnages principaux…
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Les chemises à carreaux et à rayures composent majoritairement la garde-robe de François Perrin. On le voit souvent dans un costume bleu clair en denim fatigué dont le col rebique. On a là le look typique du petit employé/ancien chômeur. Look qui fait tout son charme…
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Avec Monsieur Blénac, nous entrons dans un tout autre registre vestimentaire. Il arbore avec prestance la panoplie chic du DRH de France Hebdo. Ses costumes sont bien coupés, les teintes sont souvent unies, des boutons de manchettes parachèvent l’ensemble. Le tout est d’un goût exquis. Il n’en reste pas moins dans l’air du temps: pantalon patte d’éléphants, teintes et motifs audacieux, vestes à large encolure…
Un régal pour les yeux ! (Ah! Si j’avais 80 ans de plus…)
Cette panoplie chic peut cependant être mise à mal par les lubies du patron.
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On monte en gamme, avec le style du fils Rambal-Cochet. Le fils à papa étrenne de belles chemisettes, des shorts et pantalons taillés sur mesure. Jetez un œil à ce pattes d’éléphants taille haute en denim en bas à gauche… merveilleux, n’est-ce pas ?
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Pour Rambal-Cochet, un costume noir à rayures blanches porté sous une chemise blanche. Une cravate rouge sang achève de lui donner un air carnassier. Le patron de France-Hebdo est au-dessus des modes, aussi ne s’embarrasse-t-il pas de patte d’éléphants. Une allure austère qui vise à montrer l’étendue de son pouvoir. 
Vous savez ce qu’il vous reste à faire…
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the-wicked-deep · 2 years ago
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THE WICKED DEEP (projet rpg)
Projet inspiré des oeuvres the sorcery of thorns (Margaret Rogerson), The Scholomance (Naomi Novik) et La Passe-miroir (Christelle Dabos).
TW: magie noire, démons, sacrifice et sang 
CONTEXTE
DISCORD
The Wicked Deep est un projet rpg fantastique qui puise sont inspiration de plusieurs oeuvres (surtout les oeuvres citées en haut). Ce sera un “huis-clôs” puisque seulement les sorciers seront jouables. On y retrouve un peu de tout, un système de magie innovateur, des grandes familles, une rébellion, des jeux politiques, la possibilité de jouer un sorcier comme un démon... 
Pour en savoir plus, je vous invite à lire davantage les explications.
Qu’est-ce que je peux jouer ?
Un sorcier ou un démon. Les sorciers sont départagés en trois catégories, elle dépend de leur usage de la magie.
1- Les Blue Blood puisent leur magie d’un démon. On les dit « bleu » parce que seules les familles à la tête d’une enclave ont ce privilège. Leur magie est puissante. 2- Les Red Blood puisent leur magie d’une énergie positive et pure. Afin d’user de leur pouvoir ils ont besoin de rassembler cette énergie pour user de leur pouvoir. Ils la confectionnent en faisant des tâches qui demandent un effort physique ou mental. L’énergie créée sera plus haute et forte au plus la tâche est difficile (par exemple faire 100 pompes rapportera plus d’énergie que tricoter des gants). 3- Les Dark Blood créent une énergie négative en sacrifiant quelque chose afin que leurs incantations fonctionnent. On dit énergie négative parce qu’elle repose souvent dans le sang ou quelque chose qui a été donné par force. Ils sont puissants, mais se font lentement bouffer par leur magie. 4- Les démons viennent plus ou moins des « enfers ». Ils prennent une forme humaine dès qu’ils sont appelés. Un démon ne peut PAS mourir, il peut seulement être banni dans les enfers si son corps humain est tué sur terre. À la mort de son sorcier, le démon retourne également dans les enfers. Ils sont dotés eux-mêmes de magie, mais sont sous la coupe de leur sorcier.
Où ?
À Londres.
Quel genre de personnage ?
La noblesse, les gens à leur service, leurs opposants. Dans tous les cas, le personnage devra jouer un rôle dans une des enclaves (on peut comprendre ça comme un coven de sorcières).
Comment fonctionne la magie ?
La magie n’est pas donnée, ni naturelle, elle demande à chaque utilisation un sacrifice. On appelle ça le Mana (énergie positive) ou le Malia (énergie négative).
Pour un Red Blood, le sacrifice sera le temps donné à l’énergie qu’on a confectionné, au mieux mon incantation fonctionnera au plus de temps j’ai mis dans la confection de mon énergie. Cette énergie étant pure, les Red Blood vivent une longue vie qui n’est pas semée d’embuche. Beaucoup en dévient pourtant, parce que créer de l’énergie positive prend du temps, de l’énergie et s’essouffle rapidement. Un Red Blood est moins puissant qu’un Dark Blood ou Blue Blood.
Un Dark Blood est peut-être puissant, mais son temps est compté. Au plus de Malia est utilisé, au plus le corps « pourri ». La magie n’est pas censée être utilisée par le biais d’une énergie négative (un sacrifice). Cette « faute » se répercute sur le sorcier. 
Les Blue Blood sont puissants, après tout leur magie vient d’un démon qui est une source infinie de pouvoir. Ils sacrifient pourtant de nombreuses années de leur vie lors de l’alliance formée avec un démon. Les démons se nourrissant de la vie de mortels.
Les sorciers ont besoin d’incantation afin que leur magie fonctionne, les démons eux n’en ont pas besoin.
Quels pouvoirs peut avoir un sorcier?
Les sorciers ont différents pouvoirs, qui sont partagées en huit catégories:
Black Light: contrôle mental et de la psychée
Blue Light: contrôle de l’eau et de n’importe quel liquide
Yellow Light: contrôle des illusions et de l’espace
Green Light: contrôle de la faune et de la flore
Grey Light: contrôle et animation d’objets
Orange Light: contrôle de l’air et du temps
White Light: contrôle du corps (physique et des sens)
Je veux jouer un démon, comment ça fonctionne ?
Un démon n’est pas humain, il est dans une catégorie différente qui vient plutôt du divin. Comme une genie in a bottle, ils vivent dans les enfers avant d’être invoqué sur terre.
Les démons puissants ont tous des noms que seuls les sorciers des familles qu’ils servent connaissent. En somme tout le monde pourrait devenir un Blue Blood si seulement ils connaissaient le vrai nom d’un démon.
Ces noms sont en gros un héritage familial qui n’appartient aux familles nobles.
Les démons lors de leur invocation sont liés à vie à un sorcier. Ils auront une vie de servitude pour laquelle les sorciers payent un prix cher : x années de leur vie. Les démons ne se nourrissent que de ça.
Les démons n’ont pas besoin d’incantation, leur magie étant divine, ils peuvent la créer de rien. En revanche ils sont liés à la volonté de leur sorcier. Ils ne peuvent donc pas les trahir et contourner leurs ordres. Un démon n’est en somme pas libre, si très puissant, il ne peut travailler que sous la coupe de son sorcier.
Je veux jouer un noble avec un démon, comment ça fonctionne ?
Les arbres des familles sont extrêmement grands et chaque noble ne reçoit pas un démon. Effectivement chaque année ou à la mort d’un membre d’une famille, un rituel est formé pour voir qui est le plus méritant d’une branche ou d’une famille. Avoir un démon est une grande force qui demande beaucoup de responsabilités, c’est pour cette raison que les familles ne les donnent pas gratuitement. Effectivement il faut gagner son rituel pour avoir droit à un démon.
Les places de démons seront limitées ainsi que les places dans les familles en ayant un.
Qu’est-ce qu’une enclave ?
Le jeu se déroulera dans une des villes les plus importantes magiquement parlant. Celle qui aura inspiré le monde entier à faire de même. Il y a plus de huit cents années, huit familles ont créé huit enclaves avec huit différentes spécialisations. Ces huit familles représentent aujourd’hui le conseil magique qui définissent les nombreuses règles et lois ayant rapport à la magie de partout dans le monde.
Ces huit familles sont influentes seulement parce qu’elles ont toutes sous leur coupe la magie de démons, leur donnant un pouvoir infini. Ces huit familles forment donc huit enclaves qui décident sur le restant des sorciers.
Le jeu se basera sur ces enclaves et le rôle des personnages au sein de celles-ci. Une facette extrêmement politique puisque les familles et les enclaves ont toute une motivation personnelle et ne souhaitent pas être annihilée par une autre. 
Le forum n’est donc en soit pas un huis-clos strict, mais sera quand même restreint dans son jeu : les personnages devront avoir un lien à une enclave (qui est de toute façon obligatoire pour tous les sorciers) et doivent être à Paris.
Quelles sont les problèmes au sein de la ville ?
Les enclaves sont constamment en guerre, voulant prendre le dessus sur les autres. Elles clashent depuis des décennies les unes contre les autres, au point de non-retour. Des défis politiques et des coups bas qui ont un impact sur toute la ville. Qui plus est, si une guerre éclate tous les sorciers seront forcés à prendre parti et se battre.
Depuis peu des Mals/Fiens (démons moindres qui se nourrissent littéralement de sorciers) refont leur apparition en masse attaquant les sorciers des différentes enclaves. Chacun est touché, on se doute qu’une enclave est la cause de ce mal, mais personne ne sait véritablement qui.
Qui plus est, nous avons des opposants au système actuel ne souhaitant plus vivre sous la coupe des familles. Une tradition ancestrale qui semble pour beaucoup injuste. Pourquoi ont-ils eux droit à un pouvoir infini ? Pourquoi eux et pas d’autres ? Une révolution qui se construit au sein même des enclaves, qui a pour but de faire chuter les grandes familles.
À quelle époque joue-t-on ?
L’époque moderne, nous serons donc en 2023. La vie de sorcier est pourtant bien différente de celle des humains avec un flair dramatique qui rappellera l’époque victorienne.
Est-ce que les humains existent aka le monde « normal » ?
Le monde normal existe mais est externe au monde sorcier. Les humains ne voient pas/croient pas à la magie, de ce fait les Mals ou autre n’ont aucun intérêt pour eux. Qui plus est, les deux mondes sont départagés et n’ont rien avoir l’un avec l’autre. Il ne sera donc pas possible de jouer un humain.
Quelles seront mes possibilités de jeu (par exemple les mouvements, etc.) ?
Il y aura différents mouvements ou organisations dans le jeu. Pour le moment il y en a trois :
Les Chasseurs : si les dark blood sont répandus, cette magie est absolument interdite. Les chasseurs sont chargés de les pourchasser et les tuer tout comme les monstres (aussi appelés Mals) qui passent à travers les filets.
