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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Une douleur à la cage thoracique? Ça pourrait être une irritation costovertébrale!
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Une douleur à la cage thoracique? Ça pourrait être une irritation costovertébrale!
Saviez-vous que les côtes pouvaient être à l’origine de certaines douleurs? Les conditions costales sont fréquemment rencontrées en chiropratique et lorsqu’elles sont d’origine neuromusculosquelettique, le chiropraticien possède généralement tous les outils pour aider son patient à retrouver un état de santé optimal. Dans cet article, vous découvrirez l’une des conditions costales les plus fréquentes, c’est-à-dire l’irritation costovertébrale, et vous apprendrez comment la chiropratique pourrait être votre allié dans le traitement de cette condition.
Les côtes et leurs articulations
Anatomiquement parlant, les côtes bougent. Si elles ne bougeaient pas, la respiration serait très difficile puisque leur mouvement permet à la cage thoracique de prendre de l’expansion lors de l’inspiration et l’expiration.
Le corps humain comprend généralement 12 paires de côtes. De ces 12 paires, les 2 dernières sont dites flottantes, c’est-à-dire qu’elles n’ont pas d’attache à l’avant, contrairement aux 10 autres paires de côtes.
Au niveau dorsal, chaque côte s’articule au niveau vertébral, d’où le nom de l’articulation costovertébrale :
Au niveau ventral, les côtes s’articulent pour la plupart avec le sternum, d’où le nom de l’articulation costosternale :
Même si les articulations ne sont pas du même type entre la région antérieure et postérieure du dos, le mouvement est possible à chaque niveau. Comme dans tout mouvement articulaire, il est possible qu’il y ait une diminution de la mobilité, ce qui peut causer des conditions neuromusculosquelettiques comme l’irritation costovertébrale.
Quand la perte de mobilité engendre la douleur
Chaque articulation a un mouvement qui lui est propre. Ce mouvement se doit d’être optimal si l’on souhaite que l’articulation fonctionne normalement. Plusieurs causes peuvent créer une perte de mobilité articulaire :
Traumatisme direct à l’articulation
Mauvaise posture de sommeil
Mauvaise posture de travail
Mouvement répétitif
Mauvaise utilisation de l’articulation (ex.: mauvaise technique de course)
Sédentarité (non-utilisation des articulations)
Le processus plus détaillé (mais imagé) menant à l’apparition de douleur ressemble à ceci :
Lorsqu’une articulation ne bouge pas optimalement, les récepteurs articulaires envoient un signal au niveau cérébral indiquant que le mouvement n’est pas idéal.
Lorsque le cerveau reçoit cette information, il la traduit comme un problème à régler et souhaite donc “protéger” le corps.
Les signaux de protection envoyés par le cerveau peuvent être ceux-ci :
Inflammation
Hypertonicités musculaires (contractions musculaires)
Restriction dans l’amplitude de mouvement, avec douleur
Restriction dans l’amplitude de mouvement, sans douleur
Raideur des muscles environnants
Oedème local
Douleur
Douleur au mouvement
Douleur au repos
Douleur intermittente
Douleur constante
Douleur légère
Douleur intense
Douleur locale, au toucher
Douleur irradiante
Vite, on se rend compte que les hypertonicités musculaires engendrent à leur tour une nouvelle diminution de l’amplitude de mouvement. C’est ainsi que le cercle vicieux de la restriction articulaire débute :
Perte d’amplitude de mouvement = hypertonicités musculaires
Hypertonicités musculaires = encore plus de perte d’amplitude
Encore plus de perte d’amplitude = encore plus de réponses de protection = encore plus d’hypertonicités musculaires
Ainsi de suite.
Les articulations costovertébrales ne font pas exception à ce mécanisme. En général, les douleurs liées à l’irritation costovertébrale sont celles-ci :
Sensation de point à droite ou à gauche de la colonne vertébrale, dépendamment de l’articulation ciblée.
Douleur possible lors de l’inspiration ou de l’expiration, en raison du mouvement de l’articulation impliquée.
Douleur possible lors du mouvement des bras/épaules, en raison du mouvement de l’articulation impliquée.
Sensation de douleur intense à la poitrine, vis-à-vis l’articulation costovertébrale touchée. Comme si un poignard transperçait la poitrine de l’arrière à l’avant.
Le chiropraticien à la rescousse
Lors de son examen, le chiropraticien aura la tâche de déterminer si la douleur perçue par son patient est d’origine neuromusculosquelettique. Pour se faire, il utilisera l’expertise qu’il a acquise au cours de son doctorat de premier cycle en chiropratique.
Des questions précises servent à orienter son cheminement clinique.
À quel moment survient la douleur?
La douleur est présente depuis quand?
La douleur est-elle irradiante?
Est-ce que l’intensité de la douleur varie?
Le patient a-t-il des difficultés respiratoires?
Le patient a-t-il d’autres symptômes?
Un examen physique complet en lien avec les réponses aux questions aide le chiropraticien à préciser graduellement son idée diagnostique :
Amplitudes de mouvement costovertébrales
Amplitudes de mouvement costosternales
Palpation chiropratique (subluxations) au niveau vertébral
Évaluation des hypertonicités musculaires potentielles
Des examens complémentaires en fonction des résultats obtenus (radiographies)
Puisque le chiropraticien a la capacité de prescrire et analyser les radiographies, il est possible qu’il veuille avoir une image plus précise de la région impliquée. Comment est la colonne vertébrale? Comment sont les articulations costovertébrales? Comment est la qualité osseuse? Toutes ces réponses peuvent aider à déterminer si le diagnostic est d’origine chiropratique et orienter vers le traitement le mieux adapté pour le patient.
Dans l’éventualité où un traumatisme soit à l’origine de la douleur, il est possible que le chiropraticien veuille évaluer l’intégrité osseuse. Si elle est compromise et qu’il suspecte une fracture, il aura à référer son patient du côté médical pour un suivi approprié pour confirmer le diagnostic.
Dans le cas d’un diagnostic d’irritation costovertébrale, un suivi chiropratique pourra être envisagé.
Puisque le chiropraticien évalue la présence de subluxations vertébrales, il traitera celles qu’il a trouvées lors de son examen. Sachant qu’il n’y a pas que les articulations vertébrales qui peuvent être subluxées, il traitera fort probablement l’articulation costovertébrale en cause dans le diagnostic qu’il a émis puisqu’elle présentera sans doute une perte de mouvement.
Si, à son examen, des hypertonicités musculaires ont été mises en lumière, il pourra les travailler afin de rendre le muscle plus souple et moins contracté. Cela aidera à redonner une amplitude de mouvement normale à l’articulation.
Puisqu’on retrouve généralement de l’inflammation au site de l’irritation costovertébrale, il est possible que des techniques complémentaires soient utilisées, selon la localisation, l’indication et les contrindications du patient :
TENS (neurostimulation électrique transcutanée)
Ultrasons
Glace
Chaleur
Optimiser la santé de son patient
La vision chiropratique est orientée sur la santé globale de son patient. En conséquence, le chiropraticien ne se penchera pas seulement sur la douleur. Il aura toujours en tête d’optimiser son suivi et la condition de vie des gens qui le consultent en donnant des conseils sur les habitudes de vie, les postures à adopter (sommeil et travail) et les exercices qu’ils pourraient faire afin d’aider leur condition et éviter les récidives.
Le chiropraticien sait très bien que l’absence de douleur n’est pas toujours en lien avec l’absence de maladie/condition de santé. Il pourra être présent pour vous suite à la gestion de la douleur afin de vous guider vers un état de santé optimal et vous proposer des soins d’optimisation. N’hésitez pas à le consulter!
#chiropraticien#chiropratique#conditions costales#douleur aux côtes#douleur cage thoracique#irritation costovertébrale#traitement
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Je crois que je me suis encore coincé un nerf dans le dos 🙃. J'ai mal à la poitrine depuis 2 jours et la dernière fois que ça m'est arrivé j'ai cru que j'allais faire une crise cardiaque MAIS NON ! c'était encore un truc improbable, un nerf coincé dans le dos qui me donne des douleurs devant dans la cage thoracique. C'est marrant mais avec toute les merdes qui m'arrivent en ce moment, je me rappelle que ma mère et ma grand-mère me répétait une phrase depuis que je suis gamine : "tu as une santé très fragile, fait bien attention"...ça n'a jamais pris autant de sens qu'en ce moment.
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Au fond de ma cage thoracique, il y a cette morsure, cette douleur, comme si des morceaux de mon âme mourraient en boucle, sans y parvenir. Comme Prométhée sur son rocher en moins glorieux.
Mourir en boucle dans son propre esprit sans répis.
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2 juillet
dernier matin seule dans la maison, maman est en vacances demain. j'aurais du mettre me réveil à huit heures et profiter de chaque seconde. hier maman m'a dit que j'en avais assez profité non? oui, mais mes matins seule à la maison sont ce que j'ai eu de plus précieux, de plus sacré ces dix dernières années, et je les aime comme au premier jour, quand j'avais quatorze ans et que je séchais les cours pour rentrer. une vie entière ne suffirait pas pour profiter des matins tranquilles à la maison. cette nuit j'ai rêvé que je me réveillais dans la même chambre que n. et ses deux colocs, je dormais dans un lit superposé et un des deux colocs dormait au dessus de moi et quand il grimpait sur l'échelle tout le lit se mettait à trembler. on dormait à l'intérieur d'une espèce de grand sac de couchage relevé par dessus la tête pour protéger son intimité et je regardais par le trou du sac de couchage au dessus de ma tête et je me disais que malgré tout, il valait mieux ça que de rentrer à la maison. hier n. m'a écrit que si j'étais encore là dans un an on pourrait participer aux 48h neukölln et j'avais envie de lui répondre que oui je serais là parce que de toute façon je peux pas être ici. pas le choix. je lui ai dit i'm going batshit crazy here et elle m'a dit qu'elle était encore plus contente que je vienne alors. c'est la deuxième fois qu'elle me sauve la vie en un an. la première fois c'était de r. cette fois c'est de maman.
je suis retombée sur le post de l'article sur grey gardens et dans les commentaires tout le monde s'indignait de la lecture complètement erronée et romantisée du film par la journaliste et j'avais un peu honte de m'être laissée avoir par sa vision de l'histoire, parce que je l'ai vu ce film et il est terrifiant. la mère de little edie est un monstre qui veut pas que sa fille aille vivre sa vie à new york, little edie qui rêve d'amour et de devenir une star à broadway mais elle est prisonnière de sa mère dans leur manoir qui tombe en ruines, isolées du reste du monde. depuis que j'ai vu ce film mon pire cauchemar c'est de finir comme little edie et sa mère, même si on habite pas dans un manoir délabré et que maman n'est pas folle. parfois maman m'apparait comme un monstre auquel je dois échapper. le dimanche dans la forêt quand je l'entends derrière moi qui me rattrape parce qu'elle court et moi je marche, ça devient littéral. je suis remplie de colère contre elle. j'ai tellement de colère à l'intérieur de moi que ça me fait peur. je vois probablement que la pointe de l'iceberg en plus.
