#et quand on sait comment se termine le film
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This movie is questionable in some aspects and has a lot of flaws but Gottfried John as Caesar is NOT one of them. Best Caesar of all the live action movies. You can't change my mind. His Caesar is the one who's closest to the Caesar of the comics in look and character.
Astérix & Obélix contre César
Director: Claude Zidi | Studio: Pathé | France, 1999 Starring: Christian Clavier, Gérard Depardieu, & Gottfried John
#astérix et obélix contre césar#ce film porte mal son nom quand même#quand césar n'est pas le vrai antagoniste du film#et quand on sait comment se termine le film#astérix
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Dernière Fois - Stuart Twombly
Masterlist
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Résumé : Tu couches avec Stuart depuis le début de votre stage chez Google. Après chaque nuit passée ensemble, il affirme que c'est la dernière fois, mais il revient toujours.
Warnings : se passe durant le film, smut sous-entendu, alcool (consommez l'alcool avec modération), boite de nuit avec stripteaseuses, un peu d'angst, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.1k
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Chanson qui m'a inspiré : This Love par Camila Cabello
Tu plisses les paupières à cause des premiers rayons de soleil entrant dans ta chambre de chez Google. Tu te relèves doucement tout en entourant ta poitrine nue de ta couverture. Tu remarques Stuart se rhabillant, prêt à partir comme un voleur, encore une fois. Quand il est venu te voir hier, tu n’as pas su résister alors que tu sais comment ça se termine. Comme à chaque fois. Tu te penses vraiment pathétique de lui laisser autant de pouvoir sur toi.
- C'est quelle heure ? demandes-tu.
- Six heures du matin. Je vais retourner dans ma chambre, t'informe-t-il avant de laisser planer un blanc. À propos d'hier...
- Ça ne se reproduira pas, finis-tu avec lassitude. Je sais.
- Cette fois, je le pense. Si on continue...
- On risque de ruiner notre stage. Je sais.
- On se voit tout à l'heure, avec les autres, pour la nouvelle épreuve ? s’enquiert Stuart en se grattant la nuque.
- Ouais.
Il te fait un dernier sourire gêné et quitte ta chambre, son bonnet à la main. Tu te laisses retomber dans ton lit en te maudissant mentalement. Ça fait plus d'un mois que cette situation se produit. Généralement, ça recommence toujours de la même façon, vous vous ignorez pendant quelques jours puis il revient doucement vers toi et en un rien de temps, vous vous retrouvez dénudés jusqu’à ce qu’il te dise que c’est la dernière fois. C'est comme une boucle sans fin. Plus le temps passe et plus tu as l’impression qu’il te prend pour une idiote. Tu aimerais que pour une fois, il s’écoute quand il dit que c’est fini. Tu n'en peux plus. À chaque fois, tu te construis des murs en te faisant à l'idée que ça n'arrivera pas de nouveau, puis il prend toujours un malin plaisir à les détruire. Tu as l'impression d'être seulement un jeu pour lui. Tu aimerais pouvoir dire que ça ne t'atteint pas autant, mais à chaque fois qu'il revient pour mieux repartir ton cœur se serre un peu plus. Tu ne sais plus où donner de la tête. De plus, au fil de ce stage chez Google, tu as développé des sentiments pour Stuart à ton plus grand désespoir. Pourtant, les histoires de garçons étaient bien la dernière chose que tu voulais en étant ici.
En arrivant dans la salle de réunion du groupe, tu te rends compte que tu es la dernière. Tu te figes une seconde quand tu revois Stuart, mais tu ne fais comme si de rien n'était. Personne ne sait pour... vous ? Enfin, si on peut utiliser ce terme, car malgré votre intimité, Stuart te rappelle bien que ce “vous” n’existe pas. Vous avez gardé votre pseudo-relation secrète pour éviter que l'ambiance de votre groupe soit bizarre, l’équilibre avec vos différentes personnalités et âges par rapport à Billy et Nick rendent déjà les choses assez compliquées.
Une semaine s’est écoulée depuis votre dernière fois. Tu es rassurée de voir qu'il n'est toujours pas revenu. Peut-être qu'il était sérieux cette fois ? Tu mentirais si tu disais qu’il n’y avait pas une tension palpable entre Stuart et toi ces derniers jours. Même si votre équipe n’est pas au courant, ils sentent que quelque chose s’est passé entre vous, mais ils ne pourraient pas deviner la réelle raison. Nea a essayé de te parler en privé, mais tu as tout nié. Tu lui as menti en disant qu’il n’y a pas de discorde entre Stuart et toi. Après tout, c’est fini, ça servirait à quoi de lui dire ?
Tu es dans ta chambre, prête à aller te coucher quand tu entends frapper à ta porte. Tu ouvres à la personne et découvres Stuart, les lèvres pincées. Ton estomac se retourne en pensant que ça va recommencer comme les dernières fois.
- Désolé de te déranger, mon chargeur est mort et je voulais savoir si t'en avais un deuxième ou si je pouvais utiliser le tien, explique-t-il en montrant son téléphone.
- Mon téléphone est à 100 %, tu peux l’utiliser maintenant, lui proposes-tu.
Tu vas chercher ton chargeur pour le lui donner. Cependant, quand il le récupère, il ne bouge pas du seuil de ta porte. Tu hausses les sourcils, ne comprenant pas son manque de réaction.
- Je voulais aussi te parler. Peut-être qu’on pourrait le faire pendant que mon portable charge ?
Il te donne son téléphone et ton chargeur, tu le branches et le poses sur la table de nuit. Tu te retournes et vois Stuart qui essaye de fuir ton regard. Le silence devenant de plus en plus pesant, tu t'assois sur ton lit. Tu lui lances un regard pour l’inviter à dire ce qu’il a en tête. Il s'assoit à côté de toi et se racle la gorge.
- Tu sais, on devrait peut-être agir comme si rien ne s'était passé. Je crois que les autres se doutent de quelque chose.
- Ouais, souffles-tu. Nea m’a même demandé ce qu’il s’était passé.
- Tu lui as dit quoi ?
- Qu’il ne s’était rien passé, qu’elle s’imaginait des films. Elle n’avait pas l’air totalement convaincue, mais elle n’a pas plus insisté.
- Si ça devient trop un frein pour notre stage, il faudra vraiment qu’on fasse quelque chose.
Pour simple réponse, tu hoches la tête. Vous restez silencieux, ignorant quoi ajouter d’autre. Tu évites d’abord son regard avant de sentir sa présence un peu plus proche de ton corps. Quand tu tournes la tête de nouveau vers lui, tu remarques que ses lèvres ne sont plus qu'à quelques millimètres des tiennes. Tu ne sais même pas comment vous en êtes arrivés là. Tu sais que tu devrais reculer, mais tu te sens attirée par lui, malgré toi. Stuart sait comment faire pour te ramener vers lui. Tu ignores s’il le fait consciemment ou non, cependant, il arrive à te faire craquer doucement à nouveau. Tu n'as pas le temps de penser plus longtemps que tu sens les lèvres de Stuart sur les tiennes. Tu lui rends son baiser, comme si c'était un automatisme. Comme vous en avez l'habitude, vos corps se rapprochent de plus en plus et tu t'assois à califourchon sur Stuart. Il met ses mains sur tes hanches pour enlever le plus de distances possibles. Tu sens ses mains glissées sous ton tee-shirt et tel un électrochoc, tu sors de ta transe et te sépares de lui. Tu fuis dans le coin opposé de lui en essayant de reprendre mes esprits et en remettant ton haut comme il faut.
- Tu avais dit que c'était la dernière fois il y a une semaine, t'exclames-tu, à bout de souffle. C'est pour ça que tu es venue dans ma chambre ce soir ? Le téléphone et la conversation n’étaient qu’une excuse, c’est ça ? J'en ai marre, Stuart. J'ai l'impression que tu joues à un jeu et que je suis ton pion. Tu ne peux pas partir et revenir comme ça encore et encore... ça me fait mal, lui avoues-tu.
- Désolé, je sais pas ce qui m'a pris. Je le pensais quand je t’ai dit que c'était la dernière fois, s'excuse Stuart avec des joues rouges.
- Oui, comme la fois d'avant et encore d'avant. Je dois toujours reconstruire des barrières et toi tu t’amuses à les détruire. J'en ai ma claque, Stuart ! t'emportes-tu. Tu ne peux pas me dire blanc et le lendemain me dire noir. Je suis perdue. Je sais pas comment agir avec toi, c’est pour ça que l’équipe a compris qu’il s’est passé quelque chose entre nous.
- Y/N, je te jure que...
- Garde tes explications pour toi, rétorques-tu avant de te diriger vers ta table de chevet. Récupère ton téléphone et va demander le chargeur de Yo-yo. Laisse-moi tranquille, ordonnes-tu en lui redonnant son portable.
Stuart baisse le regard avant de se lever de ton lit et quitter ta chambre sans rien ajouter. Quand il ferme la porte, tu passes ta main sur ton visage en lâchant un soupir. C'est la première fois que tu arrives à t'arrêter avant que ça dérape. D'un côté, tu considères ce moment comme une victoire, mais de l'autre, il a quand même réussi à te retourner la tête pendant une seconde. Tu aimerais qu’il n'ait pas autant d’effet sur toi. Si tu pouvais, tu reviendrais en arrière et ferais en sorte de rester loin de lui. Tu n’aurais pas dû lui parler et devenir amis avec lui, tu aurais dû écouter ta tête et te concentrer uniquement sur ce stage.
Après votre dernière altercation, tu n'as plus adressé la parole à Stuart. Tu essayes de l'éviter autant que tu le peux, malgré les circonstances. Malheureusement, ce soir-là, tu vas devoir rester en sa présence plus longtemps que tu le voudrais. Vous devez créer une application et aucun de vous n'a d'idées alors avec le groupe, vous êtes encore dans votre salle à vous faire des nœuds au cerveau.
Plus le temps passe et plus vous paniquez. C'est l'avant-dernière épreuve donc vous n’avez pas le droit à l’erreur si vous voulez avoir un job l'année prochaine. Une fois de temps en temps, Billy et Nick essayent de proposer des idées, mais elles ont déjà été faites. Ce qui t’agace le plus dans cette situation est qu’ils n'ont pas l'air stressés par le fait que vous n’ayez aucune idée. Les travaux de groupe sont compliqués avec eux parfois. Tu as l'impression qu'ils ne comprennent pas vraiment à quel point ce stage est important pour vous.
- Vous savez quoi ? On devrait sortir, se changer les idées, balance Nick sans préambule.
- On doit trouver l'idée de notre application. On a pas le temps pour les sorties, rétorques-tu en massant tes tempes.
- Vous êtes toujours en train de bosser. C'est pas en vous creusant le cerveau que vous allez y arriver, croyez-moi, dit-il avant de se rapprocher de son ami. Faites-nous confiance.
- D'accord, mais alors pas longtemps, accepte Lyle. Il faut vraiment qu'on bosse.
Après un repas dans un restaurant asiatique, Nick vous emmène dans un bar sous les conseils d'une personne du restaurant. En arrivant dans le lieu, vous découvrez que Nick a fait une erreur de traduction. Ce n'est pas un bar, mais une boîte de nuit, comme les strip-teaseuses présentes vous le prouvent. Tu es instantanément gênée, comme le reste du groupe. Des femmes se rapprochent de vous, enfin des garçons. L'une d'entre elle vient face à Stuart qui a la tête plongée dans son téléphone. Quand il relève le regard, il est d’abord surpris puis, ses yeux s’ouvrent un peu plus d'étonnement quand la strip-teaseuse prend son doigt et le met dans sa bouche. Tu ne peux t’empêcher d’ouvrir grand les yeux également en voyant l’action. Sans dire quelque chose, Stuart se fait entraîner par la femme dans un autre endroit de la boîte pendant que tu restes à côté de Nea.
Finalement, en moins de trente minutes, ils s'amusent tous et boivent de l'alcool. Pour ta part, tu restes sur une banquette, un verre à la main. Tu n'as pas vraiment envie de danser avec Nea ou de voir Stuart s'amuser avec une autre femme. Cette soirée rentre officiellement dans ton top trois des pires soirées de ta vie.
Toutefois, tu essayes de voir le bon côté en te disant que ce n'est pas vers toi que Stuart vient travailler ses hormones, mais tu mentirais si tu disais que ça ne t'a pas fait quelque chose quand tu l'as vu partir avec cette femme. Tu n’aimes pas savoir que tu es actuellement rongée par la jalousie. Tu as enfin ce que tu veux : Stuart loin de toi et pourtant ton corps ne réclame qu’une chose, le retrouver. Stuart ne te fait pas penser rationnellement et tu détestes ça, tu le détestes pour ça.
- Tu ne t'amuses pas ? te demande Nick en s'asseyant à côté de toi.
- Je n'ai pas la tête à la fête.
- Y/N, t'as vingt-et-un ans, c'est le moment de s'éclater. Après il sera trop tard, crois-moi.
- J'ai trop de pensées dans la tête pour m'amuser.
- Ah ! Ça c'est à cause d'un garçon, je me trompe ? déclare-t-il en souriant. Peut-être que je connais celui qui te fait tourner la tête.
- Tu dis n'importe quoi ! Je m'inquiète pour notre appli' qu'on a toujours pas faite à cause de votre brillante idée, à toi et Billy.
Tu poses violemment ton verre sur la table basse face à toi avant de te lever, énervée par sa remarque. À peine as-tu fait deux pas que Stuart vient vers vous un grand sourire aux lèvres. Apparemment, il vient de passer un excellent moment. Tu le vois ouvrir la bouche, prêt à parler, mais tu le coupes dans son élan.
- Toi, ferme-la, je ne veux surtout pas t'entendre !
Tu vas dans les toilettes de la boîte pour te passer de l'eau sur le visage, espérant te calmer rapidement. Tu es surprise de savoir que tu es partie au quart de tour. La situation avec Stuart t’irrite plus que tu ne le pensais.
Après une dizaine de minutes, tu quittes les toilettes et retournes vers le groupe. Cependant, tu les retrouves sur le point de se faire virer par les videurs. Sans réellement comprendre, tu les suis hors de la boîte et Yo-yo t'informe qu'ils se sont bagarrés, c’est pourquoi ils ont dû partir. Parfois, tu te demandes pourquoi tu n’as pas fait plus d’effort pour aller dans un autre groupe.
