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HOTEL RITZ PARIS
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«Certaines personnes recherchent un endroit magnifique.
D'autres font un endroit magnifique.»
Rûmî
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c’est mon anniversaire dans 30 minutes, j’aime ce jour car je reçois de l’amour mais souvent je suis un peu déçue car j’aimerais en recevoir plus lol. je suis aussi un peu triste car je le passe avec des gens que je connais pas bien et loin de chez moi. mais un peu contente car je suis dans un endroit magnifique et j’attrape des oiseaux (oui je suis encore partie, cette fois c’est du terrain pour ma thèse)
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Precious | Loki x ftm!reader



résumé : Loki s'est attaché à un humain durant ses voyages sur Terre, le poussant à le ramener avec lui à Asgard. Malheureusement les lois n'acceptent pas les Hommes sur ce territoire, son petit protégé deviendra alors son précieux secret.
notes : reader opéré du torse
⚠︎ warnings : smut très vanilla et soft, tendances dépressives, cicatrices, mention de dysphorie
- Description à la deuxième personne
- 2 966 mots
english version here
Un endroit comme Asgard sortait tout droit des plus beaux livres de contes que tu n’ais jamais vu. Spacieux, accueillant et harmonieux. Ton appartement de quinze mètres carrés était loin derrière toi, perdu dans une vie qui ne semblait même plus t’appartenir. Tout était différent maintenant, mieux et luxuriant. Et pourtant, il fut un temps où se nourrir était la plus haute marche de ta vie. Un temps où, le soleil ne t’attirait plus et la nuit ne t'effrayait plus, où tu aurais été prêt à t’empaler volontiers sur le premier couteau brandie. Un temps où la vie n'était qu'une lourde tâche à supporter.
Mais un jour, un flash multicolore a transpercé le ciel à quelques rues de chez toi. La lumière aveuglante avait éclairé tout un quartier avec la nuit noire, et ton sommeil de piètre qualité t’avait permis de voir ce spectacle. Deux hommes – que tu avais supposé ��tre en tenues médiévales – se dirigeaient vers ton immeuble. L’un avait défoncé la vitre à l'étage en dessous du tien, avec ce qui était d'après toi un marteau, très lourd et imposant. Puis, pendant que celui au marteau était en train de grimper l’immeuble, l'autre homme attendait sagement en bas. Sa tenue t’avait semblé plus sobre, avec moins de formes extravagantes – et ridicules – on aurait pu penser à un uniforme sorti d’un pays lointain, rien qui ne provoque le rire mais quelque chose qui reste malgré tout surprenant. Par précaution, tu avais laissé tes lumières éteintes pour ne pas qu’ils t’aperçoivent à travers la fenêtre, et grâce aux quelques lampadaires fonctionnels dans la rue ci-contre tu parvenais à détailler un minimum leurs faits et gestes. Le premier, celui avec le marteau, n'était plus visible car il avait déjà atteint l'étage voulu et s'était très certainement introduit dans l’appartement de ton voisin. Un vieux fou, scientifique avec des idées délirantes. Tu ne lui adressais presque jamais la parole puisqu’il ne sortait jamais de chez lui. Selvig, c'était son nom de famille et à peu près tout ce que tu savais sûr lui. En cet instant, tu aurais pu appeler la police mais tu n’avais pas de téléphone, trop cher et inutile. Alors tu as continué à observer la scène en espérant – par souci de morale – qu’un autre voisin ait remarqué le fait et puisse joindre les autorités.
Ce jour-là, l’homme resté en bas t’avait remarqué mais n’avait rien dit à son frère. Il avait vu quelque chose dans tes yeux, quelque chose qu’il ne voulait pas partager. Un mois plus tard il était revenu, t’avait suivi durant plusieurs jours pour apprendre ta vie et savoir si tu avais des attaches. Comme son instinct le lui avait prédit, tu n’avais rien ni personne, tu vivais sans vivre. Alors il était venu te voir, dans un costard impeccable et noir il t’avait demandé si tu souhaitais venir avec lui, et tu avais accepté. Les raisons sont encore au jour d’aujourd'hui floues à tes yeux, peut-être te donnais-tu une dernière chance avant de laisser tomber, quitte à suivre un inconnu sur une autre planète.
Voilà comment tu étais arrivé ici, dans cet endroit fantastique. Loki t’avait d’une certaine façon recueilli, dans un palais magnifique où vivait la famille royale. Tu logeais dans une pièce secrète camouflée dans la chambre de ton ami. Tu avais un lit gigantesque, des tenues splendides et de la nourriture à volonté.
Le seul hic dans cette histoire était que tu n'étais pas censé être là. Un être humain n’avait rien à faire sur Asgard, terre des dieux. Loki n’aurait jamais dû ramener un humain au palais, jamais dû tisser un lien avec lui, et surtout, jamais dû tomber amoureux de toi. Si Odin l’apprenait tu serais renvoyé sur Terre au mieux, ou tuer au pire. Si le peuple l’apprenait, apprenait que le prince Loki, celui qui était désiré par bien des personnes, était en relation avec toi. Ils te traiteraient de sorcier, d'envoûteur et de danger à la souveraineté. Un être humain n’avait rien de plus qu’un Asgardien pouvait avoir, s’il était parvenu à se lier d’amitié avec l’un d’eux, de plus un prince, c’est qu’il s'agissait de magie et de manipulation. Alors pour ces raisons, Loki te protégeait en te gardant secret. Il avait créé plusieurs pièges grâce à ses pouvoirs pour dissimuler l’entrée de ta chambre, et vous ne sortiez dehors qu’en pleine nuit par des passages dérobés. Il regrettait de devoir te cacher de la sorte, comme un vulgaire animal de compagnie, il s'en voulait sincèrement mais c'était la seule solution. Tu étais trop précieux pour lui, trop important, il ne pouvait pas risquer que tu te retrouves en danger par sa faute.
Il y avait malgré tout une personne qui soupçonnait ta présence : Frigga. Une mère obtient lors de la naissance de ses enfants des pouvoirs bien plus puissants qu’un dieu, l’instinct maternel peut faire des miracles et tu en avais été témoin. Elle avait remarqué le changement progressif chez son fils adoptif, ce sourire sincère et ce cœur battant. Elle l’avait vu vivre de nouveau sous ses yeux, alors que personne ne semblait y prêter attention. Au départ elle avait tout simplement songé à une jolie femme, peut-être même Tif, et puis un jour la réalité l’avait percuté de plein fouet. Les regards désintéressés, les reculs inconscients et les soupirs agacés de Loki ne passaient plus inaperçus au yeux de sa mère. Il ne prêtait attention ni aux femmes ni aux hommes, pas même aux plus magnifiques. Il regardait toujours les fleurs, les oiseaux, l’eau. Il sentait les parfums du printemps, souriait aux feuilles d’automne. Frigga s'était rendu compte de quelque chose de simple, et de si doux que Loki ne s’en était lui-même sûrement pas rendu compte. Il cherchait ta beauté dans la Nature. Il te rapportait les plus beaux bouquets de fleurs, les plumes colorées tombées des nids d'oiseaux ou encore les nénuphars cristallisés de la rivière. Il t’amenait avec lui partout où il allait, et faisait en sorte de t’offrir un souvenir de ce voyage imaginaire. Frigga avait alors compris que peu importe le genre de cette personne, celui ou celle qui faisait battre le cœur de Loki devait être doté d'une âme divine et d’une beauté florale. Et ce fut tout ce qu’il fallait pour la rassurer.
Il était rare que des personnes se rendent dans la chambre de Loki, mais le peu de fois où ça arrivait tu entendais tout, que tu le veuilles ou non. La plupart du temps il s’agissait de Frigga justement, elle semblait être la seule autorisée à entrer dans cette pièce. Mais quelquefois Tif venait, ou Thor passait en coup de vent. Alors petit à petit d’une certaine façon tu as appris à les connaître, à travers le son de leurs voix et les bruits qu’ils amenaient avec eux.
« C’est extraordinaire »
Ta propre voix te ramena progressivement dans la réalité, celle où Loki était assis à tes côtés au bord de sa fenêtre. La nuit était tombée depuis plusieurs heures maintenant, ça avait été ton signe pour sortir et enfin rejoindre le jeune prince.
« Ils ne le savent pas mais j’ai la meilleure vue du palais, te répondit-il en souriant »
Devant vous se jouait un spectacle merveilleux. Le ciel ne semblait même plus noir tant un arc-en-ciel de couleurs et de dégradés dansaient à travers les étoiles. Loki t’avait expliqué le caractère spécial d’Asgard, bien différent du système solaire que tu avais l’habitude de voir sur Terre, mais l’observer de tes propres yeux était toujours aussi spectaculaire. Les aurores boréales du nord paraissaient bien ridicules à côté de cela.
