#esthétique coquette
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lejournalfaitmain · 8 months ago
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Tendances Printemps-Été 2024
Cette saison, il semblerait que les jeunes et les adultes parlent le même langage visuel en matière de tendances.
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Deux des tendances les plus marquantes observées étaient en fait la continuité des mouvements culturels antérieurs. Le premier est Soft Romantism, une approche adoucie, plus décontractée et plus adulte des tendances pastelles et terreuses telles que Coquette, Soft Girl et Cottagecore. N’hésitez pas à essayer une blouse victorienne ou belle époque, ou encore un grand chapeau de paille. La seconde est une transition logique entre le minimalisme extrême et la nouvelle tendance du maximalisme… sans tout jeter à la poubelle. De toute évidence, une transition harmonieuse et respectueuse du budget sera nécessaire pour la plupart des gens.
La palette de couleurs principale est composée de pêche ou d’abricot, avec un vert pastel doux et un bleu clair.
Enfin, en matière de maquillage, privilégiez la mise en valeur du regard. Attirez l’attention et la lumière sur le coin interne des yeux, ajoutez du fard à paupières rose et terminez les courbes des yeux avec drame en ajoutant de longues demi-falsies, pour un look de vedette du cinéma légèrement rétro.
En tout cas, il est vrai que cette année semble marquer la fin du minimalisme brutal. Acceptez le changement !
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paruredecouette · 1 year ago
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Parure De Couette
Vous êtes fatigué de votre vieille parure de lit et souhaitez donner un coup de neuf à votre chambre ? Ne cherchez plus ! Notre large gamme de housses de couette design et esthétiques répondra à toutes vos attentes. Nous proposons une grande variété de designs, de motifs et de couleurs pour que chacun puisse trouver la Housse de couette qui correspond parfaitement à son style et à la décoration de sa chambre. Cliquez ici pour plus parure de coquette.
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helshades · 4 years ago
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J'ai dans les 400€ de verres sur le nez. Je viens de casser mes lunettes en deux et je n'ai jamais été si heureuse d'être coquette au point d'avoir une paire de rechange (mes habituelles jurent affreusement quand je porte du rose et des teintes cuivrées...). J'irai à l'occasion demander à mon opticien si son amabilité s'étendrait jusqu'à remplacer gratis une monture Anacolé complète mais je ne songe même pas à changer les verres...
Ma mère, qui a laissé un petit smic chez le même opticien voilà quelques semaines — j'ai hérité de ses yeux, et elle est aussi presbyte maintenant — vient de recevoir son remboursement Sécu : 0,03€ par verre. Elle a une bonne assurance, qui lui a apporté le glorieux complément de 240€, soit dans les 18% de la facture.
Je conçois parfaitement que l'on ne rembourse pas les montures de lunettes, ou disons pas au-delà d'un certain montant, lesquelles relèvent en partie du domaine esthétique (quoique des montures de qualité soient plus chères mais plus résistantes et plus confortables), mais les verres ? Les lunettes sont des prothèses. Pour les grands myopes comme moi (et astigmates.), ce n'est pas juste une question de confort visuel, je n'y vois rien sans, je les chausse à mon lever et ne les quitte qu'à mon coucher, ce sont des accessoires indispensables à mon fonctionnement quotidien. Je ne suis pourtant pas épargnée par mon assureur. Tout le monde cotise à la Sécu. Où se cache tout cet argent ? Voilà une question fascinante au vu (flou) de l'état des services publics. Pourquoi les gens s'acharnent-ils à vénérer le capitalisme ??
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blackswaneuroparedux · 5 years ago
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Anonymous asked: Votre blog est très sophistiqué et esthétique. Vous avez l'esprit d'une vraie femme parisienne. Quel est le plus grand malentendu à propos de vous?
Vous êtes très gentil avec vos mots.
Je me sens beaucoup plus à l'aise en Anglais et Norvege qu'en en français mais je me sens intégrée dans la culture française. Je me sens pas perdu dans cette ville. j'adore tout ce qui touche à la France, la gastronomie et  la mode française en tête bien sûr. J'aime découvrir d'autres idées et cultures.
La femme française a une beauté naturelle qui rivalise avec n'importe quelle star de cinéma. Les Parisiennes françaises peuvent agir comme des coquettes. C'est un jeu. Je suis aussi compétitif. Malheureusement, c'est aussi ma nature. Et donc de temps à temps j n'a fait qu'une bouchée de mes rivales.
