#lettre au tribun
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Gadin 23 Demande de rĂ©parations, station AĆgzir
En notre absolue humilité plébéienne pis en connaissance du risque de chùtiment pour parjure, nous présentons cette supplique au Tribun de la plÚbe :
Monsieur le Tribun,
En quatre cycles de service, mettons que jâen ai vu des vertes pis des pas mures sâes rails de wagons-barbeaux. Faut dire quâElaos le ConquĂ©rant avait pas mal nĂ©gligĂ© le rĂ©seau, faque Ă lâĂ©poque oĂč jâai commencĂ©, la bĂątisse Ă©tait au mycĂ©lium, littĂ©ralement. Mais quand notre bon Hastorel II a pris le dail, ah ben lĂ tout a changĂ©. Dâun coup, comme ça, le rĂ©seau mĂ©lolonthoferroviaire est devenu une prioritĂ©, pis un petit palefrenier comme moi pouvait enfin avoir les moyens de ses ambitions.
Jâai faite venir les meilleurs Ćufs dâAyampĂŒer pis je me su assurĂ© que nos bĂȘtes auraient des attelages robustes pis des lanternes alchimiques cheloniennes authentiques. LâĂ©quipe que jâai rassemblĂ©e icitte avait rien des colonies de parachutĂ©s sans avenir quâon trouve dins autres rĂ©gions frontaliĂšres. Mon charron Ozu est le meilleur au sud de Loyokser, pis ZargĂŒeth a Ă©tĂ© maitre-lanterniĂšre Ă â gare de Kwan pendant trois lustres. Câtâavec fiertĂ© quâon a servi lâEmpire toute notre vie. Dâailleurs, la feuille de route de la station AĆgzir est irrĂ©prochable ; zâavez juste Ă consulter les registres Ă©comĂ©triques.
â Quâest-ce tu fais lĂ ? ArrĂȘte dây licher le cul pis dis-y!
â Câest bon, Zarg, jây arrive.
Heuheum⊠ChĂ© ben que vous le savez que si je vous Ă©cris, câpour chialer sur quĂšque chose. Câest la nature de votre job, aprĂšs tout. Mais je veux que vous sachiez quâon est full reconnaissants de toute ce que lâempereur a faite pour nous, pis que câest vraiment juste parce quâon est arrivĂ©s au bout du rouleau quâon fait appel Ă vous.
Monsieur le Tribun, la gare dâAĆgzir a besoin dâĂȘtre reconstruite. La plateforme est dĂ©foncĂ©e, on a deux wagons qui ont des porte-lanternes crochis pis un qui sâest faite arracher son balcon arriĂšre, sans compter tous les Ćufs de notre pondoir qui se sont faite Ă©crapoutir. Aussi, nos rĂ©serves de bouffe pis de vin sont Ă sec. En fait, toutes les infrastructures de la rĂ©gion sont dĂ©labrĂ©es. On pourrait accuser les Bifidistes, pis pour certaines stations on aurait raison, mais pas pour AĆgzir. Icitte câpas les insurgĂ©s qui ont ravagĂ© la place, câest⊠câestâŠ
â Ben câest les troupes, tabarnac! Dis-y, que câest les troupes!
â ChĂ© pas, man. Accuser Helyargotas ouvertement, câpas mal lâaffaire la plus antipatriotique quâon puisse faire.
â Antipatrio⊠Mais on sâen cĂąlisse! AprĂšs ce quâyâont faite, faut ben quâyâait une justice!
â Ah parce que tu penses vraiment que ces osties-lĂ vont ĂȘtre trainĂ©s en cour martiale? Yâavait sĂ»rement une couple de lĂ©gionnaires lĂ -dedans, mais câtait surtout des officiers, tsĂ©. Le SĂ©nat va pas envoyer des furets croupir Ă TĂŒitxa juste pour quĂšques inconduites au front.
â Inconduites? Des inconduites! Crisse Jyehi, y les ont violĂ©s pis battus. La moitiĂ© dâentre eux Ă©taient pas reconnaissables.
â ChĂ©, maisâŠ
â Non tu le sais pas. Tu sais rien. TâĂ©tais pas lĂ câte nuitte. TâĂ©tais pas lĂ quand quâon les a dĂ©couverts. Lâodeur dâhĂ©molymphe⊠Câpas toĂ© qui as charriĂ© les corps de tes amis pis de ta famille pour en faire un bĂ»cher derriĂšre la barbeauterie, qui as moppĂ© leur glu pis vidĂ© deux gallons de tĂ©rĂ©benthine dins moppes pour en nettoyer le cauchemar. Câpas toĂ© qui as incendiĂ© une pile de cadavres qui imploraient juste quâon les venge. Ozu a mis le feu Ă sa mĂšre, cĂąlisse! Ozu, couvre tes genoux.
â Non, câest bon Ozu, pas besoin de te boucher les chordotonaux. Zarg va nous Ă©pargner les dĂ©tails.
â Je tâĂ©pargnerai rien. Helyargotas, tu penses quâyâĂ©pargnent quĂšquâun, eux? Non. Faut toute dire si on veut que le Tribun nous dĂ©fende. Faut oser mettre nos bobos Ă vif. La mĂšre Ă Ozu, ben y lâont dĂ©figurĂ©e pis dĂ©membrĂ©e. Câest fucked-up. Pourquoi tu ferais ça au peuple mĂȘme que tâes censĂ© protĂ©ger? Juste parce la soirĂ©e Ă©tait un peu trop arrosĂ©e pis ta peur des ifitserk kicke in? Parce tâes grisĂ© par le speech du centurion pis dĂ©sensibilisĂ© par lâhĂ©catombe de rampeux suâl champ de bataille? Surtout parce tu le sais que tâes au-dessus de la loi pis quâyâen aura pas, des consĂ©quences, pour toi. Une fourmi de plus ou de moins, ça change quoi, si nos nobles soldats rĂ©ussissent Ă reprendre Khowxyal pis Ă ramener des ragzyums Ă Lithakis? Han? Ăa fait juste pas le poids. Sauf si on se met le Tribun de notre bord en y faisant comprendre lâinjustice, si on reste assez crus pour quâyâempathise, si on Ă©panche notre dĂ©tresse sâa page.
Les vâlĂ , les dĂ©tails : lâodeur en dedans me levait trop le cĆur, faque jâai faite les voyages de barouette au bĂ»cher. Câest Ozu qui pelletait les corps. JusquâĂ ce quây pellete sa mĂšre. Ou plutĂŽt la tĂȘte Ă sa mĂšre, qui pendait de son prothorax par un tesson de sclĂ©rite, sans abdomen ni membres ni antennes. Ses mandibules Ă©taient toute dĂ©wrenchĂ©s pis ses yeux crevĂ©s. Son chest Ă©crasĂ© Ă©tait couvert dâhĂ©molymphe coagulĂ©e. On a yinque retrouvĂ© trois de ses bras dansâ place, dĂ©sarticulĂ©s⊠si câtait mĂȘme les siens.
Câest ça quây faut raconter dans notre lettre. Mais toĂ© tu louanges le bon Hastorel en mentionnant quĂšques bris matĂ©riels au passage.
â Ben, ça reste vrai que la station est inopĂ©rationnelle. Yâa pas mal plus de chances que le SĂ©nat vote pour renipper son systĂšme dâapprovisionnement que pour condamner des patriciens. Câest plate Ă dire, mais si on envoie une lettre qui implique un manquement Ă lâhonneur, y vont juste nous dĂ©clarer traitres pis catapulter nos entrailles suâl village.
â Le villageâŠ. On lâa incinĂ©rĂ© hier, le village.
â Coudonc, yâest-tu encore aprĂšs Ă©crire, lui?
â Ben oui toĂ©. Eille le scribe, on te paye pas pour que tu documentes nos ostinades sur ton parchemin! Juste la supplique au Tribun. On a pas de cash pour plus que mille mots anyway.
â Ben voyons, yâĂ©crit encore. ArrĂȘte! ArrĂȘte, sinon tu peux ĂȘtre sĂ»r quâaprĂšs la nuitte que je viens de passer, je me gĂȘnerai pas pour
Le personnel de la station mĂ©lolonthoferroviaire AĆgzir
â
Cacheté par le Bureau du Tribun, Elurmurd
J1-S1-M1-A5-L2-C20, Ăre de Syeb
Traduit de lâhiryal par le Jorneau
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Thibaut-Marc CAPLAIN vs La mafia amiénoise
Madame, Monsieur, Afin de confirmer lâenvoi Ă la PrĂ©sidence de la RĂ©publique, vous devez cliquer sur le lien suivant : xxx Sans confirmation de votre part, le message postĂ© sur le site sera effacĂ© sous 72 heures. âLâoutil Ecrire au PrĂ©sidentPrĂ©sidence de la RĂ©publique ========================================================================================================= Voici, pour votreâŠ
#"Au 3Ăšme Ă©tage#"Les jouets de vos enfants font trop de bruit"#"On ne devrait pas mĂ©langer les noirs et les blancs"...etc... - j&039;explique en boucle que l&039;appt 31 au 81 rue de l&039;O#Afin de confirmer lâenvoi Ă la PrĂ©sidence de la RĂ©publique#APPT 31 80000 AMIENS France +33 6 26 32 28 20 Vous ĂȘtes un particulier Votre sujet : Faire une demande Ă caractĂšre personnel Votre message :#avons contestĂ© tous les dĂ©cisions du Tribunal d&039;Amiens via : - notre Avocat MaĂźtre David DALMAZ - l&039;IGPN qui s&039;occupe actuell#ça pu le nĂšgre"#Ă©tait le lieu de mes studios artistiques Faux expliquer ça en quelle langue ?... Si le Commissariat de Police Nationale d&039;Amiens avait#car : - ma famille a le droit Ă un logement digne (lire et apprendre : Les droits de l&039;homme) - je ne donnerai pas un centime de plus Ă #car sur Amiens#chaque annĂ©e Ă Amiens#de vidĂ©os et d&039;un dossier d&039;Huissier - j&039;explique en boucle que l&039;appt 21 au 28A rue Jean Moulin Ă Amiens#du style "Qu&039;en est-ce que votre tribu et vous allez comprendre qu&039;ici c&039;est LES PIERRES BLANCHES ?"#du 28A rue Jean Moulin Ă Amiens#est un bureau et que l&039;appt 22 au 28A rue Jean Moulin Ă Amiens#et arrĂȘtaient de gober n&039;importe quoi#et du 81 rue de l&039;Offrande Ă Amiens ?... Si vous ĂȘtes intĂ©ressĂ© par ces visites de la rĂ©alitĂ©#et que c&039;est depuis un bureau aussi - j&039;explique en boucle que le 77 route de Paris Ă Amiens#il est Ă©crit : "une commission de personnes indues de leurs petites personnes#il y aura autant : - de Vendeurs de sommeil - de Policiers fachos - de Juges douteux - de Commissions tendancieuses ...bah il y aura des pla#il y juste matiĂšre Ă dĂ©poser plainte contre vous et vos services#J&039;ai reçu le 27 septembre 2024 par courrier postale#j&039;avais oubliĂ© Mme LAVALEE#je dĂ©poserai plainte contre vous et votre comitĂ© juste anti-droit de l&039;homme et anti-constitutionnel. Tant que sur Amiens#Je reviens vers vous pour la XĂšme fois#la lettre de trop qui soulĂšve un niveau de conneries humaines inĂ©galable...voir record total sur le territoire de la France ! Cela fait plus#le Commissariat de Police Nationale d&039;Amiens et le Tribunal d&039;Amiens pour faux et usage de faux Ah oui#le contenu du message que vous avez saisi (validation impĂ©rative via le lien ci-dessus) Votre identitĂ©Â : Monsieur CAPLAIN Thibaut-Marc Vos c#le message postĂ© sur le site sera effacĂ© sous 72 heures. --- Lâoutil Ecrire au PrĂ©sident PrĂ©sidence de la RĂ©publique =======================#les documents...etc... => de nombreux mĂ©dias hallucinent aussi de l&039;ensemble de ces histoires dĂ©biles LĂ
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Bad things that robespierre did.
(I don't know why i don't feel safe by asking this question--)
Well, if weâre gonna speak in those terms, some things off the top of my head go as follows below. I donât know if everyone on here would consider all of them fully âbadâ given the circumstances, so maybe a better way to see it is as âways Robespierre was involved in the period afterwards dubbed âthe terrorâ that are not all as known.â
On May 26, Robespierre, after having refused to for several months, openly called for an insurrection against deputies of the National Convention at the Jacobins â â[âŠ] the people must rebel. This moment has arrived. [âŠ] I invite the people to join the National Convention in insurrection against all the corrupt deputies.â Three days later, on May 29, he repeated this wish â âI say that if the people do not rise in their entirety, liberty is lost.â Two days after that, the Insurrection of May 31 took place, with armed sans-culotte storming the Convention and obtaining the arrest of 29 Girondins. I find it hard to believe Robespierreâs words didnât play a decesive roll for the insurrection to happen when it did.
Robespierre also had a hand in the creation of Desmoulinsâ pampleth Histoire des Brissotins (May 1793), which is another piece essential in the fall of the Girondins. This is proven through the following passage from Lettre de Camille Desmoulins, dĂ©putĂ© de Paris Ă la Convention, au gĂ©nĂ©ral Dillon en prison aux Madelonettes (1793): âThe true origin of the rigor of the Committee towards you, would it be in a very long note, which was printed following lâHistoire des Brissotins, which Robespierre made me cut out?â
On October 29 1793, when the trial of the Girondins had been dragging on for five days, Robespierre proposed that âIf it happens that the judgment of a case brought before the revolutionary tribunal has lasted for more than three days, the president will open the next session by asking the juror if their conscience is sufficiently enlightened. If the juror answers yes, judgment will proceed immediately.â The motion was passed and became essential in getting the 22 Girondins condemned to death the following day. How many others fell victim to it afterwards I donât know.