hier on a fait une séance de yoga à la maison avec a. et dès le début quand elle nous a fait faire des micro mouvements avec les pieds j'ai senti les larmes me monter aux yeux et je me suis dit oh putain le trauma, je l'avais oublié celui-là. enfin bof pas trop, mais ça faisait un moment qu'il s'était plus manifesté à travers le corps. j'ai pensé à la phrase your body is a library of pain, perfectly filed. j'ai senti que mon corps contenait un océan de douleur. je contiens un océan de douleur et de colère. c'est-à-dire une tempête. avec des vagues scélérates. mais c'est un océan intérieur comme dans voyage au centre de la terre, un océan souterrain dont rien ne parait à l'extérieur, sauf parfois des larmes, comme des gouttelettes d'eau de mer qui suinteraient à travers la croûte terrestre. à la fin a. a posé la paume de sa main chaude sur mon dos pour que je sente comment ma cage thoracique était plus grande d'un côté que de l'autre et j'ai de nouveau eu envie de pleurer. je lui ai dit que je voulais trouver un truc de thérapie par le mouvement à berlin mais j'ai trop peur d'exploser.
bon finalement c'est pas plus mal que ce soit la fin de mes journées seules à la maison parce que j'ai encore éclaté en sanglots au milieu de l'après-midi comme ça sans prévenir. je pleurais comme kate winslet, avec mes sanglots de désespérée. c'était théâtral et pathétique et j'ai du regarder un épisode de curb your enthusiasm en mangeant du chocolat pour me calmer parce que j'étais trop déprimée pour continuer à travailler. le TEMPS qu'il me vole depuis un an ce mec, c'est vertigineux, c'est criminel, je pourrais le poursuivre en justice, et ce serait même pas la première fois qu'il se retrouverait au tribunal. je me demande s'il a parlé de moi à son psy, par rapport à son complexe de connard, et si son psy lui a conseillé de me laisser tranquille pendant quelques temps, pour me laisser le temps de me sevrer et de guérir proprement. l'autre hypothèse, plus probable: il est trop occupé par la personne avec qui il discutait sur whatsapp l'autre jour pendant que je lui envoyais des passages de heart of a dog et je suis tout simplement passée au second plan.
hier a. m'a dit que je devais faire du core strengthening pour renforcer ma colonne vertébrale et développer mes abdos pour qu'ils aident à la soutenir. peut être que si je fais ça je me laisserai moins aplatir par les gens. j'ai toujours eu l'impression que mon maintien bancal était lié à mon estime de moi bancale. j'ai vu qu'il allait faire 33 degrés à berlin la semaine prochaine. j'ai peur de me retrouver clouée à l'appart étalée sur mon lit sans pouvoir bouger avec les jambes lourdes et la tête qui fourmille satané réchauffement climatique il va me foutre en l'air tous mes plans de réinvention de moi-même. peut être que dans un premier temps je pourrai me concentrer sur l'écriture. me concentrer dessus pleinement je veux dire. et puis je sortirai le soir. c'est bien aussi. c'est très bien même, vu que ça avance pas trop trop ces derniers temps.
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Y’a ce moment où la douleur devient physique, où cette peine te déchire littéralement le cœur en deux morceaux de torchons, ou ton âme semble vouloir quitter ton corps en serrant ta cage thoracique. Y’a ce moment où le vide rempli ton être de tristesse et qu’elle envahit ta personne comme du pétrole noir, toxique et visqueux. Ce truc qui te donne la nausée et te fais baisser les yeux.
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e choix des prothèses mammaires est un processus déterminant pour garantir un résultat esthétique satisfaisant et durable. Un choix éclairé prend en compte plusieurs aspects tels que la taille, la forme, le type de remplissage, la surface des prothèses, et la position d’implantation. Pour vous aider à faire un choix adapté, voici un développement détaillé de chaque étape et élément à considérer.
1. Définir vos objectifs esthétiques et attentes personnelles
Naturel vs volumineux : L’une des premières questions à se poser est de savoir si vous souhaitez un résultat très naturel ou un effet plus volumineux et prononcé. Cette décision influencera la forme et le type d’implant choisi.
Objectifs de long terme : Pensez à comment vous aimeriez que vos seins évoluent au fil du temps. Des facteurs comme le vieillissement, les grossesses futures, et la perte ou prise de poids peuvent affecter l'apparence de vos implants.
2. Formes des prothèses : rondes vs anatomiques
Implants ronds : Ils créent un effet liftant et donnent un décolleté plus rempli. Ils sont idéaux pour celles qui souhaitent un volume visible sur le haut des seins et conviennent particulièrement aux patientes cherchant un look glamour.
Implants anatomiques (goutte d’eau) : Ces prothèses sont conçues pour imiter la forme naturelle des seins, avec une base plus large et un volume plus important dans la partie inférieure. Elles sont adaptées aux patientes qui souhaitent un résultat subtil et naturel, souvent utilisé pour corriger une asymétrie mammaire ou pour un look plus réaliste.
3. Sélection de la taille et du volume des implants
Proportionnalité : Le choix de la taille doit être fait en fonction de la morphologie de la patiente : largeur des épaules, largeur de la cage thoracique, et proportions générales du corps. Un implant trop volumineux peut créer des complications comme des douleurs dorsales ou une apparence inesthétique.
Essais et simulations : Des outils de simulation 3D ou des essayages physiques avec des implants temporaires placés dans un soutien-gorge spécial peuvent aider à visualiser le résultat final. Ces essais permettent de mieux comprendre comment différents volumes influencent l’apparence globale.
4. Types de remplissage des implants
Gel de silicone : Le gel de silicone cohésif est la solution la plus prisée en raison de son toucher naturel qui imite celui des tissus mammaires. En cas de rupture, le gel reste en place, minimisant les risques de fuite.
Solution saline : Les implants salins sont remplis de solution saline stérile. Bien qu’ils soient ajustables en taille pendant l’opération, ils ont tendance à être moins naturels au toucher et peuvent présenter des plis ou se dégonfler plus facilement en cas de rupture.
Gel hautement cohésif : Certains implants contiennent un gel de silicone plus dense, souvent appelé « gel mémoire », qui garde sa forme même en cas de pression ou de rupture. Ces implants offrent à la fois sécurité et esthétique.
5. Surface des prothèses : lisse ou texturée
Surface lisse : Ces implants sont plus mobiles dans la poche mammaire et offrent un résultat esthétique plus fluide, mais peuvent augmenter légèrement le risque de rotation ou de déplacement.
Surface texturée : La surface texturée permet aux tissus environnants de mieux adhérer à l’implant, ce qui aide à réduire le risque de déplacement et de contracture capsulaire. Cette option est souvent choisie pour les implants anatomiques, qui doivent rester dans une certaine position.
6. Position d’implantation : sous-musculaire vs sous-glandulaire
Sous-glandulaire (au-dessus du muscle) : Convient aux patientes ayant suffisamment de tissu mammaire pour recouvrir l’implant. Cette technique permet une récupération plus rapide et une douleur postopératoire moindre. Cependant, chez les patientes minces, le risque de palpabilité de l’implant est plus élevé.
Sous-musculaire (sous le muscle pectoral) : Offrant un résultat plus naturel et réduisant le risque de palpabilité et de contracture capsulaire, cette technique est couramment recommandée chez les patientes minces ou pour un aspect esthétique plus doux.
Dual-plane : Cette technique combine le meilleur des deux positions, permettant à l'implant de se positionner sous le muscle dans la partie supérieure du sein et sous le tissu mammaire dans la partie inférieure. Cela améliore le soutien et donne un aspect plus naturel.
7. Consulter un chirurgien qualifié pour un avis expert
Expertise et expérience : Choisir un chirurgien qualifié est essentiel. Il doit non seulement avoir une solide expertise technique mais aussi une bonne capacité à écouter et comprendre vos attentes. Un bon praticien vous conseillera sur les options qui s'adaptent le mieux à votre morphologie et à vos préférences.
Discussion des options : Lors de la consultation, le chirurgien passera en revue les options de prothèses, y compris leur forme, leur taille, et leur positionnement. Il prendra également en compte des facteurs comme la symétrie et l'équilibre global.
8. Essayer des simulations et modèles avant l’intervention
Certaines cliniques disposent de technologies de pointe permettant de réaliser des simulations 3D, ce qui donne à la patiente une idée précise du résultat potentiel. Ces outils permettent de faire des choix éclairés et de se projeter plus facilement dans le résultat final.
9. Considérations pour la sécurité et la durabilité
Longévité des implants : Bien que les implants modernes soient conçus pour durer entre 10 et 20 ans, il est important de faire des suivis réguliers avec le chirurgien pour s'assurer de leur intégrité. Un contrôle annuel, souvent par échographie ou IRM, est conseillé.
Ruptures et complications : En cas de rupture, les implants en gel de silicone cohésif gardent leur forme, ce qui réduit les risques de fuite. Les implants salins, en revanche, se dégonflent immédiatement et nécessitent un remplacement.
Contracture capsulaire : C’est l'une des complications possibles où le tissu cicatriciel autour de l'implant se contracte, provoquant douleur et déformation. La surface texturée et une bonne technique chirurgicale aident à minimiser ce risque.
Conclusion : Une décision mûrement réfléchie
Choisir ses prothèses mammaires demande réflexion, patience et l’accompagnement d’un chirurgien compétent. Prenez le temps de considérer tous les aspects techniques, esthétiques et pratiques pour faire un choix qui correspondra à vos attentes et à votre bien-être sur le long terme. En prenant en compte ces facteurs, vous pourrez bénéficier d'une intervention réussie, menée en toute sécurité, et d'un résultat harmonieux qui vous apporte confiance et satisfaction
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Mon enfant est voûté, est-ce grave ?
De nombreux parents s'inquiètent de voir leur enfant adopter une posture voûtée. Mais pas de panique, ce n'est pas toujours le signe d'un problème grave !
Pourquoi mon enfant est-il voûté ?
Plusieurs facteurs peuvent expliquer une mauvaise posture chez l'enfant :
La croissance: Pendant la puberté, les os grandissent plus vite que les muscles, ce qui peut entraîner une fatigue musculaire et une posture voûtée.
