#en attendant de finir les autres
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 324
Résolution du problème d'Enguerrand
Une semaine pour mettre au point le plan. Puisque le monsieur aimes les hommes aussi, nous allons lui en faire une indigestion, mais en tant que passif, qu'il puisse apprécier ce qu'il fait subir à Enguerrand.
Vite fait, avec Jona et François plus l'aide et le matériel de DGSE pour la " capture et l'immobilisation " du triste sire, avec une sélection des 5 plus grosses bites de mon catalogue à qui j'explique le topo et la raison de ce gang-bang improvisé, je compte bien faire entrer un peu de plomb (au figuré) dans sa cervelle.
Les acteurs de la punition seront tous masqué et moi, je resterai même avec mon t-shirt pour qu'il ne voie pas mon tatouage.
Je loue un autre gite que l'habituel, celui-là est trop pratique pour que je le grille. Le nouveau est idéalement isolé de toutes habitations, la table en chêne massif nous permettra de la maintenir attaché.
Ce sont Jona et François qui vont le chercher. On l'attrape dès le samedi midi. Mes deux amis s'étant rendus méconnaissables déguisés en employés GDF-Suez, ils lui ont fait le coup de l'urgence Gaz et effectivement c'est ce qui s'est passé puisqu'ils l'ont gazé ! Il est arrivé encore groggy et nous avons eus tout le temps de le déshabiller et de lui enfiler des menottes aux poignets et à ses chevilles. Un collier de chien en cuir large et une cage de chasteté (c'est pas la peine qu'il y prenne plaisir en plus, d'après le film du dépucelage d'Enguerrand, ce dernier n'en avait pas pris non plus !) a complété l'équipement. Quand il s'est réveillé, il était couché sur le ventre sur la table en chêne, les membres attachés aux 4 pieds, la cage à bite plaquée en arrière et la tête en dehors du plateau.
Il se réveille doucement avant de se rendre compte qu'il est entravé. Placés derrière lui, on le voit se tortiller, secouer ses jambes et se bras. Puis on entend " aller les potes libérer moi, c'est pas drôle votre truc ". Je me place alors devant et lui soulève la tête pour qu'il me regarde dans les yeux. Il attend. Je lui explique par A+B ce qui va lui arriver ce WE. En premier une petite explication de texte et ses aveux, en second un dépucelage anal par 5 mecs, le tout filmé bien sûr. Et si nous trouvons que ce n'est pas assez, on a apporté quelques jouets pour finir de lui ruiner la rondelle. Comme bien sûr nous ne sommes pas des barbares, la troisième étape ne lui arrivera que s'il n'est toujours pas coopératif. Il gueule qu'il n'y comprend rien, qu'il ne voit pas ce qui lui vaut ça, qu'on est des désaxés et que la justice nous attrapera quand il aura déposé plainte. Je lui dis que ça tombe bien qu'il parle de justice, j'avais un petit film à lui faire voir. Jona pousse l'écran devant le mec et on passe son film du dépucelage d'Enguerrand. Il se tait vaincu ! Enfin !! Je lui dis qu'il savait pertinemment ce qu'il faisait subir à Enguerrand, ses propos enregistrés pendant l'acte ne laissent aucun doute là-dessus. Je lui demande s'il désire que le fichier soit remis à un juge (même si je sais que je ne le ferais pas). Il sera condamné et il passera toute sa peine à se faire défoncer le cul tous les jours par les malabars de la prison. Là, s'il se tient bien ce ne sera que 5 mecs et une seule soirée. Il a le choix. Il opte rapidement pour ma seconde proposition.
C'est là que je précise que mes 5 mecs sont bien montés, pour pas le prendre en traitre moi ! (Enfin un peu quand même je ne lui dis pas que les bites fonte entre 27 et 28cm par 7 à 8 de diamètre, faut pas gâcher la surprise). J'ajoute que comme lui je vais faire un petit film pour m'assurer de la permanence de sa nouvelle disposition d'esprit. Là le con, il me dit que c'est pas la peine, il n'a qu'une parole. Mais bien sûr, prend moi pour une bille ! Comme sécurité supplémentaire je lui fais dire devant la caméra qu'il est maso et que tous les traitements qu'il allait subir, l'étaient avec son accord total, qu'il est dans ce trip " rapt et domination " volontairement. Il a fallu quand même la refaire 4 fois avant que nous le trouvions convainquant. A regarder de plus près, il est pas mal foutu le mec, c'est vraiment dommage qu'il se soit fourvoyé comme ça. En attendant nos acolytes, nous rasons le jeune homme. Ça lui dit rien mais il se laisse faire, après tout c'est ce qui va lui arriver de moins pire ! La peau toute lisse, il est très désirable. Mes clients ne vont pas avoir de mal à bander pour ce salaud. Quand je lui rase la tête, il a un mouvement de recul. Il finit quand même la boule à zéro. Je lui dis que c'est pas parce qu'il va pas aller en tôle qu'il échappera à la tête de bagnard. Par respect pour mes clients, nous lui octroyons un lavement. Heureusement que nous sommes trois et que nous avons des chaînes sinon ça aurait été laborieux. Mais une fois la canule dans le cul et de l'eau plein le ventre, il n'a plus le choix et va se vider docilement. Il en faut 4 passages pour que l'eau sorte propre et j'ai enfoncé le flexible de plus de 30cm. DGSE est le premier à nous rejoindre, Masqué lui aussi, il va le préparer psychologiquement.
Impressionnant les technique qu'il emploi. Entre fessées et pincements, argumentaire le plaçant en dessous de tout, excitation de sa prostate au doigt (un seul pour pas gâcher le dépucelage), il l'excite pour que sa queue soit douloureuse à ne pas pouvoir bander dans sa cage. Le tout est filmé par François. Il le fait jouir et sur l'écran, on voit le voit bien en entier avec son jus qui coule entre les barres en inox et le doigt qui lui fouille le cul. Il n'arrive même pas à retenir un gémissement qui est très net de plaisir ! Quelle tantouze !! J'accueille mes invités et leur passe les cagoules à porter. Il y a mon banquier et ses 27x7 et Xavier avec ses 26cm épais comme blanc en plsu de DGSE. Les 2 autres sont blacks et monté 27x 7, 27x8 et mon top qui a entre les jambes un 28x8 monstrueux ! Ils se mettent nus avant d'entrer dans la salle. Je leur ai demandé de ne pas parler, par sécurité. J'entends XX dire que c'est pas le contrat ça, que c'est pas des mecs c'est des chevaux !  Je lui demande s'il préfère que j'envoie le fichier à la justice ? Il est vaincu ! Pour éviter les risques, DGSE lui place dans la bouche un écarteur de mâchoires. Comme ça pas de coups de dents et sa gorge sera accessible en permanence. Mes 5 clients bandent à mort !
Pendant 3 heures, XX va se prendre les plus grosses bites de la région dans le cul et dans la gorge. Il a appris sur le terrain à maitriser sa respiration. La première bite, même si couverte de gel, n'aurait pu rentrer sans la prise de ses " excitants " personnel récupérés dans son appart. Associé au poppers, ses sphincters ont lâchés et sa rondelle s'est faite défoncée. Après, il a juste suffit de ne pas la laisser se refermer pour que tout le monde puisse y passer. Plusieurs fois j'ai demandé à François de filmer son trou béant alors que je tournais la tête pour que nous ayons bien sur le même plan, son beau visage à la bouche ouverte par l'écarteur et sa rondelle grande ouverte. J'aurais bien dis à mes clients de le doser à cru mais pas la peine de lui laisser des traces ADN ! Quand ils partent, notre " master " n'est plus qu'une salope comme il se plaisait à dénommer Enguerrand ! Je lui fais grâce des godes et pluggs prévus en cas de résistance. Il n'a eu que des " arghhhh " et pas de " non ". On libère ses mâchoires. Puis nous le détachons de la table pour le mettre sous la douche. Récurage en règles afin d'enlever le peux d'ADN laissé sur sa peau et friction avec un produit spécial pour en dénaturer les restes. Il reprend ses esprits. Il commence à intégrer ce qu'il vient de lui arriver surtout quand il voit le film qui a été fait. Il ne peut nier avoir pris du plaisir puisque sa queue à plusieurs reprises à laisser suinter son sperme blanc. Je crois bien que c'est ça le pire pour lui, laisser voir qu'il a éjaculé sous les coups de bites qui lui défonçaient le trou !
Maintenant je lui mets le marché en main. Il disparait de France, outre-mer compris ou le fichier entre dans le domaine public. Et pour cela il a exactement 1 semaine qui courre à partir de l'heure à laquelle il va être déposé devant sa porte d'appart. Je lui dis que c'est nettement suffisant pour régler ses petites affaires avec son dealer à qui il doit encore 8 500€ et de dire au revoir à sa famille et leur donner une raison valable. Et, bien sûr ce cesser toute relation avec notre ami Enguerrand (le plus important). Que s'il changeait de continent ce serait même mieux. En Afrique, ils ont besoin de volontaires pour combattre Ebola, ce serait une belle façon de se racheter. En plus il a déjà de la famille là-bas et de lui citer trois noms de cousins et cousines à lui. S'il se décide pour l'Afrique, je lui ferais passer des kpotes XXL avant son départ (on peut quand même avoir un peu d'humour non ?!). Les seules choses qu'il retient de mon petit laïus, c'est que je connais la somme exacte de ses dettes de coke et les noms de sa famille en place sur le continent Africain. Je continu mon discours en le prévenant que ce n'était pas la peine d'essayer d'échapper à la surveillance que je vais mettre en place sur lui, j'ai plus d'amis que lui. Ça fera un exercice en taille réelle pour Jona et François. Pendant la " punition ", François est allé dans l'appartement de XX pour y placer des caméras miniatures. Il est dans un tel état que je crois bien que je pourrais même lui faire signer des aveux complets sur le viol perpétué sur Enguerrand tout comme de ses activités dans la drogue. Comme j'en fais part à DGSE, ce dernier me sort papier et stylo, il avait prévu le coup. Ça fera une assurance supplémentaire. XX s'exécute, même pas eu à insister. Jona et François le reconduisent au petit matin. Gaminerie de ma part, je ne lui ai pas retiré ses menottes de poignets ni de chevilles. Il devra se débrouiller sans les clefs !!  Ils le déposent nu sur son palier avec et lui jettent ses clefs au sol.
Ce qui ce passe après est le résultat de visionnage par les caméras de son appart. Nous le voyons entrer et refermer la porte. Avant toute chose il fouille partout et nous l'entendons gueuler parce qu'il ne trouve plus sa dope, (dans les chiottes ses réserves). Il s'enfile un grand verre de Whisky et fait la grimace, ça tombe dans un estomac vide !! On le voit essayer de défaire ses menottes avec les outils du bord, couteaux et même fourchettes mais rien n'y fait, (bonne qualité, il va devoir trouver un serrurier ou une scie à métaux). Puis il va sur son PC et voit bien que le ménage a été fait. François a remplacé le disque dur (l'effacement des fichiers n'est pas suffisant) par un autre vierge. On l'entend téléphoner à un de ses amis de débauche (comme nous disposons de tous les noms de sa bande). Ce dernier n'a pas l'air de comprendre et XX l'engueule. Une 1/2 heure après, l'ami en question débarque. XX s'est couvert d'un drap de bain à la taille. Il explique vaguement un plan sexe avec une nouvelle conquête. Et qu'il a perdu les clefs dans la bataille. L'ami décide de crocheter les serrures. Il le fait bien et en quelques minutes XX est libéré. Je note par devers moi le nom de l'ami et y accole l'info sur sa dextérité avec les serrures.
XX congédie le mec et part se doucher une nouvelle fois. On l'entend marmonner sous l'eau " les salauds, les salauds.... ". Il s'habille puis nous le voyons tourner et virer dans son appart, prendre plusieurs fois son téléphone puis le reposer sans appeler qui que ce soit. Puis il se décide. Il appelle son dealer pour solder ses comptes et lui demander d'apporter une dernière livraison. Cela fait, il appelle ses parents et la conversation tourne sur ses cousins en Afrique. On l'entend même dire à ses parents qu'il pense réorienter sa vie et peut être les rejoindre. Il passe encore une heure devant le téléphone avant que je l'entende appeler Enguerrand. A ce dernier, il présente ses excuses pour avoir profité de lui et qu'il est libre maintenant, qu'il avait détruit (c'est nous en fait) toutes les preuves qu'il détenait.
Pendant la semaine, nous allons le voir expliquer sa décision à sa bande qui ne comprend rien à rien et à ses parents qui débarquent pour savoir le fin mot de sa décision de tout plaquer. Se prendre un poing dans la gueule par Côme et un direct dans les cotes par Ludovic Il règle ses dettes et se fait une ligne. Qu'il en profite ! Il prend aussi contact avec ses cousins et achète un billet d'avion.
C'est fait, nous sommes et surtout Enguerrand est débarrassé de ces parasites.
Entre temps, Enguerrand a débarqué le lundi soir au blockhaus. Il surprend son frère qui n'était pas au courant qu'il passait nous voir. Nous non plus d'ailleurs. Ce qui le surprend le plus c'est que le gamin se jette à mon cou et qu'en pleurs il ne cesse de me remercier. Je lui souffle que Ludovic va se poser des questions. Il me répond qu'il s'en fout qu'il va tout dire à ses frères. Ses frères ? A ce moment-là, sonnerie à la porte, Côme se pointe, convoqué par Enguerrand. Quand il arrive au 4ème, il demande si ce petit con nous a encore insulté, avant même de nous saluer. Je le rassure. Je regarde Enguerrand. Il me fait signe, je dis alors qu'Enguerrand à quelque chose à leur dire. Je fais signe à Samir en cuisine de sortir et m'apprête à faire de même avec PH. Enguerrand m'arrête et me dit de rester tout comme PH qu'il sait être notre ami commun à son frère et moi ! PH sert l'apéritif à tous le temps qu'il ordonne ses pensées même s'il avait prémédité le coup. Moi je me pose derrière Ludovic et le prends dans mes bras, ma tête sur son épaule, je lui fais un bisou. Enguerrand se lance et raconte tout, depuis la drague de mademoiselle YY de XXX et la chute sous la coupe de son frère, jusqu'à son coup de téléphone qui le libérait de tout. Le récit prend bien 1h1/2 pendant lesquelles on aurait entendu une mouche voler. Plusieurs fois j'ai retenu dans mes bras un Ludovic en furie. De son côté Côme se retient difficilement et je le vois mordre ses lèvres plus d'une fois. Je suis fier d'Enguerrand. Il raconte son assujettissement en regardant ses pieds mais sa voix est ferme. Je crois que ses pleurs dans mes bras tout à l'heure étaient les derniers qu'il versait sur cette période de sa vie. Quand il se tait, Côme se lève et dit à Ludovic, " vient, on va lui casser la gueule à ce salaud, je vais le tuer ! ".
J'interviens alors pour lui dire que ce n'est pas la peine, le travail a été fait et il va disparaitre du territoire. Je n'entre pas dans les détails mais l'assure qu'avec quelques amis, nous avons fait en sorte qu'il n'embête plus personne et encore moins leur petit frère, sans avoir été aussi radical, il l'imagine bien ! Je leur annonce aussi que XX a décidé de s'expatrier. Côme n'en démord pas, il tient à lui casser la gueule d'autant plus qu'il le connait bien ce type. Ce n'est pas un de ses amis proches mais ils sont du même milieu et en plus ils boxent dans le même club. Enguerrand, lui, le supplie de ne rien faire. Je l'ai sorti de la merde et c'est suffisant.