Robespierre also played an important role in the condemnation of the dantonists, who also got a not so very fair trial before being driven to the scaffold. Iâve already written about the different ways he was involved here.
Robespierre personally wrote to several representatives on mission and encouraged them to be bold when punishing counter revolutionaries in the departments. I donât think such words coming from someone as influencial should be considered insignificant when measuring the repression that was later carried out there:Â
The National Convention, citoyens collegues, witnessed with pleasure your entry into Lyon. But its joy could not be complete when it saw that you at the first movements yielded to a sensibility way too unpolitical. You seemed to abandon themselves to a people who flatter the victors, and the manner in which you speak of such a large number of traitors, of the punishment of a very few and the departure of almost all, have alarmed the patriots who are indignant at seeing so many scoundrels escaping through a gap and going to LozĂšre and mainly Toulon. We therefore wonât congratulate you on your successes before you have fulfilled all that you owe to your country. Republics are demanding; there is national recognition only for those who fully deserve it. We send you the decree that the Convention issued this morning on the report of the Committee (this decreee, which contains the infamous phrase âthe city of Lyon shall be destroyedâ â a slogan which Robespierre himself had come up with). It has proportioned the vigor of its measures to your first reports. It will never remain below what the Republic and freedom expect. Beware above all of the perfidious policy of the Muscadins and the hypocritical Federalists, who raise the standard of the Republic when it is ready to punish them, and who continue to conspire against it when the danger has passed. It was that of the Bordelais, of the Marseillais, of all the counter-revolutionaries of the South. This is the most dangerous stumbling block of our freedom. The first duty of the representatives of the people is to discover it and avoid it. We must unmask the traitors and strike them without pity. These principles alone, adopted by the National Convention, can save the country. These principals are also yours; follow them; listen only to your own energy, and carry out with inexorable severity the salutary decrees which we address to you. CPS decree to the representatives in the newly entered Lyon, written by Robespierre on October 12.
PS â Punish severely and promptly the traitors and royalists, especially the leaders and principal agents of Girondin and counter-revolutionary intrigues. Beware of the marks of patriotism with which they cover themselves, following the example of the traitors of the Convention, who are their models. Only by purging the den of counter-revolution and hypocrisy can you spare the Republic the new disasters with which it is always threatened in the South. Robespierre in a post-scriptum note added to a CPS decree to representatives in Bordeaux written by Billaud-Varennes (in other words something he really wanted to underline for the representatives)
The representatives of the people near the army of Italy and the department of Bouches-du-RhÎne are in charge of these measures: they will have the leaders of the royalist and federalist faction severely punished. CPS decree regarding Marseilles written by Robespierre on November 4 1793
These fears for the suffering public good, which made me decide to come here (Lyon) on your (ton) invitation, were not in vain. Letter from Collot dâHerbois to Robespierre dated November 3 1793. A sign Robespierre played a decisive role in sending Collot to punish Lyon.
Like I wrote in this post, Robespierre and his collegues at the CPS and the Convention were aware of the wholesale repression carried out by representatives on mission like Fouché and Carrier without seemingly trying to do anything about it (so I suppose they accepted what they heard). In fact, none of the decrees recalling the representatives hint that the amount of executions carried out under their stay is the reason for it.
If Robespierreâs role in writing the Law of 22 Prairial is more dubious than what a few historians would have us believe (the only person whoâs involvement in the development of the law can truly be established is Couthon) he was nevertheless the author behind the decree for the Commission of Orange on May 10 1794 (1, 2), a decree that has been accepted as the precursor of the aforementioned law. Like the law of 22 Prairial, the decree made it the duty for the commission to punish âthe enemies of the people,â which it defined as âall those who, by any means whatsoever and with any deeds they may have covered themselves, have sought to thwart the march of the revolution and to prevent the strengthening of the Republic.â The punishment for this crime was always death, and the proof necessary for condemnation âis all information, of whatever nature, which can convince a reasonable man and friend of liberty.â Within 47 days, the commission pronounced 332 death sentences, 116 prison sentences and 147 acquittals.
In April 1794 was introduced a police bureau subortinate to the CPS (Bureau de surveillance administrative et de police gĂ©nĂ©rale). It would appear it was meant to be run by mainly Saint-Just, but that Robespierre took it over when he was away from the captal. Due to Saint-Justâs frequent missions, Robespierre ended up being the actual head of the bureau during two of its three months existence (the notes for the bureau are in SJâs hand from April 23-27, in both SJ and Robespierreâs on the 28th, only Robespierre between April 28-May 31, both on June 1, only Robespierre between June 2-29, both on June 30 and afterwards occasional reports made by either SJ or Couthon). Unfortunately, only one study exists over the bureau, made in 1930 by the historian Arne Ording. It has been digitalized by Internet Archive, but in super poor quality, so you end up having to rely more on what other historians say about it. Which isnât that easy either because they all seem to lay out different numbers. According to Albert Mathiez (1930), Ordingâs study found 464 decrees from the police bureau between April 24 to July 26 (and 1 814 from the Committee of General Security for the same period ) â 58 of which ordered liberations of prisoners and 250 were arrests. Annie Jourdan (2016) too writes that the bureau contained 464, of which 250 were arrests and 295 looked at officials. But she also adds that only a fifth of the judgments were acquittals, and that, instead of April 24, the bureau functioned between May 23 and July 28. According to George Lefebvre (1931), Ording only consulted  121 of the 464 decrees (out of which 55 were either written or co-signed by someone else than Robespierre, Saint-Just and Couthon), making you wonder how the two previous can be sure about what all the decrees contained⊠The same thing is claimed by J.M Thompson (1935) but he also adds that, âout of 775 notes by Robespierre, Saint-Just, and Couthon, only 229 should be found ordering arrest, or reference to the Tribunal, or transference to Paris.â In other words, there would exist more notes than actual decrees⊠The bureau nevertheless makes Robespierre the CPS member to have signed the second biggest amount of decrees ordering arrests and or/transfers before the Revolutionary Tribunal during the period dubbed âthe great terrorâ (30, after Saint-Justâs 35, and yes, I have actually counted the arrests found in Recueil des actes du comitĂ© de salut public to come to this conclusionđ€ŠđŒââïž) and this despite the fact that he was absent for about half of it. I also donât think itâs impossible he was trying to make the Committee of General Security redundant with the help of the bureau, considering he does recommend making said committee subortinate to the CPS in his last speech.
On June 7 1794, a letter signed by Robespierre and BarĂšre ordered Hermann â the chairholder of the Commission of Civil Administration, Tribunals and Prisons and put in first place on a list of patriots with âmore or less talentâ written by Robespierre â to investigate if there were plans for a breakout in the BicĂȘtre prison after having received a warning from one of its inhabitants. Six days later, a CPS decree signed by Robespierre and seven of his collegues ordered 15 inhabitants from said prison to be transferred to the Conciergerie in order for them to come before the Revolutionary Tribunal as soon as possible. It further ordered Hermann to send to the tribunal all other BicĂȘtre prisoners suspected of being part of the same complot. Ten days after that, on June 23, Hermann sent Robespierre a letter in which he suggested applying this procedure to all the prisons of Paris, in order to âpurge the prisons at a stroke and to clear the soil of freedom from these dregs and rejects of humanity.â Robespierre sent the letter back with both his signature and the word approved written on it, together with the counter signatures of BarĂšre and Billaud-Varennes. Two days later on June 25, the CPS confirmed their decision when writing a decree charging Hermannâs Commission of Civil Administration, Tribunals and Prisons âto search in the various prisons of Paris for those who have been particularly involved in the various factions, in the various conspiracies that the National Convention has destroyed, and whose chefs it has punished, those who in the prisons were trustees and agents of these conspiratorial factions, and who were to be the actors of the scenes so often projected for the massacre of the patriots and the ruin of freedom to make it her own. The charge, moreover, of taking, in concert with the administration of the police, all means of establishing order in the prisons.â The decree bears Robespierreâs signature, along with those of ten of his collegues. Finally, on July 5, a CPS decree written by BarĂšre and signed by him, Robespierre and seven others ordered the same commission âto make a daily report on the conduct of the prisoners in the various prisons of Paris, and the Revolutionary Tribunal to judge within 24 hours those who have attempted revolt or excited closure.â This was the solution to the so called âprison conspiracies,â in which on several days, prisoners were brought before the tribunal in big groups to be met with flimsy evidence against them, and where aquittals mostly numbered between about 0-3. In total, 363 people were executed (37 people on June 16, 36 on June 26 (the BicĂȘtre prison), 60 on July 7, 48 on July 9, 38 on July 10, 25 on July 22 (the Luxembourg prison), 46 on July 23 (the Carmes prison), 25 on July 24, 25 on July 25 and 23 on July 26 (the Saint-Lazare prison)) â about 27% of the 1366 official victims of âthe great terror.â Not only that, but among those executed can be found three 16-year-olds, the youngest people to ever have been executed by the Paris Revolutionary Tribunal. As can be seen from the decrees, Robespierre is certainly not the only one who bears responsibility for these executions (the direct orders to immediately send prisoners from the Luxembourg (signed Saint-Just on July 5) and Carmes prison (signed Saint-Just, Carnot, Prieur, Billaud-Varennes, Couthon and Collot dâHerbois on July 20) before the tribunal would for example appear to not have been made by him), but given his closeness to Hermann and the fact he, along with BarĂšre, is the only one to have signed all of them, certainly shows heâs not blameless for what went down. According to J.M Thompson, the prison reports also built on facts reported by the above mentioned police bureau, which, according to him, makes Robespierre bear a double responsibility.
On August 15 1792, Robespierre was the first person to suggest creating a Revolutionary Tribunal, a wish that was fulfilled two days later (1, 2).
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AU POĂTE
(Sonnet)
PoĂšte, ne fais pas cas de lâamour populaire ! Le bruit momentanĂ© des louanges enthousiastes passera ; tu entendras le jugement du sot et le rire de la froide multitude ; mais toi, reste ferme, tranquille, farouche.
Tu es un roi : vis seul. Par un libre chemin, va oĂč tâentraĂźne ton libre esprit, perfectionnant sans cesse les fruits de tes pensĂ©es favorites, ne demandant pas de rĂ©compense pour ton noble exploit.
Elles sont en toi-mĂȘme : tu es toi-mĂȘme ton plus haut tribunal ; plus sĂ©vĂšrement que tout autre tu peux apprĂ©cier ton travail. En es-tu content, toi, artiste exigeant ?
Tu es content ? Alors laisse la foule le vilipender, laisse-la cracher sur lâautel oĂč ton feu brĂ»le, et avec une pĂ©tulance enfantine secouer ton trĂ©pied.
Alexandre Pouchkine
(ĐŃŃĐșĐžĐœ ĐлДĐșŃĐ°ĐœĐŽŃ ĐĄĐ”ŃгДДĐČĐžŃ)
1799 â 1837
Traduction dâIvan Tourgueniev et Gustave Flaubert, parue dans La RĂ©publique des Lettres, 1876, reprise dans Isaac Pavlovsky, Souvenirs sur TourguĂ©neff, Paris, Savine, 1887.
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UNIVERSITĂ DE GREENS RIVER (UGR) âąâąâą
L'écriture des textes avance bien ! Je vous dévoile maintenant le descriptif de l'université de Greens River ! Egalement, vous retrouverez les différents volets proposés par l'UGR, avec ce qu'ils permettent de faire.
Pour Ă©viter d'avoir une population stupide et potentiellement incestueuse (bonjour Alabama), l'Ătat a investi dans le systĂšme Ă©ducatif en laissant les Ă©coles gratuites avant l'UniversitĂ©. Rendu au cycle des Ă©tudes supĂ©rieures, une annĂ©e scolaire est divisĂ©e en deux parties qui sont nommĂ©es individuellement par « session ». Il existe une session d'automne et une session dâhiver. Des bourses sont rĂ©servĂ©es aux Ă©tudiants les plus Ă©rudits et un systĂšme de prĂȘt Ă©tudiant est mis Ă disposition pour les moins fortunĂ©s avec un taux dâintĂ©rĂȘt plutĂŽt faible.
Ainsi, Ă Greens River, on retrouve une petite universitĂ© peu cotĂ©e. Elle a pour principe de disposer de quatre volets peu spĂ©cialisĂ©s : mĂ©diatique, administratif, politique et mĂ©dical. Chaque volet choisi ne vous spĂ©cialise pas suffisamment Ă un programme pour, une fois sortie, ĂȘtre un professionnel. Dans cet Ă©tablissement, vous ne pouvez que faire le premier cycle universitaire, soit la licence, pour ensuite vous diriger vers une autre universitĂ©.
Au niveau du transport, des bus sont mis à disposition pour les étudiants vivant loin de l'établissement (à chaque début de session, vous devrez payer votre forfait de bus peu dispendieux). La notation des devoirs et des examens se fait par le biais de lettres et de signes. De plus, l'université possÚde une petite équipe locale de football, pour ceux qui voudraient faire du sport.
Par ailleurs, lorsque vous recevez votre carte étudiante, vous obtenez quelques rabais intéressants dans les établissements suivant : la boßte de nuit (Highside Town), au cinéma (Highside Town) et au Musée du coin (Rosewood Parkway).
