#qui ne se connaissent pas
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Deux gars, qui ne se connaissent pas, viennent d'être jugés et condamnés à la prison. Ils entrent le même jour à la maison d'arrêt, et ils sont mis dans la même cellule. L'un dit : - J'ai fait une escroquerie et j'ai pris 10 ans. Et toi ? - Moi, j'ai fait du secourisme, et j'ai pris 20 ans ! - Mais c'est impossible ! On ne met pas les gens en prison pour avoir fait du secourisme ! - Mais si ! Ma belle-mère saignait du nez, alors je lui ai mis un garrot autour du cou !
#Deux gars#qui ne se connaissent pas#et ils sont mis dans la même cellule. L'un dit :#- J'ai fait une escroquerie et j'ai pris 10 ans. Et toi ?#- Moi#j'ai fait du secourisme#et j'ai pris 20 ans !#- Mais si ! Ma belle-mère saignait du nez#alors je lui ai mis un garrot autour du cou !
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13 : s'adonner à leur passe-temps favori
Lorenz observe son ancêtre, le Brave de la Terre Mettius Gloucester Paenitens dit les Mains Fertiles, exercer son métier : potier.
Nouveau jour, nouvelle paire d'ancêtre et de descendant avec Lorenz qui rencontre son ancêtre Paenitens, qui n'est pas pas exactement comme il l'imaginait.
Paenitens est un homme très calme, très silencieux et consciencieux qui aime par dessus tout travailler tranquillement seul dans son atelier sans qu'on vienne le déranger, tout en étant très fier de son travail qui est également sa passion (sa relation avec sa sorcellerie a une base... compliquée). Il n'y a pas grand-chose qu'il déteste plus que quelqu'un qui viendrait le voir en lui demandant "mais pourquoi tu n'utilises pas tes pouvoirs pour faire tes pots plus vite et plus ?" car, il considère que c'est bâclé le travail et que ces céramiques faites sans efforts n'ont aucune valeur. S'il vous refile une céramique fait comme ça, c'est qu'il veut vous voir dégager de son atelier, s'il ne vous a pas déjà fait dégager en déplaçant la terre sous vos pieds. Il peut être gentil et il aide son village sans souci en rendant les terres plus fertiles mais, il est juste pas très sociable et aime sa tranquillité, même si sa langue se délie assez facilement pour parler métier et technique. C'est ce qui lui a permis de se lier d'amitié avec Indech (il est l'un des deux seuls Braves à avoir rencontré un nabatéen avant la guerre dans ma fanon), ils pouvaient passer beaucoup de temps à travailler ensemble et ils ont fini par devenir amis avec le temps.
Alors, je vous laisse imaginer le contraste décapant avec Lorenz quand ils se rencontrent !
Si de visage (pour la moitié de visage qui reste à Paenitens), ils se ressemblent beaucoup tous les deux, Lorenz est aussi flamboyant, fanfaron et très fier de son rang que Paenitens discret, taiseux et modeste. Il est également très étonné de sa relative pauvreté : les légendes autour de Gloucester ont gardé le fait qu'il soit potier de base, il est même reconnu pour ça et être un excellent peintre, même si c'est assez peu évoqué pour surtout se concentrer sur sa sorcellerie qui a rendu les sols de Gloucester extrêmement fertiles, et Lorenz s'imaginait plus quelqu'un ayant un atelier avec plusieurs petites mains, et lui ne s'occuperait que de la peinture des pièces les plus prestigieuse. Alors se retrouver avec un homme habillé très simplement qui fait tout lui-même dans son coin et qu'il n'a pas d'employé à part une aide chez lui, et qui se définit lui-même comme étant d'abord un potier, un membre de son peuple puis un sorcier... voilà quoi, d'un côté, il est extrêmement fier d'avoir un ancêtre aussi talentueux mais de l'autre, il ne s'attendait clairement pas à ça.
Autre point qui l'étonne, c'est son handicap très lourd. Paenitens boite vraiment, même avec sa canne (qu'il a fait tenir à Lorenz pour éviter qu'elle ne tombe tout le temps), marche difficilement, et a beaucoup de mal à utiliser le côté droit de son corps, qu'il cache constamment sous ses très longs cheveux de sorciers (la coiffure de Lorenz après l'ellipse viendrait également des représentations de son ancêtre qu'il imite).
En fait, ce qui a rendu infirme Paenitens - Ultor à ce moment-là, littéralement "le vengeur" -, c'est qu'il n'a pas suivi les règles de la sorcellerie dont la règle fondamentale est que le sorcier doit toujours payé le prix de sa sorcellerie lui-même, règle qu'il n'a pas suivi lorsqu'un jour, ivre de colère et de vengeance contre "la créature de feu" et trouvant qu'il ne progressait pas assez vite, il a tenté d'utiliser une petite partie de l'énergie vitale d'un animal pour se renforcer lui-même. Dès qu'il a essayé, sa sorcellerie s'est complètement retourné contre lui et au lieu d'ajouter une fierté, elle s'est mise à dévorer son côté droit. Si Kelon (l'ancêtre de Claude, d'une cité voisine, même si c'est deux peuples différents) ne l'avait pas senti et arrivé aussi vite grâce à ses ailes, Paenitens serait mort à cause de sa transgression. En punition, tout son côté droit est à découvert avec quelques morceaux de muscle qui reste mais, c'est surtout un squelette de métal (qui vient d'une fierté pour le coup, ça a renforcé son corps) qui n'a plus beaucoup de force, d'où le fait qu'il est beaucoup de mal à se mouvoir et a besoin d'aide dans sa vie quotidienne (c'est vieux mais, il ressemble au dernier dessin dessin sous la coupe - attention, horreur corporel -). La sorcellerie, c'est dangereux, il faut respecter les règles sinon, elle ne vous ratera pas, ce qu'il a appris à ses dépends.
Il ne vivait que pour sa vengeance à ce moment-là, il voulait se venger de la "créature de feu" qui avait chassé son peuple de sa ville (même s'il oublie assez vite que si elle a fait ça, c'est parce que son peuple a lui a capturé et asservi tous les hommes de son peuple à elle en son absence - car ils ne l'avaient pas écouté mais ça, c'est une histoire pour plus tard - et qu'elle ne les a pas asservis, elle les a "juste" chassés étant donné qu'une fois vaincu après un coup pareil et vu qu'ils cherchent à s'installer, on met à mort les têtes pensantes et on réduit en esclavage tous les autres afin d'avoir de la main d'oeuvre docile, et au lieu de leur voler tout ce qu'ils avaient, elle les a laissés partir avec une grosse partie de leur bétail et de la nourriture pour éviter qu'ils meurent de faim et grand mécontentement de son propre peuple à elle, elle a pris un sacré risque et a surement dû imposer sa décision aux siens au lieu de la voter) et reprendre ses terres mais là, d'un, il se retrouve lourdement handicapé en pouvant à peine marcher correctement, de deux, ses pouvoirs vont nettement moins bien se développer qu'ils ne le devraient après une telle transgression, et pour finir, Kelon lui dit clairement qu'il ne pourra jamais vaincre sa "créature de feu", elle le fera juste fondre avant et elle est bien trop forte pour lui, tout en lui expliquant que dans sa cité, normalement, quand on s'installe quelque part, s'il y a déjà un autre peuple qui habite-là, on le réduit en esclavage une fois vaincu mais, pas l'esclavage antique classique où vous avez un espoir de vous faire libérer, non, là, y a quasi aucun espoir d'être affranchi un jour, on leur inculque bien qu'ils sont inférieurs et juste des serviteurs avec tout un tas de mesure humiliantes et coercitives et pour faire taire ceux qui se plaignent trop fort ou qui ont un caractère trop fort, il y a la cryptie à la fin de l'agoge (entrainement des enfants de citoyens) des meilleurs élèves, où ils doivent tuer des hilotes sans se faire prendre.
Kelon connait très bien cette "créature de feu" alors, il sait qu'elle est contre l'esclavage et encore plus qu'on traite les hilotes de cette manière et que dans la situation où ils étaient tous, ça devait la meilleure des solutions : les chasser en les laissant en vie avec de quoi survivre pendant un moment, et en empêchant les hommes de sa cité ne les poursuivre pour les asservir. On est chez des grecs pour ces deux-là, c'est très dur d'imaginer qu'on puisse avoir des relations d'égal à égal (c'est quand même eux qui ont inventé le concept d'hégémon qui domine tous les autres et est au sommet tout en profitant bien au passage) alors que deux peuples aussi différents puissent se mélanger, même si Kelon et "la créature" peuvent y penser en se disant "on peut peut-être cohabiter sans s'entretuer tout le temps, même si c'est très difficile" sans que l'un puisse asservir l'autre ou l'écraser, c'est quasi impossible pour leurs contemporains, les cités grecques se battaient entre elles pour des arbres coupés au mauvais endroit quand même.