Ludovic que j'avais de plus en plus de mal à retenir m'échappe et debout à coté de Côme confirme qu'ils ne peuvent laisser passer cela. J'arrive seulement à leur faire promettre d'être raisonnables. Ils l'ont été puisqu'ils se sont contenté d'un seul coup chacun. Ils attrapent leur frère et le serrent dans leurs bras, content qu'il s'en soit sorti et l'engueulant à moitié qu'il n'ait pas eu confiance en eux pour résoudre son problème. Enguerrand m'appelle et m'ajoute à l'embrassade. Dans l'euphorie du moment, il nous dit qu'il les aime ses trois frères, et de me faire un gros bisou sur la joue en me disant " mon héros ". Il me cueille ce petit con !
Ils passent tous les trois la soirée avec nous, après que Côme ait appelé ses parents pour les prévenir qu'Enguerrand rentrerai pas trop tard. Difficile de reconnaitre Enguerrand tant ce dernier a changé de caractère. Le garçon acide et mordant auquel j'avais eu à faire a cédé la place à un gamin gai et rieur plus de son âge. Alors que Côme va pour le reconduire, il me remercie encore et me dit que ce sont ses parents qui vont être soulagés. Ils ne savaient plus comment s'y prendre avec Enguerrand !
Jardinier
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theungracefulpasterie · 7 months ago
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Second part of @imaushisimp 's request !
A/N : Sorry for the long time I took, I got a lot of exams and I had a hard time finding inspiration. Anyways, hope you'll like it !! (It'll still be in French as you have requested)
P.O.V : You throw a surprise party for him (Dazai)
Warning : get a tiny tiny bit heated towards the end.
Dazai
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Ça fait 2 ans que tu fais partie de l'Agence, 2 ans qu'un certain homme parsemé de bandages sur tout le corps est entré dans ta vie. L'année dernière, lors de votre anniversaire, c'est Dazai qui a tout organisé. Mais cette année, tu as décidé que c'était ton tour de faire de cette journée la meilleure. Tu décida donc de faire de cette fête une surprise et de convié tout les membres de l'Agence.
~~little timeskip~~
Tu avais tout prévu. Vous alliez passer toute une après-midi à fêter votre amour avec tout vos amis, puis une balade au parc entre amoureux au crépuscule pour admirer le coucher du soleil et enfin pour finir la soirée chez toi.
"Bon, c'est quand que je peux voir ?", dit-il impatiemment. Tu lui avais mis les mains devant les yeux et essayait de le guider tant bien que mal à le guider jusqu'au bureau.
"Oh mais attends !!", tu soupiras parce que t'avais l'impression de parler à un enfant. Vous étiez enfin arrivé devant la porte et tu lui enlevas tes mains de ses yeux. "C'est bon, tu peux ouvrir la porte !".
Il ouvrit la porte quand tout le monde cria "Surprise !!" et sauta sur lui, à ça de l'écraser au sol avec leur poids. Tu éclatas de rire et il se leva endolori.
"C'est pas drôle !", dit-il en faisant semblant de faire des yeux de chien battu pour attiser ta pitié. Il reprena son air sérieux et admira toute la décoration. "C'est... c'est toi qui a fait ça ?", dit-il en te regardant comme si il te croyait pas.
"Et oui ! Avec l'aide de tout le monde bien sûr...", tu répondis en regardant ailleurs et en rougissant. Dazai venu vers toi, entoura ta taille avec un de ses bras et te pris par le menton et approcha son visage du tien et dit d'une voix suave et séducteur comme il sait bien le faire : "C'est magnifique, ça te reflète parfaitement chéri." Et il t'embrassa tendrement. Tu entouras tes bras autour de son cou et tu te laissas faire par ce baiser envoûtant. Tout le monde sifflait et vous disait de réserver pour ce soir, à quoi tu leur répondis tout rouge "CE N'EST PAS VOS AFFAIRES !!".
Vous passiez une après-midi fabuleuse avec tout le monde quand tu remarquas que le ciel était déjà d'un orange doré. "Osamu, ça te dit une balade au parc ?", demandas-tu en lui tendant ta main. Il la prit et se leva. "Avec plaisir, mon amour~", répondit-il, plus amoureux que quiconque. Ton cœur palpitait tellement il était sexy en paroles et en apparence. Tu pouvais pas croire que la vie t'avait béni avec un homme comme ça.
Vous marchiez dans le parc main dans la main, en parlant de tout et de rien et en admirant la nature. Ce que Dazai aimait chez toi était ton amour pour la nature, c'était peut-être le seul domaine dans lequel tu le dépassais, lui et son gros cerveau. Et c'était ça le problème, tu savais que son intellect le permettait de prédire carrément l'avenir.
Vous vous asseyez donc sur un banc, admirant le coucher du soleil. Tu posas ta tête sur son épaule et lui dis :
"Tu le savais depuis le début pour cette surprise, hein ?"
Après quelques secondes, il disa avec de l'embarras dans sa voix :
"Haha... malheureusement...", il était également très nerveux. "Mais pour être honnête, même si je l'avais déjà prévu, les moments qu'on a passé ensemble et avec tout le monde m'ont beaucoup touché et ça, tu vois, c'est quelque chose que je n'arrive jamais à prédire."
Tu lui souris et répondis :
"Merci d'avoir jouer le jeu, vraiment... c'est ça que j'aime chez toi, Osamu. Même si tu sais déjà ce que je veux faire avec toi, tu ne laisses jamais ton intelligence gâcher le moment et tu laisses libre cours à tes sentiments et aux sentiments des autres. Et ça, je te suis à jamais reconnaissant. Je t'aime, Osamu."
Il sourit à ta réponse et te regarda tendrement.
"Moi aussi je t'aime." Il posa ses mains sur ton visage et t'embrassa. Il inséra sa langue dans ta bouche et domina ta langue. Tu te laissas faire et vous commenciez à vous allonger sur le banc, Dazai au-dessus de toi, continuant à te rouler une pelle. Ton pantalon commença à devenir trop inconfortable au niveau de ton entrejambe, pareil pour Dazai. Quand tu te rendis compte que ça commençait à devenir torride et que vous étiez encore en public, tu te rappellas de la dernière étape de ta surprise. Tu séparas tes lèvres des siennes, à son grand désarroi, et dis :
"Chez moi ?~"
Il sourit sournoisement et répondit :
"J'ai cru que tu le demanderais pas~"
A/N : At last, it's over !! My first time writing a more heated story, I'm not too good at this yes but I wanted to try, so I would like feedback ! Don't hesitate y'all to request more things, I'd be happy to make them !!
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yaminahsaini · 7 months ago
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🏥3 juin 2024/Suite: Voilà, nouvelle sonde mise en place.💪🏼 Pour vous résumer comment cela s’est passé par la suite: J’ai été mise au bloc opératoire. Je leurs ai demandé de me mettre ce nouveau modèle de sonde qui est beaucoup plus adapté pour la longue durée car la matière est différente (c’était d’ailleurs bien écrit sur l’emballage sonde naso intestinale). Elle ne risque pas de s’user rapidement. Ensuite elle est moins grosse que celle habituel, donc il y’aura clairement moins de douleurs! Pour finir elle à deux embouts, ce qui serait pratique si besoins d’injecter quelque chose en étant branchée etc… Au début les soignants n’étaient pas trop d’accord car ils tenaient à ce que la sonde soit grosse afin d’éviter le risque qu’elle remonte facilement. Ils m’ont donc dis qu’ils allaient essayait celle-ci et si ça ne va pas ils mettraient la blanche habituelle. Bref pour vous résumer la procédure au bloc: j’étais allongée, on m’a mise du chauffage et couverte à moitié car il fait très froid au bloc. Ensuite on m’a mis les patch pour tout ce qui est surveillance cardiaque et un masque d’oxygène où je devais respirer en attendant que l’anesthésiste m’injectait de quoi m’endormir. Le produit me faisait vraiment mal au veines puis je me sentais partir et plus aucun souvenir jusqu’en salle de réveil. Je me réveille tranquillement peu à peu. Un soignant me dit qu’ils ont bien réussi à mettre la sonde aux intestins et qu’elle a été fixé de l’intérieur pour éviter qu’elle remonte (comme d’habitude mais avec le temps elle se détache, c’est surtout pour éviter que ça arrive en enlevant l’endoscope). On m’enlève ensuite le masque d’oxygène mais ils continuent de surveiller la tension et le cœur. J’étais toujours perfusée à des médicaments. On me mets ensuite demi assise afin d’éviter de se lever brutalement puis petit à petit on m’emmène dans une autre salle pour une collation. J’ai bu du jus de pomme et la moitié d’une compote de pomme. On me retire le cathéter et on me prend une dernière fois la tension qui était basse. Mon père était ensuite venu me récupérer pour rentrer chez moi. Je suis sortie du bloc lorsqu’il était presque 15h.
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e642 · 1 year ago
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Je viens d'aller voir "in the mood for love". Bon, pour ceux qui l'ont vu, vous savez, les autres, ça part aux rattrapages (comme moi en juin). Et ça m'a bouleversée de voir naître un amour interdit entre deux personnes si seules, si déçues et pourtant si respectueuses de leurs partenaires qui ont chacun une liaison. Cet amour si platonique qui, néanmoins, laisse une atmosphère lourde de désir, et de sensualité. Dans notre aire qui consomme le sexe comme on consomme un mc do: goulûment, rapidement, dégoûtant.. ça rend hommage à la beauté de l'invisible, à l'intensité des regards, aux gestes mesurés, à la finesse des sentiments. C'est pas le coup de foudre, bien au contraire, c'est l'amour lent, qui fait son nid au creux de cœurs effrités. Qui prend le temps de s'aimer ? De partager ? De regarder ? D'apprécier ? De nouer ? Trop peu de gens. Il ne se passe presque rien et c'est précisément ça qui sous entend tout. Et ça fait écho en moi... cette peur d'un jour être délaissée par une personne que j'aimerais fort, puis me retrouver seule, tard le soir, à attendre une silhouette qui en épouse une autre. Attendre une personne qui en attend une autre et, fatalement, finir par, moi aussi, aimer quelqu'un d'autre sans m'en rendre compte. Je n'aurais pas peur de l'appel de la chaire, je craindrais d'être happée par la douceur d'une âme autre. J'ai l'impression qu'il est plus facile d'aimer quand on est délaissé. C'est déroutant comme, par moment, on ne se rend pas compte de ce qui germe en nous.. alors que nous avons planté les graines. La tragédie de ce film c'est de les voir se priver d'un amour pur pour préserver leurs relations impures.
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loup-venant · 8 months ago
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Quand les portes s'ouvrent, les voyageurs attendent en foule devant, empêchant en partie ceux qui descendent de s'extraire des voitures aisément. Les quais ne sont pas particulièrement étroits ni bondés. C'est en retrait que Léa observe cette inclination individuelle de plus en plus prononcée.
Une balade audio lui glisse dans les oreilles depuis son casque. Elle s'empare des tensions que la situation provoque dans son ventre. Léa ferme les yeux un instant. Une guitare, une voix douce, un hautbois, et des percussions modestes forment ensemble un air qui lui inspire un chemin sous les arbres l'été, entre forêt et champs. Une discussion entre amis qui vient de finir, qui laisse place au silence précieux, celui qui ouvre les portes des nuages ou des étoiles. Une véritable couverture de douceur, pour construire des forts ou rester au chaud devant les flammes.
Quand Léa rouvre les yeux, son agacement s'expulse dans un soupir profond. Le monde revient, sur le quai, dans le train. Les pas pressés des uns, les rires des autres. Elle s'aligne derrière un groupe de jeunes adolescents. Ils n'ont pas loins d'avoir son age, à une dizaine prêt. Ils se serrent les uns contres les autres, s'accrochent à ce qu'ils peuvent, le sac de leur copain de devant, la rampe verticale à l'entrée de la voiture, l'épaule de celui à coté. Un nuage dense comme un orage, prêt à s'engouffrer en un éclair dès que la route sera dégagée.
C'est au tour de Léa de s'avancer pour rentrer, elle a la main sur la rampe, son pied prêt à décoller quand quelqu'un lui passe devant. Un homme qui ne lui adresse aucun regard. Il est monté comme si l'escalier lui appartenait, et qu'il y vivait seul. C'est au moins ce qu'on peut lire sur le visage circonspect de Léa qui s'est reculée inconsciemment, par automatisme, malgré elle, pour éviter tout accident. Elle ne se permettrait pas de bousculer quelqu'un, le dépasser dans une file. Elle n'a pas été touchée, mais ça fait quand même mal.
Autour d'elle, elle n’aperçoit rien d'autre que des regards qui semblent lui demander ce qu'elle attend pour monter. Elle avale sa rancoeur, et se hisse dans le train, défaite. Dans le couloir entre les sièges, elle ère à la recherche d'une place seule. A première vue, ça ne sera pas pour aujourd'hui. Elle passe le groupe d'adolescents. Ils se sont entassés sur deux fois quatre place et continue de se pousser, de rigoler. Plus loin, une femme avec une valise au moins aussi grande qu'elle et deux sacs utilise également quatre places. En face, deux gars qui ne parlent pas mais qui s'étalent aussi loins qu'ils le peuvent la regarde passer.
C'est après eux, à coté d'un petit vieux avec une casquette et sa canne à laquelle il accroche un sourire imperturbable que Léa s'assied. Après, s'aurait été trop dangereux. C'est là que le gars qui lui est passé devant s'est assis. Elle souhaite éviter la prison tant qu'elle peut.
Le petit vieux regarde par la fenêtre pendant la quasi entièreté du trajet. Parfois, Léa a l'impression de lire des histoires dans ses yeux qui semblent s'accrocher à tous les détails des paysages qu'ils traversent. Son coeur s'apaise en l'observant. Il incarne la balade dans les bois à lui tout seul. Quand il se lève à son arrêt, c'est après un échange intense avec les yeux de Léa. Ils brillaient comme une flamme prête à s'éteindre. Fragile, et si belle à la fois.
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lilias42 · 1 month ago
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6 : dans une classe différente
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Pour ce nouveau jour, c'est la Brave du Corps, Metaheta, qui est à l'honneur, même si elle n'est pas bien contente de ce qu'elle récolte comme "armure" et des propos de sa descendante, Hilda (et on en profite pour mettre un taquet sur le gout... discutable des classes féminines de ce jeu !)
Normalement, Metaheta est une combattante au corps à corps qui n'utilise que ses poings et ses jambes pour se battre, elle n'a pas vraiment de coup à distance (comme des sorts classiques) pour attaquer à part quand elle décide de vous balancer la moitié de sa montagne sur la figure ou quand elle se fait grandir pour vous écraser. Elle est très résistance et grâce à sa très grande capacité de régénération, ses blessures se referment très vite quand ses ennemis arrivent à la toucher. Elle a également de très nombreux yeux sur tout le corps (notamment dans le dos) qui lui permettent de voir sous tous les angles. Sa sorcellerie est pensée pour la rendre plus ou moins imbattable étant donné qu'elle est la plus âgée de sorciers (1 200 ans en tout, dont deux cent ans à survivre aux agarthans qui ont chassé son peuple pour le fun car, ils les considéraient comme des animaux, elle est même devenue une des premières sorcières de l'histoire pour pouvoir protéger les siens).
