#douleur cage thoracique
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro Ă Ste-Foy, QuĂ©bec - Une douleur Ă la cage thoracique? Ăa pourrait ĂȘtre une irritation costovertĂ©brale!
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Une douleur Ă la cage thoracique? Ăa pourrait ĂȘtre une irritation costovertĂ©brale!
Saviez-vous que les cĂŽtes pouvaient ĂȘtre Ă lâorigine de certaines douleurs? Les conditions costales sont frĂ©quemment rencontrĂ©es en chiropratique et lorsquâelles sont dâorigine neuromusculosquelettique, le chiropraticien possĂšde gĂ©nĂ©ralement tous les outils pour aider son patient Ă retrouver un Ă©tat de santĂ© optimal. Dans cet article, vous dĂ©couvrirez lâune des conditions costales les plus frĂ©quentes, câest-Ă -dire lâirritation costovertĂ©brale, et vous apprendrez comment la chiropratique pourrait ĂȘtre votre alliĂ© dans le traitement de cette condition.
Les cĂŽtes et leurs articulations
Anatomiquement parlant, les cĂŽtes bougent. Si elles ne bougeaient pas, la respiration serait trĂšs difficile puisque leur mouvement permet Ă la cage thoracique de prendre de lâexpansion lors de lâinspiration et lâexpiration.
Le corps humain comprend gĂ©nĂ©ralement 12 paires de cĂŽtes. De ces 12 paires, les 2 derniĂšres sont dites flottantes, câest-Ă -dire quâelles nâont pas dâattache Ă lâavant, contrairement aux 10 autres paires de cĂŽtes.
Au niveau dorsal, chaque cĂŽte sâarticule au niveau vertĂ©bral, dâoĂč le nom de lâarticulation costovertĂ©brale :
Au niveau ventral, les cĂŽtes sâarticulent pour la plupart avec le sternum, dâoĂč le nom de lâarticulation costosternale :
MĂȘme si les articulations ne sont pas du mĂȘme type entre la rĂ©gion antĂ©rieure et postĂ©rieure du dos, le mouvement est possible Ă chaque niveau. Comme dans tout mouvement articulaire, il est possible quâil y ait une diminution de la mobilitĂ©, ce qui peut causer des conditions neuromusculosquelettiques comme lâirritation costovertĂ©brale.
Quand la perte de mobilité engendre la douleur
Chaque articulation a un mouvement qui lui est propre. Ce mouvement se doit dâĂȘtre optimal si lâon souhaite que lâarticulation fonctionne normalement. Plusieurs causes peuvent crĂ©er une perte de mobilitĂ© articulaire :
Traumatisme direct Ă lâarticulation
Mauvaise posture de sommeil
Mauvaise posture de travail
Mouvement répétitif
Mauvaise utilisation de lâarticulation (ex.: mauvaise technique de course)
Sédentarité (non-utilisation des articulations)
Le processus plus dĂ©taillĂ© (mais imagĂ©) menant Ă lâapparition de douleur ressemble Ă ceci :
Lorsquâune articulation ne bouge pas optimalement, les rĂ©cepteurs articulaires envoient un signal au niveau cĂ©rĂ©bral indiquant que le mouvement nâest pas idĂ©al.
Lorsque le cerveau reçoit cette information, il la traduit comme un problĂšme Ă rĂ©gler et souhaite donc âprotĂ©gerâ le corps.
Les signaux de protection envoyĂ©s par le cerveau peuvent ĂȘtre ceux-ci :
Inflammation
Hypertonicités musculaires (contractions musculaires)
Restriction dans lâamplitude de mouvement, avec douleur
Restriction dans lâamplitude de mouvement, sans douleur
Raideur des muscles environnants
OedĂšme local
Douleur
Douleur au mouvement
Douleur au repos
Douleur intermittente
Douleur constante
Douleur légÚre
Douleur intense
Douleur locale, au toucher
Douleur irradiante
Vite, on se rend compte que les hypertonicitĂ©s musculaires engendrent Ă leur tour une nouvelle diminution de lâamplitude de mouvement. Câest ainsi que le cercle vicieux de la restriction articulaire dĂ©bute :
Perte dâamplitude de mouvement = hypertonicitĂ©s musculaires
HypertonicitĂ©s musculaires = encore plus de perte dâamplitude
Encore plus de perte dâamplitude = encore plus de rĂ©ponses de protection = encore plus dâhypertonicitĂ©s musculaires
Ainsi de suite.
Les articulations costovertĂ©brales ne font pas exception Ă ce mĂ©canisme. En gĂ©nĂ©ral, les douleurs liĂ©es Ă lâirritation costovertĂ©brale sont celles-ci :
Sensation de point Ă droite ou Ă gauche de la colonne vertĂ©brale, dĂ©pendamment de lâarticulation ciblĂ©e.
Douleur possible lors de lâinspiration ou de lâexpiration, en raison du mouvement de lâarticulation impliquĂ©e.
Douleur possible lors du mouvement des bras/Ă©paules, en raison du mouvement de lâarticulation impliquĂ©e.
Sensation de douleur intense Ă la poitrine, vis-Ă -vis lâarticulation costovertĂ©brale touchĂ©e. Comme si un poignard transperçait la poitrine de lâarriĂšre Ă lâavant.
Le chiropraticien Ă la rescousse
Lors de son examen, le chiropraticien aura la tĂąche de dĂ©terminer si la douleur perçue par son patient est dâorigine neuromusculosquelettique. Pour se faire, il utilisera lâexpertise quâil a acquise au cours de son doctorat de premier cycle en chiropratique.
Des questions précises servent à orienter son cheminement clinique.
Ă quel moment survient la douleur?
La douleur est présente depuis quand?
La douleur est-elle irradiante?
Est-ce que lâintensitĂ© de la douleur varie?
Le patient a-t-il des difficultés respiratoires?
Le patient a-t-il dâautres symptĂŽmes?
Un examen physique complet en lien avec les réponses aux questions aide le chiropraticien à préciser graduellement son idée diagnostique :
Amplitudes de mouvement costovertébrales
Amplitudes de mouvement costosternales
Palpation chiropratique (subluxations) au niveau vertébral
Ăvaluation des hypertonicitĂ©s musculaires potentielles
Des examens complémentaires en fonction des résultats obtenus (radiographies)
Puisque le chiropraticien a la capacitĂ© de prescrire et analyser les radiographies, il est possible quâil veuille avoir une image plus prĂ©cise de la rĂ©gion impliquĂ©e. Comment est la colonne vertĂ©brale? Comment sont les articulations costovertĂ©brales? Comment est la qualitĂ© osseuse? Toutes ces rĂ©ponses peuvent aider Ă dĂ©terminer si le diagnostic est dâorigine chiropratique et orienter vers le traitement le mieux adaptĂ© pour le patient.
Dans lâĂ©ventualitĂ© oĂč un traumatisme soit Ă lâorigine de la douleur, il est possible que le chiropraticien veuille Ă©valuer lâintĂ©gritĂ© osseuse. Si elle est compromise et quâil suspecte une fracture, il aura Ă rĂ©fĂ©rer son patient du cĂŽtĂ© mĂ©dical pour un suivi appropriĂ© pour confirmer le diagnostic.
Dans le cas dâun diagnostic dâirritation costovertĂ©brale, un suivi chiropratique pourra ĂȘtre envisagĂ©.
Puisque le chiropraticien Ă©value la prĂ©sence de subluxations vertĂ©brales, il traitera celles quâil a trouvĂ©es lors de son examen. Sachant quâil nây a pas que les articulations vertĂ©brales qui peuvent ĂȘtre subluxĂ©es, il traitera fort probablement lâarticulation costovertĂ©brale en cause dans le diagnostic quâil a Ă©mis puisquâelle prĂ©sentera sans doute une perte de mouvement.
Si, Ă son examen, des hypertonicitĂ©s musculaires ont Ă©tĂ© mises en lumiĂšre, il pourra les travailler afin de rendre le muscle plus souple et moins contractĂ©. Cela aidera Ă redonner une amplitude de mouvement normale Ă lâarticulation.
Puisquâon retrouve gĂ©nĂ©ralement de lâinflammation au site de lâirritation costovertĂ©brale, il est possible que des techniques complĂ©mentaires soient utilisĂ©es, selon la localisation, lâindication et les contrindications du patient :
TENS (neurostimulation électrique transcutanée)
Ultrasons
Glace
Chaleur
Optimiser la santé de son patient
La vision chiropratique est orientĂ©e sur la santĂ© globale de son patient. En consĂ©quence, le chiropraticien ne se penchera pas seulement sur la douleur. Il aura toujours en tĂȘte dâoptimiser son suivi et la condition de vie des gens qui le consultent en donnant des conseils sur les habitudes de vie, les postures Ă adopter (sommeil et travail) et les exercices quâils pourraient faire afin dâaider leur condition et Ă©viter les rĂ©cidives.
Le chiropraticien sait trĂšs bien que lâabsence de douleur nâest pas toujours en lien avec lâabsence de maladie/condition de santĂ©. Il pourra ĂȘtre prĂ©sent pour vous suite Ă la gestion de la douleur afin de vous guider vers un Ă©tat de santĂ© optimal et vous proposer des soins dâoptimisation. NâhĂ©sitez pas Ă le consulter!
#chiropraticien#chiropratique#conditions costales#douleur aux cÎtes#douleur cage thoracique#irritation costovertébrale#traitement
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Je crois que je me suis encore coincĂ© un nerf dans le dos đ. J'ai mal Ă la poitrine depuis 2 jours et la derniĂšre fois que ça m'est arrivĂ© j'ai cru que j'allais faire une crise cardiaque MAIS NON ! c'Ă©tait encore un truc improbable, un nerf coincĂ© dans le dos qui me donne des douleurs devant dans la cage thoracique. C'est marrant mais avec toute les merdes qui m'arrivent en ce moment, je me rappelle que ma mĂšre et ma grand-mĂšre me rĂ©pĂ©tait une phrase depuis que je suis gamine : "tu as une santĂ© trĂšs fragile, fait bien attention"...ça n'a jamais pris autant de sens qu'en ce moment.
#perso#ça commence Ă faire beaucoup non ?#j'ai envie de chialer de âj'en ai marre je suis Ă boutâ
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Au fond de ma cage thoracique, il y a cette morsure, cette douleur, comme si des morceaux de mon ùme mourraient en boucle, sans y parvenir. Comme Prométhée sur son rocher en moins glorieux.
Mourir en boucle dans son propre esprit sans répis.
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2 juillet
dernier matin seule dans la maison, maman est en vacances demain. j'aurais du mettre me rĂ©veil Ă huit heures et profiter de chaque seconde. hier maman m'a dit que j'en avais assez profitĂ© non? oui, mais mes matins seule Ă la maison sont ce que j'ai eu de plus prĂ©cieux, de plus sacrĂ© ces dix derniĂšres annĂ©es, et je les aime comme au premier jour, quand j'avais quatorze ans et que je sĂ©chais les cours pour rentrer. une vie entiĂšre ne suffirait pas pour profiter des matins tranquilles Ă la maison. cette nuit j'ai rĂȘvĂ© que je me rĂ©veillais dans la mĂȘme chambre que n. et ses deux colocs, je dormais dans un lit superposĂ© et un des deux colocs dormait au dessus de moi et quand il grimpait sur l'Ă©chelle tout le lit se mettait Ă trembler. on dormait Ă l'intĂ©rieur d'une espĂšce de grand sac de couchage relevĂ© par dessus la tĂȘte pour protĂ©ger son intimitĂ© et je regardais par le trou du sac de couchage au dessus de ma tĂȘte et je me disais que malgrĂ© tout, il valait mieux ça que de rentrer Ă la maison. hier n. m'a Ă©crit que si j'Ă©tais encore lĂ dans un an on pourrait participer aux 48h neukölln et j'avais envie de lui rĂ©pondre que oui je serais lĂ parce que de toute façon je peux pas ĂȘtre ici. pas le choix. je lui ai dit i'm going batshit crazy here et elle m'a dit qu'elle Ă©tait encore plus contente que je vienne alors. c'est la deuxiĂšme fois qu'elle me sauve la vie en un an. la premiĂšre fois c'Ă©tait de r. cette fois c'est de maman.