VOLET MĂDIATIQUE âąâąâą
Ce programme a vu le jour grĂące Ă la famille Johns, fondatrice du journal de la ville. Dans ces Ă©tudes, vous apprendrez lâunivers fantastique des mĂ©dias, de la communication, des langues ainsi que des arts. Ă la sortie de lâUniversitĂ©, vous pourrez exercer des professions telles que journaliste, cinĂ©aste, artiste, traducteurâŠ
VOLET ADMINISTRATIF âąâąâą
Celui-ci fut lâun des deux programmes originaux de lâuniversitĂ©. Avec des cours gĂ©nĂ©raux dans lâadministration tels que la comptabilitĂ©, le management, le marketing ou encore les ressources humaines. En choisissant dâĂ©tudier dans lâadministration, vous pourriez travailler comme technicien administratif, devenir entrepreneur, adjoint comptable, gĂ©rant de dĂ©partementâŠ
VOLET POLITIQUE âąâąâą
Câest grĂące au maire dĂ©nommĂ© Thomas Campbell que vous pouvez Ă©tudier la politique. Dans ce programme, des cours gĂ©nĂ©raux sont donnĂ©s comme lâĂ©tude du droit, de la politique ou encore des sciences humaines. En sortant de l'universitĂ©, le monde politique sâouvre Ă vous, tout comme aller travailler dans un bureau dâavocat ou encore en tant que greffier au tribunal du coin.
VOLET MĂDICAL âąâąâą
Ăgalement lâun des deux volets originaux de lâuniversitĂ©, on retrouve dans celui-ci lâĂ©tude de la biologie, de lâanatomie, de la pharmacologie ainsi que les prĂ©mices de la mĂ©decine. Des mĂ©tiers tels que infirmier, ambulancier, analystes en biologie, technicien en pharmacie et bien dâautres s'offrent Ă vous.
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Pourquoi insistent-ils pour normaliser la pédophilie ?
Pourquoi les Ă©lites financiĂšres insistent-elles pour sexualiser les petits enfants dans tous les pays du monde ? La rĂ©ponse est donnĂ©e dans notre rapport de preuves qui dĂ©taille comment la majoritĂ© des Ă©lites ont une chose en commun : elles sont fortement impliquĂ©es dans lâabus organisĂ© dâenfants.
Ceci est confirmĂ© par lâancien directeur du FBI Ted Gunderson, ainsi que par dâanciens membres de lâarmĂ©e, de la marĂ©chaussĂ©e, de la gendarmerie, de la police et des dĂ©tectives. Leurs tĂ©moignages sont rĂ©vĂ©lĂ©s dans ce rapport.
Calin Georgescu, ancien directeur exĂ©cutif des Nations Unies, a tĂ©moignĂ© devant le ComitĂ© dâEnquĂȘte sur les Crimes Internationaux que lâONU est une plateforme permettant aux oligarques criminels de mettre en Ćuvre un agenda nĂ©faste. Le documentaire « Secrets of the United Nations » (voir ci-dessous) rĂ©vĂšle tout cela en dĂ©tails. Ce film est Ă voir absolument pour tous ceux qui veulent comprendre ce qui se passe dans notre monde. Georgescu a Ă©galement dĂ©clarĂ© que les oligarques qui se cachent derriĂšre les Nations Unies sont des pĂ©dophiles. Ne manquez pas de regarder ce filmâŠ
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Le documentaire « Chute de la cabale » rĂ©vĂšle comment des reprĂ©sentants et des militaires des Nations Unies ont violĂ© des milliers et des milliers dâenfants et de femmes dans des pays oĂč ils prĂ©tendaient apporter la paix. Ces sĂ©ries documentaires ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es par un enquĂȘteur plusieurs fois primĂ© et un ancien analyste de la criminalitĂ© financiĂšre de la police nĂ©erlandaise.35 Dans lâĂ©pisode ci-dessous, ils dĂ©voilent la nature extrĂȘmement sombre des Nations Unies et les traces de sang des horribles abus sexuels quâelles laissent dans le monde entierâŠÂ
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De nombreux tĂ©moignages de victimes survivantes et de tĂ©moins oculaires de tous les pays du monde montrent que ces Ă©lites financiĂšres sont profondĂ©ment impliquĂ©es dans des abus sexuels systĂ©matiques sur des enfants.Â
Lâune dâentre elles est lâancien mannequin Nathalie Augustina, dont lâesprit a Ă©tĂ© programmĂ© par la CIA pour servir de chaton sexuel Ă des familles royales, des hauts fonctionnaires et des cĂ©lĂ©britĂ©s hollywoodiennes. Elle raconte son histoire dĂ©chirante dans le livre « Nathalie â Confessions dâun mannequin » (nĂ©erlandais).36
Les rĂ©vĂ©lations de Nathalie ont Ă©tĂ© confirmĂ©es en dĂ©tail par lâancienne juriste Anne Marie van Blijenburgh, qui a tĂ©moignĂ© en 2014 devant le Tribunal pour les crimes commis par lâĂglise et lâĂtat (ITCCS) quâelle avait assistĂ© Ă trois reprises Ă des rĂ©unions au cours desquelles des enfants Ă©taient violĂ©s et assassinĂ©s sur une scĂšne, devant un public composĂ© de reprĂ©sentants du gouvernement, de la magistrature, de lâarmĂ©e, de la police, de lâĂ©ducation, des mĂ©dias, etc. Son tĂ©moignage dâexpert est prĂ©sentĂ© dans notre rapport « Abus sexuels organisĂ©s par des fonctionnaires de haut niveau« .
« Ils veulent avoir accĂšs aux enfants sans ĂȘtre poursuivis »
Nous sommes en contact direct avec plusieurs victimes survivantes de ces pratiques cruelles des Ă©lites. Lâune dâentre elles est une dame du Canada, dont je ne citerai pas le nom pour sa protection. Elle est nĂ©e dans les cercles des Ă©lites et mâa Ă©crit plusieurs lettres. Je partage ci-dessous une partie de ce quâelle mâa envoyĂ©. Veuillez comprendre que, bien que ces informations soient profondĂ©ment troublantes, elles sont confirmĂ©es par des membres du FBI, de lâarmĂ©e, des agences de renseignement, de la police, de la gendarmerie et des marĂ©chaussĂ©es du monde entier, ainsi que par dâinnombrables autres tĂ©moins oculaires, dans le rapport susmentionnĂ©.
« Une enfance typique de cette horreur verra des enfants violĂ©s plusieurs milliers de fois avant dâatteindre lâĂąge de 18 ans. Il sâagit dâun rĂ©seau de culte satanique Ă lâĂ©chelle mondiale. Et ils gagnent une grande partie de leur argent en trafiquant des enfants. Câest brutal. âŠÂ Ils tentent de placer leurs membres au sommet des domaines dans le monde entier. »
Concernant la normalisation de la pĂ©dophilie par le biais du systĂšme Ă©ducatif mondial, ce survivant des Ă©lites mâa envoyĂ© ce qui suit :
Oui, câest un comportement normal dans les sectes. Tout le monde est encouragĂ© Ă avoir des relations sexuelles les uns avec les autres. Les frĂšres et sĆurs entre eux⊠les enfants et les adultes⊠les enfants avec les enfants⊠les enfants avec les animaux⊠tout cela nâest pas seulement encouragĂ©, câest obligatoire. Ils prennent donc le comportement normal dâune secte et essaient de le rendre courant⊠et vous avez tout Ă fait raison⊠ ils veulent avoir accĂšs aux enfants 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour faire ce quâils veulent avec eux sans ĂȘtre poursuivis. »
Un ancien directeur exĂ©cutif des Nations Unies, un enquĂȘteur primĂ©, un analyste de la police, un juriste et un tĂ©moin oculaire, ainsi que plusieurs victimes survivantes, tous disent la mĂȘme chose : les Ă©lites financiĂšres derriĂšre les Nations Unies sont impliquĂ©es dans la pĂ©dophilie organisĂ©e.
Allons-nous nous lever et défendre les enfants ?
Si nous ne nous levons pas pour mettre un terme Ă ce sombre programme, qui se fait passer pour une absurde « dĂ©fense des droits de lâhomme », tous les enfants du monde finiront par grandir en Ă©tant victimes dâabus sexuels pendant des annĂ©es â et seront Ă©galement formĂ©s pour devenir des prĂ©dateurs sexuels. Et cela ne sâarrĂȘte pas lĂ , car les personnes qui suppriment les limites saines et naturelles continueront Ă supprimer les limites suivantes, parce quâil nây a pas de fin Ă leur dĂ©sir effrĂ©nĂ©. Comme nous le disent les victimes survivantes des Ă©lites, le sexe avec les animaux est la prochaine Ă©tape, tout comme le sexe avec les cadavres.
Le mĂȘme ministre de la justice qui a insistĂ© pendant des annĂ©es sur le fait quâil nây avait rien de mal dans le Manuel des pĂ©dophiles a Ă©galement dĂ©clarĂ© que le sexe avec des cadavres nâĂ©tait pas un crime.37 Et le ministre-prĂ©sident nĂ©erlandais Mark Rutte, qui est un membre enthousiaste du Forum Ăconomique Mondial, a fait partie, dans ses jeunes annĂ©es, dâun groupe politique qui a appelĂ© Ă la lĂ©galisation du sexe avec des animaux.38
Aux Ătats-Unis, nous assistons Ă lâinvasion Ă©cĆurante de drag-queens dans dâinnombrables Ă©coles, oĂč les enfants sont exposĂ©s Ă des danses sexuelles perverses, Ă des histoires dĂ©goĂ»tantes et aux tenues anormales de monstres pervers qui sâen prennent aux enfants. Posez-vous la question :
Qui peut bien vouloir que des homosexuels exĂ©cutent des danses sexuelles devant des enfants ? Quâest-ce qui se cache derriĂšre tout cela ?
Johns Library de Portland, dans lâOregon, des enfants ont Ă©tĂ© photographiĂ©s allongĂ©s sur le corps dâune drag queen.39
Lâinvasion soudaine de drag-queens dans des milliers dâĂ©coles Ă travers le monde est clairement une opĂ©ration stratĂ©giquement orchestrĂ©e, similaire Ă lâĂ©ruption soudaine de la folie transgenre, qui est littĂ©ralement sortie de nulle part et sâest soudainement rĂ©pandue partout. Tout cela se produit en mĂȘme temps :
âïž qui ordonne Ă toutes les Ă©coles publiques du monde entier de sexualiser les enfants
âïžÂ introduisant dâinnombrables drag-queens dans les Ă©colesÂ
âïžÂ en introduisant massivement la confusion transgenre dans tous les pays
âïžÂ utiliser les mĂ©dias pour appeler Ă lâacceptation de la pĂ©dophilie
âïžÂ des juges appelant Ă la lĂ©galisation des relations sexuelles avec des mineurs
Cette situation est bien plus grave que nous ne pouvons lâimaginer. Comme le disent les dĂ©nonciateurs de lâĂ©lite, « ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec des mineurs » : « Ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec tout le monde ». Nous devons prendre position et protĂ©ger courageusement les enfants, partout dans le monde.
Partager ce rapport avec le monde entier
Il est essentiel que ce rapport parvienne au plus grand nombre. Merci de lâenvoyer au plus grand nombre, par tous les moyens possibles. Vous pouvez par exemple copier cette courte lettre et lâenvoyer aux journaux locaux, aux Ă©coles, aux forces de lâordre, aux Ă©glises, aux hĂŽpitaux, aux hommes politiques, etc. Vous trouverez leurs coordonnĂ©es en effectuant une recherche rapide sur Internet.
Ă qui de droit,
LâOrganisation Mondiale de la SantĂ© et les Nations Unies demandent aux autoritĂ©s Ă©ducatives du monde entier dâapprendre aux bĂ©bĂ©s, aux enfants en bas Ăąge et aux jeunes enfants Ă se masturber, Ă utiliser la pornographie, Ă apprendre diffĂ©rentes techniques sexuelles telles que la fellation, et Ă avoir des relations avec des personnes du mĂȘme sexe. LâOMS et les Nations Unies demandent aux Ă©ducateurs dâencourager les enfants Ă commencer Ă avoir des relations sexuelles le plus tĂŽt possible et dâaider tous les enfants Ă avoir des partenaires sexuels. Les faits montrent que cela fait partie dâune opĂ©ration mondiale visant Ă normaliser la pĂ©dophilie. Voir le rapport suivant :
"https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/"
Nous vous invitons Ă examiner attentivement ces informations.
Je vous prie dâagrĂ©er, Madame, Monsieur, lâexpression de mes salutations distinguĂ©es,
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Références et téléchargements
Toutes les preuves des affirmations contenues dans ce rapport peuvent ĂȘtre trouvĂ©es en ouvrant le conteneur Ă bascule ci-dessous. Vous pouvez Ă©galement tĂ©lĂ©charger tous les documents de lâOMS, de lâONU, de lâIPPF, de Rutgers, etc. Si un lien a Ă©tĂ© supprimĂ© dâInternet, vous pouvez le relocaliser en utilisant Archive.org.