Même si je ne met jamais mes sorciers dans une classe spécifique du jeu (leurs pouvoirs sont justes trop particuliers pour pouvoir être catégoriser, même si certains utilisent des armes blanches, notamment Siopélè, l'ancêtre de Marianne, qui utilise constamment une épée), je pense que pour Metaheta, elle serait surement un maitre de guerre, même si elle se débarrasserait de tout ce qui est inutile dessus pour être le plus libre de ses mouvements possible (la cape, l'énorme protection d'épaule qui lui bouche la vue... tout ça, ça dégage !), surtout qu'elle ne fait pas vraiment attention à ses affaires quand elle se bat. Elle se donne juste à fond sans penser à autre chose que de défoncer l'adversaire et de protéger sa cité donc, ses vêtements finissent souvent en lambeaux ou imprégner de sang alors, elle met quelque chose de facile à réparer ou pas trop cher (même si c'est la seule des Braves qui est riche) histoire de ne pas jeter du tissu à la poubelle (une de scènes les plus marquantes que j'ai en tête à son sujet, c'est quand les agarthans arrivent à l'attirer dans une embuscade en volant la peau de son frère et en se faisant passer pour lui. Quand elle se rend compte de la supercherie, elle devient ivre de rage et massacre toute la troupe à elle toute seule à mains nues, en particulier celui qui ose se faire passer pour son frère dont il a arraché la peau comme celle d'une vulgaire proie qui finit réduit en charpie à coup de poing, tellement que rien ne pourrait soupçonné que ce tas de chair a été un agarthan ou un humain alors qu'elle est intégralement couverte de sang rouge-brun d'agarthan, avec juste l'écarlate de l'oeil sur son front qui s'ouvre à ce moment-là alors qu'elle jure de les tuer tous jusqu'au dernier [même si contrairement aux agarthans - et aux responsables de la Tragédie de Duscur - elle ne tuera que les combattants et les décisionnaires, elle laisse toujours partir les civils qui n'ont rien demander ni fait à part naitre dans le mauvais peuple]). Alors, étant donné qu'elle est une sorcière et qu'elle manie la magie, je pense qu'elle pourrait finir grémorys si on la changeait de classe, même si ça ne corresponds presque pas à ses vrais capacités.
Cependant, elle DETESTERAIT avec ses tripes l'uniforme des grémorys !
Je ne suis surement pas la première à le dire mais, les tenues féminines de ce jeu ont beaucoup trop d'élément qui ne sont là que pour le plaisir des joueurs masculins et pas du tout pour la protection des combattantEs ! Un des meilleurs exemples de ça, la classe des enchanteurs :
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Si la tenue masculines ressemblent à ce qu'on attend d'un magicien relativement classiques dans la pop culture (grande robe, grand chapeau, beaucoup de tissu de partout...) l'habit féminin est très genré, avec la taille qui est souligné et cintré (là où elle est invisible pour les hommes) et surtout cet énorme fenêtre pour seins inutiles sur un champ de bataille, c'est juste se mettre une énorme cible en plein sur la partie la plus sensible du corps avec écrit dessus "tuez moi SVP !". C'est encore plus flagrant quand on se souvient que la plupart des utilisateurs de magie de Raison sont des femmes (Annette, Dorothéa, Lysithéa, voir Mercedes avec si on la développe sur le plan offensif et de la Raison), et la classe de grémory qui est également très genré et révélatrice pour rien est réservée aux femmes alors, le but des développeurs devient assez évident. Je ne demande pas à ce qu'une classe d'un jeu vidéo de fantasy soit ultra réaliste (même si je pense sincèrement que de vrais armures bien faites et documentées serait bien plus cool et agréable à regarder que... ça pour les batailleurs) mais, là, c'est évident que les développeurs voulaient juste transformer leurs personnages féminins en bonbon pour les yeux (eye candy pour les anglophones) pour le grand plaisir de leurs joueurs masculins hétéros, le grand désespoir du reste de la fanbase et surtout les femmes qui en ont marre d'être limité à une paire de sein et des fesses qui bougent pour décorer le champ de vision de hommes.
Alors, allez, autant profiter de cette invit' pour faire un petit braquage et montrer une combattante qui a une réaction censée face à un habit pareil ! Elle est donc dégoutée par cette tenue qui la serre, et pète juste un cable quand elle comprend que les hommes ne se l'inflige pas alors, c'est juste pour qu'ils se rincent l'oeil sur leurs camarades. Elle vient de l'époque mycénienne, les femmes avaient une place importante dans cette civilisation et elle-même a toujours eu une position d'autorité, notamment grâce à son rôle de sorcière, et elle a toujours été solidaire avec toutes les femmes, même quand celles des autres cités perdent de l'importance et de l'autonomie dans les autres cités. Elle ne supporte donc pas que l'on l'objectifie ainsi et préfère tout déchirer pour aller se battre en pagne, c'est toujours mieux que ce truc ! En plus, la civilisation de Metaheta étant inspirée de l'époque mycénienne, l'habit normal des femmes étaient une jupe, avec ou sans une sorte de boléro qui laissait souvent la poitrine découverte. C'est donc complètement normal pour elle de laisser sa poitrine à l'air libre (elle porte souvent juste une jupe pour garder un maximum de ses yeux découverts) et comme elle voie que Hilda porte une mini-jupe, elle se dit que c'est normal aussi alors, elle ne se gêne pas, histoire d'encore gagner en visibilité. En plus, j'aimais bien le contraste entre son corps couvert de fierté qui est très chargé, et le côté très uni du tissu qu'elle porte quand je la dessine.
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(différentes peintures et un sarcophages décoré mycéniens, c'est juste magnifique !)
Petit point anecdote de dessin : d'habitude, je ne met jamais autant en valeur les courbes d'un personnage en mettant le détail de la poitrine et des fesses comme ici, j'ai ajouté ses détails pour montrer à quel point la tenue la serrait et était moulante, ce qui la rend évidemment encore moins pratique. C'est aussi pour ça que j'ai enlevé les muscles ou le relief des yeux de Metaheta, pour renforcer encore plus l'aspect "on se fiche des particularités de ton corps, tout ce qu'on veut, c'est des fesses et des seins d'une femme au corps de mannequin qui ne peut pas nous défoncer la gueule si on la mate", alors que même si elle peut changer d'apparence et que ce n'est pas rare qu'elle cache ses muscles quand elle tente de tromper quelqu'un, elle est très fière de ses fiertés et de ses muscles alors, elle les laisse visible autant qu'elle peut.
(Et faut vraiment que je trouve le courage de faire une fiche de personnage pour Metaheta pour que ses fiertés restes régulières - -' )
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marie-swriting · 8 months ago
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Pour La Toute Première Fois - Emily Prentiss
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Résumé : Emily a toujours pensé qu'elle finirait sa vie avec un homme, cependant c'est une femme qui fait battre son cœur plus rapidement.
Warnings : se passe pendant la saison 16 (pas de spoiler), consommation d'alcool (consommer l'alcool avec modération!), questionnement de sa sexualité, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : 10x better par Marielle Kraft
Emily Prentiss est plongée dans ces dossiers sur l’enquête de Sicarius. Elle relit chaque information, à la recherche d’un détail qui leur aurait échappé, en vain. Elle passe une main dans ses cheveux gris tout en soupirant. Elle regarde pour la énième fois la première page du dossier quand tu viens l’interrompre dans sa lecture.
-Excusez-moi, j’ai attendu la toute dernière minute, mais je vais fermer maintenant donc j’ai besoin que vous partiez.
-Oh mon Dieu, désolée ! s’excuse Emily tout en regardant sa montre. Je n’ai pas vu l’heure passée. Vous auriez pu me le dire avant, j’aurais compris.
-Ne vous inquiétez pas, j’avais tout le ménage à faire derrière et je voyais bien que vous étiez occupée, la rassures-tu avec un sourire cordial.
-C’est le moins qu’on puisse dire, mais ce n’est pas une excuse. Je ferai plus attention la prochaine fois.
-Vous travaillez sur un dossier important ? demandes-tu alors qu’elle range ses affaires dans son sac.
-On peut dire ça, oui.
-Qu’est-ce que vous faites ? Si ce n’est pas indiscret. 
-Je suis du FBI, au Département des Sciences du Compartiment, plus précisément, t’informe-t-elle en se levant de la table. 
-Je comprends mieux pourquoi vous vous arrachez vos cheveux alors, rigoles-tu. 
-Le stress fait partie du job.
-Pas au point de perdre vos beaux cheveux quand même, j’espère. Enfin, peut-être que je vais finir par faire pareil, ce job me prend toute mon énergie, même si ce n’est clairement pas au même niveau, je n’ai pas peur des grains de café. 
-Vous travaillez ici depuis longtemps ? questionne Emily.
-L’ouverture. Je suis la propriétaire. J’étais dans l’assurance avant et du jour au lendemain, j’ai tout plaqué pour ouvrir ce café dont je rêvais depuis des années.
-C’était un bon changement. J’aime beaucoup cet endroit, complimente-t-elle sincèrement et ça te met du baume au cœur.
-Merci. 
-Je vais vous laisser. Je voudrais pas plus vous retarder. Encore désolée.
-Pas de souci. 
Tu commences à prendre la tasse et la petite assiette lorsque la cloche de la porte d’entrée sonne. Tu attends que la porte se referme quand la voix d’Emily résonne une dernière fois dans le café. 
-Au fait, je m’appelle Emily.
-Y/N. Revenez quand vous voulez.
Emily te fait un dernier sourire avant de quitter le café. Tu la regardes partir à travers la fenêtre avant de fermer la porte principale à clé et de finir ton ménage. 
Après ce soir-là, tu n’as plus revu Emily pendant plusieurs semaines. Tu as continué ta vie habituelle, mais tu ne peux nier que tu aurais aimé la revoir. Emily a réussi à te marquer avec une seule conversation. Par conséquent, quand tu finis par la revoir installée à une table, tu ne peux empêcher le sourire sur ton visage. Emily a au moins trois dossiers étalés devant elle et un stylo dans la main droite. Comme la dernière fois, elle parcourt les différentes pages, un air désespéré sur le visage. Tu sers un autre client avant de venir vers elle.
-Il semblerait que vous ayez besoin d’un autre café, annonces-tu, la faisant relever la tête vers toi.
-J’ai besoin de bien plus que ça.
-Vous avancez ?
-Tout doucement. Trop doucement pour certaines personnes, souffle Emily en se massant la nuque.
-Je suis sûre que vous trouverez les indices nécessaires, dis-tu avec douceur et en posant ta main sur ton épaule, faisant battre son cœur plus vite. Je vous amène ce café tout de suite.
Emily ne bouge pas jusqu’à ce que tu reviennes, encore sous le choc de ton contact physique. Quand tu reviens, tu lui donnes sa nouvelle tasse de café ainsi qu’une petite assiette avec un donut au chocolat.
-Je me suis dit que vous auriez besoin de sucre. C’est offert par la maison.
-Ce n’était pas nécessaire.
-Ça me fait plaisir. 
Avant que tu puisses ajouter quelque chose, tu entends une de tes employés t’appeler. Tu souris à Emily puis, tu vas voir ton employée. 
Comme la dernière fois, tous les clients sont partis à l’exception d’Emily. Et comme la dernière fois, tu la laisses tranquille pendant que tu fais presque tout le ménage. Quand tu viens vers elle, Emily entend tes pas et relève la tête avant que tu puisses parler. Elle regarde sa montre et soupire.
-Je n’ai pas vu l’heure passer. Encore. Désolée.
-Oh, ne vous inquiétez pas, souris-tu en prenant la vaisselle sur sa table. 
-Vous avez besoin d’aide ? demande Emily. C’est le moins que je puisse faire pour vous remercier de votre patience et du donut, il était très bon, d’ailleurs. 
-Merci et je n’ai plus qu’à nettoyer votre table et le sol de la salle et j’ai fini donc pas besoin. 
-J’insiste. Et puis, ça me sortira de tous ces dossiers. 
-Comme vous voulez. 
Emily se saisit du balais alors que tu essuies sa table. 
-Ça vous arrive souvent de finir tard ? finis-tu par demander, interrompant Emily dans sa tâche.
-Plus que je ne le voudrais, mais c’est pour la bonne cause. 
-Et ce n’est pas trop compliqué avec votre vie personnelle ? Enfin, j’imagine que vous devez avoir une grande charge de travail et que vous devez voyager souvent.
-Ça peut être compliqué. Mon dernier ex était agent du FBI également et même si ça aidait pour comprendre à quel point on pouvait être occupés, le fait est qu’on a fini par se séparer. Il était gentil, mais ça ne fonctionnait pas vraiment. C’est un peu compliqué d’avoir une relation durable quand il y a la distance. 
En comprenant que la dernière relation d’Emily était avec un homme, tu te sens bête d’avoir pensé que tu aurais pu avoir une petite chance avec elle. Cependant, tu te rappelles vite qu’elle peut être tout aussi bien attirée par les hommes que par les femmes. Toutefois, tu dois bien garder en tête que potentiellement, tu as zéro chance avec elle.
-Je peux comprendre, mais pour ma part, avec mon ex, ça marchait plutôt bien. Si on s’est séparés, c’est plus parce que notre relation avait fait son temps plutôt qu’à cause de la distance. Je pense qu’avec la bonne personne et les efforts suffisants, ça peut marcher, avoues-tu sincèrement.
-Il travaillait dans quoi ?
-Elle était hôtesse de l’air.
En t’entendant corriger le pronom, Emily est gênée, mais une partie d’elle est aussi… rassurée ? Elle n’est pas sûre de comprendre. 
-Oh, pardon, je n’aurais pas dû partir du principe que…
-Ce n’est pas grave, rassures-tu.
-Vous avez retrouvé quelqu’un depuis ? 
-Non, je n’ai plus personne dans ma vie depuis un an alors, vous pouvez me faire terminer tard sans aucun problème, rigoles-tu. 
-Je me sens moins coupable.
Vous continuez à nettoyer le reste du café tout en continuant à faire connaissance. Rapidement, vous rigolez ensemble. Emily est tout de suite fascinée par ta personne. Elle n’avait jamais ressenti une connexion à une autre personne aussi vite. Elle ne cesse de te poser des questions, voulant en apprendre autant que possible sur toi. Quand le café est complètement propre, Emily est déçue. Elle aurait aimé que ce moment continue. 
-C’était bien de parler. On devrait faire ça plus souvent. 
-Oui, on devrait. 
-Peut-être en dehors du café. Qu’est-ce que vous en dites ?
À ta phrase, Emily ne sait plus fonctionner normalement. Es-tu en train de flirter avec elle ? Elle n’arrive pas à deviner, mais elle est sûre d’une chose : ça ne la dérange pas si c’est le cas. Tu lui donnes ton numéro de téléphone, la salues puis, tu pars vers ta voiture alors qu’Emily te regarde partir, un million d’émotions traversant son corps. 
Au fil des semaines, vous vous êtes revues plusieurs fois. Tout d’abord, en public, dans un parc, au cinéma, au restaurant puis, un soir, tu lui as proposé de finir la soirée chez toi et vous avez discuté jusqu’à tard dans la nuit. 