Tu lâchas malgré tout du regard le ciel pour attraper quelques graines de grenades fraîchement épluchées par vos soins. Loki te rejoignit et en prit à son tour.
« La journée n’a pas été éprouvante ? Te demanda-t-il en attrapant ton regard, j'aurais aimé être plus présent »
« Non ça va, le jeu que tu m'as apporté à fait l’affaire, lui souris-tu »
Par soucis de discrétion vous n’aviez allumé que deux bougies dans la chambre, chacune assez éloignée pour n’offrir qu’une tendre lumière. Tu parvins à capter le vert des yeux de l’homme en face de toi, par habitude et par besoin sûrement. Tout semblait s’effacer avec lui, s’estomper. Toutes tes craintes ou angoisses devenaient muettes pour ses iris, tu n’avais jamais connu ça auparavant. Peut-être que c’était quelque chose de courant, un petit don en plus que les Asgardiens possédaient, peut-être que si tu regardais Thor le résultat serait le même. Mais même si l’occasion se présentait à toi, Thor n'était pas Loki, Loki était précieux. Même s’il ne s’agissait au final qu’un tour de passe-passe, tu étais prêt à laisser cette magie guider le reste de ta vie. Loki t'avait sauvé, il n’y avait plus que lui à présent pour toi.
« J’espère que ces larmes ne sont pas mauvaises ? Intervint la douce voix du prince »
Tu ris faiblement, secouant la tête de gauche à droite avec un sourire incontrôlable. Loki était devenu ta raison de vivre, ton sens de vie. Comment avais-tu pû passer à côté de ça.
Votre relation n'était pas définie, rien ne semblait vraiment l'être sur ces terres. Il t’offrait des présents, tu lui offrais ton soutien. Il te livrait ses pensées, tu lui redonnais confiance. C'était du donnant donnant, naturel et sain. Mais pourtant il y avait quelque chose en plus qu’une simple amitié. Tu avais besoin d’un contact physique avec lui alors qu’auparavant le peau à peau t’effrayait. Tu ressentais le besoin de lui montrer tes cicatrices, de le laisser les embrasser, les guérir. Tu avais envie d'être libre avec lui, et ton corps n'était pas devenu une barrière à ça. Ton genre n'était plus une norme à cochée en sa présence, tu n’étais presque qu’une âme avec lui, pas de genres et de stéréotypes. Et pourtant il adorait ton corps, il te faisait l’adorer en retour. Il te faisait t’aimer et par conséquent, l’aimer. Tu aimais Loki, et il t’aimait.
« Loki, commença ta voix tremblante »
Une main se posa sur ta joue, et une chaleur rassurante se rapprocha de toi. Il t'attendait.
« J’ai..enfin je sais pas comment le dire, je.. »
De nouveau, le vert de ses yeux apparut devant toi, et alors ton peu de lucidité te quitta. Chez-soi, ses yeux te faisaient te sentir chez toi. Toute la tendresse du monde était concentrée dans ses iris, et elle-même n'était que pour toi.
Vos lèvres se rencontrèrent, et à ce moment précis tu sentis ton corps s’illuminer, comme si l’on venait d’ouvrir des portes au plus profond de toi, comme si c'était la chose à faire.
À partir de là, tout semblait devenir flou et brouillé, parce que tout fut simple et fluide. Vous vous retrouvâmes l’un sur l’autre dans les draps flottants de son lit, enveloppés dans un cocon imperméable. Tu embrassas la moindre trace de chair que tu eus à portée de lèvres, pinçant du bout des dents les endroits sensibles pour arracher de doux bruits à ton amant. Sa tunique tomba, la tienne aussi, vos mains s'entrelacèrent et vos souffles se mélangèrent. Tu ne t'étais jamais senti aussi complet.
« Tu es sûr ? On est pas obligé de faire ça pour en profiter, ton hochement de tête souriant lui répondit pleinement, arrête moi à n’importe quel moment si tu en as besoin »
Sa main, aussi légère qu’une plume, reposait au-dessus de ton flanc dénudé. Il n’approchait ni de trop près, ni de trop loin. Le parfait dosage était complexe à trouver, et tu aurais pensé ne jamais avoir l’occasion de tenter ta chance tant un simple mouvement pouvait tout faire s’écrouler. Un mot de trop et tu retombais dix en arrière, seul avec ce corps inconnu.
« Loki ? Un vague d’inquiétude traversa l’homme au dessus de toi, merci, puis s’en alla aussi vite qu’elle ne vint »
Ses doigts trouvèrent une courbe moelleuse sur ta hanche, ils s’y agrippèrent et tandis que ses lèvres rencontrèrent de nouveau les tiennes, tu sentis ton corps fondre sous son touché. Comme si ce contact créait une combustion, une alchimie. Comme si sa main était destinée à être placée ici, sur ta hanche. Comme si ses lèvres étaient sculptées dans le même arbre que les tiennes.
En manque de souffle, tu coupas votre baiser avec un sourire qui en dit long sur sa qualité. Loki caressa une mèche de cheveux reposant à quelques centimètres de son autre main, il t’observa comme on observait les étoiles.
« Splendide, murmurant-il »
Quelques minutes s’écoulèrent ainsi, vos quatres yeux détaillant l’autre. Jamais tu n’avais vu son corps de si près, c'était comme avoir une boîte magique que l'on décidait de seulement entrouvrir par peur de faire disparaître son contenu. Chaque trace, cicatrice, tâche, tu les dévoras du regard en espérant pouvoir graver des images dans tes cellules oculaires.
Puis, doucement une danse commença, alimentée par de tendres rires et mots. Il t’aida à trouver une position confortable, où tu te sentais à l’aise. Il recouvrit certaines parties de ton corps comme tu le souhaitais, en profitant pour noter dans son esprit les couleurs faisant ressortir ta peau. Tu passas ta main dans ses cheveux noirs, leur redonnant la forme naturelle bouclée et épaisse qu’ils avaient. Tu eus une pensée à ce sujet, sur le fait que jamais il ne laissait ses cheveux au naturel et que tu étais le seul à les voir ainsi.
Sous un accord commun, Loki commença à préparer ton corps pour la suite des évènements. Un peu timidement au départ puis encouragés par ton partenaire, de petits sons quittèrent ta bouche. Tu murmuras tes inquiétudes par rapport au bruit et au fait d’alerter quelqu'un, ce à quoi il te répondit contre l’oreille : “Ma magie ne s’arrête pas aux formes physiques, personne ne nous entendra trésor je te le promets”. Peu à peu tu laissas tes muscles se relaxer, assez pour ne pas ressentir de douleur ou d’inconfort. Loki te demanda encore une fois ton approbation avant de passer au stade supérieur. Tu hochas la tête, avec un enthousiasme qui le fit sourire. Il ramena une de tes cuisses contre ton ventre, embrassant ta cheville, caressant ta peau plus bas et récoltant le doux fluide lubrifiant. Il l’apporta à ses lèvres, te faisant rougir de plus belle, puis commença à pénétrer ton corps bouillant. À son tour un gémissement le quitta, moins pudique que les tiens, et à ton sens aussi addictif que la plus dure des drogues. Ta bouche s’ouvrit inconsciemment d’un mélange de plaisir, bonheur, amour et tout ce que tu pus trouver pour décrire ce moment. La sienne fit de même, laissant échapper quelques mots brouillés. “Si doux” “parfait”. Ton corps réagissait sans que tu ne le remarques, resserrant les murs chauds autour de Loki à chaque coup d’œil que tu lui jetais. Il était magnifique, à couper le souffle. Sa mâchoire parfaitement dessinée se présentait à toi depuis bien trop longtemps, tu décidas donc d’y goûter. Timide et prudent, tu exploras de tes lèvres cet angle avant de descendre sur son cou et ses clavicules. Plusieurs soupirs plaisants t’encouragèrent à continuer, avant qu’à ton tour un gémissement ne soit arraché de ta gorge lorsque Loki se mit à faire de lents mouvements. Tu laissas retomber ta tête dans les coussins, appréciant plus que tu ne l’aurais imaginé le moment.
Tout semblait se faire avec une telle douceur que tu oublias l'espace de cet instant le caractère extraordinaire de ta situation. Suspendu au bout des lèvres d’un prince magicien d’Asgard, une planète avec des chevaux ailés et un dieu du Tonnerre. Tu te revis dans ton plus jeune âge, en boule sous ta couette à écouler toutes les larmes de ton corps à cause d’une enveloppe corporelle qui ne collait pas à ton Toi intérieur. Et en pensant à ça, une nouvelle larme roula contre ta tempe, car cette époque semblait si lointaine. Loki l’essuya avec un sourire sans précédent, il était fier de toi.