je suis retombĂ©e sur le post de l'article sur grey gardens et dans les commentaires tout le monde s'indignait de la lecture complĂštement erronĂ©e et romantisĂ©e du film par la journaliste et j'avais un peu honte de m'ĂȘtre laissĂ©e avoir par sa vision de l'histoire, parce que je l'ai vu ce film et il est terrifiant. la mĂšre de little edie est un monstre qui veut pas que sa fille aille vivre sa vie Ă new york, little edie qui rĂȘve d'amour et de devenir une star Ă broadway mais elle est prisonniĂšre de sa mĂšre dans leur manoir qui tombe en ruines, isolĂ©es du reste du monde. depuis que j'ai vu ce film mon pire cauchemar c'est de finir comme little edie et sa mĂšre, mĂȘme si on habite pas dans un manoir dĂ©labrĂ© et que maman n'est pas folle. parfois maman m'apparait comme un monstre auquel je dois Ă©chapper. le dimanche dans la forĂȘt quand je l'entends derriĂšre moi qui me rattrape parce qu'elle court et moi je marche, ça devient littĂ©ral. je suis remplie de colĂšre contre elle. j'ai tellement de colĂšre Ă l'intĂ©rieur de moi que ça me fait peur. je vois probablement que la pointe de l'iceberg en plus.
hier on a fait une sĂ©ance de yoga Ă la maison avec a. et dĂšs le dĂ©but quand elle nous a fait faire des micro mouvements avec les pieds j'ai senti les larmes me monter aux yeux et je me suis dit oh putain le trauma, je l'avais oubliĂ© celui-lĂ . enfin bof pas trop, mais ça faisait un moment qu'il s'Ă©tait plus manifestĂ© Ă travers le corps. j'ai pensĂ© Ă la phrase your body is a library of pain, perfectly filed. j'ai senti que mon corps contenait un ocĂ©an de douleur. je contiens un ocĂ©an de douleur et de colĂšre. c'est-Ă -dire une tempĂȘte. avec des vagues scĂ©lĂ©rates. mais c'est un ocĂ©an intĂ©rieur comme dans voyage au centre de la terre, un ocĂ©an souterrain dont rien ne parait Ă l'extĂ©rieur, sauf parfois des larmes, comme des gouttelettes d'eau de mer qui suinteraient Ă travers la croĂ»te terrestre. Ă la fin a. a posĂ© la paume de sa main chaude sur mon dos pour que je sente comment ma cage thoracique Ă©tait plus grande d'un cĂŽtĂ© que de l'autre et j'ai de nouveau eu envie de pleurer. je lui ai dit que je voulais trouver un truc de thĂ©rapie par le mouvement Ă berlin mais j'ai trop peur d'exploser.
bon finalement c'est pas plus mal que ce soit la fin de mes journĂ©es seules Ă la maison parce que j'ai encore Ă©clatĂ© en sanglots au milieu de l'aprĂšs-midi comme ça sans prĂ©venir. je pleurais comme kate winslet, avec mes sanglots de dĂ©sespĂ©rĂ©e. c'Ă©tait thĂ©Ăątral et pathĂ©tique et j'ai du regarder un Ă©pisode de curb your enthusiasm en mangeant du chocolat pour me calmer parce que j'Ă©tais trop dĂ©primĂ©e pour continuer Ă travailler. le TEMPS qu'il me vole depuis un an ce mec, c'est vertigineux, c'est criminel, je pourrais le poursuivre en justice, et ce serait mĂȘme pas la premiĂšre fois qu'il se retrouverait au tribunal. je me demande s'il a parlĂ© de moi Ă son psy, par rapport Ă son complexe de connard, et si son psy lui a conseillĂ© de me laisser tranquille pendant quelques temps, pour me laisser le temps de me sevrer et de guĂ©rir proprement. l'autre hypothĂšse, plus probable: il est trop occupĂ© par la personne avec qui il discutait sur whatsapp l'autre jour pendant que je lui envoyais des passages de heart of a dog et je suis tout simplement passĂ©e au second plan.
hier a. m'a dit que je devais faire du core strengthening pour renforcer ma colonne vertĂ©brale et dĂ©velopper mes abdos pour qu'ils aident Ă la soutenir. peut ĂȘtre que si je fais ça je me laisserai moins aplatir par les gens. j'ai toujours eu l'impression que mon maintien bancal Ă©tait liĂ© Ă mon estime de moi bancale. j'ai vu qu'il allait faire 33 degrĂ©s Ă berlin la semaine prochaine. j'ai peur de me retrouver clouĂ©e Ă l'appart Ă©talĂ©e sur mon lit sans pouvoir bouger avec les jambes lourdes et la tĂȘte qui fourmille satanĂ© rĂ©chauffement climatique il va me foutre en l'air tous mes plans de rĂ©invention de moi-mĂȘme. peut ĂȘtre que dans un premier temps je pourrai me concentrer sur l'Ă©criture. me concentrer dessus pleinement je veux dire. et puis je sortirai le soir. c'est bien aussi. c'est trĂšs bien mĂȘme, vu que ça avance pas trop trop ces derniers temps.
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Yâa ce moment oĂč la douleur devient physique, oĂč cette peine te dĂ©chire littĂ©ralement le cĆur en deux morceaux de torchons, ou ton Ăąme semble vouloir quitter ton corps en serrant ta cage thoracique. Yâa ce moment oĂč le vide rempli ton ĂȘtre de tristesse et quâelle envahit ta personne comme du pĂ©trole noir, toxique et visqueux. Ce truc qui te donne la nausĂ©e et te fais baisser les yeux.
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e choix des prothĂšses mammaires est un processus dĂ©terminant pour garantir un rĂ©sultat esthĂ©tique satisfaisant et durable. Un choix Ă©clairĂ© prend en compte plusieurs aspects tels que la taille, la forme, le type de remplissage, la surface des prothĂšses, et la position dâimplantation. Pour vous aider Ă faire un choix adaptĂ©, voici un dĂ©veloppement dĂ©taillĂ© de chaque Ă©tape et Ă©lĂ©ment Ă considĂ©rer.
1. Définir vos objectifs esthétiques et attentes personnelles
Naturel vs volumineux : Lâune des premiĂšres questions Ă se poser est de savoir si vous souhaitez un rĂ©sultat trĂšs naturel ou un effet plus volumineux et prononcĂ©. Cette dĂ©cision influencera la forme et le type dâimplant choisi.
Objectifs de long terme : Pensez Ă comment vous aimeriez que vos seins Ă©voluent au fil du temps. Des facteurs comme le vieillissement, les grossesses futures, et la perte ou prise de poids peuvent affecter l'apparence de vos implants.
2. Formes des prothĂšses : rondes vs anatomiques
Implants ronds : Ils créent un effet liftant et donnent un décolleté plus rempli. Ils sont idéaux pour celles qui souhaitent un volume visible sur le haut des seins et conviennent particuliÚrement aux patientes cherchant un look glamour.
Implants anatomiques (goutte dâeau) : Ces prothĂšses sont conçues pour imiter la forme naturelle des seins, avec une base plus large et un volume plus important dans la partie infĂ©rieure. Elles sont adaptĂ©es aux patientes qui souhaitent un rĂ©sultat subtil et naturel, souvent utilisĂ© pour corriger une asymĂ©trie mammaire ou pour un look plus rĂ©aliste.
3. SĂ©lection de la taille et du volume des implants
ProportionnalitĂ© : Le choix de la taille doit ĂȘtre fait en fonction de la morphologie de la patiente : largeur des Ă©paules, largeur de la cage thoracique, et proportions gĂ©nĂ©rales du corps. Un implant trop volumineux peut crĂ©er des complications comme des douleurs dorsales ou une apparence inesthĂ©tique.
Essais et simulations : Des outils de simulation 3D ou des essayages physiques avec des implants temporaires placĂ©s dans un soutien-gorge spĂ©cial peuvent aider Ă visualiser le rĂ©sultat final. Ces essais permettent de mieux comprendre comment diffĂ©rents volumes influencent lâapparence globale.
4. Types de remplissage des implants
Gel de silicone : Le gel de silicone cohésif est la solution la plus prisée en raison de son toucher naturel qui imite celui des tissus mammaires. En cas de rupture, le gel reste en place, minimisant les risques de fuite.
Solution saline : Les implants salins sont remplis de solution saline stĂ©rile. Bien quâils soient ajustables en taille pendant lâopĂ©ration, ils ont tendance Ă ĂȘtre moins naturels au toucher et peuvent prĂ©senter des plis ou se dĂ©gonfler plus facilement en cas de rupture.
Gel hautement cohĂ©sif : Certains implants contiennent un gel de silicone plus dense, souvent appelĂ© « gel mĂ©moire », qui garde sa forme mĂȘme en cas de pression ou de rupture. Ces implants offrent Ă la fois sĂ©curitĂ© et esthĂ©tique.
5. Surface des prothÚses : lisse ou texturée
Surface lisse : Ces implants sont plus mobiles dans la poche mammaire et offrent un résultat esthétique plus fluide, mais peuvent augmenter légÚrement le risque de rotation ou de déplacement.
Surface texturĂ©e : La surface texturĂ©e permet aux tissus environnants de mieux adhĂ©rer Ă lâimplant, ce qui aide Ă rĂ©duire le risque de dĂ©placement et de contracture capsulaire. Cette option est souvent choisie pour les implants anatomiques, qui doivent rester dans une certaine position.
6. Position dâimplantation : sous-musculaire vs sous-glandulaire
Sous-glandulaire (au-dessus du muscle) : Convient aux patientes ayant suffisamment de tissu mammaire pour recouvrir lâimplant. Cette technique permet une rĂ©cupĂ©ration plus rapide et une douleur postopĂ©ratoire moindre. Cependant, chez les patientes minces, le risque de palpabilitĂ© de lâimplant est plus Ă©levĂ©.
Sous-musculaire (sous le muscle pectoral) : Offrant un résultat plus naturel et réduisant le risque de palpabilité et de contracture capsulaire, cette technique est couramment recommandée chez les patientes minces ou pour un aspect esthétique plus doux.
Dual-plane : Cette technique combine le meilleur des deux positions, permettant à l'implant de se positionner sous le muscle dans la partie supérieure du sein et sous le tissu mammaire dans la partie inférieure. Cela améliore le soutien et donne un aspect plus naturel.
7. Consulter un chirurgien qualifié pour un avis expert
Expertise et expérience : Choisir un chirurgien qualifié est essentiel. Il doit non seulement avoir une solide expertise technique mais aussi une bonne capacité à écouter et comprendre vos attentes. Un bon praticien vous conseillera sur les options qui s'adaptent le mieux à votre morphologie et à vos préférences.
Discussion des options : Lors de la consultation, le chirurgien passera en revue les options de prothÚses, y compris leur forme, leur taille, et leur positionnement. Il prendra également en compte des facteurs comme la symétrie et l'équilibre global.
8. Essayer des simulations et modĂšles avant lâintervention
Certaines cliniques disposent de technologies de pointe permettant de réaliser des simulations 3D, ce qui donne à la patiente une idée précise du résultat potentiel. Ces outils permettent de faire des choix éclairés et de se projeter plus facilement dans le résultat final.
9. Considérations pour la sécurité et la durabilité
Longévité des implants : Bien que les implants modernes soient conçus pour durer entre 10 et 20 ans, il est important de faire des suivis réguliers avec le chirurgien pour s'assurer de leur intégrité. Un contrÎle annuel, souvent par échographie ou IRM, est conseillé.
Ruptures et complications : En cas de rupture, les implants en gel de silicone cohésif gardent leur forme, ce qui réduit les risques de fuite. Les implants salins, en revanche, se dégonflent immédiatement et nécessitent un remplacement.
Contracture capsulaire : Câest l'une des complications possibles oĂč le tissu cicatriciel autour de l'implant se contracte, provoquant douleur et dĂ©formation. La surface texturĂ©e et une bonne technique chirurgicale aident Ă minimiser ce risque.
Conclusion : Une décision mûrement réfléchie
Choisir ses prothĂšses mammaires demande rĂ©flexion, patience et lâaccompagnement dâun chirurgien compĂ©tent. Prenez le temps de considĂ©rer tous les aspects techniques, esthĂ©tiques et pratiques pour faire un choix qui correspondra Ă vos attentes et Ă votre bien-ĂȘtre sur le long terme. En prenant en compte ces facteurs, vous pourrez bĂ©nĂ©ficier d'une intervention rĂ©ussie, menĂ©e en toute sĂ©curitĂ©, et d'un rĂ©sultat harmonieux qui vous apporte confiance et satisfaction
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Mon enfant est voûté, est-ce grave ?
De nombreux parents s'inquiÚtent de voir leur enfant adopter une posture voûtée. Mais pas de panique, ce n'est pas toujours le signe d'un problÚme grave !
Pourquoi mon enfant est-il voûté ?
Plusieurs facteurs peuvent expliquer une mauvaise posture chez l'enfant :
La croissance: Pendant la puberté, les os grandissent plus vite que les muscles, ce qui peut entraßner une fatigue musculaire et une posture voûtée.
Le facteur gĂ©nĂ©tique: La gĂ©nĂ©tique joue un rĂŽle important dans la posture. Si les parents ont tendance Ă se voĂ»ter, il est probable que leur enfant adopte la mĂȘme posture.
Le manque d'activité physique: Une sédentarité excessive peut affaiblir les muscles du dos et favoriser une mauvaise posture.