Finalement, vous vous rendez dans un endroit proche du Golden Gates Bridge pour dessoûler, enfin pour qu'ils dessoulent surtout car à part deux verres d'alcool, tu n'as rien bu d'autres donc tu vas plutôt bien. Lyle est complètement bourré alors que les autres ont juste une bonne gueule de bois.
Tu es assise sur un banc, à part des autres. Ton agacement est encore trop fort pour rire face à leurs singeries alcoolisées alors tu préfères être un peu seule et profiter de la fraîcheur matinale. Il te faut une trentaine de minutes pour rigoler doucement face aux actions de Lyle. Il dit plein de choses qui n'ont pas forcément de sens, ce qui est très différent de ce qu'il est habituellement. Au loin, tu remarques Stuart parler à Nick. Tu te demandes de quoi ils peuvent parler avant que tu puisses t’en empêcher. Stuart doit arrêter d’occuper toutes tes pensées. En parlant de Stuart, tu le vois se rapprocher de toi. Il s'assoit à tes côtés alors que tu refuses de le regarder, gardant tes yeux sur le paysage face à toi.
- Est-ce qu'on pourrait arrêter de s'éviter ?
- Quand on ne le fait pas, ils remarquent qu'il y a quelque chose entre nous... Enfin qu'il y avait, rétorques-tu, séchèment.
- J'ai dit qu'on ne coucherait plus ensemble pas qu'on ne devait plus se parler.
- Sauf que quand on se parle, tu veux toujours que je finisse dans ton lit. Je préfère garder mes distances.
- Je voulais pas gâcher notre amitié, t'avoue-t-il. T'es quelqu'un de génial.
- Moins bien que l'autre femme de la boite, marmonnes-tu.
- Quoi ?
- Rien, lui dis-tu, ne voulant pas lui montrer ta jalousie.
- Y/N, je te jure que je n'ai jamais voulu jouer avec toi ou détruire notre amitié. Quand je t'ai embrassé la première fois, je sais pas ce qui m'a pris. Ça n’aurait jamais dû aller aussi loin. Je m’excuse.
- On en a déjà parlé mille fois, Stuart, soupires-tu en le regardant. J'ai l'impression qu'on tourne en rond. Soit tu veux de moi, soit tu ne me veux pas. Mais tu ne peux pas partir et revenir quand tu veux.
- Je sais.
- Pourquoi tu fais ça alors ? lui demandes-tu, désespérée.
- Je ne sais pas.
- Wow, tu sais comment parler aux femmes, dis-tu sarcastiquement. Cet amour fait chier, murmures-tu avant de me lever.
- Attends. Je tiens à toi, Y/N, te retient Stuart en prenant ta main. Plus que je ne le voudrais et je pense que c'est pour ça que je pars et que je reviens. Je ne veux pas te perdre, mais je ne sais pas si toi tu me veux.
- J’aurais préféré que tu parles avec moi de tes peurs plutôt que tu me fasses du mal. Je m’en serais passé, lui lances-tu avant de le laisser seul.
La gueule de bois de ton équipe a fini par vous donner l'idée de votre application, projet qui vous a fait gagner des points. Même si tu devrais être heureuse de voir que le stage se passe bien, tu ne peux pas t'empêcher d'être perturbée par ce que t'a dit Stuart plus tôt. Le pensait-il ? Ou est-ce qu'il te veut juste dans son lit à nouveau ? Il a dit qu'il tenait à toi, mais tu ne sais pas si tu devrais le croire. Après tout, il t'a fait tellement de désillusions en un mois et demi…
Votre épreuve finie, tu marches vers ta chambre afin de te reposer. Entre la nuit blanche et l’application que vous avez dû préparer à la dernière minute, tu n’as plus d’énergie. Tu ne rêves que d���une chose : le confort de ton lit. Tu es sur le point d’ouvrir la porte de ta chambre quand tu entends quelqu’un appeler ton nom :
- Y/N !
- Stuart ? Qu'est-ce que tu veux ? questionnes-tu alors qu’il arrive face à toi.
- J'en ai marre de me cacher, lâche-t-il. Je tiens beaucoup à toi, Y/N. Tu es une personne intelligente, drôle et magnifique. J'ai été con à toujours partir et revenir, tu ne mérites pas que je te fasse ça. Tu avais raison ce matin, j’aurais dû te parler de ce que je ressentais avant de tout faire foirer. C'est juste que je ne savais pas si tu voudrais d'une relation avec moi alors je me contentais de ce qu’on avait et tu semblais t’en contenter également sauf que j’ai fini par te blesser et j'en suis terriblement désolé. Je sais que j’ai ruiné toutes mes chances avec toi, mais si je pouvais au moins t’avoir comme amie, ça me rendrait heureux. Y/N, je te promets que si je pouvais retourner en arrière, je t'avouerais mon attirance bien avant pour ne pas que tu me détestes maintenant.
- Je ne te déteste pas, le corriges-tu en le regardant dans les yeux.
- Vraiment ?
- J'ai été très déçue par toi, c'est sûr. Tu m'as retourné le cerveau, c'est le moins qu'on puisse dire, mais je ne peux pas m'empêcher de toujours retomber dans tes bras, car je tiens à toi aussi, lui avoues-tu. Je sais que je vais sûrement regretter ce que je vais te dire, mais si cette fois, tu promets de communiquer avec moi, de ne pas fuir à la première hésitation, je veux bien qu’on essaye de revenir amis. Même si j’ai des sentiments pour toi, je ne peux pas te promettre qu'on se mettra ensemble, j’ai besoin de te faire totalement confiance avant de me lancer dans une relation. Mais je ne peux pas faire comme si je voulais rester loin de toi. Essayons une toute dernière fois.
- Une dernière fois, c’est tout ce que je demande, sourit Stuart avec un regard rempli d’espoir.
Finalement, cette dernière fois a fini par être différente des précédentes. Votre relation avec Stuart a enfin pu devenir quelque chose de beau, comme vos cœurs le souhaitaient tant.
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Romance Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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Pour une dernière fois;
Lettre à mes deux hommes,
Dès notre rencontre, je t’ai plu, et ce fut une chance incroyable, car je ne me considère pas comme quelqu’un d’extravagant. Même maintenant, quand tu me demandes ce que j’aime chez moi, je peine à trouver une réponse, convaincue que c’est ma simplicité qui t’a charmé.
Notre connexion était évidente, et je me suis vite rendue compte que, dans tes bras, je me sentirais toujours en sécurité, aimée et protégée. Après très peu de temps, j’avais déjà la certitude que tu serais là pour m’encourager dans tous mes projets, me faire sourire et me pousser à dépasser mes limites après un échec, afin de devenir la meilleure version de moi-même. Tu as toujours souhaité m’offrir le meilleur. Et ce désir a toujours été réciproque.
Nous partageons de longues discussions auxquelles je n’ai jamais envie de mettre un terme, tant je te trouve passionné et j’aime ton humour bien à toi et ta manière de transformer des histoires ordinaires en films d’action. J’ai toujours su que je ne m’ennuierais jamais avec toi.
Et puis, il y a ta façon de prendre soin de moi, de t’inquiéter pour mon bien-être, de me demander comment s’est passée ma journée ou si j’ai bien dormi. Avant toi, personne ne semblait se soucier réellement de ces détails qui, pourtant, comptent tant. Avec toi, tout est différent.
Notre histoire était faite de ces choses indescriptibles, de cette alchimie et harmonie qu’on ne sait expliquer mais qu’on ressent profondément. Le temps a filé à une vitesse incroyable, preuve que les moments heureux semblent toujours trop courts. J’aimerais pouvoir appuyer sur pause, ne serait-ce qu’un instant, pour prolonger ces instants précieux qui n’appartiennent qu’à nous.
Nous avons pris notre temps pour construire notre relation, mais tout a semblé passer si vite. J’aurais aimée que ce soit assez pour toi. J’aurais aimée que tu puisse te laisser aller encore plus longtemps à mes côtés.
Je savais que nous serions suffisamment solides pour affronter ensemble les tempêtes émotionnelles, que notre résilience était à toute épreuve, et surtout, que nous étions capables de nous compléter parfaitement.
J’aurais voulu être la personne qui serait là pour toi dans les bons comme dans les mauvais moments, pour célébrer tes succès, partager tes échecs, embrasser tes imperfections afin que tu apprennes à les aimer.
Puis cette fin est arrivée, prématurément selon moi.
Tout étais terminer et il fallait continuer chacun de son côté.
Puis ses deux lignes rose sont apparues. Je me suis sentie démunie et plus seule que jamais. Je ne savais pas quoi faire. Je n’étais pas prête. Le moment était mal choisi.
Le jour arrivas.
J’avais l’impression que tout le monde savaient mon secret qui devenait de plus en plus difficile à porter. La douleur de ne pas savoir si je prenais vraiment la bonne décision, la tristesse de vouloir garder mon bébé, mais de ne pas être en mesure de le faire. Puis soudainement, tout est devenu noir et quelques heures plus tard, mon bébé n’était plus.
La minute précédente, je portais la vie et celle d’après plus rien.
J’ai ressenti un grand vide dans mon corps, une douleur innommable dans mon coeur. Pourtant, au fond de moi, je savais que j’avais fait le bon choix pour toi. Qu’à cet instant-là , je n’avais rien à t’offrir et que je n’aurais malheureusement pas été en mesure de m’occuper adéquatement de toi.
On m’a dit que la douleur partirait. Que j’oublierais cet épisode de ma vie et effacerait ce souvenir.
Je me sens toujours coupable d’avoir enlevé la vie à ce petit être qui ne demandait qu’à vivre. Je me demande sans cesse ce qu’aurait été mon existence si j’avais gardé cet enfant. Je me demande si mon amour pour cet enfant aurait suffi. Je me demande si c’était un petit garçon ou une petite fille et ce à quoi il aurait ressemblé. J’ose croire que tu aurais eu mes yeux, probablement le caractère de ton père. Tu aurais pu déplacer des montagnes, je le sens au fond de moi. Tu aurais été extraordinaire, tu aurais eu toute les chances de grandir dans ce monde remplis d’injustice. Tu aurais trouver ta place comme personne. J’aime t’imaginer, petit homme, courir dans tout les sens et t’entendre dire maman.
La douleur ne s’est pas réellement atténuée et je ressens toujours un vide immense qui prend davantage d’espace à chaque jour ou je me demande si cette décision était la bonne. Je sais que cette douleur restera toujours.
J’aimerai simplement, le temps d’un instant, me sentir moins seule. Être seule avec moi-même est la pire des souffrances.
J’aimerai que ton père soit la, mais cette journée-là je vous ai perdu tous les deux à jamais.
Ma petite poussière 💫
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SAMEDI 24 SEPTEMBRE 2022 (Billet 1 / 4)
« CRONIQUE D’UNE PASSION PASSAGERE » (1h40)
Vous ayant déjà montré la bande-annonce la semaine dernière, vous ne trouverez ci-dessus que l’affiche. Petite parenthèse, les deux acteurs y apparaissent en contre-jour devant une œuvre très célèbre. Quelle est-elle et où sont-ils ? Celui ou celle qui nous donnera en premier les bonnes réponses recevront un petit « cadeau-surprise » de notre part.
Les critiques « pro » étant quasi unanimes, nous y sommes allés encore une fois convaincus que le film allait nous enchanter… mais nous avons déchanté tous les deux aux trois quarts de la projection.
Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne ont une relation extra-conjugale, elle, mère célibataire, énergique et qui sait vraiment ce qu'elle veut, et lui, homme marié, empoté, maladroit, hésitant, toujours sur ses gardes. Ils ont choisi de ne se voir que pour le plaisir et se félicitent de l'absence de sentiment (en tout cas, c'est ce qu'ils se disent). Les acteurs et les dialogues sont excellents (un sérieux bémol quand même avec les acteurs barbus, ici Vincent Macaigne – on ne le voit jouer la comédie qu’avec la moitié du visage… Ne sont finalement « expressifs » que le front, les yeux, le nez et à peine la bouche ! Difficile de deviner toute la finesse de son jeu, heureusement qu’il y a les dialogues ! Et ces dialogues, on dirait du Woody Allen de sa belle époque mais malheureusement ce n’est pas lui qui a écrit le scénario, la dernière partie du film est totalement ratée. Non pas tant avec l’arrivée du troisième personnage (on n’en dira rien pour ne pas spolier l’intrigue) mais pour clore le film. A notre avis, le metteur en scène n’a tout simplement pas su comment terminer son film. D’où des répétitions dans les dialogues qui se mettent à patiner et à ressembler alors de plus en plus à du bavardage.
Le choix des musiques et les cadrages sont remarquables. Nous aurions attribué ❤️❤️❤️❤️ au film d’Emmanuel Mouret s’il s’était terminé avec la même rigueur scénaristique qu’il avait commencé. Nous lui accordons quand même ❤️❤️❤️, les points positifs restant la (grande) qualité des dialogues et l’interprétation des deux comédiens, principalement Sandrine Kiberlain. Un très bel accessit à la jeune Georgia Scalliet dont on reparlera sûrement.
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Bon après ce re visionnage, j’ai pris des notes (ce qui n’est pas commode dans un ciné) sur diverses pensées qui m’ont traversé l’esprit tout le long du film (dans le désordre hein):
- Papenius (je crois) : Le p’tit gamin gauche de la légion. Arthurus a déjà cette tendance à préserver les faibles. Après tout, il prend sous son aile ce compagnon qui n’est clairement pas au même niveau que les autres
- J’aime comment ils ont traité l’annonce du retour d’Arthur avec le personnage de Leodagan. On sent qu’il a cessé d’y croire. Il y a beaucoup d’amertume dans son discours. Mais pas celle de d’habitude. Bien sûr qu’il doit en vouloir au �� cornichon pesteux » mais on dirait qu’il a baissé les bras. Et j’trouve ça triste.
- La relation entre Shedda et Furadja : J’la trouve ambigüe. Ok ya le rapport maîtresse/esclave mais…ya autre chose. Pourquoi tant d’animosité ? Parce qu’elle sait qu’elle voit Arthurus ?
- En tout cas tous ces flash back, outre le fait d’expliquer la répulsion d’Arthur de tuer, ça explique peut être en partie aussi le fait qu’il ait progressivement affranchi les esclaves dans Kaamelott.
