#et ils sont mis dans la même cellule. L'un dit :
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Deux gars, qui ne se connaissent pas, viennent d'être jugés et condamnés à la prison. Ils entrent le même jour à la maison d'arrêt, et ils sont mis dans la même cellule. L'un dit : - J'ai fait une escroquerie et j'ai pris 10 ans. Et toi ? - Moi, j'ai fait du secourisme, et j'ai pris 20 ans ! - Mais c'est impossible ! On ne met pas les gens en prison pour avoir fait du secourisme ! - Mais si ! Ma belle-mère saignait du nez, alors je lui ai mis un garrot autour du cou !
#Deux gars#qui ne se connaissent pas#et ils sont mis dans la même cellule. L'un dit :#- J'ai fait une escroquerie et j'ai pris 10 ans. Et toi ?#- Moi#j'ai fait du secourisme#et j'ai pris 20 ans !#- Mais si ! Ma belle-mère saignait du nez#alors je lui ai mis un garrot autour du cou !
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Guérir une blessure
Guérir une blessure 24/10/2024
…l’un d’eux frappa le serviteur du grand-prêtre et lui emporta l’oreille droite […] Jésus […] toucha l’oreille de cet homme et le guérit. Luc 22.50-51
Chandan Sen, chercheur américain à l’université de l’Ohio et de l’Indiana, a mis au point une nanopuce de silicium permettant de reprogrammer les blessures pour les guérir. Cette technique, la nanotransfection tissulaire, applique un champ électrique intense sur la peau, ce qui permet de délivrer des gènes aux cellules situées en dessous, les transformant en différents types de cellules.
Nul doute que, si cette technique prometteuse s’avère utilisable à grande échelle et sans risque, elle va remplacer les thérapies cellulaires compliquées et fastidieuses qui sont utilisées actuellement.
Le texte de la lecture proposée décrit un moment de tension extrême entre ceux qui viennent arrêter Jésus et ses disciples. Au point qu’un des apôtres saisit une épée et tranche l’oreille du serviteur du grand-prêtre. Jésus ne s’en réjouit pas et, au contraire, réprimande son disciple. Et il guérit instantanément le serviteur, sans nanopuce ni champ électrique !
Lors de cet incident, Jésus démontre une fois encore ce qui a été sa ligne de conduite tout au long de sa vie terrestre : faire du bien même à ses ennemis, et finalement mourir pour le salut des hommes.
Qui est pour vous cet homme, capable de bénir et de guérir même ceux qui vont l’amener au supplice ?
Jean-Louis Théron
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 22, versets 39 à 53.
39 Après être sorti, il alla, selon sa coutume, à la montagne des Oliviers. Ses disciples le suivirent.
40 Lorsqu'il fut arrivé dans ce lieu, il leur dit: Priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation.
41 Puis il s'éloigna d'eux à la distance d'environ un jet de pierre, et, s'étant mis à genoux, il pria,
42 disant: Père, si tu voulais éloigner de moi cette coupe! Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne.
43 Alors un ange lui apparut du ciel, pour le fortifier.
44 Étant en agonie, il priait plus instamment, et sa sueur devint comme des grumeaux de sang, qui tombaient à terre.
45 Après avoir prié, il se leva, et vint vers les disciples, qu'il trouva endormis de tristesse,
46 et il leur dit: Pourquoi dormez-vous? Levez-vous et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation.
47 Comme il parlait encore, voici, une foule arriva; et celui qui s'appelait Judas, l'un des douze, marchait devant elle. Il s'approcha de Jésus, pour le baiser.
48 Et Jésus lui dit: Judas, c'est par un baiser que tu livres le Fils de l'homme!
49 Ceux qui étaient avec Jésus, voyant ce qui allait arriver, dirent: Seigneur, frapperons-nous de l'épée?
50 Et l'un d'eux frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l'oreille droite.
51 Mais Jésus, prenant la parole, dit: Laissez, arrêtez! Et, ayant touché l'oreille de cet homme, il le guérit.
52 Jésus dit ensuite aux principaux sacrificateurs, aux chefs des gardes du temple, et aux anciens, qui étaient venus contre lui: Vous êtes venus, comme après un brigand, avec des épées et des bâtons.
53 J'étais tous les jours avec vous dans le temple, et vous n'avez pas mis la main sur moi. Mais c'est ici votre heure, et la puissance des ténèbres.
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"E. Sulkowsky a tenu un langage révolutionnaire," La Presse. May 31, 1933. Page 3 & 27. ---- C'est ce que déclare le préfet du pénitencier, le colonel P.-A. Piuze, au procès de six forçats-émeutiers. - "Je dois la vie à un hasard providentiel". ajoute-t-il. ---- "Si je suis vivant, aujourd'hui, je le dois certainement à un hasard providentiel," a affirmé le lieutenant-colonel P.-A. Piuze, ce matin, au proces conjoint de forçats Howard, Croteau, Lagacé, Pelletier, Gagnon et Sulkowsky, accusés d'avoir commis des dommages séditieux lors des émeutes de S.-Vincent-de-Paul, le 4 novembre dernier. Le préfet ajoute qu'il avait du frayer un chemin à travers 25 a 30 forçats, qui lui barraient la route aux ateliers en feu. L'accusé Sulkowsky l'a menace et incitait ses camarades à la révolte. Il lui ordonna de se taire et de se rendre à sa cellule, mais Sulkowsky renvoya "se promener" en l'insultant grossièrement.
"Lorsque je dirigeais Ies opérations, contre le préfet, Crossley, le forçat qui est a coupable d'avoir allumé l'incendie, m'a lancé deux morceaux de plomb, pesant chacun une livre, d'une hauteur de 50 pieds. L’un des projectiles frappa un autre forçat du nom de Legaré sur la tète. "Ce dernier me tomba inconscient, dans les bras," a dit le préfet. Les dommages exacts Le témoignage du colonel Piuze a donné lieu à maints débats légaux et objections de part et autre et le tribunal a du intervenir plusieurs fois. Le préfet a produit un état complet des dommages causa par incendie. Les dommages s'eleverent exactement a $71.419.43. A l'atelier de reliures, les dommages s’élevèrent exactement à $6,613.82; a l'atelier de coupe, a $8,638.77; a l'ateler de cordonnerie $7,668.34. Les dommages à l'edifice se sont élevés à $47,498.00.
Le préfet a ajouté qu'il avait 1125 forçats a pénitencier, le 4 novembre: 825 travaillaient à l'intérieur des murs et la balance a l'extérieur. "Nous avons mis 30 minutes à enfermer dans leur cellule les forçats a l'intérieur et 40 minutes, ceux à l’extérieur," a-t-il expliqué.
Le colonel Piuze a aussi déclaré que Crossley agitait un drapeau rouge et que Sulkowsky a tenu un langage révolutionnaire durant l'incident. "Il n'a pas a un instant d'inciter ses camarades à continuer leur travail destructeur et à empêcher les gardes d'eteindre l'incendie", a-t-il insisté.
Le chef-instructeur Alphonse Provost, des travaux en construction a ensuite été appelé mais dès Ies débuts de son témoignage, le tribunal a décidé qu'il était inutile de l’entendre.
Les accusés incriminés Trois forçats, Charles-A. Naud, Grimaldo Conlangelo et J-B. Goulet ont ensuite rendu témoignage. Tous trois, iIs ont incriminé soit l'un ou l'autre des six accusés. Leur témoignage a surtout porté sur Crossley, Lagacé, et Sulkoly, quoiqu'ils aient mentionné également Croteau, Pelleter et Howard. Ces derniers auraient coupé les boyaux à incendie. L'un des témoins, Naud, a admis cependant qu'il vit Aubé descendre l'escalier en compagnie de Pelletier. "J'ai conclu alors que Petelier devait l'aider car il était à demi-conscient. Cependant, je ne l'ai pas vu l'aider. Ils descendaient côte a côte, simplement," a-t-il dit. Les boyaux ont été coupés C'est ce qu'a affirme hier après-midi, M. J.-C.-A. Bélanger, ingénieur-en-chef du pénitencier, a déclaré qu'environ 600 pieds de boyaux ont été coupés, au cours de l'incendie, pars des forçats. Il a déclaré qu'environ 600 pieds de boyaux ont été coupes, au cours de l'incendie, par des forçats. Il a ajoute avoir vu lui-même Charles Howard, l'un accuses, couper deux ou trois longueurs de boyaux. Les boyaux avaient été montés aux ateliers, su troisième étage de l’édifice en feu, par l'escalier réservé aux détenue.
M. Bélanger a également incriminé Emile Sulkowsky, un autre s'accusé. Il a assuré qu'il avait entendu Sulkowsky inciter ses compagnons à se révolter. "Tenons-nous ensemble, aurait-il dit. Montrons aux officiers et au préfet que nous en avons assez des mauvais traitements. C'est la seule occasion que nous aurons de protester. Tenons-nous ensemble et nous allons finir ce que nous avons commencé. On sera bien obligé de nous entendre alors".
M. Bélanger a déclaré qu'il n'avait pas eu le temps de remarquer les prisonniers, qui entouraient Sulkowsky. "Cependant, j'ai pris le nom et le numéro matricule du forçat, qui incitait ainsi ses compagnons à la révolte", a dit le témoin.
M. Bélanger a ajouté qu'il avit vu Howard avec un couteau ou une paire de ciseaux à la main. Il est po- sitif de l'avoir vu se servir de l'instrument sur les boyaux. "D'ailleurs, a-t-il ajouté, il a été impossible d'obtenir une pression quelconque. Nous étions supposés avoir entre 40 et 50 livres de pression, ce qui nous aurait donné un jet d'au moins 75 pieds. Nous avons eu un jet de 15 pieds pour environ 2 minutes, puis rien. Nous avons changé plusieurs longueurs mais chaque fois, la même chose s'est répétée. J'ai examiné les boyaux, qui étalent neufs, après l'incendie, et j'ai constaté qu'ils avaient été sabotés".
"L'Incendie aurait pu être éteint..." Le tribunal - M. Bélanger, l'incendie aurait-il pu être éteint si on n'avait pas ainsi coupé les boyaux?
Le témoin - L'incendie aurait pu être éteint.
La Couronne - Pouvez-vous nous dire avec quoi l'on a allumé cet incendle?
Le témoin - Non, mais les deux sacs de retailles, qui étalent en feu et que j'al ramassés en allant, chercher l'équipe des boyaux, sentaient fortement la gazoline.
M. Bélanger a déclaré qu'il avait vu plusieurs forçats allumant divers foyers d'incendie, "mais, a-t-il expliqué, j'étais trop occupé à l'enrayer pour avoir le temps de prendre leurs numéros respectifs ou leurs noms."
Il a déclaré que le garde Jeannette avait fait monter les boyaux par son équipe, comprenant quatre forçats. "Il ne savait pas dans le temps qu'i ly avait une émeute, a-t-il dit. Mais, j'ai ordonné à ces hommes de des-cendre immédiatement dans la cour."
M. Bélanger a déclaré que l'accusé Howard se tenait sur le palier de l'escalier, près de la porte conduisant à l'escalier. Il a déclaré que l'étage qui a brûlé n'a pas été remplacé. "Nous avons fait un toit et l'édifice n'a plus que deux étages maintenant", a-t-il expliqué. L'édifice mesure environ 135 pieds de longueur par 65 de largeur. Il est haut d'environ 60 pieds.
Crossley répandait le feu. Le garde Joseph Joannette, en charge de la section des égouts et divers autres travaux, au pénitencier, a affirmé qu'il avait vu Crossley semer le feu à divers endroits dans les ateliers, au moyen d'une torche. Il a raconté qu'il avait transporté le garde Aubé, qui avait été assommé, hors de l'édifice en flammes. Il tenta, en premier lieu, d'éteindre le feu avec un extincteur chimique. Il réussit à un endroit mais aussitôt le feu se propageait dans un autre coin. Il alla alors chercher ses boyaux. et mit ses hommes au travail. Pelle- tier (Wilfrid), un autre accusé, lui tomba soudainement dans les bras. "Il avait été frappé par deux forçats de mon équipe, a-t-il assuré, probablement parce qu'il voulait ou venait de couper l'un des boyaux".
La défense- L'avez-vous vu faire, vous-même?
Le témoin - Non.
M. Joannette a déclaré qu'il remarqua la présence de Sulkowsky, Howard et Pelletier, à plusieurs reprises dans l'escalier, malgré l'ordre qu'ils avaient eu d'évacuer les lieux. Lui-même, il entendit Sulkowsky blasphémer contre les autorités du pénitencier et affirmer "qu’il ferait une bonne "job" si le préfet se présentait sur les lieux."
M. Joannette a ensuite ajouté qu' prit part au sauvetage de cinq forçats et de deux gardes qui avaient eu le chemin coupé par les flammes. Il fit monter des échelles et scia lui-même les barreaux d'une fenêtre. Tous s'échappèrent ainsi. Il tenta également d'éteindre le foyer en lançant les jets d'eau par les fenêtres. "Il était impossible d'essayer par l’escalier, car on nous coupait nos boyaux", a-t-il expliqué.
M. Joannette a ensuite identifie positivement Pelletier, Howard et Sulkowswky, dans la boite aux accusés. Il a déclaré que pour sa part, il avait constaté que 7 longueurs de boyaux, soit 350 pieds, avaient été crevées à coups de couteaux ou de ciseaux.
Le garde Louis Forest a également témoigné. Il a vu nombre de forçats participer à l'émeute et en a remarqué trois particulièrement: Jules Lagacé, Georges Gagnon et Alphonse Croteau.
Le tribunal - Sont-ils ici, en Cour? Le témoin - Oui. Le tribunal - Identifiez-les. Le témoin se rend à la boite des accusés mais pointe les accusés Pelletier, Howard et Sulkowsky. Informé de son erreur, il n'a pas moins insisté qu'il était sûr que Lagacé, Gagnon et Croteau avaient participé à l'émeute et qu'il les avait remarqués tout particulièrement.
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L’échec du succès - ( III ) : le grand dégoût…
Une des évolutions les plus regrettables de notre époque est, à n'en pas douter, le phagocytage de la fonction “Politique” par une sous fonction, dite “Administrative” qui, les politiques eux-mêmes étant devenus des administrateurs, nous a fait perdre ce qui est important au profit (?) de ce qui ne compte pas. Nous payons au prix fort cette négligence, particulièrement en France, l'un des pays les plus sur-administrés du monde… ce qui suffit à expliquer la presque totalité des maux, des révoltes, du décalage avec d'autres pays et notre ras-le-bol : nous avons troqué une culture de la vie contre une anti-culture de mort… dont le Progrès est mort. Quant à nous…
Un exemple tout simple, pour illustrer ce propos : par un heureux hasard (qui est par ailleurs tout, sauf “heureux”), c'est au moment où j'écrivais ce billet qu'a été rendu public le rapport de 13 experts indépendants qui ont été missionnés par l’OMS (Indépendant Panel for Pandemic Preparedness and Response) sur la gestion mondiale du Covid. On y découvre (ou on vérifie !) que la pandémie "aurait pu être évitée", tant les "hésitations et dénis" des gouvernements ont favorisé la propagation mondiale du virus (ce qui ne surprendra pas les lecteurs de ce Blog !). Sans désigner de coupables pour autant, les experts rapportent "une myriade d’échecs, de lacunes et de retards" qui – pour cette raison – font de la crise du Covid ’’le Tchernobyl du XXIe siècle" (NB : 3 millions de morts côté covid, disent-ils, contre 4000 pour la catastrophe ukrainienne. Mais il faut être contre l'atome, pour garder son job !). Moralité : le poids des structures sociales devient intolérable.
La première question qui se pose peut paraître simple : pourquoi avons nous besoin d'une chose aussi inutile, aussi coûteuse et aussi liberticide qu’une administration ? La réponse se trouve dans la trop oubliée “théorie des systèmes” qui a été formalisée en 1968 par Ludwig von Bertalanffy, et dont les principaux théorèmes s'inspirent des lois de la thermodynamique. Cette “théorie” part du principe que la fonction première d'un système est sa propre conservation. Or nos sociétés sont des entassements de systèmes complexes, de la Constitution des Etats jusqu'aux ministères et aux grandes administrations : peut-on concevoir des systèmes plus complexes que notre Sécurité sociale, que notre assurance chômage, que la fiscalité “à la française”, tous ces monstres budgétivores, sans tête mais… qui n’ont plus la moindre bonne réponse face aux défis du monde ?
Chacun des sous-ensembles flous que sont nos “Services publics” est un système complexe. En conséquence de quoi, par définition, sa fonction principale, avant tout “service rendu”, est d'abord et avant tout d'assurer son propre (mais l’est-il ?) fonctionnement et sa propre conservation.… ce qui donne une explication aux raisons de notre soumission permanente à des forces aveugles qui nous dépassent. Et chacun regorge d'exemples de “structures’’ (?) inutiles et indéfendables dont la seule utilité est de survivre, mais qui refusent de mourir !
