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Pour une dernière fois;
Lettre à mes deux hommes,
Dès notre rencontre, je t’ai plu, et ce fut une chance incroyable, car je ne me considère pas comme quelqu’un d’extravagant. Même maintenant, quand tu me demandes ce que j’aime chez moi, je peine à trouver une réponse, convaincue que c’est ma simplicité qui t’a charmé.
Notre connexion était évidente, et je me suis vite rendue compte que, dans tes bras, je me sentirais toujours en sécurité, aimée et protégée. Après très peu de temps, j’avais déjà la certitude que tu serais là pour m’encourager dans tous mes projets, me faire sourire et me pousser à dépasser mes limites après un échec, afin de devenir la meilleure version de moi-m��me. Tu as toujours souhaité m’offrir le meilleur. Et ce désir a toujours été réciproque.
Nous partageons de longues discussions auxquelles je n’ai jamais envie de mettre un terme, tant je te trouve passionné et j’aime ton humour bien à toi et ta manière de transformer des histoires ordinaires en films d’action. J’ai toujours su que je ne m’ennuierais jamais avec toi.
Et puis, il y a ta façon de prendre soin de moi, de t’inquiéter pour mon bien-être, de me demander comment s’est passée ma journée ou si j’ai bien dormi. Avant toi, personne ne semblait se soucier réellement de ces détails qui, pourtant, comptent tant. Avec toi, tout est différent.
Notre histoire était faite de ces choses indescriptibles, de cette alchimie et harmonie qu’on ne sait expliquer mais qu’on ressent profondément. Le temps a filé à une vitesse incroyable, preuve que les moments heureux semblent toujours trop courts. J’aimerais pouvoir appuyer sur pause, ne serait-ce qu’un instant, pour prolonger ces instants précieux qui n’appartiennent qu’à nous.
Nous avons pris notre temps pour construire notre relation, mais tout a semblé passer si vite. J’aurais aimée que ce soit assez pour toi. J’aurais aimée que tu puisse te laisser aller encore plus longtemps à mes côtés.
Je savais que nous serions suffisamment solides pour affronter ensemble les tempêtes émotionnelles, que notre résilience était à toute épreuve, et surtout, que nous étions capables de nous compléter parfaitement.
J’aurais voulu être la personne qui serait là pour toi dans les bons comme dans les mauvais moments, pour célébrer tes succès, partager tes échecs, embrasser tes imperfections afin que tu apprennes à les aimer.
Puis cette fin est arrivée, prématurément selon moi.
Tout étais terminer et il fallait continuer chacun de son côté.
Puis ses deux lignes rose sont apparues. Je me suis sentie démunie et plus seule que jamais. Je ne savais pas quoi faire. Je n’étais pas prête. Le moment était mal choisi.
Le jour arrivas.
J’avais l’impression que tout le monde savaient mon secret qui devenait de plus en plus difficile à porter. La douleur de ne pas savoir si je prenais vraiment la bonne décision, la tristesse de vouloir garder mon bébé, mais de ne pas être en mesure de le faire. Puis soudainement, tout est devenu noir et quelques heures plus tard, mon bébé n’était plus.
La minute précédente, je portais la vie et celle d’après plus rien.
J’ai ressenti un grand vide dans mon corps, une douleur innommable dans mon coeur. Pourtant, au fond de moi, je savais que j’avais fait le bon choix pour toi. Qu’à cet instant-là , je n’avais rien à t’offrir et que je n’aurais malheureusement pas été en mesure de m’occuper adéquatement de toi.
On m’a dit que la douleur partirait. Que j’oublierais cet épisode de ma vie et effacerait ce souvenir.
Je me sens toujours coupable d’avoir enlevé la vie à ce petit être qui ne demandait qu’à vivre. Je me demande sans cesse ce qu’aurait été mon existence si j’avais gardé cet enfant. Je me demande si mon amour pour cet enfant aurait suffi. Je me demande si c’était un petit garçon ou une petite fille et ce à quoi il aurait ressemblé. J’ose croire que tu aurais eu mes yeux, probablement le caractère de ton père. Tu aurais pu déplacer des montagnes, je le sens au fond de moi. Tu aurais été extraordinaire, tu aurais eu toute les chances de grandir dans ce monde remplis d’injustice. Tu aurais trouver ta place comme personne. J’aime t’imaginer, petit homme, courir dans tout les sens et t’entendre dire maman.
La douleur ne s’est pas réellement atténuée et je ressens toujours un vide immense qui prend davantage d’espace à chaque jour ou je me demande si cette décision était la bonne. Je sais que cette douleur restera toujours.