- Même si Karadoc n’est pas mon personnage préféré (et que par moment, j’ai envie d’lui foutre des claques) bah j’trouve que globalement, il a la classe dans ce volet. Particulièrement au début.
- C’est quand même Wulfstan qui a pitié des pécores et leur présente ses condoléances
- De manière générale, on sent quand même que tous les personnages ont pris du plomb dans l’aile. Même s’ils sont ce qu’ils sont, et qu’ils continuent à nous faire rire, j’trouve qu’on sent vraiment bien qu’ils sont plus matures. Qu’ils ont dû apprendre à se débrouiller sans Arthur, qu’ils en ont chié, mais qu’ils en sont sortis grandis. J’pense au discours de Perceval et Karadoc dans les mines, quand ils expliquent leurs erreurs et leur manière de les corriger.
- Le regard que jette Perceval à Arthur quand il le reconnait dans la cage <3
- Les glandus qui ont mieux compris que leurs chefs qu’il faut absolument faire effondrer les tunnels s’ils ne veulent pas être suivis après leur fuite du cachot xD
- Merlin, il a pas changé xD Mais rien ! Physiquement j’veux dire. Parce qu’il m’a l’air bien plus réfléchi qu’avant par contre.
- Au final, n’importe qui peut rentrer dans les tunnels, personne ne surveille rien lol (la preuve, Kolaig)
- Quand Kolaig parle de Guenièvre comme la femme d’Arthur et que Karadoc s’interpose. Quand Karadoc jette un regard hésitant vers Arthur quand il comprend que finalement, mieux vaut qu’il insiste pas sur le sujet ou alors il peut être la cible de tueurs si d’autres mecs convoitent Guenièvre (bah oui, si le postulat c’est que Genièvre est toujours marié à Karadoc à cause de l’échange d’épouse)
- Les multiples coups d’oeils qu’échangent Arthur et Guenièvre quand ils sont dans la tente Burgonde
- La Tour <3. Et moi j’dis c’est les deux qui s’avancent à la toute fin pour s’embrasser :p
- Le rapport entre Wulfstan et Horsa m’interpelle. Qu’est ce qu’ils sont exactement l’un pour l’autre ? Parents, amants ou juste liés militairement ? J’ai l’impression que c’est plus. Wulfstan est toujours dans l’attente des réactions de Horsa (ok, si c’est son chef sa marche aussi) mais…non, la main sur l’épaule d’Horsa quand ce dernier hésite devant Arthur sur Thanet…Ils ont une relation plus « intime » que simplement du hiérarchique.
- Pis bon, j’les aime bien les saxons. Déjà, ils semblent avoir du respect et de la déférence devant Arthur. Même quand il n’est pas encore annoncé comme vivant. Horsa remet souvent le conseil et Lancelot à leur place. Ils ne paraissent pas ravis des agissements qu’on leur commande. J’ai hâte de voir leur évolution dans l’histoire.
- La nouvelle génération : Je sais que ça a été déjà évoqué, mais après avoir revu certaines scènes, il semble assez évident que c’est la jeune génération qui va compter pour la suite. Déjà, même s’ils sont pas tous fut-fut, ils ont l’air un poil au dessus des anciens niveau réflexion. Peut être parce qu’ils ont connu 10 ans de leur jeunesse sous le joug d’un tyran et ça, ben ça forge le caractère. Je pense que le fait que ce soit Gareth et Meghan qui partent chercher Arthur dans les ruines, que ce soient eux qui le sauvent, que Meghan pense à récupérer Excalibur (alors que Arthur se barre sans même un regard) c’est important. Comme la présence des gamins à la table ronde de Gaune. L’image de Lucan (nouvelle génération de chevalier) et le petit gosse avec son couteau à la fin…c’est eux qui comptent.
- Rostan de Provence <3 (parce que vu d’où je viens, forcément, cet accent c’est ma maison hein ^^)
- D’après moi, les chevaliers de l’ancienne génération, Guenièvre, Merlin, ainsi qu’Arthur, ne sont clairement là que pour donner un élan. Arthur n’est plus Arthur à proprement parlé. Il est devenu un personnage de légende. C’est visible quand Perceval parle « d’époque arthurienne ». D’ailleurs, Elias parle de résurrection également à l’égard de lui et Karadoc. Ou quand les gamines de Karadoc ne se souviennent pas du roi ou de leur vie à Kaamelott. Quand le duc dit que « selon la légende », Arthur aurait cédé le trône à Lancelot. Même s’ils sont toujours là et bien vivants, ils sont plus des symboles que des personnes en chair et en os aux yeux des gens.
- La légende arthurienne : Je pense aussi qu’il y a une plus grande part de bouche à oreille, plus qu’auparavant. Car à cause de Lancelot et du départ du Père Blaise, il a fallu faire vivre l’espoir, sans les écrits. Et Arthur c’est l’espoir. La légende c’est le mode d’emploi pour essayer de sortir de sa condition. Par conséquent, je pense que les prochains films expliqueront comment ce n’est pas Arthur qui sauvera le royaume de Logre, mais comment les jeunes générations vont s’inspirer de lui, de sa légende. Une légende qui au départ a été couchée sur papier par la volonté du Roi, mais que le peuple s’est davantage approprié durant son absence.
Vala vala n__n allez, je file terminer mon histoire parce que bon, hein u_u
#kaamelott premier volet#kaamelott spoilers#arthur x guenièvre#guenièvre#king arthur#perceval#leodagan#merlin#karadoc#et toute la clique
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Kaamelott ask meme
Créé par @girafeduvexin
1) Ton/tes persos préférés ?
Je pense que ce sera sans surprise que je réponde Perceval
Mais en même temps, comment voulez-vous que je résiste ? Avec cette bouille adorable, ces yeux bleu incroyables, sa naïveté, sa dévotion pour Arthur, sa fascination pour les étoiles et l’espace d’où il vient probablement, la destinée exceptionnelle qu’on lui promet… le fait qu’il sait ce que c’est, que d’aimer quelqu’un, même s’il n’est pas un pro au tir à l’arc ou autre. Ce serait si facile d’en faire un simple comic relief, un benêt, bête mais gentil, tout simplement, mais Astier en a fait un personnage incroyablement touchant et fascinant. Bref, je l’aime.
J’aime aussi beaucoup Arthur, personnage complexe et fascinant que ce roi aux idées modernes, juste, qui est dépressif et a son petit caractère, qui n’a jamais demandé à être roi mais qui est devenu le plus grand roi que la Bretagne ait porté, qui est fort mais fragile… laissez-le être heureux Astier, svp.
Mention spéciale à Bohort chez qui je me retrouve, qui préfère parler fleur, cuisine et festivités que de partir combattre, peureux mais pas dénué de courage, qui est prêt à protéger ceux qui lui sont chers, extrêmement loyal et sympathique. In this house, we stan Bohort
2) Ton/tes perso que tu détestes ?
Méléagant. Je ne dis pas que je le déteste, mais quand il est présent, c’est signe de mauvaises nouvelles et ça m’angoisse pour nos héros D:
Sinon, je vais peut-être me faire des ennemis mais… je n’aime pas Anna, je vois bien l’intérêt du personnage et tout le potentiel qu’elle peut offrir, mais quand on connaît les mythes arthuriens, je n’ai pas trop envie de la voir rôder autour d’Arthur ^^;
Sans surprise également, je n’ai aucune sympathie pour Mevanwi depuis le Livre IV.
3) Saison préférée ?
Au niveau de l’humour, j’aime beaucoup les Livres II et III, il y a plein de bons épisodes mémorables et très drôles (Les Mondes d’Arthur, Pupi, L’Ivresse, etc). J’aime beaucoup aussi le Livre VI puisqu’il nous permet de découvrir l’origine de Kaamelott, comment les personnages sont devenus ce qu’ils sont, c’est très intéressant, et puis aussi au niveau de l’intrigue (ce drama, aaaah), les costumes, les décors…
4) Ton OTP ?
Je n’ai pas vraiment un OTP pour ce fandom, juste des couples que j’aime shipper sans être passionnée. J’aime Merlin/Elias, deux magiciens et pourtant si opposés, ça donne un duo de choc et des étincelles, et surtout beaucoup de répartie ! Il y a aussi Arthur/Lancelot, que je ne shippais pas du tout au départ, mais je suis tombée sous le charme de ce ship, aussi bien pour l’aspect “Friends to Lovers” que l’aspect “Friends to Enemies to Lovers”, ça promet un parfait mélange de fluff et d’humour, ou d’angst, et je suis là pour !
Comment ne pas évoquer Arthur/Guenièvre ? Je les trouvais juste mignons dans la série, quand Arthur avait ses rares moments de tendresse avec sa femme, et je voulais les voir heureux, malgré la promesse et le caractère d’Arthur. Puis, Astier m’a achevé avec la scène de la tour. RIP Cali.
Sinon, et je sais que beaucoup ne seront pas d’accord avec moi pour des raisons que je comprends, j’aime aussi shipper Arthur/Perceval de façon romantique. C’est mon pêché coupable, et je ne regrette rien.
5) BrOTP ?
Classic is classic. Arthur/Perceval. Je saaaais, quelle surprise hein. Ce n’est pas comme si 99% de mes fics Kaamelott étaient sur eux. Difficile de ne pas les aimer : un chevalier naïf, pas bien doué pour l’art de la chevalerie, mais loyal et dévoué à Arthur (Moi, c’est Arthur qui compte (...) je peux me vanter de savoir ce que c’est, que d’aimer quelqu’un ; azqsdfghjklm j’en peux plus de ces deux-là), sans oublier la faiblesse qu’Arthur a à son égard, il tient à Perceval et ne veut que rien ne lui arrive, et - je - aaahh
J’aime plein de BrOTP avec Arthur sinon : avec Bohort, avec Léodagan, avec Lancelot…
6) NOTP ?
Guenièvre/Lancelot, ils auraient pu se convenir si Lancelot n’avait pas évolué pour avoir cette obsession malsaine pour elle. Sinon, Arthur/Mevanwi, et Arthur/Anna, ils ne peuvent pas se saquer et une union comme ça, ça donne Mordred, et Mordred, ça donne un Arthur mort, personne ne veut ça.
7) T'as aimé le film ? Pourquoi ?
OUI JE L’AIME, JE L’AIME, JE L’AIME
Ahem, bon je ne m’en suis pas pris plein les yeux, et il y a des choses à redire, mais au final je dirais que l’attente en valait quand même la peine et que j’ai passé un très bon moment face à ce film, et que j’ai l’intention d’aller le revoir. ça m’a fait plaisir de revoir le roi Arthur et les autres, de voir enfin la suite imaginée par Astier. C’était drôle, beau, touchant, triste. J’en redemande. Vivement le prochain ^^
(JE MAINTIENS TOUT DE MÊME QUE : WE WERE ROBBED, Arthur et Perceval n’ont pas eu de retrouvailles dignes de ce nom, et c’est une honte !)
Après, oui, ce film n’est pas parfait, il y a des défauts mais honnêtement, m’enfou. J’ai passé un bon moment.
8) Entre nous, les fans de Kaamelott, y sont relous ou pas ?
Chaque fandom a ses relous, on ne peut pas y échapper malheureusement…
Après, j’interagis qu’avec les fans sur tumblr et sur le serveur où je trouve l’ambiance chaleureuse, c’est une bonne communauté, je n’ai pas à m’en plaindre et je passe de bons moments. Je n’interagis pas vraiment avec les fans sur Twitter, Facebook ou d’autres réseaux… J’avoue ne pas être fan des fans qui considèrent Astier comme un dieu vivant ou qui ne font que ressortir des citations de Kaamelott, notamment quand Astier ou d’autres membres du casting font une interview et qu’on s’attend à des réponses plus… réfléchies, dirons-nous. Citer Kaamelott, c’est bien, c’est drôle, mais à tout bout de champ, ça perd de sa saveur.
9) Un Headcanon que tu adores
Le fait que Gauvain voit davantage Arthur que Loth comme son père (comment ça c’est canon ?) et qu’il ne veut plus vivre en Orcanie pour rester auprès de ceux qu’il considère comme sa famille (son oncle, pourquoi pas Guenièvre, Yvain, Bohort l’oncle spirituel…)
Les filles de Karadoc ne se souviennent pas trop d’Arthur, elles étaient si jeunes à l’époque, mais elles se souviennent d’un chevalier un peu triste, brun, qui les avait emmené voir les pupis. Je me plais à croire aussi que Perceval a babysitté les filles avec Karadoc, quand Mevanwi s’est barrée avec Lancelot, et qu’il leur a raconté des histoires sur Arthur, et de leurs missions en tant que chevalier de la Table Ronde, Karadoc et lui. Il ne s’appelle pas tonton Perceval pour rien !
10) Un Headcanon adopté par le fandom que tu n'aimes pas
C’est canon dans les légendes mais… je n’aime pas l’idée qu’Arthur n’aura jamais d’enfants, sauf inconsciemment avec sa sœur, et que son fils bâtard sera Mordred et le conduira à la mort. Non mais attendez, ce serait une fin horrible pour Kaamelott D: je sais qu’Astier est plutôt fidèle aux légendes arthuriennes mais il a su s’en éloigner également par moment, et si Kaamelott ce n’est plus simplement qu’une série humoristique, les bases de la série, c’est bien l’humour. Franchement, je vais déprimer si Kaamelott se termine avec Arthur assassiné, sans héritier légitime, et son royaume détruit, sans Graal.
11) Musiques préférées ?
Juste Judex, Arthur à la Tour, Excalibur noire et Désenchevêtrement.
12) Ta blague préférée de Kaamelott ?
Oula, y’en a plein xD mais j’aime pas mal “Les noix… les fruits ?”, “Ah non, les noix, les noix !”
13) épisode.s préféré.s ?
Piouf, des tas ! Le monde d’Arthur, Le tourment II, La grande bataille, L’habitué, Arturus rex…
14) Unpopular opinion ?
Hum..... aucune qui me vienne à l’esprit pour le moment. J’éditerai au besoin.
15) Tu espères quoi pour la suite ?