Reprenons l'exemple (déjà cité plus haut) du rapport de l’OMS qui vient de confirmer dans l’indifférence générale que la contamination par le virus du Sars-Cov-2 (covid) ne se fait pas selon les critères définis par les politiques sanitaires qui ont été les seules retenues depuis le début de la pandémie. Eh ! bien, malgré l’accumulation de preuves, les différentes autorités et comités scientifiques et politiques refusent catégoriquement de se rendre à la réalité et de modifier leurs discours. Le Léviathan court sur son erre, imperturbable, contre vents et marées… mais contre toute intelligence et contre tout espoir)
Mais là où ça se corse, c'est que la seconde loi de la théorie des systèmes dit que “pour contrôler un système complexe, il faut un système plus complexe que lui”. Ça pouvait marcher, et même avec une certaine harmonie, tant que les “artefacts” complexes qui existaient pouvaient être dirigés par ce formidable système hyper-complexe qu'est un cerveau humain (qui est sans doute la plus belle machinerie individuelle qui puisse exister, avec ses 100 milliards de neurones, trois fois plus de cellules gliales et 20 000 fois plus de synapses ! Il faut absolument féliciter le bon Dieu d'avoir réussi à contrôler tout ça tout seul… et en tirer les conséquences qui s'imposent !). Mais si on se met à relier les ordinateurs en séries, en cascades, en réseaux ou en hiérarchies… l'homme ne peut que devenir lui-même un sous-système de ces ensembles devenus plus complexes que celui qui les a fabriqués. Et nos “systèmes hyper-hyper-complexes” deviennent des machins autonomes, débridés et fous, en route pour écrabouiller leur créateur. (NDLR - Dans le fond, n'est-ce pas ce que nous avons voulu faire avec notre “Créateur” à nous, ce Dieu que nous traitons si mal ?). Ils éclatent… “explose-nentiellement”, si on me permet, et là, tout s'éclaire : l'Homme ne peut plus du tout contrôler les outils, soi-disant à son service, qu'il avait mis en œuvre… pour son bien-être (sic !). Allez vous étonner qu'il ne se sente pas plus épanoui qu'il ne l'est !
Pour se défendre, les systèmes les plus complexes n'ont qu'une seule stratégie : fabriquer des systèmes encore plus complexes que les systèmes complexes précédents, exactement comme l'Homme a “dû” construire des systèmes plus complexes que lui-même. Cette course folle est sans limites théoriques connues : pour simplement se maintenir en vie, et avant-même le premier service rendu, répétons-le, toute administration doit impérativement consommer une partie de plus en plus importante des ressources totales dont elle dispose pour sa simple (?) survie à elle. N'allez pas chercher ailleurs la terreur de nos gouvernants devant la moindre évocation d'une diminution des dépenses –pourtant insupportables– de tout ce qui touche à la “Ponction publique ” (mon jeu de mots favori trouve ici sa justification). Et non seulement nous n'avons plus aucune échappatoire (c'est une loi physique), mais le moment est proche où la simple conservation des systèmes existants aura besoin de plus que toutes les richesses et l’énergie qui peuvent être fournies… mais sans plus rien pouvoir produire, en retour !
Le “paradigme” sur lequel repose tout notre système économique (qui est un mélange de progrès infini et de croissance au delà du possible, rendus obligatoires l'un par l'autre…) a dépassé le stade où il est encore viable. Le savoir-ne-pas-faire de tout le personnel politique se résume à faire feu de tout bois pour faire marcher ce qui a dépassé toutes les limites de bon fonctionnement raisonnable. C'est sans espoir : il faudrait d'abord faire table rase des “systèmes” responsables de leur impuissance, et ça… les hauts fonctionnaires qui ont trusté les postes de commandement n'ont pas été programmés pour tuer ce qui les a propulsés là où ils sont. C'est donc exclusivement “ailleurs” que peut se trouver la solution : par exemple, dans l'émergence d'un nouveau paradigme… dont il n'est pas possible de savoir dans quel sens il ira. On avait bien quelques hypothèses de travail, mais le satané covid et l'accélération de l'histoire qui l'accompagne ont brouillé toutes les cartes. Nous sommes devant un point d'interrogation absolu…
Et comme “on ne sort de l'ambiguïté qu'à son détriment”, nous avons donc du pain sur la planche, pour imaginer les “lendemains” qui peuvent venir nos défier à tout instant. Mais n'oublions pas la leçon de l'Histoire : comme tout enfantement, un changement de paradigme se fait toujours dans la violence (plus ou moins grande) et dans la douleur, et on ne connaît pas d'exemple où cela se soit passé comme une lettre à la poste. On ne va sans doute pas s'amuser tous les jours… Et l'échec –hélas en cours, mais déjà visible– de ce qui fut un succès, jusqu'à ce que de mauvaises idées détruisent tout, est devant nous. Rien n'est jamais acquis.
H-Cl
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Quatre endroits où des brouilleurs de téléphone portable sont nécessaires
Quatre endroits où les brouilleurs téléphone sont nécessaires Théâtres
J'ai manqué quelques appels téléphoniques dans des cinémas ces dernières années. Au milieu d'un film, non seulement les téléphones des gens s'éteignaient, mais l'idiot en question a répondu et a ensuite parlé à un volume normal, comme si c'était parfaitement bien et non un meurtre légitime. (Dans l'un de ces films - The Terrible Land of the Lost, alors peut-être que j'aurais dû être reconnaissant pour la distraction - je me suis en fait levé et j'ai dit à l'agresseur: «Vous vous moquez de moi?» Le public a applaudi, mais je n'ai rien pu obtenir à ce sujet Entends du sang de haine dans mes oreilles.)
Les amateurs de concerts, les amateurs de Broadway, les cinéphiles et bien d'autres n'ont pas à s'inquiéter de cette grossièreté lorsque des brouilleurs sont utilisés dans les théâtres, ce qui déclenche à la seconde où la lumière s'estompe. Bien sûr, il y a toujours des urgences ou des médecins de garde ou des parents qui doivent être sûrs que la baby-sitter peut les joindre, etc. Mais ces personnes devraient trouver un autre moyen de passer la nuit.
Restaurants Le panneau doit indiquer: Non, pas de chaussures, d'appels téléphoniques, PAS de service. Les clients qui ne prennent pas la peine de passer une commande sur un serveur parce qu'ils sont au téléphone devraient recevoir un pourboire de 35%. Mieux encore, le brouilleur du bistro devrait éteindre ce soi-disant client - si l'appel est si important, ils peuvent sortir.
Le lieu de travail Il ne fait aucun doute que dans la plupart des bureaux, le courrier électronique et Internet sont une nécessité absolue. Mais sont les téléphones portables? Dans un sondage réalisé par Pew Research, seulement 24 pour cent des adultes à temps plein ou à temps partiel ont déclaré qu'une cellule ou un smartphone était «très important» pour faire leur travail. Dans d'autres études, 50% des patrons pensent qu'un téléphone mobile a un impact négatif sur la productivité sur le lieu de travail. Il y a de nombreux endroits où il est activement dangereux d'utiliser un téléphone portable - mais les appareils vont probablement se faufiler dans les entrepôts ou les chaînes de montage tout le temps. Si les employeurs interfèrent avec les signaux mais peuvent autoriser les appels d'urgence, pas de mal, pas de faute.
À la maison Les parents sont libres d'essayer les logiciels de contrôle parental et de surveillance, mais une fois qu'un enfant (ou même son conjoint ou ses grands-parents) a la liberté du téléphone intelligent avec un plan de données, il est chanceux qu'ils soient obligés de parler lors d'un dîner en famille. .
Malheur ennuyeux Tout comme les parents ont la possibilité et le droit de désactiver le brouilleurs WiFi à la maison, ils devraient avoir la possibilité de couper le signal du téléphone portable s'ils le souhaitent. Prendre les téléphones portables hors de la main pour les mettre en mode avion ne fonctionnera probablement pas, et transformer la maison en cage de Faraday est un extrême que seule la foule de chapeaux en aluminium devrait essayer. Un brouilleur radio cellulaire interne doit cependant toujours être mis en question si cela est souhaité ou nécessaire. (Tenez simplement les gens du téléphone fixe.)
Tous ces exemples sont basés sur d'autres lignes disponibles pour les urgences, ou du moins sur le fait que quelqu'un s'attend à une mobilité suffisante pour sortir de la portée du brouilleur. À l'heure actuelle, il est impossible que même ceux qui ont les meilleures intentions puissent profiter de la technologie limitée disponible pour que les services au-delà de la portée de leur salle de classe, de leur théâtre, de leur bureau ou de leur domicile ne soient malheureusement pas perturbés.
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Guerre psychologique
Guerre psychologique, usine à peur, ingénierie sociale, domination technocratique... Le grand Plan pour le contrôle et la manipulation des masses Les gouvernements utilisent la peur pour contrôler et manipuler leurs citoyens. C'est ce que viennent d'admettre les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B), un sous-comité qui, au Royaume-Uni, conseille le Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE). Ils sont bien placés pour le savoir, car ils ont plaidé en faveur de ce projet et déclarent aujourd'hui que c'était une regrettable erreur. Tactiques de peur.
Comme le rapporte The Telegraph, le 14 mai 2021 : Les scientifiques membres d'un comité qui a encouragé le recours à la peur dans le but de contrôler le comportement des populations pendant la pandémie de Covid ont admis que leur travail était « contraire à l'éthique » et « totalitaire ». Dans un nouveau livre sur le rôle de la psychologie dans la réponse au Covid-19 du gouvernement, les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B) ont regretté l'usage de ces tactiques . Le SPI-B a averti en mars de l'année dernière que les ministres devaient augmenter « le niveau perçu de menace personnelle » représenté par le Covid-19 étant donné qu'« un nombre important de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement ». Gavin Morgan, un psychologue de l'équipe, a déclaré : « Il est clair que le recours à la peur comme moyen de contrôle n'est pas éthique. Cette pratique est empreinte de totalitarisme. Une telle position au sein d'un gouvernement moderne n'est en rien éthique. Bien que je sois une personne de nature optimiste, tout ceci fait que j'ai aujourd'hui une vision plus pessimiste des gens. » La guerre psychologique est réelle The Telegraph cite plusieurs membres du SPI-B, qui sont tous également cités dans le livre récemment publié, A State of Fear : How the UK Government Weaponised Fear During the Covid-19 Pandemic, écrit par Laura Dodsworth : Un scientifique du SPI-B a déclaré à Laura Dodsworth : « En mars , le gouvernement pensait que les gens ne voudraient pas être confinés et était très préoccupé par leur soumission . Des discussions sur le degré de peur nécessaire pour encourager cette même soumission ont eu lieu, et des décisions ont été prises sur la façon d'accroître cette peur. La façon dont nous avons utilisé la peur est dystopique. L'utilisation de la peur a été sans aucun doute discutable d'un point de vue éthique. C'était comme une expérience bizarre. En fin de compte, cela s'est retourné contre nous parce que les gens ont eu trop peur » L'un d'entre eux a mis en garde contre le fait que: « les gens utilisent la pandémie pour s'emparer du pouvoir et imposer des mesures qui n'auraient pas été adoptées en temps normal . Nous devons faire très attention à l'autoritarisme qui gagne du terrain Un autre membre du SPI-B a déclaré qu'il avait été pendant la pandémie « stupéfait par la militarisation de la psychologie comportementale les psychologues n'ont pas semblé remarquer le moment où ils ont cessé d'être altruistes pour devenir manipulateurs. Ils ont trop de pouvoir et cela les enivre. » Steve Baker, vice-président du groupe des députés conservateurs Covid Recovery, a déclaré : « S'il est vrai que l'État a pris la décision de terrifier le public pour obtenir le respect des mesures prises, cela soulève des questions extrêmement sérieuses sur le type de société que nous voulons voir émerger. Si nous voulons vraiment être honnêtes, est-ce que je crains que la politique du gouvernement d'aujourd'hui ne joue avec les racines du totalitarisme ? Oui, bien sûr, c'est le cas. » La fabrique de la peur Pendant près d'un an et demi, les gouvernements du monde entier — à quelques exceptions près — ont continuellement nourri leurs citoyens d'un régime à base d'informations effrayantes. Pendant des mois, il était impossible d'allumer la télévision sans être confronté à l'affichage d'un bandeau détaillant le nombre d'hospitalisations et de décès. Même lorsqu'il s'est avéré que les gens ne mouraient pas vraiment en nombre excessif, les médias grand public nous ont abreuvés de mises à jour continues sur le nombre croissant de « cas », sans jamais remettre ces chiffres dans leur contexte ou expliquer que la grande majorité d'entre eux n'étaient que des faux positifs. « les gens n'aiment pas se faire embobiner et ils ne veulent pas vivre dans une atmosphère de peur. Lorsque quelque chose ne va pas, nous devrions peut-être faire preuve d'un peu plus d'audace pour réagir plus rapidement. » ~ Laura Dodsworth Les informations qui auraient permis de contrebalancer les mauvaises nouvelles — comme les taux de guérison et le nombre de soi-disant « cas » qui n'en étaient pas, car ils n'ont jamais présenté le moindre symptôme — ont été censurées et supprimées. Ils ont également refusé de replacer les données dans leur contexte, par exemple en examinant si le nombre de décès différait réellement de manière significative par rapport aux années précédentes. En lieu et place, chaque nouveau cas a été traité comme une urgence et le signe d'un désastre imminent. Ne soyez pas déconcerté — La contradiction est une tactique guerrière Outre le déluge de données contenant uniquement des mauvaises nouvelles — qui, soit dit en passant, ont été manipulées à outrance et de diverses manières — la peur et l'anxiété vous maintiennent aussi dans un état de confusion. Selon Laura Dodsworth, recourir à des recommandations contradictoires et à des instructions vagues vise, de manière intentionnelle, à vous maintenir dans un état de vulnérabilité psychologique. Dans une interview du 20 mai 2021 dans le podcast « Planet Normal », elle déclare : « Lorsque vous créez un état de confusion, les gens deviennent de plus en plus dépendants aux messages. Au lieu de se sentir en confiance pour prendre des décisions, ils finissent par attendre les instructions du gouvernement. » Un exemple fourni par Laura Dodsworth sont les mesures de pandémie mises en œuvre à Noël 2020 : « Les Noëls en famille étaient permis, puis interdits, puis à nouveau permis, puis à nouveau interdits. Quelqu'un serre la vis, puis la desserre, puis la serre à nouveau. Comme dans un scénario de torture. » Note du traducteur : Il s'agit véritablement d'un scénario de torture : Manipulation de masse et torture psychologique avec Jean-Jacques Crèvecoeur « Pandémie » mondiale et opération « Dark Winter » — Un scénario écrit de longue date ? Mais ce n'est pas tout. Comme l'explique le psychiatre Peter Breggin, en ajoutant la confusion et l'incertitude à la peur, il est possible de plonger un individu dans un état tel qu'il ne peut plus penser rationnellement. Une fois conduit dans ce mode de pensée illogique, il est facile de le manipuler. Je ne doute pas que l'objectif principal de la plupart des informations contradictoires que nous recevons consiste à placer les gens dans un état où la logique et la raison ne fonctionnent plus. L'usine de la peur Dans son livre, Laura Dodsworth détaille les méthodes de guerre psychologique utilisées par un certain nombre de structures gouvernementales britanniques dans leur interaction avec le public. En plus du SPI-B, il y a L'équipe de la BVA Nudge Unit, un organisme gouvernemental semi-indépendant qui applique « les connaissances comportementales pour informer les politiques, améliorer les services publics et obtenir des résultats positifs pour les personnes et les communautés ». Cette équipe conseille également les nations étrangères . L'Unité de recherche, d'information et de communication (RICU) du Bureau de l'Intérieur, une composante de l'Office for Security and Counter-Terrorism du Royaume-Uni qui conseille des groupes fantoches déguisés en organisations publiques « populaires » sur la manière de « manipuler secrètement les pensées des gens ». L'Unité de Réponse rapide, lancée en 2018, qui opère à travers le Bureau du Cabinet britannique et le bureau du Premier ministre (familièrement appelé « Number 10 » comme dans l'adresse physique, 10 Downing Street à Londres) pour « contrer les mauvaises informations et la désinformation ». L'Unité travaille également pendant les crises avec l'Équipe de communication de la Sécurité nationale pour s'assurer que les « informations officielles » bénéficient d'une visibilité maximale. La Cellule de lutte contre la Désinformation, un service du ministère du Numérique, de la Culture, des Médias et des Sports, qui à eux deux surveillent les médias sociaux et combattent les « fake news » portant sur la science en général et le Covid-19 en particulier, les « fake news » étant tout ce qui contredit les directives de l'Organisation mondiale de la santé. Le Quartier général des communications du Gouvernement (QCHQ), une organisation de renseignement et de sécurité qui fournit des informations au gouvernement et aux forces armées du Royaume-Uni. Selon Laura Dodsworth, le personnel du QCHQ, et même des membres de la 77e brigade, ont été recrutés en tant que « sockpuppets » et « trolls » pour combattre les messages anti-vaccins et anti-confinement sur les médias sociaux. Selon Laura Dodsworth, ces structures seraient bien plus nombreuses. Dans son livre, elle affirme qu'il existe au Royaume-Uni au moins 10 ministères différents qui collaborent avec des « équipes spécialistes de la psychologie comportementale » pour manipuler le public. Nous ne voyons qu'aujourd'hui ce qui existait déjà avant Il est important de noter que le recours gouvernemental à la psychologie comportementale ne constitue pas un phénomène nouveau qui serait apparu lors de la pandémie. Depuis des années, et pour une myriade d'objectifs de relations publiques, ces tactiques sont utilisées et quand bien même la pandémie soit en train de se résorber, Laura Dodsworth souligne le nombre croissant d'embauches de spécialistes de la psychologie comportementale. « ne cesse de croître encore et encore. En ce moment, j'ai l'impression que nous sommes dans un maelström d'exhortations. Par le passé, des appels ont été lancés pour consulter le public sur l'utilisation de la psychologie comportementale, et ces appels provenaient des spécialistes du comportement eux-mêmes. Et pourtant, cela ne s'est pas produit. Nous n'avons pas encore été consultés sur l'utilisation