J’aimerai simplement, le temps d’un instant, me sentir moins seule. Être seule avec moi-même est la pire des souffrances.
J’aimerai que ton père soit la, mais cette journée-là je vous ai perdu tous les deux à jamais.
Ma petite poussière 💫
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Petite chose,
Je te sens à l'intérieur.
J'ai deux fois plus d'appétit, moitié moins d'énergie et on parleras pas de mes émotions en cavale. Cela me brise le cœur de ne pas ressentir l'euphorie que je devrais. Je suis à la fois triste et pleine de regret. Plusieurs émotions se bousculent dans ma tête et mon cœur : regret, honte, douleur et tristesse.
La panique m'a envahie à l'apparition de ces deux petites lignes m’annonçant que tu grandissait en moi. J’avais fait attention, du moins je le pensais, jusqu’à ce que ce test positif me confirme le contraire. Je ne sais pas quoi faire. Je ne suis pas prête. Le moment est mal choisit. Je ne suis pas dans un moment favorable de ma vie pour donner naissance à un petit être qui ne dépendrait que de moi. Je dois prendre une décision et n’en vois qu’une seule possible. Et dans quatre jours, tu ne seras plus là. Ton papa n’as pas trop compris ce qu’il arrivait lui non plus, il ne sait pas trop comment m’épauler dans tout ça, il fait de son mieux.
Je suis désolée que ce soit un au revoir. Je suis triste de ne jamais te rencontrer. Tu pourrais avoir les yeux de ton père et mon nez, on pourrait faire nos propres traditions, être une famille. On doit avouer que, on ferait de très beaux enfants. Mais, Petite Chose, nous nous reverrons. Je ne peux pas te promettre que je serais prête un jour ou même que je pourrais avoir des enfants mais je te promets que j’ai pleurer. Je ne savais même pas que j’avais ce petit désir de peut-être un jour être mère. Je crois que c’est toi qui as réveiller cette flamme, tu auras apporter ça de positif Petite Chose. Tu m’a forcer à voir plus loin, à voir au travers de moi-même, à voir que malgré tout, j’aurais aimer te rencontrer, te voir grandir, te voir découvrir et t’émerveiller devant tout.
Je me sens coupable d’avoir à prendre cette décision, mais je sais au fond de moi que c’est le bon choix pour toi. À cet instant, je n’ai rien à t’offrir et je ne serais malheureusement pas en mesure de m’occuper de toi correctement. Je veux que tu sois heureux. Je veux les meilleures choses pour ton avenir. C'est pourquoi je ne peux pas être ta mère pour le moment. Je suis moi-même encore en train d’apprendre. Ça ne serait pas correct d’amener une nouvelle vie dans un monde où je serais perpétuellement hantée par la vie que j’ai vécue. Je veux que tu aies toutes les choses que je n’ai pas eues quand j’étais enfant.
Je veux que tu sois meilleur que moi et plus magnifique que je ne pourrais jamais être. Je ne peux pas faire ce qui a été fait pour moi: planter une graine faite d'amour et de spontanéité dans un jardin en espérant qu'elle se développe uniquement sur un rêve. L'amour et la spontanéité sont de belles choses mais elles ont peu de mérite. Et même si j'ai beaucoup de rêves pour toi, les rêves ne sont pas un outil assez efficace pour te construire un bel avenir. Je ne peux pas t’amener ici. Pas comme ça.
Je te jure que j’ai pleurer. Je te jure que j’ai souffert en apprenant la nouvelle. Je te jure que j’ai penser à te garder, que tu sois mon petit secret, mon petit miracle, ma petite lueur dans ses temps sombres, mais c’était trop de responsabilité à te donner. Tu es trop petit pour encaisser tout ça, tu ne pourrais comprendre ce qui t’arrive et tu mérites tout l’amour possible. Ça prends un village pour avoir un enfant, ça prends une famille et pour ça, je suis là seule famille que tu aurais eu, et je te jure, c’est pas assez pour toi.
Je t'aime, Petite Chose, et j’aurais aimé que les circonstances soient différentes. Je promets que je te reverrai et que, un jour peut-être, tu pourras m’appeler maman.
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J'veux te faire le café le matin.
Te dévorer des yeux.
T'enlever tes vêtements.
Qu'on rigole comme des enfants.
Mordre la vie avec toi.
J'veux tes nuits et tes réveils.
Ton odeur et ta peau.
Qu'on se fasse la tête un peu quand même.
Et puis qu'on se réconcilie follement.
J'te veux toi.
