#et la couronne de quinze de haut
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oui bonsoir c’est génovèse en robe
#avec la perruque de vingt centimètres de large#et la couronne de quinze de haut#son premier rôle en plus ptn#´fin non il faisait fortinbras en plus dans cette prod#mais quand même. premier rôle au français tu fais du drag moi je dis y’a record#hamlet#comédie française
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📌[ÉCHO] Il y a 70 ans et 1 jour, tout en haut, tout là-haut. L’EXPÉDITION ROYALE.
‘‘Well, we’ve knocked the bastard off!*”
Ce sont les mots d’Edmund Hillary quand il débarque, avec son compagnon de cordée Tenzing Norgay, sur le sommet le plus haut du monde. L’Everest et ses 8 848 mètres sont enfin vaincus.
Nous sommes le 29 mai 1953, il est 11 h 30, deux hommes pénètrent sur une terre jamais foulée, le « sommet des dieux » comme aiment à le dire les poètes des cimes. L’un est néo-zélandais. Il a trente-quatre ans, il est apiculteur de profession et grand marcheur. L’autre est indien et sherpa, agile et sportif lui aussi. Il a trente-neuf ans, et a déjà participé à des expéditions anglaises et suisses. Là-haut, les deux alpinistes ne resteront que quinze minutes. Hillary prend une photo de son compagnon qui déplie à sa demande les drapeaux de l’Inde, du Népal et du Royaume-Uni qu’il avait soigneusement enroulés sur son piolet avant de les agiter au-dessus de sa tête. Une scène cocasse qui amusera son photographe : « Il est dramatique ainsi, revêtu de son volumineux équipement, ses drapeaux claquant furieusement dans le vent. Si elle est techniquement réussie, j’ai le sentiment que l’image sera excellente. Je ne prends pas le temps de demander à Tenzing de me photographier. Pour autant que je sache, il n’a jamais fait de photo et le sommet de l’Everest n’est pas l’emplacement rêvé pour une première leçon. » Leur exploit est le fruit d’une entreprise colossale qui a fait appel à 14 alpinistes, 22 Sherpas et 362 porteurs afin d’acheminer depuis Katmandou dix tonnes d’équipement et de provisions au camp de base puis dans les neuf camps installés jusqu’au sommet. ‘‘The Crowning Glory, Everest is Climbed***”, titre le quotidien News Chronicle du 2 juin 1953. L’article est dithyrambique : « Excellentes nouvelles pour la Reine. Hillary l’a fait. Nouvelles glorieuses le jour du couronnement ! L’Everest – l’Everest invincible – a été conquis. Et conquis par des hommes de sang et de race britannique. » Il faut dire que cette expédition victorieuse coïncide avec le couronnement de la reine d’Angleterre, Élisabeth II, donnant d’emblée à cet exploit une portée symbolique. Le télégramme signifiant le succès de l’expédition britannique est, en effet, parvenu à Londres le 1er juin 1953, juste avant que ne démarrent les festivités royales. Cette expédition alpine était la neuvième tentative britannique, et la première qui réussissait officiellement, balayant ainsi 32 années d’échecs. « L’Everest c’était bien, mais ce n’était pas le plus important », déclarera pour sa part Edmund Hillary qui mettra ensuite sa notoriété au service des populations locales, valorisant ainsi les Sherpas. Anobli, sir Edmund Hillary multipliera les expéditions d’exception, devenant le seul homme à avoir conquis le pôle Sud (en 1958), le pôle Nord (en 1985) et l’Everest (en 1953). La marque d’un grand, assurément. Stéphane Dugast
Extrait du livre « Une histoire de l’exploration ★ Neiges et des glaces » paru aux éditions Glénat. Actuellement disponible en librairie
Pour le commander 👉 https://urlz.fr/kyT5
* : « Eh bien, nous avons assommé ce bâtard ! » ** : « Le couronnement de la gloire, l’Everest est gravi. »
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Temple funéraire d'Hatchepsout - Égypte
Princesse royale
Alors qu'Hatchepsout a huit ou neuf ans, le pharaon Amenhotep Ier disparaît sans descendance.
Son père Thoutmôsis devient roi, peut-être désigné héritier par Amenhotep Ier lui-même, à moins qu'il n'ait été choisi par la mère de celui-ci, la reine douairière Ahmès-Néfertary, représentée à côté du nouveau pharaon et de sa reine sur la stèle commémorant l’événement. Selon le décret officiel envoyé au vice-roi Touri, il monte sur le trône le 21e jour du 3e mois de Peret.
Hatchepsout, devenue princesse royale, suit les leçons données par des précepteurs. Son père choisit Ahmès Pen-Nekhbet, soldat valeureux ayant servi dans les campagnes militaires du pharaon Amenhotep Ier. Les leçons du « père nourricier » sont complétées par les récits du chef-rameur Ahmès fils d'Abana contant ses exploits récompensés par l'« or de la vaillance », mais aussi ses découvertes de pays lointains, dont le « pays de Koush ». D'esprit vif, Hatchepsout acquiert une maturité qui incite son père à la préparer à jouer un rôle important dans la vie du royaume. Une inscription sur un mur du temple de Deir el-Bahari le cite lorsqu'il proclame : « je la mettrai à ma place ». Pour Claude Vandersleyen, le récit n'est pas forcément fictif : il est possible que Thoutmôsis ait souhaité favoriser Hatchepsout comme successeur, ses autres héritiers étant de santé fragile.
L'oracle
Lors de la seconde année du règne, Thoutmôsis Ier entreprend une expédition au royaume de Koush. En son absence, l'oracle d'Amon à Karnak proclame :
« L'an II, le 2e mois de Peret, le 29e jour fut celui de proclamer mienne les Deux Terres dans la cour large du « Harem du Sud ». Voici que Sa majesté rendit un oracle en présence de ce dieu parfait. Et mon père apparut dans sa belle fête « Amon chef des dieux ». Il entraîna Ma Majesté [dans la suite ?] du roi bien-faisant et il multiplia les oracles me concernant à la face de la terre entière. »
Pour Christiane Desroches Noblecourt, cette mise en scène a probablement été préparée par Thoutmôsis Ier avant son départ et avec l'appui des prêtres d'Amon, afin de soutenir l'ascension de sa fille comme héritière du trône. En effet, ses seuls fils sont nés d'une épouse secondaire, Moutnofret Ire, et ont peut-être moins de droit à la couronne que les enfants nés d'Ahmès qui se proclame, sur les murs de Deir el-Bahari, comme « la souveraine des autres épouses ». De plus, en dehors de Amenmès qui, à quinze ans, est général, les deux autres garçons sont de santé fragile, tant physique qu'intellectuelle.
Princesse héritière
Au retour de Koush où il a maté une rébellion, Thoutmôsis emmène sa fille à la découverte du Delta, son royaume du Nord. Hatchepsout reçoit alors de son père une éducation de princesse héritière, ainsi semble-t-il la présenter aux hauts fonctionnaires. À Memphis, où résident les princes attachés aux métiers des armes, ils retrouvent le fils aîné du pharaon, Amenmès, Généralissime de son père. Le prince vient d'inaugurer un naos sur lequel son nom est inscrit dans un cartouche royal qui mentionne ses titres de « Général en chef et fils royal ».
Après que Thoutmôsis a réprimé des troubles en Asie, le père et la fille entament un pèlerinage dans les sanctuaires autour de Memphis et finissent à Héliopolis. L'accueil de la princesse dans ces temples semble la désigner comme héritière, Thoutmôsis l'associant à certaines fonctions royales. Christiane Desroches Noblecourt souligne toutefois qu'il est difficile de faire la part entre le mythe et la réalité dans les récits rapportés par Hatchepsout.
Mariage
Vers l'an VII du roi Thoutmôsis Ier, Hatchepsout épouse son demi-frère Thoutmôsis. Consenti ou imposé à la demande de Moutnofret Ire, la seconde épouse de Thoutmôsis Ier, ce mariage assure la légitimité de Thoutmôsis II à monter sur le trône après le décès de leur père et fait d'Hatchepsout la future Grande épouse royale.
Vers l'an X ou XI du règne de son père, Hatchepsout met au monde une petite fille, Néférourê. À la demande du roi Thoutmôsis Ier, l'enfant est confiée, comme sa mère, au soin du « père nourricier » Ahmès Pen-Nekhbet.
À la même époque, Iset, l'épouse secondaire de Thoutmôsis II, met au monde le futur Thoutmôsis III.
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Au-delà du prochain match, au-delà même de ce Six Nations et de la perspective d'un grand chelem irlandais, il y a la Coupe du monde. Après l'extraordinaire victoire de l'Irlande 32-19 sur la France, Johnny Sexton a finalement laissé échapper qu'il y pensait aussi, comme tout le monde."Si tout se passe comme prévu et que nous traversons notre groupe, il y a une chance que nous affrontions à nouveau la France en Coupe du monde", a-t-il déclaré. "C'était donc bien de nous débarrasser de cela, en termes de les battre, car c'était la seule équipe que nous n'avions pas battue." La France avait remporté les trois derniers matches entre eux.Ringrose remporte la superbe victoire de l'Irlande dans la classique des Six Nations contre la FranceEn savoir plusLa France et l'Irlande, les deux meilleures équipes du monde, s'affronteront en quart de finale du tournoi si l'une remporte son groupe et l'autre termine deuxième. Compte tenu de la façon dont ils sont ici, il est peut-être plus probable qu'ils se rencontrent en finale."C'était un match test haut de gamme, n'est-ce pas?" Sexton a déclaré: «C'est ce que tout le monde voulait, et c'est ce que tout le monde a obtenu. Cette première mi-temps, wow, c'était juste des trucs de bout en bout.Sexton n'a pas passé longtemps à penser aussi loin. L'Irlande affronte l'Italie dans quinze jours. "Nous savions à quel point ce match était important en termes de championnat, mais cela ne vaut rien si nous le laissons filer lors du prochain match", a-t-il déclaré. « Il a été clair dès le début ce que nous voulons réaliser. Nous avons remporté une triple couronne l'année dernière et nous avons dit que nous voulions nous améliorer cette année, eh bien, s'améliorer, c'est gagner le championnat et un Grand Chelem. Pour y parvenir, vous devez vous concentrer sur les deux prochaines semaines.L'Irlande a mis fin à la longue série d'invincibilité de la France qui remonte à 2021. Photographie : Peter Fitzpatrick/Action Plus/ShutterstockToujours perfectionniste, il avait déjà des idées claires sur ce que l'Irlande devait améliorer. « Tout de suite, nous devons regarder les occasions que nous avons créées. À la mi-temps, nous avons expliqué que nous n'avions qu'un taux de réussite de 50% sur les chances que nous avions lorsque nous étions proches de leur ligne. Nous avons été retenus à plusieurs reprises et nous avons également eu l'occasion de mettre le ballon dans l'espace plus tôt à quelques reprises.« Il y a donc de quoi travailler. Il y en a toujours. Vous ne quittez jamais un match en pensant que "c'était parfait". Andy Farrell a convenu que son équipe "aurait pu repartir avec quelques points de plus".Quant à la France, elle se demandait si l'Irlande en avait cinq de plus qu'elle n'aurait dû en avoir. Les pieds de James Lowe étaient si proches lorsqu'il a marqué son deuxième essai et la télévision française a rapidement trouvé un angle que l'équipe d'arbitrage semblait avoir manqué, ce qui suggérait qu'il aurait dû être refusé.ignorer la promotion de la newsletterInscrivez-vous pour La panneNewsletter hebdomadaire gratuiteLes dernières nouvelles et analyses des syndicats de rugby, ainsi que toutes les actions de la semaine passées en revue
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On est reparti pour un tour ?