- un rapprochement Arthur/Guenièvre QU’ILS NOUS FASSENT DES ENFANTS
- plus de screentime pour Perceval (et des scènes Arthur/Perceval)
- un happy ending (par pitié Astier)
- une rédemption pour Lancelot
- continuer de voir les filles de Karadoc
- des combats et plans épiques (surtout avec de la magie)
et encore plein d’autres trucs que j’ai oublié ^^;
16) Une chanson qui te fait penser à Kaamelott ?
uuuuuhhhhh
En fait, j’ai pas vraiment de chansons qui me font penser à Kaamelott spécifiquement :/ j’aime bien écouter l’album Lys & Love de Laurent Voulzy pour les vibes Moyen-âge que ça me donne (il y a de très belles chansons), ainsi que quelques chansons du musical Excalibur, mais à part ça...
Je tague qui veut le faire :)
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Snowpiercer : un train qui a de la classe.
Attention, comme disent nos amis mangeurs de pancake au caribou : Ostie ! Ça va divulgacher à un point ça va partir en christ !
Donc on va parler ici du film et de la série Snowpiercer en s’intéressant surtout sur le discours sur la lutte des classes, qui est le petit fil conducteur de ces deux œuvres.
Le film Snowpiercer est une adaptation d’une bande dessinée française : Le Transperceneige et la série est une adaptation .... ben je sais pas trop, ça ressemble quand même plus d’une adaptation du film voir une prequelle qu’une adaptation de la bd sans liens avec le film, mais on y reviendra.
Alors c’est pas évident de comparer un film et une série car le format change la manière dont on raconte une histoire. Mais on va se concentrer plus sur le fond, le message, que sur la forme. En sachant qu’il y a plus de matiere dans la serie car c’est beaucoup plus long.
L’histoire :
En voulant lutter contre le réchauffement climatique la planète a pris un petit coup de froid puisque la température avoisine les -100° à peut prés, ce qui rend la civilisation humaine telle qu’on là connait..... compliqué.
Toute l’humanité est morte à exception d’un grand groupe de rescapés qui vivent dans un immense train conçu spécialement pour survivre à la fin du monde et qui voyage dans un grand tour du monde. Ce train a été conçu par un ingénieur de génie du nom de Wilford.
Lors du départ du train des gens qui n’avaient pas de billets se sont ruer vers le train pour y survivre. Ces “sans tickets” survivent à l’arrière du train sans aucun confort ni lumière, ne mangeant que les maigres rations qu’on leur fournit. A la moindre résistance une “correction” [du petit coup de crosse de fusil dans la tronche à l’amputation d’un membre] est administrée pour rappeler qu’ils ne sont pas censés être là à la base et qu’ils survivent parce qu’on le veut bien et que si ils voulaient bien resté sages pendant qu’on s’occupe des vrais passagers ce seraient cool.
Le film et la série commencent alors qu’une révolution de sans tickets se préparent. D’autres ont déjà eu lieux et ont eu des résultats..... mitigés.
Le film :
On est 17 ans après le départ du train. Format du film oblige on va droit au but, on ne développe pas trop les personnages autres que les personnages principaux et on insiste sur la violence qu’il y a eu à l’arrière du train (cannibalisme, meurtre) en n’en mettant la responsabilité sur Wilford (ce qui n’est pas faux). La révolution est vite menée et se termine par un seul homme, le perso principal qui va chercher à tuer Wilford. On est plus dans une histoire de vengeance que d’une lutte de classe mais comme le film est ultra symbolique pas passe très bien. Notons qu’il s’agit d’un film Coréen, si le film avait été réalisé par un américains il aurait été moins symbolique et plus frontal je pense.
Dans ce train Wilford justifie la situation par la nécessite du maintient d’un équilibre dans l’écosystème qu’est le train. Une place pour chaque chose et une chose à sa place. Pour lui il est parfaitement normal qu’on traite comme des animaux les sans tickets car c’est leur place “naturelle”.
Ce besoin de contrôle de tout les parametres du train va même jusqu’à devoir réguler la population qui ne doit pas depasser un certain seuil. Quitte à organiser des révolutions.
On apprend en fin de film que les révolutions antérieurs (et l’actuel) sont organisés par Wilford et par le chef des sans tickets pour diminuer régulièrement la population des sans tickets et des gardes en les faisant s’affronter jusqu’à un niveau “idéal”. L’idée étant que si on ne le faisait pas au final on mourra tous de faim.
A cela on ajoute un petit concept d’homme machine où les enfants pauvres servent de pièce de rechange et sont lobotomisés façon Metropolis. (déshumanisation par la technique et l’industrie toussa toussa).
Le film se termine par le déraillement du train. Le film finit donc plutôt mal, les deux seuls survivants étant une ado toxicomane et un enfant de moins de 5 ans lobotomisé.
Idée du film : dans le cadre de la lutte des classes la lutte armée est au mieux inutile, au pire on fait que couler le bateau dans lequel on est tous. Tristesse, desespoir, si vous vouliez de la lutte des classes avec une happy end fallait regarder Matrix.
La série :
On est 7 ans apres le départ du train.
Comme on est dans une série on peut développer plus l’univers et même on le doit car 10 épisodes d’une heure avec que du symbolisme comme dans le film on perdrait trop en cohérence.
Du coup le propos sur la lutte des classes peut / va parfois / souvent passer en second plan. Etre assez superficiel voir “naif”.
Et parfois au contraire ça va être des idées plutôt pas mal.
Ici le train est bien séparé en 1er, 2eme et 3eme classe d’une part et les sans ticket à l’arrière. La 1ere vit dans le luxe, ne travaille pas et ont des putains d’appart géants. La 2eme semble etre constitué de travailleurs spécialisés de haut niveaux (médecin, généticien, ect) et ils vivent dans un env 20m² tres confortables. La 3eme classe vit entassée, chacun ayant son coin pas tres propre à lui et est constituée d’ouvriers.
Mélanie Cavil est une sorte hôtesse, elle s’occupe des besoins des passagers et est porte parole de Wilford. On comprend tres vite que c’est en fait elle qui dirige et que Wilford n’est qu’un mirage.
Dans cette série on suit un sans ticket, ancien policier, pour enquêter sur un meurtre dans le train, ce qui va l’amener à découvrir (ainsi que le spectateur ) l’univers du train.
Le bon point positif de la série est qu’ils ne sont pas tombés dans le cliché du “les pauvres sont gentils parce qu’ils sont pauvres et les riches sont méchants parce qu’ils sont riches” même si (et c’est ça qui est bien) beaucoup de personnages sans tickets et de la 1ere classe le pense eux !
On va pendant une grosse partie de la série se concentrer sur la préparation de la révolution et il est intéressant de noter que pour beaucoup de personnage la révolution est un but en soit, il n’y a pas d’apres, ce n’est pas un moyen. Un personnage va même aller jusqu’à dire que ce qu’on obtiendra de la révolution c’est en premier lieu de pouvoir “manger les riches”. C’est surtout Layton, le personnage principal qu lui voit la révolution comme un moyen de mettre en place un système plus égalitaire pour tout le monde.
Initialement Layton partage la vision caricaturale de l’arrière, à savoir que les riches sont méchants par nature et il se moque de manière dédaigneuse qu’on cultive dans le wagon agricole des fraises (symbole facile de luxe) ce à quoi Melanie lui répondra qu’on en a rien a tapper que ce soit un produit de luxe, c’est surtout que c’est le meilleur rapport taille / apport nutritif.
Et petit à petit le perso de Mélanie va etre tres interessant parce que on se demande le “pourquoi” de ces inégalités et Mélanie va montrer que d’une part certaines choses en fait n’ont pas été voulu et que d’autres n’ont pas été choisit. En fait Mélanie est le personnage qui pose la question “comment gérer des ressources limitées dans un milieu inégalitaire ?” Mélanie est issue d’un milieu modeste, elle ne cherche pas à ce qu’il y ait une domination entre les classes mais elle n’hésitera pas à avoir une attitude tres utilitariste pour gérer les problèmes. Une greve en 3eme classe ? Ok. Vous avez 24h pour arreter la greve où on en tire 10 aux hasards qui partent à l’arriere avec les sans tickets. Parce qu’une greve de 24 ce serait la mort du train.
On enferme quelqu’un a tord ? Peut etre oui, mais là il faut vraiment rassurer les passagers donc tant pis, j’ai quelqu’un sous la main je l’utilise pour dire que j’ai trouver le coupable, je peux pas me permettre qu’il y ait une panique à bord.
Les vaches sont mortes ? Alors en vrais moi j’en ai rien a faire de la viande, ce qui m’inquiete c’est de plus avoir de fumier pour les cultures.
Vous pensez que j’emprisonne dans les caissons de stase tous les opposants et les mécontents ? Ben en fait non je met en stase toutes les personnes avec des compétences particulières dont on aura besoin quand un jour, inévitablement le train s’arretera parce que trop usé et qu’il ne restera que des gens nés dans le train et qui ne savent pas cultiver la terre ou réparer un moteur.
On brise également le bloc “riche / pauvre” en montrant des situations de sans tickets qui envoi péter la révolution contre de la bouffe ou des gens de la 1ere qui vont fournir une arme discretos pour la révolution.
SAUF QUE
Ben sauf que la révolution finit par arriver. Mélanie est destituer, elle envoi un petit taquet à Layton du type “tu a l’impression que j’étais une dictatrice ? Ben va y, va gérer les problèmes je te regarde” et les deux derniers épisodes ne sont qu’une annonce de la saison deux. Et on s’intéresse de plus en plus aux personnages et de moins en moins à l’intrigue. Que donne le train dirigé par Layton ? Est ce que la révolution ça marche ? Ben on sait pas. On verra peut etre dans la saison deux.
C’est dommage parce que même si c’était diffus il y avait des petits points de réflexions intéressants et il y avait surtout de la nuance.
Alors le film lui était avec zero nuance mais c’était parce que ça avait du sens, on avait plus des symboles que des personnages. Donc là c’était pas grave.
J’espère que la saison deux repartira sur un rail “politique” et nous fera pas une casa del papel en explorant la back story des personnages.
Et j’espère aussi qu’on verra moins Mickey Sumner par ce que 1) comme elle est les 3/4 du temps en uniforme ça déconcentre et 2) quand elle commence à sourire c’est terminé on peut plus suivre l’épisode.
Et maintenant c’est l’heure du petit jeu !!!
Vous etes Mélanie, vous dirigez le train en disant agir au nom de Wilford (qui est surement mort)
Une ado psychopathe de la 1ere classe passe en jugement pour meurtre et torture sur des gens de la 3eme classe (parce que c’était rigolo selon elle).
Le jury est composé d’un membre de chaque classe. La 1ere classe est en mode “Trololo le juré de la 1ere va forcement voter pour nous, celui de la 2eme aussi donc si le pauvre vote pas pour nous c’est pas grave”. La 3eme classe est elle très remontée et à peur que le crime reste impunie car l’auteur est de la première.
Surprise : les 3 jurés votent coupable et l’ado psychopathe de la 1ere est condamnée à la peine capitale. Les parents pas contents sont assez influents et ont déja posés des problèmes. L’ado vous sous entend qu’elle sait que Wilford n’est pas dans le train et menace de le révéler à tout le monde (donc foutre en l’air le pouvoir que vous avez et peut être jusqu’à lancer une révolte).
Que faites vous ?
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L’agression et ses conséquences
- Visionnage: Mignonnes de Maïmouna Doucouré
L’un des moments que j’ai trouvé le plus dur dans ce film tourne autour de l’agression à caractère sexuel dont est victime Aminata. Alors qu’elle vient pour la première fois au collège dans une tenue qui expose son nombril avec une paire de leggings moulant, les provocations d’une adolescente plus âgée conduisent à une altercation. Aminata est plaquée au sol, quelqu’un baisse ses leggings et expose sa culotte à motifs enfantins (lors du visionnage, l’auteur de l’exposition n’est pas clair: la fille avec qui Amy se bat, un des garçons qui assistent à la scène?), et les adolescents autour d’eux filment la scène, qui est ensuite postée sur les réseaux sociaux.
Dans une première réponse au traumatisme, Aminata vole de l’argent à sa mère et va acheter, avec les filles de son groupe de danse, de nouveaux sous-vêtements, dont des soutiens-gorge qui ne leur serviront pour l’instant pas à grand-chose (ce moment est représenté sur l’affiche française du film). Aminata ne parle de la violation qu’elle a subit ni à sa mère, ni à sa tante, et elle ne reçoit pas vraiment de soutient des Mignonnes, outre qu’elles l’ont défendue et rhabillée au moment de l’agression. Angelica se plaint de l’image que cela donne de la bande de filles, les catégorisant comme enfantines. Aminata est complètement seule et désemparée, elle sent bien que quelque chose de grave vient d’arriver, mais elle ne sait pas vraiment comment réagir.
Pour “sauver” sa réputation et montrer qu’elle est aussi “une grande”, elle poste sur les réseau sociaux une photo de sa vulve en réponse (photo qui est suggérée, et non montrée à l’écran). En réponse elle reçoit de nombreux commentaires inappropriés. Il se pose clairement la question de l’éducation, de l’environnement dans lequel baignent les pré-adolescentes. Une telle réponse à la violation de son intimité ne peut pas lui avoir été inculquée par sa famille conservatrice. Aminata l’a appris ailleurs, probablement sur les réseaux sociaux.
Avec la libéralisation des moyens de contraception et avec les mouvements de libéralisation de la sexualité par la séparation de l’acte sexuel et de l’acte de reproduction de l’espèce, les tenues dénudées, les postures sexuelles suggestives et un mouvement de surenchère constante se sont développés. Les femmes et les filles, par leur exposition à la publicité et aux média, sont constamment assommées par des images de la féminité et de la sexualité féminine très dégradées. Les attributs physiques sont mis en valeurs au dessus des qualités intellectuelles; l’hypersexualisation transmet aux jeunes filles l’idée que leur apparence est plus importante que leur personnalité, et surtout que la façon dont elles jouent de cette apparence est leur accès unique et suprême à une forme de pouvoir et de contrôle sur leur existence. Ce modèle hypersexualisé est entretenu pas la peur de l’exclusion si on ne s’y conforme pas et entraîne à la surenchère constante. D’où la réaction, selon cette logique, d’Aminata, qui croit à cause de ce mythe de l’hypersexualisation comme pouvoir féminin que de poster une photo dénudée sur les réseaux sociaux va lui rendre un peu de contrôle.