Il te murmura des encouragements, accélérant progressivement ses mouvements jusqu’à entendre pleinement ta voix s’exprimer. À son tour, il eut l’impression que sa vision allait se brouiller de larmes. Tu étais si beau, si confiant, si doux. Rien que pour lui, tu laissais toutes tes barrières s’écrouler et ça valait toutes les plus belles richesses de cette galaxie à ses yeux.
Ton bas du ventre commença à se contracter, exprimant une sensation que tu n’avais plus ressenti depuis des années. Tu bafouillas timidement que tu n'allais pas tenir très longtemps, ce à quoi Loki répondit avec un léger rire : “moi non plus”. Il sentit physiquement parlant qu’en effet ton point culminant approchait à grands pas, ce qui ne fit que l'encourager à accélérer ses mouvements de bassin. Sa main, qui ne supportait pas son poids, trouva repère entre tes cuisses pour que dans de petits cercles son pouce accompagne ton orgasme le plus loin possible. Ce qui devait arriver arriva, et dans un faible cri ton corps fut traversé de spasmes. Loki ne tarda pas à te suivre en sentant que tu te contractait autour de lui. Sa voix résonna quelques timbres sous le tien, avant d'être vite remplacée par une respiration saccadée.
Un rire nerveux quitta vos lèvres au même moment, l’agréable pression retombant par la même occasion alors que l’homme à la crinière ténébreuse t’entraîna avec lui dans une étreinte chaleureuse. Vos deux corps recouverts d’une fine couche de transpiration reprirent doucement un rythme cardiaque normal, et tu souris une dernière fois avant que le moelleux des coussins mélangé à l’odeur hypnotisante de Loki ne te plongent dans un profond sommeil.
Au dehors, les lumières étaient toujours aussi belles, et pourtant Loki préféra passer ses dernières secondes éveillé à te regarder.

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La balade du jour aux Calanques de Cassis (Provence-Alpes-Côte d'Azur)
#au-jardin-de-mon-coeur#my photo

Les calanques de Marseille
Le massif des Calanques est une merveille de la nature nichée entre Marseille et Cassis. Ce paysage exceptionnel et unique est un incontournable à Marseille ! En effet, entre plages de galets et de sable fin, petites criques et eau turquoise, cet écrin de biodiversité a tout d’une carte postale ! C’est l’endroit parfait pour prendre le soleil, explorer les fonds marins, ou encore s’adonner à quelques activités nautiques comme le kayak.
Que vous souhaitiez randonner ou simplement profiter de la nature et de l’eau fraîche, ce lieu magnifique vous comblera. Certaines, plus accessibles que d’autres conviendront parfaitement aux familles, tandis que d’autres plus difficiles d’accès raviront les amateurs de randonnée. Ceci-dit, l’effort en vaut la chandelle, c’est un endroit unique au monde qui mérite bien sa place dans les incontournables de Marseille !
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Je me suis regardée dans le miroir et j'ai découvert que j'avais beaucoup de rides autour des yeux, de la bouche, du front.
J'ai des rides parce que j'ai eu des amis, et on a ri, on a ri souvent, jusqu'aux larmes, et puis j'ai rencontré l'amour, qui m'a fait essorer les yeux de joie.
J'ai des rides parce que j'ai eu des enfants, et je me suis inquiétée pour eux dès la conception, j'ai souri à toutes leurs nouvelles découvertes et j'ai passé des nuits à les attendre.
Et puis j'ai pleuré.
J'ai pleuré pour les personnes que j'ai aimées et qui sont parties, pour un peu de temps ou pour toujours, ou sans savoir pourquoi.
J'ai veillé aussi.
J'ai passé des heures sans sommeil pour des beaux projets pourtant pas toujours aboutis , pour la fièvre des enfants, pour lire un livre, j'ai veillé aussi pour me lover dans des bras aimants.
J'ai vu des endroits magnifiques, de nouveaux endroits qui ont eu tous mes sourires et mes étonnements.
Dans chaque sillon sur mon visage, sur mon corps, se cache mon histoire, les émotions que j'ai vécues et ma beauté plus intime,...
Et si je devais enlever tout ceci ?
Je m'effacerais moi-même...
Chaque ride est une anecdote de ma vie, un battement de coeur, c'est l'album photo de mes souvenirs les plus importants."
- Marinella Canu
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100 Days of Productivity [Day: 86] || 100 Jours de Productivité [Jour: 86]
the smell of books in the library. hearing the coffee bubbling in the carafe. same thing said in multiple languages – "beautiful," I say.
it's been busy. so busy. but that's nothing new. & I'm certainly not complaining. my 3 month review is in sight & it makes me so nervous. things have been going very well but I still fear anything I may be missing that may have not been brought to my attention.
I've taken to visiting the university library twice a week in order to give myself a place to study. there isn't anything wrong with home, necessarily, but it's always been easier for me to focus in that kind of setting.
academic work:
-review imperfect tense -start paragraph assignment
freelance work:
-develop film for prints -apply for tables at summer markets [yikes] -level book press
office work:
-answer all emails -finish period end work
currently listening // Kalatea by Kyon Grey
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thank you @zzzzzestforlife for the tag! [game explanation here & picrew here]
what I look like vs. what I want to look like
because I would love to have purple eyes and be dressed with a mini wizard hat to match my outfit!
I tag: @moonshine-mocha , @vounnasi , @megumi-fm , @halcyonem & anyone else who would like do try! ~ <3 [sorry if I'm re-tagging you ^^"]
l'odeur des livres dans la bibliothèque. entendre le café bouillonner dans la carafe. la même chose dite dans plusieurs langues - "magnifique", dis-je.
j'ai été très occupée. très occupée. mais ce n'est pas nouveau. et je ne me plains certainement pas. mon évaluation de trois mois est en vue et elle me rend très nerveuse. les choses se sont très bien passées mais je crains toujours de manquer quelque chose qui n'aurait pas été porté à mon attention.
J'ai pris l'habitude de me rendre à la bibliothèque de l'université deux fois par semaine afin de me donner un endroit où étudier. il n'y a rien de mal à être chez soi, mais il m'a toujours été plus facile de me concentrer dans ce genre d'environnement.
travail académique :
-révision de l'imparfait -commencer un travail sur un paragraphe
travail en free-lance :
-développer des films pour des tirages -candidature pour les tables des marchés d'été [aïe]. -mettre à niveau les presses à livres
travail de bureau :
-répondre à tous les courriels -finir le travail de fin de période
chanson // Kalatea par Kyon Grey
#100 days of productivity#day 86#100dop#100 jours de productivité#jour 86#100jdp#studyblr#study blog#studyspo#study motivation#study aesthetic#bookish#gradblr
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Mon travail sera exposé du 1er au 27 avril à la bibliothèque d'Erquy, en Côte d'Armor prêt du cap Fréhel.
https://bibliotheque.erquy.bzh/animation/expositions/184-cosmos-et-autres-banalites-ornitha
J'aime bien que mes premières expositions soient dans des endroits magnifiques ou il n'y a personne, mais oui je vais en faire dans des lieux plus urbains un jour xD
Ornitha.art
#my art#art#french side of tumblr#french artist#Brittany#art contemporain#dessin contemporain#ink on paper#trippy art#dark art#psychedelic art#visionary art#expo
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Le monde du genre fantastique où j’vais habiter le dans.
Toute le habiter dans ses propres mondes fantastiques mais les gens pense que dans la réalité il n’y a aucune choses fantastiques. Mais selon moi, on peut créer notre propres choses fantastiques dans nos propres réalités. Pour l’atteindre, la seule chose qu’on doit faire est que «Juste Croire».
Le monde que je voudrais habiter dans est gigantesque et il y a énormément des créatures fantastiques. Ordinaires et extraordinaires. La nature est très diversifiée. Il y a beaucoup des biomes magiques et magnifiques. Il y a des créatures de des sorcières, des elfes et jusqu’à des humains et des giants. Il y a plein des endroits et des lieux intacts qui n’ont pas touchée par aucun créature. Il y a des magiques non-découverts et mystérieux. J’aimerais allers dans les aventures avec des différents créatures.
Oui. C’est tout pour aujourd’hui. Si j’faisait des erreurs, je suis désolé.