Comment aider mon enfant Ă se redresser ?
Le sport: Les sports d'extension comme le volley, le basket ou le handball sont excellents pour renforcer les muscles du dos et améliorer la posture.
La kinésithérapie: Un kinésithérapeute peut proposer des exercices spécifiques pour renforcer les muscles du dos et apprendre à votre enfant à adopter une bonne posture.
La respiration: Des exercices de respiration peuvent aider à ouvrir la cage thoracique et à améliorer la posture.
La patience: Il faut parfois du temps pour que les résultats se fassent sentir.
Quand s'inquiéter ?
Si la posture de votre enfant ne s'améliore pas malgré ces mesures ou si elle est associée à des douleurs, il est important de consulter un médecin.
En conclusion, une posture voûtée chez l'enfant est souvent bénigne et peut s'améliorer avec le temps et une activité physique adaptée. N'hésitez pas à en parler à votre médecin ou à un professionnel de santé pour obtenir des conseils personnalisés.
Pour aller plus loin
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Ămes heureuses.
Mon amour non, s'il te plaĂźt, pas toi, pas nous. On peut pas finir comme ça. On mĂ©rite mieux que ça tu le sais. Je le sais que tu as mal je le sais que cette vie fait mal mais s'il te plaĂźt arrĂȘte, j'ai mal lĂ aussi. Pourquoi ? Pourquoi tu nous fait ça ? Tu te souviens quand on riait jusqu'Ă s'en tordre le ventre, qu'un geste valait bien plus que milles paroles, quand on fondait l'un en l'autre devant le mur de son, tu t'souviens dit ? Nos promenades impromptus au milieu de rien, tous ces moments Ă la rach, mais j'm'en foutais d'oĂč on pouvait bien aller parce que tant que c'Ă©tait avec toi, ça m'allait. Je te disais "Je t'aime jusqu'aux Ă©toiles" et ce jour lĂ j'ai sans doute signer un pacte avec le diable. A force de le dire, l'univers l'a gravĂ© dans mon coeur, malgrĂ© tout je t'aime encore et je n'aimerais plus comme ça demain, avec toute cette candeur. J'ai voulu rĂ©Ă©crire l'histoire une paire de fois, me dire que c'Ă©tait comme ça que ça pouvait pas fonctionner et que c'Ă©tait tout, mais nous deux ça sonnait comme un duo merveilleux.
Deux petits lutins qui rĂȘvent que d'une chose, faire leur vie dans un jardin et se contentait de leurs propres cĂąlins. Un peu de son, un peu de nature, et beaucoup d'amour Ă partager. Planter une forĂȘt Ă nous deux, parsemer une graine Ă chacun de nos "je t'aime".
PĂ©pĂ© & Titi.. ensemble ça pĂ©tille, ça fait des Ă©tincelles et ça part en lambeaux... D'accord ça doit finir, je voulais que tu sois libre mais tu t'emprisonnes dans ton jeu, tu me mens, tu me trahis, mais tu m'aimes ? Laisse moi encaisser, qu'Ă©tait ce le vrai, qu'Ă©tait ce le faux, c'est plein de nĆuds dans mon cerveau.. Attends pourquoi tu me parles comme ça maintenant? Pourquoi tu veux me faire mal? ArrĂȘte, arrĂȘte ça, nous sabote pas. Tu mĂ©rites l'amour, on mĂ©rite mieux que ça. On mĂ©rite mieux que de finir dans les larmes, la haine, le sang. Pas nous, pas toi.
Ah mais si, c'est rĂ©el.. J'ai plus rien Ă perdre. Il faut que j'me sauve de lĂ , il faut que je me casse. J'ai envie de disparaĂźtre, je me sens m'Ă©teindre, je ne sens plus la faim, je ne sens plus le sommeil, je ne sens que mes os, le vide emplir ma cage thoracique, la douleur dĂ©chirer mon Ăąme. Je vais partir, sauver ma peau. Je m'accroche Ă cette derniĂšre pulsion de vie, je vais me raccrocher Ă mes rĂȘves de petite fille. â„
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BUFFY & DEVON 2000
J'avais l'habitude d'aller voir Giles pour enquĂȘter sur le but principal d'un dĂ©mon et aussi sur la façon de le tuer avant de me mettre Ă la tĂąche. C'Ă©tait diffĂ©rent cette fois, je n'avais qu'une seule certitude. Je devais en terminĂ© avec Devon. Sa mort me serrait au coeur, il avait Ă©tĂ© une personne que j'avais aimĂ©, j'avais su voir du bon en lui et pourtant tout ce que j'avais vĂ©cu avec lui commençait Ă s'effacer de ma mĂ©moire. Je me renfermais comme Ă chaque fois sur moi-mĂȘme en pensant faire ce qui Ă©tait juste de faire. Le corps de Devon disparaissait tranquillement pour rĂ©apparaĂźtre derriĂšre moi quelques secondes plus tard. Mes mains me retenaient de ne pas m'Ă©craser la figure sur le sol. Je sentis un coup de pied contre mon dos. La douleur Ă©tait bien prĂ©sente, mais rien ne pouvait m'arrĂȘter. Avant qu'il ne puisse me frapper encore. Mon corps roulait sur le cĂŽtĂ©, malencontreusement j'heurtais un cadavre sur le sol. Tombant face Ă face avec ce corps froid, ce visage ne portant plus de lumiĂšre, plus de vie. Ce cadavre sans le savoir me donna la force de me relever et de me retourner pour regarder Devon qui me menaçait en quelques sortes.Â
Haussant un sourcil, le dĂ©visageant. Il voulait se battre, il allait en avoir pour ces cinq-cents derniĂšres annĂ©es de meurtres. Il allait regretter de m'avoir menacer ici, aujourd'hui. Je ne le lĂąchais pas du regard. Je savais qu'il Ă©tait puissant, mais rien ni personne n'allait se dresser au travers de mon chemin pour m'empĂȘcher de le massacrer. J'avais envie qu'il souffre autant qu'il avait fait souffert ces pauvres victimes. La tueuse en moi s'emparait de mon esprit. Je ne voyais plus de blanc, plus de gris. Il n'y avait plus de juste milieu. Que de l'obscuritĂ©, du noir. Mon esprit Ă©tait envahie de douleur et de haine. Cette colĂšre en moi devait s'extĂ©rioriser. Fonçant vers le dĂ©mon qu'il Ă©tait et qu'il serait toujours si je n'y mettais pas un terme. Un coup de poing au visage suivit de plusieurs coups de poings directement dans sa cage thoracique lui faisant manquer d'air. Le blessant douloureusement aux poumons. Je n'Ă©tais plus capable de m'arrĂȘter. Je tourne sur moi-mĂȘme lui donnant un coup de pieds dans ses abdominaux qui m'avaient fait pourtant rĂȘver durant plus d'un an. Je saute Ă califourchon sur lui l'entourant de mes jambes autour de son bassin, l'entrainant dans ma chute sur le sol. Nous roulions tous les deux l'un sur l'autre sur l'herbe bordĂ© de tristesse et de cadavres. Une herbe froide et humide comme l'Ă©tait l'ambiance du moment. Un moment amer et rempli de haine.Â
J'avais enfin le dessus sur lui et avant qu'il ne puisse se tĂ©lĂ©porter. Je portais mon index et mon majeur pour faire le contour de son nez et lui crever les yeux pour ne plus qu'il puisse me prendre par surprise en se tĂ©lĂ©portant. Lui crevant les yeux de mes doigts, plus je les enfonçais, plus son cri de douleur Ă©tait puissant. C'Ă©tait tellement dĂ©gueulasse, mais je ne me contrĂŽlais plus. Je n'avais plus aucun sens Ă©thique aprĂšs avoir vu ces quarante cadavres avec le coeur arrachĂ©. Rien n'Ă©tait plus douloureux que cette vision de ma mission qui avait Ă©tĂ© anĂ©anti par Devon. Je me relĂšve, le laissant geindre sur le sol. Il Ă©tait sur le dos avec une main dĂ©poser devant ses yeux crevĂ©s. Il criait et se tordait de douleur. En le regardant se tordre de douleur mon premier rĂ©flex fut d'ĂȘtre triste, mais pas pour lui. Pour moi.
J'Ă©tais triste de tourner cette page, cette rencontre, cette douloureuse rupture et ce que nous avions vĂ©cu. J'avais le sentiment d'avoir Ă©tĂ© trahi, trompĂ© et qu'il avait Ă©tĂ© malhonnĂȘte. Que son amour pour moi n'avait jamais eu lieu d'ĂȘtre. Cette relation n'avait pas Ă©tĂ© franche et rĂ©elle. Pourquoi, pourquoi ça ce passait-il ainsi alors que j'Ă©tais supposĂ© hĂ©ritĂ© de deux magnifiques enfants venant de leur crĂ©ateur, lui. Je ne pensais qu'Ă Aube et Aiden en ce moment. Je les libĂ©rerais sans doute d'un fardeaux, je n'avais pas le choix.  Je ne pouvais pas le laisser partir aprĂšs ce que j'avais vu. Autant de mort, autant de peine, dans une solitude la plus profonde je m'avance vers lui pour ajouter une couche Ă sa douleur. Un coup de pied puissant dans ses bourses. Tellement puissant que j'entendis son scrotum craquĂ© sous la puissance de mon coup. Je me penchais Ă nouveau au dessus de lui fixant son visage qui dĂ©goulinait de sang.
Adieu Devon.
Mes deux mains empoignĂšrent ses cheveux. Je tirais de toute mes forces pour sentir son cou craquer et voir sa peau se fendre petit Ă petit. Le sang commençait Ă gicler dans tous les sens. Sur mes vĂȘtements, mon visage. J'avais les bras et les mains couverts de son sang. J'Ă©tais entrain de lui arracher la tĂȘte, violemment comme un loup qui dĂ©vore une proie. Je n'avais plus aucun scrupule, je ne ressentais rien d'autres que de la douleur. Ses ligaments et ses organes commençaient Ă se dĂ©chirer. Sa tĂȘte Ă©tait Ă prĂ©sent arracher. Il me prit quelques secondes pour rĂ©aliser ce que je venais de faire. Regardant cette tĂȘte dans ma main se vider de son sang. Je regardais autour de moi. Il n'y avait personne. Il Ă©tait tard et c'Ă©tait la nuit. Sa tĂȘte roula jusque dans l'eau de ce petit Ă©tant dans le parc. Le sang continuait de couler par la cavitĂ© de son corps sans tĂȘte.Â
TraumatisĂ©e, rĂ©alisant ce que j'avais fais. Je tombais sur mon postĂ©rieur, me faisant reculer de mes mains par l'arriĂšre. Mes mains et mes jambes bougeaient Ă toute vitesse. Mes fesses frottaient contre le sol. Ă un moment je frappais un mur. Dans tous les sens du terme. Mon dos s'adossait contre le mur de ce bĂątiment et mon esprit frappait un mur solide et douloureux. Je ne parlais plus. J'Ă©tais traumatisĂ©. Je regardais la scĂšne de crime. Je regardais tous les corps Ă©tendus sur le sol comme si jamais je ne pourrais me relever. Jamais je ne serai capable de me relever. Jamais. Les larmes coulĂšrent sur mes joues. Mes yeux Ă©taient rempli d'amertume, de haine, je ne savais plus quel sentiment je devais ressentir. J'Ă©tais figĂ©e, regardant tous ces corps. Le mien Ă©tait couvert de sang, le sang sur mon visage coulait sur mes jeans en mĂȘme temps que les larmes qui le bordait. Je ne savais pas si je pourrais me relever aprĂšs ce combat. Ămotionnellement j'Ă©tais dĂ©truite, anĂ©antie. Et si la police arrivait, s'en Ă©tait terminĂ© pour moi. Je me devais de bouger, il fallait que je me bouge, mais je n'en avais plus la force. Je ne ressentais plus rien. Le vide en moi venait s'emparer de mon corps. Mes yeux Ă©taient fixer sur le parc.Â
Je me rappelais soudainement la conversation que j'avais eu avec Willow. Est-ce que dieu existait réellement ? S'il existait, en ce moment, j'espérais qu'il me fasse un signe. Qu'il vienne me chercher et qu'il m'apporte dans les cieux, car je n'en pouvais plus de cette vie. De cette ville. Je ne supportais plus  de tout perdre considérablement sans rien gagner au bout de mes batailles. Si c'était tout ce que ce monde avait à m'apporter. Je préférerais que l'on m'emporte.