Même eux, on leur dit que dans le futur, des peuples très différents à leur époque vont se retrouver dans le même pays et que leur continent va être divisé en trois territoires dirigés par de grandes familles de manière héréditaire, ce serait limite lunaire (moins pour elle mais quand même, elle trouverait ça profondément stupide de laisser autant de pouvoir à un seul roi sans un deuxième pour qu'ils s'entretuent tous les deux pour avoir la primauté sur l'autre, et sans les éphores pour les réguler et les calmer quand ils font n'importe quoi, et beaucoup plus pour Kelon qui vit dans une démocratie), surtout que les grecs sont très jaloux de leur indépendance. C'est même assez général cette manière de pensée que "on peut se supporter de loin mais, faire des alliances entre peuples très différents les uns des autres, on va pas pousser, on se connait tous assez peu et on est en concurrence pour le territoire, sauf peut-être des alliances militaires pour dégager un voisin un peu trop agressif et encore, c'est vraiment de circonstance et ça ne dure pas" alors, ça ne vient pas tout seul l'idée de cohabitation entre deux peuples, encore plus entre un qui est de culture grec / spartiate et un de culture bien plus celte et gauloise pour celui de Paenitens (c'est par exemple le cas pour Simplex, Pertinax et Laeta, respectivement ancêtre des Blaiddyd, Fraldarius et Dominic qui sont extrêmement proches, ils ont passé des années comme conservi, des compagnons d'esclavage, ont survécu à la servitude ensemble, sont devenus des sorciers ensembles et même mené une révolution qui abolira l'esclavage dans le peuple de Simplex ensemble mais, ils ne se diront jamais "amis" de leur vie jusqu'à la veille de leur mort car, ils savent qu'il y a toujours un risque que leurs peuples entrent en guerre les uns contre les autres et qu'ils ne veulent pas les trahir, même si ça les déchirerait de s'affronter les uns les autres). Ce qui maintient un semblant de paix entre les cités, c'est souvent qu'il y a des sorciers dans l'une des deux et pas dans l'autre, ce qui impose rapidement un rapport de force et qu'en général, les sorciers sont assez sages pour éviter d'utiliser leurs pouvoirs à la guerre histoire de ne pas faire trop de dégâts, même si c'est un équilibre fragile, et quand Némésis passe, puis les adrestiens passent en interdisant la sorcellerie en les pensant complices de Némésis et des agarthans (et tombant dans le piège de ces derniers au passage visant à brûler tout ce qui les a remplacé à la surface, que ce soit les créations de Sothis ou ses "enfants adoptifs"), ça rabat toutes les cartes avec des peuples qui profitent que le sorcier d'à côté meurt à force de ne pas pouvoir s'entrainer pour venir les terres du voisin plus petits et crée un chaos monumental. Enfin bref, revenons à l'histoire de Paenitens quand Kelon lui explique qu'il ne pourra sans doute jamais vaincre son ennemie et que lui-même se rend compte qu'il ne pourra surement pas faire le voyage.
En plus de tout ça, c'est sans compter qu'il va bientôt avoir une nouvelle arrivante dans leur coin : Daphnel, Brave des Vents surnommée par son peuple (d'origine duscurienne, là où Kelon arrive d'Almyra et est de culture grec pour un équivalent dans notre monde, et celui de Paenitens est descendu de Sreng en quête de meilleures terres et poussé par d'autre peuple, et il est d'inspiration gauloise... oui, ça va être compliqué pour s'entendre, surtout qu'aucun des peuples des trois ne parlent la même langue ou une langue proche pour ne pas arranger les choses) "la Bourrasque enragée" quand elle le retrouvera à cause de son tempérament de feu et plutôt sanguin, également bien remontée contre le peuple de Paenitens après que ce dernier ait souvent attaqué son peuple à elle pour capturer des gens et les réduire en esclavage, elle compris, ce qui a poussé son peuple à quitter leurs terres pour arriver sur les futurs terres de Daphnel - et en ayant plus beaucoup de nourriture à emporter vu qu'ils se faisaient piller tout le temps -, et elle adore cette "créature de feu" qui la libérer de sa cage d'esclave et élevée donc, elle ne le laissera pas trop s'approcher ou passer par ses terres. Comment dire qu'au début et pendant un bon moment, c'est compliqué.
Quand ils se rencontrent ces deux-là et qu'ils finissent par apprendre comme ils peuvent la langue de l'autre pour se comprendre un minimum (même si c'est surtout Paenitens qui doit se mettre au grec vu que c'est la langue maternelle de Kelon et que Daphnel le parle couramment aussi, même si c'est un dialecte différent du sien), elle ne lui fera aucun cadeau, encore plus en voyant bien qu'il a utilisé de la magie interdite, et lui mettra bien la tête au fond du plat pour lui rappeler que ouais, niveau esclavagisme et traitement des esclaves, ils étaient particulièrement horribles, même pour l'époque, et les traitaient aussi comme des animaux, ce qui a poussé son peuple à elle à se barrer à force d'être harcelé et pillé, et sa "créature de feu" a eu des problèmes quand elle les a laissé filer ainsi avec de la nourriture vu que normalement, les vivres, tu les gardes jalousement pour toi, et parce que les siens ont trouvé qu'elle s'était comportée en tyran pour avoir décidé pour tout le monde sans consulter personne. Sous le règne du peuple de Paenitens, Daphnel a quand même fini elle-même dans une cage sans nourriture pendant des jours car elle se débattait trop et qu'elle aurait surement fini tuer à cause de ses tentatives de fuite, tant pis si on gaspille la marchandise, on en récupérera toujours d'autres chez les voisins ! Ils ont surtout goutté à leur propre médecine ce jour-là (en légèrement moins pire vu qu'elle les a laissés partir avec une partie de leur réserve), et étrangement, quand on se retrouve de l'autre côté de la barrière, c'est nettement moins confortable. Pour Daphnel, même si elle est d'accord sur le fait que ce soit horrible de se faire chasser de sa maison ainsi - son propre peuple a subi la même chose quand même alors, elle sait à quel point c'est horrible -, au final, ils n'ont fait que subir ce qu'ils ont fait subir aux autres, et c'est pas elle qui va les plaindre pour s'être pris les conséquences de leurs actes en pleine figure, et ils ont évité le pire vu qu'ils auraient pu être tous asservis jusqu'au dernier pour devenir des hilotes.
Alors, après un long moment à réfléchir alors qu'il panse ses blessures et tout ça, même si c'est dur car c'est à quoi il a consacré sa vie pendant tout ce temps, il décide de laisser tomber sa vengeance et de se concentrer sur son peuple. Il se rend compte qu'il a oublié le plus important à cause d'elle et que cela lui a fait faire quelque chose d'atroce car, il ne pensait qu'à ça tout en négligeant son peuple alors qu'il avait besoin de lui, surtout que ses pouvoirs sont bien plus utiles pour aider les autres que pour faire couler encore plus de sang. Il en voudra toujours à cette "créature de feu" et même s'il ne la recroisera jamais de sa vie, ce serait extrêmement tendu s'il la recroise et il la haïra jusqu'à sa mort mais, vu son état et ce que sa soif de vengeance l'a déjà poussé à faire, il préfère se reconcentrer sur son peuple et prend le nom de Paenitens, "qui regrette, qui se repent", pour essayer de réparer toutes ses erreurs, notamment tout ce qui l'a mené à sa transgression.
Il reprend donc son métier de base et devient potier. Il ne s'arrêtera jamais de s'entrainer, autant parce que le jour où il s'arrête, ça le tuera car il a trop de magie en lui pour s'arrêter, mais aussi car il se rend bien compte que sa magie peut aider son peuple. Paenitens maitrise la terre, il fait donc tout ce qu'il peut pour rendre leurs terres les plus fertiles possibles pour qu'ils aient tous ce dont ils ont besoin, et n'ait pas besoin d'avoir recours à de la main d'oeuvre servile en attaquant les voisins. Il se met aussi à voter constamment pour éviter la guerre afin de ne pas recommencer le cycle de violence, surtout qu'avec autant de sorciers puissants, ils risqueraient de transformer leurs terres en enfer à ciel ouvert s'ils s'affrontaient, surtout que même s'il a à peu près le même âge que Daphnel, Kelon est bien plus âgé et pourrait sans trop de problème les vaincre s'il donnait tout ce qu'il avait, même s'il ne veut surtout pas en arriver là. Il a une relation très tendue avec sa propre magie, il est quand même devenu sorcier à la base pour se venger, et la moitié droite de son corps lui rappelle sans cesse ce qu'il a osé faire pour ça mais, il arrive petit à petit à mieux l'accepter quand sa magie devient une source d'aide pour les siens plus qu'un outil de mort et de vengeance.
Au moment de sa vie où il en est dans ce dessin où il rencontre Lorenz, plus de trois cents ans se sont écoulé depuis ses évènements et il s'est bien calmé. Il a fini par accepter sa magie et l'utilise toujours pour fertiliser les champs de son peuple (bénédiction toujours présente dans le présent) mais aussi un peu pour s'aider au quotidien avec son handicap. Les relations avec ses voisins sorciers vont un peu mieux, même s'il ne le montre pas trop étant donné qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver entre trois cités aussi différentes et que l'ombre d'une possible guerre plane toujours. Il s'est même fait un ami d'un voyageur un peu étrange qui parcourait ce qu'il appelait "Fodlan" pour étudier les techniques artisanales des différents peuples qu'ils croisent, et qui était très intéressé par la sorcellerie, un certain Indech, un gentil artisan très timide et préférant la solitude de son atelier à la foule, comme Paenitens. Ils vont devenir très amis avec le temps, et jusqu'à la fin, Paenitens s'en fera beaucoup pour lui, surtout après que Némésis l'ait vaincu et forcé à boire du sang de la même couleur que celui d'Indech, ayant très peur que ce soit celui de son ami, avant de le retrouver bien plus tard mais malheureusement pour eux, ce sera sur le champ de bataille mais ça, c'est pour plus tard. Là, il peint tranquillement ses pots avec Lorenz qui est d'abord très étonné par sa personnalité et sa manière d'être, puis apprendra à respecter son ancêtre pour qui il est et son talent, même si ça ne correspond pas forcément à l'idée qu'il s'en faisait à la base.
Comme toujours, un point sur le dessin en lui-même :
Pour les motifs des pots de Paenitens, je me suis basé sur cet article et je m'en étais pas rendu compte à la base mais, c'est un article de Robert Périchon qui parle des céramiques du Crêt Chatelard. Alors, Robert Périchon, ça commence à dater mais, c'est solide en général pour tout ce qui est matériel pur, et vous avez une autre raison de passer dans la Loire : voir Crêt Chatelard et ses fouilles gauloises ! C'est incroyable tout ce que les dianistes ont sorti là-bas ! (et aller à la Diana de Montbrison, c'est très intéressant aussi !) Donc, ça tombait bien !