A jusqu’à on se retrouve! 👋
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Le message que Richard Bach a souhaité faire passer se résumerait en deux phrases : Exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être, et le Paradis n'est pas un lieu où tu peux te rendre; non, le Paradis, c'est la perfection en toute chose.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
« Mille années durant, nous avons joué des ailes et du bec pour ramasser des têtes de poisson, mais désormais nous avons une raison de vivre : apprendre, découvrir, être libres ! »
« Nous sommes libres d'aller où bon nous semble et d'être ce que nous sommes »
« Tu es libre d'être à l'instant toi-même, vraiment toi-même, et rien ne saurait t'en empêcher. »
« Tu n’aimes ni la haine, ni le mal, c’est évident. Il faut t’efforcer à voir le Goéland véritable – celui qui est bon – en chacun de tes semblables et à les aider à le découvrir en eux-mêmes. »
« Ne les laisse pas répandre sur mon compte des bruits absurdes ou faire de moi un dieu. […] Tu sais, je ne suis qu'un goéland qui aime voler, pas plus… »
« Pour voler à la vitesse de la pensée vers tout lieu existant, il te faut commencer par être convaincu que tu es déjà arrivé à destination. »
« Tu es un être libre et sans limite, aussi parfait qu'un chiffre non retranscrit en nombre »
« Oú va la pensée, le corp suit car telle est la Loi du Grand Goéland »
« Ils suffit d'avoir la conviction absolue que vous êtes un être aussi parfait qu'un nombre imaginé et non retranscrie en chiffre, dans l'espace et le temps.»
« Brisez les chaines de vos pensées et vous briserez aussi les chaines qui retiennent votre corps prisonnier.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
Don Juan Matus dans les livres de Carlos Castadena parle également du fait de schifter en se téléportant et bien plus encore. (Livre, Enseignements d'un sorcier yaqui).
« Un déplacement du point d'assemblage au-delà de la ligne médiane du cocon de l'homme fait disparaitre instantannément de notre vue l'ensemble du monde que nous connaissons, comme si il avait été effacé — car la stabilité, la solidité, qui semblent inhérente à notre monde perceptible, ne réside que dans la force d'alignement »
« ...la connaissance du monde que nous percevons nous contraint à croire que nous sommes entouré par des objets, existants par eux memes et comme eux meme, juste comme nous le percevons, tandis que, en faite il n'y a pas un monde d'objet, mais un univer d'émanation »
« le mirage n'est pas dans la solidité du monde, il est dans la fixitation du point d'assemblage sur un endroit, quel qui soit. Quand les voyants déplacent leurs points d'assemblages, ils ne sont pas confronté à une illusion, ils sont confronté à un autre monde ; ce monde nouveau est aussi réel que celui que nous sommes entrain de contempler maintenant, mais la nouvelle fixation de leurs points d'assemblages, qui engendre ce nouveau monde et au meme titre que l'ancienne fixation, un mirage. » (Par fixation -> intention)
« c'est le dialogue interne qui maintient le point d'assemblage fixé à sa position d'origine. Une fois que l'ont est parvenue au silence, tout est possible »
« l'intention est l'alignement de toutes les émanations de toutes les émanations de conscience, il est donc juste de dire que la liberte totale est la conscience totale. La liberte est le Don de l'Aigle à l'homme. Malheureusement, tres peu d'homme comprenne qu'il nous faut acceder à bcp d'energis, pour acceder un Don aussi magnifique. »
« Ce qu'il nous faut faire pour permettre à la magie de s'emparer de nous c'est chasser les doutes de notre esprit. Une fois que les doutes ont disparus, tout est possible.»
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
Vous êtes le Soi et le schift n'est que la pure libérté et le fonctionnement de l'univers. Si pas de shift, pas de 3D ! Les deux sont interconnectée.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
La question est : qui shift ? Qu'elle conscience permet cela ? Pourquoi doutez-vous ? Vous.
À travers le shift, vous percevez que vous êtes ni votre identité, corps, esprit. Tous montrent votre puissance. Vous êtes quelques choses de plus haut, de plus abstrait, de plus puissant.
Pensez-vous toujours que vous etes un simple humain si vous pouvez être un chat ? Un sorcier ? Pensez-vous que cela vous limite rééllement ???
Trouvez ce que vous êtes rééllement.
#shifting blog#shifting realities#shifting antis dni#shifting motivation#desired reality#reality shifter#shifting community#reality shifting
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Voyance

Comme à ses habitudes, Philippe entra en grande pompe dans le temple, bousculant la tranquillité des pèlerins. Ces derniers s’empressèrent de quitter le lieu car le roi était connu pour ses moments de colère. Ses lieutenants s’amusaient de cette situation cocasse. Ils riaient en voyant ces grecs, la trouille au ventre, déguerpir sans demander leur reste. Néanmoins, une fois dehors, l’un d’eux pestait ou crachait sur ce roitelet barbare qui prétendait être civilisé.
Philippe observa le temple, la beauté des statues, la splendeur des décorations. Il était obnubilé par la richesse exposée. Il s’approcha d’une table sur lequel reposait un ciboire en or.
Par Zeus, je sens que je vais me plaire ici ! Annonça-t-il.
Ne prononce pas son nom ! Ce lieu est sacré, ici les dieux ne portent pas de nom !
Le prêtre avança d’un pas assuré. La garde de Philippe recula tellement le regard du vieil homme les impressionnait. Il approcha du roi borgne, huma son odeur qui manquait de parfum. Puis, tout en inspirant un grand coup, il bomba le torse. L’œil de Philippe s’écarquilla, car d’ordinaire, un homme s’imposant à lui de cette façon, finit avec une épée dans le ventre et la gorge ouverte.
Que viens-tu faire ici, petit roi ? demanda le prêtre.
Des toussotements résonnèrent dans le temple. Le macédonien ne s’attendait pas à un pareil affrontement. Il posa la main sur le pommeau de son glaive. La colère commençait à monter. Mais un de ses fidèles le rappela à la raison : « Tuer le grand prêtre ne serait pas une bonne idée ».
Je viens pour laver mes pêchés et connaitre mon avenir, dit-il
Effectivement, j’ai entendu parler de tes pêchés…meurtres, pillages, viols, torture…ils sont nombreux, affirma le prêtre.
Mais son rôle est « de les faire expier » et non de juger le pêcheur. Dès lors, l’homme en toge blanche ordonna au roi et à son escorte de le suivre. Ils se dirigèrent vers d’autres salles expliquant leur utilisation. En même temps, Philippe admira les somptueuses richesses présentes dans chaque partie du temple. Il fut émerveillé par l’autel sacrificiel, les ustensiles en or ou parés de diamants. Il apprécia le plafond peint d’une salle resplendissante. Il aimait tout de cet endroit.
Mais ce qui le frappa le plus fut sa rencontre avec un groupe de jeunes femmes. Elles étaient magnifiquement habillées. En voyant le groupe de barbares autour du prêtre, elles discutèrent entre elles. Certaines se demandant qui étaient ces hommes, d’autres s’ils étaient brutaux. Philippe questionna sur leurs présences, pendant que ses soldats affichaient leurs plus beaux sourires.
Ce sont de jeunes prêtresses venues s’initier aux mystères des grands dieux, affirma le maitre du temple.
Ils quittèrent la pièce, sans remarquer qu’une des filles observait le borgne. Elle avait reconnu celui qui avait vaincu les Thraces et assouvi les grecs. Elle se doutait qu’il y avait un coup à jouer pour son avenir. Elle ne se voyait pas finir comme grande prêtresse de Zeus.
Les jours passèrent et le roi de Macédoine trouva les journées longues qui se limitaient aux prières et à l’instruction. Par contre, ses nuits étaient courtes. En effet, il avait gardé la tradition macédonienne de faire des fêtes qui se transformaient en orgie. Bouffe, boisson et sexe à volonté. Les pèlerins se plaignirent de ses exactions nocturnes, des cris et des chants trop forts. Si bien que le grand prêtre ne savait que faire. Il demanda l’aide de Zeus, en déposant une offrande aux pieds de sa statue. Mais il fut distrait par la venue d’une jeune novice.
Elle proposa son aide et exposa un plan pour calmer Philippe. Il était venu pour des questions, elle proposa de lui donner des réponses. Le prêtre gratta sa barbe, en se questionnant sur les vraies raisons de l’implication de la jeune femme. Après tout, elle était jeune et pourrait profiter de ses charmes. Et puis, il voulait aussi que l’aristocratie macédonienne vienne régulièrement à Samothrace. Leur argent permettrait de faire de l’Ile le plus grand centre religieux du monde connu.
Un soir, alors que les convives commençaient à manger et s’abreuver de vin, La jeune femme s’incrusta dans la villa du roi. Elle fit une énorme impression par sa robe blanche qui ne cachait pas grand-chose de ses courbes ni de ses colliers et bracelets. Ses cheveux longs coiffés en nattes longeaient ses seins ronds et bombés. Elle resta debout, défiant le roi étendu qui mangeait une cuisse de poulet.