Et une vie entière à tes côtés.
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Puis, il y a eu toi…
Je me souviendrai toujours lorsque je t’ai vu pour la première fois.
Non seulement je t’ai trouvé très beau, mais tu dégageais autre chose un je-ne-sais-quoi. Sur le moment, je n’ai pas su exactement ce dont il s’agissait. Je savais simplement que j’étais attirée par toi d’une manière différente. Ce qui ne m’arrive jamais!
Maintenant, je comprends qu’il s’agissait de toi dans ton entièreté. Ton calme, ton intelligence, ton humilité, ta simplicité. Tous ces côtés de ta personnalité m’appelaient à toi. Je m’y reconnaissais. Sans le savoir, cette familiarité était celle dont j’avais besoin pour m’épanouir et m’ouvrir.
Au fil du temps, j’ai saisi que ce qui se développait entre nous deux était complètement différent de tout ce que j’avais pu connaître auparavant. Je me sentais tomber doucement, tout en étant enveloppée d’amour.
Comme une chute contrôlée.
Te dire que je ne me suis pas posé de questions serait te mentir. Mais après tout, tu le sais. Je pense trop, trop souvent, trop longtemps. Je suis de ces personnes qui questionnent et qui réfléchissent. Deux fois plutôt qu’une. Aujourd’hui, ce côté de moi me fait sourire. Et toi, tu me prends comme je suis. Sans chercher à me changer. Sans me rabaisser ou me juger. Tu me prends et c’est tout.
Pour cela, je retombe éperdument amoureuse de toi chaque jour.
De toutes les questions que je t’ai adressées, tu m’as toujours répondu exactement ce dont j’avais besoin. Sans le savoir, chaque fois, tes mots avançaient toujours plus loin en moi. Ma carapace se faisait de plus en plus mince et mes sentiments se fortifiaient.
Mais j’ai eu tellement peur.
Peur que tu t’enfuies, que tu te dises que je suis trop intense. Trop émotive. Trop insécure. Trop écorchée. Tu ne l’as jamais fait. Tu as été là. Simplement. Peu importe le temps, la distance, la vie. Tu as été là. Et sache que je le serai aussi dans tous les moments où tu auras besoin de moi.
Quand je te dis que je t’aime, c’est à tout cela que je fais allusion.
À la personne incroyable que tu es. Je me suis souvent dite que nous avions atteint un sommet, tous les deux. Mais chaque fois, ce qui suit est plus fort, plus intime, plus profond, plus grand. Ça aussi, tu le sais. Parce que je te dis tout.
J’ai trouvé en toi un reflet que je n’ai pas connu ailleurs.
Comme une porte qui s’ouvre sur moi-même, à un certain point. Ce que je vis avec toi me fait grandir tous les jours et m’amène sincèrement à être la meilleure version de moi-même. Si un jour quelqu’un me demande ce qu’est l’amour, je lui montrerai ce texte.
Et je lui dirai que c’est comme un feu de Bengale dans la nuit.
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Je suis la presque petite amie
Avez-vous déjà été la presque petite amie ?
Celle qui croit, de tout son cœur, de tout son amour, qu’elle devrait être avec lui.
Celle qui croit être sa pièce de puzzle manquante, la fin du cercle et son début, la ligne d’arrivée.
Mais au final celle qui n’a jamais sa chance.
Je crois toujours l’avoir été, du plus loin que je me souvienne, toute ma vie.
J’ai été celle, qui était proche, mais pas assez pour finir avec lui.
Si proche, mais en même temps si loin.
C’est peut-être une coïncidence, peut-être au début.
Peut-être quand je n’avais pas confiance en moi.
Peut-être quand il me manquait des parties importantes de moi.
Peut-être quand je ne m’aimais plus ou pas du tout.
Mais, j’ai toujours été celle qu’ils n’ont jamais choisie.
Celle assez bonne pour entendre vos secrets, vos confidences.
Celle assez bonne pour entendre vos doutes, vos peurs.
Celle assez bonne pour entendre vos plaisirs, vos désirs, votre bonheur.
Mais pas assez pour partager votre vie, pour être la petite amie.
Au fil du temps, j’ai évolué, je suis devenu, cette jeune femme, remplie de curiosité, d’indépendance, de passion, au multiple passetemps.
Au fil du temps, je suis devenu libre, je me suis forgé une personnalité et une attitude.
Au fil du temps, je suis devenu une femme, avec un cœur, un cœur rempli d’amour.
Mais a chaque fois que j’ai rencontré un homme, j’ai toujours été celle avec qui il ne finit pas.