Aminata se laisse aussi sûrement entraîner dans cet engrenage d’hypersexualisation parce qu’elle est dans le rejet de l’attitude de sa mère et de sa religion. A la maison, elle voit sa mère souffrir de son abandon par son père, elle suffoque face aux attentes placées sur elle par la tante qui veut en faire une future bonne épouse et mère de famille, et elle s’ennuie lors des séances de prières entre femmes de l’immeuble. C’est d’ailleurs lors d’un de ces groupes de prières qu’elle se cache sous son voile, sort de sa poche le téléphone qu’elle a dérobé et regarde avec des écouteurs une vidéo à côté de laquelle celle de WAP de Cardi B et Megan Thee Stallion qui a fait des remous depuis semble bien sage. Aminata se retrouve écartelée entre deux images très communes de la femme, la “mère” pure et religieuse, ou bien la “putain” dévergondée et dénudée. Elle ne veut pas du destin de sa mère, rejetée par son époux, devant s’occuper seule de ses enfants, devant vivre avec la nouvelle femme de son mari sous le même toit, enchaînée à son fourneaux et à ses produits de nettoyage. Amy préférerait de loin les paillettes, l’exubérance des Mignonnes, leurs poses suggestives, parce qu’elle pense que c’est le seul autre choix qu’elle a. Entre le carcan du destin qui lui est promis dans sa sphère familiale et l’apparente liberté dont disposent les Mignonnes avec leurs attitudes provocatrices, son choix est vite fait.
Mais avec l’escalade de l’hypersexualisation quand elle se fait agresser, puis quand elle poste une photo sexuelle de son corps sur les réseaux sociaux, Aminata se rend compte que se sexualiser n’est pas une panacée. Elle lutte pour ne pas être exclue de son groupe de copines, pour pouvoir participer au concours de danse, mais alors même qu’elle y participe, elle réalise à quel point danser lascivement la blesse. Elle éclate alors en sanglots et s’enfuit.
La dernière scène du film est une tentative d’espoir, très tardive. Après un plan de sa tenue de danse bien légère à côté de la robe longue prévue pour la fête de mariage étalées sur le lit d’Amy, cette dernière quitte l’immeuble, habillée d’un jean, de basquettes, et d’un haut relativement moulant mais à manches longues, un point d’équilibre entre l’hypersexualisation de ses tenues avec les Mignonnes et la modestie exagérée des tenues qu’elle portait, avec le voile, pour aller au groupe de prière. Elle joue à la corde à sauter avec d’autres adolescentes venues pour le mariage; le film se termine sur l’image d’Amy sautant de plus en plus haut, avec en fond une rue de Paris ensoleillée. S’il y a une liberté à trouver, entre les pièges miroirs de la sur-modestie, misogyne et religieuse, et de l’hypersexualisation, toute aussi misogyne, c’est celle de porter des vêtements pratiques, qui permettent aux jeunes filles de pratiquer une activité physique sans devenir pour autant des cibles toutes trouvées pour les pédophiles, et plus largement tous les hommes, autour d’elles. Mais c'est trop peu, trop tard pour Aminata, qui a déjà été marquée par son hypersexualisation.
#visionnage#mignonnes#maimouna doucoure#agression sexuelle#agression#sexisme#misogynie#traumatisme#hypersexualisation#sexualisation des jeunes filles#commentaire personnel
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lettre d’amour semi fictive
Peut-être bien que je suis amoureuse. Pas amoureuse amoureuse, parce que si c'est le maximum d'amour que je ne ressentirai jamais, c'est un peu triste. Pas amoureuse marrions-nous, achetons un pavillon dans la campagne et ayons deux enfants. Pas amoureuse comme dans les contes de fée, où le premier baiser est la fin de l'histoire. Amoureuse comme dans je veux passer du temps avec toi, t'embrasser doucement du coin des lèvres puis un peu plus fermement. Je veux caresser tes longs cheveux blonds, me plonger dans tes yeux azur et que tu t'endormes sur ma poitrine. Je veux qu'on rigole ensemble, que tu m'inities à tes films préférés, qu'on se lise ce bouquin ensemble, chapitre par chapitre, et ce sera notre moment, notre livre, notre façon d'arrêter le temps et d'être amoureuses comme dans les livres. Je veux qu'on se tienne la main et qu'on aille cueillir les jonquilles de février toutes les deux, que tu me dises encore que ce sont tes fleurs préférées et que je t'observe en silence, les yeux émus et le cœur en miel. Je suis amoureuse car je suis bien avec toi, mieux qu'avec quiconque d'autre. Amoureuse comme je ne l'ai jamais été, mais à vrai dire ce n'est pas ça l'important ; peu importe le passé si on est heureuses ensemble, là, maintenant. Depuis qu'on a noué ce lien entre nous, je me sens bien avec toi, pas du genre à faire des stratagèmes pour attirer ton attention et être sous mon meilleur angle quand on se croise. Je veux juste être avec toi, peu importe comment. Mais je t'aime. Et tu m'aimes. On se plaît et on est bien ensemble et on se manque lorsqu'on s'éloigne, alors quelle importance, la véritable définition de l'amour ? Ce n'est sûrement pas ça, mais ça on s'en fiche. Je suis amoureuse de toi, là, maintenant, et je veux passer mon temps libre avec toi pour te le répéter encore et encore, dans notre infinité personnelle : je suis amoureuse.
C'est drôle de penser qu'en première, j'avais déjà développé un petit crush sur toi. À vrai dire, tu as émaillé mes dernières années lycées ; et c'est après le bac qu'on a véritablement commencé à parler, et dans le supérieur qu'on s'est embrassé. On est un peu une bande de bras cassés, quand on je pense au temps qu'on aurait pu gagner... Mais c'est mieux comme ça, je nous trouve bien là où on est, au moment présent. Et ça ne durera peut-être que quelques mois, mais j'ai envie d'y croire et d'être un peu trop naïve, un peu trop mordue peut-être. Je veux qu'on soit une belle histoire qui ne se termine jamais. Pas un conte de fée, où on ne sait jamais ce qu'il se passe après le premier baiser. Non, une de ces histoires de famille, où les petits enfants nous observe avec fascination quand on leur raconte qu'on avait 19 ans quand on s'est embrassé pour la première fois, et 79 pour la dernière. C'est peut-être stupide et irréaliste et inconséquent de le penser. Peut-être que ça ne va durer que quelques semaines, mais saches d'ores et déjà que ce sera parmi les plus belles semaines de ma vie. Peut-être que quelques mois, quelques années, et ça se terminera dans les pleurs et les larmes. Mais je ne veux pas y penser. Parce que nous sommes dans cette phase formidable où tout semble possible, où la vie est belle et où on plane sur notre petit nuage, bien loin du reste du monde. Ça n'a peut-être aucun sens, mais au fond, n'est-ce pas ça, l'amour ? Un risque inconséquent et un peu idiot, contre un moment d'euphorie et de tendresse ?
Je veux t'offrir des fleurs, des lettres d'amour et des playlists, de te faire des gâteaux et te faire lire mes livres préférés. Je veux qu'on partage quelque chose de grand et fort, qui nous dépasse, et je ne veux pas que cette phase de semi coup de foudre s'arrête un jour. Je veux t'aimer, alors désacralisons l'amour pour ne pas être effrayées. Et plongeons dedans.
J'ai envie d'écrire un roman d'amour.
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#La Petite école : reprise
Nous avons ré-ouvert la Petite école depuis deux semaines maintenant. Quatre enfants sont présents deux heures par jour. Pour les autres, c’est encore trop difficile de braver les peurs liées à cette période d’incertitude.
Alors c’est Ch., le plus jeune, qui enivre la Petite école par ses rires, son sourire, sa joie d’être là, ses questions, ses observations : “Les coccinelles c’est quand même bien fait, parce qu’elles n’ont pas besoin de docteur pour pondre des oeufs.. nous oui” - Prenant un bic : “mais ce bic ne travaille pas !!. ah si si il travaille ... comment on dit chez vous quand un bic travaille ? - On dit qu’il fonctionne” Il lève les yeux au ciel, l’air interrogateur. C’est lui encore qui chante avec entrain la comptine du matin avec Corentin.
C’est Zh. qui dès qu’elle passe la porte d’entrée, va se laver les mains et retrouve son sourire ... elle sait lire désormais. On retrouve la lenteur de son geste, sa précision. On découvre la joie dans son regard quand elle prononce un mot en français. Exercice auquel elle s’adonne de plus en plus avec de moins en moins de réserve, de timidité.
C’est Al qui, au début, restait un peu distant des autres enfants mais qui depuis quelques jours, rigole avec Zh, taquine Ch. ... vient me dire que je ne prononce pas bien le prénom d’As, et me le fait répéter jusqu’à ce que ce soit bien ... enfin puisque je n’y arriverai pas, il abandonnera en éclatant de rire. C’est lui qui se concentre lorsqu’on étudie le développement des graines de pois, sourit quand on les plantes ... me demande de pouvoir ramener du matériel chez lui pour refaire l’atelier avec son frère.
C’est As, qui est là tous les jours à 8h15. Quand elle est fatiguée lire est plus difficile. Même si certain jour elle dit “aujourd’hui je ne sais pas” sa volonté, sa persévérance restent malgré tout fascinantes. On a l’impression de voir, dans ses yeux, son coeur qui bat vite quand elle est fière. C’est elle qui nous observe de loin, mais c’est elle aussi qui nous fait chaque jour une blague avant de nous dire “au revoir, à demain”. C’est encore elle, qui dessinant des fleurs, s’arrête et me regarde en me demandant : “elle est où madame Juliette ?”.
Mais c’est aussi Nathalie qui vient les vendredis faire des ateliers de dessins collectifs ... une manière de créer une première rencontre, d’établir des liens qui lui seront nécessaires puisque c’est elle qui suivra ces enfants l’année prochaine, lorsqu’ils seront à la grande école.
C’est Claire qui vient les mercredis faire le cours de yoga. On termine par le Yoga du rire .. La première fois, As et Zh rigolent en enfouissant leur visage dans le tapis, c’est plus difficile pour Al, Corentin et moi d’arriver à se lâcher mais très vite on se laisse emporter par le rire de Ch qui envahit la pièce. C’est Ch encore qui au début de la deuxième séance demande : Madame Madame c’est quand qu’on rigole ? Lui qui rit toute la journée.
Et puis c’est Sophie qui viendra faire un dernier atelier contes ... elle retravaillera avec eux le conte envoyé aux enfants durant le confinement : Jeannot et Margot des frères Grimm. C’est elle qui me parle du film d’Abbas Kiarostami, Où est la maison de mon ami ? Elle aimerait l’adapter en conte pour les enfants de l’an prochain ... mais bon me dit-elle : peut-être qu’il n’y a pas assez d’embuches, de retournement de situations ... mais je vais trouver. Ses idées qui fusent déjà, son envie de s’investir encore et toujours dans ce projet, de le questionner, me portent en cette fin d’année.
Enfin Ch. m’interpelle mercredi : Madame Marie, maintenant c’est moi qui vais faire le au revoir ... il appelle chaque enfant, chaque adulte un à un ... leur verse du sable sur les mains et les invite à choisir une figurine. Et quand il a fini, il m’appelle : Voilà, maintenant c’est à toi de dire au revoir à Ch... Il m’indique où m’asseoir, me tend ses mains pour que je lui verse du sable. En partant hier, “la semaine prochaine, ce sera Al. qui dira au revoir”.
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ALICE IN THE CITIES (1974) de Wim Wenders.
( Attention, ce texte comporte des SPOILERS! Il faut avoir vu le film.) Voici ma brève impression de ce doux film de Wim Wenders datant du milieu des années 70. J'suis probablement din patates, mais c'est ce que le film m'a inspiré... Au départ, j'ai senti que Alice in the Cities était un film sur le processus d'écriture. Celui d'un personnage à la recherche d'une histoire et qui déambule à travers l'Amérique, puis l'Allemagne, comme un gamin écarté. Mais j'ai aussi eu la drôle d'impression que c'était un film sur le processus d'écriture scénaristique, sur ce qui compose les bons récits de film. On dirait que Wim Wenders et son co-scénariste Veith von Fürstenberg, en épousant le regard évidé du personnage de Philip, se sont payé une petite expérience ludique de scénarisation ayant pour défi le minimalisme. Comment garder l'intérêt du spectateur de façon minimale en partant d'un encéphalogramme plat? À mon avis, tout ce questionnement constitue la quête même du personnage de Philip, alors qu'il ne cesse de chercher autour de lui de douces expériences inspirantes pour l'écriture de son récit. Il cherche un tendre catalyseur, prenant bien soin de résister à l'appel des postes de télévision des hôtels où il dort. Il cherche quelque chose de bien réel à quoi s'accrocher (un show de Chuck Berry par ici, une ancienne maîtresse par là, des images à photographier). Et c'est un peu ce que nous faisons en tant que spectateur au milieu de ce récit tout petit. Nous cherchons une histoire nous aussi. Et je crois qu'il n'est pas innocent que le personnage finisse par se retrouver avec cette fillette au regard pur qu'il doit ramener malgré lui à sa famille en Allemagne. Alice in the Cities a un parfum d’errance propre à l'enfance à tous les niveaux.
Malgré l'autonomie minimale de la fillette, c'est quand même à partir de son arrivée que le récit du film trouve un minimum d'énergie. Une aventure est offerte à Philip et il doit jouer un rôle dans l'histoire. Un rôle de paternel. Un rôle qu'il ne remplit pas complètement puisqu'il essaie de se départir de cette tâche le premier moment venu (tentant de laisser l'enfant à une autorité au-dessus de lui). Un peu comme si le film appelait à se terminer coûte que coûte. Mais quelque chose le pousse à continuer. Quelque chose qui n'est pas clairement énoncé. C'est l'aspect scénaristique que je trouve intéressant. Le film ne tient que par un fil. Qu'est-ce qui nous pousse dans ce récit aussi minimal? Qu'est-ce qui le fait durer? Les actions même du personnage, ou bien leur source? La réponse est difficile, car le caractère de Philip (et donc du film) est évasif. Mais il émane de l'oeuvre une aura de mystère qui la rend attrayante et nous donne envie de continuer.