Alors il y a trois malentendus:
1. C'est fou comme les gens ont de moi cette image de femme sophistiquée, glaciale. Les gens pensent que je suis resté de marbre devant tout le monde. Il y a une différence entre glaciale et discret. On m'a appris à tu dois tenir ta langue et ne pas dire à tout le monde ce que tu penses vraiment. Mais c'est une telle erreur, c'est tellement mal me connaître.
2. Je bois comme une trou. Non! Je bois toujours avec discrétion. Enfin, je dis ça, je dis rien.
3. Je sais que ce n'est pas grand-chose, mais les gens pensent que les aristocrates britanniques sont du même tonneau. Je suis très différent et pas typique. J’y crois dur comme fer.
Merci pour la question.
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faintrenie · 4 years ago
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De Cro-magnon à l’homme        moderne
   Après Cro-magnon, l'homme moderne. 
Je sais pas pour vous, mais moi, j'ai toujours imaginé Cro-magnon traînant sa meuf par les cheveux pour l'emmener dans sa grotte et lui faire un gros câlin... Bon, c'est vrai que, question romantisme, Cro-magnon avait quelques progrès à faire. 
D'ailleurs, en général, grâce à la nature qui est bien faite, tout organisme non abouti tend vers l'évolution... Enfin dans le cas qui nous occupe, le mot évolution est peut être un peu fort... Adaptation conviendrait-il mieux ? Non, pas ça non plus...capacité à ignorer les problèmes ? hummm pourquoi pas... capacité à se recentrer à l'intérieur de son soi profond ? Ah, on se rapproche peut être un peu là. 
Enfin, bref, notre Cro-magnon face à sa Cro-magnone ronchon, a dû chercher comment gérer le problème. Parce que bien sur, Cro-magnone, elle était pas contente du tout, et on peut la comprendre...D'abord, elle finissait par ne plus avoir de cheveux, et ça, question esthétique, c'était pas cool (c'est vrai quoi, c'est pas parce qu'on vit dans une grotte qu'on n'a pas le droit d'être coquette). Et puis, on peut être Cro-magnone et rêver d'amour et de mots doux, ce n'est pas incompatible... Donc, Cro-magnone se prenait très souvent à rêver. Mais Cro-magnon continuait à marmonner 1 ou 2 hmfff pendant l'acte, et à s'endormir juste après... 
Le sujet est resté en stand bye jusqu'à l'apparition de la science moderne.
   Ces deux problématiques pouvaient donc à présent être étudiées (et le mystère élucidé) . Nous verrons aussi la corrélation cro-magon/homme moderne.
Euréka, trois fois euréka, les scientifiques savent désormais pourquoi Cro-magnon ne communiquait pas, ou très peu. Et bien c'est à cause de la forme de sa mâchoire. Elle n'était pas faite pour prononcer des mots, alors des mots doux, pensez donc...! Tout sim-ple-ment. 
Pour faire le lien avec l'homme moderne, peut-être, je dis bien peut-être (je ne veux vexer personne évidemment), peut être est-il possible que sa mâchoire  n'ait pas autant évolué que le reste de son corps. Peut-être (bien comprendre qu'il s'agit juste d'une supposition, les études sur le sujet n'ayant été menées que sur 900 000 000 0000 000 billiards de volontaires ne sont pas concluantes) je disais donc, peut-être qu'une petite réminiscence de l'âge des cavernes perdure encore. En tout cas, ces études montrent que l'homme moderne, au moment d'utiliser le vocabulaire appelé 'romantique' se met à bafouiller, se crispe, ou bien se souvient qu'il a un pote à voir . Bref, y a blocage. 
Et là, merci la science, mes amies, on sait maintenant qu’il s'agit seulement d'un problème physiologique de la mâchoire. Tout sim-ple-ment. Ouf, on a eu chaud, on aurait pu croire autre chose. 
Bon, analysons maintenant le 2ème point de frustration de Madame Cro-magnon : les ronflements de son homme après le câlin. 
Il faut savoir qu’au temps des cavernes, les femmes n'aimaient pas du tout qu’un homme ne s'intéresse qu'à leur physique... et elles attendaient, non sans une certaine excitation, l’après câlin, pour pouvoir enfin discuter de tout et de rien. Mais .... zzzzz....zzzzz....et Madame Cro-magnon restait sur sa faim la plupart du temps. 
Heureusement, les études scientifiques nous apportent là aussi une réponse tout à fait claire : si l'homme s'endort après le câlin, c'est parce qu'il est fatigué, tout sim-ple-ment. 