Qui es-tu ? Vien-tu nous faire le plaisir de danser ? Demanda un des fidèles lieutenants
Je suis Polyxéna, fille de Néoptolème, sœur d’Alexandre le Molosse et princesse d’Epire. Je suis prêtresse de Dodone, le sanctuaire divinatoire de Zeus, et par la demande de ce dernier, je suis venue pour annoncer ton avenir.
Eh bien, je t’écoute, réagit Philippe.
Non, pas ici. Seul à seul car telle est la décision de Zeus.
Dès lors, il se leva et proposa à Polyxéna d’entrer dans sa chambre. Il s’assit attendit tout en croisant les bras. A ce moment, Polyxéna savait qu’elle jouerait avec la crédulité du roi. Et si cela ne fonctionnerait pas, il pouvait lui faire les pires horreurs ; lui arracher le nez et la langue, lui crever les yeux, ou l’offrir en pâture à ses hommes. Elle savait que sa naissance royale ne la sauverait pas.
Elle débrocha sa tunique, offrant à l’œil du roi de voir un corps sculpturalement parfait. Il faut dire qu’elle descendait d’Hélène de Troie. Puis elle s’agenouilla et avança au son de ses colliers s’entrechoquant. Il s’amusait de la voir se dodeliner lentement, le regard se remplissant de désir. Elle mordit sa lèvre supérieure et, facilement, elle écarta les cuisses de Philippe. Il se laissa faire, sentant les mains de la jeune prêtresse faire monter son ardeur.
Les oracles se passent toujours comme ça à Dordone, murmura un de ses proches qui observait la scène.
Non, je crois qu’ils lisent l’avenir en interprétant le bruit de feuilles de chêne, répondit son collègue.
Ils avaient ordre de surveiller car Philippe avait trop d’ennemis pour le laisser seul, même avec une magnifique femme. Ils regardèrent celle-ci jouer avec le sexe du roi. Elle utilisait aussi bien ses doigts que sa bouche. Elle s’amusait à le faire soupirer en effleurant du bout des lèvres son membre gonflé.
Soudain, elle renversa le roi qui faillit se fracasser le crane. Toutefois, surpris, il se mit à sourire en la voyant le chevaucher. Il sentit son organe entrer dans une fente chaude et moelleuse. Il se contenta de caresser ses cuisses fermes tout en admirant ses seins se balancer au-dessus de sa tête. Le corps de Polyxéna était chaud, le sien devenait bouillant.
Elle ferma les yeux, dansait sur Philippe provoquant un va-et-vient long et torride. Il regardait ses lèvres s’entrouvrir. Il regardait ses jolies dents blanches pincer le bout de sa langue. Il commençait à aimer cette femme qui semblait être encore une gamine. Puis, elle gémit avant de se mettre à parler :
Je vois ! oui, je vois un homme qui fera plier la Grèce. Je vois cet homme qui gouvernera sur le monde civilisé…Oui, je vois un conquérant. Il vengera les grecs des humiliations des Perses…Il combattra et vaincra la Perse. Je vois un homme qui deviendra un Dieu…Il gouvernera sur la Perse…Il unifiera la Grèce et la Perse…Je vois un homme qui créera des cités aux confins du monde. Je vois un homme qui sera vénéré pendant des siècles.
Lorsqu’il sentit la jouissance l’envahir, il se redressa collant sa poitrine musclée contre la sienne. Elle partait aussi, gémissant de plaisir. Après avoir repris son souffle, Polyxéna embrassa le borgne qu’elle ne trouvait pas beau. Enfin, elle le regarda, fixa de ses yeux pleins de certitude et ajouta :
Voilà ce que je vois en toi !
Philippe calma ses orgies au profit de nuits intimes avec Polyxéna. Peu avant son départ de l’ile, il proposa d’épouser la jeune femme. Dès lors, la princesse régna sur le royaume de Macédoine et se fit appeler Olympias. Elle eut deux enfants avec Philippe, qui pourtant, ne l’aimait plus. Il la détestait parce qu’il avait compris qu’il a été trompé. Jamais il ne deviendra cet homme évoqué par l’oracle. Cet homme n’était autre que son propre fils et celui de Polyxéna. Celui qu’on appellera Alexandre le Grand.
Alex@r60 – août 2023
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Automne 1922 - Louxor (Egypte)
4/10
Je constate en tous cas que Jules semble tenter de se racheter, à sa manière pour sûr, mais j'ai l'impression que vous y trouvez une forme de sincérité cette fois. C'est en tous cas ce que semblent indiquer vos mots. Il est bien altruiste de prendre sous son aile la petite Gizelle, mais il est vrai que dans un couple, la communication et le compromis sont supposées être les valeurs reines. Et si vous tentiez de vous imposer ? Après tout, qu'il l'ait avoué ou non, il a bien du s'adapter à votre décision d'accueillir Layan et Leyla. Faites lui sentir qu'il a tout intérêt à avoir votre assentiment.
Cela me fait penser que Constantin m'a demandé il y a peu si nous pourrions nous installer en Egypte pour nos vieux jours, quand les enfants seront adultes. C'est très lointain, mais je suis très partagée sur cette question. D'un côté, il me suffit d'embrasser du regard ces paysages magnifiques et de sentir les palpitations que me provoquent les ruines antiques pour avoir envie de dire oui sans un regret. Et vivre sans Madame Eugénie au quotidien semble justifier l'effort. Mais pourrai-je laisser mes enfants, mêmes adultes, aussi loin de moi ? Je sais que j'ai encore bien le temps, Eugénie est en particulier bien trop jeune pour se passer de moi. Mais étant donné que j'ai en vous une oreille attentive et un regard bienveillant, qu'en pensez vous ?
Transcription :
Albertine « C’est la grande salle hypostyle de Karnak. J’avais tellement envie de la revoir. »
Constantin « C’est ici que nous nous sommes mariés. Je pensais bien que cela te ferait plaisir. »
Albertine « Raconte moi cette salle Constantin. Je dois la connaître mieux, puisqu’elle est si importante pour nous. »
Constantin « Hum… Et bien ses plans ont été dessinés sous la reine Hatshepsout. Elle a laissé sa marque un peu partout sur l’édifice, il faut le dire, pour asseoir sa légitimité. »
Albertine « Une femme pharaon, cela n’a pas du être facile. »
Constantin « Certainement pas non, son nom a subit un méthodique martelage après sa mort. Vois-tu son obélisque là-bas qui domine le site ? »
Constantin « En ce qui concerne l’édification en elle-même, il y a des spéculations. »
Albertine « Lesquelles ? »
Constantin « Beaucoup s’accordent sur une fin de XVIIIème dynastie. Horemheb certainement, quoique cela me semble peu plausible. »
Albertine « C’est ton avis qui m’intéresse. Dis-moi donc. Je ne t’ai pas épousé pour que tu te contente de me répéter ce que disent les autres. »
Constantin « Je pense que c’est plus tardif. La terminologie m’indique un début de XIXème dynastie. Pour ne pas trop se malmener l’esprit, autant prendre ce que les textes nous donnent, à savoir une profusion d’inscriptions au nom de Séthi Ier. On retrouve également la marque de ses successeurs, mais je suis certain que c’est à lui que nous devons ce monument. »
Albertine « Merci à lui dans ce cas. Cet endroit est tout simplement grandiose. »
Constantin « Puisque nous sommes non loin de l’endroit où nous nous sommes mariés… »
Albertine « Nous y sommes. »
Constantin « Non, c’était bien là-bas. Nous en sommes éloignés d’une bonne trentaine de pas. Bref, comme cet endroit est d’une certaine importance pour nous, je me disais que ce serait mieux de procéder à cette demande importante pour notre mariage ici. »
Albertine « C’est dit… d’une telle façon. J’en suis à la fois curieuse et un peu soucieuse. »
Constantin « J’ai une demande à formuler, mais tu ne seras pas d’accord. »
Albertine « Belle entrée en matière. Et tu espères encore me convaincre ? »
Constantin « Cesse donc de te moquer de moi ! Il s’agit de quelque chose qui me tient à coeur et tu m’angoisse. »
Albertine « Pardon, pardon. Je me tais. »
Constantin « Avec la guerre et ces histoires de guerre civile, j’ai été tenu loin d’Egypte pendant longtemps. De plus, nous avons des enfants dont il faut s’occuper de l’éducation. Et puis avec Grand-Mère qui n’est plus si jeune, je me dois de rester avec elle. Mais je pense de plus en plus à après. »
Albertine « Vas-y, je t’écoute. »
Constantin « Quand les enfants seront grands et n’auront plus besoin de nous, j’aimerais que nous nous installions en Egypte. Définitivement. A Port-Saïd ou Alexandrie peut-être. Nous y aurions un climat agréable au bord de la mer, nous pourrions facilement descendre vers le sud pour mon travail, ou prendre un bateau pour rentrer en France de temps à autres. Alors, qu’est-ce que tu en pense ? »
Albertine « Je ne sais pas, pas encore. Notre petite Eugénie n’a que cinq ans, c’est si tôt pour envisager de la quitter un jour. »
Constantin « Nous attendrons aussi longtemps que tu le souhaites. »
Albertine « Mais j’avoue que l’idée me plait. Nous aurions notre propre maison, notre propre rythme… J’aime l’idée. Je te promets d’y réfléchir sérieusement. »
Constantin « Merci mon amour. »
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Journée très spéciale…
Une matinée à buller à l’hôtel, enfin, la première depuis que je suis partie d’Ubud pour ce road trip.