Le facteur génétique: La génétique joue un rôle important dans la posture. Si les parents ont tendance à se voûter, il est probable que leur enfant adopte la même posture.
Le manque d'activité physique: Une sédentarité excessive peut affaiblir les muscles du dos et favoriser une mauvaise posture.
Comment aider mon enfant à se redresser ?
Le sport: Les sports d'extension comme le volley, le basket ou le handball sont excellents pour renforcer les muscles du dos et améliorer la posture.
La kinésithérapie: Un kinésithérapeute peut proposer des exercices spécifiques pour renforcer les muscles du dos et apprendre à votre enfant à adopter une bonne posture.
La respiration: Des exercices de respiration peuvent aider à ouvrir la cage thoracique et à améliorer la posture.
La patience: Il faut parfois du temps pour que les résultats se fassent sentir.
Quand s'inquiéter ?
Si la posture de votre enfant ne s'améliore pas malgré ces mesures ou si elle est associée à des douleurs, il est important de consulter un médecin.
En conclusion, une posture voûtée chez l'enfant est souvent bénigne et peut s'améliorer avec le temps et une activité physique adaptée. N'hésitez pas à en parler à votre médecin ou à un professionnel de santé pour obtenir des conseils personnalisés.
Pour aller plus loin
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Âmes heureuses.
Mon amour non, s'il te plaît, pas toi, pas nous. On peut pas finir comme ça. On mérite mieux que ça tu le sais. Je le sais que tu as mal je le sais que cette vie fait mal mais s'il te plaît arrête, j'ai mal là aussi. Pourquoi ? Pourquoi tu nous fait ça ? Tu te souviens quand on riait jusqu'à s'en tordre le ventre, qu'un geste valait bien plus que milles paroles, quand on fondait l'un en l'autre devant le mur de son, tu t'souviens dit ? Nos promenades impromptus au milieu de rien, tous ces moments à la rach, mais j'm'en foutais d'où on pouvait bien aller parce que tant que c'était avec toi, ça m'allait. Je te disais "Je t'aime jusqu'aux étoiles" et ce jour là j'ai sans doute signer un pacte avec le diable. A force de le dire, l'univers l'a gravé dans mon coeur, malgré tout je t'aime encore et je n'aimerais plus comme ça demain, avec toute cette candeur. J'ai voulu réécrire l'histoire une paire de fois, me dire que c'était comme ça que ça pouvait pas fonctionner et que c'était tout, mais nous deux ça sonnait comme un duo merveilleux.
Deux petits lutins qui rêvent que d'une chose, faire leur vie dans un jardin et se contentait de leurs propres câlins. Un peu de son, un peu de nature, et beaucoup d'amour à partager. Planter une forêt à nous deux, parsemer une graine à chacun de nos "je t'aime".
Pépé & Titi.. ensemble ça pétille, ça fait des étincelles et ça part en lambeaux... D'accord ça doit finir, je voulais que tu sois libre mais tu t'emprisonnes dans ton jeu, tu me mens, tu me trahis, mais tu m'aimes ? Laisse moi encaisser, qu'était ce le vrai, qu'était ce le faux, c'est plein de nœuds dans mon cerveau.. Attends pourquoi tu me parles comme ça maintenant? Pourquoi tu veux me faire mal? Arrête, arrête ça, nous sabote pas. Tu mérites l'amour, on mérite mieux que ça. On mérite mieux que de finir dans les larmes, la haine, le sang. Pas nous, pas toi.
Ah mais si, c'est réel.. J'ai plus rien à perdre. Il faut que j'me sauve de là, il faut que je me casse. J'ai envie de disparaître, je me sens m'éteindre, je ne sens plus la faim, je ne sens plus le sommeil, je ne sens que mes os, le vide emplir ma cage thoracique, la douleur déchirer mon âme. Je vais partir, sauver ma peau. Je m'accroche à cette dernière pulsion de vie, je vais me raccrocher à mes rêves de petite fille. ♥
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BUFFY & DEVON 2000
J'avais l'habitude d'aller voir Giles pour enquêter sur le but principal d'un démon et aussi sur la façon de le tuer avant de me mettre à la tâche. C'était différent cette fois, je n'avais qu'une seule certitude. Je devais en terminé avec Devon. Sa mort me serrait au coeur, il avait été une personne que j'avais aimé, j'avais su voir du bon en lui et pourtant tout ce que j'avais vécu avec lui commençait à s'effacer de ma mémoire. Je me renfermais comme à chaque fois sur moi-même en pensant faire ce qui était juste de faire. Le corps de Devon disparaissait tranquillement pour réapparaître derrière moi quelques secondes plus tard. Mes mains me retenaient de ne pas m'écraser la figure sur le sol. Je sentis un coup de pied contre mon dos. La douleur était bien présente, mais rien ne pouvait m'arrêter. Avant qu'il ne puisse me frapper encore. Mon corps roulait sur le côté, malencontreusement j'heurtais un cadavre sur le sol. Tombant face à face avec ce corps froid, ce visage ne portant plus de lumière, plus de vie. Ce cadavre sans le savoir me donna la force de me relever et de me retourner pour regarder Devon qui me menaçait en quelques sortes.
Haussant un sourcil, le dévisageant. Il voulait se battre, il allait en avoir pour ces cinq-cents dernières années de meurtres. Il allait regretter de m'avoir menacer ici, aujourd'hui. Je ne le lâchais pas du regard. Je savais qu'il était puissant, mais rien ni personne n'allait se dresser au travers de mon chemin pour m'empêcher de le massacrer. J'avais envie qu'il souffre autant qu'il avait fait souffert ces pauvres victimes. La tueuse en moi s'emparait de mon esprit. Je ne voyais plus de blanc, plus de gris. Il n'y avait plus de juste milieu. Que de l'obscurité, du noir. Mon esprit était envahie de douleur et de haine. Cette colère en moi devait s'extérioriser. Fonçant vers le démon qu'il était et qu'il serait toujours si je n'y mettais pas un terme. Un coup de poing au visage suivit de plusieurs coups de poings directement dans sa cage thoracique lui faisant manquer d'air. Le blessant douloureusement aux poumons. Je n'étais plus capable de m'arrêter. Je tourne sur moi-même lui donnant un coup de pieds dans ses abdominaux qui m'avaient fait pourtant rêver durant plus d'un an. Je saute à califourchon sur lui l'entourant de mes jambes autour de son bassin, l'entrainant dans ma chute sur le sol. Nous roulions tous les deux l'un sur l'autre sur l'herbe bordé de tristesse et de cadavres. Une herbe froide et humide comme l'était l'ambiance du moment. Un moment amer et rempli de haine.
J'avais enfin le dessus sur lui et avant qu'il ne puisse se téléporter. Je portais mon index et mon majeur pour faire le contour de son nez et lui crever les yeux pour ne plus qu'il puisse me prendre par surprise en se téléportant. Lui crevant les yeux de mes doigts, plus je les enfonçais, plus son cri de douleur était puissant. C'était tellement dégueulasse, mais je ne me contrôlais plus. Je n'avais plus aucun sens éthique après avoir vu ces quarante cadavres avec le coeur arraché. Rien n'était plus douloureux que cette vision de ma mission qui avait été anéanti par Devon. Je me relève, le laissant geindre sur le sol. Il était sur le dos avec une main déposer devant ses yeux crevés. Il criait et se tordait de douleur. En le regardant se tordre de douleur mon premier réflex fut d'être triste, mais pas pour lui. Pour moi.
J'étais triste de tourner cette page, cette rencontre, cette douloureuse rupture et ce que nous avions vécu. J'avais le sentiment d'avoir été trahi, trompé et qu'il avait été malhonnête. Que son amour pour moi n'avait jamais eu lieu d'être. Cette relation n'avait pas été franche et réelle. Pourquoi, pourquoi ça ce passait-il ainsi alors que j'étais supposé hérité de deux magnifiques enfants venant de leur créateur, lui. Je ne pensais qu'à Aube et Aiden en ce moment. Je les libérerais sans doute d'un fardeaux, je n'avais pas le choix. Je ne pouvais pas le laisser partir après ce que j'avais vu. Autant de mort, autant de peine, dans une solitude la plus profonde je m'avance vers lui pour ajouter une couche à sa douleur. Un coup de pied puissant dans ses bourses. Tellement puissant que j'entendis son scrotum craqué sous la puissance de mon coup. Je me penchais à nouveau au dessus de lui fixant son visage qui dégoulinait de sang.
Adieu Devon.
Mes deux mains empoignèrent ses cheveux. Je tirais de toute mes forces pour sentir son cou craquer et voir sa peau se fendre petit à petit. Le sang commençait à gicler dans tous les sens. Sur mes vêtements, mon visage. J'avais les bras et les mains couverts de son sang. J'étais entrain de lui arracher la tête, violemment comme un loup qui dévore une proie. Je n'avais plus aucun scrupule, je ne ressentais rien d'autres que de la douleur. Ses ligaments et ses organes commençaient à se déchirer. Sa tête était à présent arracher. Il me prit quelques secondes pour réaliser ce que je venais de faire. Regardant cette tête dans ma main se vider de son sang. Je regardais autour de moi. Il n'y avait personne. Il était tard et c'était la nuit. Sa tête roula jusque dans l'eau de ce petit étant dans le parc. Le sang continuait de couler par la cavité de son corps sans tête.
Traumatisée, réalisant ce que j'avais fais. Je tombais sur mon postérieur, me faisant reculer de mes mains par l'arrière. Mes mains et mes jambes bougeaient à toute vitesse. Mes fesses frottaient contre le sol. À un moment je frappais un mur. Dans tous les sens du terme. Mon dos s'adossait contre le mur de ce bâtiment et mon esprit frappait un mur solide et douloureux. Je ne parlais plus. J'étais traumatisé. Je regardais la scène de crime. Je regardais tous les corps étendus sur le sol comme si jamais je ne pourrais me relever. Jamais je ne serai capable de me relever. Jamais. Les larmes coulèrent sur mes joues. Mes yeux étaient rempli d'amertume, de haine, je ne savais plus quel sentiment je devais ressentir. J'étais figée, regardant tous ces corps. Le mien était couvert de sang, le sang sur mon visage coulait sur mes jeans en même temps que les larmes qui le bordait. Je ne savais pas si je pourrais me relever après ce combat. Émotionnellement j'étais détruite, anéantie. Et si la police arrivait, s'en était terminé pour moi. Je me devais de bouger, il fallait que je me bouge, mais je n'en avais plus la force. Je ne ressentais plus rien. Le vide en moi venait s'emparer de mon corps. Mes yeux étaient fixer sur le parc.