Ça boom les d'jeunes? Devinez sur quoi j'ai travaillé... Mon ✨AU multilanguage Kaamelott✨Je me suis motivée, et j'ai écris ma petite idée sur le mariage / première rencontre de ces deux idiots (cœur sur eux). C'est un peu brouillon, mais OSEF. Enjoy 😊
Quand la petite Ghenifar entendit parler pour la première fois de du héros qui arrivait d’une terre lointaine pour les sauver, elle n’a pas plus de quinze ans.
Dans le domaine de Carohaise, là où réside la famille royal de Carmélide, on parlait de lui en disant « neach-sàbhalaidh ». Les soldats de son père venaient raconter les exploits de ce jeune homme au visage grave, une épée de flamme dans la main. Il était celui qui unifirai les peuples redonnant la paix et la prospérité perdu.
Ghenifar fut complètement bouleversée quand elle apprit que c’était elle qu’on destinait au futur Roi.
Elle qui s’attendait à vivre des aventures incroyables, elle qui a été nourrie par des contes et des légendes de liberté et de preux chevaliers qui délivrent des princesses en haut des tours… Bien vite, elle comprit que cette question de mariage n’était qu’une question de politique. Ses parents avançaient les pions les uns après les autres pour se rapprocher du pouvoir. Elle serait Reine et son frère chevalier. À aucun moment ils ne tournèrent la tête vers elle, et lui demandèrent « Es-tu heureuse Ghenifar ? »
Elle attendit le jour de son mariage avec impatience, la peur et la joie se mélangeaient dans son ventre, elle restait éveillée des nuits entières à imaginer ce moment qui changerait à jamais son existence. Il l’emmènerait sur un cheval à travers l’île, ensemble. Il lui apprendrait tout, et lui ferait découvrir le monde. Elle serait une bonne épouse, elle le rendrait heureux, et lui donnerait des enfants en bonne santé. Il l’aimerait.
Et pour la célébration du premier jour du printemps, ils se rencontrèrent.
Ils fêteraient leur mariage le lendemain.
Tout le monde festoyait, différents clans réunis pour la première fois depuis le feu Roi Uther Pendragon. Le Royaume n’était plus régi par la peur et la convoitise, les hommes se prenaient dans les bras, riaient ensemble. Les gens dansaient main dans la main, chantaient des légendes d’antan, et les enfants riaient en préparant les couronnes de fleurs pour le mariage.
Arthrhy était d’une humeur détestable.
Il était seul, complètement paumé autour d’une bande d’hurluberlus. Mani était introuvable, lui non plus n’arrivait pas à supporter ces gens et leurs coutumes agaçante…
Il était comme paralysé, un pauvre enfant terrorisé par l'inconnu. Pourtant, on chantait a son passage, il avait été l'accueillit par une joie honnête « vous êtes de retour ». Mais il n'avait gardé aucun souvenirs de cet endroit ou de ces habitants.
Il ne comprenait plus les mots. Il n’avait que des souvenirs lointains, comme des rêves, les pleurs de sa mère et les lamentations aux Dieux en cornique. Il se souvenait des chants des druides en gallois. Il a gardé les bases qu’il avait apprit chez Anton, il a des années… Il devait tout réapprendre, tout découvrir de ce monde qui était le sien.
Il n’avait pas encore eu l’occasion de rencontrer sa future femme, mais il priait tout les Dieux qu’il connaissait pour que cette terrible idée soit annulée, que le mot « mariage » avait été mal traduit, que tout ceci soit une énorme erreur…Avec un peu de chance, demain, il reprendrait la mer et ferait capte sur Rome. Il ramènera Aconia avec lui et personne ne les empêcherait d’être ensemble, d’être heureux. Il acceptait son destin, seulement si elle était à ses côtés.
Puis, il l’aperçut, sortant de la foule des invités.
Un châle blanc couvrant légèrement ses cheveux, mais laissant négligemment apparaitre quelques mèches ondulées d’une couleur brune.
Arthrhy la détesta au premier regard.
Une gamine aux joues encore rondes de l’enfance avec des yeux pétillants de joie qu’être mariée, d’être une épouse. La naïve Ghenifar, ignorante des desseins autour d’elle, des mensonges et des non-dits.
Qu’allait-il faire d’elle ? La répudier ? La forcer à une vie recluse, loin de la société des Hommes par amour d’une Romaine ?
Il la détruirait.
« Tha mi a' cur fàilte ort… » La jeune femme s’inclina maladroitement devant lui. Une couleur rouge peignait ses joues jusqu’à ses oreilles. « S mise nighean Rìgh Ogyruan. »
« Qu’avez-vous dit ? »
« Thoir maitheanas dhomh…. Chan eil mi a' tuigsinn. » Elle fronça les sourcils, d’un air paniqué, regardant autour d’elle, comme si elle cherchait quelqu’un. « Càite bheil e…? »
« Bon, je suis désolé, je n’ai pas le temps de… » Arthrhy soupira, exaspéré, prêt à partir en courant le plus loin possible de cette île.
Il n’avait pas le temps de jouer avec des interprètes pour déchirer cette langue barbare. Le latin de sa Dame était bien plus beau, plus mélodieux, sa voix hantait encore ses oreilles comme le chant des hirondelles, le souffle du vent dans les branches d’olives…
Ghenifar se racla la gorge, avant d’articuler lentement, faisant tous les efforts du monde pour se faire comprendre.
« A… Artair… Me suis mariage de vous…? » Et elle maudit en silence le brittonique qui écorchait sa gorge, les lettres comme des échardes sur sa langue. Comment dire à l’Élu des Dieux qu’elle était sa femme, que d’ici quelques heures, les liens d’un mariage éternel et béni uniront leurs mains et leurs destins ensemble ? Ses parents n’avaient pas pris le temps de parfaire son éducation aux autres dialectes… Son éducation de jeune femme avait été précaire, bâclée, maladroite. Elle devait passer pour une gourde, et la honte rendait sa voix tremblante, ses yeux fuyant ce futur Roi intimidant.
« Oui, oui… Vous allez être ma femme… » Il lui répondit, tristement, comme un juge prononce une sentence fatale.
Elle eut un sourire si tendre qu’Arthrhy avait l’impression que son cœur se tordait douloureusement. Il allait être la cause de tellement de ces chagrins, et il sentait la culpabilité déjà ronger ses entrailles.
Elle répéta comme si c’était une parole divine, précieuse. « Femme de Artair. » Elle jouait nerveusement avec les manches évasées de sa robe blanche. Et la barrière de la langue lui permit une confession de folie de son cœur battant. « Tha mi toilichte. »
#hehehe#on se motive à écrire un peu#kaamelott#arthur pendragon#guenievre#pendranièvre#french side of tumblr#pre kaamelott#kaamelott multi languages#kaamelott au#franchement je suis fan de ce concept#la barrière de la langue qui va les faire lentement tombé amoureux#short story#slow burn#guesswhogotaname fic
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Alice au pays des merveilles Lewis Carroll Traduction par Henri Bué. Macmillan, 1869 (p. 1-14). CHAPITRE PREMIER. AU FOND DU TERRIER. Alice, assise auprès de sa sœur sur le gazon, commençait à s’ennuyer de rester là à ne rien faire ; une ou deux fois elle avait jeté les yeux sur le livre que lisait sa sœur ; mais quoi ! pas d’images, pas de dialogues ! « La belle avance, » pensait Alice, « qu’un livre sans images, sans causeries ! » Elle s’était mise à réfléchir, (tant bien que mal, car la chaleur du jour l’endormait et la rendait lourde,) se demandant si le plaisir de faire une couronne de marguerites valait bien la peine de se lever et de cueillir les fleurs, quand tout à coup un lapin blanc aux yeux roses passa près d’elle. Il n’y avait rien là de bien étonnant, et Alice ne trouva même pas très-extraordinaire d’entendre parler le Lapin qui se disait : « Ah ! j’arriverai trop tard ! » (En y songeant après, il lui sembla bien qu’elle aurait dû s’en étonner, mais sur le moment cela lui avait paru tout naturel.) Cependant, quand le Lapin vint à tirer une montre de son gousset, la regarda, puis se prit à courir de plus belle, Alice sauta sur ses pieds, frappée de cette idée que jamais elle n’avait vu de lapin avec un gousset et une montre. Entraînée par la curiosité elle s’élança sur ses traces à travers le champ, et arriva tout juste à temps pour le voir disparaître dans un large trou au pied d’une haie. Un instant après, Alice était à la poursuite du Lapin dans le terrier, sans songer comment elle en sortirait. Pendant un bout de chemin le trou allait tout droit comme un tunnel, puis tout à coup il plongeait perpendiculairement d’une façon si brusque qu’Alice se sentit tomber comme dans un puits d’une grande profondeur, avant même d’avoir pensé à se retenir. De deux choses l’une, ou le puits était vraiment bien profond, ou elle tombait bien doucement ; car elle eut tout le loisir, dans sa chute, de regarder autour d’elle et de se demander avec étonnement ce qu’elle allait devenir. D’abord elle regarda dans le fond du trou pour savoir où elle allait ; mais il y faisait bien trop sombre pour y rien voir. Ensuite elle porta les yeux sur les parois du puits, et s’aperçut qu’elles étaient garnies d’armoires et d’étagères ; çà et là, elle vit pendues à des clous des cartes géographiques et des images. En passant elle prit sur un rayon un pot de confiture portant cette étiquette, « MARMELADE D’ORANGES. » Mais, à son grand regret, le pot était vide : elle n’osait le laisser tomber dans la crainte de tuer quelqu’un ; aussi s’arrangea-t-elle de manière à le déposer en passant dans une des armoires. « Certes, » dit Alice, « après une chute pareille je ne me moquerai pas mal de dégringoler l’escalier ! Comme ils vont me trouver brave chez nous ! Je tomberais du haut des toits que je ne ferais pas entendre une plainte. » (Ce qui était bien probable.) Tombe, tombe, tombe ! « Cette chute n’en finira donc pas ! Je suis curieuse de savoir combien de milles j’ai déjà faits, » dit-elle tout haut. « Je dois être bien près du centre de la terre. Voyons donc, cela serait à quatre mille milles de profondeur, il me semble. » (Comme vous voyez, Alice avait appris pas mal de choses dans ses leçons ; et bien que ce ne fût pas là une très-bonne occasion de faire parade de son savoir, vu qu’il n’y avait point d’auditeur, cependant c’était un bon exercice que de répéter sa leçon.) « Oui, c’est bien à peu près cela ; mais alors à quel degré de latitude ou de longitude est-ce que je me trouve ? » (Alice n’avait pas la moindre idée de ce que voulait dire latitude ou longitude, mais ces grands mots lui paraissaient beaux et sonores.) Bientôt elle reprit : « Si j’allais traverser complétement la terre ? Comme ça serait drôle de se trouver au milieu de gens qui marchent la tête en bas. Aux Antipathies, je crois. » (Elle n’était pas fâchée cette fois qu’il n’y eût personne là pour l’entendre, car ce mot ne lui faisait pas l’effet d’être bien juste.) « Eh mais, j’aurai à leur demander le nom du pays. — Pardon, Madame, est-ce ici la Nouvelle-Zemble ou l’Australie ? » — En même temps elle essaya de faire la révérence. (Quelle idée ! Faire la révérence en l’air ! Dites-moi un peu, comment vous y prendriez-vous ?) « Quelle