Je m’installe au bord de la piscine, tranquille et là trop fort, d’un coté deux nanas qui gros appareil photo en main font un bruyamment un reportage pour des cosmétiques et juste derrière des travailleurs et ben eux travaillent et par conséquent font du bruit. Normal.
Il vaut mieux quitter les lieux tant pis pour l’idée piscine.
Un peu plus bas j’entendais une rivière, j’ai donc laissé la piscine pour descendre la rejoindre. Mais comment ?
L’hôtel n’avait pas prévu d’accès. C’était du hors zone. Justement c’est ce qui me plaisait.
Je descends jusqu’à un endroit où il y avait l’activité de l’atelier cuisine balinaise et après plus rien, pas de chemin. Et là je vois des femmes, qui marchent en portant des choses sur la tête, une, deux, au total j’en vois 4. Elles font des allers retours entre la rivière et le bas de l’hôtel. Elles transportent, je le vois maintenant, des grosses pierres posées sur leur tête et aussi des paniers et dedans de plus petites pierres. Je les suis. J’arrive à la rivière. L’eau est vive et agréable pas trop froide. Je me baigne.
Je les voient faire leurs allées et venues, elle me voient faire un méditant, elles me font signe et le leur rend. En partant j’en croise deux qui me demandent d’où je viens. C’est la question traditionnelle pour entamer un petit bout de conversation, ce que nous faisons pour nous dire ensuite au revoir en balinais c’est « Dada » accompagné d’un signe de la main.
Au moment de partir pour l’après visite à la sortie de l’hôtel, je recroise une des femmes de la rivière, elle me demande où nous partons. Le guide répond voir un atelier de tissage. « Ah mais moi aussi je tisse » nous dit-elle. Venez me voir. Peut-être lui répond-on, peut-être ! Nous prenons son adresse.
En avance sur le programme nous avons le temps de passer chez Djero, son prénom signifie qu’elle a avec son mariage changé de classe.
Pourtant sa demeure reste très modeste. En réalité, la famille a un toit et des murs mais par exemple aucune porte, pas de lits mais deux matelas au sol. C’est très pauvre.
Elle veut m’offrir un thé et me montrer comment elle travaille à son métier à tisser. Elle s’assoie et se met à tisser, un joli petit sarong rose. C’est une commande pour une petite fille, elle en a environ pour 15 jours de travail. Djero me dit que le métier à tisser lui vient de sa grand-mère, qu’elle y travaille chaque soir après son travail à l’hôtel.
Elle me montre les quelques tissus qu’elle a. Je suis époustouflée par la beauté des tissus. C’est incroyable, de l’or tissé, un rang après l’autre, avec un rendu de motifs très complexe et le guide me précise très traditionnel.
Ce sont des sarong* très rares qui ne se portent que lors de grandes cérémonies comme à un mariage, son nom est le Sonjket ici de Sidemen ( lieu où il est confectionné)
Habituellement ce type de Sarong est loué et peu l’achète.
Un de ceux qu’elle a, me plaît tout particulièrement un vert amande, magnifique.
Je lui dis que je suis d’accord pour le lui acheter. Quand je lui remets l’argent, elle est très émue et moi avec elle. Toutes les deux on s’embrasse. En fait ça lui arrive rarement pour ainsi dire jamais de vendre en direct. Aussi ma visite est pour elle une bénédiction et pour moi une grande rencontre.
Elle veut absolument me remercier, la seule chose qu’elle peut m’offrir avec un peu de valeur c’est dans une bouteille en plastique, de l’alcool ARAC, c’est une sorte de « Whisky » c’est fait à partir du cocotier,dattier et palmier. Je le prends même si je ne bois pas. C’est important pour elle de pouvoir m’offrir quelque chose.
Si je n’avais pas vu ces femmes aux pierres et pas croisé Djero en sortant, jamais je ne me serai perdue ou aventurée jusque dans cette petite ruelle de Sidemen, merci la vie.
Je lui souhaite en la quittant Semoga panjang umur, c’est à dire, une bonne et longue vie.
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L'abbaye de Saint-Gilles du Gard






Pour ceux qui ne savent pas, j'adore l'histoire et notamment l'histoire médiévale du sud de la France et de l'Auvergne. J'ai eu la chance l'année dernière de pouvoir visiter cette église, bien que je n'ai pu accéder à la crypte car elle était fermée. Les comtes de Toulouse , de Raymond IV à Raymond VII m'ont fasciné une bonne partie de mon adolescence et de ma jeune vie d'adulte et je suis donc incroyablement reconnaissante à la vie d'avoir pu visiter cet endroit, chargé d'histoire.
Si vous avez l'occasion, Saint Gilles est une ville magnifique.
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LA LEÇON (chapitre 4 - fin)
Warnings : 18+/ NSFW / vulgarités/ drogues / alcool / smut (sexe oral H/F et F/H, pénétration, masturbation…)
3052 mots
Un immense merci à ma bêta reader @mylittlehatefuck666

Mais soudain il s’arrête de rire et me regarde avec un air que je ne lui avais pas vu jusque-là. Il me fixe et avale difficilement sa salive et je vois sa main se lever doucement et remettre en place une mèche de mes cheveux derrière mon oreille, mais il ne repose pas sa main et laisse glisser son doigt le long de ma joue et de ma mâchoire.
« Tu es magnifique… » me dit-il, en me regardant intensément.
J’ai l’impression que mon cœur s’est arrêté de battre, j’en ai le souffle coupé.
A cet instant je le vois s’approcher de moi lentement et il pose ses lèvres doucement sur les miennes. Puis il se recule un peu, me regarde et s’excuse.
« Je suis désolé, je n’aurais pas dû faire ça… ».
Je ne lui laisse pas le temps de terminer sa phrase et je plonge à mon tour sur sa bouche pour l’embrasser délicatement, en effleurant tendrement ses lèvres dans des gestes presqu’au ralenti, nous permettant d’en savourer chaque seconde.
Nous restons figés face à face sans trop savoir quoi faire j’ai l’impression d’être une adolescente un peu gauche.
« Heu… je devrais y aller je pense ».
Je me relève de mon siège mais il me prend la main.
« - Reste s’il te plait !
- Je ne sais pas si c’est une bonne idée Vin…
- Pourquoi ?
- Tu es mon professeur et un batteur talentueux et reconnu et moi je ne suis qu’une élève avec une vie moyenne, je ne cherche pas un plan cul ou à être un numéro parmi d’autres…
- Ça suffit Emily ».
Je me tais et il se relève pour me faire face, le regard grave et intense.
« Ce n’est pas mon genre il me semble t’avoir dit, d’être ainsi avec mes élèves. Tu n’es pas un numéro ou quoi que ce soit d’autre ».
À ces mots autoritaires, il se rapproche de moi, nos nez se touchant presque et murmure :
« Tu me rends fou… »
Sa main se lève et il pose sa paume contre ma joue, son autre main glisse dans mes cheveux. Il plonge une nouvelle fois sur mes lèvres de façon plus brutale et passionnée.
Son baiser est dévorant, sa langue glisse dans ma bouche et il m’embrasse comme jamais je n’avais été embrassée. Je gémis sans maîtriser quoi que ce soit et mes mains glissent dans ses cheveux puis sur ses épaules et dans son dos. Je le serre contre moi et plante mes doigts dans sa peau à travers son sweat-shirt. Je l’entends et le sens grogner dans ma bouche et ce son est le plus érotique que j’ai jamais entendu de toute ma vie.
Je ne suis que gémissement et hormones et je suis incapable de m’arrêter.
Vinny est le premier à rompre cet instant.
« Depuis le premier moment où tu as franchi la porte de ce garage, j’ai eu envie de toi. Et tout ce que j’ai découvert sur toi ensuite m’a rendu dingue : tu es drôle, intelligente, charmante, adorable, je ne pense qu’à toi nuit et jour… Si je ne peux pas t’avoir, ça risque de me tuer ».