Vous me direz, à juste titre, qu'il pourrait s'endormir en vous serrant dans ses bras...oui pourquoi pas... Mais... il ne le fait pas parce que ce n'est pas confortable, et on dort beaucoup moins bien du coup. Et l'homme, qu'il soit cro-magnon ou moderne, quand il a sommeil, il veut qu'on lui foute la paix !! 
Mais alors me direz vous, pourquoi quand nous les femmes, on a envie de dormir et que lui il a envie de .... Oui c'est vrai pourquoi ??.... voyons, il doit bien y avoir une explication... eh oh les scientifiques, là, on vous cause ...non ? ...rien? Ah voilà, quand même, merci, on a failli douter de vos compétences... Et bien, c'est parce que la femme de façon naturelle, et de par sa constitution physique, psychologique et émotionnelle, adore l'abnégation et les sacrifices...(ah bon ??!!) et puis grâce à son instinct maternel, elle est capable (ouf, ça veut pas qu'elle en a envie quand même) de faire un tas de trucs juste pour faire plaisir à quelqu'un.... Aaaah c'est beau ça !!! J'en ai une petite larmichette au coin de l'oeil...C'est-y pas qu'on est Cro-mignonnes nous les femmes !!!???
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journaljunkpage · 7 years ago
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LE P’TIT BIRLY
LIEUX COMMUNS
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Xavier Rosan / © Xavier Rosan
La voirie de Bordeaux compterait 1 487 rues, 170 impasses, 113 places, 87 avenues et cours, 62 allées, 57 passages, 19 quais, 15 boulevards, 11 cités, 8 squares, 6 ronds-points, 4 chemins… pour un total de 2 066 « voies » (terme regroupant tout espace de circulation terrestre, qu’il soit routier ou réservé aux piétons).
Cet entrelacs, à partir duquel prend corps et vie une ville de quelque 246 000 habitants, est la résultante d’une continuelle mutation engagée depuis des temps immémoriaux et que rien n’arrête : ici, de grandes opérations d’aménagement urbain refaçonnent les paysages du Lac, des Bassins à flot, du quartier de Paludate ; ailleurs, des immeubles, vétustes, improductifs, tombent pour laisser place à des successeurs jugés plus amènes ou utiles. Il suffit, en certains endroits, en certains moments, de ne plus fréquenter telle ou telle voie d’une ou deux années pour ensuite se trouver stupéfait des changements qui y ont été opérés. À l’inverse, d’autres espaces semblent inaltérables, comme figés dans le temps et destinés à ne plus jamais en sortir.
Petite éternité
On aurait tort de croire que l’immuabilité reste le privilège des artères les plus réputées : ainsi la façade des quais ou le Grand-Théâtre auront-ils vu leur environnement urbain profondément transformé en l’espace d’un siècle, sinon de quelques décennies. Leur exposition originelle, telle des images de marketing avant la lettre, un temps altérée par l’industrie portuaire ou l’emprise automobile, se voit aujourd’hui modifiée par l’explosion touristique et le retour en force des loisirs et du divertissement. En revanche, certaines voies situées en périphérie, dans ces territoires interzones, proches des boulevards, qui ne semblent exister sur les cartes que pour combler des vides, imposent à l’occasion une forme de petite éternité.
Un peu « sorti des radars », le passage Birly (quartier Nansouty) est l’un d’eux. Ici, c’est bien le banal qui forge l’exception.
Passage secret
Le passage Birly, il faut le vouloir pour le voir, puisqu’il semble moins mener a priori d’un point à un autre que raccommoder plusieurs artères entre elles. Même à l’accoster par hasard, on peut négliger son existence. Il est là sans y être. Loin, très loin de l’évidence, il ressort du domaine de l’hypothèse, de l’incertitude.
En lui-même, ce long corridor à ciel ouvert, qui prend naissance rue de Marmande, pour ensuite pourfendre en droiture (sur 222 m), comme un fil traverse le chas d’une aiguille, les rues Terrasson, Monsarrat et Tillet (presque toutes partant du cours de la Somme pour rejoindre la rue Bertrand-de-Goth), bifurque soudainement sur main gauche, entamant une nouvelle vie de 85 m environ, avant de se conclure benoîtement en impasse.