Emily se languit de ces moments passés avec toi. Elle veut toujours être en ta présence, écouter ta voix, te faire rire. Elle ne comprend pas totalement ce qui lui arrive. Au début, elle pensait avoir trouvé une amitié unique, mais plus elle y réfléchit, plus elle se dit que ses sentiments ne sont pas totalement platoniques. Toutefois, à cause de son travail, elle n’a pas le temps de se questionner, alors elle se contente juste de jongler entre sa vie professionnelle et personnelle. 
Tu finis par inviter Emily chez toi pour un repas. Emily est nerveuse, mais elle a hâte de te retrouver, surtout après la journée stressante qu’elle a eue. Elle veut se détendre et elle sait qu’avec toi, elle y arrive à chaque fois. 
Alors que tu finis de préparer la sauce, Emily frappe à la porte. Tu lui ouvres et l’invites chez toi. Tout de suite, Emily hume l’odeur émanant de ta cuisine.
-Oh mon Dieu, ça sent drôlement bon, complimente-t-elle, l’eau à la bouche. 
-Merci ! C’est la recette que j’ai apprise à mon dernier cours de cuisine. J’espère que tu as faim.
-Maintenant plus que jamais ! 
Tu fais un grand sourire à Emily avant de la traîner dans la cuisine. Afin de lui ouvrir un peu plus l’appétit, tu lui fais goûter la sauce et Emily se dit qu’elle n’a jamais mangé quelque chose d’aussi bon. Ta cuisine peut rivaliser celle de Rossi, bien qu’elle ne lui dirait jamais. 
Après avoir mangé votre repas, le ventre d’Emily est parfaitement rempli. Vous finissez votre soirée sur ton canapé, un verre de vin rouge à la main. Emily te parle un peu plus de son boulot et de son équipe. Elle te raconte plusieurs anecdotes et tu te dis que tu aimerais les rencontrer. Ils ont l’air d’être importants pour elle, d’être sa famille. Pendant qu’Emily parle, tu l’admires avec tendresse alors que vos deux corps se rapprochent de plus en plus sans que vous vous en rendiez compte.
En relevant la tête, Emily voit à quel point vos deux visages sont proches. Malgré elle, ses yeux dérivent sur tes lèvres. Tu le remarques et souris avant de te rapprocher tout doucement. Emily ne recule pas. Bien au contraire, elle se penche légèrement, ne laissant plus que quelques millimètres entre vos lèvres. Tu es sur le point de poser tes lèvres quand une sonnerie de téléphone retentit. Rapidement, Emily s’éloigne et sort son portable où elle trouve un nouveau message lui indiquant qu’à la première heure le lendemain, elle a une réunion importante faite par la Madame Davis, la procureure générale. 
-Rien de grave ? questionnes-tu, les sourcils froncés. 
-Non, juste des informations pour une réunion demain matin. 
Un blanc règne entre vous deux. Cette interruption soudaine vous a ramené sur terre et vous ne savez pas si vous devez agir comme si de rien était ou essayer de vous rapprocher à nouveau. Embarrassée, tu t’éclaircis la gorge avant de répondre : 
-Tu devrais y aller, alors. J’ai l’impression que tu ne dors pas beaucoup et je ne voudrais pas être la raison pour laquelle tu t’endors en plein travail. 
-Tu as raison. Je vais y aller, concède Emily en se levant de ton canapé. J’ai passé un excellent moment ce soir. On devrait refaire ça, mais chez moi cette fois. Je ne te promets pas un repas digne du tiens, par contre.
-Tant que c’est fait avec amour. 
En entendant ton dernier mot, Emily ne sait pas quoi ajouter. Elle se demande si ta phrase était innocente ou si tu sous-entendais quelque chose. Elle qui est une profiler hors-pair, tu arrives à lui faire perdre ses moyens. Par conséquent, elle te salue tout simplement avant de quitter ton appartement. 
Sur le chemin jusqu’à chez elle, Emily ne peut s’empêcher de repenser à votre soirée et au moment où vous avez failli vous embrasser. Si son téléphone n’avait pas sonné, elle aurait en tête un moment encore plus délicieux que ton repas. Avant ce soir, elle n’avait pas réalisé à quel point elle désirait tes lèvres. Au fur et à mesure de ses pensées, elle finit par imaginer un futur avec toi où vous seriez ensemble et pour la première fois de sa vie, elle n’est pas réticente. Elle se réjouit même de certains moments insignifiants alors que dans ces anciennes relations, elle savait toujours qu’elle se lasserait vite, mais pas avec toi. C’est différent. Ce qu’elle ressent pour toi, bien qu’elle ne comprend pas totalement, semble déjà plus simple, plus agréable. 
Tu as beau occuper l’esprit d’Emily plus qu’elle n’aurait jamais pensé, le fait est qu’elle a une enquête à résoudre. En effet, quand Emily est au bureau, elle arrive à rester professionnelle. Parfois, tu trouves ton chemin dans sa tête, mais Emily ne se laisse pas distraire. Cependant, ses pensées te concernant deviennent de plus en plus importantes et Emily a l’impression qu’elle va finir par exploser. Elle a besoin d’en parler à quelqu’un, même si c’est la dernière chose qu’elle veut faire. 
C’est la fin de journée quand quelqu’un frappe à la porte du bureau d’Emily, la tirant de ses pensées. Elle autorise la personne à entrer et Tara fait son apparition. 
-J’y vais, je voulais te saluer avant de partir.
À sa phrase, Emily regarde sa montre et découvre qu’il est presque vingt heures. Elle soupire avant de relever la tête vers sa collègue.
-Tara, je pourrais te parler avant que tu partes.
-Bien sûr. C’est par rapport à Sicarius ? veut savoir Tara en s’asseyant devant Emily. 
-Non, c’est… personnel. Rebecca est la première femme avec qui tu sors, n’est-ce pas ? Avant, tu n’étais sortie qu’avec des hommes.
-Oui, c’est ça. Pourquoi ?
Tara regarde Emily, perdue alors qu’Emily cherche ses mots avec précision. Jamais Tara n’avait vu Emily dans cet état. 
-Comment t’as compris que tu voulais plus avec Rebecca alors que…
-Avant, je n’avais jamais été attirée par des femmes ? finit-elle avec un sourire, comprenant où cette discussion va aller. Déjà, en y réfléchissant, je me suis rendue compte que j’avais été attirée par plus de femmes que je ne le pensais. Pour Rebecca, c’était juste… naturel. On s’est rencontrées lors d’une réunion et tout de suite, on a accroché. Je t’avoue que je n’ai même pas compris ce qui m’arrivait. Tout d’un coup, je me suis retrouvée à vouloir avec elle ce que je voulais avec mes exs, à la différence que cette fois, je suis tombée sur une bonne personne. Pourquoi cette question ? Aurais-tu rencontré quelqu’un ?
-On peut dire ça, admet Emily en détournant le regard. Rien n’est fait, mais je n’avais jamais ressenti ça avant. Tu sais, quand j’étais plus jeune, je faisais tout pour rentrer dans les normes, même si ça voulait dire faire des conneries. Mes relations n’ont jamais vraiment fonctionné au début alors, j’ai fini par créer cette liste de “l’homme parfait” et dès que l’homme que je pensais aimer ne correspondait pas à ces critères, je passais à autre chose. Les rares fois où ces hommes ont réussi à rentrer dans ces cases, je trouvais toujours un défaut. J’avais toujours l’impression que quelque chose n’allait pas. Je ne savais pas si ça venait d’eux ou de moi, mais ces relations n’ont jamais marché et les hommes semblaient toujours plus attachés à moi que je ne l’étais à eux, confesse Emily en soupirant. Le fait est qu’il y avait toujours un problème, puis je l’ai rencontrée, elle. Comme pour toi et Rebecca, on a accroché tout de suite et tout me semble naturel. Je n’ai pas l’impression de devoir jouer un rôle et plus je pense à elle, plus je réalise qu’elle correspond à ce que j’attends d’une relation, même à des choses auxquelles je n’avais jamais pensé. Mais… je ne sais pas…, dit-elle avec hésitation. Je ne m’étais jamais imaginée avec une femme, mais avec elle, ça ne me dérange pas. Pour la première fois, je vois une relation avec une personne et ça semble… paisible. C’est dix fois mieux que ce que je pensais. Tu vois ce que je veux dire ?
-Je te comprends totalement, confirme Tara avec un grand sourire. Elle t’a vraiment tapé dans l'œil.
-Tu n’as pas idée. Mais je ne sais pas vraiment quoi faire. Je sais qu’elle aime les femmes et je pense que parfois, elle flirte, mais je ne sais pas.
-Tu devrais lui parler. Crois-en mon expérience et tiens moi au courant. 
Emily n’a pas arrêté de repenser à sa conversation avec Tara et elle s’est vite rendue qu’elle avait raison. En y réfléchissant avec plus d’attention, Emily comprend ce qui clochait dans toutes ses relations : elle n’a jamais aimé ces hommes, peu importe ses efforts. Emily a également réalisé qu’avec toi, ses sentiments étaient beaucoup plus réels alors, elle t’a invité chez elle afin que vous puissiez en parler. 
Cependant, quand tu es chez elle, Emily n’arrive pas à amener le sujet. Elle fait tout pour éviter le sujet. Emily a toujours eu du mal à parler de ses émotions, ayant appris à les gérer et après les faits. Toutefois, quand elle voit ton visage s’illuminer alors que tu parles des dernières nouveautés du café, elle n’a qu’une envie et c’est d’agir émotionnellement et de t’embrasser tout de suite. Tu continues à expliquer les nouvelles recettes de pâtisserie que tu veux ajouter quand Emily murmure : 
-J’ai tellement envie de t’embrasser.
-Quoi ? t’exclames-tu, les sourcils froncés et une pointe d’espoir.
-Euh… Désolé, c’est pas ce que je voulais dire, s’excuse Emily, rougissant. 
-Oh… d’accord,  dis-tu avant de marquer une pause et de te rapprocher d’elle. Si ça peut te rassurer, je n’aurais pas été contre. Je meurs d’envie de t’embrasser depuis des mois. 
-Qu’est-ce qui t’a retenu ?
-Je n’étais pas sûre que tu sois attirée par les femmes. 
-Je n’en étais pas sûre non plus puis, je t’ai rencontrée et tout est devenu plus clair, avoue Emily en te regardant droit dans les yeux. Depuis que je suis petite, j’ai toujours senti que j’étais différente, mais je n’avais jamais compris pourquoi. En te rencontrant, tout est devenu parfaitement clair. Je suis lesbienne et, oh mon Dieu, ça fait du bien de le dire à voix haute ! s’écrie-t-elle, joyeuse et tu la regardes amoureusement. Jamais je n’aurais pensé être à ce point à l’aise avec qui je suis.
-Je te comprends. Réaliser qui on est n’est jamais facile, encore moins quand on le réalise à notre âge, mais c’est tellement libérateur. Je suis contente que tu aies réussi à t’accepter, déclares-tu en prenant sa main dans la tienne. 
-J’ai encore des interrogations, mais je pense que j’ai fait le plus gros du chemin.
-Et bien, je serais contente de t’accompagner, sauf si tu préfères le faire seule, ce que je comprendrais totalement.
-Tu as oublié la partie où j’ai envie de t’embrasser.
-Je l’ai bien en tête, rigoles-tu, mais je sais aussi que parfois, on peut avoir besoin de se retrouver seule pour déballer tout ça. Tout ça pour dire que je ne t’en voudrais pas si tu ne veux pas d’une relation tout de suite.
-Bien au contraire, pour une fois, tout à l’air facile et je te veux, toi. J’en suis sûre à 100%, je n’ai pas peur de m’engager. 
Déterminée, Emily pose ses mains sur tes joues et te rapproche jusqu’à ce que ses lèvres se posent sur les tiennes. Tu souris en l’embrassant alors que tu passes une main dans ses cheveux gris et une autre trouve son chemin sur sa taille. Alors que vous continuez à vous embrasser, le cœur d’Emily est sur le point de sortir de sa poitrine. Ce baiser est le meilleur qu’elle ait jamais eu. Ce baiser est doux et pourtant dix fois mieux que tous ceux qu’elle a jamais partagés. Elle pourrait t’embrasser jusqu’à manquer d’air et pour la toute première fois de sa vie, Emily sait qu’elle a trouvé la personne pour elle. Finalement, l’idée de l’homme parfait n’existait pas, tout simplement parce que c’était une femme, parce que ça ne pouvait être personne d’autre que toi et tu es encore mieux que ce qu’elle avait pu imaginer.
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machaonreads · 3 months ago
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Whumptober 06 : Healed Wrong
Mal remis, Sherlock Holmes 2009
Holmes ne lui avait pas adressé un mot depuis qu'ils étaient rentrés en fiacre du Midland Grand.
Sa jambe blessée, que John avait soignée d'autorité à leur arrivée à Baker Street, privait le détective des sorties mal famées auxquelles il se livrait généralement dans ses accès de mélancolie. Son violon aussi était resté silencieux, à la surprise du médecin, qui s'était, bien qu'à ses oreilles défendantes, accoutumé aux geignements torturés que son colocataire arrachait à l'instrument lorsqu'il broyait du noir, ou qu'il voulait se venger de Watson pour une raison ou une autre. 
Holmes avait claqué la porte de sa chambre et n'en était plus ressorti.
« Quel calme ! » s’extasia une patiente en sortant du cabinet de John. Quel repos pour les tympans ! Quel apaisement de l’esprit !
Le temps passé en silence et dédié aux malades du quartier fila vite et on fut bientôt le soir. Peu désireux de braver la colère de Holmes, John sortit acheter du tabac chez un marchand qui l’importait d’Afghanistan et dont la boutique se trouvait à l’arrière de Regent’s Park. Il prit son temps pour revenir et se roula plusieurs cigarettes sous la porte cochère de la Oliver Inks Company, dont les charmantes employées finissaient leur journée à cette heure. Plusieurs le saluèrent d’une œillade appréciatrice et il leur répondit en soulevant son chapeau.
Mais ces galanteries sans enjeu ramenèrent sa pensée sur la dernière victime de Miss Adler… et il se résolut à rentrer.
La porte de la chambre de Holmes était toujours fermée ; il toqua avec vigueur. Pas de réponse. Il tourna la poignée. Les rideaux tirés filtraient la lumière qui provenait des becs-de-gaz allumés dans la rue, et plongeaient la pièce dans une obscurité confuse.
Holmes était allongé de tout son long en travers du lit, les pieds pendant à l’extérieur. La jambe de son pantalon noir était restée roulée au-dessus du genou, sans doute pour ne pas irriter son mollet mâché. Dormait-il ?
John s’approcha pour le réveiller, quand une canne s'interposa. Il soupira.
« Holmes, laissez-moi examiner votre blessure. Il va falloir changer le pansement.
– Merci, Watson, vos soins ne sont pas requis ici. Vous en avez bien assez fait.
– Je ne m’excuserai pas de vous avoir sauvé la vie.
– S’il s’agissait de cela ! rétorqua le détective d’un ton de mépris suprême. Mais vous vous montez la tête. L’an dernier, deux femmes ont survécu alors qu’elles ont été vaccinées trois jours après leur morsure. Les recommandations de vos journaux de praticien trahissent la frilosité de vos confrères, car les constats de la science…
– Les constats de la science sont que beaucoup trop de gens meurent parce qu’ils n’ont pas été vaccinés assez vite, Holmes. Si vous regrettez de n’être pas de leur nombre, il ne tiendra qu’à vous d’y remédier en courant les animaleries pour vous faire épouillé par un macaque contaminé ! Cela ne changera guère de votre ordinaire. En attendant... »
Il posa une main sur l’épaule noueuse de son ami, bien décidé à finir ce pour quoi il avait navigué les écueils du capharnaüm sans nom qui lui servait de chambre, quand celui-ci se retourna vivement.