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quand tu souris comme ça jâai envie de sortir mon coeur de ma cage thoracique
je veux lâoublier, ta douceur, la maniĂšre dont tu parles quand tu es fatiguĂ©, ton rire
je veux pas tâoublier toi, juste lâamour que je te porte, mais je sais trĂšs bien que ca nâarrivera pas.
je te lâai dis que je tâaimerais toujours, tu as pris mon coeur sur un petit plat, tu le sais, tu lâas dĂ©chirĂ©, recousu avec un petit fil fragile mais pourtant je te pardonne la douleur et la peur que ca mâa causĂ©.
il y a peu de choses que je pourrais pas te pardonner.
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Iâm carving my heart out of my chest
You are watching me do it, a smile on your face
I know you donât see what it is, for you itâs just a gift
For me itâs my life
Itâs okay if you forget
I never will, i thought i would but i wonât
Itâs okay if i never heal
Itâs okay if i never forget
I wonât ask for anything in return,
Just let me know you again and again
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Os contre peau
Trois ans. Trois ans de craquement, de bassin dĂ©saxĂ©, de nerfs coincĂ©s, de cĂŽtes dĂ©placĂ©es, de ligaments fragilisĂ©s, de tendons dĂ©sarmĂ©s. Trois ans de larmes, dâĂ©puisement, de craquage dans ses bras. Trois ans de fous rires nerveux, dâhumour partagĂ©, de main qui serre la mienne. Trois ans de mĂąchoire luxĂ©e, de bruits inquiĂ©tants, de regards anxieux posĂ©s sur mon corps quand ses mains cherchaient le bon endroit Ă rĂ©parer. Trois ans Ă reculer, avancer, tĂątonner, paniquer. Une cage thoracique craquelĂ©e, des Ă©nergies brisĂ©es, des deuils, des ruptures, des hospitalisations. Tout ça, il lâa entendu, nettoyĂ©, supportĂ©, consolĂ©. Il nâa jamais cillĂ©, nâa jamais jugĂ©, a toujours Ă©coutĂ©. Trois ans.
« Et tu supportes encore mon corps entre tes bras. Faudrait aussi que jâapprenne seule Ă marcher droit ».
Jâai peur de perdre sa main dans la mienne quand je serre les dents lorsque la douleur prend toute la place. Jâai peur de perdre la seule chose qui maintient la noirceur du corps Ă un niveau supportable. Jâai peur de perdre nos rires, peur de perdre la chaleur de ce lieu qui a tout dâun havre de paix. Mais jâai grandi, je ne peux plus me permettre de pousser loin, trĂšs loin, tout ce qui fait du bien dans la peur quâun jour il y est une fin. Jâai eu peur dâavoir imaginĂ© cette lueur dâaffection presque familiale que je vois dans ses yeux quand il me rassure, quand je le fais rire. Aujourdâhui je sais, je crois ĂȘtre sĂ»re, que tout ça nâest pas Ă sens unique. Quâon sâoffre, quâon partage, quâon apprend, tous les deux, quelque chose de toute cette souffrance.
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je me sent si vite que j'ai l'impression d'avoir un troue dans la cage thoracique. Et une seul action m'épuise j'ai envi de dormir mais ne pas me réveiller
sois fier.Ăšre de toi par-ce que malgrĂ© le fait que tu sois Ă©puisĂ©.e, et que tu as l'impression d'avoir un Ă©norme trou en toi, tu ne baisses pas les bras, tu t'accroches comme tu peux et ça, crois-moi, tu peux en ĂȘtre fier.Ăšre - et si tu ne l'es pas, moi je suis fiĂšre de toi
je te donne quelques petites actions à réaliser pour apaiser tes maux :
dessine
regarde le ciel
regarde squeezie sur youtube
appelle un.e ami.e, ou envoie un message
souviens-toi d'un moment heureux et revis-le durant un instant dans ta tĂȘte
regarde une série (genre, grey's anatomy, c'est génial)
complimente une personne proche, ou un.e inconnu.e
essaye de planifier ta journée de demain
félicite-toi pour chaque minute que tu passes sans te faire du mal, et par-ce que tu ne baisses pas les bras malgré la douleur que tu ressens, tu es incroyable
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La pute || Lecteur x John Shelby
Anon a demandĂ©: «11 & 19 avec John boy? car il me manque " (il me manque aussi, mon pauvre cĆur me fait mal [Note de lâauteur])
Résumé:  n.11 & 19 de la liste d'invite: "S'il vous plaßt, s'il vous plaßt, s'il vous plaßt" + "Je brûlerai ce putain d'endroit" Avertissements: jurons, beaucoup d'angoisse, prostitution, nudité , violence, mentions d'abus, mentions de viol, discours misogyne, description graphique des signes de violence physique
Notes de l'auteur @thepeakyfckingblindersâ:
DerriĂšre chacune de ces Ćuvres, il y a des nuits blanches et quelque chose de trĂšs proche de multiples pannes mentales, alors, s'il vous plaĂźt, prenez une minute pour m'envoyer un message Ă ce sujet, j'ai besoin de commentaires rĂ©els pour comprendre comment amĂ©liorer mes compĂ©tences et Ă©voluer âĄ
Donc, cette demande est dans mon esprit depuis des lustres, et mĂȘme si je ne suis pas satisfait de sa derniĂšre partie parce que ça craint, je suis littĂ©ralement obsĂ©dĂ© par cette idĂ©e, je l'aime tellement que j'Ă©crirai probablement une longue fic Ă ce sujet, juste aprĂšs Contagio, mais cela dĂ©pendra de vous les bĂ©bĂ©s, parce que, d'abord et avant tout, j'ai besoin de savoir ce que vous pensez de cette piĂšce. †IMPORTANT
S'il vous plaĂźt , si vous ĂȘtes victime de tout type d'abus, parlez Ă quelqu'un qui peut vous aider, personne ne devrait vivre seul quelque chose comme ça. †IMPORTANT
J'ai Ă©ditĂ© le gif et ajoutĂ© le texte, ce n'est pas une scĂšne rĂ©elle du spectacle, mais j'ai pensĂ© que cela pourrait ĂȘtre une bonne idĂ©e, un petit dĂ©tail qui pourrait ĂȘtre ajoutĂ© Ă mes Ćuvres. Qu'est-ce que tu en penses? Pls, laissez-moi entendre vos opinions babeees  â€
Je suis dĂ©solĂ© d'ĂȘtre si tard , mais j'ai Ă©tĂ© trĂšs occupĂ© ces derniers jours et Ă©crire n'est jamais seulement facile, cela demande de la concentration et des efforts, et je ne veux pas que vous soyez déçu, donc je suis toujours extra prĂ©cis tout en travaillant. J'espĂšre que cela vaut la peine d'attendre!
Si vous souhaitez ĂȘtre ajoutĂ© Ă ma liste de balises, veuillez m'envoyer un message directement
Je suis italienne , l'anglais n'est pas ma langue maternelle, donc je m'excuse pour chaque erreur possible que j'ai commise. Aussi, aidez-moi à améliorer mon écriture en me disant s'il y a quelque chose qui ne va pas.
Tout dâabord je suis dĂ©solĂ©e si la traduction nâest pas super je suis nulle en anglais de plus le jour oĂč jâai fini de la traduire je venais dâavoir un 15/20 puis 8/20 ?
Jâutilise un traducteur pour mâaider, car je suis feignante .
Si vous voyez des fautes dâorthographe nâhĂ©sitez pas !
Les imagines sur John Shelby ne sont pas vraiment ce que je lis mais je suis tombée amoureuse de celle-là .
Bonne lecture !
Birmingham Ă©tait en quelque sorte silencieux cette nuit-lĂ , John remarqua les rues inhabituellement vides autour de lui, alors que son rythme fougueux le conduisait facilement vers une destination bien connue, ses pas confiants retentissant entre les murs humides de ces rues sordides faits d'innombrables appartements surpeuplĂ©s. La puanteur indubitable d'urine stagnante imprĂ©gnait mĂ©chamment ses narines, provoquant bientĂŽt une expression dĂ©goĂ»tĂ©e pour souiller son visage angĂ©lique, tandis qu'il prenait avidement la Ă©niĂšme traĂźnĂ©e de fumĂ©e de son cigare cubain et arrĂȘtait finalement sa marche incessante devant le bordel le plus cĂ©lĂšbre du toute la ville. Depuis environ trois ans, jour aprĂšs jour, sa vie tournait pĂ©rilleusement autour du gouffre: les choses Ă©taient devenues totalement incontrĂŽlables, le destin l'avait impitoyablement plongĂ© dans un profond dĂ©sespoir, donnant vie Ă une spirale apparemment sans fin d'obscuritĂ© et de dĂ©solation, qui Ă©tait en train de ronger graduellement sa fragilitĂ©, de l'Ă©trangler brutalement, de piller tel un rapace chacune de ses respirations vitales dĂ©jĂ tendues. Et, nĂ©anmoins, il Ă©tait plus que difficile de le blĂąmer pour des rĂ©sultats aussi catastrophiques, aprĂšs tout, il avait Ă peine survĂ©cu au champ de bataille, seulement pour se retrouver avec une poignĂ©e de rien, laissĂ© seul pour faire face Ă une femme dĂ©cĂ©dĂ©e et quatre enfants Ă Ă©lever seul, tandis que ses tripes rampaient de douleur atroce et d'acrimonie vorace pour le monde entier, lui faisant dĂ©velopper une tendance Ă l'autodestruction qui Ă©tait tout aussi prĂ©occupante que bien cachĂ©e. En fait, malgrĂ© son enfer privĂ©, il restait toujours un Shelby, et un Shelby n'Ă©tait pas censĂ© ĂȘtre doux, ni faible, aucun d'entre eux ne pouvait se permettre de succomber Ă leur affliction, jamais, pas un instant . Ils devaient ĂȘtre invulnĂ©rables.
Ou, au moins, ils devaient paraĂźtre invulnĂ©rables, car la vĂ©ritĂ© Ă©tait que John avait peur, complĂštement effrayĂ© par tous ces changements impitoyables. Au fond de lui, il se sentait comme un enfant dĂ©sespĂ©rĂ© et sans dĂ©fense, abandonnĂ© par Dieu et rejetĂ© pour errer dans ce monde sinistre sans autre destination que la mort et la misĂšre, ainsi son sang bouillait de virulence et de venin, son cĆur se serrant de colĂšre aveugle et son jeune Ăąme dĂ©vastĂ©e dĂ©sespĂ©rĂ©ment longue pour toute sorte de distorsion d'affection non attachĂ©e. C'Ă©tait essentiellement la raison principale pour laquelle son lit Ă©tait incessamment chaud, ou plus prĂ©cisĂ©ment, plus chaud qu'il ne l'avait toujours Ă©tĂ© auparavant, car, inutile de le dire, John Shelby Ă©tait un coureur de jupon. Sa beautĂ© Ă©tonnante Ă©tait constamment sur les lĂšvres de tout le monde Ă Birmingham, il n'y avait pas une seule femme dans toute la ville qui n'avait pas rĂȘvĂ© de coucher avec lui au moins une fois dans sa vie. Par consĂ©quent, John Ă©tait plus qu'heureux de leur plaire Ă tous, littĂ©ralement, de les accueillir Ă bras ouverts, mĂȘme pendant son mariage passĂ©; et, en ces rares occasions oĂč aucune fille n'allait frapper Ă sa porte, il s'Ă©tait maintenant habituĂ© Ă chercher du secours dans les maisons closes, plutĂŽt que de dormir seul et de devenir une proie facile pour ses dĂ©mons fĂ©roces.
Il a donc fini par laisser tomber son cigare fumant sur l'asphalte inégal de l'endroit le plus délabré de Small Heath, "Le Belle Donne", une maison de tolérance italienne, assez délabré et sur le point de tomber en morceaux, mais qui s'est souvent avéré avoir ses prostituées préférées. En effet, depuis que les Peaky Blinders avaient vaincu et soumis le clan de Sabini, ils avaient occupé une position de premier plan dans le pays, au point que plusieurs autres gangs italiens sur leur territoire, y compris les Changretta qui possédaient ce bordel en particulier, avaient finalement donné aux Shelby. En conséquence directe, pour le dire simplement, John et tous ses frÚres avaient, dans un sens trÚs réel, gagné le plein droit d'abuser de toutes les affaires que les wops détenaient.