Mais pour peu que l’on ne se suffise pas de l’« impression générale » instruite durant la traversée de ce dernier segment, se révèlera à l’arpenteur téméraire « le motif dans le tapis » qui livre tout son sens au « passage ». Un dernier coude, à main droite cette fois (dans un contexte d’anarchie esthétique – pylône électrique en bois, mur de parpaings, palissade en béton fissurée, façade en briques apparentes –, il est vrai peu engageante), laisse en effet découvrir une sente pavée menant à la rue Leydet (voie parallèle au tronçon final du passage Birly). L’interstice en question, aménagé entre le mur aveugle de la dernière maison et une clôture en béton cintrée de fil de fer (ouvrant sur l’arrière d’une résidence), est limité au strict usage des piétons du fait de son exiguïté.
Le passage-impasse se révèle ainsi allongé en forme de raccourci – comme un étirement prodigieux des lois du temps et de la géographie –, procurant la sensation de toucher à un de ces tout derniers lieux vagues de la ville, laissés « en jachère » : de ces accidents ou imprévus qui, trop rarement (contrevenant à la tendance « sécuritaire » qui vise à ériger des murs et des enceintes pour empêcher les circulations et supprimer les points de vue), font le bonheur du flâneur.
Cette petite récompense donne tout son prix au passage, lequel, au demeurant, rythmé d’échoppes modestes, ne manque pas d’intérêt, pour peu que l’on s’affranchisse des canons de beauté convenus. Ici point d’hôtel particulier, de chapelle néo-quelque chose ni de rose trémière 1er prix de beauté. Le charme s’inscrit dans le récit même de la banalité qui se fait jour, occasionnant un subtil et prégnant dépaysement. L’insignifiant, en quelque sorte, fait signe, à l’instar des « actes manqués » chers à Sigmund Freud.
Dès lors, une visite « ethno-touristique » s’impose.
Petit guide de flânerie
En partant de la rue de Marmande, on remarquera, à une vingtaine de mètres sur la droite, l’embranchement d’une des 57 autres venelles de Bordeaux, nommé Terrasson (du nom de l’auteur du Catéchisme du citoyen publié en 1790 ?), tranquille et pittoresque petit serpentin d’échoppes.
N°7 – Résidence Birly, trois étages, sans doute construite au début des années 1980, si l’on en croit la typographie Nimbus utilisée sur la plaque plexi qui l’identifie, posée à même le crépi beige recouvrant la façade.
N°31 – Coquette porte en métal au motif géométrique art déco.
N°33 – Maison composite, construite en léger retrait de la rue, ce qui a donné aux propriétaires l’idée de maintenir le tracé du linéaire de voirie en élevant une petite barrière en bois. Le rez-de-chaussée est constitué d’un espace garage décloisonné, dont les piliers en béton, recouverts d’un parement de pierres disjointes, supportent le reste de l’habitation. Le premier étage bénéficie d’une grande baie vitrée ouvrant sur un balcon bordé par un garde-corps en bois. Une surélévation est rythmée de petites ouvertures. Un joyeux bric-à-brac se mêle à la verdure (vigne vierge, plantes en pot). On dirait la maison des nains de Blanche-Neige : l’un d’entre eux s’est d’ailleurs caché parmi le décor végétal. Notre coup de coeur.
N° 40 – Échoppe double (probablement du milieu du xixe siècle) récemment ravalée. Ouvertures surmontées de clés blasonnées.
N°42 – Maison « aux cancrelats verts » (souvenir de cargaisons des Amériques ?), peints sur le portail en métal. La propriété se dissimule derrière un mur de pierre, par-dessus lequel, au printemps, une impériale passiflore vient illuminer le passage secret de ses coruscantes étoiles.
N°70 – Échoppe « basse », sans doute parmi les plus anciennes de la ville (elles sont nombreuses de ce type dans le quartier). Son enfoncement dans le sol laisse supposer que le passage Birly (du nom d’un ancien propriétaire) pouvait être un chemin de campagne préexistant aux rues qui le traversent aujourd’hui et qu’il aura subsisté, tant bien que mal, aux assauts de l’urbanisation.
On précisera, pour finir, que cette excursion n’offre d’intérêt que pratiquée à pied ; la circulation automobile – limitée à 20 km/h et interdite aux plus de 3,5 tonnes– ne peut d’ailleurs s’effectuer que sur le premier segment du passage Birly. De fait, ici, le sablier du temps bel et bien s’arrête.
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Exclu Public : Maitre Gims : une villa à 5 millions d'euros...