Je me rappelais soudainement la conversation que j'avais eu avec Willow. Est-ce que dieu existait réellement ? S'il existait, en ce moment, j'espérais qu'il me fasse un signe. Qu'il vienne me chercher et qu'il m'apporte dans les cieux, car je n'en pouvais plus de cette vie. De cette ville. Je ne supportais plus de tout perdre considérablement sans rien gagner au bout de mes batailles. Si c'était tout ce que ce monde avait à m'apporter. Je préférerais que l'on m'emporte.
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quand tu souris comme ça j’ai envie de sortir mon coeur de ma cage thoracique
je veux l’oublier, ta douceur, la manière dont tu parles quand tu es fatigué, ton rire
je veux pas t’oublier toi, juste l’amour que je te porte, mais je sais très bien que ca n’arrivera pas.
je te l’ai dis que je t’aimerais toujours, tu as pris mon coeur sur un petit plat, tu le sais, tu l’as déchiré, recousu avec un petit fil fragile mais pourtant je te pardonne la douleur et la peur que ca m’a causé.
il y a peu de choses que je pourrais pas te pardonner.
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I’m carving my heart out of my chest
You are watching me do it, a smile on your face
I know you don’t see what it is, for you it’s just a gift
For me it’s my life
It’s okay if you forget
I never will, i thought i would but i won’t
It’s okay if i never heal
It’s okay if i never forget
I won’t ask for anything in return,
Just let me know you again and again
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Os contre peau
Trois ans. Trois ans de craquement, de bassin désaxé, de nerfs coincés, de côtes déplacées, de ligaments fragilisés, de tendons désarmés. Trois ans de larmes, d’épuisement, de craquage dans ses bras. Trois ans de fous rires nerveux, d’humour partagé, de main qui serre la mienne. Trois ans de mâchoire luxée, de bruits inquiétants, de regards anxieux posés sur mon corps quand ses mains cherchaient le bon endroit à réparer. Trois ans à reculer, avancer, tâtonner, paniquer. Une cage thoracique craquelée, des énergies brisées, des deuils, des ruptures, des hospitalisations. Tout ça, il l’a entendu, nettoyé, supporté, consolé. Il n’a jamais cillé, n’a jamais jugé, a toujours écouté. Trois ans.
« Et tu supportes encore mon corps entre tes bras. Faudrait aussi que j’apprenne seule à marcher droit ».
J’ai peur de perdre sa main dans la mienne quand je serre les dents lorsque la douleur prend toute la place. J’ai peur de perdre la seule chose qui maintient la noirceur du corps à un niveau supportable. J’ai peur de perdre nos rires, peur de perdre la chaleur de ce lieu qui a tout d’un havre de paix. Mais j’ai grandi, je ne peux plus me permettre de pousser loin, très loin, tout ce qui fait du bien dans la peur qu’un jour il y est une fin. J’ai eu peur d’avoir imaginé cette lueur d’affection presque familiale que je vois dans ses yeux quand il me rassure, quand je le fais rire. Aujourd’hui je sais, je crois être sûre, que tout ça n’est pas à sens unique. Qu’on s’offre, qu’on partage, qu’on apprend, tous les deux, quelque chose de toute cette souffrance.
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je me sent si vite que j'ai l'impression d'avoir un troue dans la cage thoracique. Et une seul action m'épuise j'ai envi de dormir mais ne pas me réveiller
sois fier.ère de toi par-ce que malgré le fait que tu sois épuisé.e, et que tu as l'impression d'avoir un énorme trou en toi, tu ne baisses pas les bras, tu t'accroches comme tu peux et ça, crois-moi, tu peux en être fier.ère - et si tu ne l'es pas, moi je suis fière de toi
je te donne quelques petites actions à réaliser pour apaiser tes maux :
dessine
regarde le ciel
regarde squeezie sur youtube
appelle un.e ami.e, ou envoie un message
souviens-toi d'un moment heureux et revis-le durant un instant dans ta tête
regarde une série (genre, grey's anatomy, c'est génial)
complimente une personne proche, ou un.e inconnu.e
essaye de planifier ta journée de demain
félicite-toi pour chaque minute que tu passes sans te faire du mal, et par-ce que tu ne baisses pas les bras malgré la douleur que tu ressens, tu es incroyable
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La pute || Lecteur x John Shelby
Anon a demandé: «11 & 19 avec John boy? car il me manque " (il me manque aussi, mon pauvre cœur me fait mal [Note de l’auteur])
Résumé: n.11 & 19 de la liste d'invite: "S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît" + "Je brûlerai ce putain d'endroit" Avertissements: jurons, beaucoup d'angoisse, prostitution, nudité , violence, mentions d'abus, mentions de viol, discours misogyne, description graphique des signes de violence physique
Notes de l'auteur @thepeakyfckingblinders:
Derrière chacune de ces œuvres, il y a des nuits blanches et quelque chose de très proche de multiples pannes mentales, alors, s'il vous plaît, prenez une minute pour m'envoyer un message à ce sujet, j'ai besoin de commentaires réels pour comprendre comment améliorer mes compétences et évoluer ♡
Donc, cette demande est dans mon esprit depuis des lustres, et même si je ne suis pas satisfait de sa dernière partie parce que ça craint, je suis littéralement obsédé par cette idée, je l'aime tellement que j'écrirai probablement une longue fic à ce sujet, juste après Contagio, mais cela dépendra de vous les bébés, parce que, d'abord et avant tout, j'ai besoin de savoir ce que vous pensez de cette pièce. ⤟ IMPORTANT
S'il vous plaît , si vous êtes victime de tout type d'abus, parlez à quelqu'un qui peut vous aider, personne ne devrait vivre seul quelque chose comme ça. ⤟ IMPORTANT
J'ai édité le gif et ajouté le texte, ce n'est pas une scène réelle du spectacle, mais j'ai pensé que cela pourrait être une bonne idée, un petit détail qui pourrait être ajouté à mes œuvres. Qu'est-ce que tu en penses? Pls, laissez-moi entendre vos opinions babeees ⤟
Je suis désolé d'être si tard , mais j'ai été très occupé ces derniers jours et écrire n'est jamais seulement facile, cela demande de la concentration et des efforts, et je ne veux pas que vous soyez déçu, donc je suis toujours extra précis tout en travaillant. J'espère que cela vaut la peine d'attendre!
Si vous souhaitez être ajouté à ma liste de balises, veuillez m'envoyer un message directement
Je suis italienne , l'anglais n'est pas ma langue maternelle, donc je m'excuse pour chaque erreur possible que j'ai commise. Aussi, aidez-moi à améliorer mon écriture en me disant s'il y a quelque chose qui ne va pas.
Tout d’abord je suis désolée si la traduction n’est pas super je suis nulle en anglais de plus le jour où j’ai fini de la traduire je venais d’avoir un 15/20 puis 8/20 ?
J’utilise un traducteur pour m’aider, car je suis feignante .
Si vous voyez des fautes d’orthographe n’hésitez pas !
Les imagines sur John Shelby ne sont pas vraiment ce que je lis mais je suis tombée amoureuse de celle-là.
Bonne lecture !
Birmingham était en quelque sorte silencieux cette nuit-là, John remarqua les rues inhabituellement vides autour de lui, alors que son rythme fougueux le conduisait facilement vers une destination bien connue, ses pas confiants retentissant entre les murs humides de ces rues sordides faits d'innombrables appartements surpeuplés. La puanteur indubitable d'urine stagnante imprégnait méchamment ses narines, provoquant bientôt une expression dégoûtée pour souiller son visage angélique, tandis qu'il prenait avidement la énième traînée de fumée de son cigare cubain et arrêtait finalement sa marche incessante devant le bordel le plus célèbre du toute la ville. Depuis environ trois ans, jour après jour, sa vie tournait périlleusement autour du gouffre: les choses étaient devenues totalement incontrôlables, le destin l'avait impitoyablement plongé dans un profond désespoir, donnant vie à une spirale apparemment sans fin d'obscurité et de désolation, qui était en train de ronger graduellement sa fragilité, de l'étrangler brutalement, de piller tel un rapace chacune de ses respirations vitales déjà tendues. Et, néanmoins, il était plus que difficile de le blâmer pour des résultats aussi catastrophiques, après tout, il avait à peine survécu au champ de bataille, seulement pour se retrouver avec une poignée de rien, laissé seul pour faire face à une femme décédée et quatre enfants à élever seul, tandis que ses tripes rampaient de douleur atroce et d'acrimonie vorace pour le monde entier, lui faisant développer une tendance à l'autodestruction qui était tout aussi préoccupante que bien cachée. En fait, malgré son enfer privé, il restait toujours un Shelby, et un Shelby n'était pas censé être doux, ni faible, aucun d'entre eux ne pouvait se permettre de succomber à leur affliction, jamais, pas un instant . Ils devaient être invulnérables.
Ou, au moins, ils devaient paraître invulnérables, car la vérité était que John avait peur, complètement effrayé par tous ces changements impitoyables. Au fond de lui, il se sentait comme un enfant désespéré et sans défense, abandonné par Dieu et rejeté pour errer dans ce monde sinistre sans autre destination que la mort et la misère, ainsi son sang bouillait de virulence et de venin, son cœur se serrant de colère aveugle et son jeune âme dévastée désespérément longue pour toute sorte de distorsion d'affection non attachée. C'était essentiellement la raison principale pour laquelle son lit était incessamment chaud, ou plus précisément, plus chaud qu'il ne l'avait toujours été auparavant, car, inutile de le dire, John Shelby était un coureur de jupon. Sa beauté étonnante était constamment sur les lèvres de tout le monde à Birmingham, il n'y avait pas une seule femme dans toute la ville qui n'avait pas rêvé de coucher avec lui au moins une fois dans sa vie. Par conséquent, John était plus qu'heureux de leur plaire à tous, littéralement, de les accueillir à bras ouverts, même pendant son mariage passé; et, en ces rares occasions où aucune fille n'allait frapper à sa porte, il s'était maintenant habitué à chercher du secours dans les maisons closes, plutôt que de dormir seul et de devenir une proie facile pour ses démons féroces.
Il a donc fini par laisser tomber son cigare fumant sur l'asphalte inégal de l'endroit le plus délabré de Small Heath, "Le Belle Donne", une maison de tolérance italienne, assez délabré et sur le point de tomber en morceaux, mais qui s'est souvent avéré avoir ses prostituées préférées. En effet, depuis que les Peaky Blinders avaient vaincu et soumis le clan de Sabini, ils avaient occupé une position de premier plan dans le pays, au point que plusieurs autres gangs italiens sur leur territoire, y compris les Changretta qui possédaient ce bordel en particulier, avaient finalement donné aux Shelby. En conséquence directe, pour le dire simplement, John et tous ses frères avaient, dans un sens très réel, gagné le plein droit d'abuser de toutes les affaires que les wops détenaient.