Sa déclaration m’achève littéralement. Mais je sens que je devrais partir car je ne veux pas souffrir.
« Je préfère y aller s’il te plaît j’ai besoin de réfléchir à tout ça, c’est trop pour moi là ».
À ces mots, je me dirige vers mes affaires. J’enfile mon manteau et je le vois toujours au même endroit, derrière sa batterie, les mains dans les poches, me regardant partir, le regard triste.
Je file vers ma voiture et je mets la musique à fond, la musique qu’il a jouée pour moi tout à l’heure et je hurle, conduisant sans savoir où aller car je ne veux pas rentrer chez moi. Il est minuit désormais mais peu importe je ne veux pas avoir à repenser à tout ça. Il m’attire et a priori c’est réciproque. Dans quel bourbier je me suis mise…
Soudain j’entends le bip de mon téléphone.
« Je suis désolé, reviens s’il te plaît » m’a-t-il écrit.
Je ne réponds même pas à son message, et sans réfléchir je fais demi-tour et me retrouve devant la porte du garage en quelques minutes. Au moment où j’allais mettre ma main sur la poignée, la porte s’ouvre et il se tient là, devant moi, l’air grave mais il se met à sourire comme s’il était soulagé.
« Rentre à l’abri s’il te plaît ».
J’avance d’un pas et il referme la porte derrière moi. Il inspire bruyamment et se prépare à dire quelque chose.
« Chut » lui dis-je.
Je pose un doigt sur ses lèvres et j’enlève mon manteau que je jette au sol. À cet instant précis tout s’accélère et en même temps tout semble être au ralenti. Il s’approche de moi et me toise de son beau regard, passe sa main dans mes cheveux et sa bouche fond sur moi. Il me serre contre lui avec force, une de ses mains descend le long de ma gorge et s’enroule autour en un geste possessif et ultra sexy. Mes mains d’abord sur ses épaules, descendent le long de son dos et je m’accroche à lui désespérément.
« Reste avec moi cette nuit Emily ».
Je ne réponds rien mais l’embrasse de plus belle, nous nous dévorons la bouche, la langue, ses baisers commencent à descendre dans mon cou, sa main toujours autour de ma gorge. Son autre main commence à descendre le long de mon corps et se pose fermement sur un de mes seins qu’il commence à caresser et presser dans sa paume. Je ne peux pas m’empêcher de gémir à ce contact. Ma culotte est trempée et j’ai besoin qu’il me soulage. J’ai envie tellement de lui que je pourrais en pleurer. Je passe mes mains sous son sweat-shirt et je tire dessus pour lui faire comprendre que je veux qu’il le retire. Il se recule pour enlever le vêtement et nous nous embrassons violemment à nouveau. Ses mains commencent à descendre plus bas et se posent sur mes fesses qu’il malaxe avec force.
Collée ainsi à lui je peux sentir ce qu’il se passe dans son pantalon : il est déjà dur et nous commençons à nous frotter l’un contre l’autre. Je crois que je serai capable de jouir rien qu’en faisant ça…
Il se recule, me regarde la bouche entrouverte et les yeux mi-clos : il est vraiment sublime comme ça, tellement beau que j’ai du mal à en croire mes yeux. Il me prend la main et m’entraîne vers le canapé. Je ne sais pas ce qu’il avait l’intention de faire mais je prends les devants, je le pousse pour qu’il s’assoit et je me mets à califourchon sur lui. Je ressens le besoin de me frotter à lui et de le sentir.
« Tu es incroyable », me dit-il.
« Et toi tu me rends folle », je lui réponds.
Je replonge sur ses lèvres pour l’embrasser et je pose mes mains sur son torse, je sens son cœur battre à toute allure. Ses mains sont sur mes fesses et passent ensuite sous ma robe pour me la retirer. Je me retrouve sur lui en soutien-gorge, culotte et collant. Il inspire bruyamment et commence à embrasser et lécher ma gorge, mon cou et descend sur mes seins. Il commence à mordiller légèrement ma peau juste au-dessus de mon soutien-gorge tout en me tenant fermement contre lui et en imprimant un rythme ultra langoureux et sensuel à son bassin contre mon entrejambe déjà en feu.
« Si tu continues à te frotter à moi comme ça je vais jouir dans mon caleçon » me murmure-t-il alors à l’oreille d’une voix qui pue le sexe.
Je gémis à sa phrase… On dirait deux adolescents incapables de se maîtriser. L’atmosphère est électrique, on n‘arrive pas à s’empêcher de se toucher, de s’embrasser, de se lécher, de se mordiller…
Soudain il me soulève et intervertit nos places, je me retrouve donc assise sur le canapé. Il est resté debout devant moi et me domine de sa hauteur, essoufflé. Son beau visage est toujours à moitié camouflé par ses jolies mèches rouges au travers desquelles je peux apercevoir son regard de feu. Je le vois s’agenouiller devant moi. Mon dieu ayez pitié de moi je vais crever dans pas longtemps.
« Dis-moi ce que tu veux et je le ferai » me dit-il.
Je dois vraiment tout lui dire là ?
« Vinny tu me rends dingue, fais tout ce que tu veux j’en peux plus. Lèche-moi, baise-moi, je ferai tout ce que tu veux ».
Je le vois sourire de manière salace et s’approcher de moi, mettre ses mains sur mes genoux et écarter mes cuisses. Il approche sa main de mon intimité qui le réclame à grands cris et commence doucement à me toucher au travers de ma culotte et de mes collants. Il m’effleure à peine et c’est une torture. Surtout que ça se voit qu’il fait exprès !
« Comme ça ? » demande-t-il, provocateur.
Je meurs.
« Non plus fort », je lui réponds.
Il recommence en appuyant à peine plus.
« Et là ? ».
Quel enfoiré…
« Plus fort j’ai dit ! ».
Il ricane et commence cette fois à appuyer un peu plus et commence à tourner délicatement autour de mon clito. J’ai la tête renversée en arrière contre le canapé et je suis à bout de souffle. Il continue à me torturer le salaud, mais j’aime ça. Son geste s’accentue et il appuie davantage son mouvement. Je relève la tête et le vois me regarder. Cette scène avec lui agenouillé devant moi, ses mèches devant les yeux et totalement concentré sur ce qu’il fait m’amène proche de l’orgasme. Soudain je le vois avancer son beau visage vers mon entrejambe et il commence à m’embrasser l’intérieur des cuisses puis se rapprocher dangereusement de ma culotte. Sa bouche se pose enfin là, et il commence à me lécher au travers de mes collants et de ma culotte. Je suis trempée et pantelante.
« Vinny … putain ».
Il grogne contre moi puis passe un doigt et fait un trou dans mon collant et décale ma culotte pour accéder enfin à mon intimité déjà trempée et plonge sa langue en moi. Le mélange de ses lèvres qui me sucent, de sa langue qui me lèche et de son doigt en moi va me faire décoller dans peu de temps, c’est certain.
« Vinny… je vais jouir putain, Vin ne t’arrête pas bébé je t’en supplie ».
Tout est exactement comme mon fantasme de l’autre jour, ses cheveux qui me chatouillent les cuisses et sa langue incroyable en moi.
L’orgasme déferle quelques instants après, pendant qu’il me tient fermement les hanches, la bouche toujours sur moi.
Il se retire et me regarde avec une certaine fierté sur le visage : Il est tout à fait au courant de l’effet qu’il me fait. Et il se lèche les lèvres, puis les essuie avec son pouce avant de le porter à sa bouche, comme pour mieux me goûter.
« Tu es délicieuse ma belle ».
Décidément, tout est identique à mon fantasme, mon dieu.
Il déroule mon collant et me le retire. Je me redresse un peu et l’attrape par le t-shirt pour l’attirer à moi et l’embrasser profondément. Je me relève et le repousse sur le canapé pour qu’il s’y assoit.
Je me remets à califourchon sur lui et commence à lui embrasser les joues, la mâchoire, la gorge. Pendant ce temps je descends ma main sur son pantalon pour l’empoigner enfin à travers le tissu du jeans. Je commence à le caresser comme ça, il est essoufflé et commence à gémir en se mordant la bouche et en me fixant au travers de ses mèches folles.
« Emily putain ma belle c’est trop bon, j’ai tellement hâte que tu la prennes vraiment en mains, je veux sentir tes jolis doigts sur ma bite… », grommelle-t-il entre ses dents, la tête penchée en arrière et les doigts se crispant sur le canapé.
Je lui retire son t-shirt et descend à mon tour entre ses jambes et lui retire son pantalon. Il a la bouche entrouverte et les yeux mi-clos, totalement à ma merci. J’ai hâte de le sucer et de lui faire perdre le peu d’esprit qu’il lui reste.