Les Opposants : ils ne veulent plus du système d’enclave et de la noblesse, ils veulent un monde plus égalitaire.
Les Keepers : ils sont là pour protéger les grimoires et le savoir du monde sorcier. 
À cela s’ajoute bien entendu les jeux de pouvoir et politiques entre les enclaves qui ne s’aiment pas. 
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alexar60 · 1 year ago
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L’enfant des fées (5)
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Précédents épisodes
Peu après, la canonnade s’arrêta brutalement. Louis n’entendait que sa respiration. Il sentait le poids des poutres sur ses tibias brisés. Il garda en mémoire le visage de Teaghan, peu avant que la lumière ne s’éteignit ; les yeux exorbités, le crane défoncé par le plafond, et le sang coulant le long du front. Autour de lui, il ne régnait que la poussière, l’obscurité absolue et la mort. Mais, il y avait toujours des coups de pioche contre la terre. Ils brisaient le silence angoissant des ténèbres.
Dans un vain effort, il essaya de remuer les doigts. La douleur fut si terrible, qu’il n’insista pas. Dès lors, il savait qu’il était condamné… condamné à mourir enterré comme un chien perdu au fond d’un puits. Il cria, hurla espérant être entendu. Seuls les morts l’écoutaient. Et les coups continuaient dans le sol.
Petit-à-petit, l’angoisse laissa place à la résignation. Il savait qu’il n’y en avait plus pour longtemps. Et ne pas voir l’état dégradé du plafond au-dessus de sa tête, le rassurait un peu. Dès lors, il attendit que tout s’effondre, que son corps éclate, tel un fruit mûr, sous le poids de la terre et du bois de la charpente. Il attendit patiemment, sagement. Et il attendit avec ses souvenirs. Les pelles continuaient de battre la terre.
Ils étaient partis passer quelques jours dans le vignoble nantais, le temps d’un weekend, dans le domaine familial d’Armande. Ils arrivèrent tôt grâce au chemin de fer, une calèche les attendit à la gare. Habillée d’une élégante robe bleue claire et d’un large chapeau blanc, Armande ouvrait toujours son ombrelle, bien qu’elle ne le trouvât point pratique. Pour la première fois, Louis s’était rasé la moustache. D’habitude, il partait chez le barbier du quartier, mais ce matin, il se rasa lui-même cette moustache qu’il trouvait ridicule. Pourtant, de nombreux hommes portaient la même. A côté du couple, les enfants en tenue du dimanche, restaient debout, attendant sagement de monter dans le carrosse, comme l’appelait Henriette. Jules se démarquait avec son chapeau encerclé d’un long nœud bleu. Il cria, bondit de joie en reconnaissant Martin, un domestique de son grand-père.
Louis, se remémora la traversé des vignes. Elles appartenaient toutes à son beau-père. Des paysans de tous sexes cueillaient les grappes pour les jeter dans un énorme panier accroché au dos d’un gaillard au torse nu. Il suait alors qu’il ne faisait pas vraiment chaud. Chaque coupe de couteau semblait faire le bruit d’une pelle contre la terre.
Les enfants adoraient venir dans cette ferme à l’aspect de château. Ils s’amusaient à courir dans tous les sens, jouant à chat ou à cache-cache. Parfois, des cousins les accompagnaient. D’autre fois, ils suivaient leur grand-mère, fière de ses petits-enfants et impatiente de leur enseigner quelques recettes maison. Louis était toujours reçu comme l’étranger, celui qui avait volé leur fille. On ne lui parlait pas, pas même pour dire bonjour. On le regardait de travers, on avait envie de cracher sur son passage pour conjurer le sort. Mais il se doutait que son métier de policier était la cause de ce mépris.
Toutefois, il était mal vu de ne pas rendre visite à sa belle-famille, une des plus riches de Nantes à Clisson. Leur vin se vendait dans toutes les grands restaurants d’Europe ; de Paris à Vienne, de Londres à Moscou, on enrichissait les parents d’Armande en buvant leur vin blanc.
Après le repas, la famille accompagna les aïeuls dans une longue promenade à contempler les terres et écouter le grand-père dépeindre avec fierté sa fortune. Il n’y avait rien de plus saoulant pour Louis que d’entendre le vieil homme blatérer les mêmes choses en gonflant la poitrine. Le battement de son cœur faisait le même son qu’une pioche creusant un puits.
Les enfants couraient entre les vignes. Ils ne se souciaient pas des nuages gris en train d’envahir lentement le ciel. Si bien qu’ils s’éloignèrent alors que leurs parents commencèrent à faire demi-tour. Leur mère les appela, mais ce fut la pluie qui les rameuta vers la ferme. De grosses gouttes cognèrent le chemin lorsqu’ils arrivèrent enfin sur le perron de la porte. Ils entrèrent accueillis par Martin qui leur apporta une serviette.
-          Vous en avez apporté une de trop, mon cher. Déclara la mère d’Armande.
Il n’eut pas le temps répondre. Un cri fit sursauter tout le monde. Armande réalisa que sa dernière fille manquait à l’appel. Dès lors, la famille fut saisie d’angoisse à l’idée de l’avoir laissée au milieu du vignoble sous l’averse. Aussitôt Louis sortit, rassurant en même temps son épouse. Il devinait où elle pouvait se cacher. Il courut sur la route déjà détrempée. La pluie chaude collait sa chemise sur sa peau. Il courut jusqu’à une grange. Il espéra que Blandine s’était réfugiée dedans et, en effet,  elle attendait sagement que le beau temps revienne. Elle restait assise sur la paille, souriant à son père, amusée de le voir essoufflé. Les gouttes tombant sur le toit, imitèrent le bruit des coups de pioche dans une mine.
-          La gymnastique n’est plus de mon âge, dit-il.
Il s’assit à côté de sa fille. Il soufflait toujours comme un bœuf, cherchant à retrouver un rythme normal. Son cœur battait si fort qu’il crut l’entendre exploser. Il proposa d’attendre la fin de l’averse. Blandine rit, heureuse de rester dans cette grange qu’elle adorait. Durant ces séjours, elle partait toujours dans cet endroit. Pour une fillette, c’était une caverne d’Ali Baba. Elle voulait grandir pour enfin monter l’échelle et découvrir l’étage. Par ce côté aventureux, elle ressemblait énormément à son père.
Les bruits dans la terre résonnèrent de plus en plus fort. Louis préféra se perdre dans ce souvenir lointain. C’était il y a deux ans. Blandine avait à peine trois ans. Cependant, elle paraissait en avoir plus. Il se rappela cette attente avec sa fillette. Elle riait, lui parlait de ses frères et sœurs. Elle posait pleins de questions. C’était surement ce jour qu’elle devint sa préférée. Parce qu’il n’avait jamais discuté avec les deux autres. L’enfant est enfant, l’adulte reste l’adulte. C’est au rôle de la nourrice et de la mère de s’occuper des enfants. De plus, le père doit montrer de la fermeté, jamais de sympathie. Mais ce jour, il accompagna sa fille dans ses rires.
Il aurait voulu revivre ce moment. Poser sa tête sur les genoux de sa fille et lui parler plus profondément. Dire qu’il était fier d’elle et de ses frères. Dire qu’il aimerait la voir grandir, la protéger, et la voir vieillir. Il détesterait son mari, mais il serait fier d’entrer dans l’église pour son mariage. Il serait heureux de regarder ses petits-enfants jouer autours de lui et d’Armande. Ils auraient son rire ou son sourire. Le plus grand aurait son regard.
Pendant que Louis rêvait, une voix s’éleva de nulle part. Il ouvrit les yeux mais ne constata que le noir et la mort autours de lui. Il inspira fortement, gardant en image sa fille caressant sa tête sur ses genoux. Il ne savait plus s’il avait imaginé où s’il avait réellement vécu cette scène. Il crût sentir une petite main frôler ses cheveux, une main d’enfant. Ses jambes ne bougeaient toujours pas. Par contre, il sentit le sol vibrer. La voix retentit de nouveau.
-          Je suis là ! cria-t-il, à l’aide !
Il voulait revivre ce moment, retrouver Blandine dans la grange. Il voulait revoir son fil. Il voulait entendre le son de sa voix. Jules devait être grand et fort maintenant. Il voulait embrasser Henriette, celle qu’il a toujours délaissée. Parce qu’elle était l’ainée, parce qu’elle était une fille alors qu’il voulait un garçon. Il voulait sentir le parfum d’Armande, danser avec elle. Et lui dire qu’il l’aime plutôt que de l’écrire. Il voulait retourner chez lui, mais pour cela, il devait vivre.
Alors, il se mit de nouveau à crier, espérant être entendu. Il souhaitait que les coups de pioche soient vrais. Et s’il s’agissait des allemands, il pria leurs âmes d’avoir de la compassion pour un père de famille. Il cria, hurla. Les coups s’approchèrent de plus en plus. Puis plus rien !
Le sergent demeura dans le silence. Sa respiration devint de plus en plus difficile. Il ne savait pas si le plafond menaçait de tomber. Il se rappela de sa fille. Il se souvint de la grange, la pluie qui tombait lorsque soudain :
-          Il y a quelqu’un ?
La voix était française. Louis était sauvé.
Alex@r60 – juillet 2023
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guesswhogotaname · 2 years ago
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Here we go again... 
Ça faisait loooooongtemps l'équipe ! Me revoilà après avoir ouvert un dossier perdu sur le bordel de mon ordi intitulé "FICS" et boum je tombe sur cette pépite hehehe! On est toujours sur cet ✨AU multilanguage kt ✨j'espère que ça va vous plaire, n'hésitez pas à partager vos idées et vos critiques ! 🤟 Voilà, kiffez bien votre lecture les djeunes !
Le jour qu'elle avait tant attendu arrivait enfin.
Son cœur battait à la chamade dans sa poitrine, tout le monde la regardait s’avancer vers l’autel. Elle souriait, ravie, impatiente, nerveuse. Tous les représentants des terres celtes étaient venus en Carmélide pour son mariage ; elle était épiée, chaque geste, chaque pas étaient méticuleusement observés, détailler. Elle n’était pas belle, elle le savait, mais elle se sentait fière. Fière d'être la digne fille de sa mère et de son père ; celle qu'on avait choisi pour l'Élu des Dieux. En silence elle leur adressa une prière ancienne, espérant être à la hauteur de ce qu'on attendait d'elle. Son fiancé était là, habillé d’une tunique bleu ciel, la couronne de fleur posée sur sa tête, son air bougon, agacé, ses cheveux noirs, coupé court, tellement différent des hommes d’ici. 