de techniques subconscientes qui nous privent effectivement de nos choix J'espère sincèrement que ce livre va inspirer une conversation indispensable sur l'utilisation de la peur, non seulement dans le cadre de l'épidémie, mais également dans la manière dont nous utilisons la psychologie comportementale en général. C'est pire que si nous avions juste délivré le génie de sa lampe. C'est comme si nous avions libéré une Hydre et que peu importe le nombre de fois où on lui coupe la tête, les différents départements du gouvernement continuent à employer davantage de ces scientifiques comportementaux. C'est en grande partie ainsi que le gouvernement fait désormais des affaires. C'est le business de la peur Je pense qu'en fin de compte, les gens n'aiment pas se faire embobiner et ils ne veulent pas vivre dans une atmosphère de peur. Lorsque quelque chose ne va pas, nous devrions peut-être faire preuve d'un peu plus d'audace pour réagir plus rapidement. » La peur est contagieuse La peur est depuis longtemps l'outil des tyrans. Elle est profondément efficace, en partie parce qu'elle se propage d'une personne à l'autre, comme un virus. La contagion de la peur est le sujet de la vidéo de Nova intitulée « Gross Science » ci-dessous, diffusée initialement à la mi-février 2017. Chez les animaux, les réactions de détresse émotionnelle sont transmises par des phéromones émises par diverses sécrétions corporelles telles que la sueur et la salive. Comme l'explique la vidéo, lorsqu'ils rencontrent ce qui est perçu comme une menace sérieuse, les animaux dotés de fortes structures sociales, comme les abeilles et les fourmis, libèrent une phéromone d'alarme. Cette odeur attire les autres membres de la ruche ou de la colonie pour les inciter à attaquer la menace de manière collective. Les êtres humains semblent posséder une capacité très similaire. Lorsqu'ils sont effrayés ou stressés, ils produisent des signaux chimiques et, même si vous ne reconnaissez pas consciemment l'odeur de la peur ou du stress, elle peut avoir un impact inconscient et vous amener à éprouver vous aussi de la peur ou du stress. Les êtres humains ont également tendance à imiter les sentiments de ceux qui les entourent, et — pour le meilleur ou pour le pire — ce phénomène constitue un mécanisme supplémentaire par lequel une émotion peut dans une communauté ou une nation entière se répandre comme une traînée de poudre. Les psychologues comportementaux le désignent par le terme de « contagion émotionnelle », et il se manifeste aussi bien pour les émotions positives que négatives. Par exemple, lorsque vous rencontrez quelqu'un qui vous salue en souriant, vous êtes susceptible de lui sourire en retour, en imitant son expression faciale et son comportement. Si quelqu'un vous jette un regard noir, vous pourriez bien vous aussi éprouver une colère soudaine, même si vous n'étiez pas en colère déjà avant et que vous n'avez aucune raison subjective de l'être, si ce n'est que cette personne ne vous a pas regardé de manière « bienveillante ». Cependant, si les émotions positives et négatives sont contagieuses, certaines se propagent plus rapidement et plus facilement que d'autres. Les recherches citées dans le rapport Nova ont révélé que les émotions qui contiennent un « niveau élevé d'activation » — telles que l'émerveillement (émotion positive fortement active), la colère ou l'anxiété (émotions négatives fortement actives) — sont plus « virales » que les émotions à plus faible niveau d'activation, telles que le bonheur ou la tristesse. Le rapport Nova souligne également que les chercheurs ont exploité les données de Twitter et d'autres médias sociaux pour mieux comprendre comment les émotions se propagent et quels sont les types de messages dont la propagation est la plus rapide. Cependant, ils ont ignoré les principaux coupables, Google et Facebook qui tous deux volent vos données privées et les utilisent pour manipuler votre comportement. À l'époque, en 2017, ils ont déclaré que ces informations étaient récoltées et utilisées pour développer des moyens d'éviter les messages publics qui pourraient inciter à la panique de masse. Mais la pandémie de Covid-19 suggère tout le contraire. De toute évidence, les experts en comportement ont été occupés à développer des moyens de générer un maximum de peur, d'anxiété et de panique. Comment s'immuniser contre la contagion négative ? À la fin du rapport, Nova cite des recherches détaillant trois moyens efficaces de se « vacciner » contre les contagions émotionnelles négatives. Distanciez-vous de la source de la contagion négative — Dans le cas de l'épidémie de peur mise en œuvre de manière globale, cela peut impliquer de ne pas lire ou écouter les médias mainstream qui, depuis un an, se sont montrés incapables de faire preuve de pondération . Projetez vos propres émotions positives sur la source de la contagion négative — Si vous parlez à quelqu'un qui a peur, il pourrait finir par « attraper » votre optimisme plutôt que l'inverse. Exprimez-vous — Si quelqu'un répand involontairement des « ondes négatives », le fait de lui expliquer ce qu'il est en train de faire peut l'aider à comprendre les implications de son comportement — toutefois, cela ne fonctionnera pas si la source répand sciemment et à dessein la peur ou l'anxiété. La pandémie de panique Dans un récent tweet, Ivor Cummins, un ingénieur biochimiste qui étudie les causes profondes des maladies chroniques, a partagé une courte vidéo qui décrit en détail la cause profonde de l'actuelle pandémie de panique. Pourquoi le monde entier semble-t-il devenir fou de peur ? Selon Ivor Cummins, le niveau démesuré de la peur publique est le résultat d'un système de boucle de rétroaction catastrophique dans lequel les figures politiques et les médias mainstream véhiculent la peur auprès du public, les craintes du public alimentent ensuite les médias mainstream — la peur fait vendre — ce qui incite les figures politiques à prendre des mesures, ce qui génère d'autres messages de peur. Et ainsi de suite, la boucle est bouclée. Néanmoins, il arrive un moment où ce moteur de la peur commence à s'essouffler. Afin de faire perdurer le pandémonium de la pandémie, on a fait appel à des universitaires porteurs de prédictions apocalyptiques dont le rôle est d'effrayer les politiciens et de fournir aux médias toujours plus de tambouille pour alimenter la peur. Ces universitaires sont soutenus en coulisses dans leur mission — voire encouragés ouvertement — par des organisations non élues et non démocratiques telles que l'Organisation mondiale de la santé, le Forum économique mondial, les Nations unies, le Fonds monétaire international, la Fondation Bill & Melinda Gates et Big Pharma (pour n'en citer que quelques-unes), qui toutes soutiennent ces prophéties d'apocalypse. Toutes les organisations mentionnées par Cummins font partie d'une élite technocratique et non élue qui prend des décisions pour le monde entier. Si nous pouvions d'une manière ou d'une autre désactiver ce moteur secondaire qui alimente le premier, la folie mondiale commencerait probablement à diminuer. La question étant de savoir si cela peut être fait. Robert F. Kennedy Jr. a comparé notre situation actuelle à « une bataille apocalyptique », car nous sommes confrontés à de formidables forces antidémocratiques disposant de ressources financières apparemment illimitées, d'une influence politique et d'une capacité à contrôler le contenu des communications mondiales. Nous sommes confrontés à un programme globaliste dont le but ultime est d'obtenir un contrôle total en supprimant les Droits de l'homme et les droits des pays, et pour justifier tout cela, ils ont recours à la « biosécurité ». Mise en lumière du grand Plan Comme l'explique le journaliste James Corbett dans son « Corbett Report » du 16 octobre 2020, la Grande réinitialisation est un nouveau « contrat social » qui lie chaque personne au moyen d'un identifiant électronique lié à son compte bancaire et à ses dossiers médicaux, et d'un identifiant de crédit social qui finira par dicter toutes les facettes de votre vie. Il s'agit de se débarrasser du capitalisme et de la libre entreprise, et de les remplacer par le « développement durable » et le « capitalisme participatif », des termes qui démentent leurs intentions néfastes et anti-humaines. Comme indiqué dans le livre Technocracy : The Hard Road to World Order : « Le développement durable est une technocratie Le mouvement du développement durable a pris des mesures minutieuses pour dissimuler sa véritable identité, sa stratégie et son objectif, mais une fois le voile levé, le voir comme avant ne sera plus possible. Une fois sa stratégie démasquée, tous les éléments commencent à s'emboîter. Read the full article
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Livres : Naturopathie, le guide complet au quotidien
Ma bible de la naturopathie Éditions Leduc.s. 2017 Utiliser toute la puissance de la nature pour prévenir et soigner La naturopathie ne se contente pas de soigner quand la pathologie se fait sentir. Elle agit sur le capital santé pour le protéger, le renforcer et le faire durer. Ses armes … Lire plus…Livres : Naturopathie, le guide complet au quotidien Ma bible de la naturopathie Éditions Leduc.s. 2017 Utiliser toute la puissance de la nature pour prévenir et soigner La naturopathie ne se contente pas de soigner quand la pathologie se fait sentir. Elle agit sur le capital santé pour le protéger, le renforcer et le faire durer. Ses armes ? Une alimentation raisonnée, des techniques de relaxation, des plantes aux vertus reconnues, le massage, le yoga, la sophrologie, la méditation, la science des huiles essentielles, l'iridologie ou encore le magnétisme. Basée sur le principe que le corps humain a une capacité innée à l'autoguérison, elle s'adresse à tous, enfants, adolescents, adultes, personnes âgées. Dans cette bible - Que peut-on attendre d'un naturopathe ? 15 questions-réponses pour tout savoir. - Les principes fondateurs de la naturopathie, les règles élémentaires d'hygiène de vie. - Les techniques de soin du naturopathe : bromatologie (diététique, nutrition, diète, jeûne), phytothérapie, hydrologie (bains et douches froids, chauds), relaxation, magnétisme... - Le bilan de santé : examen de l'iris, prise de pouls, examen postural et morphologique, bilan énergétique, etc. - Acné, aérophagie, allergies, ballonnements, candidose... - 110 maladies et les meilleures stratégies naturopathiques à adopter. Le guide de référence pour les malades qui veulent retrouver la santé et les bien portants qui veulent le rester. Le Petit Livre de la naturopathie - Une méthode de soin naturelle et préventive pour rester en bonne santé First. 2019 Une méthode de soins naturelle et préventive pour rester en bonne santé Vous avez envie de vous sentir bien dans votre corps et dans votre tête ? Découvrez la naturopathie, cette méthode de soins simple et naturelle, pour comprendre les mécanismes d'une bonne santé et vivre en harmonie avec vous-même et votre environnement. Ce petit livre vous donnera toutes les solutions pour soulager vos maux (addictions, stress, fatigue...), les prévenir et améliorer votre quotidien. Naturopathie Hachette Pratique. 2018 La naturopathie est reconnue comme médecine traditionnelle par l’Organisation mondiale de la santé. C’est avant tout un mode de vie qui permet à chacun, quel que soit son âge, de préserver un équilibre physique et émotionnel. Découvrez comment agir sur votre bien-être avec des techniques manuelles comme le massage, la réflexologie ou l’hydrothérapie, et surtout avec le pouvoir des plantes. Découvrez comment soulager les petits maux du quotidien : mental, système digestif, appétit, système urinaire, douleurs musculaires, coeur, libido, sommeil, peau, immunité. Et parce que la santé au naturel commence dans l’assiette, retrouvez plus de 50 recettes de saison pour que bien-être rime avec gourmandise. La naturopathie, 10 techniques naturelles Editions Universitaires Europeennes. 2015 Classee 3eme medecine traditionnelle du monde par l'OMS apres les medecines traditionnelles chinoises et ayurvediques, la naturopathie est nee de courants hygienistes nord-americains en 1850 et notamment de Florence Nightingale, qui creera par la suite en 1853 le premier cours d'infirmieres. D'autres peres fondateurs John Scheel et Benedict Lust par la suite et des travaux de praticiens europeens et francais (Dr. Paul Carton, les freres Durville et Pierre-Valentin Marchesseau), confirmerent cette avancee du mouvement hygieniste. Le courant hygieniste prend alors un extraordinaire essor dans la premiere moitie du XXeme siecle avec la creation d'ecoles de naturopathie et d'hygiene vitale. De nos jours, la naturopathie continue activement son developpement a travers divers pays du monde. Fondee sur le principe de l'energie et de la force vitale de l'organisme, la naturopathie est l'art de maintenir ou retrouver une bonne sante par des methodes naturelles. Helene COURTY, naturopathe depuis 2006, vous fait partager dans cet ouvrage son point de vue sur la naturopathie ainsi que les differentes techniques developpees et abordees dans cette fantastique discipline." Naturopathie, le guide complet au quotidien Fleurus. 2018 Nous avons tous connu des problèmes de digestion, sommeil, gestion du stress, déficience immunitaire ou maintien du poids. L’objectif de cet ouvrage est d’éclairer sur la façon dont la naturopathie, discipline millénaire issue de l’observation de la nature, peut aider chacun d’entre nous au quotidien, en plaçant l’hygiène de vie à la première place. La première partie de cet ouvrage établit un état des lieux clair et objectif de la naturopathie : ses origines, ses outils spécifiques, ses cinq piliers (vitalisme, holisme, causalisme, humorisme et hygiénisme), ses techniques traditionnelles et les grandes constitutions qui nous caractérisent (nerveux, bilieux, sanguin et lymphatique). L’auteur présente également en détail le bilan de vitalité qu’effectue le praticien lors de la première consultation. La seconde partie entre dans l’aspect pratique des pathologies via les quatre grands thèmes des maux contemporains : le système digestif (problèmes de transit, flore intestinale, intolérances alimentaires, perméabilité intestinale, gluten, lactose...) ; - le système nerveux et la gestion du stress (système endocrinien, surmenage, burn-out, insomnie, chronobiologie, dépression, addictions) ; - Le syndrome métabolique (surpoids, flore intestinale, hypertension artérielle, bilan lipidique, diabète, index glycémique, régime paléo-cétogène) ; - l’inflammation (inflammation aiguë, acidose, allergies respiratoires, pathologies auto-immunes, cancérologie). Les pathologies sont examinées en détail à travers leurs signes cliniques et leurs causes possibles, en proposant pour chacune d’elles les clés naturopathiques adaptées : alimentation, exercices physiques, gestion psycho-émotionnelle, hydrologie, phytothérapie et aromathérapie, techniques manuelles, réflexes, respiratoires, énergétiques et de rayonnement. Ce livre est enrichi de conseils précis liés à la pratique du yoga, ainsi que de fiches pratiques qui résument concepts et techniques utilisés en cabinet. « La pertinence des thèmes abordés, l’abondance des conseils prodigués et la richesse des explications développées font de ce livre un outil très clair et précieux pour le grand public. » Daniel Kieffer, Fondateur du Cenatho Hypertension artérielle et naturopathie Guy Trédaniel. 2016 L'hypertension artérielle constitue l'un des problèmes majeurs de santé publique dans les pays développés et émergents. Il s'agit de la plus fréquente des affections cardiovasculaires : on estime qu'elle touche environ 20 % de la population adulte. Cet ouvrage propose des réponses naturopathiques pour remédier à ce fléau. Vous trouverez ainsi des conseils simples et facilement applicables pour agir au mieux contre l'hypertension artérielle, distinguer ses différentes formes et adapter son mode de vie pour améliorer sa santé, physique comme mentale, retrouver un équilibre et augmenter son capital santé. « La vie n'est pas courte, c'est nous qui l'abrégeons. » Sénèque Petit traité de naturopathie Jouvence Santé. 2013 « Il est rare qu’une personne atteinte dans sa santé se demande : pour quelle raison suis-je malade ? Que se passe-t-il réellement dans mon corps ? Au contraire, toute son attention (...) est concentrée sur les symptômes (...) de sa maladie. D’ailleurs, tous les moyens mis en œuvre visent en priorité à faire disparaître ces symptômes le plus vite possible », dit Christopher Vasey. Plutôt que chercher à en éliminer les signes seulement, comme le fait la médecine allopathique, la naturopathie propose une autre approche de la maladie qui vise à en comprendre et à en éviter les causes. Or, pour le naturopathe, la cause majeure des maladies relève de l’encrassement, des surcharges ou des carences de notre terrain, à savoir « l’ensemble des liquides organiques dans lesquels baignent les cellules, le sang, la lymphe, etc. » Voici un message plein d’espoir : grâce aux principes naturopathiques, chacun peut agir sur son terrain, donc sur sa santé et ses maladies, en entreprenant une démarche pour le rééquilibrer ! Conseils précieux, lexique des concepts naturopathiques usuels et bibliographie font de ce livre le compagnon quotidien de toute personne respectueuse de sa santé et de son corps ! « Christopher Vasey a réalisé ici un travail de synthèse remarquable, car il n’était pas facile de résumer en si peu de pages l’essence de notre art et ses applications utiles pour le lecteur. » Daniel Kieffer Christopher Vasey, naturopathe installé en Suisse, est l’auteur de nombreux livres qui apportent un « plus » incontestable à la naturopathie et en dynamisent la pensée, tels que : Manuel de détoxication, L’équilibre acido-basique, Manuel de diététique, de nutrition et d’alimentation saine (Éd. Jouvence). Ses ouvrages, traduits en plusieurs langues, rencontrent un immense succès. Grand livre de la naturopathie Editions Eyrolles. 2011 Ce livre propose des solutions 100% naturelles aux troubles les plus courants La naturopathie, hygiène de vie, suscite des intérêts croissants auprès d'un public de plus en plus large. Figure incontournable dans ce domaine, Christian Brun nous livre ici ses connaissances, tant théoriques que pratiques. Comment fonctionne notre organisme ? Que faire pour l'aider à s'équilibrer harmonieusement ? En quoi les quatre piliers constitués par l'alimentation, la psychologie-relaxation, l'hydrothérapie et les exercices peuvent-ils contribuer à améliorer notre état de santé/vitalité ? Comment éviter et prévenir les troubles respiratoires, digestifs, rhumatismaux, nerveux, dermatologiques, circulatoires... les plus courants ? Ce livre expose, outre les grands principes fondateurs de la naturopathie, les meilleures stratégies naturopathiques à adopter. Pratique grâce à son système d'onglets, concret et détaillé, il apporte ainsi des réponses simples et claires, sans ambiguïté et sans artifice.