Je suis celle qui finit seule, celle qui finit par le voir heureux, à le regarder toucher son rêve d’amour.
Parfois je me demande ce qui ne va pas, ce qui ne fonctionne pas, ou ne marche pas avec moi.
Il y a dans ma vie, une espace blanche, que je n’arrive pas à remplir, même si j’essaie, le plus fort possible.
Mais la vie, le destin, où, je ne sais pas… me refuse leur cœur à chaque fois.
Je regarde leur sourire, j’entends leur rire, je le vois lui ouvrir son cœur, et elle le sien, je les vois tomber l’un pour l’autre…
Et même si je ne peux être que contente, je suis jalouse…
Car mon tour ne vient jamais.
Et il n’y a rien de plus frustrant.
Il n’y a rien de plus anéantissant, détruisant que vivre cette presque relation.
Être celle qui n’a jamais sa place ou sa chance.
Se faire rejeter fait partie de la vie, se faire dire non aussi.
Mais être entre les deux, chaque fois, toutes les fois.
C’est simplement… en fait il n’y a aucun sentiment plus déprimant, que cela.
C’est s’ouvrir, c’est se donner entière, au complet, totalement, sans mettre de frein a son amour ou son cœur et finir directement, droit dans le mur.
C’est recevoir un coup dans la figure par l’univers.
C’est se faire dire tu es assez, mais pas assez pour lui.
Parfois je me demande si le problème, c’est vraiment moi…
Je me dis que c’est peut-être le mauvais genre de personne que je rencontre, ou essaie d’avoir dans ma vie.
Peut-être que je choisis mal mes hommes.
Mais que je change, que j’essaie de sortir avec un homme différent, totalement différent, ne semble rien y changer.
Je suis celle, qu’on finit par appeler une fois par année pour avoir de ses nouvelles.
Celle qui est dans notre liste d’ami et avec qui on parle de temps à autre, mais sans plus.
Pourtant au début c’était si intense, il y avait quelque chose d’unique et de spécial entre nous.
Et aujourd’hui… rien de tout ceci ne semble encore exister.
Je me dis que c’est peut-être l’endroit.
Mais j’ai déménagé tant de fois dans ma vie.
On dirait qu’une malédiction me poursuit.
Ou que l’on m’a jeté un mauvais sort.
Je me suis retrouvé tant de fois, à pleurer pour un homme, à m’en faire, à me soucier du mauvais.
Ou plutôt à avoir des sentiments pour celui qui ne me choisirait pas, qui ne se battrait pas pour moi.
Celui qui mettra des efforts pour une autre, pour quelqu’un, pour une personne qui aura mes qualités, etc., mais qui ne sera simplement pas moi.
Je suis cette fille.
Celle qui n’est jamais choisie, celle qui ne finira pas avec le prince charmant.
Mais je n’ai plus 10 ans…
Il y a longtemps que je ne crois plus au conte de fées et à leur fin heureuse.
Mais je n’ai plus 16 ans…
Il y a longtemps que je sais que l’amour n’est pas comme dans un livre, dans un bouquin, ou roman d’amour.
Je suis cette fille, la presque petite amie.
Celle à qui tu te confieras, à qui tu diras ce que ton cœur contient.
Celle avec qui tu passeras tes nuits debout à parler et refaire le monde.
Celle avec qui tu auras tant de bons souvenirs, mais les oublieras tous.
Celle avec qui on dirait que tu répètes l’amour, pour la bonne.
Celle qui te choisirait 1 million de fois plutôt qu’une.
Celle qui te connait mieux que toi même.
Celle qui croit en toi, plus que tu ne peux le faire.
Celle qui n’est pas ta meilleure amie, mais que tu traites comme telle…
Celle que tu devrais aimer.
Celle avec qui tu aurais une fin heureuse.
Celle avec qui l’amour serait si simple, sans complication ou complexité.
Je suis celle qui reste là, sur le bord du chemin, pendant que tu continues à avancer avec la bonne.
Celle qui doit s’en remettre a chaque fois, et qui dois t’oublier alors qu’elle ne voudrait que te vivre.
Et surtout je suis celle a qui tu ne t’excusera jamais, d’avoir éveillé en elle, l’amour, d’avoir allumé un feu, sans jamais l’éteindre ou lui faire vivre le frisson d’une autre vie, celle avec toi.
Celle pour qui tu ne seras jamais navré, ou à qui tu ne penseras plus dans 10 ans.
Et pourtant, tu auras laissé ta marque indélébile sur mon cœur.
Mais je ne suis pas seule.