Pour la coupe de ses vêtements, je me suis inspirée des reconstitutions du Parc Samara comme très souvent. J'ai juste débarrasser Paenitens de tout bijou, motif un peu tape à l'oeil, ornement... pour le rendre plus austère, ce qui colle à sa pénitence, il pense qu'il n'a pas à porter des bijoux aussi voyant, et à sa personnalité plus discrète, tout en le mettant en opposition avec Lorenz qui aime tout ce qui est très vif et soigne beaucoup son apparence.
Je l'ai tourné du côté gauche afin qu'on puisse voir son expression (son côté droit est constamment caché par ses cheveux, il ne le montre que pour mettre en garde les gens), ainsi que ses fiertés : sa peau est assez meubles, un peu comme de l'argile, même si elle craquèle à plusieurs endroits à cause des retombés de sa transgression. Même si c'est surtout son côté droit qui est tombé en lambeau, son côté gauche aurait dû subir le même sort si Kelon n'était pas arrivé à temps.
Enfin, ça ne se voie pas beaucoup mais, sa main droite est entouré dans des bandages afin de cacher qu'il n'a plus qu'un squelette de métal (qu'on peut voir dépassé sur son cou et une partie de son nez) et quelques ligaments pour tenir tout ça. Il peut aussi entourer sa main d'une gangue de terre pour mieux cacher ça et pouvoir mieux utiliser sa main droite mais, il le fait rarement, autant pour de nouveau respecter sa punition, mais aussi parce que ça l'épuise.
#fe3h oc drawcember#fe3h oc#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'est l'histoire de Brave dont je suis le moins sûre mais j'espère que l'équilibre est respecté...#si vraiment cette histoire là est trop mauvaise ou enlaidit trop les personnages je la changerai#si la plupart des Braves ne se connaissent pas - encore moins tous - ceux qui se connaissent n'ont pas forcément de bonnes relations#le trio de Faerghus s'entend très bien avec Loquax qui est plus à part mais est pacifique alors ça passe...#mais pour Leicester c'est une toute autre histoire et les passifs entre les peuples peuvent être très lourds#il y a de ça à Faerghus même si ça calme mais côté Leicester s'est bien plus vif#et t'as aussi les limitations de l'époque où on peut penser qu'on se supportera les uns les autres surtout en cas de pépin pour tous...#mais finir dans le même pays uni voir pire avec un roi unique... c'est limite le pire des scénarios vu qu'ils perdraient leur indépendance#ce qui est extrêmement important pour eux évidemment surtout vu les différences entre eux#(ils rencontre El dans le présent qui leur dit que c'est SON peuple à ELLE elle va juste se faire attaquer car juste...#...non ! On est indépendant nous ! On a rien à demander à une famille impérial qu'on ne connait même pas !)#Pyrkaïa a pris un gros risque en les laissant partir ainsi vu qu'eux aussi auraient bien pris cette nourriture...#et normalement on ne prend pas une décision seul chez elle- on vote toujours en groupe- seuls les tyrans décident seuls#mais entre ce qu'elle considère les urgences pour son propre peuple et la situation avec ce qu'elle deviendra des hilotes s'ils restent#c'était pas la mieux mais la moins pire des solutions pour tout le monde même si elle déteste ce qu'elle a dû faire#c'est clairement pas une bonne solution mais elle a fait ce qu'elle a pu tout en devant passer en force#et même si les spartiates sont un peuple assez agressif ils vont réussir à se calmer avec elle qui veille au grain et les circonstances#(histoire de ne pas finir comme le peuple d'avant aussi)#Paenitens a évidemment du mal à l'avaler mais il finit par comprendre même s'il la haït toujours#ce serait des relations très compliqué entre eux... même si ironiquement les deux connaissent des nabatéens et s'entendent bien avec eux#et qu'ils aimeraient bien pouvoir s'y rendre un jour... ce serait explosif#Pyrkaïa a même sans doute déjà entendu parler de Paenitens par son mari qui le tient d'Indech#Daphnel a un tempérament très vif mais elle est là pour les têtes dans le plat magistral et pour le coup Paenitens en avait besoin#et de son côté Kelon espère qu'un jour tout le monde s'entendra en pouvant garder ses spécificité#comme il le dit ils sont sorciers c'est les seuls qui savent ce que vivent les uns les autres pendant des siècles
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#Pourquoi la peur de l'autre ? de l'étranger ? Comment passer outre ?#La peur de l'autre est souvent liée à l'inconnu et à l'ignorance.#Les gens peuvent avoir peur de ce qu'ils ne connaissent pas ou de ce qui est différent d'eux.#Cependant#cette peur peut être surmontée en apprenant à connaître et à comprendre les autres cultures et les personnes différentes de nous.#La communication et l'empathie sont également des outils importants pour surmonter la peur de l'autre.#Il est important de se rappeler que nous sommes tous des êtres humains avec des besoins et des émotions similaires#et que nous avons plus de similitudes que de différences.#Pour passer outre cette peur#il y a plusieurs moyens comme :#- S'informer sur les cultures et les communautés qui nous effraient#ceci permet de comprendre les différentes perceptions et les différentes valeurs.#- Se rapprocher de ces cultures et ces communautés de manière directe en engageant des conversations et en participant à des activités cult#reconnaître les propres préjugés et travailler à les surmonter#-Adopter une attitude d'ouverture d'esprit et de curiosité envers les différences.#Il est important de souligner que cela n'est pas un processus instantané et que cela nécessite de la patience#de la persévérance et de la volonté de changer ses perceptions.#Youtube
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Je suis un peu inquiète par la montée du puritanisme dans la sphère du RP. Ça ne devrait pas être quelque chose de surprenant, ça suit inévitablement le mouvement que l’on voit de plus en plus sur certains types de réseaux sociaux, avec une chasse au sexe, à la représentation et tout ce qui est jugé peu ou pas en lien avec les bonnes mœurs. C’est triste, car après nous être battus pour une libération sexuelle, on part dans l’effet inverse.
Je ne prêche pas pour ma paroisse, je joue très peu de smut, ce n’est pas quelque chose qui m’intéresse plus que ça, mais je vois de plus en plus de comportements très sectaires de plus en plus de joueureuses. J’ai vu des gens regretter qu’il y ait autant de smut ou de fos +18, des gens faire la morale à d’autres pour vouloir jouer un certain type d’orientation sexuelle (qu’il y ait ou non idée ou sous-entendu que le personnage n’aurait pas une libido ou un rapport à la sexualité normal (et qu’est-ce que c’est qu’un rapport normal, au final ?)), j’ai vu des gens demander à ce que le RPQ soit limité à des fos privés, j’ai vu beaucoup de gens crier à la fétichisation (sans être soi-même concerné par l’identité concernée, ni réellement savoir ce qu'il en est de la personne en face), j’ai vu des gens faire des remarques déplacées lorsqu’un kink / pratique sexuelle peu courante était mentionnée à coup de « il y a des choses qu’il ne vaut mieux pas savoir », etc.
Est-ce qu’on prône la tolérance ou est-ce qu’on est en train de demander à des gens de se cacher pour avoir une libido ? Je voudrais rappeler, quand même, qu’une grande partie des créations littéraires (ou de la fanfiction) qui fonctionne contient du sexe, que ça soit uniquement grivois ou outrageusement explicite. Le désir sexuel et l’excitation est une chose normale, ne pas en avoir ou peu en avoir l’est aussi, mais c’est un mécanisme qui ne devrait pas être caché. La plupart des fos ont adopté un système de TW, de CW, de hide et de floutage pour ce genre de scènes, et il me semble que la plupart des gens respectent ces règles.
Je pense qu’il faut aussi rappeler qu’un personnage RP n’est pas une personne réelle, qui ne représente pas une situation universelle ou réelle, n’est (normalement) pas la personne derrière l’écran et n’est pas le vecteur de la morale et de l’éthique de cette même personne. On peut écrire quelque chose sans vouloir soi-même le reproduire IRL, on peut écrire quelque chose parce qu’on le fantasme IRL mais qu’on n’a pas l’occasion ou l’envie de le faire soi-même, on peut écrire quelque chose parce qu’on joue avec des poupées et que faire cette chose est un moyen de détente. On peut aussi écrire quelque chose parce que c’est un moyen pour nous de nous sentir mieux, d’explorer des mécanismes, de les comprendre, parce que certains ont besoin de revivre des scènes ou de les créer. On n’écrit pas uniquement pour écrire du juste, du bon, du réel, de la morale ou de l’éthique.
Je crois qu’il faut aussi se rappeler de temps en temps, car ça fait du bien, qu’on ne sait pas grand-chose de la personne en face. Partir du principe qu’une personne est forcément non éduquée, forcément cis hétéro, surtout sur une communauté aussi queer, qu’elle n’a aucune expérience de ce qu’elle joue ou aucune connaissance est un risque moral personnel. A vouloir chercher le mal partout, on finit par le trouver, ou pire l’imaginer. Notre expérience personnelle n’est pas universelle, l’expérience de la personne d’en face non plus, et chaque témoignage apporte de nouvelles visions, mais ne suffit pas à permettre de parler au nom de toutes les personnes. A trop voir le mal, on perd de vue le principe du RP : l’écriture et le plaisir du jeu.