Références:
1: Guide technique international sur lâĂ©ducation sexuelle 2: Standards pour lâĂ©ducation sexuelle en Europe 3: Agenda 2030 des Nations unies 4: DĂ©clarations de la Maison Blanche sur lâAgenda 2030 5: La Fondation Rutgers 6: Rutgers est financĂ© par la Fondation Bill et Melinda Gates. 7: Programme scolaire de Rutgers « Spring Fever » (fiĂšvre du printemps) 8: Brochure Rutgers pour les Ă©coles primaires 9: Brochure pour les Ă©coles primaires 10: FiĂšvre printaniĂšre Leçon 11 : Quâest-ce que le sexe ? 11: Programme scolaire Education 12: Guide pour la formation des enseignants Ă lâendoctrinement sexuel des jeunes enfants 13: Reportage sur les jeux sexuels dans les Ă©coles 14: Chronologie historique de Rutgers 15: Informations historiques de WikipĂ©dia sur la pĂ©dophilie 16: Archives en ligne du magazine pĂ©dophile NIKS 17: Enfants ayant des relations sexuelles dans le magazine pĂ©dophile NIKS 18: 1982 Ădition de septembre du magazine NIKS 19: Magazine NIKS « LâĂ©pisode de lâanti-Ă©ducation » 20: Article: How The Hague petted pedophilesâ 21: PĂ©tition pour la lĂ©galisation des relations sexuelles avec des mineurs 22: Publication du PSP, parti qui a appelĂ© Ă la lĂ©galisation de la pĂ©dophilie 23: Entretien avec Pieter Wijnsma 24: Rapport 2018 de la FWOS 25: DĂ©claration de mission de la FWOS 26: Magazine « Ăducation sexuelle des jeunes enfants : Faites-le ! » 27: RTL News parle dâun manuel de pĂ©dophilie 28: Fondation contre les abus envers les enfants 29: La lutte contre le manuel pĂ©do 30: Le ComitĂ© international de juristes appelle Ă la lĂ©galisation des relations sexuelles avec des mineurs 31: EXCLAIM ! Manifeste de la pĂ©dophilie 32: Reportage du Daily Mail sur lâarrestation de Peter Dalglish 33: Ăle dâEpstein 34: Bill Gates est allĂ© sur lâĂźle dâEpstein 35: RĂ©alisateurs de la sĂ©rie documentaire « La chute de la cabale » (Fall of the Cabal) 36: Confessions dâun mannequin de mode 37: Le ministre de la justice a refusĂ© dâĂ©riger en infraction les relations sexuelles avec des cadavres 38: La ministre prĂ©sidente a demandĂ© la lĂ©galisation des relations sexuelles avec les animaux 39: Des enfants allongĂ©s sur des corps de drag-queens
Source : stopworldcontrol.com â 17 mai 2023 https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/
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Servir la justice dans The Great Ace Attorney
Je trouve que le jeu soulĂšve un point intĂ©ressant avec Stronghart, Kazuma, Genshin Barok, Klint et Ryunosuke. Jusqu'oĂč on est prĂȘt pour agir pour le nom de justice ? Jusqu'oĂč une personne serait prĂȘte Ă se battre contre un systĂšme juridique corrompu pour rĂ©tablir la "justice" ? Pour rĂ©pondre Ă la justice, seriez vous prĂȘt Ă vous salir les mains afin de faire payer les vrais criminelles ? Pour moi, ces cinq personnages reprĂ©sentent une maniĂšre de se battre pour la justice.
Parlons de Genshin, ce que je trouve intĂ©ressant malgrĂ© le peu d'infos qu'on a sur lui. D'aprĂšs Barok, Kazuma et Mikotoba, c'Ă©tait quelqu'un de trĂšs droit, de mĂ©moire il avait l'ambition d'apprendre le systĂšme juridique anglais pour pouvoir ramener ce qu'il a apprit au Japon afin d'amĂ©liorer le systĂšme juridique de son pays. D'aprĂšs les dires de Barok, Klint et Genshin travaillaient ensemble dans certaines affaires et il y avait un certain respect mutuelle. Toutefois quand il dĂ©couvrit la vĂ©ritĂ© au sujet du professeur, il essaya d'abord d'en parler Ă Lord Stronghart, sauf que bien sĂ»r vu que c'est lui le maĂźtre manipulateur. Il feint l'ignorance en lui rappelant sa position. C'Ă©tait un Ă©tudiant Ă©tranger Ă Londres qui n'a aucun pouvoir ici, de plus si il cause le moindre souci, ça pourrait causer un incident diplomatique. Je crois me souvenir que Genshin non plus n'avait pas de preuves pour dire que Klint Ă©tait le professeur. Au final, il dĂ©cida de confronter Klint soulevant une certaine impulsivitĂ© de vouloir rĂ©gler ce problĂšme lui mĂȘme. Lui qui voulait apporter la justice, l'a fait en salissant ses mains et le jeu ne le glorifie pas. Pour moi la lettre Klint ne glorifie Ă aucun moment Genshin, il savait trĂšs bien que ce duel signait la mort de l'un deux. Oui il a pu arrĂȘter le professeur mais il n'est pas pour autant innocent dans cette affaire car pour rĂ©tablir la justice, il a dĂ» faire couler le sang. Bon aprĂšs il y a aussi la tentative d'Ă©vasion mais lĂ j'ai du mal Ă le blĂąmer Ă©motionnellement parlant. Vu qu'il voulait revenir au pays pour son fils ! Mais droit comme il est, ça m'Ă©tonnerait qu'il aurait poursuivi ses Ă©tudes de droit si il avait rĂ©ussi Ă s'Ă©vader.
Ryunosuke qui arrive tout juste dans ce milieu voulant honorer le rĂȘve de Kazuma et apprend si il doit placer sa foi ou non envers ses clients aprĂšs l'affaire MgGilged. MĂȘme quand il a fallu dĂ©fendre Gina, il a eu des doutes mais a prit l'affaire quand mĂȘme. Toutefois dans ce procĂšs, il n'hĂ©sitera pas Ă se battre contre n'importe qui pour protĂ©ger son client si il a foi en lui. Ryunosuke dit quelque chose au sujet d'apporter la vĂ©ritĂ©, bien qu'au dĂ©but il dit qu'il faut que la vĂ©ritĂ© soit dĂ©voilĂ©. Il comprend aussi que cette vĂ©ritĂ© peut avoir de lourdes consĂ©quences. Je trouvais que son Ă©volution par rapport Ă la vĂ©ritĂ© est sympa. Quand Ă Barok, il Ă©tait prĂȘt Ă porter le titre du faucheur si ça permettait de baisser le taux de criminalitĂ© Ă Londres et de faire payer les criminelles qui pensent pouvoir s'Ă©chapper Ă la loi. Sauf qu'inconsciemment, Stronghart l'avait au creux de sa main et pouvait faire de lui sa marionnette pour atteindre ses objectifs. Et le peuple de Londres craignait sa prĂ©sence dans le tribunal du Vieux Bailey montrant que ce n'Ă©tait pas un procĂšs qu'ils assistent mais Ă une exĂ©cution.
Bien qu'il enquĂȘtait secrĂštement sur l'organisation du faucheur, ses efforts pour cette enquĂȘte n'ont pas Ă©tĂ© suffisants car son ami est mort. Dans la photo oĂč on le voit jeune, on pouvait voir aussi Gregson supposant que ces deux lĂ Ă©taient proches Ă l'Ă©poque (dans les contenus spĂ©ciaux, il y a un Ă©pisode extra oĂč on les voit discuter ensemble). Barok Ă©tait le bouc Ă©missaire idĂ©al pour blĂąmer la mort de tous les criminelles de Londres. MalgrĂ© son travail aux tribunal pour faire tomber les criminelles et malgrĂ© ses principes Ă rĂ©tablir la vĂ©ritĂ© et Ă amener la justice, l'un d'entre eux a Ă©tĂ© brisĂ© pendant le dernier procĂšs, c'est justement l'un des symbole les plus fort du jeu. Surtout que Klint celui qu'il admirait pour son travail, qu'il voulait suivre ses pas, Ă un moment il a doutĂ© de lui sur le fait qu'il Ă©tait le professeur. Mais il y refusait comme pour refuser de briser la belle image qu'il avait de ce dernier, mine de rien il l'a aussi idĂ©alisĂ© tout comme Ryunosuke a idĂ©alisĂ© Kazuma aprĂšs sa fausse mort.
Kazuma qui bien qu'au dĂ©but a des ambitions nobles se cache une ambition bien plus sombre, celle de venger ceux qui ont causĂ© du tort Ă son pĂšre. Je pense toujours que malgrĂ© sa vengeance, il voulait sincĂšrement changer le systĂšme juridique japonais. Sa vengeance obscurcisse son jugement l'empĂȘchant d'Ă©couter les faits de Ryunosuke. MĂȘme si il apparaĂźt calme et calculateur dans le procĂšs, je sentais qu'au fond, il y avait cette colĂšre, cette rancune et cette haine dans ses yeux enfoui pendant des annĂ©es. Il m'a fait faire les montagnes russes, ce sale petit con. Plus j'avançais dans le jeu, plus j'avais du mal Ă croire jusqu'oĂč Kazuma Ă©tait prĂȘt Ă aller pour atteindre ses objectifs. Ce qui signifie, accepter un contrat d'assassinat surtout qu'il Ă©tait Ă deux doigts de le tuer. A ce moment lĂ , je m'Ă©tais mĂȘme demandĂ© si je voulais rester mon ami aprĂšs ce qu'il avait fait ? Surtout qu'il y a des moments oĂč il m'a aussi tapĂ© sur le systĂšme, j'Ă©tais tellement contente quand Ryu lui dit d'ouvrir les yeux. Au dĂ©but, je trouvais Kazuma trop parfait, limite, ça aurait pu ĂȘtre lui le perso principal Ă la place de Ryu. Mais dans ce procĂšs, on dĂ©couvre un Kazuma imparfait dans le dĂ©ni qui prĂ©tend rendre la justice et ainsi laver le nom de son pĂšre. Sauf qu'au final c'est surtout sa justice Ă lui qu'il voulait rendre, un ressenti Ă©motionnel qu'il a enfoui pendant ces dix derniers annĂ©es jusqu'Ă dĂ©couvrir ce qui s'est rĂ©ellement passĂ© il y a dix ans.
Mael Stronghart, je le trouve assez complexe, oui ce qu'il a fait est horrible mais tout ça, c'Ă©tait pour rendre la justice de Londres efficace envers les criminelles qui croyaient pouvoir s'y Ă©chapper. Et qu'on le veuille ou non, ses actes ont eu des rĂ©sultats, le taux de criminalitĂ© a baissĂ© montrant que son organisateur du faucheur bien qu'extrĂȘmement douteux fonctionne. Il Ă©tait pleinement conscience qu'il faisait face Ă un systĂšme juridique corrompu, d'aprĂšs Stronghart pour Ă©liminer le mal il faut s'attaquer par la racine et c'est ce qu'il a fait. Certes ce n'est pas lui qu'il l'a fait, il a manipulĂ© des personnes pour atteindre ses objectifs. Il fait partie de ces personnages la fin justifie les moyens, toutes les magouilles Ă©taient permit pour lui si ça permettait d'Ă©tablir la justice dans sa ville. Je veux dire quand il a rĂ©vĂ©lĂ© la vĂ©ritĂ© au sujet de Klint, lors de son discours, j'admets que je trouvais certains de arguments valables.
Du coup, je me sentais tiraillĂ©e alors que le peuple Ă©tait pour lui, il faut dire qu'aussi qu'il Ă©tait un trĂšs bon orateur et sait imposer sa prĂ©sence quand c'est nĂ©cessaire. Donc ça aide en soi, certains trouvaient ça illogique que Stronghart rĂ©intĂšgre Ryu en tant qu'avocat vu son passif. Mais en soi, c'est consistant avec le personnage, il voulait montrer Ă Ryu que le systĂšme est corrompu et qu'il aurait beau se dĂ©battre pour rĂ©tablir la justice et la vĂ©ritĂ©, il n'y arrivera pas. Et je trouve que c'est encore bien plus prĂ©sent lorsqu'il est juge dans ce procĂšs, lui montrer que le systĂšme juridique de Londres est corrompu et que le seul moyen de le combattre est de s'attaquer Ă la racine. Sauf que Ryu est restĂ© fidĂšle Ă ses principes et a su montrer Ă Stronghart, sa maniĂšre de rĂ©tablir la justice et qu'ainsi que les victimes aient le droit de dĂ©couvrir la vĂ©ritĂ© sur ce qui s'est passĂ©. Stronghart manigançait dans l'ombre en cachant la vĂ©ritĂ© sous son rĂŽle de MaĂźtre Juridique (Je connais pas le terme Ă©quivaut en français) pour faire avancer le systĂšme juridique de son pays. Tandis que Ryu poursuit la vĂ©ritĂ© afin de la rĂ©vĂ©ler car selon lui, le peuple et les victimes ont le droit de savoir quitte Ă subir les consĂ©quences. (Bon par contre la partie oĂč Stronghart fait revenir Ryunosuke en tant qu'avocat ne vient pas de moi mais d'un post sur tumblr que j'ai trouvĂ© intĂ©ressant en terme d'analyse. Par contre le contraste entre Ryu et Stronghart ça vient de moi)
Quand Ă Klint, il voulait sincĂšrement rĂ©tablir la justice par des moyens lĂ©gaux sauf qu'il s'est rendu compte que ce n'Ă©tait pas suffisant. Et que pour faire payer les criminelles, il n'avait pas d'autres choix que de se salir les mains pour y parvenir. C'est le procureur qui a sombrĂ© dans les tĂ©nĂšbres, celui qui est tombĂ© dans la disgrĂące. Et mĂȘme si par la suite il Ă©tait tout aussi victime de chantage de la part de Stronghart. Il a sa part de responsabilitĂ©, utilisant son propre chien pour tuer ceux qui sont corrompus. Dans son idĂ©e de justice, il est devenu le monstre et pour Stronghart, il est devenu son exĂ©cuteur. Ce n'est qu'une fois qu'il a tuĂ© son mentor que ça a Ă©tĂ© son wake up se rendant compte qu'il est allĂ© trop loin. Surtout qu'Ă ce moment lĂ , il allait bientĂŽt devenir pĂšre, Ă©tait ce vraiment ça l'avenir qu'il comptait offrir Ă sa famille ?! Celui d'un meurtrier qui exĂ©cute sauvagement ses victimes au nom de la justice ?! C'est pour ça qu'il a dĂ©cidĂ© d'Ă©loigner sa femme enceinte de lui en n'espĂ©rant que ces derniers ne soient pas touchĂ©s par les vices du Professeur. Quand Ă Klint, il comprit qu'il Ă©tait condamnĂ©, qu'il ne mĂ©ritait pas de servir de la justice alors qu'il a brisĂ© ses principes pour y parvenir. Toutefois avant son duel, il Ă©crivit une lettre afin de l'utiliser comme arme contre Stronghart afin que tout comme lui ce dernier tombe en disgrĂące. Montrant que malgrĂ© tout ce qu'il avait commit, il y avait peut ĂȘtre encore une once de justice venant de ses anciens principes.