"Hé, gars !" Johnny aboya avec résonance en entrant dans le hall, maintenant une attitude assez intimidante et un regard menaçant exprès, pour faire encore plus peur à son nouveau larbin. "Allez, montre-moi ce que tu as" Cet ordre rude glissa sournoisement sur sa lèvre inférieure, immédiatement suivi par sa langue brûlante, tandis que son regard affamé parcourait la pièce, examinant le visage de chaque prostituée qui se tenait là avec une attention méticuleuse, sans cependant, trouver quelque chose qui pourrait le satisfaire. Robert Turrini, le proxénète, était un gars bizarre, car son apparence physique pouvait probablement être décrite comme à la fois dérangeante et amusante: son estomac corpulent et révoltant vacillait et ses jambes courtes trébuchaient dangereusement, quand il se hâtait de se lever et d'accueillir son client le plus dur. "Monsieur. Shelby, quel honneur et quel plaisir de vous revoir! » Ces mots de lèche botte ont fui de sa bouche pâteuse et malodorante, et néanmoins, ses doigts tronqués trahissaient inexorablement ses vraies pensées, car ils se torturaient nerveusement les uns les autres ou, comme seule alternative, couraient convulsivement à travers sa frange grasse et miteuse. "S'il vous plaît, monsieur, suivez-moi, ce sont pour les péquenaud et les alcoolos, rien à voir avec des messieurs comme vous" Une fois de plus, le ton aigu et torride de Turrini râpait sans relâche dans ses oreilles, faisant clairement référence au groupe de putains de second ordre qui pouvaient être trouvées à l'entrée; ainsi le proxénète boiteux se déplaça rapidement, sa main faisant signe avec impatience à John de marcher sur ses talons, puis se dirigea vers un couloir étrangement étroit, si maigre qu'il était presque impossible de traverser, sinon de marcher en biais. Le salon secret n'était éclairé qu'en partie par une lumière rouge sordide créant une atmosphère horrible, un silence terne régnait tyranniquement dans ce petit espace, bien que tu n'étais pas seul, mais pratiquement collé à une autre fille; tous deux assises sur un canapé minuscule, vos coudes se touchant, toujours, aucunes d'entre vous n'a osé émettre un seul son. Tout ressemblait à du plomb sur ta cage thoracique en papier mâché, cette horrible sensation forçant ton cerveau traumatisé à continuer involontairement de compter les secondes jusqu'à ce que ce fardeau haineux se soit potentiellement enfoncé dans ton sternum, annihilant définitivement ton cœur éclaté. En conséquence, lorsque la porte délabrée s'est ouverte et qu'un grincement aigu a gratté votre peau, tu pensais vraiment être sur le point de mourir. Ton tortionnaire a fait son entrée, et juste après lui, un autre homme est entré, mais tu ne pouvais pas voir son visage, car le sommet de sa casquette projetait intentionnellement une ombre mystérieuse dessus. "Ces deux là, sont vraiment jeunes, très douce" Robert exhiba ses biens avec un sourire néfaste, frottant ses pattes souillées avec une avidité évidente. «Voici la plus belle offre de chair et d'os sur le marché» Un ricanement sadique accompagna avec répugnance son discours, provoquant instantanément un froncement de sourcils chez John, visiblement mécontent de la façon dont l'homme parlait délibérément des êtres humains. Heureusement, c'était un fait connu que le milieu Shelby avait l'habitude de traiter ses femmes avec tout le respect dû: qu'il les paye ou non, il s'assurait toujours qu'elles étaient à l'aise avec lui et ne rechignait jamais à leur donner du bon temps également; par conséquent, un regard vexé a été tiré dans la direction de son interlocuteur grossier, avant que ses yeux cristallins ne flottent brièvement autour de la place, puis se heurtent presque instantanément à votre élégante silhouette.
Ta circulation sanguine semblait sur le point de ralentir tandis que le regard confiant de l'étranger empêchait le tiens, ses traits bruts étant maintenant pleinement affichés, car il avait légèrement levé le menton pour te regarder correctement, et toi seulement, malgré les tentatives désespérées et pétulantes de Clarissa pour attirer son attention avec des sourires malveillants et des noms d'animaux ridicules. Même si ton esprit hébété venait d'être brutalement brutalisé par l'assaut soudain et embrasé de ses iris glaciaires, quelques instants ont suffi pour que tu réalises à quel point il était profondément différent de tous les rats bas qui traversaient habituellement cet horrible endroit.
Chaque trait pointu et toujours délicat de son visage débordait d'une délicieuse jeunesse, un œil moins vif aurait peut-être même confondu sa fraîcheur avec une réelle naïveté, mais pas le tien; tu étais bien trop maline pour commettre une erreur aussi grossière. En outre, le tissu chic bleu nuit du costume chic, pliant remarquablement son corps majestueux, laissait planer un doute sur le fait qu'il était, selon toute vraisemblance, un homme considérablement riche, ce qui était au-delà de te désorienter, car le prix à payer pour un délice sordide dans ce bordel était outrageusement dérisoire, c'est le moins qu'on puisse dire.
Et finalement, autant qu'il t’ait tué pour le concevoir, il était sans aucun doute l'un des hommes les plus enchanteurs que tu ait jamais vus, au point que tu t’es retrouvé inconsciemment à te dem!ander la raison possible pour laquelle une créature céleste de son genre aurait besoin d'acheter une misérable heure d'amour dissimulé.
"Elle, là-bas" Ce murmure malléable, rempli de nostalgie et de gratification, se glissa furtivement dans la bouche de John, alors que son sourire se leva vers le haut de manière séduisante et son regard persévérait dans son engagement louable à prolonger scrupuleusement votre plus belle forme dans une pure adoration. Dentelle et organdi fusionnés sublimement sur le déshabillé cramoisi léger que tu portais, ta forme immaculée est apparue comme un paradoxe séduisant dans ses pupilles dilatées, avec tes longues jambes laissées luxueusement exposées, tandis que chaque pouce de votre peau de porcelaine, de votre cou maigre à votre aine , ont été minutieusement déguisé par ce matériau impie, sombre et impénétrable, bien que suffisamment mince pour lui permettre d'apercevoir votre poitrine. Son souffle frissonna de crainte quand il se retourna pour contempler les traits aphrodisiaques de ton visage, ses joues rouges et ses lèvres charnues lui faisant mal de désir, puis tes yeux de biche inondés de mélancolie, étranglant son âme sans pitié, enracinant dans son cerveau la conviction perfide qu'à la fin de la journée, il aurait volontiers dilapidé sa fortune, ne serait-ce que pour te vénérer de loin. "Hé, chéri!" Sa voix basse a finalement grondé dans les murs de ce petit espace, vibrant massivement dans ton abdomen, tandis que tu te forçait à avaler la masse douloureuse obstruant ta gorge et à te lever, répondant rapidement à son ordre, consciente que commencer à se rebeller contre ta pitoyable destinée n'aurait servi à rien. En tenant la main de ton client derrière ton dos, mais en gardant la tête baissée pendant tout le trajet, tu l’as guidé silencieusement dans l'escalier en colimaçon jusqu'à la meilleure pièce de la maison, comme te l’avez précédemment informé le proxénète. Sa veste et son chapeau ont été rapidement accrochés au porte-manteau, laissant son haut musclé recouvert uniquement de sa chemise blanche et de son gilet bleu, un sourire séduisant a été projeté dans ta direction et tu as détecté une étincelle libidineuse dans ses iris, alors qu'il réduisait l’espace entre vous à un rythme lent. "Comment dois-je t'appeler, ma chérie?" Il a sciemment utilisé le même surnom flatteur une fois de plus, en murmurant cette question à peine audible dans ton oreille, car il était maintenant derrière toi: ses grandes mains posées autour de ta taille, faisant doucement s’emboiter ton dos et sa poitrine, tandis que sa bouche qualifiée brossé immédiatement contre ta nuque, dessinant une traînée ardente de picots éphémères jusqu'à ta mâchoire. "Seulement y / n" Tu halètes en réponse, le contraste marqué entre sa chaleur et ton corps froid amer, ainsi que la peur paralysante qui te manges vivante, a fait que ton estomac brouillé se tortille et que tes paupières se ferment douloureusement en un froncement de sourcils. "Eh bien, c'est un assez beau nom, je suis John, au fait" Un joli rire, pourtant sous-entendu, emplit furtivement tes oreilles avec ce petit compliment; il n'y avait aucune trace de moquerie dans son ton, cependant, cela sonnait simplement comme s'il voulait être gentil avec toi, sans aucune aspiration à un gain personnel, et tu rougirais presque, pris au dépourvu et plus habitué à aucune forme de gentillesse. Néanmoins, c'était une question d'instants avant qu'un autre long baiser mouillé ne soit pressé sur ta mâchoire, te faisant sursauter avec une appréhension évidente et, plus tard, définitivement s'éloignant de lui, dès que tu sentais son toucher abandonner tes hanches seulement pour grimper sur tes côtés, jusqu'à ce qu'il atteigne le col de ta chemise de nuit et que ses doigts commencent à jouer avec ses boutons ronds.
"Non, je vais le faire!" Tu as brièvement averti, alors que tu perdais temporairement le contrôle de ton discours et de tes actions, en plaçant tes mains au-dessus des siennes pour les hausser, puis en te tournant pour lui faire face avec un souffle court, tes paumes ouvertes te protégeant. «Je m’en occupe» Une voix sensiblement plus douce a supplanté ta grossièreté précédente une fois que tu as progressivement métabolisé les dégâts que ta réaction imprudente aurait pu causer.
"Ok,ok, chérie, comme tu veux" Mais John se contenta de glousser, se moquant de toi tendrement, tandis que ses avant-bras se levaient en plaisantant en se soumettant à tes ordres, bien que, à vrai dire, ton comportement étrange l'avait laissé un peu perplexe, bien-presque confus. Reculant prudemment vers l'arrière, il se mit confortablement à l'aise sur le bord du lit double, assis juste devant toi avec les jambes écartées, son regard ardent ne se déviant jamais de toi, et commença à déboutonner son gilet avec sa chemise et son maillot de corps, jusqu'à ce que son torse sculptural soit complètement nu, dans toute sa splendeur, alors que la lune filtrait à travers les rideaux et diffusait ses faibles rayons sur tous ses contours, améliorant superbement tous ses muscles.