Holmes lui jeta un regard qu’il voulait certainement indigné, prélude au deuxième mouvement de ses récriminations, mais qu’il peinait à fixer. Ses iris presque noirs s’étaient troublés comme un mauvais goudron et le blanc de ses yeux brillait d’un éclat de fièvre.
John s’empressa d’autant plus d’examiner le pansement ; ce dernier s’était imbibé de sang et devait être refait, mais les bords de la morsure n’avaient pas gonflé et les muscles n’étaient pas échauffés. La fièvre ne venait pas de là.
Restaient l’autre hypothèse. John avait espéré que la constitution plus que solide de Holmes – laquelle résistait quotidiennement aux assauts des criminels, de la boxe, de l’alcool et de la cocaïne, pour ne citer qu’eux – lui aurait épargné ce type de réaction au vaccin, mais ils n’auraient pas cette chance.
Il n’y avait malheureusement rien d’autre à faire que d’attendre que ça passe. Une chose que John avait répétée à des centaines de familles inquiètes au cours de sa carrière, qui recevaient ce conseil avec un air de perplexité dont il ressentait aujourd’hui les échos dans ses nerfs irrités. En réponse, il détaillait en général une liste d’instructions, qui servaient davantage à les occuper qu’à accélérer la guérison de leurs proches – des efforts palliatifs à tout le moins.
Donner à boire : ce qui impliqua de se lancer dans la quête d’un verre à eau propre, mission qui exigea un examen attentif des résidus suspects qui adhéraient trop souvent au fond des gobelets, des flasques et autres brocs qui traînaient sur les étagères et les tables dans la chambre de Holmes, comme dans tout l’appartement. Il s’agissait de ne pas abreuver le détective avec l’un des poisons qu’il s’ingéniait lui-même à répliquer ou à inventer. D’ordinaire, John contournait ce risque en ne buvant que les boissons apportées au moment des repas par Mrs Hudson, mais il n’avait guère l’énergie d’affronter leur logeuse revêche. Il se contenta de laver trois fois le verre qu’il trouva sur sa propre table de nuit avant d’obliger Holmes, qui était retombé dans une somnolence marmottante, à le boire.
Réduire la température de la pièce : une bonne excuse pour ouvrir la fenêtre de la chambre de Holmes et pour dissiper, en aérant, la fumée de pipe et les odeurs chimiques qui empestaient l’air et semblaient vous brûler les poumons.
Surveiller la fièvre : cette veille régulière plaça John dans la situation peu commune de lutter lui-même contre le sommeil tandis que son ami sombrait dans les bras de Morphée – d’ordinaire, la discipline militaire qu’il avait durement acquise lui permettait au contraire de maintenir des heures de coucher raisonnables, même quand Holmes se livrait à d’improbables entreprises aux improbables horaires. Cette fois-ci, le médecin resta en alerte jusqu’à minuit pour prendre la température de son ami et constata avec inquiétude qu’elle continuait de grimper.
Calmer le malade et l’inciter au repos : une entreprise qui se révéla difficile au matin, lorsque la léthargie de Holmes fut remplacée par une agitation confuse. Sa fièvre n’avait pas baissé, mais elle paraissait en revanche lui insuffler une énergie nouvelle et trompeuse, qui l’avait incité à déployer carnets, encre et porte-plume au milieu de son lit, depuis où il se livrait désormais à des spéculations cabalistiques dont John ne pouvait percer un seul mot, quoiqu’il imaginât bien qu’elles concernassent la retraite actuelle de Miss Irene Adler. Il grimaça en voyant les taches noires projetées sur les draps comme une constellation destinée à enrager Mrs Hudson.
La négligence de Holmes à l’endroit de la literie, que sa maladie aurait pu excuser si elle ne s’était pas manifestée déjà si fréquemment dans d’autres circonstances, l’arrangeait d’autant moins qu’il allait lui falloir solliciter l’aide de la matrone : il avait trop perdu aux cartes la semaine dernière pour s’autoriser à négliger sa patientèle un second jour d’affilée, car Mrs Hudson ne serait certes pas plus contente s’il manquait de lui payer le loyer dû dans trois jours.
La logeuse, venue porter le petit-déjeuner, demeura de marbre lorsque John lui expliqua en quoi il avait à nouveau besoin de son aide (en lui exposant ses raisons dans une version expurgée des considérations pécuniaires), avant d’accepter avec un unique soupir.
Même un joueur invétéré comme John savait reconnaître quand il s’en tirait à bon compte… et il fila sans demander son reste, avec l’espoir que son cabinet ne lui apporterait ce jour-là rien de plus grave que des rhumes et des entorses.
Hélas, son vœu ne fut pas exaucé.
Il ne put rentrer qu’à la nuit tombante, après une visite à domicile harassante et dont la triste conclusion l’emplissait d’un souci funeste. S’il avait sous-estimé le danger de la fièvre de Holmes ? Si Mrs Hudson était descendue chercher John pendant qu’il était sorti ?
Il s’imaginait tant de drames qu’il fut surpris par l’expression sereine de la vieille dame, qu’il retrouva assise sur le sofa, la posture impeccable comme toujours. Elle tenait un livre à la main, qu’elle abaissa en souriant tandis qu’il fermait la porte d’entrée.
Il en reconnut le titre à l’envers : c’était Les Mille Manières ingénieuses de faire disparaître un voisin, par le lieutenant de police Adam Bloosburry, anciennement en poste dans les Cotswold.
Son étonnement augmenta encore quand il parcourut du regard le reste de la pièce : le sol était recouvert de journaux dépliés et d’articles découpés, parmi lesquels on reconnaissait les manchettes du Times et du Strand, mais aussi les caractères raffinés de revues artistiques et la couverture d’un livret d’opéra. Un dossier en carton brun ouvert, destiné à accueillir cette sélection, éparpillait pour le moment son contenu sur le tapis aux pieds du canapé. Enroulé comme un chat autour de son trésor, Holmes s’était endormi à même le sol. Son dos reposait contre la jupe impeccable de Mrs Hudson, qui avait visiblement glissé un oreiller sous sa tête et jeté une couverture sur ses épaules.
« Sa fièvre est tombée dans l’après-midi et j’ai pensé qu’il valait mieux le laisser dormir. »
Le sourire qu’elle échangea avec John trahissait son amusement, ainsi qu’une bonne dose d’affection, qu’elle n’aurait jamais rendue perceptible si son locataire avait été conscient.
John s’effondra dans le fauteuil libre en face d’elle et l’observa qui reprenait sa lecture. À mesure que le soulagement le gagnait, une égale envie de rire le prenait : qui aurait cru qu’en deux jours, il découvrirait une facette nouvelle, non seulement de l’insaisissable détective, mais aussi de leur irréprochable logeuse ?
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selidren · 9 months ago
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
2/10
Je ne souhaite pas revenir sur mon expérience de la guerre. Je me suis tout de même ouvert de votre remarque sur les allemands à Albertine, mais nous avons été interrompus par Marc-Antoine, l'aîné de mes fils, qui a fait valoir son point de vue d'une façon bien bruyante, arguant que ce sont les hommes de peu qu'on a envoyé sur le front, et que les vrais responsables de la boucherie ne sont que des bourgeois bien abrités derrière les lignes. Pardonnez mon fils, ce n'est encore qu'un enfant et il s'est mis à lire Marx ces derniers temps. Je n'y connais pas grand chose, mais je me demande si c'est une lecture bien pertinente pour un garçon de douze ans. Albertine ne cesse pourtant de me dire combien Marc-Antoine est intelligent, et si je me fie à mon propre intellect à son âge, cela semble peut-être plus compréhensible. Quand à vos douleurs, ce n'est pas mon sujet de conversation préféré, mais sachez que j'ai les mêmes dans le bras, et qu'il est des jours et des nuits où elles ne laissent pas en paix.
Je suis cependant catastrophé d'apprendre pour le mariage de votre fille. Ce garnement ne mérite pas les biens de ses pères et j'ose espérer que jamais un homme ne traitera mes filles de cette façon. Les scandales m'ennuient. Et pour votre épouse, ne vous en faites pas, elle finira par saisir l'importance de votre tâche et vous laissera en paix avec ses états d'âme. Il est malheureux qu'elle n'ait pas les mêmes centres d'intérêt que vous, comme cela vous auriez au moins pu lui proposer de vous accompagner. Vous pourrez toujours lui dire pour la rassurer qu'elle n'a pas les difficultés de mon Albertine : mon épouse déteste partir loin des enfants, mais notre passion commune pour l'Egypte est si grande que le choix n'est pas aisé pour elle.
Sur ce, je retournes à mes exercices de graphie. Me voici revenu à l'école élémentaire à tracer des séries de majuscules à la plume. J'imagine qu'en désespoir de cause, je pourrai toujours engager un secrétaire bien que l'idée me répugne : jamais il n'aura dans ses écrits le niveau d'exigences auquel je m'astreins.
Votre cousin, Pr. Constantin Le Bris
P.S : Mes condoléances pour le décès de votre neveu Thomas. Je ne l'ai pas bien connu, mais mon neveu Alexandre m'a assuré que c'était un jeune homme fort aimable.
P.S 2. Albertine vous fait savoir qu'elle se fera grand plaisir d'écrire à votre épouse.
Transcription :
Adelphe « Ah Tintin, tu as déjà fini de manger ? »
Constantin « Exact. Je m’y suis mis en avance, je suis toujours d’une horrible maladresse avec mes couverts et je ne voulais pas contrarier Grand-Mère. »
Adelphe « Tu aurais pu attendre Madame Legens. Elle aurait au moins réchauffé ton repas. »
Constantin « Je ne suis plus un enfant, Adelphe. J’en ai bien plus qu’assez de dépendre des autres pour n’importe quelle tâche futile. »
Adelphe « Fort bien. En attendant, te voilà à manger froid. »
Constantin « Et toi alors ? Tu ne manges pas avec les autres ? »
Adelphe « J’ai une réunion tôt à la distillerie. Les gars veulent créer un syndicat, et ils souhaitent une heure de concertation avec la « délégation patronale ». J’imagine que c’est moi. Ah, et je sais allumer le poêle accessoirement. »
Constantin « Bon à savoir. Tu me montreras comment faire à l’occasion. J’ai encore du travail, des lettres en retard, donc je vais monter. A moins que tu veuilles que je te tiennes compagnie. »
Adelphe « Pas besoin. Je vais finir rapidement. Ah et Tintin, tu as encore mal à ton bras ? »
Constantin « Non, pas spécialement. »
Adelphe « Ne me mens pas, je t’ai entendu grogner toute la nuit depuis ma chambre. »
Constantin « Ce n’était rien, vraiment. Tu dors donc si mal ? Encore tes cauchemars ? »
Adelphe « Non, une simple petite insomnie passagère. »
Constantin « Menteur, tu as les yeux rouges et des cernes ! »
Adelphe « Bon… je pense qu’on devrai arrêter de se mentir Tintin. »
Constantin « Tu as raison, nous ne sommes pas assez doués pour cela et en plus cela ne nous rassure ni l’un ni l’autre. »
Adelphe « Il faut croire qu’on s’est tout les deux bien abîmés ces dernières années. »
Constantin « Sans doute… Ah et j’y pense ! Ne laisse pas Marc-Antoine discuter avec les ouvriers. Je n’ai rien contre le socialisme, contrairement à mon père, mais il est en train d’en faire une obsession ! »
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rolls-of-the-tongue-nicely · 6 months ago
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Tag de @flo-nelja et de @calimera62, en tant que bibliothécaire je pouvais pas NE PAS répondre
1) Le dernier livre que j'ai lu: Sign tome 1, de Ker (webtoon BL +18)
2) Un livre que je recommande : Life of melody, de Mari Costa (j'adore Mari Costa et ses BD romances lgbt+ 🥰 - celui-ci n'a pas encore été traduit)
3) Un livre que je ne pouvais plus reposer : Contes des royaumes oubliés, (tome 1) Le prince au bois dormant, d'IIsabelle Lesteplume
4) Un livre que j'ai lu 2 fois (ou plus) : Seule la mort attend la vilaine (tome 1), de Suol (adapté du roman de Gwon Gyeo Eul)
5) Un livre dans ma Pile à Lire : La chose dans la cave : et autres nouvelles, de David Keller
6) Un livre que j'ai abandonné : L'association des femmes africaines (tome 1), de Swann Meralli et Clément Rizzo
7) Un livre sur ma wish list : Faut-il en finir avec les contes de fées ?, de Jennifer Tamas
8) Un de mes livres préférés de mon enfance : Les enfants de Frankenstein (en 3 tomes) de Richard Pierce
9) Un livre que tu pourrais donner à un ou une ami.e : je donne pas mes livres wesh !!!!! 🤪😆
10) Un livre de poésie que tu possèdes : Les Illuminations, d'Arthur Rimbaud
11) Un livre de nonfiction que tu possèdes : Présentes - ville, médias, politique...quelle place pour les femmes ?, de Lauren Bastide
12) Qu'est-ce que tu lis en ce moment : Phallers, de Chloé Delaume
13) Qu'est-ce que tu prévois de lire ensuite : Le Grand Maître de la cultivation démoniaque (tome 3), de Mo Xiang Tong Xiu
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camisoledadparis · 11 days ago
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saga: Soumission & Domination 367
Organisations ...
Avant de partir j'ai dû organiser ma petite société afin qu'elle tourne sans moi. D'aussi loin, je ne peux gérer en direct tous les rendez-vous de mes collaborateurs. Il n'était pas question non plus d'en laisser la charge à PH. J'ai donc décidé Jonathan d'en prendre la direction pour ces 6 mois à venir. 
Moyennant une augmentation de son salaire de coach (qu'il voulait refuser) et en attendant qu'il se fixe coté boulot (ouvrir une salle de gym, faire coach privé...) puisqu'il a terminé sa formation, il aura de quoi s'occuper.
Sa mission principale est de gérer les rendez-vous de mes escorts, faire le relationnel avec les clients et clientes et si l'occasion se présente un peu de recrutement. Mais pour ce dernier point il devra avoir l'aval de PH.
Les premiers échos qui me parviennent me prouvent que j'ai fait le bon choix. Tout d'abord il connait la totalité de ma clientèle, deuxièmement il est respecté de tous ses collègues et pour finir je le sais très sérieux.
Avec André qui m'envoie mensuellement les rapports financiers de mes deux entités je suis serein.
USA :
A Berkeley l'intégration s'est faite sans difficultés particulières. Contrairement aux autres étrangers, ma " pré-intégration " fait la différence et aussi le fait que durant la première quinzaine je me sois essayé aux différents sports proposés.
Sans être connu comme le loup blanc, je suis le " frenchie qui se bat comme un pro ". Et même si c'est leur section (arts martiaux) qui me capte, je tiens à essayer le plongeon avec Tyler.
Je peine un peu à rentrer dans l'académisme de leur façon de pratiquer. Trop souvent j'utilise des mouvements ou des coups provenant de disciplines soeurs !