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Entre étouffer et étoffer, une seule lettre de différence Un faisceau de présomptions – comme dans bien d’autres dossiers – accuse le labo WIV de Wuhan d’avoir laisser échapper le virus. Partant du travail d’un petit groupe d’une douzaine de détectives amateurs qui ont fouillé le Web, le dossier « fuite du labo de Wuhan » a pris de l’ampleur jusqu’à alerter les scientifiques qui ont pris le relais et continuent de l’étoffer. Ci-dessous, je publie des extraits de l’article que je vous propose de lire en entier. — « Voici encore une fois un article qui démontre à quel point le journalisme anglais est infiniment supérieur à la presse française. Que ce soit aux États-Unis ou en Angleterre, les journalistes sont libres et publient des articles très longs, fouillés et détaillés contrairement à leurs homologues parisiens si prompts à valider tout ce qui est publié par l’Élysée ou le Conseil scientifique [et les dépêche AFP reprises en boucle], diffusant ainsi des fausses nouvelles à longueur de journée (1). » (LLP) — « … au fil des semaines et des mois de la pandémie, l'accumulation de preuves circonstancielles indiquant le laboratoire de Wuhan [a laissé échapper un coronavirus] n'a cessé de croître, jusqu'à ce qu'elle devienne trop importante pour être ignorée. […] nous savons maintenant que l'Institut de virologie de Wuhan disposait d'une vaste collection de coronavirus rassemblés au cours de nombreuses années de recherche de nourriture dans les grottes de chauves-souris, et que beaucoup d'entre eux, y compris le parent connu le plus proche du virus pandémique, le SRAS-CoV-2 – provenaient d'un puits de mine où trois hommes sont morts d'une maladie suspectée de type SRAS en 2012. Nous savons que le WIV travaillait activement avec ces virus, en utilisant des protocoles de sécurité inadéquats, d'une manière qui aurait pu déclencher la pandémie, et que le laboratoire et les autorités chinoises se sont donné beaucoup de mal pour dissimuler ces activités. […] les preuves rassemblées par DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Search Team Investigating COVID-19) [un groupe de détectives amateurs, avec peu de ressources à l'exception de la curiosité et une volonté de passer des jours à fouiller Internet pour trouver des indices. Tout au long de la pandémie, environ deux douzaines de correspondants, dont de nombreux anonymes, travaillant indépendamment dans de nombreux pays différents, qui ont découvert des documents obscurs, reconstitué les informations et expliqué le tout dans de longs fils de discussion sur Twitter] correspondent à ce que les procureurs appellent une cause probable – un dossier solide et fondé sur des preuves pour une enquête complète [en clair : un faisceau de présomptions à approfondir, comme dans bien d’autres dossiers]. Il n'est pas clair que les meilleurs efforts des États-Unis et d'autres pays pour enquêter sur l'hypothèse des fuites de laboratoire aboutiront jamais à des preuves sans équivoque d'une manière ou d'une autre, du moins sans la pleine coopération de la Chine, ce qui est peu probable. […] La séquence génétique de RaTG13 [un virus dont la constitution génétique est similaire au SRAS-CoV-2] correspondait parfaitement à un petit morceau de code génétique publié dans un article écrit par Shi Zhengli [directeur de l'Institut de virologie de Wuhan et virologue de chauve-souris renommé] des années plus tôt, mais jamais mentionné depuis. Le code provenait d'un virus que le WIV avait trouvé dans une chauve-souris du Yunnan. Reliant les détails clés des deux journaux à d'anciens reportages, l'équipe de DRASTIC a déterminé que le RaTG13 provenait d'un puits de mine dans le comté de Mojiang, dans la province du Yunnan, où six hommes pelletant du guano de chauve-souris en 2012 avaient développé une pneumonie. Trois d'entre eux sont morts. […] Travaillant toute la nuit à sa table de chevet sur téléphone et ordinateur portable, alimenté par le chai et utilisant des caractères chinois avec l'aide de Google Translate, il a branché “Mojiang” - le comté où se trouvait la mine - en combinaison avec tous les autres mots qu'il pouvait pensez à cela pourrait être pertinent, en traduisant instantanément chaque nouvelle vague de résultats en anglais. “Mojiang + pneumonie” ; “Mojiang + WIV” ; “Mojiang + chauves-souris” ; “Mojiang + SRAS.” Chaque recherche a rapporté des milliers de résultats et une demi-douzaine de bases de données différentes pour des revues, des livres, des journaux, des mémoires de maîtrise, des thèses de doctorat. Il a passé au peigne fin ces résultats, nuit après nuit, mais n'a jamais rien trouvé d'utile. Quand il a manqué d'énergie, il s'est cassé pour les jeux d'arcade et plus de chai. Il était sur le point d'arrêter, dit-il, lorsqu'il a trouvé l'or : une thèse de maîtrise de 60 pages écrite par un étudiant de l'Université de médecine de Kunming en 2013 intitulée “L'analyse de 6 patients atteints de pneumonie sévère causée par des virus inconnus”. […] QUATRE DES MINEURS AVAIENT ÉTÉ TESTÉS POSITIFS POUR LES ANTICORPS D'UNE INFECTION SEMBLABLE AU SRAS. ET LE WIV AVAIT ÉTÉ MIS EN BOUCLE POUR TESTER DES ÉCHANTILLONS DE TOUS. (Peu de temps après la publication des thèses par The Seeker, la Chine a modifié les contrôles d'accès sur CNKI afin que personne ne puisse refaire une telle recherche.) […] Bien que la révélation de la mine Moijang en mai 2020 n'ait pas été médiatisée, elle a attiré de nouveaux membres à DRASTIC, qui a pu étendre sa collecte de renseignements pour couvrir tout, de la génétique virale aux protocoles de sécurité des biolabs. […] Dans les demandes de subvention et les récompenses du WIV, The Seeker a trouvé des descriptions détaillées des plans de recherche de l'Institut, et ils étaient accablants : des projets étaient en cours pour tester l'infectiosité de nouveaux virus de type SRAS qu'ils avaient découverts dans des cellules humaines et des animaux de laboratoire, pour voir comment ils pourraient muter en croisant des espèces et recombiner génétiquement des morceaux de différents virus, le tout à des niveaux de biosécurité terriblement inadéquats. Tous les éléments d'une catastrophe étaient réunis. […] toutes les preuves de DRASTIC ont produit des points dans la même direction : l'Institut de virologie de Wuhan avait passé des années à collecter des coronavirus dangereux, dont certains n'ont jamais été révélés au monde. Il testait activement ces virus pour déterminer leur capacité à infecter les humains, ainsi que les mutations qui pourraient être nécessaires pour améliorer cette capacité, probablement dans le but ultime de produire un vaccin qui les protégerait tous. Et les efforts continus pour dissimuler cela impliquent que quelque chose s'est peut-être mal passé. […] … le 6 janvier 2021, [...] le virologue de l'Université de Washington, Jesse Bloom, l'un des chercheurs COVID-19 les plus respectés du pays, est devenu la première grande figure scientifique à légitimer publiquement les contributions de DRASTIC. […] C'est une leçon que le chercheur n'oubliera pas de sitôt. “Je ne considère plus la science comme un domaine exclusif”, écrit-il à Newsweek. “Tout le monde peut faire la différence.” » (Newsweek, trad. via Google) ‣ Rowan Jacobsen (Newsweek), « Exclusive: How Amateur Sleuths Broke the Wuhan Lab Story and Embarrassed the Media » (« Exclusif: Comment les détectives amateurs ont brisé l'histoire du laboratoire de Wuhan et ont embarrassé les médias », trad. via Google) pub. 2 juin 2021, https://www.newsweek.com/exclusive-how-amateur-sleuths-broke-wuhan-lab-story-embarrassed-media-1596958 (cons. 12 juin 2021). — (1) LLP, « P4 de Wuhan : comment des enquêteurs amateurs dévoilent au grand jour l’histoire de l’origine du virus et embarrassent les médias », pub. 9 juin 2021, https://www.lelibrepenseur.org/p4-de-wuhan-comment-des-enqueteurs-amateurs-devoilent-au-grand-jour-lhistoire-de-lorigine-du-virus-et-embarrassent-les-medias/ (cons. 12 juin 2021). — https://www.newsweek.com/exclusive-how-amateur-sleuths-broke-wuhan-lab-story-embarrassed-media-1596958
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Une femme trans
Ma première arrestation a été pour possession de marijuana. Je conduisais avec un ami par Farmers Branch, qui est une banlieue de Dallas qui est connue pour le profilage racial. C'est vraiment raciste là-bas. Je suis hispanique et mon ami est Afro-américain, et nous nous sommes arrêtés. Quand j'ai demandé aux flics pourquoi ils m'ont tiré, ils ne m'ont pas donné de raison. Mais ils ont demandé fouiller la voiture. Nous revenions de ramasser de la nourriture chinoise et nous avait deux petits sacs de marijuana que nous venions de ramasser. Les sacs étaient fermé, nous n'avions même pas fumé. Mon ami les a mis sous un lo mein nouilles dans la nourriture. Mais les flics ont fouillé si profondément qu'ils ont même creusé des boîtes de nourriture et j'ai trouvé l'herbe, et j'ai été arrêté. Je ne savais pas à quoi m'attendre. Je n'avais jamais été en prison. Même si je je viens de commencer la transition, j'avais le plus peur de ce qui pourrait arriver moi parce que je suis trans. Quand je suis arrivé à la prison de Lew Sterrett, les officiers du la prison m'a demandé si j'étais gay. Ils avaient un tank homosexuel », et c'est là ils m'ont mis. J'étais en prison pendant environ dix ou quinze jours. J'ai eu la chance d'être le réservoir homosexuel avec une fille qui était en transition. Elle avait été arrêtée pour la prostitution, et elle m'a en quelque sorte pris sous son aile et m'a montré comment y être, quoi faire et quoi ne pas faire. Donc ma première fois en prison n'était pas si mal, mais c'était quand même assez effrayant de ne pas savoir à quoi s'attendre. À la fin de mon adolescence, au début de la vingtaine, j'ai continué la transition. Autre que les hormones, j'ai commencé à subir des modifications corporelles à vingt et vingt et un ans. Quand je sortais dans des clubs, je rencontrais des personnes transsexuelles plus âgées, et c'est là que j'ai rencontré ma marraine, Nikki Calico. Elle m'a regardé et était comme, il y a quelque chose en toi que j'aime, et j'ai toujours voulait une fille. " Nous étions compatibles - je pouvais dire qu'elle était quelqu'un comme moi, qui n'avait tout simplement pas beaucoup d'amis en grandissant. Et elle a aidé moi avec des modifications corporelles, comment féminiser mon visage avec des charges, genre de chose. J'ai pris son nom, Calico, en souvenir d'elle et en appréciation pour tout ce qu'elle m'a appris et fait pour moi. Tu sais gay les gens, nous considérons nos amis comme notre famille. J'ai pris son nom juste pour continuez. Une chose au sujet de la transition est que dans le temps, si vous étiez un transsexuel et est allé postuler pour un emploi régulier et ils savaient qui vous étiez, ils se moquaient de vous. Il y avait donc beaucoup de pression pour se tourner vers escorter. C'était juste quelque chose qui faisait partie du style de vie. Je me suis donc tourné vers ça, et j'en gagnais ma vie. J'étais resté en contact avec la fille que j'avais rencontré en prison, et elle m'a montré comment cela fonctionnait. À cette époque, en 2005, l'ouragan Katrina a frappé. Puis en 2006 le complexe d'appartements où je restais a été utilisé comme maison pour beaucoup de les gens qui ont été expulsés par Katrina. J'ai rencontré un homme qui a été victime de l'ouragan. J'ai commencé à sortir avec lui, en fait. Et il était comme toi nous pourrions gagner de l'argent parce que je connais toutes les réponses les questions qu'ils vous posent lorsque vous appelez pour demander des prestations FEMA. » Il m'a montré comment le faire et j'ai commencé à recevoir des avantages, comme 2 500 $. Je me suis lié avec un de mes amis et je lui en ai parlé. À d'abord, c'était juste censé être, on va avoir une certaine quantité de l'argent ", mais mon ami est devenu gourmand et il a continué et va et il a été pris. Quand il s'est fait prendre, il m'a sniffé. C'est moi qui lui ai montré comment obtenir ces avantages, et j'ai fini par aller en prison pour cela. La police m'a en fait arrêté chez mes parents, quand j'étais avec ma mère. C'était juste après Thanksgiving. L'officier était une femme en civil qui avait une vieille photo de moi et ne savait pas que j'avais fait la transition d'ici là. Elle a dit à ma mère que je lui avais donné mes coordonnées dans un bar! Dit-elle, J'ai essayé de l'appeler, mais pas de réponse », et mon maman est comme, euh, ça n'a aucun sens. Mais elle m'a appelé à la porte, et c'est là que tous ces autres officiers sont entrés et m'ont arrêté. Alors je me suis arrêté et j'ai fini par me lier puis en avoir cinq ans de probation. Mais j'ai continué à fumer de la marijuana, et mes tests arrivaient dos sale. Mon agent de probation m'a prévenu que le prochain sale test, Je retournerais en prison. J'ai donc décidé de courir. Je suis resté à Dallas et je me suis juste arrêté se rapportant à mon agent de libération conditionnelle, ce qui signifiait que j'avais un mandat d'arrestation. J'ai pensé qu'ils finiraient par me rattraper, mais j'ai couru pendant trois ans, et je vraiment tourné vers l'escorte, puis pour subvenir à mes besoins. JE VAIS BATTRE LA BAISE DE VOUS ” J'ai finalement été récupéré à Oklahoma City dans une piqûre fin 2011. J'ai été arrêté pour prostitution. La prison d'Oklahoma La ville était différente de la prison du comté de Dallas. Ils ne savaient pas où pour me mettre - ils n'avaient rien comme le réservoir homosexuel. Ça a pris les six heures pour comprendre s'il faut me mettre du côté masculin ou féminin côté. J'ai été amené à 2 heures du matin et ils ont dû attendre le sergent à 8 heures, 9 heures du matin. Il a demandé: "Avez-vous déjà subi la chirurgie complète?" Et pour faire une longue histoire, ils ont finalement décidé de me mettre cellule unique, en ségrégation. Du côté des hommes. La façon dont les cellules d'isolement sont installées à Oklahoma City, les pods avoir deux étages de cellules, puis au rez-de-chaussée est une sorte de central espace avec tables et chaises pour le coin repas. J'étais au dernier étage, derrière une porte pleine avec une petite fenêtre. Je pourrais regarder par la fenêtre et voir les autres cellules et la salle à manger, mais je n'avais qu'une heure par jour que je pourrais sortir. J'utiliserais ce temps pour prendre une douche. Certaines personnes iraient regarder les cellules des autres à travers leurs fenêtres et leur parler et des trucs comme ça. J'avais beaucoup de gars qui venaient à ma fenêtre juste parce qu'ils étaient si curieux. Ils venaient et disaient: Montre-moi vos seins. " Juste tout ça. Il y avait beaucoup de gars qui venaient ma fenêtre et sois genre, putain de garce de pédé. Si vous sortez du en même temps quand je serai sorti, je te vaincrai. » Mais au moins à Oklahoma City, on pouvait voir d'autres personnes à travers votre fenêtre cellulaire, donc vous n'étiez pas complètement seul. Tu pourrais parler à les gens, et ils n'étaient pas tous effrayants. J'avais même un garde cool. Il a utilisé pour viens à ma fenêtre. C'était un jeune garde. Je suppose que c'était un nouveau employé. Il venait à ma fenêtre et me parlait. Il ne se souciait pas que j'étais transsexuel. Peut-être qu'il avait des parents transsexuels ou peut-être était-il attiré par les transsexuels. Je ne sais pas. Il n'est jamais venu à moi comme ça, mais il était toujours vraiment cool. Il ferait en sorte que chaque fois qu'il était en service, il venait me parler pendant trente, quarante-cinq minutes. Je lisais des livres. Voilà