Sans sursis, il te lorgna dans une pure adoration, étonné de nouveau de manière dévastatrice par ta beauté éblouissante, désireux de sentir ta chair en feu autour de la sienne, accroché littéralement à chaque mot ou à ton mouvement, tandis qu'un sourire provocateur ondulait régulièrement sur ses lèvres. Pourtant, il ne cessait de se demander pourquoi une vision angélique comme toi disparaissait lentement dans cet enfer authentique sur le cœur, dilapidant catégoriquement ton rougissement de la jeunesse au milieu de cette cohue de putridité effrénée. Cela n'avait absolument aucun sens, et il ne pouvait pas se débarrasser de cette pensée pernicieuse qui hantait son esprit depuis qu'il t’avait vu pour la première fois: tu avais l'air nerveuse, extrêmement défensif, presque paralysé par la peur; tu semblais si différente de toutes les putes qu'il avait eues auparavant, d'où son instinct, si obscurci par la cupidité, criait que quelque chose n'allait pas. Et quand il te regardait lui tourner le dos à nouveau, afin d'éviter son regard pénétrant alors que tu te déshabillais à contrecœur, il lui suffisait de comprendre que son exécrable intuition avait raison. Néanmoins, au moment où sa tête a réussi à se reconnecter à sa bouche, il était déjà trop tard, le textile doux de ta chemise de nuit est tombé inéluctablement sur tes pieds, te laissant nu sous ses yeux affamés.
John s'étouffa de son propre souffle; pour la première fois, il se sentait comme un gamin lors de sa première expérience, peu importe si rien ne peut être plus éloigné de la vérité, d'une manière trouble et énigmatique, tu pouvais le rendre vulnérable. Sa gorge est devenue incroyablement sèche pendant qu'il continuait de te fixer avec crainte, les courbes sinueuses de tes fesses sans faille, la ligne sinueuse de ton dos superbement arqué couvert en partie par tes cheveux doux, tes épaules tendues et tes jambes raffinées, tout ce qui te concerne, son esprit devint entièrement noir, les mots s’étouffant dans sa gorge. Pourtant, dès que tu t’es déplacé pour lui faire face et que sa vue a été bénie par la vue complète de ta silhouette voluptueuse, quelque chose a altéré la lumière dans ses yeux bleus, les rendant soudainement sombre et sinistre. Sa mâchoire tomba légèrement sous le poids de cette consternation violente: en conjonction, un sentiment odieux de nausée cruellement tiré dans le ventre et la colère aveugle l'assaillit virulemment, car ton buste était complètement martyrisé.
"Que se passe-t-il…" Ce babillage non voulu mourut dans l'air glacé, ses orbes choqués délimitant les traits de ta silhouette endommagée: ton cou et ta clavicule étaient horriblement enduits de plusieurs empreintes violettes, comme si quelqu'un t’avais étranglée sans pitié encore et encore, des ecchymoses bleus verdâtres avec la forme de paumes pleines encerclé vos deux bras, il y avait des signes visibles de ligature autour de tes minuscules poignets. Pire encore, ses paupières ont dû se concentre un peu pour mettre en évidence les multiples points de sang de bœuf stigmatisant vos seins mous, jusqu'à ce qu'il remarque avec horreur comment ces taches rondes étaient effectivement des brûlures de cigarettes; tout l'oxygène s'est brutalement retiré de ses poumons, quand il s'est attardé sur les multiples marques bleues et noires profanant barbare les protubérances de vos côtes. Mais ce qui l’a irrémédiablement mis hors de lui, étaient les deux horribles cicatrices creuser des sillons étirés dans le bas de l’estomac, parallèlement à vos os pelviens gonflés et presque jusqu’à votre aine livide.
En proie à cette humiliation nocive, tu as observé un dégoût brut contaminer ses traits et, sans raison apparente, la haine dormante que tu avais pour toi-même a commencé à fermenter à l'intérieur de ton ventre. "Je-je suis désolée" Tu t’es forcé à avaler tes larmes imminentes, de manière inattendue, la conscience de ne pas pouvoir lui plaire a en quelque sorte infligé plus de souffrance à ton âme mutilée "Si je ne suis pas à ton goût, tu peux … » Le jeune homme se leva rapidement et, avant que tu ait eu la chance de terminer ta phrase absurde, il attrapa facilement sa chemise, s'approchant de toi avec diligence, ses iris froides brûlantes avec un mélange invraisemblable de fureur et d'inquiétude. "J'en ai rien à foutre !" Sa voix était instable, roulant le long de sa langue dans un halètement fatigué, alors que ses mains s'empressaient d'enrouler sa chemise autour de tes épaules, ses doigts tremblants luttant pour passer les boutons dans les œillets "Qui t’as fait ça?" En vérité, il parlait à lui-même plutôt qu'à toi, une impatience perceptible aggravant son ton fou, mais tu étais toujours éloigné de son regard curieux, plus que déterminé à garder la bouche fermée, dans la mesure où ta tête étourdie tournait déjà impuissante, et ton cœur martelait furieusement contre ta cage thoracique douloureuse. Tu avais du mal à comprendre ce qui se passait, tout autour de toi était si confus, tu ne savais même pas si tu pouvais lui faire confiance ou pas, tu voulais seulement fermer les yeux et oublier ce cauchemar éveillé. « Je ne te le demande pas, bon sang! Dites-moi qui c’était! »
Cet ordre brûlant vous a ramené à la réalité et a éclairci combien facilement son caractère impétueux pourrait refaire surface; en effet, tout d'un coup, aucune trace n'a été laissée de ce garçon aimable et gai qui, plus tôt dans la soirée, avait réussi à te faire véritablement rougir, au contraire, quand il vous a pris les joues et vous a secoué avec véhémence, dans un effort désespéré pour obtenir ton attention, son commandement rude et autoritaire t’as frappé sans relâche, et le doux enfant en lui a fini par être complètement étouffé par le gangster effrayant et impitoyable qu'il était vraiment.
Ce contact imprévu a fait que tes pieds ont automatiquement basculé en arrière, tes yeux sont tombés sur la pointe de tes pieds et tes dents ont commencé à mordiller ta lèvre inférieure, tandis que ton cerveau épuisé a recouru à sa dernière once de force, t’obligeant ainsi à cracher un peu de ton chagrin. «Il y a trois mois, l'homme que j'ai appelé père m'a vendu pour régler une de ses dettes avec les Italiens» Ton thorax a semblé rétrécir, une fois que tu as pris conscience que c'était essentiellement la première fois que tu te permettais de le dire en entier à haute voix. Cependant, la présence de cet étranger compatissant représentait toujours pour toi une barrière importante à surmonter, conduisant ton regard inquiet à passer frénétiquement de la crasse sur le sol, à la fenêtre cassée sur ta gauche, n'importe où, mais n'osant jamais rencontrer son regard. "J'ai essayé de m'enfuir, je le jure, mais ils m'ont toujours rattrapé et-"
Un gros nœud a calleusement bouché le bas de ton palais, te faisant hésiter pendant une minute, en te frottant doucement les bras, pour essayer de te réconforter. "Robert est sang chaud, il devient assez brutal quand tu ne coopères pas" Ces considérations désenchantées portaient un sourire involontaire, ce n'était rien de plus qu'un spasme, mais cachait le signe indubitable de larme imminent, aux iris attentifs de John. Il ne l'a certainement pas laissé passer inaperçu, mais il a choisi de garder le silence, car la dernière chose qu'il aurait voulu à ce moment crucial était de te faire encore plus peur.
«Il m'a battu à mort, à chaque fois plus fort que la fois précédente, puis il a laissé ses hommes… Il m'a gardé attaché à ce lit pendant des jours pour me donner une leçon» Des larmes abondantes coulaient maintenant sans relâche sur ton visage rougi, ton cœur endolori par une affliction crue, t’empêchant de respirer correctement, une de tes paumes alla instinctivement couvrir l'espace entre tes seins, dans un vain tourbillon pour apaiser ce chagrin atroce. "Oh mon Dieu" John soupira simplement, il était également instable au bord des larmes, des veines épaisses pompées de manière indomptée à proximité de ses tempes, jusqu'à ce que sa forme solide se ruine sur le côté le plus long du lit, ses coudes perçant ses propres cuisses, alors qu'il se cacha derrière ses poings serrés et se permit finalement de se livrer à quelques sanglots étouffés. D'innombrables atrocités avaient obscurci ses yeux et son âme au cours de sa brève vie, lui-même était capable d'actes de cruauté indicibles, tout de même, c'était absolument intolérable, entendre ton histoire lui pesait terriblement. Quoi qu'il en soit, il ne pouvait pas imaginer comment quelqu'un aurait pu être si désespérément diabolique, pour abuser d'une manière aussi haineuse une créature sans défense aussi pure que toi. Cette pensée le dérangeait irrémédiablement, érodant ses entrailles avec rancune, le privant presque de sa raison.
"Jusqu’à...jusqu'à ce que j'arrête de les combattre" Ton dernier chuchotement angoissé frappa le coup fatal, il plongea sans relâche dans sa poitrine, envoyant une insupportable secousse de douleur à travers ses veines empoisonnées. Pendant un bref instant, son expression, ainsi que la tienne, se transforma durement en un masque fait de désespoir net, comme si vous souffriez tous les deux exactement la même douleur, au même moment.
"Je vais le tuer putain!" Puis, tout à coup, quelque chose en lui explosa violemment, il se leva avec fureur, trébuchant brutalement sur la table à côté et tout ce qui y était placé. "Putain, je vais tuer ce sale salaud de mes deux mains, enfer sanglant!" Ses hurlements rauques et ses pas furieux couvraient toute la longueur de la pièce en l'espace d'une minute à peine; il bouillonnait littéralement de crises de rage meurtrières.