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Le besoin d’un amour transcende toutes les époques, tous les pays, tous les âges, tous les sexes..À l’époque, il y avait maints dangers, dont le sida. Mais on n’avait pas peur. On était plus fous, plus insolents, plus inconscients, moins soucieux de notre représentation- Le bonheur ne dépend pas du temps. Mais il n’empêche que choisir sa vie, c’est choisir son bonheur. Nous sommes dans l’ère du ‘paraître toujours plus jeune’ malgré l’âge que nous avons. C’est un état d’esprit culpabilisant, comme si avoir son âge était une honte… Les femmes doivent se libérer de certaines valeurs dont nous abreuve la société. Car prendre des années, c’est aussi gagner en connaissance –*La maturité devrait nous permettre de dépasser ces peurs. C'est l'amour qui devrait gagner, nous faire aimer la personne encore plus, malgré le temps, ou plutôt grâce au temps. Je suis convaincue que, si l'on vivait à 100 % à tous les âges de sa vie, alors, à 50 ans, on n'aurait aucune envie de revenir en arrière Parce que, à 20 ans, On fait connaissance avec ses premières émotions. Le sentiment que tout est possible ne nous quitte pas. Je pense que c'est quelque chose qui appartient à l'être humain, du début à la fin de sa vie. C'est notre trésor, et c'est à nous de l'entretenir. C'est aussi un état d'esprit. Comme on travaille la souplesse d'un corps qui, en vieillissant, a tendance à se rigidifier. C'est la même chose pour la pensée et le désir. A nous de nous ouvrir, de lire, d'échanger, de garder cette vibration intérieure, se réserver du temps à soi. Enfant, on grandit avec ce rêve-là. On a tous envie, au fond de soi, d'un nid d'amour, de chaleur, de protection et de communion. Et partager cette aspiration est l'une des plus belles choses qui soit. A condition que ce soit un amour vrai, honnête et libre. Qu'on ne s'accroche pas à l'autre comme à une bouée de sauvetage, par dépendance ou par convention sociale
Les Amandiers. Conversation entre présent et passé.
film de Valeria Bruni Tedeschi
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Coup de gueule de graphiste
Bonjour tout le monde
Je sais évidemment que des fois c'est dur de trouver l'avatar qui convient parfaitement à votre idée de personnage. Parfois le style ne correspond pas, ou la vibe etc
Et je sais aussi que parfois c'est frustrant quand on se dit qu'un avatar aurait PRESQUE pu convenir mais qu'un détail ne va pas
Et malheureusement à part passer commande auprès d'un.e graphiste en lui exposant bien la vibe recherchée, espérer trouver un jour l'avatar parfait ou se rabattre sur un avatar presque parfait il n'y a pas d'autres solutions... (Du moins pas à ma connaissance)
Par contre
C'est pas la première fois que je vois passer dans les crédits des avatars sur des forums "le pseudo du graphiste + "un peu modifié ""
On parle là d'avatars faits par des graphistes, avec leur style, leur coloring, leur typo etc et quelques réglages en plus (qui du coup gâchent tout parce qu'ils sont réalisés directement sur le "produit fini" si j'ose dire) réalisés par les joueur.euse.s qui estimaient sans doute que l'avatar n'était parfaitement à leur goût.
Au début je pensais que c'était qu'un cas isolé mais après en avoir vu plusieurs sur plusieurs forums différents avec à chaque fois des noms de graphistes différents je me suis rendu compte que c'était sans doute plus répandu que je ne le pensais
Donc, s'il vous plaît, touchez pas à mes créations.
Si vous trouvez qu'un de mes avatars manque d'un truc pour correspondre à votre idée n'hésitez pas à me le dire. Je garde la grande majorité de mes PSDs et je serai ravi de tenter de coller au maximum à la vibe recherchée mais n'allez pas/plus télécharger mes avatar pour les modifier de votre côté sans me demander et même sans me prévenir.
Merci d'avance
La bonne journée (et le bon weekend)
#coud de gueule du vendredi soir#répéter les memes choses c'est fatiguant#forum rpg#rpg français#french rpg#rpg fr#rpg francophone
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Science et vérité: de la différence entre connaissance et savoir
Il n’y a de savoir que de lalangue.
Le psychanalyste établit une différence notable entre: “connaissance” (S2) et “savoir” (S1—>S2)
«Le savoir ne s’acquiert pas par le travail, et moins encore la formation qui du savoir est l’effet.
Ce qui n’est nullement dénier le savoir du travailleur, voire si l’on veut, du peuple, mais affirmer que pas plus que les savants, il ne l’acquiert par son travail.
Galilée, ni Newton, ni Mendel, ni Gallois, ni le mignon petit James D. Watson ne doivent rien à leur travail, mais à celui des autres, et leurs trouvailles se transmettent en un éclair à qui a seulement la formation qui s'est produite de court-circuits du même ordre, et numérisables, même si l’ennui scolaire en a éteint la mémoire.
N’importe quelle mère de famille sait que la lecture est un obstacle à son travail, le premier manœuvre venu que c’en est l’échappatoire, l’ouvrier communiste, qu’il y prend ses lettres de noblesse.» (Lacan)
La différence entre le savoir et l’acquisition de connaissances, qui, elle, procède de l’apprentissage, est probablement ce qui fait que dans la psychanalyse, on enseigne ; on continue d'enseigner tout en sachant que c'est intransmissible.
Cela ne veut pas dire que l’on enseigne quoi que ce soit. Autrement dit que l’enseignement soit une transmission de savoir.
Il se pourrait même que l’enseignement soit l'obstacle principal à la conquête du savoir.
Il n’y a de savoir que savoir de lalangue, écrit comme ça, en un mot, car tout savoir véritable est marqué du sceau de la jouissance, et il ne saurait y avoir de savoir que joui.
Loin de se situer en opposition à la pratique , la théorie - ce qui s'appelle à proprement parler “théorie”, du Grec theoria qui veut dire vision - est ce qui naît de la pratique pour en éclairer les modalités concrètes.
Le plus important, dans l'enseignement, c'est ce qui se passe, la valeur du savoir tient de l'usage que l'enseignant en fait - et donc sa façon singulière d'en jouir, plutôt que de son “échange”…
Lacan est très sévère avec le discours universitaire qui se trouve dans un rapport radical d’antipathie avec le discours de l’analyste. L'acquisition de connaissances du discours universitaire est à mettre au compte de la passion de l'ignorance, le savoir concerne autre chose, ce bout de Réel dont, en tant que sujet, je EST affligé, et que seul le discours de l’analyste, qui est de structure mœbienne, permet d’amener au jour.
«Le statut du savoir implique comme tel qu’il y en a déjà du savoir, et dans l’Autre, qu’il est à prendre en deux mots, c’est pourquoi il est fait d’apprendre en un seul mot. Le sujet résulte de ce qu’il doive être appris, ce savoir, etmême mis a-prix, p.r.i.x., c’est-à-dire que c’est son coût qui l’évalue non pas comme d’échange mais comme d’usage. Le savoir vaut juste autant qu’il coûte beaucoup en deux mots et c.o.û.t. avec un accent, beau-coût de ce qu’il faille y mettre de sa peau, de ce qu’il soit difficile, difficile dequoi ? Eh bien moins de l’acquérir que d’en jouir. Là dans le jouir, sa conquête à ce savoir, sa conquête se renouvelle dans le chaque fois que ce savoir est exercé, le pouvoir qu’il donne restant toujours tourné vers sa jouissance. Il est étrange que ceci n’ait jamais été mis en relief, que le sens de savoir soit tout entier là, que la difficulté de son exercice lui-même, c’est cela qui réhausse celle de son acquisition.» (Encore – 20 mars 1973)
Lorsque Gérard de Nerval dit: «Le premier qui a comparé la femme à une fleur était un poète, le deuxième un imbécile», il pointe le statut de la vérité qui fait structure de tout discours.
La vérité n’est pas à confondre avec l’exactitude ni le vrai.
Un énoncé peut être parfaitement exact ��� une formule de Lacan par exemple ! — cela ne signifie pas que le locuteur dit la vérité.
Il n’y a pas plus contradictoire à l’enseignement de Lacan que d’ânonner ses énoncés sans y mettre tout le poids de sa propre énonciation.
Il n’y a pas pire trahison de l’enseignement de Lacan que de rabattre ses énoncés sur la structure du Discours Universitaire, qu’il taxait lui-même de Discours du Maître perverti, celui de «la honte» que les soi-disant psychanalystes ont «à revendre»…
La vérité n’a pas de contraire, elle ne prend pas son statut de l’exactitude de tel ou tel énoncé mais des conséquences réelles à venir pour le sujet qui l’énonce.
Sans un risque réel pris par le sujet de l’énonciation — celui qui importe vraiment — l’énoncé peut être vrai, il n’en est pas moins exempt de vérité.
Le seul savoir auquel j’aie accès, c’est la fente dont se définit le sujet, le réel dont je “est” affligé.