petite ignorante ! pensera la dame quand je lui ferai cette question. Non, il ne faut pas demander cela ; peut-être le verrai-je écrit quelque part. » Tombe, tombe, tombe ! — Donc Alice, faute d’avoir rien de mieux à faire, se remit à se parler : « Dinah remarquera mon absence ce soir, bien sûr. » (Dinah c’était son chat.) « Pourvu qu’on n’oublie pas de lui donner sa jatte de lait à l’heure du thé. Dinah, ma minette, que n’es-tu ici avec moi ? Il n’y a pas de souris dans les airs, j’en ai bien peur ; mais tu pourrais attraper une chauve-souris, et cela ressemble beaucoup à une souris, tu sais. Mais les chats mangent-ils les chauves-souris ? » Ici le sommeil commença à gagner Alice. Elle répétait, à moitié endormie : « Les chats mangent-ils les chauves-souris ? Les chats mangent-ils les chauves-souris ? » Et quelquefois : « Les chauves-souris mangent-elles les chats ? » Car vous comprenez bien que, puisqu’elle ne pouvait répondre ni à l’une ni à l’autre de ces questions, peu importait la manière de les poser. Elle s’assoupissait et commençait à rêver qu’elle se promenait tenant Dinah par la main, lui disant très-sérieusement : « Voyons, Dinah, dis-moi la vérité, as-tu jamais mangé des chauves-souris ? » Quand tout à coup, pouf ! la voilà étendue sur un tas de fagots et de feuilles sèches, — et elle a fini de tomber. Alice ne s’était pas fait le moindre mal. Vite elle se remet sur ses pieds et regarde en l’air ; mais tout est noir là-haut. Elle voit devant elle un long passage et le Lapin Blanc qui court à toutes jambes. Il n’y a pas un instant à perdre ; Alice part comme le vent et arrive tout juste à temps pour entendre le Lapin dire, tandis qu’il tourne le coin : « Par ma moustache et mes oreilles, comme il se fait tard ! » Elle n’en était plus qu’à deux pas : mais le coin tourné, le Lapin avait disparu. Elle se trouva alors dans une salle longue et basse, éclairée par une rangée de lampes pendues au plafond. Il y avait des portes tout autour de la salle : ces portes étaient toutes fermées, et, après avoir vainement tenté d’ouvrir celles du côté droit, puis celles du côté gauche, Alice se promena tristement au beau milieu de cette salle, se demandant comment elle en sortirait. Tout à coup elle rencontra sur son passage une petite table à trois pieds, en verre massif, et rien dessus qu’une toute petite clef d’or. Alice pensa aussitôt que ce pouvait être celle d’une des portes ; mais hélas ! soit que les serrures fussent trop grandes, soit que la clef fût trop petite, elle ne put toujours en ouvrir aucune.Cependant, ayant fait un second tour, elle aperçut un rideau placé très-bas et qu’elle n’avait pas vu d’abord ; par derrière se trouvait encore une petite porte à peu près quinze pouces de haut ; elle essaya la petite clef d’or à la serrure, et, à sa grande joie, il se trouva qu’elle y allait à merveille. Alice ouvrit la porte, et vit qu’elle conduisait dans un étroit passage à peine plus large qu’un trou à rat. Elle s’agenouilla, et, jetant les yeux le long du passage, découvrit le plus ravissant jardin du monde. Oh ! Qu’il lui tardait de sortir de cette salle ténébreuse et d’errer au milieu de ces carrés de fleurs brillantes, de ces fraîches fontaines ! Mais sa tête ne pouvait même pas passer par la porte. « Et quand même ma tête y passerait, » pensait Alice, « à quoi cela servirait-il sans mes épaules ? Oh ! que je voudrais donc avoir la faculté de me fermer comme un télescope ! Ça se pourrait peut-être, si je savais comment m’y prendre. » Il lui était déjà arrivé tant de choses extraordinaires, qu’Alice commençait à croire qu’il n’y en avait guère d’impossibles. Comme cela n’avançait à rien de passer son temps à attendre à la petite porte, elle retourna vers la table, espérant presque y trouver une autre clef, ou tout au moins quelque grimoire donnant les règles à suivre pour se fermer comme un télescope. Cette fois elle trouva sur la table une petite bouteille (qui certes n’était pas là tout à l’heure). Au cou de cette petite bouteille était attachée une étiquette en papier, avec ces mots « BUVEZ-MOI » admirablement imprimés en grosses lettres. C’est bien facile à dire « Buvez-moi, » mais Alice était trop fine pour obéir à l’aveuglette. « Examinons d’abord, » dit-elle, « et voyons s’il y a écrit dessus « Poison » ou non. » Car elle avait lu dans de jolis petits contes, que des enfants avaient été brûlés, dévorés par des bêtes féroces, et qu’il leur était arrivé d’autres choses très-désagréables, tout cela pour ne s’être pas souvenus des instructions bien simples que leur donnaient leurs parents : par exemple, que le tisonnier chauffé à blanc brûle les mains qui le tiennent trop longtemps ; que si on se fait au doigt une coupure profonde, il saigne d’ordinaire ; et elle n’avait point oublié que si l’on boit immodérément d’une bouteille marquée « Poison » cela ne manque pas de brouiller le cœur tôt ou tard. Cependant, comme cette bouteille n’était pas marquée « Poison, » Alice se hasarda à en goûter le contenu, et le trouvant fort bon, (au fait c’était comme un mélange de tarte aux cerises, de crême, d’ananas, de dinde truffée, de nougat, et de rôties au beurre,) elle eut bientôt tout avalé.  « Je me sens toute drôle, » dit Alice, « on dirait que je rentre en moi-même et que je me ferme comme un télescope. » C’est bien ce qui arrivait en effet. Elle n’avait plus que dix pouces de haut, et un éclair de joie passa sur son visage à la pensée qu’elle était maintenant de la grandeur voulue pour pénétrer par la petite porte dans ce beau jardin. Elle attendit pourtant quelques minutes, pour voir si elle allait rapetisser encore. Cela lui faisait bien un peu peur. « Songez donc, » se disait Alice, « je pourrais bien finir par m’éteindre comme une chandelle. Que deviendrais-je alors ? » Et elle cherchait à s’imaginer l’air que pouvait avoir la flamme d’une chandelle éteinte, car elle ne se rappelait pas avoir jamais rien vu de la sorte. Un moment après, voyant qu’il ne se passait plus rien, elle se décida à aller de suite au jardin ; mais hélas, pauvre Alice ! en arrivant à la porte, elle s’aperçut qu’elle avait oublié la petite clef d’or. Elle revint sur ses pas pour la prendre sur la table. Bah ! impossible d’atteindre à la clef qu’elle voyait bien clairement à travers le verre. Elle fit alors tout son possible pour grimper le long d’un des pieds de la table, mais il était trop glissant ; et enfin, épuisée de fatigue, la pauvre enfant s’assit et pleura. « Allons, à quoi bon pleurer ainsi, » se dit Alice vivement. « Je vous conseille, Mademoiselle, de cesser tout de suite ! » Elle avait pour habitude de se donner de très-bons conseils (bien qu’elle les suivît rarement), et quelquefois elle se grondait si fort que les larmes lui en venaient aux yeux ; une fois même elle s’était donné des tapes pour avoir triché dans une partie de croquet qu’elle jouait toute seule ; car cette étrange enfant aimait beaucoup à faire deux personnages. « Mais, » pensa la pauvre Alice, « il n’y a plus moyen de faire deux personnages, à présent qu’il me reste à peine de quoi en faire un. » Elle aperçut alors une petite boîte en verre qui était sous la table, l’ouvrit et y trouva un tout petit gâteau sur lequel les mots « MANGEZ-MOI » étaient admirablement tracés avec des raisins de Corinthe. « Tiens, je vais le manger, » dit Alice : « si cela me fait grandir, je pourrai atteindre à la clef ; si cela me fait rapetisser, je pourrai ramper sous la porte ; d’une façon ou de l’autre, je pénétrerai dans le jardin, et alors, arrive que pourra ! » Elle mangea donc un petit morceau du gâteau, et, portant sa main sur sa tête, elle se dit tout inquiète : « Lequel est-ce ? Lequel est-ce ? » Elle voulait savoir si elle grandissait ou rapetissait, et fut tout étonnée de rester la même ; franchement, c’est ce qui arrive le plus souvent lorsqu’on mange du gâteau ; mais Alice avait tellement pris l’habitude de s’attendre à des choses extraordinaires, que cela lui paraissait ennuyeux et stupide de vivre comme tout le monde. Aussi elle se remit à l’œuvre, et eut bien vite fait disparaître le gâteau.
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Les conseils du Dr Saldmann
Les conseils de Saldmann
Au réveil
Bien se laver les mains. Comptez 30 secondes, au moins, pour des mains impeccables.
Brosser votre langue avec une brosse à dents douce.
Pas utile de mettre du déo si on ne transpire pas spontanément.
Ne pas forcer lors de l’émission des selles.
Ne portez pas de sous-vêtements serrés, susceptibles de provoquer une macération avec la sueur.
Le corps
Pour la toilette quotidienne, optez pour la douche, toujours plus efficace qu’un bain. Bien se laver commence du haut vers le bas. Choisir des savons au ph neutre pour les zones sensibles : aisselles, aine, région pubienne, sillon interfessier, en terminant par les pieds. Les germes ont une préférence pour les recoins comme le nombril, où ils peuvent proliférer en toute discrétion. Pensez donc à le nettoyer. Savonnez le sillon interfessier et l’anus en vous plaçant accroupi. Ne séchez jamais vos fesses de façon brutale en effectuant des va-et-viens avec une serviette rêche. Tamponnez doucement.
Au cours de la journée
Boire 1,5L à 2L d’eau dans la journée.
Comportez-vous comme si vous portiez fièrement une couronne de roi sur la tête et que vous deviez jamais la laisser tomber. Se maintenir droit en position assise ou en marchant oblige aussi à se redresser mentalement.
A midi
Pensez à avoir une brosse à dents sur son lieu de travail pour se laver les dents après le repas.
Au retour du travail
Bien se laver les mains. Comptez jusqu’à 30 secondes au moins pour des mains impeccables.
Au couché
Le visage
Savonnez soigneusement le visage, les oreilles, le nez, les lèvres et les paupières avec un savon ph neutre. Rincez avec de l’eau minérale, moins agressive que l’eau du robinet et séchez avec soin. Pour le visage, vous pouvez vous servir de l’eau minérale, moins agressive que l’eau du robinet.
Bien se laver les dents avant de dormir est essentiel. Optez pour un dentifrice naturel aux plantes. Utilisez une brosse à dent souple, à changer tous les mois.
Utiliser du fil dentaire au moins une fois par jour.
Chaque soir, brossez-vous les ongles avant d’aller au lit.
Juste avant d’aller vous coucher, dégagez vos voies aériennes après vous être lavé les dents. Mouchez une narine, puis l’autre. Reniflez et crachez dans le lavabo. Puis terminez par un gargarisme avec de l’eau gazeuse ou salée.
Conseils vrac :
Ne pas mettre les mains dans la bouche.
Si vous êtes doux et positif envers vous-même, vous irez vers ceux qui le sont aussi à votre égard.
Un corps qui transpire, c’est un corps qui respire. La transpiration permet d’éliminer les déchets, toxines, impuretés, cellules mortes, métaux lours, polluants de l’organisme.