J'ai adorĂ© jouer Ă ce jeu mĂȘme si j'Ă©tais un peu malmenĂ©e Ă©motionnellement ça prouve Ă quel point TGAAC est un bon jeu.
#the great ace attorney#ace attorney#tgaa analysis#analysis#ryunosuke naruhodo#klint van zieks#barok van zieks#kazuma asogi#Genshin Asogi#mael stronghart
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Napoléon & Joséphine : Mariage arrangé
Le dimanche 21 septembre 2014, lors d'une vente aux enchÚres à Rueil-Malmaison, le Musée des lettres et des manuscrits de Paris avait acquis pour 350000 euros (437500 euros, taxes comprises) le contrat de mariage liant le général Napoléon Bonaparte à Marie-JosÚphe Rose Tascher dite Joséphine. Cet exemplaire est celui de l'Impératrice Joséphine. Les Archives nationales conservent celui de Napoléon. Le 24 mars 2013, la bague de fiançailles était adjugée à 896400 euros à la maison Osenat de Fontainebleau.
Date : 9 mars 1796
Lieu : mairie du 2e arrondissement de Paris, Ă l'hĂŽtel Mandragon, rue d'Antin.
Début février 1796, le général Napoléon Bonaparte et Joséphine (Marie-JosÚphe Rose Tascher) décidÚrent de se marier - publication du 7 février, 17 ventÎse an IV.
A l'époque, l'annonce de ce mariage surprit et dérangea l'entourage à cause de leurs différences : Joséphine, ùgée de 32 ans, veuve du général Alexandre de Beauharnais, mÚre de deux enfants. Napoléon, ùgé de 26 ans, sans enfant.
Bien que fort sĂ©duit, NapolĂ©on comprit aussi tout l'avantage de s'unir avec l'amie de Paul Barras, lâhomme fort du gouvernement de la PremiĂšre RĂ©publique française. Le 9 mars, aprĂšs 22h00, le mariage fut prononcĂ© Ă la mairie du 2e arrondissement de Paris, Ă l'hĂŽtel Mandragon, rue d'Antin. Le 18 mars, le contrat fut enregistrĂ© et les copies authentiques destinĂ©es aux Ă©poux furent envoyĂ©es.
Autorités présentes
Collin-Lacombe, commissaire ;
Maurice-Jean Raguideau de La Fosse, notaire ;
Ătienne-Gabriel Jousset, notaire.
Témoins des mariés
Paul Barras, membre du directoire exécutif ;
Capitaine Jean Lemarois, aide-de-camp de Napoléon ;
Jean-Lambert Talien, membre du corps législatif ;
Ătienne-Jacques-JĂ©rĂŽme Calmelet, homme de loi.
Toutes les modifications et étrangetés
Pour se conformer aux mĆurs de l'Ă©poque, les Ăąges des mariĂ©s ont Ă©tĂ© modifiĂ©s. JosĂ©phine est rajeunie de quatre ans, soit 28 ans, et NapolĂ©on est vieilli d'un an, soit 28 ans, nĂ© le 5 fĂ©vrier 1768 au lieu du 15 aout 1769 (cette date est antĂ©rieure au 15 mai 1768, date du traitĂ© de Versailles attestant l'occupation et l'administration de la Corse par le Royaume de France).
L'adresse du domicile de Napoléon n'est pas rue d'Antin, mais rue Neuve des Capucines, aujourd'hui rue des Capucines.
NapolĂ©on est dĂ©signĂ© comme gĂ©nĂ©ral en chef de lâarmĂ©e de lâIntĂ©rieur, alors que le 2 mars, il fut nommĂ© commandant en chef de lâarmĂ©e dâItalie.
La minute du contrat fut signée le 8 mars devant les notaires Raguideau de La Fosse et Jousset et en présence du capitaine Lemarois.
Charles-Théodore-François Leclercq, officier public de l'état-civil du 2e arrondissement du canton de Paris, est désigné comme autorité du mariage, mais il partit avant et fut remplacé par le commissaire Collin-Lacombe.
L'article 1er du contrat indique que les Ă©poux ne seront nullement tenus des dettes et hypothĂšques lâun de lâautre, mais 3 ans plus tard, le 18 avril 1799, une apostille du tribunal civil de la Seine vint se joindre au contrat, attestant lâinscription dâun acte privĂ© sur un registre public. En effet, pendant que NapolĂ©on Ă©tait en Orient, JosĂ©phine demanda la sĂ©paration des biens avant son achat du chĂąteau de Malmaison. Elle emprunta pour cela des sommes que son mari rembourserait personnellement Ă son retour.
Extrait original
Article 1er. Il n'y aura aucune communautĂ© de biens entre les futurs Ă©poux⊠en consĂ©quence les futurs Ă©poux ne seront nullement tenus des dettes et hypothĂšques lâun de lâautre.
"Par devant les notaires Ă Paris soussignĂ©s, furent presens Napolione Buonaparte, gĂ©nĂ©ral en chef de lâarmĂ©e de lâIntĂ©rieur, demeurant Ă Paris, rue dâAntinâŠ, originaire dâAjaccio en Corse, fils de dĂ©funt
Charles Buonaparte et de Letizien Ramolini, son Ă©pouse, actuellement sa veuve, stipulant pour lui et en son nom, dâune part, et Marie Josephe Rose Tascher, veuve d'Alexandre François Marie Beauharnois, duquel elle a deux enfans, EugĂšne et Hortense, demeurant Ă Paris, rue ChantereineâŠ, la dite citoyenne nĂ©e en lâisle Martinique du mariage de Gaspard Tascher, capitaine de Dragons et Rose Claire Des Vergers, son Ă©pouse, stipulant pour elle et en son nom, dâautre part, lesquelles parties, dans la vue du mariage proposĂ© entre elles en ont arrĂȘtĂ© les conditions civiles ainsi quâil suit.
Article 3e. Chacun des futurs époux contribuera pour moitié aux charges du mariage.
Article 2e. Chacun des futurs Ă©poux jouira Ă part et divisĂ©ment des biens, droits et actions tant meubles quâimmeubles lui appartenant et pouvant lui appartenir par la suite Ă quelque titre et Ă quelque cause que ce soit et en quoi quâils puissent consister⊠la future Ă©pouse ne restant tenue de recourir Ă lâautorisation de son mari que pour les actes qui emporteroient aliĂ©nation de ses capitaux. Le futur Ă©poux autorise dâailleurs la future Ă©pouse Ă continuer les fonctions de la tutelle qui lui a Ă©tĂ© dĂ©fĂ©rĂ©e des deux enfans mineurs issus de son premier mariageâŠ
Article 4e. Le futur Ă©poux constitue Ă la future Ă©pouse un douaire de quinze cens livres de rente annuelle et viagĂšre, valeur ancienneâŠ
Article 6e. La future Ă©pouse dĂ©clare et le futur Ă©poux reconnois que les meubles, linges, lâargenterie, et gĂ©nĂ©ralement tous les biens meubles corporels dont la future Ă©pouse est maintenant en possession appartiennent Ă la communautĂ© qui a subsistĂ© entre elle et son premier mari et qui a continuĂ© avec ses enfans, faute par elle dâavoir fait faire inventaire dans le dĂ©lai prescrit par la loi. Que la future Ă©pouse fait actuellement procĂ©der Ă cet inventaire et quâil est sur le point dâĂȘtre mis Ă fin. Qu'elle, future Ă©pouse, ne peut dĂ©clarer maintenant le montant de sa fortune parce que tout dĂ©pend de la question de savoir si elle acceptera la communautĂ© ou si elle y renoncera, ce Ă quoi elle ne peut se dĂ©terminer quâaprĂšs la confection dudit inventaireâŠ"
Article 5e. Arrivant la dissolution du mariage, la future Ă©pouse et ses hĂ©ritiers reprendront : 1° les habits, linge, hardes, dentelles, argenterie, bijoux et diamants Ă lâusage personnel de ladite future Ă©pouse, 2° tous les meubles et autres objets mobiliers et quelquâespĂšce quâils soient que la future Ă©pouse ou ses hĂ©ritiers justifieront avoir Ă©tĂ© acquis par elle ou autrement lui appartenir.
Apostille du tribunal civil de la Seine datée du 18 avril 1799 : "Insinué à Paris au bureau établi prÚs le tribunal civil du département de la Seine le vingt neuf germinal an sept (18 avril 1799)⊠et transcrit
tout au long les articles premier et cinq au registre de forme dudit tribunal⊠à la rĂ©quisition du porteur qui a signĂ© sur ledit registre et a Ă©tĂ© averti de la dĂ©claration Ă faire dans les six mois du dĂ©cĂšs du prĂ©mourant et de rĂ©itĂ©rer lâinsinuation de lâarticle premier relatif Ă la non communautĂ© au greffe du tribunal civilâŠ"
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""Vous savez ce qu'a fait Mohammed Merah, ce n'est rien. Regardez bien les informations, je vais tuer. Je vais tuer". Cette phrase terrifiante a Ă©tĂ© prononcĂ©e le 28 avril lors d'une conversation tĂ©lĂ©phonique entre un chĂŽmeur et un membre du personnel de PĂŽle emploi. Ce mardi, cet homme de 37 ans a Ă©tĂ© placĂ© en garde Ă vue par les gendarmes de la communautĂ© de brigades de Cugnaux." (...) "Cet homme de 37 ans a Ă©tĂ© apprĂ©hendĂ© ce mardi. En plus de l'appel malveillant, il est soupçonnĂ© d'avoir dĂ©posĂ© une lettre Ă l'agence au cours du mois d'avril. Une missive sur laquelle il aurait comparĂ© Emmanuel Macron Ă Adolf Hitler et Oussama Ben Laden. Lors de son audition, le mis en cause a pu s'entretenir avec un mĂ©decin psychiatre, qui a diagnostiquĂ© une altĂ©ration du discernement. Cela n'empĂȘchera pas le tribunal de le juger vendredi, en comparution immĂ©diate."
(Aussi sur Fb, 3 mai 2 023) Article de La DĂ©pĂȘche : âToulouse : il menace un employĂ© de PĂŽle emploi de le tuer "comme Mohammed Merah"â
#basile pesso#toulouse#france#sud-ouest de la france#contenu original#fight hate#fight male violence#fight extremism#fight antisemitism#madness#sadness#tristesse#questions#fight anti white racism#journalisme#journalistes#journalistes indépendants#yes we are magazine
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Dimanche 13 octobre 2024
Chacun de nous rendra compte pour lui-mĂȘme Ă Dieu.
Romains 14. 12
Souviens-toi de JĂ©sus Christ, ressuscitĂ© dâentre les morts.
2 Timothée 2. 8
LâexpĂ©rience du dimanche
Pour se moquer des chrĂ©tiens qui dĂ©cident de rĂ©server la journĂ©e de dimanche Ă Dieu, un agriculteur de lâIllinois, aux Ătats-Unis, a Ă©crit un jour au rĂ©dacteur en chef du journal local : âCher monsieur, jâai fait une expĂ©rience : je possĂšde un champ de maĂŻs et je lâai labourĂ© un dimanche. Je lâai semĂ© un dimanche. Jâai toujours travaillĂ© dans ce champ le dimanche. Pour finir, jâai fauchĂ© le champ et rĂ©coltĂ© le grain un dimanche. Et jâai constatĂ© quâen octobre, jâavais rĂ©coltĂ© plus de cĂ©rĂ©ales au mĂštre carrĂ© que tous mes voisins.â
Le rĂ©dacteur en chef nâĂ©tait pas connu comme Ă©tant un chrĂ©tien, et le fermier avait supposĂ© quâil aurait la mĂȘme attitude moqueuse que lui. Effectivement, la lettre fut publiĂ©e intĂ©gralement dans le numĂ©ro suivant du journal. Mais au-dessous, le commentaire de lâĂ©diteur Ă©tait bien mis en Ă©vidence : Dieu ne fait pas toujours ses comptes en octobre.
Pas toujours en octobre⊠Mais le jour viendra oĂč notre âcompte de vieâ sera effectivement rĂ©glĂ© avec Dieu, non pas sur le fait dâavoir ou non travaillĂ© un dimanche, mais sur toute notre vie et sur lâapprĂ©ciation que nous avons faite de son Fils JĂ©sus Christ. Aujourdâhui nous pouvons encore lâaccueillir comme notre Sauveur, et ĂȘtre rĂ©conciliĂ©s avec Dieu par son sacrifice Ă la croix.