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
#mixte 1963#voltaire high#alain laubrac#joseph descamps#jean-pierre magnan#fanfiction#oneshot#fluff#angst#school au#voltaire high fanfiction#x reader
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J’ai appris qu’on ne peut pas forcer quelqu’un à nous aimer. Tout ce que l’on peut faire, c’est être quelqu’un qui peut être aimé. Le reste leur appartient. J’ai appris que peu importe à quel point je me soucie de quelqu’un, certaines personnes ne s'en soucient pas en retour. J’ai appris qu’il faut des années pour établir la confiance et seulement quelques secondes pour la détruire. J’ai appris qu’on peut se débrouiller grâce au charme, pendant environ quinze minutes. Après cela, il vaut mieux que tu saches quelque chose. J’ai appris que soit tu contrôles ton attitude, soit elle te contrôle. J’ai appris que peu importe à quel point une relation est chaude et torride au début, la passion s’estompe et il vaut mieux qu’il y ait quelque chose d’autre pour la remplacer. J’ai appris que parfois, les personnes dont on s’attend à ce qu’elles te donnent un coup de pied quand tu es en bas sont celles qui t’aident à te relever. J’ai appris que parfois, quand je suis en colère, j’ai le droit d’être en colère. J’ai appris que la véritable amitié continue de grandir, même sur la plus longue distance. Il en va de même pour le véritable amour. J’ai appris que ce n’est pas parce que quelqu’un ne vous aime pas comme vous le souhaitez qu’il ne vous aime pas de tout son cœur. J’ai appris que la maturité dépendait davantage des expériences que vous avez vécues et de ce que vous en avez appris qu’elle dépendait moins du nombre d’anniversaires que vous avez célébrés. J’ai appris que votre famille ne sera pas toujours là pour vous. J’ai appris que peu importe la qualité d’un ami, il vous fera du mal de temps en temps. J’ai appris qu’il ne suffit pas toujours d’être pardonné par les autres. Parfois, il faut se pardonner à soi-même. J’ai appris que peu importe à quel point votre cœur est brisé, le monde ne s’arrête pas pour votre chagrin. J’ai appris que notre passé et nos circonstances peuvent avoir influencé qui nous sommes, mais nous sommes responsables de ce que nous devenons. J’ai appris que ce n’est pas parce que deux personnes se disputent qu’elles ne s’aiment pas. Et ce n’est pas parce qu’elles ne se disputent pas qu’elles s’aiment. J’ai appris que nous n’avons pas besoin de changer d’amis si nous comprenons que les amis changent. J’ai appris que deux personnes peuvent regarder exactement la même chose et voir quelque chose de totalement différent. J’ai appris que peu importe comment vous essayez de protéger vos enfants, ils finiront par être blessés et vous le serez aussi dans le processus. J’ai appris que votre vie peut être changée en quelques heures par des personnes qui ne vous connaissent même pas. J’ai appris qu’il est difficile de déterminer où tracer la ligne entre être gentil et ne pas blesser les sentiments des autres et défendre ses convictions.
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saga: Soumission & Domination 360
Espagne 2015-2
Première fois sur la plage.
Au téléphone j'avais donné rendez-vous à Gaz et Baz. On les retrouve sur le coup des 15h. Ils sont là depuis quelques jours et se sont déjà fait des amis. Quand on arrive, ils jouent au volley avec d'autres mecs. On leur fait signe, ils quittent le terrain pour venir nous rouler des pelles. Gaz mate les gamins et mes escorts alors qu'il embrasse Ludovic. Ils se font engueuler par les joueurs jusqu'à ce que PH et Ernesto les remplacent.
Le reste du groupe les suit pour poser nos affaires avec les leurs. Ça papote et je me fais assaillir de question pour savoir qui est qui. De mon côté je les interroge sur leur disponibilités et la liberté que leurs parents leurs laissent.
Comme Baz a brillamment passé sa première année de prépa, et que Gaz passe aussi en année supérieure ils leur lâchent la bride. Ils pourront découcher alors ? Réponse oui mais pas tous les soirs ! Bon c'est toujours mieux que rien d'autant plus que leurs après-midi sont libres miammmm.
Nous regardons le match. Mes amours se débrouillent bien et leur équipe gagne. Je regarde les autres mecs. Du même âge que nos amis, ils sont tout bronzés et musculeux. Je fixe sur leurs maillots mon regard caché par mes lunettes de soleil. Des Speedo et Aréna. Un Addicted sort du lot. Le mec aussi ! Ce n'est pas le plus vieux mais c'est le mieux balancé avec une belle gueule en plus. Quand la partie est terminée, on se joint à eux pour plonger dans l'eau.
Reflexe amusant, quand mon petit groupe touche l'eau, tous nous nous éloignons de la plage dans un crawl synchro. A 250/300m on fait demi-tour, nos amis et les nouvelles connaissances sont resté plus près du sable sauf l'Addicted ! Au retour je le rattrape et le tire par le pied. Il ne s'y attendait pas et boit la tasse. Je l'aide à rester à la surface le temps qu'il crache l'eau salée et reprenne sa respiration. J'en profite pour présenter mes excuses. Les autres tracent et sont presque rendu à la plage quand nous nous remettons à nager. Une brasse lente qui nous permet de discuter.
Il s'appelle Jaime il a 18ans et va rentrer en fac à la fin de l'été. Il fait du volley et un peu de natation. Il est là pour tout le mois car il va travailler en août (serveur) pour aider ses parents à payer ses études.
Quand nous sortons de l'eau, je m'aperçois qu'il est aussi grand que moi, un peu moins large d'épaule mais joliment balancé quand même. Bien que très noir de cheveux pas très courts en pétard, il est quasiment imberbe et j'ai l'impression qu'il rase le reste puisque ses aisselles sont glabres elles aussi. Son maillot Addicted met bien en avant un paquet qui me semble tout sauf mini.
Alors que le groupe est en train de s'essuyer, je l'embarque à marcher le long du rivage, les pieds dans l'eau. Il hésite et, en tendant le bras vers le groupe, me dit qu'il est avec ses amis. Je balaye l'argument en lui disant que les miens sont avec les siens.
Je lui dis que je suis là pour 3 semaines et que nous avons loué une grande villa sur les hauteurs. Je lui donne le quartier, il voit par où c'est. On se dévoile un peu chacun son tour. A un moment je lui demande carrément s'il est gay lui aussi.
Je le vois hésiter, il s'arrête et me dit " plutôt bi". Ok je veux bien le croire après tout. De mon côté je lui avoue que je suis homo mais que je sais faire aussi avec les meufs. Ça le fait rire là façon que j'ai eu de formuler ça. Il est encore plus beau quand ses lèvres s'ouvrent sur deux rangées de dents blanches !!
Je craque et sans lui laisser le temps de réagir, je pose mes lèvres sur les siennes et plante ma langue entre ses dents. Je le sens hésiter puis la sienne vient au contact. Timide, elle tâtonne, explore ma bouche avant que nous nous roulions un vrai patin. Ouaou chaud le mec !! Quand on se décolle, nos maillots sont distendus par nos sexes en érection. Ça me va, on joue dans la même cour.
Je précise que je suis Actif/Passif. Lui aussi ce qui est parfait. J'ajoute qu'il me plait vraiment. Nouveaux rires, il baisse les yeux et me dit qu'il s'en était aperçu.
Je lui demande si son petit copain fait partie de la bande avec qui il traine. Réponse " non, je viens de rompre ". Ça me va encore mieux ! Sans s'en apercevoir nous sommes revenus à notre point de départ et nous nous faisons héler par les autres.
On les rejoint. Les serviettes étalées collées délimitent une bonne surface sur laquelle ils sont tous plus ou moins étalés. Ludovic se lève et me roule un patin. Du coup je présente tout mon groupe à Jaime en précisant les liens et leurs " élasticités ". Comme il va pour s'écarter de moi, je l'attrape par la taille et le recolle contre moi. Le reste de son groupe n'a pas l'air gêné et les miens me disent qu'eux aussi sont tous gay ou minimum Bi. C'est PH qui me les présente. 5 jeunes mecs internationaux. 3 sont quand même espagnols (Jesus, Rubén plus Jaime), ils sont amis, 2 hollandais (Lars et Sven) par encore très bronzés venus ensemble et 1 suédois (Arvid) blond mais doré de peau. Ils sont tous en vacances et ne se connaissent pas depuis très longtemps (sauf les 3 ibères). Le suédois est en échange universitaire à Barcelone et habite là-bas et vient en bus, les 2 hollandais ont trouvé une chambre à pas cher chez l'habitant alors que les trois locaux sont au camping. Sans que Jaime ne cherche à partir, je mate le reste de nos nouveaux amis. Ils ne sont pas indifférents aux mecs de mon groupe.
João me semble même courtisé par les hollandais alors que Romain explique qu'il fait de la gymnastique et réalise une petite démonstration malgré le sable qui n'est pas très stable sous ses mains. Il finit par tomber sur Rubén, le cul juste sur sa bite, étrange non ?
PH passe derrière Jaime et lui tourne la tête et vient à son tour gouter les lèvres de ma conquête (enfin j'espère). Jaime se laisse faire et je le sens plutôt content de ce qui lui arrive. Ses potes le charrient un peu. Je comprends qu'ils lui disent qu'il n'aura pas mis de temps à remplacer un certain Pedro. Réponse de l'intéressé " ça rien à voir, c'est les vacances ". J'ai vu qu'Ernesto s'intéresse aux locaux. Il me fait un clin d'oeil, je comprends qu'il pense à ma filiale Espagnole.
Ma triplette assiège littéralement le plus petit des espagnols, Jesus, mais pas le moins musclé. Je ne sais pas ce qu'ils se disent mais je les suspecte de recruter pour Paco.
On se refait une partie de volley. A 5 contre 5, nous échangeons nos places sans compter les points, juste le fun.
Nouvelle immersion dans la méditerranée pour se rafraîchir ou tout le moins ôter notre couche de sueur mêlée de sable. Dans l'eau les petits viennent me demander d'inviter nos nouveaux amis à la villa. Ils sont sûrs de leur coup avec Jesus pour Paco entre autre. João encadré de ses deux Bataves me fait les yeux du chat de " Shrek ".
Quand on retourne à la plage pour s'étaler en vrac sur les serviettes, je déterre le vieux portable basique qu'on ne craint pas de se faire voler pour appeler la villa. Avant je fais par de notre envie à tous les 9 de les voir finir la soirée et plus avec nous. Bien sûr Gaz et Baz sont compris dans l'invitation.
Hésitation en face de moi. C'est vrai que c'est rapide, puisque ça ne fait que quelques heures que l'on se connait. Pour ne pas les prendre en traitre, je précise que deux " vieux " mais néanmoins grands baiseurs seront de la partie et que notre cuisinier ne sera probablement pas en reste. Nouveau temps de réflexion, discussion en petit groupe sauf pour Arvid qui me demande si on pourra le loger la nuit car il n'aura plus de transport en commun pour rentrer à Barcelone.