Je recommence à manipuler son membre, avec cette fois-ci seulement le boxer qui nous sépare. Puis je l’abaisse pour découvrir sa bite dressée et gonflée, d’une taille assez impressionnante pour un homme de son gabarit. Je le prends dans ma main et recommence à le branler pour de bon. C’est ce qu’il voulait, ce qu’il attendait depuis de longues minutes et son soulagement se fait entendre par des gémissements qui sont comme une musique délicieuse à mes oreilles. J’étale un peu de liquide qui perle au bout de sa queue pour bien faire glisser ma main et le prends enfin dans ma bouche. Le son qui sort de sa gorge est incroyable, un mélange de grognement et de plainte. Ne tenant plus et malgré mon orgasme récent, je glisse ma main entre mes jambes et commence à me masturber. Et il s’en rend compte, à son plus grand contentement à priori car je sens comme sa bite frémir en cet instant.
« - Tu te touches ?
- Hmmm oui…
- Putain mais tu me rends DINGUE… ».
Je me sens totalement dévergondée et libérée. L’orgasme se rapproche à nouveau à grande vitesse. Vinny a posé ses mains sur ma tête et m’a agrippé les cheveux.
« Arrête maintenant bébé sinon je vais jouir et j’ai encore d’autres projets pour toi… »
Je me recule et le regarde à travers mes cils.
« T’es bonne putain. Maintenant je vais te baiser fort et te faire crier mon nom ».
Il m’attrape fermement par la taille et me rallonge sur le canapé. Il s’allonge sur moi, m’écrasant de tout son poids, et m’embrasse à nouveau férocement. Il me retire mon soutien-gorge d’un geste assuré et commence à me lécher les seins et à les mordiller à tour de rôle. Je me cambre sous ses gestes et lui griffe le dos tellement je plante mes ongles.
« - Vinny j’en peux plus j’ai besoin de toi…
- Tu veux quoi bébé ?
- Je veux sentir ta bite en moi… »
À mes mots, il me repositionne afin d’avoir accès à moi, m’écarte les jambes puis descend sa main vers mon entrejambe. Il écarte mes lèvres avec une main avant de cracher sur ses doigts et de me lubrifier avec un mélange de sa salive et de ma propre humidité… Puis il saisit son membre dans sa main et s’insère millimètre par millimètre en moi, telle une torture. Pendant qu’il me pénètre il me regarde dans les yeux et m’embrasse le front. C’est si tendre et si excitant. Mes jambes l’entourent et je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Il commence alors à faire des mouvements de va-et-vient d’abord lents et langoureux puis il commence à accélérer le rythme. Une de ses mains me tient fermement une cuisse tandis que l’autre est autour de ma gorge. Il murmure des mots tendres puis des mots plus pervers, il me complimente et en même temps il me dit des choses plus sombres. Il me raconte tout ce qu’il imaginait me faire, me parle de ma bouche qu’il trouve merveilleuse, me dit que je suis faite pour lui, que je suis magnifique quand je jouis et qu’il a envie de me lécher encore et encore. Le tout chuchoté dans l’oreille en me tirant les cheveux et en m’insufflant sa respiration brulante dans la nuque.
« Ma belle je te sens te contracter autour de moi putain, t’es trempée, c’est moi qui te fais cet effet-là ? Tu vas jouir rien que pour moi et grâce à moi ? ».
C’est un mélange un peu incohérent et très sexy. Je ne peux pas m’empêcher de gémir bruyamment.
« - Vinny mon dieu bébé, je vais jouir, plus fort continue je t’en prie !
- Qu’est-ce que t’es belle putain vas-y joui ! »
Et je jouis très fort, en m’accrochant à lui, ma bouche collée à son épaule, tout mon corps se tend. Il jouit quasiment en même temps que moi en grognant mon nom, son bassin tapant contre moi encore quelques aller-retours profonds, la tête enfouie dans mon épaule.
Nous restons comme ça quelques instants le temps de reprendre nos esprits et notre souffle puis il me regarde, m’embrasse tendrement et me caresse le visage.
« - C’était incroyable bébé tu m’as rendu fou.
- Vinny, je n’ai pas les mots, tu m’as fait perdre la tête ».
Il se retire de moi délicatement et récupère la couverture pour me la déposer tendrement pour que je n’ai pas froid et pour me redonner un peu d’intimité j’imagine.
« Ça va ? » me demande-t-il, un peu nerveux.
« Bien sûr que ça va… » lui dis-je avec un sourire qui se veut rassurant.
Je trouve ça hyper mignon et prévenant qu’il s’inquiète comme ça pour moi. Surtout après m’avoir baisée comme il vient de le faire. Ça crée un contraste super intéressant, à l’image de ce qu’il est.
« - Ça te dit de prendre une douche ?
- Oui carrément ! »
Toujours enveloppée de la couverture, je récupère mes affaires un peu éparpillées sur le sol et le suis une fois qu’il a réenfilé son boxer.
« Voici ma chambre, tu as la salle de bain juste à côté » m’explique-t-il.
Je rentre dans la pièce et m’enferme. En me regardant dans le miroir je me vois totalement décoiffée, le maquillage a coulé, j’ai les joues rouges mais j’ai l’air totalement satisfaite et rayonnante.
Je rentre dans la douche et commence à me détendre et à réaliser ce qu’il vient de se passer. Les images défilent dans ma tête. Mais quelques instants après, alors que je suis encore dans les nuages, j’entends du bruit.
« - C’est moi… Je ne voulais pas te laisser seule… Je peux venir ?
- Bien sûr bébé, je suis contente que toi sois avec moi ».
Il me rejoint sous l’eau brulante qui ruisselle sur nos corps et m’enlace. Puis, il m’embrasse sur le front avant de se lancer dans une touchante déclaration :
« - Si tu savais comme j’ai attendu ce moment, j’ai pensé à toi à chaque seconde, j’ai eu envie de toi, de te faire jouir, de t’entendre crier mon nom dès le premier instant, de te baiser fort et ensuite de prendre soin de toi. J’avais besoin de me soulager avant chacune de tes venues et chaque soir mes pensées étaient vers toi, dans mon lit. J’ai besoin de toi dans ma vie.
- Vinny, c’est réciproque : mon esprit est totalement encombré par ce que tu me fais ressentir. Je ne sais pas si j’aurais été capable de tenir plus longtemps sans me jeter sur toi ! ».
Une fois notre douche finie, il allume quelques bougies dans le salon et rempli deux verres de vin qu’il a disposés sur la table.
Romantique, galant, gentil, bête de sexe : cet homme a tout pour lui.
« C’est parfait Vinny, merci ».
Nous nous redirigeons vers le garage et Vinny lance Eternally Yours. Il s’installe à la batterie, toujours à moitié nu, et commence à jouer. Je suis installée à côté de lui et cette fois je peux me permettre de le toucher et le regarder pendant qu’il joue, sans avoir à me cacher. Finalement il ne se passe pas longtemps avant que nous nous embrassions à nouveau et que nous ne fassions l’amour au pied de sa batterie, sur le tapis moelleux, au son de ses musiques préférées.
FIN
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La Mercerie Droguerie Chatelaine, un lieu où le paradoxe est roi. D'un côté, une mercerie, cet endroit où les ménagères vertueuses (et quelques ménagers, soyons modernes) viennent chercher du fil pour donner une seconde vie à des chaussettes orphelines. De l'autre, une droguerie, où les mêmes personnes viennent acheter de quoi effacer les traces de leurs crimes, ou tout simplement des tâches de confiture de groseille malencontreusement renversée sur une nappe. Et devant ce magnifique édifice du commerce polyvalent, une voiture qui semble avoir été oubliée par son propriétaire depuis la Révolution française. Peut-être que le type est entré acheter une brosse à reluire en oubliant qu'il en a une naturelle sous le bras. Ces petites guirlandes colorées, suspendues à la façade avec l'élégance d'une moustache sur Mona Lisa, semblent être les vestiges d'une fête. Probablement celle du dernier client satisfait. C'était en 1923. Mais soyons francs, entre le parfum de naphtaline et les échos lointains des marchandages d'antan, le lieu exhale une nostalgie contagieuse. Car, comme disait ma grand-mère : « Mieux vaut une droguerie à portée de main qu'une mercerie au bout du monde. » Et au vu de cette épave rongée par le temps, il semblerait qu'un audacieux ait tenté l'expédition mercerie sans le confort de son tacot et sans se rendre compte non plus qu’il en avait une sous le nez. Une preuve irréfutable, s'il en fallait une, que la bêtise humaine a la persistance d'une tache de rouille sur un pantalon blanc.
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