"HĂ©, gars !" Johnny aboya avec rĂ©sonance en entrant dans le hall, maintenant une attitude assez intimidante et un regard menaçant exprĂšs, pour faire encore plus peur Ă son nouveau larbin. "Allez, montre-moi ce que tu as" Cet ordre rude glissa sournoisement sur sa lĂšvre infĂ©rieure, immĂ©diatement suivi par sa langue brĂ»lante, tandis que son regard affamĂ© parcourait la piĂšce, examinant le visage de chaque prostituĂ©e qui se tenait lĂ avec une attention mĂ©ticuleuse, sans cependant, trouver quelque chose qui pourrait le satisfaire. Robert Turrini, le proxĂ©nĂšte, Ă©tait un gars bizarre, car son apparence physique pouvait probablement ĂȘtre dĂ©crite comme Ă la fois dĂ©rangeante et amusante: son estomac corpulent et rĂ©voltant vacillait et ses jambes courtes trĂ©buchaient dangereusement, quand il se hĂątait de se lever et d'accueillir son client le plus dur. "Monsieur. Shelby, quel honneur et quel plaisir de vous revoir! » Ces mots de lĂšche botte ont fui de sa bouche pĂąteuse et malodorante, et nĂ©anmoins, ses doigts tronquĂ©s trahissaient inexorablement ses vraies pensĂ©es, car ils se torturaient nerveusement les uns les autres ou, comme seule alternative, couraient convulsivement Ă travers sa frange grasse et miteuse. "S'il vous plaĂźt, monsieur, suivez-moi, ce sont pour les pĂ©quenaud et les alcoolos, rien Ă voir avec des messieurs comme vous" Une fois de plus, le ton aigu et torride de Turrini rĂąpait sans relĂąche dans ses oreilles, faisant clairement rĂ©fĂ©rence au groupe de putains de second ordre qui pouvaient ĂȘtre trouvĂ©es Ă l'entrĂ©e; ainsi le proxĂ©nĂšte boiteux se dĂ©plaça rapidement, sa main faisant signe avec impatience Ă John de marcher sur ses talons, puis se dirigea vers un couloir Ă©trangement Ă©troit, si maigre qu'il Ă©tait presque impossible de traverser, sinon de marcher en biais. Le salon secret n'Ă©tait Ă©clairĂ© qu'en partie par une lumiĂšre rouge sordide crĂ©ant une atmosphĂšre horrible, un silence terne rĂ©gnait tyranniquement dans ce petit espace, bien que tu n'Ă©tais pas seul, mais pratiquement collĂ© Ă une autre fille; tous deux assises sur un canapĂ© minuscule, vos coudes se touchant, toujours, aucunes d'entre vous n'a osĂ© Ă©mettre un seul son. Tout ressemblait Ă du plomb sur ta cage thoracique en papier mĂąchĂ©, cette horrible sensation forçant ton cerveau traumatisĂ© Ă continuer involontairement de compter les secondes jusqu'Ă ce que ce fardeau haineux se soit potentiellement enfoncĂ© dans ton sternum, annihilant dĂ©finitivement ton cĆur Ă©clatĂ©. En consĂ©quence, lorsque la porte dĂ©labrĂ©e s'est ouverte et qu'un grincement aigu a grattĂ© votre peau, tu pensais vraiment ĂȘtre sur le point de mourir. Ton tortionnaire a fait son entrĂ©e, et juste aprĂšs lui, un autre homme est entrĂ©, mais tu ne pouvais pas voir son visage, car le sommet de sa casquette projetait intentionnellement une ombre mystĂ©rieuse dessus. "Ces deux lĂ , sont vraiment jeunes, trĂšs douce" Robert exhiba ses biens avec un sourire nĂ©faste, frottant ses pattes souillĂ©es avec une aviditĂ© Ă©vidente. «Voici la plus belle offre de chair et d'os sur le marché» Un ricanement sadique accompagna avec rĂ©pugnance son discours, provoquant instantanĂ©ment un froncement de sourcils chez John, visiblement mĂ©content de la façon dont l'homme parlait dĂ©libĂ©rĂ©ment des ĂȘtres humains. Heureusement, c'Ă©tait un fait connu que le milieu Shelby avait l'habitude de traiter ses femmes avec tout le respect dĂ»: qu'il les paye ou non, il s'assurait toujours qu'elles Ă©taient Ă l'aise avec lui et ne rechignait jamais Ă leur donner du bon temps Ă©galement; par consĂ©quent, un regard vexĂ© a Ă©tĂ© tirĂ© dans la direction de son interlocuteur grossier, avant que ses yeux cristallins ne flottent briĂšvement autour de la place, puis se heurtent presque instantanĂ©ment Ă votre Ă©lĂ©gante silhouette.
Ta circulation sanguine semblait sur le point de ralentir tandis que le regard confiant de l'Ă©tranger empĂȘchait le tiens, ses traits bruts Ă©tant maintenant pleinement affichĂ©s, car il avait lĂ©gĂšrement levĂ© le menton pour te regarder correctement, et toi seulement, malgrĂ© les tentatives dĂ©sespĂ©rĂ©es et pĂ©tulantes de Clarissa pour attirer son attention avec des sourires malveillants et des noms d'animaux ridicules. MĂȘme si ton esprit hĂ©bĂ©tĂ© venait d'ĂȘtre brutalement brutalisĂ© par l'assaut soudain et embrasĂ© de ses iris glaciaires, quelques instants ont suffi pour que tu rĂ©alises Ă quel point il Ă©tait profondĂ©ment diffĂ©rent de tous les rats bas qui traversaient habituellement cet horrible endroit.
Chaque trait pointu et toujours dĂ©licat de son visage dĂ©bordait d'une dĂ©licieuse jeunesse, un Ćil moins vif aurait peut-ĂȘtre mĂȘme confondu sa fraĂźcheur avec une rĂ©elle naĂŻvetĂ©, mais pas le tien; tu Ă©tais bien trop maline pour commettre une erreur aussi grossiĂšre. En outre, le tissu chic bleu nuit du costume chic, pliant remarquablement son corps majestueux, laissait planer un doute sur le fait qu'il Ă©tait, selon toute vraisemblance, un homme considĂ©rablement riche, ce qui Ă©tait au-delĂ de te dĂ©sorienter, car le prix Ă payer pour un dĂ©lice sordide dans ce bordel Ă©tait outrageusement dĂ©risoire, c'est le moins qu'on puisse dire.
Et finalement, autant qu'il tâait tuĂ© pour le concevoir, il Ă©tait sans aucun doute l'un des hommes les plus enchanteurs que tu ait jamais vus, au point que tu tâes retrouvĂ© inconsciemment Ă te dem!ander la raison possible pour laquelle une crĂ©ature cĂ©leste de son genre aurait besoin d'acheter une misĂ©rable heure d'amour dissimulĂ©.
"Elle, lĂ -bas" Ce murmure mallĂ©able, rempli de nostalgie et de gratification, se glissa furtivement dans la bouche de John, alors que son sourire se leva vers le haut de maniĂšre sĂ©duisante et son regard persĂ©vĂ©rait dans son engagement louable Ă prolonger scrupuleusement votre plus belle forme dans une pure adoration. Dentelle et organdi fusionnĂ©s sublimement sur le dĂ©shabillĂ© cramoisi lĂ©ger que tu portais, ta forme immaculĂ©e est apparue comme un paradoxe sĂ©duisant dans ses pupilles dilatĂ©es, avec tes longues jambes laissĂ©es luxueusement exposĂ©es, tandis que chaque pouce de votre peau de porcelaine, de votre cou maigre Ă votre aine , ont Ă©tĂ© minutieusement dĂ©guisĂ© par ce matĂ©riau impie, sombre et impĂ©nĂ©trable, bien que suffisamment mince pour lui permettre d'apercevoir votre poitrine. Son souffle frissonna de crainte quand il se retourna pour contempler les traits aphrodisiaques de ton visage, ses joues rouges et ses lĂšvres charnues lui faisant mal de dĂ©sir, puis tes yeux de biche inondĂ©s de mĂ©lancolie, Ă©tranglant son Ăąme sans pitiĂ©, enracinant dans son cerveau la conviction perfide qu'Ă la fin de la journĂ©e, il aurait volontiers dilapidĂ© sa fortune, ne serait-ce que pour te vĂ©nĂ©rer de loin. "HĂ©, chĂ©ri!" Sa voix basse a finalement grondĂ© dans les murs de ce petit espace, vibrant massivement dans ton abdomen, tandis que tu te forçait Ă avaler la masse douloureuse obstruant ta gorge et Ă te lever, rĂ©pondant rapidement Ă son ordre, consciente que commencer Ă se rebeller contre ta pitoyable destinĂ©e n'aurait servi Ă rien. En tenant la main de ton client derriĂšre ton dos, mais en gardant la tĂȘte baissĂ©e pendant tout le trajet, tu lâas guidĂ© silencieusement dans l'escalier en colimaçon jusqu'Ă la meilleure piĂšce de la maison, comme te lâavez prĂ©cĂ©demment informĂ© le proxĂ©nĂšte. Sa veste et son chapeau ont Ă©tĂ© rapidement accrochĂ©s au porte-manteau, laissant son haut musclĂ© recouvert uniquement de sa chemise blanche et de son gilet bleu, un sourire sĂ©duisant a Ă©tĂ© projetĂ© dans ta direction et tu as dĂ©tectĂ© une Ă©tincelle libidineuse dans ses iris, alors qu'il rĂ©duisait lâespace entre vous Ă un rythme lent. "Comment dois-je t'appeler, ma chĂ©rie?" Il a sciemment utilisĂ© le mĂȘme surnom flatteur une fois de plus, en murmurant cette question Ă peine audible dans ton oreille, car il Ă©tait maintenant derriĂšre toi: ses grandes mains posĂ©es autour de ta taille, faisant doucement sâemboiter ton dos et sa poitrine, tandis que sa bouche qualifiĂ©e brossĂ© immĂ©diatement contre ta nuque, dessinant une traĂźnĂ©e ardente de picots Ă©phĂ©mĂšres jusqu'Ă ta mĂąchoire. "Seulement y / n" Tu halĂštes en rĂ©ponse, le contraste marquĂ© entre sa chaleur et ton corps froid amer, ainsi que la peur paralysante qui te manges vivante, a fait que ton estomac brouillĂ© se tortille et que tes paupiĂšres se ferment douloureusement en un froncement de sourcils. "Eh bien, c'est un assez beau nom, je suis John, au fait" Un joli rire, pourtant sous-entendu, emplit furtivement tes oreilles avec ce petit compliment; il n'y avait aucune trace de moquerie dans son ton, cependant, cela sonnait simplement comme s'il voulait ĂȘtre gentil avec toi, sans aucune aspiration Ă un gain personnel, et tu rougirais presque, pris au dĂ©pourvu et plus habituĂ© Ă aucune forme de gentillesse. NĂ©anmoins, c'Ă©tait une question d'instants avant qu'un autre long baiser mouillĂ© ne soit pressĂ© sur ta mĂąchoire, te faisant sursauter avec une apprĂ©hension Ă©vidente et, plus tard, dĂ©finitivement s'Ă©loignant de lui, dĂšs que tu sentais son toucher abandonner tes hanches seulement pour grimper sur tes cĂŽtĂ©s, jusqu'Ă ce qu'il atteigne le col de ta chemise de nuit et que ses doigts commencent Ă jouer avec ses boutons ronds.
"Non, je vais le faire!" Tu as briĂšvement averti, alors que tu perdais temporairement le contrĂŽle de ton discours et de tes actions, en plaçant tes mains au-dessus des siennes pour les hausser, puis en te tournant pour lui faire face avec un souffle court, tes paumes ouvertes te protĂ©geant. «Je mâen occupe» Une voix sensiblement plus douce a supplantĂ© ta grossiĂšretĂ© prĂ©cĂ©dente une fois que tu as progressivement mĂ©tabolisĂ© les dĂ©gĂąts que ta rĂ©action imprudente aurait pu causer.
"Ok,ok, chérie, comme tu veux" Mais John se contenta de glousser, se moquant de toi tendrement, tandis que ses avant-bras se levaient en plaisantant en se soumettant à tes ordres, bien que, à vrai dire, ton comportement étrange l'avait laissé un peu perplexe, bien-presque confus. Reculant prudemment vers l'arriÚre, il se mit confortablement à l'aise sur le bord du lit double, assis juste devant toi avec les jambes écartées, son regard ardent ne se déviant jamais de toi, et commença à déboutonner son gilet avec sa chemise et son maillot de corps, jusqu'à ce que son torse sculptural soit complÚtement nu, dans toute sa splendeur, alors que la lune filtrait à travers les rideaux et diffusait ses faibles rayons sur tous ses contours, améliorant superbement tous ses muscles.