ma chose principale. Mais je lisais, et ne resterait pas dans ma tête. Je lisais tout ce que je pouvais obtenir et je lirait juste pour faire quelque chose. Je lirais le début du journal pour finir, faites les mots croisés, et même lisez tous les encarts. Les inserts étaient comment je me mettrais dans le monde. Voilà comment je garderais mon esprit sain parce que je devenais vraiment fou là-dedans. La Bible a été offerte pour moi là aussi. Je n'avais que le temps de m'asseoir et de dans la Bible. Quand j'allais dans la Bible et lisais, j'étais comme, Non, ce n'est pas moi. Je crois en Dieu, mais je ne crois pas en la Bible. J'ai été seule dans une cellule unique pendant six semaines avant la date du procès. je était en fait en mesure de sortir de cette accusation de prostitution parce que l'arrestation l'officier a fait des choses qu'il n'aurait pas dû - jouer avec mes seins, mettre mon la main sur ses parties intimes. J'ai dit au juge que je pouvais décrire ses soldats. Il était censé se présenter au tribunal, mais avec tout ce qui se passait, il n'a pas montré, donc les accusations ont été abandonnées. TOUT CE QUE VOUS POUVEZ AVOIR SUR VOS BOXERS ET VOS CHAUSSETTES Après que mes charges en Oklahoma aient été abandonnées, j'avais toujours un mandat d'arrêt à Dallas. Les autorités du Texas sont venues et m'ont enchaîné pour me ramener à Dallas pour purger une peine pour mon arrestation pour fraude. J'ai été envoyé à Lew Sterrett pour servir mon temps. J'étais dans le réservoir homosexuel »pendant les trois premiers mois. Puis ils eu un shakedown. C'est là qu'ils entrent et ordonnent à tout le monde de prendre leurs uniformes, pour se déshabiller jusqu'à leurs boxeurs. Tout ce que vous pouvez avoir, c'est vos boxers et vos chaussettes. Mais moi ayant des seins et tout ça, j'ai demandé à l'un des sergents, monsieur, puis-je garder ma chemise? " Parce qu'après vous avoir fait tout enlever, ils vous font sortir de votre réservoir et entrer dans le hall où le les hommes dans tous les autres chars sont. Je ne vais pas sortir, marcher avec mes seins dehors et tout ça. Le sergent m'a dit, ouais, tu peut garder votre chemise. " Lorsque nous sortions en ligne du char, le sergent principal était une femme, une femme afro-américaine. Elle attendait, inspectant tout le monde alors que nous sortions du réservoir. Quand je suis sortie, elle était comme, pourquoi avez-vous une chemise? " J'ai dit, madame, j'ai déjà parlé au autre sergent. J'ai des seins. " Elle était comme, Sortir de la ligne et se lever ici par le mur. " Elle a attendu que tout le monde sorte. Dit-elle, Venez ici." Elle m'a mis dans une pièce avec juste elle. Elle a dit: Prends ton chemise. " J'étais genre, d'accord, mais je veux toujours pouvoir garder ma chemise après vous être assuré que je n'ai rien sur moi, non? " Dit-elle, Laisse-moi te dire quelque chose, salope. Elle a mis son doigt sur mon front. Si vous n'enlevez pas votre chemise de pute, vous êtes toujours un homme. Tu es va toujours être un homme. Tout le monde doit passer sans chemise, ce n'est pas différent pour vous. " Je lui ai dit que je voulais juste mettre ma chemise avant de passer les autres chars, et elle a dit: "Enlevez-le avant Je te masse. " J'ai enlevé ma chemise. Je n'essayais pas de me faire macher. Puis elle a dit, d'accord. Remets ta chemise. Vous devez y aller, saisir votre merde, et foutre le camp. " J'ai demandé, madame, où vais-je? " Elle a dit, ne t'inquiète pas cette." J'ai dit, madame, si vous ne me dites pas où je vais, alors je ne vais pas de ne rien faire parce que j'ai le droit de savoir ce qui se passe. » Elle m'a attrapé et m'a jeté contre le mur. Elle a dit, salope, j'ai dit à ton fagot ass, tu vas suivre mes règles. " Puis elle m'a claqué le mur, et j'ai effacé. Ma première réaction a été de la repousser. J'ai poussé son dos, et elle tomba en arrière et glissa sur le sol. C'est alors que les gardes est venu et m'a attrapé et m'a jeté par terre. Puis ils sont venus me chercher, m'a fait aller chercher mes affaires, puis ils m'ont mis à l'isolement. RED KEPT ME SANE Ils m'ont mise à l'isolement parce que je l'ai poussée, mais elle a réussi il semble que ce soit une garde à vue. Elle sentait que depuis que je ressemblais à une fille et j'avais des seins que je n'appartenais pas dans le réservoir. Attention, le tank est un réservoir homosexuel. Le sergent d'étage a dit: C'est pour votre protection », mais elle disait juste cela pour donner une raison de me mettre en prison. Quand je essayé de faire appel, il a été refusé parce qu'elle a dit que la raison était protectrice garde." Qu'en est-il de ma protection les trois mois que j'ai déjà été là-dedans? Je n'ai eu aucun problème pendant trois mois, alors pourquoi devrais-je avez un problème maintenant? C'est tout l'intérêt du char homosexuel. Ils ne me laissaient pas sortir de l'isolement. j'étais dedans il devient fou. Solitaire à Lew Sterrett était différent de l'Oklahoma Ville. À Oklahoma City, au moins quand vous avez regardé par la fenêtre, vous pourrait voir d'autres personnes, leur parler. Mais à Dallas, la vue sur le la fenêtre de ma porte n'était qu'un mur blanc. En isolement cellulaire à Lew Sterrett, vous avez votre propre douche. C'est ton lit superposé, ta douche, ta petite table. Ils vous apportent un plateau de nourriture à votre porte. Vous êtes donc complètement isolé des autres. La seule chose qui m'a gardé sain d'esprit, c'est que chaque cellule a un évent que le A / C sort par. Chaque évent est connecté à toutes les autres cellules. Le détenu qui était dans la cellule à côté de moi, il avait essentiellement le béguin pour moi parce qu'il m'avait vu y entrer. Il était genre, bébé, je sais ce que tu es. Je sais que tu es transsexuel, mais je vais aider ton séjour ici mieux, et je suis sûr que vous me parlerez rendra le mien meilleur. " Tout ce que je savais, c'était son surnom, Red. Il était en isolement parce qu'il avait beaucoup de tatouages, certains avec des affiliations supposées à des gangs, séminaire Toulouse et donc il a gardé entrer dans des combats de poings et tout ça. Il est allé volontairement à l'isolement donc il ne se battrait pas. Il était donc lui aussi en garde à vue. Je bougeais mon lit, mon tapis par l'évent, et on parlait à travers l'évent. Nous prétendions que nous étions dans le monde libre. Le rouge était comme, d'accord, c'est ce que nous allons faire. Mettez juste dans votre esprit que nous sommes réellement là-bas, et ceci est notre téléphone portable. " Il serait comme, Ring ring ring. " J'étais comme, Bonjour, "comme si je répondais à ma téléphone parce que j'ai commencé à me parler d'être là-dedans. Vingt-trois heures ou peu importe, j'étais là à me questionner même vivre ma vie comme je vis, comme si j'avais vraiment commencé à en douter. Quand Je sors, dois-je essayer d'être un homme? Pourquoi dois-je passer par là? Pourquoi? Pourquoi suis-je en train de vivre ça? Je n'ai rien fait pour mériter ce genre de traitement. je sais que j'ai fait quelque chose d'illégal, mais je suis déjà en prison. Pourquoi suis-je traité encore pire? C'était juste ce type. Si ce n'était pas pour lui, j'aurais devenu complètement fou. J'ai demandé un psychiatre. La seule chose que les psychiatres ont faite quand ils sont venus me parler m'a mis sur Celexa pour la dépression et une autre pilule dont j'oublie le nom. Je ne voulais pas prendre ça médicaments tous les jours parce que je ne voulais pas que mon corps s'y habitue et puis quand je serais sorti, je devrais aussi le prendre tous les jours. J'étais dans cette cellule solitaire pour le reste de mon année à Lew Sterrett, donc neuf mois d'isolement. J'ai continué à faire appel, mais ils ne m'ont pas laissé sortir. Je me parlais beaucoup. Je n'ai pas halluciné, mais j'aurais des conversations avec moi-même. Je me posais des questions et j'y répondais. Alors je revenir en arrière et être comme, non. Red m'entendrait parler à moi-même. Il avait soyez comme, Sonya, à qui êtes-vous là-bas pour parler? " D'un autre côté il y a un autre gars, mais je ne parlerais jamais à l'autre gars. L'autre gars en fait, son esprit était parti. Il pensait qu'il était une personne de la Bible. Chaque jour, je me réveillais et il disait des écritures bibliques. Ouais. Il savait que j'étais transsexuel, donc parfois il prenait sur lui-même d'être comme, vous allez en enfer. Tu vas brûler enfer." Je devrais m'occuper de ça tous les jours. J'ai pensé, oh mon dieu. C'est quand Red disait: n'écoutez pas. Venez ici. Viens me parler." J'avais déjà une routine. Je ferais de l'exercice avant de prendre une douche parce que au moment où je faisais de l'exercice, je transpirais, alors d'accord, L'heure de la douche. J'entendais l'infirmière passer pour apporter les pilules des gens. Je prendrais mes pilules. Quinze minutes plus tard, je suis assommé. Je me réveille à quatre heures du matin. Il y a le petit déjeuner. Obtenez mon plateau de petit déjeuner. Mangez mon petit déjeuner. Retourne te coucher. Réveillez-vous. Je serai dans mon sommeil profond de quatre à 11h, 11h30. Ensuite, ils apportaient le déjeuner. L'heure du déjeuner Je mange mon sandwich. Ils l'appelaient un plateau froid. Chaque jour tu mangerais bologne, pain, fromage, gelée et parfois salade de pâtes. C'est tout journée. La seule fois qu'il change, c'est le dîner. Vous obtenez un repas chaud. Tout là-dedans est fait de soja, donc ce sont des trucs faux. Vous le regardez, et vous pourriez penser, Oh, c'est de la nourriture pour chiens. C'était bruyant. Les gens criaient, donnaient des coups de pied tout le temps. Et je me souviens avoir eu peur quand il était temps de dormir, inquiet que n'importe qui pouvait ouvrir ma porte et venir à moi à tout moment. Ils pourraient ouvrir la porte et appelez-moi pour une infirmière, puis un détenu pourrait marcher par et essayez de me blesser ou quelque chose. Je me sentais comme si je dormais avec un œil ouvert et un œil fermé. Je lis tous les jours le Dallas Morning News d'avant en arrière. A fait le mots croisés. C'était mon seul divertissement. Je pourrais aussi aller dans un gymnase en moi-même pendant une heure par jour. Je me souviens d'avoir été libéré et de descendre le salle, et les gens crachaient par leurs fenêtres, salissant leur propre merde sur eux-mêmes. Ils me verraient et ça pourrait être, putain de pédé. » Ces gens avaient perdu la raison. Je me souviens avoir regardé par les fenêtres et les voir là-dedans, et peut-être qu'ils auraient fait un swing de leur draps et étaient juste enveloppés en se balançant. J'avais peur de devenir comme ça. C'est ce dont j'avais peur, que je finirais par devenir ça. Mais Red m'a gardé sain d'esprit. Il avait lu les listes de restaurants dans le journal. Puis il m'appelait par l'évent. Il était genre, bébé, où allons-nous aller? Nous allons vérifier l'endroit. Ce que tu veux manger? S'habiller. Je vais venir te chercher à sept heures. » alors à sept heures, je l'appellerais - Hé. Il est sept heures. Viens-tu?" Il avait être comme, ouais, je suis sur mon chemin. " Pendant ce temps, le gars dans la cellule de l'autre côté de lui pouvait nous entendre et se moquerait de Red. Tu es un nègre du cul pédé. Tu parles cette chienne. " Le rouge serait comme, je me fiche de ce que vous dites. Je m'en fiche. " Et il me disait: ne les écoute pas. Il suffit de les effacer. " Puis le gars qui ferait toute la Bible, il serait comme, Oh mon Dieu, ce et Dieu que. " Nous avons dû les effacer et continuer. C'ÉTAIT DE LA DISCRIMINATION Ma mère est venue me faire sortir quand j'ai été libérée en 2012, et je suis allée vivre avec elle pendant un certain temps. J'ai été bouleversé lorsque je suis sorti. Il a pris un mois pour que je puisse briser la pensée que les gens étaient me regarder ou qu'ils allaient m'attaquer. Alors je commencerais à me sentir nauséeux comme je veux vomir. Un jour, ma marraine Nikki a pris moi à un endroit appelé Traders Village, qui est comme un marché aux puces, où ils ont des vendeurs à l'extérieur en plein air. Le dimanche, ça devient vraiment super emballé à un point où vous ne pouvez pas vous retourner ou bouger. J'y suis arrivé, et dès que je suis arrivé, j'ai eu l'impression que quelque chose s'est cassé à l'intérieur moi. Nikki a demandé, qu'est-ce qui ne va pas? " Je me sentais vraiment étourdi. J'étais comme, Maman, je ne me sens pas bien »et j'ai commencé à vomir. Elle a dit: faux?" J'ai dit, maman, tu sais que je ne peux pas être avec beaucoup de gens comme cette." J'ai dit: Donnez-moi vos clés. " Je devais aller à la voiture et m'allonger dans le siège avant et assis juste parce que je ne pouvais pas être avec les gens. Ça m'a pris un longtemps pour rompre cela. Quand je vivais avec ma mère, je passais tout mon temps dans mon chambre, juste regarder la télévision. Ma maman serait venue là-haut et aurait dit: Vous devez descendre pour manger. " Je dirais, d'accord, je serai là. " Même alors j'attendrais que tout le monde quitte la table. Ensuite, j'allais manger seul et dépêchez-vous et remontez à l'étage. J'étais comme ça pendant un moment. Et depuis que j'ai quitté la prison, je n'ai jamais lu le journal maintenant parce qu'il rappelle moi trop d'être là-dedans. J'ai rencontré Mlle Nell par mon meilleur ami, Pocahontas. Pocahontas, elle est une avocate transsexuelle à Dallas. Elle m'a fait venir discuter tenue une fois par mois, et Mlle Nell était le conférencier invité. Pocahontas avait je viens au chat parce que je ne voulais pas être avec les gens. Après Je suis sorti de prison, nous avions traîné avec des amis chez elle appartement et je ne pouvais pas être autour d'eux. J'avais une mauvaise anxiété. J'ai commencé vomir parce que je n'avais pas l'habitude d'être encore autour des gens parce que je venait de sortir. Mlle Nell dirige l'Initiative Trans Pride. Après la rencontre Mlle Nell était là et Pocahontas a dit, Mlle Nell, voici mon ami, Sonya, à qui je vous ai dit, a traversé l'isolement cellulaire. Elle vient de sortir sa petite coquille. " Mlle Nell a dit, bébé, j'ai été vouloir vous rencontrer. " Elle a dit, j'ai fait avancer ce truc. » Mlle Nell m'a dit qu'elle travaille beaucoup avec les personnes transgenres incarcérées et leur droits. Qu'elle se bat pour les gens qui sont là-bas, les gens qui ont été victime de discrimination en prison. Ils lui écrivent des lettres, et elle se bat pour eux. Mlle Nell a dit, j'ai cette réunion à venir avec le chef de la prison. Voulez-vous parler devant eux? » J'ai dit, Ouais, "Quand la réunion a eu lieu, je n'ai pas réussi là, mais elle leur a raconté toute mon histoire. En prison, il semblait qu'ils avaient une règle selon laquelle chaque fois que quelqu'un qui est les transgenres entrent, s'ils ont du travail corporel, ils vont automatiquement directement à solitaire. C'était de la discrimination. Les gens ne comprennent pas ça l'isolement cellulaire dérange vraiment la tête des gens. C'est vraiment le cas. j'étais juste assez chanceux pour en sortir quand je suis sorti, mais certaines personnes ne le font pas reprendre ses esprits. Ils restent coincés dans la la land. Apparemment, les chefs des prisons de Dallas ne savaient pas vraiment ce qui se passait. Mais Miss Nell leur a apporté mon histoire et elle a joué un rôle pour faire changer les choses. Mlle Nell est quelqu'un qui fait avancer les choses. Ils ont pu trouver une solution. Maintenant en tant que femme transgenre dans une prison pour hommes, vous avez une option: vous pouvez aller au réservoir homosexuel ou aller à l'isolement. C'est votre choix maintenant. Tu n'as pas besoin d'être traité comme un animal.