La sueur est gage d’une peau plus belle, plus éclatante
Pas utile de mettre un déco si on ne transpire pas spontanément
Ne pas forcer lors de l’émission des selles
Une fois sorti de la piscine ou de la mer, ne pas garder son maillot mouillé.
Prenez systématiquement une douche. Séchez-vous avec soin et enfilez un maillot propre et sec
La bonne position pour aller faire caca : se tenir bien assis sur le trône, genous écartés, vêtements bien baissés.
Mangez du piment ou de la harissa pour déboucher le nez
Apprenez à être doux et bienveillant avec vous-même
Se savonner les fesses après être passé aux toilettes
En consommant des fibres, vous favorisez une bonne santé intestinale
Lorsque vous ressentez l’envie d’émettre des gaz, isolez-vous, et soulagez-vous
Idem pour rôter
Pour rester en bonne santé, le tour de taille doit se situer en dessous de 94 cm chez l’homme. Le tour de cou en dessous de 36 cm
Pesez-vous toujours à la même heure, après vous être soulagé aux toilettes
l’IMC normal se situe entre 18 et 25
N’oubliez pas de mettre une écharpe, vous allez attraper froid et tomber malade pour rien.
Garder votre nez au chaud
Pensez à nettoyer tapis d’entrée tous les mois et changer le tous les 6 mois
Faites de votre maison un espace sain
Marchez pieds nus, ça relaxe
Faire le ménage au vinaigre blanc
Laissez reposer l’eau du robinet 2 heures au réfrigérateur
La poussière : la bête invisible qui vous veut du mal. Elle contient des déjections d’acariens
Faire au minimum un grand ménage par semaine. Passez l’aspirateur, éliminer les poussières avec un chiffon sec avant d’aérer pendant 30 minutes.
Au quotidien oxygénez chaque pièce (cuisine, salle de bains, chambre, salon) 10 minutes
Sortir son matelas à l’extérieur est une bonne idée surtout l’hiver car les acariens meurent lors d’une exposition prolongée au froid
Portez des gants en ville pour se protéger des nombreuses contaminations.
Procéder chaque mois à la toilette de votre lave-linge. Mettez la température la plus forte, ajoutez un désinfectant ménager et faites un tour de lavage à vide.
Nettoyer tous les objets du quotidien, remplis de microbes : smartphone, claviers et souris d’ordinateurs
Toujours se laver les mains aprs avoir mis son ligne sale dans la machine, même si les vêtements semblent visuellement propres
Pensez à mettre chaque semaine le tapis de bain à la machine
Veillez à nettoyer votre pomme de douche tous les mois, en le laissant tremper dans du vinaigre blanc tout une nuit. Le matin, rincez en faisant couler l’eau chaude pendant 3 minutes pour bien éliminer le vinaigre
Laver les vêtement qui vont être en contact avec la peau avant de les porter pour la première fois : sous vêtements, chemises ou chemisiers, serviettes de toilette, chaussettes ... Certains tissus sont imprégnés de substances tociques ou allergéniques qu’il vaut mieux éliminer avec le lave-linge
La façon dont vous vous habillez exprime votre façon de penser et vous assigne à un rôle
Et la première impression est souvent la bonne
Avalez un grand verre d’eau glacée juste avant de vous mettre à table
Boire au minimum 1,5 à 2 litres d’eau par jour
Grignotez des pop-corn ni salés ni sucrés
Anti-grignotage : bouillie bébé avec un peu de cannelle. En une semaine de bouillie midi et soir, les résultats se voient sur la balance
Laissez infuser des racines de gingembre soigneusement épluchées dans de l’eau bouillante pendant quinze minutes
Le thé vert présente de nombreux bienfaits pour la santé. La meilleure façon d’extraire les composés bénéfiques du thé vert est de le chauffer au micro-onde. Versez de l’eau chaud sur le sachet de thé, passez-le 30 secondes au micro-ondes à mi-puissance, puis laissez reposer le breuvage une minute.
L’aubergine est très faible en calories, riche en fibres et bourrée de vitamines
Les champignons de Pairs sont parfaits : riches en fibres, en vitamines
N’avalez pas votre repas en deux minutes
Beaucoup pensent qu’en allant au restaurant japonais, on mange sain et léger. Ce n’est malheureusement pas le cas : la quantité importante de sel stimule l’appétit et augmente votre poids le lendemain
Le riz cuit non consommé doit être mis vite au réfrigérateur car il peut contenir après cuisson des spores de bacillus cereus qui se transforment à température ambiance en bactéries
Le riz ne peut être conservé au réfrigérateur que 24 heures et resservi une seule fois
Garder un verre d’eau de cuisson des pâtes pour éviter de mettre trop d’huile et les rendre plus onctueuse
Le sucre appelle le sucre
manger trop et vite fatigue l’organisme et augmente les risques d’obésité
Il est important de s’accorder des récompense pour qu’un régime tienne la route
Votre corps est un sanctuaire. C’est votre bien le plus précieux
Accepter d’avoir faim pendant un moment, c’est se libérer de notre culture du manque
Diminuer les calories freine le vieillissement
Mâcher la bouche fermée a un effet immédiat : mécaniquement, nous avalons moins d’air, et l’estomac, qui se comporte comme une cuve, aura moins de pression pour faire remonter son contenu
Mange lentement Ne mâche pas la bouche ouverte
Un simple bain de pieds chaud libère des hormones du bonheur par la sensation agréable qu’il génère
Avec 3 minutes sous une douche froide, vous produisez des endorphines tout en brûlant des calories
Pour garder la ligne, surtout en hiver, prenez l’habitude de vous octroyer une heure de marche tôt le matin pour bénéficier de la lumière bleue solaire qui participe à la fonte des graisses
L’activité physique quotidienne est essentielles pour rester en bonne santé
Notre corps produit en effet des déchets qu’il faut évacuer tous les jours
Dose minimum est de 30 minutes d’exercice quotidien : marche rapide, vélo, natation en continu ... surtout après 40 ans
La marche lente est révélatrice d’une mauvaise hygiène de vie
Le jeûne invite l’organisme à se réparer lui-même. Lors d’un jeûne, les défenses immunitaires montent en puissance
Jeûner force nos cellules à puiser dans leurs ressources internes
Un jeûne de 24 heures correspond à une cure détox
Manger trop souvent use l’organisme prématurément
Tentez 2 repas au lieu de trois
Lorsque vous jeûnez, n’oubliez pas de vous hydrter au maximum : eau, thé, tisanes, sans sucre ni édulcorant
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Où investir en Île-de-France ?
L’immobilier reste une valeur refuge, et donc un investissement sûr. Notamment en Île-de-France, qui est un secteur attractif où la demande est très forte. Mais où investir en Île-de-France ?
Le Grand Paris : un secteur en mutation
Le Grand Paris, qui consiste en la petite couronne située autour de Paris, est déjà attractif en soi. Mais le projet Grand Paris express, qui verra le jour entre 2030 et 2040, va le rendre encore plus attrayant pour les investisseurs.
En effet, ce projet gigantesque a pour but de faciliter la traversée de la région Île-de-France grâce à un réseau de plusieurs lignes de métros automatiques. Il sera par exemple possible de relier la ville d’Issy à celle de Cachan en seulement neuf minutes, au lieu de quarante-six minutes actuellement !
En plus des nouvelles lignes de métro, de nouvelles gares vont également être construites. Tout ceci va donc créer de nouveaux quartiers, qui deviendront sûrement très prisés.
Le Grand Paris va bénéficier de ce nouveau projet. En effet, de nouveaux logements ainsi que des commerces et autres services vont être créés pour accompagner ces nouveaux transports. Ce secteur est donc très intéressant au niveau des investissements immobiliers.
Les villes où investir en Île-de-France
L’Île-de-France est une région plutôt étendue et diverse. En effet, elle offre de nombreuses possibilités en termes d’investissement immobilier. Cependant, certaines villes ou certains quartiers sont plus intéressants que d’autres.
Afin d’obtenir la meilleure rentabilité possible de votre investissement, il est conseillé d’opter pour des villes ou des quartiers dont le prix au mètre carré n’excède pas 4000 euros.
Aubervilliers
Avec un prix de 3236 euros par m², Aubervilliers est une ville en très forte demande. En effet, en 1 an ce prix a connu une hausse de 9,8 %. Cependant, elle reste l’une des villes les plus abordables de la petite couronne.
Cette hausse du prix est sans doute due au futur prolongement de la ligne de métro, ainsi qu’à la création d’une nouvelle ligne. Et cela va sûrement continuer.
Aubervilliers représente donc une opportunité intéressante d’investissement, qui s’avérera probablement très rentable dans le futur. Plus particulièrement les secteurs situés aux alentours des futures stations. Notamment celles de la Mairie et du Fort d’Aubervilliers.
Saint-Denis
Le prix du mètre carré est de 3524 euros, avec une hausse de 11 % en un an. C’est une ville très attrayante, car proche de Paris, tout en étant plus accessible aux ménages.
Avec le projet Grand Paris express, les lignes de métro vont tripler. Ce qui, sans nul doute, va attirer beaucoup de nouveaux habitants.
Vitry-sur-Seine
Avec un prix de 3531 euros par mètre carré, Vitry-sur-Seine arrive en troisième position des villes dans lesquelles investir en Île-de-France.
En effet, deux nouvelles gares, ainsi qu’une nouvelle ligne de métro, sont prévues dans ce secteur en 2024. Vitry-sur-Seine représente donc un choix intéressant en matière d’investissement immobilier.
Le marché de l’immobilier de Vitry-sur-Seine n’est pas encore considéré comme spéculatif, mais cela ne saurait tarder. Avec l’avancement du projet, et l’installation d’un pôle numérique dans la ville, les prix risquent d’augmenter. C’est donc un investissement qui saura être rentable.
Noisy-le-Grand
Dernière ville de notre classement, Noisy-le-Grand n’en est pas moins très intéressante. Avec un prix au mètre carré de 3414 euros, elle a connu une hausse de 2,2 % en un an. Et cela risque de continuer avec le projet Grand Paris Express.
Située seulement à environ quinze minutes de Paris, Noisy-le-Grand pourrait se révéler un très bon choix en termes d’investissement.
En effet, les professionnels de l’immobilier recommandent d’investir lorsque les prix sont bas afin de pouvoir revendre lorsqu’ils seront hauts. Ceci assure une bonne rentabilité de l’investissement.
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Arrêtez d'emmerder les français...
Ce cri de révolte en forme de supplique qui traverse cette semaine la ''une'' de Valeurs Actuelles, les lecteurs de ce Blog ne le connaissent que trop : il est l'appel au secours que je lance sans cesse en direction, si elles en ont une, des mânes du regretté Georges Pompidou. Je n'allais pas me priver de saisir au bond la chance ainsi offerte, car notre Président actuel n'a rien compris au message que lui avaient adressé les électeurs : ‘’On ne veut pas de vos idées (partagées, souvenez-vous en, par moins de 25 % du corps électoral)... mais on espère que votre jeunesse et votre soif apparente de réformes vont aller dans le bon sens''. Hélas, plus le temps passe, plus ''il a tout faux''. En fait, il est ‘’En Marche’’... vers tout ce qui est inutile !