Dans la scène où la fillette part se réfugier dans les cabines des toilettes d'un aéroport, ne voulant se séparer tout de suite de son nouvel ami qui veut la laisser aux employés, une forme de jeu s’enclenche à travers la porte de la cabine entre l'homme et la fillette. C'est donc au moment où il n'y a plus aucune piste pour avancer dans le récit que Philip propose un jeu pour réactiver la mémoire de la fillette qui ne se souvient plus de la ville où habite sa grand-mère. Il tente de le faire en lui énumérant toutes les villes à proximité. Pourquoi il le fait plutôt que de la laisser au bureau d'information, on ne le sait pas. Mais c'est à travers ce jeu que le scénario trouve une nouvelle fois un élément pour se propulser vers l'avant, alors qu'il aurait pu toucher à sa fin et s'éteindre dans l'austérité la scène juste avant. Peut-être est-ce l'enfance (et la déambulation naïve qui y est rattaché) qui émeut le personnage et qui l'entraîne dans cette espèce de jeu, à accompagner cette fillette jusqu'au bout, vers une finalité.
À la fin du film, lorsqu'une personne d'autorité vient perturber l’errance de Philip pour lui annoncer que la mère et la grand-mère de la fillette ont été trouvé et qu'ils doivent se rendre vers elles, il me semble que ce n'est pas une présence paternelle que l'on sent en Philip. Mais plutôt un gamin égaré, un enfant d'à peine 11 ans qu'on aurait croisé au centre-d'achat, et qui a su profiter jusqu'à la fin d'un doux moment d'égarement à travers le monde. D'ailleurs, le film s'arrête exactement là, avec Philip et Alice dans le train vers la destination, plutôt que de montrer les retrouvailles entre la fillette et sa famille, la vie rangée qui l'attend. Plus qu'un film sur le processus d'écriture, Alice in the Cities semble nous renseigner sur l'art d'être un enfant (ou un artiste?) dans ce monde. Mathieu Lefèbvre
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Superbe article sur les voyages qui vous renseigneront vraiment
Beaucoup de gens prennent l’initiative de voyager de façon plus régulière, mais ils ne savent pas trop comment s'y prendre. Si vous êtes l'une de ces personnes qui souhaite commencer à prendre des initiatives pour explorer cette planète, vous voudrez consulter cet article et voir ce que vous pouvez apprendre sur les voyages. Pour plus d'informations sur des destinations spécifiques: billet avion dakar conakry
Apportez toujours des bouchons d'oreilles personnels
Qu'il s'agisse d'un enfant qui pleure deux rangs devant vous ou d'une personne agaçante assise à côté de vous qui veut discuter de son rêve de la nuit dernière, l'avion s'est écrasé, il est toujours utile de trouver le moyen de noyer ce bruit extérieur.
Dans la plupart des régions du monde, il est considéré comme une bonne étiquette de demander la permission à quelqu'un pour prendre sa photo. Beaucoup de gens s'offusqueront si vous prenez leur photo sans rien demander, ce qui pourrait même conduire à la violence. Il est préférable d’obtenir d’abord leur permission plutôt que de risquer une infraction.
Pour recevoir le meilleur service en voyage
pencher généreusement au début du voyage. Si le groom ou le steward sait que vous donnez un bon pourboire, il sera plus susceptible de répondre à vos besoins. Surtout sur les croisières, vous recevrez plus d'attention personnelle et un meilleur service du personnel si vous êtes perçu comme généreux.
Une façon de gérer l'ennui d'être loin de votre famille en raison de déplacements professionnels est de profiter de votre temps libre. En règle générale, les réunions se terminent à 17 heures et vous aurez jusqu'au lendemain matin. Prenez le bain le plus long du monde et utilisez tous les articles de toilette. Regardez trois films à la suite. Ecrivez ces quelques lettres que vous avez toujours dites que vous le feriez, mais que vous n'avez pas eu le temps de faire. Tricoter un chapeau. Lire un livre. En bref, faites toutes les choses agréables pour vous que vous ne prendriez pas le temps de faire si vous étiez entouré de votre famille. Vous vous sentirez mieux de savoir que vous avez pris le temps, et vous serez d'autant plus heureux et détendu que vous retrouverez votre famille.
Vous voulez toujours vous assurer que vous avez un visa
si cela est nécessaire pour entrer dans un comté. Recherchez exactement ce que vous devez présenter pour pouvoir accéder à cet emplacement. Sachez également que, parfois, un visa ne vous permet même pas d'entrer.
Avant de partir en vacances, assurez-vous d’aller en ligne et de consulter la grande variété de forums de voyage disponibles. Ces sièges permettent aux voyageurs de répondre aux questions d'autres utilisateurs sur différentes destinations. Ils peuvent fournir une mine d'informations sur les restaurants, les hôtels et les attractions.
Vous devez toujours arriver tôt à l'aéroport lorsque vous voyagez
C'est tellement moins stressant de savoir que vous êtes enregistré et que vous avez suffisamment de temps pour vous assurer de la sécurité. Cela vous donnera le temps d'utiliser les toilettes ou de prendre une collation avant que l'avion ne commence à monter à bord.
Si vous partez pour un long voyage en voiture, essayez de le diviser en quelques segments. Marquez quelques villes sur le chemin de votre destination finale où vous pourrez vous arrêter un peu. Vous pouvez sortir, manger, et sinon vous régénérer. Vous seriez surpris de voir à quel point le voyage va vite si vous le séparez.
En voyageant, ne forcez pas votre corps à croire que vous serez malade quoi qu'il arrive. Si vous souffrez du mal des transports, l'inquiétude ne fera qu'exacerber le problème. Le stress supplémentaire devrait être évité en voyageant. Le stress peut affaiblir votre système immunitaire. Essayez de ne pas laisser les retards, les pleurs des enfants ou votre propre imagination vous mettre en colère.
Internet est devenu une formidable ressource pour la planification de vos prochaines vacances.
Les sites Web de voyage vous permettent de comptabiliser toutes vos dépenses de voyage importantes sans trop de travail de votre part. Bien assis devant votre ordinateur, vous pouvez réserver vos vols et vos hôtels et organiser la location de voitures. Vous pouvez rechercher votre destination et lire les critiques des hébergements potentiels. Vous bénéficierez également de remises exceptionnelles lors de la planification de votre voyage. Des offres spéciales sont souvent proposées pour les arrangements de dernière minute.
Savoir ce qui est ou non autorisé dans un avion peut vous éviter des tracas à l'aéroport. De nombreuses personnes ne se rendent pas compte que de simples objets de la vie courante, tels que les lotions pour les mains, les crèmes solaires, etc., sont considérés comme des produits à tartiner et doivent être placés dans un sac en plastique transparent ou dans vos bagages enregistrés. Il est préférable de consulter le site Web de la TSA avant votre départ pour votre voyage afin de garantir une navigation en douceur à l'aéroport.
Quand vous vous apprêtez à partir de chez vous et à parcourir le monde
N'oubliez pas d'informer vos institutions financières. Pour éviter tout problème futur lié à vos rentrées de fonds dans un pays étranger, vous devez en informer toute banque ou société de carte de crédit avec laquelle vous faites affaire. Rien n’est pire que de ne pas avoir d’argent au milieu de nulle part.
Si vous êtes en vacances pour une semaine ou plus, revérifiez s'il y aura une laverie sur le site. Si tel est le cas, vous pourrez emporter un peu plus léger et pouvoir jeter une brassée de linge à la place lorsque vous serez sur place. Comme les compagnies aériennes facturent les bagages en surpoids, il est bon d’essayer de transporter des bagages plus légers.
Utilisez l'enregistrement en ligne pour votre vol autant que possible
Les compagnies aériennes continuent à réduire leurs effectifs et, de ce fait, les lignes à l'aéroport s'allongent. Le processus d'enregistrement en ligne ne prend que quelques minutes et vous permet souvent de sélectionner des sièges et d'enregistrer vos bagages.
Lors de la planification d'un voyage sur la route avec de jeunes enfants, il serait judicieux que tous se croisent autour de leur horaire de sommeil habituel. Certains parents profitent des soirées tardives où leurs enfants seront endormis pendant la majeure partie du voyage, tandis que d'autres se promèneront pendant la sieste de leurs enfants.
Maintenant que vous avez plus de connaissances sur les voyages, vous devriez avoir des idées sur ce que vous voulez faire et où vous voulez voyager. Pensez à tout ce que vous avez appris et commencez à planifier vos voyages en conséquence. N'oubliez pas de mettre en application tout ce que vous avez appris. Vous devriez être sur la bonne voie pour de grandes aventures dans le futur.
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Carol et Maria, cas d’école du problème de Marvel Studios avec les LGBT
Bienvenue sur le blog du projet Themiscyra !
Ici Captain, c’est moi qui ai lancé le projet et m’occupe des réseaux sociaux. Pour donner le ton, sensiblement le même que sur Twitter, je vais m’attaquer à un sujet qui me tient à cœur : la relation entre Carol et Maria dans le film Captain Marvel, et son inscription dans un contexte LGBTphobe des œuvres culturelles, notamment chez Marvel Studios.
Alerte spoilers ! Si vous n’avez pas vu Captain Marvel et ne souhaitez pas en savoir plus sur le film, n’allez pas plus loin dans votre lecture.
Au mois de septembre 2018, le monde découvrait la première bande-annonce de Captain Marvel. Déjà dans ces premières images, le duo Carol Danvers – Maria Rambeau passait déjà plutôt bien à l’écran. Et cela c’est confirmé avec la bande-annonce suivante ainsi que les nombreux spots jusqu’à la sortie du film.
Mais pour ma part, j’ai eu un pressentiment dû à mon expérience de fan queer de pop culture. C’est simple, j’ai vu arriver de loin l’alchimie entre Carol et Maria dans le film. Je me suis tout de suite dit : « ces deux-là feraient un beau couple, mais on n’y aura pas droit ».
J’ai eu tristement raison.
Faisons un point sur la relation entre Carol et Maria.
On ne sait pas encore comment les deux femmes se sont connues, mais les souvenirs de Carol déterrés par les Skrulls nous en disent déjà beaucoup dès le début du film.
Carol et Maria étaient toutes les deux pilotes militaires, elles travaillaient ensemble. Elles s’amusaient aussi ensemble, puisqu’on les voit prendre un verre, faire un karaoké, rire… Et puis vient cette séquence où Maria appelle Carol, qui regardait les étoiles avec la petite Monica. Notre héroïne emporte l’enfant dans ses bras en l’appelant affectueusement « Lieutenant Rebelle ».
Plus tard, on apprend aussi, et surtout, que Carol vivait avec Maria et sa fille Monica.
« Elle ne s’entendait pas avec sa famille, du coup on est devenu sa famille », explique la petite au sujet de Carol.
Pendant cette même séquence, se succèdent de nombreuses photos de Carol, Maria et Monica, souriantes et heureuses. À Noël, à Halloween, en soirée…
Bref, c’est une adorable petite famille. Mais remarquez qu’on parle ici de deux femmes qui ont élevé une enfant ensemble, sous le même toit.
Et malgré tous ces détails qui auraient amené logiquement à la révélation que Carol et Maria étaient en couple… Les dialogues ont bien insisté sur le fait qu’elles étaient « meilleures amies », deux fois. Elles ne partageaient d’ailleurs pas la même chambre :
« Tu es venue me réveiller en tambourinant à ma porte », disait Maria au sujet de la fameuse matinée de l’enlèvement de Carol.
Alors que Marvel Studios a réaffirmé à deux reprises depuis l’été dernier (juin 2018 & mars 2019) que des personnages LGBT arriveraient très bientôt, le traitement de la relation entre Carol et Maria est très décevant. Les éléments que je viens de citer sur les dialogues sonnent terriblement comme une volonté d’évacuer explicitement toute possibilité que Carol puisse aimer une femme.
La première potentielle famille homoparentale, incluant une super-héroïne lesbienne ou bi, du MCU était pourtant servie sur un plateau en or. Tout était là, il n’y avait plus qu’à remplacer « meilleure amie » par « compagne ». Tout allait dans ce sens et l’impact en aurait probablement été incroyable sans rien changer à l’histoire du film.
Pourtant, dans le même film, comme l’a souligné Rowan Ellis dans une vidéo très théâtrale mais factuelle, un schéma identique à l’histoire de Carol, Maria et Monica est montré explicitement.
En l’occurrence, Talos retrouve sa compagne et leur fille dans le fameux laboratoire de Mar-Vell. À ce moment-là, la situation est largement comparable à celle de notre petite famille terrienne. On assiste aux retrouvailles de deux parents, dont l’un·e retrouve sa fille qu’iel n’a pas vu depuis des années. Mais notre Skrull préféré n’a pas droit à une « meilleure amie », lui.
« Mais c’est bien, aussi, une héroïne sans love interest ! »
Oui mais non. En parlant du sujet sur Twitter, c’est une réplique que l’on m’a renvoyée systématiquement. Et c’est très fatigant. Parce que concrètement, les héroïnes sont plus facilement représentées célibataires plutôt qu’ouvertement lesbiennes ou bi.
Rey dans Star Wars, Elsa dans la Reine des Neiges, Moana, Lara Croft dans le dernier Tomb Raider, Adora dans She-Ra & les princesses au pouvoir, le 13ème Docteur… Et j’en passe. Les voilà, les héroïnes indépendantes · célibataires. Elles sont déjà là.
Tandis que des héroïnes qui aiment explicitement les femmes au centre de grosses productions, ça ne court pas les rues. Donc s’entendre dire, à chaque fois que l’on prend la parole pour dénoncer l’effacement d’une héroïne potentiellement non-hétéro, qu’elle est aussi bien seule ou du moins sans love interest laisse un goût très amer. Car, comme le monde entier ou presque nous le dit, cela renvoie le message qu’une femme est mieux seule qu’avec une femme.
En plus, le MCU n’en est pas à son coup d’essai.
La déception n’en est que plus grande quand on constate que ce ne sont pas les premiers personnages potentiellement non-hétéros effacés par Marvel Studios dans le Marvel Cinematic Universe.
En un an et demi à peine, ce sont en tout 7 personnages LGBT qui ont vu cet aspect de leur identité se faire effacer.
Rien que dans le sublime Thor : Ragnarok, on en compte 3.