âIl faut que nous soyons tous manifestĂ©s devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon les actions accomplies dans le corps, soit bien soit malâ (2 Corinthiens 5. 10).
la bonne semence
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Gadin 22 Réquisition impériale d'arbitrage
Tribun Naphitis,
Tu devais certainement pas tâattendre Ă recevoir une lettre au sceau dynastique aujourdâhui, mais stresse pas trop, câest juste moi, Fikor Hobo-Syeb. ChĂ© que jâtais yinque un petit fureton la derniĂšre fois quâon sâest vus, mais lĂ jâai cĂ©lĂ©brĂ© ma bilustrale pis chârais en Ăąge de gouverner, mĂȘme si le Grand ĂcomĂštre a pas lâair Ă voir ça de mĂȘme. Y veut pas rĂ©pondre Ă mes questions sâa plĂšbe, le vieux malcommode. Y dit que câpas des affaires dont on devrait se soucier, que câtâindigne de notre statut pis de notre pelage, Ă Ziyozar pis moi. Nous on veut juste que quĂšquâun nous aide Ă trancher sur une copple dâaffaires pas claires, faque on sâest dit que tâaurais des rĂ©ponses pour nous â tâes le tribun de la plĂšbe, aprĂšs tout.
TsĂ©, je le sais, pourquoi y tâont mutĂ© au sĂ©nat. Jâavais peut-ĂȘtre lâair de rien, mais je tâai regardĂ© aller quand tâhabitais au palais. Câtâen observant du monde comme toi que jâai appris comment jouer la game, comment un aiglon de famille moyenne peut finir Ă â table de lâempereur si y met ses piĂ©cettes sâes bonnes cases. TâĂ©tais beau Ă voir, tribun. Tu tricotais de la dentelle, un beau grand rĂ©seau de redevances comme une toile dâarachnassin. Tu te forgeais un avenir au sommet, jusquâĂ ce que tu te fasses cut comme un ostie de pouiche. Ben moi je ferai pas la mĂȘme erreur, pis si tu nous aides Ă dĂ©terminer qui qui a raison pis qui qui est dans le champ, Ziyozar pourrait ben convaincre son pĂšre de te redonner ta place au palais, qui sait?
De toute façon tu lâas facile : mon cousin yâa une conception crissement wack de câest quoi la plĂšbe. ChĂ© pas oĂčsquây va chercher toute ça, mais ça parait quâyâa jamais tenu une conversation avec un garde. Câpas mĂȘlant, jusquâĂ hier y pensait que nos esclaves câtait des plĂ©bĂ©iens. YâĂ©tait toute mĂȘlĂ© aprĂšs la dĂ©claration Ă son pĂšre. YâĂ©tait comme « OK mais pourquoi on offrirait la plĂ©bĂ©itĂ© aux coquerelles. Câest dĂ©jĂ des plĂ©bĂ©iens. » Pis lĂ moi jâai faite genre « Tâes donc ben ortho! Câpas des plĂ©bĂ©iens, câest des esclaves. » Pis lĂ yâa dit que plĂ©bĂ©ien pis esclave câest la mĂȘme affaire, mais moi je le sais que les esclaves câest les coquerelles faque tsĂ© les plĂ©bĂ©iens câest genre les autres lĂ â les Ă©lĂ©phants, les abeillesâŠ
Anyway on sâest ostinĂ© toute lâaprĂšme, jusquâau fouissage crĂ©pusculaire. Cette semaine, câest le mausolĂ©e dâOsfat Syeb-Zemil que le dĂ©pouilleur a dĂ©terrĂ©. Le prince consort de Dindanah IĂšre : un squelette particuliĂšrement maganĂ©, mais un mĂ©chant bon augure pour la prochaine avancĂ©e des troupes! Ziyozar pis moi on sâest ostinĂ©s tout le long quâon paradait la chaise funĂšbre, pis aprĂšs la danse de la guerre, sa fiancĂ©e pis quĂšques amies sont venues nous rejoindre avec une fiole de zyumni, pis on est allĂ©s se pourchasser ben high dans le labyrinthe de fleurs. On a fini par sâeffouĂ©rer tounus dins Ćillets pis les filles nous ont relancĂ©s avec plein dâautres colles sâa plĂšbe. Y nous ont drillĂ©s jusquâĂ pas dâheure, pis ben⊠on sâest rendu compte quâon Ă©tait pas sĂ»rs de grand-chose dans le fond. Mais tsĂ©, comment tu veux quâon rĂšgne si on connait pas notre empire? Câtâun moyen cave, le Grand ĂcomĂštre, de penser que ça nous sera pas utile de mieux connaitre nos sujets.
Me su rĂ©veillĂ© Ă midi, encore un peu dins vapes de mon zyumni, pis sur ma table de chevet yâavait une tite feuille de palmier scribouillĂ©e de nos bets dâhier. Ouin, parce quâon sâest genre montĂ© un pool comme pour les nationaux du jeu de flĂšche, mais avec nos opinions. Je reconnais le coup de roseau de la fiancĂ©e Ă Ziyozar, donc jâestime que câtâun document impartial. Je te le joins avec ma lettre.
Tâas juste Ă marquer les bonnes rĂ©ponses dâun « s » pour « sap », pis redonner la feuille au messager â dâailleurs, un tit-aigle noir comme lui, ça compte-tu comme un plĂ©bĂ©ien? Pas clair.
Fikor Hobo-Syeb,
cinquiĂšme dans lâordre de succession au dail de Syeb, fils hĂ©ritier dâAmbĂșnted Hobo-Syeb, cousin de lâempereur Hastorel Ier, et de Rinta Rag-Zemil, belle-sĆur de lâempereur Hastorel Ier
â
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CachetĂ© par le Bureau du Tribun, Elurmurd J3-S3-M4-A4-L2-C20, Ăre de Syeb Traduit de lâhiryal par le Jorneau
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Le Conseil gĂ©nĂ©ral, rĂ©uni ce lundi 18 novembre, a pris des dĂ©cisions cruciales concernant des investissements significatifs pour la rĂ©novation des infrastructures de la commune ainsi que pour lâavenir de lâassociation Barak. Le PLR a approuvĂ© ces investissements. Un investissement majeur pour la sĂ©curitĂ© routiĂšre Ă Couvet Le Conseil gĂ©nĂ©ral a discutĂ© de projets majeurs, notamment la rĂ©fection de la traversĂ©e de Couvet, point central de la sĂ©ance. Avec un budget prĂ©visionnel de prĂšs de six millions de francs, ce projet marque la premiĂšre Ă©tape d'un vaste chantier rĂ©gional visant Ă transformer durablement les routes et Ă amĂ©liorer la sĂ©curitĂ© des usagers. Ce projet s'inscrit dans un ensemble plus large, avec des rĂ©fections Ă venir pour MĂŽtiers et Fleurier, qui nĂ©cessiteront Ă©galement un financement adĂ©quat. Le groupe PLR, conscient de l'importance de ces travaux pour les habitants, a majoritairement soutenu ce crĂ©dit. Le montant votĂ© reprĂ©sente l'ensemble des coĂ»ts, qui seront rĂ©duits grĂące Ă des remboursements et des soutiens cantonaux. Barak : une intĂ©gration dans la continuitĂ© Un autre point clĂ© a Ă©tĂ© l'internalisation de l'association Barak au sein de la commune. Cette dĂ©cision fait suite Ă une dĂ©tĂ©rioration significative de la situation financiĂšre de l'association, nĂ©cessitant un soutien accru de la commune. L'intĂ©gration de Barak dans les services communaux permettra un meilleur contrĂŽle des dĂ©penses et une organisation plus efficace, remplaçant le coĂ»t de CHF 10.- par habitant. Pour garantir la transparence et l'efficacitĂ© de cette intĂ©gration, le groupe PLR a demandĂ© l'ajout d'un point au rĂšglement, incluant un rapport avant lâĂ©tablissement du budget communal pour suivre l'Ă©volution de l'association et Ă©valuer l'affluence. Ce suivi sera crucial pour ajuster les horaires et les objectifs de soutien, garantissant que les besoins des jeunes restent au centre des prĂ©occupations. De plus, l'intĂ©gration du bĂątiment de Barak au patrimoine communal pour un montant symbolique de CHF 1.- reprĂ©sente une opportunitĂ© prĂ©cieuse. L'ancienne galerie du premier Ă©tage pourrait ĂȘtre transformĂ©e en salle de location pour diverses associations, renforçant ainsi le tissu associatif local. Concernant les motions des partis Socialistes et Agora, le groupe PLR a choisi de ne pas s'y opposer. Ces motions, portant sur la mise Ă disposition de WC publics et le soutien financier aux transports pour les Ă©tudiants, mĂ©ritent une attention particuliĂšre. En conclusion Les mois Ă venir seront marquĂ©s par plusieurs projets nĂ©cessitant des investissements massifs. La rĂ©fection des traversĂ©es des villages et d'autres dĂ©penses essentielles au bien-ĂȘtre de la communautĂ© seront au cĆur des prĂ©occupations du groupe PLR. Bien que le groupe se batte pour l'attractivitĂ© de la commune, la maĂźtrise des coĂ»ts et la situation Ă©conomique actuelle placeront parfois le groupe dans des situations dĂ©licates. Cette lettre ouverte permet de partager les positions du PLR de maniĂšre plus personnelle et engagĂ©e, tout en expliquant clairement les raisons derriĂšre les dĂ©cisions prises. PLR.Les LibĂ©raux-Radicaux Val-de-Travers â Pour un Val-de-Travers fort et attractif ! MISE AU POINT Cette section offre une tribune aux partis politiques de tous horizons pour exprimer leurs opinions et contributions sur des sujets d'actualitĂ© rĂ©gionale ou nationale. Vallon.info reste neutre et ne soutient aucune position particuliĂšre. Les lettres ouvertes publiĂ©es ici respectent les rĂšgles du dĂ©bat public, bannissant les attaques personnelles et promouvant un dialogue respectueux. Chaque texte reflĂšte exclusivement les idĂ©es de son auteur ou du parti concernĂ©.
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29 octobre : ne pas oublier Mehdi Ben Barka
En ce jour anniversaire de la disparition de Mehdi Ben Barka, un rassemblent se produit devant la brasserie Lipp, boulevardâSaint-Germain, Ă Paris, lieu de son enlĂšvement par des policiers français. Il fut conduit dans une villa de Fontenay-le-Vicomte, dans lâEssonne appartenant Ă un truand. Chaque annĂ©e, il est dâusage de de se retrouver sur le lieu mĂȘme oĂč il a Ă©tĂ© vu pour la derniĂšre fois. Il nâest plus rĂ©apparu. Le corps n'a jamais Ă©tĂ© retrouvĂ© (tout comme celui de Jamal Khashoggi disparu au consulat saoudien dâIstanbul en octobre 2018).
Dans le cas de Ben Barka, câĂ©tait il y a 59 ans, jour pour jour, le 29 octobre 1965. On sait aujourdâhui que lâopĂ©ration a Ă©tĂ© menĂ©e avec la complicitĂ© des services marocains venus spĂ©cialement Ă Paris. Lâaffaire nâa pas Ă©tĂ© totalement Ă©lucidĂ©e. Le sera-t-elle jamais ? Mehdi Ben Barka Ă©tait le principal opposant politique au roi Hassan II dont le rĂ©gime virait nettement Ă lâautoritarisme. Leader tiers-mondiste et panafricaniste, il pouvait gĂȘner les intĂ©rĂȘts français en Afrique. Sa famille ne cesse de dĂ©noncer une absence de volontĂ©Â des deux pays pour faire Ă©clater la vĂ©ritĂ©. Le sit-in de ce jour est organisĂ© par lâInstitut Mehdi Ben Barka-MĂ©moire Vivante, avec le soutien de nombreuses associations marocaines et europĂ©ennes des droits de lâhomme. Une nouvelle instruction a Ă©tĂ© lancĂ©e, Ă lâinitiative dâun juge français, en 2005, quarante ans aprĂšs les faits. Elle est toujours en coursâ!
Rhita Bennani, la veuve de Mehdi Ben Barka est dĂ©cĂ©dĂ© Ă Paris, le 26 juin 2024, Ă lâĂąge de 92 ans. Elle et ses enfants demandent depuis des dĂ©cennies ce qui est arrivĂ© Ă leur mari et pĂšre, et oĂč se trouve sa sĂ©pulture. Ils espĂšrent quâEmmanuel Macron reconnaisse enfin la responsabilitĂ© de la France, comme il lâa fait rĂ©cemment dans le cas de Maurice Audin. « Le secret-dĂ©fense ne doit pas servir Ă couvrir des erreurs ou des dĂ©rapages des services dans des cas oĂč il y a eu mort dâhomme. Les familles ont le droit de savoir et il faudrait sâinterroger sur ce point » explique Bachir Ben Barka qui a lancĂ© hier un nouvel appel au prĂ©sident français et au roi du Maroc.
Dâautres familles sont concernĂ©es : celle de Robert Boulin, assassinĂ© en 1979, Ă©galement un 29 octobre. Initialement classĂ©e comme un suicide, l'affaire a Ă©tĂ© rouverte en 2015 pour « enlĂšvement » et « assassinat » suite aux nombreuses incohĂ©rences relevĂ©es. Il y a cinq ans, le 29 octobre 2019, 14 journalistes ayant enquĂȘtĂ© sur la mort de Robert Boulin ont adressĂ© une lettre ouverte au prĂ©sident Emmanuel Macron, demandant la dĂ©classification des archives des services de renseignement français et amĂ©ricains concernant cette affaire. Ce 29 octobre 2024, Fabienne Boulin Burgeat, la veuve de lâhomme politique assassinĂ©, se rend une nouvelle fois au Tribunal de Versailles pour demander Ă la juge d'instruction en charge du dossier Boulin, "ce qu'elle compte faire" à la lumiĂšre des avancĂ©es rĂ©centes.