Un des partenaires de combat (Robert) s'étonne que je connaisse certaines prises qu'il sait avoir été développées par leurs Navy-Seals (son frère en est un). Sans trop entrer dans les détails, je lui explique que j'ai deux copains qui ont fait un stage commando avec eux et qu'à leur retour, ils nous avaient appris quelques prises.
Du coup, quand son frère revient chez ses parents, il m'invite un WE.
Le frère (Donovan) est une montagne de muscle !! Avec mes 85Kg je suis tout petit ! A 27ans, Il est lieutenant et fait dans les 1m95 et me prend bien 15 à 20Kg de masse. Robert me présente comme un combattant atypique qui ne rentre dans aucunes disciplines de leur section.
Don nous entraine vers un des garages qu'ils ont transformé en salle de sport. Au centre un tatami conséquent leur sert pour la lutte. Torse nu avec juste un short sur les fesses, j'affronte le pro.
Il me laisse attaquer et m'évalue. Mes prises tombent à plat quasiment 9 fois sur 10. Et la 10ème je me demande s'il n'a pas fait exprès de me laisser percer sa garde.
Quand il passe en mode actif, je me retrouve sur le dos sans avoir vu le coup venir. A nos côtés, Robert est mort de rire.
Don me tend la main et me relève. Il m'explique que ce que je sais faire est intéressant mais qu'il serait temps de passer à la vitesse supérieure. Quand je lui dis que ça m'a quand même permis de mettre à terre un " boeuf " Anglais lors des 24h du Mans moto et de mettre à mal quelques mecs mal intentionnés, il me répond que ce n'était que des amateurs.
Au diner, il nous dit qu'il avait entendu parler de mes deux copains. Même sans connaitre leurs " trucs " de commando, ils avaient impressionnés ses collègues. Quand il me demande comment je les connais, je lui dis qu'ils sont tous les deux escorts pour ma boite et que l'apprentissage du combat avait commencé pour que mes " employés " soient tous à même de se tirer de situations imprévues.
Devant leur incompréhension, je précise que la majorité de mes escorts est plutôt jeunes 18- 25 ans et que mes clients sont plutôt eux dans la 50aines et parfois plutôt massif et pas que de la bite. On ne peut pas faire plus clair !
Les deux me disent qu'ils n'ont pas de problème avec " ça ". Don me dit même que j'ai bien fait, et que s'ils se battent tous comme moi, ils ont déjà le niveau pour se débarrasser de pas mal d'individus.
Je leur raconte l'anecdote de mon petit beau-frère et de son copain qui ont envoyé 4 mecs à l'hôpital. Ça les fait bien rire.
Le dimanche, alors que Robert me propose de passer la journée avec lui et des copains, Don lui dit qu'il va exploiter mon potentiel. Je reste donc avec mon Navy Seal personnel.
Petit déjeuner composé d'un litre de protéine puis on attaque l'échauffement, 1h à suer sur les machines de cardio !!
On passe enfin aux choses sérieuses. Pendant deux heures, il m'explique des prises et on les teste. Il est super pédagogue et j'arrive à le faire tomber plusieurs fois (bon quand il ne résiste pas trop).
Midi, pause. Devant un T-bone d'un Kg, on parle de choses et d'autres. Il me demande comment je suis venu à diriger une boite d'escort. Puis ça glisse sur les désirs des clients. J'explique que je donne dans le jeune mec plutôt musclé, imberbe avec de grandes capacités d'accueil et j'ajoute " comme moi ".
Tous deux revêtus d'un simple short serré, je ne peux m'empêcher de lui faire remarquer qu'il bande. Pour louper un morceau pareil il aurait fallu être aveugle. Son sexe repousse le tissu au-dessus de sa cuisse gauche sur plus de 20 cm. Son gland est parfaitement moulé et enfle le tissu de 5mm de plus.
Je lui rappelle que j'ai été le premier Escort de ma boite et que s'il le désir je ne serais pas contre un " corps à corps ". Il comprend l'allusion, hésite et me dit que Robert ne rentrera probablement pas avant la fin d'après-midi.
Si je comprends bien à mon tour, c'est un oui à ma proposition.
Sans fromage ni dessert, on retourne sur le Tatami.
Ça démarre avec un peu de lutte où je cède très vite et sur le dos me laisse dominer par la " bête ". Il me surprend à me rouler un patin avec la langue. Contre ma cuisse je sens sa barre brulante.
Je le retourne (il se laisse faire !) et descend sur ses pecs. Il gémit dès que j'attaque ses tétons. Je descends encore, impatient de voir l'objet de mon désir. Avec beaucoup de mal, même s'il décolle ses fesses du sol, je retire son short. Une bite d'environ 23 x 5/6 vient claquer sur ses abdos. Je me jette dessus et l'enfourne jusqu'à l'os. Reflexe, il pousse son bassin pour m'en mettre plus et ses mains viennent retenir ma tête.
Il me relâche juste avant que je ne meurs étouffé ! Me prend sous les aisselles et me remonte pour me galocher à nouveau.
Il me traite de " crazyman ", que c'est la première fois qu'il réussit à la mettre entière dans une bouche. Rien que des petits joueurs les " locaux " !! J'y retourne et il est moins brutal vu qu'il sait que je le refais quand il veut.
Il me surprend à nouveau en m'attrapant et en me plaçant en 69 pour me sucer simultanément. Bien qu'il donne dans le genre pompe à vide (il n'y a pas grand-chose de doux dans le bonhomme) je bande comme un fou. Rapidement il s'attaque à ma rondelle et là aussi c'est avec de grands coups de langue qu'il me la lubrifie.
Quand je me sens prêt, je prends l'initiative. Il est toujours dos au sol. Je me retourne et enjambe sa taille. Je me penche pour lui rouler une pelle et lentement pousse mes petites fesses vers son sexe. Très vite son gland bute dessus. Je joue avec de petites pressions sur son gland venu très naturellement se placer pile au bon endroit.
Il tend le bras vers son short et en sort une kpote. Sans quitter ses lèvres, je la lui enfile et, aussitôt m'enfonce son gland dans l'anus. Putain d'effet !!! Ma rondelle s'est refermée sur lui et sa compression fait rugir Don qui m'attrape par les hanches.
Sans précaution, totalement dominé par ses instincts, il me plante ses 23cm bien profond.
Je le sens passer et ne peux retenir un cri proche du hurlement. Entre douleur et plaisir mon cerveau n'arrive pas à se décider. Comme il reste quelques minutes sans bouger, c'est le plaisir qui prend le pas. J'arrive à me détendre et commence à " trotter " sur ma monture (plutôt mon monteur).
De son côté il reprend ses esprit et décide de mener la danse. Il se redresse, sans sortir de mon cul, il se lève, mes 85Kg n'ayant pas l'air de peser plus que ça. Je m'accroche à son cou le temps qu'il me porte jusqu'à un banc de muscu sur lequel il me dépose. Mes chevilles arrivées sur ses épaules, il me défonce en beauté. Je le sens quand même retenir ses coups de bassin bien qu'il s'enfonce totalement à chaque fois. Son visage est différent dans le plaisir, plus jeune. Il plante ses yeux dans les miens et me dit que je suis le meilleur coup qu'il ait jamais tiré (bon la poésie n'est pas son fort). De mon côté je le situe dans les 10 meilleurs mecs qui m'ont défoncé la rondelle.
 Il fait glisser mes épaules vers le sol, retenant de sa bite mon cul à hauteur du banc. Petite baise en chandelle avant qu'il ne se retourne et m'encule façon chien en rut. Même là son gros gland frotte ma prostate à chaque passage. Quand je le préviens qu'à force je vais me juter dessus, il décule complètement provoquant la chose. Je m'en fout des litres sur le torse et le visage.
Debout ma tête entre ses pieds, il se branle une fois et m'asperge de son jus. Question quantité il est pas mal non plus. Il m'allonge et vient me recouvrir de son corps. On colle !
Après un bon 1/4 d'heure, il se met sur les coudes, me regarde et me dit qu'il comprend qu'on lui ait dit que les deux " frenchies " étaient bon aussi du cul si c'est moi qui les ai formés.
Je lui demande " gay ?", réponse " non t'es mon premier mec ". Je suis flatté, on a quand même baisé pendant 3h1/2 !
Passage sous les douches et reprise doucement des clefs apprises le matin même.  
 C'est alors que Robert nous rejoint. Quand il entre dans le garage il trouve une forte odeur de sperme frais. On a beau faire les innocents, il est sûr que nous avons baisé. Don finit par admettre la chose sans que ça provoque de drame.
Pour lui montrer qu'on avait quand même travaillé aussi, je combats avec lui et arrive à le plaquer au sol avec mes nouvelles prises.
Avant de partir, Don me fait promettre de revenir avant qu'il ne termine sa permission. Bien sûr pour que je m'améliore en combat ! Rires de robert qui ajoute en prenant la voix de son frère " j'ai trop aimé te défoncer la rondelle " et malheureusement pour lui, il ne s'est pas écarté assez vite et se retrouve plaqué au sol.
Je profite qu'il soit maintenu fermement pour me pencher et lui faire un bisou sur les lèvres. Je conclu par un " t'es jaloux, t'en veut aussi ?" qui désarme les protagonistes. Faut dire que Robert est pas mal non plus !! (Déso on ne se refait pas !).
Durant cette permission, je le reverrai encore 2 fois, autant pour le sport que pour le " sport ". Je crois que ce qu'il a le plus apprécié chez moi ç'aura été mes gorges profondes et moi, sa merveilleuse utilisation de ses 23cm.
De mon côté, j'ai laissé tomber le club de combat avec l'aval des coaches pour intégrer plus sérieusement l'équipe de plongeon. Tyler est ravi de me présenter ses potes. Plus fins que les combattants, ils ne manquent pourtant pas de musculature. Du coup, là, je détonne par mon physique plus " rond ". Le coach principal me prend en charge et je montre mes faibles connaissances en plongeon mais aussi mes compétences de nageur. Si les premières le laissent de marbre, il me dit que je ne suis pas ridicule en crawl et en papillon. Je lui explique que j'ai, en France, un maitre-nageur particulier 2 x par semaine mais que ma piscine ne fait que 25m.
Il me fait nager avec l'équipe. Mes performances me placent dans le milieu du tableau, ce qui est déjà pas mal pour un mec qui passe plus de temps à soulever des barres et à se battre qu'à nager. Tyler est tout fier d'avoir amené un Français qui se défend bien.
Et le plus, ils sont tous en maillots de bain moulant !!
Le plongeon c'est finalement super technique. Il ne suffit pas de tomber dans l'eau la tête et les bras en avant mais de réaliser des figures. On passe aussi un bon moment sur les trampolines pour exécuter les sauts, les vrilles.
A 3 m le temps de chute est très court et je n'arrive pas à placer mes rotations. Le coach m'envoi sur le plongeoir de 10m ! En fin de séjour, j'arriverai à exécuter quelques sauts sympas et surtout j'aurais passé de bon moment dans l'équipe (avec l'équipe, pour ceux qui s'imagineraient que je les ai tous enculé).
Bon c'est vrai que je m'en suis fait quelques un quand même.
Mais c'est avec Tyler et Dane que je traine le plus. Ils m'ont fait visiter tout San Francisco, de Mission au sud au Golden Gate et de la baie à l'océan. J'ai été ému par le monument dédié au homos exécutés dans les camps Nazi, impressionné par leur musée de la légion d'honneur qui contient un bon nombre d'oeuvre de Rodin et amusé par les phoques du pier 29. Bien sûr j'ai été voir les Pink Ladies, ces maisons victoriennes les premières peintes de couleur.
Jardinier
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~~
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turning his back to 2024
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a nice place where to spend time
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claudehenrion · 10 months ago
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Trêve olympique anticipée...
Ah ! Enfin le grand jour de l'atroce hidalgo est arrivé ! Avec un bon trimestre d'avance sur l'événement, et littéralement rendue ivre par son pouvoir de nuisance, elle vient de décider de commencer à emm... quiquiner les parisiens. C'est dimanche que cette autoritariste pathologique et ennemie de.. l'auto, va détourner les lignes d'autobus (ce qu'elle rêverait de pouvoir faire avec les lignes de métro !). Parisiens, mes frères, vous n'êtes pas sortis de… ce qui vous attend ! C'est LE sujet de toutes les con-versations (Oui, je sais, je la fais souvent, cette césure... Mais c'est tellement bon d'oser l'orthographe qui convient !) dans tous les dîners-en-ville... surtout germanopratins...
Parce que, comme le suggérait hier Alain Rémond dans ''la Croix'', on va finir par les avoir, en fin de compte et de conte, ces sacrés jeux olympiques. Vous en pensez quoi, vous ? ''Vous, je sais pas, mais moi (comme aimait à le répéter Anne Roumanoff)... c'est comme vous'' : je suis complètement d'accord. Même si... bon... y aurait sans doute à redire, ici ou là, même là-bas, sur ceci ou cela et le reste, mais c'est tout de même les jeux olympiques, quoi ! Faut pas déc... On va les avoir en France (et même partout, et de préférence n'importe où), et même à Paris, ce qui n'est pas rien, pour la première fois depuis 100 ans pile --et face ! Et même que... les plus coûteux de l'histoire !
Non ? Eh ! ben... si ! Attendez, ne me faites pas dire ce que je ne dis pas : vous avez raison de râler : on a toujours raison de râler. Par principe. Pour ainsi dire : préventivement : ça peut pas faire de mal, de râler. Et d'ailleurs, je le dis sans vraie fausse honte : moi aussi, je râle ! Dame ! On est français ou on ne l'est pas, non... et ''de souche'', dans mon cas ! Et si les français arrêtaient de râler, autant mettre tout de suite la clé sous la porte, quelle que soit la clé et quelle que soit la porte ! C'est comme si un ''rosbif'' se mettait à ne plus boire de cervoise tiède !
Mais bon ! Là, on parle des Jeux Olympiques : c'est pas rien, non ? La fête, le spectacle, le suspense, les records des autres nations et leurs médailles, les 3 nôtres dont on parlera comme si elle étaient 24 ou 48, les touristes, le bruit, les pick-pockets débarqués du monde entier pour piller les chinetoques et les japs, les imprévus (jamais dans le bon sens, vous avez remarqué ?), Edith Piaf massacrée (on prend le pari ?), les prix qui s'envolent à frôler le ciel (sauf le 7 ème)... tout ça, et tout... le grand frisson mondialisé, quoi.. On n'est pas aux jeux olympiques pour rien : ''i'' faut suivre... le train, et ''L'important, c'est de participer''. Et pour le reste... on pense ce qu'on pense qu'on pense, en général, même en particulier.
Mais si vous voulez que je vous dise ce que je pense que je devrais vous dire, je pense que si on n'avait pas eu à organiser les Jeux pour jouer à s'amuser à organiser des jeux, je serais aussi content de ne pas râler de ne pas avoir de raisons de râler... que d'avoir, aujourd'hui, raison de râler puisqu'on les a eus. Car si on ne les avais pas eus, qu'est-ce qu'on aurait adorer râler parce qu'on n'a même pas été fichu de les avoir ! Bon. Je crois qu'on s'est dit à peu près tout ce qu'il y avait à dire, non ? On est d'accord ?