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Maitre Gims  est l'un des artistes les plus populaires en France... et son succès lui permet de réaliser tous ses rêves et de concrétiser toutes ses folies. Le rappeur âgé de 30 ans est d'ailleurs l'heureux propriétaire d'une villa de luxe à Marrakech, au Maroc, son pays d'adoption.Selon nos informations exclusives, l'artiste a dépensé pas moins de 5 millions d'euros pour cette demeure dans laquelle il se prélasse quand il n'est pas en tournée. Salle de sport digne de ce nom, piscine intérieure et jacuzzi, salle de cinéma... Gims s'est créé un vrai paradis sur Terre.Courant 2014, le principal intéressé a empoché la coquette somme de 500000 euros en revendant son label, Monstre Marin Corporation (MMC) à Universal. Un an plus tôt, l’artiste avait amassé quelque 3,1 millions d’euros selon le magazine Challenge.L'ancien leader des Sexion d'assaut ne se prive jamais de partager avec ses fans le luxe de sa maison. Très actif sur Snapchat, il les invite régulièrement à découvrir son palais personnel. En février dernier, Maitre Gims rencontrait le roi du Maroc et immortalisait cette super rencontre. "Je suis tombé amoureux de ce pays. Il n'y a que des gens exceptionnels", avait-il déclaré au sujet du Maroc lors de son passage au Festival Mawazine.Retrouvez l'intégralité de notre scoop dans votre magazine Public disponible en kiosques dès aujourd’hui !Toute reproduction interdite sans la mention Public Jonathan Kung... Retrouvez cet article sur Public
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thatsoundssobeautiful · 5 years ago
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Hailey Tuck Maquille Le Jazz Dans Une Esthétique Cabaret, Avec "Coquette"
Hailey Tuck Maquille Le Jazz Dans Une Esthétique Cabaret, Avec “Coquette”
https://open.spotify.com/album/4XsNaO8N9ImIaSO1ijyjnK?si=Fi_hmJQbRfScBSEBgNg7Og
  Née à Austin, la chanteuse Hailey Tuck possède un talent rare et extraordinaire. Son premier album, Junk, produit par le légendaire Larry Klein, lui a a valu d’être nominée aux Grammy Awards.
Hailey Tuck renverse joyeusement les règles du jazz en s’appropriant les classiques du cabaret mélangés à des compositions…
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lescocasseries · 7 years ago
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Matérialité #6
J’aime aller me faire faire les ongles. J’avais publié un article à ce propos il y a quelques mois, alors que je le faisais pour la première fois. J’ai envie d’écrire à ce propos parce que je reçois tellement de commentaires et de regards emplis de sous-entendus que j’ai l’impression de devoir me défendre. Premièrement, le fait que je sente le besoin de me justifier est absolument révoltant, et je suis consciente que je donne raison aux mauvaises personnes en faisant ça, mais je me lance tout de même. 
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[Petit moment de rétrospective facultatif]
Quand j’étais petite, je considérais les ongles manucurés comme étant une des expressions les plus fines de la féminité. À l’époque où j’étais particulièrement ingrate du corps et trop consciente de l’être, je ne me sentais pas légitime à aspirer en avoir, même si je trouvais que c’était très joli. Je me disais que je méritais d’avoir des ongles minces, dédoublés et très courts, parce que c’est la seule chose vraiment qui était en accord avec le reste de mon apparence.  
Une fois ado, alors que j’avais appris à maîtriser les aléas de la puberté, j’ai fait une cassure totale avec les différents cas d’apparat féminin : je me rebellais contre les codes les plus explicites parce que c’était exactement ce que la société voulait que je préfère et je me refusais de me fondre dans le moule de la femme-telle-que-souhaitée-selon-les-normes parce que j’étais une individu à part entière et que j’avais mes propres préférences. Alors j’ai porté fièrement mes ongles brisés et mous, et en plus je l’ai fait avec du vernis écaillé bleu marine, vert, jaune fluo : toutes des couleurs qui ne cadraient pas avec la « douceur de la féminité ».
Jeune adulte, je ne me suis juste plus préoccupée de ces choses-là. Tout ce qui avait trait à l’apparence avait été relégué à la catégorie de la superficialité et du fake, et de toute façon, j’étais trop occupée à survivre, sans trop me briser, aux tonnes de pression que les réalités académique et économique estudiantines exigeaient de ma personne (j’y arrivais - et encore aujourd’hui - à peine). Tant qu’à me lever plus tôt pour choisir ce que j’allais mettre, me coiffer et me maquiller, autant dormir une heure de plus et tant pis si j’ai l’air d’une chienne à Jacques : il ne me reste plus rien de fierté ou de fucks to give après que la vie m’ait passé sur le corps.