La tâche était simple, pourtant, claire et de très bon goût : desserrer le plus vite possible les carcans dans lesquels une Administration triomphante a peu à peu enfermé le peuple français, qui est soumis sans plus aucune protection (sauf, un peu, le Sénat... dont les avis éclairés sont, par système, écrasés par ceux d'une Assemblée Nationale dont la majorité, qui se dit ''en Marche'', est majoritairement composée de survivants du socialisme moribond) à des empilages de règlements, de contraintes, d'obligations, d'impôts nouveaux et de corvées qui le paralysent. D'un autre côté, on aurait dû se douter que, en confiant à un haut fonctionnaire diplômé de notre plus prestigieuse école d'Administration (dont les membres ont érigé l'esprit de corps en règle de vie --rappelez-vous la promotion ''Voltaire'' sous Hollande, qui a usé et abusé du pouvoir jusqu'à précipiter la France dans un cauchemar !), on prenait à peu près le même risque… avec une autre promotion.
Mais non, c'eût été trop beau... On a gardé le plus grand nombre possible de ceux qui étaient en place, et on en a ajouté quelques couches, accélérant encore notre marche vers l'absurde. En quelques décennies, la France est passée de la ''Société de confiance'' dont rêvait Alain Peyrefitte dans les années 1995 à une ''société de défiance'' vingt ans plus tard (2003), puis à à une ''société d'émigration'' vers la Belgique des forces vives de la Nation. Et après avoir rêvé à la fin de ce cercle vicieux sous Sarkozy (dont les promesses ont été assassinés par la pire crise économique que le monde ait connu, ce qui a bloqué ses et nos espoirs d'un retour du balancier), nous avons payé très cher un court moment de faiblesse dans les isoloirs, punis par le règne imbécile d'un Hollande... qui l'était tout autant !
A la fin, comme pour couronner ces mésaventures, c'est vraiment sans l'avoir voulu que nous nous retrouvons aujourd'hui confrontés à la menace chaque jour plus précise d'une ''Société assujettie'', comme je l'écrivais ici-même il y a peu. Une camarilla de clones auto-sélectionnés ''administre'' la France à coup de normes inutiles, de lois perverses, de prélèvements dingues et d'interdictions dans tous les domaines où il n'y en a pas besoin. Elle nous ''administre'' mais ne dirige plus rien et ne prévoit rien que sa propre survie... et notre douloureuse mise sous tutelle... C'est Jean Thomas Lesueur, délégué général de l'Institut Thomas More, qui remarquait récemment que ''l'Etat est plus dirigiste que jamais''. Et le plus ironique de tout, c'est que nos parlementaires incultes ont repris le nom de ''société de confiance'' pour mettre en valeur un vague ''droit à l'erreur'' du contribuable devant certaines décisions de la toute puissante et anthropophage Administration fiscale ! Quand je vous dis que les mots ont perdu leur sens : la folie est sortie des asiles !
Devant des dirigeants bardés de diplômes et s’étant fait les griffes dans les postes les plus brillants du secteur public et même dans certains secteurs sans risques du ‘’privé’’, les simples citoyens et la société civile ne pèsent vraiment pas lourd ! En leur faisant croire que c'est ‘’pour leur bien’’ qu'on agit, on leur enjoint (parfois sans trop de ménagement) de laisser faire l'Etat, qui, lui, sait décider, encadrer, permettre, interdire, réformer dans le sens qu'il a décidé : il est tellement plus capable qu'eux de savoir ce qu'ils veulent ! (c’est leur arme pour nous faire taire). Ecoutez-les se saouler de mots : le cliché ''Ce que veulent les Français, c’est '' doit obligatoirement précéder la liste de leurs fantasmes liberticides, de leurs idées fixes ou... des idioties que leur ont soufflées les bobos, la mode (c’est pareil), la Presse (c’est pareil-bis) ou des pseudo-gourous plus ou moins bien intentionnés.
Le seul ennui (je cite encore Jean-Thomas Lesueur), c'est que ''l'étatisme (de notre) Président a besoin, pour se déployer, d'une société française consentante, passive, attendant les solutions et appliquant des consignes venues d'en haut''. La méthode que Macron revendique sans fausse honte (elle est terrifiante quand on se donne le mal d’écouter ce qui est dit), est clamée, proclamée et revendiquée sans cesse : ‘’je discute aussi longtemps que je l’ai décidé avec les gens ou les corps intermédiaires, mais je ne cèderai rien'' (avec ce RIEN ''majuscule'' et emphatique dont nous ne voyons même plus ce qu’il y a d'inacceptable en lui !)
La seule question qui vaille est donc : sommes-nous encore prêts à défendre notre civilisation, notre liberté, nos us et coutumes, et, tant qu'on y est, notre religion chrétienne, clé unique de tout ce qui s'est passé (de bon, le plus souvent, et de moins bon, quelques fois !) depuis quinze cents ou deux mille ans... Et comme le recommandait déjà la Fontaine en 1668 dans la fable ''Le loup et le chien'',
“Attaché ? dit le Loup. De tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même, à ce prix, un trésor.” Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor...
C'est ce que nous devrions faire, si nous étions sages, avant qu'il soit trop tard et que la trace du collier soit devenue ineffaçable en nous... S’il vous plaît, Messieurs de Bercy, et même dans votre propre intérêt... ‘’Arrêtez de nous emmerder’’ !
H-Cl.
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Restaurants ouverts et bars fermés, Paris entre en zone d’alerte maximale
Alerte maximale à la Covid-19 à Paris
Bars fermés, restaurants ouverts mais sous réserve d’un strict respect d’un protocole sanitaire renforcé, réduction de la capacité d’accueil dans les universités et de la fréquentation dans les centres commerciaux: Paris et la petite couronne basculeront mardi dans un nouveau régime de restriction face à la progression de l’épidémie de coronavirus.
L’essentiel de ces mesures localisées avait été dévoilé la veille au soir par Matignon.
Les décideurs publics régionaux les ont détaillées lundi lors d’une conférence de presse commune symbolisant un “travail très partenarial” – l’expression a été employée par la maire socialiste de la Paris, Anne Hidalgo – et “en collégialité”, selon le préfet de police de Paris, Didier Lallement.
Elles s’appliqueront à compter de mardi et jusqu’au lundi 19 octobre inclus avant d’être réévaluées au regard de l’évolution des indicateurs de l’épidémie.
“Ce matin nous franchissons une nouvelle étape”, a déclaré Didier Lallement. “Ce sont des mesures de freinage parce que l���épidémie va trop vite. Il faut freiner maintenant avant que notre système de soin soit débordé”, a-t-il ajouté.
Aurélien Rousseau, directeur général de l’Autorité régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France, a explicité cette tension sur les services de santé en soulignant que le taux d’occupation des lits en services de réanimation occupés par des patients COVID avait franchi dimanche le taux de 36%.
“Les chiffres confirment aujourd’hui à Paris et en petite couronne (ndlr, les trois départements limitrophes que sont les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne) le dépassement des seuils d’alerte qui justifie le placement de la plaque parisienne en zone d’alerte maximale”, a-t-il insisté.
“Nous savons que nous arriverons dans les quinze prochains jours autour de 50% de lits de réanimation occupés par des patients COVID.”
BARS ET PISCINE FERMÉS
“A compter de demain, tous les bars devront être fermés”, a indiqué Didier Lallement en évoquant la situation s’appliquant à la capitale et aux trois départements de la petite couronne.
En revanche, a ajouté le préfet de police de Paris, “les restaurants que l’on définit comme étant des établissements dont l’activité principale est la vente de repas (…) pourront rester ouverts à leurs horaires habituels sous réserve du strict respect d’un nouveau protocole sanitaire validé par le Haut Conseil de santé publique”.
Cette politique va également s’appliquer aux restaurants d’Aix et de Marseille qui pourront rouvrir ce lundi en respectant de strictes consignes sanitaires, a-t-on appris auprès de la préfecture des Bouches-du-Rhône.
La fermeture généralisée des restaurants et des bars à Aix-Marseille et en Guadeloupe, les premiers territoires français à avoir basculé en zone d’alerte maximale fin septembre, avait été extrêmement décriée par les élus locaux et les acteurs économiques.
RESTRICTIONS DANS LES CENTRES COMMERCIAUX
A Paris et dans la petite couronne, l’interdiction déjà en vigueur de la vente à emporter et de la consommation d’alcool sur la voie publique à partir de 22h00 reste d’actualité. Le préfet Lallement a décidé en outre d’interdire “explicitement les soirée étudiantes et tout type de rassemblements festifs ou familiaux dans les établissements recevant du public (ERP)”.
“Les cérémonies de mariage peuvent bien évidemment avoir lieu dans les mairies ou dans les lieux de culte mais les fêtes de mariage dans les ERP ne sont pas autorisées”, a-t-il poursuivi.
Ces mesures, a-t-il précisé, ne visent pas les lieux privés.
Concernant les grands magasins et les centres commerciaux, ils devront au maximum accueillir un client pour 4 mètres carrés, ce qui, a-t-il dit, limitera le nombre de personnes à même de s’y croiser tout en garantissant une “bonne vitalité économique nécessaire”.
Les gymnases, les salles polyvalentes et les piscines seront fermées pendant les quinze jours à venir “mais en accord et à la demande du maire de Paris et parce que nous entrons dans une période de vacances scolaire nous avons souhaité que ces espaces puissent continuer à accueillir des mineurs que ce soit dans un cadre scolaire, associatif ou privé”.
Pour les manifestations sportives en plein air, la règle reste la jauge maximale à 1.000 personnes ou à 50% de la capacité des enceintes si elles peuvent accueillir moins de 1.000 spectateurs. La règle reste donc inchangée pour les internationaux de France de tennis qui se déroulent en ce moment à Roland-Garros.
GARDER UN CONTACT ÉTUDIANTS-ENSEIGNANTS RÉEL
Dans les universités, où le recteur d’académie Christophe Kerrero a fait état d’une baisse significative des contaminations après les pics enregistrés à la rentrée, la capacité sera réduite à 50% dans tous les lieux (salles de cours, amphithéâtre et réfectoires).
La majorité des établissement universitaires a déjà adopté le format hybride de cours en présentiel et à distance, a-t-il dit, insistant sur la nécessité pour les étudiants de “garder un contact réel avec leurs enseignants”.
Globalement, Anne Hidalgo a souligné que tous les décideurs publics allaient devoir continuer de “travailler en réseau, à l’échelle de territoires le plus fins possibles (…) et de façon encore plus méthodique pour pouvoir revenir dans quinze jours avec je l’espère de bonnes nouvelles sur le front de l’épidémie”.
Quant aux contrevenants, Didier Lallement a prévenu: “Nous serons implacables pour ceux qui veulent en permanence contourner la règle. Ils sont très, très peu nombreux, malheureusement ils existent et cela m’arrive encore de fermer un certain nombre d’établissements.”
Henri-Pierre André avec la contribution de Marc Leras à Marseille; édité par Blandine Hénault
Crédit: Lien source
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Les séparateurs de graisse séparent les graisses d’origine animale ou végétale, des eaux usées. Ce sont des appareils qui séparent et stockent les matières grasses, les huiles et les solides. Ils sont souvent utilisés pour filtrer les eaux ménagères. D’autres sont utilisés dans les garages automobiles ou à d’autres fins utiles. D’après les normes techniques, lesdites graisses doivent être insolubles et saponifiables. Voici quelques modèles selon vos besoins.
Les modéles Oleopour G
La gamme de séparateurs de graisses ACO Oleopour est constitué de deux modèles : le modèle standard et le modèle avec colonne de vidange. Ce dernier est muni d’un dispositif de nettoyage haute pression intégrée. Cela permet la vidange, le remplissage et le nettoyage sans ouverture du couvercle.