Dans les comics, la Valkyrie aime les femmes, aussi bien dans sa version originale que celle issue du film. L’une a entretenu une relation avec Annabelle Riggs (Fearless Defenders), l’autre avec Becky Barnes (Exiles (2018)). Mais il a été révélé qu’une scène avait été tournée pour Thor : Ragnarok, où l’on voyait la Valkyrie sortir de sa chambre en compagnie d’une femme. Elle a été coupée au montage, soi-disant pour ne pas casser le rythme du film.
Loki, quant à ellui, est fluide de genre dans les comics depuis déjà plusieurs années. On rencontre donc selon les moments Loki en tant qu’homme et en tant que femme dans les pages de Loki : Agent d’Asgard et d’autres séries.
Son père Odin lui-même reconnaît que Loki est « parfois son fils, parfois sa fille ».
Enfin, l’adorable Korg est gay, et c’est officiel depuis 2011 dans Incredible Hulks #619.
Comme Captain Marvel, Thor : Ragnarok était une occasion idéale pour officialiser plusieurs personnages LGBT d’un seul coup, et facilement.
On peut aussi parler de Black Panther, dont le script original incluait un début de flirt entre Okoye et une des Dora Milaje, Ayo. Cette dernière est en couple avec Aneka dans les comics (Black Panther: World of Wakanda). Au lieu de ça, Okoye est en couple avec un homme.
Marvel Studios n’est donc absolument pas aussi ouvert vis-à-vis des LGBT que sa communication récente le prétend. De nombreux personnages ont été effacés de même que leurs romances, alors même que chaque film du MCU contient au moins une romance hétéro explicite. En l’espace d’un an et demi et 5 films, Marvel Studios a eu de nombreuses occasions d’introduire naturellement des personnages LGBT, mais n’en a rien fait.
Cela s’inscrit dans une triste tradition dans les œuvres culturelles.
Poe Dameron et Finn, Leïa Organa et Amilyn Holdo, Chirrut Imwe et Baze Malbus, Albus Dumbledore et Gellert Grindelwald, Sherlock Holmes et John Watson…
On a des exemples à la pelle, très récents, de possibles romances non-hétéros jamais officialisées, dans des œuvres où, pourtant, des romances hétéros fleurissaient explicitement et sortaient de nulle part. Eux ont droit à l’amour et la reconnaissance de leur existence, mais pas nous.
Je termine cet article sur un rappel important : la représentation n’est pas un caprice mais relève de la pure et simple logique. Les LGBT existent, de même que les personnes hétéros, il est donc normal de les représenter aussi explicitement à l’écran. En particulier dans un univers aussi riche que le MCU.
À la prochaine !
Captain Chocolatine
#marvel#marvel cinematic universe#mcu#captain marvel#carol danvers#maria rambeau#monica rambeau#thor#valkyrie#okoye#ayo#aneka#dora milaje#korg#loki#lgbt#lesbian#captain chocolatine
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VENDREDI 3 MAI 2019 (Billet 1 / 3)
Le film dont il était question dans notre Billet du 1er mai, c’était :
« NOUS FINIRONS ENSEMBLE » de Guillaume Canet.
Heureusement que nous avions réservé nos places la veille de sa sortie sur l’application « Gaumont/Pathé » car la salle était tellement pleine qu’on n’aurait même pas pu y faire rentrer une huitre (de Cap Ferret bien sûr), pour vous dire !
Et nous avons eu la surprise de voir débarquer, juste avant la projection, Guillaume Canet, Marion Cotillard et un des producteurs, Alain Attal. Tous trois ont pris la parole pour « présenter » le film et tous trois ont été très applaudis.
Nous sommes ressortis 2 heures 15 minutes plus tard en ayant passé de bons moments avec toute cette petite bande… au Cap Ferret (peut-être le « personnage » central du film), que nous avons retrouvée avec plaisir, mais avec un jugement final assez mitigé sur le film… qui est presque réussi jusqu’au 2 tiers… et puis le scénario s’étire, s’égare, entre autre dans 2 digressions totalement inutiles… et patatras, le charme s’évapore, on y croit un peu moins et on commence à s’ennuyer.
Mais dans le désert des sorties cinéma de ces derniers mois, on ne regrette pas d’y être allés. On s’attendait à pire, on vous l’avoue et c’était quand même pas si mal.
Marina lui a donné ♥♥♥,5, JM un demi cœur de moins.
La critique ci-dessous cerne assez bien ce que nous en avons pensé…
Par contre ce qu’en dit Libération, Le Monde et Télérama est ABJECT ! Pas la peine de vous faire un dessin, vous devinez aisément ce qui lie ces 3 canards. Car ne pas apprécier un film sous prétexte que les principaux protagonistes sont des « nantis » et que le Cap Ferret est un lieu « privilégié » est d’une stupidité crasse. Ces mêmes journaux tenaient-ils à l’époque les mêmes propos sur les films de Claude Sautet ? Par contre les réserves soulevées, principalement sur le côté bancal du scénario, nous semblent justifiées. Mais encore une fois, on n’a pas envie de voir au cinéma tout le temps les mêmes films : sur le chômage, les immigrés, la condition de la femme au Moyen Orient ou les exclus du système !...
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Faut-il aller voir la suite des “Petits mouchoirs” au cinéma ?
Il y a neuf ans, on les avait laissés à l’enterrement de leur ami Ludo (Jean Dujardin) en larmes, mais plus soudés que jamais. Dans “Nous finirons ensemble”, la bande n’est plus aussi proche. Max (François Cluzet) est en froid avec eux depuis trois ans, mais alors qu’il traverse une passe difficile et s’apprête à passer le cap des 60 ans le moral en berne, tous décident de lui faire la surprise de le rejoindre dans leur ancienne maison du bonheur.
Éric (Gilles Lellouche) a eu un enfant dont il ne sait pas s’occuper, Marie (Marion Cotillard) boit pour oublier ses démons, Vincent (Benoît Magimel) est désormais en couple avec un sexagénaire ancien danseur de l’Opéra de Paris et Antoine (Laurent Laffite), toujours aussi paumé, est devenu l’assistant souffre-douleur d’Éric. Quelques nouveaux personnages rejoignent le groupe à l’image de Sabine (Clémentine Baert), la nouvelle compagne de Max, ou encore Alain (José Garcia), le voisin dragueur qui jette son dévolu sur l’ex-femme de Max, Véronique (Valérie Bonneton).
Et si les premiers moments des retrouvailles ne sont pas forcément un plaisir pour tout le monde, les amis retrouvent assez vite leur complicité autour d’une nuit déjantée en boîte de nuit ou d’un jeu de société plutôt alcoolisé. Ajoutez à cela des scènes de comédie pure comme l’inénarrable saut en parachute d’Antoine et des scènes de drame lorsque le fils de Marie se perd en mer, et voilà la recette de “Nous finirons ensemble”.
“Quoi de neuf sous le soleil du bassin d’Arcachon ? Pas grand-chose”, résume Le Bleu du Miroir, “le programme est convenu et ne devrait ni convertir les détracteurs du premier, ni décevoir ceux qui l’avaient apprécié.” Sûr qu’une bonne partie des quelque 5 millions de Français qui étaient allés voir le film en 2010 seront ravis de retrouver cette bande de potes dont ils ont parfois l’impression de faire partie. La complicité entre les acteurs est évidente et on ne se lasse pas de voir François Cluzet toujours aussi excessif. Mais cela ne fait pas tout.
“Trop souvent, le film est victime de sa paresse scénaristique, de la facilité dans laquelle sombre une mise en scène peu soucieuse de réalisme et qui use ses rares fulgurances jusqu’à la corde”, critique FranceInfo.
D’autres pourtant apprécient particulièrement ces ressorts scénaristiques un peu brutaux. “Canet excelle dans ces élans cathartiques. Dans l’écriture comme dans la mise en scène, plus tenues et acérées que sur ‘Les Petits Mouchoirs’”, commente Première. “Les moments de pure comédie sont plus rares: le film assume son cynisme. Mais s’il cogne, c’est pour mieux caresser. »
Même son de cloche pour un critique du Figaro sous le charme : “Les chansons de Boney M., de Nina Simone et de Cyndi Lauper rythment ce tendre bilan au bord des dunes. La prétention est absente de cette comédie où abondent mille détails vrais et un labyrinthe de chassés-croisés”.
Au final, certains sortiront peut-être de la salle de cinéma avec le sentiment d’avoir assisté à un “feel good movie” aux ficelles un peu trop grosses ; mais d’autres avec les yeux humides et une pointe de mélancolie, de celle qu’on a lorsque les vacances entre amis se terminent.
(Source : « huffingtonpost.fr »)
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Ma dépression est rendue une part de mon identité et ca m’en est égal.
Et là je te vois me traiter de gros fragile et tu sais aussi déjà probablement que je m’en branle, t’es pas le premier puis tu sera probablement pas le dernier. Mais tu pourras pas insulter tout le monde. Car le plus grand fléau du 21ème siècle, c’est la dépression. Et si tu me sors que tu connais personne de dépressif dans ton entourage, c’est que soit tu mens, soit tu le connais mal. En 2050, la moitié des Québécois auront le cancer, mais le taux de dépression, lui, il sera a des niveaux terrifiants. Et contrairement à la peste ou a Ebola, ni masque, ni combinaison, ni murs, ni carte bancaire ne protégera de cette maladie zombifiante qui touchera peut-être - à terme - le monde entier.
Trainspotting nous l’avait dit.
Parce que moi j’habite au Québec et que je suis loin, j’ai fait quelque chose que beaucoup de millénials font en plus de partir très loin, j’ai embrassée ma dépression, car c’est comme une maman qui revient toujours vers toi car elle t’aime beaucoup et veut pas que t’aie plus mal en t’isolant le plus possible de tout et en te rappelant de manière toxique ce qui peut t’arriver a coups de flashbacks quand tu veux quitter ses bras et contre laquelle j’ai cessée de lutter par lassitude. En me basant sur comment je vis moi-même tout ça sur ce blog de merde que personne ne lit, je vais t’expliquer comment ça descend très vite.
Le monde merveilleux de l’hypersomnie.
Le monde de l’hypersomnie, c’est le monde des gens qui dorment 12 heures par jour, avec un rythme de sommeil souvent décalé, lors de nuits agréables ou cauchemars et flashbacks sont monnaie courante. Et surtout qu’a la fin, on ne sait pas quel jour on est, quelle heure il est, on ne comptera plus les fois ou le soleil qui se couche aura été confondu avec celui qui se lève ! Et que tes jambes de fils de lâche te font mal, te faisant signe de fermer les yeux à nouveau. Mais si tu le fais mon con, tu vas replonger dans ce rêve que tu aiment temps ou tu te faisais étrangler avec un foulard en maternelle par un petit bâtard. T’aimerai retourner dans le temps, rentrer dans la cour de récré et battre ce petit bâtard jusqu’au sang, ça t’aurai évité un traumatisme. Ca aurait été jouissif. Mais tu ne peux pas, alors tu dors beaucoup, ta notion du temps est fuckée, tu sors rarement de chez toi et très peu de temps, tu as du mal a distinguer tes rêves de la réalité et tu fais de la déréalisation.
La déréalisation ou comment ton propre cerveau à lâché l’affaire. Puis la peur qui tord les tripes.
La déréalisation, c’est un peu quand tu es là en étant pas là. C’est très flippant, t’a l’impression d’être la seule personne dotée d’une âme, et que rien autour de toi n’est réel, que tu n’es qu’un fantôme. C’est une réaction de Syndrome post-traumatique pour éviter un choc a la réaction de quelque chose qui est lié de près ou de loin à un traumatisme, pour éviter plus de niquer ta santé mentale qu’elle ne l’est déjà. Et éviter au maximum de créer une crise d’angoisse (Ça peut survenir après). Quand on déréalise, disons qu’on a l’impression que rien n’est réel autour de nous et qu’on flotte, que tout est artificiel, et une impression de disparition, ça peut être atteint après quelques hits de bong aussi, mais la déréalisation à un côté agréable d’être relaxante (Du moins pour moi), elle est pourtant un signe qu’il faut se ménager. Et c’est mieux qu’une crise d’angoisse ou on perd le contrôle de tout, il y a une tempête qui tonne dans ta tête et elle ne se calme pas, ça te prends par les boyaux et t’a l’impression de plus pouvoir respirer. Et tu veux que ça se termine. Il faut faire quelque chose, mais je recommande pas car se faire emmener a l’hopital pour se faire injecter du valium n’est pas bien sympathique. Puis le pire c’est de te dire que c’est tellement devenu normal que tu arrives plus a en pleurer, même si tu aimerais avec toute la volonté du monde.
Vision assez représentative de la déréalisation.
Le craquage total et comment tu finis par fuir pour mieux vivre.
Pas tout le monde fait ça, mon moyen aura été de partir vagabonder en France puis de partir au Japon puis au Canada (J’en parlerai), pendant tout ce temps, j’ai explorée ma sexualité, j’ai vu du paysage, rencontré du monde, développée des belles relations, connu l’amour. J’ai sombré dans le nihilisme depuis longtemps, je buvais comme un trou, je ne croyais plus en rien, je ne le savais pas encore mais j’étais en dépression. Je travaillais de nuit dans un bar a Kyoto pour vivre après avoir démissionné d’une ferme dans la préfecture de Nagano, de 21h a 5h du matin dans la fumée de cigarette qui s’amoncelait au plafond du troquet. A servir des boissons à des filles qui craquaient sur mes yeux verts avec la même playlist de R’n’B malaisant en boucle sur la sono.
A finir à roder avec une clope a la bouche au bord de la rivière Kamo avec tous les cadavres des types saouls affalés sur le béton pour rentrer chez soi a l’heure ou le soleil se lève sous le regard fustigeant de l’honnête plèbe dont le quidam au regard abruti qui viendra peut-être se saouler chez toi un soir.
Ton foie, ta gorge, ton horloge interne est niquée, mais au moins, tu vis ta jeunesse à fond et tu le sais, même si ça ne remplis pas le vide à l’intérieur de ton cœur que tu peux encore contenir, mais ça, même si tu le cries, personne ne l’écoutera. Car rappelle-toi : tu as 20 ans, tu es jeune et heureux et tu n’as pas de problèmes dans un monde vieillissant ou ta génération est romancée comme libre et bohème, soit comme feignante et parasitaire, dans tous les cas, tu n’en sais rien, tu t’en fous et tu es heureux ainsi.