Il ne reste qu'une correction à faire : tous nos cuistres-aux-manettes, nos pontifes, nos pros de ''l'énanisme'', nos gaspilleurs de sommes ''dingues'' dont ils n'ont pas le premier sou... confondent, à longueur de discours emmerdant, les Jeux Olympiques avec une ''Olympiade''. S'ils avaient ne serait-ce que la moitié du début d'une culture historique, ils sauraient que le mot ''Olympiade'' n'a et ne peut avoir qu'un seul sens : la période de 4 années qui sépare deux ''Jeux''. Et ''Les Jeux olympiques d'été'' qui seront célébrés à Paris du 26 juillet au 11 août 2024 seront ''les Jeux de la XXXIIIᵉ Olympiade'' (moderne). Et là, vous avez raison de râler : c'est stupide ! C'en est à croire que, comme le disait l'autre, ''la culture française n'existe pas'' !
Tout de même, on peut aussi trouver normal de râler contre le prix prohibitif des trucs dans le genre ''quoi qu'il en coûte'' qui fleurissent à en être, pour beaucoup, déjà fanés avant même d'avoir fleuri... comme hidalgo, d'ailleurs. Comme je l'avais proposé à de nombreuses reprises ici-même, il aurait été sage de prévoir une ''rallonge'', en multipliant les budgets initiaux par ''π'' (nombre dit ''irrationnel'', qu'on peut arrondir à 3,14159265358979323846264338327950288419710, pour simplifier les calculs)... Le coût final de ces jeux va être croquignolet à comparer avec les ''engagements'' (?) initiaux.
Mais bon... n'en faisons pas un ''pataquès'' : depuis que la France n'est plus qu'une socialie puis une macronie (la différence est vraiment minime)... c'est tous les chiffres qui sont devenus fous, les dépenses de l'Etat, le soutien à des causes qui ne sont les nôtres en aucun cas (cf les explications rigoureusement ''non-convaincantes'' du chef de l'Etat, hier soir...), et les impôts ! Et il reste encore deux ans à tirer... avec peut-être à la clé une vraie guerre, provoquée, contre la Russie... le temps qu'elle nous écrabouille. Décidément, on n'a pas fini de ''raquer'' !
H-Cl.
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sushis4kalyo · 2 years ago
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Changement de programme au jardin 🌾
Comme je vais avoir de nouveaux voisins en août et que le jardin est partagé, j'ai accepté que mon futur voisin commence le jardin en avance histoire d'avoir une récolte cet été.
Ça fait que je peux dire adieu à mon mini jardin "bébête friendly" bêché avec amour à la fourche-bêche triandine ... (oui, lui a sorti le gros motoculteur ...)
Du coup je me dis que c'est peut-être pas plus mal au fond ... même si je dois admettre sue je suis un peu déçue pour mon mini jardin. Je l'ai aidé à planter les oignons blancs et les salades (je suis courbaturée des orteils aux épaules !). Dans tous les cas j'apprends ... et comme ça je saurai ce que je dois et ce que je ne veux pas faire le jour où j'aurai vraiment mon propre jardin.
En attendant, il m'a offert 2 pieds de fraisiers sauvages, 2 autres pieds de fraisiers cultivés (avant j'avais des gariguettes, curieuse de voir s'il y a une grande différence ou non.) et de la menthe verte.
Bien envie de me prendre un groseiller pour finir de me consoler mais j'envisage de le mettre en pot ...
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sofya-fanfics · 1 year ago
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Désormais les choses sont différentes
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Fandom : Blue Flag
Relationship : Tôma x Taichi
Voici ma participation pour le Tropetember 2023 pour le prompt : Déclaration d'amour.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : C’était arrivé sans qu’il ne s’en rende compte. Un jour Taichi avait simplement réalisé qu’il était amoureux de Tôma.
Disclaimer : Blue Flag appartient à KAITO.
@tropetember
AO3 / FF.NET
C’est dur de rester ami avec la personne que l’on a rejeté. Ces derniers temps, cette phrase qu’avait dit Tôma il y a trois ans tournait en boucle dans la tête de Taichi. Pourtant, toutes ces années qu’ils avaient passé ensemble leur avaient prouvé qu’ils seraient toujours amis. Même si à l’époque Taichi ne ressentait pas la même chose que Tôma.
À l’époque, pensa Taichi, parce que désormais, les choses étaient différentes. C’était arrivé sans qu’il ne s’en rende compte. Un jour il avait simplement réalisé qu’il était amoureux de Tôma. En y réfléchissant, Futaba avait dû réaliser avant lui ses sentiments pour Tôma et c’était pour cela qu’elle avait rompu avec lui. La connaissant, elle avait voulu le voir heureux avec la personne qu’il aimait. Il avait été triste lors de la rupture. Il tenait à elle. Elle avait été son premier amour, mais il avait fini par comprendre qu’elle n’était pas son grand amour.
Tôma était resté près de lui. Il était là pour boire avec lui lorsqu’il voulait noyer son chagrin ou pour le consoler lorsqu’il en avait besoin. Tôma avait toujours été là pour lui et il ne pouvait pas imaginer sa vie sans lui. Il était son ami, la personne à qui il tenait le plus, la personne dont il était amoureux. Et aujourd’hui, il allait lui avouer ses sentiments. Il avait attendu bien trop longtemps.
Taichi était assis sur un banc dans le parc de la ville. C’était toujours leur lieu de rendez-vous lorsque Tôma lui rendait visite. Au bout d’un moment, il le vit arriver. Taichi ne put s’empêcher de sourire. Tôma avait toujours fait une tête de plus que les autres, il était facile de le repérer de loin. En le voyant, Tôma lui fit un signe de la main et s’approcha. Un immense sourire illumina son visage.
« J’ai des billets pour le prochain match de la ligue. Ça te dit de venir ? »
Taichi ne répondit pas. Il se leva. C’était maintenant ou jamais.
« Est-ce que tout va bien ? Demanda Tôma. »
Taichi acquiesça.
« Il faut qu’on parle.
-Ça a l’air sérieux, le taquina Tôma. »
Il perdit son sourire lorsqu’il vit l’air sérieux de Taichi.
« De quoi tu veux parler ? »
Taichi prit une profonde inspiration.
« Il y a trois ans, tu m’as dit que tu m’aimais.
-Tai…
-Non, attends. Laisse-moi finir. »
Taichi se tut quelques secondes. Tôma l’observa, lui donnant tout le temps dont il avait besoin.
« Il y a trois ans, recommença-t-il, tu m’as dit que tu m’aimais. À cette époque, je t’aimais aussi, mais pas de la même façon. Pourtant, même si cela devait te faire souffrir, tu es resté près de moi. Tu ne m’as jamais abandonné. Et je ne sais pas quand les choses sont devenues différentes, mais... »
Il se passa nerveusement la main dans les cheveux, les ébouriffant.
« C’est vraiment pas facile, marmonna Taichi. »
Tôma sourit légèrement. Il comprenait où Taichi voulait en venir. Il sentit l’espoir naître en lui. Mais il ne dit rien, il devait le laisser terminer. Il voulait être sûr de ce que Taichi essayait de lui dire.
« Ce que je voulais te dire… Je t’aime Tôma. »
Tôma sentit son cœur s’accélérer. D’aussi loin qu’il s’en souvienne, il avait toujours aimé Taichi. Même durant ces trois dernières années, ses sentiments pour lui n’avaient pas diminué. Bien au contraire. Ils étaient chaque jour un peu plus forts. Il s’approcha de lui et l’embrassa. D’abord surpris, Taichi répondit à son baiser. Ils exprimèrent toutes les émotions, tout l’amour qu’ils pouvaient ressentir l’un pour l’autre. Tôma s’écarta légèrement.
« Je t’aime Tai, murmura-t-il. »
Taichi l’embrassa à nouveau, s’enivrant de tout ce que Tôma pouvait lui faire ressentir. Il l’aimait et Tôma l’aimait. Jamais il n’aurait cru être un jour aussi heureux.
Fin
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steff-02 · 1 year ago
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Ce matin on va partir à la découverte de Johannesburg (Joburg ou Jozi de par ces petits noms). Comparé à hier soir quand on est arrivé, ce matin avec le soleil c’est moins glauque 😂! Avant de partir, on prend notre petit déjeuner. Ils n’ont pas beaucoup de choix. On opte tous les deux pour une formule salée, c’était sans compter qu’il y avait une mayonnaise au chili qui accompagnait le tout…🥵 demain matin je prendrait un yoghurt et des fruits 😂.
Comme on savait pas trop par où commencer notre visite, on a opté pour les bus touristiques qui font le tour de la ville. L’arrêt le plus proche est à 30 minutes de marche. On est pas pressé, alors tout insouciant, on s’élance de les rues de Joburg. À peine nous avons traversé la route que le portier de l’hôtel nous cours après. Il nous demande où nous allons et nous dit qu’il ne faut pas partir à pied, que c’est dangereux pour nous (en tant que blanc). Il nous dit qu’il vaut mieux appelé un Uber. On fait alors demi tour et suivons son conseil. Quelques minutes plus tard notre chauffeur arrive. Il nous conduit jusqu’à l’arrêt de bus. Sur le trajet, on est très content de n’avoir pas pris de voiture de locations. Autant dans le reste de l’Afrique du Sud on a été très surpris en bien de leur conduite, autant ici, c’est le chaos ! Il y a une circulation de dingue, les feux de signalisation ne fonctionnent pas toujours et lorsqu’ils fonctionnent, les voitures passent au rouges…😅 mais bon ils y sont habitués alors ça va ;)
On emprunte en premier la ligne rouge qui sillonne le sud de la métropole. Dans nos écouteurs, la visite guidée parle très bien de la ville et donne envie de la visiter, mais ce n’est pas toujours ce que nous voyons. Ils parlent d’une ville très développée, très unies, regorgeant d’activités culturelles et de café branché. Ce que nous ressentons nous, en tant que touristes blancs, c’est que le centre ville est quand même très pauvre et que nous ne pouvons pas se déplacer librement à pied sans prendre de risque. Beaucoup de sans abris, beaucoup de réunions de sans abris, et même les autres, on voit que la plupart vivent dans la misère…
Nous voulions descendre du bus pour visiter le musée de l’apartheid, mais arrivé devant et voyant le nombre de groupe scolaire qui attendent pour entrer, on se décide à reporter notre visite à demain, peut être aurons-nous plus de chance 🤷🏽. On finit alors le tour rouge et poursuivons sur la ligne verte. Et là, on découvre un autre monde, les rues sont propres et les HLM ont laissé place à de belles villas. Nous faisons escales dans une sorte de quartiers marchant, assez typé européen, d’ailleurs il y a majoritairement des blancs. J’avais pourtant cherché sur Google avant de réserver l’hôtel quels quartiers étaient les plus sûrs et je n’ai jamais vu marqué la où on est, pourtant il y a aussi pleins d’hôtel. Mais bon ce qui est fait est fait, on va continuer de se déplacer en Uber ;) on reprend le bus pour finir notre tour puis un Uber direction l’hôtel.
On profite d’aller sur le Rooftop pour voir le coucher de soleil et commencer à écrire ce post. Ensuite, on va boire un verre au bar de l’hôtel, on fait une partie de billard, grignoter un petit quelque chose et on est rentré finir la soirée tranquille dans la chambre ! 💫😘
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lilias42 · 1 year ago
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Jour 4 : Tragédie
Bon... techniquement, il y aurait dû avoir un billet sur les relations de Pan avant-hier et un autre sur comment les autres découvraient ses origines hier mais, ma désorganisation chronique, l'IRL, le temps monstre que j'ai mis à faire ma BD et le fait que je veux absolument mettre un dessin pour les illustrer histoire que ce soit un peu plus sympa que juste des pavés de textes m'ont fait prendre du retard alors, je le publierais plus tard (surement fin de semaine, début de la semaine prochaine, au diable l'ordre des jours).
Alors, en attendant, une des tragédies de Pan, avec un brin d'espoir à la fin pour ne pas finir sur une note trop triste (et parce que ça collait avec le numéro du jour)
Petite information pour mieux comprendre le contexte :
Sophie La Sage Hange-Blaiddyd : il s'agit de la demi-soeur de Loog mais, ils ont énormément d'écart, Loog était déjà adulte quand son père l'a eu avec une autre de ses maitresses... encore... Cela l'a mis hors de lui que son père pense seulement à badiner en pleine guerre d'indépendance, abandonne encore les conséquences de ses actes et laisse un autre de ses enfants sur le carreau, surtout que la mère ne voulait pas de sa fille étant donné qu'elle n'avait rien à gagner, laissant la petite toute seule au milieu d'une guerre. Loog a donc recueilli sa petite soeur, et l'a élevé comme sa propre fille, lui donnant le prénom de sa propre mère, Sophie. Elle sera d'ailleurs toujours considérée comme la fille de Loog, même si elle n'est pas né de sa chair, et toute la famille royal de Faerghus descend d'elle, Loog ne s'étant jamais marié et n'ayant pas eu d'enfant biologique. Je ne pense pas que Loog lui aurait donné un deuxième prénom étant donné qu'il est très fier des origines roturières de sa mère mais, s'il doit lui en donner un, ce serait Abigaëlle, la joie du père.
Suite sous la coupe :
"Pan, Loog voudrait te voir...
L'agarthan releva la tête de la lettre qu'il écrivait en entendant Sophie l'appeler par son vrai nom, plutôt que par celui qu'il utilisait en ce moment. Lucine lui avait dit qu'elle ne pourrait pas venir le voir cette année, se sentant trop faible pour faire le voyage alors, il lui promettait de venir dès que Loog se sentirait mieux. Pour le moment, il ne voulait pas quitter le chevet du roi et de son héritière... pas quand Loog s'affaiblissait aussi de jour en jour...
Même si l'agarthan s'habituait avec le temps, c'était toujours assez étrange de voir à quel point Sophie avait grandi, ressemblant toujours plus à Loog même s'ils étaient demi-frère et soeur. Elle qui n'était qu'un tout petit bébé tout frêle et fragile quand il l'avait rencontré, emmailloté dans un linge bien chaud pour la protéger du froid faerghien, si petite qu'elle disparaissait presque dans l'étreinte de Loog alors qu'il jurait de s'occuper d'elle et de la protéger de leur père, elle avait tellement grandi à présent qu'elle le dépassait de plusieurs têtes, faisant la taille de Loog. Une longue tresse blonde tombait sur son épaule, soulignant l'austérité de sa tenue, tout en laine bleue fine mais chaude, la jeune femme ne craignant aussi peu le froid que tous les autres Blaiddyd que Pan avait connu... enfin, jeune femme... à ces yeux... elle avait tout de même presque soixante ans à présent... et même si son emblème majeur ralentissait son vieillissement, Pan ne pouvait que voir les rides creusés de plus en plus profondément son visage, ses cheveux blanchir comme si on les trempait dans la chaux avant même qu'elle ne sorte de son crâne, ses pas redevenant maladroit comme quand elle apprenait à marcher, une vieille blessure à la jambe revenant la hanter alors que le temps usait ses os... alors Loog qui avait plus de trente ans de plus qu'elle...
-D'accord, j'arrive. Qu'est-ce qui se passe ? Il va bien ?
Le visage de la jeune femme se ferma un peu, baissant les yeux avant qu'elle ne lui tende la main en soufflant.
-Il veut te le dire lui-même...