Je précise donc que chacun étant libre, ceux qui voudront partir le pourront tout comme ceux qui voudront rester. J'ai dû être convainquant car ils décident tous de venir avec nous.
J'appelle la villa. C'est Paco qui décroche et je lui annonce que nous serons 6 de plus. Evidemment ça ne pose pas de problème. Je le charge de prévenir Marc et Hervé probablement allongés sur la terrasse.
Tous nous renfilons nos shorts sport ou surf selon, les marcels sont glissés à la ceinture et la troupe s'ébranle. Il nous faut une petite demi-heure pour arriver au portail.
Dès ce dernier franchi, les jeunes partent en courant et en se dépoilant vers l'arrière de la maison d'où nous parvient des ploufs et les engueulades gentilles des arrosés.
Quand nous arrivons à notre tour, Marc et Hervé sont debout et nous accueillent. Je ressens chez nos invités un relâchement. Je pense qu'ils appréhendaient nos deux " vieux ". J'avais confiance, s'ils ont plus de 45ans tous les deux, ils en font pas 35 physiquement surtout depuis mon accident ils se sont remis sérieusement au sport et à la muscu.
On fait comme les premiers arrivés et en maillots nous sautons dans l'eau pour ôter le sel séché sur nos peaux.
Quand Paco arrive avec un immense plateau chargé de verre et de boissons fraîches, il est pris d'assaut. Le plateau, pour le mec ça viendra plus tard !
Ce sont les gamins qui déclenchent la touze. Excités par les nouveaux, ils ne se retiennent plus et comme ils sont tous les trois à poil, ça se remarque tout de suite. Ernesto à juste le temps de les prévenir que nous baisons sans kpote entre nous mais avec, avec tous les autres et c'est parti.
Je me réserve Jaime. Je veux être le premier du groupe à planter ma bite entre ses lèvre et ses fesses, être le premier à le sucer et à recevoir sa bite, je veux être le premier c'est tout ! Il n'a pas l'air contre. On s'étale sur un matelas pour découvrir nos corps respectifs. Je dénoue le lacet de son maillot et même comme ça j'ai du mal à le faire glisser sur ses cuisses. Je dois dégager sa queue qui le retenait encore. J'avais cru le voir, maintenant c'est sûr, il est circoncis. Ça dégage son gland et amplifie légèrement le diamètre de sa hampe dans la partie dégagée du prépuce. Il fait de même avec mon Aussiebum, sauf que ce dernier tombe tout seul sur mes chevilles. Petite rotation et passage en 69. Il enfile direct mon gland dans sa gorge ! Je fais de même, pas question d'être en reste. J'aime la différence de couleur de sa peau protégée par son maillot. Sans être aussi blanc que mes propres fesses, ça tranche et m'excite bien. C'est lui qui se retourne à nouveau. Il installe ma bite sous ses couilles et son périnée avant de venir me rouler un patin.
Sa langue est fraîche et vive. Ses lèvres sont douces, encore couverte d'un reste de gel hydratant. Il serre les cuisses pour bien emprisonner ma bite et exécute de petits mouvement pour me " branler ". Je penche sa tête et vient embrasser son cou et manger son oreille. Point très sensible chez lui, sa bite tressaute contre mes abdos !
Pour faire descendre la pression, je le repousse un peu. Mes doigts glissent sur son visage et je lui dis que je le trouve beau. Il rit et me dit qu'il l'est moins que Ludovic ou même PH. Pour Ludo je suis d'accord et le lui dit. Il me demande ce que sont les piercings que nous arborons, Ernesto, João, Romain et moi. Je lui dis, plus tard et plonge à nouveau sur ses lèvres.
Notre soupe de langue fait remonter notre degré d'excitation. Mon gland glisse depuis 5 mn sur sa rondelle et ça le fait gémir. J'attrape une kpote et un flacon de poppers. J'enfile l'une et propose l'autre aux narines de Jaime. Il se positionne en levrette et s'occupe de se gazer lui-même. À genoux entre ses jambes, je pose mon gland sur son oignon et pousse doucement. Ça résiste (tant mieux) puis fini par céder alors qu'il sature sa deuxième narine de poppers. Doucement, délicatement je m'enfonce dans ses profondeurs, gémissements de part et d'autre. J'aime ça et lui aussi !
Je lui travaille la rondelle, il me travaille la bite par ses compressions spasmodiques, nous montons gentiment vers une extase commune.
Ludovic nous rejoint. Il profite de notre position pour, sur le dos, couler sous Jaime en 69. Quand il embouche mon enculé, j'ai droit à un blocage complet de mon va et vient. Ludovic alterne pompage en règle et léchage de mes couilles quand elles passent à sa portée. Jaime lui porte la réciproque et je le vois s'appliquer à alterner gorge profonde et travail du gland à la langue.
Bientôt je sens ses couilles remonter et coller sa hampe. J'accélère et pousse bien à fond mes pénétrations. Il est le premier à juter, couvrant le torse de Ludovic de sa crème blanche. Celle de Ludovic lui passe par-dessus l'épaule. Son jus marbre ses dorsaux mais quelques gouttes atteignent mes lèvres. Ma langue sort les récupérer avant que la pesanteur les fasse rejoindre la mare qui se forme au-dessus de sa colonne vertébrale. J'attrape une serviette, essuie mon nouvel ami avant de la faire tomber sur Ludovic. Jaime se couche sur le dos au côté de Ludovic et je viens me coucher sur eux deux, chacune de mes jambes entre les leurs, mes bras enserrant leurs deux torses et ma tête alternant la droite et la gauche pour leur rouler des pelles.
On éclate de rire tous les trois quand Ludovic et Jaime sortent en même temps " c'était trop bon ".
A nos côtés, les baises se terminent aussi. Pas mal vue ma triplette, Jesus explose alors qu'il fait l'ascenseur empalé sur le mat de Paco. Bien que ce ne soit pas son " format " habituel, Marc termine de saillir Arvid pour un plaisir réciproque. Je sais ce qui l'a attiré dans notre grand suédois. Son visage de jeune homme poussé trop vite.
Je préviens que ceux qui ont reçu du sperme sur eux doivent passer à l douche avant de retourner à la piscine. C'est compris et une file d'attente se crée devant la douche extérieure.
Plongeons, détente dans l'eau puis apéro. Alors qu'on déguste un cocktail maison, Ernesto s'empare de Jaime pour en savoir plus sur le jeune homme. Je reste avec eux et acquiesce ou précise certains points du discours de mon représentant catalan.
Jardinier
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selling on the net the gifts his parents gave him for christmas
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Deux amies qui ne se connaissent pas
ink on discarded riso print
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En Temps et en Étoiles - À la belle étoile
A fun little challenge I gave myself! Translating an In Stars and Time scene (Stargazing with Isabeau) in French! I don't know if something similar already exists..? But hey! It was a funny frenchifying exercise, so I hope you guys will enjoy =v= And to @insertdisc5 J'espère que j'aurai fait honneur à ton superbe jeu et à cette fantastique scène :3
Oh! And if it's enjoyable to anyone else, please send me other scenes you'd like to read in my French way!
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(Tu lèves les yeux vers les étoiles.)
(Tu n'en reconnais aucune.)
Siffrin: "Non, je n'en connais pas."
Isabeau: "Oh."
"... Tu dis que je n'ai pas mis les pieds dans le plat, mais…"
"Sif…"
Siffrin: (Change le sujet.) "Non, non, c'est bon, hahaha !"
"Raconte-moi quelque chose ?"
Isabeau: "Quelque chose ?"
Siffrin: "Quelque chose sur toi."
Isabeau: "Oh, ok! Hm…"
"..."
"Bon, ok, tu sais que je suis de Jouvente, pas vrai ?"
"J'y ai vécu toooooute ma vie !"
"C'est une chouette, grande ville. Avec plus qu'une seule Maison, aussi. Bieeeeen plus grande que Dormont."
"Assez grande pour ne pas connaître la vie entière de chaque personne que tu croises, haha."
"... Bref, tu vas peut-être trouver ça surprenant, j'sais pas…
"Mais quand j'avais l'âge de Bonnie, j'étais genre, le PLUS INTELLIGENT des surdoués du coin."
"Pas légèrement intelligent, ou quoi…
"Mais genre, le gamin le PLUS INTELLO que tu puisses imaginer."
(Oh.)
(Tu as du mal à imaginer Isabeau autrement que comme l'homme exubérant qu'il est.)
Isabeau: "Hah, vraiment imagine ça !"
"Grosses lunettes. Tresses super soignées. Connaissant toujours la réponse aux questions du professeur. Toujours de bonnes notes."
"Toujours trop timide et concentré sur les notes pour savoir comment se faire un ami dans la cour de récréation."
"Ca c'était moi !"
"Et, euh, je ne m'aimais pas vraiment."
"Parce que, et bien j'étais intelligent, mais… Je détestais vraiment être timide. Etre seul. Même pas capable de demander un crayon à un camarade, parce que j'étais trop paralysé par la peur."
"Et j'étais prêt à passer le reste de ma vie comme ça."
"Mais un jour, après des années à vivre comme ça, je me suis regardé, comment j'étais, la façon dont j'existais dans ce monde…"
"J'ai regardé à ce gamin dans le miroir, et je me suis dit…"
"Est-ce que c'est ça ?"
"Est-ce que c'est vraiment qui je veux être ?"
"Est-ce que je ne pourrais pas être quelqu'un d'autre ? Quelqu'un qui peut se faire des amis, quelqu'un que les autres pourraient aimer ? Quelqu'un'un que je pourrais aimer ?
"Quelqu'un que je n'aurais pas honte d'être ?"
"Ne pourrais-je pas juste… Changer ?"