Je ne suis pas la seule à vivre ça, à se sentir ainsi.
Peut-être que c’est notre rôle de te préparer, de te faire devenir celui qui trouvera l’amour, le vrai.
Peut-être que c’est notre place d’être la presque petite amie…
Mais j’aimerais être celle qui sera la bonne pour une fois.
Parfois je me trouve pathétique, triste.
Mais on a tous un rôle a joué dans la vie, et si le mien c’est celui-là.
C’est que la vie doit me préparer la plus belle relation, la plus belle des histoires.
Car un jour, alors que ne m’y attendrais le moins, je sais que la vie m’offrira, une relation inattendue, une relation que je n’aurais pas vu venir, une relation que je n’aurais pas prévue.
Je sais que la vie fera rentrer dans la mienne, quelqu’une qui peut-être aura elle aussi toujours été celle qui n’a jamais été choisie, et que nous nous comprendrons.
Ou peut-être que la vie, m’offrira une personne si différente, de moi, qu’avec toute nos différences, les choses qui peuvent nous séparer, et bien nous serons la pièce manquante de l’autre, nous nous complèterons.
Oui je suis cette fille, seule, mais j’ai la chance, d’être au premier rang, de chaque relation qui se termine, par une fin heureuse…
Je me dis, en murmure, qu’un jour ce sera moi.
Je me dis et si jamais la prochaine c’était moi.
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Tsé.
Tsé babe, faut que t’arrête de me prendre pour acquise, pis que tu prennes soin de moi un petit peu plus qu’une fois de temps en temps. Je te demande pas d’être toujours là à temps plein, parce que je serais pas capable de te donner autant de mon temps moi-même, mais juste d’être présent, un petit peu, souvent.
Je l’sais qui a pas juste moi dans ta vie, pis même si ça m’fait chier, jamais j’va te le démontrer parce que oui, j’ai beaucoup trop d’orgueil pour ça, mais aussi parce que ça te ferait trop plaisir de savoir comment tu m’fais feeler en dedans. Je l’sais que ça remonterait ta petite estime personnelle, pis on va se le dire..t’as clairement pas besoin de ça pour qu’elle soit haute. Même si j’te le dirais jamais, j’le sais qu’à quelque part.. tu les ressens les feelings que j’ai dès que t’es prêt de moi. Maudit qui te font plaisir hein?
S’pa du love que j’ai pour toi, mais tu le sais que t’es bin important à mes yeux pis que j’frais beaucoup de choses pour ton bonheur, parce que ça m’fait du bien à moi aussi quand j’te vois heureux.
C’que j’veux que tu comprennes là-dedans, c’est que je veux pas être là juste quand tu feels pas pis que t’as besoin de quelqu’un pour te réconforter, j’veux pas être cte fille-là. Yé peut-être trop tard tu vas m’dire? Ouin.. Je le sais bin. Fallait quand même que j’ten parle un peu au cas où t’avais pas vu les choses comme moi je les vois. C’est correcte que tu m’parles juste aux petites heures du matin, j’capable de vivre avec, mais sache que j’attends un de tes messages bin avant le souper de mon côté. Faut que tu saches que t’es un de mes sujets préférés, parce que j’en ai tellement à raconter à ton sujet, contrairement à toi qui garde notre si belle amitié dans l’ombre. S’pas grave babe, t’inquiète pas.
J’ten veux pas, ou presque pas.
Malgré toute ça, sache que je vais toujours être là, même si ça me donne souvent pas grand chose en retour, j’men fou. J’tai promis que j’resterais peu importe les embûches pis c’est ce que je compte faire… Sauf si tu me rejettes comme t’as trop souvent l’habitude de faire. J’veux bin être là pour toi, mais faut que ce soit réciproque, babe.
On est lundi, l’heure sur mon téléphone affiche 12h05 pm, pis tu sais même pas à quel point j’ai hâte que minuit arrive pour voir apparaître ton nom sur mon cell, juste pour qu’on puisse jaser de nos journées pis que je fasse semblant que j’aime ça que jettes tes états d’âme sur moi.
Tsé babe, j’ten veux pas d’être ce que t’es, j’men veux à moi-même d’accepter tout ça sans penser à moi là dedans.
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YOU'LL REGRET...
Hurting them:
PISCES, LIBRA, SAGITTARIUS, SCORPIO
Leaving them:
AQUARIUS, CAPRICORN, GEMINI, CANCER
Losing them:
LEO, ARIES, TAURUS, VIRGO
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Pourquoi la femme forte s’attache toujours trop vite...