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La recherche mondiale progresse pour essayer d'éradiquer le virus du Sida. Pour la première fois, des chercheurs ont réussi à l'éliminer dans l'organisme de souris.
Un pas de plus vers la guérison du Sida ? Aujourd'hui les médicaments dits antirétroviraux (ARV) permettent déjà de contenir la maladie à des taux si bas qu'ils empêchent la transmission du virus. Sauf que dès que le traitement est arrêté, le virus redevient dangereux à nouveaux. Pour essayer d'éliminer totalement le Sida, une équipe de chercheurs a mis au point une nouvelle technique génétique qui permet d'éliminer le virus dans l'organisme de souris, explique la revue spécialisée Nature.
Pour y arriver, les chercheurs ont procédé en deux temps. D'abord, ils ont réduit le taux de réplication active du virus dans le sang grâce à des antirétroviraux classiques modifiés avec une technique nommée LASER ART. "Avec LASER ART, les médicaments anti-VIH traditionnels sont peaufinés afin de développer une structure cristalline, puis sont enfermés dans des particules liposolubles. Cela leur permet de glisser à travers les membranes des cellules dans des endroits où le VIH a tendance à se cacher, comme le foie, les tissus lymphatiques et la rate. Une fois à l'intérieur, les enzymes des cellules commencent à libérer le médicament", explique un communiqué de Sida Info Service. La structure cristalline a la propriété de libérer les médicaments plus lentement. Ils continuent d'éliminer le virus pendant des mois et non sur quelques jours ou semaines.
L'utilisation de "ciseaux génétiques"
"Toutefois, le LASER ART seul ne permet pas de se débarrasser du VIH peu importe la capacité de la molécule à faire baisser l'infection virale. C'est ainsi qu'en parallèle, nous avons développé une technique d'édition de gènes avec CRISPR-Cas9 qui permet de sectionner de façon précise les fragments de VIH dans le génome", expliquent les auteurs de l'étude. CRISPR-Cas9, surnommé les "ciseaux génétiques", permet de faire des coupes dans le génome. "Utilisé seul, CRISPR ne suffit pas ; une fois que le VIH se réplique, il en sort tellement de copies qu'il n'est pas possible pour CRISPR de toutes les éditer. Cependant, lorsqu'ils sont combinés au traitement au laser, les deux traitements ont efficacement éliminé le VIH des animaux dans les essais", précise Sida Info Service.
Un tiers des souris sans trace du virus
Sur 29 souris, les chercheurs n'ont trouvé aucune trace du virus sur 30% des animaux. Pour déterminer que le virus est éliminé d'un organisme, des tests doivent être réalisés dans plusieurs parties de la souris : le sang, le tissus lymphatique, la moelle épinière ainsi que le cerveau. Tous ces tests se sont avérés négatifs sur environ un tiers des spécimens observés. Plus intéressant encore, "aucun dommage collatéral généré par CRISPR-Cas9 n'a été détecté", assure l'étude. Les ciseaux génétiques, s'ils permettent de cibler certains gènes, peuvent entraîner des mutations "en cascade" non souhaitées sur le reste du génome.
"Au fil des ans, nous avons considéré le VIH comme une maladie infectieuse. Mais une fois qu'il pénètre dans la cellule, il ne s'agit plus d'une maladie infectieuse, mais devient une maladie génétique car le génome viral est incorporé dans le génome de l'hôte", explique l'un des auteurs principaux de l'étude, Kamel Khalili, directeur du centre de neurovirologie et du Centre complet de neuroAIDS à l'université de Temple à Philadelphie. Son équipe teste désormais cette technique chez les primates non-humains afin de voir si elle produit les mêmes résultats.
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Je ne pourrai pas me souvenir de la façon simple dont j'ai trouvé celui-ci en particulier, mais rien que j'ai eu. Peut-être d'un spectacle intéressant ou d'une énorme journée, mais il dit néanmoins grâce à Dieu juste pour la petite magie. Enfin, un énorme supplément alimentaire qui m'a permis de perdre beaucoup de poids fait que les gens se sentent beaucoup plus vigoureux mais plus jeunes. En fait, c'est incroyable de voir à quel point je me sens incroyablement plus léger sur mes pieds. Ce supplément de santé est la nouvelle formulation du 21ème siècle, qui propose un produit alimentaire équilibré et sain qui existe depuis assez longtemps.
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Guide d'étude du diabète
De nouvelles méthodes de traitement sont en cours d'élaboration dans le cadre d'études cliniques. L'objectif est toujours d'améliorer le traitement des personnes atteintes de diabète de type 2. En tant que participant à l'étude, vous avez la possibilité d'être l'un des premiers à bénéficier de méthodes de traitement innovantes.
L'Allemagne est le premier pays d'Europe pour les études cliniques. Cela signifie qu'un nombre particulièrement important d'études sont proposées en Allemagne et sont également utilisées par les patients. Non seulement vous êtes en bonne compagnie, mais vous profitez également de la popularité de l'Allemagne en tant que lieu de recherche médicale. Vous pouvez donc choisir parmi un grand nombre d'études intéressantes sur votre maladie et bénéficier dès aujourd'hui de la médecine de demain.
Sur les pages suivantes, nous aimerions vous informer des possibilités et des conditions de participation à un essai clinique.
Vivre avec le diabète de type 2
Le diabète de type 2, également connu sous le nom de sucre à un âge avancé, est une maladie métabolique chronique progressive. Le taux de sucre dans le sang dans le cadre du métabolisme est en permanence élevé chez les personnes atteintes. Il en résulte de graves maladies secondaires au fil du temps.
Pathogénie
L'augmentation de la glycémie est due à différents processus. Les plus importantes sont une réduction de l'effet de l'hormone insuline sur le corps et une réduction de la formation et de la libération d'insuline.
L'insuline est produite dans le pancréas. Il abaisse la glycémie en s'assurant que le sucre est absorbé par les cellules. L'insuline est libérée plus fréquemment après un repas contenant du sucre. Chez les diabétiques de type 2, cet effet ne peut plus être suffisamment atteint. C'est pourquoi la glycémie est constamment élevée.
HbA1c comme mémoire de sucre
L'augmentation permanente de la glycémie entraîne une modification du pigment sanguin rouge, l'hémoglobine. Ce changement peut être mesuré dans la valeur de contrôle de la glycémie à long terme HbA1c (également connue sous le nom de mémoire de sucre).
Plus la glycémie augmente fréquemment et plus le taux d'HbA1c est élevé. Par conséquent, votre médecin peut déterminer la valeur de votre diabète à partir de la façon dont il l'ajuste.
Pas seulement pendant la vieillesse
La maladie commence habituellement après l'âge de 40 ans. Cependant, de plus en plus d'enfants et d'adolescents tombent malades. La cause la plus importante de la maladie est l'obésité, qui résulte d'une alimentation riche en énergie et d'un manque d'activité physique.
Séquelles
Au début, le diabète de type 2 n'entraîne guère de plaintes. Cependant, si la glycémie est élevée sur une longue période de temps, un certain nombre de maladies secondaires peuvent survenir. Le principal résultat est l'endommagement des vaisseaux sanguins qui alimentent certains organes.
Selon les vaisseaux sanguins endommagés, l'un des symptômes suivants peut apparaître :
Maladies cardiovasculaires et vasculaires (p. ex. crise cardiaque ou accident vasculaire cérébral),
Dommages à la rétine (y compris la cécité),
Lésions nerveuses (polyneuropathie sensorimotrice et polyneuropathie autonome) et syndrome du pied diabétique,
Lésions rénales (néphropathie).
Afin d'éviter ces maladies secondaires, il est nécessaire d'abaisser l'hyperglycémie. Le meilleur moyen d'y parvenir est de commencer par une perte de poids et d'atteindre en même temps un équilibre durable.
Des pilules ou de l'insuline ?
En plus de la perte de poids, il existe plusieurs médicaments qui peuvent être utilisés et combinés selon la gravité de la maladie. Des exemples sont les comprimés (antidiabétiques oraux) tels que la metformine.
Si la maladie ne peut pas être contrôlée assez bien en prenant des comprimés, la dernière option est d'injecter de l'insuline.
Les faits les plus importants sur le diabète sucré de type 2 en un coup d'œil :
Le diabète de type 2 est une maladie métabolique chronique progressive associée à une glycémie élevée.
Bien que la maladie soit dangereuse, elle entraîne souvent peu de plaintes au début.
La perte de poids et les changements alimentaires ont souvent un effet positif et peuvent rendre superflue la prise de médicaments.
Si un changement de mode de vie n'améliore pas la glycémie, les personnes touchées reçoivent des comprimés (antidiabétiques oraux) ou de l'insuline.
Des examens réguliers sont importants afin de prévenir les maladies secondaires et de les détecter à un stade précoce.
Les maladies consécutives, dont la glycémie est élevée depuis des années, sont graves. C'est pourquoi une bonne attitude face au diabète est particulièrement importante.
Votre santé au cœur de la recherche
Tous les essais cliniques pour les personnes atteintes de diabète de type 2 sont conçus pour améliorer leur santé à long terme.
Plus d'un million de personnes dans le monde participent chaque année à des essais cliniques, ce qui favorise le progrès pour toutes les parties concernées.
Meilleur ajustement
L'ajustement de la glycémie est une tâche difficile qui nécessite la prise en compte de nombreux facteurs.
De nombreuses études tentent de simplifier ce processus de contrôle de la glycémie en mettant au point de nouveaux et meilleurs médicaments. L'accent est mis ici sur les médicaments qui abaissent le taux de glycémie de manière plus fiable tout en rendant leur prise plus agréable pour les personnes concernées. C'est un avantage pour vous en tant qu'utilisateur, car vos médicaments seront meilleurs et plus sûrs.
Déjà aujourd'hui, il existe des médicaments qui n'abaissent la glycémie de façon fiable qu'à des valeurs élevées. Un exemple est le groupe des inhibiteurs de la SGLT2. Ces médicaments agissent sur un transporteur de sucre spécial dans le rein qui est normalement responsable du transport du sucre dans la circulation sanguine. En inhibant le transporteur, l'augmentation de sucre dans le sang est excrétée avec l'urine. Cependant, le transporteur ne fonctionne qu'à des concentrations élevées de sucre et prévient ainsi l'hypoglycémie en même temps.
Prévenir et éviter les maladies secondaires
L'accent est mis sur la prévention des maladies secondaires.
Si vous êtes atteint d'une maladie secondaire, votre qualité de vie se détériore généralement aussi. Ils doivent consulter un médecin plus souvent et subir des traitements plus fréquents et peut-être aussi plus désagréables. Votre médecin traitant doit utiliser des traitements de plus en plus complexes pour vous maintenir en bonne santé. Enfin et surtout, les frais de participation et de traitement augmentent pour vous. Toutes les personnes impliquées dans votre traitement ont donc intérêt à éviter les maladies secondaires, surtout vous en tant que personne concernée !
Les résultats de la recherche aident à détecter les maladies secondaires à un stade précoce et donc à les arrêter ou à les éviter complètement.
Détection précoce du diabète
Actuellement, la recherche clinique s'efforce de plus en plus de détecter et de traiter le diabète de type 2 à un stade précoce.
Cela devrait permettre aux personnes touchées de lutter contre le diabète à un stade précoce.
Le stade préliminaire du diabète de type 2, le prédiabète, est déjà connu et reconnu aux Etats-Unis comme son propre tableau clinique. En particulier, les chercheurs recherchent des traits génétiques qui permettent de diagnostiquer la probabilité d'une maladie avant même l'augmentation anormale de la glycémie.
L'interaction des facteurs de risque et du mode de vie avec l'évolution de la maladie fait également l'objet de recherches constantes.
Des études cliniques ont montré que le risque de crise cardiaque, d'accident vasculaire cérébral, d'insuffisance cardiaque ou d'amputation peut être considérablement réduit en contrôlant étroitement la glycémie.
De tels résultats de recherche sont d'une grande importance pour la vie quotidienne d'un diabétique parce qu'ils illustrent l'importance d'une surveillance disciplinée de sa propre glycémie.
HbA1c et valeur cible
Les dix premières années de diabète et de contrôle glycémique déterminent le risque de maladies secondaires.
Votre taux d'HbA1c en particulier donne une indication générale de votre risque personnel de souffrir de maladies secondaires. Cela indique dans quelle mesure votre glycémie est bien ajustée. L'objectif de tout traitement du diabète est de stabiliser le taux d'HbA1c à un niveau stable.
Si l'HbA1c est trop élevée, le risque de maladies secondaires augmente, mais si elle est trop faible, le risque d'hypoglycémie augmente.
Les études aident à définir une valeur optimale d'HbA1c pour chaque personne atteinte et excluent la possibilité que l'état de santé du patient se détériore. Les recherches cliniques actuelles ont montré qu'une réduction trop rapide des taux d'HbA1c peut également entraîner des complications telles que des lésions nerveuses ou rénales.
Effet désiré ou non désiré ?
Les études cliniques servent également à découvrir les effets secondaires des médicaments. Dans le même temps, des médicaments sont mis au point qui entraînent moins d'effets secondaires.
Dans le cas de l'insuline, par exemple, l'hypoglycémie est l'un des effets secondaires les plus redoutables. Dans le pire des cas, cela peut même mettre la vie en danger.
Afin de prévenir ce danger, des recherches intensives sont menées sur des médicaments qui ne fonctionnent que si la glycémie est également élevée. Cette mesure vise à prévenir l'hypoglycémie grave.
Un premier exemple d'un tel médicament est celui des agonistes dits GLP-1. Celles-ci reproduisent l'hormone de l'organisme, qui abaisse la glycémie lorsque les valeurs sont trop élevées.
Polyvalent
Les antidiabétiques oraux, en particulier, ont souvent un effet désiré supplémentaire en plus de leur tâche principale d'abaisser la glycémie. Ces effets positifs font l'objet d'études cliniques approfondies.
La metformine en est un exemple. Des études ont montré que la metformine peut également protéger contre le cancer et aider à la perte de poids.
Par la connaissance pour la guérison
À long terme, les études devraient mener à la guérison complète du diabète de type 2. Chaque étude génère de nouveaux résultats, qui sont interprétés et évalués. Il s'agit d'un processus continu d'acquisition de nouvelles connaissances qui mène à une meilleure compréhension de la maladie, ce qui permet de développer de meilleures méthodes de traitement sur une base continue.
Votre chance
Comme vous pouvez le constater, la recherche clinique s'approche d'un objectif commun de plusieurs côtés, l'amélioration des options de traitement de votre diabète de type 2, et en participant à une étude, vous contribuez à atteindre cet objectif avec d'autres personnes affectées.
Vos avantages en un coup d'œil :
De meilleurs médicaments vous aideront à mieux contrôler votre diabète.
Les maladies subséquentes peuvent être évitées plus spécifiquement grâce aux résultats de nouvelles études.
Le risque de situations mettant la vie en danger, comme l'hypoglycémie, est réduit au minimum grâce à de meilleurs médicaments.
Des études aident à découvrir de nouveaux effets positifs des médicaments.
De nouvelles découvertes sur le diabète pourraient permettre de guérir la maladie à l'avenir.
Pourquoi vous devriez participer à une étude
Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles vous pouvez participer à une étude :
Vous souhaitez optimiser le traitement de votre diabète de type 2 et influencer positivement l'évolution de votre maladie.
Vous voulez un contrôle serré dans un environnement fiable et professionnel.
Vous voulez être l'un des premiers à bénéficier d'une nouvelle thérapie ou d'un nouveau diagnostic qui n'est disponible que dans un essai clinique.
Vous souhaitez contribuer à l'amélioration du traitement du diabète de type 2 pour d'autres patients, également.
La médecine de demain aujourd'hui
En participant à une étude, vous avez l'occasion d'être l'un des premiers à bénéficier des derniers résultats de la recherche. Dans le cadre d'études, vous recevrez des médicaments nouvellement mis au point, des approches thérapeutiques améliorées ou de l'aide et du soutien dans le traitement de votre maladie.
Meilleurs soins
Si vous participez à une étude, vous serez suivi de près dans un centre d'étude professionnel près de chez vous. Vous bénéficiez de l'expérience de nos collaborateurs sur place.
Pendant votre participation à l'étude, vous recevrez un examen intensif de médecins et de spécialistes expérimentés, tels que des nutritionnistes ou des infirmières spécialisées en diabète. Votre diabète de type 2 est ainsi bien accompagné et suivi et les maladies secondaires peuvent être détectées très tôt.