De plus en plus inquiet, Pan attrapa sa main, son coeur se serrant en voyant que si les mains de Sophie portait toutes les marques d'usure laissé par sa vie bien remplie, celle de Pan restait toujours aussi pleine, toujours aussi jeune que le jour où il était revenu à la surface, cinq ans avant sa naissance... il était même obligé de se faire passer pour quelqu'un d'autre depuis quelques temps, quand il ne put plus se cacher derrière l'excuse que les signes de l'âge arrivaient tard dans sa famille... même pour quelqu'un avec un emblème, il n'était pas censé avoir l'air d'avoir moins de vingt ans alors qu'officiellement, il avait pratiquement quatre-vingt ans...
En traversant le palais, ils passèrent devant le grand tableau célébrant leur victoire contre l'empire, représentant tous leurs compagnons réunis... la gorge de Pan se serra encore plus en les revoyant tous... tous si différents de ce qu'ils étaient aujourd'hui... Lucine dansait avec peine, Amaury était à présent aussi sourd qu'il était muet, Poppa et Torf ne pouvaient plus voler entre Daphnel et Galatéa pour se voir comme avant, Clothilde avait grandi et pris la succession de son père quand Kyphon les avait quitté le premier, étant le seul sans emblème majeur d'entre eux... même Walter, Gylfe et Eudoxie les avaient quittés malgré ça, rejoignant l'épéiste quelques mois ou années plus tard...
Irène avait tellement changé depuis la mort de Sybille, ne quittant plus ses habits de deuil, contrastant avec sa chevelure devenue intégralement blanche de chagrin et même si les deux soeurs avaient passé leur vie à se taquiner et à s'envoyer des pics, elle ne disait plus rien de négatif sur elle... la cadette ressemblait à un fantôme elle-même...
Perdu dans ses pensées, Pan vit à peine qu'ils étaient arrivés devant la chambre de Loog. La grande porte fermée ressemblant à cet instant à celle séparant Shambhala du monde de la surface, séparant deux mondes... Sophie le lâcha, l'encourageant à entrer d'un regard. Prenant son courage à deux mains, l'agarthan passa le passage pour entrer dans l'univers de son sauveur, ce dernier ne le quittant pratiquement plus depuis quelques semaines.
Cela sentait les plantes et les médecines, les pots d'apothicaires et fioles de potions ayant remplacés les papiers de travail et les partitions sur le bureau de l'ancien roi. Sa flute de Pan reposait entre deux médicaments, une légère couverture de poussière l'enveloppant, laisser à l'abandon depuis trop longtemps... les médecins avaient déconseillé à Loog d'en jouer, cela forcerait trop sur ses poumons. Lui qui avait toujours tant aimé la musique qu'il pouvait en tirer...
Ce dernier était allongé dans son lit, si différent et à la fois si semblable de l'homme qui avait tiré Pan du noir à bout de bras. Tout comme sa fille adoptive, ses cheveux étaient devenus blancs et cassants, la peau collait à ses os, sa force pourtant prodigieuse volée par les années, son regard souvent éteint et absent... cependant, une étincelle de joie s'y alluma quand il le vit, arrivant à sourire alors qu'il murmurait, ne parlant plus vraiment... sa voix était devenue trop faible et chevrotante...
"Pan... tu es là... approche...
-Oui, je suis là... Sophie m'a dit que tu voulais me parler...
Obéissant, l'agarthan s'assit sur le lit au côté de l'homme qui l'avait sauvé, prenant sa main, comme pour s'accrocher encore et encore à lui. Elle se serra à peine autour de ses doigts... même sa main mécanique s'usait et montrait des signes de faiblesse, il devait changer de plus en plus souvent des pièces pour qu'elle soit encore utilisable... Pan rêverait que tout soit aussi simple...
-Je suis content de te voir... tu as l'air d'aller bien... même si tu es aussi triste...
-... oui... Lucine ne pourra pas venir... elle se sentait trop faible pour supporter le voyage... alors, je lui ai dit que je viendrais la voir quand tu iras mieux...
-C'est une bonne idée... elle sera contente de... arriva-t-il à sourire à nouveau, avant de se faire interrompre par une quinte de toux, entrechoquant ses os entre eux dans des craquements macabres, glaçant le sang de l'agarthan jusqu'au plus profond de son coeur, craignant le pire.
Pan voulut appeler les médecins mais, Loog le retient avec ce qu'il lui restait de force.
-Non... ça ne sert à rien... ça ne sert plus à rien... je... Pan... je crois que c'est bientôt l'heure de se dire au revoir...
-Non... non... dit pas ça... tu es encore si jeune... nia-t-il, presque par automatisme, une voix sombre se moquant de lui alors qu'il reniait la réalité même.
-Pas tant que ça... j'ai déjà bien vécu... plus que beaucoup de mes ancêtres dans la famille de ma mère... et plus longtemps que cette enflure qui me servait de père, ce que je prend comme une victoire en soit... ne put s'empêcher de piquer Loog, le mépris s'échappant une seconde avant de mourir dans un râle. J'ai déjà eu une longue vie, même si c'est sûr que... rha... à ton échelle, cela doit paraitre bien court...
-Trop court... tu ne peux pas partir... pas maintenant... pourquoi les humains meurent-ils quand ils viennent à peine de naitre ? C'est... c'est pas juste... c'est pas juste... ! Si seulement... snif... si seulement je pouvais... si je pouvais vous en donner un peu... juste un tout petit peu... à tous... vous seriez...
Son voeu se fana sur sa langue, sachant mieux que quiconque que c'était impossible mais voulant y croire quand même, alors que Loog le tirait vers lui. Ne pouvant plus tenir, Pan cacha sa tête au creux de ses bras, se mettant à pleurer, terrifié par ce qui allait arriver, refusant que cela arrive, cherchant un moyen de le garder avec lui... de tous les garder, même ceux qui n'étaient plus là... si seulement c'était possible...
-Mon Pan... souffla-t-il en le serrant dans ses bras, passant une main rassurante dans ses cheveux malgré ses tremblements. Le deuil et la mort font toujours mal... mais tout ce qui vit meure un jour avant de revenir à la vie dans un autre corps, ainsi en a décidé la Déesse... même si cela prend plus ou moins de temps... c'est pour ça que l'on chérit notre vie et tout ce qu'elle a pu nous apporter, même si elle peut faire mal aussi... je suis heureux d'avoir vécu ma vie ainsi... je suis heureux de tous vous avoir rencontré... je suis heureux de t'avoir rencontré ce jour-là... même si c'est aussi un souvenir douloureux, je suis content d'avoir trouvé ce petit gamin dans cette cave, un gamin qui n'avait aucun endroit où aller et qui ne demandait qu'à s'épanouir... je suis heureux de voir à quel point tu as grandi... tu es une personne extraordinaire, créative, gentille et attentionnée, avec le coeur dans sa main, et je suis heureux et fier d'avoir eu la chance de te rencontrer... même si c'est dur de vous laisser seuls Sophie et toi, je sais que vous avez toutes les cartes en main pour arriver à vous en sortir à merveille... ça se passera bien pour vous, j'en suis sûr...
Loog laissa Pan pleurer, ne l'empêchant pas de montrer son chagrin et sa peine, le rassurant encore et encore... si seulement son voeu pouvait se réaliser... la mort était déjà un adversaire redoutable, elle devait paraitre encore plus féroce et cruelle pour lui... dire qu'il n'avait pas vieilli d'un seul jour depuis celui de leur rencontre, alors que les fanatiques de l'Eglise Occidentale l'avaient enfermé dans cette cave... son regard et son comportement avaient muri, Pan s'était libéré du carcan de son peuple, arrivant à faire vivre au grand jour la personne merveilleuse qu'il était au fond de lui mais, malgré tout, il avait encore des comportements plus enfantins ou adolescent...
Est-ce qu'il ne l'était pas encore un peu dans le fond ? Est-ce que pour quelqu'un vivant si longtemps, l'enfance n'était pas aussi longue que la jeunesse de trait ? Malgré tout, est-ce que dans le fond, Pan n'était pas un adolescent jouant très bien le rôle d'un adulte mais, qui conservait ses failles et faiblesses enfantines au fond de lui, les cachant aux yeux de tous ? Même le principal concerné ne pouvait répondre à ses questions et ses craintes, la vérité sur le fonctionnement de son propre corps ayant été volée par les tyrans servant de souverains à son peuple... Loog avait tout fait avec leurs amis et compagnons pour essayer de comprendre avec lui... à présent, alors que la mort rôdait tout autour de lui, attendant que sonne son heure, il ne pouvait plus qu'espérer que cela soit suffisant...
-Même au paradis ou en enfer, je prierais pour que vous alliez tous bien... je vous protégerais toujours, même si je dois revivre en étant le plus petit des cailloux du monde... aucun de nous ne sera loin de toi pendant toutes ces années à venir... notre souvenir t'accompagnera partout, comme ta chance...
Pan redressa la tête, arrivant à sourire à cette remarque.
-Oui... c'est même toi qui m'as appris que le quatre était un symbole de chance... souffla-t-il avec nostalgie, passant sa main sur le haut de son bras gauche, là où Gylfe avait recouvert son ancien matricule avec le dessin d'un trèfle à quatre feuille, effaçant toute la honte de porter ses quatre points écarlate pour les remplacer par la joie d'avoir lui aussi un tatouage faisant autant sens que les siens.
Loog sourit à son tour, lui embrassant le front avant de souffler.
-Tu peux demander à Sophie de venir s'il te plait ? J'aimerais passer encore un peu de temps avec vous deux...
Pan obéit d'un hochement de tête, essuyant ses larmes alors qu'il allait la chercher. Quand elle entra, Loog sourit à nouveau, sa fille lui prenant à son tour la main alors que le silence s'installait mais, l'ancien roi le chassa vite, leur demandant de lui parler de ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
"C'est du Loog tout craché..." songea Pan en se rappelant de la première fois qu'il était rentré dans une église qui célébrait le rite adrestien, l'homme alors jeune plaisantant allègrement sur le fait que le but du jeu ici était de ne pas s'endormir pendant le sermon, même s'il était très pieux lui-même.
Ils se mirent donc à discuter ensemble, parlant de ce qu'ils comptaient faire, de leurs ambitions, de ce qui les agaçaient parfois, leurs peurs mais aussi de leurs espoirs. Loog répondit avec bienveillance sans jamais les quitter des yeux, même si sa voix s'affaiblissait d'heure en heure, s'enfonçant de plus en plus dans son lit alors que le temps filait bien trop vite entre leurs doigts.
Cependant, quand le soleil pointa à nouveau le bout de son nez à l'horizon, le mourant arriva à tourner son regard vers la fenêtre, souriant alors que le ciel d'or se teinta de plus en plus d'azur, le vent chassant les nuages avant d'arriver à entrer dans la pièce, caressant leur peau avec douceur, amenant la chaleur de l'astre du jour avec lui.
Loog eut un regard nostalgique avant de sourire à nouveau, comme si tout irait toujours bien, semblant voir quelque chose invisible à Sophie et Pan. Leur sang se glaça mais, le mourant semblait toujours aussi calme, serein alors qu'il soufflait.
"Le ciel est magnifique... je suis content... de l'avoir encore vu... à nos couleurs au moins une fois... avec vous tous... même si j'aurais aussi aimé encore un peu de temps... au moins... je pars un matin avec le ciel bleu... plutôt que le soir avec le ciel pourpre... Sophie... Pan... mes enfants... merci... merci pour tout... hein..."
Un dernier soupir tomba de ses lèvres, emporté par le vent s'échappant, alors que ses paupières fatiguées tombaient.
Pan se figea, connaissant à présent trop bien ce visage, perdu dans le vague... ce léger sourire serein...
"Loog ?
L'homme ne répondit pas. L'agarthan attrapa alors sa main, la secouant un peu en appelant à nouveau, de nouveau perdu dans le noir, cerné par des murs de pierres sombres, enfermé avec la mort alors qu'il répétait encore et encore :
-Loog... ? Loog, répond... répond-moi... répond... ! On est là ! Ouvre les yeux ! S'il te plait... Loog... snif... ne pars pas... ne pars pas... ! Tu es encore tout jeune... par pitié... ne nous laisse pas... répond...
Pan essaya de ne pas pleurer, ne voulant pas s'effondrer devant Sophie... c'était lui le plus âgé, c'est lui qui devrait la soutenir, pas le contraire... même si elle avait bien grandi, quand Loog lui avait présenté sa fille pour la première fois, il lui avait dit qu'elle était toute fragile et qu'il fallait bien la protéger pour qu'elle grandisse... elle était encore toute petite pour un agarthan, c'était donc à lui de la protéger maintenant...
Cependant, ce fut Sophie qui posa sa main sur la sienne, l'enveloppant avec celle de son père tout en le prenant par les épaules, lui soufflant doucement.
-Ne te retiens pas pour moi... toi aussi, tu as le droit de le pleurer... avoir quelqu'un avec qui pleurer est parfois le meilleur des soutiens... surtout... il entendit sa voix se briser, le serrant contre elle alors que des larmes s'échappaient de ses yeux, cavalant sur ses jours creusés par l'âge. Surtout quand il s'agit de notre père à tous les deux... tu as toujours été un frère pour moi... comme tu as toujours été un fils pour lui... même si aucun de nous deux n'est né de sa chair... il sera toujours... snif... notre père... toujours...
-Sophie... Sophie... il... il ne peut pas... snif... Loog... notre... snif... snif... LOOOOOOG !!!!
Pan s'effondra, pleurant à chaudes larmes la perte de Loog avec sa famille, tout en sachant qu'un jour, il devrait pleurer Sophie à son tour, puis ses enfants à elle, puis leurs enfants à leur tour, puis encore leurs enfants... comme pour tous ses amis et ses proches... il entendait presque Thalès rire, se moquer cruellement de lui, n'ayant qu'à attendre pour lui arracher tout ceux qu'il chérissait...
"Ne les écoute pas, ils ne font que persiffler comme des vipères. S'ils étaient si sûrs de tout ce qu'ils avançaient, il n'aurait pas à vous mentir tout le temps, ils vous prouveraient simplement qu'ils ont juste."
"Si tu ne veux plus faire partie de ton clan et de ton peuple car, tu n'es pas d'accord avec eux et que cela ne te correspond pas, quitte-le, et ils n'auront rien à te redire. C’est ta vie, pas la leur. Et s’ils te disent que c’est la leur, dis leur d’aller se faire foutre."
"Aucun de nous ne sera loin de toi pendant toutes ces années à venir... notre souvenir t'accompagnera partout, comme ta chance..."
"C'est vrai... se reprit Pan en redressant un peu la tête, regardant le soleil, ayant l'impression d'y voir le sourire et la chevelure de Loog à l'intérieur, tenant déjà sa promesse à peine mort. Lucine a raison... Thalès et ses sbires ne font que mentir, ils ne savent rien des émotions et ce que c'est de réellement vivre... la vie à la surface avec eux tous est bien plus belle qu'à Shambhala, même si ça fait mal parfois... et s'ils ne sont pas d'accord, tant pis pour eux. Comme dirait Kyphon, qu'ils aillent tous se faire foutre. J'ai eu la chance de tous les connaitre, c'est ma chance à moi qu'ils ne pourront jamais voler ou corrompre... je ne la gaspillerai pas, et je ne leur donnerai jamais raison Loog... je te le promets... après tout, j'ai encore une longue vie à vivre et comme tu le disais tout le temps, le quatre est un symbole de chance..."
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