Mais voilà, je suis à la mi-vingtaine (ça n’a pas vraiment d’importance), et je suis déchirée entre différentes perspectives, à un point où je ne sais même plus qu’est-ce que j’aime : est-ce trop usiné-féminin (ai-je été manipulée pour aimer ça et je me transforme en stéréotype?), est-ce trop anti-féminin (ai-je un penchant pour ça seulement parce que c’est à l’encontre totale du usiné-féminin et que j’ai besoin de prouver au monde et à moi-même que je ne me plie pas aux normes du genre?), est-ce exagérément loose ( parce que tant qu’à employer l’approche du idgaf, autant y aller full in sinon ça compte pas - ou encore parce qu’à force d’être désorientée dans ce que j’aime, j’ai trouvé la voie facile pour dealer avec ça et c’est de me cacher sous des kilomètres de tissus jusqu’à disparition complète)? En gros : ai-je des goûts qui me soient propres ou ne fais-je qu’être en réaction à ceux qui me sont proposés? Le struggle est real (comment la question des ongles me mène à une crise identitaire).
En tout cas, tout ça pour dire qu’aujourd’hui, les beaux ongles manucurés sont devenus un moyen d’expression artistique et surtout une démonstration des skills des nail artists qui les créent et que ç’a monté, du moins dans l’univers des interwebs, au panthéon des trucs cool, tumblr & instagram royalness worthy. Mais comme je ne suis ni une tumblr ni une insta grrl, et qu’en plus, je suis pauvre comme le christ, je sentais pas que ç’avait rapport que je me rende dans un salon pis finally get done with it. Pis c’est à ce moment-là que je me suis rendue compte que j’avais rétrogradé au stade de la 8-yo-me qui ne se croit pas valide enough pour faire the fuck I want. 
Surtout qu’aujourd’hui, j’ai fait la paix avec plein de choses. Je me suis réapproprié le droit d’être coquette sans me sentir coupable de vanité ni imposteur parce que j’abdique aux rôles genrés. Je me suis affranchie du paraître pour prouver ma validité ou mon utilité dans l’éventail de désirabilité aux yeux des messieurs parce que si je le fais, je le fais POUR MOI, PARCE QUE ÇA ME FAIT SENTIR BIEN DANS MA PEAU ET DANS CE QUE JE DÉGAGE, INDIFFÉREMENT DE CE QUE LES AUTRES PERÇOIVENT AUTOUR.
tl;dr : ç’a été un long parcours avant que je me donne le droit d’avoir des doigts swaggy.
[Fin du petit moment de rétrospective facultatif]
BREF. Malgré tout ça, ça m’énerve quand on me fait des commentaires du genre :
- Tu peux pas m’en vouloir de trouver ça superficiel, I mean, c’est fake.
- Tu te laisses tellement influencer par les beauty trends.
- T’arrêtes pas de te plaindre que t’es pauvre pis tu vas gaspiller 50$/mois sur ça.
- T’as pas besoin de ça pour être belle.
Bla bla etc. Chère personne qui te crois entitled à critiquer une partie de mon corps qui ne t’affecte d’aucune manière, sache que je ne te dois absolument  rien, pas même des explications. Mais je t’en donne quand même parce que tu m’irrites le côlon.
RAISONS POUR LESQUELLES JE ME FAIS FAIRE LES ONGLES :
- Parce que ça me fait sentir bien dans ma peau. J’ai gaspillé trop de temps à ne pas faire des trucs qui me faisaient sentir bien parce que je ne me sentais pas digne de l’être. JE MÉRITE DE M’AIMER LE CORPS.
- Parce que quelque chose d’aussi con que de me faire moi-même les ongles me demande trop de temps dans mon contexte de pauvre étudiante et surtout, me demande trop d’énergie. OUI, ma santé mentale vient largement interférer sur ma capacité à prendre soin de moi - je suis trop occupée à ne pas me noyer sous le self doubt et l’existential dread pour me vernir les extrémités de doigts.
- Parce que je souffre d’une insuffisance d’intelligence corpo-kinesthésique et donc suis complètement inapte à m’esthétiser de manière, well, esthétique. Que quelqu’un, I mean, qu’une ARTISTE, SPÉCIALISÉE EN PLUS, le fasse pour moi, à la perfection, m’évite un shit load de self loathing et de sentiment d’inaptitude dans la vie.
- Parce que le fait de se laisser occuper de soi par quelqu’un d’autre est quelque chose d’absolument réconfortant et apaisant, particulièrement quand t’es pas top pour le faire toi-même.