Elle arriva à sa hauteur, mais n’osa pas rencontrer son regard. C'était encore un geste trop démesuré pour elle. Devant eux, le prêtre s’avança, vêtu d’une longue robe sombre, et d’une lourde croix pendant à son cou. Il avait un calice doré entre ses mains. 
« Au commencement, le Seigneur Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul. » Il prononça lentement, pesant contre sa langue le poids de ses mots. 
Ghenifar ne connaissait pas les rites ou les coutumes des chrétiens. Sa mère crachait sur leur pratiques barbare et austère. Son père n’en pensait pas mieux. Son enfance avait été bercée de contes et de légendes ; des Dieux puissants qui se transformaient en rivières ou en forêt, des géants qui siégeaient au sommet des plus hautes montagnes, et qui observaient les Hommes avec compassion et une certaine forme de sévérité. Créatures omniprésentes, toujours parmi eux, témoins silencieux. Ils étaient impétueux et sa famille lui avait appris à craindre la foudre, à lire les signes des sécheresses, les corbeaux morts qui annoncent la peste, les hivers trop rudes qui présagent la guerre. Elle obéissait aux croyances de sa mère et de son peuple. 
Le prêtre continuait son sermon dans cette langue bizarre, aux sonorités écorchées, aigües ; la dévotion dans ses paroles et dans ses yeux rendait son discours presque touchant. 
Ghenifar s’agita, inconfortable ; elle tritura nerveusement la manche de sa robe de noce, inquiète de ce que les Dieux pensèrent d’elle. Ils la foudroieraient sur place si elle prêtait un serment à une icône factice. Elle essaya discrètement de faire signe à sa mère qui se tenait à sa gauche. Cette dernière hocha la tête, grande Reine-Guerrière, elle ne fléchira pas devant les envahisseurs et leur idole de bois. Mais aujourd’hui, les Éternels feront exception pour le bien du peuple celte. 
Ghenifar retourna son attention sur la cérémonie. L’homme, qui se fait appeler « Père » par les invités, approcha le verre des lèvres de son époux. Il prit une gorgée, avant un soupir. 
« Le sang du Christ. » Confia le prêtre devant elle, lui tendant la coupe où reposait un breuvage odorant et ocre à l’intérieur. 
Ghenifar ne comprenait pas les mots, mais elle obéit. Les druides de son pays faisaient ça aussi, ils partageaient dans une jatte plate le sang d’un animal sacrifié et ils le buvaient chacun leur tour, subissant la prophétie envoyée. Dans ces croyances, ce n'était pas anodin, le sacrifice d'un être vivant était nécessaire seulement pour mes fêtes importantes ou avant les batailles décisives. Ici, les gens boivent du sang comme d'autres boiraient-ils du vin ou du lait... Les druides ne prenaient jamais part, ils n'avaient pas de chef, ils servaient les Dieux. Pourquoi alors cet homme que tous appelle "Père" est au service du Roi ? Ghenifar eu soudainement une boulé d'angoisse logée au dessus de sa poitrine, le prêtre était peut-être un mauvais présage, il apporte le dieu usurpateur... Mais tout le monde attendait, impatiemment, elle devait faire comme eux.
Elle fut surprise quand elle prit une lampée du liquide âpre qui puait le vinaigre. C’était du vin. Elle ne put retenir une grimace, le goût infect restait sur sa langue et descendait dans sa gorge. Ce n'était pas du sang. Son futur époux l’observa, étonné de sa réaction, mais il eut un demi-sourire amusé. 
Ghenifar ne put s’empêcher de rougir. 
Le prêtre reprit, dans une voix monotone et solennelle. « Vous avez écouté La parole de Dieu qui a révélé aux Hommes le sens de l’amour et du mariage. Vous allez vous engager l’un envers l’autre. » 
Son époux leva les yeux au ciel, marmonna quelque chose entre ses dents, ses iris sombres ne masquant rien de son agacement absolu. « Oui, bon, allez, grouillez-vous, on n’a pas toute la journée… » 
« Je peux pas aller plus vite c’est les codes ! » 
« Vous savez où je les mets vos codes à la con ? » Il menaça, la mâchoire crispée par sa colère contenue.  
Des murmures se propagèrent dans l’assemblée. Outré, le prêtre semblait avoir les yeux qui sortaient de son crâne. Il souffla un « Enfin Sire ! » en faisant un signe de croix sur son cœur. 
Ghenifar restait muette, elle observait la scène sans en saisir le sens. Les coutumes chrétiennes étaient particulières. Dans sa famille, la foi était pratiquée par des chants et des danses. On appelait les Dieux à rejoindre les festivités, les gens voulaient les honorés par des jeux et d’immense banquet. 
Arthrhy se tourna vers elle et enfin leurs yeux se rencontrèrent. Ghenifar resta suspendue à ses lèvres, observant méticuleusement son futur époux prononcé des mots en brittonique pour que tous ici puis comprendre son affection. Tous allaient être témoins du début de la plus belle histoire d’amour jamais écrite. Elle était si heureuse d’entendre ses vœux, et son cœur s’envolait comme un oiseau libre et fou. 
« Aujourd’hui, Naofa Gwenhwÿfar… » Il n’arriva pas à terminer sa phrase ; les mots avaient pourri sur sa langue et l’odeur amère de la trahison emplissait ses narines. Il la regarda un instant. Elle était d’une beauté attendrissante, presque triste. Elle aussi portait une couronne de fleurs sur ses cheveux bruns, quelques pétales s’étaient perdues dans ses boucles, son visage rond à peine sorti de l’adolescence, ses grands yeux noisette, pétillant d’une joie immense. Elle était trop jeune pour être une épouse, pour être Reine. En déclarant ses vœux d’un mariage éternel et heureux, Arthrhy la condamnait à une vie bien malheureuse. Il avait honte. « Je vous prends pour être ma femme. » Il eut le temps d’une inspiration, les mensonges collaient à sa langue et son palais, il avait l’impression de s’étouffer. La dernière fois qu’il avait prononcé ses mots, c’était par amour et non par devoir. Il trahissait Aconia, et il trahissait cette jeune femme dont il ne connaissait que le nom. Tout les Dieux, anciens et nouveau, devraient le maudirent à l’instant pour son impunité. « Je promets de vous aimer pour le meilleur, pour le pire, dans la maladie ou dans la santé, jusqu’à ce que la mort nous sépare. » Il termina rapidement son scandaleux mensonge, le cœur serré dans sa poitrine.
Lui qui avait cru être un homme intègre, loyal et juste… Il était comme tous les autres ; avide de pouvoir, ce mariage n’était qu’une passerelle pour affermir son privilège sur le trône de Bretagne. Il n’était qu’un menteur, un lâche. Il n’avait rien de l’étoffe des héros et des rois de légende. Ses poings se serrèrent, et sa mâchoire se crispa. Il aurait voulu hurler de rage, mais il resta droit, digne de l’image que le peuple avait d’un souverain. Son règne commençait et le poids sur ses épaules était déjà incommensurable. 
Le roi Léodagan se racla la gorge, il était légèrement embarrassé. 
« Ma fille ne parle pas brittonique, sire. » 
« Elle peut le dire en sa langue natale, ce n’est pas important. » Répondit le Roi, indifférent. 
Les mots rassurants, mais autoritaires de son père lui parvinrent ; un ordre força le serment hors de sa bouche. C’était à son tour de prononcer les vœux qui l’uniraient à jamais à cet homme. 
Ghenifar était terrorisée, ses lèvres tremblèrent, le sang pulsait dans ses veines à une cadence vertigineuse. Elle n’avait pas la force d’élever les yeux, elle fixa le médaillon de son époux, et elle serrait si fort le bouquet dans ses mains que les fleurs elles-mêmes vacillaient. Ce n'était que des mots, elle les avait apprit par cœur dès son enfance, sa mère lui récitait en coiffant ses cheveux indociles, elle répétait "un jour, ma fille, tu épousera un homme, et tu nous rendra fière." Elle avait vécu avec cette épée au bord de la gorge. Elle était une fille, elle devinerait femme et mère, c'était son devoir. Maintenant, elle devait prouver son héritage de femme. Rendre ses parents fiers, être digne. Elle avait presque envie de pleurer et s'enfuir en courant.
« Tha mi… Tha mi… » Elle regarda ses parents qui lui firent un signe impatient de continuer. « Tha mi a' mionnachadh… » Ghenifar balbutia, effrayée du son de sa propre voix dans le silence respectueux de la cérémonie. Toutes ces hommes et ces femmes qui écoutaient son élocution bancale, incertaine, proférer des paroles sacrées, elle était indigne de ce qu’on lui donnait. Elle devina son visage écarlate, ses joues en feu. Ses yeux se levèrent, acte absurde et maladroit, mais elle vit le regard de son époux, sincère et patient. Quelque chose se dénoua dans ses entrailles, libéra sa gorge, et elle sentit les mots coulés hors de ses lèvres avec sérénité et douceur. 
« ‘S mi-mionnachadh air sith 's air gaol a bhi seasamh. Cridhe gu cridhe 's làmh an làimh. Gus an diugh, gu m’ anail mu dheireadh, cha bhi mi ach leatsa. » Elle lui jura un dévouement éternel avec une conviction troublante, Arthrhy en avait mal au cœur. 
L’épouse qu’on lui avait promise était une âme douce, innocente, charmante. Il regrettait de ne jamais pouvoir l’aimer ni de lui offrir ce qu’elle désirait. 
Le prêtre posa sa paume à plat sur sa croix, sans dissimuler son émotion. C’était un mariage réussi, contrairement au précédent qu’il avait eu le malheur d'officier… 
«Le Créateur dit : Voilà pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. » Il déclama à l’assemblée, captive par les Saintes Écritures. «  Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! »
Des invités applaudirent, des convertis chrétiens, ou des amateurs de belles paroles. La famille de la mariée ne semblait pas autant ravie par ces déclarations. Le Roi de Carmélide maugréait dans sa barbe et tapait du pied. Un païen reste un païen. Les paroles des chrétiens ne valaient rien, et le Roi de Carmélide ne se laisserai pas duper. Il cracha derrière son épaule, ces Dieux à lui maudissaient déjà cette union. Mais pour le pouvoir, il fallait faire des sacrifices, même si c'était sa fille qu'il déposait devant l'autel du jugement. C'était elle qui subirait les conséquences de l'avarice de ses parents...