Sans sursis, il te lorgna dans une pure adoration, Ă©tonnĂ© de nouveau de maniĂšre dĂ©vastatrice par ta beautĂ© Ă©blouissante, dĂ©sireux de sentir ta chair en feu autour de la sienne, accrochĂ© littĂ©ralement Ă chaque mot ou Ă ton mouvement, tandis qu'un sourire provocateur ondulait rĂ©guliĂšrement sur ses lĂšvres. Pourtant, il ne cessait de se demander pourquoi une vision angĂ©lique comme toi disparaissait lentement dans cet enfer authentique sur le cĆur, dilapidant catĂ©goriquement ton rougissement de la jeunesse au milieu de cette cohue de putriditĂ© effrĂ©nĂ©e. Cela n'avait absolument aucun sens, et il ne pouvait pas se dĂ©barrasser de cette pensĂ©e pernicieuse qui hantait son esprit depuis qu'il tâavait vu pour la premiĂšre fois: tu avais l'air nerveuse, extrĂȘmement dĂ©fensif, presque paralysĂ© par la peur; tu semblais si diffĂ©rente de toutes les putes qu'il avait eues auparavant, d'oĂč son instinct, si obscurci par la cupiditĂ©, criait que quelque chose n'allait pas. Et quand il te regardait lui tourner le dos Ă nouveau, afin d'Ă©viter son regard pĂ©nĂ©trant alors que tu te dĂ©shabillais Ă contrecĆur, il lui suffisait de comprendre que son exĂ©crable intuition avait raison. NĂ©anmoins, au moment oĂč sa tĂȘte a rĂ©ussi Ă se reconnecter Ă sa bouche, il Ă©tait dĂ©jĂ trop tard, le textile doux de ta chemise de nuit est tombĂ© inĂ©luctablement sur tes pieds, te laissant nu sous ses yeux affamĂ©s.
John s'Ă©touffa de son propre souffle; pour la premiĂšre fois, il se sentait comme un gamin lors de sa premiĂšre expĂ©rience, peu importe si rien ne peut ĂȘtre plus Ă©loignĂ© de la vĂ©ritĂ©, d'une maniĂšre trouble et Ă©nigmatique, tu pouvais le rendre vulnĂ©rable. Sa gorge est devenue incroyablement sĂšche pendant qu'il continuait de te fixer avec crainte, les courbes sinueuses de tes fesses sans faille, la ligne sinueuse de ton dos superbement arquĂ© couvert en partie par tes cheveux doux, tes Ă©paules tendues et tes jambes raffinĂ©es, tout ce qui te concerne, son esprit devint entiĂšrement noir, les mots sâĂ©touffant dans sa gorge. Pourtant, dĂšs que tu tâes dĂ©placĂ© pour lui faire face et que sa vue a Ă©tĂ© bĂ©nie par la vue complĂšte de ta silhouette voluptueuse, quelque chose a altĂ©rĂ© la lumiĂšre dans ses yeux bleus, les rendant soudainement sombre et sinistre. Sa mĂąchoire tomba lĂ©gĂšrement sous le poids de cette consternation violente: en conjonction, un sentiment odieux de nausĂ©e cruellement tirĂ© dans le ventre et la colĂšre aveugle l'assaillit virulemment, car ton buste Ă©tait complĂštement martyrisĂ©.
"Que se passe-t-ilâŠ" Ce babillage non voulu mourut dans l'air glacĂ©, ses orbes choquĂ©s dĂ©limitant les traits de ta silhouette endommagĂ©e: ton cou et ta clavicule Ă©taient horriblement enduits de plusieurs empreintes violettes, comme si quelqu'un tâavais Ă©tranglĂ©e sans pitiĂ© encore et encore, des ecchymoses bleus verdĂątres avec la forme de paumes pleines encerclĂ© vos deux bras, il y avait des signes visibles de ligature autour de tes minuscules poignets. Pire encore, ses paupiĂšres ont dĂ» se concentre un peu pour mettre en Ă©vidence les multiples points de sang de bĆuf stigmatisant vos seins mous, jusqu'Ă ce qu'il remarque avec horreur comment ces taches rondes Ă©taient effectivement des brĂ»lures de cigarettes; tout l'oxygĂšne s'est brutalement retirĂ© de ses poumons, quand il s'est attardĂ© sur les multiples marques bleues et noires profanant barbare les protubĂ©rances de vos cĂŽtes. Mais ce qui lâa irrĂ©mĂ©diablement mis hors de lui, Ă©taient les deux horribles cicatrices creuser des sillons Ă©tirĂ©s dans le bas de lâestomac, parallĂšlement Ă vos os pelviens gonflĂ©s et presque jusquâĂ votre aine livide.
En proie Ă cette humiliation nocive, tu as observĂ© un dĂ©goĂ»t brut contaminer ses traits et, sans raison apparente, la haine dormante que tu avais pour toi-mĂȘme a commencĂ© Ă fermenter Ă l'intĂ©rieur de ton ventre. "Je-je suis dĂ©solĂ©e" Tu tâes forcĂ© Ă avaler tes larmes imminentes, de maniĂšre inattendue, la conscience de ne pas pouvoir lui plaire a en quelque sorte infligĂ© plus de souffrance Ă ton Ăąme mutilĂ©e "Si je ne suis pas Ă ton goĂ»t, tu peux ⊠» Le jeune homme se leva rapidement et, avant que tu ait eu la chance de terminer ta phrase absurde, il attrapa facilement sa chemise, s'approchant de toi avec diligence, ses iris froides brĂ»lantes avec un mĂ©lange invraisemblable de fureur et d'inquiĂ©tude. "J'en ai rien Ă foutre !" Sa voix Ă©tait instable, roulant le long de sa langue dans un halĂštement fatiguĂ©, alors que ses mains s'empressaient d'enrouler sa chemise autour de tes Ă©paules, ses doigts tremblants luttant pour passer les boutons dans les Ćillets "Qui tâas fait ça?" En vĂ©ritĂ©, il parlait Ă lui-mĂȘme plutĂŽt qu'Ă toi, une impatience perceptible aggravant son ton fou, mais tu Ă©tais toujours Ă©loignĂ© de son regard curieux, plus que dĂ©terminĂ© Ă garder la bouche fermĂ©e, dans la mesure oĂč ta tĂȘte Ă©tourdie tournait dĂ©jĂ impuissante, et ton cĆur martelait furieusement contre ta cage thoracique douloureuse. Tu avais du mal Ă comprendre ce qui se passait, tout autour de toi Ă©tait si confus, tu ne savais mĂȘme pas si tu pouvais lui faire confiance ou pas, tu voulais seulement fermer les yeux et oublier ce cauchemar Ă©veillĂ©. « Je ne te le demande pas, bon sang! Dites-moi qui câĂ©tait! »
Cet ordre brĂ»lant vous a ramenĂ© Ă la rĂ©alitĂ© et a Ă©clairci combien facilement son caractĂšre impĂ©tueux pourrait refaire surface; en effet, tout d'un coup, aucune trace n'a Ă©tĂ© laissĂ©e de ce garçon aimable et gai qui, plus tĂŽt dans la soirĂ©e, avait rĂ©ussi Ă te faire vĂ©ritablement rougir, au contraire, quand il vous a pris les joues et vous a secouĂ© avec vĂ©hĂ©mence, dans un effort dĂ©sespĂ©rĂ© pour obtenir ton attention, son commandement rude et autoritaire tâas frappĂ© sans relĂąche, et le doux enfant en lui a fini par ĂȘtre complĂštement Ă©touffĂ© par le gangster effrayant et impitoyable qu'il Ă©tait vraiment.
Ce contact imprĂ©vu a fait que tes pieds ont automatiquement basculĂ© en arriĂšre, tes yeux sont tombĂ©s sur la pointe de tes pieds et tes dents ont commencĂ© Ă mordiller ta lĂšvre infĂ©rieure, tandis que ton cerveau Ă©puisĂ© a recouru Ă sa derniĂšre once de force, tâobligeant ainsi Ă cracher un peu de ton chagrin. «Il y a trois mois, l'homme que j'ai appelĂ© pĂšre m'a vendu pour rĂ©gler une de ses dettes avec les Italiens» Ton thorax a semblĂ© rĂ©trĂ©cir, une fois que tu as pris conscience que c'Ă©tait essentiellement la premiĂšre fois que tu te permettais de le dire en entier Ă haute voix. Cependant, la prĂ©sence de cet Ă©tranger compatissant reprĂ©sentait toujours pour toi une barriĂšre importante Ă surmonter, conduisant ton regard inquiet Ă passer frĂ©nĂ©tiquement de la crasse sur le sol, Ă la fenĂȘtre cassĂ©e sur ta gauche, n'importe oĂč, mais n'osant jamais rencontrer son regard. "J'ai essayĂ© de m'enfuir, je le jure, mais ils m'ont toujours rattrapĂ© et-"
Un gros nĆud a calleusement bouchĂ© le bas de ton palais, te faisant hĂ©siter pendant une minute, en te frottant doucement les bras, pour essayer de te rĂ©conforter. "Robert est sang chaud, il devient assez brutal quand tu ne coopĂšres pas" Ces considĂ©rations dĂ©senchantĂ©es portaient un sourire involontaire, ce n'Ă©tait rien de plus qu'un spasme, mais cachait le signe indubitable de larme imminent, aux iris attentifs de John. Il ne l'a certainement pas laissĂ© passer inaperçu, mais il a choisi de garder le silence, car la derniĂšre chose qu'il aurait voulu Ă ce moment crucial Ă©tait de te faire encore plus peur.
«Il m'a battu Ă mort, Ă chaque fois plus fort que la fois prĂ©cĂ©dente, puis il a laissĂ© ses hommes⊠Il m'a gardĂ© attachĂ© Ă ce lit pendant des jours pour me donner une leçon» Des larmes abondantes coulaient maintenant sans relĂąche sur ton visage rougi, ton cĆur endolori par une affliction crue, tâempĂȘchant de respirer correctement, une de tes paumes alla instinctivement couvrir l'espace entre tes seins, dans un vain tourbillon pour apaiser ce chagrin atroce. "Oh mon Dieu" John soupira simplement, il Ă©tait Ă©galement instable au bord des larmes, des veines Ă©paisses pompĂ©es de maniĂšre indomptĂ©e Ă proximitĂ© de ses tempes, jusqu'Ă ce que sa forme solide se ruine sur le cĂŽtĂ© le plus long du lit, ses coudes perçant ses propres cuisses, alors qu'il se cacha derriĂšre ses poings serrĂ©s et se permit finalement de se livrer Ă quelques sanglots Ă©touffĂ©s. D'innombrables atrocitĂ©s avaient obscurci ses yeux et son Ăąme au cours de sa brĂšve vie, lui-mĂȘme Ă©tait capable d'actes de cruautĂ© indicibles, tout de mĂȘme, c'Ă©tait absolument intolĂ©rable, entendre ton histoire lui pesait terriblement. Quoi qu'il en soit, il ne pouvait pas imaginer comment quelqu'un aurait pu ĂȘtre si dĂ©sespĂ©rĂ©ment diabolique, pour abuser d'une maniĂšre aussi haineuse une crĂ©ature sans dĂ©fense aussi pure que toi. Cette pensĂ©e le dĂ©rangeait irrĂ©mĂ©diablement, Ă©rodant ses entrailles avec rancune, le privant presque de sa raison.
"JusquâĂ ...jusqu'Ă ce que j'arrĂȘte de les combattre" Ton dernier chuchotement angoissĂ© frappa le coup fatal, il plongea sans relĂąche dans sa poitrine, envoyant une insupportable secousse de douleur Ă travers ses veines empoisonnĂ©es. Pendant un bref instant, son expression, ainsi que la tienne, se transforma durement en un masque fait de dĂ©sespoir net, comme si vous souffriez tous les deux exactement la mĂȘme douleur, au mĂȘme moment.
"Je vais le tuer putain!" Puis, tout à coup, quelque chose en lui explosa violemment, il se leva avec fureur, trébuchant brutalement sur la table à cÎté et tout ce qui y était placé. "Putain, je vais tuer ce sale salaud de mes deux mains, enfer sanglant!" Ses hurlements rauques et ses pas furieux couvraient toute la longueur de la piÚce en l'espace d'une minute à peine; il bouillonnait littéralement de crises de rage meurtriÚres.