Que vous fussiez officiellement en couple avec elle ou non, importe peu. Flirter avec elle fut suffisant. Lui prêter attention fut suffisant.
À la seconde où vous lui avez souri, c’était joué. Elle était charmée. Attachée à vous.
Ce n’est pas parce qu’elle est superficielle. Elle ne s’est pas attachée simplement en raison de l’intensité de votre regard et de votre superbe barbe de trois jours. Elle s’est attachée parce que grâce à vous, elle a senti qu’elle comptait quand habituellement elle a l’impression que ce n’est pas le cas.
Elle s’est attachée à vous parce qu’elle a vu quelque chose en vous. Une lueur de confiance. Un futur.
Bien qu’elle soit un peu brisée, elle est pleine d’espoir. Elle peut détester les gens parce qu’elle sait ce qu’ils sont capables de faire, la douleur qu’ils peuvent infliger — pourtant, elle continue à croire en eux. Elle croit en leur potentiel. En leur vérité. À cette idée qu’un jour, elle rencontrera quelqu’un qui lui accordera son amitié et son affection.
Et elle espère que vous soyez cette personne.
Elle espère que cet homme qui lui a tenu la porte et lui a envoyé un message pour lui dire bonjour est réellement un gentleman et n’est pas simplement en train d’essayer de se faufiler jusqu’à son lit. Elle espère que ses relations précédentes, ses histoires d’un soir soient du passé. Que vous lui offrirez quelque chose qu’elle n’a jusque là jamais vécu — le grand amour.
Vous ne devriez pas être effrayé parce qu’elle aime fort et vite. Vous devriez lui être reconnaissant de vouloir se jeter à corps perdu dans une relation, malgré la possibilité qu’elle en souffre. Malgré la possibilité qu’elle finisse à nouveau le coeur brisé.
Ne la méprisez pas d’être capable de s’attacher si facilement, même si cela vous arrive. Elle ne souhaite pas tomber amoureuse au premier regard. Elle ne souhaite pas imaginer un futur alors que le présent n’existe presque pas. Elle ne souhaite pas être collante avant même que vous soyez proches.
Mais elle ne peut pas s’en empêcher. Elle est comme ça.
Elle s’attache facilement parce qu’elle est en manque d’attention. Elle adore la sensation d’être touchée. Les mains passées dans ses cheveux. Les doigts caressant les courbes de son dos. Les paumes fermement serrées l’une contre l’autre. Les baisers sur le front, les câlins inattendus et le frôlement discret de deux bras.
Elle a envie d’intimité. Elle a envie d’attachement. Elle a envie de ressentir.
Elle a envie d’aimer avec tant de force qu’elle arrivera à percevoir l’espoir dans chaque regard qu’elle croisera. Elle voit de la beauté dans chaque homme susceptible de devenir son compagnon.
Elle s’attache facilement parce qu’elle sait qu’elle en vaut la peine. Elle sait qu’elle finira par trouver quelqu’un qui ne la décevra jamais — ne la laissera jamais s’en aller — ne la fera jamais se sentir comme une idiote juste parce qu’elle aime intensément.
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Un jour le karma s’en occupera, je l’espère
Tu disais que t’étais fort. Que t’étais solide. Que tu voulais dequoi de vrai, quelque chose de précieux pour une fois dans ta vie. Tu la laissais voir tous tes bons côtés, tu la laissais imaginer tout le merveilleux que vous auriez pu créer et vivre à deux. Tu savais qu’avec tes mots et tes sous-entendus elle s’en faisait des histoires et des scénarios, et c’est ça que t’aimais. De lui offrir tout sur un plateau d’argent, pour ensuite lui enlever pour avoir un pouvoir sur sa tête et faire s’que tu voulais d’elle comme un pantin pas d’âme, dénudé de sentiments ou de vie.
J’crois que quand t’es un vrai homme, ou du moins quand tu dis que t’en est un, t’es pas sencé de choisir les femmes qui sont fragiles, les femmes qui sont brisées. Donner espoir à une femme qui se cherche, juste pour glisser tes doigts sur son corps détruit par les mains sales, c’est de la lâcheté. T’aurais dû choisir des femmes qui étaient fortes et qui auraient pû se défendre. Mais toi t’étais tellement remplis de lâcheté et d’égocentrisme que tu choisissais les cibles faciles pour les démolir encore plus. Parce que détruire c’est tellement plus facile que de reconstruire.
Pis après t’oses dire qu’elle est faible? Qu’elle est démolie? Pauvre petit, c’est à cause de gens comme toi qu’elle est devenue ainsi. Tenir ses seins entre tes mains c’est plus facile que de prendre soin de son cœur.