Séparateur Oleopour G
Existant en six tailles, ils sont conçus au polyéthylène haute densité ce qui leur permet une installation enterrée pérenne. Grace à la stabilité structurelle de la cuve rotomoulée, ils peuvent résister jusqu’à plus de cinquante ans. Sa forme ovoïde et l’épaisseur de sa paroi contribuent à cette longévité. Ils peuvent résister à une poussée de la nappe phréatique sans encrage bétonnée jusqu’à moins de cinquante centimètres de la surface du sol. Leur résistance mécanique est également élevée. Leur cuve peut supporter jusqu’à plus d’un mètre de hauteur de charge. Plusieurs types de couvercles sont disponibles selon vos besoins. Le couvercle sur cadre en fonte rempli de béton est adéquat pour les charges lourdes come le passage des véhicules et motos. Il est étanche et couronné. Les couvertures de la classe B ne nécessitent pas une dalle de répartition. Vous pourrez choisir le couvercle en fonte avec cadre rempli de béton avec rehausse en polyéthylène. Il est aussi étanche que verrouillé avec couronne de réduction en béton.
La sélection Simop
Séparateurs de graisses et fécules avec débourbeur en PRV de 8 à 20l/s
Vous avez le bac à graisse sous évier qui est un séparateur à grasses pour eaux usées ménagères. C’est une solution adéquate pour les restaurants et fast foods lorsqu’un terrassement ou la pose en cave est impossible. Il est destiné à une pose au sol ou sur un caillebotis sous paillasse. Un professionnel ou l’utilisateur doit intervenir une fois par semaine pour l’entretien afin d’éviter l’usure prématurée et les bouchons. Vous procéderez à la vidange totale et le remplierez d’eau claire tout de suite après.
Séparateurs de graisses – gamme Apollo débourbeur v100
Vous avez également le séparateur de graisse avec débourbeur hors sol dont la capacité de rétention des graisses est de 40 litres I/s. l’appareil doit être posé sur une surface lisse et plane et les couvercles doivent être accessibles pour faciliter l’entretien. Il faudra également prévoir un système de ventilation pour évacuer les gaz au-dessus du faitage. Un entretien complet tous les quinze jours suffira largement. Si vous ne l’utilisez pas tous les jours, l’entretien peut être reporté jusqu’à un ou deux mois. Comme pour le modèle précédent, il faudra le laver entièrement et le remplir immédiatement d’eau claire.
Séparateurs de graisses et fécules avec débourbeur – pose hors sol
D’autres appareils ont des séparateurs de fécules intégrés, des poses enterrées avec nappes, etc. Plusieurs choix sont disponibles selon vos besoins en termes de tailles, de résistances et de propriétés.
Contactez nous au 04 85 88 02 75, par email sur [email protected] ou via notre site internet pour nous soumettre votre demande pour ce stérilisateur d’air.
Séparateurs à graisse GEDO Les séparateurs de graisse séparent les graisses d’origine animale ou végétale, des eaux usées. Ce sont des appareils qui séparent et stockent les matières grasses, les huiles et les solides.
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Avec le « Grand Paris » et les JO, une vague de béton s’apprête à submerger l’Île-de-France « Chantier colossal », « troisième révolution urbaine », « porte d’entrée de l’Europe continentale »… Autour du Grand Paris, immense projet de réaménagement urbain touchant toute la métropole, les discours s’enflamment. Mais sur le terrain comme en coulisses, les grues, tunneliers et autres bétonnières s’apprêtent à imposer leur loi, loin du contrôle des citoyens. Entre les constructions de tours, l’extension des lignes de métro, ou les grands projets comme Europa City, les promoteurs et géants du BTP se frottent déjà les mains. Depuis l’annonce officielle de la tenue des Jeux olympiques à Paris en 2024, le calendrier du Grand Paris semble s’accélérer. Au nord de l’agglomération, la mairie de Gonesse a validé fin septembre la modification de son plan local d’urbanisme pour faire place à Europa City, hybride entre centre commercial et parc d’attractions, dont le promoteur, une filiale d’Auchan, présentait dans la foulée une nouvelle mouture, destinée à répondre aux critiques que le projet suscite. Des travaux sont engagés sur la ligne de métro 15-Sud, entre Pont de Sèvres et Noisy-Champs, le premier tunnelier devant entrer en action très prochainement à Champigny. En parallèle, les jurys de l’appel à projets « Inventons la métropole du Grand Paris » sont en train de sélectionner les heureux lauréats destinés à aménager 56 sites, répartis sur toute la banlieue parisienne. Concours d’architectes et marchés publics se succèdent à un rythme soutenu. Des décisions se prennent aujourd’hui qui façonneront le visage futur de la capitale et de ses environs. Pour le meilleur, et pour le pire. Un « Grand Paris » des transports... et des tours La réflexion sur le « Grand Paris » avait été lancée en fanfare par Nicolas Sarkozy en 2007, à travers une consultation internationale associant dix équipes d’architectes afin de concevoir un « projet d’exception » pour la métropole. Dix ans plus tard, qu’en reste-t-il ? Essentiellement un projet de transport en commun, le « Grand Paris Express », soit un ensemble de quatre nouvelles lignes de métro automatiques (15, 16, 17 et 18, plus le prolongement de la 14) destinées à relier entre eux les points névralgiques de la banlieue, et dont la mise en service s’échelonnera jusqu’à 2030. Ce projet de nouveaux métros sera complété par une nouvelle ligne reliant d’ici 2023 la Gare de l’Est à l’aéroport de Roissy, CDG Express. À quoi s’ajoute Europa City – si le projet voit le jour – ainsi que l’ensemble des projets urbains faisant l’objet de l’appel d’offres « Inventons la métropole du Grand Paris », plus quelques nouveaux équipements liés aux Jeux olympiques, notamment une nouvelle piscine à proximité du Stade de France. Sans oublier, à Paris même, la rénovation programmée de la tour Montparnasse et la construction de nouvelles tours. Au nouveau tribunal de grande instance du quartier des Batignolles, réalisé par l’architecte italien Renzo Piano (celui du centre Pompidou et de la Potsdamer Platz de Berlin), s’ajouteront les futures tours « duo » de Jean Nouvel avenue de France, dans le XIIIe arrondissement. Celles-ci accueilleront le siège de la banque Natixis. Il y a aussi la tour Triangle (porte de Versailles) ainsi que, probablement, de futures tours porte d’Ivry et sur la ZAC Bercy-Charenton, qualifiées de « porte d’entrée monumentale du Grand Paris » par l’adjoint à l’urbanisme de Paris Jean-Louis Missika. La Tour de Bercy-Charenton pourrait accueillir le siège du pétrolier Total. Le Grand Paris, c’est aussi un empilement de structures technocratiques qui ont pour point commun leur éloignement des citoyens. D’abord, la Métropole Grand Paris, présidée par Patrick Ollier (Les Républicains), puis les échelons territoriaux déjà existants : la région Île-de-France, Paris, et les sept départements de la zone. La « métropole » pourrait gagner en pouvoir si Emmanuel Macron, comme il l’a laissé entendre, décide de supprimer les trois départements de la petite couronne (Hauts-de-Seine, Val-de-Marne et Seine-Saint-Denis). À cela s’ajoutent la Société du Grand Paris – en charge essentiellement du projet de transports Grand Paris Express –, Grand Paris Aménagement – responsable de la gestion de divers projets d’aménagement et en particulier d’Europa City –, et quelques autres entités rassemblant élus, représentants de l’État et personnalités qualifiées. Des marchés de dizaines de milliards d’euros Serions-nous sur le point d’assister à un retour en force de l’affairisme et du bétonnage typiques de l’urbanisme parisien des années 1960 et 1970 ? À considérer les chiffres, on peut le craindre. Pour le seul Grand Paris Express, 43 millions de tonnes de déblais, 24 tunneliers appelés à fonctionner simultanément, des tunnels creusés à plusieurs dizaines de mètres de profondeur, soit bien plus que les métros et RER actuels, 68 gares... Quant au nombre de travailleurs détachés venus de toute l’Europe, potentiellement sous-payés, appelés à s’activer sur ces chantiers, aucun chiffre ne circule. « Chantier colossal », « troisième révolution urbaine », « porte d’entrée de l’Europe continentale », « choc économique et urbain »… Dans les discours officiels et médiatiques, l’heure est davantage au triomphalisme et à la « compétition » entre Paris et les autres grandes villes « de classe mondiale ». En arrière-plan, il y a aussi le Brexit et l’objectif d’attirer à Paris les traders et les institutions financières de la City. Une perspective qui, comme les Jeux olympiques, semble faire l’objet d’un large consensus politique associant aussi bien la mairie de Paris, que la région Île-de-France et l’État. Du côté des entreprises, on se frotte les mains. Promoteurs et groupes de BTP - qui sont souvent les mêmes - vont bénéficier à la fois des chantiers et de la hausse des prix de l’immobilier. L’explosion du prix du foncier en Île-de-France, déjà bien engagée depuis le début des années 2000, va se poursuivre. Ce sera le cas en particulier autour des futures gares du Grand Paris Express. Le réseau d’agences immobilières Guy Hoquet souligne déjà les opportunités de placements lucratifs dans des villes comme Saint-Ouen, Bagneux, Le Kremlin-Bicêtre ou Villejuif. Au grand bonheur du BTP À l’assemblée générale 2017 de Vinci, les actionnaires jugeaient que le Grand Paris alimenterait « les carnets de commandes des grands groupes de la profession pendant quinze ans au moins ». Les huit marchés de génie civil de la ligne 15-Sud, pour un montant total estimé à 3,7 milliards d’euros, ont ainsi été partagés entre des groupements pilotés par Bouygues, Vinci, et Eiffage. Selon Le Parisien, Bouygues aurait récupéré en tout 1,38 milliard et Vinci 1,08 milliard de marchés. Un dérapage du budget global du Grand Paris Express, estimé initialement à 22 milliards d’euros, est déjà prévu. Il pourrait atteindre désormais les 35 milliards ! Sans compter