"Non!" Ta voix désespérée a éclaté à nouveau et tu t’es dépêché de l'atteindre, vos mains enveloppant inconsciemment ses pommettes " S'il te plaît, s'il te plaît, John, s'il te plaît , arrêtes!" Pour la première fois, son nom a glissé de votre gorge douloureuse entre ces plaidoyers pathétiques, tes mains l'ont forcé à vous regarder, pour tenter de le dissuader de ses intentions homicides; la simple pensée des conséquences potentiellement désastreuses de sa colère calamiteuse t’as totalement asphyxié, une panique rampante a assailli ton esprit fragile et, peu de temps après, tu t’es retrouvé à hyperventiler et en même temps déchaîné un tas de mots incohérents, tes doigts resserrant progressivement leur emprise sur lui. "Il va se mettre tellement en colère contre moi, il va-il-il est ..." "Je suis un putain de Shelby, il ne prend pas un putain de souffle à moins que je le dise" Il attrapa fermement ton menton avec seulement deux de ses doigts, guidant tes pupilles épuisées pour se concentrer entièrement sur son regard confiant, et il grogna ce fait incontestable à une distance de ton nez. Pétrifié par cette nouvelle prise de conscience, tu es devenue complètement silencieuse, ne faisant que regarder dans sa direction, pendant qu'il remettait son maillot de corps avec facilité et saisit rapidement sa casquette. «Reste ici, tu m'entends? Ne bouge pas jusqu'à ce que je revienne. » Un baiser incandescent a été impulsivement appuyé sur ton front, aucun autre mot n'a été dépensé, avant qu'il ne disparaisse derrière la porte de ton enfer privé. Lorsque ton persécuteur a vu son invité spécial se précipiter sans relâche vers son bureau avec une expression truculente exsudant une fervente déception, il a sauté sur ses pieds, prêt à trouver une solution à tout problème qui aurait pu survenir; une chose était sûre, il n'aurait jamais deviné ce qui allait se passer. "Monsieur Shelby, que ce passe t’il ? » Le poing de John entra sauvagement dans sa mâchoire, étouffant son discours écœurant dans l'œuf, sans donner à Turrini une seconde pour traiter ce qui se passait, un autre coup de poing le frappa sans pitié, puis un autre, puis un autre, jusqu'à ce que du sang chaud et abondant jaillit de ses multiples blessures. "Toi fils de pute" Des gémissements animaliers quittèrent ses gueules enragées, une haine pure se précipitant dans son cerveau, alors qu'il le jetait violemment au sol, commençant immédiatement à lui donner des coups de pied avec toute sa force brute. "Pitié! Je vous en prie, monsieur, ayez pitié! » Les prières et les cris déchirants de sa victime titillaient à peine ses oreilles, tout ce à quoi il pouvait penser était votre corps tragiquement gâché, d'où un désir effréné de lui donner un avant-goût de ses propres soins. "Où était ta miséricorde quand tu la torturais?" Tenant savamment son chapeau de la manière la plus efficace, dans une fureur, John descendit sur son agneau sacrificiel, défigurant rapidement un seul côté de son visage, afin de prendre une scène assez théâtrale. pause de son travail méchant.
"Quand elle t'implorait d'arrêter?" Robert pleurait maintenant à haute voix, submergé par cette agonie impitoyable, réduit à juste invoquer la mort, puisque rien dans toute sa misérable existence ne lui avait jamais causé une douleur plus intense que le perception grossière d'une lame de rasoir finement aiguisée lacérant brutalement sa chair, pouce par pouce.
"Maintenant, plies l'oreille à cela" malgré ses lamentations déchirantes, John le soulève brutalement en saisissant le col taché de sang de sa veste "si quelqu'un d'autre que moi s'approche de sa putain de chambre, je brûlerai ce putain d'endroit!" » Et avec cette première menace mortelle, la tête du proxénète a été brutalement cognée contre le mur, un énième gémissement de contrition s'échappant de sa bouche remplie de sang, néanmoins, il ne restait plus de temps pour la rédemption.
"Tu lui poses la main dessus" son crâne a été percuté avec obstination dans les briques une fois de plus, une éclaboussure cramoisie a enduit le plâtre pâle qui les couvre "Je te brise le cou" Les jointures de John se sont jointes, sa main droite rouge renforçant efficacement sa prise sur son cou, le tuant presque sur place. Cependant, heureusement pour le proxénète, Johnny n'aurait pas mis fin à ses souffrances, ni ne pourrait simplement t’emmener, au fond de lui, il savait qu'il devait en discuter avec sa famille, avant tout, avec Thomas, car l'équilibre instable atteint par le Peaky Blinder était bien trop fragile pour déclencher une nouvelle guerre contre les Italiens. Ainsi, avec beaucoup de difficulté, il se força à garder son esprit clair et à mettre un couvercle sur son instinct bestial. "A partir de maintenant, aucun de vous, sales porcs, n'avait le droit de la regarder". Le jetant au sol, le milieu Shelby a donné un dernier coup de pied directement à son gros ventre, et a craché sans respect sur lui, marquant avec son esclavagiste le fin du calvaire de sa proie brutalisée. «Sur l'ordre des Peaky Blinders» Dès que la porte crépitante s'est ouverte, ton cœur a semblé exploser, tes paupières se sont fermées de peur pure, tandis que tu as rapproché tes genoux de tes clavicules, une prière ancienne qui traînait sur tes lèvres avec de fortes respirations , alors que tu te préparer au pire. Mais le pire n'est jamais venu. «O / n, hé, calme-toi. C'est bon" La voix rauque de John résonna dans tes oreilles et, tu aurais pu le jurer, c'était, sans aucun doute, le plus beau son que tu as jamais entendu. Ta tête se pencha brusquement dans sa direction, un mélange intense de peur et d'espoir scintillant dans tes iris larmoyantes, un sentiment profond secouant toujours ton petit moi. "C'est moi, c'est juste moi" Gardant les bras levés pour indiquer son intention inoffensive, il s'approcha prudemment de toi. Presque immédiatement, tu as remarqué les nombreuses empreintes de main écarlates tachant son haut pâle, signe éloquent qu'il avait essayé d'essuyer ses paumes sur ce matériau ivoire du mieux qu'il pouvait. Pourtant, tu étais si profondément soulagé de voir son visage amical que, pour être honnête, la vue du sang frais ne t’as pas du tout dérangé. C'était comme si tu étais tombée dans un état de fugue, chaque chose autour de toi étais si distante, tes sens engourdis ne pouvaient que se concentrer sur la silhouette maigre de John agenouillée devant toi. «Personne ne te fera plus de mal, chérie» ses mains allèrent doucement caresser tes cuisses, tandis que son regard inquiet cherchait sans relâche le tien et il prononça ces mots doux et rassurants «Tu dois me faire confiance». Et tu voulais mettre toute ta foi en ce jeune homme. Son flair délicat t’as facilement réveillé de ce sommeil ostensible, créant un feu vif à l'intérieur de ton ventre; sans penser à tes actions imprévues, tu as jeté tes bras autour de son cou, tes genoux produisant un son sec alors qu'ils entraient en collision avec le parquet, tu t’en foutais toujours et tu le tenais serré, poussant des sanglots et te noyant dans sa poitrine musclée, se délectant enfin de la sensation de cette chaleureuse étreinte. Bientôt, il emmêla ses doigts calleux avec tes mèches, rétrécissant inconsciemment ses épaules solides, comme pour protéger ta silhouette frangible du monde extérieur. "Je te ferai sortir d'ici bientôt, je te le promets"
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2 ans après, toujours les mêmes images. Toujours les mêmes mots, bloqués dans ma tête, cet appel, la place de parking où ma mère s’est mise pour me l’annoncer, les premiers mots, ceux qui auront eu raison de ce traumatisme, de cet état de choc que j’ai mis un temps indéfinissable et interminable à quitter. « C’est Nolan ». Il en aura pas fallu plus, j’ai su, j’ai compris. C’était grave, ses larmes me le disaient, ta vie était en jeu, sa voix tremblante le trahissait, elle avait peur de me voir rechuter dans mes sombres abysses, sa façon de chercher ses mots l’exprimaient. J’ai jamais eu un temps de réaction aussi long, jamais sombré dans un déni si profond, jamais fuis à ce point. Incapable de croiser le regard de ma mère, incapable de rejoindre mes grands parents chez moi, incapable d’envoyer un message à ta mère. La seule chose possible, aller me réfugier dans mon monde, dans mes écuries, dans mon autre famille, celle qui volait pas en éclats à cet instant. J’y suis restée des heures, isolée, esseulée. Assise sur ce banc, tétanisée, les larmes qui coulaient sans s’arrêter, sans contrôler. C’était impensable, impossible, insupportable. J’avais envie de hurler, j’avais envie de ressentir une douleur physique vive, brutale, j’avais envie de frapper dans quelque chose, j’avais besoin d’exploser, d’imploser, de tout éclater. J’avais mal, tellement mal. J’étais en colère, contre toi, contre la fenêtre, le balcon, le sol même d’avoir osé de percuter, contre tes potes, l’alcool, cette fille que tu allais rejoindre. Je comprenais pas, je réalisais pas, j’y croyais pas. C’était impossible. Absolument impossible. Impensable. Je voulais pas. Ça ne devait pas être réel. Je me suis même surprise à prier, prier pour tout, pour toi. Prier, supplier. Que tu puisses vivre, que tu ailles bien, que tu te réveilles dès demain, que ça ne soit qu’un mauvais souvenir à ressortir pendant un repas de famille pour en rire après quelques années, que tout ça ne soit jamais arriver, que ma vie entière et particulièrement cet instant n’aient été qu’un essai peu concluant, qu’un vague rêve pouvant être réinitialisé. C’est dingue les souvenirs que j’ai de ce jour là. Je ressens tout, le goût de sang de ma langue mordue, les yeux explosés, brûlants, les mains moites, la sensation de suer mais d’être transie de froid, les tremblements incessants de mes doigts sur les clopes que j’enchaînais comme si ça allait m’aider à respirer, à me calmer. Et surtout la sensation de douleur dans la cage thoracique, l’incapacité totale de respirer, rien d’autre que des bribes d’air en saccadé. L’impression insoutenable de suffoquer. De m’étouffer sous un regard, quelques mots. Ma vie renversée. Mon coeur balancé avec toi du haut du 4eme étage de cet immeuble, cet immeuble que je n’ai pas cessé d’imaginer depuis. Mes espoirs écrasés avec tes cervicales sur le béton de cette cour. Mon bonheur éclaté avec tes organes sur le sol gelé de cette nuit de novembre. Nos vies en suspend, rythmées par le métronome de tes machines, irrégulières, incessantes mais encrées dans mon esprit comme une mauvaise chanson dont on arrive jamais à se séparer. L’épreuve de trop. Le sentiment de ne pas pouvoir se relever cette fois ci. L’impression de ne plus en avoir ni la force, ni le courage, ni même l’envie. Chaque jour avait sa dose de peines, ses messages quotidiens de ta mère, sa routine, le travail et toi, cet hôpital que je connais par coeur, ces infirmiers devenus bien trop familiers. Je me souviendrai toujours de cette phrase « garde le sourire plus rien n’est grave » ton mantra, cette phrase aux milles significations. Ton sourire, éteint, ton sourire dans le coma avec toi. Mon sourire, épuisé. Mais plus rien était grave, tu avais raison. Toi dans ce lit, toi dans le tourbillon entre vie et mort, toi branché à ces machines, nous branchés à de rares espoirs vite essoufflés. C’est vrai, à côté, plus rien n’était grave. Plus rien ne faisait de sens. Sans toi, ça marchait pas.