« Vous pouvez embrasser la mariée. » Le prêtre Blaise frappa dans ses mains joyeusement. 
« Hein ? Quoi ? »  Demandèrent à l’unisson Arthrhy ainsi que le père de l’épousée. 
« Bah, c’est dans le livre, il faut que… »
« Devant tout le monde ? » Le Roi s’exclama, le bout des oreilles rouges, et il essaya de toutes ses forces de ne pas prendre compte du fou rire de Léodagan.
« Bah Sire… C’est pour prouver que votre amour est — »
« Ah non, ne commencez pas ! Bon bah… »
Arthrhy ne savait plus où poser son regard, déconcerté, il marmonna une insulte envers le prêtre, ou Dieu, ou peut-être lui-même. 
Ghenifar tourna la tête vers ses parents, cherchant une réponse auprès d’eux, mais son père se tenait les côtes pour ne pas rire, sa figure transformée par une grimace. Sa mère, avec une discrétion immense, murmura de sorte que tous les invités pouvaient l’entendre « Feumaidh tu pòg ris  ! » Ghenifar était rouge jusqu’à la racine de ses cheveux. 
Arthrhy prit les mains de sa femme dans les siennes. Ce n’était qu’un baiser, rien de bien compliqué. Il avança légèrement son visage vers elle, et il avait l’impression que son cœur tremblait. C’était elle qui franchit la dernière limite, un peu brutalement, leurs bouches se rencontrèrent, comme un choc. Le monde se mit à gronder des hurrahs et autres acclamations des invités. Ghenifar sentait le soleil fondre dans son ventre et l’irradier de lumière et de bonheur. 
Arthrhy s’éloigna rapidement sans considérer celle qui venait de devenir sienne, son visage fermé dans une expression rude. Il gagnait un royaume, un peuple obéissant et soumis à son pouvoir indiscutable. Son destin était lancé, et pourtant il était vaincu. Il avait perdu. 
Elle le suivit du regard, interdite devant l’autel, son bouquet à la main, ses rêves plein les yeux. Elle comprit sa place : aux premières loges du début d’une tragédie. 
Les paroles du prêtre résonnaient dans sa tête comme un avertissement, un oracle ombrageux. Les dés étaient jetés ; elle eut comme un vertige, au fond d'elle-même, elle sombrait. Elle devait enterrer cette enfance candide et son adolescence naïve, pour devenir Autre. Elle s’était liée à un homme, le peuple voulait d’elle la bénédiction de porter ses héritiers, cette figure fidèle et inébranlable aux côtés d’un roi tout puissant. Voilà son rôle, épouse et mère. Un devoir qui lui semblait effroyable, impossible. Le monde comptait sur elle pour accomplir une tâche épouvantable et colossale. Elle prit une profonde inspiration, essayant vainement de calmer les battements hystériques de son cœur. Elle savait ce qui l’attendait désormais. 
La nuit de noces. 
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mytherbalegwladys · 1 year ago
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Phase 7 (2022-2023): En Avril 2022, Chel et les Gorillaz partent pour aller au manoir Silver Lake à Los Angeles et pour créer un nouvel album. Pendant ce temps, Murdoc s'intéresse de plus en plus à l'occultisme et fonde finalement une religion axée sur le surnaturel, surnommé "The Last Cult". Ils n’étaient pas très enthousiaste mais n’y pensaient pas beaucoup. Chel obtient le rôle de "Ange Gardienne" pour surveiller sa bande et espionner les alentours. En 2023, Murdoc rencontre une jolie femme nommée Moon Flower qui s'intéresse à Stuart. Chel a un mauvais pressentiment, alors elle s'est déguisé en membre des Forever Cult pour l'espionner. En suivant les "Forever Cult" dans un studio de film abandonné, elle découvre avec effroi que Stuart est destiné à être sacrifié. Une prophétie raconte que si l'ange gardien sauve l'élu, elle sera son épouse. Murdoc fait tomber accidentellement son essence dans la gueule du monstre. Celui-ci explose et les membres du Forever Cult se sont transformés en cendres lorsque le cycle a été brisé. Alors que la police arrive sur les lieux du crime, Chel trouve un garçon de 3 ans blessé dans une cage. Il a des allures d'oiseau, mais des dents pointues comme moi et des yeux noirs comme 2-D. Il a aussi un geai bleu nommé Bluey avec lui. Elle emmène l'étrange enfant qu'elle nommé "Birdboy" à l'hôpital où elle retrouve Stuart, Noodle, Russel et Fify. Chel comprend que Birdboy était la mascotte des Forever Cult qui l'avaient maltraités pour avoir désobéi. Murdoc arrive et retrouve Moon Flower en l'embrassant. En allant dans la forêt, Chel découvre un puits rempli de sang des licornes et voit une sorcière-strige avec un collier en or. Cette dernière réanime les morts en les plongeant dedans. Les zombies aux allures de chouette qui avaient tués les parents de Chel sont en réalité des striges revenues à la vie par ce puits. Chel avait vu que la sorcière-strige a ramenée ses anciens amis à la vie avec l'aide du puits de la licorne, puis elle les a fusionnés avec quatre démons: Lloyd possédé par Amdusias (démon-licorne), Mona possédée par Forneus (démon-sirène), Pingo possédé par Andras (démon-chouette) et Darla possédée par Belzébuth (démon-insecte). Une fois qu'ils sont partis, Chel détruit le puits de la licorne avec un sort enflammé. Craignant que Phenex se réveille en elle encore une fois, elle s'enfuit à toute vitesse. Après que Chel a expliqué la situation, Russel a analyse le sang du garçon-oiseau. 2-D et Chel sont les parents biologiques de Birdboy, et celui-ci est heureux de les avoir enfin trouvés. A la place de The Getaway Shows annulé, 2-D et Chel se marient dans la cathédrale Notre-Dame-des-Anges où tous les amis des Gorillaz et même Karen, Léa et Auk sont réunis. Après le mariage, ils espèrent vivre dans le bonheur en famille. À peu près au même moment, la police de Los Angeles a émis un mandat de perquisition au manoir Silver Lake, laissant aux membres du groupe d'autre choix que de fuir à New York où ils ont récupéré de faux passeports auprès d'un vieil ami de Murdoc avant de se rendre à Mumbai.
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arypurple · 1 year ago
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Ruki Mukami
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Nom: Mukami.
Prénom: Ruki.
Parents: ???
Âge: 18 ans (physiquement)
Race: Vampire (humain de naissance)
Taille: 1m80
Date de naissance: 24 avril.
Signe astrologique: Taureau.
Nourriture favorite: Soupes.
Hobbie(s): Puzzles.
Physique: Ruki est un jeune homme avec de courts cheveux noirs ébouriffés colorés avec du noir sur le dessus et du blanc sur les pointes. Il a les yeux gris bleus et aussi trois piercings noirs sur son oreille droite. Ruki a deux grandes cicatrices sur son dos depuis son enfance. Il porte des colliers de toiles noires sur son cou. On le voit souvent porter un livre sur sa main droite. Il porte habituellement une veste grise avec une chemise noire à manches longues et porte un pantalon noir et une ceinture marron. Ruki porte parfois une chemise marron à manches longues avec un imprimé papillon noir sur le côté inférieur gauche et le porte avec un pantalon noir et une ceinture noire. Il porte les colliers de toile noirs avec les deux tenues.
Caractère: Il a toujours un sourire intimidant sur son visage assorti d'un ton calme, mais a également un sens de la brutalité qui peut être ressenti dans ses mots qu'il emploie. Sans se salir les mains, Ruki interagit avec les autres comme un Do-S militaire cruel (sadique extrême). Ayato a tendance à se moquer de lui pour ses manières intellectuelles parfois forcées. Il traite les humains comme du bétail car il a été traité ainsi par les adultes les plus forts de son orphelinat.
Histoire: Avant d'être transformé en vampire, Ruki était un humain né dans une famille riche. C'était un petit garçon gâté qui faisait partie de l'aristocratie et qui trouvait également amusant de traiter les autres avec sévérité et sadisme. Le père de Ruki, une personne généreuse et gentille, n'était pas doué pour la gestion de son entreprise / argent et a fait faillite. Il a découvert la faillite de son père quand il a été réveillé par le bruit des domestiques qui fouillaient la maison pour des objets de valeurs. Quand il a tenté de les arrêter, ils se sont regroupés pour battre Ruki pour toutes les choses cruelles qu'il leur a faites en parlant de l'état de sa famille. Ils lui ont même dit que sa mère s'était enfuie avec un amant secret, ne lui laissant qu'une lettre qui disait qu'elle l'aimait. Après le passage à tabac, Ruki est allé dans le jardin pour voir que son père s'était pendu. Il resta quelques temps dans la maison familiale, espérant que sa mère reviendrait (il se demanda comment sa mère pouvait dire qu'elle l'aimait si elle le laissait derrière, ce qui affectera ses problèmes de confiance envers les femmes et leur capacité à aimer) avant qu'il abandonne pour vivre à la rue, raillé par un autre aristocrate avant de finir a l'orphelinat, maltraité par les autres enfants et le gardien car il était un ancien aristocrate avec une mauvaise attitude. Azusa, Kou et Yuma étaient les seuls enfants qui lui étaient décents et ils finirent par concevoir un plan pour échapper à leur "Enfer". Même si le plan avait bien fonctionné, ils ont été poursuivis et capturé, et la plupart d'entre eux ont été abattus. Bien que Ruki ne se soit pas fait tirer dessus, il a été marqué au dos comme du bétail. Comme il croyait être au plus profond de la rage et du désespoir du monde, Karlheinz apparut et a offert aux quatre enfants de devenir des vampires afin de se venger du monde qui les a privés de tout, s'ils acceptaient de le servir. Ils sont devenus des vampires et Karlheinz a choisi Ruki pour être le cerveau du groupe, s'assurant qu'il était bien éduqué et capable de diriger ses "frères". Le plan détaille une fille humaine "Eve" avec le cœur de la fille du seigneur démon. Le sang de "Eve" choisirait un "Adam" qui serait capable d'obtenir le pouvoir de contrôler le monde, et leurs descendants changeraient le monde. Ruki s'est vraiment senti redevable à Karlheinz, alors il a travaillé pour lui, faisant ce qui était nécessaire pour l'aider à compléter ce plan.