On peut aussi citer lâaffaire du juge Bernard Borrel, tuĂ© Ă Djibouti en 1995 ; celle des journalistes de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Vernon, tuĂ©s au Mali en 2013 ; celle des victimes du Bugaled Breiz (5 morts), ce chalutier breton qui a coulĂ© subitement en 2004 ; celle des victimes du crash du vol Ajaccio-Nice (95 morts) en 1968 ou encore de celle de lâexplosion de la Maison des TĂȘtes (13 morts) Ă Toulon en 1989. Le classement dâun dossier en secret-dĂ©fense empĂȘche sa consultation avant cent ans !
Un article de l'Almanach international des Ă©ditions BiblioMonde
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Dimanche 13 octobre 2024
Chacun de nous rendra compte pour lui-mĂȘme Ă Dieu.
Romains 14. 12
Souviens-toi de JĂ©sus Christ, ressuscitĂ© dâentre les morts.
2 Timothée 2. 8
LâexpĂ©rience du dimanche
Pour se moquer des chrĂ©tiens qui dĂ©cident de rĂ©server la journĂ©e de dimanche Ă Dieu, un agriculteur de lâIllinois, aux Ătats-Unis, a Ă©crit un jour au rĂ©dacteur en chef du journal localâŻ: âCher monsieur, jâai fait une expĂ©rienceâŻ: je possĂšde un champ de maĂŻs et je lâai labourĂ© un dimanche. Je lâai semĂ© un dimanche. Jâai toujours travaillĂ© dans ce champ le dimanche. Pour finir, jâai fauchĂ© le champ et rĂ©coltĂ© le grain un dimanche. Et jâai constatĂ© quâen octobre, jâavais rĂ©coltĂ© plus de cĂ©rĂ©ales au mĂštre carrĂ© que tous mes voisins.â
Le rĂ©dacteur en chef nâĂ©tait pas connu comme Ă©tant un chrĂ©tien, et le fermier avait supposĂ© quâil aurait la mĂȘme attitude moqueuse que lui. Effectivement, la lettre fut publiĂ©e intĂ©gralement dans le numĂ©ro suivant du journal. Mais au-dessous, le commentaire de lâĂ©diteur Ă©tait bien mis en Ă©videnceâŻ: Dieu ne fait pas toujours ses comptes en octobre.
Pas toujours en octobre⊠Mais le jour viendra oĂč notre âcompte de vieâ sera effectivement rĂ©glĂ© avec Dieu, non pas sur le fait dâavoir ou non travaillĂ© un dimanche, mais sur toute notre vie et sur lâapprĂ©ciation que nous avons faite de son Fils JĂ©sus Christ. Aujourdâhui nous pouvons encore lâaccueillir comme notre Sauveur, et ĂȘtre rĂ©conciliĂ©s avec Dieu par son sacrifice Ă la croix.
âIl faut que nous soyons tous manifestĂ©s devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon les actions accomplies dans le corps, soit bien soit malâ (2 Corinthiens 5. 10).
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60 - Une justice différée est une justice refusée. (Paul Watson)
UNE JUSTICE DIFFĂRĂE EST UNE JUSTICE CONFISQUĂE
Par le capitaine Paul Watson, le 02 octobre 2024
Aujourd'hui, c'est mon 73e jour d'incarcĂ©ration Ă la prison de Nuuk et ma 4Ăšme comparution devant le tribunal du Groenland. Comme je mây attendais, le juge a refusĂ© les documents et les arguments de mes avocats et a ordonnĂ© ma dĂ©tention pour 28 jours supplĂ©mentaires. Cela signifie 91 jours pour une accusation infondĂ©e pour un dĂ©lit mineur datant d'il y a 14 ans et auquel je n'ai pas participĂ©.
C'est un cas classique de "justice différée est une justice confisquée".
Le tribunal dispose de toutes les preuves, de toutes les informations nécessaires pour prendre une décision. Il est clair qu'il s'agit d'une décision trÚs politique.
La juge s'est assise sur le banc comme une pierreÂ
Preuves qu'elle a refusé de montrer
La procureure s'est renfrognée
Au mépris de la foule
Son parti pris se reflĂšte dans son ton
Mes amis, je retourne donc Ă ma cellule avec vue, d'oĂč je peux voir les icebergs dans le fjord et, de temps en temps, une baleine Ă bosse qui me rappelle pourquoi je suis ici.
Je peux endurer ce temps, peu importe combien il durera. Mon seul souci, mon seul regret est d'ĂȘtre sĂ©parĂ© de ma femme et de nos deux petits garçons. Je ne suis pas ici parce que je suis un criminel. Je suis ici pour m'ĂȘtre opposĂ© Ă une entreprise criminelle avec l'arme la plus mortelle qui soit : une camĂ©ra.
Avec nos caméras, nous avons révélé les crimes de l'industrie baleiniÚre japonaise et, ce faisant, nous avons mis dans l'embarras la fiÚre nation du Japon, en faisant entrer ses activités illégales dans les salons de millions de personnes à travers le monde grùce à notre émission de télévision "Whale Wars" sur Animal Planet.
La chasse à la baleine pratiquée par le Japon n'est pas une entreprise criminelle parce que je le dis. Il s'agit d'une opération criminelle pour avoir violé le moratoire mondial sur la chasse commerciale à la baleine décrété en 1986 par la Commission BaleiniÚre Internationale. L'argument du Japon selon lequel il s'agit d'un effort de recherche et d'une activité non commerciale a été rejeté en 2014 par la plus haute juridiction au monde, la Cour internationale de justice (CIJ) de La Haye. Celle-ci a statué que tuer des baleines dans le sanctuaire baleinier de l'océan Austral ne relevait pas de la recherche. Il s'agit d'une activité commerciale.
Les baleiniers sont partis en mer, voyez-vous
Pour connaĂźtre le nombre de baleines Ă tuer, voyez-vous
Nous les avons pris sur le fait
Un fait incontestable
Et les avons chassés des mers, voyez-vous
En outre, les baleiniers japonais ont dĂ©libĂ©rĂ©ment Ă©peronnĂ© et dĂ©truit un catamaran de deux millions de dollars, cassĂ© une cĂŽte d'un camĂ©raman d'Animal Planet, projetĂ© six membres d'Ă©quipage dans les eaux glaciales de l'ocĂ©an Austral, et refusĂ© de les secourir. Pour cette violence avĂ©rĂ©e, les baleiniers n'ont subi aucune consĂ©quence. Lorsque la procureure groenlandaise affirme qu'un seul baleinier japonais a souffert d'une brĂ»lure sur la joue, due au spray au poivre de son propre Ă©quipage, quâelle qualifie de crime de âgraveâ, cela illustre l'absurditĂ© presque comique des accusations. Â
Ce qu'elle qualifie d'intrusion est filmé et montre Pete Bethune frappant poliment à la porte de la timonerie du Shonan Maru. La porte s'ouvre, il remet au capitaine japonais une lettre de plainte et une demande d'indemnisation pour le navire qu'ils ont délibérément détruit. La réponse japonaise fut de kidnapper le capitaine Bethune et de le transporter au Japon pour l'accuser d'intrusion, d'obstruction aux affaires et d'agression. Il est interrogé quotidiennement jusqu'à ce qu'il avoue les faits qui lui sont reprochés, bien qu'il refuse de reconnaitre l'agression.
Ce n'est qu'aprĂšs avoir fait des aveux sous la contrainte qu'il a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă un juge et qu'un accord a Ă©tĂ© conclu, quâil a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă une peine avec sursis en Ă©change d'une dĂ©claration selon laquelle je lui aurais ordonnĂ© de commettre ces actes. Il a ensuite Ă©tĂ© libĂ©rĂ© et autorisĂ© Ă rentrer chez lui, tandis qu'un mandat d'arrĂȘt a Ă©tĂ© lancĂ© contre moi pour conspiration.
AprÚs sa libération, Pete Bethune a signé une déclaration sous serment affirmant qu'il avait menti en échange du sursis. Son accusation a été la seule preuve que le Japon a utilisée contre moi, mais malgré la rétractation du capitaine Bethune, le procureur japonais a refusé d'abandonner les charges qui pesaient contre moi.
Les baleiniers ont coupé son bateau en deux
Nos caméras l'ont prouvé
Pete Bethune a été enlevé
Les preuves ont été mises au rebut
Par l'Ă©quipe criminelle de chasseurs de baleines
Ce qui rend mon incarcération supportable, c'est l'énorme soutien que je reçois du monde entier. Des centaines de milliers de personnes ont signé des pétitions pour ma libération. Tant de manifestations dans des centaines d'endroits à travers le monde, des milliers d'appels aux ambassades et consulats danois, le soutien de dirigeants mondiaux comme le président Macron en France et le président Lula au Brésil, de nombreuses célébrités, des concerts organisés en mon nom. Une incroyable vague d'amour et de soutien, tous rassemblés par notre amour et notre respect collectifs pour les baleines et les dauphins, la diversité et l'interdépendance de toute vie dans la mer et sur la terre.
L'ennemi est clairement identifié
Cinq mille personnes venues de nombreux pays
Protester par des actions, des pĂ©titions et des Ćuvres d'art
Tous unis pour s'opposer au cétacide
C'est la compassion que nous cherchons Ă susciter
Le courage naĂźt au plus profond du cĆur.
Je suis trÚs reconnaissant pour les 2 300 lettres que j'ai reçues en prison de plus de 30 pays. Je suis particuliÚrement reconnaissant et trÚs touché par les centaines de lettres d'enfants, dont beaucoup sont accompagnées de dessins de baleines ou de poÚmes.
Chaque poĂšme, chaque dessin de baleine
Envoyé par des enfants du monde entier
Livré ici, derriÚre le mur de cette prison
Fournit une tempĂȘte d'espoir pour remplir mon Ăąme
Un tsunami d'Ă©motions
De l'autre cÎté du linceul bleu, je les entends appeler.
Je suis dans cette cellule pour encore quatre semaines, alors sâil vous plait, continuez Ă faire entendre votre voix. Cela signifie beaucoup et c'est efficace. Continuez Ă contacter les ambassades et consulats danois. Et continuez Ă m'envoyer vos lettres, vos dessins et vos poĂšmes. Les gardiens de prison me disent qu'ils n'ont jamais vu quelqu'un recevoir autant de courrier et vos lettres reflĂštent bien le niveau de soutien. Cela me tient Ă©galement occupĂ© car je lis chaque courrier.
J'essaie de rĂ©pondre Ă autant de lettres que possible, mĂȘme si cela a Ă©tĂ© difficile car je rĂ©cupĂšre encore d'une blessure Ă la main gauche causĂ©e par les menottes. Cependant, lorsque je serai libĂ©rĂ©, je rĂ©pondrai Ă chaque lettre en vous remettant un certificat de reconnaissance pour votre soutien. Vous me donnez tous de la force.
Je remercie tout particuliĂšrement Lamya Essemlali, prĂ©sidente de Sea Shepherd France, Elodie et Christelle pour avoir fait les nombreux voyages de France Ă Nuuk, au Groenland. Elles m'ont accompagnĂ© Ă chaque comparution devant le tribunal. Merci Ă©galement Ă Nathalie Gil, prĂ©sidente de Sea Shepherd BrĂ©sil, qui a fait le long voyage depuis le BrĂ©sil pour assister Ă l'une de mes comparutions. Merci Ă Rod Marining, cofondateur avec moi de Greenpeace. Il est venu de Vancouver pour me rendre visite. Merci Ă©galement Ă Omar Todd, Kylie Herd et Rob Read, de la Fondation Captain Paul Watson, qui ont fait le long voyage pour me rendre visite. Merci Ă Locky MacLean et Ă Dior de m'avoir rendu visite et Ă l'Ă©quipage du John Paul DeJoria d'avoir assistĂ© Ă ma premiĂšre comparution devant le tribunal. Merci Ă Vakita (France), Nat Geo (Ătats-Unis) et aux autres Ă©quipes de tournage du Danemark, de France et du Royaume-Uni de m'avoir rendu visite et de m'avoir interviewĂ© dans cette prison.
Ma cellule nordique a une vue imprenable,Â
Sur le large fjord sauvage qui s'Ă©tend devant moi
Parsemée de blocs de glace acérés
LĂ oĂč les grandes baleines Ă©mergent du bleu de l'ocĂ©an
Heureuses et libres dans la mer du Groenland
Un spectacle merveilleux qui mérite un sacrifice.
Capitaine Paul Watson
Prison de Nuuk
Nuuk 3900
Groenland
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Text
Le cahier de Marie-Louise
Jâai retrouvĂ© parmi dâanciens cahiers de chansons ayant appartenu Ă ma mĂšre, un petit cahier rĂ©digĂ© par ma grand-mĂšre maternelle, Marie-Louise VANBREMEERSCH, durant les annĂ©es 1905 Ă 1907.
Il sâagit dâun cahier de copies de lettres dont la premiĂšre page a Ă©tĂ© rĂ©digĂ©e le 14 dĂ©cembre 1905 alors que ma grand-mĂšre Ă©tait en pension Ă Eu, en Normandie. Il comprend, au total, 24 pages. Il provient de lâimprimerie, librairie, reliure DEBREYNE-LOOTEN Ă Hazebrouck. Ce couple Ă©ditait aussi des cartes postales ainsi que des livres de catĂ©chisme, ainsi « Le catĂ©chiste expliquant la Doctrine catholique » en 3 tomes.