"Et, c'est une des raisons pour lesquelles les gens vont dans les Maisons, tu sais ? Pour apprendre des choses, s'entraîner, pour faire du Façonnement Corporel sur soi…"
"Pour Changer !"
"Et tu peux y rester pendant un moment, et revenir Changé, et personne ne dirait quoi que ce soit. Ils accepteraient simplement la nouvelle personne que tu es devenu."
"Alors je suis allé à une des Maisons de Jouvente et je me suis jeté à l'eau ! Pour essayer d'être la personne la plus cool, forte et fiable qui soit !"
"Soulever des poids ! Entraîner ma voix à être plus grave, plus puissante ! Façonner mon propre corps pour qu'il soit plus cool, plus fort !"
"Me regarder dans le miroir tous les matins et hurler "Je suis le plus cool !!!" !"
"... Le Changement est destruction, tu sais ?"
"Pour initier le Changement, tu dois savoir que tu risques de blesser des gens. Te blesser toi-même, peut-être."
"Donc tu dois toujours être prudent, et te demander si la destruction que tu apportes en vaut le coût."
"J'ai décidé que c'était le cas."
"Alors la personne que j'étais avant…"
"Je l'ai faite disparaître."
"Tuée de mes propres mains."
"Fait en sorte qu'elle ne revienne plus jamais."
"Pour que je puisse vivre."
"..."
"Ah, ça sonne si terrible, quand je le dis comme ça !!!"
"L'enfant que j'étais avant est toujours là ! J'ai juste, euh, grandi autour de lui ? Pour le protéger ?"
"Construire une armure, jusqu'à ce qu'elle devienne réalité ?"
"Pour que je puisse devenir quelqu'un de fort, quelqu'un d'extraverti… Quelqu'un de réconfortant à côtoyer."
"Quelqu'un que j'aurais aimé connaître, avant."
"..."
"Bah. C'est pas si important."
"Je suis là, c'est ce que je veux dire ! Et je m'aime tellement plus qu'avant !"
"Mais même la personne que je suis maintenant est un projet en cours. Je veux toujours Changer."
"Je suis devenu un mec grand, fort, fiable et optimiste, parce que c'est ce que j'avais besoin d'être."
"Mais récemment, je me suis senti comme si j'avais besoin… De laisser tomber un peu la façade d'écervelé ? D'agir moins bêtement, ce genre de truc."
"C'est pas très agréable, quand les gens pensent que je suis stupide, juste parce que j'agis d'une certaine manière."
"Alors, je pourrais peut-être Changer encore bientôt ! Et devenir quelqu'un de légèrement nouveau !"
"Ca sonne cool, hein ?"
(Oh…)
(Tu l'ignorais.)
(Isabeau voulait changer, devenir quelqu'un d'autre, et il l'a fait.)
(Il a dû travailler pendant si longtemps, pour faire de son souhait une réalité…)
Isabeau : "Ha… Je pourrais changer pour être un mélange entre un sportif et un intello."
"Equilibrer les deux, tu vois ?"
Siffrin : (Ha.) "Alors tu vas te changer en intellortif ?"
Isabeau : "Plutôt en sportello ! Ca sonne mieux, non ? Meilleure sensation en bouche."
Siffrin : "Les deux sonnent mal, Isa."
Isabeau : "Nooooon, dis pas ça ! Hahaha !"
Siffrin : "Tu peux être un sportif intelligent."
Isabeau : "Un sportif intelligent… Plutôt avant-gardiste, pas vrai ?"
Isabeau : "E-en tout cas, une fois qu'on aura battu le Roi demain, et qu'on partira chacun de notre côté, je vais juste changer en quelqu'un d'autre !"
"Quelqu'un qui peut être à la fois fort ET intelligent !"
"Les deux à la fois ! Quel concept ! Est-ce que ça ne donne pas l'impression de quelqu'un de cool ?"
"Est-ce que cela ne ressemble pas à quelqu'un que tu n'aurais pas honte de connaître ?"
(Est-ce que c'est ce qu'il pense..?)
Siffrin : "Isa…"
Isabeau : "... Ouais, Sif ?"
Siffrin : "Je n'ai jamais eu honte de te connaître."
"Même pas un petit peu."
Isabeau : "..."
"Ha, tu vas me faire rougir, Sif..!"
"Et… Ben, tu sais que je pense pareil, pas vrai ? Tu es genre, peut-être la personne la plus cool que je connaisse… Tu le sais, non ?"
"Et j'aime vraiment passer du temps avec toi ! Quand on traîne ensemble, je découvre toujours de nouvelles choses, comme des trucs cools sur le théâtre, ou même juste quelque chose de nouveau sur toi,"
"Et j'aime le fait que tu aies toujours un jeu de mots prêt pour n'importe quelle situation,"
"Comment tu respires d'une manière particulière parfois, et j'aimerais pouvoir respirer avec toi pour que tu te sentes mieux,"
"Et j'aime comment ton visage change quand tu manges tes plats préférés,"
"Et je veux te connaître plus,"
"Parler plus avec toi,"
"Rire plus avec toi,"
"Et… Et je…"
"..."
(Tu ne peux pas détourner ton regard de lui.)
Isabeau : "Je…"
"..."
"W-wouah, est ce que c'est une étoile filante ?! Hé, regarde là-haut ! C'est pas génial ?"
(Tu détournes le regard, et tu lèves les yeux vers le ciel étoilé.)
(Il n'y a pas d'étoile filante.)
(Mais ça ne te dérange pas.)
#in stars and time#isat#writing#translation#isat spoilers#french in stars and time#en temps et en étoiles#khanart#isat siffrin#isat isabeau#isat isafrin#the fuck do I tag this
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21« Pourquoi tremblez-vous ? »
Lilia X Reader
à la demande de @confuseuniverse j’espère que sa te plaira 💛
Dans l'arrière-boutique du magasin de Lilia, une douce lumière filtrée par une fenêtre poussiéreuse éclairait les étagères chargées de livres anciens et d'objets mystérieux. Reader, vêtue d'une robe sombre, se tenait au milieu de ce sanctuaire de savoir, entourée de volumes reliés en cuir dont les titres dorés brillaient faiblement. L'odeur des pages jaunies et du vieux papier emplissait l'air, créant une atmosphère à la fois nostalgique et envoûtante.
Elle s'affairait à ranger les livres, ses doigts glissant sur les couvertures rugueuses, découvrant des titres fascinants sur les arcanes de la magie et les secrets de la divination. Chaque ouvrage semblait murmurer des histoires anciennes, des connaissances oubliées, et Reader ne pouvait s'empêcher de s'arrêter pour feuilleter quelques pages, absorbant l'information avec avidité.
Les objets qui l'entouraient ajoutaient à l'ambiance mystique de la pièce. Des cristaux scintillants, des bougies aux formes étranges, et des instruments de divination tels que des tarots et des runes étaient disposés sur des tables en bois usé. Reader prenait soin de ne pas déranger ces trésors, les manipulant avec précaution, comme si chaque objet détenait une magie propre.
La lumière du jour, bien que tamisée, mettait en valeur les particules de poussière dans l'air, donnant à l'espace un aspect presque féerique. Reader se sentait à la fois excitée et honorée d'être là, dans ce lieu chargé d'histoires et de savoirs. Elle savait que chaque minute passée dans cette arrière-boutique était une étape vers la maîtrise de la divination, une passion qui brûlait en elle.
Cela faisait des mois que Reader avait pris ses fonctions d'assistante auprès de Lilia, et l'atmosphère dans l'arrière-boutique avait évolué, chargée d'une tension subtile. Les murs, autrefois témoins d'un apprentissage studieux, semblaient maintenant vibrer d'une nouvelle énergie, une complicité teintée d'une affection grandissante. Reader, souvent plongée dans ses tâches, ne pouvait s'empêcher de ressentir une chaleur diffuse chaque fois que Lilia s'approchait, ses yeux perçants et son sourire énigmatique éveillant en elle des émotions qu'elle n'avait pas anticipées.
Leurs échanges, d'abord simples et professionnels, avaient pris une tournure plus personnelle. Reader se surprenait à apprécier chaque moment passé en sa présence, que ce soit lors des leçons de divination ou dans les instants plus informels où elles partageaient des anecdotes sur leurs vies. Lilia, avec sa sagesse et sa bienveillance, était devenue une figure centrale dans l'univers de Reader, mais cette proximité la plongeait dans un tourbillon d'émotions contradictoires.
Dans l'arrière-boutique, les livres et les objets magiques semblaient témoigner de cette tension. Chaque interaction était un mélange d'excitation et d'anxiété, un ballet délicat entre l'envie de se rapprocher et la peur de franchir une limite. Elle se concentrait sur les tâches, mais son esprit vagabondait souvent.
Les jours passaient, et Reader se retrouvait de plus en plus souvent à dérober des regards furtifs à Lilia, observant la façon dont elle se déplaçait dans la pièce, sa grâce naturelle et son aura magnétique captivant son attention. Les éclats de rire de Lilia, les moments de complicité, tout cela ne faisait qu'accentuer sa nervosité, rendant chaque instant partagé à la fois précieux et angoissant.
Lilia poussa doucement la porte de l'arrière-boutique, un léger tintement de cloche résonnant dans l'air. Elle entra avec une grâce naturelle, ses yeux pétillants d'excitation.
"Reader, est-ce que tu veux apprendre à lire les lignes de la main ?" demanda-t-elle, sa voix douce et engageante.
Reader, plongée dans ses pensées, leva les yeux et sentit son cœur s'accélérer. "Oui, bien sûr, j'aimerais beaucoup ça," répondit-elle, un léger sourire sur les lèvres.