Bonus:
Il est droitier.
Sa taille de pied est de quarante-trois.
Le livre qu'il lit toujours est un souvenir de son père.
Son intérêt récent est de faire des plats originaux ou des recettes.
Il déteste les aliments et les boissons à saveur forte.
Il sait cuisiner et sait même flamber.
Il sait comment monter à cheval.
Il parle couramment le nordique et maîtrise l'anglais.
Dans sa Brute End dans Dark Fate, Ruki et Yui ont un fils nommé Adam. Plus tard, Adam semble être un Premier Sang et le fils de Shin.
Dans le dix-septième épisode, il est montré à lire The Catcher in the Rye.
Chanson thème: 🎵
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malevolat · 1 year ago
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Elle était allongée sur le côté, les jambes repliées et épilées. Sa jupe à longueur de genoux recouvrait ses cuisses musclées sans faire le moindre pli comme si, malgré la chute sur la route, malgré la douleur de son ventre déchiré par le métal et la panique probable de ces instants d'agonie, elle avait tiré sur le tissu. Son sac de Skaï marron avait glissé sur un amas de détritus. Sa main distinguée portait une bague de perle de famille et une autre de pacotille. La plaie de son ventre se devinait sous la large tache couleur brique qui maculait son corsage blanc. Un fragment de fer était encore accroché au tissu de Nylon.
Il y avait une autre tache, violette, sur le gravier. Son sang avait séché, mais pas son mystère. Sa bouche légèrement ouverte, ses yeux enfouis dans le doux de son bras au niveau du coude, l'éternisaient en un songe. Elle avait la trentaine, n'en paraissait pas plus. Son visage démaquillé par la poussière conservait, malgré sa pâleur, la grâce d'une personne joyeuse. Elle portait d'élégantes chaussures en cuir véritable à talons plats, un ruban noir et bleu nuit pour retenir des boucles châtain. Elle faisait partie d'un groupe de trois ou quatre autres personnes surprises par l'explosion d'une roquette. On en avait parlé la veille. Elle avait été oubliée, paisiblement dissimulée par les décombres.
Jean Hatzfeld - L’air de la guerre Sur les routes de Croatie et de Bosnie-Herzégovine
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r3d-spirit · 1 year ago
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Chapitre 2 - Asphaël
Son père se planta devant le jeune homme en l'apercevant. Il le dévisageait de la tête au pied, tendu. Le père des De Villier était un homme grand, austère aux yeux si bleus et si froids qu'ils semblaient vous pénétrer jusqu'à votre âme. Il avait toujours été froid, désagréable au mieux et cruel au pire; dans sa maison c'était la loi du plus fort qui régnait, et si ses enfants étaient faisaient preuve de faiblesse il prenait un malin plaisir à les endurcir.
Le jeune homme baissa les yeux sur la ceinture de son père en voyant la main de ce dernier s'approchait de la boucle. Il était comme figé. Cette ceinture il la connaissait très bien. Elle avait fouetté, brûlé, arrachait son dos maintes fois. Jusqu'au sang et jusqu'à que la punition soit gravée dans sa peau, comme des mots qui vous tailladeriez le corps.
- Pourquoi tu as le visage en sang ?
Son père venait de parler, sèchement. Il sursauta en l'entendant, de manière impassible, presque invisible car si on le voyait encore faible..
- Une dispute avec Léandre, répondit il hésitant.
Un léger blanc s'installa, toujours scruté, le jeune homme décida de tenter une diversion.
- J'ai les résultats de mon bac blanc de français. J'ai tout réussi, ajouta-t-il en sortant la copie de son sac. Voilà, la note et l'appréciation.
Son père lui arracha la feuille des mains. Il y jeta un bref coup d'œil avant de brusquement la froisser et l'écraser par terre.
- Tu as beau avoir de belles notes ce n'est pas impressionnant. Tu étais à quelques points de la perfection et tu as échoué.
Le ton commençait à monter, grondant et terrifiant. Chaque mot était une lame tranchante pour le cœur de cet enfant qui avait fait tous les efforts pour en arriver là.
- Ce n'est pas ça le plus gros problème. C'est que tu t'acharnes pour rien. Tu es incapable. Complètement incapable. Tu t'es déjà regardé ? Pitoyable comme ça. Tu n'as aucun charisme, aucune assurance. Tu es complètement dénué de force mentale ou même physique. Cela fait bientôt 17 ans que ton frère te frappe et tu n'as toujours rien dit. Tu es juste trop faible. Et tu le sais.. Tu le sais qu'il n'y a pas de place pour les gens faibles ici ! Tu es une véritable honte ! J'aurais préféré que ta santé fragile l'emporte lorsque je t'ai donné tous ces coups et que je n'ai plus à faire avec toi aujourd'hui. Mais même ça tu n'en es pas capable ! Quel déshonneur ! Vas-t'en. Je ne veux plus te voir avant le dîner.
Le jeune homme tremblait, retenant ses larmes de toutes ses forces. Il s'enfuit immédiatement dans sa chambre, anesthésié de toutes douleurs physiques tant les mots avaient été durs.
La suite de la soirée avait été un calvaire. Lors du repas son père s'était aperçu que le Christ du salon manquait. Et pour cette petite statue en bois, pour ce simple signe religieux alors qu'il y en avait bien d'autres dans la demeure, le chef de famille était dans une colère terrible.
Léandre l'avait aussitôt désigné coupable. Il avait tenté de se défendre de ces accusations. Mais finalement ce qui devait arrivé était arrivé : chacun des deux garçons avaient été punis. Un vingtaine de coups de ceinture avait été donnée pour chacun. Lacérant leur dos, ouvrant leur peau sous la force de la flagellation. Léandre l'avait regardé avec une telle colère, comme si les choses étaient de sa faute. Puis tout le monde était parti se coucher.
Le voilà donc dans ses chambres roulé en boule sur le sol le corps brûlant et saignant.
Les larmes s'étaient tarit. Ses yeux étaient secs et piquaient. Ses mains se refermerent sur ses plaies, ses doigts s'enfoncèrent dans la chair à vif et le sang gicla brièvement. Son visage était impassible, comme sans douleur. Il était complètement vide, presque mort. Sans aucune émotion ou pensées, il se relèva. Il marcha jusqu'à sa salle de bain. Il regarda l'intérieur, toujours aussi absent. Il ouvra le robinet du lavabo et fit coulé l'eau. Il attendait, planté debout à regarder le lavabo se remplir. Et lorsque c'était suffisamment plein, machinalement.. il plongea sa tête dedans. Ses yeux étaient fermés. C'était le bon moment. Cette torture allait finir. Tout ça n'existerait plus. Il, n'existerait plus. Loin de cette famille sadique, loin de son école violente. Loin de tout, il allait se laisser mourir. Il arrêtait le combat. Il n'était rien et personne ne l'aimait non plus. La vie n'était que trop pénible.
Et plus les secondes passaient, plus il avait la sensation de s'endormir. Doucement, très doucement. Jusqu'à qu'un ange, cet ange apparaisse là parmi les nuages dans la lumière divine.
- Asphaël.
L'ange avait parlé.
Sa voix n'était pas douce mais elle était claire, tranchante comme la vérité.
Il désigna le jeune homme du doigt. Ses yeux plantaient dans les siens.
- Asphaël, répéta-t-il. Tu es Asphaël.
Et soudainement ses yeux s'ouvrirent, alors encore la tête dans l'eau. Il se relèva hors du lavabo violemment, à bout de souffle. Complètement haletant contre le mur, le visage trempé, il était parfaitement réveillé mais complètement ailleurs. Il avait la sensation d'avoir vécu une véritable révélation.
Il regarda paniqué autour de lui, d'où avait bien pu venir cette..vision inexplicable ? Et c'est tournant la tête qu'il remarqua que ses blessures étaient miraculeusement soignées. Il passa la main dans son dos, tout était lisse et doux comme de la soie. Il caressa son visage, ses lèvres enflées et son arcane saignante avait disparues. Et à la place..
Il jeta un coup d'œil au miroir. Et là dans la glace, il vit l'ange de sa vision. Il se regarda minutieusement. Son visage fin et parfait, sa peau porcelaine légèrement rosée, sa chevelure blonde et longue, ses longs cils blonds foncés et ses yeux..d'un bleu absolument.. glaçant. Son regard était terrifiant.
Il posa le doigt sur son menton, c'était bien lui dans le reflet. Il était abasourdi. Comment avait-il pu ne pas remarqué plus tôt qu'il était aussi beau ?
La réponse lui arriva bien trop tard : c'était lui l'ange de ses visions et de ses rêves. Comme il avait été bête de ne pas l'avoir remarqué ! Même si il avait toujours évité les miroirs, il aurait pu réaliser !
Il commença à admirer chaque détail de son reflet. Il était d'une telle perfection.. comme si la grâce divine l'avait béni.
Étrangement il se sentait tellement confiant.. il était superbe. Les gens l'admireraient forcément avec un tel physique, et le craindraient tout autant avec un tel regard.
Sa main se posa sur son coup. Il sentit une mince chaîne.. Ses doigts glissèrent le long du métal froid, jusqu'à la croix qui y était accrochée. Il repensa à toutes ses messes et toutes ses prières. Et une rage intense parcouru son corps. Quand est-ce qu'il avait été aidé par le ciel pendant toute la misère qu'il vivait ? Les prêtres étaient achetés par son père ! Les sœurs étaient elles aussi obéissantes à l'argent ! Tout le monde savait, mais personne ne l'avait aidé. Dieu.. comment pouvait il laisser un enfant dans une famille comme ça ? Où était sa bienveillance ? Où était l'aide donnée aux innocents ? Même sans l'aide, il n'y avait jamais, JAMAIS, eu de châtiment ! Les puissants continuaient à faire souffrir les plus faibles. Encore et encore. Où était la justice divine, hein ? Où était Dieu quand on l'avait humilié, frappé, laissé pour presque mort dès le jeune âge ?! Il n'y avait pas de justice ! C'était des mensonges ! Il n'y avait rien ni personne !
Sous la colère, il arracha brutalement sa chaîne et fulminant il attrapa les deux extrémités de la croix puis donna une puissante impulsion.
Un bruit métallique résonna dans la pièce. Un morceau d'or vola contre la fenêtre, laissant une légère fissure sur le verre.