Les psychologues sont à la ramasse, et les psychiatres ont encore moins de race que les dealers de crack.
Les psychologues, c’est les mecs qui sont encore dans le délire Freud en France qui est responsable du suicide de beaucoup de jeunes en France pour avoir importé sa pseudo-science fictionnelle sauce inceste au jus de ta mère qui aujourd’hui encore gangrène tout le système médical Français et barre la voie au progrès.
Le psychiatre lui, il est plusieurs crans au-dessus dans le baromètre de la fils de puterie, lui, c’est le mec dont les grand-parents balançaient des juifs au Monsieur Allemand sympathique lors de la dernière guerre. Suppôt du Sheitan et du Lobby pharmaceutique qui prescrit des Xanax a des gosses de 14 ans qui ont des parents maniaques qui eux auraient besoin de consulter de toute urgence. Et peuvent t’envoyer dans l’enfer de l’hopital psychiatrique ou tu ressortira en encore plus mauvaise santé qu’en y rentrant. Grâce à enfants de partouze, s’il y a une chose plus difficile que trouver un Ramen en Somalie, c’est ne pas avoir accès à des drogues de prescriptions en France. Chapeau les artiss’. Lobby Pharmaceutique 1 - Pablo Escobar 0. Si il y avait des vrais journalistes, pas ceux de BFM, ils verraient que ces mecs qui buvaient de la vodka sans aucun but dans leur vie et qui soudainement partent jouer de la mitraillette en Syrie, ils s’en foutent probablement de Dieu putain. Ils veulent juste se sentir exister, tu fais rapidement le parallèle entre la haute consommation d’antidépresseurs en France et le taux très élevé de combattants qui partent en Syrie, je veux pas être conspirationniste mais tout de même.
L’amour avec d’autres personnes en dépression et les Mommy Issues.
Vrai, j’aime les femmes plus âgées, le peu de relations que j’ai eues avec des femmes étaient des femmes de plus de 30 ans, déjà parce que je suis timide et que ces femmes-là viennent vers moi, font le premier pas. Puis souvent, elles prennent soin de toi, te donnent de l’amour puis l’écouter parler de sa vie, s’intéresser à elle, parler de cinéma, de psychologie puis de politique. Une relation entre deux personnes dépressives, c’est beaucoup de communication, et rien que pour les bédos et les bouteilles descendues à 3 heures du matins en ayant des conversations émotionnelles et profondes avec une femme plus vieille que sa mère qui te traite avec toute l’affection du monde, plus que ta propre mère qui était obsédée par sa carrière, ça n’a pas de prix. Ces relations-là durent longtemps, je porte les femmes divorcées dans mon cœur pour l’éternité, chaque relation a été un souvenir merveilleux et m’a marquée en bien.
C’est genre vous êtes toujours misérables mais à deux alors c’est mieux.
La dépression est-elle en train de marquer une génération entière ?
Parce que oui. Les années 2010 et la post-crise économique de 2008 ont vu l’émergence d’un courant artistique se reflétant dans la musique comme Yung Lean et ses clips ayant une ambiance dissociante ou le récemment décédé Lil Peep parlant de ses troubles mentaux dans ses textes, on est à une époque ou la dépression et les troubles mentaux en général sont de plus en plus exposés car aujourd’hui, ce sont des choses qui affectent énormément de jeunes puis que l’on ne peut plus ignorer, et là ou j’y vois une mine d’or Anthropologique, ça me fait aussi très peur. Pas plus tard que y’a 3 jours, j’ai vu un film Français qui s’appelle Nocturama, sorti en 2016, parlant d’un groupe de jeunes nihilistes désillusionnés qui font sauter des bombes dans Paris simultanément, ils se réfugient dans un centre commercial et s’en suit un ballet d’émotions, de remise en question et de peur dans une ambiance de film d’auteur sombre, c’est très particulier, mais le fait qu’un tel film parlant de ça existe, c’est que ça pointe un problème bien réel.
Bon, les acteurs c’est vraiment la promo 2016 de l’école des arts et théatres et c’est en partie ça qui retire pas mal de crédibilité au film. A vous tous les psychologues, a vous tous les parents qui disent à leur enfant “Trouve-toi un travail et mange mieux et ça va passer”, à tous les gens qui ont niqué notre enfance, notre adolescence et de ce fait notre jeunesse. On vous emmerde et on aura notre revanche quand votre fille se suicidera avec votre boite de Xanax. Baisez bien vos grands morts. J’ai pas de fin.
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CHAPITRE 20
La nuit est profondément tombée quand je gare enfin mon pick-up sur le parking de l'hôpital. Nous avons un plan mûrement réfléchit, chacun à son rôle. Jimin, dans quelques minutes, tu seras libre, tu as ma promesse. Afin de ne pas éveiller les soupçons, nous nous séparons et nous rentrons au compte goutte à l'intérieur de l'hôpital. Comme si de rien était. Comme si nous n'étions pas là pour la même chose.
En premier lieu, Hoseok devait détourner l'attention des infirmières de l'étage de Jimin, faisant mine d'être venu leur apporter quelques snacks pour les remercier du bon traitement qu'il a eu pendant son hospitalisation, prétextant avoir pensé qu'elles en auraient besoin.
Pendant ce temps, Jungkook et Taehyung devaient se glisser dans la chambre de Jimin, afin de l'avoir sous la main et lui expliquer le plan de sauvetage dans lequel on l'embarque. Namjoon et Yoongi veillent au détour des couloirs que personne n'approche de la chambre. On ne sait jamais, il faut toujours prévenir que guérir. Quant à moi, je suis positionné de l'autre recoin du couloir, prêt à bloquer la porte quand j'aurai le feu vert des deux garçons qui font les guets.
Notre plan est parfait, j'y crois de tout mon cœur. On va réussir, on va sortir Jimin d'ici, foi de Kim Seokjin. D'un œil, je regarde Hoseok qui se pavane devant les infirmières en papillonnant des cils comme une biche innocente, les faisant rire avec son éternelle bonne humeur. Il est fort pour détourner l'attention ce Hoseok, je l'admire pour son rayonnement de bonheur si plaisant. Mais je dois rester concentré. Je secoue rapidement la tête avant de reposer mes yeux sur Namjoon qui se tord le cou à essayer de regarder si ca bouge dans la chambre de Jimin.
Je crois voir la porte s'entrouvrir. Yoongi me fait un signe discret que les petits sont prêts. Je tourne les yeux vers Hoseok qui reçoit le geste de Namjoon. Je ne sais comment il fait, mais il parvient à positionner les infirmières dos au couloir. En reposant mes yeux sur la porte de la chambre. Je vois Taehyung, suivi de Jimin puis Jungkook, sortir presque accroupis de la chambre.
A pas de loup, ils longent le couloir, se mettant à quatre pattes quand ils passent devant le comptoir des infirmières. Yoongi et Namjoon quittent leur tour pour s'approcher de moi, mine de rien. Et dès que les trois petits sont quasiment à notre niveau, je bloque la porte pour laisser passer les gens, avant de faire signe à Hoseok que c'est bon. Hoseok fait mine de les laisser travailler et part comme si de rien était. Mais dès que les portes du service se referment sur Hoseok, on se met à courir comme des dératés pour rapidement sortir de l'hôpital. Jimin est en pyjama d'hôpital, avec des pantoufles tout aussi blanches.
C'est dans un éclat de rire qu'on passe enfin les portes de l'hôpital. Sans réfléchir, je saute au volant du pick-up, Yoongi Namjoon et Hoseok grimpent avec moi dans la cabine pendant que les trois plus jeunes sautent dans le coffre et je démarre en trombe, quittant le parking alors qu'on laisse éclater notre joie dans des cris. Dans le rétroviseur, je vois les yeux de Jimin briller d'un bonheur infini. Voir ce sourire sur ses lèvres me fait chaud au cœur. Je suis heureux. Notre cauchemar est enfin terminé. On est tous en vie.
Cette nuit là, nous avons fait la fête jusqu'au lever du jour, chez Namjoon, buvant, chantant, dansant. Nous sommes libres à présent. Plus rien ne peut briser nos vies. On est ensemble.
Du moins, c'est ce que je croyais...
Jimin Check
15 mai. Année 22
Il est presque 16h. Je suis chez Yoongi. On boit une bière devant un drama un peu mou à la télévision. La vie a reprit son cours. Tout recommence comme avant. Comme lorsque nous étions au lycée. Notre amitié a renait de ses cendres et je n'ai jamais été aussi heureux. Je me sens si...apaisé. Mais j'ai l'impression d'avoir oublié quelque chose. Mais je ne saurai mettre le doigt sur ce que cela peut être. On est heureux, on est ensemble, alors je me dis que je dois me faire des films.
Alors que je suis à moitié perdu dans mon téléphone, n'écoutant que d'une oreille le drama qui passe à la télévision, alors que Yoongi somnole à moitié dans le canapé, car il a passé la nuit à composer ; notre drama se coupe d'un coup pour un flash spécial. Le bruit brusque de l'alerte flash spécial nous fait sursauter tous les deux. Yoongi se redresse brusquement et essaie de décoller ses yeux ainsi que désembuer ses neurones pour comprendre. Pour ma part, j'ai lâché mon téléphone en me redressant.
Aux informations ils parlent d'une attaque à main armée dans une supérette, du moins d'après la journaliste. Il ne me faut qu'une seconde pour reconnaitre la devanture de l'épicerie de Taehyung. L'espace d'une seconde un flash me revient. Taehyung, menotté et insulté, accusé d'avoir tiré sur quelqu'un. MERDE TAEHYUNG !!
Je lâche ma bière qui s'explose sur le sol alors que je dévale les étages de chez Yoongi, l'entendant gueuler que je vais lui payer le nettoyage de sa moquette toute neuve. Comment j'ai pu être aussi naif...Comment ai-je pu oublier l'accusation de Taehyung. Merde...merde...merde...MERDE ! Quel con.
Je ne prends même pas ma voiture, je cours de toutes mes forces, par chance, la police n'est pas encore bien installée pour gérée la situation. Me permettant d'approcher sans problème de la boutique et même d'y pénétrer.
« _ TAEHYUNG NON !! »
Devant moi, je vois Taehyung, presque en transe. Il tremble, il crie des choses incompréhensibles en visant un homme tétanisé qui le supplie de l'épargner. Je tente de m'approcher en essayant de lui parler.
« _ Taehyung-ie...c'est moi...Seokjin...tu sais ton ami... Calme toi...on va parler...okey... ? Baisse cette arme...tout va bien Tae...Je te promets...tu n'auras pas de problème si tu poses cette armes... »
J'ai réussi à me glisser entre l'homme et mon ami, approchant, les mains en avant, pour lui montrer que je ne lui veux aucun mal. Il ne faut pas être devin pour comprendre qu'il est en pleine crise de panique, ou de folie. Suffit de regarder ses yeux. Il n'a pas le contrôle de lui. Il est dans un état second, dans un état de choc traumatique.
Je le vois doucement son arme, comme s'il était entrain de se calmer. Mais un bruit métallique se fait tendre derrière nous. Je n'ai pas le temps de me retourner que je vois Taehyung appuyer sur la gâchette. Je hurle en me jetant sur lui, pensant réussir à faire dérivé le canon de l'arme pour épargner l'idiote qui à buter dans une pile de conserve, les faisant tomber dans un bruit assourdissant.
Une violente douleur remplit mon corps, mon souffle est comme coupé. Je mets quelques secondes à me rendre compte que je suis entrain de saigner. Taehyung venait de me tirer dans l'abdomen. J'ai juste le temps de murmurer son prénom avant de m'écrouler.
Mon dernier souvenir est Taehyung qui lâche l'arme. Je crois que le coup de feu l'a fait reprendre ses esprits. Il hurle en se jetant sur moi, se rendant compte de ce qu'il a fait et il se met à pleurer. Plaquant ses mains sur mon torse en me suppliant de ne pas mourir...
Mais c'est trop tard.
« CRACK »
J'ai encore échoué...Seul, je ne peux rien faire...J'échouerai toujours seul...
********
Hoseok, 25 Avril. Année 22
Lorsque j'ouvre les yeux, il est là, debout à coté de mon lit, ses cheveux en bataille qui me font rire. Il me regarde de ses petits yeux pétillants de malice. La même malice que lorsqu'on dansait lui et moi dans notre repère secret au lycée. Me souvenir de ces jours là me serre le cœur. Je me redresse doucement en m'étirant doucement. Avant d'attraper mon coussin et de lui jeter dessus dans un éclat de rire. Je sais qu'il a le sien caché derrière lui. Il explose aussi de rire à l'impact avant de me frapper du sien également.
Je suis heureux de l'avoir enfin retrouvé. Je me sens renaitre depuis que je revois sa bouille d'éternel bambin. Il a grandi, il a perdu également de ses joues pulpeuses qu'on adorait tous pincé comme les vieilles ajummas du quartier.
« _ Je meurs de faim...allons à la cafétéria ! »
Il accepte immédiatement et il attrape mon poignet en me disant de venir. Je n'ai pas le temps de réagir qu'il me tire. Nous partons tous les deux en courant dans le couloir en riant comme des enfants. Je termine par récupérer mon poignet et je cours encore plus vite en le mettant au défi.
« _ Le dernier arrivé à la cafétéria est un œuf pourri ! »
Il éclate de rire en me disant que j'ai perdu d'avance. Je ris encore plus alors que j'accélère. J'y suis presque. J'ai gagné.
C'est un muffin à la fraise et une canette de soda à la main qu'on se laisse tomber sur le vieux sofa de la cafétéria, riant de notre course. Je le regarde en ouvrant ma canette pour prendre une gorgée avant de lui tendre. Une question me brûle les lèvres. Dois-je lui demander ? Aller, je me lance, je dois savoir.
« _ Jimin-ah...Tu étais ici toutes ses années...n'est-ce pas... ? »
J'entends son soupir, il se positionne complètement au fond du canapé, de profil par rapport à moi et je l'entends me répondre d'une voix presque éteinte à présent.
« _ Je n'ai jamais bougé d'ici depuis trois ans...et je ne bougerai surement jamais...
_ Jimin-ah...je vais te sortir de là, je te le promets...»
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