"Non!" Ta voix dĂ©sespĂ©rĂ©e a Ă©clatĂ© Ă nouveau et tu tâes dĂ©pĂȘchĂ© de l'atteindre, vos mains enveloppant inconsciemment ses pommettes " S'il te plaĂźt, s'il te plaĂźt, John, s'il te plaĂźt , arrĂȘtes!" Pour la premiĂšre fois, son nom a glissĂ© de votre gorge douloureuse entre ces plaidoyers pathĂ©tiques, tes mains l'ont forcĂ© Ă vous regarder, pour tenter de le dissuader de ses intentions homicides; la simple pensĂ©e des consĂ©quences potentiellement dĂ©sastreuses de sa colĂšre calamiteuse tâas totalement asphyxiĂ©, une panique rampante a assailli ton esprit fragile et, peu de temps aprĂšs, tu tâes retrouvĂ© Ă hyperventiler et en mĂȘme temps dĂ©chaĂźnĂ© un tas de mots incohĂ©rents, tes doigts resserrant progressivement leur emprise sur lui. "Il va se mettre tellement en colĂšre contre moi, il va-il-il est ..." "Je suis un putain de Shelby, il ne prend pas un putain de souffle Ă moins que je le dise" Il attrapa fermement ton menton avec seulement deux de ses doigts, guidant tes pupilles Ă©puisĂ©es pour se concentrer entiĂšrement sur son regard confiant, et il grogna ce fait incontestable Ă une distance de ton nez. PĂ©trifiĂ© par cette nouvelle prise de conscience, tu es devenue complĂštement silencieuse, ne faisant que regarder dans sa direction, pendant qu'il remettait son maillot de corps avec facilitĂ© et saisit rapidement sa casquette. «Reste ici, tu m'entends? Ne bouge pas jusqu'Ă ce que je revienne. » Un baiser incandescent a Ă©tĂ© impulsivement appuyĂ© sur ton front, aucun autre mot n'a Ă©tĂ© dĂ©pensĂ©, avant qu'il ne disparaisse derriĂšre la porte de ton enfer privĂ©. Lorsque ton persĂ©cuteur a vu son invitĂ© spĂ©cial se prĂ©cipiter sans relĂąche vers son bureau avec une expression truculente exsudant une fervente dĂ©ception, il a sautĂ© sur ses pieds, prĂȘt Ă trouver une solution Ă tout problĂšme qui aurait pu survenir; une chose Ă©tait sĂ»re, il n'aurait jamais devinĂ© ce qui allait se passer. "Monsieur Shelby, que ce passe tâil ? » Le poing de John entra sauvagement dans sa mĂąchoire, Ă©touffant son discours Ă©cĆurant dans l'Ćuf, sans donner Ă Turrini une seconde pour traiter ce qui se passait, un autre coup de poing le frappa sans pitiĂ©, puis un autre, puis un autre, jusqu'Ă ce que du sang chaud et abondant jaillit de ses multiples blessures. "Toi fils de pute"  Des gĂ©missements animaliers quittĂšrent ses gueules enragĂ©es, une haine pure se prĂ©cipitant dans son cerveau, alors qu'il le jetait violemment au sol, commençant immĂ©diatement Ă lui donner des coups de pied avec toute sa force brute. "PitiĂ©! Je vous en prie, monsieur, ayez pitiĂ©! » Les priĂšres et les cris dĂ©chirants de sa victime titillaient Ă peine ses oreilles, tout ce Ă quoi il pouvait penser Ă©tait votre corps tragiquement gĂąchĂ©, d'oĂč un dĂ©sir effrĂ©nĂ© de lui donner un avant-goĂ»t de ses propres soins. "OĂč Ă©tait ta misĂ©ricorde quand tu la torturais?" Tenant savamment son chapeau de la maniĂšre la plus efficace, dans une fureur, John descendit sur son agneau sacrificiel, dĂ©figurant rapidement un seul cĂŽtĂ© de son visage, afin de prendre une scĂšne assez thĂ©Ăątrale. pause de son travail mĂ©chant.
"Quand elle t'implorait d'arrĂȘter?" Robert pleurait maintenant Ă haute voix, submergĂ© par cette agonie impitoyable, rĂ©duit Ă juste invoquer la mort, puisque rien dans toute sa misĂ©rable existence ne lui avait jamais causĂ© une douleur plus intense que le perception grossiĂšre d'une lame de rasoir finement aiguisĂ©e lacĂ©rant brutalement sa chair, pouce par pouce.
"Maintenant, plies l'oreille Ă cela" malgrĂ© ses lamentations dĂ©chirantes, John le soulĂšve brutalement en saisissant le col tachĂ© de sang de sa veste "si quelqu'un d'autre que moi s'approche de sa putain de chambre, je brĂ»lerai ce putain d'endroit!" » Et avec cette premiĂšre menace mortelle, la tĂȘte du proxĂ©nĂšte a Ă©tĂ© brutalement cognĂ©e contre le mur, un Ă©niĂšme gĂ©missement de contrition s'Ă©chappant de sa bouche remplie de sang, nĂ©anmoins, il ne restait plus de temps pour la rĂ©demption.
"Tu lui poses la main dessus" son crĂąne a Ă©tĂ© percutĂ© avec obstination dans les briques une fois de plus, une Ă©claboussure cramoisie a enduit le plĂątre pĂąle qui les couvre "Je te brise le cou" Les jointures de John se sont jointes, sa main droite rouge renforçant efficacement sa prise sur son cou, le tuant presque sur place. Cependant, heureusement pour le proxĂ©nĂšte, Johnny n'aurait pas mis fin Ă ses souffrances, ni ne pourrait simplement tâemmener, au fond de lui, il savait qu'il devait en discuter avec sa famille, avant tout, avec Thomas, car l'Ă©quilibre instable atteint par le Peaky Blinder Ă©tait bien trop fragile pour dĂ©clencher une nouvelle guerre contre les Italiens. Ainsi, avec beaucoup de difficultĂ©, il se força Ă garder son esprit clair et Ă mettre un couvercle sur son instinct bestial. "A partir de maintenant, aucun de vous, sales porcs, n'avait le droit de la regarder". Le jetant au sol, le milieu Shelby a donnĂ© un dernier coup de pied directement Ă son gros ventre, et a crachĂ© sans respect sur lui, marquant avec son esclavagiste le fin du calvaire de sa proie brutalisĂ©e. «Sur l'ordre des Peaky Blinders»  DĂšs que la porte crĂ©pitante s'est ouverte, ton cĆur a semblĂ© exploser, tes paupiĂšres se sont fermĂ©es de peur pure, tandis que tu as rapprochĂ© tes genoux de tes clavicules, une priĂšre ancienne qui traĂźnait sur tes lĂšvres avec de fortes respirations , alors que tu te prĂ©parer au pire. Mais le pire n'est jamais venu. «O / n, hĂ©, calme-toi. C'est bon" La voix rauque de John rĂ©sonna dans tes oreilles et, tu aurais pu le jurer, c'Ă©tait, sans aucun doute, le plus beau son que tu as jamais entendu. Ta tĂȘte se pencha brusquement dans sa direction, un mĂ©lange intense de peur et d'espoir scintillant dans tes iris larmoyantes, un sentiment profond secouant toujours ton petit moi. "C'est moi, c'est juste moi" Gardant les bras levĂ©s pour indiquer son intention inoffensive, il s'approcha prudemment de toi. Presque immĂ©diatement, tu as remarquĂ© les nombreuses empreintes de main Ă©carlates tachant son haut pĂąle, signe Ă©loquent qu'il avait essayĂ© d'essuyer ses paumes sur ce matĂ©riau ivoire du mieux qu'il pouvait. Pourtant, tu Ă©tais si profondĂ©ment soulagĂ© de voir son visage amical que, pour ĂȘtre honnĂȘte, la vue du sang frais ne tâas pas du tout dĂ©rangĂ©. C'Ă©tait comme si tu Ă©tais tombĂ©e dans un Ă©tat de fugue, chaque chose autour de toi Ă©tais si distante, tes sens engourdis ne pouvaient que se concentrer sur la silhouette maigre de John agenouillĂ©e devant toi. «Personne ne te fera plus de mal, chĂ©rie» ses mains allĂšrent doucement caresser tes cuisses, tandis que son regard inquiet cherchait sans relĂąche le tien et il prononça ces mots doux et rassurants «Tu dois me faire confiance». Et tu voulais mettre toute ta foi en ce jeune homme. Son flair dĂ©licat tâas facilement rĂ©veillĂ© de ce sommeil ostensible, crĂ©ant un feu vif Ă l'intĂ©rieur de ton ventre; sans penser Ă tes actions imprĂ©vues, tu as jetĂ© tes bras autour de son cou, tes genoux produisant un son sec alors qu'ils entraient en collision avec le parquet, tu tâen foutais toujours et tu le tenais serrĂ©, poussant des sanglots et te noyant dans sa poitrine musclĂ©e, se dĂ©lectant enfin de la sensation de cette chaleureuse Ă©treinte. BientĂŽt, il emmĂȘla ses doigts calleux avec tes mĂšches, rĂ©trĂ©cissant inconsciemment ses Ă©paules solides, comme pour protĂ©ger ta silhouette frangible du monde extĂ©rieur. "Je te ferai sortir d'ici bientĂŽt, je te le promets"
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2 ans aprĂšs, toujours les mĂȘmes images. Toujours les mĂȘmes mots, bloquĂ©s dans ma tĂȘte, cet appel, la place de parking oĂč ma mĂšre sâest mise pour me lâannoncer, les premiers mots, ceux qui auront eu raison de ce traumatisme, de cet Ă©tat de choc que jâai mis un temps indĂ©finissable et interminable Ă quitter. « Câest Nolan ». Il en aura pas fallu plus, jâai su, jâai compris. CâĂ©tait grave, ses larmes me le disaient, ta vie Ă©tait en jeu, sa voix tremblante le trahissait, elle avait peur de me voir rechuter dans mes sombres abysses, sa façon de chercher ses mots lâexprimaient. Jâai jamais eu un temps de rĂ©action aussi long, jamais sombrĂ© dans un dĂ©ni si profond, jamais fuis Ă ce point. Incapable de croiser le regard de ma mĂšre, incapable de rejoindre mes grands parents chez moi, incapable dâenvoyer un message Ă ta mĂšre. La seule chose possible, aller me rĂ©fugier dans mon monde, dans mes Ă©curies, dans mon autre famille, celle qui volait pas en Ă©clats Ă cet instant. Jây suis restĂ©e des heures, isolĂ©e, esseulĂ©e. Assise sur ce banc, tĂ©tanisĂ©e, les larmes qui coulaient sans sâarrĂȘter, sans contrĂŽler. CâĂ©tait impensable, impossible, insupportable. Jâavais envie de hurler, jâavais envie de ressentir une douleur physique vive, brutale, jâavais envie de frapper dans quelque chose, jâavais besoin dâexploser, dâimploser, de tout Ă©clater. Jâavais mal, tellement mal. JâĂ©tais en colĂšre, contre toi, contre la fenĂȘtre, le balcon, le sol mĂȘme dâavoir osĂ© de percuter, contre tes potes, lâalcool, cette fille que tu allais rejoindre. Je comprenais pas, je rĂ©alisais pas, jây croyais pas. CâĂ©tait impossible. Absolument impossible. Impensable. Je voulais pas. Ăa ne devait pas ĂȘtre rĂ©el. Je me suis mĂȘme surprise Ă prier, prier pour tout, pour toi. Prier, supplier. Que tu puisses vivre, que tu ailles bien, que tu te rĂ©veilles dĂšs demain, que ça ne soit quâun mauvais souvenir Ă ressortir pendant un repas de famille pour en rire aprĂšs quelques annĂ©es, que tout ça ne soit jamais arriver, que ma vie entiĂšre et particuliĂšrement cet instant nâaient Ă©tĂ© quâun essai peu concluant, quâun vague rĂȘve pouvant ĂȘtre rĂ©initialisĂ©. Câest dingue les souvenirs que jâai de ce jour lĂ . Je ressens tout, le goĂ»t de sang de ma langue mordue, les yeux explosĂ©s, brĂ»lants, les mains moites, la sensation de suer mais dâĂȘtre transie de froid, les tremblements incessants de mes doigts sur les clopes que jâenchaĂźnais comme si ça allait mâaider Ă respirer, Ă me calmer. Et surtout la sensation de douleur dans la cage thoracique, lâincapacitĂ© totale de respirer, rien dâautre que des bribes dâair en saccadĂ©. Lâimpression insoutenable de suffoquer. De mâĂ©touffer sous un regard, quelques mots. Ma vie renversĂ©e. Mon coeur balancĂ© avec toi du haut du 4eme Ă©tage de cet immeuble, cet immeuble que je nâai pas cessĂ© dâimaginer depuis. Mes espoirs Ă©crasĂ©s avec tes cervicales sur le bĂ©ton de cette cour. Mon bonheur Ă©clatĂ© avec tes organes sur le sol gelĂ© de cette nuit de novembre. Nos vies en suspend, rythmĂ©es par le mĂ©tronome de tes machines, irrĂ©guliĂšres, incessantes mais encrĂ©es dans mon esprit comme une mauvaise chanson dont on arrive jamais Ă se sĂ©parer. LâĂ©preuve de trop. Le sentiment de ne pas pouvoir se relever cette fois ci. Lâimpression de ne plus en avoir ni la force, ni le courage, ni mĂȘme lâenvie. Chaque jour avait sa dose de peines, ses messages quotidiens de ta mĂšre, sa routine, le travail et toi, cet hĂŽpital que je connais par coeur, ces infirmiers devenus bien trop familiers. Je me souviendrai toujours de cette phrase « garde le sourire plus rien nâest grave » ton mantra, cette phrase aux milles significations. Ton sourire, Ă©teint, ton sourire dans le coma avec toi. Mon sourire, Ă©puisĂ©. Mais plus rien Ă©tait grave, tu avais raison. Toi dans ce lit, toi dans le tourbillon entre vie et mort, toi branchĂ© Ă ces machines, nous branchĂ©s Ă de rares espoirs vite essoufflĂ©s. Câest vrai, Ă cĂŽtĂ©, plus rien nâĂ©tait grave. Plus rien ne faisait de sens. Sans toi, ça marchait pas.