Elle était cassée,
La croix.
Celle pour qui il s'était fait tant insulter.
Celle pour qui il s'était fait tant battre.
Celle pour qui il était une honte.
Celle pour qui il s'était agenouillé et s'était soumis.
Plus jamais il n'allait se soumettre. À personne. À son frère. À son père. Et même pas à Dieu. Désormais, il allait être la Justice. Il allait écrire l'Histoire. Personne ne l'oublierait. Personne ne s'en tirerait à bon compte. Tout le monde payerait.
Il était un ange,
Son propre ange.
Il était Asphaël.
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divide-et-impera-rpg · 1 year ago
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Depuis 1989 et le retour de la monarchie en France, la maison de Bourbon possède le pouvoir afin de préserver la paix entre sorciers et non sorciers. Cette monarchie de nouveau insérée au sein du pays instaure une nouvelle façon de vivre pour les français. Ils se retrouvent de nouveau hiérarchisés en fonction de leur titre, si dans un premier temps les membres de la famille royale n’en profitent pas, il semblerait que les temps changent. C’est ainsi que vous trouverez à la suite la liste des personnages de la famille royale jouables sur le forum.
maison de bourbon
Héritiers du roi soleil, la famille de Bourbon a fait partie des premiers partisans d’un retour au calme suite à la guerre civile magique et celle avec les moldus. Sachant parfaitement qu’ils pouvaient acquérir une partie de la société magique à la cause, ils se sont liés aux Flamel les seuls pouvant leur permettre d’accéder au trône. Récupérant la couronne en 1989, suite au référendum magique et moldu, ils gouvernent d’une main de maître, imposant en délicatesse certains changements. Leur ambition étant de reprendre la place que leur famille possédait, il souhaitent revenir vers une monarchie absolue, mais cela risque de se compliquer par la suite.
Première Branche † Alphonse de Bourbon, 78 ans (né en 1945 - décédé en 1986) X Carmen de Bourbon née Martínez-Bordiú y Franco, 76 ans (née en 1947), reine mère. X ♔ Henri de Bourbon, 58 ans (né en 1965), roi de France (PNJ du forum) X Charles d’Orléans, né de Bourbon, 55 ans (né en 1968) Monsieur. X Claude de Savoie, née de Bourbon, 50 ans (née de 1973) ➜ Voir la famille de Savoie. Deuxième Branche X ♔ Henri de Bourbon, 58 ans (né en 1965), roi de France. (PNJ du forum) X ♕ Sybilla de Bourbon, née de Grèce, 58 ans (née en 1965), reine de France. V Louis de Bourbon, 25 ans, (né en 1998), dauphin de France. V Anne de Bourbon, 23 ans (née 2000), princesse de France. V Antoine de Bourbon, 20 ans (née en 2003), prince de France. Troisième Branche X Charles d’Orléans, né de Bourbon, 55 ans (né en 1968) Monsieur. X Laetitia d’Orléans, née de Nassau, 54 ans (née en 1969) Madame. X Emilien d’Orléans, 30 ans (né en 1993).
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sango691-fan-hl · 2 months ago
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Chapitre 06 : Achats et Baguettes - Part 4
“À présent, suivez-moi. Cherchons la baguette idéale, voulez-vous ?” D’un geste de main, le vendeur guida les jeunes à le suivre dans la boutique pour trouver une baguette digne des jeunes sorciers. Helena poussa son frère pour qu’il passe en premier afin de voir comment se passe le déroulement. “Hmmmmm, Non, non , non pas toi… Hmm. Non. Ah, oui… oui. Un cœur puissant, 26,6 centimètres.. ça peut marcher. Tenez, essayez donc celle-ci.” tendit la première baguette qu’il sortit de sa boîte verte envers Nolan. “Allez-y agitez-la !” Le serpentard tenta un premier coup d'agitation de sa baguette aussi excitée de voir l’effet mais la baguette ne fit qu’une brève étincelle pas très convainquant. “Hm, c’est étrange. Essayez encore. Allez-y, agitez la vraiment.” redemanda Ollivander au garçon de recommencer mais en étant moins timide. Et cette fois, le serpentard perdit sa baguette qui fit jaillir des explosions feux artifices avant de retourner dans la boîte d’origine. “Allons bon…Eh bien, ça ne fonctionne pas du tout. ( rire) Nous allons trouver. Pas d'inquiétude.” rassurant le vendeur en cherchant une autre baguette possible.
“Hmmmm… Non, pas toi. Ah, peut-être, oui… Oui, un bois rare, 35 centimètres, cœur de dragon. Essayons celle-ci pour voir. Je sais que la plupart des Drakes sont liés aux baguettes avec un cœur de dragon. Donc peut-être …” Le sorcier donna une nouvelle baguette à tester. “Ah ! …Oh! Oh!, bon sang… Bonté divine. Oh!”  Malheureusement la baguette n’était toujours pas la bonne, le sorcier donna un coup baguette rapide pour stopper la bazar provoqué par la magie avant de remettre en ordre.
“Celle-ci n’a plus qu’à regagner l’étagère. (soupir) La démarche est plus compliquée que je ne l’avais imaginée. Comme c’est curieux.” Connaissant bien la famille Drake, le sorcier pensait rapidement trouver la bonne pour le jeune homme. Puis il pensa aux nombreuses baguettes possible en regardant bien Nolan et en écoutant les baguettes. Mais il se rappela une baguette particulière qu’il avait fait lors de ces jeunes années sous la demande d’un autre membre de la famille Drake. C’était curieux car il pensait que Duncan Drake viendrait la prendre mais celui-ci a demandé de la garder de côté pour une personne particulière. Et depuis, la baguette attendait longuement dans l’étagère jusqu’à se faire oublier. “Où es-tu ? Ah! Peut-être que…Ah! Elle était perchée. Oui, je crois que tu seras la bonne. Allez-y, prenez-la.” M.Ollivander chercha la baguette qui était perchée un peu plus haut dans les étagères, d’un coup baguette il parvenait à l’attirer avant de se rappeler les détails de la baguette. “Ah, un autre cœur de dragon mais celui-ci est très rare. Et les baguettes qui en contiennent ont un grand sens de l’initiative et sont les plus puissantes, et elles apprennent très vite. La baguette fait 36 centimètres et son bois provient d’un chêne rouge. Alors qu’en dites-vous ?” Il ouvrit la boîte montrant une magnifique baguette avec le manche en forme de dragon d’un noir nuit avec une suptile nuance de bleu qui crachait du feu beu. Les ornements d'or et d’argent qui illustraient la créature de feu avec un travail remarquable, des petits détails qui rendaient le manche de la baguette magnifique. Les yeux du dragon était bleu emeraude, on avait l’impression qu’elle changeait de couleur.
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Après avoir pris la nouvelle baguette, Nolan ressentit un genre de vibrance ardente en écho avec sa magie en parfaite harmonie comme d’une clé qui déverrouille le flux magique. La pointe de la baguette se mit à briller et des flammes jaillissaient de sa baguette formant un dragon qui tournait autour du garçon dégageant une forte chaleur qu’on pourrait penser que Nolan allait se faire réduire en cendre ne fut pas le cas. Le serpentard trouva la chaleur de la flamme stimulante et non brûlante avant de disparaître. Pendant un instant l’esprit du jeune sorcier se retrouva dans un autre lieu, un genre de caverne de montagne avec une ville creusée dans la roche, il se trouvait sur la grande place royal dont on pouvait admirer l'étendue de la ville. Puis le serpentard fit face à dragon bleu nuit dont les flammes bleu s'échappaient de sa mâchoire avant de s'approcher du garçon et faire front contre front. Les battements du cœur du dragon résonnaient dans les oreilles ainsi leur deux cœurs battaient en symphonie. “Je t’attendais Nolan.” La voix était claire d’un homme qui résonnait avec les murmures des autres voix. Il y avait quelqu’un derrière lui quand Nolan voulu se retourner pour voir la personne, il fut coupé avant de retrouver son esprit dans la réalité.
Part 5 -> ici
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raimeiha · 4 months ago
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Sirius Kyros
34 ans || 30 mai Mesure 1 mètre 85
Conseiller de la reine Aeris || Chevalier et invocateur
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La famille Kyros a toujours été au service de la famille Kalon. C'était donc une évidence, pour lui, de prêter allégeance à la jeune Aeris lors de sa cérémonie de passage à l'âge adulte.
De son enfance à son adolescence, il a étudié à l'Académie prestigieuse du Royaume voisin et en a été diplômé. Là-bas, ses professeurs ont décelé en lui un certain don pour les invocations. Ils l'ont donc entraîné jusqu'à faire de lui un excellent invocateur, lui permettant ainsi d'exceller tant au corps à corps qu'au combat à distance, bien que cela lui demande beaucoup d'énergie.
Lors de la chute de la famille Kalon, il a réussi à sauver Aeris et s'est enfui avec elle. Ils ont changé de Royaume et, ensemble, ils ont monté le parfait coup d'état et ont repris le trône sur lequel un tyran était installé depuis bien trop longtemps.
Désormais, il épaule Aeris lors des réunions et la conseille. Il est toujours avec elle, où qu'elle aille. Ils sont si inséparables que des rumeurs ont commencé à circuler à leur sujet. Beaucoup sont persuadés qu'ils ont une relation secrète.. alors qu'il n'en est rien.
Sirius est une homme très sérieux qui a la tête sur les épaules. Il est très loyal et ne trahirait les siens pour rien au monde. Il peut parfois perdre son sang froid et se montrer plus menaçant et violent, surtout quand il ressent une menace ou quand il fait face à un ennemi.
S'il avait de longs cheveux noirs jusqu'à encore récemment, il a décidé de les couper car ils le gênaient trop. Il possède aussi des yeux gris foncé, l'un d'entre eux changeant de couleur pour devenir bleu dès qu'il utilise un sort d'invocations.
Son visage est marqué par de nombreuses cicatrices, souvenirs de ses différents combats menés pour sa reine.
Généralement, il porte un uniforme noir pour accompagner la reine ou son armure pour aller sur le champ de bataille. Pendant ses jours de repos, il opte pour des tenues tout de même adaptées à son lieu de vie.
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• Univers medieval fantasy. • Même s'il est toujours avec la reine, Sirius a des collègues qui pourront faire quelques apparitions. • Quelques adaptations peuvent être apportées après discussion.