Des études ont montré que la simple participation à l'étude a une influence positive sur votre traitement par les soins intensifs. Cela signifie, par exemple, que votre état de santé peut s'améliorer.
Nouvel espoir
La participation à un essai clinique peut raccourcir le temps que vous et les autres devez attendre pour obtenir de nouveaux traitements. Ce n'est qu'après la participation d'un nombre fixe de patients que l'on peut tirer des conclusions valables à partir des résultats recueillis.
Ces résultats sont nécessaires pour démontrer les effets positifs des nouveaux traitements et les rendre accessibles à tous.
En participant activement à un essai clinique, vous aurez accès dès aujourd'hui aux traitements de demain et contribuerez à accélérer l'approbation de nouveaux traitements. Vous contribuez ainsi activement au progrès médical.
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Le paradoxe de la vie aka "a little girl"
Des cellules des millions de cellules. Elles s'agitent dans tout les sens, s'emboitent et se deboitent. Pendant des jours et des jours elles tourbillonnent jusqu'à atteindre leur forme finale: moi. Je me sens si tranquille, si paisible. Depuis quelques jours je sens que quelque chose se prépare, j'attend impatiemment ce moment. Je sens une petite partie de mes cellules se détacher: une jumelle. Un cordon si mal dédoublé. J'ai déjà pris pas mal d'avance par rapport à elle. Je la sens contre moi. Deux petits amas de cellules séparés par une paroi protectrice, on se sent, on se frôle. On bouge un petit peu, mais pas longtemps. Je sens de l'angoisse et de l'agitation à l'extérieur, je ressent un étrange mal-être. Une nuit, je sens une force extérieure me happer, alors c'est ça l'exterieur? Je tente du mieux que je peux de respirer, mais on me pose des tubes bizarres sur la peau, ça m'aide à respirer mais je me sens très mal. Tout va vite, très vite, trop vite. On a coupé mon cordon, je n'ai plus ma protectrice, je n'ai plus ma moitié. On me met dans une boîte, le tissu est désagréable contre ma peau, je préférais l'ambiance d'avant moi. J'entends des bruits anormaux, des bips et de l'air en pagaille, la boite bouge beaucoup, je ne sens plus la pesanteur. J'apprendrais plus tard que je suis dans un hélicoptère. Au bout de quelques heures tout se calme, toujours ce bruit incessant, bip-bip-bip. Aucune présence familière à mes côtés, j'ai peur, je comprend pas pourquoi c'est si different d'avant. Les jours passent, le temps me parait long, on me fait mal avec des tiges et des tubes, j'ai mal et je pleure. Je pleure de douleur, mais je pleure de tristesse et de mal-être, où sont-elles? Pourquoi je ne sens plus ma jumelle? Pourquoi je ne sens plus le toucher de ma protectrice? Une présence qui se voulait rassurante mais maladroite se trouve à mes côtés, je sens qu'elle me scrute. Elle a peur, elle est comme toutes les autres présence, elle a peur, elle est triste, mais elle a de l'espoir et elle est heureuse, cette présence. C'est possible ça? Les présences se font plus rares de mois en mois, ma protectrice est revenue mais, elle est anormale, elle est angoissée, elle à peur mais elle est heureuse. Toutes ces présences qui me touchent, me parlent et me scrutent sont amplis d'une tristesse sans précédent, je le sens, je sens que c'est pas normal, je veux mon double, je veux retourner comme avant, je la veux. Je veux de cet avant si joyeux, si beau, je veux sentir sa présence, pourquoi n'est-elle pas avec moi..?
"Le temps me semble long et elle me manque"
Les mois passent, je suis a présent mieux entourée, mais la tristesse est là, dans leur yeux, leur gestes. Au quotidien elle est là. Elle, s'est ma "mère", je dirai de moitié je pense, je le sens que c'est elle qui m'a portée mais elle ne semble plus elle-même. J'ai droit à beaucoup d'attention, des oncles, des tantes, des grands-parents et ils comblent un peu ce manque. Une seule personne ne me prend pas dans ses bras, il me regarde comme si j'était la chose la plus fragile et la plus belle au monde, je l'aime beaucoup, j'ai l'impression qu'on se ressemble lui et moi. Un an puis deux, la surproduction à laquelle j'ai droit à chaque jour qui passe me tient isolée, comme dans un cocon, et j'y suis bien. Mais il manque quelque chose, encore. J'ai commencé à marcher, mon grand-père s'était mis en tête de me faire marcher et il a réussi, mon second grand-père lui, il m'a enfin prise dans ses bras, il me parle beaucoup, il me montre des livres, me fais la lecture, j'adore ça.
"L'un m'a fait passer sa passion pour la création, l'autre celle des livres et de l'écriture"
Deux ans, il s'est passé bien des choses, dont l'arrivée d'un frère et une soeur qui me comble de joie, mais je suis un poil jalouse parce que j'ai moins d'attention. C'est l'année de l'entrée à l'école, on m'en a vanté les mérites, les copains, les jeux et tout. Mais une fois qu'on m'y a laissée, j'ai ressentie la chose la plus horrible qui puisse être donnée de connaitre: l'abandon. Je n'ai pas pleuré, ça je ne le fais jamais, c'est un principe, pleurer amène la tristesse et la tristesse j'en suis bercée depuis longtemps. J'attend et ne fais que ça, j'attend ma maman mais aussi quelqu'un d'autre mais je ne sais pas qui, mais il y'a quelqu'un. Je ne joue ni ne parle avec personne. Du coup on m'a amenée voir une psy, je l'aime bien cette dame, du coloriage et des jeux, chez elle je m'y sens bien. Mais je suis toujours silencieuse. Je sens une certaine pression dans la salle aujourd'hui, je ne bouge pas comme à mon habitude, pas un sourire, rien. J'entends ma mère parler, elle pleure, mais elle raconte quelque chose qui me touche beaucoup, je comprend qu'elle parle de quelqu'un, ce quelqu'un c'est la personne qui me manque, je le sais, c'est tout. Depuis ce jour, je me sens mieux, un peu mieux à l'école. Les grands n'ont pas l'air de comprendre ce changement soudain mais je le sais moi, ou plutôt je le sens.
"Je ne comprenais pas ce qu'ils disaient, mais je sais de quoi ils parlaient"
Les années ont passées, j'ai maintenant huit ans. Encore des séances chez la psy, à chaque nouvelle classe, à chaque nouvelle école, j'aime bien cette dame. Encore une fois, comme en maternelle, je ne parle que très peu, je suis assise sur un banc et j'écoute, comme si je cherchais quelque chose. J'aime bien observer les gens aussi, comme si je cherchais quelqu'un. Il manque quelque chose mais je sais pas quoi. Je suis très curieuse aussi, à la maison, je cherche beaucoup, de partout, comme si j'allais trouver quelque chose. Aujourd'hui, je suis tombée sur une carte, je sais lire donc je sais qu'il s'agit d'une carte de naissance, mais il y'a deux prénoms. Après quelques explications, on m'a dit que c'était ma jumelle, on m'a parlé de notre naissance et de mon entrée en vie très difficile. J'y pense souvent à ma soeur, je lui parle et je l'imagine, elle est un peu comme ma copine imaginaire, une copie de moi-même, tantôt fantôme, tantôt une présence. Comme ce matin, je faisais du vélo au centre de loisirs, j'ai eu peur de tomber et j'ai prié très fort ma soeur de me protéger, et ça à marché. Depuis ce jour, je lui parle beaucoup.
"Elle est comme une amie imaginaire, comme une déesse protectrice"
Dix ans. Dix ans que je n'aurais jamais voulu voir. Mon grand-père disait "cette année tu passe à deux chiffres", je resterais à deux chiffres toute ma vie, c'était le commencement de la vie de grand. Cette année-là, en avril, mon grand-père m'a offert comme chaque fois, un livre, c'est un livre sur la philosophie, il y'a une note dedans, une carte sur laquelle il me dit combien il m'aime, combien je lui suis précieuse, sa première petite fille, il me dit qu'il me fait des milliers de baisers et de câlins. Je ne l'ai plus revu, il est décédé deux mois plus tard. Après avoir déposé une rose sur sa tombe je me rappelle très distinctement avoir pleuré, pleuré comme jamais auparavant, cette personne était peut-être la seule qui m'ai donné tout son amour, et elle m'avait été arrachée comme ma soeur. J'en ai voulu à la vie d'être comme cela. Beaucoup.
"C'est la seule personne qui m'a montrée à quel point je lui était précieuse"
L'année suivante, une série est passé à la télé. Cette série aura bercé sept ans de ma vie, mes jours et mes nuits, mes songes les plus profonds. J'ai laissé passé toute une période de ma vie, du collège et le début du lycée, quelques amies mais surtout la série. C'est comme si elle m'avait maintenue en vie. Mais à la fin du collège, j'ai commencé à me sentir triste, tout le temps, des larmes de tristesse, de la peine infinie.
"Il me manquait des bras, il me manquait des mots doux."
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De l'écologie : déconologie et démonologie... ou l'inverse ?
Autre sujet qui n'a pas fini de ne pas nous ''lâcher les baskets'', dans la lignée de ce qu'ils appellent l'écologie, dont nous parlions hier. Décidément, nos grands hommes (dont je ne me lasse pas de constater qu'ils sont tout petits) sont comme les trains : une bêtise peut toujours en cacher une autre... voire plusieurs. Leur ''stock'' semble inépuisable ! Au moment où vous vous y attendez le moins, croyant qu'ils ont atteint leur ''taf'' hebdomadaire, ils vous en sortent une autre, superbe, de derrière les fagots et... les re-voilà En Marche pour une nouvelle ''sortie de route'' de taille XXL Je crois qu'il n'y a rien à faire, c'est con génital (je ne résiste pas !).
Comme pour conclure en beauté cette année 2020 qui les a vu étaler leur nullité multi-pluri-polymorphe, une nouvelle place sur le podium leur est promise avec leurs ravageuses folies sur tout ce qui a trait, après les éoliennes, aux bagnoles –qui n’ont rien à voir, mais que leur nullité arrive à faire se retrouver. C'est bien simple : quels que soient le temps ou la saison, ils persécutent de leur sale haine primaire (qui est même ''primate'' pour beaucoup --J'ai les noms, ajoutait Coluche !), outre les conducteurs, pressurés sans limite, les moteurs diesels, les moteurs à essence et aussi l'énergie nucléaire... pêle-mêle, dans une poursuite effrénée de l'un de leurs fantasmes les plus dangereux : le mythe fou de la ''décroissance''.
Tout le monde se souvient de cette apocalyptique apostrophe de Carlos Tavarès, le brillant patron de Peugeot-Citroën –tout sauf un con, lui-- le 16 octobre 2018, qui mérite qu'on se la remette en mémoire : "Le monde est fou. Le fait que les autorités nous ordonnent de n'aller que dans une direction technologique, celle des véhicules électriques, est un gros tournant. Et je ne voudrais pas que dans trente ans, on découvre quelque chose qui n'est pas aussi beau que ça en a l'air, sur le recyclage des batteries, l'utilisation des matières rares de la planète, ou sur les émissions électromagnétiques de ces batteries en situation de recharge (...). Toute cette agitation, tout ce chaos, vont se retourner contre nous parce que nous aurons pris de mauvaises décisions dans des contextes émotionnels.". Deux ans et demi plus tard, la situation est encore plus dramatique, grâces en soient rendues à Barbara Pompili... qui nous met en marche... vers Pompéi, hélas (si j'ose ce jeu de mots !).
Ou en sommes-nous, vraiment, aujourd'hui ? Avec de nouveaux alliages, qui acceptent des hautes température de fonctionnement, des taux de compression plus élevés et l’intégration de système de suralimentation (les turbos), on a obtenu des moteurs diesel aussi performants que les moteurs à essence, plus fiables, avec une meilleure longévité et qui consomment moins (je mets, pour dire cela, mon ancienne casquette de dirigeant du groupe Perkins, alors le leader mondial des moteurs diesel -C'était dans les années 1965/70). Sachant qu'entre deux moteurs, les gens ont tendance à choisir le plus performant, le succès des moteurs diesel, aidé par la fiscalité moins confiscatoire du gazole, a été fulgurant, et la campagne de dénigrement du moteur préféré des usagers devait donc être violente ! Elle l’est.
Les politiques ont donc mobilisé la presse. Et ensuite, on ''bourre le crâne''... on muselle tout opposant quel qu'il soit... puis on ajoute à ce mélange une poignée de fous furieux intégristes qui se prétendent ''verts'' mais sont rouges... et c‘est parti pour façonner l’opinion publique et fabriquer du faux consentement. (NDLR : on peut remarquer que cette recette maudite a parfaitement re-fonctionné, jusqu'à maintenant en tout cas, pour ''la crise du covid'' !). Et vous verrez que quand on sera revenu à 2 véhicules essence pour 1 véhicule diesel, on retrouvera des vertus au gazole pour taper sur l'essence, comme par magie. D’autant que le problème majeur du rejet des particules par le diesel a été résolu, par l’adjonction de filtres à particules qui piègent 99% des émissions. Mais la vérité ne sert à rien, hélas !
Aujourd'hui, à grands coups d’énormes budgets de propagande éhontée, il se vend de plus en plus de véhicules électriques... mais à quel vrai prix ! On les dit très ''écolo'' et bons pour la planète, et on va donc installer des milliers (en France, et des millions, pour toute la terre) de bornes pour recharger toutes ces batteries. Seulement, voilà... La batterie de la Telsa ''S'' (par exemple) pèse 544 kg, soit le quart du poids total, pour une autonomie théorique de 500 km, et encore. On y trouve 16 kg de nickel, un métal rare qui ''pousse'' en Indonésie et en Nouvelle Calédonie et qui est compliqué à extraire et à raffiner, et a un rendement de 1,3 % par tonne extraite, les autres millions de m³ de gravats étant déversés dans les océans où ils ravagent les fonds marins, ce dont les écolos de salon se balancent !
Cette intéressante batterie contient aussi 15 kg de Lithium. Ce métal vient surtout des Andes (à >3000 m d'altitude) et son extraction, à base de saumure, est réputée être ''une catastrophe écologique''... mais les écolos de salon s'en foutent, aussi. Il y a aussi 15 kg de cobalt, que l’on extrait par l'exploitation d'une main d’œuvre enfantine payée 2 $/ jour... Mais pour nos écolos de salon, tout est bon pour tuer l'essence et le diesel. Encore un petit détail : la batterie de ces voitures électriques qu'on nous incite à acheter est si lourde qu'elle force à ''se démerder'' pour que la carrosserie ne pèse plus rien... ce qui explique pourquoi l'aluminium ensanglante mers et océans de millions de tonnes de boues rouges qui tuent toute vie sous marine. Mais on s'en fout comme du reste, n'est-ce pas ? Ce qui compte, c'est d'abattre l'ennemi, le monstrueux diesel (même si ce qualificatif n'est plus mérité) ... et tant pis si pas une seule de toutes ces idées ne tient la route une seconde !
Car personne ne dit mot du fait que si le diesel polluerait la planète avec ses particules fines mauvaises pour nos poumons... les moteurs à essence, eux, sont responsables de rejets de CO² très supérieurs, qui contribuent au réchauffement de la planète en attaquant la couche d' ozone... et que tout cela n'est rien, comparé aux trois problèmes fondamentaux, totalement insolubles pour longtemps encore : (a)- les batteries seront bientôt toutes produites en Chine, avec les risques sur la qualité et les dangers stratégiques induits par cette seule phrase, (b)- personne n'a la moindre idée de ce que la planète pourra faire des dizaines de millions (au début !) de batteries hors d'usage qu'il faudra bien... on ne sait quoi : détruire ? recycler ? les deux ? comment ? à quel prix ? et (c )- et, in cauda venenum, comment allons nous faire pour produire ces quantités énormes d’énergie électrique propre... pour réduire l'empreinte-carbone des véhicules électriques... pour que ce ''grand pas en avant'' (tu parles !) ne soit pas un désastre écologique total, via le recyclage des batteries... ou pour trouver suffisamment de matières premières dites rares pour faire les cellules de ces batteries, ravageuses dans la durée ? On a vraiment mis le doigt dans un engrenage qui va tout ravager, tout détruire, et nous, au premier chef.
Une fois de plus, des politiciens incultes imposent des décisions à long terme qui sont autant de catastrophes inévitables, faute d'avoir osé résister à la mode, au''prêt-à-penser'' aussi faux que mortifère, et aux ''lobbies'' polarisées sur le court terme (mais... si généreux !). Mais à part Carlos Tavares, cette vox clamantis in deserto, qui a jamais posé la question de la mobilité dans sa globalité ? Or, une étude de l'ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) affirme : ''contrairement à ce que croient la plupart des gens, qui sont soumis à une propagande continuelle des politiques et des industriels, la voiture électrique n’est pas plus vertueuse pour le climat que la voiture thermique, essence ou diesel''... et précise même : ''La voiture électrique n’est pas plus écologique que la voiture thermique. L’argent public consacré à son développement est donc totalement injustifié''. Mais tout ce qui na pas l'air ''progressiste'' est délibérément ignoré par le gouvernement et par la Presse, englués dans leurs fausses analyses d'un autre siècle. Et dire que certains s'étonnent encore lorsque je psittacise mon refrain préféré : ''le monde est fou, et la folie est sortie des asiles...''.