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L’augmentation mammaire est l'une des interventions chirurgicales esthétiques les plus demandées au monde, et le choix des prothèses est une étape clé pour obtenir des résultats harmonieux et conformes aux attentes des patientes. Ce guide approfondi vous accompagne pas à pas pour comprendre chaque aspect essentiel à considérer dans le choix des implants mammaires.
1. Types de Prothèses Mammaires : Silicone ou Saline
Les deux principaux types de prothèses disponibles sur le marché sont les prothèses remplies de gel de silicone et celles remplies de solution saline. Chacune de ces options présente des avantages distincts.
Prothèses en gel de silicone : Celles-ci sont remplies d’un gel de silicone cohésif qui imite la texture naturelle des tissus mammaires. Elles sont appréciées pour leur aspect réaliste et leur souplesse. Les prothèses en silicone sont disponibles sous plusieurs densités, du gel très souple au gel très cohésif, ce dernier étant souvent appelé "silicone gummy bear" pour sa fermeté. Bien que ces prothèses ne risquent pas de "s'effondrer" en cas de rupture, une surveillance régulière par IRM ou échographie est nécessaire pour garantir leur intégrité.
Prothèses en solution saline : Remplies d’une solution saline stérile, ces prothèses sont introduites vides et ensuite remplies une fois en place, ce qui permet de réduire l'incision. En cas de rupture, le sérum physiologique est naturellement absorbé par le corps sans danger. Cependant, ces implants peuvent être moins naturels au toucher et peuvent présenter un risque plus élevé d'ondulations, en particulier chez les femmes avec peu de tissu mammaire naturel.
2. Formes des Prothèses : Rondes ou Anatomiques
Le choix entre prothèses rondes ou anatomiques influence fortement le résultat final de l’opération, notamment en termes de volume et de projection.
Prothèses rondes : Elles offrent un volume homogène sur l’ensemble du sein et sont souvent privilégiées par les patientes cherchant à obtenir une apparence plus pleine au niveau du décolleté. Les prothèses rondes sont aussi moins sujettes au risque de rotation, car leur forme symétrique permet un résultat homogène quel que soit l’angle de la prothèse dans la poitrine.
Prothèses anatomiques (forme de goutte d’eau) : Ces implants imitent la forme naturelle du sein avec une partie inférieure plus volumineuse. Elles sont idéales pour les femmes qui souhaitent une augmentation subtile avec un effet naturel. Toutefois, les prothèses anatomiques peuvent présenter un risque de rotation, qui altère l’apparence du sein si l’implant se déplace.
3. Volume des Prothèses : Trouver la Bonne Taille
Le volume des prothèses est une des décisions les plus importantes, et il est crucial qu'il soit adapté à la morphologie de la patiente. Le volume est généralement exprimé en centimètres cubes (cc). Un volume plus élevé augmente la taille du sein, mais une trop grande prothèse peut paraître disproportionnée et entraîner des complications, telles que des douleurs dorsales ou une chute prématurée des seins.
Consultation et essayages : De nombreux chirurgiens proposent des essayages de tailles différentes grâce à des simulateurs ou des prothèses externes placées dans un soutien-gorge, afin de permettre à la patiente de visualiser l’effet final. La taille choisie dépend de plusieurs facteurs : la taille de la cage thoracique, la quantité de tissu mammaire existant, et les préférences esthétiques de la patiente.
4. Projection et Profil : L’Impact sur l’Apparence Finale
La projection désigne la distance à laquelle la prothèse s’avance à partir de la poitrine. Ce choix est aussi déterminé par les souhaits esthétiques de la patiente, en particulier au niveau du décolleté.
Profil bas : Ces implants offrent une projection modérée et conviennent mieux aux femmes qui souhaitent un résultat discret et naturel.
Profil modéré : Il s’agit du profil le plus souvent choisi. Il ajoute une belle projection sans exagération, créant un volume proportionné avec la silhouette générale de la patiente.
Profil haut : Les prothèses à profil haut offrent une projection importante avec un décolleté plus marqué. Elles sont souvent choisies par des femmes avec un tour de poitrine étroit ou celles qui souhaitent une apparence plus volumineuse.
5. Revêtement des Prothèses : Lisse ou Texturé
Le revêtement des prothèses joue également un rôle dans la manière dont elles interagissent avec les tissus mammaires et leur positionnement au fil du temps.
Prothèses lisses : Elles se déplacent librement dans la poche créée par le chirurgien, ce qui permet un mouvement plus naturel. Cependant, elles peuvent présenter un risque légèrement plus élevé de contracture capsulaire, une complication où le tissu cicatriciel se durcit autour de l'implant.
Prothèses texturées : Elles sont conçues pour adhérer au tissu environnant, réduisant ainsi le risque de déplacement ou de rotation. Elles étaient autrefois très populaires, mais certaines études ont soulevé des inquiétudes quant à leur lien avec un type rare de lymphome anaplasique à grandes cellules (LAGC-AIM). De ce fait, leur utilisation a diminué dans de nombreux pays.
6. Positionnement des Prothèses : Sous-Musculaire ou Sur-Musculaire
Le positionnement des implants mammaires, soit sous le muscle pectoral, soit au-dessus, influence à la fois l’apparence finale et le processus de récupération.
Sous-musculaire : Ici, la prothèse est partiellement ou entièrement placée sous le muscle pectoral. Cela offre un résultat plus naturel, en particulier pour les femmes minces, car le muscle recouvre partiellement la prothèse. Cette méthode réduit également le risque de contracture capsulaire. Cependant, la récupération peut être plus longue et certaines patientes ressentent davantage de douleurs post-opératoires.
Sur-musculaire : Dans cette technique, la prothèse est placée directement sous le tissu mammaire mais au-dessus du muscle pectoral. Cela permet une récupération plus rapide et est généralement recommandé pour les femmes qui ont déjà un bon volume mammaire naturel. Toutefois, les contours de l’implant peuvent être plus visibles, notamment chez les patientes minces.
7. Sélection de la Taille avec Simulations 3D
Aujourd’hui, de nombreux chirurgiens offrent la possibilité d’utiliser des technologies de simulation 3D pour aider les patientes à visualiser le résultat final avec différentes tailles et formes de prothèses. Cette technologie permet de mieux comprendre comment les implants s'adapteront à la morphologie individuelle de chaque patiente et peut significativement aider dans le processus de prise de décision.
8. Aspects à Long Terme : Sécurité et Durabilité
Il est important que les patientes comprennent que les implants ne durent pas à vie. Bien que les implants modernes soient très résistants, il est conseillé de réaliser des contrôles réguliers, et il se peut qu’une réintervention soit nécessaire après 10 à 20 ans. De plus, la grossesse, la prise ou perte de poids peuvent également influencer l'apparence des seins au fil du temps.
9. Considérations Personnelles et Esthétiques
Chaque patiente a des attentes et des préférences uniques en termes d’apparence. Avant de prendre une décision définitive, il est essentiel de discuter avec son chirurgien de ses attentes esthétiques. L’utilisation de photos de résultats souhaités, ou au contraire d’exemples à éviter, peut faciliter cette discussion.
10. Choisir le Bon Chirurgien
Le choix du chirurgien est aussi déterminant que celui des prothèses. Un chirurgien qualifié et expérimenté saura non seulement conseiller sur les prothèses idéales en fonction des souhaits de la patiente, mais aussi garantir la sécurité de l’intervention et un résultat harmonieux. Il est essentiel de consulter plusieurs chirurgiens, de vérifier leur expérience avec des photos de résultats avant/après, et d’examiner les avis d'autres patientes.
Conclusion : Un Choix Personnalisé avec un Chirurgien de Confiance
Le choix des prothèses mammaires est une décision personnelle qui doit être prise en collaboration avec un chirurgien esthétique de confiance. Chaque patiente est unique, et le chirurgien doit comprendre ses attentes, son mode de vie, et sa morphologie pour l’aider à choisir des implants qui offriront des résultats satisfaisants sur le long terme. Il est crucial de se sentir à l’aise avec le chirurgien et de poser toutes les questions nécessaires avant de prendre une décision.
Ce processus, bien réfléchi, permet d'obtenir des résultats à la hauteur des attentes, offrant non seulement une amélioration esthétique mais aussi un boost de confiance en soi.
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N’attendez plus rien de moi, j’arrive !
Elle se sentait soulagée d’un poids très lourd. Peut être par ce qu’avait été ses relations sociales. Lourdes. Peut être lourdes de sens et d’émotions, il y a quelques temps. Mais devenues amer et distantes. Aujourd’hui, elle n’avait plus rien, et ça lui était égal. Une petite douleur de temps en temps, dans la poitrine, très vite chassée par une impression de dégoût. Peut être était ce des bribes de colères qui résonnaient dans sa cage thoracique ? Mais enfin ce halètement qui cessait. Une course à l’appréciation, effrénée qui ne semblait jamais s’arrêter jusqu’à maintenant. Oui, elle était seule. Et c’était le seul moyen pour ne pas être révulsée par ceux qui l’entourait.
Un pincement au coeur, elle doit revoir un ancien amour demain. Aucune idée de ce qu’elle va lui dire.
« Tu ne me manques pas »
« J’ai traversé une période difficile »
« Je vais bien »
Est ce qu’elle allait bien ? Oui je crois. Est ce qu’elle était heureuse ? Je ne suis pas sûr. Elle se demandait même si elle le serait un jour. Si il est vrai que le bonheur est quelque chose que l’on construit il n’était sûrement pas au coin de la rue. Mais elle avait quand même l’espoir de l’y trouver au détour d’une allée.
Une dégoutée avec de l’espoir. Enfin quelque chose changeait en elle. Y aurait il un quelconque avenir meilleur ? Et puis, contrairement à ses amis, elle commençait aussi à s’apprécier. Quand le monde semblait la délaisser elle y trouva une forme de paix. « N’attendez plus rien de moi, j’arrive ! »
Mais depuis quelque temps même si une certaine forme de foi lu était revenue, elle se sentait diminuée. Moralement physiquement et intellectuellement. S’était elle brulé les ailes à trop vouloir s’oublier ? Où était donc passé cette légendaire répartie ? Ou était l’intrépide ? Mais était ce ça le début de la résilience ? Tout ce qu’elle savait c’est que c’était le début de quelque chose.
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