les rallonges supplémentaires qui pourraient être nécessaires pour mettre en service les nouvelles lignes à temps pour les Jeux olympiques. Les spécialistes du secteur s’inquiètent également de la faiblesse des moyens et de l’expertise de la Société du Grand Paris. Celle-ci se retrouve en position de faiblesse face à des géants comme Bouygues ou Vinci, lorsqu’il s’agit de fixer ou de contrôler les budgets. D’autant qu’elle n’a pas de comptes à rendre aux citoyens dont l’argent finance pourtant ces grands projets. D’autres secteurs sont eux aussi appelés à profiter de la manne : les fournisseurs de trains et d’équipements électroniques – Siemens-Alstom, Thales –, les gestionnaires de transports publics – RATP, Keolis-SNCF et Transdev – qui seront mis en concurrence pour les lignes du Grand Paris Express, ou encore les fournisseurs de matériaux de construction comme Lafarge. Les géants privés des services urbains, Veolia, Suez ou Engie, qui dominent les grands syndicats intercommunaux de l’agglomération parisienne en charge de l’eau, de l’assainissement, des déchets ou encore du chauffage urbain, comptent bien consolider leur influence d’article). Le bétonnage, une hérésie climatique Au final, c’est une immense opération d’ingénierie urbaine qui s’annonce. Elle modifiera en profondeur le paysage de l’agglomération, à coups de millions de tonnes de terre déplacée et de béton coulé. Les conséquences s’en feront sentir bien au-delà de la région francilienne, puisque de la Bourgogne à la Normandie, de nouvelles carrières s’apprêtent à ouvrir pour alimenter l’immense chantier en matériaux de construction, ou à en accueillir les déblais. Il y a certes de projets de réutilisation de la terre dégagée par le Grand Paris Express pour fabriquer des briques, mais ils ne concerneront qu’une fraction des millions de tonnes à gérer. Le reste sera acheminé sur des dizaines ou des centaines de kilomètres pour combler des carrières de Lafargeou Saint-Gobain. En résultera aussi une expansion considérable du bétonnage des sols franciliens, pour des projets dont la rentabilité future ne semble pas toujours évidente. Le projet Europa City entrera ainsi en concurrence avec une multitude de centres commerciaux alentour (Parinor, Aéroville, Le Millénaire…), avec le parc des expositions de Villepinte, ainsi qu’avec les autres grands parcs d’attraction de la région – Disneyland, Astérix ou encore le nouveau « Village Nature Paris » que vient d’ouvrir Center Parcs à Marne-la-Vallée. Y a-t-il vraiment de la place pour tout le monde ? Cette logique de bétonnage apparaît en contradiction directe avec la protection du climat et les engagements de l’Accord de Paris. Elle entraîne des émissions importantes de gaz à effet de serre, notamment lors de la production du ciment et durant les chantiers. Et contribue aussi à détruire des sols naturels stockant le CO2 et servant à bien d’autres usages directs et indirects, comme la production de nourriture, la conservation de l’eau ou la régulation des températures. Quelles conséquences sur l’eau, le végétal et les terres agricoles ? C’est précisément l’un des enjeux de la lutte pour sauver les terres agricoles fertiles menacées par le projet Europa City (lire nos articles ici et là). Le problème se pose autour de nombreux projets, grand ou petits, associés au Grand Paris. En milieu urbain, le bétonnage contribue aussi à aggraver les conséquences du réchauffement des températures, à travers le phénomène des « ilots de chaleurs ». Une étude récente estime que les grandes mégalopoles du monde pourraient être confrontées à des hausses de température de plus de 8ºC d’ici 2100. L’imperméabilisation des sols contribue aussi à réduire la recharge des nappes phréatiques et favorise les inondations, comme la région parisienne en a fait l’expérience en juin 2016. Ces enjeux, nos élus en sont bien conscients. Les rapports, recherches et grands raouts internationaux insistant sur le rôle crucial des villes face au changement climatique se multiplient. L’importance de la gestion de l’eau et des végétaux ne cesse d’être soulignée. Paris avait organisé sa propre conférence avec l’Unesco au moment de la COP 21, « Eau, mégapoles et changements mondiaux ». En témoignent encore aujourd’hui les projets conçus par la municipalité d’Anne Hidalgo, dans le cadre de son plan climat, pour « re-végétaliser » la capitale et y renforcer des « ilots de fraîcheur ». Ces initiatives ponctuelles – aussi louables soient-elles – suffiront-elles à inverser la tendance, face à la lame de fond des grands projets d’infrastructures du Grand Paris ? La stratégie de revégétalisation de la capitale est déjà contredite par l’extension de Roland-Garros aux dépens des serres d’Auteuil, ou par celle de l’ex-Palais omnisports Paris Arena, qui bétonnera une partie du parc de Bercy actuel situé… en zone inondable. http://serpent-libertaire.over-blog.com/2017/11/avec-le-grand-paris-et-les-jo-une-vague-de-beton-s-apprete-a-submerger-l-ile-de-france-par-olivier-petitj.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail
#code de l'urbanisme#environnement#paysage#politique#emplois#enjeux politiques#restriction des terres#eau#luttes#résistance
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Irréfutable, l’éléphant ?
Que sont devenus les héros en toge ou tunique, coiffés de casques de centurion ou de couronnes de lauriers, qui peuplaient nos études gréco-latines de jadis ? On peut les regretter comme le pauvre Rutebeuf chantant ses amis : « Ils ont été trop clairsemés, je crois le vent les a ôtés ». Peut-être hantaient-ils d’autant plus notre imagination qu’ils manquaient d’assises historiques ? Mais comment douter de leurs exploits, quand on lit Tite-Live dans le texte ? La deuxième guerre punique ne fut-elle pas bellum maxime omnium memorabile, la plus mémorable de toutes les guerres ? Grâce surtout à Hannibal, cet ennemi de Rome d’autant plus digne d’éloges qu’il fut finalement vaincu. Et qu’il nous laissa cet inoubliable exemple grammatical : Vincere scis, Hannibal ! (Tu sais vaincre, Hannibal !). Lequel faisait écho à l’apostrophe du vieux Caton : Carthago delenda est ! (Il faut détruire Carthage !).
Avec le recul on se demande tout de même où passe dans ces récits la frontière entre l’histoire et la légende. Il est à peu près établi que, quelque deux siècles avant notre ère, Hannibal franchit les Alpes en hiver, performance d’autant plus étonnante que les Romains la jugeaient au-dessus des forces humaines. Or comme ce stratagème était réputé irréaliste, Hannibal le réalisa. Et pas avec une cordée d’alpinistes aguerris, mais avec quelque trente mille hommes, quinze mille chevaux et une quarantaine d’éléphants.
Jusque-là l’histoire paraît passablement véridique, sauf qu’à part les récits de Polybe et de Tite-Live, on n’en a conservé que peu de traces tangibles. On ignore même par où Hannibal serait passé pour franchir les Alpes et marcher sur Rome. Les historiens antiquaires hésitent entre les Alpes du nord et du sud. Rien ne sert non plus d’interroger les gens du pays, car chaque vallée voit Hannibal à sa porte. Sans doute peut-on faire davantage confiance à cette équipe anglo-américaine de géologues et de microbiologistes, qui procéda en 2016 à des carottages dans le col de la Traversette, dans le massif du Queyras, et qui tomba par hasard sur une strate d’excréments animaux fossilisés. Analysant les bactéries présentes dans le sédiment on constata qu’elles relevaient du type anaérobies, celles-là mêmes qui représentent quelque trois quarts de la flore intestinale des chevaux. Autrement dit, on était tombé sur un gisement de crottin. Et la datation au carbone 14 donna environ deux siècles avant notre ère.
Bien entendu, on ne trouva pas seulement les traces de déjections d’équidés. Il y eut aussi celles des cavaliers et de la piétaille qui suivait. Mais ce qui nous avait frappés surtout dans le récit de Tite-Live, c’était les éléphants. Les sachant habitués à la savane africaine ou au climat de l’Inde, on les voyait mal traverser des cols escarpés, surtout en hiver. On imaginait ces pachydermes transis de froid, leurs barrissements provoquant des avalanches mortelles. Certes, selon les sources ils furent moins nombreux que les chevaux, mais leurs excréments devaient être tellement plus volumineux, comme ils le sont encore de nos jours, qu’on est en droit de s’étonner de n’en pas trouver trace dans l’enquête évoquée plus haut.
Ces mastodontes feraient-ils donc partie des clichés légendaires de l’Antiquité ? On sait que déjà Alexandre le Grand y aurait eu recours pour sa conquête de la Perse et de l’Inde. Plus tard ils auraient aussi joué un rôle important dans la Guerre des Maccabées contre Antioche en Palestine. Mais pour qu’on ajoute foi à leur traversée des Alpes, il faudrait des réponses nettement plus documentées à une série de questions, dont les suivantes. Où Hannibal serait-il allé chercher ses éléphants ? À son époque, comme à la nôtre, on les trouvait dans l’Afrique subsaharienne, où ils se nourrissaient d’abondants végétaux offerts par leur biotope. Sachant que dans nos zoos actuels l’éléphant adulte consomme environ 200 kg de plantes par jour et que la traversée des Alpes a duré près d’un mois, on mesure le poids de l’intendance qui aurait dû suivre, rien que pour leur fourrage. Et qui dit nourriture dit aussi excréments, qui pour un animal de quelque 6 à 7 tonnes, ne se limitent pas à quelques bouses ou crottins, avec ou sans bactéries anaérobies.
Comme quoi, dans les preuves historiques l’absence de traces est parfois plus éloquente que leur présence. Dans cette optique les Anciens parlaient déjà d’un argumentum silentii, le silence de l’élément qu’on était censé trouver parlant plus fort, nous renseignant davantage, que la confirmation de ce qu’on attendait. Peut-être que dans cette histoire comme dans d’autres, l’irréfutable éléphant n’a pas dévié de sa nature ancestrale, qui consiste à tromper énormément ?