- Parce que ça ne demande absolument AUCUN investissement de ma part : je n’ai pas besoin de m’en occuper pendant UN MOIS et ça reste beau et parfait pendant toute cette période. Se sentir belle sans se forcer, sans rien faire et sans s’en préoccuper? Vendu.
- PARCE QUE J’AI LE DROIT DE FAIRE THE FUCK I WANT AVEC MON CORPS ET QUE TU N’EN AS AUCUN DE TE SENTIR OBLIGÉ.E DE COMMENTER ET JUGER. Si ça me fait sentir empowered, let me be. 
- Parce que ça fait du bien de me sentir belle, parfois. Je suis entourée d’éléments qui remettent constamment mon self worth en doute, qui font vaciller mon body positivity, et de savoir qu’au moins, la validité esthétique de mes doigts est indétrônable, ça me rassure. Une partie de moi ne tombera jamais dans la désuétude esthétique. 
- Parce que ça me fait du bien dans le corps et dans la tête et ça, ÇA VAUT BIEN 50$ PAR MOIS FAIT QUE LAISSE MOI TRANQUILLE. 
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Bum Bum Cream : Grâce à cette crème hydratante, offrez-vous un corps de bombe brésilienne !
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Qui dit Brésil dit forcément belles femmes et chirurgie esthétique... mais pas que ! Si nombreuses sont les femmes de ce pays à passer sur le billard, il faut également savoir qu'elles sont réputées pour être très friandes de crèmes et de recettes maison pour prendre soin de leur corps. Soigneuses et coquettes, les brésiliennes ne zappent JAMAIS une étape de leur routine beauté. Fières de leurs formes à savoir cuisses galbées et fesses rebondies, elles n'oublient jamais, en plus de faire un peu de sport, d'appliquer des crèmes lissantes pour améliorer l'apparence de la peau. Et elles utilisent toutes des crèmes composées d'un ingrédient secret : le guaranà. Très peu connue en France, cette plante que l'on trouve en Amazonie dont le fruit contient une des formes de caféine les plus puissantes de la planète. Le guaranà est donc mondialement réputé pour être riche en anti-oxydant et peut s'utiliser en complémentaire alimentaire pour perdre du poids......
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Obsèques de Danielle Darrieux : Dominique Besnehard fustige l'indifférence de Catherine Deneuve !
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"Je suis atterré du peu de monde qui a assisté aux obsèques de Danielle Darrieux, hier, au cimetière de Marne La Coquette" a-t-il dénoncé, ce 26 octobre. Le célèbre directeur de casting derrière la série "10 pour cent", Dominique Besnehard, a fustigé quelques actrices françaises qui n'avaient pas fait le déplacement pour rendre hommage à cette icône du septième art, qui nous a quitté ce 17 octobre, à l'âge de 100 ans. Catherine Deneuve et ses complicesIl a visé en particulier, sans les nommer "ses partenaires ne sont pas tous morts, aucune des "Huit femmes" n'était là". On pense évidemment à Catherine Deneuve, Fanny Ardant, Isabelle Huppert, Ludivine Sagnier, Virginie Ledoyen, Emmanuelle Béart et Firmine Richard. Et la culpabilité de la première compte triple. En effet, Catherine Deneuve (qui partagera bientôt l'affiche d'un film avec Nekfeu ) a été à trois reprises la fille de Danielle Darrieux au cinéma. Elle disait d'ailleurs de DD : "Elle n'est pas une vieille dame. C'est la seule femme qui m'empêche d'avoir peur de vieillir". Les deux actrices s'étaient retrouvées dans "Les Demoiselles de Rochefort" (1967), "le Lieu du crime", d'André Téchiné (1986), et bien sur dans "8 Femmes", de François Ozon (2002)."C'est peu pour rendre hommage à cette légende"C'est d'ailleurs "la belle présence de son metteur Francois Ozon (qui) rattrapait leur indifférence" ce mercredi, a rapporté Dominique Besnehard.  Le fondateur du festival d'Angoulême a finalement conclu son message en citant ... Retrouvez cet article sur Public
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Bum Bum Cream : Grâce à cette crème hydratante, offrez-vous un corps de bombe brésilienne !