Pis toé tu l’utilises pis tu la traite comme une esti de guenille sale, en ayant clairement conscience que c’est la seule qui te donne l’attention et l’amour dont t’as l’goût d’avoir. Elle a veut de l’amour, pis toi de sexe et de te sentir supérieur. Alors tu prends ce que tu veux et tu te soucies pas de ses besoins à elle. Parce que c’est toi qui est important. Elle te fait sentir fort, intelligent, aimé. Sauf ensuite tu la jettes, car t’as pu besoin de remplir ton ego qu’elle a reussi a combler.
Cette fille-là c’est la folle.
L’incomprise. L’envahissante. L’émotionnelle. L’instabilité. T’as aucun problème à crier sur tout les toits qu’elle te gosse quand elle t’envoie 10 000 messages. Mais c’est toi qui a tout fait pour envahir sa tête, pis ensuite tu te lamente.
Sais-tu quoi? T’as juste pas su voir la merveilleuse femme qu’elle était en train de devenir. La seule qui te faisait sentir aussi fort, tu l’as traité comme une merde. Au moins, elle s’est rendue compte de ta game. Celle que tu croyais faible, est en fait beaucoup plus forte que toi. Parce que elle donne de l’amour inconditionnel sans demander rien en retour.
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Tu ma jouée dans la tête, tu ma jouée dans l’coeur maintenant j’essaie juste de me retrouver et de me reconstruire parce que en jouant comme ça, tu m’as toute mis en morceaux.
J’espère être capable de me reconstruire parce que pour l’instant je suis juste un casse-tête au sol à la recherche de ses pièces manquantes.
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Lady in the streets and a freak in the sheets 💃🏼😈💕
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J’ai envie de te faire l’amour maintenant, sous la pluie, entièrement nus, rapidement, contre un arbre, uniquement avec mes mains, les yeux bandés, par courrier, sur le capot de la voiture, dans le hall d’entrée de l’immeuble, en te regardant dans les yeux, silencieusement, sur ce rocher, à même le sol, plusieurs fois dans la matinée, pendant que tu dors, en plein soleil, cachés sous les draps, en conduisant, au bord du lac, en te bloquant les mains, sur de la musique pop, dans le noir, en été, sous la douche, avec des mots, devant tout le monde, tendrement, pendant que tu cuisines, pendant des heures, au milieu d’une piste de danse, dans des toilettes publiques, en te prenant en photo, dans les douches collectives de la salle de sport, attaché à une chaise, sous l’orage, sur le toit de l’immeuble, dans ton mini short rouge, dans une église, dans l’usine désaffectée à côté de la gare, face au miroir, en pleine campagne, pendant qu’on repeint l’appartement, dans les buissons, et de mettre ça sur Internet, dans la voiture, dans la rivière, dans le musée d’histoire naturelle, sous la neige, sensuellement, dans le train, sur le sable, sans que personne ne le sache, sur un coup de tête, dans le métro, sur le marbre froid de la cheminée, à quatre patte sur le sol, habillés, devant la télé, sur le canapé, dans les coulisses avant que tu ne rentres sur scène, le matin à ton réveil, dans l’ascenseur, dans le chantier de l’immeuble à côté, pendant que tout le monde dort, avec le voisin qui matte, dans les douches du camping, au téléphone, dans une crique en plein soleil, jusqu’au bout, en gardant nos slips, juste avec ma langue, en hurlant à réveiller les voisins, debout contre un mur, dans le recoin sombre de l’impasse, violement, dans un parking souterrain, dans le vestiaire de la piscine, en te disant que je t’aime, en nous filmant, au cinéma, la porte de l’appartement ouverte, pendant que tu travailles, sur le tapis du salon, dans une ruelle sombre, sans ouvrir ton pantalon, sur le canapé de ta sœur, debout contre la commode, par textos, sur le parking de l’autoroute, en vacances, sur l’herbe verte, derrière une vitre, comme si je ne te connaissais pas, en téléphonant à un ami, dans une cabine d’essayage, sur un bateau, en pleine montagne, dans les dunes, contre la porte des voisins, en essayant des maillots de bain, dans la cave de l’immeuble, sur le balcon, sur le parquet, dans un champ de maïs, sur le bord d’une route de campagne, au bord d’une rivière, en jockstraps, en t-shirt sous la douche, par Internet, pour en parler à tout le monde, dans un recoin du zoo, dans la piscine, dans les couloirs du métro, sur la plage, dehors en plein hiver, en ayant trop bu, la musique à fond, dans notre lit, vite fait, en te recouvrant de chantilly, au restaurant, en passant par sous nos slips, dans la petite pièce juste à côté de là où se déroule la fête, en te caressant le corps entièrement, jusqu’à ce que tu me supplie de te faire jouir, en écoutant tes gémissements, à la gare avant que tu ne prennes le train, dans le jardin de mon père, dans les toilettes de la fac, sur le banc qui a cette si belle vue sur l’océan, à l’hôtel, dans une grange, sous un parasol, dans une grotte, dans un sex-shop, nus sous nos manteaux, en te couvrant de baisers, dans le local à balais avec les gens passant juste devant, après une longue journée, sur le banc des vestiaires, au sommet de la colline, enlacés au réveil, la nuit dans un musée, sur la passerelle au-dessus de l’autoroute, au milieu de l’océan, en centre ville en pleine journée, en bleu de travail, en déchirant nos sous-vêtements, contre le bar, dans la rosée, dans le garage, en pleine foret, nos vêtements trempés de pluie, dans un bus, plein de mousse, par webcam, et d’écrire ça sur mon Tumblr…
(via icebergbrioche)
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The one
Find the person who you want to order pizza with and just, stay in and watch Netflix in your underwear.