#Tite-Live#Polybe#Hannibal#Carthage#Rome#Caton#éléphants#Alexandre le Grand#Guerre des Maccabées#Guerre punique#Rutebeuf
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Perroquet vert / Sans titre / Piroche / Iceberg n°5 / Iceberg n°3 / hommage à Rosa Luxembourg
Le Perroquet vert, 1949, huile sur toile, 110,2 x 140 cm – Musée du Québec, Québec, Canada – Catalogue raisonné de Jean Paul Riopelle, tome 1, pp. 277 et 369
Iceberg n°5
Tes titres figurent, ils figurent et orientent Iceberg Noir Tes titres orientent Perroquet vert, je ne peux que le voir Ton perroquet vert dans l’amas ocre, rouge, marron, vert, caca d’oie, Dans l’amas ocre, sable, sienne, perroquet, caca d’oie, jonquille, brun, Sanguine, sapin, prusse, vert-jaune, sable, vermillon Dans l’amas où le blanc perce neige reflet et dessine Dessine le, les perroquets verts qui dans la jungle Dans le sombre de la jungle capte la lumière rai reflète Dans quelle jungle, vert vert bois, dans quel zoo, dans quelle merde Où se cachent perroquet, sa symphonie Est-ce la symphonie du cacquètement Qu’à la surface craquelée j’entends C’est perroquet l’exotisme de quel Lieu De quel temps Je pense à tes grues Riopelle A tes oiseaux, à ta Rosa, A quel exotisme ton Perroquet vert Picassien ou braquois Répond-il, depuis quel langage Quel apprentissage de quelle répétition ? Figure-t-il Figures-tu Te figures-tu
from / to vert / Rosa
Figure-t-il Figures-tu Te figures-tu Iceberg Noir Pour à toi parvenir Dans le blanc, le blanc Qui à la surface Au dessus Ne cessera de s’ajouter Le blanc s’ajoute Comme ponctue Avant d’advenir De tout recouvrir Qu’enfin le blanc existe Et qu’au blanc la couleur Ne fasse que le faire Ressortir Sors De tout temps l’éclat de la neige Qui fond Et tient traduit Quel langage Quelle langue Quelles traces Mystiques
Les monstres des bords blancs des cartes
Au bord tout au bord des cartes Quand inconnu Quand le territoire était inconnu Pas exploré mais désiré La carte était laissée blanche - telle Mise en scène de Claude Ollier - là où le problème des cartes est toujours celui - des envahisseurs Et dans les bords blancs apparaissaient Des monstres Car au bord des mondes Gardent les mondes de L’interpénétration des mondes Les monstres
Photo: Archives Yseult Riopelle, Sans titre, 1964. Huile sur toile, 130 × 160 cm
Trait d’union (3)
De Riopelle-Mitchelle Je comprends que le trait d’union est pour toi le blanc Iceberg Noir Pas la toile, le blanc, la toile seule griffure peut l’atteindre C’est le combat pour faire apparaître la neige Telle qu’elle source dans les toiles de Mitchell Alors de la matière que faire, car la matière Iceberg Noir chez toi est couleur Du blanc, du blanc que faire, de la peinture De la matière peinture blanche avalanche que faire De l’épaisseur du matériau, de ton travail au couteau C’est à l’aveugle retrouver le tracé, la trace, le trait, la figuration, Sous la neige le trait d’union
Danse dans la neige, 1948 Françoise Sullivan
De la danse de Mitchell sur les toiles Riopelle vient, en 1948 a, était Avec Sullivan, Françoise Sullivan Qui ses danse des qures saisons créait Riopelle et Maurice Perron Pour Danse dans la neige Sur le Mont Saint Hilaire Où l’invite Riopelle à danser A la suivre filmer photographier Yseult a deux mois, Françoise Riopelle la tient dans ses bras De la danse de Sullivan à celle de Mitchell Pas à pas de la danse sur neige glacée à l’apprêt plat de la toile Pour, Riopelle, à la neige Nécessaire de revenir Nécessaire de revenir à Saint-Hilaire Dix ans après, Mitchell pour invitée Et Y tracer, Piroche, Y tracer signes Empreintes Dansés dans ses yeux Si souvent
Piroche, 1976, huile sur toile, 203,3 x 549 cm, quadriptyque – Université de Sherbrooke, Sherbrooke, Québec, Canada
Iceberg n° 5, 1977, huile sur toile, 200 x 260 cm
Iceberg n°1
un iceberg c’est blanc, et bleu, et transparent, et gris et
immense
Iceberg n°2
je comprends sans comprendre l’absence de couleur la série presque tout en noir et blanc quand je ressens la couleur c’est dès la lumière pas le soleil la lumière dès que les nuages se déplacent jour ou nuit soleil lune ou étoiles quand le soleil ne redevient qu’une étoile comme une autre absente
Iceberg n°3
cette toile c’est Robert le diable à l’envers pour les couleurs et le blanc pas la technique ou alors la technique à l’envers serait de faire miroiter les coup de couteau carrés le bocage l’étroitesse à l’espace dont les règles sont celles physiques et toujours spirituelles de la répétition qui se compose à la composition qui organise le geste
Iceberg n°4
De la nuit noire J’ai ce souvenir enfant Dans le Vercors Dans le Vercors enneigé gelé Dns le Vercors avec Une dizaine d’enfants Et mon grand-père Qui se perd nous perd Nous avons skié toute la journée Et dans la nuit noire sommes rentrés C’est-à-dire Dans la nuit d’un plateau où les nuages Cachaient de la nuit toute lumière Dans la nuit de nos yeux de toute la journée Fatigués de la neige Blanche ou grise, marron et verte Transparente et jaune Une branche de sapin sous la neige l’irise Il y a ce blanc très particulier de la neige tassée Et toutes ces couleurs que les sensations procurent D’une neige légère qui tombe et grise Sur les paupières les joues Devient rouge la neige brûlure De celle qui glisse sous les patins fartés Et wootche wootche wootche De celle qui a fondu regelé fondu Où se posent fleurs flocons qui nuit tombe se laissent prendre intactes sous des mètres encore visibles Celle où trop sont passés bouillie Celle brillante de reflets Il y a l’eau grumeuleuse Il y a de la neige mon amour
Extrait de Maîtresse-Cherokees de Josée Yvon (une Mitchell canadienne telle que j’imagine que Riopelle aurait pu la rêver)
Impossible. Mitchell ne meurt pas. Elle est de celles qui n'ont rien à perdre, noire évasive d'actes fous, sincères mais dangereux.Mitchell est descendue de la Baie James, sept ans de travail parcimonieux dans un «office» d'une LG2 paralysée, sans bouger, elle attendait, elle était amoureuse. Au printemps du désespoir, les hommes ont changé de camps. La peur l'a accablée très vite. Où est-il cet amant qui l'avait volée? Personne. Elle tremble malade de bière dans le bureau hurlant. Elle a reviré le pupitre sur le nom des gars qu'elle devait dactylographier. Un désert dans ce camp élucidé. Rien... Elle a empoigné la petite dans la main droite, son «mickey» dans la poche gauche. Su' le pouce, pas de bagages, ça dépendrait des lifts... Couchées dans un lit ou sur le bord d'un ruisseau. Est-ce que ça s'appelle un pays? Quinze jours le long du lac à l'Ourse. Se laver sans faire de bruit dans toute la splendeur des cris de forêt, Donna serrée qui halète plus fort que les hululements. Elle lui raconte que tous les moutons blancs sur les vagues douces cahotent bien moins violents que sa petite écume tassée en cris embrasés de désir déferlant. Elles buvaient dans la rivière glacée, jusqu'à ce qu'un vieux garde-chasse surgisse, comme le vieillard à la lanterne... Elles ont fui dans les sous-bois d'un silence consentant, éperdues, des milles jusqu'à l'éclaircie, une petite route de terre... On se rend toujours où l'on focuse aller. «I left a woman waiting». Entra dans la première brasserie, la petite n'est pas servie, elle dort anyway. Une chambre à louer au-dessus de la taverne, couche la petite et redescend boire jusqu'à la fermeture.
Iceberg n°3, 1977
Rosa critique
L'indépendance de la pensée est pour nous de la plus haute importance. Or, elle ne sera possible que si, abstraction faite de toute calomnie. de tout mensonge, de toute injure, nous accueillons avec gratitude et sans distinction de tendance, les opinions exprimées par des gens qui peuvent se tromper, mais qui n'ont en vue que le salut de notre Parti. Je ne parle pas pour moi, mais d'une façon générale : c'est avec joie qu'on devrait accueillir des idées nouvelles puisqu'elles rafraîchissent un peu le répertoire suranné, routinier de notre propagande.
Rosa Luxembourg, Liberté de la critique et de la science, 1899
L'hommage à Rosa Luxemburg (détail)
L'hommage à Rosa Luxemburg (détail), 1992. Acrylique et peinture en aérosol sur toile , 155 x 1 424 cm (1er élément); 155 x 1 247 cm (2e élément); 155 x 1 368 cm (3e élément), Coll. MNBAQ. Don de l'artiste.
Oiseaux-Blancs
Les grues blanches De ton Hommage à Soleil Rose, Iceberg Noir, Ces grues blanches Ce sont autant d’iles Qui reflètent négatives Les toiles de la rue Frémicourt C’est le blanc ceint Le blanc-seing Que t’aurais enfin donné Mourant Soleil Rose Tu couronnes le blanc Du corps des grues Elle-même D’un halo noir Tout le blanc enfin revenu Au centre du centre Dans le corps vivant D’oiseaux coureurs Et élastiques Ce blanc cet hommage C’est tiré les coins des tableaux Que tu as aimé d’elle Faire un nœud à ton mouchoir Ne jamais l’oublier C’est le blanc qui cesse de t’envahir neige C’est ce qui de toi fond d’elle, Soleil Rose qui s’auréole et que tu peins Iceberg Noir
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Chateaubriand - Mémoires d'Outre-tombe (tome V)
Chateaubriand - Mémoires d'Outre-tombe (tome V) : En 1828, Chateaubriand est devenu un véritable casse-tête pour le gouvernement. Pour tenter d’amadouer le redoutable chef de l’opposition, Marignac, le nouveau premier ministre de Charles X, lui propose l’ambassade de Rome. Chateaubriand hésite, mais finit par accepter, tant il rêve de revoir les lieux qui ont vu naître sa carrière diplomatique et son projet autobiographique. Aussitôt arrivé dans la Ville éternelle, le contraste entre le présent et ses souvenirs de 1803, alors qu’il n’était encore que secrétaire d’ambassade, le plonge dans la mélancolie. Éloigné de la scène politique française, peu accaparé par ses responsabilités, il ronge son frein et cherche à tromper sa solitude. Levé dès l’aube, il erre dans Rome et alentour, dans cette campagne romaine qu’il a si poétiquement évoquée jadis dans sa Lettre à Fontanes, donne une somptueuse fête à la villa Médicis, entreprend des fouilles à Torre Vergata — rien n’y fait. Ses lettres à Mme Récamier, qu’il transcrit intégralement, résonnent de ses plaintes continuelles. Il est vrai que Mme de Chateaubriand l’a accompagné à Rome, empêchant la sublime Juliette de le rejoindre comme prévu… En mai 1829, Chateaubriand n’y tient plus et rentre en France. Il vivra cet été-là une dernière passion (platonique ?) avec « l’Occitanienne », une jeune comtesse qu’il ne connaît que par lettres et ne rencontrera qu’une seule fois, dans les Hautes-Pyrénées. En août, les mesures réactionnaires du nouveau ministère Polignac suscitent l’indignation des libéraux et d’une grande partie de l’opinion publique. Par protestation, Chateaubriand démissionne de son poste. Moins d’un an plus tard, les Ordonnances du 25 juillet 1830 achèvent de mettre le feu aux poudres. Ouvriers imprimeurs, étudiants et journalistes descendent dans la rue, élèvent des barricades ; c’est la Révolution… L’auteur raconte au jour le jour les Trois Glorieuses (27-29 juillet), transformant ses mémoires en un fascinant journal. Le 30, il est porté en triomphe par des jeunes gens qui l’acclament en défenseur de la liberté de la presse. Le 2 août, Charles X abdique en faveur de son petit-fils, un enfant, et nomme Louis-Philippe d’Orléans régent du royaume. Lorsque celui-ci en profite pour s’emparer du pouvoir, Chateaubriand, qui a toujours été aussi farouchement attaché à la légitimité qu’à la charte, refuse de prêter serment, accusant le « Roi des Français » d’escamoter à la fois la couronne et la liberté du peuple. Mais il est trop tard ; les jeux sont faits. Le 7 août, le vieux lion prononce devant la Chambre un saisissant discours à l’issue duquel il se dépouille de ses insignes de pair et se retire définitivement de la carrière politique. Cette grande leçon d’histoire, d’une pénétrante lucidité, compte parmi les plus belles pages des Mémoires d’outre-tombe. Glorieux mais privé de ses traitements et pensions d’ambassadeur et de pair, Chateaubriand est vite accablé de soucis financiers. Obligé de quitter Paris en mai 1831, il s’installe avec sa femme à Genève, où la vie est moins chère, mais dès octobre, ses affaires le rappellent en France. Bien que sans illusions sur Charles X, en exil à Prague, il prend sa défense, mais mettra aussi tout en œuvre pour dissuader sa belle-fille, la duchesse de Berry, mère de l’héritier légitime de la couronne, de soulever les populations en faveur de son fils mineur. En vain. Lorsque la nouvelle de son débarquement clandestin à Marseille parvient aux oreilles du gouvernement, en juin 1832, Chateaubriand, accusé de complicité, est jeté en prison, tandis que la duchesse, cachée par ses partisans, réussit à échapper aux gendarmes. Le scandale, orchestré en bonne partie par Chateaubriand, est retentissant. Quinze jours plus tard, à la suite d’un non-lieu, il regagne la Suisse. Il effectue un voyage de Bâle à Lugano, puis, de retour à Genève, accompagne Mme Récamier au château de Coppet pour un dernier hommage au souvenir de Mme de Staël. En novembre 1832, apprenant la soudaine arrestation de la Duchesse de Berry, il rentre de toute urgence à Paris pour plaider sa cause et celle des Bourbons. Téléchargements : ePUB - PDF - PDF (Petits Écrans) - Kindle-MOBI - HTML - DOC/ODT Read the full article
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Oslo - mon city guide
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