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Qui dit Brésil dit forcément belles femmes et chirurgie esthétique... mais pas que ! Si nombreuses sont les femmes de ce pays à passer sur le billard, il faut également savoir qu'elles sont réputées pour être très friandes de crèmes et de recettes maison pour prendre soin de leur corps. Soigneuses et coquettes, les brésiliennes ne zappent JAMAIS une étape de leur routine beauté. Fières de leurs formes à savoir cuisses galbées et fesses rebondies, elles n'oublient jamais, en plus de faire un peu de sport, d'appliquer des crèmes lissantes pour améliorer l'apparence de la peau. Et elles utilisent toutes des crèmes composées d'un ingrédient secret : le guaranà. Très peu connue en France, cette plante que l'on trouve en Amazonie dont le fruit contient une des formes de caféine les plus puissantes de la planète. Le guaranà est donc mondialement réputé pour être riche en anti-oxydant et peut s'utiliser en complémentaire alimentaire pour perdre du poids... Intégré dans une crème hydratante, il a pour effet d'absorber rapidement les graisses présentes sous le derme pour une peau plus ferme et plus jolie.Et nous avons trouvé une crème parfaite qui en plus de contenir du guaranà, est aussi enrichie en beurre de cupuaçu qui est extrêmement nourrissant, en l'açaï, une autre plante anti-oxydante puissante et en huile de coco ultra hydratante. Un mélange brésilien parfait qui tient toutes ses promesses puisque j'ai eu la chance de le tester. Après un mois d'utilisation quotidienne, j'ai obs... Retrouvez cet article sur Public
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Public Buzz : Elle subit 13 opérations de chirurgie esthétique pour ressembler à Ivanka Trump
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Il y a quelques semaines, un collectif de grand chirurgiens esthétiques américains révélait que Melania Trump est devenue la source d'inspiration principale des clientes . Certains cabinets ont même inventé le pack "Melania Makeover" qui comprend plusieurs opérations à savoir injections de botox, lifting du visage ou encore rhinoplastie pour être aussi parfaite que Melania Trump. Apparement sa belle-fille Ivanka est tout aussi inspirante puisque nombreuses aussi les femmes qui ne demandent qu'à lui ressembler. Une d'entre elles, Tiffany, n'a pas hésité à sauter le pas et est passé sur le billard pour se rapprocher physiquement de son idole : "Elle est très élégante, très classe. Elle représente les femmes et les encouragent à être coquettes". C'est dans l'émission "Botched" diffusée sur la chaîne E! que la jeune femme a confié être passé 13 fois sur la table d'opérations... en seulement un an. Dans cette émission, Paul Nassif et Terry Dubrow, deux chirurgiens réputés de Beverly Hills, s'occupent de personnes ayant subis des opérations ratées.Interpellé par la rapidité de sa transformation, le docteur Nassif a tenu à mettre en garde les téléspectateurs : "Ce n'est pas prudent de subir autant de procédures en si peu de temps. Il faut surtout essayer de comprendre pourquoi on désire changer aussi vite et ne pas avoir des idées irréalisables". Et de s'adresser à Tiffany : "Ta course pour devenir le sosie d'Ivanka est terminée. Si tu subis d'autres opérations, les chances d'y res... Retrouvez cet article sur Public
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journaljunkpage · 7 years ago
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RUIN ART
DANS LES GALERIES
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Anne Clarck / © Rémi Groussin
À l’honneur de la nouvelle exposition de Crystal Palace, Rémi Groussin a choisi d’investir l’espace de cette vitrine du quartier Saint-Pierre avec une installation marquée par une esthétique du vide et de l’abandon.
À rebours du trop-plein de boutiques coquettes et branchées de cette zone de l’hypercentre bordelais, l’espace énigmatique composé par l’artiste crée un point de rupture. Soit une évocation visuelle directe de ces locaux commerciaux vacants que l’on voit se multiplier dans les centres-villes des petites et moyennes agglomérations.
Fasciné par ce phénomène de désertification urbaine, le jeune plasticien offre avec Survival une vision qui convoque l’atmosphère de ces boutiques en friche. Quelques éléments architecturaux – colonnes, bâche, fenêtre, miroirs – viennent ici structurer l’espace d’exposition.
Conçue comme la maquette à échelle réelle d’une vitrine imaginaire à l’abandon, l’installation est composée d’une multitude de détails et traversée par des jeux de réflexion créant une complexité visuelle qui vient perturber le regard.
Au coeur du travail de Groussin, les notions de ruine, d’inachevé et de fiction constituent ici un décor offrant au regardeur un support à l’édification de ses propres récits.
Survival, Rémi Groussin, jusqu’au lundi 5 juin, Crystal Palace www.zebra3.org
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