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Lâaugmentation mammaire est l'une des interventions chirurgicales esthĂ©tiques les plus demandĂ©es au monde, et le choix des prothĂšses est une Ă©tape clĂ© pour obtenir des rĂ©sultats harmonieux et conformes aux attentes des patientes. Ce guide approfondi vous accompagne pas Ă pas pour comprendre chaque aspect essentiel Ă considĂ©rer dans le choix des implants mammaires.
1. Types de ProthĂšses Mammaires : Silicone ou Saline
Les deux principaux types de prothÚses disponibles sur le marché sont les prothÚses remplies de gel de silicone et celles remplies de solution saline. Chacune de ces options présente des avantages distincts.
ProthĂšses en gel de silicone : Celles-ci sont remplies dâun gel de silicone cohĂ©sif qui imite la texture naturelle des tissus mammaires. Elles sont apprĂ©ciĂ©es pour leur aspect rĂ©aliste et leur souplesse. Les prothĂšses en silicone sont disponibles sous plusieurs densitĂ©s, du gel trĂšs souple au gel trĂšs cohĂ©sif, ce dernier Ă©tant souvent appelĂ© "silicone gummy bear" pour sa fermetĂ©. Bien que ces prothĂšses ne risquent pas de "s'effondrer" en cas de rupture, une surveillance rĂ©guliĂšre par IRM ou Ă©chographie est nĂ©cessaire pour garantir leur intĂ©gritĂ©.
ProthĂšses en solution saline : Remplies dâune solution saline stĂ©rile, ces prothĂšses sont introduites vides et ensuite remplies une fois en place, ce qui permet de rĂ©duire l'incision. En cas de rupture, le sĂ©rum physiologique est naturellement absorbĂ© par le corps sans danger. Cependant, ces implants peuvent ĂȘtre moins naturels au toucher et peuvent prĂ©senter un risque plus Ă©levĂ© d'ondulations, en particulier chez les femmes avec peu de tissu mammaire naturel.
2. Formes des ProthĂšses : Rondes ou Anatomiques
Le choix entre prothĂšses rondes ou anatomiques influence fortement le rĂ©sultat final de lâopĂ©ration, notamment en termes de volume et de projection.
ProthĂšses rondes : Elles offrent un volume homogĂšne sur lâensemble du sein et sont souvent privilĂ©giĂ©es par les patientes cherchant Ă obtenir une apparence plus pleine au niveau du dĂ©colletĂ©. Les prothĂšses rondes sont aussi moins sujettes au risque de rotation, car leur forme symĂ©trique permet un rĂ©sultat homogĂšne quel que soit lâangle de la prothĂšse dans la poitrine.
ProthĂšses anatomiques (forme de goutte dâeau) : Ces implants imitent la forme naturelle du sein avec une partie infĂ©rieure plus volumineuse. Elles sont idĂ©ales pour les femmes qui souhaitent une augmentation subtile avec un effet naturel. Toutefois, les prothĂšses anatomiques peuvent prĂ©senter un risque de rotation, qui altĂšre lâapparence du sein si lâimplant se dĂ©place.
3. Volume des ProthĂšses : Trouver la Bonne Taille
Le volume des prothÚses est une des décisions les plus importantes, et il est crucial qu'il soit adapté à la morphologie de la patiente. Le volume est généralement exprimé en centimÚtres cubes (cc). Un volume plus élevé augmente la taille du sein, mais une trop grande prothÚse peut paraßtre disproportionnée et entraßner des complications, telles que des douleurs dorsales ou une chute prématurée des seins.
Consultation et essayages : De nombreux chirurgiens proposent des essayages de tailles diffĂ©rentes grĂące Ă des simulateurs ou des prothĂšses externes placĂ©es dans un soutien-gorge, afin de permettre Ă la patiente de visualiser lâeffet final. La taille choisie dĂ©pend de plusieurs facteurs : la taille de la cage thoracique, la quantitĂ© de tissu mammaire existant, et les prĂ©fĂ©rences esthĂ©tiques de la patiente.
4. Projection et Profil : LâImpact sur lâApparence Finale
La projection dĂ©signe la distance Ă laquelle la prothĂšse sâavance Ă partir de la poitrine. Ce choix est aussi dĂ©terminĂ© par les souhaits esthĂ©tiques de la patiente, en particulier au niveau du dĂ©colletĂ©.
Profil bas : Ces implants offrent une projection modérée et conviennent mieux aux femmes qui souhaitent un résultat discret et naturel.
Profil modĂ©rĂ© : Il sâagit du profil le plus souvent choisi. Il ajoute une belle projection sans exagĂ©ration, crĂ©ant un volume proportionnĂ© avec la silhouette gĂ©nĂ©rale de la patiente.
Profil haut : Les prothÚses à profil haut offrent une projection importante avec un décolleté plus marqué. Elles sont souvent choisies par des femmes avec un tour de poitrine étroit ou celles qui souhaitent une apparence plus volumineuse.
5. RevĂȘtement des ProthĂšses : Lisse ou TexturĂ©
Le revĂȘtement des prothĂšses joue Ă©galement un rĂŽle dans la maniĂšre dont elles interagissent avec les tissus mammaires et leur positionnement au fil du temps.
ProthĂšses lisses : Elles se dĂ©placent librement dans la poche crĂ©Ă©e par le chirurgien, ce qui permet un mouvement plus naturel. Cependant, elles peuvent prĂ©senter un risque lĂ©gĂšrement plus Ă©levĂ© de contracture capsulaire, une complication oĂč le tissu cicatriciel se durcit autour de l'implant.
ProthÚses texturées : Elles sont conçues pour adhérer au tissu environnant, réduisant ainsi le risque de déplacement ou de rotation. Elles étaient autrefois trÚs populaires, mais certaines études ont soulevé des inquiétudes quant à leur lien avec un type rare de lymphome anaplasique à grandes cellules (LAGC-AIM). De ce fait, leur utilisation a diminué dans de nombreux pays.
6. Positionnement des ProthĂšses : Sous-Musculaire ou Sur-Musculaire
Le positionnement des implants mammaires, soit sous le muscle pectoral, soit au-dessus, influence Ă la fois lâapparence finale et le processus de rĂ©cupĂ©ration.
Sous-musculaire : Ici, la prothĂšse est partiellement ou entiĂšrement placĂ©e sous le muscle pectoral. Cela offre un rĂ©sultat plus naturel, en particulier pour les femmes minces, car le muscle recouvre partiellement la prothĂšse. Cette mĂ©thode rĂ©duit Ă©galement le risque de contracture capsulaire. Cependant, la rĂ©cupĂ©ration peut ĂȘtre plus longue et certaines patientes ressentent davantage de douleurs post-opĂ©ratoires.
Sur-musculaire : Dans cette technique, la prothĂšse est placĂ©e directement sous le tissu mammaire mais au-dessus du muscle pectoral. Cela permet une rĂ©cupĂ©ration plus rapide et est gĂ©nĂ©ralement recommandĂ© pour les femmes qui ont dĂ©jĂ un bon volume mammaire naturel. Toutefois, les contours de lâimplant peuvent ĂȘtre plus visibles, notamment chez les patientes minces.
7. SĂ©lection de la Taille avec Simulations 3D
Aujourdâhui, de nombreux chirurgiens offrent la possibilitĂ© dâutiliser des technologies de simulation 3D pour aider les patientes Ă visualiser le rĂ©sultat final avec diffĂ©rentes tailles et formes de prothĂšses. Cette technologie permet de mieux comprendre comment les implants s'adapteront Ă la morphologie individuelle de chaque patiente et peut significativement aider dans le processus de prise de dĂ©cision.
8. Aspects à Long Terme : Sécurité et Durabilité
Il est important que les patientes comprennent que les implants ne durent pas Ă vie. Bien que les implants modernes soient trĂšs rĂ©sistants, il est conseillĂ© de rĂ©aliser des contrĂŽles rĂ©guliers, et il se peut quâune rĂ©intervention soit nĂ©cessaire aprĂšs 10 Ă 20 ans. De plus, la grossesse, la prise ou perte de poids peuvent Ă©galement influencer l'apparence des seins au fil du temps.
9. Considérations Personnelles et Esthétiques
Chaque patiente a des attentes et des prĂ©fĂ©rences uniques en termes dâapparence. Avant de prendre une dĂ©cision dĂ©finitive, il est essentiel de discuter avec son chirurgien de ses attentes esthĂ©tiques. Lâutilisation de photos de rĂ©sultats souhaitĂ©s, ou au contraire dâexemples Ă Ă©viter, peut faciliter cette discussion.
10. Choisir le Bon Chirurgien
Le choix du chirurgien est aussi dĂ©terminant que celui des prothĂšses. Un chirurgien qualifiĂ© et expĂ©rimentĂ© saura non seulement conseiller sur les prothĂšses idĂ©ales en fonction des souhaits de la patiente, mais aussi garantir la sĂ©curitĂ© de lâintervention et un rĂ©sultat harmonieux. Il est essentiel de consulter plusieurs chirurgiens, de vĂ©rifier leur expĂ©rience avec des photos de rĂ©sultats avant/aprĂšs, et dâexaminer les avis d'autres patientes.
Conclusion : Un Choix Personnalisé avec un Chirurgien de Confiance
Le choix des prothĂšses mammaires est une dĂ©cision personnelle qui doit ĂȘtre prise en collaboration avec un chirurgien esthĂ©tique de confiance. Chaque patiente est unique, et le chirurgien doit comprendre ses attentes, son mode de vie, et sa morphologie pour lâaider Ă choisir des implants qui offriront des rĂ©sultats satisfaisants sur le long terme. Il est crucial de se sentir Ă lâaise avec le chirurgien et de poser toutes les questions nĂ©cessaires avant de prendre une dĂ©cision.
Ce processus, bien réfléchi, permet d'obtenir des résultats à la hauteur des attentes, offrant non seulement une amélioration esthétique mais aussi un boost de confiance en soi.
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Nâattendez plus rien de moi, jâarrive !
Elle se sentait soulagĂ©e dâun poids trĂšs lourd. Peut ĂȘtre par ce quâavait Ă©tĂ© ses relations sociales. Lourdes. Peut ĂȘtre lourdes de sens et dâĂ©motions, il y a quelques temps. Mais devenues amer et distantes. Aujourdâhui, elle nâavait plus rien, et ça lui Ă©tait Ă©gal. Une petite douleur de temps en temps, dans la poitrine, trĂšs vite chassĂ©e par une impression de dĂ©goĂ»t. Peut ĂȘtre Ă©tait ce des bribes de colĂšres qui rĂ©sonnaient dans sa cage thoracique ? Mais enfin ce halĂštement qui cessait. Une course Ă lâapprĂ©ciation, effrĂ©nĂ©e qui ne semblait jamais sâarrĂȘter jusquâĂ maintenant. Oui, elle Ă©tait seule. Et câĂ©tait le seul moyen pour ne pas ĂȘtre rĂ©vulsĂ©e par ceux qui lâentourait.
Un pincement au coeur, elle doit revoir un ancien amour demain. Aucune idĂ©e de ce quâelle va lui dire.
« Tu ne me manques pas »
« Jâai traversĂ© une pĂ©riode difficile »
« Je vais bien »
Est ce quâelle allait bien ? Oui je crois. Est ce quâelle Ă©tait heureuse ? Je ne suis pas sĂ»r. Elle se demandait mĂȘme si elle le serait un jour. Si il est vrai que le bonheur est quelque chose que lâon construit il nâĂ©tait sĂ»rement pas au coin de la rue. Mais elle avait quand mĂȘme lâespoir de lây trouver au dĂ©tour dâune allĂ©e.
Une dĂ©goutĂ©e avec de lâespoir. Enfin quelque chose changeait en elle. Y aurait il un quelconque avenir meilleur ? Et puis, contrairement Ă ses amis, elle commençait aussi Ă sâapprĂ©cier. Quand le monde semblait la dĂ©laisser elle y trouva une forme de paix. « Nâattendez plus rien de moi, jâarrive ! »
Mais depuis quelque temps mĂȘme si une certaine forme de foi lu Ă©tait revenue, elle se sentait diminuĂ©e. Moralement physiquement et intellectuellement. SâĂ©tait elle brulĂ© les ailes Ă trop vouloir sâoublier ? OĂč Ă©tait donc passĂ© cette lĂ©gendaire rĂ©partie ? Ou Ă©tait lâintrĂ©pide ? Mais Ă©tait ce ça le dĂ©but de la rĂ©silience ? Tout ce quâelle savait câest que câĂ©tait le dĂ©but de quelque chose.
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