• Recherches :
- Une reine, princesse ou impératrice alliée à Aeris → Toujours aux côtés de sa reine, Sirius la suit régulièrement. Voilà que, lors d'un bal organisé à Drakonis pour célébrer une nouvelle alliance, il se retrouve seul pendant que la souveraine danse avec quelqu'un d'autre. C'est le moment idéal pour s'approcher et tenter de discuter avec lui.
- Un rival → Bien que la garde royale et lui s'entendent bien, il y a parmi eux quelqu'un qu'il a du mal à supporter. Un homme à peine plus jeune qui lui court toujours après pour s'entraîner avec lui ou pour avoir un duel. Et si Sirius acceptait enfin cette proposition en présence de sa reine intéressée ?
• Apparaîtront dans le RP : Aeris, Valerius.
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comme-du-monde · 9 months ago
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Gadin 14 Missive du légionnaire Q’aa
En mon absolue humilité plébéienne pis en connaissance du risque de châtiment pour parjure, je présente cette supplique au Tribun de la plèbe :
Ha! Tribun!
Aujourd’hui c’t’un grand jour! Pas juste parce que t’as l’honneur de recevoir une lettre du champion Q’aa lui-même, cinquante-deuxième incarnation du grand Fongus, mais aussi parce qu’au moment où tu lis ça, le bienveillant Empire Syeb va avoir fini de reconquérir l’isthme de Khowxyal au grand complet! Loin de moi l’idée de shittalker les messagers impériaux, mais mon escadron est juste trop redoutable; on va trop vite pour les nouvelles, ha!
Ché ben que j’ai pas besoin de me présenter – un plumé aussi haut placé que toi a certainement étudié mes hauts faits dans ses tomes –, mais oui, chu ben celui que tu penses : le Fongus, héros millénaire aux volves séismifères, guerrier indomptable aux spores implacables, à’ hache redoutée de tous les frêles animortels, aux radicelles étendues dins sols des plus silteux aux plus humifères, aux lamelles plus brunes que le ciel coulant, au sommeil démasqué. Pis oui, me su enrôlé dans Helyargotas!
Quand j’ai senti les troupes fouler le sol au nord de Kheleruvuz, j’ai faite comprendre à mes congénères que le serment du premier Fongus m’appelait à sauver l’Empire encore une fois, pis y m’ont accompagné à l’orée pour la cérémonie d’adieu. Ça pleurotait à chaudes larmes, mais chu habitué : à chacune de mes vies c’est la même affaire.
Au campement, le régiment m’a accueilli en grandes pompes, ha! Y’a juste le centurion pis le légat qui ont raté ça. Y’étaient ben enfermés dans leur tente à gribouiller sur des mappes. Des pousseux de crayons, des couards qui connaissent probablement pas la joie de baigner dans le sang de leur ennemi. J’ai vu une plumée noire, avec une boucle de caporale, s’approcher pour me couvrir d’honneurs, mais me su faufilé entre les soldats jusqu’à m’infiltrer parmi les gueux pis les esclaves, question de les inspirer au combat. Peux-tu crère? Moi, le grand Fongus, un simple légionnaire de l’avant-garde, ha! J’ai à peine revu la caporale depuis, a joue tout le temps à son jeu de piécettes avec d’autres officiers dans sa tente.
On m’a refilé une tunique bleu et or, une paire de cnémides, un javelot pis un glaive. Ha! pis des sandales qui, étonnamment, fittaient parfaitement sur mes volves! C’est là qu’y m’ont pairé avec un ti-gars, un fureton qui m’arrive même pas à l’anneau, mais qui en a dedans. Apparemment c’est yinque les furets de bonne lignée qui se ramassent officiers. Le ti-gars, y doit venir d’une méchante famille de pleutres pour s’être ramassé avec les hors-castes…
Y m’a mené à notre foyer pis y m’a présenté mon escadron. J’ai pas niaisé : j’en ai pogné un straight dans l’épaule avec mon javelot, ha! Le pauvre a même pas essayé de se tasser, y s’est juste laissé pieuter avec la surprise dins yeux. Allô les réflexes de combattant! Anyway, après une tite échauffourrée, que j’ai remporté même si j’tais tusseul contre la buns, je leur ai laissé savoir qu’y’étaient toute des mauviettes pis qu’y’allaient se faire trucider à’ première bataille. Tu parles d’un escadron! Une vingtaine d’animortels toute plus frêles pis plus demeurés les uns que les autres. Tsé, du monde pas d’avenir. Ben j’en ai faite ma mission personnelle : transformer c’te gang d’avortons là en escadron de la mort, l’élite des légions syebiennes, ha!
Jour après jour notre régiment a marché pour rejoindre la pointe sud, pis nuitte après nuitte, pendant les quatre semaines que ça nous a pris, je leur ai montré à se battre. Pas un bootcamp expéditif de conscription, là : un vrai training à’ fongienne, pour qui puissent attaquer comme du monde! Le ti-gars nous a même développé des tactiques de combat qui utilisent les avantages de leurs modestes espèces pour mieux me backer. C’est lui qui a eu le flash de me mettre en formation serrée avec les carapacés, ceux qui peuvent garder leur souffle, pour que je puisse disperser mes spores sans endormir mes partners. Pis y’a dû miser gros aux piécettes contre la caporale parce qu’y’a réussi à nous avoir une bébite à ailes tireuse d’élite pour qu’a vienne montrer à nos tarlas à lancer le javelot. C’t’un petit wise, le fureton. Y m’en apprend à chaque jour. Je l’appelle Maitre en joke. C’t’ironique parce que j’ai mille ans de plus que lui, ha!
À travers tout ça j’ai essayé de garder mon identité secrète, mais ha! fouille-moi comment, ça a fini par se savoir. Je peux pas passer un jour sans que mes chétifs me supplient de raconter les exploits de mes anciennes vies. Pis moi, magnanime comme chu, je les honore toujours d’une histoire, comme ch’t’en train de faire avec toi, Tribun. J’ai remarqué que mon centurion pis mon légat ont pas encore écrit à’ capitale, faque je me suis dit qu’y fallait ben que quèqu’un le fasse. Je peux pas trop leur en vouloir : un hamster encore aux couches pis un bourdon né de la dernière miellée… Même pas capable de clipper leurs cnémides tusseuls; y leur faut des assistants. Pas comme le colonel de ma légion, ah ça non! Un trompu à faux, la peau comme du roc, les jambes comme des banyans. Tout un commandant, je dois le dire!
On a rejoint la légion à’ pointe sud Jour-Aube de Semaine-soir. On était dins derniers, suivis de près par un régiment de bossus pis de rongeurs. Le vingt-cinquième régiment est finalement arrivé de Loyokser c’t’aprème : des bébites souterraines pis plus de bébites à ailes. Avec eux, ça fait une légion complète. Le ti-gars arrête pas de répéter que c’pas assez, que l’Empire sous-estime les rampeux, mais y sait pas de quoi y parle, pauvre ti-pitt. Y pense que notre légion est formée de  trois-mille-cent-vingt-cinq soldats. Y’est dins patates, ha! Notre légion c’est trois-mille-cent laquais, vingt-quatre héros underdogs pis un Fongus, champion éternel fort de cent guerres pis cent famines!
Le colonel a lancé l’ordre talleur : on décampe à minuit, parés pour attaquer un premier village aux premières lueurs. Moi je dis on reprend Khowxyal en une semaine, on est aux portes de Fanasis pour la nouvelle année pis dans un mois on assiège Sirań Phi, parole de Fongus, ha!
De rien,
Q’aa, le Fongus
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Cacheté par le Bureau du Tribun, Elurmurd
J5-S4-M1-A4-L2-C20, Ère de Syeb
Traduit de l’hiryal par le Jorneau
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corydon8 · 1 year ago
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LUCRÈCE
POÈTE
Lucrèce apparut dans une grande famille qui s’était retirée loin de la vie civile. Ses premiers jours reçurent l’ombre du porche noir d’une haute maison dressée dans la montagne. L’atrium était sévère et les esclaves muets. Il fut entouré, dès l’enfance, par le mépris de la politique et des hommes. Le noble Memmius, qui avait son âge, subit, dans la forêt, les jeux que Lucrèce lui imposa. Ensemble, ils s’étonnèrent devant les rides des vieux arbres et épièrent le tremblement des feuilles sous le soleil, comme un voile viride de lumière jonché de taches d’or. Ils considérèrent souvent les dos rayés des pourceaux sauvages qui humaient le sol. Ils traversèrent des fusées frémissantes d’abeilles et des bandes mobiles de fourmis en marche. Et un jour ils parvinrent, en débouchant d’un taillis, à une clairière tout entourée d’anciens chênes-lièges, si étroitement assis, que leur cercle creusait dans le ciel un puits de bleu. Le repos de cet asile était infini. Il semblait qu’on fût dans une large route claire qui allait vers le haut de l’air divin. Lucrèce y fut touché par la bénédiction des espaces calmes.
Avec Memmius il quitta le temple serein de la forêt pour étudier l’éloquence à Rome. L’ancien gentilhomme qui gouvernait la haute maison lui donna un professeur grec et lui enjoignit de ne revenir que lorsqu’il posséderait l’art de mépriser les actions humaines. Lucrèce ne le revit plus. Il mourut solitaire, exécrant le tumulte de la société. Quand Lucrèce revint, il ramenait dans la haute maison vide, vers l’atrium sévère et parmi les esclaves muets, une femme africaine, belle, barbare et méchante. Memmius était retourné dans la maison de ses pères. Lucrèce avait vu les factions sanglantes, les guerres de partis et la corruption politique. Il était amoureux.
Et d’abord sa vie fut enchantée. Contre les tentures des murailles, la femme africaine appuyait les masses contournées de sa chevelure. Tout son corps épousait longuement les lits de repos. Elle entourait les cratères pleins de vin écumeux de ses bras chargés d’émeraudes translucides. Elle avait une façon étrange de lever un doigt et de secouer le front. Ses sourires avaient une source profonde et ténébreuse comme les fleuves d’Afrique. Au lieu de filer la laine, elle la déchiquetait patiemment en petits flocons qui volaient autour d’elle.