Ma grand-mÚre a été envoyée en pensionnat à Eu
Marie-Louise se trouvait bien loin de chez elle, Ă plus de cent vingt kilomĂštres, alors quâelle venait tout juste dâavoir dix ans. Il faut savoir que les circonstances Ă©taient trĂšs particuliĂšres, au dĂ©but du XX° siĂšcle. Environ 2500 Ă©tablissements de lâenseignement privĂ© ont Ă©tĂ© contraints de fermer leurs portes en 1902 et 1903, par dĂ©crets en application de la loi du 1° juillet 1901. De plus, la loi du 7 juillet 1904, dite loi COMBES supprima lâenseignement congrĂ©ganiste. Des dizaines de milliers de religieux ont Ă©tĂ© contraints Ă lâexil pour pouvoir continuer Ă enseigner.
Certains ont optĂ© pour une « sĂ©cularisation » fictive en restant religieux mais sans lâhabit. Ce fut le cas de Mademoiselle GOETTELMANN, religieuse de la congrĂ©gation de la Providence et jusquâalors enseignante Ă Amiens. Elle fit le choix de rentrer dans la vie sĂ©culiĂšre comme lây autorisaient les statuts de sa congrĂ©gation.
le pensionnat de Melle Goettelmann en 1904
Sachant que le pensionnat dâEu qui appartenait Ă la congrĂ©gation de la Providence, allait ĂȘtre fermĂ©, elle voulut en prendre la direction. Elle loua le bĂątiment Ă son ancienne supĂ©rieure, Madame CAPY qui rĂ©sidait Ă la maison-mĂšre Ă Rouen, pour une durĂ©e de neuf ans et pour un prix de 1500 francs par an et elle acheta tout le mobilier du pensionnat pour un montant de 4000 francs. Elle fit appel Ă deux anciennes religieuses de la congrĂ©gation, Mesdemoiselles DOREY et LANCTUIT pour lâassister dans sa tĂąche.
extrait de la semaine religieuse du diocĂšse de Rouen du 9 janvier 1904 (source Gallica)
La justice ayant estimé que la sécularisation des trois religieuses était fictive, elles eurent à comparaßtre devant le tribunal correctionnel de Dieppe. Les trois religieuses ainsi que la mÚre supérieure, ùgée de quatre-vingt-six ans, ont été acquittées le 1° août 1903.
Le jugement en appel du 9 janvier 1904 du tribunal de Rouen a confirmé la relaxe des quatre prévenues.
Câest donc, dans ce contexte dâabsence dâĂ©coles catholiques, que ma grand-mĂšre a dĂ» partir Ă Eu.
La famille de ma grand-mĂšre, en 1905
En 1905, Marie-Louise avait deux grandes sĆurs de respectivement 16 et 15 ans. Elles nâĂ©taient probablement plus scolarisĂ©es. Ma grand-mĂšre nâĂ©voque jamais ses sĆurs dans ses courriers ni ses frĂšres non plus qui avaient 13, 7 et 4 ans. Ses parents, JĂ©rĂ©mie VANBREMEERSCH et Julienne WYART qui Ă©taient cultivateurs Ă Zuytpeene avaient alors 45 ans pour son pĂšre et 41 ans pour sa mĂšre. Elle nâa pas connu ses deux grands-pĂšres, DĂ©sirĂ© VANBREMEERSCH et Pierre WYART. Sa grand-mĂšre paternelle, Julie DERAM, est dĂ©cĂ©dĂ©e alors quâelle avait deux et demi. Sa grand-mĂšre maternelle, AdĂšle DECOUVELAERE a vĂ©cu jusquâen fĂ©vrier 1909. Marie-Louise avait 13 ans et demi lorsquâelle est dĂ©cĂ©dĂ©e chez sa fille, Sidonie WYART et chez son gendre, RĂ©my CAULIER, Ă Estaires.
Que nous apprend le cahier ?
Les premiĂšres pages sont rĂ©digĂ©es dâune grande et belle Ă©criture. Elles le sont sous la dictĂ©e de la maĂźtresse. Leur contenu varie selon que lâon sâadresse aux parents, aux grands-parents, aux oncles et tantes.
On comprend quâelle Ă©crit chaque semaine Ă ses parents.
Dans la deuxiĂšme partie du cahier, lâĂ©criture est plus petite et moins soignĂ©e, le texte est souvent raturĂ©. Il y a aussi des annotations au crayon de papier pour personnaliser les destinataires. Elle avait sans doute plus dâautonomie pour rĂ©diger ses lettres. Elle dit dâailleurs Ă ses parents : « Mes lettres sont bien faites et cependant câest moi-mĂȘme qui les fais seule. » Elle avait aussi acquis une plus grande expĂ©rience dans la rĂ©daction.
Dans une lettre Ă sa cousine (sans doute Jeanne CAULIER qui avait Ă peine cinq mois de moins quâelle), Ă lâoccasion de la sainte Catherine, elle me surprend par ces termes : « Je prierai tant votre sainte patronne quâelle se verra forcĂ©e de mâaccorder tout ce que je demande pour vous: une santĂ© parfaite, une existence paisible et heureuse, et puis plus tard...plus tard...plus tard, une belle place auprĂšs dâelle au paradis. » Comment peut-on dĂ©jĂ penser Ă la mort en Ă©tant si jeune ?
Ses parents venaient la voir de temps à autre. Dans une de ses lettres, Marie-Louise demandait à sa mÚre de lui amener « des boutons, un canif, des fruits ou de la confiture ».
Un nouveau pensionnat en Belgique
Cela nâest pas Ă©crit clairement dans le cahier mais certains termes me font penser que Marie-Louise nâest restĂ©e quâune annĂ©e Ă Eu et quâelle a ensuite rejoint un autre pensionnat en Belgique, non loin de la frontiĂšre française. Ainsi : « On joue toujours au drapeau*. Il y a deux camps: le camp français et le camp belge. »
Elle parle aussi de lâAbeele et du labyrinthe : « Le labyrinthe, câest de tous petits sentiers, pas de maisons, on se perdrait, câest curieux. ». Il y a, en effet, un labyrinthe forestier au domaine de Couthof, il est composĂ© de haies dans une forĂȘt dâarbres Ă feuilles caduques et de pins. Il a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă la demande du propriĂ©taire des lieux, Jules MAZEMAN de COUTHOVE (1811- 1879) qui fut bourgmestre de Proven. Son fils, Raoul MAZEMAN de COUTHOVE (1854- 1923) Ă©tait Ă©galement bourgmestre de Proven. Il est possible qu'il donnait l'accĂšs Ă son parc de temps Ă autre Ă des Ă©lĂšves d'un Ă©tablissement religieux proche.
Ce pensionnat pouvait possiblement se trouver Ă Poperinghe car dans une de ses lettres, ma grand-mĂšre dit Ă ses parents : « Madame la SupĂ©rieure vous invite Ă venir me voir dimanche 24 et passer la journĂ©e avec nous. Nous pourrons sortir en ville». Il sâagit du dimanche 24 novembre 1907, dĂ©but de courtes vacances qui ne permettent pas Ă Marie-Louise de rentrer chez elle.
Des élÚves du pensionnat français de la Sainte Union, à Poperinghe
Comme elle utilise exclusivement le français dans ses lettres et non le flamand, je pense quâelle frĂ©quente le pensionnat français de la Sainte Union.
Marie-Louise cite également quelques camarades dont le nom a bien une consonance flamande : Blandine MAES et Marie-Louise CAPPELLE.
Il nây a rien dâĂ©tonnant Ă ce que Marie-Louise soit en Belgique puisque 526 maisons religieuses, Ă©tablies prĂ©alablement en France, sâĂ©taient rĂ©fugiĂ©es en Belgique.
Une grande place pour la religion
Qui dit pensionnat religieux dit aussi enseignement religieux. Celui-ci avait une grande place dans les journĂ©es des petites pensionnaires. En 1906, alors quâelle est loin des siens et quâelle ne peut pas leur prĂ©senter ses voeux de nouvelle annĂ©e de vive voix, Marie-Louise Ă©crit: « Ce qui me console câest que le bon Dieu est partout, il Ă©coute mes vĆux. »
Les Ă©lĂšves ont Ă©galement droit Ă des pĂ©riodes de retraite de plusieurs jours oĂč elles ne font que prier et Ă©couter sans avoir mĂȘme le droit de parler : « Oh jâai passĂ© une bonne retraite. Il y a un bon rĂ©demptoriste qui est venu prĂȘcher sur la mort, sur lâenfer, sur la Sainte Vierge. Jâai fait bĂ©nir mes deux chapelets. Maintenant, quand je dis un Ave Maria ou un Pater, en le touchant, jâai trois cents jours dâindulgences. Il nous a donnĂ© lâindulgence plĂ©niĂšre, la bĂ©nĂ©diction du Souverain Pontife et la sienne. Il nous a racontĂ© de belles histoires. »
source Wikipedia
Elle ajoute : « Jâai achetĂ© les Saints scapulaires**, il les a bĂ©nis, on ne peut pas sâen passer, on dit quâon ne peut pas mourir subitement. »
Lâinfluence des religieuses
Les religieuses ont lâart et la maniĂšre de plaire aux parents car ce sont eux leurs principaux pourvoyeurs de fonds. Ainsi dans les suggestions dâidĂ©es de lettres aux parents, on trouve « bonheur au pensionnat, merci Ă vos parents de vous mettre au pensionnat » Et Marie-Louise rĂ©dige ainsi sa lettre : « En quittant la maison paternelle, je me disais : Oh que câest triste de quitter ses parents. Aujourdâhui cette vilaine pensĂ©e a fait place Ă celle-ci : Le pensionnat est bien une seconde famille, on sâaime, on travaille, on prie, on sâamuse. Oh oui, je suis bien habituĂ©e. Merci, chers parents, de mâavoir mise dans un si bon pensionnat. »
Dans la mĂȘme lettre qui date sans doute de 1906, elle raconte aussi : « Madame me dit ce matin : Marie-Louise aimez-vous vos parents ? Oh ! je crois bien Madame lui ai-je rĂ©pondu de mon cĆur. Eh bien, ma petite fille, vous leur direz dans votre lettre de cette semaine que vous les aimez. »
Dans la derniĂšre copie de lettre du cahier, elle dit Ă©galement Ă sa cousine : « Je suis trĂšs heureuse en pension et je vous invite Ă venir au pensionnat quand vous voudrez. Je fais beaucoup de progrĂšs sous tous rapports et je remercie tous les jours le bon Dieu de mâavoir mise dans une si bonne maison dâĂ©ducation. »
Dans la lettre précédente à destination de ses parents, Marie-Louise se fait la messagÚre des religieuses : « Madame la Supérieure et toutes les Dames présentent leurs amitiés religieuses. »
Il est certain quâelle a reçu une bonne Ă©ducation et quâelle nâa pas connu une vie trop rude. Ainsi, quand il reste peu dâĂ©lĂšves au pensionnat, pendant de courtes vacances, les religieuses organisent des sorties : « le lundi Madame la SupĂ©rieure nous conduira dĂźner dans un endroit oĂč nous aurons beaucoup de plaisir puis Madame la cuisiniĂšre nous fera des sirops, des beignets, enfin toutes sortes de bonnes choses. » ou encore « On a Ă©tĂ© dans un cabaret Ă cĂŽtĂ©, on pouvait choisir de la biĂšre ou du cidre. Jâai pris du cidre, une bouteille toute pleine pour dix centimes. »
Quâen dĂ©duit-on Ă propos de Marie-Louise ?
Marie-Louise est une petite fille qui accepte la vie telle quâelle est et qui profite des petits plaisirs qui se prĂ©sentent. Elle ne se plaint jamais de son sort.
Elle est trĂšs respectueuse de ses parents et il semble mĂȘme quâelle les vouvoie : « Que faites-vous en ce moment, maman ? Si vous ĂȘtes occupĂ©e Ă coudre, laissez lĂ votre ouvrage. »
Ce cahier nous donne Ă lire des paroles de petite fille bien soumise et bien Ă©duquĂ©e. Elle remercie ses parents des « tendres soins que vous me prodiguez » ou elle formule des « vĆux ardents pour que vous conserviez longtemps la santé ».
Elle dit que ses parents lui reprochent son Ă©tourderie mais elle fait tout son possible pour ĂȘtre inscrite au tableau dâhonneur et avoir de bonnes notes et un bon classement. Ses rĂ©sultats scolaires la soucient beaucoup. Marie-Louise est tout de mĂȘme assez confiante en elle.
*Le jeu du drapeau : deux Ă©quipes, avec chacune un drapeau, se partagent le terrain de jeu. Lâobjectif, pour chaque Ă©quipe, est de capturer le drapeau adverse pour le ramener dans son camp sans se faire attraper. Lorsquâun joueur portant le drapeau adverse se fait toucher, il doit laisser le drapeau Ă terre et aller en prison. Il est possible de libĂ©rer le prisonnier si lâun de ses coĂ©quipiers vient lui taper dans la main sans se faire toucher.
**Les saints scapulaires sont composĂ©s de deux petits rectangles de tissu joints par deux cordons qui lâon place sur les Ă©paules. Un des tissus est placĂ© sur la poitrine, lâautre pend dans le dos. Ces tissus sont recouverts dâimages pieuses ou de textes religieux. Il est recommandĂ© de les porter jour et nuit.
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