Alors qu'elles s'installaient, Lilia s'approcha un peu plus, leurs corps presque en contact. Reader pouvait sentir la chaleur émanant de Lilia, et une vague de nervosité l'envahit. Lilia prit délicatement la main de Reader, ses doigts effleurant la peau, et commença à tracer les lignes avec son propre doigt.
"Regarde ici," dit Lilia, son regard concentré sur la paume de Reader. "Cette ligne ici représente ta vie, et celle-là, tes émotions."
Reader, à ce moment précis, commença à trembler légèrement, ses mains trahissant son agitation intérieure. Lilia, remarquant le changement, leva les yeux, un mélange de curiosité et d'inquiétude sur son visage.
"Pourquoi trembles-tu ?" demanda-t-elle, sa voix empreinte de douceur.
Reader, prise au dépourvu, chercha une réponse. "Je… je ne sais pas," mentit-elle finalement, détournant le regard, la chaleur de la proximité de Lilia rendant la situation encore plus intense.
Lilia, toujours attentive, continua d'explorer les lignes de la main, mais une ombre de doute passa sur son visage. Reader se sentait piégée entre l'envie de se rapprocher et la peur de dévoiler ses véritables sentiments.
Lilia plongea son regard dans celui de Reader, ses yeux pétillants d'une compréhension silencieuse. Un sourire délicat se dessina sur ses lèvres, comme si elle pouvait percevoir la tension qui flottait dans l'air.
"Tu sembles nerveuse," dit-elle d'une voix douce, tout en frottant tendrement la main de Reader.
Reader, surprise par ce geste réconfortant, se sentit un peu plus à l'aise, mais l'angoisse persistait. "C'est juste… un peu nouveau pour moi," avoua-t-elle, sa voix à peine audible.
"Ne t'inquiète pas," répondit Lilia avec un sourire chaleureux. "Je vais te faire un thé, ça devrait t'aider à te détendre."
Elle se leva avec une légèreté gracieuse, un sourire satisfait aux lèvres, heureuse de ce qu'elle avait lu dans les lignes de la main de Reader.Lilia se dirigea vers la petite cuisine, ses mouvements fluides et naturels.
"Quel type de thé préfères-tu ?" demanda-t-elle en fouillant dans les placards, un éclat de malice dans les yeux. "Nous avons du thé vert, du thé noir, et même une infusion de camomille."
Reader, se sentant un peu plus détendue, répondit : "La camomille serait parfaite, merci."
"À tes ordres," dit Lilia en riant, ajoutant quelques feuilles de camomille dans une théière. Elle se retourna alors vers Reader, un sourire complice sur le visage.
Reader, touchée par l'attention de Lilia, ne pouvait s'empêcher de sourire à son tour, la chaleur de l'instant chassant peu à peu son anxiété.
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Alors qu'est-ce qu'on va faire
L ' amour.
- Vraiment ?
- Oui, c'est ça.
Parfait alors je me déshabille.
Pourquoi tu retires tes vêtements ?
Pour faire l'amour.
Qui t'a dit de te déshabiller pour faire l'amour ?
À ma connaissance, c'est comme ça qu'on fait.
Non ce n'est pas de l'amour c'est de la possession.
Je ne comprends pas, c'est comment on fait ?
- Laissez vos vêtements et nous parlons jusqu'à ce que nous nous fatiguions, jusqu'à essayer de vous déchiffrer, jusqu'à ce que vous sachiez tout par cœur, jusqu'à découvrir nos secrets les plus profonds, jusqu'à ce que ces yeux se fatiguent et me forcent à dormir.
Et tu vas essayer de les garder ouverts ?
Oui, juste pour te voir.
Charles Bukowski
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Le repas de Noël
Fandom : Ranma ½
Relationship : Ranma x Akane
Voici ma participation pour le 2024 12 Days of Christmas Challenge pour le prompt : Festin.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Ranma passa à côté de la cuisine. De drôles de bruits se faisaient entendre. Les cris et les coups lui faisaient penser à un champs de bataille. La voix de Kasumi arrivait à franchir ce capharnaüm.
« Fais attention, tu viens de mettre du vinaigre. »
Ranma avala difficilement sa salive. Akane s’était enfermée dans la cuisine tout l’après-midi. Elle avait même collé un papier sur la porte avec écrit dessus : « Interdiction d’entrer ! ». Seule Kasumi avait eu le droit de rester.
Disclaimer : Ranma 1/2 appartient à Rumiko Takahashi.
@12daysofchristmas
AO3 / FF.NET
Ranma passa à côté de la cuisine. De drôles de bruits se faisaient entendre. Les cris et les coups lui faisaient penser à un champs de bataille. La voix de Kasumi arrivait à franchir ce capharnaüm.
« Fais attention, tu viens de mettre du vinaigre. »
Ranma avala difficilement sa salive. Akane s’était enfermée dans la cuisine tout l’après-midi. Elle avait même collé un papier sur la porte avec écrit dessus : « Interdiction d’entrer ! ». Seule Kasumi avait eu le droit de rester.
Depuis le début du mois de décembre, Akane regardait des films de Noël, avait décoré le dojo et avait acheté des livres de cuisine qui proposaient des recettes de Noël. Dans la matinée, elle avait demandé à Kasumi si elle pouvait utiliser la cuisine. Elle s’était mise en tête de leur faire le repas de Noël. Elle voulait faire comme dans les films qu’elle regardait où la famille se réunissait à la fin pour le repas de Noël. Personne n’avait voulu lui faire de la peine, mais tous redoutaient le résultat. Même si elle se donnait du mal, Akane n’arrivait même pas à faire cuire du riz.
Ranma fut sorti de ses pensées lorsqu’il entendit un violent coup de couteau sur la planche à découper en bois.
« Mince, dit Akane. J’y suis peut-être allée un peu fort. »
De la sueur coula le long de la nuque du jeune Saotome. Il espérait que des morceaux de bois ne seraient pas mélangés aux légumes. La porte de la cuisine s’ouvrit et Kasumi sortit.
« Akane a bientôt finit, dit-elle en souriant. Tu viens te mettre à table. »
Ranma acquiesça et la suivit, regardant une dernière fois la porte de la cuisine.
******
Toute la famille était assise autour de la table. Akane arriva quelques minutes plus tard, installant les différents plats. Elle plaça ensuite le plat principal qui était tellement lourd que la table faillit céder sous son poids. Ranma regarda le plat avec suspicion. Normalement dans un repas de Noël le plat principal était censé être une dinde. Le résultat final ne ressemblait pas vraiment à une dinde.
« Ça m’a l’air… Délicieux, dit Soun. »
Il avait un sourire crispé et de la sueur perlait sur son front. Même Happosai ne semblait pas rassuré.
« Tiens papa, dit Akane en lui tendant une assiette. C’est toi qui aura la première part.
-C’est gentil Akane, mais… Ranma est ton fiancé. C’est lui qui devrait avoir la première part. »
Ranma lui lança un regard noir. Traître, pansa-t-il. Akane se tourna vers lui et lui tendit une assiette avec un immense sourire.
« Tu veux goûter Ranma ? »
Il dut se mordre la langue pour ne pas lui répondre :
« Non, merci. »
Elle le regardait avec ses grands yeux adorables et il se vit dans l’incapacité de refuser. Il prit l’assiette d’une main tremblante, sous les regards anxieux de toute la famille. Il goûta un morceau et sentit quelque chose de dur sous ses dents. C’était un morceau de la planche à découper. Il avala avec grande difficulté. Il lâcha l’assiette et se sentit partir en arrière. C’était tellement mauvais qu’il crut qu’il allait perdre connaissance.
« Ranma, tu exagères ! Dit Akane. Ce n’est pas si mauvais. »
Elle avait dû avoir goûter un morceau, car Ranma l’entendit s’exclamer :
« C’est infect ! »
Pourquoi ? Pourquoi avait-il fallu qu’il tombe amoureux d’une aussi mauvaise cuisinière ?
Fin
#12daysofchristmas2024#12 days of christmas#ranma ½#ranma 1/2#rankane#ranma x akane#ranma saotome#akane tendo#fanfiction#my writing
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Arcane
Je découvre actuellement la série animée Arcane, et dès les premières images, j’ai été happée par l’histoire, les personnages et surtout la relation fascinante entre les deux sœurs, Vi et Powder/Jinx.
Pour moi, une belle histoire, c’est avant tout une histoire qui parvient à me faire ressentir des émotions. Et avec Arcane, c’est précisément ce qui se passe : la série m’a émue et captivée dès les premiers instants.
Cette série, produite par Riot Games (créateurs du jeu vidéo League of Legends) en collaboration avec Fortiche Production, un talentueux studio d’animation français, est une œuvre qui m’a immédiatement séduite.
Pour être honnête, je ne viens pas du tout de l’univers des jeux vidéo. Je ne joue pas et je ne connais rien de League of Legends. Et c’est là l’une des plus grandes forces d’Arcane : aucune connaissance préalable n’est nécessaire pour apprécier pleinement la série. Elle se suffit à elle-même, grâce à une narration solide, des personnages profonds et un univers visuellement époustouflant.
Arcane explore les origines de Vi, Jinx, Jayce, et Caitlyn, tout en développant les conflits sociaux et politiques entre deux villes : Piltover, la cité prospère de la technologie, et Zaun, un quartier souterrain plus sombre.
Le style visuel est une esthétique spectaculaire, magnifique et riche.
La série explore des thèmes profonds comme la lutte des classes, les liens familiaux, la trahison et les conséquences des choix.
L'évolution des personnages, en particulier celle de Vi et Powder/Jinx, est le point central.
Arcane est destinée à un public adulte. Elle aborde des thèmes matures avec une narration sérieuse et émotionnelle.
Le générique est stupéfiant avec la bande son mémorable du groupe Imagine Dragons.
Il y aurait beaucoup à dire sur cette série et surtout Vi et Powder/Jinx.
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