Lucrèce souhaitait ardemment se fondre à ce beau corps. Il étreignait ses seins métalliques et attachait sa bouche sur ses lèvres d’un violet sombre. Les paroles d’amour passèrent de l’un à l’autre, furent soupirées, les firent rire et s’usèrent. Ils touchèrent le voile flexible et opaque qui sépare les amants. Leur volupté eut plus de fureur et désira changer de personne. Elle arriva jusqu’à l’extrémité aiguë où elle s’épand autour de la chair, sans pénétrer jusqu’aux entrailles. L’Africaine se recroquevilla dans son cœur étranger. Lucrèce se désespéra de ne pouvoir accomplir l’amour. La femme devint hautaine, morne et silencieuse, pareille à l’atrium et aux esclaves. Lucrèce erra dans la salle des livres.
Ce fut là qu’il déplia le rouleau où un scribe avait copié le traité d’Epicure.
Aussitôt il comprit la variété des choses de ce monde, et l’inutilité de s’efforcer vers les idées. L’univers lui parut semblable aux petits flocons de laine que les doigts de l’Africaine éparpillaient dans les salles. Les grappes d’abeilles et les colonnes de fourmis et le tissu mouvant des feuilles lui furent des groupements de groupements d’atomes. Et dans tout son corps il sentit un peuple invisible et discord, avide de se séparer. Et les regards lui semblèrent des rayons plus subtilement charnus, et l’image de la belle barbare, une mosaïque agréable et colorée, et il éprouva que la fin du mouvement de cette infinité était triste et vaine. Ainsi que les factions ensanglantées de Rome, avec leurs troupes de clients armés et insulteurs il contempla le tourbillonnement de troupeaux d’atomes teints du même sang et qui se disputent uns obscure suprématie. Et il vit que la dissolution de la mort n’était que l’affranchissement de cette tourbe turbulente qui se rue vers mille autres mouvements inutiles.
Or, quand Lucrèce eut été instruit ainsi par le rouleau de papyrus, où les mots grecs comme les atomes du monde étaient tissés les uns dans les autres, il sortit dans la forêt par le porche noir de la haute maison des ancêtres. Et il aperçut le dos des pourceaux rayés qui avaient toujours le nez dirigé vers la terre. Puis, traversant le taillis, il se trouva soudain au milieu du temple serein de la forêt, et ses yeux plongèrent dans le puits bleu du ciel. Ce fut là qu’il plaça son repos.
De là il contempla l’immensité fourmillante de l’univers ; toutes les pierres, toutes les plantes, tous les arbres, tous les animaux, tous les hommes, avec leurs couleurs, avec leurs passions, avec leurs instruments, et l’histoire de ces choses diverses, et leur naissance, et leurs maladies, et leur mort. Et parmi la mort totale et nécessaire, il perçut clairement la mort unique de l’Africaine, et pleura.
Il savait que les pleurs viennent d’un mouvement particulier des petites glandes qui sont sous les paupières, et qui sont agitées par une procession d’atomes sortie du cœur, lorsque le cœur lui-même a été frappé par la succession d’images colorées qui se détachent de la surface du corps d’une femme aimée. Il savait que l’amour n’est causé que par le gonflement des atomes qui désirent se joindre à d’autres atomes. Il savait que la tristesse causée par la mort n’est que la pire des illusions terrestres, puisque la morte avait cessé d’être malheureuse et de souffrir, tandis que celui qui la pleurait s’affligeait de ses propres maux et songeait ténébreusement à sa propre mort. Il savait qu’il ne reste de nous aucun double simulacre pour verser des larmes sur son propre cadavre étendu à ses pieds. Mais, connaissant exactement la tristesse et l’amour et la mort, et que ce sont de vaines images lorsqu’on les contemple de l’espace calme où il faut s’enfermer, il continua de pleurer, et de désirer l’amour, et de craindre la mort.
Voilà pourquoi, étant rentré dans la haute et sombre maison des ancêtres, il s’approcha de la belle Africaine, qui faisait cuire un breuvage sur un brasier dans un pot de métal. Car elle avait songé à part, elle aussi, et ses pensées étaient remontées à la source mystérieuse de son sourire. Lucrèce considéra le breuvage encore bouillonnant. Il s’éclaircit peu à peu et devint pareil à un ciel trouble et vert. Et la belle Africaine secoua le front et leva un doigt. Alors Lucrèce but le philtre. Et tout aussitôt sa raison disparut, et il oublia tous les mots grecs du rouleau de papyrus. Et pour la première fois, étant fou, il connut l’amour ; et dans la nuit, ayant été empoisonné, il connut la mort.
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didierleclair · 1 year ago
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LA DÉESSE ANGLO-SAXONNE QUI NE L'EST PAS
LA DÉESSE ANGLO-SAXONNE QUI NE L’EST PAS
Dans la pièce de théâtre Hamlet de William Shakespeare, le personnage Hamlet dit (Acte 1, scène 4), « Il y a quelque chose de pourri dans le royaume du Danemark ». Je suis d’avis qu’il en est de même dans le royaume d’Angleterre.
La ministre de l’Intérieur, Suella Braverman, (dont les parents indiens sont venus du Kenya et de l’île Maurice), a fait des déclarations nauséabondes cette semaine. En effet, la politicienne qui parlait devant un groupe de réflexion à New York a soutenu que le multiculturalisme est un échec en Occident. La raison pour laquelle c’est un fiasco est simple. « (…) because it allowed people to come to our society and live parallel lives in it ». La politicienne ne s’est pas arrêtée en si bon chemin. Elle a déclaré que les immigrants illégaux posaient un risque dans la stabilité et la sécurité du pays d’accueil.
Ces derniers 25 ans, l’immigration a été trop rapide et trop abondante, dit-elle pour enfoncer le clou. Ce flux, conclut-elle, n’a pas tenu compte de l’intégration et de l’impact dans la cohésion sociale. On remarque qu’elle n’inclut pas ses parents dans le lot excédentaire d’immigrants. On peut donc conclure que ses parents venus dans les années 60 faisaient partie d’une vague d’immigrants parfaits. Ainsi, elle sépare le bon grain de l’ivraie. C’est une forme d’eugénisme qui ne dit pas son nom.
Ne voit-elle pas que sa présence au sein d’un gouvernement occidental en tant que ministre de l’Intérieur est une conséquence indéniable du multiculturalisme ? Ou faut-il rappeler à cette enfant d’immigrants que son nom d’origine, Fernandes, ne vient pas des familles anglo-saxonnes qui fondèrent le Royaume-Uni ?
Sans l’acceptation des minorités visibles dans les sociétés occidentales, il n’y aurait pas de Premier ministre d’origine indienne en ce moment en Grande-Bretagne. Rishi Sunak est issu de l’immigration, avec des parents nés tous les deux en Afrique de l’Est. D’ailleurs, les propos anti-immigrants de la ministre révèle un manque criant de gratitude envers les pays africains qui avaient accueilli sa famille.
Comment expliquer ce rejet de soi-même de la part de Suella Braverman ? « Si les immigrants installés en Occident n’arrivent pas à se définir Allemands ou Français ou Britanniques, alors nous avons un problème. » Que fait-elle de la double nationalité? Tous les pays qu’elle mentionne acceptent que leurs ressortissants aient un autre passeport.
Une fois que cela est dit, nous constatons qu’elle vise les immigrants des pays tropicaux. Ceux que la police abat par « erreur » ou ceux qu’on renvoie dans des avions nolisés vers l’Afrique. Pourtant, ces Africains, Latinos ou Antillais sont des citoyens britanniques honorables quand ils savent jouer au soccer (football) ou quand ils finissent parmi les trois premiers aux courses d’athlétisme des jeux olympiques. Je vois ces athlètes brandir fièrement le drapeau du Canada, de Grande-Bretagne ou d’Allemagne en sachant que leur gloire sera écrasée au prochain discours d’une politicienne comme la ministre de l’Intérieur.
Quand Suella Braverman se regarde dans le miroir, que voit-elle? Une déesse anglo-saxonne au sang bleu? Son refus d’accepter qu’être Britannique n’exclut en rien le droit d’appartenir à un autre pays relève d’un complexe d’infériorité pathologique.
Sait-elle combien de fois les immigrants se sentent rejetés dans leur pays d’accueil ? Allumez la télévision et écouter les appels des politiciens à fermer les frontières, à expulser les petites mains qui font marcher l’économie locale.
Tendez l’oreille et entendez les bruits des bottes des néo-nazis devant les parlements occidentaux sans que cela ne fasse sourciller les dirigeants de ces pays. Ces derniers appellent au calme mais ne sévissent guère. Les réactionnaires paralysent les villes, bloquent certains postes frontaliers, brandissent des croix gammées ou des slogans injurieux envers les minorités visibles sans que cela ne les conduise en prison.
Le multiculturalisme n’est pas un échec puisque nous constatons que nos institutions scolaires, nos élus municipaux, même nos gouvernements sont composés de personnes aux origines diverses.
Par contre, les sociétés d’accueil sont en situation d’échec quand il s‘agit de la sécurité et l’épanouissement des minorités visibles dans leur pays. Nous ne pouvons pas être adulés pour nos prouesses athlétiques et vilipendés parce que nos filles portent le voile. Il est inconcevable d’encenser les artistes noirs vendant des millions d’albums et de laisser mourir une jeune femme amérindienne dans un hôpital sous des insultes racistes d’infirmières. On ne peut pas fermer le chemin Roxham à la frontière canado-américaine aux immigrants fuyant la guerre dans leur pays et remplir des avions entiers de réfugiés ukrainiens.
C’est exactement le discours de la ministre Braverman. Elle veut le beurre et l’argent du beurre. L’échec du multiculturalisme est à géométrie variable et toujours en faveur du pays d’accueil. Cette politicienne estime que son gouvernement n’a aucun compte à rendre aux immigrants mais que ceux qui sont acceptés doivent renier leurs origines. Or, ces immigrants contribuent depuis plusieurs décennies à façonner l’Occident. Ils laissent leur empreinte sur tout, aussi bien sur les recherches académiques que les performances artistiques en passant par les progrès scientifiques.
D’autres font un travail que personne ne veut faire. Ils nettoient les rues, gardent et bichonnent les bébés des riches et lavent les vieux grabataires dans les pavillons des soins à longue durée.
Madame Braverman fait partie d’un cercle vicieux qui nourrit la haine et la division entre les peuples. D’une part, l’Occident bâtit des centres de rétention pour expulser les immigrants et d’autre part, cet Occident vend des armes aux pays du Tiers Monde d’où proviennent ces immigrants.
Il y a donc une odeur de putréfaction dans le royaume d’Angleterre et elle se propage partout en Occident, sans montrer le moindre signe de se dissiper.
Didier Leclair, écrivain
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