H-Cl
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Le carnet de Saul
Je vais vous raconter l'histoire d'un carnet. Il possède une jolie reliure, des pages bien sûr, qui portent chacune un numéro en bas à droite, ou à gauche. Je vis, depuis longtemps maintenant, dans un grenier. Il y fait froid l'hiver, et chaud l'été. Ce carnet, c'est moi. Je n'ai pas changé de place depuis plusieurs dizaines d'années. Lorsque vous m'ouvrez, vous ne trouvez pas sur mes pages d'histoires fantastiques, ni de notes, encore moins la liste des courses. Non. Mes pages sont blanches comme neige. Asseyez- vous confortablement, je vais vous raconter mon histoire.
Un jour, la porte du grenier s'est mise à grincer. Jamais un jour je n'aurais imaginé cela possible. Depuis des dizaines d'années, je n'ai jamais vu personne. Je suppose que différentes familles sont venues vivre dans cette maison. Elles se sont sûrement succédées sans jamais soupçonner l'existence de ce grenier, accessible par une porte minuscule au fond du placard de la chambre. C'est pourtant mon foyer depuis toujours. Du moins, aussi loin que je me souvienne.
La porte grince. Un rai de lumière entre lentement dans la pièce. Des pas prudents et légers progressent vers le centre du grenier. C'est une petite fille. Elle a l'air si douce et si gentille. Va-t-elle me voir ? Elle porte une robe bleue ciel, parsemée de petits nuages blancs. La pauvre petite n'a pas l'air rassurée. Pourquoi est-elle ici alors ? Comme si elle avait entendu mes pensées, elle fait demi- tour en courant, se dirige vers la porte et se rue les deux mains tendues vers l'interrupteur. À ma grande surprise, la vieille ampoule daigne nous offrir un peu de sa lumière.
OOOooooh... murmure l'enfant. La lumière, faible et orangée offre une ambiance chaleureuse à cet endroit oublié. Au sol, de vieux tapis tressés et tissés. Des malles, des boîtes en carton, un vieux cheval à bascule à qui il manque une oreille, des coussins défraîchis, des vieilles poupées poussiéreuses et décoiffées jonchent le sol. Subitement, Saul, la petite fille, n'a plus peur. Pour elle, c'est décidé, cet endroit deviendrait sa cachette, une cachette rien qu'à elle.
Le lendemain, Saul arrive les bras chargés. Cook, son gros chat sous un bras, un paquet de gâteaux sous l'autre, elle a décidé de passer son mercredi après-midi dans le grenier. De toute façon, dehors, il fait bien trop froid. Cook se débat, se libère de l'étreinte maladroite de Saul, et vient s'étirer en écartant ses griffes sur l'un des tapis.
La petite fille fouille les moindres recoins du grenier. Boîtes, malles, étagères, tout y passe. Sa curiosité est insatiable. Coiffée d'un vieux chapeau de paille trouvé dans l'une des malles aux trésors, Saul s'avachit sur un coussin, exténuée par ses recherches. Quelque chose semble la gêner. Elle se tortille, plonge sa petite main sous le coussin et en sort un vieux carnet, Moi. Elle me tient à bout de bras, les yeux écarquillés. Rapidement, elle m'ouvre, tourne mes pages jusqu'à la dernière, et me referme brutalement. Elle me pose à côté d'elle, et semble maintenant être perdue dans une profonde réflexion.
Après le dîner, j'entends des pas dans l'escalier. C'est Saul qui arrive comme une fusée dans le grenier, devenu son refuge. Sans tarder, elle s'assoit près de moi, me saisit, m'ouvre, et pose son stylo sur ma première page.
Je m'appelle Saul. J'ai 9 ans. Mes parents se disputent souvent. Je suis très timide, alors mis à part Cook, mon chat, je n'ai pas d'amis avec qui jouer dans les bois ou prendre le goûter. J'ai trouvé un grenier dans ma nouvelle maison. Mes parents ne le savent pas, et je ne vais pas le leur dire. J'adore cet endroit. C'est le plus beau que je connaisse. C'est dans ce grenier que j'ai trouvé ce carnet. Si j'avais un ami et qu'il se sentait seul comme moi, je lui dirais que ce n'est pas grave. Quelque part, quelqu'un est là pour lui, ou elle. Et la vie a cela d'excitant. Chaque jour, plutôt que de penser qu'on est seul, on se demande où est notre ami, ce qu'il fait. On peut même lui donner un prénom si on veut. Le mien, je vais l'appeler Jake. Je ne sais pas où il habite, je ne sais pas ce qu'il est en train de faire en ce moment. Peut-être que chez lui, il n'est pas la même heure que chez moi. Peut-être qu'il habite à l'autre bout du monde, ou peut-être qu'il habite dans la même ville que moi. Alors, à tous les enfants qui se sentent seuls, pensez à votre ami.
Saul repose le carnet, fière d'avoir pu s'exprimer de cette façon. Elle ne l'avait jamais fait jusqu'alors. Viens, Cook, on va goûter.
Saul et le chat disparaissent de la pièce à la vitesse de la lumière en laissant claquer bruyamment la porte derrière eux.
EN POLOGNE
Plusieurs jours se sont écoulés. Quand Saul revient, dans l'idée de raconter ses dernières journées, aventures et mésaventures vécues à l'école, c'est la stupéfaction. À la suite de ses dernière lignes, d'autres ont été écrites.
Merci Saul. Moi, je m'appelle Jack. J'ai 8 ans. J'habite dans une petite ville en Pologne. Tes mots sont apparus comme par miracle sur le mur de ma chambre. Ils m'ont réconforté. J'habite ici depuis peu de temps. Depuis que je t'ai lue, je pense à mon ami, quelque part sur terre, ou peut-être même ailleurs, qui sait ? Je t'écris directement sur mon mur, pour que mes mots te parviennent. A bientôt. Jack.
A ce moment, le coeur de Saul s'emballe, elle ne sait comment réagir à ce phénomène incroyable mais pourtant vrai. Sans tarder, elle saisit son stylo et les mots courent sur le papier.
LE PRISONNIER
-C'est merveilleux ! pense Saul.
Lorsque j'écris dans ce carnet, je communique avec quelqu'un. Peut-être mon fameux ami. Cela me rend si heureuse, j'aimerais dire à tous ceux qui se sentent seuls et tristes que tout peut arriver.
-La magie existe, il suffit juste d'y croire, se dit la petite fille.
J'ignore quelle magie s'est introduite dans ma cellule cette nuit. Je suis emprisonné depuis si longtemps, si seul, je n'imaginais pas ce genre de phénomène possible. Sous mes yeux, en beau milieu de la nuit, des mots écrits de la main d'un enfant sont apparus sur le mur de ma cellule. La fraîcheur et l'espoir sont entrés dans cette prison ce soir-là. Qui que tu sois mon enfant, merci. Peut-être suis-je simplement devenu fou. Finalement, la vie peut être belle. Voilà que, comme dans mon enfance, je me remets à croire à la magie et aux bonnes fées.
-Un prisonnier ! Incroyable ! s'exclame Saul.
-Je peux m'adresser à plusieurs personnes ! se dit-elle.
Les jours passèrent ainsi, Saul remplissant avec toujours plus d'enthousiasme et de passion les pages du carnet. Pirates, princesses, souris, grands-mères ou chevaliers, chacun reçut un jour la visite de Saul, lorsque tous leurs espoirs se trouvaient au fond de leurs chaussettes.
Après de nombreuses années passées seul dans ce grenier, mes pages blanches n'ayant demandé qu'â être remplies ont trouvé toute la force de leur usage, avec l'aide précieuse de Saul.
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L'islam est-il, en fait, compatible avec le reste du monde ?
Nous avons évoqué les relations de l'Islam avec des pays symboles. Concluons ce survol par un rapide tour du monde, qui devrait remettre en question les dérives si dangereusement islamophiles de la macronie, du PAF et de la Presse française en général : l'islam et la charia'a posent de tels problèmes au monde entier que seuls nos retardataires-par-système arrivent encore à psalmodier leurs couplets défaitistes et leur aveuglement dépassé. Hélas, la France est en place de déshonneur, avec les ''pas de deux'' de notre Président ces dernières 48 heures).
Aucun de nos médias n'est prêt à avouer à ses victimes (que l'on appelle, par convention, des ‘’lecteurs’’ ou des ‘’auditeurs’’) que le monde s'est soudain mis à bouger, pour une fois dans le bon sens, celui, précisément... du bon sens, devant les excès commis au nom de l'islam par les plus zélés de ses serviteurs (NDLR - islam voulant dire ''soumission'', ses religionnaires ne sont pas des ''fidèles'', comme dans les autres monothéismes, mais des ''serviteurs'' -ce que revendique le nom ''Abd--'' et comme le précise le Hadith dit ''sur le bon comportement'' : ''Le Prophète (...) dit : '' Soyez des serviteurs d’Allah et des frères des musulmans comme [Allah] vous l’a ordonné'' [tiré du Riyad as-salihim -le jardin des vertueux], Et pour une fois aussi, il ne s'agit pas que des pays victimes de l'immigration massive (et rarement bienveillante), ni de ces ''populistes'' sur lesquels les ''idiots utiles'' aiment cogner d'autant plus fort que c’est eux qui ont raison, souvent et de plus en plus souvent Dès que l'on regarde au delà des cataractes de mensonges orientés que déversent sur et dans nos têtes les médias français et les députés LREM, on est frappé par la vitesse de cette prise de conscience, sous la menace permanente et tous azimuts que lancent au monde entier l'islam et sa barbarie (la charia’a). Le monde réagit avec une fermeté et une vitesse hier encore inenvisageables. Commençons ce tour du monde par le Japon, qui refuse aux musulmans toute installation permanente et toute possession de biens immobiliers ou d'entreprise, qui interdit tout culte de l'Islam sur son territoire national et où, mieux (ou pire) encore, tout touriste musulman pris à répandre la parole de l'Islam est expulsé immédiatement, avec tous les membres de sa famille. Quel pot ils ont, ces japs !
Continuons notre périple par deux pays qui ont longtemps fait figure d'exemple en matière d'adaptation aux faux dieux de la modernité et du progressisme. La Norvège d'abord : ce pays réputé si ''libéral'' et social-démocrate vient d'expulser plus de 22.000 musulmans en un an (c'est est un record !) “pour lutter contre la criminalité” avec comme conséquence immédiate que les actes criminels ont chuté de 72 %, que les prisons norvégiennes se retrouvent ''par miracle'', avec 50 % des cellules ‘’sans’’, et que les salles d'audience des tribunaux sont presque vides. Au même moment, (c'était le 10 novembre), en Suède (pays déjà mentionné ici), l'ex-PDG de Scania mettait ses concitoyens en garde contre le risque d'une guerre civile à cause de l’immigration. Stefan Löfven, le Premier ministre social-démocrate si bien pensant, celui-là même qui avait promis (sic !) que la Suède jouirait en 2020 du taux de chômage le plus bas de l'UE, rit jaune, et Morgan Johansson, le ministre suédois ‘’de la Justice et des Migrations’’ (?) qui, en février 2019, se moquait ouvertement de ceux qui disaient que l'immigration de masse conduirait à un chômage de masse… ne rit plus du tout, lui. Mais... soyons ''classe'' : passons.
Plus tristement comique est le cas de Cuba, cet ex-paradis de ceux qui refusaient d'ouvrir les yeux pour voir, cet ex-parangon des névropathes dystopiques qui ont passé des décennies à nous casser les oreilles avec ce temple de la c... folie. Eh ! bien Cuba vient de rejeter les plans de la première mosquée projetée sur son territoire C'est bien simple : ils ne veulent pas en entendre parler. Plus surprenant encore, l'Angola, nation africaine s'il en est, vient de décréter l'islam interdit, officiellement, seule grande religion sans statut légal… et il semblerait que plusieurs autres pays africains s'apprêtent à suivre cet exemple ! Ne parlons pas de la Chine –qui est loin d'être un exemple mais que l'on peut mentionner au passage : le régime ne recule devant rien pour rendre la vie difficile aux musulmans (les ouïgours ont droit à des traitements dissuasifs) et de nombreuses familles de musulmans seraient prêtes à retourner dans leur pays d'origine, pour leur sécurité.
En Europe, c'est changement de décor : d'un côté, il y a eu l'année dernière 81 mosquées attaquées en Allemagne, et la police autrichienne a arrêté 13 hommes qui recrutaient pour le djihad. Mais d'un autre côté c'est trop souvent que des juges déclarent ''malades mentaux'' tout assassin qui zigouille ses semblables en hurlant ''Allahou akbar'' ! Mais les réfugiés musulmans de la marée qu'Angela Merkel avait encouragée (c'est le seule véritable tache à son bilan, mais elle est énorme !) commencent à se rendre compte qu'ils ne sont pas les bienvenus dans les pays envahis, à cause des violences commises par le monstrueux ad-dawla al-islāmiyya fi-lʿirāq wa-š-šām , autrement dit : Daech), qui enrôle de force les pères et les garçons, assassine les bébés et fait des esclaves sexuelles des mères et des filles.
Reprenons notre périple à travers l'Europe, où la même tendance s'intensifie : Priti Patel, la nouvelle British Home Secretary, qui est originaire du Goujarat (Inde), dit préparer un nouveau statut civil : le "Comportement anti-social'' (mot compliqué pour dire loi d'expulsion) contre les extrémistes musulmans à double nationalité''. En République tchèque, on refuse ouvertement l'islam, considéré comme ''le mal''. En Pologne, une ''Ligue de défense polonaise'' a averti les musulmans de ne pas pénétrer dans le pays. Aux Pays-Bas, plusieurs députés ont demandé le retrait de toutes les mosquées, et l'un d'eux a même déclaré : "Nous voulons nettoyer les Pays-Bas de l'Islam". Machiel De Graaf, Député aussi, a déclaré, au nom du Parti pour la liberté, que ''Toutes les mosquées aux Pays-Bas devraient être fermées. Sans l'Islam, les Pays-Bas seraient un pays sûr et merveilleux, comme il était avant l'arrivée des musulmans réfugiés'', ce qui ressemble très fort à une provocation.
En Irlande, de nombreux musulmans s'en vont, ''à cause de violences anti-islamiques'', après une attaque de musulmans à Belfast par un groupe dit ''the Berserkers'' (NRLR : le berserkr, en patois norrois, est un ''guerrier-fauve'' que la colère rend capable des plus invraisemblables exploits) qui ne supportent pas que des gangs d'adolescents musulmans propagent que les irlandaises ''devaient toutes être violées selon les règles de l'islam et de la charia'a ''. Plus grave encore : le personnel hospitalier est maintenant réticent à traiter les patients musulmans, qui sont renvoyés chez eux après le traitement minimal "Band- Aid" (= premiers soins), au cri devenu rituel de ''Good Riddance'' (= bon débarras ! NDLR). Ambiance !
Aux Etats-Unis, où six états ont introduit une législation spécifique à l'islam (ce qui n'est pas du tout dans la tradition américaine, un nouvel amendement interdira, en Alabama, les "lois étrangères'', ce qui vise directement la ''charia'a"... qui est désormais considérée comme une infraction pénale en Caroline du Nord. On verra le temps que va mettre l'Administration Biden-Harris à comprendre les véritables nouvelles données de la géopolitique mondiale Le prénom de la Vice-Présidente, Kamala (''la perfection’', en arabe), est Déesse de la Sagesse en inde. Espérons !
Concluons ce survol peu réjouissant en rappelant que, comme toujours, pas un seul de ces récits accablants ne va entraîner le moindre “mea culpa” des fausses belles âmes sectaires qui poursuivent de leur haine tous ceux qui annoncent exactement cela depuis des années (les Eric Zemmour, Matthieu Bock-Coté ou Renaud Camus…). Cependant malgré elles (ou contre eux), il semblerait que les choses bougent un peu partout. Sauf en France, où l'accès à toute autorité officielle reste confisquée par ceux qui veulent la fin des haricots et déroulent ''encore plus'' de contrôle, de surveillance et d'autoritarisme infantilisant contre les citoyens.
Mais chez nous, la Police n'a pas pour fonction d'aider les citoyens ou de les protéger contre les malfaisants et de faire que la peur soit du côté des voyous : le Pouvoir actuel attend surtout d'elle qu’elle ''flique'', qu'elle interdise, qu'elle pinaille... préférant se dégonfler piteusement devant chaque décision urgente. La dernière série de reculades en rase campagne de notre exécutif à propos de la loi contre l'islamisme qui ne contient même plus le mot islamisme, qui leur a foutu une trouille panique : ils sont déjà bel et bien ''islamisés'' (soumis). Question terrible : jusqu’ou l’égarement pétochard de nos ‘’dégonflés-par-système’’ va-t-il nous entraîner ?
H-Cl
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