You will know, he’s the one.
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J’tannée
J’tannée de jouer une game.
J’tannée de pas savoir si j’ai le droit de parler ou non.
J’tannée, J’t’écœurer.
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Laisse moi rêver encore un peu ...
Ça fait même pas 48h que t’es officiellement rentrée dans ma vie.
Ça fait même pas 48h que quand je suis dans tes bras, le temps s’arrête.
Ça fait même pas 48h que j’arrête de conter.
Ça fait même pas 48h que je parle de toi, sans arrêt
Ça fait même pas 48h que j’ai envie que tu reste ici, coller avec moi.
Ça fait même pas 48h et j’ai déjà la chienne de m’ennuyer de toi.
Ça fait même pas 48h que mon cœur saute un tour quand t’arrive.
Laisse moi vivre les prochaines heures de la même façon que j’ai vécu les premières heures parce que pour une fois, ça fait du bien.
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J’t’année de «swiper»
Aujourd’hui on a juste à swiper à droite pour trouver un homme pour la nuit. Les applications et les réseaux sociaux ont rendu tellement facile la rencontre de l’autre, pourtant je me suis jamais senti aussi seul dans ma vie amoureuse.
J’ai souvent été blessé, et à mon tour, j’ai trop souvent blessé. Je veux croire en l’amour, celui avec un grand A, mais on dirait que je bloque par peur de souffrir, car je me dis que ça dure jamais de toute façon.
Je la connais trop la « game », et je suis devenu, bien malgré moi, un maudit bon joueur et je m’aime pas la dedans.
J’ai envie de faire confiance, mais je le sais qu’il reçoit des messages de « bon matin » par 5 filles différentes . On se garde chacun des « options », dans l’éventualité où ça fonctionnerait pas entre nous. Évidemment, c’est plus facile de passer au suivant que de travailler fort sur une relation qui impliquerait nos émotions, incluant celles qui font mal.
On regarde l’autre en se disant qu’il est facilement remplaçable, alors on s’investit pas comme on devrait.
On regarde, que je dis. Mais dans l’fond on regarde pas vraiment. On regarde le beau et le superficiel mais le reste on va pas le chercher. Din’ coup qu’on trouverait quelque chose de plus profond qu’une Colette qui nous donne la météo, t’sais. Faudrait surtout pas…
J’tanné de swiper, vraiment.
J’ai envie de construire du solide quitte à faire des réparations au besoin, plutôt que de passer le bulldozer et de recommencer.
Rome s’est pas construit en un jour, mais Rome s’est pas construit sans failles non plus. Anyway, c’est beau les failles, c’est beau l’imperfection.
La relation amoureuse devrait être l’une des plus belles aventures dans notre vie, pourtant on ne la met pas en priorité. On ne l’entâme pas réellement. On la vulgarise, on la minimise. On pense toujours qu’il va avoir quelqu’un d’autre. Quelqu’un de mieux, quelqu’un d’plus, juste plus tout court. Ou juste quelqu’un d’autre parce que la majorité du temps, on sait même pas c’qu’on veut exactement.
J’suis vraiment tanné de swiper.
J’tanné du « syndrome du conjoint remplaçable ».
J’tanné qu’on s’aime pour les mauvaises raisons, pis qu’on se laisse pour celles qui devraient être les bonnes.
Mais surtout, j’tanné de swiper du vide.
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